Remplir Des Fosses La Vallée

Date: 56-0728 | La durée est de: 1 heure et 6 minutes | La traduction: Shp
doc pdf
Voir le textes français et anglais simultanement Voir le texte anglais seulement

1          ... l’Etre suprême, et dans nos coeurs à l’instant même, au présent... Nous en sommes heureux.

            Et hier soir, nous avons eu un merveilleux service de guérison. Notre Seigneur Jésus est venu à notre rencontre et nous a accordé une abondance infinie.

            Eh bien, nous aurons un autre service de guérison demain soir, le Seigneur voulant.

            Eh bien, demain matin, je pense, l’émission passera à quelle heure, frère? A 9 h 00, sur KEBS. Et je vais parler sur cette chaîne pendant quelques minutes. Et lorsqu’on promet une chose, on doit l’accomplir.

            Et ensuite, demain à 10 h 30, je pense que frère Moore a dit qu’à 10 h 30 il y aura un drame sur Le plus petit bateau du monde. Et venez donc le matin si vous le pouvez, pour écouter et pour voir ce qu’est Le plus petit bateau du monde.

            J’ai dit l’autre soir que ceci est spécialement destiné aux enfants, aux enfants âgés de 8 à 80 ans. Et nous nous attendons à ce que le Seigneur nous rencontre là-bas.

            Ensuite, demain la nuit, ou plutôt demain soir, nous serons de nouveau ici à 19 h 30. Les cartes de prière seront distribuées à 18 h 30. Et nous prierons pour les malades demain soir, le Seigneur voulant. Et maintenant, soyez dans l’expectative, venez étant bien préparés et constamment en prière.

2          Et maintenant, cette nuit est une mauvaise nuit, la nuit du samedi. Ça, c’est la nuit du diable, vous savez, celle où le diable est sur les autoroutes et dans tous les débits d’alcool, et toute cette foule de gens qui courent après l’alcool, avec tous ces vils bals populaires, le boogie-woogie, le rock-and-roll, et toute cette danse de rock-and-roll qu’il y aura cette nuit. Des centaines vont mourir.

            L’autre jour, lorsque j’étais quelque part, j’ai vu que les gens avaient organisé une grande fête, une de ces grandes fêtes que les gens organisent ici. Ils avaient emmené ça au Canada. J’oublie le nombre d’enfants qu’on a dû envoyer dans un hôpital psychiatrique après qu’ils ont été dans cette histoire de boogie-woogie, de rock-and-roll que les gens ont amené de l’Amérique au Canada. Eux, ils ont interdit cela dans plusieurs pays–dans plusieurs Etats de la confédération. Et pourtant, nous les Américains, nous nous sommes plongés dedans la tête la première.

3          L’autre jour, lorsque j’ai vu un jeune homme, qui est l’un des meneurs pour le rock-and-roll, exécuter toutes ses manoeuvres, il a déclaré qu’il a appris cela dans une église pentecôtiste! Et lorsqu’on pense que cela a été perverti, ce n’est pas étonnant que ce garçon ait un esprit perverti, qu’il devienne fou. Eh bien, Dieu le punira certainement. Et Il le fera certainement pour une telle chose. C’est un sacrilège. Et cela–c’est absolument un blasphème contre le Saint-Esprit.

            Et c’est terrible de voir comment les gens essaient de rabaisser l’oeuvre du Dieu vivant. «Vous moissonnerez ce que vous avez semé.» Souvenez-vous-en.

4          Eh bien, je pense qu’au Canada... j’ai oublié le nombre (quand ils ont eu pour la première fois là-bas un de ces groupes qu’on a ici), combien d’enfants, de jeunes gens ont perdu la raison au cours de cette seule rencontre et se retrouvent maintenant dans un hôpital psychiatrique sans espoir, sans Dieu, sans aucune miséricorde. Ils sont là dans cet état-là, criant, pleurant, faisant les cent pas, cognant la tête contre le mur, sous l’effet de ces absurdités. Et nous légalisons cela.

5          Les beuveries, les jeux d’argent... Dans bon nombre d’endroits, dans l’église ou à l’école, on autorise les enfants de fumer juste avant les examens du semestre, et ainsi de suite (n’est-ce pas terrible?) pour calmer leurs nerfs. Ils devraient avoir une réunion de prière. C’est la meilleure chose que je connaisse pour calmer vos nerfs.

            Mais, vous savez, les gens sont affamés et doivent satisfaire ce désir avec quelque chose. S’ils ne boivent pas à la Fontaine des Eaux de la Vie, le diable leur donnera des eaux stagnantes d’une citerne contenant des têtards. C’est juste. Ils boiront donc l’eau de quelque part. Vous allez satisfaire ce désir et...?... soit avec le diable, soit avec Dieu.

            Jamais une personne n’est allée à l’un de ces endroits ou n’a fait l’une de ces choses, sans que ce soit une personne au coeur affamé, qui a refusé de boire gratuitement à la Fontaine des Eaux de la Vie.

            Je–je vous assure; j’ai vraiment pitié d’eux à cause du relâchement et de la souillure de nos églises modernes. L’une des choses auxquelles j’attribue cela, c’est l’évangile social que les gens prêchent.

            Eh bien, dans notre propre ville de Jeffersonville, un certain pasteur organise chaque samedi soir une partie de quadrille [danse exécutée par des couples de danseurs formant un carré–N.D.T.] au sous-sol de son église. C’est vrai. Il enseigne le quadrille, un pasteur d’une église dénominationnelle bien connue, une partie de quadrille...

6          Ce fut ce même pasteur qui me demanda l’autre fois, alors que je descendais d’un poteau téléphonique, comment j’avais fait pour avoir tant de gens au tabernacle. Il a dit qu’il sign-... a fait signer une carte à mille membres, comme engagement qu’ils pourraient assister au moins une fois par an à l’école du dimanche. Ou une seule–ou plutôt six mois par année, c’est ce que c’était.

            Il a dit: «Savez-vous combien ont répondu?» Il a dit: «Deux.»

            J’ai dit: «Ce n’est pas étonnant. Je ne les condamne pas. Je ne les condamnerais pas non plus.» C’est tout à fait juste. Eh bien, aussi longtemps que vous ferez de grandes fiestas et tout dans l’église, eh bien, c’est un péché. Ça n’a pas de place dans la maison de Dieu. Si j’en arrive au point où je dois avoir quelque chose de ce genre pour amener les gens à m’écouter, je quitterai sûrement le champ missionnaire, j’arrêterai de prêcher l’Evangile.

            Je ne condamne pas les pécheurs. Lorsque vous voyez des pécheurs aller là-bas, juste de véritables et vils pécheurs, eh bien, alors, je ne les condamne donc pas. C’est tout ce qu’ils connaissent. Mais ces gens qui vont à l’église et se disent chrétiens, et qui ensuite font cela...

7          Je ne condamne pas le cochon du fait qu’il fouille dans un tas de fumier. Certainement pas. C’est sa nature. Certainement. Je ne trouverai pas cela étrange de voir un cochon dans un tas de fumier, certainement pas. C’est–c’est sa nature. C’est ce qu’il fait. C’est sa vie. Il ne connaît rien d’autre. Mais je trouverai sûrement étrange de voir un agneau faire cela. Il ne ferait pas cela pour commencer.

            Et c’est ce qu’il en est du pécheur. Laissez-le aller de l’avant. C’est tout ce qu’il connaît. Il va boire tout l’alcool qu’il veut, il va se livrer à toutes les bassesses, à tous ces bals populaires, et écouter tout ce non-sens. C’est tout ce qu’il connaît.

            Mais pour vous qui êtes censés être plus avisés... Je suis persuadé que si jamais vous vous tournez vers cela, c’est qu’en réalité vous n’avez jamais bu à la Fontaine du Seigneur. Je vous assure que cela va simplement–cela va simplement arrêter toutes ces autres histoires. C’est complètement mort. Il n’y a pas de joie là-dedans; ces choses sont... Vous ne pouvez même pas supporter cela.

            Je vais parfois dans un restaurant. La première chose que je fais, je jette un coup d’oeil pour voir s’ils ont un de ces vieux petits juke-box [appareil dans lequel on introduit une pièce de monnaie et qui joue automatiquement le disque choisi–N.D.T.] suspendu au mur. Ces choses me rendent si nerveux que je n’arrive pas à manger. Je–je–j’ai un estomac qui devient aigre quand je sors, rien qu’en écoutant tout ce non-sens. Et de voir des chrétiens jouer cela, des gens qui sont censés être des chrétiens...

8          Frère, je dois prêcher. Vous savez cela. Bien, ce n’est pas mon sujet ce soir. Mais, je vous assure, c’est bien dommage qu’on ne condamne pas un peu plus ces histoires du haut de la chaire. Certainement.

            Eh bien, lorsque j’étais pasteur d’une église, bien que c’était une Eglise baptiste, mais ce n’est pas le genre que vous avez, où on vous donne une poignée de main et où on inscrit votre nom dans le registre. Frère, nous nous agenouillions à l’autel et nous nous donnions des tapes dans le dos jusqu’à ce qu’ils parviennent. Nous avions quelque chose. Absolument.

            Et si l’un d’eux était surpris dans l’un de ces genres d’endroits, on lui passait directement un savon. Et si le fait était établi, soit il devait se repentir, soit il était excommunié sur-le-champ. Nous ne...?... nous nous mettons simplement sous un même joug avec les infidèles. Ils devaient soit marcher sur le chemin étroit et resserré....

            Nous avions un tableau noir placé là. Si quelqu’un avait un grief ou bien...?... ils écrivaient tous deux leurs noms sur le tableau noir comme cela, et on allait dans la salle de prière. Quelqu’un qui vivait comme le frère Jones qui est assis là au-dessus, ensuite, venait Scott en bas. «Très bien, Frère Jones et Frère Scott, entrez ici avec moi.» C’est juste. Ils devaient mettre cela en ordre immédiatement. Cela devait être mis en ordre. Pour vous montrer la faute.

9          Ce dont nous avons besoin ce soir, c’est d’une bonne religion à l’ancienne mode, pure, du fond de bois, qui tue le péché, blanchie par la puissance du Saint-Esprit (absolument), et des saints qui sont lavés et blanchis, non pas un blanchissement à la chaux, mais un nettoyage qui rend blanc. Voyez-vous? Il existe une grande différence entre blanchir à la chaux et rendre blanc. Amen.

            Eh bien, n’oubliez pas les services maintenant, puisse le Seigneur nous bénir alors que nous ouvrons Sa Parole pour lire juste quelques Ecritures ici et ensuite vous entretenir sur la Parole.

            Que chacun soit solennellement en prière, croyant de tout son coeur. Et je me demande ce soir...

            Quelqu’un me parlait d’un petit bébé, le dernier pour qui on a prié hier soir. C’est comme si le petit ami s’est mis à pleurer comme cela. Et, ce bébé est-il ici ce soir? Bien, si par hasard le petit ami est ici, j’aimerais qu’il monte ici sur l’estrade juste un instant, s’il est ici. Je pense qu’il pourrait être venu de l’extérieur...

            Je ne sais pas. Cela me garde... c’est un état où vous êtes à demi conscient. Et mon fils me parlait en sortant, il a dit: «Papa, c’était merveilleux!» Il a dit: «Un petit garçon est venu dans la ligne là-bas, un petit...» Je crois qu’il a dit qu’il avait des yeux qui louchaient et une hernie ou quelque chose d’autre. Et il a dit: «Lorsque tu as pris le petit enfant, je t’ai vu mettre ta main à cet endroit-là et la chose a disparu.» Il a dit: «Et lorsque l’enfant a ouvert les yeux, pendant que tu avais les mains sur lui, a-t-il dit, j’ai remarqué que ses yeux étaient aussi parfaitement droits que possible.» Et il a dit: «Tu as essayé de l’amener à regarder l’auditoire.»

            Et je me demandais simplement s’il était ici ce soir, il se peut qu’il soit rentré. Et nous remercions le Seigneur pour sa guérison.

10        Eh bien, le Seigneur peut guérir toutes sortes de maladies, si nous pouvons croire qu’Il le fera. Je sais. Et je L’ai vu faire tellement de choses que je veux tout simplement croire que tout ce que nous demandons, nous l’obtenons. C’est juste. Nous devons le croire de cette façon. Et maintenant, nous avons confiance que le Seigneur bénira. Maintenant, ce vieux Livre béni, c’est le Livre de tous les livres. Et il n’y a qu’Un seul qui peut légitimement interpréter ce Livre, et c’est le Saint-Esprit. Il en est l’Ecrivain. Et c’est le Seul qui peut réellement interpréter cela. Peu importe combien nous pensons bien connaître cela, nous ne le connaissons pas jusqu’à ce que le Saint-Esprit l’ait révélé, parce que c’est–c’est entièrement un mystère. C’est découpé en mystères. Et Dieu a dit qu’Il l’a fait à dessein, afin de cacher cela aux yeux des sages et des intelligents, mais qu’Il le révélerait aux enfants qui veulent apprendre. Eh bien, il nous faut être des enfants dans le Seigneur ce soir. Voyez simplement à quel point vous pouvez être simple. Et demain soir, je pense que j’ai, le Seigneur voulant, j’ai un message sur cela, sur la simplicité de cela.

11        Inclinons donc la tête maintenant pour parler encore un instant. Combien ont un besoin ce soir? Voulez-vous lever la main et dire: «Je désire que l’on se souvienne de moi dans ceci, Frère Branham. Je désire que vous vous souveniez de moi maintenant devant le Seigneur.»

            Notre Père céleste, au Nom de Jésus, Ton Enfant bien-aimé, nous venons aussi humblement que possible te demander de nous pardonner nos péchés et nos offenses. Tout ce que nous avons fait ou dit en ce jour, ou à n’importe quel autre moment de notre vie qui est contre nous ce soir, nous nous inclinons humblement et nous confessons.

            Et, je prie pour ces gens qui forment l’assistance, alors qu’ils ont levé la main. Père, bon nombre d’entre eux ont peut-être désespérément besoin du pardon pour un défaut quelconque, de mauvaises habitudes, une certaine maladie, une certaine affection ou une affliction, un bien-aimé qui est en difficulté. Quoi que ce soit, Père, je Te prie de pardonner et d’oublier leurs iniquités et de guérir toutes leurs maladies.

            Et répands Tes bénédictions sur nous ce soir au travers de la lecture et de la prédication de la Parole. Car nous le demandons au Nom de Christ, Ton Fils bien-aimé. Amen.

12        Dans 2 Rois, le 3e–3e chapitre de 2 Rois, le verset 16:

Et il dit: Ainsi dit l’Eternel: Qu’on remplisse de fosses cette vallée.

            Maintenant, que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole. Ceci se trouve dans le Livre de 2 Rois, au chapitre 3. Et peut-être que lorsque nous retournerons à la maison...

            Combien lisent la Bible? Faites voir vos mains. Oh! c’est merveilleux. Lisez-la. Ecoutez-la. Et tout particulièrement vous les chrétiens nés de nouveau, c’est le–le pain et la viande pour le Saint-Esprit. «L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.»

13        Et si ce soir j’étais un médecin et qu’un jeune homme venait me voir, ayant un grand gabarit, mais semblant pourtant si faible et maigre, et je dirais: «Qu’y a-t-il, fiston?»

            Il dirait: «Je suis très faible, docteur. Je peux à peine me tenir debout.»

            Je lui poserais quelques questions en rapport avec son corps, en disant: «Ça va?»

            «Ça va.»

            Je dirais: «Eh bien, qu’as-tu mangé?»«Je ne sais pas, docteur.»Je dirais: «Eh bien, qu’as-tu mangé la dernière fois?»«Eh bien, j’ai mangé la moitié d’un biscuit salé avant-hier.»Eh bien, je dirais: «La seule chose dont tu as besoin, c’est d’un bon repas consistant. Tu deviens anémique; tu deviens maigre et faible.»

14        Et c’est ça le problème qu’a l’église. Il vous faut un bon repas consistant de l’Evangile chaque jour, sinon, vous allez devenir anémique, vous allez devenir maigre. Prenez une bonne quantité de vitamines de Dieu qui sont dans Sa Parole, et cela nourrira certainement l’Esprit qui est en vous, et fera que vous vous sentiez rafraîchi et reconstitué.

            Eh bien, un grand événement venait de se produire. Et, il y avait eu un temps de nettoyage en Israël. Mais ce qui était dommage, c’était que par le vote des gens et la procédure par laquelle ils avaient élu, ils avaient tout aussi mal procédé que les gens le feraient aujourd’hui, quand un pasteur quitte l’église, et que le conseil des diacres en élit un autre. Parfois, on destitue un bon pasteur pour en élire un mauvais.

            Mais lorsque Dieu en envoie un, c’est l’homme idéal. Vous devriez toujours prier et chercher la faveur de Dieu, vous qui êtes–qui avez un tel problème, pour choisir votre pasteur.

15        Mais maintenant, c’était aux jours d’Elie, le grand prophète du Seigneur. Ô Dieu, que ferions-nous si nous n’avions pas quelques hommes de Dieu dans le monde, qui se tiennent à la brèche et–et qui essaient d’intercéder pour les gens, et qui ont assez de courage pour dire aux gens, ou plutôt pas assez de courage, mais assez de grâce, pour dire aux gens ce qui est juste et ce qui est faux?  Tout le problème est une question ou l’ennui qu’on a aujourd’hui est dû au fait que l’homme dans un sens... Je ne condamne pas mes frères, certainement pas. J’essaie–j’essaie seulement de présenter une vérité. La seule raison aujourd’hui, c’est que les conditions sont...

            Si chaque pasteur pouvait se tenir fermement sur la Parole, et ne pas relâcher ni faire des compromis, il n’en serait pas comme aujourd’hui. Mais en faisant des compromis, des organisations qui se suffisent et autres ont toujours essayé de prendre la place du Saint-Esprit.

16        Et Dieu, à aucun moment, n’a jamais eu un groupe de gens pour diriger Son Eglise. Ç’a toujours été le Saint-Esprit. C’est Son devoir. C’est la raison pour laquelle Il est ici. C’est pour cela que Dieu L’a envoyé. Il vous enseignera. Il vous conduira dans toute la Vérité, et vous annoncera les choses à venir et vous les révélera: «Il prendra Mes Paroles et vous les révélera.» Pas le séminaire, aussi bon qu’il soit; pas l’église, aussi bonne qu’elle soit; mais le Saint-Esprit, c’est Lui l’Enseignant.

            Et nous avons essayé d’adopter l’homme pour qu’il prenne la place du Saint-Esprit. Nous avons essayé d’adopter certains différents offices dans l’église pour qu’ils prennent la place des apôtres, des prophètes et autres dans l’Eglise. Mais Dieu a placé les dons dans l’Eglise, et nous avons pris des hommes et nous en avons fait des dons à la place des dons de Dieu. Et c’est la situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui.

            Bon, Elie était un grand homme, et son heure était venue pour quitter la terre. Et il avait marché devant le Seigneur. Et le Seigneur lui avait dit: «Va et oins un autre homme.»

17        J’aime cela. N’aimez-vous pas cela? Dieu n’a jamais manqué de témoin. Dieu a toujours eu un témoin depuis le commencement du monde. Des fois, ce n’était qu’un seul homme. Mais Dieu a toujours eu quelqu’un qu’Il peut désigner du doigt et dire: «Voici Mon serviteur», dans tous les âges.

            Maintenant, lorsqu’Il vit qu’Il allait prendre Elie, Elie, le Thischbite alla et trouva Elisée en train de labourer dans les champs, et il ôta sa robe et la jeta sur lui. Et Elisée sut qu’il était appelé à être un prophète.

            Ainsi, cela montre comment devrait être un prophète. Il brûla chaque pont comme on dit. Il tua un boeuf, prit le joug et la charrue, et–et offrit un sacrifice au Seigneur, montrant que c’en était fini de toutes ses occupations terrestres. Il était complètement livré au Seigneur. C’est de la sorte, de cette manière que chaque homme et chaque femme qui vient à Christ devrait complètement se livrer au péché... laisser tout derrière, jeter cela au...?... la ligne et vivre seulement pour Dieu à partir de ce moment-là. Combien ce serait différent si les hommes et les femmes faisaient cela!

            Ensuite, pour le faire passer par son test... Croyez-vous dans les tests, les peines et les épreuves...?... Chaque fils, sans exception, chaque fils qui vient à Dieu doit premièrement être testé, éprouvé, formé en tant qu’enfant.

18        Vous souvenez-vous comment vous avez reçu votre formation? Je me souviens du moment où j’ai reçu la mienne. Mon père avait un... Il croyait dans la règle d’or. Il la possédait, et il la gardait au-dessus de la porte, elle contenait tous les dix commandements, c’était une grosse verge en bois de noyer, d’à peu près cette longueur, avec une brosse au bout.

            Je vous assure, lorsque les petits Branham se conduisaient mal, ils savaient ce qu’était la règle d’or. Papa prenait cela de...?... et disait: «Viens ici, fiston.» Et il pouvait dire: «Eh bien, demain, je vais vraiment m’occuper de toi.»

            –Pourquoi ne le fais-tu pas maintenant papa, pourquoi n’en finis-tu pas avec cela?

            –Non. Je vais simplement attendre jusqu’à demain.

            Après avoir pris son dîner, il disait: «Viens ici, Billy.»

            –Oui, papa.

            Pour régler cela... Il faisait sortir son couteau et se mettait à tailler un bâton, disant: «Eh bien, tu étais plus avisé, n’est-ce pas?» Oh! j’aurais souhaité qu’il me fouettât tout simplement et qu’on en finît. Il disait: «Pourtant tu étais plus avisé, n’est-ce pas?»

            –Oui, papa, je le suis.

            –N’as-tu pas honte de faire cela?

            –Si, papa, j’ai honte.

            –Je dois te fouetter pour cela.

            Il me disait tout. J’allais dans les champs, je prenais mon petit chapeau de paille et je le portais, j’allais dans les champs, j’avais une peur bleue. Ce soi-là, je me disais: «C’est ce soir que je vais recevoir ma correction.» Mais, frères, ne vous en faites pas, il ne l’oubliait jamais. Je la recevais. Et c’était une bonne formation.

            Si nous avions davantage de personnes qui agissent comme cela aujourd’hui, nous n’aurions pas tant de délinquance juvénile. Vous parlez d’enseigner ce...

19        Je me suis rendu dans une maison par ici, il n’y a pas longtemps pour visiter une personne qui était malade. Et le petit Junior est entré, le petit Oswald.

            Et il est entré, il a dit: «Maman, n’as-tu pas encore apprêté mon dîner?»

            Elle a dit: «Fiston, je suis très malade.» Elle a dit: «Voici frère Branham.»

            Il a dit: «Eh bien, pourquoi n’as-tu pas apprêté le dîner pour moi?»

            Elle a dit: «J’étais vraiment malade.»

            Il a dit: «Ce n’est pas une excuse.»

            Elle a dit: «Il y a une orange.»

            Il la prit, la regarda et dit: «C’est tout ce que vous pouvez faire... diable!» Et il lança cela contre le mur, et le jus se répandit sur l’endroit.

            Elle a dit: «Junior, sois sage.» Et il donna un coup de pied dans quelque chose et sortit.

            Je regardais sa mère. Je me suis dit: «Madame, accorde-moi juste l’occasion pendant quelques minutes. Je l’amènerai à penser différemment la prochaine fois qu’il entrera dans la maison.»

            Oh! combien nous nous sommes relâchés! Vous êtes plutôt... Vous êtes trop larges avec les enfants en ces jours-ci. C’est vrai. Vous les dorlotez. Vous ne pouvez pas outrepasser la Bible. La Bible dit: «Si tu ménages la verge, tu gâtes l’enfant.» Et c’est vrai.

            Papa utilisait la vieille baguette du fusil. Je ne sais pas si vous savez ou non ce que c’est, ce que vous utilisiez pour charger votre arme dont le chargement s’opérait par le canon. [Un frère dit: «Le refouloir.»–N.D.E.] Oui, le refouloir. C’est vrai. Frère, j’ai été éduqué avec cette chose-là. Mon père ne me laissait pas me promener. Je...

            Il est dans la tombe ce soir. Quand je l’ai regardé, pendant qu’il était étendu là, et que ses cheveux noirs reposant là tout autour paraissaient gris, j’ai pensé à chacune de ces corrections, combien j’ai honoré chaque correction que j’ai reçue. Je n’en ai pas reçu la moitié. C’est vrai. Il était mon père, et je l’aime parce qu’il a essayé de m’amener à faire ce qui est juste. Il était bien décidé à ce que je fasse ce qui est juste.

20        Et maintenant, certains parmi vous parlent de l’analphabétisme des montagnards du Kentucky là-bas. Mais combien ces vieilles grand-mères, avec leurs longs bonnets et tout sur... Vous savez quoi? Elles pourraient vous apprendre à vous les citadins comment vous comporter. C’est vrai.

            Votre petite Marthe Anne rentre à la maison à minuit, le visage tout couvert de saleté, à moitié ivre, fumant une cigarette, renvoyant la fumée par le nez, puis elle tape du pied et vous hurle dessus. Qu’elle ose faire cela une fois à l’une de ces vieilles mamans du Kentucky. Mon garçon, elle couperait le sommet d’un noyer, ou prendrait quelque chose, ou une latte de tonneau. Quand elle aura terminé, Marthe Anne saura qui maman est là-bas.

            Si vous faisiez cela, vous n’auriez pas tant de mauvais hommes, de mauvais garçons et mauvaises filles dans le monde ce soir. Que l’une d’elles se déshabille en portant l’un de ces vieux et sales petits vêtements, comme ce que vous laissez vos enfants porter là dehors, ces sales petits shorts, ou peu importe comment on appelle cela. Et qu’elles le fassent une fois. Oui, oui. Vous verrez à quel point elles sont illettrées. Elle va la battre jusqu’à ce qu’elle soit si couverte de marques de coups, que vous ne pourrez pas mettre les vêtements sur elle. C’est ce qu’on a besoin de faire ce soir. C’est vrai.

21        Et certains de ces poules mouillées de prédicateurs qui se tiennent à la chaire, laissent leurs chorales chanter, et ensuite sortir l’après-midi et s’étendre là-dehors dans ces tenues. Honte à vous, de vous dire homme de Dieu. Vous avez un bréchet et non une colonne vertébrale. Si vous aviez le Saint-Esprit, Il vous amènerait à vous comporter différemment, à parler différemment, et Il vous amènerait à appeler les choses par leur nom. Absolument. Mais, le problème est que... Oh! la la! vous êtes une petite poule mouillée de toute façon, vous êtes de petits efféminés. Pourquoi ne cherchez-vous pas une colonne vertébrale? Cherchez le Saint-Esprit.

            Jean-Baptiste fut le premier à recevoir le Saint-Esprit, et il alla tout droit vers le vieil Hérode et dit: «Il ne t’est pas permis d’avoir la femme de ton frère.»

            Frère, c’est ainsi qu’est un homme rempli du Saint-Esprit. Lorsqu’il voit quelque chose de mal, il appelle cela mal. C’est vrai. Certainement.

22        Eh bien, Elie était ce genre d’homme. Et lorsque Elisée sut qu’il allait prendre sa place, Elie le mit à l’épreuve. Il a dit: «Toi, reste ici, parce que je me rends dans une autre ville.»

            Et Elisée savait qu’il devait l’observer. Il était inspiré. Il a dit: «L’Eternel est vivant et ton âme est vivante! je ne te quitterai point.»

            Ils continuèrent jusqu’à ce que, finalement, vint la dernière épreuve. Et ils traversèrent le Jourdain. Il a dit: «Maintenant, que puis-je faire pour toi?»

            Il a dit:»Qu’une double portion de ton esprit vienne sur moi.» Eh bien, cela paraît étrange, que l’esprit d’un homme vienne sur un autre. «Je veux une double portion de ton esprit.»

            Il a dit: «Tu as demandé une chose difficile. Mais néanmoins, si tu me vois partir, tu l’auras.»

            Ils continuèrent donc. Et au bout d’un moment, les chars de feu et des chevaux de feu descendirent, et Elie monta à bord, ôta sa robe et la jeta sur Elisée. Et celui-ci la porta et descendit au fleuve avec une double portion de l’Esprit d’Elie, un beau type de l’Eglise.

            Jésus a dit: «Les choses que Je fais, vous les ferez aussi; et vous en ferez davantage. Pouvez-vous être baptisé du baptême dont Je dois être baptisé? Pouvez-vous boire la coupe que Je dois boire?» Il a dit: «Oui, vous le pouvez.» Et une double portion (voyez-vous cela?) du Saint-Esprit devait venir sur l’Eglise. Et l’Eglise devrait faire le double de ce que Jésus a fait. Oh! où est la foi de l’Eglise ce soir? Elle a peur, elle se rétracte dans la carapace comme une tortue qui se cache. Maintenant, écoutez. La seule chose que vous devez faire, c’est de sortir.

23        Remarquez, ensuite, lorsqu’il descendit, il se mit à accomplir des miracles. Et l’un, Elie, en avait accompli huit; et l’autre, Elisée, en a accompli seize; une double portion de l’Esprit était sur lui.

            Pendant ce temps, le vieux roi Achab était mort, parce que le prophète lui avait annoncé ce que serait sa fin. Et sa petite femme au visage peinturluré, mourut aussi; et les chiens la mangèrent, juste comme l’avait prédit la Parole du Seigneur. Elle haïssait ce prédicateur plus que tout autre chose, parce qu’il lui parlait toujours de ses péchés. Comment pouvait-il être honnête et sincère avec Dieu et se garder de le faire? Dieu lui avait dit qu’Il allait la donner en pâture aux chiens. Et elle n’était devenue que de la viande pour chien.

24        Et ainsi, peu importe combien elle pouvait avoir ces jolies lèvres peintes qui étaient comme un bouton de rose, lorsqu’elle s’est tenue...?... en haut. Le vieux Jéhu a dit: «Jetez-la par la fenêtre!» Elle ne put le séduire avec ses yeux de faon. Il était un homme de Dieu. Il a dit: «Jetez-la par la fenêtre!» Et les chiens la dévorèrent dans la rue. C’est vrai.

25        Et ensuite, lorsqu’ils allèrent choisir un autre roi, ils prirent Joram, le fils d’Achab et de Jézabel. Eh bien, vous ne pouvez pas attendre grand-chose d’un tel mariage. Nous voyons donc ensuite que, lorsque Joram accéda au trône, il était un croyant frontalier, juste un demi-croyant, un croyant tiède. Il y en a beaucoup dans le monde ce soir. Joram hissait simplement sa voile; dans n’importe quelle direction que soufflait le vent, Joram allait.

            C’est cela le problème de l’église ce soir. Les gens hissent leur voile à toute forme de doctrine, ils sont ballottés d’un endroit à un autre, sans savoir où se tenir, ni quoi faire. Lorsque de petites épreuves surviennent, de petites afflictions, les voilà partir dans cette direction. Ils sont méthodistes aujourd’hui, baptistes le lendemain, pentecôtistes le jour suivant, luthériens le jour suivant, adventistes du septième jour, témoins de Jéhovah. Ils ne savent pas où se tenir, ils sont ballottés: des croyants frontaliers. Vous amenez votre lettre d’affiliation d’un endroit à un autre, quel bien cela vous fait-il de toute façon? Vous feriez mieux de la placer au Ciel; c’est là qu’elle va être reconnue.

26        Remarquez donc, un prédicateur tiède, ou un croyant tiède, tant de gens ce soir sont dans cet état. Ils suivent la foule. Quand ils sont dans la foule, ils agissent comme la foule. Ensuite, ils retournent à l’église.

            Il n’y a pas longtemps, un jeune homme m’a dit: «Prédicateur, je ne suis pas un chrétien.» Il a dit: «J’ai honte d’avouer cela.»

            J’ai dit: «Eh bien, il y a de l’espoir pour toi du moment que tu as honte d’avouer cela.»

            Il a dit: «Je ne suis pas un chrétien. J’ai honte d’avouer cela.» Mais il a dit: «J’ai pris [à bord de ma voiture] une certaine fille l’autre soir. Et un garçon, un autre garçon et moi l’avons fait sortir, et elle était tellement ivre qu’elle pouvait à peine monter. Et nous l’avons fait monter, et nous lui avons donné de l’eau salée pour la faire vomir. Elle devait être assez sobre pour assister au culte le lendemain matin.» Et il a dit: «Si vous attendez, ils vont sortir chercher une autre bouteille, et ils seront de nouveau repartis.» Et elle chantait dans une chorale. Et cette soeur enseignait à l’école du dimanche, et elle n’était pas meilleure.

27        Il n’est pas étonnant que nous ayons une bande d’infidèles, de sceptiques, de demi-croyants, de soi-disant croyants et tout le reste. L’Eglise a besoin d’un réveil du Saint-Esprit à l’ancienne mode envoyé par Dieu, et que des prédicateurs montent à la chaire et dénoncent ces choses. C’est vrai. Que la juste colère de Dieu descende au travers d’une prédication à l’ancienne mode parlant d’une des flammes de l’enfer et de soufre. C’est bien dommage qu’ils s’en soient déjà écartés et qu’ils aient peur de le prêcher. Lorsque le Saint-Esprit a quitté un homme, ce dernier ne sait pas faire mieux. Ce dont nous avons besoin, c’est d’un retour du Saint-Esprit.

            Absolument. Eh bien, ... frontaliers...

28        Il n’y a pas longtemps, une jeune fille juste dans notre ville, tout le monde avait beaucoup de considération pour elle. Une autre jeune fille fréquentait l’église, là-bas. Elle portait de longs cheveux, et elle se lissait les cheveux en arrière comme...?... Son–son visage était juste aussi lisse qu’un oignon pelé, je pense. Mais elle était vraiment une authentique chrétienne née de nouveau.

            Ainsi, la première jeune fille se rendait là à l’une de ces affaires modernistes. Elle a rencontré l’autre dans la rue. Elle a dit: «Loïs, tu sais quoi?» Elle a dit: «Tu serais une très jolie fille si tu faisais usage d’un peu de ceci et d’un peu de cela, et si tu portais tel et tel autre genre de vêtements.»

            Elle a dit: «Je porte exactement ce qu’il me faut porter.» Amen. Oh! elle le lui a dit.

            Elle a dit: «Le problème, c’est cet homme-là, mon prédicateur, le pasteur Billy que vous avez là-bas.» Elle a dit: «Ce type-là devrait être dans un hôpital psychiatrique.»

            Et la jeune fille a dit: «Eh bien, si tu avais ce que nous avons là-bas, tu n’aurais pas l’aspect que tu as maintenant.» Elle lui en parla. Oui, l’autre était une monitrice de l’école du dimanche.

            Eh bien, M. Perkins, un de mes amis, un cher ami de Jeffersonville, s’occupait de l’em-... l’embaumement à la chambre mortuaire des pompes funèbres Coot. Et puis, cette fille tomba malade, on ignorait de quoi il s’agissait. C’était une maladie vénérienne. Et sa famille n’en avait soufflé mot, parce que c’était honteux. Et lorsque cette fille contracta cette maladie et qu’elle se mourait, elle demanda que son pasteur et l’église viennent lui chanter des cantiques. Et pendant qu’elle chantait–qu’ils chantaient là, la mort la frappa...

29        Si jamais il y a un moment où vous allez vous mettre en ordre avec Dieu, ou plutôt essayer de le faire, c’est bien lorsque la mort vient vraiment sur vous. Et quand la mort la frappa, le pasteur... Elle se mit plutôt–elle se mit à hurler. Elle dit: «Je suis perdue.»

            Et le pasteur dit: «Voyons, voyons, voyons. Tu–tu ne peux pas te comporter comme cela.» Il dit: «Tu sais bien que tu es sauvée.»

            «Je suis perdue.»

            Il appela le médecin qui lui donna une injection au bras. Et elle s’adressa à lui et dit: «Espèce de séducteur.» Elle dit: «Je suis perdue, et je vais en enfer. Et c’est à cause de toi.»

            Et elle dit: «Allez vite chercher cette petite Mahoney, aussi vite que possible, et amenez-la ici, afin qu’elle prie pour moi.» Mais on n’a pas pu aller chercher la fille. Elle était déjà morte.

            Et lorsque M. Perkins me relatait l’histoire, il a dit: «Billy, lorsque je pompais le liquide dans cette fille, nous–nous avons remarqué que cela... J’ai commencé à sentir l’odeur, car son corps en absorbait trop. Et ainsi, nous avons dû l’examiner.» Et alors, des trous avaient été faits partout dans son corps, là où la maladie vénérienne l’avait rongée. Et elle était là, morte.

30        Oh! la la! et toute cette disgrâce était entièrement due au fait qu’elle avait appris d’un prédicateur rétrograde que les claquettes [types de danses rythmées–N.D.T.] et tous ces autres non-sens qui accompagnent une vie de péché et rétrograde, c’était en ordre. C’est ce qui en fut la cause. Et elle lui cracha au visage au jour de sa mort.

            Et que fera-t-elle là-bas, de l’autre côté, où les gens doivent se tenir dans la Présence de Dieu et rendre compte de tout ce qu’ils ont fait. Et Dieu redemandera l’âme de cette fille à ce prédicateur. Certainement, c’est vrai.

            Oh! frère, ce dont nous avons besoin dans l’église aujourd’hui, c’est d’un réveil. Réveillez-vous et levez-vous de votre sommeil, secouez-vous et comprenez dans quel jour nous vivons.

            Eh bien, il n’y a pas longtemps, lorsque ces–cela s’est produit... On s’en souvient encore à Jeffersonville, comment cette fille est morte.

            Eh bien, un... frontalier, tiède. Ils essaient de rendre la chose facile. C’est comme cela qu’était ce–ce Joram, juste un prédicateur frontalier. Et il... tout ce que les gens... S’ils voulaient faire ceci, eh bien, c’était en ordre; s’ils voulaient faire cela, c’était en ordre. Et pourtant il prétendait être un–un chrétien ou un croyant.

31        Et bien vite, Moab se révolta contre Israël. Alors, il appela à l’aide.

            Eh bien, le roi de Juda était Josaphat. Et Josaphat était un homme juste.

            Maintenant, je veux que vous remarquiez combien il est parfois facile pour un chrétien peu affermi d’entrer en mauvaise compagnie, en essayant d’être compatissant. «Eh bien, je vous assure, je vais juste aller à la salle de billard. Je ne sais pas jouer au billard, mais je vais y aller. J’irai à cette partie de danse avec Suzie, parce qu’elle est une fille bien, et peut-être que je la gagnerai au Seigneur.» Vous n’y arriverez jamais en faisant cela. C’est vrai. Montrez vos couleurs. C’est vrai. N’allez pas sur le mauvais terrain.

32        C’est cela le problème de l’Eglise pentecôtiste ce soir. Ils sont allés sur le mauvais terrain. C’est la raison pour laquelle dans l’église ce soir, les gens... C’était mal pour les gens de faire certaines choses. Maintenant, ce n’est plus mal; ils les font de toute façon. Vous êtes allés sur le mauvais terrain. Vous vous êtes associés au mauvais groupe.

            Dis-moi qui tu hantes, je te dirai qui tu es. Laissez-moi entrer dans votre maison. Laissez-moi voir ce qu’il y a sur la table. Laissez-moi voir comment votre Bible est marquée. Laissez-moi voir toutes ces Histoires Vraies. Laissez-moi écouter le genre de musique que vous jouez sur votre radio. Laissez-moi voir quelles sortes de photos vous avez dans votre maison. Je vous dirai de quoi vous êtes fait. Absolument. C’est ce dont votre âme se nourrit. Quel que soit votre témoignage, vos fruits prouvent ce que vous êtes. C’est vrai.

            Oh! c’est la vérité. Votre âme se nourrit de quelque chose. Et quelle que soit la caractéristique de votre âme, c’est ce qu’elle va–elle va manifester. C’est la raison pour laquelle Jésus a dit: «Vous les connaîtrez à leurs fruits.» Vous avez beaucoup tiré avantage du fait de dire: «J’ai parlé en langues. J’ai reçu le Saint-Esprit.» Si votre vie ne s’accorde pas avec cela, vous ne l’avez pas fait; vous avez reçu soit le diable, soit la chair. Je m’adresse aux pentecôtistes.

            Maintenant, vous les baptistes et vous les presbytériens, vous devriez crier un peu. Bien sûr, c’est vrai.

            Maintenant, peu m’importe le genre de signe... Il se pourrait que vous ayez versé des larmes de crocodile, et il se pourrait que vous ayez gémi sur le banc. Cela ne signifie pas que vous êtes sauvé. Votre vie prouve ce que vous êtes.

33        Avez-vous déjà entendu un bouc bêler? Un bouc et un mouton, c’est presque la même chose. Et j’ai entendu des boucs crier, lorsqu’ils agissent comme le mouton. Il faut un vrai berger pour faire la distinction. Lorsque vous entendez un bouc bêler, cela résonne exactement comme un mouton. Mais un berger connaît leur vie. C’est vrai.

            Eh bien, mais quelque chose est arrivé. Et nous voyons que Josaphat avait dû...?... sur le plancher, prier pour cela.

            Avant de couper ces cheveux, soeur, vous êtes-vous mise à genoux et avez-vous prié pour cela, pour voir ce que le Seigneur dirait à ce propos? Avant de porter ces vieux petits vêtements immoraux et impies que vous portez, vous êtes-vous mise à genoux et avez-vous prié devant le Seigneur, et Lui avez-vous demandé que faire à ce propos? Et ne vous a-t-Il pas condamnée? Je crains que vous ne l’ayez pas fait. Vous aviez déjà pris votre décision sur ce que vous alliez faire, avant que vous priiez. C’est vrai.

            Comme je l’ai dit l’autre soir, êtes-vous disposée à laisser Dieu vous dépouiller de ces choses, prendre tous vos–vous droits? Vous direz: «Ce sont mes droits. Je suis Américaine. Je fais ce que je veux.» C’est vrai, mais êtes-vous disposée à les perdre pour le Royaume de Dieu? Si vous êtes un agneau, vous le ferez. Si vous êtes un bouc, vous ne le ferez pas. Alors, vous y êtes.

34        Alors maintenant, vous pourriez bêler, crier et vous comporter comme un agneau. Vous pourriez manger la même herbe que le bouc et la brebis, et...?...

            Il n’y a pas longtemps, j’ai vu un berger. Et il faisait paître des moutons, des boucs, des ânes et des chameaux, le tout dans le même pâturage. Et j’ai dit: «Que signifie un berger?»

            Il a dit: «Le berger, c’est celui qui fait paître.» Il a dit: «C’est comme ce que vous appelez cow-boy en Amérique.»

            Et j’ai dit: «Bien, alors comment se fait-il qu’il fait paître les boucs et tout le reste?»

            Il a dit: «C’est normal.»

            «Oh! ai-je dit, je vois.»

            Il a dit: «Mais, Frère Branham, lorsque vient la nuit, le... tous les autres restent dans les champs, excepté les brebis; elles sont amenées dans la bergerie. Et le berger se couche à la porte, afin de s’assurer que rien ne les dérange.»

            J’ai dit: «Je vois.» Vous pouvez vous asseoir dans la même église, crier en écoutant le même Evangile. Mais si votre nature n’est pas adoucie, vous ne serez jamais reconnu comme un véritable fils. C’est vrai. Cela doit se trouver dans votre coeur, pas dans votre tête.

35        Vous direz: «J’aimerais bien faire cela, mais je ferais mieux de ne pas le faire, parce que l’église n’apprécierait pas cela.» Je... Ce que dit l’église ne change rien. C’est ce que Dieu dit qui compte, ce que votre conscience dit, ce que le Saint-Esprit dit en vous. C’est vrai. Il a dit: «Si vous aimez le monde et les choses du monde, l’amour de Dieu n’est pas en vous.» Alors, ne soyez pas un croyant frontalier. Sortez et rangez-vous d’un côté ou de l’autre. Montrez vos couleurs.

            Maintenant, je veux que vous remarquiez une chose. Josaphat s’est mis à traînasser, et il est allé avec cette foule. Ils ont dit: «Veux-tu bien monter avec nous? Veux-tu bien venir te joindre à notre église?»

            Il a dit: «Bien, je pense que je pourrai tout aussi bien entrer dans cette association. Je crois que c’est en ordre. Je me suis senti un peu plus indépendant par ici. Peut-être que si je me joins à cette association, je–je serai beaucoup mieux. Je jouirai alors de la communion d’Israël par ici, et je vais... Eh bien, ces vieux amis par ici, peut-être que si je me joins à cette association...»

            Parfois vous commettez une erreur en faisant cela. Je n’ai rien contre une association, mais restez simplement tel que vous êtes avec Dieu.

36        Maintenant, bien vite, il monta là-bas. Et peu après, eh bien, Joram a dit: «Veux-tu bien aller avec moi à la bataille?»

            Il a dit: «Bien sûr. Nous sommes tous des chrétiens de toute façon; nous sommes tous des croyants de toute façon...?... là-bas.» Il voulait être sociable.

            Et, c’est ce que le monde cherche aujourd’hui, quelqu’un de sociable. Mais Dieu veut des séparateurs.

37        Vous savez, il y a quelque temps, j’ai appris qu’une église, là dans le nord de l’Indiana, procédait à l’élection d’un pasteur. Et toute l’assemblée, presque à cent pour cent, vota à l’unanimité pour un gars parce que c’était un grand et beau jeune homme de forte corpulence.

            Et, j’ai demandé à une vieille dame; j’ai dit: «Comment avez-vous voté dans tel cas?»

            «Je les ai vus donner une Bible à ce frère ce jour-là, lorsqu’ils l’ont fait entrer dans l’église et qu’ils lui ont accordé le privilège d’être leur pasteur.» Et j’ai dit... «J’ai toujours dit que c’était un bel homme.»

            J’ai dit: «Mais ce n’est pas tout, soeur. Voilà le problème: Que prêche-t-il? Quelle nourriture donne-t-il? Donne-t-il comme nourriture une sorte de petit programme de révélation? Parle-t-il des roses et des fleurs, ou de qui sera le prochain président, ou d’un certain match de baseball, ou bien d’un pique-nique ou d’une fête? Ou prêche-t-il la Parole de Dieu et se tient-il fermement dessus?» Oui, oui.

            Et je... A une jeune dame, j’ai dit: «Eh bien, et vous?» Et elle m’a présenté ses excuses pour cela.

            Mais écoutez, c’est la manière dont votent les gens. Ils votent sur base de ce qu’ils voient.

            Une fois en Israël, on devait choisir qui devait prendre la place de Saül. Et alors Saül dépassait toute son armée de la tête. Alors, même le prophète prit la corne d’huile et se rendit chez Isaï pour oindre un de ses fils comme roi. C’est le Seigneur qui le lui avait dit. Mais Il a dit: «Tu ne oindras que celui que J’appellerai.»

            Et on a donc vite fait sortir le grand et corpulent aîné là, un géant de 7 pieds [2 m–N.D.T.], il a dit: «Oh! la la! n’aura-t-il pas un bel aspect lorsqu’il se tiendra à la chaire avec ses vêtements lui allant à merveille?» Et tout comme cela.

38        C’est ce que l’Amérique cherche aujourd’hui. La Pentecôte... Voilà; soyez prêts. La Pentecôte est bourrée d’évangélisation à la Hollywood. Eh bien, il n’y a pas longtemps, un groupe de gens est venu là à Louisville, dans le Kentucky. Et je suis allé là-bas dans un centre où se tenait un réveil pour engraisser mon âme. Et je me suis rendu là, et une femme se tenait sur l’estrade, portant d’énormes boucles d’oreilles pendantes, et des vêtements moulants; elle faisait le va-et-vient en courant dans l’allée, en criant: «Alléluia! Qui va donner les prochains cinquante?» Et je–je n’avais jamais rien entendu de tel. Et la musique résonnait comme une sorte de rock-and-roll, de boogie-woogie. Cela a sa place, mais pas à l’estrade. Amen. Je pense que presque... Je pensais que le bâtiment allait s’effondrer, alors je suis sorti... De voir à quel point les gens... ne pensez pas que parce que vous êtes des pentecôtistes, Dieu va vous faire entrer ce jour-là. Il ne le fera pas. Vous devez avoir la chose, frère. C’est vrai.

            Remarquez, le voilà qui se joint, qui s’associe aux incroyants. Alors, ils se préparèrent pour une marche de sept jours et allèrent dans le désert, afin de combattre le roi de Moab. Et lorsqu’ils arrivèrent là-bas, ils se rendirent compte qu’ils étaient à court d’eau. Leur provision d’eau était épuisée. Et les choses vont mal lorsqu’il n’y a plus d’eau. Savez-vous cela?

39        Eh bien, dans le–les services publics, si vous ne payez pas la facture, on vous coupera la fourniture d’eau. Vous serez privé d’eau à la maison.

            Et, c’est ça le problème qu’a le peuple de Dieu ce soir. Ils n’ont simplement pas payé le prix et Dieu leur a coupé leur fourniture d’eau. C’est tout.

            Vous savez, là dans le désert ... Allez dans n’importe quel désert que vous voulez. C’est la raison pour laquelle certains d’entre, vous membres de l’église du Plein Evangile et autres, ne croient pas dans la guérison divine. Votre eau a été coupée. C’est vrai? Là dans le désert...

            Vous direz: «Le Plein Evangile?» Le traitement le plus vil dont j’aie jamais été l’objet, c’était de la part d’un pasteur pentecôtiste qui était contre la guérison divine. Je lui ai demandé de bien vouloir me donner en location quelques chaises. Je tenais une grande réunion dans une ville, et parce qu’une certaine église sponsorisait cela, il a dit: «Toute personne qui croit à la guérison divine, je ne lui permettrai même pas de s’asseoir sur mes chaises.» C’était un pentecôtiste. Bien sûr. C’est vrai. C’était presque à une portée de fusil de là où vous êtes assis ce soir. C’est vrai. Ce pourrait être un peu plus loin que ça, je suppose. Nous sommes allés à environ deux cents miles [321,86 km–N.D.T.]. Mais regardez, cela pourrait être les grands canons qu’ils tirent aujourd’hui. Mais remarquez, c’est ce qu’il a dit, et il n’a pas voulu me les accorder. Et les gens ont dû se tenir debout, mais, malgré tout, nous avons tenu la réunion.

40        Mais maintenant, remarquez, c’est la raison pour laquelle là dans le désert tout ce avec quoi vous entrez en contact là-bas porte des épines. Peu importe que ce soit une vieille petite feuille, ou quoi que ce soit, n’y touchez pas, car elle porte des épines. Savez-vous ce qui fait cela? C’est parce qu’elle n’a pas d’eau. Là où il n’y a pas d’eau, la plante développe des épines. Là où il y a de l’eau, la même plante s’attendrit et fait pousser des feuilles.

            Et c’est ça le problème qu’a l’église, c’est la raison pour laquelle il y a tant de disputes. «Je suis unitaire.» «Je suis des Assemblées.» «Je suis ceci.» «Je suis tel autre.» «Oh! je suis membre de l’Eglise de Dieu. C’est nous qui avons le groupe. Là-bas, c’est un perchoir de buses, c’est ceci et cela.» «Oh! nous ne croyons pas cela. Nous croyons dans le fait de danser de cette façon. Nous croyons dans le fait d’arranger la manière de faire ceci. L’émancipation de vos femmes... Oh!...?... Je fais ceci.» Oh! la la! qu’est-ce qui ne va pas? Votre fourniture d’eau a été coupée. C’est juste. C’est la vérité.

            Nous voyons donc qu’ils étaient à court d’eau. Et lorsque vous êtes à court d’eau, vous êtes sans vie. Alors, ils ont donc dit: «Que pouvons-nous faire à ce sujet? Nous allons commencer une réunion de prière.» Ce n’est pas le moment indiqué pour la commencer alors...?... [Les paroles de frère Branham sont difficiles à comprendre à cause d’un sifflement sur la bande.–N.D.E.] Vous devriez prier avant de partir. C’est ce que vous...?... avant que vous...?... vous devriez prier pour cela...?... Après qu’ils sont arrivés là-bas...?... les hommes du roi d’Israël se sont approchés et ont dit, ils ont dit: «Eh bien, vous savez quoi? Nous avons un homme qui habite ici même maintenant, du nom d’Elisée. Il versait de l’eau sur les mains d’Elie.» En d’autres termes: «Il était associé à quelqu’un de très bien. Il traitait réellement avec un véritable prophète.» Qui se ressemble s’assemble. Et c’est juste.

41        Comment pouvez-vous vous attendre à ce que quelqu’un croie en vous lorsque vous courez çà et là et agissez comme vous le faites, et qu’ensuite vous venez et vous vous dites chrétien? Ce n’est pas étonnant que les gens ne vous appellent pas pour prier pour eux et ainsi de suite. Voyez? C’est vrai. Eh bien, qui se ressemble s’assemble.

            Et ils ont dit: «Bien, et cet homme versait de l’eau sur Elie, le Thischbite. Il versait de l’eau sur ses mains. Il avait des relations avec lui.» Eh bien...?... dit... Josaphat, étant un homme spirituel, la première chose à laquelle il pensa fut d’aller rendre visite au prophète.

            Et lorsqu’un vrai enfant de Dieu est en difficulté, la première chose à laquelle il recourt, c’est Dieu, il retourne directement auprès de Dieu.

            Il a dit: «Allons vite le voir.»

            Ils sont donc allés là-bas et ils sont arrivés. Et Elisée était là, peut-être en train de lire les Ecritures. Et lorsqu’ils arrivèrent tous devant et que le roi... Bien, les voilà qui entrent. Alors, ils dirent: «Que devons-nous faire?»

42        Et cela enflamma la juste indignation d’Elisée. Oh! il pouvait bouillir de temps à autre. Il regarda le vieux Joram qui se tenait là. Il dit: «Pourquoi ne vas-tu pas vers les prophètes de ton père et de ta mère? Pourquoi es-tu venu vers moi?» Fiou! Oh! la la! il n’était pas très pacifique, n’est-ce pas? «Pourquoi ne retournes-tu pas vers tes dieux païens? Pourquoi es-tu venu vers moi?» C’était un prophète, un serviteur de l’Eternel, un homme puissant, ayant sur lui une double portion de l’Esprit. «Pourquoi ne vas-tu pas vers les dieux de ta mère et de ton père?»

            Et, écoutez ce qu’il a dit: «Si je n’avais égard à Josaphat, je ne ferais même pas attention à toi.» Oh! la la! vous parlez d’être irrité!

            Et je crois que c’est la même chose ce soir. Je crois que cette Amérique sera mise en pièces. Je crois que la chose aurait déjà sombré et serait déjà finie, si Dieu n’avait pas égard aux vrais et authentiques chrétiens qui sont en Amérique et qui prient pour la maintenir (Amen.), je pense qu’elle serait finie depuis longtemps. Je crois que les Japonais ou une autre nation l’auraient investie, si Dieu n’avait pas égard aux prières sincères et honnêtes des enfants de Dieu nés de nouveau. C’est vrai.

            Il a dit: «Si je n’avais égard à cet homme juste, je ne ferais même pas attention à toi.»

            Alors, il fut tout irrité. Alors, vous savez, lorsque vous êtes tout irrité et énervé comme cela, ce n’est pas le moment indiqué pour rendre un service à l’Eternel.

43        Vous savez donc ce qu’il a dit? Il a dit: «Néanmoins, allez me chercher un joueur de harpe, qu’il se mette à prier–à jouer.» Maintenant, vous qui ne croyez pas au fait de jouer de la musique dans l’église, que dites-vous de cela? Oui. Il a dit: «Allez me chercher un joueur de harpe. Je suis tout énervé aujourd’hui. Ma juste indignation a bouillonné. Ce type est venu ici, ce prédicateur frontalier, qui se tient là-bas et qui bat ces enfants, qui agit mal là-bas, en faisant cela. Oh! combien je pourrais lui mettre la main dessus!» Il a dit: «Il faut que j’aie une vision maintenant, amenez-moi donc un joueur de harpe.»

44        Et ils sont allés et ont amené toute la musique. Et ils se sont mis à jouer de la musique, un très bon cantique. Et, bien vite, lorsque ces cantiques retournent à Sion, lorsque la musique et les enfants commencent à chanter du fond de leur coeur, il se produit quelque chose. L’Esprit de l’Eternel vint sur le prophète.

            Et si un vrai cantique pieux, à l’ancienne mode et la repentance amenèrent l’Esprit de Dieu sur le prophète en ce temps-là, cela fera la même chose aujourd’hui. Et remarquez, il voulait voir l’issue de la chose. Et la seule issue qui s’offrait à eux, c’était d’avoir un réveil.

            Ainsi, il avait quelques pécheurs repentants qui sont venus là, et la musique jouait, alors le prophète vit une vision.

45        Et la seule manière dont vous allez voir votre issue, c’est par un réveil spirituel à l’ancienne mode, où les alléluias de Dieu résonnent du fond de votre coeur, et c’est quand un réveil à l’ancienne mode, envoyé par le Saint-Esprit, éclate là. Alors vous commencez à voir des choses. Alors Dieu va commencer à révéler des choses. Alors vous vous demanderez pourquoi ces véritables chrétiens tiennent bon, pourquoi ils prient pour vous.

            Quel réveil! Et il entra dans l’esprit.

            Eh bien, la raison pour laquelle ces gens tiennent des danses, c’est que s’ils ne tiennent pas des danses, alors ils ne pourront pas entrer dans l’esprit de la danse. Vous ne pouvez pas avoir un match à moins d’entrer dans l’esprit du match. Vous devez entrer dans l’esprit de la chose.

            Et nous ne pouvons jamais avoir un réveil à Shreveport ni ailleurs tant que l’église n’entrera pas dans l’esprit du réveil. Dieu peut venir et accomplir des miracles; Il peut faire des prodiges; Il peut étendre Sa main et guérir les malades et les affligés; le prédicateur peut prêcher l’Evangile de toutes ses forces, mais il n’y aura jamais de réveil tant que l’église n’entrera pas dans l’esprit du réveil.

46        L’Amérique est finie avec...?... Des milliers et des milliers de glorieux miracles, signes et prodiges, et des évangélistes dont les coeurs brûlent, des hommes qui doivent prendre des décisions ce soir ... Certains d’entre eux se tiennent sur la ligne de démarcation. Bon nombre d’entre eux, de grands hommes, se tournent vers Dieu et reçoivent le Saint-Esprit.

            L’un des hommes les plus éminents de l’Amérique dans le domaine de l’évangélisation est venu l’autre jour à Indianapolis, là où je me trouvais, et a reçu le baptême du Saint-Esprit. Oui, monsieur.

            Oh! la la! les nations se disloquent, Israël se réveille; les signes que la Bible avait prédits. Nous sommes au temps de la fin. Et voici la Lumière, si vous voulez y marcher.

47        Et j’ai remarqué, alors que cet homme disait combien il était heureux et combien il était libéré, il a dit: «Frère Branham, je viens sur la recommandation d’autres hommes importants.» Et il m’a dit de qui il s’agissait, Morse Reedhead et les autres–les autres, comment ils avaient reçu le baptême du Saint-Esprit, et cela a révolutionné leur vie. Et maintenant, ils sont dans le champ en train de prêcher.

            Un autre homme remarquable en est arrivé à une confrontation, en rapport avec ce qu’il va faire très bientôt à ce propos. Mais il a fait une remarque et a dit: «Peu m’importe ce que dit la politique de l’église, je veux Dieu.» Amen.

            Vous gens de la Pentecôte, vous feriez mieux de tirer votre–d’attacher votre bouclier et votre armure. Si vous ne faites pas attention, les baptistes et les presbytériens, et ceux-ci vous devanceront. «De ces pierres-ci Dieu peut susciter des enfants à Abraham.» Ne pensez pas que puisque vous êtes membres des Assemblées, ou de l’Eglise de Dieu, et de l’UPC [en anglais, United Presbyterian Church: L’Eglise Presbytérienne Unie–N.D.T.], alors c’est réglé pour vous. Ce n’est pas du tout réglé pour vous. C’est vrai. C’est Dieu qui a frayé la voie. Vous devez y marcher.

48        Observez, c’est un signe. Les pentecôtistes se reposent juste...?... «Oh! n’est-ce pas merveilleux? Oh! la la! Oh! mère, nous ne pouvons simplement plus nous tenir ici. Nous devons prier jusqu’à exaucement.» Tout le monde doit prier jusqu’à exaucement. Et bien vite, il observe un instant, ensuite il dit: «Oh! eh bien, je pense que ça va.» Que Dieu accomplisse quelque chose, vous dites: «Hum! oui, nous avons un réveil.»

            Oh! la la! ensuite, voilà venir les baptistes, les presbytériens, les nazaréens et les pèlerins de la sainteté, ils viennent ensemble, voyant le baptême du Saint-Esprit. Ils s’approchent, s’en emparent comme cela, aussi vite qu’ils le peuvent. Bien sûr. «De ces pierres-ci Dieu peut susciter des enfants à Abraham.» Si vous ne voulez pas marcher, Dieu détournera la chose et la donnera à quelqu’un d’autre. C’est tout à fait exact. De grandes choses s’accomplissent à l’instant même. Amen.

            Eh bien, il a dit: «Maintenant, je vois une vision. Je vois l’issue. Je sais ce qu’il faut faire.»

            Et je vous assure, frère, aujourd’hui l’église n’a pas la vision, sinon les gens prieraient plus, et ils seraient plus spirituels qu’ils ne le sont. A moins qu’il y ait une vision, à moins que quelqu’un ne voie la vision, ne voie la Venue du Seigneur, ne voie les choses qui vont avec, ne voie toutes ces choses que Dieu a annoncées pour les derniers jours, et nous voici vivant dedans...

49        Plutôt que de lire la Bible, nous lisons des histoires d’amour. Au lieu de la lire, nous lisons n’importe quoi d’autre. Nous devrions lire la Bible de Dieu, nous mettre à genoux, prier constamment Dieu de nous aider, tenant nos âmes en éveil, criant vers le Seigneur. Mais nous ne le faisons pas.

            Maintenant, remarquez. Et ensuite, quand il a dit qu’il a vu comment... l’issue... «Maintenant, a-t-il dit, la première chose que je voudrais que vous fassiez, c’est d’aller là et de remplir cette vallée de fosses. Creusez autant que vous le pouvez. Car, AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous n’apercevrez pas de vent, et il n’y aura point de pluie, mais cette vallée se remplira d’eau: plus il y aura des fosses, plus il y aura d’eau.»

            Qu’a-t-il vu? Il a vu une vision de ce Rocher spirituel que Moïse avait déjà frappé, et auquel il parlait. Il avait juste parlé à ce Rocher, et Celui-ci était prêt à faire couler de l’eau, lorsque les fosses seraient creusées pour que l’eau y coule.

50        Et je déclare que ce même Rocher frappé est ici ce soir. Et Il déversera un réveil du Saint-Esprit à l’ancienne mode qui va mettre Shreveport en pièces, si vous les gens vous vous mettez à creuser, en écartant toutes les difficultés.

            Si en creusant vous tombez sur un objet, les cannettes de bières qui sont dans le–dans le freezer, jetez-les dehors et frayez la voie pour le Saint-Esprit. Chaque fois que vous entendez...?... jetez la chose dehors. Plus vous creusez en profondeur, plus vous aurez de l’eau. Donc, ce qu’il vous faut, c’est de frayer une voie pour cela.

            Peu importe combien on prêche, combien il y a des visions, le sujet et le principe de base, c’est donc de se préparer pour recevoir l’eau. Creusez les fosses.

            C’est ce que nous devons faire ce soir, c’est de frayer une voie pour que le Saint-Esprit se déverse. Faites-le dans votre maison; faites-le dans votre église; faites-le en vous-même. Boutez tout hors du chemin; préparez-vous. Il y a un torrent qui va jaillir, si vous vous y préparez. Si vous ne vous préparez pas pour cela, vous ne le verrez jamais.

            Maintenant, cela dépend de l’église ce soir. Elle a une belle tente ici, elle a de beaux bancs, de belles églises, des sièges; elle a de bons membres, de beaux chants. Nous avons un merveilleux Sauveur. Mais mettez tout... Mettez tout de côté, tout péché qui vous enveloppe si facilement.

51        «Frère Branham, je ne fais rien.» C’est peut-être là le problème. C’est bien là la difficulté. Quand on est avisé, c’est plus un péché de ne rien faire que de le faire quelque chose. C’est juste. «Celui qui sait faire ce qui est bien, et qui ne le fait pas, commet un péché.» Vous devez vous préparer. La pire des choses que vous puissiez faire c’est de ne rien faire, ne rien faire à ce sujet.

            Vous gens du Sud, vous souvenez-vous de votre histoire? Lorsque Grant s’établissait là-haut, juste de l’autre côté de la rivière... Et il avait un garçon là qui était de garde. Et les rebelles se trouvaient de l’autre côté de la rivière. Et ce garçon marchait là, le long de la rivière; il était en quelque sorte absorbé par des rêveries en rapport avec sa chérie. Il quitta son poste du devoir et descendit cueillir quelques violettes à envoyer à sa chérie. Il n’avait pas de mauvaises intentions. Il se déplaça. Et pendant ce temps, un espion de l’armée sudiste était prêt, et il entra furtivement. Et il regarda partout et il découvrit que l’armée sudiste était deux ou trois fois plus nombreuse que celle du général Grant.

52        Eh bien, qu’arriva-t-il? Le garçon revint à son poste du devoir, ignorant ce qui s’était passé. Mais l’espion avait déjà été là. Et qu’arriva-t-il? Les autres firent un assaut de l’autre côté de la rivière, et ils les repoussèrent jusque dans l’Etat. Et ce garçon fut fusillé une heure plus tard, non pas parce qu’il... Cela... On ne lui reprochait pas le fait d’avoir cueilli des violettes. On n’avait pas... Il n’était pas question de ce qu’il avait fait; il était question de ce qu’il avait manqué de faire. Il ne s’était pas tenu à son poste du devoir. Il n’avait pas gardé le poste comme il était censé le faire. Et il avait tout gâché.

53        Et la même responsabilité repose ce soir sur le Life Tabernacle, et sur d’autres tabernacles et églises de Shreveport, en Louisiane. Dieu est ici, faisant un assaut. Il ne s’agit pas de ce que vous faites, mais parfois de ce que vous manquez de faire.

            Faisons quelque chose à ce sujet. Creusons de tout notre coeur, afin que lorsque ce jour du Jugement viendra, nous puissions dire: «Ô Dieu, j’ai fait du mieux que j’ai pu, et Tu sais que je l’ai fait.» Amen. Lorsque nous savons ce que nous pouvons faire, c’est tout ce qui est attendu.

54        Remarquez, lorsqu’ils se mirent à creuser, ils tombèrent carrément sur des objets en creusant; ils les jetèrent simplement dehors et firent de grandes fosses. Le lendemain matin, l’ennemi regarda en bas; le soleil monta; et c’était comme du sang. Ils ont dit: «Eh bien, ils sont tombés les uns sur les autres, ils se sont entre-tués.» Et ils y allèrent.

            Et les autres se tenaient en embuscade. Et ils ont dit: «Cela est peu de chose aux yeux de l’Eternel d’envoyer Ses eaux.» Et ils allèrent dans l’autre pays, bouchèrent tous les puits et coupèrent tous les bons arbres. Ils avaient tout simplement un vrai réveil à l’ancienne mode.

            Et lorsqu’on en arrive au point où les gens qui aiment Dieu jettent carrément tout ce qu’ils ont dans le réveil, par la prière et tout le reste, et qu’ils cherchent la face de Dieu, prient et–et cherchent Dieu, et qu’ils implorent miséricorde pendant la nuit, amènent leurs voisins au salut, et ainsi de suite; je vous assure, nous fermerons la bouche de tous les critiqueurs; nous renverserons tout formalisme qui se lève. Et les gens sauront que Dieu se trouvait dans le camp. C’est vrai. Mes amis, nous n’y arriverons jamais, jusqu’à ce que cette chose se produise. Nous ne pourrons pas y arriver.

55        C’est ce qu’il en est d’un réveil. «Car, c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR», a dit Elie, qui parlait au Nom de l’Eternel.

            Et l’autre soir, alors que je venais par ici, il y a quelques soirs, le Seigneur me rencontra là dans une pièce, c’était une vision tout comme j’en voie ici sur l’estrade et à d’autres endroits; Il a dit: «Voici le problème de l’église: il y a tant d’égoïsme partout.» Il n’a pas simplement dit...?... L’Eglise du Dieu vivant a tant de différends, et tant de ceci et de cela que les gens attristent le Saint-Esprit et L’éloignent d’eux.

            Et c’est exactement ce qu’il en est. Et, frère, soeur, tant que nous ne nous humilierons pas et ne deviendrons pas des agneaux, pour que la Colombe se pose de nouveau sur nous et apporte la joie, la paix, la satisfaction, et un désir brûlant dans nos coeurs de voir les autres être sauvés et venir à Dieu, nous battons simplement l’air. C’est tout. C’est vrai. Peu importe combien de réveils...

            Le Seigneur Jésus se tenait ici sur l’estrade l’autre soir, et Il a prouvé à toute personne présente qu’Il est absolument ressuscité d’entre les morts, sans l’ombre d’un doute.

56        Ce soir, deux ou trois cents personnes se sont ajoutées au nombre qui était ici hier soir... Qu’est-ce qui ne va pas? Le temps de la fin est là, frère. Il est là, sans l’ombre d’un doute. Si la même chose s’opérait en Allemagne, en Suisse, en Afrique, partout dans les autres pays, si la même chose se produisait, il y aurait cent mille personnes, il y en aurait au moins vingt ou trente mille qui viendraient à Christ. Et le soir suivant, ce serait le double de cela.

            Qu’y a-t-il? Le Saint-Esprit s’est envolé loin de nous, et Il est allé outre-mer à la recherche des agneaux dans lesquels demeurer. C’est vraiment et exactement ce qui est en train de se produire. Quel temps, quelle tragédie de voir que nous... Plus l’Eglise prêche, plus les saints crient, plus il semble que les nations s’éloignent de Dieu. Il n’est pas étonnant que les avions fassent des crashs dans les airs, que les bateaux fassent naufrage dans la mer.

            La Bible dit que ce sera un temps de perplexité, d’angoisse chez les nations, de grands signes, des soucoupes volantes dans les airs, des phénomènes dans les cieux et sur la terre, toutes ces choses se produiront; mais l’Evangile sera prêché.

57        Et il a dit: «Il y aura une famine dans le pays, non pas la disette du pain et–et la soif de l’eau, mais la faim et la soif d’entendre la Parole de Dieu, la vraie Parole de Dieu.» Une famine... Oh! dans quel jour vivons-nous! Nous devrions être prêts, en train de nous préparer.

            «Eh bien, de quoi parlez-vous, Frère Branham? Est-ce à moi que vous le dites?» C’est à vous que je le dis. Si vous n’êtes pas sauvé, si vous n’avez jamais reçu Christ, si vous ne savez pas ce que c’est d’être rempli du Saint-Esprit, c’est à vous que je m’adresse.

            Si vous êtes un chrétien né de nouveau, si vous êtes constamment en prière, si vous avez fait tout ce que vous pouvez, souvenez-vous que vous pouvez dire «alléluia» à cela.

58        Un soir, alors que je prêchais, je pensais avoir condamné le péché de toutes les manières possibles. Je l’avais passé au peigne fin, au point que je me demandais si l’assemblée reviendrait. Et je pensais: «Oh! la la! sûrement j’ai parlé de tout. Ô Dieu, lorsque je Te rencontrerai là-bas, je pourrai dire que je leur ai dit la vérité.»

            Et alors que je m’en allais, il y avait là une dame, elle avait vraiment l’allure impudente, elle s’approcha de moi et dit: «Eh bien, prédicateur, vous ne m’avez pas touchée ce soir. C’est la seule chose; vous n’avez pas dit une seule chose qui m’a dérangée. Je suis au-dessus de tout.»

            Eh bien, je me suis dit que cette dame était en très bonne posture. Elle se retourna et s’en alla comme cela, descendant l’allée en se pavanant. J’ai dit: «Eh bien, gloire au Seigneur! J’en suis certainement heureux.» Elle s’est dirigée vers la sortie.

            Quelques dames âgées se tenaient là. J’ai dit: «Est-ce que vous la connaissez?»

            Elles ont dit: «Bien sûr.» Elles ont dit: «C’est la plus grande commère de la ville.» Vous n’avez rien dit au sujet des commérages.» Voilà! Voyez? Oh! la la!

            Mais souvenez-vous, frère, peu importe ce que c’est, si petit que soit le péché, mettez-le de côté. Si je ne l’ai pas touché, puisse le Saint-Esprit le toucher ce soir dans votre coeur et dans le mien. Il se peut que ce soit l’incrédulité; il se peut que ce soit le doute; il se peut que ce soit le scepticisme. Si c’est le cas, puisse Dieu faire cela dans votre coeur, et nous aurons un réveil à l’ancienne mode la semaine prochaine.

59        Puisse le Seigneur nous l’accorder, alors que nous inclinons la tête. Je vais demander à la jeune soeur de bien vouloir venir au piano, ou à l’orgue, quoi que ce soit, et nous donner juste un accord, s’il vous plaît, chère soeur, alors que je procède à cet appel à l’autel.

            Maintenant, il est encore tôt ce soir, et je veux savoir, pendant que vous avez vos têtes inclinées, alors que j’offre ce mot de prière pour tout le monde...

            Maintenant, Père céleste, j’ai durement condamné le péché. De toutes les manières que cela m’est venu à l’esprit, je l’ai exprimé au travers de ce microphone. Tout ce à quoi j’ai pensé que Tu as mis dans ma pensée, je l’ai carrément exprimé. Il se pourrait que cela ait offensé quelqu’un, mais au jour du jugement, je pourrai dire que je suis innocent. J’ai prêché la Parole juste telle que Tu L’as donnée.

60        Et maintenant, il ne fait aucun doute qu’il y a assises ici beaucoup de merveilleuses et aimables personnes qui sont sans cesse en prière, remplies du Saint-Esprit, sans condamnation dans leurs coeurs, vivant journellement devant le Seigneur. S’Il les appelait, elles seraient prêtes pour le départ.

            Mais pour faire ma part en prêchant l’Evangile, afin d’appeler les...?... de l’Evangile, et montrer là où Christ est mort pour eux, ce que cela signifie lorsqu’Il vient vers nous. Et puis, Seigneur Jésus, s’il y en a ici qui sont assis étant sous la condamnation, c’est Toi le Juge, pas moi. La Parole est sortie; c’est Elle le Juge. Et Tu es la Parole.

            Maintenant, Père, s’il y a quelqu’un ici qui ne mène pas une vie correcte, et qui sait que si Tu envoyais Jésus sur terre ce soir, il serait condamné et perdu... Ils pourraient penser que c’est étrange de me tenir là sous une tente dans cette chaleur pour prêcher le... à l’ancienne mode, rude, qui tue le péché, qui secoue. Sans porter des gants, maniant cela avec des mains nues, mettant la chose juste à sa place...

Up