Pourquoi?

Date: 60-0309 | La durée est de: 1 heure et 25 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, Frère Carlson. Inclinons maintenant la tête pour la prière. Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir pour ce nouveau rassemblement. Soirée après soirée, nous nous sommes rassemblés dans ce réveil. Et nous avons fait ceci, Seigneur, année après année, et parfois nous ne savons pas quand et où ce sera, mais nous savons que nous devrons nous rassembler pour la dernière fois, et puis nous serons appelés pour rendre des comptes.

            Je prie, Père, que s’il y en a ici, ce soir, qui ne Te connaissent pas comme leur Sauveur, ceci soit la soirée où ils vont faire leurs préparatifs pour le jour où ils seront appelés à monter là-haut pour comparaître à la barre du Jugement, puissent-ils être prêts à y aller, étant complètement lavés dans le flot du Calvaire.

2          Et, Père, nous prions pour les malades et les affligés qui sont dans cette salle ce soir et pour les autres qui sont à l’extérieur. Et il y a ici quelques mouchoirs et des tissus destinés aux malades et aux affligés. Nous faisons ceci, parce qu’il est écrit dans les Ecritures que l’on appliquait sur les malades des mouchoirs et des linges qui avaient touché le corps de saint Paul. Les mauvais esprits sortaient des gens, et les maladies les quittaient. Maintenant, nous savons que nous ne sommes pas saint Paul, mais nous savons que Tu es toujours Jésus-Christ, Celui qui guérissait les malades.

3          Et les Ecritures nous montrent qu’une fois, les enfants d’Israël suivaient la commission qui leur avait été donnée, étant en plein dans la ligne du devoir, et la mer Rouge fit obstacle sur la ligne du devoir des enfants de Dieu, qui allaient vers une Terre promise, et Dieu regarda au travers de la Colonne de Feu et la mer fut effrayée et fraya un chemin, et ils traversèrent sur le sec.

            Maintenant, Seigneur, lorsque ces mouchoirs qui vont aller dans la ligne du devoir, partiront d’ici vers là où les enfants de Dieu sont en train de prier, lorsqu’ils seront posés sur les malades, que Dieu regarde non seulement à travers la Colonne de Feu, mais à travers le Sang de Son propre Fils, qui a été dévêtu, qui a été blessé pour nos péchés, et par Ses meurtrissures nous sommes guéris. Puisse-t-Il regarder au travers de cette promesse et des souffrances qu’Il avait endurées là-bas au Calvaire, et chaque affection et chaque maladie reculer, afin que ces gens puissent entrer dans la promesse de Dieu. «Je souhaite par-dessus tout, a dit l’apôtre, que tu prospères et sois en bonne santé.» Accorde-le, Père.

4          Mes frères se tiennent là-bas, près de l’orgue, un don de la part d’une aimable famille pour jouer la musique de Dieu. Ils veulent Te la présenter, Seigneur, pour un–un service public. Et nous Te prions, Père céleste, de la bénir, et que partout où elle sera jouée, que le... qu’elle apporte la conviction. Que les mains qui la jouent soient remplies de l’Esprit, et qu’elles jouent les cantiques de Sion. Qu’elle puisse faire que les âmes... qu’elle ne puisse jamais rendre un son confus comme Paul l’a dit: «Si la trompette rend un son confus...» Qu’elle rende ce son clair de la miséricorde et de la grâce de Dieu. Bénis ceux qui nous l’ont donnée, tous ceux qui sont en train de prier, et pour tout, que Dieu reçoive la gloire, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

5          Frère David, avez-vous traversé la neige sans encombre? [Frère David répond: «Amen.»–N.D.E.] Très bien. J’ai appelé chez moi, il y a quelques instants, et j’ai appris que le niveau de la neige a augmenté de douze pouces [30,48 cm] qui se sont ajoutées dans l’Indiana maintenant. Restons juste ici. Serait-ce une bonne idée? [Frère Branham tient une conversation avec frère David.–N.D.E.] Je le pense aussi. Il est bon, n’est-ce pas? Amen. C’est très bien. Bien, je vous remplacerai de nouveau une fois...?... J’essaierai de le faire encore. Bien, c’est très bien.

6          Combien ont déjà lu mon petit livre intitulé Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement? Certains d’entre les anciens. Je l’ai écris moi-même. C’est un gâchis, mais mettez simplement cela ensemble, et le Seigneur vous le révélera. Avez-vous remarqué que dans ce livre, j’avais vu une femme qui venait, portant un... très... elle portait un vêtement qui avait été blanc? Et il était tout couvert des taches, et sur son front il était écrit: «Mlle Méthodiste Wesleyenne». Et j’ai dit: «Qu’est-ce qui ne va pas avec ce beau vêtement tout couvert de taches?» C’était comme une vision.

            Elle a dit: «Eh bien, j’ai...»

            J’ai dit: «Vous les méthodistes, vous ne devriez pas avoir un vêtement comme cela.»

            Et elle a dit: «Eh bien, je suis tellement occupée.»

            J’ai dit: «Oui, et vous avez tellement d’associations que vous avez abandonné les vieilles réunions de prière, la guérison divine et la puissance de Dieu qui résidaient dans l’Eglise méthodiste.»

            Elle a dit: «Si vous [continuez] à parler comme cela, j’irai réveiller mon mari.» Et elle est allée et elle a pris une bêche, elle s’est mise à creuser à côté d’une tombe, où il était mentionné «John Wesley». Et la vision m’a quittée.

            Un jour, l’Eglise méthodiste aura un réveil. Je le crois. Alors, frère David, cela pourrait être vraiment dans la ligne. L’un de leurs grands hommes est venu récemment, il était dans un motel là chez moi pendant plusieurs jours, et il écrit une thèse sur la guérison divine pour l’Eglise méthodiste, et cela ira dans toute–dans toute l’organisation de–de l’Eglise méthodiste.

7          Bon, jeudi, vendredi, samedi, et dimanche, eh bien, samedi matin ça sera le petit déjeuner des Hommes d’Affaires Chrétiens. C’est... Je pense qu’on a déjà annoncé cela; et ça aura lieu, le Seigneur voulant, et on vous le dira vendredi soir, dans tous les détails, je pense que tout a été arrangé. Selon ce que vous savez, Frère Williams, où cela devait-il–est-ce exact? C’est exact, pour–pour le petit-déjeuner samedi matin.

            Frère David duPlessis, ce n’est pas juste parce qu’il est assis ici, mais je ne l’ai jamais entendu enseigner, sinon sur bande, parce que, lorsque nous sommes tout près l’un de l’autre, nous sommes ensemble, et nous sommes dans une réunion. Et alors frère David, je l’ai entendu sur les bandes et autres de l’Angelus Temple, et des différents endroits où nous avons été. Je pense que c’est l’un des plus grands enseignants du Message que je connaisse aujourd’hui, et il tient des services là-bas à–à Eleventh and Garfield, chaque matin à dix heures, je pense. Et si vous ne l’avez jamais entendu enseigner, je vous conseillerais sûrement d’aller l’écouter.

            Les jeunes gens me parlent maintenant des enregistrements, je vous dirai ce que cela coûte. Je pense qu’ils ont vendu... Maintenant, il se pourrait que je me trompe sur ceci; j’aimerais dire qu’ils ont vendu dix de mes bandes et quatre-vingt-dix bandes de frère David. Alors, vous savez là où cela va. Donc, c’est un... Il a un grand ministère d’enseignement. Nous apprécierions donc que vous alliez écouter frère David.

8          Maintenant, ce soir, j’aimerais que vous ouvriez les Ecritures juste un petit instant dans le Livre de Jérémie, au chapitre 8, et lisons les versets 20, 21 et 22 du chapitre 8 du prophète Jérémie:

          La moisson est passée, l’été est fini, et nous ne sommes pas sauvés!

          Je suis brisé par la douleur de la fille de mon peuple, je suis dans la tristesse, l’épouvante me saisit.

          N’y a-t-il point de baume en Galaad? N’y a-t-il point de médecin? Pourquoi donc la guérison de la fille de mon peuple ne s‘opère-t-elle pas?

            J’aimerais prendre un sujet que je vais intituler: Pourquoi? Vous savez, lorsque Dieu qui est si bon envers nous fraye une voie afin que nous échappions au danger, et que nous n’acceptons pas cette voie, alors Dieu se demande: «Pourquoi?»

            Je pense qu’Il a le droit de demander: «Pourquoi?» Car Il s’est donné toute la peine afin de frayer cette voie pour notre bien et Il l’a placée devant nous, et ensuite, nous nous en détournons carrément et nous refusons cela. Il a le droit de nous demander: «Pourquoi?» Pourquoi faisons-nous cela? Et à la place, nous allons chercher à nous frayer notre propre chemin.

            Mais, l’homme a toujours tendance à se frayer sa propre voie, il a prouvé cela dans le jardin d’Eden. Il s’était confectionné un tablier en feuilles de figuier. Et l’homme a toujours cherché à–à projeter ses propres idées sur celles de Dieu, et à faire en sorte que l’idée de Dieu s’accommode à son idée. Pourtant, nous ne devons pas faire cela, nous sommes censés prendre la voie à laquelle Dieu a pourvu, et ne poser aucune question à ce sujet. Allez simplement de l’avant et faites cela et vivez cela tel que Dieu l’a établi. Car après tout, Il sait ce qui est mieux.

9          Une fois, frère duPlessis et moi nous parlions il y a quelque temps de la conduite du Saint-Esprit. Et il m’a dit quelque chose qui m’a marqué, comme un... quelque chose qui s’est développé autour de moi. Il a dit: «Frère Branham, j’ai toujours trouvé la chose comme ceci: si je laisse simplement le Saint-Esprit me conduire, sans prendre aucune pensée, s’Il me conduit contrairement à ce que je pense, je Le laisse simplement me conduire tout en étant humble à ce sujet. Suivez simplement le Saint-Esprit et cela va toujours bien finir.»

            Alors, j’ai pensé: «Frère David, nous sommes de véritables frères, car c’est justement de cette manière que j’aime que cela soit. Laisser le Saint-Esprit conduire. Car c’est l’Agent auquel Dieu a pourvu pour nous conduire.»

10        Maintenant, Dieu fraye une–une–une voie pour–pour échapper, Il fraye une voie pour le salut, Il fraye une voie pour la guérison, pour toutes ces choses, et alors nous, nous continuons et Il demande: «Pourquoi?»

            Une fois, là dans la Bible, dans le Livre des Rois, il y avait un homme qui était le roi d’Israël, et il était un homme méchant, c’était le fils d’Achab, et ses parents étaient méchants pour commencer.

            Et aujourd’hui, votre vie se reflétera dans vos enfants. Vous devez vous en souvenir.

            Il y a quelques jours, Démos Shakarian m’a téléphoné, et il a dit: «Frère Branham...»

            Nous parlions du petit Joseph qui est assis ici quelque part ce soir, mon petit garçon, et c’était six ans avant sa naissance, je l’avais vu dans une vision. Nous avions eu une fillette, et l’enfant a dû naître par césarienne à cause de la santé de ma femme. Et alors, le médecin a dit qu’elle ne pouvait plus avoir d’enfants, il a dit que c’était fini.

            Et alors j’ai dit: «Il y en aura un autre.»

            Il a dit: «Ils... je... c’est impossible, Monsieur Branham.»

            Il a dit: «Vous allez tuer votre femme.»

            Et j’ai dit: «Mais, docteur, le Seigneur m’a promis un fils, et son nom sera Joseph.»

            Deux ans après cela, nous avons su que nous allions avoir un bébé dans notre foyer. Et certaines personnes m’ont demandé: «Est-ce Joseph?»

            J’ai dit: «Je l’ignore.»

            Et lorsque le bébé était né, c’était une fillette. Et alors, les gens m’ont même tourné en ridicule.

            Ils ont dit: «Vous vouliez dire Joséphine.»

            Et j’ai dit: «Non, je voulais bien dire Joseph.»

            Le médecin a donc dit: «Il est impossible qu’elle ait encore un enfant.»

            J’ai dit: «Oh! Non. Elle en aura un autre. Elle va avoir un autre bébé, et ce sera Joseph.»

            Et puis, quatre ans plus tard, alors qu’elle allait encore avoir un enfant, les gens ont dit: «Est-ce Joseph cette fois-ci?»

            J’ai dit: «Je l’ignore, mais Joseph vient.»

            Alors, ce matin-là, l’infirmière est descendue et m’a appelé, elle a dit: «Qui–qui est le révérend Branham?»

            J’ai dit: «C’est moi.»

            Elle a dit: «Révérend Branham, vous avez un beau petit garçon de sept livres trois onces [4 kg].»

            J’ai dit: «Joseph, tu as mis bien de temps pour être là, mon chéri. Papa est plutôt content de te voir.» Et alors...

            Elle a dit: «Vous l’avez appelé Joseph?»

            J’ai dit: «Le Seigneur m’a dit de lui donner ce nom, cela fait six ans.»

11        Démos m’a demandé, il a dit: «Frère Branham, est-ce que vos enfants ont des visions?»

            J’ai dit: «Joseph a déjà eu des visions.» Environ six semaines avant que la chose arrive, il a vu le fils d’un voisin tomber avec une moto, et il nous a dit le lieu où il allait s’écorcher, quel membre ce serait. Nous avions pensé que le petit gars avait fait un rêve, mais ce n’était pas un rêve. Et le jeune homme est tombé à l’endroit qu’il avait indiqué, il s’est écorché la jambe juste comme indiqué, c’était aussi parfait que possible, et cet enfant a trois ans. Voyez? Cela se reflète.

12        Paul a dit à Timothée de stimuler le don qui était en lui, qu’il tenait de sa grand-mère, Loïs. Nous voyons cela dans Hébreux, chapitre 7, que Paul, parlant du paiement de la dîme, a dit que Lévi qui avait reçu l’ordre de Dieu de percevoir la dîme de ses frères avait payé la dîme, car il se trouvait encore dans les reins d’Abraham lorsque celui-ci a rencontré Melchisédek, Abraham qui était son arrière-arrière-grand-père. Et cela lui a été imputé comme le paiement de la dîme.

            Votre vie marquera vos enfants, et cela aura... influencera vos enfants par les exemples que vous leur montrez. Et je pense que c’est une bonne chose que nous fournissions tous les efforts que nous pouvons devant nos enfants comme des parents pieux. Donnez un exemple, soyez un modèle.

13        Et cet homme avait eu un père tiède en ce qui concerne l’Evangile et une mère infidèle ou plutôt païenne. Et il ne pouvait pas être meilleur pour commencer. Et il était devenu roi de plein droit, et un jour qu’il se promenait, il tomba par le treillis de sa maison, du porche jusqu’en bas, et il en tomba malade, et il pensait qu’il allait mourir. Et étant un Israélite et le roi d’Israël, il envoya deux de ses plus fidèles serviteurs à Ekron afin de consulter Baal Zebub, le dieu qu’il y avait là, pour savoir s’il allait guérir ou pas. Vous voyez, même un homme qui est dans une condition comme celle-là, il y a quelque chose dans l’être humain qui lui montre qu’il existe un quelque chose de surnaturel quelque part. Il y a quelque part le surnaturel qu’il peut toucher.

            Eh bien, il n’aurait pas dû faire cela, mais il pensait que personne, à part ces deux hommes, ne saurait quelque chose à ce sujet. Mais quelque part là, dans une cabane en adobe, là dans les bois, Dieu parla au prophète Elie. Il a dit: «Monte, et tiens-toi sur la route, et lorsque ces soldats passeront, pose-leur cette question: ‘N’y a-t-il point de Dieu en Israël? N’y a-t-il point en Israël de prophète à consulter que vous soyez obligés d’envoyer consulter Baal Zebub?’»

14        Quelle honte était-ce pour cette nation! Quelle honte pour cette nation de voir que des gens, qui se disent parfois chrétiens, vont consulter le Oui-ja, [tableau utilisé par des médiums], se rendent à des réunions des spirites, et à toutes sortes de bêtises comme cela, dont la bonne aventure, et chez ceux qui disent la bonne aventure et des choses semblables, ce qui est du diable.

            Est-ce parce qu’il n’y a point de Dieu au Ciel? Est-ce parce qu’Il n’a pas de prophète dans Son Eglise? Est-ce parce que nous n’avons pas des dons, des révélations et des interprétations dans l’Eglise pour consulter Dieu? Pourquoi devrons-nous aller vers des choses si basses, si viles comme cela? Nous... Dieu va nous demander: «Pourquoi?» Pourquoi?

15        Eh bien, ce n’était pas parce qu’il n’y avait point de Dieu en Israël. Ce n’était pas parce qu’il n’y avait point de prophète. Mais c’était à cause de la méchanceté et du propre entêtement du roi.

            Et aujourd’hui, ce n’est pas parce que... Les Américains affluent dans des réunions où l’on pratique des séances de spiritisme, et–et dans ces choses possédées du diable comme cela, afin de s’enquérir du futur. Ce n’est pas parce que nous n’avons pas une église dans laquelle se trouve Dieu; c’est à cause de leur entêtement. Ils ne veulent pas s’associer à ce genre de personnes.

            C’est la même chose que fit ce roi qui ne voulait pas s’associer à Elie, parce qu’Elie dénonçait toujours ses péchés. Parfois c’est dur de servir Dieu.

            Il n’y a qu’une seule chose à faire, c’est de revenir à la ligne de conduite. Se mettre au pas avec Dieu. Abandonnez vos propres pensées, car un jour Dieu nous demandera la raison de ces choses. Et lorsqu’on nous demandera la raison, alors, qu’allons-nous répondre?

16        Maintenant, c’était donc à cause de son entêtement qu’il ne voulait avoir aucune communion avec ce prophète pieux. Cependant, il était un Israélite. Il était dans la ligne pour–pour avoir une bénédiction de Dieu sur lui. Et il était sous la bénédiction de par son droit de naissance, étant un Israélite, mais cependant, il refusa d’accepter la voie de Dieu et s’engagea sur une autre voie.

            Dieu nous demandera au jour du Jugement: «Pourquoi n’avais-tu pas reçu le Saint-Esprit? Pourquoi n’étais-tu pas né de l’Esprit? Pourquoi n’étais-tu pas comme ceci et comme cela? Etait-ce parce qu’il n’y avait pas d’église qui enseignait cela? Etait-ce parce qu’il n’y avait pas un prédicateur dans le pays qui prêchait le baptême du Saint-Esprit? Pourquoi as-tu fait ces choses?»

            Lorsque Dieu a pris des dispositions et que les gens refusent de marcher dans cela, alors Il demande: «Pourquoi?»

17        C’est comme un malade qui meurt sur le seuil du cabinet du médecin, parce qu’il refuse de prendre son médicament. Le médecin a l’ordonnance. Il a le remède contre la maladie de cet homme. Mais il s’assied sur le seuil du cabinet du médecin et refuse de prendre son médicament, et alors il meurt sur le seuil du cabinet du médecin. Ce n’est pas parce que le médecin n’avait pas l’ordonnance. Ce n’est pas parce qu’il n’y avait pas de médicament contre sa maladie, mais c’est à cause du propre entêtement de cet homme, consistant à refuser de prendre le médicament prescrit par le médecin, et il est mort. Alors, vous ne pouvez pas condamner le médicament ou le médecin, parce que les deux étaient là prêts à rendre service, mais c’est l’homme qui a refusé.

            Et Dieu a le Saint-Esprit ce soir pour chaque croyant qui désire Le recevoir. Nous avons des prédicateurs oints dans le pays, qui prêchent cela jour et nuit. Mais, c’est le propre entêtement des gens qui fait qu’ils aiment plus les ténèbres que la Lumière, et qu’ils préfèrent vivre dans le monde plutôt que de marcher dans la Lumière de l’Evangile. Oh! Mes amis, vous ne savez pas quel plaisir il y a à marcher dans la Lumière, la Lumière du Seigneur Jésus, à avoir communion avec Lui. C’est la gloire divine d’avoir communion avec le Saint-Esprit.

18        Eh bien, vous ne pouvez pas avoir communion à la fois avec le monde et avec le Saint-Esprit. Vous devez vous abstenir des choses du monde, mener une vie pure, honorable, droite et sainte, alors le Saint-Esprit habitera en vous, marchera avec vous, accomplira des miracles au travers de vous, vous guérira, vous donnera la joie, la paix, l’amour, la patience, la bénignité, la bonté, la persévérance–la persévérance et la foi. Et si vous voulez marcher dans la voie de Dieu, il y a le Saint-Esprit en abondance

            Je me suis souvent demandé pourquoi les gens veulent prendre un substitut du salut, alors que les Cieux sont pleins de l’authentique. Pourquoi voudriez-vous manger dans une poubelle, alors qu’il y a une belle table propre dressée et prête pour vous? Cela montre qu’il y a quelque chose qui ne marche pas, mentalement parlant. Je pense que c’est le problème de cette nation aujourd’hui. Je pense que, lorsqu’une–une personne refuse de recevoir Christ, le Saint-Esprit dans son coeur, pour marcher, Le laisser le conduire comme Il le fit dans le Livre des Actes, il y a quelque chose qui cloche chez cette personne, mentalement parlant. Je le crois.

19        Maintenant, les gens disent: «Trop de religion vous rendra fou.» Trop de choses fausses vous rendront fou. Mais la religion de Jésus-Christ, si vous êtes fou, elle vous remettra dans votre bon sens. Vous voyez? Vous n’êtes pas dans votre bon sens avant que vous soyez né de nouveau. Vous n’êtes pas mentalement dans votre bon sens avant que vous soyez né de nouveau. Un homme n’est pas dans son état normal avant qu’il ne soit né de nouveau. Il est une bête dans son coeur, jusqu’à ce qu’il soit né de l’Esprit de Dieu, que l’esprit charnel soit ôté de lui, et que l’Esprit de Dieu prenne Sa place pour régner. Celui-ci le conduit et le guide dans toute la Vérité et dans toute la Lumière. C’est vrai. Et quand un homme ne fait pas cela, sachant bien que sans cela il est en route vers l’enfer, il y a quelque chose qui cloche dans sa tête. Pourquoi les gens ne reçoivent-ils pas cela? Pourquoi?

            Si on organisait le... un rodéo dans la ville, il y a dans cette ville de Phoenix, je suppose, un demi-million de gens ou peut-être plus (je ne connais pas la population), mais un–un tiers ou plus de la population viendra et achètera un ticket de cinq dollars pour y entrer. Ce qui est en ordre, si vous voulez y aller. Ensuite, si on plaçait une certaine star de la télévision ici pour organiser une soirée de rock-and-roll, je vous dis qu’environ cinquante pour cent des habitants de Phoenix s’y rendront.

20        Et puis, si nous organisons une campagne d’évangélisation ici, là où Jésus est présent parmi nous tous, afin de nous bénir, de nous montrer, de nous confirmer par Sa Parole qu’Il est le Fils de Dieu ressuscité, nous n’aurons qu’une poignée de gens de cette ville. Mais de quoi s’agit-il? «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire.» Je sens que c’est le dessus du panier, les élus. «Mes brebis connaissent Ma Voix, et elles ne suivront pas un étranger.» Cela dépend de ce qui se trouve en vous et qui vous attire, qui vous pousse. C’est toujours aux élus que Dieu s’adresse et envoie Son Message.

            Maintenant, un jour il leur sera demandé: «Pourquoi? Pourquoi n’y étiez-vous pas allés?» Etait-ce parce qu’il n’y avait pas de réunions à Phoenix? Etait-ce parce que le Saint-Esprit n’avait pas été prêché à Phoenix dans cette génération, lorsqu’elle passera en Jugement? Eh bien, nous devrons y comparaître. Chacun de nous y comparaîtra et rendra compte, et Phoenix va rester désert, parce qu’il y a beaucoup, beaucoup d’églises ici qui prêchent l’Evangile, le baptême du Saint-Esprit, et qui prient pour les malades.

21        «Bien, direz-vous, nous avons eu beaucoup de...» Peu m’importe ce que vous avez eu. Bien sûr, vous avez assez de discernement pour reconnaître ce qui est juste et ce qui est faux par la Parole. Vous voyez? Surveillez la Parole.

            Eh bien, si l’homme s’est couché sur le seuil du cabinet d’un médecin et qu’il est mort là parce qu’il a refusé de prendre le médicament prescrit par le médecin... Eh bien, s’il n’y avait pas de médicaments dans le cabinet du médecin, ce serait différent. Mais s’il y avait des médicaments là-dedans, et un médecin qui sait comment les administrer, et qu’ensuite, cet homme meure avec sa maladie, ce n’est pas la faute du médecin ni du médicament. C’est la faute du malade lui-même, qu’il soit mort. Il ne devrait pas mourir.

22        Or, quelquefois dans la médecine... A une certaine époque, il n’y avait pas de toxine contre la fièvre typhoïde. Il n’y avait pas... C’est tout récemment qu’on a eu le vaccin de Salk pour les–pour les enfants, contre la–la polio. A une époque, on n’avait pas cela. On l’a maintenant. A une certaine époque, il n’y avait pas de–il n’y avait pas d’inoculation contre–contre la fièvre typhoïde, le tétanos, les injections contre le typhus, il n’y en avait pas. Mais nous en avons aujourd’hui.

            Et alors, il y a une époque où la toxine de Dieu ne marchait pas très bien. C’était très bien, mais cela n’était pas parfait. Mais cela a changé maintenant; c’est parfait aujourd’hui.

            Maintenant, pourquoi... comment découvre-t-on les médicaments? Comment arrive-t-on à trouver un remède, comment administrer un médicament? Premièrement, on amène cela dans un laboratoire et on commence à mélanger différentes substances chimiques, et on en arrive à une certaine idée, à savoir que cette chose testée contre un certain germe tue ce germe, et laisse en vie le bon germe de vie. Parfois, les antibiotiques et autres, ça détruit, ça tue de bons germes, de bons germes et de mauvais germes. Mais souvent, c’est testé afin de tuer les mauvais germes qui se trouvent dans votre corps. Et ensuite, il y a... la chose suivante qu’on fait, on prend un cobaye, et on lui injecte ce sérum, qui est... on lui injecte la maladie et on voit comment elle agit dans le corps du cobaye. Si le cobaye survit à cela, alors on vous administre cela. Et maintenant, tous les gens... cela ne marchera pas pour tout le monde, parce que quelquefois on peut vous donner un... c’est comme une dose de pénicilline, cela va–cela va aider l’un, et cela tuera l’autre à qui cela est administré. Vous–vous devez courir un risque, lorsque vous prenez le médicament, parce que cela n’est pas parfait.

23        Mais j’aimerais dire ce soir que le Baume de Dieu, le Saint-Esprit, ce n’est pas un tâtonnement ou quelque chose qui tantôt marche, tantôt ne marche pas, c’est parfait. C’est bon pour tous. C’est un Baume de Dieu, le Baume de Galaad. Il est là pour chaque personne qui souffre du péché, pour chaque âme malade.

            Bon, on dit aujourd’hui que le tueur numéro 1 en Amérique, c’est la maladie du coeur. Je suis en désaccord avec eux; le tueur numéro 1 en Amérique aujourd’hui, c’est le péché; ce n’est pas la maladie du coeur, mais la maladie de l’âme. Dans... à l’intérieur du coeur, l’âme qui se trouve à l’intérieur du coeur, c’est l’ennemi numéro 1. Nous avons tant de gens. Je les entends dire: «Frère Branham, j’aimerais mener une vie correcte.»

            Des jeunes filles, des jeunes garçons et des personnes âgées m’ont dit: «J’aimerais mener une vie correcte, mais je n’arrive simplement pas à arrêter de boire. Je n’arrive pas à arrêter de convoiter. Je n’arrive simplement pas à m’éloigner de ces endroits.» Il n’y a qu’une seule chose à faire, vous n’avez pas essayé le Baume. Lorsque vous prenez ce Baume de Galaad, le Baume de Dieu, cela vous inocule contre tous les péchés et contre les choses du monde. Cela place dans votre coeur un tel amour de Dieu que les choses du monde sont mortes pour vous. Certainement. C’est le puissant Baume de Galaad. C’est le Baume guérissant de Dieu.

24        Vous direz: «Je–j’aimerais pouvoir le prendre.» Eh bien, vous pouvez, il y en a plein. Nous avons... les Cieux en sont remplis. Nous avons des prédicateurs à travers le pays qui prêchent cela. Nous avons des gens à travers le pays qui ont été vaccinés avec cela, et le problème du péché est fini pour eux, parce qu’ils ont reçu l’inoculation de Dieu. En effet, des pécheurs, des ivrognes, des gens qui jouaient aux jeux d’argent, des gangsters, des contrebandiers d’alcool, des prostitués, tous sont venus au Calvaire et ont–ont été inoculés avec le Baume de la gloire de Dieu et de Sa puissance, et la question du péché a été réglée une fois pour toutes. «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie». C’est parce qu’il a été inoculé avec l’Esprit de Dieu qui tue les choses du monde et qui fait de lui une nouvelle créature en Jésus-Christ. Il est une nouvelle création, il est vacciné.

            Toutes les vieilles choses disparaissent; la nouvelle vie entre, de nouveaux désirs entrent. Et si vous n’avez pas cela, «à moins qu’un homme ne naisse de nouveau, il ne verra jamais le Royaume de Dieu». Et alors, au jour du jugement, on en demandera la raison au monde: «Pourquoi n’avez-vous pas reçu cela?»

25        De même que les gens meurent sur le seuil du cabinet du médecin, de même des hommes et des femmes aujourd’hui meurent sur les bancs de l’église. Des pécheurs viennent à l’église, comme des croyants frontaliers. Des hommes et des femmes meurent sur les bancs de l’église, et ils s’en vont dans l’éternité pour rencontrer Dieu sans aucune espérance. Ce n’est pas parce que l’Evangile n’est pas prêché; ce n’est pas parce qu’il n’y a pas suffisamment de Baume pour eux; c’est parce qu’ils ont refusé de prendre le Baume. Ils ont refusé de prendre le médicament prescrit par le médecin, la nouvelle naissance.

            C’est comme je le disais l’autre soir: «La nouvelle naissance est un gâchis.» Peu m’importe où elle a lieu; c’est un gâchis, toute naissance est un gâchis. C’est un gâchis, et la nouvelle naissance est un gâchis. Cela vous fait faire des choses que vous ne pensiez pas que vous feriez.

26        Je me souviens une fois, je prêchais dans mon tabernacle, cela fait plusieurs années, et il y avait... lorsque le... j’étais un baptiste missionnaire, et le moniteur de l’école du dimanche de la première Eglise baptiste au centre-ville, était là et il se tenait à l’extérieur. Et j’ai toujours cru dans la sainteté. Je crois qu’un homme, s’il est né de l’Esprit de Dieu et conduit par le Saint-Esprit, mènera une vie correcte. Forcément, parce que la Vie de Dieu se trouve en lui. Et alors, ce petit gars qui était leur moniteur de l’école du dimanche, et nous ne croyions pas dans notre... Notre église n’a jamais eu une équipe de baseball. Là-bas, ils en avaient une, parce qu’ils amenaient les gens à jouer au baseball le dimanche, et ainsi de suite. Nous ne croyions pas dans cela. Alors ce gars a dit: «Billy, j’étais venu vous entendre l’autre jour.»

            J’ai dit: «Oui, je ne vous ai pas vu.»

            Il a dit: «Oh! Je suis venu, je me suis tenu à l’extérieur.» Il a dit: «Il y avait une grande foule à l’intérieur, et je ne voulais pas me tenir debout à l’intérieur.» Il a dit: «Je me suis tenu à l’extérieur, mais, a-t-il ajouté, j’ai apprécié votre message, cependant, je–je ne pouvais simplement pas comprendre ce que vous disiez, car une femme s’est levée là derrière et s’est mise à pleurer, elle a couru là jusqu’à l’autel avec ses mains levées, en pleurant.» Il a dit: «Je n’ai pas saisi la dernière partie de votre message.» Il a dit: «Et cette femme s’est mise à pleurer.» Elle a dit: «Je–je sentais tout simplement...» Il a dit: «J’ai senti comme si je–je gelais presque à mort.»

            J’ai dit: «Frère, vous feriez mieux de changer complètement. Si jamais vous allez au Ciel, vous allez geler à mort Là-haut, parce qu’il y a beaucoup de hurlements et de cris Là-haut.»

            Et il a dit: «Ne pensez-vous pas que c’est de l’émotion?»

            J’ai dit: «Monsieur, tout ce qui est dépourvu d’émotion est mort, scientifiquement parlant. Et toute église ou toute personne qui est née du Saint-Esprit, dit Dieu, qui n’éprouve pas une petite émotion en elle, est morte.»

27        Observez lorsqu’un bébé naît, s’il ne gémit pas, s’il ne pousse pas des cris, s’il ne geint pas, quel est le problème de ce bébé? C’est un mort-né. C’est cela le problème qu’ont les membres des églises ce soir, un bon nombre de membres des églises, ce sont des mort-nés. Que fait le médecin pour amener ce bébé à la vie? Il le soulève par les talons, et lui donne une petite stimulation du protoplasme (est-ce vrai?), il lui donne une fessée aussi fort que possible jusqu’à ce qu’il crie. Ce dont l’Eglise a besoin ce soir, c’est d’une bonne fessée de Dieu à l’ancienne mode, qui va la réanimer, qui y ramènera la vie. C’est ce dont l’Eglise a besoin.

            Lorsqu’une naissance a lieu, il y a des pleurs, il y a de la bave; et–et il y a tout un tas de choses qui se produisent lorsque une naissance a lieu. Mais les gens n’en veulent pas; ils pensent qu’ils ont tellement de la classe, ils sont trop guindés pour recevoir cela. Et Dieu va vous demander: «Pourquoi?»

28        Une personne qui a une instruction d’école primaire va mettre son chapeau sur le côté de la tête, porter un manteau de cinquante dollars, et sortir là, pensant être quelque chose. Souvenez-vous, vous êtes né comme n’importe qui d’autre. Vous avez eu la même sale naissance que n’importe qui d’autre. Laissez-moi vous dire: de toute façon, vous ne valez rien pour commencer. Et puis, si... la seule façon pour vous de sortir de cette condition, c’est de naître de nouveau de l’Esprit de Dieu, et Cela produit en vous quelque chose qui place votre tête au-dessus des aigles, parce que vous êtes né de nouveau. Et Dieu va vous demander: «Pourquoi n’avez-vous pas reçu cela? Quel était le problème? Quelle en était la cause?»

            Bien, vous ne pouvez pas vous justifier en disant: «Je n’avais jamais entendu cela être prêché», car vous avez entendu cela être prêché. Si vous n’étiez pas allé à l’église, vous avez entendu cela à la radio quelques fois; vous avez lu cela dans les journaux, dans des tracts dans la rue. Vous avez entendu cela. Dieu va vous demander: «Pourquoi ne l’as-tu pas reçu? Pourquoi? J’ai frayé une voie. J’ai envoyé Mon serviteur. J’ai envoyé Mes apôtres. J’ai envoyé Mes prophètes. J’ai envoyé Mon Saint-Esprit. J’ai opéré des signes et des prodiges. J’ai prouvé, par l’opération de ces dons et par la prédication de l’Evangile au travers de la Bible, que c’était Moi. Maintenant, pourquoi ne l’as-tu pas reçu?» Voilà!

29        Cela me fait penser par exemple, dans... Quelqu’un m’a posé la question l’autre soir au sujet d’Hébreux chapitre 10, où il est dit que ceux qui ont volontairement péché, volontairement, et doivent être renouvelés et amenés à la repentance, eh bien, il n’y a rien qui reste pour eux, sinon une attente terrible du jugement. «Celui qui méprisait la loi de Moïse mourait sur la déposition de deux ou trois témoins. De quel pire châtiment pensez-vous que sera jugé digne celui qui aura foulé aux pieds le Sang de Jésus-Christ, qui L’aura tenu pour profane et qui aura outragé les oeuvres de la grâce...»

            J’ai dit: «Lisez Deutéronome 14, là où ces espions, ces Israélites, étaient allés avec Caleb et Josué juste là à la frontière du pays, et ils ont goûté les grappes qui provenaient du pays. Mais, lorsqu’ils sont retournés, ils étaient des incrédules et des poltrons, ils ont dit: ‘Oh! nous ne pourrons pas nous en emparer; c’est trop difficile pour nous. Oh! Ils ont l’air de sauterelles... nous avons l’air de sauterelles à côté d’eux. Leurs villes sont toutes fortifiées. Nous ne pouvons pas nous en emparer.’ Mais Caleb et Josué ont fait taire les gens, ils ont dit: ‘Nous pouvons nous en emparer. Nous sommes plus que capables. Bien que nous soyons la minorité, nous pouvons nous en emparer.’ Pourquoi? Ces espions-là regardaient aux conditions, au prix qu’ils devaient payer, mais Caleb et Josué regardaient à une promesse de Dieu. Dieu avait dit: ‘Je vous ai donné ce pays, allez le posséder.’»

30        Gloire! Le Saint-Esprit est pour quiconque a été appelé à ce souper des noces. Peu importe le prix que vous devez payer, allez vous en emparer. Dieu a dit que cela est à vous. Si vous ne vous en emparez pas, Il vous demandera alors: «Pourquoi ne vous en n’êtes-vous pas emparé? Pourquoi? C’était bien là pour vous.»

            S’ils n’avaient pas possédé le pays, quel était le pourquoi? «Nos adversaires étaient trop nombreux.»

            Il a dit: «Bien, si Dieu a dit: ‘Si Je suis pour vous, qui sera contre vous?’» Ça se trouve là. Quel est le problème? Il y a quelque chose qui cloche chez la personne.

            Bon, maintenant, suivez. Il a dit: «Beaucoup...»

31        Prenez un jeune ministre qui sent un appel de Dieu dans son coeur. Il va se repentir de ses péchés, il va aller à l’école et recevoir une instruction, ce qui est bien. Il va revenir, et il continuera peut-être à fumer la cigarette. Peut-être qu’il aura encore un esprit de convoitise, et il dira: «Oh! Je ne veux pas de cela, Seigneur, ôte cela de moi.»

            L’Esprit de Dieu viendra et sanctifiera son âme, et ôtera ce désir de lui. Ensuite, il sera amené jusqu’à la frontière, il va s’asseoir dans la réunion, et observer les oeuvres du Saint-Esprit, voir les autres être guéris, les entendre parler en langues, voir des signes et des prodiges être accomplis. Il va s’asseoir là et observer cela, mais il a peur d’y mettre sa main. C’est là le croyant frontalier; c’est là le gars, si jamais il se détourne, il n’y a plus de pardon de péché pour lui. Il se tient juste en haut et contemple le pays, celui qui a reçu la connaissance de la vérité, qui avait la connaissance de la vérité, qui est convaincu que c’est la vérité, mais à cause du prestige: «Eh bien, si je fais ceci, cela fera ceci. Et si j’accepte cela, cela fera ceci.»

            Vous voyez, ils refusent cela, ils s’en éloignent. Et il est dit: «Et ceux qui auront tenu le Sang de l’alliance, par lequel il a été sanctifié...», pour l’amener jusqu’à une étape où il peut jeter un coup d’oeil dans le pays et en prendre connaissance. Il est sauvé et sanctifié, mais pour ce qui est de s’avancer ici pour jeter un coup d’oeil afin de recevoir le Saint-Esprit, cette nouvelle naissance, il ne veut rien avoir avec cela.

            Il dira: «Oh! Je pense que c’est en ordre pour ce genre de personnes, mais quant à moi, oh! c’est très bien, mais je le ferai un autre jour.» Or, voilà le problème, cet homme est malade et refuse de prendre le médicament du médecin.

32        Oh! la la! Cela me rappelle lorsque maman avait coutume de nous administrer l’huile de ricin. Nous avons grandi à la campagne, et nous devions prendre les peaux de viande et les bouillir dans un vieux... pour les faire fondre dans une vieille poêle, et nous faisions du pain avec cela. Nous avions du pain de maïs et des doliques, je ne sais pas si vous tous vous connaissez cela ou pas. Combien parmi les gens du Sud qui sont ici ont déjà mangé cela? Des feuilles des navets? Oh! la la! Bonté divine! Si j’avais un matelas de paille ce soir pour m’y coucher, je me sentirais donc chez moi.

            Remarquez, on en prenait et on préparait cela, chaque samedi soir, nous tous, les petits enfants, nous devions prendre un bain. Environ huit ou neuf petits Branham se tenaient là, et j’étais l’aîné, alors je prenais mon bain le dernier, dans la même eau où le premier était lavé. On ajoutait juste un peu d’eau de la vieille bouilloire dans une vieille baignoire en bois. Et ensuite–ensuite, chacun de nous qui allait à l’école devait prendre une dose d’huile de ricin, afin que nous soyons en forme pour l’école le lundi matin. Nos systèmes complètement... cette nourriture que nous devrions manger. Et j’avais... Je n’arrive toujours pas à supporter l’odeur de cette affaire. Et je... chaque fois que je venais, je me pinçais le nez, je disais: «Maman...» J’étais l’aîné; je devais prendre cela le premier. Je disais: «Ô maman, cela me donne simplement des haut-le-coeur; alors je ne peux pas prendre cela. Je...»

            Et elle disait: «Si cela ne te rend pas malade, ça ne te fera pas du bien.»

33        C’est pareil avec la prédication de l’Evangile: si cela ne vous secoue pas pour vous rendre suffisamment malade, ça ne vous fera pas de bien. C’est l’ordonnance du médecin. C’est ce que le médecin a prescrit. Pincez-vous le nez et prenez cela. C’est la meilleure chose. Cela ôtera de vous la raideur; assurément. Cela vous abaissera. Cela vous fera faire des choses que vous ne pensiez pas que vous feriez. Cela pourrait vous rendre un peu sale, mais cela–cela vous redressera certainement. C’est vrai.

            Oh! Si une personne... Quelle réponse allez-vous donner à Dieu, lorsqu’Il vous demandera: «Pourquoi ne l’avez-vous pas fait? Pourquoi ne l’avez-vous pas reçu?»

            J’imagine voir la vierge Marie, pour certains d’entre vous les catholiques. C’était en quelque sorte une dose amère pour elle, après avoir donné naissance au Fils de Dieu, mais cependant, avant qu’elle puisse entrer au Ciel, elle a dû monter ce petit escalier externe qui menait jusqu’à la chambre haute, et rester là jusqu’à ce qu’elle fût tellement remplie du Saint-Esprit qu’elle titubait comme si elle était ivre. Et si Dieu a amené Marie à faire cela avant qu’elle entre au Ciel, comment allez-vous entrer avec quelque chose qui est en deçà de cela? Dieu dira: «Pourquoi ne l’avez-vous pas fait?» Il vous sera demandé de donner la raison: «Pourquoi ne l’avez-vous pas fait?»

            Pensez-y, mais Dieu vous demandera: «Pourquoi?» Et vous devrez donner la raison. Que répondrez-vous à ce sujet? Pourquoi? «Pourquoi ne l’aviez-vous pas fait?»

34        Le médecin vous a laissé le médicament, et il dira: «Pourquoi ne l’avez-vous pas pris?» Le lendemain, vous allez faire une forte fièvre: «Pourquoi ne l’avez-vous pas pris? Pourquoi ne l’avez-vous pas pris? Comment puis-je vous traiter si vous ne prenez pas mon remède?»

            Comment Dieu peut-Il vous sauver si vous ne prenez pas Son remède? Comment peut-Il vous guérir si vous ne prenez pas le remède?

            C’est comme je l’ai dit: «La maladie du coeur n’est pas le tueur numéro 1, c’est la maladie du péché.» Et qu’est-ce que le péché? Le péché ce n’est pas fumer les cigarettes; le péché ce n’est pas commettre adultère. Le péché ce n’est pas boire, jurer. Ça, ce sont les attributs du péché. Il n’existe qu’un seul péché: c’est l’incrédulité. Tout homme, s’il mène une vie sainte, pieuse, et aussi bon qu’il puisse être, si cependant il dit que les jours des miracles sont passés, et renie les Ecritures qui déclarent: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement», cet homme est un pécheur, parce qu’il est un incroyant.

35        Les pharisiens étaient aussi saints qu’ils pouvaient l’être. Ils observaient les traditions des anciens. Ils étaient propres, droits, nobles, raffinés quant à l’instruction; mais Jésus a dit: «Vous êtes de votre père, le diable.» Il était le Messie. Il était Celui qui manifestait la puissance du Dieu vivant, et Il accomplissait les Ecritures qui parlaient de Lui, et ensuite, on leur a demandé: «Pourquoi?» Parce que leurs anciens l’avaient dit, leurs anciens l’avaient dit. Mais Jésus avait accompli les Ecritures. Ainsi en sera-t-il un jour, quand on demandera aux gens pourquoi ils n’ont pas reçu le Saint-Esprit.

            L’Eglise est ici, les prédicateurs sont ici; la puissance de Dieu est ici; Christ est ici. Les signes et les prodiges qu’Il a promis pour les derniers jours sont ici; et on nous demandera: «Pourquoi n’aviez-vous pas reçu le Saint-Esprit?»

36        Pourquoi? Dieu a frayé une voie. Alors, pourquoi ne recevez-vous pas cela? Maintenant, vous pourriez plutôt rectifier cette prescription médicale. Vous pourriez plutôt vous poser des questions à ce sujet, parce que cela a aidé certaines personnes et en a tué d’autres. Ce n’est pas tellement fiable, parce que le corps de chaque personne n’est pas comme celui d’un cobaye, et nous sommes tous différents les uns des autres.

            J’aimerais aborder cela cette semaine, si possible. Comment l’un cherche à imiter l’autre. Ne le faites jamais. Dieu n’a jamais créé deux personnes identiques. Marchez simplement comme le Saint-Esprit vous conduit. Nous pourrions prendre les millions de gens qu’il y a dans le monde, il n’y en a pas deux qui ont la même empreinte du pouce. C’est vrai. Dieu les a créés différents. Il est un Dieu de variété. Il les a créés différents. Et ne cherchez pas à imiter le voisin; vous, faites ce que Dieu vous dit de faire et tenez-vous-en à cela, parce qu’il n’y a personne dans les cieux ni sur la terre, qui puisse prendre votre place. Dieu vous a créé dans un but. Tenez-vous-en à cela.

37        Maintenant, nous voyons que ce médicament, lorsqu’on l’injecte au cobaye, c’est à un animal qu’on injecte cela, et ensuite on administre ce sérum à un être humain. Ce n’est pas tellement certain. Cette injection pourrait ne pas marcher chez vous, mais, je vous dis une chose: «L’inoculation de Dieu marchera chez vous. Elle est parfaite.»

            Pourquoi? Un échantillon de cela a été donné en attendant que le véritable Sérum vienne, par le sang des taureaux, des boucs, des brebis et ainsi de suite. Ce n’était pas grand-chose, parce que c’étaient des animaux. Mais un jour, la Chose la plus sainte du Ciel est venue, le Fils de Dieu. Il n’était ni Juif ni Gentil; Il était Dieu, Il n’était ni Juif ni Gentil. Alors, vos lignées raciales ne signifient rien.

38        Nous savons tous que le système sanguin vient du sexe mâle. Le germe de vie vient du mâle. Et dans ce cas, Marie avait le–l’oeuf; le germe, la Cellule de Sang venait de Dieu le Créateur, qui l’avait créée. Alors, vous ne pouvez pas dire que Jésus était un Juif, Il ne L’était pas. Il était Dieu. Ainsi donc, Dieu, le Glorieux Saint-Esprit, a couvert une vierge de Son ombre, et a créé une cellule de Sang, sans aucun désir sexuel du tout, mais c’était d’une manière sainte. Et cette Cellule qui s’est formée là à l’intérieur a produit le Fils de Dieu, et au travers de cette naissance virginale, et par les souffrances qu’Il a subies pour les autres, Sa mort au Calvaire, au travers du Sang versé, cela a produit une Eglise sanctifiée pour remplir celle-ci de l’Esprit qui l’a créée. Amen. C’est ça. C’est l’Evangile.

            Vous allez me traiter de saint exalté de toute façon, alors vous feriez mieux de commencer maintenant. C’est vrai.

            Oh! Rien que le Sang de Jésus.

            Oh! Précieux est ce flot

            Qui me rend aussi blanc que neige.

            Je ne connais nulle autre source,

            Rien que le Sang de Jésus. (C’est ça.)

            Qu’est-ce qui peut laver mes péchés?

            Rien que le Sang de Jésus.

            Qu’est-ce qui peut me rendre entièrement pur?

            Rien que le Sang de Jésus.

            Oh! Précieux est ce flot.

39        Qu’est-ce qui m’a guéri? Le Sang de Jésus. Qu’est-ce qui m’a sauvé? Le Sang de Jésus. C’est ma seule espérance et mon seul thème; c’est ma seule supplication. C’est ma seule plaidoirie: rien que le Sang de Jésus.

            Maintenant, ça c’est le traitement de Dieu. Cela fait de vous une personne différente. Vous êtes né de nouveau. Maintenant, lorsque Dieu était prêt à tester Sa toxine, Son Baume... Le Baume, c’est le... Il a dit: «N’y a-t-il point de baume en Galaad? N’y a-t-il point de médecin? Alors, pourquoi, pourquoi la guérison de la fille de mon peuple ne s’opère-t-elle point? Pourquoi est-elle toujours dans cet état? N’y a-t-il point de baume? N’y a-t-il point de médecin? N’y a-t-il personne pour l’aider? N’y a-t-il personne pour lui dire la vérité? N’y a-t-il personne pour lui donner le médicament approprié? Pourquoi est-elle si malade?»

40        Je me demande ce que va dire Dieu au jour du Jugement, si nous continuons à nous séparer les uns des autres? Qu’est-ce qui est arrivé au Baume? Qu’est-ce qui est arrivé à la puissance de Dieu, à Jésus-Christ qui a dit: «A ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l’amour les uns pour les autres.»

            Qu’allons-nous faire de cela? N’y a-t-il point de baume ici? Y a-t-il–y a-t-il... que–qu’est-ce qui nous est arrivé? Pourquoi sommes-nous... pourquoi l’église est-elle toujours malade? Ce n’est pas parce qu’il n’y a pas assez de Baume pour nous rassembler. Ce n’est pas parce qu’il n’y a point de Médecin, le Saint-Esprit. Mais le problème est que nous rejetons Cela volontairement. Voilà la raison.

41        Maintenant remarquez encore: lorsque ce baume était... le Baume, je vais l’appeler Toxine. Lorsque cette Toxine fut testée, Dieu ne l’a jamais administrée à un cobaye, Il l’a administrée à Son Fils, à Jésus-Christ, sur les rives du Jourdain. Tout au long de Sa vie, cela a tenu, et quelques minutes... quelques jours après, Dieu a administré la Toxine à Son propre Fils, dans Sa propre chair. Dieu a été fait chair et Il a habité parmi nous. Certains prennent Jésus juste pour un philosophe, un homme ordinaire, un prophète; Il était plus qu’un philosophe, Il était plus qu’un prophète, Il était plus qu’un homme, Il était Dieu manifesté dans la chair, né d’une vierge. Le Saint-Esprit, l’Esprit a couvert Marie de Son ombre et cela a produit un Tabernacle, un Corps humain qui était le Fils de Dieu, dans Lequel Dieu a habité pour réconcilier le monde avec Lui-même. Il ressemblait à Dieu; Il se comportait comme Dieu; Il parlait comme Dieu; Il guérissait comme Dieu; Il était Dieu manifesté dans la chair. Il était plus qu’un homme. Il était Dieu manifesté dans la chair.

42        Et cette mort a essayé de planter son aiguillon profondément dans cette vieille chair-là, elle s’est donc rendu compte que c’était un Etre différent de tous les autres qu’elle avait déjà piqués. Elle pouvait piquer un prophète, et ce dernier mourait. Elle a piqué un prophète, et ensuite elle en a piqué un autre, mais lorsqu’elle a piqué le Fils de Dieu, là, elle a planté son aiguillon et celui-ci lui fut arraché. Aujourd’hui, la mort n’a plus d’aiguillon, parce que la chair de Dieu a retenu l’aiguillon et le lui a arraché. Le diable ne savait pas que c’était Lui. Il... chaque fois, il disait: «Si Tu es Fils de Dieu, fais ceci. Si Tu es Fils de Dieu, fais ceci.»

            On a placé un chiffon sur Son visage, et Il avait ces visions et ainsi de suite. Le diable a ordonné à son agent de placer un chiffon sur Son visage comme cela, et de Le frapper sur la tête, et de dire: «Maintenant, si Tu es le Fils de Dieu, dis-nous qui T’a frappé.»

            Vous voyez? Jésus gardait cela pour Lui-même. Mais Il voulait que ce démon plante cet aiguillon, et alors Il le lui arracherait. Oh! Mais quand il Le piqua là au Calvaire, Il perdit l’aiguillon pour toujours. Il peut bourdonner, vrombir et faire beaucoup de bruit, mais son aiguillon se trouve là-bas. Alléluia! Il est planté dans le Calvaire.

            Il n’est pas étonnant que Paul puisse dire: «Ô mort, où est ton aiguillon? Ô tombe, où est ta victoire? Mais grâces soient rendues à Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ.» Oh! la la!

43        Lorsque Dieu fut prêt à tester Sa toxine, Il inocula Son propre Fils. Alors qu’on Lui arrachait la barbe du visage par poignées et [Frère Branham produit le bruit de quelqu’un qui crache.–N.D.E.] droit sur le visage, Il leur a présenté l’autre joue. Je me demande si nous avons été inoculés comme cela?

            Lorsque le diable L’a testé, il a dit: «Dis, Tu es un faiseur des miracles. J’aimerais Te voir guérir celui-ci, j’aimerais Te voir faire ceci.»

            Que ferions-nous, si nous avions la puissance? Nous nous tournerions et ferions probablement cela, en disant: «Tu vois, je te disais que j’en suis capable.»

            Mais, Il était inoculé; cela a tenu. Il ne faisait que ce que le Père Lui disait de faire.

            Si un tel pouvoir nous avait été donné, je me demande si nous n’aurions pas placé notre–notre pouce sur notre veste et dit: «Maintenant, comprenez-vous ceci, ici, vous voyez, vous tous, vous devez venir dans ma dénomination, car c’est moi qui ai la chose.» Vous voyez?

            Qu’en était-il de Lui? Il était inoculé. Qu’a-t-Il dit? «Je ne peux rien faire avant que Mon Père Me le montre. En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.» Cette inoculation a tenu.

44        Lorsqu’Il est allé au Calvaire, cela a tenu. Lorsqu’Il est allé à la mort, cela a tenu. Dieu a prouvé que cette inoculation vous garde du péché. Non seulement cela, mais au matin de Pâques (Béni soit le Nom du Seigneur!), l’inoculation a tenu. Après qu’Il était mort depuis trois jours, et que Son corps se trouvait dans une tombe, l’inoculation avait tenu. Il est ressuscité de la tombe le matin de Pâques, grâce à cette inoculation.

            Tout le monde s’est mis à regarder tout autour, et a dit: «Cette inoculation me semble bonne.» Ça c’est le véritable croyant.

            Alors il a dit: «Je vais vous dire ce que nous allons faire.»

45        Nous voyons qu’il y en avait un qui revenait d’Emmaüs, deux qui étaient en route, un Homme a surgi et a fait route avec eux, et Il leur a parlé toute la journée, Il s’est assis, Il a fait semblant de passer, et Il a accompli quelque chose exactement comme ce qu’Il faisait avant Sa crucifixion, avant Sa mort, ils ont reconnu que c’était le Seigneur qui était ressuscité. «Oh! ont-ils dit, nos coeurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous, lorsque nous nous entretenions avec Lui.»

            Nous Le voyons accomplir des choses exactement comme Il l’avait fait avant Sa résurrection, ou plutôt avant Sa mort. Nous voyons qu’après Sa résurrection, Il a accompli et fait exactement ce qu’Il avait fait avant. Ils ont reconnu que c’était la Résurrection et la Vie. Il est le Seul, le Seul. Il n’y a aucune église; il n’y a aucun ministre, aucun prophète, il n’y a rien qui possède la Vie Eternelle en dehors de Jésus-Christ, et Il est le seul Dispensateur de la Vie Eternelle. «Nul ne peut venir au Père, si ce n’est par Moi», a dit Jésus. Amen.

46        Comment allez-vous Le rencontrer sur base des credos d’une église? Comment allez-vous Le rencontrer sur base des dénominations? Comment allez-vous Le rencontrer sur base des poignées de main et d’aspersions? Vous êtes avisés. Vous devez naître de nouveau. «Venez à Moi vous tous qui êtes fatigués et chargés, et Je vous donnerai du repos.»

            Personne d’autre, personne n’a demandé: «Pourquoi?» Alors cent vingt devinrent candidats à cela. Il a pris cent vingt petits Juifs poltrons, après qu’ils avaient vu tout cela se faire. Ils avaient vu Ses miracles. Ils avaient vu l’inoculation tenir chez Lui. Ils avaient vu que lorsque les gens l’agaçaient, Il ne rendait pas la pareille. Ils avaient vu Sa douceur et Son humilité. Ils avaient vu Sa puissance pour guérir. Ils avaient vu Sa puissance pour ressusciter de la tombe, et malgré tout cela, ils étaient encore des poltrons. Le sérum était là, mais ils ne l’avaient pas encore reçu. Ils sont montés et se sont enfermés dans une chambre éclairée par un vieux petit cierge, une lampe à huile qui brûlait là-haut, et là pendant dix jours et dix nuits, ils ont attendu que le Médecin vienne. Oh! Tout d’un coup, ils ont entendu un bruit comme celui d’un vent impétueux. Voilà venir l’inoculation, et Il a inoculé cent vingt.

            Frère, lorsqu’Il les a inoculés, ils ont pratiquement piqué une crise. Bien, là ils ont fait toutes sortes de scènes, ils ont sauté, dansé, parlé en langues et couru dans les rues, mais ils étaient inoculés. C’est ce dont ils avaient peur; vous avez peur du sérum. Cela vous fera vous comporter d’une manière drôle. Mais, oh! la la! quel sentiment, quelle sécurité cela vous donne lorsque vous êtes inoculé! «Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut même voir le Royaume de Dieu.»

47        Beaucoup de gens ne comprennent pas cela; vous pensez que ces gens sont fous jusqu’à ce que vous expérimentiez une fois cela. Avez-vous déjà vu un homme ivre de l’opium? Eh bien, il peut mettre la main sur l’opium, fumer une pipe d’opium, peu importe combien il est malade ou quoi que ce soit, le monde entier lui appartient tout simplement, c’est tout. Eh bien, l’opium du médecin, c’est une chose du monde, mais Dieu a un opium. D’où tire-t-on l’opium? Du lys. Il était le Lys de la vallée, et on L’a écrasé au Calvaire pour extraire de Lui l’opium. Maintenant, vous apportez une inoculation à chaque nation...?... Oh! Ces gens ne sont pas ivres de vin nouveau; ils ne sont pas ivres de boissons fortes, mais ils sont ivres de ce vin nouveau, la puissance de Dieu, le Saint-Esprit se déversant sur eux d’En Haut. Voilà la manière.

            Vous direz: «Mais, Frère Branham, ça c’était pour ces gens de ce temps-là.» Oh! Non, non, non, non. En ce temps-là, les gens ont dit: «Hommes, frères, comment pouvons-nous être inoculés?»

            Eh bien, ils avaient un médecin dans ce groupe. Savez-vous cela? C’était le docteur Simon Pierre. Oui, monsieur. «Oh! a-t-il dit, il y a beaucoup de baume ici. Je suis maintenant même le médecin.»

            «Donnez-moi votre ordonnance. Que devons-nous faire pour être sauvés?»

            Il a dit: «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse (l’ordonnance) est valable pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera pour être inoculés.»

48        J’ai essayé Son ordonnance. Vous pouvez essayer Son ordonnance. Repentez-vous et soyez baptisé. Croyez au Seigneur Jésus-Christ, et voyez si le Saint-Esprit n’entre pas en vous. Combien de temps durera cette ordonnance? N’allez jamais copier la théorie d’un homme. Si vous le faites, vous aurez des ennuis. Vous serez toujours dans le péché, mais prenez Sa théorie, Son ordonnance, la promesse.

            Eh bien, les gens disent: «Oh! Cette vieille ordonnance était pour une époque reculée.»

            Oh! Non. Docteur Simon Pierre, le médecin que Jésus avait envoyé. Il a dit: «Je te donne les clefs du Royaume. Je te donnerai le–je te donnerai le bol pour y faire le mélange, et mélange un peu de repentance, le baptême d’eau, toutes ces autres choses ensemble, et mélange le tout ensemble, vois, prends-en une bonne dose et vois ce qui en résulte.»

49        Oh! la la! Bien vite, vous parlez du vin nouveau, prenez cela, quelque chose va vous arriver. Oh! Ils étaient... Ils sont allés partout prêcher, le Seigneur travaillait par eux, confirmant la Parole par les miracles qui accompagnaient. Oh! Combien c’est glorieux de savoir cela! Dieu va vous demander au jour du Jugement: «Pourquoi n’avez-vous pas pris l’ordonnance? Elle était écrite ici dans la Bible, en voici la raison, voici le Saint-Esprit.»

            Il ne va pas dire: «Bien, Seigneur, je pensais que c’était...»

            «Mon médecin vous a dit que c’était pour vous, pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, pour tous ceux qui sont malades.» Tous ceux qui sont malades, le baume de la guérison est pour eux. Il y a du Baume en Galaad pour les âmes malades du péché.

50        Ecoutez, mes amis, nous nous sommes dispersés. Vous irez vous joindre aux assemblées, puis, vous irez vous joindre aux unitaires, et ensuite vous irez vous joindre à l’Eglise de Dieu. Ensuite vous irez chez les indépendants, puis chez les méthodistes, vous retournerez chez les baptistes, vous retournerez encore, encore et encore, portant votre lettre d’affiliation. Oubliez cela. Ce dont vous avez besoin, c’est l’inoculation. Eh bien, l’église dont vous faites partie, ne change rien, vous êtes inoculé. Vous êtes né dans l’Eglise du Dieu vivant.

            L’Eglise pentecôtiste a beaucoup de charognards. C’est tout à fait exact. Toutes les églises en ont. Jésus en avait un parmi les douze. Alors, nous ne ferons pas mieux que Lui, j’en suis sûr. Nous... Nous avons sûrement des imitateurs, des acteurs qui essaient de faire comme s’ils avaient quelque chose qu’ils ne possèdent pas. Mais, malgré tout, il y en a qui ont la chose. C’est vrai. Lorsque vous voyez un faux dollar, cela montre qu’il a été fait à partir du vrai dollar.

51        Sondez les Ecritures, mes amis, se joindre à l’église ne suffit pas. Eh bien, se joindre à l’église est une bonne chose. Je crois que toute personne devrait se joindre à une église. Je crois absolument que toute personne devrait se tenir à son poste du devoir, et lorsque leur pasteur ou l’évangéliste ou quelqu’un d’autre est là en train de prêcher, je pense que toute personne devrait se tenir à son poste du devoir. Toute personne devrait soutenir cette église avec tout ce qu’elle a en elle, avec ses dîmes, ses offrandes, par tout ce qu’elle est appelée à faire. Soyez disposé et content, si votre pasteur vous demande de faire quelque chose dans votre église. Vous devriez le faire. C’est une bonne chose. Mais, ne vous arrêtez simplement pas à cette seule chose. Soyez d’abord inoculé. C’est ce que j’essaie de vous dire; cherchez premièrement le Saint-Esprit; ensuite, le reste viendra certainement. Alors, allez vous joindre à tout ce que vous voulez, à n’importe quelle église que vous... de votre choix.

52        Maintenant, cette Bible regorge des trésors. Cette Bible déclare que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Pierre a dit: «La promesse est pour vous, pour vos enfants et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.»

            Jésus a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Jésus a dit: «Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à l’avènement du Fils de l’homme.» Un ministère opérant au travers de la chair humaine, comme vous. Et vous et moi ensemble, nous accomplirons la même chose. Ceci se produira juste avant la Venue de Christ. Tous les prophètes en ont parlé. Les Ecritures s’y rapportent, et tout le reste.

            Ne vous tenez pas à l’écart, en disant: «Eh bien, je me demande.»

            Prenez la Bible. Jésus a dit: «Vous sondez les Ecritures, car en Elles vous pensez avoir la Vie Eternelle, et ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi.» C’est comme cela que vous saurez, en sondant les Ecritures. Le Saint-Esprit est-Il pour vous? Le Saint-Esprit est-Il pour ces gens? Le Saint-Esprit est-Il pour cette génération? La Bible dit qu’Il l’est. Est-ce dans cette génération que les–que les miracles doivent accompagner les croyants? Sondez les Ecritures. Il est dit qu’il en sera ainsi. La pluie de la première et de l’arrière-saison seraient toutes deux déversées dans cette génération.

            «Oui, bien, quelle génération?» Celle qui verra le figuier pousser ses bourgeons, là-bas, Israël retourner pour être une nation. Lorsque toutes ces choses arriveront, alors ces choses se produiront dans l’Eglise. Les voilà.

53        Oh! Vous y êtes, mes amis, et vous ne le savez pas. Vous–vous avez cette occasion. Vous avez entendu cela être prêché. Combien ici voudraient être sincères avec moi, en disant: «Frère Branham, je n’ai pas encore reçu le Saint-Esprit.»? Levez la main. Soyez sincère. Levez simplement la main, dites: «Je n’ai pas encore reçu le Saint-Esprit.»

            Que Dieu vous bénisse, madame. C’est ça. Que Dieu vous bénisse. C’est bon. Que Dieu vous bénisse. C’est juste. Que Dieu vous bénisse. C’est sincère. Vous savez cela. «Je n’ai pas encore reçu le Saint-Esprit.» Bien, vous pouvez Le recevoir. Car la promesse est pour vous.

            Vous direz: «Mais, Frère Branham, je suis presbytérien.»

            Peu m’importe ce que vous êtes. Vous êtes une créature pour laquelle Christ est mort, et la promesse est pour chaque génération, pour toute personne. «Si quelqu’un veut venir, qu’il...»

54        [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... Et je crois qu’elle avait vendu sa maison, elle avait vendu tout ce qu’elle avait, et–et tous ses biens, et elle mourait de faim. Et alors, le–le comté est venu pour enquêter sur le cas. Elle n’était pas aussi avancée en âge pour bénéficier d’une pension de vieillesse, alors, ils sont simplement venus enquêter sur le cas. Et ils... elle a dit... ils ont dit: «Eh bien, madame, n’a–n’avez-vous pas de parents?»

            Elle a dit: «Si, j’ai l’un des plus précieux garçons.»

            «Eh bien, ont-ils dit, où se trouve-t-il?»

            Elle a dit: «Il est en Inde.»

            «Oh! là-bas en Inde, que fait-il là-bas?»

            Elle a dit: «C’est un homme d’affaires.»

            «Un homme d’affaires en Inde?»

            Elle a dit: «Oui.»

            Elle a dit: «C’est mon garçon chéri.» Elle a dit: «C’est un homme d’affaires.»

            Et ils ont dit: «Ne vous envoie-t-il jamais une assistance?»

            Elle a dit: «Non.»

            Ils ont dit: «Ne recevez-vous jamais de ses nouvelles?»

            Elle a dit: «Je reçois toujours de ses nouvelles. Et elle a dit, il m’envoie les plus belles photos que j’aie jamais vues.» Mais elle a dit: «Je–je... il ne m’envoie jamais de l’argent.» Et elle a dit: «Ce pauvre garçon chéri doit être tellement chargé qu’il–qu’il–qu’il ne sait tout simplement pas comment... il ne peut rien m’envoyer, parce qu’il est tellement occupé dans ses affaires, et pourtant, c’est un garçon si doux. Il me dit qu’il est tout simplement en train de prospérer, et–et que tout marche très bien.»

            Elle a dit: «Mais je sais, comme il ne m’envoie pas de l’argent, qu’il n’est pas en mesure de le faire. Mais il m’envoie quelques-unes des plus belles photos.»

            Et cet homme lui a dit: «Eh bien, madame, quel genre de photos est-ce?»

            Elle a dit: «Oh! Je n’en ai perdu aucune. Je les ai toutes.» Elle a dit: «Je les garde dans ma Bible.»

55        Elle est allée, et elle a retiré de sa Bible l’équivalent d’environ cent mille dollars, en billets de banque indiens. Elle ignorait ce que c’était. Ces billets avaient de belles images dessus, mais elle ignorait ce que c’était. Elle était riche, mais elle l’ignorait. Elle trouva ses trésors dans la Bible.

            Et, frère, permettez-moi de vous dire quelque chose ce soir. Cette femme avait à manger, elle avait des vêtements à porter, elle était riche, mais elle ignorait cela. Et ce soir, vous êtes riche, mais vous l’ignorez. Ici dans cette Bible, il se peut que cela soit caché à vos yeux, que Dieu a écrit des promesses ici qui vous rendront riche dans l’esprit, riche quant à la vie. Oh! Cela fera pour vous des choses que vous ne pensiez jamais qu’elles se feraient. Eh bien, ça se trouve ici, pourquoi ne pas y jeter un coup d’oeil et les réclamer? Elles sont à vous.

            Chaque promesse dans le Livre est mienne,

            Chaque chapitre, chaque verset, chaque ligne.

            Je crois en Son amour divin,

            Car chaque promesse dans le Livre est mienne.

            Que tout celui qui veut venir vienne et boive des fontaines des eaux gratuitement, puis, il nous sera demandé la raison. Qu’en sera-t-il alors? Avez-vous déjà entendu ce vieux cantique?

            Qu’en sera-t-il alors? Qu’en sera-t-il alors?

            Lorsque le dernier sceau est ouvert. Qu’en sera-t-il alors?

            Lorsqu’à ceux qui rejettent le message...

            Il sera demandé la raison. Qu’en sera-t-il alors?

56        Un jour, la trompette sonnera pour la dernière fois. La Bible sera fermée et posée sur la chaire. L’acteur jouera le dernier acte. Le soleil se couchera à l’ouest, les armes seront rassemblées pour la dernière fois, et ensuite, il nous sera demandé des comptes pour ce que nous aurons fait de ces trésors qui nous ont été envoyés. C’est un Livre des trésors. Inclinons la tête alors que nous pensons à cela.

57        Notre Père céleste, les ri-... richesses de Dieu nous sont envoyées au travers d’une lettre, le Message de la Bible, disant que le Saint-Esprit a été ordonné par Dieu, notre Père, au travers du Sang de Son Fils Jésus, pour nous apporter ce Message. Il est un témoin fidèle de Christ, car il est écrit: «Lorsqu’Il (le Saint-Esprit) viendra, Il vous rappellera ces choses qui sont écrites ici, il vous rappellera que vous possédez des richesses et des trésors qui ne sont pas décrits dans les pages de ce Livre.»

            Non seulement cela, mais il vous montrera les choses à venir. Et les oeuvres que Christ a accomplies, Il a dit que le Saint-Esprit les accomplira en nous. Nous sommes si heureux de savoir que ces choses sont vraies. Maintenant, Tu as dit, et il est écrit dans la Bible: «A tous ceux qui ont cru en Lui, Il a donné le pouvoir de devenir des fils et des filles de Dieu.»

58        Maintenant, je Te prie ce soir, Père, de donner la puissance à ces gens, qui n’ont pas reçu le Saint-Esprit ou à ceux qui sont ici et qui, peut-être, ne sont même pas sauvés; ce soir, qu’ils puissent accepter le Message qui se trouve dans la Bible, comme Pierre l’avait dit le jour de la Pentecôte: «La promesse est pour vous et pour vos enfants.» L’ordonnance, je l’ai établie comme telle, Père. L’ordonnance sera valable pour chaque génération, et pour tout celui qui a le droit de la recevoir.

            Maintenant, Dieu notre Père, je prie que Ta grâce et Ta miséricorde accomplissent et manifestent cette Parole. Que chacune de ces personnes ici reçoive ce pour quoi elle est venue ce soir. Que personne ne sorte d’ici sans avoir été complètement guéri de sa maladie, de son affection et du péché de son âme, de l’incrédulité, de sa superstition, et qu’ils retournent vers leurs églises pour être des meilleurs membres de cette église, plus que jamais auparavant, afin qu’eux aussi puissent répandre la lumière, à savoir qu’il y a la Vie Eternelle dans le Nom de Jésus-Christ. Accorde-le, Père. Amen.

59        Le glorieux... [Une femme parle en langue dans l’assemblée, et une autre donne l’interprétation.–N.D.E.]

            Maintenant, ce message qui vient juste de sortir, était pour une certaine personne, cela n’était pas adressé à toute l’église. C’était destiné à une personne. Il y a quelqu’un... Vous–vous allez sentir cela, vous le saurez.

60        Le Saint-Esprit est présent. Maintenant, je vous apprécie vous les gens, et comment certains parmi vous, vous évoluez sous un bon enseignement. J’ai remarqué, bien des fois, lorsque le Saint-Esprit apporte un message, parfois les gens savent... Vous vous sentez très bien avec le message qui est sur votre coeur, mais avez-vous remarqué comment les choses étaient en ordre chaque soir? Vous voyez? Ils n’ont jamais interrompu le message, parce que si le message est donné sous l’onction à l’estrade, les gens doivent se tenir tranquilles. Eh bien, l’esprit des prophètes est soumis au prophète. Vous voyez? Et ensuite, après que le message est fini, avez-vous vu le Saint-Esprit parler, donner l’interprétation? Voyez? Voyez? C’est très exactement conforme aux Ecritures et c’est en ordre. C’est de cette manière que le Saint-Esprit, Dieu a permis que ça se passe.

61        Maintenant, quelqu’un ici ressent les effets de ce message. Maintenant, pendant que vous attendez un instant. Pendant que je... Vous voyez, il n’y a pas... Je sais que c’est en ordre, et je crois dans les appels à l’autel, les gens qui s’avancent et confessent et ainsi de suite comme cela. Mais dans les Ecritures, il est dit que c’étaient tous ceux qui crurent en Lui. Vous voyez? Tous ceux qui crurent. Il pourrait s’agir de quelqu’un ici qui s’arrête à mi-chemin en cherchant le Saint-Esprit, qui court partout, ou d’un pécheur qui ne connaît pas Dieu, et qui est peut-être allé et a essayé trois ou quatre fois, et qui n’a pas... qui est pour ainsi dire indifférent. Ce message est en train de pénétrer droit dans leurs coeurs en ce moment même, qui que ce soit. Ceci pourrait être votre heure.

            Maintenant, le Saint-Esprit donne Ses messages, Il est à l’oeuvre, il fait les oeuvres que Dieu avait ordonnées d’avance pour être accomplies.

62        Maintenant, combien ici sont malades et dans le besoin? Levez la main et dites: «Je suis dans le besoin. Je lève mes mains vers Dieu. Je désire être guéri physiquement de mes maladies.» Très bien. Que le Seigneur vous bénisse.

            Maintenant, afin que vous soyez donc sur. Maintenant, je ne sens pas cela ici ce soir, mais bien des fois, j’ai senti cela, lorsque les gens pensent que vous êtes en train de lire leurs pensées, que vous faites de la lecture des pensées. Lorsque vous regardez quelqu’un sur l’estrade et que vous leur parlez. Vous voyez? Mais, quiconque connaît un principe de la lecture des pensées sait que c’est faux. Quiconque connaît la psychologie sait que c’est faux. Vous voyez? Or, souvenez-vous que les deux esprits sont si proches que cela pourrait séduire même les élus. Comme Jannès et Jambrès s’opposèrent à Moïse, ces perceptions extra-sensorielles. Vous voyez? Maintenant, mais vous voyez qu’il y a beaucoup de choses qui se passent dans le monde aujourd’hui sous le nom... mais il y a...

            Vous voyez, personne ne peut jamais prendre la photo d’un fantôme. Cela n’existe pas. Vous voyez? Mais l’Ange du Seigneur, on a Sa photo; vous l’avez ici. Bien des fois, bien des fois, que de fois, les choses que Dieu fait durent (vous voyez?), afin que vous sachiez que c’est l’Esprit de Dieu.

63        Maintenant, la Bible dit, eh bien, voyons: «Ce qui arriva du temps de Sodome», arrêtons-nous sur cela. Bien souvent, il s’agit simplement de toucher Son vêtement. Faisons un... pensons ceci: «Seigneur, pour les malades, accorde que ce soir soit pour nous comme au temps de Sodome, où l’Ange de Dieu qui était dans cette chair avait donné un signe à Abraham pour montrer que l’heure était proche, que Sodome (le monde) allait être détruite.» Combien se souviennent de ce récit? Vous vous en souvenez sûrement dans la Genèse.

            Maintenant, Jésus, dans le Nouveau Testament, a dit: «Juste avant le temps de la fin, la Venue du Fils de l’homme, cette même chose se répéterait. Ce qui arriva à Sodome, arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.» Vous voyez?

64        Maintenant, j’aimerais que vous qui êtes malades là-bas... Eh bien, je sais qu’il y a certaines personnes assises ici ce soir que je connais. Il s’agit de frère Williams qui est assis juste ici. Et–et ces trois hommes assis juste ici, je les connais. Ces trois hommes qui viennent de l’Arkansas, qui sont juste ici. Ces trois hommes. En dehors d’eux, il y a frère Gene Goad qui est assis ici; en fait, lui et frère Léo sont mes associés. Mais, là-bas, aussi loin que je puisse voir, c’est difficile. N’importe lequel de ces ministres vous le dira, que c’est même difficile de reconnaître quelqu’un là-bas (vous voyez?) à partir d’ici. Mais prions, et demandons simplement au Seigneur de bien vouloir nous aider et nous accorder Sa miséricorde.

            Maintenant, les cartes de prière, nous n’en avons pas, parce qu’on a... Nous les avons ramassées, et on ne... nous ne... et distribuer... Et, vendredi soir, il y aura encore une ligne de prière pour tout le monde. Nous allons distribuer un bon nombre de cartes de prière. Tout celui qui en veut, amenez-le carrément dans la ligne, comme nous l’avons fait l’autre soir. Vous voyez? Donc, nous prions pour tout le monde. Mais maintenant, vous n’avez pas besoin de cette carte de prière. Vous n’en avez pas besoin. La seule chose qu’il vous faut, c’est avoir la foi, que je vous ai dit la vérité.

65        Dieu... lorsqu’Il a dit à Samarie, lorsque cette femme a reçu ce signe, qu’allaient faire les gens s’ils n’y croyaient pas? Qu’allaient faire les Juifs lorsque Nathanaël a dit: «Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.»

            Il a dit: «Parce que Je t’ai dit où tu étais, ou que j’ai dit à Pierre qui il était et ainsi de suite, tu crois.» Vous voyez? «Alors tu verras de plus grandes choses que celles-ci.»

            Et vous qui croyez dans Son Message, et dans Son Esprit aujourd’hui, vous verrez de plus grandes choses, parce que vous verrez la Résurrection un jour, et vous verrez le Seigneur Jésus.

66        Maintenant, je vais vous tourner le dos pendant que vous priez. Je vais m’adresser à frère duPlessis. J’aimerais juste... c’est en ordre, vous êtes...?... Vous avez eu une belle réunion là-bas.

            Je regarde frère McAnally qui est assis ici derrière. Un vieil ami. Il y... je suis... A vous, en tant que ministres, j’aimerais juste dire une chose à l’instant. Regardez. Quelqu’un dans cet auditoire entre en contact avec le Saint-Esprit, derrière moi. Derrière par ici. Afin que vous sachiez... Maintenant, j’aimerais que chaque malade soit en prière. Vous tous qui êtes malades, priez. Maintenant, je peux... Je sens dans ma propre constitution que le Saint-Esprit... que quelqu’un est en train de Le toucher. Oui, il y en a beaucoup maintenant.

67        Il y a une femme assise dans cette direction, juste ici, par ici, qui vient d’entrer en contact avec le Saint-Esprit. Elle souffre d’une maladie du coeur. Elle est assise juste par là. Elle a des ennuis lorsqu’elle consomme du sel dans sa nourriture et ainsi de suite. Croyez-vous de tout votre coeur, madame? Tenez-vous debout. C’est vrai, n’est-ce pas? Eh bien, c’est terminé maintenant. Vous pouvez rentrer chez vous, être bien portante. Dites-moi ce qu’elle a touché? Qu’a-t-elle touché? Le Saint-Esprit. Croyez-vous maintenant? Si tu peux croire.

            Je vais de nouveau tourner mon dos à l’assistance. Priez. Voyez, voyez, frère, vous n’avez pas besoin de regarder les gens.

            Je vois une femme debout ici maintenant, elle prie. Elle porte des lunettes, et elle prie pour ses yeux. Oui, parce qu’ils s’affaiblissent. La voici assise juste ici. Juste ici derrière, elle porte des lunettes. Elle a été guérie une fois auparavant dans mes réunions. C’est vrai. C’est vrai. Maintenant, vous... C’est vrai, c’est le problème pour lequel elle prie. Très bien. Maintenant, vous pouvez rentrer chez vous, croyez de tout votre coeur, et soyez guérie.

68        Maintenant, je regarde dans cette direction. Il y a un homme assis ici en train de prier, mais, il ne s’agit pas de cet homme. Il y a un autre homme qui se tient ici devant moi... Il ne... Si je peux le voir, il souffre d’une bronchite dans la gorge. Il est assis tout au fond, il porte une chemise de couleur rougeâtre, il prie. C’est vous, monsieur. Eh bien, croyez-vous maintenant au Seigneur Jésus-Christ? Vous le devez. Très bien, vous pouvez rentrer chez vous et portez-vous bien maintenant, monsieur. Votre foi vous rétablit. Ayez foi en Dieu.

            Cette dame qui est assise juste ici, elle aussi avait la même chose, la bronchite et autres; elle est assise là. Madame Metsine ou quelque chose comme cela? Vous voulez... Vous croyez? C’est cela votre nom. Très bien, tenez-vous debout. Je ne vous connais pas, n’est-ce pas? C’est juste. Si c’est de vous qu’il s’agit, c’est cela votre problème. Votre foi vous a guérie. Rentrez chez vous.

69        Croyez-vous de tout votre coeur? Qu’en est-il de quelqu’un au fond de ce côté maintenant? Priez.

            Père, c’est Toi... ça doit être Toi, parce que l’Ange du Seigneur avait le dos tourné à la tente. Qu’il soit connu que Tu es toujours le même Dieu, qu’ils peuvent Te toucher, juste... que Tu connais toute chose.

            Je regarde un homme, et il est... il m’a l’air d’un Espagnol. Et il a quelque chose qui ne va pas dans son côté; il a absorbé un poison dans son corps, qui provient d’un travail qu’il fait. Il a aussi... il a un message sur son coeur ou quelque chose sur son coeur. Il désire prêcher. Il compatit avec les malades et les affligés, spécialement ceux qui sont dans les hôpitaux. Son nom est monsieur Lee. Si vous voulez croire de tout votre coeur, Monsieur Lee, vous y êtes. Jésus-Christ vous donne ce que vous demandez. Voyez-vous, voyez-vous? Je ne vous connais pas. Est-ce vrai, monsieur? Je suis un inconnu pour vous. C’est vrai. Partez, recevez maintenant ce que vous avez demandé. Jésus-Christ vous guérit.

70        Partout dans la salle, croyez-vous que Sa Présence est ici? Croyez-vous que c’est l’Ange du Seigneur? Maintenant, voici la Parole, voici la promesse; voici une réaction à cela; voici une promesse accomplie. Maintenant, combien veulent être sauvés et être remplis du Saint-Esprit? Venez maintenant vous tenir ici juste une minute. Si vous êtes réellement intéressé et que vous voulez avoir le Saint-Esprit, vous voulez être sauvé, venez ici maintenant et tenez-vous tout près de l’autel. Que Dieu vous bénisse. Avancez. Si vous voulez venir, peu m’importe qui vous êtes, venez juste ici. C’est le moment de mettre les choses en ordre. Ensuite, nous allons prier pour les malades, tout comme pour les autres, mais, je me suis senti arrêté par l’Esprit, cela suffit. Si c’était ces trois, n’était-ce pas... Oh! C’était plus que trois, n’est-ce pas? Trois, c’est une confirmation. C’est de cette manière que j’aime voir les gens venir, sans qu’il y ait eu un appel à l’autel, vous savez, aucun–aucun cantique ni rien, juste se lever et dire: «Je suis–je suis conscient que Dieu est présent. Je viens. Je viens parce que je–je suis conscient de la Présence de Dieu. Je veux être en ordre. On m’en demandera la raison un jour, et je viens maintenant confesser ma foi en Dieu, et je crois que je vais recevoir cela à l’instant même.»

71        Ne doutez pas. N’ayez pas de doute maintenant, si vous doutez un peu de recevoir ce pour quoi vous êtes venu, cela ne vous fera aucun bien. Voyez? Vous devez venir en croyant. Mais, à l’instant même, dans la Présence de Dieu, dans la Présence du Saint-Esprit, qui est ici afin de confirmer la Parole, venez parce que vous savez qu’Il est ici et que vous savez qu’Il va vous accorder le désir de votre coeur. C’est ce pour quoi Il est ici, c’est afin de vous accorder le désir de votre coeur. Voulez-vous venir? C’est bon. C’est bien. C’est juste. Je vais attendre juste une seconde de plus pour voir ce que le Saint-Esprit fera, tout celui qu’Il appellera. Vous voyez? Mon ami, il me semble que si vous étiez ici sans éprouver le moindre doute...

            Maintenant, souvenez-vous, je vous regarderai, et vous me regarderez un jour pour la dernière fois. Et la prochaine fois que vous me verrez et que je vous verrai, ce sera dans la Présence de Dieu, alors, il n’y aura plus aucune autre chance. Vous n’en avez qu’une seule, c’est celle-ci. Et si vous éprouvez le moindre doute au sujet de votre expérience, ou si vous n’êtes pas du tout un chrétien, ou que vous doutez de votre expérience, pourquoi ne venez-vous pas maintenant? Voyez? Si un ennemi, comme j’ai parlé hier soir du trop grand nombre de voix, si l’ennemi essaie de dire: «Tu es trop fatigué, oh! tu ne pourras recevoir cela.» Dites-lui qu’il est un menteur. Dites-lui que vous l’aurez ce soir. «Et je viens et je vais–je vais me résoudre à recevoir cela ce soir.» C’est ce qu’il faut faire.

72        Maintenant, combien de ministres du Plein Evangile sont ici, ou de ministres presbytériens, baptistes, quoi que vous soyez, ceux qui croient que ces gens peuvent recevoir le baptême du Saint-Esprit aujourd’hui, comme les gens L’ont reçu autrefois là, et que l’ordonnance est pour eux? Levez la main, les ministres. Je sais que vous vous intéressez aux âmes. Venez vous tenir ici avec eux maintenant afin que vous puissiez m’aider à leur imposer les mains. Venez carrément. Tenez-vous juste le long là et imposez-leur les mains. C’est bon.

            Eh bien, qu’est-ce que je vous disais? N’y a-t-il point de baume en Galaad? Bien sûr. N’y a-t-il point de médecin, là? Regardez les médecins venir. Ces médecins de la Parole, ils croient certainement cela. Regardez-les. N’est-ce pas merveilleux? Regardez les ministres, ici dans cette petite foule de gens de trois cents ou quatre cents personnes ici ce soir, regardez ces ministres: Vingt, trente, quarante ministres se tiennent ici, des ministres qui croient cela. Eh bien, vous–vous les médecins des Ecritures, rédigez-vous–prescrivez-vous l’ordonnance qui a été donnée au jour de la Pentecôte? Prescrivez-vous cela? Bien sûr, c’est un double remède, un double remède.

            Rocher d’âges, fendu pour moi, (Venez ici...?...)

            Laisse-moi me cacher en Toi;

            [Frère Branham fredonne.–N.D.E.]

            Etre le double remède pour le péché [Frère Branham fredonne.]

            Avec nos têtes inclinées maintenant, calmement.

            Rocher d’âges, fendu pour moi...

73        Oh! À l’heure de votre mort, à l’heure de votre mort, combien vous désirerez entendre cela!

            Puissent l’eau et le sang

            Qui coulèrent des Tes plaies,

            Etre un double remède pour le péché,

            Me garder de la colère et me rendre pur.

            Vous êtes maintenant ici afin de mourir. La seule façon que vous puissiez naître de nouveau, c’est de mourir premièrement, afin que vous puissiez naître de nouveau. Nous allons offrir une prière pour vous...?...

74        Maintenant, notre Père céleste, je T’amène ces gens doucement et humblement au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus, pour être certain que ma prière est offerte pour eux. Pour être sûr que j’ai fait de mon mieux pour qu’ils Te reçoivent, étant donné que Tu as été tellement bon pour prendre nos vieux corps frêles, et laisser le Saint-Esprit parler à travers ceux-ci, cela requiert certainement la grâce sanctifiante de Dieu pour le faire. En effet, nous sommes des pécheurs et sans aucune valeur du tout, mais le Saint-Esprit a pris le Sang de Jésus et a purifié nos coeurs, et sanctifiés nos lèvres comme Tu le fis avec le prophète à l’autel. Et maintenant, la Parole de Dieu, la Parole parlée de Dieu se déverse afin de confirmer Sa Présence à cette génération, avant qu’elle entre dans l’éternité pour rendre des comptes.

            Beaucoup de gens sont venus ce soir autour de cet autel afin de recevoir le Saint-Esprit. Dieu notre Père, nous prions qu’aucun d’entre eux ne quitte ici jusqu’à ce qu’il soit rempli du Saint-Esprit. Que chacun d’eux soit rempli de la Puissance de la résurrection de Christ. Accorde-le, Seigneur. Et que les malades et les affligés qui sont ici soient guéris. Quel que soit le problème des malades et des affligés, que la puissance de Dieu vienne et guérisse chacun d’eux. Je T’offre cette prière sincèrement, de tout mon coeur, au Nom de Jésus et pour Sa gloire.

75        Je–j’aimerais que les ministres approchent tout près maintenant, et leur impose les mains. Maintenant, frères... Frère David et vous les frères, descendez carrément ici le long de l’autel. Maintenant, il n’y a pas lieu de jouer avec ceci; il n’y a pas du tout lieu de le faire. Vous êtes ici pour recevoir le Saint-Esprit, n’est-ce pas? Le voulez-vous, Le voulez-vous réellement? Bien, maintenant, c’est pour vous. Très bien, si vous n’avez jamais reçu le baptême chrétien, allez-vous promettre à Dieu que vous allez vous faire baptiser si vous ne l’avez pas encore fait? Allez-vous promettre à Dieu que vous allez Le laisser vous utiliser de toutes les façons, peu importe les circonstances, vous allez Le prendre au mot pour cela?

            Maintenant, combien de croyants y a-t-il dans cette salle? S’ils vont recevoir le Saint-Esprit, levez la main pour dire que vous croyez qu’ils vont recevoir cela? Levez la main.

76        A présent, je vais demander au pasteur qui est ici de conduire cette prière, car il est probablement plus ancien que moi dans la Pentecôte, et j’aimerais que chacun de vous les pasteurs qui êtes ici, vous les prédicateurs, les évangélistes, qui que vous soyez, vous les membres, que nous priions tous d’un commun accord pendant que le frère nous conduit. Et j’aimerais que chacun de vous prie maintenant. J’aimerais que vous priiez et croyiez que vous allez Le recevoir maintenant.

            Très bien. Inclinons la tête [Le frère prie, et frère Branham appuie la prière.–N.D.E.] Ô Dieu. Oui, Seigneur. Oui. Remplis-les du Saint-Esprit maintenant même. Accorde-le, Seigneur. Viens, Seigneur. Oui. Accorde-le, Seigneur. Déverse Ton Esprit, Seigneur. Que le Baume de Galaad soit répandu dans...

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