Jésus-Christ Est Le Même Hier, Aujourd’hui Et Eternellement

Date: 58-0214 | La durée est de: 1 heure et 29 minutes | La traduction: Shp
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1          J’ai impatiemment attendu le moment de cette réunion ici pour vous rencontrer, vous les bien-aimés ici dans l’Indiana. Et en route ce soir, je me disais bien que c’était à peu près ma quatrième réunion dans l’Indiana. D’abord, je pense, c’était à Indianapolis; ensuite, là à Evansville, à Hammond, et ici à South Bend. Ça fait cinq fois dans l’Indiana. Nous sommes donc... Evidemment, vous savez, je viens de l’Indiana, de la petite ville de Jeffersonville, juste en face de Louisville, dans le Kentucky.

2          Mais j’ai attendu depuis un temps pour venir. J’ai reçu des lettres d’ici, et j’ai reçu la lettre de frère Ward. Et frère Roy Weems m’a appelé et... ou plutôt c’est moi qui l’ai appelé, et il m’a très vivement recommandé frère Ward pour des réunions ici. C’est certainement un privilège d’être ici ce soir, avec tous ces braves frères qui sont à l’estrade, ceux qui parrainent la réunion. Et je disais à Billy, en arrivant ce soir, que les cinq dernières séries de réunions que nous avons tenues depuis le premier de l’année, nous apportions une tempête de neige dans la ville: la première, à Chicago; à Waterloo, à South Bend, et ici. Et nous avons eu une tempête de neige dans chacune d’elles. J’espère donc que cela ne... que ce n’est pas mal. Et il me disait, je pense, que la fille de frère Ward s’était blessée aujourd’hui, je pense, dans un accident. Et le Bienveillant Seigneur nous a évité aussi un accident horrible.

3          Nous gravissions une colline, et des frères mennonites conduisaient une charrette sur le flanc de la colline, et un chauffeur de camion doit s’être impatienté; le camion a fait un tête-à-queue et, à l’instant même, il s’est retrouvé droit en face de Billy, et nous étions juste derrière lui. Donc, par la grâce de Dieu, nous sommes allés d’un côté de la route, juste à temps, et il est passé à côté. Le conducteur doit avoir été en train de boire ou quelque chose comme cela.

            Vous savez donc, l’ennemi cherche toujours à déranger tout ce que Dieu essaie de... va faire. Dieu n’essaie pas de faire quelque chose, Il le fait carrément. Mais cela met tellement l’ennemi en colère qu’il veut simplement errer çà et là comme un lion rugissant, dévorant ce qu’il peut. Mais notre Père céleste connaît toutes choses, et toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu.

            Et alors, ce week-end, j’espère que ce sera l’un des moments merveilleux de notre vie, où nous aurons à adorer autour de la Parole de Dieu et avec Son peuple.

4          Et alors, nous aimerions bien faire cette petite annonce, que nous sommes... nous ne venons pas comme des guérisseurs pour guérir des gens; nous venons comme votre frère pour prier pour vous. Ceci est un peu une petite devise, je dis généralement: «Je viens prier pour l’enfant de Dieu, le patient du médecin, mon ami.» C’est Dieu qui est le Guérisseur; Il... la guérison, c’est quelque chose de passé. Il a été blessé pour nos péchés, c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. Personne n’a la puissance de guérir, je ne le crois pas. Même les dons de guérison dans la Bible, ils peuvent être utilisés de diverses manières, c’est-à-dire, une personne qui a le don de guérison serait semblable à quelqu’un qui a un don d’être un prédicateur. Pour un commentateur de la Bible, celui qui peut très bien expliquer Cela, cela donne la foi aux gens en écoutant la Parole. Et c’est ça la façon originelle et initiale de recevoir quelque chose de la part de Dieu: c’est recevoir Sa Parole en rapport avec cela.

5          Je pensais à Jaïrus dans la Bible, lorsqu’il a dit: «Viens imposer la main à ma fille et elle vivra.» Mais le centenier romain, l’homme des nations, a dit: «Je ne suis pas digne que Tu entres sous mon toit; dis simplement un mot.» Jésus a apprécié cela, et je–j’aime ça. En effet, ce Romain s’était rendu compte que Jésus avait une autorité sur chaque maladie. Voyez? «Dis simplement un mot, et mon serviteur vivra.» C’est ainsi que nous aimerions être chrétiens, apprécier, nous tenir comme de braves et vaillants soldats devant le conflit, et laisser notre Père céleste dire: «J’ai un enfant dont Je suis fier.» Vous savez, c’est comme ça que Dieu nous regarde, en effet... Vous savez, Il a dit: «David, un homme selon Mon coeur.» Et c’est ainsi que nous aimerions être: selon Son coeur.

6          La plupart des prédicateurs qui prêchent la guérison divine sont généralement, tous ceux que j’ai déjà rencontrés, sont de grands enseignants de la Parole. Certains d’entre eux ont bien une grande et puissante foi, ils imposent simplement les mains aux gens, ils crient et font partir l’ennemi. Eh bien, ça, c’est la foi; c’est un don de foi. Ils croient qu’ils vont recevoir ce qu’ils demandent. C’est pourquoi ils s’en emparent de cette façon-là. J’apprécie de tels hommes, comme Oral Roberts, A. A. Allen, beaucoup d’hommes sur le champ de travail, qui ont un grand ministère, les dons de ministère, de l’Esprit pour agir par la foi.

            Eh bien, le modeste petit don que le Seigneur Jésus, par Sa grâce, m’a permis d’avoir, je ne suis pas... pas un fameux prédicateur. S’il y a quelqu’un parmi vous qui me connaît, il le sait. Mais mon don, c’est par la vision, voir. Et alors, la Bible nous apprend que les dons et les appels sont sans repentir. Ce n’est pas que vous êtes... En effet, Dieu vous donne un petit don, cela ne vous rend pas différent de quelqu’un d’autre. Vous étiez tous des êtres humains, des pécheurs sauvés pas Sa grâce. C’est tout ce que nous pouvons faire de nous-mêmes. Et nous...

7          Mais Dieu a établi dans l’église, premièrement les apôtres, ou les missionnaires (tous les deux, c’est le même mot), ça signifie un envoyé. Eh bien, comment a-t-on donc préféré être appelé un missionnaire plutôt qu’un apôtre? Je ne sais pas. Mais c’est le même mot: quelqu’un qui a été envoyé.

            Les apôtres, les prophètes, les docteurs, les évangélistes et les pasteurs. Dieu les a établis dans l’église. Eh bien, ce sont ces dons de ministère, qui sont donnés à l’Eglise.

8          Eh bien, dans chaque église locale, il y a neuf dons spirituels qui ont été donnés aux gens, et c’est ce que vous connaissez, d’après 1 Corinthiens 12: le parler en langues, l’interprétation, le don de prophétie, la sagesse, la connaissance et autres. Ces dons de ministère, ou plutôt ces dons qui opèrent dans l’église, qui est... Chaque membre du Corps de Christ est candidat à l’un de ces dons à tout moment. C’est Dieu qui les donne, et Il opère au travers des membres de Son Eglise. Et ils collaborent tous dans un seul but, pour le perfectionnement du Corps de Christ. Et c’est pour cela que nous sommes ici ce soir, pour–pour mettre de l’ordre, ou se préparer pour l’apparition prochaine de notre Adorable Sauveur, Jésus-Christ, Lequel, nous croyons de tout notre coeur, descendra bientôt des cieux pour ramener une Eglise à la Maison, c’est-à-dire le reste de ceux qui L’aiment et qui gardent les commandements de Dieu.

            Et nous croyons que c’est en ce genre de jour que nous vivons aujourd’hui, où les spoutniks sont dans les cieux, et la tour moderne de Babel se construit. Ils vont à la lune et ailleurs. Nous croyons que Jésus vient bientôt et qu’il est plus tard que nous le pensons.

9          C’est pourquoi je suis ici ce soir, avec mes chers amis ici, les prédicateurs qui sont à cette estrade, et les autres qui sont dans la–dans l’assistance, c’est pour intercaler cette petite série de réunions, essayer de vous apporter, peut-être, au mieux de ma connaissance, le... ce que Dieu a en ce jour-ci, et associer mon ministère à celui de ce frère; ce n’est pas pour rendre ceci différent, mais ce qui est à faire, c’est magnifier Jésus-Christ devant tous les prédicateurs et leurs églises. C’est à cela que c’est destiné, c’est cela son unique objectif; c’est cela. Et de rencontrer des frères de la même précieuse foi, cela ravit certainement mon coeur. En effet, le soir arrive, les ombres tombent, et le jour est fort avancé.

            J’aimerais revenir un moment, si le Seigneur le permet, avant Sa Venue, revenir pour une série de réunions plus longue. Les gens que j’ai rencontrés depuis que je suis dans votre ville, il y a de cela environ trois heures, ou un peu plus, ont été aimables, gentils, et je–j’aime ça. Les chambres où nous restions, des gens très gentils. Nous prenions le repas à un petit restaurant cet après-midi, ici, pas un petit restaurant, mais c’était un agréable et vaste restaurant, et la dame ne nous a même pas laissé payer pour ça. Elle a dit: «Vous êtes mon invité.» Je n’ai été traité comme cela nulle part. C’était donc très gentil. Je suis donc certainement reconnaissant pour cette courtoisie légendaire, de venir à l’estrade ce soir, serrer la main à ces braves hommes, au bon esprit, des hommes... ils croient donc que Dieu, par ceci, nous rassemblera pour ce grand rassemblement là, pendant ces quelques jours à venir. Qu’Il accorde cela, c’est ma prière.

10        Et maintenant, souvenez-vous encore une fois, c’est afin de me rassurer, lorsque les gens commenceront à arriver, peut-être, si les tempêtes ne s’aggravent pas trop pour empêcher nos–nos foules de gens, souvenez-vous, je dis: «La guérison, c’est quelque chose de déjà accompli.» Chaque personne ici présente a été guérie il y a mille neuf cents ans et quelque, depuis la mort de Christ. Voyez? Et l’unique... Et chaque pécheur ici présent a été aussi sauvé depuis lors. Mais cela ne vous fera aucun bien, tant que vous ne L’acceptez pas comme votre Sauveur personnel. Voyez? Vous êtes...

            Il a réglé la question du péché quand Il est mort. Il a réglé la question de la maladie quand Il est mort. Mais c’est notre foi individuelle dans cette bénédiction, pour laquelle Il nous a rachetés, Il nous a fait sortir du monde pour recevoir cette bénédiction. Ou peut-être, je le dirais comme ceci: c’est notre foi personnelle dans quelque chose qu’Il a déjà fait pour nous. Et en recevant cela, nous sommes guéris à la minute où nous croyons cela. Si je peux me tenir ici ce soir et dire: «Jésus-Christ vous a tous guéris il y a mille neuf cents ans; c’est par Ses meurtrissures que vous avez été guéris»...

11        Et alors, permettez-moi de dire aussi ceci, qu’il n’y a aucune bénédiction dans la Bible que vous pouvez obtenir sans l’avoir premièrement confessée. Il a dit: «Il est le Souverain Sacrificateur de notre confession.» Dans Hébreux, il est dit, 3, il est dit: «Nos professions.» Professer et confesser, c’est le même mot.

            Or, si–s’Il est le Souverain Sacrificateur de notre confession, alors Il–Il est assis à la droite de Dieu le Père, intercédant sur base de notre confession. Croyez-vous cela? Certainement. Eh bien, qu’est-Il? Il agit comme Souverain Sacrificateur, avec Son propre Sang, devant le Père, pour agir sur base de notre confession. Ce que nous confessons avoir fait, Il se tient devant le Père pour confirmer... nos confessions. Et alors, quand...

12        Nous pouvons venir à l’autel, prier toute la nuit, rentrer jeûner dix jours, revenir prier encore... Nous pouvons crier; je crois dans tout cela. C’est tout à fait en ordre. Mais nous pouvons faire tout cela et ne toujours pas être sauvés, jusqu’à ce que nous arrivions à croire dans notre coeur que Christ est mort à notre place, que nous nous reconnaissons comme des pécheurs, et que nous acceptions Sa justice. Dès que nous faisons cela et que nous L’acceptons, Il se tient alors devant le Père pour confirmer cette confession-là. C’est vrai. Et de même, c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.

            Que signifie confesser? Confesser signifie dire la même chose. Ne dites rien de contraire, mais dites ce qu’Il a dit. Alors, nous serons des enfants d’Abraham, qui pouvait appeler ces choses qui n’étaient pas comme si elles étaient, quand Dieu a dit quelque chose.

13        Abraham, à cent ans, avant de recevoir la promesse, mais tout au long de ces vingt-cinq ans, peu importe combien ça traînait, Abraham a laissé tomber tout ce qui était contraire à la Parole de Dieu. Quelles que soient les circonstances, il–il a persévéré comme voyant Celui qui était invisible.

            Et il appelait les choses qui étaient comme si elles n’étaient pas: «La faiblesse du sein de Sara», du fait qu’elle n’était plus en état d’avoir des enfants, du fait que son propre corps n’était plus en état d’avoir des enfants. Il avait soixante-quinze ans quand Dieu lui a donné la promesse; il avait cent ans avant que l’enfant vienne donc. Mais au lieu de faiblir, il fut tout le temps fortifié (ça sera un plus grand miracle), confessant qu’il ne savait rien d’autre. Il avait déjà tout apprêté pour l’enfant, et ils l’ont attendu pendant vingt-cinq ans; il fut tout le temps fortifié, parce que Dieu l’avait dit. Et nous sommes les enfants d’Abraham, et si nous sommes les enfants d’Abraham, la foi d’Abraham demeure en nous. Et nous considérons tout ce qui est contraire à la Parole de Dieu (Voyez?) comme inexistant. Nous croyons ce que Dieu a dit.

14        Eh bien, avant d’ouvrir Sa Parole, juste pour une petite exhortation, et avant de prier pour les malades, inclinons la tête juste un instant.

            Eternel et Adorable Dieu, qui, dans le temps passé et de diverses manières, a parlé à nos pères par des prophètes, mais qui, en ce dernier jour, nous a parlé par Ton Bien-aimé Fils, le Seigneur Jésus... Et, oh! combien nous aimons nous rassembler dans les lieux célestes, rassemblés en Son Nom, là où Il a promis de nous rencontrer et là où nous communions autour de Sa Parole, avoir le privilège de sentir Son Esprit divin alors qu’Il se meut sur nous et nous donne l’onction dans notre vie, pour rendre témoignage à la Parole du Dieu vivant.

15        Pardonne-nous, notre Adorable Père, ce soir, tout ce que nous avons fait, ou dit, ou même pensé, qui serait contraire à Ta volonté divine. Ô Seigneur Dieu, lave-nous dans le Sang de Ton Fils, alors que nous confessons humblement nos torts. Déverse sur nous ce soir cet Esprit promis.

            Alors que nous voyons les jours des nations tendre vers la fin, et la Venue de l’Adorable Seigneur Jésus, nous demandons que nos coeurs soient purifiés alors que nous étudions la Parole. Donne-nous la Parole, pour le lavage d’eau par la Parole, pour purifier nos esprits de toute incrédulité. Ôte toute ombre du milieu de nous. Accorde-nous d’avoir la faveur divine auprès de Toi cette nuit, Seigneur Dieu.

16        Et nous Te prions de sanctifier même cette salle dans laquelle la réunion se tient, que les anges de Dieu prennent position à côté de leurs poteaux, à côté de leurs sièges et autour de chaque personne qui se tient dans cette salle. Et accorde, Dieu Tout-Puissant, que leurs coeurs soient réveillés par Ta Présence.

            Bénis ces frères prédicateurs sur cette estrade et, peut-être, plusieurs, là dans l’assistance, qui n’ont pas pu venir à l’estrade. Nous demandons que ceci soit un moment glorieux de rafraîchissement pour Tes enfants et Tes pasteurs, les bergers des troupeaux. Que Ta Présence soit si forte que cela leur inspirera de s’approcher davantage, d’avoir une nouvelle prise et de paître les brebis dans la grande voie.

17        Seigneur, viens-moi en aide, moi Ton serviteur inutile, purifie-moi de toute impureté, de tout ce qui serait dans ma vie, qui pourrait ne pas être juste selon Ta volonté pour moi, ôte cela, ô Dieu. Que Ton Esprit divin se meuve parmi nous tous, de sorte que quand nous partirons d’ici ce soir, que nous nous mettrons en route vers nos maisons respectives, nous puissions être en mesure de dire comme ceux qui venaient d’Emmaüs: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous alors qu’Il nous parlait en chemin?»

            Nous aimerions prier ce soir pour la fille de frère Ward, qui, en venant à la réunion pour saluer son papa et sa maman... Combien nous nous débattons pour amener nos enfants dans cette école. Alors qu’elle était en route pour venir entendre l’Evangile de Ta grâce divine guérir les malades, l’ennemi a fait qu’elle soit écrasée ou projetée dans un véhicule ou d’une façon ou d’une autre, et elle a eu des lésions. Elle est probablement couchée sur un lit quelque part, attendant maintenant (Oh!) que la grande miséricorde de Dieu et Sa divine Présence couvrent de leur ombre cette enfant en cette minute. Nous disons à l’ennemi: Ôte tes mains de cette enfant. Et que la bonté du Seigneur Jésus la bénisse, qu’aucun mal n’en résulte. Accorde-le, Père. Puisse-t-elle vite rentrer à la maison, être bien portante, en bonne santé, et être juste un témoignage de la grâce de Dieu. Guéris les autres, Seigneur, qui attendent. Car nous l’avons demandé au Nom de Jésus. Amen.

18        Dans la Parole du Seigneur ce soir, juste pour un court passage familier, et puis, parler quelques instants, car je sais que beaucoup parmi vous ont peut-être à conduire jusque loin, et c’est glissant... Mais je vais vous demander, demain, de prendre le téléphone et d’appeler les malades, vos voisins, de les faire venir afin que nous puissions prier pour eux. Faites venir les amis pécheurs. Tout le monde est le bienvenu. S’ils sont des pécheurs, c’est en ordre; c’est ici qu’ils sont censés être.

19        Et maintenant, j’aimerais prendre un passage des Ecritures dans Saint Jean 12.20:

Quelques Grecs, du nombre de ceux qui étaient montés pour adorer pendant la fête,

S’adressèrent à Philippe, de Bethsaïda en Galilée, et lui dirent avec instance: Seigneur, nous voudrions voir Jésus.

            J’ai lu cette Ecriture plusieurs fois, mais jamais je ne La lis donc sans qu’Elle ravisse mon coeur. La Parole de Dieu est tout aussi éternelle que Dieu Lui-même, et Dieu est une partie de Sa Parole. Je suis un... ma Parole; vous valez ce qu’est votre parole, Dieu ne vaut pas plus que Sa Parole. Et tout au long des âges, pendant que les hommes lisaient ces paroles, cela ravissait leurs coeurs. Alors, pour un petit contexte, ou plutôt pour un petit sujet, comme le thème de la campagne est fondé sur Hébreux 13.8:

            «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.»

20        J’aimerais parler sur ce sujet: Pourquoi L’avons-nous vu? Et je pense que ces Grecs, qui étaient venus à la fête, expriment bien ce que cet auditoire pense ce soir. Et chaque homme qui ait jamais entendu parler de ce merveilleux Nom de Jésus-Christ éprouve le vif désir de Le voir. Oh! L’attente de mon coeur, c’est de Le voir. Le motif de ma vie, le grand objectif que j’ai, c’est de Le voir face à face un jour. Rien que Le toucher vaudrait mille vies de service, et ces vies pleines de combats aussi, rien que Le voir.

21        Et après que ces–que ces Grecs étaient venus, avec le désir de Le voir... Et avez-vous remarqué, ils ont demandé à l’un de Ses amis, pour Le voir. C’est ainsi que chacun de vous chrétiens, peut-être, avait eu à voir Jésus; c’était quand vous avez été présenté par un ami, un des pasteurs ou les prédicateurs, les évangélistes, ou quelqu’un, qui vous a présenté au Seigneur Jésus par la prédication de Sa Parole.

            Il y a quelque temps, j’ai entendu une petite histoire de l’autre côté de la rivière où j’habite; c’est la rivière Ohio. Il y avait un petit garçon qui fréquentait une école de dimanche chaque matin, chaque dimanche matin, et c’était un petit garçon enthousiaste, et il–il jouait un peu à la rivière.

            Et aucun homme ne peut s’approcher et voir les arbres, et comment Dieu vit dans le buisson... Vous savez, il y eut autrefois une grande histoire au sujet du buisson, de Moïse dans le buisson, il a vu l’Ange dans le feu.

            Mais saviez-vous que vous ne pouvez pas regarder un buisson sans voir Dieu? Quelle Intelligence est dans ce petit buisson, qui fait descendre vite la sève dans les racines aussitôt l’hiver arrivé, pour qu’elle y reste jusqu’au printemps; et puis, la fait remonter! Mettez l’eau sur un morceau de bois, et voyez s’il y a une quelconque intelligence qui la fera descendre sous terre et qui la fera remonter dans le morceau de bois. Dieu est dans chaque buisson. Il est dans chaque fleur. Si seulement vous regardez, vous pouvez Le voir partout. Il est bon. C’est ainsi que nous pouvons tous Le voir.

22        Alors, ce petit garçon a dit à sa maman un jour, il a dit, ou plutôt il lui a demandé, il a demandé: «Maman, peut-on voir Dieu?» Elle a dit: «Demande au pasteur.»Il a donc dit: «J’ai posé cette question à ma monitrice de l’école du dimanche, et elle m’a dit de vous la poser. Et il a dit: «Maintenant, toi, tu me dis: ‘Demande au pasteur.’»Il a donc demandé au pasteur, et le pasteur a dit: «Certainement pas, fils. Personne ne peut voir Dieu.»Alors, un jour, il était à la rivière avec un vieux pêcheur, et sur son chemin, un orage a éclaté, et les feuilles étaient toutes nettoyées comme l’orage débarrasse les feuilles de la poussière. Et les petites vagues, alors que la rivière retrouvait son rythme normal, seul un batelier connaît le rythme produit par ces petites vagues en bondissant sur les rames... Au fur et à mesure qu’il pagayait la barque, le vieil homme continuait à regarder par-dessus son épaule. Et peu après, le petit garçon, assis à la poupe de cette petite barque, a vu de grosses larmes couler de la barbe du vieil homme, tomber de ses yeux. Et le petit garçon devint très anxieux, il demanda: «Monsieur, que regardez-vous?» Il a dit: «Cet arc-en-ciel.»Et il a dit: «Je vais vous poser une question à laquelle personne ne semble être capable de répondre. Peut-on voir Dieu?»Et c’était trop pour le vieux pêcheur, il a ramené les rames sur ses genoux, a entouré de son bras le petit garçon, et il a dit: «Sois béni, mon petit homme; tout ce que j’ai vu pendant quarante ans, ça a été Dieu.» Si on a beaucoup de Dieu au-dedans, on peut Le voir partout. C’est ainsi que nous voyons Dieu, c’est lorsqu’Il est à l’intérieur, regardant dehors.

23        Ces hommes voulaient découvrir et voir à quoi Il ressemblait. Et je pense, après mille neuf cents ans, et on nous a appris que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, nous avons fait des sacrifices pour construire des églises, envoyer des missionnaires sur le champ de travail. Et dans des moments difficiles, vous les jeunes gens, vous ne vous rappelez pas, mais nous qui sommes plus avancés en âge, nous nous en souvenons; quand il y avait la crise, nous avions eu à nous partager un morceau de pain, luttant pour subsister. Pourquoi tout ça? Est-ce juste une philosophie? Si c’est juste une philosophie, l’islam peut produire autant de philosophie que le christianisme.

            Est-ce de la psychologie? Eh bien, le bouddhisme peut produire autant de psychologie que le christianisme. Oh! Ils s’emballent, ils poussent des cris et ils... Les musulmans s’enfoncent des échardes aux doigts, ils les retirent sans saigner, et ils s’enfoncent des lances aux mentons. Je les ai vus prendre une épée qui...?... une épée qui les transperce, ils la font passer dans le dos et font passer de l’eau à travers. Et dans tous ses états et autres...

24        Nous voyons donc que toute religion peut produire de la psychologie, elle peut produire de la philosophie, mais la Bible déclare que Christ est ressuscité, qu’Il est vivant aux siècles des siècles. Ce n’est pas une philosophie, et pourtant, ça en est une. Mais c’est une philosophie–et l’unique alors–et l’unique religion qui peut être confirmée comme la vérité. Vous n’avez donc pas de quoi vous inquiéter et tous devraient se réjouir, car notre Dieu est vivant, Il est juste le même aujourd’hui qu’Il était jadis. Et toutes les puissances qu’Il avait et tout, c’est tout aussi suffisant et disponible que jamais. Oh! Cela devrait nous rendre extrêmement heureux de savoir ça. Et maintenant, s’Il est ressuscité d’entre les morts... Je dis si, non pas pour être sacrilège, mais juste pour me faire comprendre. S’Il est ressuscité d’entre les morts et qu’Il est vivant, la Bible déclare qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et alors, s’Il est le même, Il est le même en essence, le même quant à la puissance, le même dans la manifestation.

25        L’unique aspect où Il est différent, c’est le corps physique. Et Son corps physique est à la droite du–du Trône du Père, intercédant sur base de notre confession. Tout ce pour quoi Il est mort, chaque attribut que Son expiation a réclamé, c’est notre–c’est notre bien personnel, de chaque croyant qui accepte cela, qui confesse cela comme une oeuvre achevée et qui reçoit cela. Oh! Que Tu es grand! Oh! Que Tu es grand!

            Et on dirait qu’il y a dans l’église chrétienne aujourd’hui, que le plus grand obstacle qu’il y a dans l’église chrétienne, c’est la peur, juste un essai. Or, le christianisme n’est pas un essai, c’est une certitude. C’est quelque chose de réel.

26        Eh bien, dans... Avant que notre Adorable Seigneur quitte le monde, Il a dit dans Jean 15, je pense: «Je suis le Cep, vous êtes les sarments.» Or, ce n’est pas le cep qui porte les fruits; ce sont les sarments qui portent les fruits. Mais le sarment ne peut pas porter des fruits s’il n’est pas dans le cep. Eh bien, comme on reconnaît donc le cep par le genre des fruits qu’il porte... Si nous nous disons chrétiens aujourd’hui et que nous ne portons pas les oeuvres de notre Seigneur Jésus, ce qu’Il a dit dans Saint Jean 14.7: «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais»... Et alors, si cette église ne porte pas les fruits du–du cep, et le même fruit du même cep, c’est qu’alors nous sommes peut-être attachés à un autre cep. Comme les coloquintes sauvages, du temps d’Elie.

27        Eh bien, nous pouvons organiser l’église, c’est bien. Nous pouvons organiser le conseil des diacres, c’est bien. Nous pouvons construire de belles églises, c’est merveilleux. Nous pouvons avoir des hommes et des femmes instruits, c’est merveilleux. Mais ce n’est toujours pas ce qu’Il a dit. Il a dit: «Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle.» Et la Bonne Nouvelle, a dit Paul, n’est pas venue en parole seulement, mais par la puissance et la manifestation, ou la démonstration du Saint-Esprit, comme le Dieu vivant ressuscité, agissant parmi les membres de Son corps.

            Or, si c’est un potiron, il produira des potirons. Si c’est une pastèque, elle portera des pastèques. Si c’est le cep des raisins, il portera des raisins. Et si c’est un cep chrétien, Christ dans l’Eglise donnera de la Vie à Ses sarments, qui sont en Lui, pour produire des fruits que Lui avait produits lorsqu’Il était ici sur terre. Cela Le manifeste alors, le même hier, aujourd’hui et éternellement.

28        Maintenant, voyons pendant quelques instants la Vie de notre Seigneur. Il n’y a qu’un seul passage dans la Bible où il nous est demandé de combattre, à ce que je sache, c’est dans le Livre de Jude, il s’agit de combattre ardemment pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes; donc, pas une foi, mais la foi. Dans une assistance mélangée, nous pourrons dire, l’Eglise méthodiste: «Oui, nous combattons pour cette foi-là.» Les baptistes: «Oui»; les pentecôtistes: «Oui»; l’Eglise de Dieu: «Oui», les nazaréens: «Oui»; je crois cela. Mais je crois que l’église est assez mûre maintenant pour retrouver sa forme originelle.

            C’est comme un grain de maïs, lorsqu’il pousse dans un champ; c’étaient de petites pousses comme de petites feuilles...?... de maïs. Petit à petit, le maïs est monté un peu plus haut et est devenu une aigrette. L’aigrette regarde en bas et dit: «Je n’ai plus besoin de toi, feuille. Je suis devenue une aigrette, je suis différente.» C’était, peut-être, la première pousse, nous l’appellerons la première réforme, Luther, la réforme, l’Eglise luthérienne.

29        Mais quand les wesleyens sont venus avec leur réveil, ils ont dit: «Nous n’avons plus besoin de vous les luthériens.» Mais savez-vous que la vie même qui était dans la pousse, c’est ce qui a formé l’aigrette? Elle ne peut pas aller plus loin sans se servir de la pousse, parce que cela a... Il y a un pollen qui tombe sur la pousse à force de secousse et produit un épi là. Petit à petit, l’épi du maïs était sorti, portant des grains dessus. C’était la Pentecôte, la restauration des dons revenant dans l’église.

            Eh bien, l’épi ne peut pas regarder en arrière et dire: «Aigrette, je n’ai pas besoin de toi, ni non plus toi, pousse», car il a fallu la pousse et l’aigrette pour former l’épi. Qu’est-ce? C’est l’Eglise de Dieu, davantage mûre, tout est là-dedans.

            Nous pouvons voir ces choses aujourd’hui, que l’épi est mûr, le... tend vers la fin au temps de la fin. Oh! Je sais que nous avons beaucoup de champignons sur cet épi, mais c’est néanmoins un épi, malgré tout. C’est vrai. Nous avons beaucoup de conformisme et d’hérésie, de petits ismes, mais Dieu ôtera tout cela un de ces jours et Il aura un épi de maïs parfait, un de ces jours. Le même Saint-Esprit qui était descendu à la Pentecôte ramène tout cela.

30        Eh bien, si nous examinons ce cep, eh bien, comme c’est le commencement... Eh bien, retournons. Généralement, nous... Dans une réunion, il faudrait trois soirées d’enseignement avant que nous ayons même une ligne de prière, car souvent... Et surtout en ces jours où les gens ne sont pas, peut-être, ne sont pas enseignés sur des choses profondes de la puissante action de Dieu, pendant ces quarante dernières années, que cela balayé le monde entier. Ils pourront ne pas comprendre bien correctement, alors ils deviendront un peu critiques ou quelque chose comme cela, ou peut-être qu’ils ne veulent pas l’être, mais ils ne comprennent pas la Parole. Vous pouvez donc vous imaginer quel travail il y aurait pour le Saint-Esprit de faire entrer cela dans les coeurs en une soirée. Remarquez, retournons donc maintenant... J’ai lu dans Saint Jean ce soir. Retournons et voyons ce que Jésus était hier. Si nous pouvons voir ce que Jésus était hier, nous devrions alors avoir une bonne conception de ce qu’Il est aujourd’hui. Si nous pouvons trouver comment Il s’était manifesté pour faire savoir aux gens avec assurance qu’Il était le Messie, Il devrait faire la même chose aujourd’hui, s’Il est le même.

31        Donc, nous voyons ici, dans Saint Jean, qu’au commencement, quand Dieu a fait de Christ Sa demeure... Et Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Nous croyons tous cela. Dieu tabernaclait dans une chair. Eh bien, en Lui était la plénitude de la Divinité corporellement; mais quand Il rencontrait le diable, Il ne cherchait jamais à utiliser une quelconque de Ses puissances. Mais le Père n’avait rien dit par Lui. Mais Il n’a point utilisé cela. Il a utilisé la Parole écrite du Père. Il n’a point utilisé Ses puissances, mais Il a utilisé la Parole de Dieu, et Il a dit: «Il est écrit: l’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort à partir de la bouche de Dieu, ou de la bouche de Dieu.» Voyez, Il a vaincu le diable avec la Parole du Père.

            Et permettez-moi de dire ceci maintenant, que la Parole de Dieu vaincra le diable partout, n’importe quand ou n’importe où. Elle vaincra le diable. Et une bonne attitude mentale envers n’importe quelle promesse divine de Dieu la fera s’accomplir. Si vous pouvez regarder cela tel que Dieu l’a écrit, et accepter cela dans votre coeur, Dieu transformera cette Parole en vie.

32        Un homme a dit il y a quelques jours, il a dit: «Vous voulez dire, monsieur Branham...» Après que j’eus prêché sur l’écriture sur la muraille, le spoutnik dans le ciel, il a dit: «Vous voulez dire que vous croyez que ce monde sera détruit? Comment est-ce possible?»

            J’ai dit: «La même Parole, qui a appelé ce monde à l’existence, le fera disparaître.» C’est par la Parole de Dieu qu’il est tel qu’il est.

            Voyons ce que Jésus avait fait et la Vie qu’Il avait menée. Ensuite, voyons si nous pouvons Le trouver ce soir. Et remarquez donc, nous voyons que quand Il s’est mis à appeler Ses disciples ici, il y en a eu un qui s’était converti, du nom de Simon. C’était un pêcheur. La Bible dit que c’était «un homme du peuple sans instruction.» Mais n’est-ce pas étrange que Dieu appelle ce genre de personnes? Dieu cherche les coeurs dans lesquels Il peut travailler de part en part. Alors, quand ce pêcheur est venu avec son frère André, nous voyons ici dans la Bible une chose très surprenante.

            Comme il se fait un peu tard, je ne prendrai pas du temps pour lire cela, lisez simplement Saint Jean, chapitre 1, une fois rentrés chez vous.

33        Et nous voyons que lorsque Simon est entré dans la Présence du Seigneur Jésus, Jésus lui a dit qui il était ainsi que le nom de son père. C’est ce que dit la Bible: «Tu es Simon, le fils de Jonas.» Et Il allait alors lui donner le nom de Pierre, qui veut dire petit caillou. Je me demande quel sentiment cet homme a éprouvé lorsqu’il a vu un Homme étrange lui dire pareille chose.

            Il y avait quelqu’un qui se tenait là, du nom de Philippe; il était de Bethsaïda, de la même ville que Simon Pierre. Et quand il a vu cela arriver, il a contourné la montagne, il a trouvé un ami à lui du nom de Nathanaël. Et Nathanaël était un orthodoxe très fervent, un croyant, dans la vieille Eglise juive. Et quand il a trouvé cet homme, Nathanaël, celui-ci était sous un arbre, en train de prier. Et alors, il a attendu, peut-être, étant un gentleman, qu’il termine de prier, et il a dit: «Oh! Nathanaël.»

            «Philippe!» Et je peux voir ces deux hommes se serrer la main, se donner une poignée de main, selon l’ancienne tradition, s’étreindre, se tapoter dans le dos.

            «Oh! Nathanaël, ça fait longtemps que je t’ai vu.»

            «Oui, Nathanaël, ou plutôt Philippe, je ne t’ai pas vu ça fait des années. Tiens, je suis venu t’annoncer la meilleure nouvelle que tu aies jamais entendue.»

            «C’est quoi, Philippe? Pourquoi ton visage est-il si illuminé? Eh bien, tu as l’air d’une personne changée.» Tout homme qui se soit jamais trouvé dans la Présence de Jésus-Christ est changé. «Tu as l’air d’une personne changée.»

34        «Oh! J’aimerais t’annoncer que quelque chose est arrivé.»

            «C’est quoi? Ne me cache pas la nouvelle pendant plus longtemps, Philippe. Je suis un homme qui aime entendre de bonnes nouvelles.»

            Il a dit: «Nous... Viens voir Qui nous avons trouvé.»

            «Qui avez-vous trouvé?»

            «Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»

            Eh bien, je peux voir l’expression de son visage, ce qui s’y est dessiné, il a dit: «Eh bien, un instant, Philippe. Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?» ou de l’une de ces petites missions, ou de je ne sais quoi, vous savez. «Peut-il venir d’un tel endroit quelque chose de bon?»

            Et je pense que Philippe lui a donné la meilleure réponse qu’un homme pût lui donner. Il a dit: «Viens, et vois. Viens seulement, vois de toi-même.» Et il était disposé à aller, sur invitation de son ami.

            Si jamais vous avez été en Palestine, considérez la distance qu’il y a jusque là de l’autre côté de la montagne. Et sans doute qu’en route Philippe a dit: «Eh bien, je te raconte ce que j’ai vu s’accomplir. Simon s’est avancé, le vieux pêcheur, là-bas, à Bethsaïda, et quand il s’est avancé, Il lui a même parlé, Il savait qui il était. Je ne serai pas surpris qu’Il sache qui tu es.»

            «Oh! Eh bien, voyons donc, Philippe. Je pense que peut-être le soleil chaud a bien eu raison de toi. Dans quel genre de culte es-tu entré après tout? Que t’est-il arrivé?»

            «Eh bien, voyons donc.»

35        Et pendant qu’ils contournaient la montagne, ils ont finalement aperçu l’endroit où Jésus tenait une petite ligne de prière, peut-être, priant pour les malades. Et quand Philippe s’est avancé avec Nathanaël, Jésus s’est retourné, Il l’a regardé, Il a regardé là, ils étaient tous des Juifs. La grande Eglise orthodoxe était là, tout aigrie. Alors, Jésus s’est retourné vers Nathanaël et a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Or, tous les hommes étaient habillés de la même façon, ils portaient des barbes, des robes et autres, de telle manière que vous ne saurez jamais distinguer s’il pouvait être un Grec ou autre. Mais Jésus a dit: «Voilà un homme juste, qui est véridique.» Et cela a pratiquement désarçonné le petit Juif et il a dit: «Rabbi (ce qui veut dire Docteur), quand m’as-Tu connu?» Et autrement dit: «Tu ne m’as jamais vu de Ta Vie. Comment as-Tu su que j’étais un homme juste et honnête, et que j’étais vraiment un enfant d’Israël? Comment as-Tu su que j’ai été circoncis, toutes ces choses qu’il faut pour faire d’un Israélite une personne différente et particulière? Comment as-Tu su cela?» Ecoutez la Parole de Jésus...

            Ça y est. Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous les arbres, Je t’ai vu.» Eh bien, à sept miles [11,2 km] de l’autre côté de la montagne, «Je t’ai vu.»

36        Qu’a dit cet homme? Eh bien, il représentait la nation juive, les croyants. Il a dit: «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu. Tu es le Roi d’Israël.» Et Jésus a dit: «Parce que Je t’ai dit cela, tu crois en Moi? Tu verras de plus grandes choses que celles-ci.»

            Eh bien, les Juifs se tenaient là, d’après ce que Luc dit, et ils ont dit, pas à haute voix, mais dans leur coeur: «Cet Homme est Béelzébul.» Après qu’ils eurent vu Son oeuvre... Savez-vous ce que Béelzébul signifie? C’est un démon, un diseur de bonne aventure, une grande puissance du diable. Ils ont dit: «Cet Homme est Béelzébul.»

            Qu’a dit Jésus à ce sujet? Il a dit: «Si vous dites un mot contre cela, contre le Fils de l’homme, cela vous sera pardonné. Mais quiconque dira un mot contre le Saint-Esprit, lorsqu’Il sera venu faire la même chose (juste un peu plus tard dans cette leçon nous verrons cela), quand Il sera venu faire la même chose, un seul mot contre cela ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.» En effet, ils disaient... ils taxaient l’Esprit de Dieu d’esprit impur. Il n’est pas étonnant que nous soyons prêts pour le jugement.

37        Remarquez. Comment ce Juif a-t-il reconnu que c’était le Fils de Dieu? Si Jésus s’est manifesté devant la race juive, et que c’est ainsi qu’Il s’y était pris, se manifester devant les Juifs à la fin de leur âge, si c’était là Jésus devant les Juifs, c’est Jésus aujourd’hui devant les Gentils. Rappelez-vous, Il n’a jamais fait pareille chose devant quelqu’un des nations. Il a dit à Ses disciples: «N’allez pas vers les Gentils, c’est maintenant leur temps.» Mais Il est le même; Il doit agir de même.

            Eh bien, nous savons qu’il y a trois races de gens: Les descendants de Cham, de Sem et de Japhet, ce qui revient aux Juifs, aux Gentils et aux Samaritains.

38        Or, dans Saint Jean, chapitre 4, nous Le voyons aller... Premièrement, Il était en route vers Jéricho, Il a dévié vers une autre ville du nom de Samarie. Il a renvoyé Ses disciples, et une femme samaritaine se tenait là au puits, ou à côté du puits. Et quand Jésus s’est avancé, les disciples étant partis, ou plutôt c’est la femme qui est arrivée plus tard; Jésus lui a dit: «Femme, apporte-Moi à boire.»

            Alors, elle s’est mise à Lui parler, disant: «Il existe une loi de ségrégation par ici. Nous les Samaritains et vous les Juifs, nous n’avons pas de–pas de communion entre nous; nous ne nous entendons pas. Et pourquoi me demandes-Tu à boire?»

            Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire. Et Je t’aurais apporté de l’eau que tu... Je t’aurais donné de l’eau que tu ne viendrais plus puiser ici.» Et la conversation a continué au sujet du puits, combien il était profond, que c’est le père Jacob qui l’avait creusé et tout. Que faisait Jésus? Contacter son esprit. Et puis, quand Il a trouvé son problème, Il a dit: «Femme, va, appelle ton mari, et viens ici.»

            Et elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «Tu as dit vrai, tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari. En cela tu as dit vrai.»

            Qu’a-t-elle dit? Eh bien, ça, c’est une Samaritaine. Attentivement, ne ratez pas ça. Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Nous savons (nous les Samaritains), nous savons que quand le Messie sera venu, Il nous annoncera toutes choses. Il fera ce que Tu fais.» Mais elle ne pouvait pas comprendre qui Il était. Elle savait que ce serait cela le signe du Messie.

            Et Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            Alors, elle est entrée dans la ville en courant et a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie?» Si c’était là Jésus hier, c’est Jésus aujourd’hui, le même hier et aujourd’hui.

39        Maintenant, nous voyons qu’une fois, Il traversait une foule de gens, et une petite femme toucha Son vêtement, car elle se disait en elle-même... Elle croyait cela. Il était juste considéré, juste comme n’importe qui qui essaie d’être en ordre avec Dieu, «un excentrique.» Et elle a dit: «Si seulement je peux toucher Son vêtement, je serai guérie.» Et elle L’a touché.

            Jésus s’est arrêté, Il a dit: «Qui M’a touché?»

            Et Pierre L’a repris, disant: «Toute la foule Te touche, Maître.»

            Il a dit: «Mais J’ai connu que J’étais devenu faible. La vertu est sortie de Moi, la force.» Et Il a promené le regard jusqu’à repérer la femme, et Il lui a révélé la chose, disant: «Ta foi t’a sauvée.» C’était là Jésus hier. S’Il est le même aujourd’hui, Il agira de même, Il se manifestera de même, Il manifestera qu’Il est le même, le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Vous direz: «Frère Branham, est-ce scripturaire?» Absolument. La Bible dit, dans le Nouveau Testament, dans Hébreux, qu’Il est maintenant le Souverain Sacrificateur, assis à la droite de Dieu, le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Maintenant même. Eh bien, tel qu’Il avait agi lorsqu’Il avait été touché jadis par les infirmités, c’est ainsi qu’Il aura à agir maintenant, s’Il est le même. «Messieurs, nous désirons voir Jésus.»

40        Il travaille au travers de Ses sarments. Peu importe combien Il opère au travers d’un seul, mais Il opère au travers de tous Ses sarments. Il ne peut pas opérer juste au travers d’un seul sarment. Peu importe ce que Dieu peut faire en un seul endroit, s’il n’y a pas une assistance là pour recevoir cela, croire cela, cela ne marchera jamais. Jésus ne connaissait même rien au sujet de cette femme-là. Dieu ne Lui avait pas montré en vision, cependant Il a dit qu’Il ne faisait que ce que le Père Lui montrait en vision.» Croyez-vous cela?

            Prenons juste une minute et voyons quelques jours plus tard. Il passait par la piscine de Béthesda, là où une grande foule d’estropiés, de boiteux, d’aveugles, de paralytiques était couchée. Observez-Le. Il était plein de vertu, Dieu en lui, marchant parmi les gens, dépassant les estropiés, les boiteux, les aveugles et les paralytiques. Il descend les marches vers la piscine où étaient les gens qui attendaient que l’Ange agite les eaux.

41        Dieu, dans chaque âge, a eu un représentant sur la terre pour la guérison du corps, un ange. Beaucoup de gens pensaient qu’ils étaient des fanatiques; d’autres pensaient que c’était juste... Les historiens pensaient que c’était de l’eau que le vent agitait en tournoyant. Mais la Bible dit que c’était un ange. Et ils attendaient d’entrer dans l’eau pour confirmer leur foi. Pendant qu’ils attendaient là, Jésus passe par là, à côté des boiteux, des aveugles, des infirmes, des paralytiques, Il va auprès d’un homme couché sur un grabat.

            Combien savent ce que c’est un grabat? J’ai grandi sur un. C’est une drôle de petite couverture matelassée qu’on étalait à la porte, un grabat.

            Et en voyant cet homme, Il savait qu’il était dans cet état depuis trente-huit ans. Il n’était ni infirme, ni boiteux, ni aveugle; il souffrait d’une maladie, peut-être de la tuberculose, peut-être d’une affection de prostate; cependant, cela avait perduré. Ça n’allait pas le tuer; il en avait souffert depuis trente-huit ans. Et observez-Le, Il passe à côté de tous ces gens, Il va vers cette unique personne et la guérit.

42        Cet homme a porté son lit le sabbat. Il fut interrogé. Saint Jean 5, eh bien, toujours dans Saint Jean, chapitre 5, verset 19, si vous voulez noter cela: 5.19. Jésus fut interrogé. Et écoutez ce qu’Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils le fait pareillement.» En d’autres termes: «Je ne fais que ce que le Père Me montre à faire.»

            Voyez, ce n’était pas cependant à la chair de pouvoir se glorifier devant Dieu. Dieu était en Christ. Et si Christ est en vous, alors votre foi est comme celle qui était en Christ. Croyez le Père, car vous êtes les fils et les filles de Dieu par l’adoption, par Jésus-Christ. Ephésiens, chapitre 1, vers le verset 5: «Prédestiné à l’adoption des fils de Dieu par Christ.»

43        Remarquez donc, là, c’était Jésus hier, comment Il s’était manifesté. Maintenant, je vais terminer ici en attendant demain. Regardez, comment s’était-Il fait connaître aux Juifs? En disant à Philippe, ou plutôt à Nathanaël où il était avant que Philippe le trouvât: sous un arbre, en train de prier, ou je ne sais quoi qu’il faisait. Et il... Philippe l’avait sans doute instruit que Jésus pourrait faire cela. Croyez-vous qu’Il peut encore faire cela?

            Alors, quand Il s’est fait connaître aux Samaritains, c’était pareil, en parlant à une femme jusqu’à découvrir son problème, Il lui a dit quel était son problème. Et elle a dit que c’était, cela... Elle a reconnu que c’est ce que ferait le Messie. Et, avez-vous remarqué, quand Jésus est entré dans la ville, Il n’a pas tenu un service de guérison dans cette ville-là. Pourquoi? Il savait qu’il y aurait un autre homme qui descendrait là, un petit diacre, juste après la Pentecôte, et qu’il aurait un... Philippe, il a eu un véritable réveil là-bas. Vous en souvenez-vous? Guérissant les malades, chassant les démons, car la Parole de Dieu leur avait été prêchée.

44        Donc, Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Par conséquent, s’Il se manifeste de la même façon... Donc, s’Il a fait cela pour se manifester devant un Juif et devant la Samaritaine, et qu’Il s’en abstienne devant les Gentils (car Paul s’est tourné vers les Gentils des années plus tard), alors j’aimerais vous poser une question... à la fin de la dispensation des Gentils, Christ est obligé, s’Il est le même, de se manifester de même devant les Gentils, comme Il l’avait fait devant les Juifs, pour se faire connaître comme étant toujours vivant. Il est le même Seigneur Jésus, vivant ce soir parmi nous, opérant des signes, des prodiges et des miracles.

45        Nous avons Sa photo ici dans le journal. Beaucoup parmi vous ont vu cela. Peut-être... Nous n’avons pas le temps de vous en parler. Ce n’est pas ma photo; je suis votre frère. Mais cela a été mis en doute. Qu’était-ce? Pour moi, c’était le même Dieu qui avait conduit les enfants d’Israël par la Colonne de Feu. Nous savons tous que c’était le Logos, l’Ange de l’alliance qui était Christ, qui conduisait les enfants d’Israël. Christ a dit que c’était ça. Il a dit qu’Il était le JE SUIS, qu’Il était dans le buisson ardent, qu’Il était le Rocher qui était dans le désert.

            Cette Colonne de Feu a été faite chair et a habité parmi nous. Et quand Il était ici, Il a dit: «Je viens de Dieu, Je retourne à Dieu.» Après Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection, quand Il est apparu à Paul sur le chemin de Damas, Il était redevenu le même Logos dans la Colonne de Feu, manifesté. Et rappelez-vous, Paul a dit: «Qui est-ce, Seigneur?» La Lumière était si forte qu’Elle a crevé les yeux à Paul, cependant ceux qui se tenaient à côté n’ont pas vu cela. C’était une réalité pour ceux à qui Dieu révélait cela, mais pour les autres qui se tenaient à côté, ils n’en savaient rien... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... la révélation est venue.

46        On l’a fait entrer dans le Temple. L’Urim et le Thummim, c’était le pectoral d’Aaron, il y avait douze pierres des enfants d’Israël. Lorsqu’on se mettait à prophétiser, ou à raconter des songes, si ces lumières ne formaient pas un conglomérat, ne produisaient pas le surnaturel... Dieu répond toujours par le surnaturel. Et Il se manifeste au travers de ces lumières, c’était surnaturel. Si l’Urim et le Thummim répondaient, tout lecteur de la Bible le sait, ils acceptaient cela, ça venait de Dieu. Et si cela ne se manifestait pas par des lumières, ce n’était donc pas Dieu.

            Alors, quand le sacerdoce d’Aaron a pris fin, l’Urim et le Thummim ont disparu avec, cet Urim et ce Thummim. Mais Dieu a un autre Urim et Thummim, c’est Sa Parole. Et quand un prophète prophétise, ou un prédicateur prêche, ou un évangéliste prêche, ou qu’un songe est raconté ou quoi que ce soit, si cela n’est pas conforme à la Parole, c’est faux. Ceci est l’Urim et le Thummim de Dieu. Si cet Ange, qui s’est manifesté, qui a apporté des preuves, s’il ne manifeste pas dans la chair humaine la même nature, avec le même Esprit, accomplissant les mêmes signes qu’Il avait accomplis lorsqu’Il était ici sur terre, alors c’est un faux ange. Mais s’Il se manifeste comme étant le même, c’est Christ dans l’église se manifestant dans ces derniers jours. C’est aussi clair que je connais la Parole.

47        Vous devez reconnaître cela par l’Esprit. La chair ne peut pas faire ces choses. Qu’est-ce? Le Cep, les sarments, la même vie qui était dans le cep passe dans Ses sarments. Il alimente le sarment par Son cep. C’est ainsi qu’Il se manifeste comme étant le même hier et éternellement, car Il a dit: «Je suis le Cep.» Le Saint-Esprit maintenant, Christ sous forme de l’Esprit en vous, vous donnant la force par Son Esprit de croire en Dieu, et Il est tout ce qu’Il fait, Il se manifeste juste comme Il l’avait fait du temps de la Bible. «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus (Combien savent que c’est ce qu’Il a dit? Ce sont les incroyants.), mais vous, vous Me verrez (les croyants), car Je (Je, pronom personnel), Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.» Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement. «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.»

            Eh bien, le mot utilisé là dans King James, c’est: «Vous ferez de plus grandes oeuvres.» Mais si vous consultez le lexique grec, vous trouverez que cela ne veut pas dire de plus grandes, cela veut dire davantage. Vous ne pouvez pas faire de plus grandes. Il a arrêté le cours de la nature; Il–Il a guéri les malades; Il a ressuscité les morts; Il–Il a fait des choses. Eh bien, il ne peut pas y avoir de plus grandes qui puissent se faire. Mais vous pouvez faire davantage de cela, car Il sera dans Son Eglise comme le sarment... comme le Cep dans Ses sarments, ou plutôt dans le monde entier...?... la même chose.

48        Oh! la la! Quand j’y pense, qu’Il a promis de faire cela, me dire où le Juif jadis, là où cela a été manifesté devant lui, là où il était. Sachant que c’était le signe du Messie... Comment la femme samaritaine a-t-elle su cela? De la même manière que le croyant le sait aujourd’hui. C’est la promesse de Dieu, et nous attendons cela. Nous sommes au temps de la fin, et la gloire de Dieu retourne de nouveau dans le grain, l’église se prépare à se tenir sur ses pieds pour être emportée dans la Gloire à la Venue de Jésus. Nous croyons qu’Il est ici.

            Je ne dis pas qu’Il le fera. Je ne sais pas s’Il le fera. Je me suis tenu devant des dizaines de milliers, un demi million une fois, j’ai tenu la Bible dans une main, et le–le Coran dans une autre, et j’ai dit: «L’un d’eux est vrai, l’autre est faux.» J’ai dit: «Vous venez de dire: ‘Vous attendez quelqu’un’, lorsque j’ai atterri en Inde.» C’est là que cela a eu lieu.

49        Tous les évêques de l’Eglise méthodiste et beaucoup d’entre eux m’ont rencontré là, les frères pentecôtistes, beaucoup de grandes églises. Ils ont dit: «Monsieur Branham, nous ne voudrions pas que vous veniez ici comme missionnaire. Nous avons eu la Bible deux mille ans avant que vous, vous soyez une nation; c’est un Livre de l’orient. Vous, vous êtes les gens de l’occident, vous n’en avez même pas l’interprétation.» Sans manquer de considération pour notre instruction en rapport avec cela, mais il y a beaucoup de vérité, car c’est un Livre de l’orient, écrit suivant les coutumes de l’orient. Exact. Il a dit: «Nous connaissons la Parole, mais nous apprenons que Dieu vous a donné, à vous les Yankees, Son Esprit pour faire vivre cette Bible de nouveau.» Il a dit: «C’est ce que nous voulons savoir.»

50        Ce soir-là (après que j’avais été reçu la journée par dix-sept différentes religions de l’Inde, et chacune d’elles opposée à Christ), ce soir-là, devant les musulmans, devant les autres, chaque bouche s’était fermée, et Dieu, par Sa grande miséricorde, a fait recouvrer la vue à un homme qui était aveugle depuis vingt ans. Il se tenait là, on lui a même dit qui il était, d’où il venait, et on a eu à épeler son nom, on ne pouvait même pas prononcer cela, et tout. Alors, j’ai pu voir des dizaines de milliers, on dirait des mains noires, se lever pour recevoir Christ comme Sauveur personnel.

            Là, à Durban, en Afrique du Sud, ma dernière réunion là, mais quelque chose s’est produit à l’estrade. Nous nous tenions comme des blancs, nous étions pleins de superstitions: Docteur Untel a dit que c’était de la télépathie mentale; quelqu’un d’autre a dit que c’était autre chose, autre chose, autre chose, autre chose, au point que de pauvres gens ne savent que croire. Mais eux sont des païens, et pendant qu’ils étaient là...

51        Combien parmi vous se souviennent du docteur F. F. Bosworth? Certainement. Frère Bosworth est rentré à la Maison il y a quelques semaines. Alors que ce vieil homme se tenait là, ils avaient vu quelque chose arriver à l’estrade, ils se sont mis à agir. Je n’ai pas le temps de vous raconter cela, mais j’ai vu trente mille purs païens briser leurs idoles par terre et venir à Jésus-Christ après un seul appel à l’autel. Oh! Comme j’aime... J’étais, il n’y a pas longtemps, à une–une petite fête ou...

52        Docteur Davis, qui m’avait ordonné dans son église baptiste, m’avait dit que je perdrais la tête, en allant avec une bande de saints qui se roulent par terre quand l’Esprit les frappe. Combien j’aimerais me tenir là et dire: «Docteur Davis, ce que vous qualifiez de fanatisme, notre Eglise baptiste a dépensé des millions de dollars pour des missionnaires là-bas, et avec quoi les avons-nous trouvés? Avec une étiquette autour de leur cou, portant une idole.» Oh! Ce sont des chrétiens, oui, mais «Si Amoyah, le Dieu invisible, faillit, celui-ci ne faillira pas.» C’est là la faiblesse de l’Eglise chrétienne. Mais quand les semences de la puissance de Christ ressuscité ont manifesté cela, la question a été réglée, les idoles ont été brisées, trente mille païens... Plus que les baptistes n’en ont gagnés en cent cinquante ans de leur oeuvre missionnaire, en une fois, car c’est ce que Christ avait dit devoir arriver; et nous vivons en cette heure-là et en ce jour-là. Et celui-ci est le jour de notre visitation. Amis, il est plus tard que vous ne le pensez. Prions.

53        Seigneur Dieu, je suis vraiment très reconnaissant d’avoir l’occasion de dire devant des centaines de croyants ici ce soir que Ta glorieuse Présence ne nous a jamais quittée. Tu es toujours l’Esprit qui agit au travers de nos corps, qui accomplit Tes oeuvres, et l’église progresse. Je Te prie ce soir, ô Dieu, de donner la force à chaque personne qui est ici, par Ta Présence, de venir parmi nous, Seigneur Jésus, et de faire cela, juste ce que Tu avais fait avant Ta mort, Ton ensevelissement et Ta résurrection.

            C’est ainsi que Théophile et son ami ont reconnu que Tu étais ressuscité d’entre les morts. Ils t’avaient parlé toute la journée et, cependant, ils ne T’avaient pas reconnu. Mais quand Tu as fait quelque chose, exactement comme Tu l’avais fait avant Ta crucifixion, ils ont reconnu que Tu étais le Seul à faire cela comme ça, et que ça devait être Toi; ils T’avaient reconnu.

54        Il peut y avoir beaucoup de gens ici, ce soir, qui T’ont servi pendant des années dans une église quelconque. Ô Seigneur, Tu leur as parlé, Tu les as aidés, maintenant, rends-Toi réel ce soir, manifeste Ta Présence, juste comme Tu l’avais fait avant Ta crucifixion, afin qu’ils retournent à leur église avec un témoignage ferme, qu’ils serrent la main au pasteur et disent: «Pasteur, je suis plus déterminé à travailler pour notre Seigneur. Donne-moi quelque chose à faire.»Accorde-le, Seigneur. Et en faisant ceci, Tu connais nos objectifs et nos motifs, s’ils sont corrects ou pas. Qu’il y ait un réveil à l’ancienne mode dans la ville, qui amènera des milliers d’âmes à genoux.

            Accorde-le, Père, avant que ce monde entier ne soit réduit en poussière, par des mains des hommes impies, mais prédestinés par Dieu à le faire, car le monde des incroyants touche à sa fin.

            Et nous Te prions maintenant, Père, de Te manifester, selon Ta Parole. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

55        Maintenant, prions juste un instant. Maintenant, Seigneur Dieu, c’est aussi loin qu’un être humain peut aller. L’étape suivante, ça doit être Toi, ô Dieu éternel. Des centaines de mains se sont levées il y a quelques instants pour dire que c’est leur première fois d’être dans une réunion. Premièrement, nous avons apporté la Parole pour leur faire voir que c’était la Parole et la promesse de Dieu. Maintenant, Père, puisses-Tu Te manifester ce soir comme Tu as fait dans le passé. Que les gens soient sans excuse en ce grand jour. Viens-moi en aide, ô Seigneur, alors que nous nous abandonnons au Saint-Esprit, nous serons conduit par le Saint-Esprit. Nous Te prions de nous accorder cette victoire, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

56        Maintenant, que celui qui est le technicien de ces... lorsque les visions arrivent, dans le subconscient... Combien savent cela? Assurément. Combien savent qu’une seule vision avait affaibli le Fils de Dieu? Une seule vision avait donné des maux de tête à Daniel pendant plusieurs jours. Une seule vision avait fait errer Elie pendant quarante jours dans le désert. Oh! la la! Quel temps! Seule la grâce de Dieu permet cela.

            Maintenant, voudriez-vous vous tenir debout, monsieur? Est-ce le... Frère Vayle, si vous tous, certains parmi vous iront là dans la ligne...?...

            Maintenant, soyez vraiment respectueux. Ne vous déplacez pas. Restez tranquilles. Priez. Alors quoi? Oui. Merci. [Quelqu’un dit que tous n’entendent pas.–N.D.E.] Ça va mieux? M’entendez-vous?

            Maintenant, la raison, à l’estrade... c’est juste le groupe qui est avec moi ici. Voyez? Je sais ce qui cloche chez chacun d’eux. Voyez? Oh! Vous pouvez placer des gens tout autour de moi, ça sera en ordre, mais ça ne sera pas ainsi... C’est difficile. Voyez? Car aussitôt que l’onction du Saint-Esprit vient, cela pousse chaque démon à crier. Voyez? Ça ne sert à rien de chercher à expliquer cela. Combien ont vu la photo de Cela, ce soir? Avez-vous vu cela? Levez la main. Ils ont cela ici à Washington, D.C., par George J. Lacy, le responsable du département de la FBI chargé des empreintes digitales et des documents douteux.

57        Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre, monsieur? Si c’est vrai, voudriez-vous juste lever la main afin que les gens le sachent? Je ne connais pas cet homme; jamais de ma vie je ne l’ai vu. C’est un parfait exemple de ce que je viens de lire ce soir, Philippe et Nathanaël, deux hommes, Nathanaël se tenant devant notre Seigneur. C’est notre première rencontre.

            Eh bien, si cet homme est malade, disons, s’il souffre du cancer, ou qu’il souffre de la tuberculose, ou d’une quelconque maladie, si je m’avançais dire: «Frère», et je dis: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, frère. Alléluia, vous êtes guéri, allez et croyez le Seigneur.» Il pourra ne même pas se tenir ici, il se peut que ça soit un critiqueur. Voyez? Il se peut. Si c’est le cas, voyez ce qui arrive.

            Mais si le Saint-Esprit vient et lui dit quelque chose comme Il l’avait fait à... dit à Nathanaël, alors il saura si c’est la vérité ou pas. Quelque chose qui est caché quelque part dans sa vie passée, il saura si c’est vrai. Il peut douter de moi sur les autres choses. Il ne peut pas douter de cela, car il le sait. Qu’il soit juge. Est-ce en ordre, monsieur? Ça va.

58        Est-ce notre première rencontre? Nous sommes probablement nés à des endroits séparés des kilomètres, avec peut-être un décalage d’âge. Mais nous sommes ici pour la première fois. Maintenant, j’aimerais vous poser une question: si le Seigneur Jésus... Nous tous deux, nous disons que nous ne nous sommes jamais rencontrés auparavant. Si Christ vient et fait la même chose qu’Il avait faite, comme Il avait rencontré Nathanaël et Philippe, comme Il l’avait fait dans la Bible, combien ici diront: «Je L’aimerai, je croirai en Lui de tout mon coeur»? Voudriez-vous lever la main pour dire: «Je L’aimerai et je croirai en Lui»? Maintenant, soyez en prière.

            J’aimerais bien vous parler un instant, comme notre Maître l’avait fait au puits, car après avoir prêché... Ces courtes petites réunions sont dures. Voyez? Après quelques soirées passées à apporter l’Evangile de manière que vous voyiez cela, que les gens voient que c’est l’Evangile, alors–alors ce n’est donc pas difficile. Voyez? Je peux donc directement commencer alors, docteur Vayle peut prêcher, et moi, je viens juste après lui, je me mets à prier pour les malades. Mais de cette façon-ci, quand on fait les deux, prêcher et essayer de... ce sont deux différents... C’est le même Esprit, mais deux dons différents, deux différentes manifestations du même Esprit.

59        Eh bien, si le Seigneur Jésus me révèle ce pour quoi vous êtes ici, vous croirez, oui, si vous êtes malade. Je–je–je ne peux pas vous guérir. Et si vous avez–si vous avez besoin d’argent, je peux vous donner cinq dollars, mais je–je... si–si ce sont des problèmes en famille, je ne sais pas. Vous savez que je ne sais pas. C’est vrai. Je ne sais pas, mais Dieu le sait. Et s’Il l’accorde, alors vous accepterez cela. Et l’assistance a dit qu’elle accepterait cela.

            J’aimerais juste demander à l’assistance autre chose. Combien croiront pour eux-mêmes, s’Il révèle cela là-bas? Vous révélerez... vous croirez cela pour vous-même. Le Saint-Esprit voit. Vous direz: «Pourquoi gagnez-vous du temps, Frère Branham?» A cause de cette onction-là. C’est vrai. C’est tout à fait vrai.

            Je ne connais pas cet homme, je ne connais personne parmi vous. Eh bien, vous là dans l’assistance, continuez simplement à croire, priez, dites: «Seigneur, dis-moi des choses.» Je L’attends. S’Il ne vient pas, tout ce que je peux faire, c’est imposer les mains aux malades. C’est tout.

60        Maintenant, si l’assistance continue à entendre ma voix, je vois que cet homme souffre d’une maladie grave de nerfs. Il est extrêmement nerveux. C’est l’une des choses pour lesquelles il veut qu’on prie pour lui, mais il y a autre chose, c’est l’usage de sa main, sa main gauche. Elle a eu des lésions, cela a été causé par une scie électrique, et il s’est scié la main, il s’est coupé ses... les nerfs de sa main se sont relâchés. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Si c’est vrai, levez la main. Allez et croyez donc, tout sera terminé pour vous. Que Dieu vous bénisse. Maintenant, ayez foi; croyez seulement.

61        Jeune dame, je suppose que c’est notre première rencontre. Ce que je viens de prêcher il y a quelques instants, croyez-vous que c’est la vérité? Vous croyez cela. Je vous suis parfaitement inconnu, mais si Jésus-Christ révèle juste comme... Ceci, c’est de nouveau un cas, un homme et une femme. Comme Jésus dans Saint Jean, Saint Jean, chapitre 4, la femme au puits, un homme et une femme.

            Nous voici, c’est notre première rencontre donc. C’était la première fois que Lui et la femme se rencontraient donc, mais Il avait su quel était son problème. Si Dieu me révèle votre problème, ou ce que... quelque chose à votre sujet, et vous savez que moi, je ne sais pas cela, croirez-vous?

            Vous aussi, vous êtes horriblement nerveuse, vous avez des douleurs partout dans le corps. Et ces douleurs ont été causées par des glandes féminines; en effet, vous aviez subi une intervention chirurgicale, ici, il y a quelque temps, et ça ne s’est pas arrangé depuis. Vous avez des douleurs là dans cette partie de votre corps. Vous n’êtes point de cette ville, vous êtes d’une autre ville, on dirait que cette ville ressemble à Scotland, dans l’Indiana. C’est vrai. Croyez-vous maintenant? Vous pouvez donc rentrer chez vous, guérie. Vous...?... Que Dieu vous bénisse. Exauce, ô Père divin.

62        Bonsoir. Que pensez-vous, vous assise là, madame, au bout du siège? Croyez-vous que ceci vient de Dieu? Vous forcez. Vous priiez pour que je vous appelle. Et ce n’est pas pour vous, c’est pour cet enfant là. C’est vrai. Si Dieu me révèle ce qu’est le problème, accepterez-vous que cela vient de Dieu? Allez-vous accepter? Si vous allez le faire, levez la main. Des convulsions. Croyez-vous? C’est vrai. Levez la main si c’est vrai. Imposez-lui la main. Ô Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, elle a touché Ton vêtement, ce...?... elle a la main sur l’enfant. Au Nom de Jésus-Christ, je condamne le démon qui cause ce mal à cet enfant. Au Nom de Jésus, qu’il quitte. Amen. Ne doutez pas. Qu’avez-vous touché? Vous ne m’avez point touché, n’est-ce pas? Vous avez touché Quelqu’Un qui vous connaît, le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de vos infirmités. Ayez foi en Dieu.

63        Bonsoir, madame. Si le Seigneur Dieu me révèle votre problème, croirez-vous que je suis Son serviteur? Vous êtes dans tous vos états au sujet de quelque chose; je vous vois marcher, tenant vos mains comme ceci, vous parcourez une pièce, où des rideaux sont tirés, priant avant de venir, pour que vous entriez dans cette ligne de prière ce soir, parce que vous souffrez beaucoup. Vous avez des tumeurs, des tumeurs partout dans votre corps. Il y en a dans vos poumons, dans vos reins, et ça entre partout, au point que cela envoie un liquide vers le coeur, qui cause une maladie du coeur. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Croyez-vous qu’Il vous rétablira? Allez donc, et si vous avez un besoin...?... Dieu...?... Croyez-vous? Vous là dans l’assistance maintenant, ayez foi; ne doutez pas.

64        Bonsoir, monsieur. Croyez-vous que Dieu a... Si le Seigneur Dieu vous révèle, monsieur, ce pour quoi vous êtes ici, croirez-vous de tout votre coeur? Je n’ai aucun moyen de–de vous connaître, ni de savoir quoi que ce soit à votre sujet, mais le Dieu Tout-Puissant en a. Croyez-vous que vous pourrez prendre votre souper après ceci? Vous souffrez de la gastrite. Croyez-vous que la hernie de ce garçon-là sera guérie? Vous n’êtes pas de cette ville en tout cas. Vous venez d’une autre ville. C’est dans l’Indiana; cela est appelé...?... Vous êtes un ministre de l’Evangile. Révérend monsieur Hubbard, c’est là votre nom. Je ne vous ai jamais vu de ma vie. C’est la première fois. Rentrez chez vous et prenez donc votre souper...?... Que Dieu vous bénisse.

            Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. «Si tu peux croire, tout est possible.» Croyez-vous cela de tout votre coeur?

65        Croyez-vous que Dieu vous guérira? Jésus a dit: «Si tu peux croire.»

            Je suis juste un peu dérangé. Juste un instant. Cet homme a une relation ici dans la salle, c’est une femme là, c’est pour cela que vous priez; c’est votre mari. C’est vrai. Croyez-vous que Dieu voit ce diabète, qu’Il vous rétablira? Croyez-vous qu’Il est le même Dieu qui avait connu Pierre? Eh bien, monsieur et madame Courtney, vous pouvez rentrer chez vous maintenant et être rétablis. Vous deux, sortez de la ligne...?...

            Croyez-vous le Seigneur? Ecoutez, mes amis...?... c’est Lui...?... Ouvrez votre coeur maintenant. Laissez aller votre coeur. C’est la Parole. Qu’est-il arrivé? Touché par les sentiments de nos infirmités.

66        Et si je vous disais que votre mal de dos vous a quitté pendant que vous étiez assis là, croiriez-vous cela? Eh bien, alors, poursuivez votre chemin et réjouissez-vous...?... comme la maladie du coeur; c’est la nervosité. Croyez-vous que Dieu vous a guéri? Poursuivez votre chemin, réjouissez-vous et dites: «Merci, Seigneur», de tout votre...?...

            Croyez-vous que Dieu a guéri votre gastrite et qu’Il vous rétablit? Allez prendre votre souper. Soyez rétabli pour la gloire de Dieu.

            Non, je ne lis pas les pensées. Maintenant, rappelez-vous, vos–vos pensées sont connues. Monsieur, assis ici même en train de me regarder, là même à côté de cette femme aux cheveux noirs, avez-vous une carte de prière? N’en avez-vous pas? Croirez-vous que Dieu vous rétablira si je vous dis votre maladie? Vous croyez réellement cela, n’est-ce pas? C’est exact. Il se fait que c’est votre femme qui est assise à côté de vous. Oui. Elle souffre de la gorge. Vous, vous souffrez de la hernie. Si c’est vrai, levez la main. Exact. Allez donc et recevez votre guérison, et croyez de tout votre coeur. Je défie votre foi de croire. Tenez, tenez...

67        Faites venir cette personne ici. Placez votre main sur la mienne, soeur. Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Si Dieu me dit, pendant que je regarde dans cette direction, (Débarrassez-vous de cette pensée de télépathie), si Dieu me dit ce qu’est votre problème, croirez-vous en Lui? Allez-vous croire? Vous souffrez d’une maladie gynécologique, une maladie des femmes. C’est exact. Levez la main si c’est vrai. Vous en avez souffert. Vous n’en avez plus maintenant. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant. Croyez-vous que la maladie du coeur vous a quitté? Poursuivez donc votre chemin et réjouissez-vous. Ecoutez, soeur, vous assise là, cherchant à lui dire de croire de tout son coeur, pendant que vous êtes assise là, pleurant, priant, forçant, vous L’avez touché. Très bien. Croyez-vous que je suis Son prophète, allez-vous faire cela? Très bien. L’affection des intestins vous quitte donc. Vous pouvez rentrer chez vous et être bien portante. C’était là votre maladie.

68        Juste un instant. Que pensez-vous de la même chose, croyez-vous que Dieu a aussi guéri cette affection d’intestins, vous a rétabli? Vous croyez de tout votre coeur. Oui. Levez-vous. C’est terminé maintenant, continuez à vous réjouir. Allez en vous réjouissant. Cette petite dame ici était vraiment gentille à ce sujet, soeur, pour Lui dire... Son microphone. C’est de l’affection de la colonne vertébrale que vous souffrez; croyez-vous que c’est terminé? Si vous croyez... Très bien, tenez-vous debout. Croyez en Lui de tout votre coeur, vous serez rétablie. «Si tu peux croire.»Que pensez-vous de cette maladie du coeur? Croyez-vous que cela vous quittera? Poursuivez votre chemin en vous réjouissant et dites: «Merci, Seigneur.» D’accord, monsieur, ici, venez ici juste une minute. Aimeriez-vous manger? Allez vous procurer un hamburger. Que Dieu vous bénisse. Monsieur, vous êtes nerveux; vous pensez profondément. Vous vous faites des soucis pour l’avenir; cela vous a causé l’ulcère d’estomac; les aliments s’aigrissent et remontent. C’est terminé maintenant. Continuez, croyant de tout votre coeur.

69        L’arthrite, c’est une chose facile à guérir pour Dieu; croyez-vous cela, monsieur? Poursuivez donc votre chemin en vous réjouissant et dites: «Merci, Seigneur Jésus», et soyez rétabli. Croyez-vous que Dieu guérira votre maladie du coeur? Croyez-vous cela de tout votre coeur? Levez-vous et poursuivez votre chemin en vous réjouissant, dites: «Merci, Seigneur.»

70        Je défie votre foi, au Nom de Jésus, de regarder dans cette direction et de croire. Combien croient de tout leur coeur? Dites: «Je crois réellement.» Quoi d’autre peut-Il faire? Inutile d’appeler d’autres cartes maintenant même. Cela peut continuer jusqu’à ce que je tombe, mais c’est la promesse de Dieu. Croyez-vous que c’est Sa promesse? Croyez-vous qu’Il existe, dans Sa Présence? Alors, inclinez la tête juste un instant. Vous savez que cela doit provenir d’une puissance. Eh bien, croyez-vous comme les Juifs de Son époque, les incroyants orthodoxes, que c’est Béelzébul? Vous recevrez leur récompense. Si vous croyez que c’est Dieu, vous recevrez Sa récompense. Maintenant, croyez pendant que nous prions.

71        Eternel Dieu, nous Te remercions pour l’Esprit du Seigneur Jésus. Oh! Je Te prie, ô Dieu, d’être miséricordieux maintenant même et de guérir chaque maladie ici. Comment pouvons-nous encore douter? Ta Présence est ici. Tu T’es manifesté. Tu es ici dans Ta Parole; Tu vivifies Ta Parole. Chaque promesse est vraie. C’est pourquoi, Seigneur, tout ce qui peut empêcher les gens d’être guéris, c’est le doute. Que tout doute soit ôté maintenant même, que le Saint-Esprit se déverse dans chaque coeur, et maintenant, déverse Sa Présence là et qu’ils sachent que Tu es le Guérisseur. Rétablis-les au Nom de Jésus-Christ, je le demande. Amen.

72        Croyez-vous que vous êtes guéris? Acceptez-vous votre guérison? Peut-Il faire autre chose? Il n’y a rien d’autre qu’Il puisse faire. Si vous croyez que vous êtes guéris, peu importe ce qui cloche chez vous, mettez-vous debout et acceptez-Le comme votre Guérisseur. Levez-vous, vous qui voulez croire en Lui. Levez les mains vers Lui. Remerciez-Le. Dites: «Gloire à Son Nom!» Rendez-Lui louange et gloire. Le Grand Médecin est ici maintenant, le Compatissant Jésus. Il console les coeurs affligés, il n’y a pas un autre nom en dehors de Celui de Jésus. Levez simplement les mains et rendez-Lui gloire...?... Dites: «Je Te remercie, Seigneur, de m’avoir guéri.» Et tout sera terminé et fini.

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