Jéhovah-Jiré

Date: 57-0106 | La durée est de: 1 heure et 50 minutes | La traduction: Shp
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1          C’est vraiment un privilège d’être ici ce soir. Je regrette seulement que ce soit la soirée de clôture de notre petite série de réunions. Et c’était l’un des moments les plus marquants de ma vie, et je ne le dis pas juste parce que je me tiens ici, car ce ne serait pas juste. Je pourrais simplement dire que le Seigneur vous bénisse et continuer mon chemin. Mais je le dis sincèrement, que c’était l’une des plus belles petites séries de réunions que j’aie jamais tenue de ma vie, de tout mon ministère durant lequel je suis allé plusieurs fois (cinq ou six fois) outre-mer et dans une grande partie du monde, par la grâce de Dieu, où j’ai eu le privilège de servir. Et ceci c’est l’une des plus belles séries de réunions que j’aie jamais tenues. Je vous assure, mes amis, vous pouvez voyager dans le monde entier, mais vous ne trouverez pas les gens du Sud partout. C’est juste. C’est juste. Ils sont très gentils et toujours aimables.

            Et j’aimerais leur présenter, à ces ministres, à frère Littlefield, et à frère Hall, et à tous les autres frères dans le ministère, qui qu’ils soient, mes remerciements les plus sincères et un «Que Dieu vous bénisse». Et aux autres ministres qui sont ici, vous les frères, qui coopérez dans cette série de réunions, je vous adresse certainement mes bénédictions. Que vos ministères prospèrent, et que ceci soit quelque chose de marquant. Au frère missionnaire qui ira dans les îles après cette réunion, ma prière est que Dieu soit avec vous, frère, et qu’Il vous accompagne.

2          Et maintenant, à vous tous qui avez rendu ceci possible, je vous remercie, chacun de vous, de tout mon coeur, je vous remercie. Et puis, j’aimerais tendre–donner une poignée de main et vous remercier, un homme très merveilleux, le directeur de cette école, un vrai gentleman, comme je n’en ai jamais rencontré, et je remercie Dieu pour de tels hommes. Je remercie Dieu pour le conseil d’administration, le conseil d’administration de cette école, qui nous a accordé le privilège d’être ici et de servir dans cette–dans cette école. Je prie que chaque élève qui fréquente cette école soit sauvé et rempli de l’Esprit de Dieu, ainsi que le conseil d’administration. Et qu’une grande demeure les attende tous au Ciel à la fin de ce long voyage de la vie.

            J’aimerais remercier le maire de la ville pour sa bienveillance, pour la coopération des forces de la police. Je les ai vus tout autour de cet endroit. Je dois serrer la main au–à l’un de ces jeunes gens, qui est un vrai gentleman. Et je les remercie tous.

            Et pour toute votre bienveillance, et l’hôtel qui m’a offert une chambre, l’Hôtel Cherokee. Les motels qui sont dans la région ont offert autant de chambres qu’ils pouvaient, gratuitement, aux gens. C’est un merveilleux endroit où vivre. Certainement. Même si–même si le climat est mauvais, je pourrais supporter n’importe quel genre de climat pour m’associer à de telles personnes. C’est juste. Je ne dis pas cela juste pour le dire. Je le dis du fond de mon coeur. Une région, c’est ce que sont ses habitants. Ce sont eux qui font de la région un bon endroit où vivre. Et je vous remercie tous du fond de mon coeur.

3          Mon fils m’a appris, alors que j’entrais, que–et le pasteur–que l’on avait prélevé une offrande d’amour pour moi. Eh bien, ce n’était pas nécessaire. Franchement, j’avais demandé au pasteur lorsque nous sommes venus, de ne pas le faire, et que s’il le faisait, d’affecter cela à son propre travail ou à un certain fonds ici dans la ville. Je ne... Je... Cela me tue presque de devoir prélever de l’argent. Je me suis toujours gardé de le faire. Moi-même je n’ai jamais prélevé une offrande de ma vie.

            Je me souviens de l’Eglise baptiste où j’étais pasteur pendant douze ans sans avoir prélevé un seul sou. Et une fois, je me suis retrouvé... Je suis pauvre. Si je prenais l’argent qui m’était offert, sans prélever d’offrande, qui m’était tout simplement offert, je serais un multimillionnaire. Mais je refusais cela. Je préfère avoir des amis plutôt que de l’argent. J’aime mes amis. Et j’en remercie Dieu.

4          Maintenant, je crois que le Seigneur va vous bénir. Eh bien, le ministre n’a pas voulu, frère Littlefield n’a pas voulu se taire là-dessus. Il a dit: «Frère Branham, vous avez des dépenses à couvrir. Et nous apprécions cela, mais il faut que cela vous soit remis.» Alors j’ai accepté cela au Nom du Seigneur. J’en ignore encore le montant. Je pourrais vous le communiquer dès que j’en aurai eu connaissance. Et nous informerons le pasteur lorsqu’il aura compté l’offrande, Et je vous assurerai qu’au mieux de ma connaissance, chaque centime sera dépensé pour ce qui est juste, car je sais que c’est une partie de votre vie.

            Eh bien, j’ai trois enfants et une femme, et un bureau à faire fonctionner, d’où j’envoie des milliers de lettres par mois dans le monde entier. Et mes dépenses me coûtent près de cent dollars par jour, que je sois dans les réunions ou pas. Et ainsi... Et maintenant, j’ai dit que j’essayerai... Je n’ai pas de radio, je n’ai pas d’émissions télévisées, et des choses qui demandent beaucoup d’argent. Je garde la chose très petite, afin de pouvoir visiter de petites églises où, les frères qui ont un plus grand ministère, ne peuvent pas aller. Ils ne pourraient pas se permettre cela.

5          Après cette prochaine réunion, j’irai... Je vais maintenant à... Je vais monter dans le nord de l’Indiana, à Westbend, ou plutôt Southbend, dans l’Indiana, et de là j’irai à Sturgis, dans le Michigan, dans un tabernacle d’environ trente personnes, pour deux soirées de réunions. C’est juste. Trente personnes. Ma prochaine réunion après cela, ce sera chez les baptistes de Lima, dans l’Ohio, dans une salle d’une capacité de plusieurs milliers de places. Après cela, j’irai au Madison Square Garden, à Phoenix. Et ensuite, de là j’irai à l’association des ministres de la Californie, dans la grande salle d’O-... Oakland. J’ignore combien de milliers gens il peut accueillir. Mais vous voyez, si vous n’avez pas de grands débouchés, de grands programmes, vous n’avez pas besoin de beaucoup. Et si Dieu désire que vous alliez à un grand endroit, Il donne de l’argent. C’est donc ainsi que j’aime vivre, juste par la foi.

6          Et je–je vous remercie, et que les riches bénédictions de Dieu soient sur chacun de vous. C’est tellement bon de... Je ne devrais pas prêcher ce soir, parce qu’il se fait tard, mais vous êtes un auditoire tellement merveilleux, et n’importe quel ministre... cela ne demanderait pas beaucoup d’efforts à un prédicateur, ou je ne pourrais pas prêcher, mais avec un auditoire comme vous, qui prie et qui soutient la Parole par ses prières, c’est facile pour n’importe qui de prêcher dans un endroit pareil. Je crois vraiment que Billy Paul pourrait prêcher ici. Ah! où es-tu, fiston? Ah! ah! ah! Et il est tellement timide, il garde presque la tête inclinée lorsqu’il me parle. Mais c’est un... Je crois qu’il pourrait le faire. C’est très facile, parce que c’est le Saint-Esprit.

            Frère Hall, je vous apprécie réellement ainsi que toute votre bienveillance, et je prie Dieu de vous bénir. C’est frère Hall, l’évangéliste d’ici, je crois, et c’est un frère merveilleux. Je l’aime davantage quand je le rencontre. Et frère Littlefield et les autres ministres, que Dieu vous bénisse. Que Dieu soit avec vous.

7          Maintenant inclinons nos têtes et parlons à l’Auteur de ce Livre. Je dis toujours une chose: «Je peux ne pas très bien connaître le Livre, mais je suis heureux de connaître l’Auteur.»

            Notre Père céleste, nous Te rendons la louange et la gloire aussi bien pour tout ce que Tu as fait que pour tout ce que Tu nous as permis de voir s’accomplir. Nous Te remercions pour tout ce que nous avons entendu, car la foi vient de ce qu’on entend. Combien mon coeur a été réchauffé lorsque j’ai vu ce sous-sol et ces gens-là en bas, chacun–des mères tenant leurs bébés, et–et des personnes âgées–assis là en cette soirée pluvieuse, attendant tout simplement qu’un ministre leur impose les mains. Ô Dieu, cela émeut mon coeur. Et je sais que cela émeut le Tien aussi, car le mien est un coeur de pierre, et le Tien c’est un coeur d’amour, et c’est Dieu.

            Ici sur cette chaire ce soir, il y a un ou deux mouchoirs destinés aux malades et aux affligés. J’ignore où ils vont aller, Père, Toi Tu le sais. Et je te prie de bénir ceci. Et il nous est enseigné dans la Bible qu’un jour, lorsqu’Israël était en route par la foi, voyageant vers la Terre promise, parce que Dieu avait promis de les amener dans ce pays-là... Et ils ne savaient pas comment ils allaient y parvenir, ils se sont simplement mis en route. Et comme c’est l’habitude de l’ennemi, il les a piégés. Et ils se tenaient là, les montagnes d’un côté, la mer, la mer Morte, devant eux, l’armée de Pharaon derrière eux; la nature elle-même a tremblé pour eux. Ça allait vraiment être un massacre, mais ils marchaient dans la voie à laquelle Dieu avait pourvu.

            Et tout d’un coup, a dit un écrivain, Dieu a baissé les yeux à travers cette Colonne de Feu. Eh bien, Son chemin passait par cette mer Rouge. Et la mer a pris peur, et elle a fait tout simplement reculer ses rives, et Israël a traversé à sec. Tu es toujours Jéhovah Dieu.

8          Et lorsque ces mouchoirs parviendront aux malades, je prie pour que Dieu ne regarde pas à travers la Colonne de Feu, mais à travers le Sang de Son Fils. Et que l’ennemi, la maladie, l’affection, l’affliction aient peur de ce symbole, parce que cela est envoyé au Nom de Christ. Et que cela se retire, et que les malades traversent vers le bon pays de la bonne santé. La promesse de Dieu que l’on prospère à tous égards et qu’on soit en bonne santé...

            Ô Dieu, je Te prie de l’accorder. Et maintenant, révèle-nous Ta Parole, Seigneur, et donne-nous une grande foi en cette heure de pressions, d’épreuves. Je prie au Nom de Jésus. Amen.

9          Maintenant, aux pasteurs, j’aimerais que vous sachiez... En faisant cette déclaration, j’ai simplement dit: «Je n’ai rien à vendre, pas d’émissions radio ni rien.» Ce n’est pas pour obtenir votre adresse, car il m’est difficile d’avoir assez d’aide pour répondre aux lettres que je reçois. Mais si vous désirez un tissu de prière... D’habitude on les empile.

            Tout récemment au Mexique, j’ai tenu des réunions là-bas. Combien ont entendu parler des réunions que j’ai tenues au Mexique, là où ce petit bébé a été ressuscité des morts après qu’il était mort cet après-midi là à quatorze heures et qu’il a été ressuscité vers vingt et une heures ce soir-là? Eh bien, les journaux mexicains et tout ont répandu cela partout, et ce soir-là, il y avait des gens... Il y avait des piles hautes comme ça de vieux manteaux et de vieux chapeaux. Comment allaient-ils les reconnaître, je ne sais pas... On les avait mis là pour que je prie dessus. Et Dieu a rendu la vue à un aveugle, et c’est juste... Nous avons passé là trois soirées, et vingt mille personnes sont venues à Christ en une fois. J’ai dit: «Pas les gens des églises évangéliques, pas les catholiques, seulement ceux qui ne sont jamais venus, qu’ils viennent.» Et on a estimé que vingt mille personnes sont venues en un seul appel à l’autel. Eh bien, le Seigneur Jésus aime les gens.

10        Et maintenant, si vous désirez avoir un tissu de prière sur lequel j’ai prié, écrivez-moi tout simplement à Jeffersonville, boite postale 325, ou écrivez simplement William Branham. Eh bien, il y aura une lettre circulaire qui accompagnera cela. Eh bien, c’est vrai. C’est une lettre polycopiée par un secrétaire. Mais le tissu de prière, j’ai prié dessus.

            Si cela... Si je croyais dans un frère ministre et dans son ministère, et que mon bébé était malade, si j’avais foi dans cet homme, j’aimerais qu’il prie sur le tissu de prière. C’est juste. J’aimerais qu’il le fasse. C’est juste. Et je fais aux autres ce que j’aimerais que l’on fasse pour moi. Alors je prie dessus, sur ces tissus de prière. Et ils vous seront envoyés, c’est gratuit. C’est entièrement gratuit, écrivez simplement–simplement et vous pourrez en recevoir gratuitement.

11        Maintenant, dans la vieille Bible bénie que je sais être le Manuel éternel de Dieu, je souhaite lire juste un passage des Ecritures. Et je vais tâcher de m’arrêter exactement à vingt et une heures quart, si possible, afin que nous puissions commencer la ligne de prière, nous y attarder autant que possible et ensuite... avant de congédier les gens.

            Et je dirai ceci avant que nous commencions la prédication, que Dieu vous bénisse tous. Et tout ce qu’il nous faut, c’est qu’Il fasse cela. J’aimerais encore vous demander une chose, excusez-moi. Je me prépare à aller outre-mer, je pense, incessamment. Monsieur duPlessis et les autres ont appelé aujourd’hui pour la préparation des réunions d’outre-mer. Si je pars, et que vous appreniez que je suis parti outre-mer, allez-vous prier pour moi? Merci.

            Je me souviendrai qu’un bon groupe de saints de Dieu du Sud prie pour moi. Et j’en aurai besoin là-bas, car chaque sorcier guérisseur et tout le reste se tiennent là pour vous défier, mais notre Dieu a toujours triomphé et Il écrase chaque fois l’ennemi.

12        Maintenant, dans le Livre de la Genèse, je souhaite lire au chapitre 22, les versets 7, 8 et 14, et ensuite nous allons immédiatement commenter les Ecritures, et ensuite–ensuite nous allons nous tourner directement pour tenir la ligne de prière. Ceci c’est pour stimuler votre foi. Or, la foi vient de ce qu’on entend la Parole de Dieu. C’est juste. Maintenant, c’est pourquoi... comme cela, nous édifions la foi. Eh bien, la foi n’est pas basée sur le sable mouvant de la théologie humaine, mais elle repose sur le Rocher éternel de la Parole de Dieu. Dieu l’a dit et c’est réglé. Et Isaac... Voyons... Je crois que j’ai ouvert le mauvais endroit. Oui.

Alors Isaac, parlant à Abraham, son père, dit: Mon père! Et il répondit: Me voici, mon fils! Isaac reprit: Voici le feu... et voici ... où est l’agneau pour l’holocauste?

Abraham répondit: Mon fils, Dieu se pourvoira... de l’agneau pour l’holocauste. Et ils marchèrent... ensemble.

Abraham donna à ce lieu le nom de Jehova Jiré. C’est pourquoi l’on dit aujourd’hui: A la montagne de l’Eternel il sera pourvu.

13        Maintenant, que le Seigneur ajoute Sa bénédiction. Et mon sujet, c’est Jéhovah Jiré. Eh bien, Dieu apparaît dans sept Noms composés rédempteurs. Les ministres savent cela. Son premier Nom rédempteur, c’est Jéhovah-Jiré: «L’Eternel pourvoira à un sacrifice.» Son deuxième Nom rédempteur, c’est Jéhovah-Rapha: «L’Eternel qui te guérit.» Et Il a, l’Eternel, le bouclier, l’écu, l’Eternel... Dieu est apparu à la race humaine dans sept différents Noms composés rédempteurs. Et tous ces Noms rédempteurs ont été placés en Christ par un seul Nom éternel duquel tirent leur nom tous les Cieux et la terre.

            Maintenant, comme contexte, nous parlons d’Isaac, le fils promis, et d’Abraham, le père des nations. C’est par Isaac qu’est venue la postérité bénie qui avait été annoncée, ou plutôt prophétisée dès le jardin d’Eden. Et c’est par lui qu’est venu le Seigneur Jésus-Christ. Maintenant, je sais que beaucoup parmi vous attendent ici maintenant depuis le (d’après ce que j’ai appris)–depuis très tôt cet après-midi, ils gardent leur place. Et au regard de cela, ce ne serait pas juste de ma part de ne pas vous apporter la Parole de Dieu dans une certaine mesure.

            Bon, au commencement lorsque Dieu rencontra Abraham... Eh bien, qui était Abraham? Eh bien, j’aimerais... J’ai choisi ce petit sujet afin que cela ôte la peur. Il n’y a qu’une seule chose ce soir qui peut empêcher chaque personne ici d’être sauvée, remplie du Saint-Esprit, et délivrée de chaque affliction et de chaque maladie. Il n’y a qu’une seule chose; c’est la peur que vous avez. C’est la seule chose. Car chaque semence produira très exactement ce qui a été promis, si elle est plantée dans la bonne terre.

14        Vous ici au Tennessee, vous êtes réputés pour vos pommes, vous avez de bons vergers de pommiers et de pêchers, et en Géorgie, et à différents endroits, pour vos bons fruits ici dans le Sud. J’aimerais vous poser une question: savez-vous que lorsque vous avez planté ce petit pommier qui ne mesurait qu’environ un demi-pouce [environ 1,3 cm], lorsqu’il avait cette taille-là, que chaque boisseau de pêches que vous y cueilleriez, que vos enfants y cueilleraient, que vos petits enfants y cueilleraient, savez-vous que chaque boisseau de pêches se trouvait dedans juste là, quand cela n’était qu’une minuscule histoire de cette taille-là? Si ce n’est pas le cas, d’où cela est-il venu? D’où sont venues ces pêches? Qui les a mises sur l’arbre? Comment sont-elles arrivées là?

            Vous avez simplement piqué la petite bouture, et ensuite vous l’arrosez, et elle boit dans la terre. Et elle doit boire plus d’eau que ne lui permet sa capacité. Et elle boit et boit, jusqu’à ce qu’elle ne pourra plus boire, et cela fait pousser des branches. Ensuite, elle boit encore, et elle fait pousser des feuilles. Ensuite elle boit encore, et cela fait pousser des fleurs. Ensuite elle boit encore, et elle produit des pêches. Ensuite elle boit encore, et cela produit davantage de pêches. Et elle continue de boire et de produire. Voyez-vous ce que je veux dire?

15        Et maintenant, c’est pareil avec le christianisme. Lorsqu’un homme, ou une femme, ou un enfant, naît de l’Esprit de Dieu, alors tout ce dont vous avez besoin dans ce monde et dans le monde à venir vous est donné, quand vous recevez le Saint-Esprit. Et vous êtes planté en Christ. Et selon ce que je comprends de Christ, Il est la Fontaine inépuisable de la Vie. Et vous êtes simplement planté en Lui, et vous buvez, vous buvez, et vous poussez; vous buvez, vous poussez; et vous buvez, et vous poussez. Car tout ce dont vous avez besoin est en Lui. La seule chose que vous avez à faire, c’est d’avoir soif et de vous mettre à boire. Cela produira très exactement ce qu’est la semence. Si c’est une promesse, Dieu a promis de l’accomplir. Dieu est lié à cela, et Il l’accomplira.

16        Cela pousse, croît... Quelque chose entre, comme nous l’avons prêché au Tabernacle ce matin, c’est le ressort principal au milieu de la montre qui actionne chaque déclic de mouvement pour indiquer l’heure exacte. Et lorsque le Saint-Esprit entre, il y a quelque chose qui agit. Vous ne pouvez pas comprendre ce que c’est. C’est un Etre surnaturel en vous, qui agit, qui contrôle vos émotions, qui vous fait crier alors que vous avez vraiment envie de courir. Mais vous allez pousser des cris alors que vous ne savez pas ce que vous êtes en train de faire. Vous allez louer Dieu automatiquement. Il y a quelque chose qui se passe. C’est ce ressort principal, le ressort de la grâce de Dieu au milieu de votre coeur, qui vous contrôle, qui vous fait fuir le mal pour accepter la vie, vous éloigne du doute pour avoir la foi. C’est ce ressort principal qui fait que vous renversiez les raisonnements, que vous acceptiez la Parole de Dieu. Cela est en marche, fait tic-tac, tourne sans cesse, et fait que toutes vos émotions soient directement sous le contrôle de Dieu. Quelle chose merveilleuse!

            Le Saint-Esprit vous couve, comme Il avait couvé une terre désolée autrefois, et les fruits ont poussé de cette terre désolée... Lorsque le Saint-Esprit a rassemblé le calcium, la potasse, l’humidité, et tous les éléments qu’il fallait pour créer des fleurs, des fruits, des bêtes, des animaux, et l’homme, le Saint-Esprit couvait en étant en relation avec Dieu, et ces choses sont apparues. Qu’est-ce que cela fera encore chez un homme né de nouveau maintenant, pour sa santé ou pour tout ce dont il a besoin dans cette promesse éternelle de Dieu? Bien sûr, cela vous emballe.

17        Lorsque j’étais garde-chasse dans l’Indiana pendant sept ans, j’avais coutume de me rendre à une certaine source quand j’allais chasser. Et je contemplais cette vieille source et je disais: «Source, tu es la source la plus joyeuse que j’aie jamais vue. Tu bouillonnes tout le temps.» Oh! C’était une bonne eau. Elle était toujours fraîche, parce qu’elle bouillonnait depuis en bas dans le sol. Et en bouillonnant, elle chassait tout ce qui stagnait. C’est une bonne chose. Elle bouillonnait simplement sans cesse. Alors, je me suis mis à parler à cette source, et j’ai dit: «Madame la source, pourquoi es-tu si heureuse?» Et si elle pouvait me répondre, elle aurait dit: «Frère Branham, je suis toujours heureux.»

            «Oh! dirais-je, qu’est-ce qui te fait bouillonner? Peut-être parce que les cerfs boivent de ton eau de temps en temps,»

            Elle aurait dit: «Non.»

            Je dirais: «Peut-être parce que les ours boivent de ton eau.»

            «Non.»

            «Eh bien, il se peut que ce qui te fait bouillonner, c’est parce que tu sais que chaque année je passe ici et bois de ton eau.»

            «Non.»

            Je dirais: «Eh bien, qu’est-ce qui te fait bouillonner?»

            Elle aurait dit: «Frère Branham, ce n’est pas moi qui bouillonne. C’est quelque chose derrière moi qui me pousse et me fait bouillonner.»

18        Il en est de même pour l’homme. Lorsqu’il reçoit Dieu dans son coeur, il y a quelque chose qui le pousse, qui pousse. Cela vous amène à croire. Pourquoi êtes-vous ici ce soir? Par curiosité? Je ne crois pas qu’une–une personne raisonnable sortirait de chez elle un soir comme celui-ci par curiosité. Venez-vous montrer vos vêtements? Non. Je ne crois pas qu’une personne ferait cela, sortir un soir comme celui-ci pour rester assis durant huit heures dans un tabernacle pareil, où une foule débordante s’est entassée et confinée. Vous ne le feriez pas par curiosité ou pour montrer des vêtements. C’est parce que quelque chose en vous vous conduit à le faire. C’est ça.

            Même si je n’avais jamais lu la Bible, je croirais quand même ce soir qu’il y a une guérison divine pour vous. David a dit: «Lorsque la profondeur appelle la profondeur, à la voix de Tes cataractes...» En d’autres termes, lorsque la profondeur appelle... Maintenant, écoutez, lorsque la profondeur appelle, il doit y avoir une profondeur pour répondre à cette profondeur-là. Assurément. Avant qu’il y ait une nageoire sur le dos d’un poisson, il devrait d’abord y avoir de l’eau pour qu’il puisse y nager, sinon il n’aurait jamais eu cette nageoire. Avant qu’il y ait un arbre qui pousse sur la terre, il devrait y avoir d’abord une terre, sinon il n’y aurait pas eu d’arbre pour y pousser.

19        Il y a quelque temps, j’ai lu dans un journal, qu’un petit garçon mangeait les gommes des crayons à l’école. Sa maman ne savait que penser de cela. Alors, elle l’a surpris, un jour, assis sous la véranda en train de manger la pédale d’une bicyclette. C’est du caoutchouc. Elle l’a amené à la clinique pour lui faire subir un examen. Et le médecin, après avoir effectué un examen approfondi, a dit: «Ce petit garçon a une carence en soufre.» Le corps de ce petit garçon avait une carence en soufre. Eh bien, on a dû donc lui donner des piqûres pour cela.

            Mais maintenant écoutez, s’il y a quelque chose ici à l’intérieur qui réclame du soufre, il doit d’abord y avoir du soufre là à réclamer, avant qu’il puisse y avoir du soufre dans... quelque chose à l’intérieur pour réclamer du soufre. En d’autres termes, ceci est un... entier glorifié. J’espère que je ne vous ai pas embrouillés.

            Ecoutez. Avant qu’il puisse y avoir une création, il devrait y avoir un Créateur pour créer cette création. Et aussi longtemps que vous êtes ici pour être guéri par Dieu, au moyen de la guérison divine, il doit y avoir une Fontaine ouverte quelque part, sinon vous n’auriez jamais eu ce désir. Il faut qu’il y ait quelque chose. S’il y a quelque chose qui réclame la guérison venant de Dieu, il doit y avoir un Dieu pour y répondre. C’est juste.

            Les Indiens, lorsque nous les avons rencontrés ici, ils se prosternaient et adoraient le soleil. En Afrique, les gens adorent des idoles. Qu’est-ce? Il y a quelque chose. Ce sont des humains, et il y a une soif de Dieu. Eh bien, l’essentiel, c’est de montrer à l’Indien qui est Dieu, de montrer à l’Hottentot qui est Dieu, et de vous montrer ce qu’est la guérison, voilà l’essentiel. Entrez dans le bon canal et alors vous pourrez le faire. Et Dieu a donné cela gratuitement à chacun de vous. Cela vous appartient par une promesse divine.

20        Eh bien, Dieu a appelé Abraham, ce n’était pas parce qu’il était Abraham, Dieu a appelé Abraham par élection. Abraham n’était pas un homme de bien, il n’était pas meilleur que n’importe qui d’autre. Il était probablement issu d’un groupe d’idolâtres venus de la tour de Babel où les gens adoraient des racines et–du sol, et ils avaient là une femme, et elle s’adonnait à toutes sortes de pratiques curieuses, si vous avez déjà lu l’histoire. Et c’est là que la première église organisée a commencé, c’était à Babylone, avec Nimrod: il a organisé toutes les villes, et elles lui payaient un tribut et ainsi de suite à ce seul endroit.

            Eh bien, le père d’Abraham l’a amené de Babylone, et ils habitaient dans la ville d’Ur, au pays de Chaldée. Et Abraham n’était qu’un homme ordinaire comme vous et moi, juste un homme ordinaire, mais Dieu... Oh! j’aimerais que vous saisissiez cela. Dieu, par Sa prescience, Il a appelé et élu Abraham. Il connaissait son coeur. Il le connaissait avant la fondation du monde. Et Abraham a seulement trouvé place dans le programme de Dieu. Et la femme d’Abraham, qui s’appelait Saraï, était sa demi-soeur.

21        Maintenant, pendant qu’Abraham marchait dans les champs un jour, peu importe où il se trouvait, Dieu appela Abraham. Il avait soixante-quinze ans, et Sara était de dix ans plus jeune que lui, ce qui fait qu’elle avait soixante-cinq ans.

            Maintenant, tout le monde sait qu’une femme de soixante-cinq ans a déjà dépassé la ménopause depuis au moins quinze ans. Il l’avait épousée alors qu’elle n’était qu’une jeune fille. Et ils vivaient donc comme mari et femme. Et Abraham avait soixante-quinze ans, et Dieu l’a appelé et lui a donné Son alliance de façon inconditionnelle.

22        L’homme brise toujours son alliance avec Dieu. Lorsque Dieu fit une alliance avec Adam dans le Jardin d’Eden, ce dernier l’a brisée. Chaque fois l’homme brise son alliance. Dieu lui donna la loi, et l’homme l’a brisée. Mais Dieu était déterminé à sauver l’homme, alors Il a fait avec Abraham une alliance inconditionnelle. Ce n’était pas: «Si tu fais ceci,» Il a dit: «Je l’ai fait.» J’aime cela. Ce n’est pas: «Si tu fais ceci, si tu fais cela...» Je sais que cela a un peu une tendance calviniste, et je suis un calviniste aussi longtemps que Calvin reste dans la Bible. Mais lorsqu’il s’égare sur la sécurité éternelle et ces points de vue obscurs là, dès lors je deviens un arminien. Je suis avec n’importe quelle église aussi longtemps que vous restez dans la Bible. Lorsque vous sortez, cela me laisse carrément à l’extérieur. Mais les deux ont une image, et les deux ont les Ecritures, et les deux ont formé des branches et se sont pendus. C’est juste, la sainteté et les calvinistes...

23        Mais Dieu appela Abraham, ce n’était pas parce qu’il était un homme de bien; il n’y avait pas du tout de «si» la-dedans. Il a dit: «Je t’ai sauvé, et J’ai sauvé ta postérité à part toi. Je t’ai donné ce pays, et tu reviendras vers Moi quand tu seras un homme âgé.» Frère, cela règle la question. Dieu l’a dit. Abraham n’avait rien à faire si ce n’est de rester juste dans l’alliance. C’est tout. Restez juste là? Et si Dieu vous a sauvé, la seule chose que vous avez à faire, c’est de demeurer dans Sa grâce. C’est tout. Restez juste là. Vous n’avez pas à vous soucier si la rivière va monter, ou si le chariot va tanguer, restez simplement dans la grâce. Restez en Christ.

            Eh bien, Il la lui a donnée sans condition. J’aimerais que vous remarquiez qu’Il a dit: «Par toi, Je ferai de toi un père des nations.» Et il n’avait pas d’enfants, peut-être qu’il était stérile, et que sa–sa femme aussi était stérile. Maintenant remarquez, année après année ils vivaient ensemble comme un jeune couple et ils n’avaient pas d’enfants; et le voici âgé de soixante-quinze ans et sa femme soixante-cinq ans; et Dieu dit: «Abraham, tu auras un bébé par Saraï.»

            Je vois Abraham aller là et dire: «Saraï, va acheter une bonne quantité de chaussons et apprête les épingles. Nous allons avoir un bébé.» Eh bien, pouvez-vous imaginer un homme de soixante-quinze ans descendre ici en ville et dire: «Hé! docteur, je voudrais prendre des dispositions maintenant. Ma femme n’a que soixante-cinq ans et moi soixante-quinze, nous allons avoir un bébé.»

            Eh bien, le médecin aurait dit: «Ce vieil homme a perdu la tête.»

24        Mais Abraham, la Bible dit qu’il a cru en Dieu et il a considéré les choses qui n’étaient pas comme si elles étaient. Il n’a pas considéré que son corps était usé et que Saraï n’était pas en était d’avoir des enfants. Il n’a jamais douté par incrédulité, mais il a été fortifié, rendant gloire à Dieu, car il avait la pleine conviction que Celui qui avait fait la promesse était en mesure de tenir la promesse. Amen.

            Et maintenant, vous direz: «Oh! Frère Branham, si seulement je pouvais être comme Abraham.» Juste une minute! Très bien. «Si seulement comme Abraham je pouvais être dans une alliance inconditionnelle. Oh! cela ôterait de moi toute peur.» Un instant! Dieu n’a pas donné la promesse inconditionnelle à Abraham seul, mais Il a donné à la postérité d’Abraham aussi une promesse inconditionnelle. «Je t’ai sauvé toi et ta postérité après toi.»

            Eh bien, vous direz: «Je suis un homme des nations, Frère Branham.»

            Attendez une minute! «Quand nous sommes morts en Christ nous devenons la postérité d’Abraham. Ils sont héritiers en vertu de la promesse.»

            Vous direz: «Frère Branham, j’ai fait beaucoup pour être sauvé.» Non, pas du tout. «J’ai cherché Dieu.» Non, vous ne l’avez jamais cherché. C’est Dieu qui vous a cherché.

            «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire premièrement. Et tout celui qui viendra à Moi, Je lui donnerai la Vie Eternelle.» Cela fait que le diable ne tienne pas en place, comme on dit ici dans le Sud. La promesse de Dieu, Il a donné à Son peuple...

25        J’ai toujours dit: «Vous ignorez qui vous êtes.» Cet homme assis à côté de vous est un fils de Dieu. Cette femme assise à côté de vous est Sa fille. Et nous sommes des fils et des filles de Dieu, assis ensemble dans les lieux célestes maintenant même en Jésus-Christ, pendant qu’Il agit parmi nous, confirmant la Parole par des miracles qui accompagnent. Ce n’est pas que nous le serons dans le Millénium, nous n’aurons pas besoin de la guérison dans le Millénium. C’est maintenant que nous avons besoin de la guérison.

            C’est maintenant que Dieu est Jéhovah-Jiré pour pourvoir à tout ce dont nous avons besoin, car nous sommes la postérité d’Abraham qui est sous l’alliance, par la mort, l’ensevelissement et la résurrection de Jésus-Christ. Amen. Cela fera crier un baptiste. C’est juste.

            Pensez-y. Oh! la la! je me sens très religieux lorsque je pense à cela: je suis sauvé par la grâce de Dieu, ce n’est pas par ma propre volonté, mais par Sa volonté à Lui. Ce n’est pas par mon désir, mais Il a changé mes désirs. Moi, qui... Autrefois ma pensée était loin de Dieu, elle a été changée et a été amenée à Dieu. Je ne peux pas plus faire cela moi-même, qu’un léopard ne peut effacer ses tâches en les léchant. Pas du tout. Il a fallu que Dieu le fasse. Il a fallu que Dieu vous amène ici ce soir. Il a fallu que Dieu vous sauve. Et Dieu fait tout ce qu’Il peut pour vous montrer Sa bonté. Oh! J’espère que vous voyez cela.

26        Maintenant, je peux l’entendre aller là et se préparer, dire: «Allez! Saraï, nous allons avoir un bébé.» Vous savez quoi? Le premier mois il a dit: «Comment te sens-tu, Sara?»

            «Aucun changement.»

            «Oh!» a-t-il dit; alléluia, nous allons l’avoir de toute façon.» Le deuxième mois il a dit: «Comment te sens-tu, Saraï?»

            «Aucun changement.»

            «Gloire à Dieu! Nous allons l’avoir de toute façon.» La première année est passée: «Qu’en est-il du bébé, Saraï?»

            «Aucun changement.»

            «Gloire! Nous allons l’avoir de toute façon.» Dix ans passèrent: «Comment te sens-tu, Saraï?»

            «Aucun changement.»

            «Gloire à Dieu! Nous allons l’avoir de toute façon.»

            «Pourquoi?»

            «Dieu l’a dit. C’est réglé.»

27        La Bible dit qu’il était sans cesse fortifié. Maintenant, nous–nous disons que nous sommes la postérité d’Abraham. «Seigneur, vas-Tu me guérir ce soir? Je T’accepte comme mon Guérisseur.» Eh bien, vous savez, le matin vous dites: «Je ne sens aucun changement. Peut-être que je ne suis pas guéri.»Vous êtes un piètre exemple de la postérité d’Abraham. C’est vrai. Abraham appelait les choses qui étaient comme si elles n’étaient pas, car il avait pris Dieu au mot. Et la vraie postérité d’Abraham fait exactement la même chose, car c’est le même Saint-Esprit. C’est vrai. Peu importe de quoi cela a l’air, si c’est contraire à la Parole de Dieu, appelez cela un mensonge. Vous regardez aux symptômes. «Eh bien, ma main ne va pas mieux. Je L’ai pris comme mon Guérisseur, mais ma main ne va pas mieux.» Elle n’ira jamais mieux aussi longtemps que vous regarderez à cela. Ne regardez pas à cela. Regardez à ceci! Voici ce à quoi vous devez regarder. Regardez à cela; vous avez détourné votre coeur de ceci. Appelez ceci comme si cela était, et considérez ceci comme si cela était. Dieu l’a dit! Amen! Lorsque Dieu le dit, cela règle la question pour l’éternité. Dieu l’a dit. Tenez-vous-en à cela.

28        Eh bien, il appelait les choses qui n’étaient pas comme si elles étaient, et il croyait Dieu. Il a dit que Dieu était capable de tenir Sa promesse, alors il s’en est tenu à cela. Et Dieu a dit: «Eh bien, Abraham, comme tu es devenu Mon serviteur, J’aimerais que tu te sépares de ton peuple, de ta patrie, de toute cette incrédulité.» Vous savez, parfois, lorsqu’on a prié pour nous, c’est une bonne chose à faire. Vivre dans un environnement d’incrédulité vous fera certainement beaucoup de mal. Dieu cherche des séparatistes.

            Vous savez quoi? L’église chrétienne est arrivée à un point où lorsque les gens choisissent leur pasteur, il faut que ça soit un petit gars qui porte un–un gros noeud papillon, et qui a des cheveux vraiment bouclés, et qui sent pratiquement comme un putois à cause du parfum, et comme vous pensez qu’il est beau et qu’il peut se tenir à la chaire et dire «A-a-men,» d’une manière très soignée, vous appelez cela votre pasteur. Le problème est que nous l’église chrétienne d’aujourd’hui, nous imitons trop la manière hollywoodienne d’évangéliser. C’est l’exacte vérité. J’aime la religion à l’ancienne mode, du fond des bois, au ciel bleu, qui tue le péché, qui nettoie, sanctifie, purifie, et rend saint. C’est juste. C’est ce qu’il nous faut. Les gens autrefois se moquaient des prédicateurs à l’ancienne mode, qui prêchaient un enfer de feu et de soufre. Ce qu’il nous faut... Ô Dieu, envoie-nous-en davantage et ôte de nous toute cette manière hollywoodienne d’évangéliser. Eh bien, ce n’est pas du lait écrémé, mais cela vous fera du bien.

29        Ma maman, lorsque j’étais petit garçon, nous avons grandi dans la pauvreté, elle faisait bouillir des peaux dans une–dans un petit moule à pain et elle en extrayait de la graisse à mettre dans le pain de maïs, elle nous fabriquait du pain de maïs. Nous en prenions trois fois par jour, de petits pains de maïs, avec des doliques, c’est pratiquement tout ce dont nous vivions, et de la mélasse de sorgho. Et vous les gens du Sud vous savez ce que c’est.

            Alors, je me souviens que chaque samedi soir nous prenions un bain dans le grand vieux bac de cèdre. Le premier qui entrait prenait un bon bain. Pour le suivant, on ajoutait juste un peu d’eau. Et puis, chacun de nous prenait une bonne dose d’huile de ricin. Quand on a un tel régime alimentaire, vous êtes obligé de le faire. Cette affaire me rendait vraiment malade. C’est moi qui passait en premier, je me pinçais le nez, et je disais: «Maman, ça me rend vraiment malade.»

            Elle disait: «Si ça ne te rend pas malade, cela ne te fera aucun bien.»

            Et c’est pareil avec la prédication de l’Evangile. Si cela ne vous rend pas malade, cela ne vous fait aucun bien. C’est juste. L’Evangile, il nous le faut à l’ancienne mode, du fond des bois: un réveil à la Pierre Cartright ou à la saint Paul, et que le Saint-Esprit de la Bible soit de nouveau prêché dans l’église (C’est vrai.), un nettoyage de la chaire jusqu’au concierge au sous-sol. Vous savez que c’est la vérité.

30        Alors remarquez, Abraham prit Dieu au mot et appela ces choses qui étaient contraires à la Parole de Dieu comme si elles n’ étaient pas. Quelqu’un dirait: «Eh bien écoute, Abraham, voici tu as cent ans et Saraï quatre-vingt-dix. Tu sais qu’elle n’est plus en état d’avoir des enfants. Tu sais que tu n’as plus de force.»

            Il dirait: «Ne m’en parlez pas. Dieu a dit que j’aurai cet enfant, et cela règle la question.» Amen.

            J’aime cela. Cela renvoie le diable à sa place en enfer. Cela met Dieu en marche ici devant. La postérité d’Abraham, quand on est mort en Christ... (Mon temps est déjà écoulé. Cette chose... Il y a quelque chose qui cloche. Peut-être que c’est moi.

31        Mais vous savez, la postérité d’Abraham croit en Dieu. Il y a quelque chose en eux. Un homme qui dit qu’il ne croit pas au surnaturel, il ne croit pas au Saint-Esprit, il ne croit pas à la guérison divine, comment peut-il croire à moins qu’il y ait quelque chose au-dedans pour croire? Lorsqu’il est né de nouveau, il y croit, parce qu’il est un fils de Dieu. Le Créateur qui a créé toute chose et qui a créé le monde par Sa propre Parole... La poussière même sur lequel vous êtes assis ce soir, ce n’est rien d’autre que la Parole de Dieu rendue manifeste.

            Dieu a dit: «Que telle chose soit.» Et elle était. Il a cru Sa propre Parole. Toute la matière provient du surnaturel, Dieu a appelé le monde à l’existence par la Parole. Autrement, où a-t-Il eu la matière qu’Il a utilisée pour le créer? Il les a créés, parce que c’est Sa Parole. Il a prononcé cela et a dit: «Que telle chose soit.» Et elle a été. Et lorsque Dieu dit quelque chose, si vous l’acceptez et que vous vous y accrochiez...

            Les chronologistes nous disent que le monde existe depuis des millions d’années. Peu importe l’âge qu’il a, Il a pu l’appeler à l’existence en deux minutes ou en deux millions d’années. Cela s’accorde avec Son programme; mais Il l’a créé. Oh! j’aime cela. J’aimerais juste faire avaler cela à Satan pour qu’il voie que c’est la Parole de Dieu. Dieu l’a dit. C’est réglé.

32        Abraham a dit... Dieu a dit: «Sépare-toi, Abraham.» C’est comme je l’ai dit, Dieu cherche des séparatistes; nous, nous cherchons des gens sociables.

            J’étais dans une église où il n’y a pas longtemps, ils votaient leur pasteur. Et ils ont dit: «Eh bien, nous ne pouvons pas l’avoir, parce que c’est un vieux fanatique. Nous voulons quelqu’un qui ira à la piscine avec nous, les filles et les garçons ensemble, qui prendra un petit verre amical, qui nous laissera danser dans le sous-sol.» Hein! Vous ... Je ne sais pas quoi vous dire; Vous êtes certainement dans un piteux état.

            Vous voyez, parfois votre choix n’est pas le choix de Dieu. Une fois, Dieu allait choisir un roi pour prendre–pour prendre la place de Saül qui avait rétrogradé. Et alors Il a dit au prophète: «Va voir les fils d’Isaï. J’en ai choisi un.»

            Alors Isaï a dit: «Oh! c’est merveilleux.» Il est sorti, il a amené son fils qui avait une très grande taille, il mesurait sept pieds [2,1 m] et un petit homme se tenait là tenant une fiole d’huile dans sa main. Il a dit: «Eh bien, cet homme sera splendide avec cette couronne sur sa tête. Considère combien ces longues robes lui iront bien. N’a-t-il pas l’allure d’un roi lorsqu’il marche, malgré tout?»

            «C’est lui. Amène-le ici.» Alors le prophète a dit: «Nous allons simplement verser de l’huile sur lui.»

            Mais lorsqu’il s’est avancé, Dieu a dit: «Je l’ai rejeté.»

            Il a fait venir le suivant, c’était un homme grand et fort. Dieu a dit: «Je l’ai rejeté.»

            «Eh bien, ce sont les plus grands garçons que j’ai. Eh bien, ce sont les seuls à qui la couronne ira bien. Ce sont les seuls qui sont suffisamment droits pour marcher avec une allure royale.»

            Dieu a dit: «Je les ai rejetés.»

            Eh bien, il en a fait venir six. Peut-être qu’il a dit: «N’en as-tu pas un autre?»

            «Oh! si. J’ai un vilain petit gars là derrière, en train de paître quelques brebis, mais je suis sûr qu’il n’aura pas belle allure comme roi.»

            Il a dit: «Amène-le ici, j’aimerais le voir.»

            Et dès que le petit David enveloppé de cette petite peau de brebis, tenant une petite fronde dans la main, s’est avancé d’un pas hésitant comme cela, les épaules voûtées, peut-être un petit garçon efflanqué, le Saint-Esprit a dit: «Voilà Mon homme!» Il savait ce qui était à l’intérieur. L’homme regarde l’extérieur, Dieu regarde au coeur.

33        Alors, peu importe ce que disait le monde extérieur, Abraham appelait ces choses qui n’étaient pas comme si elles étaient, parce que Dieu l’avait dit, et il s’est séparé. Il ne fut jamais béni. Dieu ne l’a pas visité jusqu’à ce qu’il s’est séparé, même de Lot. Lot est venu, il a eu des disputes, des histoires sur les pâturages ou les terres. Abraham a dit: «Regarde à l’est ou à l’ouest, au nord ou au sud, choisis une direction, et moi je choisirai l’autre.» (Ça, c’est un esprit chrétien.) «Je prendrai le côté le plus mauvais s’il le faut. Vas-y. Nous sommes frères. Ne nous disputons pas. Si tu veux être membre des assemblées, moi je serai membre de l’autre église. Alors, laissons simplement tomber. Soyons frères.» Oh! Je me sens très bien ce soir, d’une manière ou d’une autre. Très bien. Pourquoi?

            Ensuite, Lot a pris le chemin facile, et Abraham a pris le chemin difficile. «Je prendrai le chemin que suit le reste des méprisés du Seigneur.» C’est ce qu’a dit le poète. C’est ce que nous voulons dire.

34        Maintenant, écoutez attentivement, s’il vous plaît, pendant un instant. Remarquez tandis qu’ils sont partis, après qu’il s’est séparé de Lot, Dieu est apparu à Abraham. Et si vous voulez qu’Il vous apparaisse, séparez-vous de vos associés incrédules. Sortez de ce groupe qui tient des réunions de couture, qui raconte de sales plaisanteries et tout. Eloignez-vous de cette histoire. Associez-vous aux gens qui croient comme vous, qui vous aiment, qui aiment le Seigneur. C’est juste. Séparez-vous.

            Ensuite, lorsqu’il s’est séparé, Dieu a dit: «Abraham, regarde à l’est, à l’ouest, au nord, au sud. Tout ceci t’appartient. Je te le donne.» Il a dit: «Parcours le pays. Regarde ce qui te plaît dans ce pays.»

            C’est bon. J’aime cela. Lorsque je me suis séparé de tous les différents ismes et du reste qui disent: «Les jours des miracles sont révolus.», le Saint-Esprit a dit: «Tu sais quoi? Chaque promesse dans le Livre est tienne. Jettes-y un coup d’oeil et vois ce que tu possèdes». Amen.

35        Vous savez, c’est comme dans une très grande galerie marchande. Vous savez, nous sommes baptisés dans cette grande galerie. Si tout cela m’appartient, j’irai çà et là tirer un tiroir pour voir ce que je possède dedans. Ça m’appartient, c’est à moi. Je monte sur un... Je jette un coup d’oeil à ceci, je regarde dans ce couloir, par ici, j’examine ces choses qui sont sur ce banc. J’aime parcourir les lieux pour voir ce que je possède. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... de temps en temps. Et si quelque chose me semble un peu haut, je vais simplement me procurer une échelle et je monte là-haut, j’examine la chose, je vois de quoi il s’agit, je regarde dans chaque coin. Ça m’appartient.

            C’est pareil avec vous lorsque vous devenez un chrétien. Chaque promesse dans le Livre vous appartient. Feuilletez cela; voyez les bonnes choses que Dieu a acquises pour vous. Ne vous contentez pas d’une petite patate froide en attendant; prenez un grand jubilé gastronomique. Dieu a mis cela ici pour vous. Amen. Accrochez-vous-y. Dieu l’a dit. C’est réglé.

36        Abraham a parcouru le pays. Tout lui appartenait. Ensuite, il est parvenu à l’âge de cent ans. Oh! la la! Apparemment tout espoir avait disparu, cependant pas pour Abraham. Je peux entendre certains dire: «Oui, oui. Regardez le vieil homme.» Abraham n’a pas prêté l’oreille à cela. Il croyait Dieu de toute façon.

            Et Dieu l’a appelé, Il a dit: «Abraham, Je suis El-Shaddaï. Je suis le Tout-Puissant.» Or, le mot «El-Shaddaï» vient de l’expression «celui qui porte des seins.» C’est comme la femme, les seins de la femme. «Je suis El-Shaddaï», le Dieu qui porte des seins, le Dieu qui a deux seins, comme une femme. Que fait la femme avec les seins? Le bébé qui est malade tète le sein. Et en tétant, le petit enfant peut être faible, il peut être malade, mais il s’appuie sur le sein de sa mère et tire la vie de sa mère à travers le sein, il tire la vie et la force à travers le sein de la mère.

37        Et remarquez, c’est ce que Dieu était pour Abraham. Il a dit: «Abraham, tu es un vieil homme. Tu as cent ans, mais Je suis Celui qui porte des seins. Accroche-toi tout simplement. Reste juste là. Accroche-toi à cela. Je suis ton Créateur. Je suis le Dieu qui porte des seins.» Pas un sein, mais des seins: le salut et la guérison. Amen.

            «Il était blessé pour nos péchés. C’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris.» Et Il est toujours El-Shaddaï, le Dieu qui porte des seins, qui pardonne toutes tes iniquités, qui guérit toutes tes maladies. Et ces deux seins sont l’Ancien et le Nouveau Testaments. Prenez l’un ou l’autre. Accrochez-vous à la promesse éternelle de Dieu, et tirez pour vous de la Parole de Dieu votre santé physique et spirituelle.

            Le Dieu qui porte des seins... Et non seulement cela, mais l’expression signifie: «Celui qui satisfait.» Le petit bébé, pendant qu’il tète, il ne se fortifie pas seulement, mais il est satisfait pendant qu’il tète. Il cesse de pleurer. Il cesse de se mettre dans tous ses états, de faire des histoires. Il s’appuie tout simplement contre le sein de la mère, et il roule les yeux, et dit: «Je deviens sans cesse plus grand et plus fort.» Il ne pleure plus...

38        Et c’est pareil avec vous une fois que vous vous accrochez à la promesse de Dieu. Vous commencez à tirer votre force de cette promesse-là. «Chaque jour, je deviens de plus en plus fort. Gloire au Seigneur!» Mais vous qui n’êtes pas la postérité d’Abraham, eh bien, vous allez regarder à vos symptômes. «Oh! regardez ici, je suis avisé.»

            Vous savez, s’il y a un homme qui a eu un véritaable cas de symptômes c’était bien Jonas. Si jamais il y a eu un homme qui méritait d’avoir des symptômes, c’était bien Jonas. Vous savez, il avait rétrogradé, on lui avait lié les mains dans le dos ainsi que les pieds, et on l’avait jeté dans une mer en furie, et une baleine l’a avalé et est descendu au fond de la mer. Eh bien, tout poisson quand il a mangé, il retourne faire reposer ses petites nageoires sur le fond de l’océan ou sur... Quand vous donnez à manger à votre petit poisson rouge, observez-le descendre directement pour faire reposer ses...?...

39        Eh bien, il avait avalé ce prédicateur dans une mer en furie, alors que le navire était sur le point de couler, il est descendu directement, ce grand poisson, il est allé se poser sur le fond de la mer, à plusieurs brasses de profondeur, il s’est mis là pour faire reposer ses nageoires. Et Jonas avait rétrogradé, il avait les mains et les pieds liés, dans le ventre de la baleine, il était recouvert des vomissures, et des algues étaient enroulées autour de son cou au fond de l’océan. Frère, il n’y a personne ici qui est dans une aussi mauvaise situation.

            Mais qu’a dit Jonas? De quelque côté qu’il regardait, c’était des symptômes. Quand il regardait de ce côté, c’était le ventre de la baleine, il voyait le ventre de la baleine de ce côté-ci. Il voyait le ventre de la baleine de ce côté là. Partout où il regardait, c’était le ventre de la baleine. Savez-vous ce qu’il a dit? «Ce sont des vanités mensongères. Je refuse de les considérer.» Il a dit: «Je regarderai encore une fois vers Ton saint temple, Eternel.» En effet, il savait que lorsque Salomon avait consacré ce temple, il avait dit: «Eternel, si Ton peuple est en difficulté quelque part, et prie, et regarde vers ce temple, alors exauce du haut des Cieux.» Il croyait dans la prière de Salomon. Et si Jonas qui était dans ces conditions, avec ce genre de symptômes, il a pu regarder vers un temple terrestre, qui fut construit par un homme qui plus tard a rétrogradé, et qu’il a pu croire et être délivré de ces symptômes et a refusé de les voir, à combien plus forte raison le devriez-vous, vous qui êtes remplis du Saint-Esprit?

            Ne regardez pas à votre temple terrestre, mais au Ciel où Jésus est assis à la Droite de Dieu, portant Son vêtement rouge de sang, faisant intercession sur base de votre confession. Et des milliers de gens sont guéris partout. Je refuse de voir tout ce qui est contraire à la Parole de Dieu: «Dieu l’a dit; c’est réglé. Je suis la postérité d’Abraham, et je suis héritier de toute chose.» Oh! la la!

            Faites une fois descendre cela, pas dans votre intellect, mais dans votre coeur une fois et voyez ce que le diable fera. Vous verrez sa lumière rouge remonter la colline. C’est vrai. Il ne peut pas supporter cela.

40        Maintenant, j’aimerais que vous remarquiez, Il a dit: «Je suis El-Shaddaï» Comme c’est beau!

            Il a dit: «Eternel, comment vas-Tu faire ceci?»

            Je n’arrive pas à aborder mon texte, à le terminer; en effet, la prochaine fois que je viendrai, je vais finir ceci. Il se fait vraiment tard.

            Il a dit: «Eternel, dis-moi comment Tu vas faire ceci.»

            Il a dit: «Viens ici dehors, Abraham. Je vais te montrer ce que Je vais faire. Je vais te montrer ici même ce que je vais faire.» Il a dit: «Prends-Moi une génisse de trois ans, amène-Moi une brebis de trois ans, et ainsi de suite. Et–et amène-les ici et tue-les.» Et Abraham est allé chercher la–la génisse, le bélier, et le bouc, et les a coupés en deux. Il a pris un pigeon et une tourterelle. J’aurais souhaité que nous ayons le temps d’aborder cela. Tout lecteur de la Bible sait que la tourterelle représentait la guérison. Dieu a réparti des dispensations, Il les a subdivisées, mais pas la guérison, jamais.

41        Remarquez, Il a toujours eu une voie pour la guérison. Même lorsqu’ils avaient des juges, et qu’ils avaient toutes sortes de dispensations, mais Dieu continue de guérir. Mais il a coupé les animaux, les trois bêtes, mais il n’a pas coupé la tourterelle ni le pigeon. Il les a posés. Il en a éloigné les oiseaux. Eh bien, observez comment Dieu lui a dit ce qu’Il allait faire.

            Maintenant, lorsque le soleil s’est couché, Il a dit: «Maintenant, Abraham...» Un profond sommeil tomba sur Abraham. Eh bien, qu’est-ce? «Abraham, tu n’as rien à faire dans ceci. Ça c’est Mon travail. Je vais faire ceci, parce que tu n’arriveras pas à garder cela. C’est pourquoi Je vais le faire de toute façon. Abraham, Je vais te mettre hors du tableau. Va te coucher.»

            Et Abraham est allé se coucher. Et ensuite la première qu’il a vue–la première chose qui l’a assailli, c’était la frayeur et l’obscurité. Qu’est-ce que cela représente? Cela représente la mort. C’est ce qui doit arriver à chaque pécheur. Chaque personne doit affronter la mort. Des ténèbres horribles apparurent devant lui. «Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort.» La chose suivante qu’il a vue, c’était une fournaise fumante. Qu’était-ce? L’enfer. Chaque pécheur ira là-bas, chaque âme impénitente ira là–en enfer... Et ensuite, vint une petite Lumière blanche. Et remarquez, Elle est passée entre chacun de ces morceaux. Elle a fait des va-et vient. Il a dit: «Abraham, c’est ce que Je vais faire. C’est de cette manière que Je vais le faire.» Que faisait-Il? Il faisait Son alliance avec Abraham.

42        Or, en Amérique, lorsque nous faisons une alliance, que faisons-nous? Nous allons là, nous prenons un petit quelque chose à table, et–et vous vous levez, et vous dites: «Vas-tu faire cela mon gars?»

            «Oui.»

            «Tope-la.» Voilà. C’est comme ça qu’on fait une alliance. Vous vous serrez la main pour sceller cela. C’est de cette manière que nous les Américains, nous faisons des alliances. Qu’est-ce que les gens font au Japon, lorsqu’ils font une alliance? Ils vont là et en parlent ensemble, ensuite ils prennent une petite salière, ils se jettent du sel l’un sur l’autre. Ça c’est la façon dont on fait une alliance au Japon. Alors–qu’est-ce–c’était une alliance en Orient au temps d’Abraham? Les gens allaient là et ils tuaient une bête, ils prenaient cette bête et la coupaient en deux, et ils se tenaient entre les morceaux de la bête et ils écrivaient leur alliance, ce qu’ils allaient faire. Et ensuite ils prenaient ce morceau de papier et le coupaient en deux. Un homme prenait un morceau et un autre prenait l’autre morceau. Ils levaient leurs mains vers le ciel et ils juraient que s’ils brisaient cette alliance, que leurs corps soient comme le cadavre de cette bête. C’est de cette manière que Dieu jura à Abraham qu’Il tiendrait cette promesse.

43        Maintenant remarquez, lorsqu’on réunissait ces deux morceaux, ils devaient s’ajuster pour que l’alliance soit confirmée. Cela devait être le même morceau de papier. Cela devait... Quoi que c’était, ça pouvait avoir été écrit sur une peau, cela était déchiré et cela devait être... Cela devait correspondre parfaitement quand on les réunissait.

            Eh bien, qu’est-ce que Dieu annonçait là? Oh! Vous ne pouvez plus douter si vous voyez ceci. Cela ôtera de vous chaque doute. C’était Dieu qui montrait ce qu’Il ferait au monde par la postérité d’Abraham. Un peu plus tard, Il a ramené Abraham et Saraï en un jeune homme et une jeune fille, Il a montré ce qu’Il va faire pour nous tous.

            Papa, vous pouvez être vieux, et vous mère, vous pouvez être vieille, mais je vais vous donner la promesse tirée de la Parole de Dieu: à la résurrection vous redeviendrez jeunes. Et je vais vous donner la promesse de la Parole de Dieu, vous ne serez jamais un ange. Vous serez un être humain. Dieu vous a créé un être humain, pas pour vous détruire, mais pour vous ressusciter. C’est le péché qui a amené la destruction, mais la Vie vous rend éternel. Vous ne serez jamais un ange. Vous ... Si Dieu voulait que vous soyez un ange, Il vous aurait créé un ange. Il a voulu que vous soyez un homme et une femme, alors Il vous a créé en tant que tel.

44        Souvenez-vous, lorsque vous aviez accompagné maman à l’autel, elle était belle, papa était beau avec ses cheveux peignés vers l’arrière. Un matin vous vous êtes réveillés, et sous les beaux yeux de maman s’étaient formées des rides. Papa, vous aviez des cheveux gris. Quel est le problème? Au bout d’environ vingt-cinq ans, la mort s’installe graduellement pour vous emporter. C’est ce que fait la mort. Un jour, elle va vous emporter. Mais elle ne peut pas vous garder. Et à la résurrection tout ce que la mort vous avait fait sera ôté, et vous ressusciterez un nouvel homme, jeune, beau, et une belle jeune femme. C’est l’AINSI DIT LE SEIGNEUR tiré de la Parole de Dieu.

            C’est la postérité d’Abraham qui va se rassembler sur la surface de la terre, ce ne seront pas des anges ni des esprits volant dans les airs, mais des hommes et des femmes qui mangeront, qui boiront comme ils le faisaient ici, sans péché, sans mort, sans vieillesse ni quoi que ce soit. Vous ne comprenez pas quelle belle promesse Dieu a faite.

45        Alors Il a pris Son Fils, Il Lui a donné la forme d’une chair de péché et L’a amené là au Calvaire (Suivez attentivement maintenant.), Il L’a amené au Calvaire, et là Dieu a écrit l’alliance qu’Il a faite avec la race humaine. Oh! frère, voyez cela. Il a pris le Seigneur Jésus, le Libérateur qui a fait cette proclamation, Il L’a amené au Calvaire, Il L’a déchiré en deux. Il a pris le corps au Ciel, Il l’a fait asseoir sur le Trône et a envoyé sur la terre l’autre partie, qui est le Saint-Esprit. Et ce même Saint-Esprit est ici sur terre, formant le Corps de Christ. Et à la résurrection, il faudra avoir le même Saint-Esprit authentique qui est tombé le jour de la Pentecôte, qui était en Jésus-Christ; qu’il soit dans l’église pour entrer dans cette alliance, alors vous serez la postérité d’Abraham et héritiers de toute chose. Amen. Dieu a juré qu’Il le ferait. Il a promis qu’Il allait le faire. Il a fait une alliance disant qu’Il le ferait. Il a ressuscité Christ des morts pour prouver qu’Il le ferait. Il a envoyé le Saint-Esprit sur la terre pour poursuivre la même oeuvre que Jésus a faite lorsqu’Il était sur terre pour vous prouver que nous n’avons rien à craindre.

            Peu importe tout ce qui est contraire à cela, c’est un mensonge. La Parole de Dieu est la Vérité éternelle. Accrochez-vous-y. Reposez-vous là-dessus. Tenez-vous-en à cela. C’est la Vie. Croyez-La de tout votre coeur.

46        Ecoutez, mon ami pécheur, avez-vous déjà accepté cela? J’aurais souhaité avoir deux heures pour parler de ceci. C’est trop court. Mais écoutez, avez-vous déjà accepté cela? Si vous ne l’avez pas encore accepté, c’est maintenant le moment. Si vous ne pouvez pas le faire, vous ne pouvez en aucun cas entrer dans le Royaume de Dieu avec l’expérience d’un morceau qui ne s’ajuste pas, se joindre à une certaine église, devenir membre d’une loge. C’est bien d’être membre d’une loge, c’est bien d’être membre de l’église. Je n’ai rien contre cela. Peut-être sur base des mérites de votre instruction vous pouvez... C’est bien. C’est une bonne chose. Ça pourrait être basé sur des mérites de votre mère. C’est une bonne chose. Mais vous-même, vous devez être dans cette alliance avec Dieu afin que cela puisse s’ajuster avec la même expérience. Vous devez être dans l’alliance de Dieu.

47        Pour terminer, il y a quelque temps–cela fait quarante, cinquante ans–un grand évangéliste traversait le Moyen-Orient, un homme bien connu. Il s’appelait Daniel Curry. Vous avez peut-être lu son histoire. Et un soir, il a fait un songe, et il a rêvé qu’il était mort, et qu’il est allé au Ciel. Lorsqu’il est arrivé à la porte, le portier s’est avancé et a dit: «Qui s’approche de cette porte?»

            Il a dit: «C’est moi, Daniel Curry, qui m’approche de cette porte. Je suis un évangéliste, et je m’approche de cette porte. J’ai gagné beaucoup d’âmes au Seigneur Jésus, et je m’approche de cette porte pour recevoir ma récompense éternelle au Ciel.»

            Et le portier a dit: «Un instant, Monsieur Curry.» Il est allé jeter un coup d’oeil dans le Livre. Il est revenu, il a dit: «Monsieur Curry, je regrette de vous informer que votre nom ne se trouve pas ici. Je ne peux pas vous laisser entrer.»

            «Oh! a-t-il dit, vous devez vous être trompé, monsieur. Regardez de nouveau.»

            Il a de nouveau regardé. Il a dit: «Je regrette, mais vous ne pouvez pas entrer, a-t-il dit, parce que votre nom n’est pas ici.» Il a dit: «La seule chose que vous pouvez faire maintenant, si vous le souhaitez, vous pouvez interjeter appel, si vous souhaitez le faire, au jugement du grand Trône blanc.»

            «Oh! a-t-il dit, si mon nom n’y est pas, je n’ai pas de choix. Je dois interjeter appel pour mon cas au jugement du Trône blanc.»

48        Alors il a dit qu’il a commencé à se déplacer dans l’espace. Il est monté il est monté. Il a dit que cela devenait de plus en plus clair, de plus en plus clair. Et après un instant, il faisait tellement clair, cela provenait d’un certain endroit, et c’était vraiment une grande lumière, des millions de fois plus claire que celle du soleil. Et il a dit qu’il a commencé à descendre petit à petit. Et après un instant, il s’est arrêté. Il a entendu une voix gronder de quelque part dans l’éternité, dire: «Daniel Curry!» Il a dit: «As-tu déjà dit un mensonge lorsque tu étais sur terre?»

            Et il a dit: «J’étais sur le point de dire ‘non, mon Seigneur’, et–mais en présence de cette Lumière, j’ai vu qu’il y avait là bien des choses que j’avais déformées.»

            La Voix a dit: «Daniel Curry, as-tu déjà volé pendant que tu étais sur terre?»

            Il a dit: «J’étais sur le point de dire ‘non Seigneur, j’étais un homme honnête, un évangéliste’, mais, a-t-il dit, dans la Présence de cette Lumière j’ai pensé aux nombreuses choses louches que j’avais faites.»

49        Frère, vous pourriez ne pas beaucoup y penser maintenant, mais dans la présence de cette Lumière... Allez voir... Bien des choses que... Vous vous dites: «Eh bien, je suis membre de l’église, prédicateur. C’est suffisant.» Mais dans la présence de cette Lumière, il vous faudra plus que cela. Il vous le faudra.

            Il a dit: «Daniel Curry, étais-tu parfait lorsque tu étais sur terre?»

            Et il a dit: «J’ai dit: ‘Non, Seigneur. Je n’étais pas parfait.’ Et ainsi... Il y a eu un silence. Je m’attendais à entendre une grande détonation.» Il a dit: «C’était comme si mes os se détachaient. Eh bien, je m’attendais à entendre la grande détonation d’une voix disant: ‘Eloigne-toi de Ma présence, car seule la perfection peut entrer ici. Va dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et ses anges.’» Il a dit: «Alors que je m’attendais à entendre cela, a-t-il dit, j’ai entendu la plus douce voix que j’aie jamais entendue. Aucune mère ne pourrait avoir une telle voix.» Et il a dit: «Je me suis retourné pour voir.» Il a dit: «J’ai vu un visage plus doux que celui de n’importe quelle mère. Je n’ai jamais vu quelque chose, a-t-il dit, qui pourrait être comparé à ce visage. Et Il s’est approché de moi, Il m’a entouré de Ses bras, et Il a dit: ‘Père, non. Daniel Curry n’était pas parfait sur terre, mais sur terre, il a pris position pour Moi. Maintenant au Ciel, Je vais prendre position pour lui.’»

50        Je me demande, qui prendra position pour vous? Prions pendant que nous y pensons. Réfléchissez-y. Qui prendra position pour vous? Père céleste, en ce moment solennel, j’accorde à cette petite assistance qui a attendu et qui a écouté, qui s’est tenue sous la pluie, qui est restée assise dans les sièges pendant de très longues heures, que chacun d’eux puisse réfléchir maintenant même à ceci: «Qui prendra position pour moi? Pour qui est-ce que je prends position?» Et Père, en ce moment solennel, inonde nos êtres, sachant que nous allons tous devoir comparaître là... «Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement.» Oh! Combien j’aimerais qu’Il se tienne là à ma place. Et je pourrais devoir me tenir là avant le lever du jour, et nous ne savons pas qui ici devra se tenir là avant demain matin, mais il y a une seule chose que nous savons, nous allons tous nous tenir là. Et que cet Esprit du Saint-Esprit touche chaque coeur en ce moment de profonde sincérité, pendant que nous nous inclinons dans Ta Présence.

            Et maintenant avec vos têtes inclinées et vos coeurs inclinés dans la prière, nous n’avons pas de place ici pour faire un appel à l’autel, pour vous faire venir, mais vous n’en avez nécessairement pas besoin. La seule chose que vous devez reconnaître, c’est que vous êtes un pécheur et qu’il vous faut Christ. Et si vous reconnaissez cela ce soir, mon ami, et que vous vouliez qu’Il prenne position pour vous, allez-vous prendre position pour Lui ce soir? Car Il a dit dans Sa Parole: «Celui qui écoute Ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle.»

51        Je me demande pendant que nous prions, chaque chrétien, que les pécheurs qui sont ici... levez la main vers Dieu, pas vers moi... Pendant que chaque oeil est fermé, que le Saint-Esprit seul et moi puissions regarder ceci. Veuillez lever la main et dites: «Ô Dieu, par ma main levée, je veux dire que je prendrai position pour Toi ce soir. Je prends position maintenant même.» Combien de mains verrai-je levées en ce moment? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse.

            En haut au balcon, y a-t-il quelqu’un là-haut qui dira: «Frère Branham, je–je ne suis pas un chrétien. Je vais à l’église, mais je me rends compte que je ne suis pas un chrétien. Vraiment, lorsque vient le moment de prendre position pour Christ, je n’ai pas la grâce, le courage de le faire. Je me détourne simplement. Pendant que les gens racontent des plaisanteries, je ne tente pas de les remettre dans la bonne voie, quand ils racontent ces choses vulgaires au bureau et quand les voisins les racontent, lorsque nous sommes dans nos petites soirées et ainsi de suite. Je–je–je–je–je ne suis pas un–je ne suis pas un chrétien, Frère Branham. Et Dieu le sait, je vais lever ma main ce soir, et dire: ‘Ô Dieu, aie pitié de moi. Je veux être un chrétien. Je veux prendre position ce soir, et j’aimerais que Tu prennes position pour moi à l’heure de ma mort, lorsque je traverserai la rivière’.»

52        Voulez-vous lever la main, y a-t-il quelqu’un d’autre? Levez-la maintenant. Que Dieu vous bénisse. Y a-t-il quelqu’un d’autre? «J’accepte maintenant Christ, je sais qu’Il m’acceptera, si seulement je prends cette position courageuse en ce moment; par la grâce de Dieu, je vais tenir ma promesse envers Lui.» Y a-t-il quelqu’un d’autre? Alors que vous levez la main, dites: «Je le ferai maintenant.»

            Très bien. Prions maintenant pour ceux qui ont levé leur main. Dieu notre Père, je Te les recommande, et je Te prie, en cette heure de... Je sais que Tu l’as fait. Ta Parole ne peut faillir. Tu as dit: «Nul ne peut venir, si Mon Père ne l’attire, et tout celui qui viendra, Je lui donnerai la Vie Eternelle.» Tu as promis de les ressusciter au dernier jour. Lorsque ce corps sera détruit et qu’il sera retourné aux éléments de la terre, Tu rassembleras de nouveau cela un jour sous forme d’un jeune homme ou d’une jeune femme. Et alors l’Esprit immortel sera insufflé dans leurs narines, et ils vivront avec maman et papa, et avec les saints qui sont au Ciel, et nous vivrons éternellement ensemble. Accorde-le, Seigneur. Je prie au Nom de Jésus. Amen.

            Que le Seigneur vous bénisse pendant que vous prenez position. Dieu vous a vu. Il connaît votre coeur.

53        Il se fait un peu tard. Et je suis toujours un peu en retard. Et maintenant, j’ai parlé longuement, quoiqu’un peu nerveux, j’ai parlé et je n’ai pas abordé mon texte. Je prends trop de temps, je pense. Et c’est vraiment difficile pour moi de prier pour les malades après avoir fait cela, parce qu’il y a une onction pour la prédication, mais il y en a une autre pour voir des visions. La prédication apporte la joie. Les visions vous affaiblissent. C’est vous qui faites cela. Mais combien ici n’ont jamais assisté à mes réunions auparavant? Faites voir vos mains. Oh! la la! Voulez-vous bien regarder?

            Très bien, maintenant nous allons appeler la ligne de prière. Mais juste avant cela, j’aimerais prendre un instant pour parler aux gens. Eh bien, je ne prétends pas être un guérisseur. Je ne crois pas qu’il existe quelqu’un dans ce monde qui soit un guérisseur, qu’il soit ministre, évangéliste, ou docteur, ou chiropraticien, qui qu’il soit; ce n’est pas un guérisseur. Dieu seul est le Guérisseur.

            Les frères Mayo disent qu’ils ne sont pas des guérisseurs. Ils assistent la nature, ils remettent les os en place, suturent des plaies, ôtent des parties abimées, mais c’est Dieu le Guérisseur. Dieu est le seul Guérisseur

54        Jésus-Christ n’a jamais prétendu être un guérisseur. Il a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les l’oeuvres. C’est Mon Père qui habite en Moi. C’est Lui qui fait les oeuvres.»

            Le croyez-vous? Très bien maintenant, j’aimerais alors vous poser une question. Eh bien, qu’est-ce que la guérison? La guérison (Suivez attentivement), c’est votre foi personnelle dans l’oeuvre achevée du Seigneur Jésus-Christ au Calvaire; par ce que Dieu a fait par Lui au Calvaire, Il a acquis votre salut et votre guérison. Les hommes et les femmes qui ont levé leurs mains il y a quelques minutes pour être sauvés, ce n’est pas à ce moment-là qu’ils ont été sauvés. Ils ont été sauvés il y a dix-neuf cents ans au Calvaire. Ils ont simplement accepté cela à ce moment comme un don de Dieu.

55        Vous qui... J’étais autrefois aveugle. Je n’arrivais pas à voir à cause de l’astigmatisme qui faisait trembler ma tête. Je marchais comme ceci, portant de grandes lunettes; quelqu’un devait me conduire. Mais maintenant, je peux lire les caractères des journaux à cinq pieds [1,50 m] devant moi. Qu’est-ce? C’est simplement la grâce de Dieu. J’ai accepté Jésus comme mon Guérisseur. Il y a plusieurs années, les médecins m’avaient abandonné, car ils ne m’avaient donné que trois minutes à vivre. Ils disaient que j’allais mourir–ils ont dit à mon père–dans trois minutes. Le Seigneur Jésus m’est apparu. Je L’ai accepté comme mon Guérisseur, étant un garçon pécheur, ne Le connaissant pas, et aujourd’hui, bien des années après, je suis en parfaite santé à ce que je sache, à quarante-sept ans. Eh bien, c’est à cause de Sa grâce. Il est mort pour cela, et j’ai accepté cela. C’est ma propriété personnelle. C’est votre propriété personnelle.

            Maintenant, croyez-vous que la Bible dit que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement? Hébreux 13.8. La Bible dit-Elle qu’Il est un Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités? Si Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement, j’aimerais vous poser une question. Et hier, a-t-Il dit qu’Il guérirait les malades? Oh! Il a dit: «Je fais seulement ce que le Père Me montre.» Saint Jean 5.19. Ça, c’est pour les nouveaux venus. «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même.»

56        Lorsqu’Il est passé à côté des milliers d’infirmes, de boiteux, d’aveugles, de paralytiques, à la piscine de Béthesda, il y avait des multitudes... J’ai appris, selon le dictionnaire grec, qu’il faut au moins deux mille personnes pour faire une multitude. Ainsi, des multitudes de gens étaient couchés là, des boiteux, des infirmes, des aveugles, des paralytiques, qui attendaient que l’eau soit agitée... Jésus est passé simplement au milieu de ces gens, sans en toucher un seul, Il s’est dirigé vers un homme qui était couché sur un petit grabat, qui avait peut-être, oh! la prostatite ou la tuberculose, c’était chronique. Et Il a dit: «Veux-tu être guéri?» Il a laissé les autres, Il a guéri celui-là et Il est parti.

            Lorsqu’on L’a interrogé, Il a dit: «Je ne fais rien de Moi-même.» Combien savent que c’est ce que la Bible dit? Il a dit: «Ce que Je vois le Père faire, le Fils le fait pareillement.» A-t-Il dit cela?

57        Bon, Philippe est venu vers Lui une fois et il a été sauvé, et il est allé trouver Nathanaël sous un arbre. J’ai cité ceci au cours de deux soirées. Je ne sais pas pourquoi je reviens là-dessus. Nous pouvions simplement continuer à parcourir les Ecritures, il y a tant de passages. Vous qui lisez la Bible vous savez cela. Mais lorsqu’il est entré dans la Présence de Jésus... Ceci semble être un point principal, juste ici. Lorsqu’il est entré dans la Présence de Jésus, Jésus a dit: «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Il a dit: «Rabbi, quand m’as-Tu connu?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât lorsque tu étais sous l’arbre.» C’était à trente miles [48 km] de l’autre côté de la montagne. Comment L’a-t-il vu à trente miles de l’autre côté de la montagne?

            Qu’a dit cet homme: «Tu es le Fils de Dieu.» C’était l’attitude des Juifs. Je veux dire de véritables croyants Juifs. «Tu es le Roi d’Israël.»

            Il a dit: «Parce que Je t’ai dit ceci, tu crois?» Il a dit: «Tu verras de plus glorieuses choses que celles-ci.»

58        Bien des fois Il disait aux gens qui ils étaient, lorsqu’ils venaient vers Lui. Il savait où était le poisson qui avait une pièce de monnaie dans sa bouche. Il savait où deux mules étaient attachées, là où deux chemins se croisaient. Il y avait bien des choses que le Père Lui montrait... Une femme a touché Son vêtement, et est allée s’asseoir, ou elle s’est tenue là, ou peu importe où elle était. Jésus a dit: «Qui M’a touché?»

            Pierre a dit: «C’est tout le monde qui Te touche.»

            Il a dit: «Mais J’ai senti Ma force Me quitter–la vertu.» Et Il a regardé autour de Lui, et Il a découvert la femme, et Il lui a dit qu’elle avait une perte de sang. Et Il a dit: «Ta foi t’a sauvée. Ce n’est pas Moi qui ai fait cela. Je n’ai vu aucune vision. Mais c’est Ta foi qui t’a sauvée.»

            Est-ce vrai? «Ta foi!» Elle s’est prosternée à Ses pieds et elle a tout confessé.

59        Eh bien, elle L’avait touché. Croyez-vous que vous pouvez Le toucher ce soir? Si Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il doit avoir un certain moyen pour qu’on puisse Le toucher. Et la Bible dit qu’Il est le Souverain Sacrificateur... Hébreux. Il est le Souverain Sacrificateur de notre confession. Il peut être touché par le sentiment de nos infirmités, pas «Il était», «Il est»! Vous pouvez Le toucher de la même façon.

            Maintenant, s’Il est ressuscité des morts, Il est le même dans les principes, le même en puissance, le même dans Son attitude, Il est simplement le même Jésus, sinon cette Bible est fausse, et je suis un faux témoin, et ces ministres sont des faux témoins, et votre témoignage est faux.

60        Il existe des centaines de religions. Et frère Cook qui est assis ici, merci pour votre livre, Frère Cook. Je le lisais il y a quelques instants. On me l’a fait parvenir en chambre. Trente-sept ans en Inde. Il pourrait vous parler au sujet de fausses religions qui par centaine renient Christ. Mais il n’y en a qu’une seule et c’est la religion de Jésus-Christ, qui peut prouver qu’Il est vivant, pas par la psychologie, pas par l’émotion. Nous battons des mains et nous poussons des cris, les mahométans aussi, les bouddhistes aussi.

            Les mahométans entrent dans un état d’agitation extrême au point qu’ils prennent des échardes et les plantent dans leurs doigts, sans même les ressentir. Ils prennent une lance à la fête des prophètes, et ils s’en transpercent le nez, et ils s’en transpercent la tête comme ceci, et retirent cela... Ils prennent une lance...

            J’étais juste là à Lausanne, en Suisse, et ils ont pris une lance–ou plutôt une épée et quelqu’un s’est transpercé comme ceci, et un médecin était là pour examiner cela, et on a versé de l’eau à cette extrémité et elle est ressortie de l’autre côté, et il l’a retirée de son coeur sans une seule goutte de sang, il était excité, emporté. C’est vrai. Mais ils ne peuvent pas guérir. Ils ne peuvent pas ôter le péché. Ils ne peuvent pas prouver la résurrection. Ils peuvent prouver la psychologie, mais pas la résurrection.

61        Il existe donc toutes sortes d’ismes. Mais il n’y a qu’une seule religion chrétienne authentique, et Jésus-Christ est l’Auteur de cette foi, Il est mort et Il est ressuscité, et Il a dit: «Ces choses, vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez davantage (Je sais que la version du Roi Jacques dit ‘de plus grandes’, mais observez et voyez s’il n’y en a pas davantage.) ... davantage...», parce qu’Il sera dans l’église, partout. «Vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père. Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus. Mais vous vous Me verrez. Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde. Allez par tout le monde, et démontrez la puissance du Saint-Esprit à toute la création. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Jusqu’où? Par tout le monde. A combien de gens? Toute la création. Les deux tiers du monde ne connaissent même pas le Nom de Jésus ce soir. L’Evangile a toujours Sa force, et l’aura toujours jusqu’au retour de Christ. Alors l’Esprit, le contrat, montera avec le corps, et ceux qui ont été rachetés par le Sang, s’uniront comme Mari et femme, comme le Roi et la Reine, et ils s’assiéront sur le trône de David et dirigeront la terre.

62        Maintenant, si c’est vrai, et si Jésus venait sur cette estrade et dans ces gens, et produisait la même sorte de Vie et faisait les mêmes choses qu’Il a faites ici sur terre, allez-vous L’accepter pour vos besoins? Allez-vous lever votre main vers Lui?

            Dites: «Je vais L’accepter pour mon besoin.» Très bien. Que le Seigneur vous bénisse.

            Maintenant: «Frère, avez-vous peur de faire ce genre de déclaration?» Non, non.

            Il l’a promis, et c’est Sa promesse. Peu importe tout ce qui est contraire à cela, je dis que c’est un mensonge. Dieu l’a dit. C’est réglé. C’est un don. Et Lui, lorsque vous vous abandonnez à l’Esprit de Dieu...

            Dieu est le même. Jésus est le même. Il agit de la même façon. Il mène la même vie. Il agit de la même façon. Il agit en vous comme Il le ferait s’Il était ici sur terre. Et qu’a-t-Il dit? «Vous êtes le cep.» Est-ce juste? Je voulais juste voir si je pouvais vous attraper là-dessus. Vous êtes quoi? Les sarments. «Je suis le Cep.»

63        Or, le cep ne porte pas de fruit, n’est-ce pas? A qui s’adressait-Il? A l’église. «Je suis le Cep. Vous êtes les sarments.» Le sarment est stimulé par la vie du Cep, par conséquent Jésus n’a pas de lèvres ce soir sur terre, à part les miennes et les vôtres. Il n’a pas d’yeux à part les miens et les vôtres. Il n’a pas de mains à part les miennes et les vôtres. Il nous stimule, et nous produisons Sa Vie pendant qu’Il La produit à travers nous. Qu’il s’agisse de prêcher l’Evangile par nos lèvres, ou de voir des visions par nos yeux, de quoi qu’il s’agisse, l’imposition des mains aux malades, de quoi qu’il s’agisse, c’est Christ qui opère à travers les sarments de Son Eglise, de chaque office qui est littéralement électrisé par Sa Présence.

            N’est-ce pas merveilleux? Nous y sommes. Maintenant, soit j’ai dit la Vérité, soit j’ai dit un mensonge. Si j’ai dit un mensonge... Dieu n’aura jamais rien à voir avec un mensonge. Vous le savez bien. Si j’ai dit la Vérité, Dieu est obligé de confirmer que c’est la Vérité.

64        Prions. Maintenant, Père céleste, je Te prie de m’aider et d’aider cette assistance. Peu importe à quel point je croirais, eux aussi ils doivent croire, parce que c’est leur foi qui fait agir Ta Présence, qui obtient de Toi tout ce qu’ils désirent. Tu es allé dans Ton propre pays, la totalité, sans mesure, la plénitude de la divinité corporellement, et les hommes et les femmes n’ont pas cru en Toi. Ils ont dit: «Eh bien, Il n’a aucune instruction. Où a-t-Il reçu Son instruction? D’où Lui vient-elle? Eh bien, d’où Lui vient cette sagesse? Son père n’est-il pas avec nous, le charpentier, et Sa mère, et Ses frères, et Ses soeurs, ne sont-ils pas tous ici?» Et la Bible dit: «Il n’a pas pu faire beaucoup de miracles à cause de leur incrédulité.» Et Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement. Ô Dieu, ôte de nous toute incrédulité, et que nous nous soumettions au Saint-Esprit, et que nous puissions atteindre un point culminant dans cette réunion, afin que chaque personne malade et affligée soit guérie. Ô Dieu, accorde-le au Nom de Christ. Amen.

65        Maintenant, nous allons appeler la ligne de prière, Dieu voulant. Nous allons devoir nous dépêcher. Toutefois ne soyez pas nerveux; en effet, cela dérange tout le monde. Restez tranquilles. Par où avons-nous appelé dans la ligne de prière? Vous qui avez les cartes de prière. Très bien. Que–qu’était-ce? Très bien. Eh bien, commençons de toute façon. Commençons par le numéro 1. Cela... Qui a la carte de prière numéro 1? Alignons les gens rapidement. Dis, as-tu distribué le numéro 1? Très bien, le numéro 1. Très bien. Très bien, je veux les E. Très bien. E? Etait-ce ça?

            Votre carte porte-t-elle la lettre E, soeur, E-1? F-1. Très bien. F-2, levez la main rapidement, rapidement maintenant. F-2, voulez-vous... 2? 3? 3? 4? [Espace vide sur la bande.–N.D.E.]

66        L’un d’eux est un fondamentaliste et l’autre c’est un pentecôtiste. Les fondamentalistes côté position savent qu’ils sont en Christ, mais ils n’ont pas la foi. Les pentecôtistes reçoivent le Saint-Esprit et ont beaucoup de foi, mais ils ignorent qui ils sont. Si je pouvais les réunir ... C’est comme un homme qui a de l’argent en banque, mais qui ignore comment établir un chèque. L’autre sait établir un chèque mais n’a pas d’argent en banque. Alors, si vous pouvez les réunir, la foi fondamentaliste et les pentecôtistes, ou la foi pentecôtiste et les fondamentalistes, le Millénium s’installera. L’église se tiendra debout. Dieu en tirera la gloire. Voyez?

            Or, le don de prophétie doit être jugé par des juges avant que cela soit apporté à l’église. Il pourrait être sur celui-ci ce soir, sur celui-là demain soir, celui-là le soir suivant, celui-là... C’est un don qui est dans l’église. Mais un prophète naît prophète dès le sein de sa mère. La Bible dit que Jean-Baptiste était un prophète, sept cent douze ans avant sa naissance, Esaïe l’avait vu et avait dit: «Il est la voix de celui qui crie dans le désert.» Est-ce juste? Moïse était né prophète, il n’avait pas choisi de l’être.

67        Je crois que c’était Zacharie, la Bible a dit que Je-... Dieu lui a dit: «Avant même que tu fusses formé dans le sein de ta mère, Je te connaissais et Je t’avais consacré, et Je t’avais établi prophète des nations.» Voyez? «Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes, Dieu cependant à travers le–dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils, Jésus-Christ.» Alors, c’est un don qui vient dans l’église par lequel nous prophétisons, nous parlons en langues, nous interprétons les langues, et nous imposons les mains aux malades.

            J’aurais souhaité avoir le temps de vous relater les miracles que j’ai vus s’accomplir: des gens, des laïcs imposer les mains aux malades, et les malades être guéris, lorsque l’Esprit les touche et les avertit d’aller faire cela. Ils obéissent.

68        Maintenant, soyons très respectueux. Fiston, s’il te plaît, peux-tu jouer Crois seulement un instant? Il y a quelque chose dans ce cantique. Eh bien, je l’ai entendu être chanté dans presque chaque langue qui existe sous le ciel, lorsque des milliers de païens qui étaient en guerre les uns contre les autres se sont réunis et ont chanté Crois seulement. Crois seulement, cela a été composé par mon ami Paul Rader, qui est allé au Ciel. Lorsqu’il a affronté la mort avec bravoure en Californie, pendant que le petit institut biblique Moody avait envoyé un quatuor là-bas pour chanter, et qu’ils chantaient Mon Dieu, plus près de Toi. Combien ont connu Paul Rader, ou ont déjà entendu parler de lui? Bien sûr. Il avait un sens de l’humour.

            A propos, F. F. Bosworth qui est aussi son ami pourrait me suivre dans cette réunion, ou Tommy Osborn. S’ils venaient ici, recevez-les en Christ. Ce sont de véritables, de véritables frères. Le pasteur a dit–il demandait s’il pouvait les attraper pour venir continuer.

69        Maintenant, écoutez. Pendant que Paul se mourait, il a dit: «Qui est en train de mourir? Est-ce vous ou moi? Tirez ces rideaux et chantez-moi des cantiques de l’Evangile pleins d’entrain. Alors lorsqu’on s’est mis à chanter, Paul a dit: «Où est Luc?» Luc et Paul étaient tout le temps ensemble comme mon fils Paul Billy et moi. Ils étaient toujours ensemble. Ils étaient des frères. On a appelé Luc. Luc était dans une autre pièce. Il ne voulait pas voir son frère mourir. Alors il a dit: «Où es-tu, Luc?» Luc s’est avancé, il a pris la main de Paul. Paul a dit: «Luc, nous avons parcouru un long chemin ensemble, mon frère. Mais penses-y: Dans cinq minutes je serai dans la Présence de Jésus-Christ, vêtu de Sa justice», il a serré la main de Luc et il est allé rencontrer Dieu.

            Laissez-moi partir comme cela. C’est juste. Laissez-moi partir comme cela lorsque mes jours de lassitude seront terminés.

            Paul a écrit ce cantique quand je tenais une grande réunion à Fort Wayne, c’est à ce moment-là qu’il a écrit ce cantique dans cette pièce-là. Je n’ai pas pu m’empêcher de pleurer lorsque j’ai entendu cela. Je pouvais voir Paul. Je le reverrai un jour.

70        Très bien. Crois seulement, tout est possible. Observons venir maintenant du Ciel le Seigneur Jésus, qu’Il traverse les couloirs du Ciel. J’ai parlé pour Lui. J’ai fermé le Livre. C’est maintenant le moment pour Lui de parler. S’Il confirme que ce que j’ai dit est la vérité, si vous en doutez, vous êtes un pécheur. Souvenez-vous: «Va et...», ne fais plus quoi? Qu’est-ce que le péché? L’incrédulité. Va et ne doute plus, sinon il t’arrivera pire. Alors ne doutez pas. Croyez seulement.

            A cause du temps, dépêchons-nous et faisons venir les gens. La dame qui se tient ici m’est inconnue à ce que je sache. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Je ne la connais pas, mais je suis heureux que ce soit une femme qui soit la première ce soir. J’aime dessiner un petit tableau des Ecritures. Combien... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] institution ce soir. Ne faites pas le religieux, mes amis. Il s’agit de l’église. La miséricorde de Dieu. Nous sommes au bout du chemin. Ce sont les signes des derniers jours. Maintenant, que le Dieu du Ciel nous aide ce soir afin que vous n’ayez aucune excuse au jour du Jugement. Et Dieu sait que cela ne s’accomplira que s’Il le veut. Je n’ai aucun moyen de dire qu’Il le fera, mais s’Il fait agir de nouveau Sa Vie ce soir juste ici, alors vous n’aurez aucune excuse, et vous qui L’aimez, vous vous réjouirez et vous serez heureux parce que votre religion est vraie et que votre Christ est ressuscité des morts. Que le Seigneur vous bénisse.

71        Maintenant, madame, je... Que celui qui règle le microphone, s’il peut augmenter cela un peu, l’ingénieur, car l’onction qui est maintenant sur moi, si cela... Je ne sais pas pendant combien de temps–à quel point je parle fort, car c’est un autre monde. Maintenant, si je disais: «Femme, vous êtes malade.», ça pourrait être juste. J’aurai deviné cela. «Et vous allez être guérie.» Vous devrez probablement avoir deviné cela. Ce que je vous dis doit être quelque chose qu’il vous est impossible de savoir. Mais que se passerait-t-il s’Il me disait quelque chose qui est déjà arrivé? Alors vous saurez si c’est la vérité ou pas.

            Maintenant, lorsque le Seigneur Jésus venait vers une personne... Est-ce vous croyez, madame, qu’Il est ressuscité des morts? Et croyez-vous qu’Il est le même dans chaque attitude et dans tout ce qu’Il a toujours été? Et si ce soir Il... Vous vous tenez là et vous avez une raison pour laquelle vous êtes venue ici. Et vous savez, je ne le sais pas. Mais s’Il me révèle la raison pour laquelle vous êtes venue, de même qu’Il avait révélé à la femme ce qu’était son problème, et qu’Il me révèle où se trouve votre problème, vous saurez si c’est la vérité ou pas. Et s’Il le fait, allez-vous accepter et croire alors, sachant que votre frère n’a aucun moyen de connaître ces choses? Eh bien, vous–vous saurez que cela doit être le surnaturel. Ainsi ça dépendra de votre attitude, de ce que vous en jugerez.

72        Vous êtes consciente que quelque chose est en train de se passer, car entre moi et cette dame il y a une Lumière qui fait des va-et-vient. C’est parce que je continue de parler, c’est pour cette raison que Cela ne s’arrête pas sur elle. Mais je n’ai jamais vu cette femme. Je ne la connais pas. Je...

            Quelque chose vient de se produire. Je ne sais pas de quoi il s’agit. Je ne pense pas que c’était l’Ange, parce que c’était une lumière. Mais si quelqu’un a pris une photo, ne le faites pas. Voyez-vous, cet Ange est une lumière. Et j’essaie de l’observer. Et cela m’a alors tiré brusquement de la vision. Voyez? Ne le faites pas. Je sais que vous n’aviez pas l’intention de le faire, mais (Voyez?), vous pouvez prendre des photos avant ceci, mais pas maintenant. Voyez? Le... Cela a quitté la femme. Voyez? J’étais en train de lui parler et cela... La femme s’éloignait de moi, et alors une lumière a jailli, et je–je–j’ai pensé que l’Ange était allé vers l’assistance. Et ensuite quand j’ai regardé de nouveau, et cela–c’était une ampoule. Alors, s’il vous plaît, maintenant, soyez très respectueux.

73        Parlons encore. Que suis-je en train de faire? J’essaie de faire la chose même que Jésus avait faite lorsqu’Il parlait à la femme. Il a dit: «Femme, apporte-Moi à boire.»

            On se demande pourquoi Il avait dit cela? Pourquoi Il avait fait partir Ses disciples? Son Père L’avait envoyé là-bas. Et Il a fait partir Ses disciples. Pourquoi a-t-Il contacté l’esprit de cette femme? Il a dit: «Femme, apporte-Moi à boire.»

            Elle a dit: «Ce n’est pas de coutume que vous les Juifs demandiez pareille chose aux Samaritains. Nous n’avons pas de relations.» Il y avait une ségrégation, c’est comme les gens de couleur et les Blancs aujourd’hui.

            Mais qu’a-t-Il dit? «Si tu connaissais Celui qui te parle, tu Me demanderais à boire.»

            «Eh bien, a-t-elle dit, le puits est profond, et Tu n’as rien pour puiser. Et notre père Jacob a creusé ce puits et en a bu; et Toi, Tu dis dans cette montagne à Jérusalem...» La conversation s’est poursuivie. Que faisait-Il?

            Il y avait là un Homme rempli de l’Esprit de Dieu. Et il y avait une femme qui avait besoin de Dieu. Il était en train de contacter son esprit pour connaître son besoin, et c’est exactement ce que je suis en train de faire maintenant.

74        Maintenant, si vous croyez, cela... Vous, c’est vous-même qui contrôlez cela, pas moi. J’essaie seulement de centrer votre pensée sur Christ. Et si Dieu le fait, et que vous tous vous y croyez, allez-vous le faire, de tout votre coeur? Puisse-t-Il l’accorder.

            Je peux voir cette femme venir de quelque part. Elle ne vient pas de cette ville. Elle vient de l’extérieur. Et elle parle de quelque chose. Et c’est au sujet de sa... C’est une grosseur, et cette grosseur se trouve à la poitrine. C’est la vérité. Et vous craignez que ce soit un cancer. Et vous avez prié pour que Dieu vous permette d’entrer dans cette ligne de prière aujourd’hui. Et à propos, vous–votre mari a quelque chose qui se rapporte à... C’est un prédicateur. C’est vrai. Et votre nom, c’est comme B-r-e-n-n-e-n, Brennen ou quelque chose comme cela. C’est vrai. Maintenant, est-ce que vous croyez? L’acceptez-vous de tout votre coeur? Maintenant, approchez.

            Notre Père céleste, au Nom de Ton Fils le Seigneur Jésus, sachant que cette femme est couverte de l’ombre de la mort, je Te prie de lui accorder ce soir que ce sale démon qui la dérange... Oh! toi démon, tu es vaincu! Tu es exposé! Sors de cette femme! Je t’adjure, par le Dieu vivant de sortir de cette femme! Amen.

            Que Dieu vous bénisse, soeur. Partez, et ne doutez pas. Cela vous a quittée, maintenant. Ne doutez pas.

75        Bonsoir. Eh bien, vous et moi sommes aussi des inconnus, je suppose, l’un pour l’autre. Je ne vous connais pas. Mais il y a Quelqu’Un ici qui vous connaît, et c’est le Seigneur Jésus. Je suis Son serviteur. Je vois que vous êtes un chrétien. Vous êtes un chrétien, parce que votre esprit semble être... Le Saint-Esprit semble marcher en tant que mon frère. Vous êtes un chrétien. Et vous venez vers moi pour quelque chose, pour une assistance. Et si je pouvais le faire, je le ferais. Mais je suis votre frère, un don de Dieu pour vous, et je m’abandonne tout simplement, et le Saint-Esprit pourra être en mesure de vous aider, si vous croyez.

            Je vois que vous êtes extrêmement nerveux. Vous vous inquiétez de quelque chose? Je vais vous le dire: C’est un problème spirituel. Vous voulez que Dieu vous élève. C’est vrai, frère. Et voici autre chose afin que vous le sachiez. Vous avez un problème aux pieds, et ce sont des pieds d’athlète. C’est vrai. Et vous êtes un prédicateur. C’est vrai. C’est AINSI DIT L’ESPRIT. Maintenant, est-ce que vous croyez? Approchez.

            Dieu bien-aimé et notre Père, je bénis cet homme au Nom du Seigneur Jésus-Christ, je Te demande de le rétablir. Au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère.

76        La petite dame, assise là avec la main levée comme ceci, dans cette deuxième rangée, juste là derrière, vous priez aussi pour une élévation spirituelle. N’est-ce... Pas vrai? C’est un problème spirituel. Vous êtes consciente que quelque chose est en train de se passer là, n’est-ce pas? On dirait que vous, dans l’assistance, vous pouvez voir cela. Ne voyez-vous pas cette Lumière venir, une Lumière de couleur émeraude se tenir juste au-dessus de cette dame-là? La voilà. Elle prie pour que Dieu l’assiste et lui accorde une assistance spirituelle; en effet, c’est ce qu’elle attend de Dieu. C’est vrai. Croyez tout simplement. Levez la main, madame, vers Dieu, très haut. Voulez-vous bien poser cette même main sur la dame à côté de vous qui a l’arthrite et qui désire être guérie?

            C’est fini, soeur. Afin que vous sachiez que cette dame assise à côté d’elle... Croyez-vous, madame? Vous priez pour un petit garçon. Oui. Levez-vous juste une minute. Il y a un garçon assis ici qui regarde dans cette direction, il est aussi en train de prier, et son esprit est entré en contact. Cette dame au petit chapeau blanc, oui. J’aimerais vous voir. Tenez-vous debout. Regardez dans cette direction juste un moment. Croyez-vous que je suis Son prophète? Si Dieu me révèle ce pourquoi vous êtes en train de prier, allez-vous l’accepter? Eh bien, ce problème d’estomac va alors cesser. Croyez-vous de tout votre coeur que Jésus peut le guérir et fera les choses que vous avez demandées? Si vous le croyez de tout votre coeur, levez la main. De tout votre coeur, croyez-le. Maintenant, inclinez la tête.

            Notre Père céleste, je Te prie au Nom de Christ, de lui accorder le profond désir de son coeur pendant que nous condamnons le démon au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que le Seigneur vous bénisse. Eh bien, ayez la foi.

77        Vous madame, croyez-vous de tout votre coeur? Je suis un inconnu pour vous. Cela vient tout simplement de partout. Maintenant, soyez très respectueux et que chacun soit en prière pendant un moment. Vous êtes tous des humains. Vous possédez tous un esprit, et chacun est en train de presser maintenant. Voyez? Et des visions viennent tout simplement de toutes parts. C’est difficile de les retenir.

            J’aimerais vous parler, madame, juste un moment. Regardez-moi. Regardez-moi. Je veux dire comme dans les Ecritures. Pierre et Jean passaient par la porte appelée la Belle, ils ont dit: «Regarde-nous.» Cela ne veut pas dire de les regarder pour... Juste d’accorder son attention... Vous avez des problèmes avec vos jambes. C’est juste. Eh bien, étant donné que j’ai soumis votre esprit au contrôle du Saint-Esprit, il y a quelque chose d’autre sur votre coeur. Cela ne vous a pas satisfait. Je vois une sorte de... c’est comme un–c’est de l’eau, ce sont de grosses vagues qui roulent. C’est un–c’est la mer. Vous êtes préoccupée par quelque chose... Il s’agit de quelqu’un qui est outre-mer, et c’est un fils. Et ce fils vit en Italie, et ce fils a un problème d’estomac et on doit l’opérer incessamment, et ce garçon est un pécheur, et vous demandez la prière pour son âme, AINSI DIT LE SEIGNEUR. Est-ce que vous croyez?

            Cher Père céleste, au Nom de Ton Bien-Aimé Enfant, le Seigneur Jésus, j’impose les mains à cette femme et je demande qu’elle reçoive ce qu’elle a demandé au Nom de Christ. Amen. Partez, ne doutez plus de Lui, madame. Il fait clair maintenant autour de vous, alors qu’il faisait sombre. Vous pouvez recevoir ce que vous avez demandé. Est-ce que vous croyez? Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Amen.

78        Il a dit: «Je le peux si tu crois.» Très bien, jeune homme. Crois-tu en Dieu? Crois-tu que Jésus-Christ est le Fils de Dieu, qu’Il est ressuscité des morts? Crois-tu que les oeuvres que tu vois faire maintenant, crois-tu que cela vient de Dieu? Crois-tu que je suis Son serviteur? Crois-tu que la Parole que j’ai prêchée est la Vérité? Alors je peux t’aider, si tu le crois. Car c’est ce qu’Il a promis.

            Tu souffres de la nervosité. Tu as cela depuis que tu étais petit garçon, depuis que tu étais un enfant à l’école. Tu as été vraiment effrayé une fois quelque part en revenant de... C’était un chien ou quelque chose comme ça qui avait croisé ton chemin. Ça fait bien des années. C’est vrai. Lorsque tu lisais ton livre à l’école, tu le tenais très près de toi, parce que tu es myope. Tu lisais trop près de toi. Tu devrais éloigner cela. C’est ton instituteur qui repoussait cela. Ça fait des années. En outre, tu te préoccupes de quelqu’un qui est ici dans cette salle. C’est ta mère. Crois-tu que Dieu me révélera ce dont elle souffre? Vas-tu l’accepter? Elle souffre de l’asthme. C’est juste. Crois-tu maintenant que je suis Son prophète? Tu pries également pour ta femme, n’est-ce pas, fiston? Crois-tu que Dieu me révélera ce dont elle souffre? Elle a quelque chose qui cloche aux doigts. Ils deviennent jaunes et ils gonflent au bout, et les ongles se détachent. C’est juste, n’est-ce pas? Maintenant, est-ce que tu crois? Alors va et reçois cela tel que tu l’a cru, qu’il te soit fait ainsi au Nom de Christ.

79        Bonsoir. Croyez-vous de tout votre coeur? Je ne vous connais pas, madame. Vous en êtes consciente, mais Dieu vous connaît. Il sait tout ce qui vous concerne. Vous vous tenez ici pour quelqu’un d’autre. C’est votre fille. Elle a une maladie gynécologique horrible. Je la vois entrer à l’hôpital et en ressortir, j’entends un médecin dire qu’elle doit de nouveau être opérée. C’est vrai. Ne croyez pas cela. Acceptez-vous Christ maintenant comme le Guérisseur? Approchez, alors que vous vous tenez ici pour elle.

            Ô Christ de Dieu, je condamne le diable et je demande que cette femme reçoive sa bénédiction qu’elle a demandée au Nom de Christ. Amen. Ayez foi en Dieu.

80        Bonsoir, monsieur. Je ne vous connais pas, mais il y a Quelqu’Un qui vous connaît. C’est Dieu.

            En haut, au balcon dans la rangée du milieu, monsieur assis là derrière, qui souffrez de l’estomac, croyez-vous que Dieu vous guérira, qu’Il vous rétablira? L’homme en chemise blanche, qui a une cravate bleue, l’homme aux cheveux gris, qui est assis là souffrant de l’estomac, en train de prier, vous souffrez d’une acidité dans l’estomac, vous avez un ulcère, levez la main, monsieur. Voilà. Vous êtes guéri. Jésus-Christ vous rétablit. Amen.

            Est-ce que vous croyez? Ayez foi en Dieu.

            Vous avez travaillé durement, n’est-ce pas? Suite à cela vous avez été empoisonné, le ciment vous a empoisonné, Monsieur G.H. Whitner. Rentrez chez vous; cela va vous quitter, monsieur. Votre foi vous a guéri. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère.

            Est-ce que vous croyez, madame? Vous L’avez touché, la petite dame, en robe rouge. Vous étiez en train de prier, n’est-ce pas, madame? Oui. Maintenant, Le voici. Il se tient près de vous. Vous souffrez d’une maladie gynécologique, une maladie de femmes. C’est juste. Dites, à propos, vous êtes une ministre, une femme prédicateur. Vous n’êtes pas de cette ville. Vous venez de l’Alabama. A propos, vous avez une soeur pour qui vous priez. Elle n’est pas ici, mais elle est là-bas, et elle a l’épilepsie. Je la vois tomber en perdant connaissance. C’est la vérité. Ayez la foi, madame, et croyez en Dieu, et vous pourrez obtenir ce que vous demandez. Amen.

81        Est-ce que vous croyez? Si tu peux croire, tout est possible. Vous aussi, vous n’êtes pas de cette ville, mais est-ce que vous croyez? Vous avez peur, n’est-ce pas? Vous êtes enceinte, et la raison pour laquelle vous avez peur, c’est que vous avez une hernie, et vous craignez pour ce bébé, vous demandant s’il sera bien portant ou pas. Si seulement vous ne doutez pas, madame Hoffman–Huffler, alors vous pouvez croire–être guérie. Le croyez-vous? Comment connait-Il votre nom et sait-Il qui vous êtes? Le croyez-vous de tout votre coeur? Très bien, madame Huffler, vous pouvez rentrer chez vous et accoucher en paix.

            Dieu Tout-Puissant, je bénis cette femme au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Croyez-vous que Dieu guérira cette maladie du sang, qu’Il ôtera de vous ce diabète et vous rétablira? Le croyez-vous de tout votre coeur? Alors continuez votre chemin, croyez de tout votre coeur, et soyez guérie.

82        Vous êtes trop jeune pour avoir l’arthrite et tout, mais Dieu peut vous guérir. Est-ce que vous croyez de tout votre coeur? Alors, allez et croyez de tout votre coeur, et soyez guérie. Approchez, j’aimerais vous imposer les mains comme vous passez.

            Jésus de Nazareth, guéris cette femme, je prie. Amen. Ayez foi en Dieu.

            Votre maladie tue des centaines de gens, mais Dieu peut vous guérir de ce trouble cardiaque et vous rétablir. Le croyez-vous? Il y en a beaucoup là-bas qui souffrent de la même chose.

            Là, à partir de la première rangée... Non, ce n’est pas vous, vous êtes ici pour un ami. Il vit en Géorgie. Il souffre d’un trouble cardiaque. Si vous croyez de tout votre coeur, vous pouvez aussi être guéri.

            L’homme en chemise rouge en train de me regarder, vous êtes en train de prier, n’est-ce pas, monsieur. Vous désirez être guéri, n’est-ce pas? Vous êtes un prédicateur de l’Evangile, et vous souffrez de la nervosité; et vous étiez en train de prier Dieu, disant: «Ô Dieu, fais qu’il me parle.» Si c’est vrai, levez la main, révérend. Vous avez reçu votre guérison, allez en paix.

            Vous aussi, soeur, ne doutez de rien, mais croyez de tout votre coeur.

            Vous avez besoin de sang. Vous êtes anémique, votre sang passe devant moi, il est appauvri. Mais croyez-vous que, vous et moi, nous pouvons nous rendre au Calvaire et recevoir une transfusion sanguine par le Seigneur Jésus?

            Père céleste, je Te prie de guérir cette femme...

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