La Reine Du Midi

Date: 58-0620 | La durée est de: 1 heure et 41 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, Frère Joseph. Merci, frère. Vous pouvez vous asseoir. C’est un privilège d’être ici ce soir, mais nous n’arrivons pas à rester suffisamment longtemps lorsque nous venons, à peine arrivés nous repartons. Et j’ai tant de fois entendu frère Joseph me présenter à l’estrade, et je tire sa veste et tout le reste pour l’empêcher de dire ces choses, mais il les dit quand même. Ainsi il... Je préférerais donner un petit bouton de rose à une personne maintenant que toute une couronne après sa mort.

2          Et j’aimerais dire à cette convention, et ce n’est pas parce qu’il est assis ici; ce serait de l’hypocrisie. Mais Joseph Boze est l’un des meilleurs amis que j’aie jamais eus. C’est tout à fait juste. C’est un merveilleux frère; j’ai trouvé qu’il est juste, honnête, tout aussi honnête qu’il peut l’être, et c’est un vrai homme qui aime Dieu. Je ne dis pas cela parce qu’il fait de beaux compliments, mais je le dis sur base–sur base d’une expérience, c’est-à-dire que je sais de quoi je parle. Il va très bientôt quitter Chicago, et on aura perdu l’un des meilleurs hommes qui soient venus à Chicago, quand Joseph Boze partira de là.

3          Et j’ai certainement apprécié toute notre communion à Chicago et les grandes réunions que nous avons tenues ensemble. Dieu seul sait ce que cela a représenté. Et un de ces jours, dans l’au-delà, lorsque le temps s’arrêtera et que l’éternité se fondra avec le temps, nous parlerons de tout cela, Joseph, des grandes choses qui ont été faites. Il a une famille très aimable, des enfants très aimables, une église très aimable, des membres très aimables; et il donne de très bons sermons... Tout le monde avait l’habitude de dire: «Si frère Branham n’est pas à Jeffersonville, appelez soit Mattsson Boze à Chicago, soit Jack Moore à Shreveport, en Louisiane.» J’étais à l’un de ces deux endroits, faisant des va-et-vient. En effet, ils étaient tous deux mes grands amis, et dès que je passais une soirée très loin quelque part à la frontière, celui-là m’attrapait, avant que je ne puisse arriver chez l’autre, l’autre m’attrapait. Ainsi, je leur parlais, disant: «Frère, je–j’ai beaucoup d’autres bons frères que je dois visiter un petit peu, vous savez, et avec qui je dois m’entretenir.»

4          J’aimerais certainement dire que j’apprécie le privilège que j’ai eu de parler à cette convention. Ce groupe représente ce que je soutiens, une communion avec tous les hommes. En dépit des credos, de la couleur, de la race, ou que sais-je encore, nous communions ensemble, n’ayant aucune barrière dénominationnelle, juste un groupe de gens qui communient. Que vous soyez méthodiste, baptiste, presbytérien, c’est ce qui caractérise le Plein Evangile. Mais si vous êtes un méthodiste et que vous vouliez communier avec les autres, voyez s’ils vous rejetteront. Pour eux, que vous soyez baptiste, presbytérien ou quoi d’autre, cela ne change rien. Vous avez la main tendue, avec une bonne poignée de main; j’aime cela. Et je pense que c’est ce que le Seigneur aime aussi, que tous Ses enfants communient.

            Et je voudrais présenter des excuses à Greenville et à la convention pour être venu vers vous étant très fatigué. Et quand je suis fatigué, je suis... on n’est pas en super forme. Je voyage sans arrêt, depuis Noël. Je quitte ici le matin, et je vais directement à Green Pines, je crois, à Southern Pines, Southern Pines, en Caroline du Nord, je pense que c’est ça, du Sud (Ça doit être la Caroline du Sud, n’est-ce pas?)–Southern Pines, en Caroline du Nord. Et j’y serai pendant quatre jours, pour ensuite continuer à Philadelphie, à la Convention Internationale des Hommes d’Affaires du Plein Evangile. Et elle doit se tenir à Philadelphie, en Pennsylvanie; je vais prêcher au début, je pense, je dois prêcher au déjeuner le matin du 28. Et puis, je pense que la convention commence le premier. Et je dois donc rencontrer mon grand ami Oral Roberts, et Tommy Hicks, et bien d’autres frères à cette convention, des frères ministres.

5          Billy vient de me dire tout à l’heure qu’on a prélevé une offrande d’amour. Est-ce juste? Une offrande d’amour pour moi. J’apprécie cela. Je–je ne suis pas venu pour cela; je ne demande jamais cela. Jamais de toute ma vie je n’ai prélevé une offrande. Jamais je n’ai prélevé une offrande. Cela fait vingt-sept ans que je suis ministre, et jamais de ma vie je n’ai prélevé une offrande, et jamais de ma vie je n’ai reçu un seul sou comme salaire. Je vis tout simplement de l’aumône du peuple.

            J’ai travaillé pendant dix-sept ans comme garde-chasse et tout en étant électricien, à la compagnie des services publics, et j’ai été pasteur au Tabernacle Baptiste à Jeffersonville, recevant les dîmes qui étaient données, et sans même que je les voie, elles passaient directement dans l’église, pour la construction de l’église et ainsi de suite. Et j’ai payé mes dîmes et mes offrandes à l’église, pendant dix-sept ans, sans recevoir un seul sou. Et je... aurais souhaité avoir un travail où je pourrais me rendre avec une pioche et une pelle, ou un marteau ou quelque chose d’autre, c’est tout ce que je pouvais... je suis assez habile pour faire, creuser une fosse ou quelque chose comme ça, faire un travail, un travail d’électricité, sans devoir à aucun moment prélever une offrande. Si je pouvais le faire, je serais content de le faire. Mais je ne suis plus aussi jeune qu’autrefois...

6          L’autre jour c’était mon anniversaire, et voyons, je pense que j’ai eu... Ma femme est assise ici, je dois donc faire attention; je pense que j’ai accompli vingt-cinq ans. J’ai eu juste un peu plus de vingt-cinq ans; je suis né en 1909, donc que j’ai un peu plus de vingt-cinq ans, n’est-ce pas, juste–juste un peu plus de vingt-cinq ans? Ainsi, j’en aurai donc pour mon compte après ceci.

            Je me souviens qu’un soir... Elle me reprend toujours quand je dis ceci. Je... Nous passions des moments difficiles, quand j’ai failli un jour prélever une offrande; nous n’arrivions pas à joindre les deux bouts. Etes-vous déjà passé par un tel moment? Et alors, j’ai dit: «Chérie, je vais prélever une offrande ce soir.»

            Elle a dit: «Je serai là pour te voir le faire.» Elle s’est donc assise.

            Et j’ai dit: «Les amis, je vais prélever une offrande; je me trouve un peu coincé. Si chacun de vous a dix, quinze cents, vous pouvez les mettre dedans pour m’aider à résoudre ce problème, j’apprécierai cela.» J’ai dit: «Oncle Jim Wiseheart (l’un des diacres), ai-je dit, voulez-vous bien prendre mon chapeau?» Nous n’avions même pas un plateau d’offrandes. Il est allé prendre mon chapeau. Une petite femme âgée avait l’habitude de s’asseoir juste à ma droite, elle priait tout le temps pour moi. Ce soir, elle est au Ciel. Elle portait l’un de ces petits tabliers muni d’une poche à l’intérieur. Combien en ont déjà vu un, vous les femmes du Sud? Certainement.

            Grand-mère en avait un; elle portait sa pipe et son tabac là à l’intérieur, c’était une longue et vieille pipe en argile. En avez-vous déjà vu une? Certainement, grand-mère en avait une. Quand les hommes approchaient, elle la cachait là en dessous et gardait son doigt dessus, et puis, pour empêcher qu’elle ne brûle son tablier au point que le... Que la main brûle, cela ne changeait rien, vous savez.

7          Mais elle, cette vieille petite femme a introduit la main là et en a fait sortir l’un de ces petits porte-monnaie ayant des boutons-pression dessus, et elle s’est mise à y introduire la main pour en tirer ces pièces de cinq cents; je ne pouvais pas faire ça. «Oh, ai-je dit, je vous taquinais tout simplement.» La chose m’aurait hanté le reste de ma vie, si je prenais les cinq cents de cette femme. J’ai dit: «Je vous taquinais tout simplement pour voir ce que vous diriez.» Et le vieil oncle Jim, se tenant là avec mon chapeau en main, a dit: «Que voulez-vous dire, Billy?»

            J’ai dit: «Raccrochez mon chapeau, Oncle Jim. Je vous taquinais tout simplement.»

8          Un vieil homme avait l’habitude de venir chez moi à vélo. Il venait de Benton Harbor, il avait une longue barbe et de longs cheveux. C’est le vieux frère Ryan, beaucoup d’entre vous l’ont peut-être connu. Et il se promenait là sur un vieux vélo, et ce vélo a rétrogradé. Et il l’a donné... Il n’avait pas rétrogradé; il était simplement usé. Il était... Il n’était pas rétrograde; il était tout simplement usé. Alors il–il l’a laissé là et il me l’a offert. Et je suis allé au bazar, et je me suis procuré une boîte de peinture, et je l’ai repeint, puis je l’ai vendu. J’ai eu en... finalement l’argent, et après tout, je n’ai plus jamais eu à prélever une offrande. Ainsi, je... c’est la fois où j’ai failli prélever une offrande.

            Maintenant, ce qui m’est donné, je le place, chaque sou que je peux, tout ce que je sais, au mieux de ma connaissance, dans le Royaume de Dieu. J’ai trois enfants à nourrir et une femme. Nous engageons beaucoup de dépenses. Mes dépenses, chez moi au bureau, s’élèvent à environ cent dollars par jour. Vous direz: «C’est beaucoup d’argent, Frère Branham.» C’est la moindre somme pour n’importe quel évangéliste qui est dans le champ missionnaire.

9          Combien pensez-vous qu’il faut à Oral Roberts par jour? La dernière fois que j’ai entendu parler de lui, c’était sept mille dollars, je pense que c’est autour de dix maintenant, dix mille dollars par jour. Combien pensez-vous qu’il faut à Billy Graham chaque jour? D’après une estimation que j’ai entendue une fois, c’est vingt-cinq mille dollars par minute, je pense que c’était pour la télévision; pour sa radio, il faut beaucoup d’argent. Mais je garde mes réunions modestes; je n’ai jamais cherché à en avoir de grandes, ou un très grand programme tel qu’il me faut demander de l’argent aux gens. Quand cela en arrivera là, je fermerai la Bible, je retournerai à mon tabernacle. Voyez-vous? Je ne dois jamais faire cela; que Dieu me garde de le faire. Je n’ai jamais eu de grands programmes, je peux donc aller à une église de dix personnes et y tenir un réveil. Ou si le Seigneur veut que je prêche à cent mille personnes, Il enverra quelqu’un qui en supportera les frais, pour que j’aille prêcher à cent mille personnes. C’est donc ainsi que nous vivons. Je ne suis donc pas obligé d’avoir l’argent. C’est simplement très modeste.

10        Et ainsi donc, que le Seigneur bénisse chacun de vous; je suis heureux d’avoir été ici à Greenville. Et vos–l’un de vos pasteurs m’a croisé à l’entrée, il y a quelques instants, et il m’a invité à son tabernacle; je crois que c’est frère Bigby. Il est venu en tant que... de la part de sa délégation qui vient d’ici quelque part, je crois que c’était à Charlotte. Et ils se sont tous réunis... [Quelqu’un dit: «A Columbia.»–N.D.E.] Columbia, ils se sont tous réunis là-bas pour un grand réveil...

            Je viens de recevoir un message du Madison Square Garden à New York, disant que les Espagnols le rempliront chaque soir, pendant dix soirées d’affilée. Il y a environ cent soixante-quinze mille pentecôtistes espagnoles juste dans la ville de New York. Voyez-vous? Sans qu’il y ait là un seul Blanc, les Espagnols rempliront le Madison Square Garden, et ils supporteront les frais pour dix soirées d’affilée, juste pour assister aux réunions. Il y a des appels de partout dans les environs, et me voici fatigué et épuisé. Frères, priez pour moi.

11        Un de ces jours, je devrai quitter ce monde, mais j’aimerais le quitter avec un coeur sincère, en faisant le mieux que je peux pour le Royaume de Dieu, et mourir à la tâche; voilà de quelle manière j’aimerais partir. Puisse Dieu m’aider et placer le petit Joseph, mon petit garçon ici, à ma place pour qu’il continue le ministère, si Jésus tarde.

            Eh bien, ce soir nous faisons face à la clôture de ce rév-... cette convention. Je crois que l’an prochain cela devra se tenir à Evansville, dans l’Indiana. J’ai un–un cousin germain là-bas. Monsieur Vivard a une grande église des Assemblées de Dieu qui couvre presque tout un pâté de maisons. Et j’espère être là à la convention l’an prochain. Que Dieu vous bénisse, frères; gardez bon courage. Et vous avez eu une bonne convention, et Dieu vous a bénis. Et ma sincère prière est que Sa bénédiction puisse donc demeurer sur chacun de vous, et que vos ministères croissent et prennent sans cesse de l’ampleur. Que Dieu bénisse toutes les autres églises des alentours de Greenville et que sais-je encore; qu’Il vous accorde ce qu’il y a de meilleur dans le Royaume, c’est mon sincère désir et ma sincère prière.

12        Frère Mercier et frère Goad sont ici quelque part, et ceci c’est la soirée de clôture; ils ont leurs bandes et... des réu-... réunions, et les sermons, et les messages aussi bien sur disque que sur bande; les livres et les photos sont derrière sur la table. Faites attention à cela, nous... Ce n’est pas un moyen que nous avons pour nous faire de l’argent; j’achète ces livres chez frère Gordon Lindsay avec une réduction de 40 cents, et j’en achète des milliers. Le temps que je les achète et que je les expédie, ici je... Si je les vendais exactement au même prix que je les ai achetés, je perdrais de l’argent. Et quiconque ici est pauvre et n’en a pas, s’il désire avoir un de ces livres mais n’a pas l’argent pour les acheter, qu’il les prenne de toute façon. (Ce sont mes compliments), avec la photo et tout le reste. La photo est sous droit d’auteur, et pour cette raison je dois l’acheter. Comme nous l’avons fait imprimer, nous la mettons là derrière pour la vendre. Nous ne tirons aucun bénéfice. Nous désirons faire des convertis à Jésus-Christ; c’est là notre but en faisant cela, ce sont les convertis. Que le Seigneur vous bénisse.

            Il y a quelques instants je regardais... Ma femme cherchait une amie ici, madame Downing qui vient de quelque part là au Tennessee, et elle est censée être dans ces réunions, et je ne sais pas si Meda l’a déjà trouvée ou pas. Si elle est là, eh bien, elle vous cherche, Madame Downing, où que vous soyez.

13        Inclinons maintenant la tête juste pour un moment de prière avant que nous apportions la Parole. Combien veulent être inclus dans la prière, veuillez simplement lever la main vers Christ et dire: «Ô Dieu, sois miséricordieux; me voici maintenant, je suis dans le besoin, aide-moi ce soir. Tu sais de quoi j’ai besoin.» Que Dieu vous bénisse partout.

            Père céleste, nous Te remercions pour tout ce que nous avons vu, entendu et senti pendant cette convention. Et nous demandons que Tes bénédictions reposent sur ce groupe de gens qui ont résolu dans leur coeur de ne pas se souiller avec les choses du monde, mais de prêcher le pur Evangile du Seigneur Jésus. Bénis leurs efforts. Bénis les gens qui leur ont accordé cette–cette salle, et la convention et toutes les églises, les laïcs, et les gens qui ont donné les offrandes pour rendre ces choses possibles. Nous Te remercions pour chacun d’eux, Père.

14        Et maintenant, nous voudrions Te demander de nous accorder ce soir l’une des plus grandes bénédictions que nous ayons jamais reçues depuis que nous sommes à Ton service. Parle-nous au travers de Ta Parole écrite; rends-La manifeste par le Saint-Esprit. Ouvre les pages, Seigneur, et interprète-nous la Parole, alors qu’humblement nous avons faim et soif de la justice.

            Seigneur, sauve ces gens qui ont été prédestinés à la Vie Eternelle; puisse le Saint-Esprit parler particulièrement à leurs coeurs ce soir, et ce sera le moment où ils entendront frapper à la porte et où ils ouvriront. Guéris les malades et les affligés; et que ceci soit une grande soirée. Et qu’il n’y ait pas une seule personne faible parmi nous quand le service sera terminé. Nous nous en irons heureux ce soir, nous réjouissant, et nous croyons que nous dirons comme ceux qui revenaient d’Emmaüs: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous, lorsqu’Il nous parlait en chemin.» Car nous le demandons en Son Nom et pour Sa gloire. Amen.

15        En courant comme ceci, aussi vite que nous le pouvons, parfois je dois relire un texte que j’ai lu auparavant, je ne sais pas quand, et je n’ai pas l’occasion d’approfondir son étude, et de prendre un petit contexte, généralement pas exactement de la même façon dont j’en avais parlé. Je pourrais, ou n’importe quel autre ministre que le Saint-Esprit a oint, prendre un texte et prêcher pendant cent ans et le rendre différent à chaque fois, selon que le Saint-Esprit conduit.

            Mais ce soir... Le pasteur Mattsson était aujourd’hui là à mon camp et il a dit... J’ai dit: «Frère Mattsson, pensez-vous que les gens voudraient que je prie encore pour les malades ce soir?»

            Il a dit: «Absolument, Frère Branham.»

            J’ai dit: «Billy, vous les garçons, vous feriez mieux d’aller alors distribuer des cartes de prière», et j’ai dit: «Car je ne sais pas s’ils ont continué la ligne de prière hier soir pour les faire tous passer ou pas. De toute façon, distribuez encore quelques cartes de prière. Ceux qui en ont, s’ils veulent en avoir une autre, donnez-la-leur; nous allons encore prier ce soir.»

16        Maintenant, je veux que vous vous souveniez que la chose même pour laquelle nous nous efforçons de combattre, c’est que Jésus-Christ n’est pas mort mais qu’Il est vivant, et qu’Il est aujourd’hui exactement le même qu’Il était quand Il marchait en Galilée, seulement Il n’est pas dans un corps physique, mais dans le corps de Son–Son Eglise, oeuvrant à travers chaque membre selon qu’Il lui a ordonné de le faire. Croyez-vous cela? Ainsi donc, il ne s’agit pas de l’imposition des mains.

            Et j’aimerais dire ce soir... Combien parmi mes amis qui sont ici ne sont pas de la ville, ne sont pas de cette ville-ci? Faites voir la main. Eh bien, c’est merveilleux, quatre-vingt-dix pour cent de l’assemblée; c’est très bien, c’est bon.

17        Maintenant, un changement va se produire dans mon ministère. Et combien... Y a-t-il quelqu’un ici qui se souvient du moment où j’ai commencé à aller dans les champs missionnaires? Faites voir la main. Oh! la la! ils sont nombreux. Vous souvenez-vous que cela m’avait été donné par l’Ange du Seigneur, à savoir que je prendrais ma main gauche et la poserais sur la–la personne malade, et que je n’utiliserais pas ma propre voix, et que Cela parlerait et lui dirait son problème? Vous en souvenez-vous? Et vous vous souvenez que je vous ai dit que le Saint-Esprit m’a dit ce soir-là, quand je Lui ai parlé, ce qui arriverait. Et Il a dit: «Si donc tu es sincère, il arrivera que tu connaîtras le secret même de leur coeur.» Combien d’entre vous ont assisté à mes premières réunions et m’ont entendu parler de cela avant que cela n’arrive? Levez la main bien haut. C’est bon. Maintenant, cela s’est-il accompli?

            Et puis Il a dit: «Si tu continues à être sincère et humble, cela croîtra de plus en plus.» Et maintenant, ce ministère va monter plus haut maintenant pour entrer dans une autre dimension, où il sera loin au-delà de ce qu’il est maintenant. Je ne sais pas exactement de quoi il s’agit, mais le Saint-Esprit m’a averti de clôturer vite mes réunions maintenant (Mes dernières réunions se tiendront à Philadelphie) et d’aller dans les collines afin de m’attendre au Seigneur, pour voir dans quelle direction conduire ce ministère. Quand j’en ressortirai, ce sera avec un nouveau ministère. Ce ministère ne prendra pas fin; ce ministère continuera. Ce premier ministère continuera; il sera toujours le même.

18        Dieu donne des dons; Il ne retire jamais les dons. Il... Votre don demeure, et si vous êtes honnête avec ce que vous avez, Dieu prendra d’autres talents et continuera à les déverser, si seulement vous continuez à monter. C’est ce qu’Il a toujours fait. Comme dans l’âge de Luther, jusqu’à l’âge de Wesley, jusqu’à l’âge de la Pentecôte, et ainsi de suite, et ainsi de suite; ça n’a pas de limite. Dieu continue. Priez donc pour moi, car j’ai grandement besoin de vos prières.

19        Maintenant, je souhaite lire ce soir dans Matthieu, chapitre 12, verset 42, pour un petit contexte, si le Seigneur veut bien l’accorder. Je vais parler vite et avoir la ligne de prière; en effet, un seul mot de la part de Dieu représente plus que ce que n’importe quel prédicateur qui pourrait se tenir ici à l’estrade prêcherait pendant des années. Et j’aimerais dire ceci: Ces mouchoirs, je prie dessus. Mais je voudrais d’abord me rassurer, après que le message sera terminé, que l’Ange du Seigneur est tout près, ainsi que l’onction, avant que je prie pour vos mouchoirs. Je désire en être sûr. Si ma mère était malade ou que mon bébé était malade, je désirerais que ce que Dieu a de meilleur soit fait pour eux. Et cherchez à faire pour les autres ce que vous voudrez que les autres fassent pour vous. Et si vous n’avez pas un mouchoir ici, écrivez-moi à Jeffersonville, je vous l’enverrai gratuitement, tout est gratuit. Maintenant c’est la lecture des Ecritures, si vous y êtes déjà:

Et la reine du Midi se lèvera, au jour du jugement, avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et voici, il y a ici plus que Salomon.

            Maintenant, puisse le Seigneur ajouter Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole.

20        Jésus venait de réprimander les villes dans lesquelles Il avait été, et où Il avait accompli Ses puissants miracles, mais les gens ne s’étaient pas repentis. Croyez-vous que l’histoire se répète? Certainement. L’histoire le prouve. Et qu’est-ce que vous imaginez qu’Il pense ce soir, lorsqu’Il regarde maintenant Greenville, lorsqu’Il regarde New York, Chicago, et beaucoup de grandes villes dans le monde où Ses puissantes oeuvres ont été manifestées, mais où les gens pataugent continuellement dans le péché et l’incrédulité? Et Il les réprimandait et leur disait ce que serait leur destruction.

            Et maintenant, certains d’entre vous historiens bien avisés donc, regardez là dans l’histoire et considérez aujourd’hui la Palestine: chaque ville qu’Il avait maudite a sombré, et chaque ville qu’Il avait bénie est toujours là, tel qu’Il l’a dit dans cette Ecriture, dans ce même chapitre, et au chapitre précédent que je viens de lire. Il a dit: «Toi Capernaüm, seras-tu élevée jusqu’au ciel? Non. Tu seras abaissée jusqu’au séjour des morts; car, si les miracles qui ont été faits au milieu de toi avaient été faits dans Sodome, elle subsisterait encore aujourd’hui.»

21        Si les miracles avaient été faits... Et vous voyez, les oeuvres de Dieu avaient été manifestées, mais les gens avaient rejeté cela et L’avaient traité Lui de Béelzébul. En effet, hier soir nous avons lu concernant les oeuvres, ce qu’Il avait fait et comment Il l’avait fait. Et dans le... juste quelques versets plus haut, où nous venons de lire tout à l’heure, nous voyons que les pharisiens L’avaient traité de Béelzébul. Eh bien, ils ne l’ont pas dit tout haut; le diable est trop intelligent pour faire ça. Ils ne l’ont pas dit tout haut, mais c’est ce qu’ils pensaient dans leur coeur, et Jésus connaissait leurs pensées. Est-ce là ce que déclarent les Ecritures? Ils n’ont pas dit: «Cet Homme est Béelzébul.» Mais c’est ce qu’ils disaient dans leur coeur, et Jésus a saisi cela. C’est la raison pour laquelle ils l’ont taxé de diseur de bonne aventure ou de mauvais esprit. Il connaissait leurs pensées.

22        Maintenant, nous savons que la lecture des pensées, comme on appelle cela, ou la bonne aventure, ça existe. Qu’est-ce que la bonne aventure? La bonne aventure vient du diable. Et ce n’est rien d’autre qu’un don perverti. Tout comme toute injustice est la justice pervertie. Avez-vous déjà entendu parler d’un diseur de bonne aventure qui prêche l’Evangile et amène des âmes au salut? Avez-vous déjà entendu dire qu’un diseur de bonne aventure tient des services de guérison et qu’il accomplit de grands miracles pour Dieu, amenant des âmes à la repentance? «C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.»

            Jésus prêchait le Royaume de Son Père, et Il appelait des convertis à Lui-même et au Père. Et les gens ont dit, du fait qu’Il connaissait leurs pensées par le véritable don de Dieu, ils L’ont considéré comme un don perverti, et Il a dit: «Ce sera pardonna-... impardonnable de traiter l’Esprit de Dieu d’une oeuvre impure quand le Saint-Esprit viendra faire cela.»

            Il était donc très clair dans ce qu’Il disait. Faites donc attention, les amis, à ce que vous dites au sujet de tout ce que Dieu fait. En effet, c’est une chose dangereuse que de tomber entre les mains du Dieu vivant. Si vous ne comprenez pas la chose, taisez-vous tout simplement; ne dites rien. Dites: «Seigneur, rends-moi humble afin que je comprenne.» Venez avec ce genre d’attitude; ne suivez pas la foule pour émettre votre propre opinion. Sondez la chose dans les Ecritures; observez la chose oeuvrer, la nature de la chose et voyez si c’est de Dieu ou pas. Si c’est de Dieu, accrochez-vous à cela. Si ce n’est pas de Dieu, éloignez-vous-en. Si ce n’est pas scripturaire, alors ce n’est pas de Dieu.

23        Il a donc parlé de cela. Et nous savons que chaque âge, tout au long de chaque âge, Dieu a toujours eu un témoin sur terre; Il n’a jamais manqué de témoin. Et Il ne manquera jamais de témoin. Et quand Dieu envoie un don sur la terre et que les gens rejettent celui-ci, cette génération entre dans un chaos de ténèbres, dans les ténèbres pour avoir rejeté Dieu. Car Dieu juge cette génération de la même manière qu’elle juge les dons de Dieu.

            Or, Jésus était le plus grand Don de Dieu. Et Il essayait de leur dire qu’ils avaient rejeté Son message. Ils ont rejeté... Sodome a rejeté le message des Anges. Et dans l’âge de Noé, cet âge-là a rejeté le message de Noé. Et puis, Il s’est mis à se référer à certains qui avaient effectivement accepté la chose, et Il en a donné des exemples. Et Il a dit: «Et puis, quand une génération a reçu le don de Dieu, ou le message de Dieu, cette génération a toujours prospéré pour devenir une grande génération.» C’est l’attitude que vous adoptez vis-à-vis d’un don divin de Dieu qui produit le résultat que vous en recevrez.

24        Et si Marthe, quand elle est sortie voir Jésus après la mort de son frère Lazare... Eh bien, apparemment elle avait le droit de Le réprimander en disant: «Pourquoi n’es-Tu pas venu quand nous T’avons appelé? Mon frère était malade, et il avait besoin de Toi. Et nous avons quitté l’église; nous avons laissé tomber nos anciens amis pour... parce que nous avons cru en Toi. Et nous T’avons suivi, et nous avons été excommuniés des associations, parce que nous T’avons fait confiance. Et juste au moment où nous avions le plus besoin de Toi, Tu nous as abandonnés.» Cela aurait été juste apparemment.

            Mais toute personne qui vient à Dieu doit d’abord être éprouvée. Et votre foi doit être éprouvée. Si donc elle s’était approchée avec ce genre d’attitude, le miracle n’aurait jamais été accompli. Mais elle avait sans doute lu l’histoire de la Sunamite, comment elle s’était approchée d’Elie. Elle s’est donc approchée de Jésus de la même manière. Si Dieu était dans Son prophète, Il était certainement dans Son Fils.

            Et elle a dit: «Seigneur (Son titre légitime), si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort.» Cela lui a certainement fait trouver grâce devant Dieu. Elle L’a reconnu en dépit de ce qu’Il avait fait. Qu’Il soit venu ou qu’Il ne soit pas venu, cela n’avait rien à voir avec la chose. Elle a dit: «Seigneur (elle L’a appelé par Son titre), si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais, même maintenant, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» Vous y êtes!

25        Vous êtes peut-être passé par chaque cabinet médical qu’il y a à Greenville. Vous avez peut-être fréquenté chaque clinique, et chaque médecin a dit que ce cancer vous tuera. Mais si vous adoptez l’attitude correcte envers le don de Dieu, le Saint-Esprit qui est ici ce soir, et que vous dites: «Même maintenant, Seigneur, le médecin m’a abandonné, tout est terminé; mais, même maintenant, Seigneur, alors que Tu es assis à la droite de Dieu, tout ce que Tu demanderas au Père, Il Te l’accordera.» Quelque chose va arriver.

            Considérez ce que Jésus a fait, Il a dit: «Ton frère ressuscitera.»

            Elle a dit: «Oui, Seigneur, c’était un bon garçon; il ressuscitera au dernier jour.»

            Il a dit: «Mais Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort; et quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?»

            Elle a dit: «Oui, Seigneur: je crois que Tu es le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde. Que Tu sois venu répondre à mon appel ou pas, cela n’a rien à voir avec la chose; je crois que Tu es le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde.» Cela a réglé la question; c’était cela son approche. C’est cela votre approche. C’est votre approche vis-à-vis de Christ qui montre la différence.

26        Et Jésus a dit, parlant du temps de Jonas, Il a dit: «Les hommes de Ninive ressusciteront dans cette génération parce qu’ils se repentirent à la prédication de ce prophète de Jonas.»

            Or, bien des fois nous appelons Jonas... et nous aimons parler de lui comme un prophète rétrograde qui connaissait à peine son abc pour–pour ce qui est d’arriver à connaître Christ, et nous le mettons de côté. Mais permettez-moi de vous dire quelque chose: vous vous trompez; Jonas était un vrai et authentique serviteur de Dieu qui suivait chaque acte du Saint-Esprit. Oh! quand il s’est mis en marche pour Ninive, c’est Dieu qui l’avait envoyé à Ninive. Mais apparemment il a emprunté le chemin où il y avait le moins de résistance; il est allé à Tarsis. Ce n’était pas par hasard; c’était la manière dont Dieu faisait quelque chose.

27        Quand un brave homme qui sert le Seigneur... Et les Ecritures ne peuvent être brisées: «Les pas du juste sont dirigés par l’Eternel», et rien ne peut les détourner. «Et toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu.» Ce navire fut envoyé là-bas par Dieu, de même que le poisson était préparé pour lui. Jonas était là sur l’océan, il était honnête et juste; mais il n’était pas allé là où Dieu lui avait dit d’aller, mais tout cela c’était dans la manière d’opérer de Dieu. Voyez comment Dieu a fait la chose.

            Il lia les... on lui lia les mains derrière et on le jeta dans l’océan. Un poisson rôde dans l’eau jusqu’à ce qu’il trouve son appât, sa proie; il le mange, puis il descend au fond pour faire reposer ses nageoires au fond de l’eau. Vous les pêcheurs, vous savez cela. Vous les femmes, vous le savez à partir de votre poisson rouge. Et cette baleine qui venait dans l’eau a pris une très grande bouchée, et elle a avalé ce prédicateur dans son ventre, puis elle est descendue au fond de la mer pour faire reposer ses nageoires.

28        Je me suis souvent dit, quand vous prenez les gens, peut-être qu’ils–qu’ils ont une tumeur ou qu’ils sont sourds d’une oreille, ou infirmes ou quelque chose comme ça, ils pensent que la guérison est impossible pour leur cas. Et ils regardent toujours; on prie pour eux un soir... Oral Roberts vient, on prie pour eux, ils disent: «Eh bien, ma main ne va pas mieux.» Frère Allen passe: «Ma main ne va pas mieux.» Vous regardez à l’endroit qu’il ne faut pas. C’est comme le dit la vieille expression du Sud lorsqu’on chassait le raton laveur: «C’est aboyer à l’arbre qu’il ne faut pas.»

29        Remarquez, Jonas n’a pas regardé à ces choses. Les gens regardent à leurs symptômes, mais vous ne devriez jamais regarder aux symptômes; vous devriez regarder à la promesse.

            Or, Jonas était dans le ventre de la baleine, il était plongé dans la vomissure jusqu’aux genoux, avec des algues tout autour du cou, de tout côté où qu’il regardait, il voyait le ventre de la baleine. Et il était au fond de la mer, sur une mer houleuse, dans le ventre de la baleine, les mains et les pieds liés derrière; et partout où il regardait, c’était le ventre de la baleine. Personne ici ce soir n’est dans une telle condition, même pas à moitié.

            Et savez-vous ce que Jonas a dit à ce sujet? Il a dit: «Ce sont des vanités mensongères, je n’y regarderai même pas. Mais je regarderai une fois de plus vers Ton saint temple, ô Eternel.» Et en faisant cela, il croyait.

30        Quand Salomon avait fait la dédicace de ce temple, il avait dit: «Eternel (dans sa prière), si Ton peuple se trouve quelque part en difficultés, et qu’il regarde en direction de ce saint lieu et prie, alors exauce des cieux.» Et ce prédicateur croyait que Dieu répondrait à la prière de Salomon.

            Et si Jonas, dans pareilles circonstances, a pu regarder à un temple qui fut érigé par un homme, et à une prière qui fut faite par un homme qui rétrograda plus tard, à combien plus forte raison devrions-nous, dans les circonstances actuelles, détourner nos regards de nos symptômes pour les fixer sur le Trône de Dieu où Jésus est assis à la droite de Dieu sur un Trône, sur un temple qui fut créé par Dieu avec Son propre Sang pour accomplir tout ce que nous confessons; pour prier pour nous, intercéder sur base de notre confession, à la droite du Père...

31        Observez cette baleine. Dieu fit quelque chose à la baleine; Il a transporté Jonas pendant trois jours et trois nuits jusqu’à Ninive. Maintenant, j’ai appris que les Ninivites étaient des païens et qu’ils adoraient le dieu de la mer et différents autres dieux. Et le dieu de la mer, c’était une baleine, parce que c’était la créature la plus forte de la mer. Et presque tous les hommes vivaient de la pêche.

            Et pendant que les pêcheurs étaient là-bas avec leurs filets, voici venir une baleine se ruant sur la plage, et elle ouvre sa bouche, tire la langue et un–le prophète sort de la bouche de dieu en marchant. Il n’est pas étonnant qu’ils se soient repentis. Un prédicateur est sorti tout droit du ventre de la baleine, tout droit de la bouche, pour prêcher l’Evangile. Si leur dieu a apporté le prophète, certainement qu’ils devaient écouter celui-ci. Dieu travaille de manière mystérieuse pour accomplir Ses prodiges. Ce n’était pas un hasard, Dieu avait préparé tout cela. Il savait exactement ce qui allait se passer. Et puis, les gens ont vu leur dieu venir rapidement sur le rivage et cracher le prophète là; assurément que les gens devaient l’écouter. C’est parce qu’il est venu tout droit de ce qu’ils pensaient être dieu, leur dieu, la baleine, le dieu de la mer.

32        Et observez comment Dieu agit, et les gens de cette grande ville ne savaient pas distinguer «hue» et «dia», ou la main droite de la main gauche. Ils se repentirent à la prédication de Jonas. Et Jésus a dit: «Il y a ici plus que Jonas.» Un peuple ignorant et sans instruction s’est repenti à la prédication de Jonas, et Jésus a dit: «Il y a ici plus que Jonas.» Mais Il a dit: «De même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre d’un grand poisson, de même le Fils de l’homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre.» Rappelez-vous, ils Lui ont simplement posé la question, après tous les miracles qu’Il avait faits, après avoir prophétisé. Voilà une autre bonne pensée.

            Remarquez ce qu’Il a fait. Il a dit: «Une génération méchante (ou mauvaise) et adultère demande des miracles. Et il ne lui sera donné qu’un seul miracle, et c’est celui de Jonas qui fut dans le ventre du grand poisson.» C’est pourquoi la génération méchante ou faible et adultère, c’est cette génération dans laquelle nous vivons maintenant, la génération adultère. L’histoire s’est répétée. Et elle dit que le miracle de la résurrection serait donné.

            Et, frère et soeur, nous vivons aujourd’hui pour voir le témoignage direct de Jésus-Christ ressuscité accomplissant les mêmes choses qu’Il faisait quand Il était ici sur terre. Il a prophétisé.

33        Ensuite il s’est référé à l’âge de Salomon; Salomon avait reçu un grand don. Et ce qui a de bien dans l’âge de Salomon, c’est que tout le peuple s’était rassemblé autour de ce don. Et c’était le–c’était le millénium pour l’âge des Juifs; on appelle cela l’âge d’or d’Israël. Eh bien, les nouvelles se répandirent partout là-dessus. Et tout le peuple était d’un commun accord. Tout le monde croyait dans ce don qui était en Salomon. Eh bien, il avait un don de discernement; jusqu’en ce jour-là il n’y avait jamais eu un don de discernement comme celui de Salomon. Et tout Israël s’est rassemblé autour de cela. C’était l’âge le plus glorieux qu’ils eussent jamais connu.

            Et, mes amis, ne serait-ce pas merveilleux ce soir si toute l’Eglise du Dieu vivant se rassemblait autour du don du Saint-Esprit comme on devrait le faire? Nous pourrions tout simplement laisser tomber tous les missiles atomiques et tout le reste. Ce serait la plus grande défense que le monde ait jamais eue, si tout le monde, toutes les églises se rassemblaient autour du Glorieux Saint-Esprit, en étant sincères, sans faire aucune mention de vos dénominations, mais être tout simplement sincères et se réunir autour du Saint-Esprit, Dieu agirait! Toutes les nations, partout, reconnaîtraient que ceci... que quelque chose s’est passé ici, si les gens se rassemblaient autour du don de Dieu qui leur a été envoyé en ce dernier jour.

34        Maintenant, remarquez, les nouvelles sont allées jusque dans d’autres nations. Il n’y avait point de guerre du temps de Salomon; tout le monde avait peur. Et la meilleure défense que nous avons, c’est que l’Amérique ferme les bars, habille ses femmes, retourne à l’église et à la Bible; cela mettrait fin à tous ces banditismes qu’on a ici, à la délinquance juvénile et à toutes ces histoires, et cela ramènerait Dieu dans la nation, avec un réveil à l’ancienne mode, si seulement nous pouvions faire cela. Mais vous cherchez à vous imaginer quelque chose d’autre. L’homme cherche toujours à se frayer son propre chemin. Dieu va suivre Sa voie en dépit de ce que l’homme fait. Mais tout Israël s’est réuni. Et la nouvelle se répandait partout. Finalement, elle est parvenue jusqu’à Séba, chez la reine du Midi, aux extrémités du monde connu de l’époque. Et il n’est pas étonnant que cette petite reine... Tout le monde qui passait disait: «Tiens, vous devriez être là en Israël; leur Dieu leur a donné un don là-bas dans un homme qui s’appelle Salomon; et il n’y a rien de tel. Cet homme a le pouvoir de discernement qui ne relève pas d’un humain; cela doit absolument venir de leur Dieu.»

            Vous savez: «La foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la Parole de Dieu.» Et son petit coeur affamé a commencé à réclamer Dieu.

35        Maintenant, si seulement nous témoignons de la bonté de Dieu, si seulement nous parlions de ce qu’Il fait et que nous n’en avions pas honte... «Si Je suis élevé de la terre, a dit Jésus, J’attirerai tous les hommes à Moi.» Si seulement nous parlions donc de la bonté de Dieu qu’Il manifeste à notre endroit dans ces réunions... Et cela crée une soif.

            Et finalement, la petite reine a décidé, après que bien des gens lui ont dit que ce grand don était là en Israël, elle a décidé d’aller voir elle-même. C’est là une bonne chose à faire.

            Eh bien, souvenez-vous donc, elle avait un tas de choses auxquelles faire face si elle y allait. Premièrement, elle était une femme. Et une femme seule a un combat dur. Et la chose suivante, elle était une païenne; elle était une femme des nations. Elle devait voir–obtenir de son église la permission d’y aller.

36        Je peux donc imaginer la petite reine après que son petit coeur a commencé à battre, elle s’est dit: «Oh! y a-t-il là quelque chose de réel?» Elle se rend alors chez son évêque et elle l’appelle, elle dit: «Evêque, avez-vous déjà entendu qu’en Israël ils ont là un Dieu qui a donné un don glorieux à un homme? Et que tout le monde s’y rend pour voir cela?»

            Maintenant, je peux l’entendre dire: «Eh bien, écoutez ceci; ils ont un réveil là-bas, mais nous ne coopérons pas à cela. Ainsi tu... Notre–notre–notre–notre dénomination ne soutient pas cela.»

            «Eh bien, a-t-elle dit, écoutez, Evêque, je–je vais appeler l’archevêque ou l’ancien de district ou quelqu’un d’autre.» Elle les a donc réunis; elle était la reine. Et ils ont dit: «Eh bien, attends une minute, ô Reine; certainement, tu n’es pas tombé dans l’extrémisme! Tu es une femme trop intelligente pour t’imaginer de telles choses!»

            «Cela fait combien de temps depuis que nous avons eu un grand réveil dans notre pays?», leur demanda-t-elle.

            Ils ont dit: «Oh! mais attends donc un peu; tout ce fanatisme concernant tous ces dons et tout, il s’agit tout simplement des gens qui ne sont pas avisés. Tu sais, ici nous sommes un peuple instruit; nous sommes brillants, nous sommes intelligents; et nous ne croyons pas dans un tas de fanatisme comme ce qu’ils ont là-bas. Et ce n’est que du fanatisme, tu devrais donc te tenir loin de cela.»

37        Mais je peux l’entendre dire: «J’ai quarante ans, et j’ai entendu maman en parler; j’ai entendu mon père en parler, et vous ne cessez de me parler d’un dieu, mais tout ce que j’ai vu, c’est un tas de credos morts. S’il y a un Dieu qui est encore vivant, je veux savoir où Il se trouve.» Que Dieu bénisse cette femme! «S’il y a une religion qui manifeste un Dieu vivant qui est au temps présent et non quelque chose d’historique, je veux Le voir.» «Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés.»Alors je peux l’entendre dire: «Ecoute, pasteur, vous tous, vous ne cessez de parler d’un dieu, mais vous–vous le renvoyez à un autre grand âge dans le passé. Mais eux me disent que leur Dieu est vivant et qu’Il se manifeste au travers de Son serviteur par un don puissant. Et quelque chose au fond de moi soupire pour me rendre compte moi-même, j’y vais de toute façon.»

38        «Où sera le corps, là s’assembleront les aigles.» Je parle donc des aigles, pas des buses. Je parle des aigles qui aiment la nourriture d’aigle, qui vient de la Parole de Dieu, pas qui vient d’un certain livre ou d’un almanach de credos, mais qui vient de la Parole de Dieu, qui enseigne que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et qu’Il ne faillit jamais. Il demeure le même Dieu vivant.

            Oh! son coeur avait faim, elle désirait savoir quelque chose qui avait la vie, quelque chose de réel. Elle avait entendu toutes sortes d’histoires et toutes sortes de théologie, mais elle avait appris qu’il y avait un Dieu vivant et elle désirait voir cela.

            Oh! je peux voir l’évêque enfler comme une grenouille et dire: «Maintenant, écoute ceci, Reine: tu peux être la reine, mais nous, nous sommes des hommes spirituels. Et sais-tu que j’ai le pouvoir d’effacer ton nom du registre?»

            Elle a dit: «Alors efface-le tout simplement, car moi, je m’en vais déjà.» Oh! j’aime ça. «Que vous coopériez ou pas, je vais me rendre compte moi-même. Même si vous déclarez que c’est du fanatisme, je suis assez intelligente pour le savoir. Je vais sonder leurs Ecritures avant d’arriver là, pour voir si c’est juste ou pas.»

39        Vous y êtes! Si seulement le peuple des Etats-Unis pouvait être autant sincère pour voir si Dieu a promis qu’Il déverserait le Saint-Esprit dans les derniers jours sur Son peuple, sur Son Eglise, avec des signes, des prodiges et des miracles, et qu’Il appellerait un peuple du milieu des Gentils pour porter Son Nom. Par contre, ils prennent à la place un vieux credo mort (c’est juste), quelque chose d’historique. Alors l’histoire... S’Il n’est pas le même Dieu aujourd’hui, alors Il n’est pas Dieu, Il est mort. Mais grâces soient rendues à Dieu, Il est toujours le même Dieu.

            Ainsi elle était déterminée à aller voir. Eh bien, elle devait faire face à bien des choses, pour pouvoir y aller. Et alors, elle s’est décidée; elle a dit: «Maintenant, je suis excommuniée de toute façon, à cause de ça. Ainsi donc, si j’y vais... Je supporte cette histoire jusque là; je vais amener avec moi de l’or; et si c’est la vérité, je vais soutenir cela. Si ce n’est pas la vérité, je vais laisser tomber cela.»

            Si seulement les gens avaient des pensées aussi élevées aujourd’hui, au lieu de placer tout leur argent dans une sorte de rituel ou de credo mort (la construction des églises équivalant à des millions de dollars au lieu de soutenir des missionnaires pour faire parvenir l’Evangile aux gens, un Dieu vivant, un Christ ressuscité), vous seriez un peuple plus avisé, les amis. Ne mettez pas votre argent dans quelque chose qui n’est rien qu’un tas de fanatisme; ne soutenez pas quelque chose qui est mort et qui sent mauvais. Soutenez Christ, le Dieu vivant. Placez votre... pas seulement votre argent, mais votre temps, vos prières, vos efforts, votre talent, tout ce que vous avez, donnez-le-Lui.

            Elle a dit: «Je vais charger ces chameaux de myrrhe et d’encens, je vais charger ces chameaux d’or et d’argent. Et si la chose est la vérité, à savoir que ce Dieu vivant a un témoignage vivant, alors je vais soutenir cela. Mais si ce n’est pas le cas, je vais ramener mon or.» C’est une bonne chose à faire; c’est une bonne pensée.

40        Maintenant, souvenez-vous, une autre chose: elle devait traverser le désert. Et cela lui prendrait exactement trois mois pour le traverser, trois mois dans un désert brûlant. Mais elle est allée, parce qu’il y avait en elle quelque chose, qui la poussait, qui la contraignait. Il n’est pas étonnant que Jésus ait dit: «Nul ne peut venir à Moi, si le Père ne l’attire premièrement.» Et cela lui a pris trois mois, quatre-vingt-dix jours pour traverser un désert brûlant, pas dans une voiture climatisée, mais à dos de chameau. Et aux Etats-Unis, les gens ne veulent pas traverser la rue pour aller voir si c’est juste ou pas. Bien au contraire, l’homme qui est censé être spirituel injectera un fluide d’embaumement à ses membres dans sa morgue, et il leur dira de ne pas aller.

            Je sais que vous pensez que je suis rude, mais je ne suis pas assez rude. C’est juste. L’heure est proche, les amis. Vérifions si la chose est vraie ou fausse. Si elle est juste, mourrons pour cela. Si elle est fausse, éloignons-nous-en. Je veux voir là où se trouve la véritable chose. Si ce n’est pas ça, alors je désire garder ceci jusqu’à ce que cela vienne. Si Dieu n’est pas Dieu, alors qui est Dieu? Montrez-moi quelque chose de mieux.

41        Je me suis tenu avec la Bible dans une main et le Coran dans l’autre, et j’ai défié cinquante mille musulmans ou plus: l’un doit être faux. «Si Mahomet est Dieu, que Mahomet s’avance et manifeste par ses prophètes ce qu’il a promis. Si Christ est Dieu, alors qu’Il manifeste ce qu’Il a promis.» L’un a tort; l’autre a raison.

            Oh! ils sont restés silencieux. Je déclare ce soir qu’il n’y a qu’une seule vraie religion; c’est la religion chrétienne. Et Jésus-Christ est l’Auteur de la religion chrétienne. Et Il n’est pas mort comme Mahomet qui se trouve dans la tombe, mais Il est ressuscité, et Il est ici même ce soir avec la même puissance de Sa résurrection dans laquelle Il a toujours été, opérant, accomplissant, agissant, oeuvrant, et tout. Chacun de Ses principes est très exactement tel que c’était quand Il était ici sur terre. S’il n’en était pas ainsi, je déposerais ce Livre pour aller en chercher un qui contient la Vérité. C’est vrai. Mais avec ceci vous n’avez pas à chercher davantage; la Bible est la Vérité de Dieu.

42        Oui, elle a dû faire la traversée sur un–un chameau, trois mois dans le désert. Maintenant, souvenez-vous, elle transportait de l’or et de l’argent d’une valeur de dizaines de milliers de dollars. Et, souvenez-vous, les enfants d’Ismaël, qui étaient des brigands, restaient dans les déserts en ce temps-là. Ainsi ils y... Combien ç’aurait été alors facile pour un important groupe de ces Arabes de se jeter sur cette petite caravane composée de ces gens, de quelques chameaux et quelques soldats, des eunuques, quatre ou cinq femmes assises en compagnie de la reine, sur ce vieux chameau, se déplaçant sous un soleil qui vous arracherait la peau.

            Mais il y avait quelque chose dans son coeur qui l’appelait. Il y avait un Dieu vivant en action quelque part, et elle voulait découvrir où c’était. David a dit: «Quand la profondeur appelle la profondeur, au bruit de nos ondées...» S’il y a une portion de Dieu dans un homme, quand le Dieu surnaturel commence à se mouvoir, quelque chose se meut dans cette personne; cela va l’amener vers la chose, il ne peut pas s’en empêcher. David a dit: «Comme une biche soupire après des courants d’eau, ainsi mon âme soupire après Toi, ô Dieu!» La biche doit trouver le courant d’eau, sinon elle va périr. Et quand un homme a Dieu dans son coeur et qu’il sait qu’il y a une fontaine ouverte quelque part, il lui faut la trouver, sinon il va périr. Il reniera tout credo, tout formalisme, et tout le reste, pour trouver l’eau du Véritable Dieu vivant. C’est ce qui met en mouvement les choses véritables.

43        Une fois, un homme a fait couver une poule; il n’avait pas assez d’oeufs pour constituer la couvée, alors il a placé un oeuf de canard sous la poule. Ceci n’est pas une plaisanterie; c’est pour faire ressortir une chose; ceci n’est pas un endroit pour les plaisanteries. Et quand ce petit canard a éclos, c’était la créature la plus étrange que ces poulets eussent jamais vue. C’était à peu près comme un véritable croyant et un nid plein de ces poulets que nous avons par ici. Tous s’attaquaient à lui, en disant: «Oh! ça doit être un saint exalté; à quoi sert ce grand et long bec? Pourquoi se dandine-t-il quand il marche?» et ainsi de suite. C’était une–une drôle de créature.

            A aucun moment, à aucun moment à travers les âges il n’y a eu un homme ou une femme qui s’est levé chez les méthodistes, les baptistes, les presbytériens et tout le reste, qui aimait réellement Dieu et qui était en feu pour Dieu, qui ne–ne fût traité de vilain canard au milieu d’un tas de poulets. Et autre chose, dans la basse-cour, ce petit canard ne pouvait pas supporter de gratter sur ce tas de fumier comme ces poulets. Les canards mangent la nourriture des canards, vous savez. Les poulets mangent la nourriture des poulets. On peut enseigner toute la vieille théologie morte qu’on veut, mais, frère, il y a en vous quelque chose qui cogne pour réclamer le Véritable Dieu vivant, il n’y a rien qui puisse vous satisfaire si cela n’est pas satisfait.

44        La vieille poule, elle... Même le gloussement de la poule intriguait le petit canard, qui, lui, faisait: «Coin-coin.» Elle, elle faisait: «Cot cot.» Eh bien, il ne comprenait pas ce langage. Un croyant ne comprend pas un langage tel que: «Venez, mes chers amis; ceci c’est l’une des plus grandes églises. Nous avons dix mille membres, et si seulement vous inscrivez votre nom dans ce registre, vous avez un billet pour le Ciel.» Hein! Un canard est avisé. C’est juste. Un canard sait qu’il doit naître de nouveau, il sait qu’il faut quelque chose de réel.

            Mais ce pauvre petit canard n’arrivait pas à comprendre cela. Et ils avaient un petit souper de bienfaisance, vous savez, et ils disaient: «Venez, tous; il y aura une importante réunion spirituelle ce soir.» Ils vont là et ils font bouillir un vieux coq et ils le vendent à cinquante cents le plat, pour payer le prédicateur. Un vrai canard ne comprend pas ça. Certainement pas. On continue toujours à gratter sur le tas de fumier comme le font les poulets, mais le canard ne peut pas manger pareille chose.

45        Ensuite un jour, la vieille poule allait çà et là, attrapant des sauterelles derrière la grange. Oh! il faisait chaud dans ce champ. Et il est sorti là, et les autres–les autres ont commencé à rendre la vie difficile au canard pour l’amener–en l’amenant dans le champ. Ils vous rendent la vie difficile en disant: «Eh bien, éloigne-toi des réunions de ces saints exaltés, sinon je vais ôter ton nom de ce registre. Si tu coopères à cela, notre église n’a rien à voir avec ça.» Cela n’arrêtera pas un canard.

            Peu après, ce petit ami monta sur le flanc de la colline et le... Juste au bas de la colline, il y avait un–un courant d’eau. Et il entendit quelque chose là en bas, faisant «coin, coin», et il dit: «Ça sonne très bien.» Et il a pointé son petit bec en l’air, et il a senti l’odeur de l’eau. Frère, c’était inné en lui d’aimer l’eau. La vieille poule a dit: «Cot, cot, cot, cot, reviens ici.» Et il a gardé son petit bec levé et a fait: «Coin, coin, coin.» Aussitôt il est allé droit vers l’eau aussi vite qu’il le pouvait. Pourquoi? Il était de par sa nature un canard. Et un homme est chrétien de par sa nature. Etant né de l’Esprit de Dieu, il a faim du surnaturel et de la puissance du Dieu vivant.

46        Et ce canard a sauté là, il est entré dans l’eau, il a plongé son petit bec là-dedans, il a pris une grande gorgée d’eau et il a gargouillé comme cela, et il a secoué un petit peu ses plumes, puis il s’est joint aux autres canards. C’est ce qu’il en est de chaque croyant. Frère, quand il reçoit une bouchée, et un coeur plein du baptême du Saint-Esprit, il y a quelque chose qui fait qu’il se joigne aux gens de la même fraternité. Il a une vraie communion fraternelle; il comprend leur langage. C’est ce qu’il en était de cette petite reine; elle ne se préoccupait pas de ce pour quoi tous ces poulets criaient. Elle était un canard; elle était en route pour découvrir si un Vrai Dieu existait ou pas. Elle ne se préoccupait pas de savoir si les enfants d’Ismaël... Quand c’est Dieu qui conduit, Il veillera à ce que vous parveniez là. «Eh bien, dit-elle, je ne vais pas aller me jeter dans un tas de fanatisme; je vais lire leurs livres et voir si la chose est juste ou pas.»

47        Elle est donc arrivée à la porte, après quatre-vingt-dix jours d’un voyage pénible. Les gens, s’il fait un peu froid, un peu chaud, ne voudront pas sortir pour venir s’asseoir comme ceci dans cette salle, et s’éventer comme vous le faites tous; certainement pas; ils ne sont pas intéressés. Mais vous qui êtes intéressés êtes assis là. Qu’il fasse trop chaud ou trop froid, vous ne vous éloignez pas trop, vous venez de toute façon. Pourquoi? Quelque chose en vous appelle. Qu’est-ce? Quand la profondeur appelle la profondeur, quand l’Esprit de Dieu est en vous, quelque chose commence à ébruiter: «Il y a une puissance glorieuse de Dieu qui agit.» Vous y allez aussi vite que vous le pouvez, vous vous asseyez, vous sondez les Ecritures. Jugez cela et voyez si c’est juste ou pas. C’est ce qu’elle a fait.

48        Elle est arrivée à la porte. Eh bien, elle n’est pas venue juste pour rester un seul jour et ensuite... Comme font certains qui disent: «Bien, je vais aller voir ce que c’est; en fait, je ne devrais pas le faire, mais je vais y aller.» Ils s’asseyent. «Si ce prédicateur dit une seule chose contre mon enseignement, je vais me lever aussitôt et sortir.» Cela démontre deux choses: une mauvaise éducation et une possession démoniaque. C’est vrai. Elle n’était pas de ce genre-là. Elle est venue pour rester jusqu’à ce que ce soit terminé. Elle voulait rester jusqu’à ce qu’elle soit totalement convaincue; elle ne s’est pas hâtée de tirer la conclusion à la première déclaration. Elle est restée assise, et elle a examiné la chose. Elle a établi son camp dans la cour. Eh bien, le lendemain matin, la réunion allait commencer. Et cette petite reine s’est préparée, elle est allée tout au fond, près de la porte, car la–l’église était tout à fait bondée. Le pasteur Salomon s’est présenté; il s’est installé. Et elle a commencé à remarquer les gens venir vers lui. Et quand la première personne est venue, il y avait une telle puissance de discernement dans cet homme que la petite reine se gratta la tête, et elle se dit: «Une minute, jamais de ma vie je n’ai vu un homme faire cela; cela vient forcément de quelque part.»

49        Le prochain cas s’est présenté, et elle a remarqué que chaque cas était résolu parfaitement, et avec précision toutes les fois. Alors son tour est finalement arrivé. Attendez simplement assez longtemps, ce sera votre tour. Elle est donc montée tout droit dans la ligne où se trouvait Salomon, et la Bible dit qu’il lui révéla tous ses secrets. Et quand elle a vu cela, qu’a-t-elle fait? Quand elle fut convaincue, elle sortit et déchargea tout l’argent des chameaux, et elle fit sortit de la cour, et tout le reste et elle entassa cela pour soutenir la chose; et elle dit: «Tout ce que j’avais entendu était la vérité, et c’est même plus que ce que j’avais entendu.»Qu’a dit Jésus à son sujet? «Elle se lèvera, au jour du Jugement avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, le don de sagesse que Dieu lui avait donné; et voici, il y a ici plus que Salomon.» Et si cette femme devait condamner cette génération-là, quand Jésus est venu pour la première fois sur la scène, qu’en sera-t-il de cette génération-ci qui a eu deux mille ans de modèles et d’enseignements, et puis voir ici dans les derniers jours ce même Jésus qui est ressuscité des morts dans Sa puissance de résurrection se manifester à cette église en ce jour-ci? Que fera-t-elle de ces gens qui se tiennent à l’écart en s’appuyant sur leur théologie? Ils se tiennent à l’écart, disant: «Oh! mon église n’enseigne pas ça; nous ne coopérons pas; je crois que c’est du fanatisme.» Vous devez vous asseoir pour sonder les Ecritures, et éprouver l’Esprit pour voir si c’est de Dieu ou pas; vous devez faire cela.

50        Et, les amis, je vous déclare qu’il y a ici ce soir plus que Salomon. Le Saint-Esprit est ici. Quand Jésus était ici, Il était de loin plus que Salomon, quand Il était ici dans Sa première forme comme un corps de chair, on L’a traité de démon. L’Esprit qui oeuvrait en Lui, l’Esprit de Dieu qui discernait les pensées, un million de fois plus qu’Il n’était en Salomon... Et je veux que vous remarquiez, que vous observiez les choses que Jésus a faites et que vous les compariez avec une seule réunion. Sous ce rapport, il y a davantage de choses faites en une seule soirée de réunion que dans toute la vie du Seigneur Jésus. Pourquoi? Parce que «encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, en vous jusqu’à la fin du monde. Et vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, et vous en ferez davantage, car Je vais au Père». Je sais que le Roi Jacques dit «de plus grandes». Il ne pourrait y en avoir de plus grandes; la traduction correcte c’est «davantage». En effet, Dieu est partout, Il est maintenant dans toute Son Eglise, dans les environs. A l’époque Il n’était que dans un seul Homme, Son Fils. Et Le voici ce soir dans Sa puissance de résurrection, oeuvrant dans un petit groupe de gens comme ceux-ci, accomplissant, exécutant et faisant exactement les mêmes choses qu’Il faisait quand Il était ici sur terre. Et si la reine de Séba, quand sa–elle se tiendra là au Jugement et condamnera cette génération-là, que fera-t-elle à cette génération-ci? Pensez-y alors que nous prions; inclinons la tête.

51        Dieu bien-aimé, Tu es le même Dieu qui a conduit les enfants d’Israël dans le désert. Tu es le Dieu qui a envoyé Noé à entrer dans l’arche. Tu es Celui qui était avec les enfants hébreux dans la fournaise ardente, avec Daniel dans la fosse aux lions, avec Jésus en ce matin-là de la résurrection, avec saint Paul, et avec les apôtres. Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement. Tu es Celui qui est ressuscité le matin de Pâques, et qui est apparu aux disciples, et qui est entré dans la petite pièce avec eux, et qui a accompli quelque chose et fait une oeuvre exactement comme ce que Tu avais fait avant Ta crucifixion, et ils ont reconnu que c’était Toi.

            Ô Dieu éternel, je Te prie d’envoyer Ta bénédiction en envoyant Jésus, le Saint-Esprit sur nous ce soir. Et alors que nous abandonnons notre corps, notre âme et notre pensée, tout à Toi notre Sauveur béni, oins-nous de Ton Esprit. Viens au milieu de ces gens, Seigneur, et fais-leur comprendre que l’Etoile du matin brille sur nous. L’Alpha et l’Oméga est ici, Celui qui était, qui est et qui vient, la Racine et le Rejeton de David, le Conseiller, le Prince de Paix, le Dieu puissant, le Père éternel. Il demeure le même. Accorde que Son Saint-Esprit se meuve dans notre chair et nous donne des bénédictions divines promises par Dieu, alors que nous en attendons davantage.

            Et puis, Seigneur Dieu, ma voix ne pourrait pas dire grand-chose à qui que ce soit. Mais Ta Voix le peut, Seigneur; et que chaque personne, même les enfants qui sont présents ce soir comprennent que le Saint-Esprit leur interprète le sens des mots, afin qu’ils sachent que nous vivons dans les derniers jours. Ces signes étaient censés être accomplis juste avant la Venue du Seigneur Jésus, pendant que les nations rejettent cela, et que Lui fait sortir un peuple pour porter Son Nom. Ô Dieu, accorde que les gens puissent voir ceci ce soir. Je demande cette bénédiction au Nom de Jésus. Amen.

52        Je crois qu’hier soir nous avons appelé les cartes de prière à partir du numéro 1, n’est-ce pas ce que nous avons appelé hier soir? Quel est le...? Comment? M, commençons à partir de... Commençons donc à partir de 50 ce soir. Qui a la carte de prière... Regardez là, et cela porte un M, comme Matthieu d’où j’ai tiré ma prédication? M, Marie, M-50, levez la main, M 50. Tout au fond, une dame tout au fond vers l’arrière. Très bien, venez ici, madame, à ma droite. M-51, levez la main. Très bien, par ici. M-52, juste ici, par ici. 53, M-53, voudriez-vous lever la main? Est-ce la dame qui est juste ici? M-53? Allez directement par là, madame. M-54, cet homme? 55, M-55, voudriez-vous lever la main? Très bien, votre place est par ici; 56, M-56, 57, 58, 59, 60, de 60 à 65. Je ne vois que trois personnes debout; 61, 62, 63, 64, 65, de la série M, qu’ils se lèvent; 66, 67, 68, 69, 70, de la série M.

            Maintenant, si je parviens... Vous remarquerez que d’habitude frère Vayle, d’habitude il me surveille, avec Billy Paul, mon fils, monsieur Goad qui est assis ici, ainsi que monsieur Mercier, ils me surveillent. Je ne sais pas quand l’onction me saisit, j’ignore à quel point je suis fatigué, mais eux ont été si longtemps avec moi qu’ils savent quand je suis au bout; ils viennent rapidement et me tapotent dans le côté. C’est pour me faire comprendre que je ne dois plus continuer.

53        Mon épouse est assise là, et c’est... Une fois j’ai failli faire une dépression nerveuse parce que j’étais resté trop longtemps. Maintenant, si les prédicateurs font des dépressions nerveuses pour avoir prêché... Frère, soeur, vous êtes-vous rendu compte qu’une seule vision vous fait plus de mal, vous met en pièces plus que deux heures de dure prédication? Combien savent que c’est vrai? Tenez, Jésus, une femme toucha Son vêtement au point qu’Il a découvert ce qui n’allait pas chez elle; Il a dit: «Une force M’a quitté.» Est-ce juste? Daniel a eu une vision, il a dit: «J’ai eu l’esprit troublé pendant plusieurs jours.» Est-ce vrai? Assurément. Elie est allé au mont Carmel et il a eu une vision, il a fait tomber du ciel le feu et la pluie le même jour, et puis après, la puissance l’a quitté, il a erré dans le désert pendant quarante jours et quarante nuits, et Dieu l’a retrouvé alors qu’il s’était retiré dans une caverne. Le savez-vous? Jonas, après que l’inspiration l’avait quitté, après avoir prêché son message, il a gravi une montagne et il a demandé à Dieu de lui ôter la vie. Savez-vous cela?

54        Vous ne comprenez pas; ce n’est simplement pas... Il est inutile d’essayer de l’expliquer; c’est dans un autre monde; c’est un fait que Dieu sait ce qui était, ce qui est, et ce qui sera. Ne croyez-vous pas cela?

            Maintenant, si le Seigneur Jésus vient sur la scène ce soir et qu’Il accomplisse et fasse exactement ce qu’Il faisait quand Il marchait en Galilée, combien d’entre vous diront: «Cela m’amènera à L’aimer davantage»?

            Maintenant, combien ici n’ont pas de carte de prière mais voudraient que Jésus les guérisse? Levez la main. Très bien, c’est vraiment partout. Maintenant, croyez simplement. Souvenez-vous, quand une seule personne est guérie ici, il y en a des dizaines qui sont guéries là-bas. Souvenez-vous de cela. Vous les pasteurs, longtemps après que je serai parti, vous entendrez des femmes et des hommes venir, disant: «La gastrite est partie; le cancer est guéri.» Eh bien, vous–vous ne pourrez tout simplement pas les citer tous; ils sont si nombreux. Mais Dieu bénit; continuez simplement à croire. Dieu l’accordera. Dieu est là-bas; ceci c’est juste pour que vous soyez certains que Dieu existe et qu’Il est le Rémunérateur de ceux...

55        Maintenant, combien savent que Jésus-Christ quand Il était ici sur terre, cette femme a touché Son vêtement, et Il s’est retourné et a dit: «Qui M’a touché?» Et tout le monde l’a nié, jusqu’à ce qu’Il a trouvé la femme, et quel était son problème, et Il lui a parlé et lui a dit que sa foi l’avait guérie. Combien savent cela? Eh bien, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et que la Bible dit qu’Il est le Souverain Sacrificateur, maintenant même, qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités... Est-ce vrai? Eh bien, alors, s’Il est le même Souverain Sacrificateur, Il doit agir de la même façon, n’est-ce pas? Très bien, croyez-le maintenant de tout votre coeur. On va prier pour ceux qui sont ici. Maintenant, inclinons la tête.

           

            Seigneur notre Dieu, je T’apporte ces mouchoirs. Des gens les attendent, Seigneur. La Bible nous enseigne que l’on appliquait sur les malades des tabliers ou des mouchoirs qui avaient touché le corps de saint Paul, et les esprits impurs les quittaient, et les malades étaient guéris. Nous reconnaissons que nous ne sommes pas saint Paul, mais nous savons que Tu es toujours Jésus; et pour commencer il ne s’agissait pas de saint Paul, il s’agissait de Toi, Seigneur. Mais ils avaient compris que Tu avais béni Ton serviteur et que ce dernier était Ton représentant. Ils avaient la foi. Seigneur, ces gens-ci sont–sont tout aussi fidèles; ils croient quand ils voient ces choses arriver. Je Te prie, ô Dieu, de bénir ces mouchoirs pour le but auquel ils sont destinés.

56        Et un écrivain a dit que lorsque la mer Rouge barrait à Israël le chemin de la Terre promise, Dieu a regardé au travers de cette Colonne de Feu avec des yeux courroucés, et la mer Rouge eut peur et se retira; Israël poursuivit son chemin vers la Terre promise. Accorde ce soir, ô Dieu, que non seulement Tu regardes au travers de la Colonne de Feu, mais que Tu regardes au travers du Sang de Jésus, et que Tu regardes l’ennemi qui a privé la bonne santé à ces gens. Et que le diable ait peur quand ces mouchoirs seront posés sur eux, comme un signe de la réunion de ce soir. Qu’il s’en aille, et que le peuple poursuive son chemin vers cette promesse de la bonne santé. Accorde-le, Père, j’envoie ces mouchoirs dans ce but. Au Nom de Jésus. Amen.

            [Une demande est faite: «Que l’organiste veuille bien venir à l’orgue maintenant, je vous prie de venir à l’orgue.»–N.D.E.] Vous pouvez prendre votre mouchoir directement après le service.

57        Maintenant, nous y sommes. Maintenant, dès que... S’ils me retirent de la réunion, que certains d’entre vous frères ministres maintenant... Vous voyez, vous avez exactement le même droit que tout autre homme; Dieu répond à vos prières exactement comme Il répondrait aux miennes. Il répondra à la prière de quiconque croit à ce qu’il demande. Voyez-vous? Eh bien, d’habitude je ne prie pas pour les gens; c’est un don divin pour amener les gens à reconnaître que Christ n’est pas mort, mais qu’Il est vivant. Eh bien, s’Il est vivant, certainement qu’Il tiendra Sa Parole.

            Maintenant, vous là-bas qui n’avez pas de carte de prière, continuez simplement à prier. Regardez par ici et dites: «Seigneur, je vais Te croire avec tout ce qui est en moi; je vais croire. Laisse-moi toucher Ton vêtement.» Si vous êtes très malade, parlez à Dieu; dites: «Le médecin déclare que je vais mourir, mais, Seigneur, Ta promesse déclare que je peux vivre; je regarde donc à Toi. Confirme-le-moi ce soir. Frère Branham ne me connaît pas, mais fais qu’il se retourne et confirme-le-moi au travers de lui, et fais qu’il agisse comme Tu avais agi quand la femme a touché Ton vêtement.» Voyez s’Il le fera. S’Il ne le fait pas, je suis un faux prophète de Sa Parole. S’Il le fait, c’est que je vous ai dit la vérité et qu’Il est vivant. S’Il est mort, nous pouvons bien être musulmans, bouddhistes, cela ne change rien, de toute façon c’est de la psychologie. Mais s’Il est vivant, Il est un Dieu vivant. Maintenant, soyez très respectueux et priez; ne doutez pas mais croyez.

58        La ligne de prière...? Quelqu’un manque? Est... Tout le monde est-il aligné? Très bien. Maintenant, aussitôt que cette ligne de prière sera terminée, je veux que les ministres montent carrément ici, certains d’entre vous, frères, pour continuer la ligne de prière, juste comme vous avancez, que l’on prie pour tout le monde.

            Maintenant, je pense que tout le monde ici se rend compte que vous m’êtes tous inconnus. En fait, la seule personne dont je pourrais dire que je la connais, il n’y a que deux hommes que je connais, l’un est juste ici et l’autre ici; il s’agit de frère Goad et de ce frère-ci. Je dois connaître cet homme-ci, mais je... de toute façon, je n’arrive pas à me rappeler son nom. Je ne vous connais pas, non. C’est comme si je vous ai déjà vu quelque part.

            Combien là-bas me sont inconnus, au sujet de qui je ne sais rien? Levez la main. Je vois frère et soeur Wood assis là, assis là derrière. Ce sont mes voisins, ils sont assis juste là derrière, dans l’aile du milieu. C’était un témoin de Jéhovah. J’aurais souhaité avoir le temps de raconter ce qui s’est passé, Frère Banks; nous n’en avons pas.

59        Combien ont entendu parler de l’histoire de la résurrection du petit poisson, il n’y a pas longtemps, sur l’eau? Levez la main, ou si vous l’avez lue dans un livre. Frère Wood qui est assis juste ici était là pour voir cela s’accomplir; il avait entendu la chose être prédite la veille. Est-ce exact, Frère Wood? Vous voyez, c’est juste. Il a vu bien des choses...

            Vous ne voyez que le petit côté de la chose, ce qu’il y a juste ici. Cela vous amènerait pratiquement à vous poser des questions. Vous devriez suivre pendant un instant. Considérez ce que la reine a dit au sujet de ce don-là; elle a dit: «Heureux les hommes qui te servent, qui voient chaque jour cette glorieuse chose.» Vous voyez? Ils vous accompagnent toujours et voient ce qui se produit.

60        Mais ce qui se passe ici dans les réunions est une chose mineure. Les grandes visions se produisent en dehors des réunions. Vous produisez ceci par votre propre foi; vous utilisez le don de Dieu ici maintenant. Mais quand Dieu utilise Son propre don, c’est très différent. Quand la femme Le toucha, Il sentit la force Le quitter, mais Il... Dieu donna à Son Fils une vision et Il l’envoya au loin, car Jésus a dit: «Je ne fais rien à moins que le Père me le montre premièrement.» Est-ce exact? Jean 5.19. Tout ce qu’Il faisait, le Père Lui montrait par une vision ce qu’Il devait faire. A l’exception des gens qui Le touchaient, comme cela, alors Il... Leur–leur foi tirait cela. Ou quand les pharisiens Le critiquaient, Il connaissait leurs pensées.

            Cette Merveilleuse Personne, mes amis, est ici ce soir. Combien en ont déjà vu la photo? Levez la main. Elle est juste ici dans la salle; ils l’ont. Gene, avez-vous tous ces photos? Les apportez-vous ici à l’estrade pour les leur montrer? Oh! Ils ne le font jamais. J’aurais souhaité en avoir une ici, mais je n’en ai pas maintenant; de toute façon, elles sont là derrière. Ce même Ange n’est pas à cinq pieds [environ 1,50 m] de l’endroit où je me tiens à l’instant même. Et si jamais je ne vous revoyais pas jusqu’au jour du Jugement, vous verrez si c’était la vérité ou pas quand nous rendrons compte ce jour-là. Ne faites pas attention au messager; écoutez le message.

61        Très bien, de quelle dame s’agit-il? Celle-ci? Vous? Approchez un peu plus; c’est tout. Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre, madame. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue de ma vie. C’est juste. Voudriez-vous lever la main pour que les gens voient?

            Maintenant, voici un tableau de Jean 4. Maintenant, que tout le monde soit très respectueux. Je ne sais pas s’Il le fera ou pas. S’Il le fait, je vous l’ai lu dans la Bible. Combien étaient ici hier soir? Levez la main. Oh! Toute cette assistance. Il a dit exactement mot à mot ce qu’Il a fait, ce qu’Il a vu; je vais encore revenir là-dessus.

            Voici un homme et une femme exactement comme dans Jean 4, quand un Homme et une femme se sont rencontrés pour la première fois de leur vie. Peut-être que la femme était bien plus jeune que Jésus, comme c’est encore le cas ici ce soir. Un homme et une femme se rencontrent.

62        Maintenant, dans Jean 4, Jésus était assis à un puits, quelque chose comme ici. Et une femme est venue pour puiser de l’eau; Il a dit: «Apporte-Moi à boire.»

            Elle a dit: «Il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous demandiez une telle chose aux Samaritains.»

            Il a dit: «Mais si tu savais à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire.»

            Combien connaissent cette histoire. Que faisait Jésus? Il contactait l’esprit de la femme. Et quand Il a saisi son esprit, et ce qu’était son problème, alors Il lui a révélé ce qu’était son problème. Ensuite, Il lui a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «Tu en as eu cinq, et celui avec lequel tu vis maintenant n’est pas ton mari.»

            Qu’a-t-elle dit? Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Nous savons que lorsque le Messie sera venu, Il fera ces choses, mais Toi, qui es-Tu?»

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            Eh bien, c’était là le signe du Messie, est-ce juste? Et elle est entrée dans la ville en courant, et éc-... écoutez ce qu’elle a dit aux gens: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait, ne serait-ce point le Messie même?»

63        Quand Il a fait cela avec un Juif, qu’a dit ce Juif? «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.» Mais la grande église empesée qui se tenait là a dit: «Cet Homme est un diseur de bonne aventure, c’est un démon.» Ce soir ils sont en enfer. Le nom de Nathanaël est immortel; il est immortel à cause de cela; ainsi en est-il de la femme au puits.

            Or, si Jésus demeure le même hier, aujourd’hui et éternellement, je ne connais pas cette femme, je ne connais pas sa nationalité, je ne sais rien à son sujet, mais Lui peut me le dire. Et s’Il peut me dire ce qui ne va pas chez cette femme ou quelque chose comme Il le fit avec la femme au puits, qu’elle soit le juge. Maintenant, si je disais: «Madame, vous êtes malade. Je vais vous imposer les mains. Alléluia, vous allez être guérie.» Elle pourrait croire cela; ce serait en ordre; ce serait en ordre.

           

64        Et si c’est un don que Dieu vous a donné, frères, tenez-vous-en à cela. C’est là que Dieu vous veut. Vous ne serez jamais un oeil, si vous êtes l’oreille; souvenez-vous de cela. Vous sèmerez simplement la confusion dans le corps jusqu’à ce que vous trouviez votre véritable place et que vous vous en teniez là à votre appel. Si vous êtes un diacre, restez diacre; si vous êtes pasteur, restez pasteur. Ne cherchez pas à être quelque chose que vous n’êtes pas; soyez simplement ce que vous êtes. Si vous n’êtes qu’un doigt ou un ongle, soyez-en un bon. Dieu vous donnera votre place dans la Gloire.

            Maintenant, si le Saint-Esprit me révèle le motif de votre présence ici, ce qu’est votre problème, ou quelque chose d’autre dont vous êtes certaine que j’ignore, alors vous saurez que cela doit venir du Saint-Esprit ou d’un esprit, n’est-ce pas? Forcément. Combien témoigneront de cela? Cela devrait venir d’un esprit.

65        Eh bien, si cela vient, maintenant que j’ai prêché l’Evangile, en tant que ministre de l’Evangile, très clairement à partir de la Bi-... Bible... année après année; j’ai quarante-neuf ans, je vois des visions depuis que j’étais un bébé, je n’avais pas plus de deux ans. Sur des milliers de visions, aucune fois une seule n’a failli. Cela ne faillira donc pas parce que c’est Dieu; Il ne peut pas faillir.

            Maintenant, vous savez qu’un diseur de bonne aventure devine, il fait de la télépathie. Ils disent: «Choisissez un nombre, et laissez-moi me concentrer pour voir ce que vous êtes, quel nombre...» C’est absurde, ce n’est même pas juste à dix pour cent. C’est vrai. Dieu est parfait. Ce n’est pas derrière dans une chambre sous une planche de oui-ja; c’est juste ici dehors devant deux mille personnes ou plus, certainement.

66        C’est la première fois de nous rencontrer. Dieu vous connaît et Il me connaît. Et si, par Sa miséricorde, Il laisse le Saint-Esprit béni, Celui devant qui–qui nous nous tiendrons un jour, pour rendre compte de notre vie... S’Il me révèle votre problème, ou quelque chose comme ce qu’Il a fait à la femme au puits, quelque chose dont vous êtes sûre que j’ignore, vous recevrez, et vous croyez qu’Il est véridique, et que c’est Christ, allez-vous croire cela? Puisse-t-Il l’accorder.

            Maintenant, si l’assistance entend encore ma voix, la dame est parfaitement consciente qu’il se passe quelque chose. Cette Lumière semblable à une Colonne de Feu se tient entre moi et cette femme, et Elle dépasse la femme. Elle se tient à côté d’elle; elle n’est pas ici pour elle-même; elle est ici pour quelqu’un d’autre. C’est juste. Et c’est quelque chose en rapport avec un accident; il s’agit d’un accident d’automobile. C’est une jeune fille; c’est votre nièce. Elle a eu un accident d’automobile, elle est à l’hôpital maintenant, et elle a un problème très grave à la tête, et vous avez été envoyée ici pour la représenter, pour demander la prière: AINSI DIT LE SEIGNEUR.

67        Maintenant, soyez le juge. Etait-ce exact? Si c’est le cas, agitez la main comme ceci. Maintenant, tout ce que vous demanderez, la Lumière ou quoi que... La Lumière qui était près de vous, qui a dit cela, a béni la personne que vous représentez, rentrez et ne vous inquiétez pas. Vous avez obtenu ce que vous demandez.

            Soyez très respectueux. Jésus est-Il vivant? Croyez-vous que c’était le Saint-Esprit? Très bien, alors vous allez voir des choses plus grandes que celles-ci.

            Je pense que c’est la première fois que nous nous rencontrons. Nous sommes inconnus l’un à l’autre; je ne vous connais pas; je ne vous ai jamais vu. Si c’est exact, juste pour que les gens comprennent et sachent que je ne vous connais pas. Si le Seigneur Jésus me révèle votre problème ou quelque chose dont vous êtes certain que j’ignore, allez-vous croire alors qu’Il s’intéresse à vos ennuis? Très bien. Maintenant, baissez la main juste un moment. Maintenant, soyez simplement–simplement... Quoi que ce soit, je l’ignore. Mais s’Il...

68        Si c’est une maladie et que je puisse vous guérir... Vous êtes une femme de l’âge de ma mère, je pense. Et si je pouvais faire quelque chose pour vous et que je ne le fasse pas, je ne serais pas digne de me tenir derrière cette chaire. Pas du tout. Je–je–j’aime ma mère. Et je... Et vous êtes peut-être la mère de quelqu’un d’autre. Et me voici debout ce soir pour faire tout mon possible afin de vous aider. Et la seule chose que je peux faire, c’est de dire ce que dit la Bible: Jésus est ressuscité des morts pour confirmer chaque promesse pour laquelle Il est mort.

            Maintenant, s’Il vous révèle la chose tel qu’Il l’avait fait dans la Bible, alors allez-vous croire que je suis Son serviteur et que j’ai dit la vérité conformément à Sa Parole, et qu’Il l’a confirmée en rendant la chose réelle pour vous? Maintenant, soyez très respectueuse. Ce n’est pas pour vous-même que vous voulez que l’on prie; c’est pour quelqu’un d’autre. Et il s’agit d’un petit enfant. Et je le vois, et il est dans un état terrible. Vous êtes la grand-mère de cet enfant. Cet enfant semble avoir sept ou huit ans. Et il est sourd-muet et malade mental. Et cet enfant est de... n’est pas–pas d’ici; ce n’est pas ici dans les parages. Vous n’êtes pas d’ici. Ce n’est pas cette ville; c’est une contrée plane, plus... C’est la Géorgie; c’est de là que vient l’enfant. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Soyez le juge. Croyez-vous maintenant? Partez, recevez la chose telle que vous l’avez crue; qu’il vous soit fait selon votre foi, au Nom du Seigneur Jésus.

69        Très bien, soyez respectueux. Je pense que c’est la première fois que nous nous rencontrons. Le Seigneur Dieu le sait, Il nous jugera tous deux... [La personne dit: «Vous ne me connaissez pas, mais j’ai assisté à vos réunions auparavant.»–N.D.E.] Vous... Je ne vous connais pas, mais vous avez assisté à mes réunions comme là-bas. [«A Chattanooga.»] Oui, eh bien, je ne pourrais pas vous connaître, il m’est impossible de vous connaître. Non. Très bien.

            Alors, si le Seigneur me révèle le motif de votre présence ici, ce qui cloche en vous, ou quelque chose dont vous êtes sûr que j’ignore, accepterez-vous alors cela comme venant de Christ? Croyez-vous que je suis Son serviteur?

            Vous n’êtes pas ici pour vous-même; un homme ne cesse d’apparaître devant moi, et c’est votre frère. Si Dieu me révèle ce qui ne va pas chez votre frère, allez-vous croire que je suis Son prophète? Votre frère souffre d’une maladie de poumons, il a un problème aux lèvres. C’est juste. Il n’est pas non plus ici; il est dans une... Il est en Géorgie lui aussi. C’est juste.

            Non seulement cela, mais vous avez un homme plus jeune, un jeune homme, à ce qu’il paraît, qui apparaît devant moi, et qui a un problème dans son sang. Il n’est pas dans cette contrée-ci, mais il est d’une contrée qui ressemble à celle-ci; il est du Tennessee. Et c’est votre beau-fils, et il souffre du diabète. AINSI DIT LE SEIGNEUR. Croyez maintenant; partez et recevez ce que vous avez demandé, au Nom du Seigneur Jésus.

70        Vous croyez? Nous sommes inconnus l’un à l’autre; je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît. Croyez-vous qu’Il peut me révéler le motif de votre présence ici? Maintenant, soyez très respectueuse. Madame, vous êtes couverte par l’ombre de la mort; seul Dieu peut vous faire miséricorde. Vous êtes consciente de la maladie dont vous souffrez; c’est une tumeur. Et la tumeur est cancéreuse, et elle se situe dans la tête. Vous en avez une dans la bouche, et vous en avez une dans l’estomac. Mais Dieu est un Guérisseur. Croyez-vous cela? Croyez alors en Lui maintenant et tout cela va vous quitter. Croyez-vous que Dieu va écouter ma prière? Alors je maudis la chose au Nom de Jésus-Christ. Sors de cette femme et quitte-la! Maintenant, partez en vous réjouissant et remerciez Dieu; soyez guérie.

            Si tu peux croire, tout est possible.

            Si tu peux... Soyez très respectueux maintenant. J’observe une jeune femme ici; la Lumière de Dieu est suspendue au-dessus de cette femme, mais aucune vision n’apparaît. Croyez-vous que je suis Son serviteur, un serviteur de Christ? Je ne vous ai jamais vue de ma vie, mais Dieu vous connaît. Si le Seigneur Dieu me révèle la raison pour laquelle vous vous tenez ici, allez-vous croire que je suis Son serviteur? L’assistance fera-t-elle la même chose? Maintenant, vous tous... Je suis si faible que vous me paraissez tous comme une seule personne assise là. Cela peut... On arrive à peine à faire la différence entre une vision et ce qui ne l’est pas.

71        Votre problème, c’est un mal de dos. Et c’est un mal de rectum. Votre femme aussi est malade, n’est-ce pas? Elle désire aussi que l’on prie pour elle. Elle avait une carte de prière, mais cela n’a pas été appelé. Croyez-vous que Dieu peut me dire quel est son problème? Elle a un problème d’yeux, et de la tête, elle souffre d’un rhume de foin. C’est juste, n’est-ce pas? Vous n’êtes pas d’ici, vous venez d’une ville appelée... quelque chose comme Camden, en Caroline du Nord. Monsieur Duvall (c’est cela votre nom), rentrez chez vous; Dieu a répondu à votre prière aussi bien pour vous que pour votre femme. Partez, et que Dieu soit avec vous.

            Mademoiselle Bordon, vous venez de Chattanooga; je ne vous connais pas, mais vous avez un problème aux pieds. Et vous souffrez de l’hypotension. C’est juste. Ne craignez point; vous êtes déjà guérie; Jésus-Christ vous a guérie.

            Vos troubles cardiaques sont terminés, madame; rentrez chez vous, réjouissez-vous en disant: «Merci, Seigneur Jésus.» Croyez maintenant de tout votre coeur. Soyez respectueux.

72        Est-ce le malade? Bonsoir, fiston. Tu es un très gentil petit garçon. Aimes-tu l’école du dimanche? Aimes-tu Jésus? Eh bien, quand Jésus était sur terre, Il a pris des petits garçons comme toi qui étaient malades, et Il leur disait ce qui n’allait pas en eux et Il les bénissait. Et puis, quand Il leur imposait les mains et qu’Il bénissait ces petits enfants, eh bien, ils se rétablissaient, n’est-ce pas? Mais Jésus est mort, Il est ressuscité, Il est monté au Ciel. Ensuite Il a envoyé Son Saint-Esprit, et Son Saint-Esprit est ici maintenant, et Il doit utiliser les mains de quelqu’un; Il doit utiliser la bouche de quelqu’un; Il doit utiliser les yeux de quelqu’un. Crois-tu qu’Il me permettra de voir ce qui ne va pas en toi? Crois-tu alors en Jésus, que c’est Jésus qui se tient ici? Pas moi, Lui. Crois-tu cela?

            Je ne cesse de voir deux petits garçons. Voici l’autre petit garçon assis juste ici derrière; les deux souffrent de l’asthme. C’est juste. Faites tenir debout l’autre petit garçon qui est là derrière. C’est juste, papa. Que Dieu vous bénisse, votre foi a... Satan pensait qu’il s’en tirerait avec celui-là. Cette traînée noire qu’il y avait entre les deux enfants a disparu; vous êtes guéris; rentrez à la maison en vous réjouissant, tous les deux. Que Dieu vous bénisse, frère. Voilà comment s’y prendre. Ayez foi en Dieu.

73        Oh! n’est-ce pas Lui, Jésus? Qu’ont-ils touché? Qu’est-ce que les gens touchent? Pas moi, c’est le Seigneur Jésus qu’ils touchent.

            Croyez-vous que ce diabète va vous quitter, et que vous allez vous rétablir? Continuez votre chemin, dites: «Merci, Seigneur.» Croyez de tout votre coeur.

            Approchez, monsieur. Je ne vous connais pas. Un instant! Cet homme souffre de la gastrite. Cet homme assis juste là derrière, qui est en prière, juste là, il souffre aussi de la gastrite. Vous étiez en train de prier, et vous êtes tous deux guéris. Jésus-Christ vous rétablit tous deux, rentrez chez vous et mangez ce que vous voulez; Dieu vous a rétablis.

            Et vous aussi, vous souffriez de la gastrite, vous étiez donc guéri au même moment; continuez donc votre chemin en louant Dieu.

            Oh! le Seigneur Jésus vit et règne. Croyez-vous cela? Ayez foi maintenant, ne doutez pas.

            La dame assise là, au bout du siège, qui souffre des varices, croyez-vous que le Seigneur Dieu va vous rétablir? Vous croyez; vous pouvez obtenir cela.

            La deuxième personne assise là, qui a les... qui souffre en quelque sorte des troubles cardiaques et d’une tumeur, croyez-vous que Dieu vous a guéri? Très bien, vous pouvez obtenir votre guérison. Continuez votre chemin, en vous réjouissant et dites: «Merci, Seigneur.»

74        Et si je vous disais que vous étiez guéri, je n’en ai rien dit, me croiriez-vous sur parole? Allez-y, criez les louanges de Dieu.

            Approchez, madame. Et si je ne vous disais rien et que je vous dise tout simplement que vous étiez guérie, me croiriez-vous sur parole? Alors le diabète vous a quittée, vous pouvez donc continuer votre chemin et vous réjouir.

            Quand vous vous êtes levé de ce siège, vous avez ressenti quelque chose de drôle, n’est-ce pas? Votre mal de dos vous a quitté à ce moment-là, vous pouvez donc continuer votre chemin et vous réjouir, dites: «Merci, ô Dieu.»

            Vous souffrez de la nervosité, ce qui engendre une maladie de coeur. Vous êtes guéri; poursuivez votre chemin et réjouissez-vous, dites: «Merci, Seigneur Dieu.»

            Votre problème principal, c’est la nervosité, laquelle a causé un ulcère peptique dans l’estomac; vous n’arrivez pas à manger correctement. Il y a un groupe de gens ici qui souffrent de la même chose, de cette nervosité. Laissez-moi vous le montrer.

75        Tous ceux qui souffrent de la nervosité, levez-vous. Maintenant, comment appellerai-je cette chose là-bas? Vous y êtes. Restez simplement debout une minute. Tenez-vous juste ici, soeur. Venez en croyant. La même chose que cet homme, la gastrite à cause de la nervosité, exactement la même chose. Tenez-vous juste ici. Continuez simplement à vous lever, ayez foi; ne doutez pas, croyez en Dieu. Si vous croyez de tout votre coeur, très bien, venez carrément, approchez carrément.

            Très bien, monsieur. Très bien, madame, vous qui vous tenez juste ici, vous n’aurez pas à subir cette opération, si vous–si vous le croyez réellement de toute votre vie; la tumeur va partir. Tous ceux qui ont des tumeurs là-bas, qui ont des tumeurs de tout genre, tenez-vous debout, tenez-vous juste derrière, de ce côté-ci.

76        Croyez-vous de tout votre coeur? Tous ceux qui souffrent de quelque chose, tenez-vous debout une minute. Maintenant, croyez-vous en Dieu? Croyez-vous que ce que j’ai dit est la vérité? Jésus-Christ est-Il le même hier, aujourd’hui et éternellement? Combien ici sont des croyants, qu’ils lèvent alors leurs mains comme ceci. Maintenant, pendant que vous avez les mains levées, posez-les sur celui qui est à côté de vous et qui a les mains levées. Maintenant, posez vos mains maintenant; je veux que vous fassiez exactement ce que je vous dis. Juste ici...?... Juste derrière, vous autres dans la ligne de prière, imposez-vous les mains les uns aux autres. Maintenant, je veux que vous fassiez cette prière après moi. Pendant que je dis cela, dites-le aussi.

            Seigneur Dieu [L’assistance répète la prière.–N.D.E.], Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, Donateur de tout don excellent, je crois vraiment que Jésus-Christ est le Fils de Dieu; Il est ressuscité des morts; Il a envoyé Son Saint-Esprit pour poursuivre Son ministère dans l’Eglise, jusqu’à ce qu’Il retourne dans un corps physique. Je crois maintenant qu’Il est ici, et je suis un croyant, et Il a promis ceci: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.»

            Seigneur, je prie pour la personne à qui j’ai imposé les mains. Alors que je prie pour eux, et qu’eux prient pour moi, que Ton Saint-Esprit ôte tout doute de mon esprit, afin que je puisse Te recevoir comme mon Guérisseur. Je Te servirai tous les jours de ma vie; je témoignerai à Ta gloire. Seigneur, sur base de Ta Parole, et de Ta promesse, je crois maintenant que je suis guéri.

            Maintenant, ô Dieu, j’ordonne au diable de quitter cet endroit, au Nom de Jésus-Christ. Voilà! Vous avez la chose maintenant. Vous êtes guéris, chacun de vous. Je vous déclare bien portants au Nom du Seigneur Jésus.

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