Pourquoi?

Date: 61-0125 | La durée est de: 1 heure et 35 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, frère. Vous pouvez vous asseoir. Non, je... Ma femme a dit: «Bill, je t’ai envié un peu concernant ces réunions, de pouvoir aller au Texas où il fait tout ce beau temps.»

            Et il n’y a pas longtemps, je l’ai appelée au téléphone. J’ai dit: «Vous avez quelle température?»

            Elle a dit: «Il ne fait pas tellement froid. Il fait environ zéro degré. Mais qu’en est-il de vous là-bas?»

            J’ai dit: «Oh! la pluie et la neige fondue ne cessent de tomber aussi abondamment que possible.» J’ai dit: «L’été est certainement allé passer ses vacances à l’ouest.» L’été a sûrement quitté le–le Sud du Texas, n’est-ce pas? Je vois que nous allons rouler demain sur des routes glissantes à cause de la pluie, et nous sollicitons donc vos prières.

            Et je ne m’attendais pas à voir les gens sortir de chez eux. Je pensais que tout le Texas avait peur du mauvais temps, mais je vois que certains d’entre eux n’en ont pas peur. Alors–alors, nous sommes heureux que vous soyez ici ce soir, et nous sommes heureux d’avoir eu ce... Vous nous avez présenté cette très belle réunion, l’une des plus belles réunions que nous ayons eues depuis des années, votre bienveillance et votre coopération. J’aimerais remercier ces pasteurs, et chacun de vous, pour votre bonne coopération. Je n’ai pas pu prendre le dîner avec vous, j’ai juste pris un petit déjeuner avec vous tous. Mais, j’aimerais me rendre chez vous pour voir combien votre femme sait préparer du gruau de maïs et de petits pains, et oh! la la! j’imagine que ce serait merveilleux, que ce serait fantastique. J’apprécie votre petite organiste ici, qui a été très gentille, qui nous a aidés, vous tous.

2          Et j’ai appris qu’on a prélevé une offrande d’amour dans le–pour le–pour moi. Toutes les dépenses ont-elles été couvertes, frères? Si ce n’est pas le cas, affectez carrément cela aux dépenses. Voyez? Et si tout est réglé et qu’il n’y a plus aucun besoin particulier pour cela, je mettrai cela dans l’oeuvre du Seigneur, comme je continue à voyager. Que Dieu vous bénisse à jamais. Et je crois qu’il est dit dans les Ecritures: «Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de Mes frères, c’est à Moi que vous les avez faites.» Alors, je suis ce plus petit-là. C’est donc à Lui que vous l’avez fait. (Voyez?) [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... que vous avez fait. Je sais que c’est une partie de votre substance que vous partagez avec moi pour l’Evangile. Je prie que Dieu vous bénisse très richement. Et lorsque cette vie ici sera finie, que vous soyez récompensés de l’autre côté, si cela ne se fait pas ici; que vous soyez récompensés au centuple ici, et de l’autre côté la Vie Eternelle.

3          Votre foi a été formidable, la manière dont vous vous êtes réunis et avez mis votre foi en action, en unissant votre foi. N’eût été cette foi, cette réunion n’aurait pas pu être ce qu’elle est. Mais c’est parce que vous avez cru et que vous croyez avec moi. Et je–j’apprécie cela. J’ai dit à mes frères et aux amis qui m’ont appelé de différents coins de ce pays que c’était formidable, la manière dont les gens, ici à Beaumont, ont certainement soutenu les réunions par leur foi et leur prière et ont apporté leur assistance.

            Il ne fait aucun doute que lorsque quelque chose fait une petite–une petite histoire, ou tout juste quelque chose d’inhabituel, vous en avez le pour et le contre. Vous avez le–le bien et le mal. Vous devez avoir la nuit pour apprécier le jour. Vous devez avoir le mauvais temps pour apprécier le beau temps. C’est ainsi que la vie est faite. Vous devez avoir de mauvaises personnes pour mettre en évidence les bonnes personnes. Et ainsi, vous devez avoir le faux pour qu’il y ait le vrai. Je ne dis pas ceci parce qu’on m’a demandé de le dire; je le dis parce que cela vient de mon coeur.

4          Et j’aimerais vous dire, à tous, à vous les églises; je n’aimerais pas que vous vous mettiez à penser que j’étais une–une personne qui cherche à être en désaccord avec toutes les églises, et qui dit: «Elles sont toutes dans l’erreur, et moi seul, je suis dans le vrai.» Si c’est là l’impression que j’ai donnée, pardonnez-moi. Ce n’est pas ce que je voulais dire. Mais je veux dire qu’il n’existe pas d’organisation dans le monde (je ne crois pas), une religion chrétienne dans laquelle il n’y pas de bonnes personnes, dans laquelle il n’y a pas le peuple de Dieu.

            Je suis en désaccord avec les organisations, je... parce que l’organisation... Maintenant, suivez attentivement. Si l’organisation disait: «Nous croyons ceci», avec une virgule, ce serait très bien. Mais si elle disait: «Nous croyons ceci, point», c’est absolument faux. Voyez, voyez? Si vous terminez votre doctrine par une virgule, disant: «Nous croyons ceci, plus tout ce que Dieu veut y ajouter»... mais lorsque vous dites: «Nous croyons ceci, point, et c’est tout», alors vous avez carrément exclu Dieu de cela. Voyez? Et c’est ce que font les organisations. Elles terminent cela par un–par un point.

5          Eh bien, c’est ce qui se passe. Un de nos frères, parce qu’il avait prié pendant des années, et il avait prié pour que je vienne ici... Et je veux vous dire comment le Seigneur a procédé. J’avais de grandes piles d’invitations provenant du monde entier. Le premier de chaque année, je mets ensemble toutes mes invitations des réunions de réveil en Amérique, et puis, toutes mes invitations d’outre-mer. Je commence la semaine de Noël et nous prions là-dessus toute la semaine, parce que bien souvent, nous sommes à la maison pendant cette période-là. Et–et ainsi, nous avons prié là-dessus. Et immédiatement, mon attention a été attirée par le Texas, Houston–ou non pas Houston mais Beaumont. Et alors, dans... J’ai dit: «Avez-vous une invitation provenant de Beaumont?» Le secrétaire m’a apporté l’invitation, il y en avait plusieurs, et j’ai dit: «Voyons voir.» Et j’ai juste tiré une invitation comme cela, je l’ai mise... J’en ai tiré une seule et j’ai vu le nom de ce petit pasteur. J’ai dit: «Contactez-le.» Voyez-vous, juste «contactez frère...»

6          Et alors, ce frère, avec de bonnes intentions, sans aucun mauvais sentiment... Et s’il y a des hommes d’Etat ici, des anciens, ou que sais-je encore, frères, ne faites pas quelque chose de mal que vous regretterez plus tard. Voyez-vous, voyez-vous? Soyez un chrétien; soyez un gentleman. Ce petit frère ne voulait pas se montrer méchant. Il essayait tout simplement de suivre les instructions et il était reconnaissant pour l’exaucement d’une prière. C’est tout, il était tout simplement reconnaissant que Dieu ait exaucé sa prière. Il ne voulait pas se montrer méchant, et il... Je ne pense pas qu’il le soit. C’est un brave frère, un bon et doux frère.

            Et puis, lorsque ce brave frère, l’un des... Il est membre des Eglises pentecôtistes unies, ce que les gens appellent «les unitaires». Et quelques frères qui croyaient à la trinité sont venus. Son coeur désirait vivement communier, et lorsque son frère trinitaire est venu, ce qu’il... Il n’y a rien à faire sinon passer le bras autour de lui. Eh bien, frères, si vous excommuniez un homme de vos assemblées pour cela, que Dieu ait pitié de votre âme pécheresse. Quand j’en arrive au point, ou plutôt quand une organisation ne peut pas tendre les bras et accueillir un frère qui vient de n’importe où, que Dieu ait pitié de vous.

7          Vous les frères membres des Assemblées, et vous de l’Eglise de Dieu, vous les Foursquares, et vous tous, je suis sûr que vous pouvez apprécier la position que ce veillant frère a prise comme cela. Je suis sûr que vous apprécierez cela, vous les frères des Assemblées, vous les Foursquares, vous de l’Eglise de Dieu et vous les frères qui croyez à la trinité. Ce frère a ouvert son coeur. Il n’avait pas le courage de dire: «Ne venez pas», puisqu’il vous aime. Maintenant, alors qu’il est à son poste au moment où il est abattu, devant travailler dur, et il a compté sur cela tout le temps, même si quelque chose devrait arriver et que les frères le chassaient de l’organisation parce qu’il a communié avec vous, souvenez-vous-en.

            Communiez les uns avec les autres, et oubliez vos petites différences, et soyez des frères les uns avec les autres et réconfortez-le. Prêtez-lui main forte, donnez-lui une petite tape dans le dos, dites: «Allons, frère, nous sommes bien ensemble.» C’est ce qu’il faut faire. C’est ce qu’il faut faire. Vous ne verrez qu’une seule chose, frère: les critiques ne feront que vous causer des ennuis. C’est vrai. Ne découragez personne; relevez-le.

8          J’aimerais raconter une petite histoire sur ceci, qui me vient maintenant même à l’esprit. Il n’y a pas beaucoup des gens ici pour qui prier ce soir, nous avons alors suffisamment de temps pour parler. Nous allons prier pour les malades, et je vais vous donner mon petit message d’adieu. Et j’aimerais dire que... Cela fait quelque temps lorsque je me trouvais dans l’Ohio. Nous tenions une grande réunion. Cela fait environ quatre ou cinq ans, peut-être six. Et les réunions pesaient tellement que j’ai dû aller dans la campagne. Le petit motel ou plutôt l’hôtel où je restais, il y avait tant de gens tout autour que je me suis retiré à la campagne. Et je jeûnais pour que quelque chose de spécial se produise, quelque chose qui gagnerait les coeurs des gens. Vous savez, parfois quand nous prions pour les autres, c’est nous qui recevons souvent de l’aide, quand vous priez pour les autres. C’est comme la nuit, lorsque je dis: «Imposez-vous les mains les uns aux autres, ne priez pas pour vous-même, mais, priez pour l’autre. Lui, il priera pour vous.» La Bible dit: «Confessez vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres.» C’est ce que nous devons faire. Que les baptistes prient pour les méthodistes, que les méthodistes prient pour les baptistes, que les unitaires prient pour les binitaires, que les binitaires prient pour les binitaires, les trinitaires et les quatritaires. Prions tous l’un pour l’autre, afin que notre foi dans cette glorieuse Personne que nous aimons tous, Jésus-Christ, ne faillisse point.

9          Eh bien, je suis donc allé à la campagne, à environ trois miles [4,82 km] en dehors de la ville. Et alors, nous étions–nous prenions notre dîner dans un petit restaurant Dunkard, où le... Je pense que c’étaient de mennonites. Et c’était un aimable groupe de gens qui croient dans la sainteté. Et ces petites dames avaient une tenue décente et propre à des saintes, avec leur petit–leurs vêtements qui leur allaient bien, et de longs cheveux, et elles étaient d’une propreté exemplaire. J’aimais vraiment manger là-bas. Et ils assistaient à mes réunions, et nous avons passé un moment merveilleux. Alors, le dimanche ils avaient fermé le petit restaurant. Ils étaient allés à la réunion. Et le dimanche particulièrement, ils n’ouvraient pas le restaurant.

            Alors, j’observais un jeûne depuis deux ou trois jours, et j’allais juste prêcher cet après-midi-là. J’ai pensé: «Eh bien, il me semble...» Vous n’avez pas du tout besoin de jeûner à moins que vous soyez conduit à le faire. Si donc vous avez faim, c’est le moment de manger. «Après Jésus eut faim.» Comme disent ceux qui observent un jeûne, ils disent: «Je vais observer un jeûne de quarante jours», et les fausses dents tombent et ils perdent du poids et... Oh! la la! vous feriez mieux d’arrêter. Concernant ces choses, attendez que Dieu vous conduise à faire cela. Soyez conduit par l’Esprit.

10        J’ai vu des gens qui avaient jeûné après qu’un certain livre avait été écrit et publié sur le jeûne, des gens qui sont venus dans ma ligne de prière: des femmes enceintes, et tout comme cela, sont venues dans ma ligne de prière, elles avaient perdu la–perdue la raison, elles sont venues–à cause de cela elles avaient été admises dans des asiles d’aliénés. Voyez? Bien sûr, vous ne pouvez pas faire cela juste parce que quelqu’un d’autre l’a fait, cela ne signifie pas que vous êtes censé le faire. Laissez Dieu vous conduire à faire ce que vous faites.

            Si vous êtes conduit, lorsque vous avez faim, c’est le moment de manger. Lorsque Dieu vous conduit dans un jeûne, vous n’aurez pas faim. C’est Dieu qui traite avec vous. «Après Jésus eut faim.» Voyez? Après que Son jeûne fut terminé, Il eut faim. Mais... Alors de toute façon, laissez cela... Jugez-en vous-même, je suis... Votre pasteur est plus apte–il est mieux placé pour vous dire ces choses. Si j’ai dit quelque chose de mal, ou... pardonnez-moi.

11        Et de toute façon, j’observais un jeûne de deux ou plutôt de trois jours, ce qui est le plus long jeûne que je puisse jamais observer, parce que je me déplace beaucoup. Ainsi donc, je pensais: «Eh bien, je vais juste prêcher cet après-midi, alors, je vais juste... Je vais aller me chercher un sandwich.» Et je pensai: «Oh! oh! ils ont fermé.» Et de l’autre côté de la rue il y avait un–juste un vieux petit restaurant ordinaire, typique, américain. Eh bien, je m’y suis simplement rendu discrètement alors qu’on tenait les préliminaires. Je pensai: «Je vais juste me procurer un hamburger et cela va enlever les rides en quelque sorte afin que je puisse... Ce soir, je vais manger après la réunion.»

12        Ainsi donc, j’ai pris mon... Je suis allé chercher un hamburger. Et je suis entré dans ce restaurant. Et lorsque je suis entré dans ce restaurant, rien qu’à l’atmosphère, vous pouviez savoir que vous n’étiez pas parmi les croyants. A ma gauche, il y avait quelques machines à sou, et un policier se tenait là, avec son... d’à peu près mon âge, il avait le bras autour d’une femme, tout en jouant à la machine à sou. Or, dans l’Ohio, la loi interdit les jeux d’argent; et il se tenait là en train de jouer à la machine à sou: un homme qui était censé faire respecter la loi, violant la loi. Et un homme qui était censé être un–donner l’exemple de la moralité et autres, et il avait le bras autour d’une femme là où il ne devrait pas l’avoir, et un homme de mon âge... Eh bien, il... Je pense qu’il était marié et avait une famille. Je ne sais pas. Alors, je me suis dit: «Bonté divine!» J’ai regardé au fond, et il y avait là une table où un groupe de jeunes gens, des motards avec une coiffure qui leur donnaient l’air de canards, ils portaient des blousons de motard, et des pantalons qui leur descendaient jusqu’à la taille ou... N’importe... Ils avaient besoin d’un véritable bon vieux papa du Sud à l’ancienne mode, avec une baguette de noyer et les dix commandements au bout. C’est exactement ce dont ils avaient besoin. Oui. Vous appelez... Qu’est-il arrivé aux Américains? Vous savez quoi? Les gens appellent cela la délinquance juvénile; moi je pense que c’est la délinquance parentale. C’est–c’est l’exacte vérité. «Si tu épargnes la verge à ton fils, tu le gâteras.» C’est ce que disent les Ecritures.

13        Et ils étaient assis là derrière, et une jeune demoiselle, une belle jeune fille... Et un garçon se tenait là, on dirait le chef de la bande, il avait posé ses bottes sur la table et passé son bras autour de cette jeune fille, où c’était vraiment indécent–autour de sa hanche, comme cela, et il serait dans ses bras cette serveuse. Eh bien, je me tenais là. Je me suis dit: «Bonté divine!»

            J’ai jeté un coup d’oeil de ce côté et une vieille grand-mère était assise là, elle avait environ l’âge de ma grand-mère. Et la pauvre vieille avait un de ces vêtements serrés ou plutôt un de ces shorts, ou, je ne sais pas comment vous appelez cela; et la chair de ses pauvres vieux bras était flasque; et elle avait appliqué sur ses ongles du vernis de la même couleur que ses lèvres, et il y avait de très grosses taches noires ici sous ses–ses yeux, où elle avait appliqué un certain truc; et ses cheveux étaient teints en bleu. Eh bien, vous savez que les êtres humains n’ont pas cet aspect bleu verdâtre. Alors, je me suis dit: «Eh bien, la pauvre vieille. Peut-être que c’est en ordre. Peut-être qu’elle aime ça.»

            Mais, j’ai regardé, et elle était en compagnie de deux hommes, et ils étaient ivres. Et l’un d’eux, en plein été, portait un vieux grand pardessus de l’armée, avec une grande écharpe enroulée autour du cou. Et ils avaient de la bière sur la table.

14        J’ai pensé: «Oh! pour rien au monde je ne mangerai ici.» Alors, je me suis dit: «Ô Dieu, comment peux-Tu, Toi qui es saint, regarder une telle chose?» Je me suis dit: «Est-ce que ma petite Sara et ma petite Rebecca vont devoir grandir sous l’influence de telles histoires en tant qu’Américaines? Mes deux petites filles que j’essaie d’élever pour Dieu, pour qu’elles soient des missionnaires ou des pianistes ou quelque chose d’autre (peut-être qu’elles vont épouser un petit prédicateur afin de l’aider dans l’oeuvre du Seigneur). J’ai essayé de les élever de manière qu’elles soient des filles pures et intègres pour qu’elles deviennent de véritables dames, et elles vont devoir grandir sous une telle atmosphère!»

            J’ai dit: «Père, avec cet esprit que j’ai, que Tu m’as donné, mon esprit étant sanctifié par Ton–le Sang de Ton Fils, et cela me scandalise, comment peux-Tu supporter de regarder cela? Pourquoi ne frappes-Tu pas la chose et ne l’effaces-Tu pas de la face de la terre?» Cela a dû susciter ma juste indignation. Vous voyez? Nous ne dirons pas que c’était la colère, mais c’était juste quelque chose. C’était la même sorte d’indignation que Jésus avait ressentie lorsqu’Il avait regardé ces gens dans le temple avec fureur et les avait chassés du temple avec des coups. Vous voyez?

15        Et alors ils... J’ai regardé tout autour et j’ai vu tout cela, et je me suis dit: «Et mes petites Sara et Rebecca vont devoir grandir sous l’influence de telles histoires? Ô Dieu, normalement, puisque Tu es saint et si grand, normalement Tu devrais rayer simplement cette chose de la carte comme cela. Comment peux-Tu supporter cela?» Je me suis dit: «Oh! la la!»

            Et j’ai senti quelque chose qui faisait? «Fiou, fiou, fiou», comme le sifflement d’un fouet. C’est ce que fait cette Lumière lorsqu’Elle s’approche; Elle tournoie, comme un feu. Et j’ai remarqué que cela se tenait juste à côté de moi. Je me suis retiré derrière la porte. J’ai posé ma tête contre le mur, et j’ai dit: «Père céleste, que...» Je pensais... Eh bien, voici ce que je pensais. «Veux-Tu que je fasse descendre le jugement?» Eh bien, cela montre simplement combien un homme peut s’éloigner.

16        J’ai reculé. Je pensais qu’Il allait simplement me demander de me tenir là et de dire: «Vous tous, je vous réprimande, vous pécheurs. Repentez-vous ou vous allez mourir.» Voyez? Et je pensais que c’est ce qu’Il allait me dire de faire. Je ne voulais pas le faire à moins qu’il me le dise. Alors je–je suis sorti–je suis retourné là, et je pensais qu’Il allait me montrer la chose.

            Lorsque je suis allé derrière la porte, j’ai vu comme–lorsque j’ai ouvert mes yeux, après que j’ai compris qu’Il était là derrière la porte avec moi–et c’était comme quelque chose qui tournait. J’ai commencé à regarder, et c’était le monde, cette terre, et tout autour de la terre il y avait un brouillard, comme un brouillard qui flottait tout autour d’elle. J’ai regardé très haut au-dessus, et je L’ai vu.

17        Ensuite, j’ai baissé les regards et je me suis vu. Il semblait que je me tenais juste sur la terre. Et chaque fois que je faisais quelque chose de mal, mon péché montait rencontrer Dieu. Et avant que cela ne L’atteigne, Jésus faisait office de pare-choc d’une voiture entre moi et Dieu. Vous voyez? Cela Le frappait, Et Il mettait Sa main dans Son côté, les larmes coulaient de Ses yeux, et je L’entendais dire: «Père, pardonne-lui, il ne sait pas ce qu’il fait.»

            Je me suis vu lorsque j’étais un petit garçon, les choses que j’avais faites. Et j’ai vu que chaque fois que je faisais quelque chose de mal, eh bien, c’est comme si cela montait. Et Dieu m’aurait tué pour cela (voyez-vous?), et je... parce qu’Il est saint. Le péché ne peut pas tenir en Sa Présence. Mais j’ai vu ce brouillard qui flottait tout autour, et ce Sang de Jésus faisait office de pare-choc entre moi et Lui, et empêchait que je sois tué par Dieu. Eh bien, je regardais, je me suis approché de l’endroit où Il se tenait, et j’ai regardé, et mon livre était là devant Lui, et dessus était inscrit mon nom, et tout ce que j’avais fait de mal était écrit dedans. Et j’ai remarqué que chaque fois que je commettais quelque chose de mal, que j’étais–que j’avais fait cela, Il interceptait–Il interceptait cela. Et cela–cela Lui faisait mal, et Il retenait pour ainsi dire Son souffle, et les larmes coulaient sur Ses joues. Il disait: «Pardonne-lui, il ne sait pas ce qu’il fait.»

            J’ai pensé: «Seigneur, T’ai-je fait souffrir comme cela?» J’ai pensé: «Je T’aime. Est-ce moi qui Te fais souffrir comme cela? Tu veux dire que ce sont mes péchés qui ont fait cela?»

18        Il m’a fait oui de la tête; et je voyais que... Il était tel que vous Le voyez sur la peinture, avec cette couronne sur Sa tête, comme cela, avec le sang dans les yeux et sur le visage. Et Il m’a regardé, et c’est comme si les larmes se mélangeaient complètement à Sa barbe, et des taches de sang recouvraient Son visage. J’ai dit: «Est-ce mes péchés qui T’ont fait cela?» Il m’a fait oui de la tête. J’ai dit: «Ô Dieu, pardonne-moi. Je–je ne voulais pas–je ne voulais pas Te faire du mal comme cela, Seigneur. Je t’aime de tout mon coeur.» De sa main Il a donné une petite tape sur Son côté, de Son doigt comme ceci Il a écrit dans mon vieux livre sale: «Pardonné», Il l’a pris et l’a jeté derrière Lui comme ceci, dans la mer de l’oubli, et Il a fait sortir un nouveau livre. J’ai dit: «Ô Seigneur, je Te remercie. Je–je n’oserai plus jamais faire quelque chose de mal. Tu...»

            Il a dit: «Maintenant, Je t’ai pardonné gratuitement. Je t’ai pardonné gratuitement, et puis toi, tu veux la détruire.»

            Et à ce moment-là, la porte s’est refermée, et je regardais droit vers cette femme assise là. Je voulais la détruire, alors que moi, j’ai été gratuitement pardonné. J’ai simplement tiré de nouveau la porte en bougeant les mains pendant que la vision était encore là. J’ai tiré de nouveau la porte et j’ai dit: «Ô Père, pardonne-moi. Je vais–je vais immédiatement aller vers elle et je vais lui présenter mes excuses.»

19        Je suis sorti de derrière la porte. L’un de ces vieux hommes ivres qui étaient assis là avec elle a dit: «Penses-tu que la pluie va endommager la rhubarbe?» Ils se sont levés, se sont excusés, et ils sont sortis pour aller aux toilettes. Je me suis plutôt avancé lentement comme ça, et ce policier continuait à jouer à la machine à sou. Je me suis plutôt avancé là où elle se trouvait. J’ai dit: «Bonjour.»

            La pauvre vieille créature a levé les yeux et a dit: «Oh! salut.»

            Et j’ai dit: «Est-ce que je peux m’asseoir?»

            Elle a dit: «Merci. J’ai de la compagnie.»

            J’ai dit: «Je ne parle pas dans ce sens-là.» J’ai dit: «Je voulais juste vous dire un mot. Je voudrais vous demander... Je voudrais vous demander de me pardonner.»

            Elle a dit: «Qu’est-ce que vous m’avez fait?»

            J’ai dit: «Voulez-vous m’accorder juste une minute et me permettre de vous le dire?»

            Elle a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Je me tenais à la porte...» Et je lui ai raconté l’histoire. J’ai dit: «Juste là derrière, Il m’a montré où j’avais tort.»

            Elle a levé les yeux, cela semblait l’avoir désenivrée. Elle a levé les yeux, elle a dit: «Etes-vous frère Branham?»

            J’ai dit: «C’est moi.»

            Elle a dit: «C’est vous le ministre qui prêche par ici.»

            J’ai dit: «Oui, madame.»

            Elle a dit: «J’ai honte que vous me voyiez dans cet état.»

            J’ai dit: «Voulez-vous me pardonner?»

            Elle a dit: «Bien sûr.» Elle a dit: «Assoyez-vous.»

            J’ai dit: «Merci.» Et je me suis assis au petit box avec elle.

20        Et elle a dit: «J’aimerais vous dire une chose, Frère Branham. Elle a dit: «Je suis passée et j’ai vu vos réunions. J’ai vu les annonces et je suis entrée.» Elle a dit: «J’ai tout simplement honte de moi-même.» Elle a dit: «Que penseriez-vous si je vous disais que mon père était un ministre méthodiste?» Elle a dit: «J’ai deux filles. Toutes les deux sont des monitrices de l’école du dimanche.»

            J’ai dit: «Que vous est-il arrivé?» Elle m’a parlé d’une lettre que son mari lui avait écrite, et il s’en était allé avec une autre femme. Elle s’était mise à boire et c’était parti... Et elle a dit: «Je sais que je ne peux plus être rachetée», elle était vraiment une légaliste. Vous voyez? Et j’ai dit...

            Elle a dit: «Je ne peux plus être rachetée.»

            J’ai dit: «Si, vous pouvez l’être. Si, vous pouvez l’être.» Elle s’est mise à pleurer. Elle a dit: «Frère Branham, pensez-vous que je peux être encore rachetée?»

            J’ai dit: «Pourquoi alors m’a-t-Il dit cela il y a quelques minutes?» Je l’ai prise par la main, nous nous sommes agenouillés là sur le plancher, et là même, elle a donné sa vie à Jésus-Christ. Vous parlez des machines à sou qui se sont arrêtées et tout le reste, tout le monde qui se trouvait là! Nous avons pleuré et prié. Elle s’est levée, elle est retournée chez elle dans une nouveauté de vie.

21        Vous voyez, Dieu m’a montré que mon propre coeur n’était pas juste, parce que je cherchais à la condamner, et sans regarder d’où moi aussi je venais. Alors, nous devons toujours nous en souvenir; nous devons regarder à la fosse d’où nous avons été tirés, alors les choses paraîtront beaucoup plus différentes. Voyez? Nous ne devrions condamner personne. Aimez tout le monde. Quand vous perdez ce véritable amour qui se trouve dans votre coeur, vous perdez tout. Ne l’oubliez jamais, lorsque vous perdez l’amour, tout est perdu. Maintenant, n’oubliez pas cela, cet amour que ce modeste frère avait pour vous tous. Et nous nous souviendrons de l’amour des frères qui sont ici. Frères, quoi que vous fassiez...

22        Je ne dis pas que vous démolissiez toutes vos organisations pour en former une seule. Ça ne sera jamais le cas. Vous ne le ferez jamais. Vous allez tout simplement passer votre vie juste de la même vieille manière, en faisant du bruit, en vous disputant et en vous mettant dans tous vos états. Ce n’est pas correct. Gardez vos organisations. Restez-y, si vous le pouvez. C’est en ordre. Mais tendez le bras et aimez tous les autres et ayez du respect. Donnez-lui aussi une partie de la couverture, parce qu’il a aussi besoin de se couvrir. La couverture est assez large pour nous tous. «Il y a de la place, il y a de la place, il y a beaucoup de place. Il y a de la place à la Fontaine pour moi.» C’est juste. Il y a de la place pour nous tous. Et souvenez-vous-en tout simplement.

23        Si je peux voir chaque Eglise pentecôtiste, les Foursquares, la Norme de la Bible Ouverte, les Assemblées pentecôtistes de Dieu, L’Eglise pentecôtiste Unie, et toutes les autres passer les bras les uns autour des autres et oublier leurs différences, communier les uns avec les autres, je dirai: «Seigneur, laisse ton serviteur s’en aller en paix, car mes yeux ont vu Ton salut.» Mais aussi longtemps que Satan vous amènera à vous tirer dessus les uns les autres, il va simplement rester et prendre des vacances. Il n’aura pas du tout à perdre du temps. Vous voyez, vous... Voyez-vous? Je prie que je vive assez longtemps pour voir ce jour.

            Et si vous ne le faites pas entre vous-mêmes, une sorte de persécution frappera cette nation l’un de ces jours. A ce moment-là, vous allez soupirer les uns pour les autres, les frères de la même précieuse foi. Alors, pourquoi passer par le châtiment, alors que nous pouvons avoir une petite partie du ciel sur la terre en ce moment même? Que Dieu soit avec vous.

24        J’aimerais revenir en arrière. Je vous ai entendu leur demander, dire que je–vous désiriez que je revienne. Je reviendrai un jour, le Seigneur voulant. J’aimerais apporter une tente et la dresser ici quelque part, dans... juste entre les villes des alentours ici, et nous allons nous réunir tous et communier les uns avec les autres, pour essayer d’édifier les églises. Chacun de vous a quelque chose à faire maintenant. Que chacun de vous retourne directement dans son église et travaille aussi dur que possible pour votre église locale. Voyez-vous? Et ne critiquez jamais. Si vous savez quelque chose de mal au sujet de l’autre camp, n’en dites rien. Voyez-vous? Gardez cela pour vous. L’ennemi tend l’oreille pour écouter cela. Voyez-vous? Ne le laissez rien savoir. N’en dites rien, alors il n’en saura rien. Voyez-vous? Gardez cela pour vous et priez. Dites: «Eh bien, le pauvre frère a mal agi.» Mais, ne l’abattez pas. Il est déjà abattu de toute façon. Essayez de le relever. Voyez-vous? Relevez-le. Soyez le bon samaritain. Voyez? Essayez de le relever. Si vous ne pouvez même pas lui parler, priez jusqu’à ce qu’il en soit ainsi. Gardez-le simplement dans votre coeur, parce que son âme vaut dix mille mondes.

25        Maintenant, prions. Notre Père céleste, alors que nous voulons nous incliner pour Te rendre grâces pour ce grand peuple qui se trouve ici, Tes serviteurs, je Te remercie pour frère King, frère Petty, pour tous les autres, Seigneur, ces aimables frères, ces merveilleuses soeurs, leurs églises, leurs–Les membres, pour tout ce grand peuple qu’il y a dans ces villes, et les places commerciales, combien les gens ont été si gentils. Nous Te remercions pour cet auditorium, pour ces–ces gens qui nous ont permis de l’avoir. Ô Dieu, fais que... Ils m’ont toujours ouvert leurs portes partout, au moment de la pluie, la tempête et tout. Ô Dieu, puissent-ils vivre jusqu’à la Venue du Seigneur. Accorde-le. Bénis les concierges, tous les membres de cette église, tous. Puissent-ils tous trouver repos et paix en Christ. Accorde-le, Seigneur.

            Bénis ces bons policiers qui ont monté la garde ici dehors dans la cour, ce jeune homme qui est venu l’autre soir, m’a regardé et m’a fait ce merveilleux compliment. Père, j’étais presque hors de moi alors, sortant de l’onction pour être... Je n’ai pas eu l’occasion de beaucoup lui parler. Si ce garçon n’était pas sauvé et qu’il... les compliments qu’il a faits au sujet de la réunion, je prie, ô Dieu, qu’il reçoive le Saint-Esprit (accorde-le, Seigneur), qu’il soit dans la Gloire. Si jamais je ne le rencontre plus sur cette terre, puissé-je lui serrer la main. Un homme comme cela ferait un bon policier pour n’importe quelle ville.

26        Ce jeune homme à qui j’ai parlé à la porte il y a quelques instants, ô Dieu, bénis cet homme. Nous Te remercions pour tout, Seigneur. Tu es tellement bon pour nous. Nous Te prions maintenant de continuer à nous bénir alors que nous continuons le voyage vers la côte ouest.

            Je Te prie maintenant de bénir frère King. Nous avons parlé de ses difficultés et nous Te prions d’être avec lui et tous les autres frères. Et, ô Dieu, la seule chose que je peux faire c’est... Un homme ne peut pas le faire, mais puisse Ton Saint-Esprit lier constamment les coeurs de ces gens ensemble, au point qu’ils puissent être un en Jésus-Christ. Accorde-le, Père.

            Accorde-nous un glorieux service ce soir. Beaucoup d’entre eux sont venus sur des routes glissantes, et–et sont sortis sous cette pluie et cette tempête pour arriver ici ce soir, afin d’assister au service de clôture. Je Te prie de les bénir. Qu’il n’y ait aucune personne faible parmi nous ce soir. Je le demande, Père, pour Ta gloire. Que la puissance du Saint-Esprit vienne ce soir et nous accorde infiniment au-delà de tout ce que nous pouvons faire ou penser. Nous nous attendons davantage à Toi. Au Nom de Jésus, parle-nous. Amen.

27        Tous ces petits morceaux de tissus qui sont ici, vous pouvez les prendre aussitôt que nous aurons–j’aurai prié dessus. J’aimerais attendre jusqu’à ce que l’onction du Saint-Esprit descende sur moi pour prier pour les malades. Maintenant, dans le Livre de Jérémie, au verset 22:

          N’y a-t-il point de baume en Galaad? N’y a-t-il point de médecin? Pourquoi donc la guérison de la fille de mon peuple ne s’opère-t-elle pas?

            Ce soir, j’aimerais prendre un sujet pour la clôture, en posant une question, comme Dieu l’a fait: Pourquoi? Maintenant, j’espère que nous ne serons pas long; vingt, trente minutes, et ensuite nous pourrons prier pour les malades. Pourquoi?

            Quand Dieu prend des dispositions ou plutôt prépare une voie par laquelle s’échapper et qu’ensuite les gens ne marchent pas dans cette voie, Dieu a le droit de demander pourquoi? Ne le croyez-vous pas? Il a le droit de demander pourquoi?

28        Si... Vous n’êtes pas condamné parce que vous êtes un pécheur; vous êtes condamné parce que vous n’acceptez pas Jésus comme votre Sauveur. Eh bien, Dieu serait injuste de vous condamner s’Il n’a pas pris des dispositions pour vous permettre d’en sortir, parce que vous êtes né dans le péché, vous avez été conçu dans l’iniquité, vous êtes venu dans le monde en proférant des mensonges. Peu importe qui étaient vos parents, ou ce qu’ils étaient, vous êtes malgré tout un pécheur, comme tout autre enfant, lorsque vous naissez dans ce monde.

            Nous sommes tous nés dans le péché. Nous ne pouvions pas nous sauver nous mêmes. Nous ne pouvions pas nous sauver, pas plus que nous pourrions prendre les lacets de nos bottes et nous élever jusqu’à la lune. Nous ne pouvons pas le faire. Nous sommes complètement impuissants. Et, par conséquent, Dieu ne vous condamnerait pas sur cette base, du fait que vous êtes un pécheur. Il vous condamnera parce que vous avez refusé de suivre la voie pour échapper. Ainsi donc, ce n’est pas Dieu; c’est vous même. Vous vous condamnez vous-même. Et lorsque vous vous condamnez vous-même, il n’y aura personne pour s’apitoyer sur vous si ce n’est vous-même. C’est tout. Nous sommes... Vous–vous devez vous apitoyer sur vous-même, parce que vous n’avez pas accepté la voie à laquelle Dieu a pourvu pour échapper. Or, lorsque Dieu fraye une voie, je me demande tout simplement ce qu’Il ressent lorsqu’Il fraye une voie pour nous, pour notre guérison, pour notre salut, pour notre confort, pour notre paix, et tout le reste, et que nous nous éloignons tout simplement et laissons cela. Cela doit terriblement L’affecter.

29        Alors, une fois dans la Bible dans le Livre de 2 Rois, il y avait un–un roi qui régnait sur–sur Juda, et il–son nom était Achazia. C’était le fils d’Achab et de Jézabel. Il avait succédé à son père Achab sur le trône. Après qu’Achab, ce croyant frontalier, ce renégat à l’égard de l’Evangile, ce membre d’église tiède, était allé épouser une païenne pour renforcer son royaume, il a introduit l’idolâtrie en Israël alors... Oh! quelle horrible chose il a commise! Et alors, sa petite femme païenne a ôté la vie au précieux Naboth pour que le roi puisse prendre possession de son héritage. Et ce prophète a prophétisé ce qui allait arriver à Achab, et ce qui allait arriver à Jézabel: les chiens mangeraient sa chair dans la rue et lècheraient le sang d’Achab qui coulerait de son char. Et c’est exactement ce qui est arrivé.

30        Je peux penser au temps où Josaphat, qui était un homme de Dieu, quand, en fait, il aurait dû–il n’aurait pas dû s’associer aux mauvaises compagnies. Un croyant ne doit pas avoir de communion avec un incroyant. Un corbeau et une colombe ne peuvent pas parler ensemble. Un corbeau mange un vieux cadavre. La colombe est le seul oiseau qui n’a pas de bile. Si elle mangeait ce cadavre, cela la tuerait. La–la colombe est un oiseau qui a une constitution spéciale. La colombe ne mange que des grains. Elle n’a pas de bile. Elle ne peut pas digérer cela. Ainsi en est-il du chrétien, il n’a pas de bile d’amertume en lui. Il ne peut pas manger les choses du monde. Le corbeau peut manger les choses telles que le blé, et il peut aussi manger un cadavre. C’est un hypocrite.

31        Et la colombe... j’aimerais vous dire une chose, la colombe n’a pas besoin de chercher de l’eau pour prendre son bain. Avez-vous déjà tenu une petite colombe, frotté votre main sur elle? Son corps est huileux. Il y a quelque chose venant de l’intérieur, qui la garde propre. Oh! la la! son corps est huileux, à cause d’une huile qui vient de l’intérieur vers l’extérieur. Amen. Je n’aimerais pas aborder cela; je pourrais sortir de mon sujet. Mais elle garde son corps, ses plumes, sa robe propre à l’aide d’une huile qui est à l’intérieur. A chaque fois qu’elle met son corps en mouvement, cela agit sur ses plumes et la garde propre continuellement, tout le temps. Oh! le Sang de Jésus-Christ sanctifie le croyant jour et nuit.

32        Et Achab est allé et il a passé un moment de communion avec Josaphat, ou plutôt Josaphat a passé un moment de communion avec Achab. Et il... Chaque fois que vous voyez le monde incrédule vous inviter, disant: «Voulez-vous venir à notre partie de carte, mon cher?» Faites attention.

            «Eh bien, vous savez que vous travaillez ici et votre patron veut que vous... Nous allons juste avoir de petites rencontres amicales ce soir.» Tenez-vous loin de cela. Eloignez-vous-en. «Eh bien, c’est la Noël, vous avez droit à un petit amusement innocent.» Ne le croyez pas. Tenez-vous loin de cela. Fuyez le mal sous toutes ses formes. Restez en dehors de cela.

33        Mais Josaphat s’était affaibli, et il est allé voir Achab. Et Achab poursuivait un but. Il a dit: «Eh bien, nous avons une portion de terre par ici. Cela nous appartient.» Il lui a montré toutes les grandes choses. Et c’est ce que fait le diable, il vous montre toutes les grandes choses qu’il possède (voyez?), tout ce qu’il possède. Eh bien, l’éclat, l’or, cela a, pour ainsi dire, fait briller ses yeux, vous savez, il a pensé: «Oh! la la!» Cela ne les a pas fait briller, cela leur a fait perdre leur éclat. Et alors, finalement, ils se sont assis là et il a dit: «Bien, nous monterons à Ramoth en Galaad, ou devrais-je avant... tirer...»

            Il a dit: «Nous devrions consulter l’Eternel à ce sujet.» Alors Achab a dit: «Oh! bien sûr. Oui, oui. Nous devrions le faire. Je possède le meilleur système ecclésiastique du pays.» Il est descendu dans son séminaire et a fait venir quatre cents prophètes. C’est vrai. Ils étaient bien habillés, avec le col retourné, et oh! c’étaient des hommes formidables, chacun d’eux étant un ecclésiastique, un véritable théologien.

34        Il a dit: «Très bien, messieurs, vous avez été bien nourris et bien soignés. Cette grande affaire, maintenant, je vous dirai ce que j’aimerais que vous fassiez. Prophétisez sur moi et dites-moi si nous devons aller à Ramoth en Galaad. Voyez combien mes robes sont grandes et quel grand évêque je suis; et il y a aussi l’évêque Untel d’à côté, de l’autre royaume. Nous allons unir nos forces. Vous voyez, alors nous serons unis, nous allons alors accomplir de grandes choses, vous savez.»

            Alors, l’un d’eux s’est fabriqué une paire de cornes et s’est mis à courir à travers l’assistance en disant qu’il repoussait les Syriens. «Tout le pays nous appartient, alors, par ceci vous allez vaincre.»

35        Vous savez, il y a quelque chose chez le croyant, s’il est déjà entré en contact avec Christ, il ne peut pas marcher pour ce genre d’histoires. Cependant, le vieux Josaphat était assis là, il a dit: «N’y a-t-il pas un autre?» «Un autre? Eh bien, voici quatre cents des plus instruits, les meilleurs hommes qu’il y a dans le pays, et ce sont des prophètes. Pourquoi en demanderions-nous un autre? Chacun d’eux a un doctorat en droit, un doctorat en philosophie, un double L.Q.S.T. Oh! ils sont... Eh bien, vous ne pouvez pas trouver des gens plus qualifiés. Eh bien! ils connaissent les Ecritures sur le bout des doigts.»

            Josaphat a dit: «Mais tu sais, je ressens une drôle de petite impression. J’aimerais que nous puissions juste... N’y en a-t-il pas un autre?»«Oh! il a dit, si; mais c’est un saint exalté et... Son nom est Michée, le fils de Jimla, mais, a-t-il dit, je le déteste.» Oh! Alors, Josaphat a pensé: «Ça–ça a l’air d’un gagne-pain.» Alors, il a dit: «Que le roi ne parle pas ainsi. Mais j’aimerais juste entendre ce qu’il va dire.»

36        Alors, un messager a couru là jusqu’à la petite cabane où il habitait, la petite assemblée quelque part au coin de la rue, vous savez. Et il a dit: «Oh! Michée, tu sais quoi? Tu dois... Je dois à présent te mettre la puce à l’oreille. (Vous voyez?) Dis la même chose que les autres. Dis simplement ce qu’ils ont dit. Parce que je t’assure que tous ces quatre cents ecclésiastiques disent que nous devrions–nous devrions le faire de cette manière. Alors, tu dois dire la même chose.» Michée a dit: «L’Eternel Dieu est vivant, je ne dirai que ce qu’Il placera dans ma bouche.» J’aime cela. J’aime cela. Oui, oui.

37        Ils l’ont donc amené là-bas. Achab était fou de rage: «Si nous amenons ce saint exalté ici parmi nous, il va ruiner notre assemblée, aussi sûr que le monde existe.» Ainsi donc, dès qu’il s’est avancé, il lui a dit: «Eh bien, je te préviens; il ne dira que du mal à mon sujet, parce que je sais qu’il est toujours là à s’attaquer à moi au sujet de mes femmes qui coupent leurs cheveux et toutes ces choses. Oh! c’est un véritable saint exalté.» Maintenant... Il a dit: «Je ne vais m’en tenir qu’à la Parole cependant.» Alors il a dit: «Michée, devrais-je monter à Ramoth, en Galaad, et prendre cette chose qui nous appartient ou devrais-je y renoncer?» Il a dit: «Accordez-moi cette nuit. Laissez-moi voir ce que le Seigneur dira.»Ainsi, après que la nuit fut passée, il est revenu. Il a dit: «Qu’est-ce que tu dis?» Il a dit: «Monte si tu veux.» Il a dit: «Jusqu’à quand me faudra-t-il te faire jurer (Il savait que quelque chose clochait là-dedans.) de ne me dire que la vérité?» Il a dit: «Monte, mais, a-t-il dit, j’ai vu Israël dispersé comme des brebis qui n’ont point de berger.» Et il a dit... Pourquoi? Il s’en tenait à la Parole de Dieu. Il disait la même chose que la Parole avait déclarée, parce que la Parole de Dieu était avec le prophète. Et le prophète Elie avait dit qu’il ne pouvait pas prophétiser quelque chose de bon contre cet homme méchant qu’était Achab. Ainsi le prophète, la Parole avait déjà déclaré qu’Achab serait tué, que Jézabel serait donnée en pâture aux chiens. Qu’est-ce que Michée pouvait donc dire de contraire à ce que la Parole avait déclaré? C’est vrai. Il a dû s’en tenir à la Parole. Peu importe combien la chose semble merveilleuse et combien cela semble grand, surveillez la Parole. Elle est toujours vraie.

38        Alors, ce grand ancien de district, ou ce grand évêque ou que sais-je encore, l’a giflé à la bouche, et a dit: «Par où la Parole de Dieu est-Elle sortie de moi si Elle est venue à toi?»

            Il a dit: «Tu le verras un jour.» Il a dit: «J’ai vu Dieu assis sur le Trône et toute l’armée des cieux se tenait devant Lui. Et Il a dit: ‘Qui peut-on envoyer pour séduire Achab afin qu’il aille là et que la prophétie d’Elie soit confirmée?»

            Dieu veille sur cela, vous savez. Il a dit: «Qui pourrais-Je envoyer là?» «Et un esprit de mensonge est venu d’en bas, probablement de l’enfer, il s’est avancé et s’est tenu devant Lui, et il a dit: ‘Je vais descendre et je vais entrer dans ces prédicateurs et les amener tous à prophétiser un mensonge.»

            La Parole de Dieu va s’accomplir, frère, peu importe ce qui se produit. Jean a dit: «De ces pierres Dieu peut susciter des enfants à–à Abraham.» La Parole de Dieu...

39        Le fils de cet homme, après la mort de celui-ci, avait accédé au trône. Un jour, alors qu’il marchait là dehors, il avait... Il continuait à haïr ces prophètes. Et il est sorti là un jour, et il regardait tout autour par son treillis, et il est tombé à travers le treillis et s’est blessé. La Bible dit qu’il est tombé malade. Alors, il a appelé certains de ses hommes et il en a envoyé deux, ou plutôt une petite compagnie de soldats à Ekron, pour aller consulter les prophètes de Baal, afin de savoir s’il allait guérir ou pas.

            Alors, vous savez, Dieu révèle Ses secrets à Ses prophètes. Est-ce vrai? Alors Elie, là sur la montagne, retranché dans une caverne, était couché là sur un tas de–un tas de broussailles ou quelque chose comme ça, son manteau était étendu dessus, l’Eternel lui a parlé. Et il s’est avancé là, il s’est tenu sur la route. Il a dit: «Monte là-bas. Tiens-toi là, parce que ces gens montent.»

40        Oh... ou ces soldats ont dépassé le virage. Ils ont regardé, quelqu’un descendait la route calmement, un prédicateur au visage tout velu venait, son visage était tout couvert de barbe, et il était enveloppé d’un grand morceau de cuir. Il n’avait rien pour attirer les regards, mais il avait l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Voilà l’essentiel. Il n’était pas tellement classique.

            Alors il les a arrêtés. Il a dit: «Pourquoi allez-vous là-bas à Ekron?» Il a dit: «Allez lui dire: ‘Pourquoi vous a-t-il envoyé là-bas?’ Est-ce parce qu’il n’y a point de Dieu en Israël? Est-ce parce qu’il n’y a point de prophète ici à consulter? S’il voulait savoir quelque chose là-dessus, pourquoi ne l’a-t-il pas demandé à Dieu? Il est censé être le roi ici en Israël, alors pourquoi n’a-t-il pas demandé à Dieu? Est-ce parce que nous n’avons pas de Dieu ici? Est-ce parce que nous n’avons pas–pas de prophète ici? Mais, puisqu’il a fait ceci, allez lui dire: ‘AINSI DIT L’ETERNEL, il ne descendra pas de ce lit.’» Oh! la la!

41        Je me demande aujourd’hui pourquoi les hommes veulent fumer la cigarette. Pourquoi les gens veulent rester à la maison le mercredi soir pour suivre un programme de télévision au lieu d’aller à la réunion de prière? Comment se fait-il que nous voulons faire... Est-ce parce qu’il n’y a point de joie dans la maison de l’Eternel? Qu’est-ce qui pousse une personne à vouloir boire, et courir çà et là et se comporter de la sorte? Est-ce parce que nous n’avons pas de Dieu du tout? Est-ce parce qu’il n’y a plus de joie dans la maison de l’Eternel? Est-ce parce que le Saint-Esprit n’est pas prêt à nous bénir tous? Y a-t-il–y a-t-il quelque chose qui cloche là-dedans? Mais parce que nous faisons cela, c’est bien là la raison pour laquelle nous sommes maudits. C’est pour cette raison que Dieu fait venir cette chose sur l’église, cette froideur et cette indifférence. Nous nous rendons à divers endroits pour le plaisir, au lieu de venir à la maison du Seigneur pour notre plaisir. La maison du Seigneur, c’est la joie du Seigneur. La joie du Seigneur c’est la joie de Son peuple. Il désire que vous veniez à l’église, que vous L’adoriez et que vous soyez heureux et satisfait, que vous rendiez gloire, honneur, louanges, sagesse, puissance et tout le pouvoir à Dieu. Il désire que vous fassiez cela.

42        Et alors, vous savez, lorsque ces messagers sont retournés, et ainsi... Ils ont trouvé–ils sont allés chez ce roi et ils ont dit: «Un homme nous a renvoyés et nous a dit telle chose.» Il a dit: «Qui était-ce? Comment était-il habillé?» Ils ont dit: «Il était tout couvert de poils et avait aux reins une ceinture de cuir.» Et il a dit: «C’était Elie le Thischbite, le prophète de Dieu.» Oh! la la! Il savait ce qui allait lui arriver. Ce n’était pas parce qu’ils n’avaient point de Dieu. Ce n’était pas parce qu’ils n’avaient pas de prophète. Mais c’était un–c’était la stupidité du roi lui-même. C’était son propre comportement impie et égoïste, à l’instar de sa maman et de son papa. Il haïssait ce prophète-là. Et c’est la raison pour laquelle aujourd’hui le jugement vient sur le monde. Ce n’est pas parce que nous n’avons pas un Dieu, ce n’est pas parce que nous n’avons pas de prophète. Mais, c’est parce que les gens haïssent les voies du Seigneur et aiment les voies du monde. C’est l’exacte vérité.

43        C’est juste comme un homme, un patient qui meurt sur le seuil du cabinet du médecin, parce qu’il refuse de prendre son médicament. C’est la même chose. Il meurt sur le seuil du cabinet du médecin, où il y a assez de médicaments pour son cas, mais il refuse de les prendre. Ce n’est pas la faute du médecin. Ce n’est pas la faute du sérum. C’est la faute de cet homme, parce qu’il ne veut pas prendre le sérum. C’est tout. Et c’est quelque chose de dangereux. Certainement. Vous ne pouvez pas attribuer la faute au médecin, vous vous trouvez juste sur le seuil de son cabinet, et vous refusez de prendre son médicament, et pourtant il a quelque chose.

44        Eh bien, vous direz: «Croyez-vous au fait de prendre le médicament?» Je crois que tout ce qui peut aider la race humaine vient de Dieu. Certainement. C’est exact. Dites-moi alors pourquoi nous avons le–ce... que ferions-nous aujourd’hui si nous n’avions pas ces cliniques, ces hôpitaux et ainsi de suite? Certainement. Je sais qu’il y avait une certaine opposition à cela tout au début, quand je venais de commencer, mais où est allé tout cela? Vous voyez, vous devez considérer tout ce qui est raisonnable. Tout... Si–si le médicament, les hôpitaux ne viennent pas de Dieu, ils sont antichrists. Brûlez-les, faites-les disparaître du pays. Bien sûr. Mais, c’est quelque chose pour vous aider. Certainement. Mais, aucun d’eux ne peut vous guérir. Il n’y a point de médicament dans le monde, aucun médecin... S’il en existe un, c’est un charlatan. Ce n’est pas un véritable médecin. Si un médecin vous dit qu’il a un médicament qui vous guérira, il ne sait pas de quoi il parle. Les frères Mayo disent qu’il n’existe au monde aucun médicament qui puisse vous guérir. Ils ont dit: «Il n’y a qu’un seul Guérisseur: c’est Dieu. Nous disons seulement que nous assistons la nature.»

45        C’est comme je vous l’ai dit, si je me coupais la main, que je tombais raide mort juste ici, tous les médicaments de ce–ce pays ne pourraient guérir cette entaille de couteau. Vous direz: «Non, vous êtes mort.» Eh bien, qu’on embaume simplement mon corps de manière à ce qu’il puisse paraître naturel pendant cinquante ans, et qu’on me donne chaque jour une injection de pénicilline et tout le reste, rien ne changera. Même si l’on mettait du baume dessus, que l’on suturait cela, et qu’on me donnait tout... Cela ne ferait rien. Si cela a été fait pour guérir le corps, pourquoi cela ne le guérit-il donc pas? Il reste étendu là. Vous direz: «La vie s’en est allée.» C’est vrai. Maintenant, dites-moi ce qu’est la vie, et je vous dirai qui est Dieu. C’est exactement vrai. C’est Dieu qui guérit. Un médecin peut remettre un os en place, mais il ne peut pas le guérir. Qu’arriverait-il si j’étais en train de démarrer ma voiture à la manivelle, que je me fracturais le bras, et que je courais chez le médecin et disais: «Eh, docteur, guérissez rapidement mon bras afin que j’aille finir de démarrer ma voiture à la manivelle. Je n’arrive pas à la faire démarrer.»

            Il dirait: «Vous avez besoin d’une guérison mentale.» C’est vrai. Il pourrait le remettre en place, mais il ne peut pas le guérir. C’est vrai. Il peut extraire une dent, mais il ne peut pas guérir l’alvéole d’où cette dent a été extraite. Il peut faire l’ablation de l’appendice dans votre côté, mais il ne peut pas guérir l’endroit où l’ablation a été faite, parce qu’il n’existe point de médicament qui crée des cellules, qui multiplie les cellules. Et avant que vous puissiez guérir quoi que ce soit, il doit se faire une multiplication des cellules. Ainsi, il n’y a que Dieu seul qui guérit. Vous ne pouvez pas faire mentir la Parole de Dieu. Psaumes 103 verset 3 dit: «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.»

46        J’ai eu des entretiens chez les frères Mayo et à divers endroits, et ils disent cela: «Nous ne sommes pas des guérisseurs. Nous ne prétendons pas être des guérisseurs. Nous assistons seulement la nature. Il n’existe qu’un seul Guérisseur: c’est Dieu.» Donc, c’est Dieu qui guérit.

            Quelqu’un m’a dit, il n’y a pas longtemps, il a dit: «Très bien, Frère Branham, je vais alors vous poser une question.» Il a dit: «Qu’en est-il de la pénicilline contre la grippe?»

            J’ai dit: «Bien, Oh! la la! Oh! la la! j’espère que vous n’êtes pas aussi faible.» J’ai dit: «Ecoutez. Qu’en serait-il si vous aviez une maison infestée de rats qui font des trous partout dans le toit et ainsi de suite, et que partout en bas il y avait un tas... Vous répandez une bonne quantité de la mort aux rats et vous empoissonnez les rats. Cela tue tous les rats. Mais cela ne bouche par les trous. La pénicilline tue seulement le microbe, le microbe de la grippe. Elle ne reconstitue pas les tissus que cela a détruits, c’est juste comme le fait d’empoisonner les rats.» C’est Dieu qui doit boucher les trous. C’est tout. Il est l’Eternel qui guérit toutes nos maladies. Oui, oui.

47        Et je remercie Dieu pour chaque sérum qu’ils ont, pour le vaccin de Salk. Je prie constamment que Dieu nous donne quelque chose pour le cancer, pour ces pauvres gens qui souffrent. Je soutiens tout ce que l’on peut faire pour aider les gens. Absolument, je soutiens cela à cent pour cent. Et si nous les chrétiens nous priions davantage pour de telles choses, nous serions mieux. Tout le pays serait de loin mieux. Oui, il y a de grands hommes qui donnent leur vie juste pour essayer de lutter contre ces choses qui rendent les enfants estropiés et tout. Certainement. Je remercie certainement Dieu pour tout ce qu’Il a fait pour nous. Je remercie Dieu pour l’automobile. Je remercie Dieu pour le savon avec lequel je me lave les mains. Et toute la mécanique, toutes ces choses, je remercie Dieu pour cela. Certainement. A une époque donnée nous n’avions pas de savon, vous savez. A une époque donnée nous n’avions pas d’automobile. Si je voulais me rendre à Phoenix en marchant, je pourrais me mettre en route, mais je remercie Dieu pour l’automobile. J’entre là-dedans et je me confie à Lui, et je descends carrément la route aussi vite que je peux. Voyez? Alors, remercions le Seigneur pour ces choses. Tout ce qui nous est utile vient de Dieu. Certainement.

48        Mais alors, que se passera-t-il si le patient qui est assis là sur le seuil du cabinet du médecin refuse de prendre son médicament? Et si le patient meurt, ce n’est pas la faute du médicament. «N’y a-t-il point de Baume en Galaad? N’y a-t-il point de médecin là-bas? Pourquoi alors la guérison de la fille de mon peuple ne s’opère-t-elle point?» Y a-t-il quelque chose qui cloche? C’est la même chose dans l’église. Les hommes et les femmes s’assoient dans l’église et meurent dans leur péché parce qu’ils refusent de prendre le Baume de Dieu. C’est vrai. Ce n’est pas parce qu’il n’y a point de Baume ici. Le Saint-Esprit est ici. Nous avons beaucoup de docteurs, de médecins. Alors les gens meurent dans leurs péchés, ils ne veulent pas confier cela à Dieu. Il y a un Baume en Galaad, et il y a des médecins là, mais il s’agit de l’attitude des gens envers cela.

49        Maintenant, prenez–prenez par exemple le médicament. C’est déplorable de refuser de prendre un médicament. Combien plus c’est déplorable quand vous refusez de prendre le Baume de Dieu pour votre âme, quand vous refusez cette Toxine, que va-t-il alors se passer? Vous êtes perdu pour toujours quand vous refusez cela. Oh! vous–vous pourrez rafistoler votre corps. Et puis, une autre chose, vous pouvez prendre un médicament. Ce qui est bon pour l’un, qui aidera l’un, tuera l’autre. La pénicilline tue pratiquement le tiers des personnes qu’elle aide. Elle tue certaines personnes et aide d’autres. C’est un produit très dangereux. Et ce qui aide l’un, aide l’autre. Mais, vous n’avez pas à vous faire du souci au sujet de la Toxine de Dieu. Elle aide «quiconque veut, qu’il vienne». Absolument. C’est pour tous. Vous n’avez pas à vous faire du souci à ce sujet: il n’y a aucun danger d’y toucher. Quand vous y touchez, vous dites: «Eh bien, je vous assure, Frère Branham, je ne crois pas que c’est pour moi.» C’est comme disent les gens aujourd’hui: «Je n’arrive tout simplement pas à cesser de fumer. Je n’arrive tout simplement pas à cesser de courir.»

50        Un homme m’a dit, il n’y a pas longtemps, il a dit: «Frère Branham, j’ai une bonne femme, mais, je n’ai tout simplement pas été fait pour une seule femme.» Il a dit: «Je–je dois aller avec d’autres femmes.»

            J’ai dit: «Savez-vous ce qui ne va pas en vous? Vous refusez tout simplement le remède.» C’est tout. Voilà le problème qu’ont les gens aujourd’hui. Nous pouvons boire, fumer, mentir, voler, nous disputer et faire des histoires, et nous refusons le Baume d’amour de Dieu qui nous rassemble et fait de nous un seul corps. Ce n’est pas parce qu’il n’y a pas assez de puissance de Dieu ici pour déclencher un réveil dans la ville. Nous refusons simplement d’utiliser cela; c’est tout. Amen. C’est–c’est–c’est ici. Mais si vous mourez dans vos péchés, dans votre incrédulité, ce n’est pas la faute de Dieu. Ce n’est pas la faute du Saint-Esprit, ce n’est pas la faute de l’Eglise, c’est juste parce que les gens refusent cela.

51        On dit que la maladie du coeur est le tueur numéro 1. Non, non, c’est la maladie du péché qui est le tueur numéro 1. C’est jute. Le tueur numéro 1... Cela s’est introduit dans nos groupes pentecôtistes. Un homme me parlait aujourd’hui au sujet des pentecôtistes, et il a dit: «Vous savez quoi, Frère Branham, cela devient tout simplement comme un je-ne-sais-quoi.» Il a dit: «Vous savez, bon nombre de nos membres sont–ils ont leurs enfants, ils les font tout simplement entrer, ils inscrivent leurs noms sur le registre des enfants de l’église et ils les élèvent comme cela. Et c’est comme ça. Ils s’attendent simplement à ce qu’il en soit ainsi.» C’est comme David duPlessis l’a dit une fois au sujet d’une telle chose: «Eh bien, vous ne pouvez pas entrer comme cela.» C’est ce que–c’est ce qui a fait des méthodistes ce qu’ils sont. C’est ce qui a fait des baptistes ce qu’ils sont. Ils ne cessent de faire entrer leurs enfants, les inscrire sur le registre des enfants de l’église, et les élever. Dieu n’a pas de petits-fils. Il n’a que des fils, des fils et des filles, pas de petits-fils et de petites-filles. Dieu n’a pas de petits-enfants. Il n’est pas...?... Dieu–Dieu n’est pas un grand-papa; Il est un Père. Amen. J’espère que je ne blesse pas vos sentiments, mais j’espère que je vous effraie un tout petit peu de toute façon, pour amener...?... commencer. Dieu n’a pas de petits-enfants. Et lorsque vous... Juste parce que vous êtes pentecôtiste, votre papa et votre maman ont payé le prix, cela ne fait pas de vous un pentecôtiste jusqu’à ce que vous payiez le même prix pour obtenir la même chose qu’eux avaient. Il y a encore beaucoup de Baume. Il y a encore beaucoup de Baume en Galaad, beaucoup de toxine là pour le péché, pour l’incrédulité. Absolument.

52        Nos frères pentecôtistes se lèvent, et ils disent–ils renient la guérison divine et des choses du genre. C’est juste parce que vous refusez la toxine, vous petit-fils. Vous n’êtes pas un fils de Dieu, un fils de Dieu c’est celui qui est né de l’Esprit de Dieu. Il est fils de Dieu, mais Dieu n’a pas de petits-enfants. C’est vrai. Savez-vous quel est le problème? Les gens ont peur de la nouvelle naissance. C’est là tout le problème. Permettez-moi de vous dire quelque chose, frère. Peu importe de quel genre de naissance il s’agit, toute naissance est un gâchis. Qu’elle ait lieu dans une porcherie, ou dans une étable, ou dans une chambre d’hôpital décorée en rose, toute naissance est un gâchis. Et il en est de même de la nouvelle naissance. Elle vous amènera à vous agenouiller et à brayer, à hurler, et à faire des choses que vous ne pensiez jamais auparavant que vous feriez...?... guérison. Cela produira une nouvelle vie aussi sûre que le monde existe.

53        Cela pourrait gâcher votre théologie, cela pourrait gâcher vos parties de cartes; cela pourrait gâcher votre baignade, vos danses et votre patinage à roulette. Cela pourrait vous amener à laisser pousser vos cheveux; cela pourrait vous amener à devenir quelque chose de différent, et vous amener à cesser de fumer la cigarette. C’est un gâchis, mais cela produit la vie. Amen. Ce que nous devrions avoir c’est la naissance, la vie, le gâchis; cela doit devenir un gâchis avant que cela devienne correct. Absolument. Vous devez avoir... à moins... Si le grain de blé ne tombe en terre et ne meurt (le gâchis, devenir sale de suite à cela)... C’est vrai. Mourir tout simplement. Tomber là et...

54        Une femme me parlait une fois, elle a dit: «J’aurai honte. Ces gens étaient là-bas, a-t-elle dit, je ne vous entendais même pas prêcher.» Elle a dit: «Oh! ces femmes et ces hommes criaient: ‘Alléluia, Amen! Gloire au Seigneur!’ Je n’entendais pas ce que vous disiez.»

            J’ai dit: «S’ils ne disaient pas cela, cela m’effrayerait à mort.»

            Elle a dit: «Lorsque cette femme-là s’est levée là et qu’elle a commencé à crier, a-t-elle dit, un frisson m’a parcourue tout simplement dans le dos.»

            J’ai dit: «Si jamais vous arrivez au Ciel, vous allez geler à mort, parce que, ai-je dit, tout le monde sera en train de crier, de hurler et de louer...?... C’est juste.»

55        De quoi les gens ont-ils peur? De la nouvelle naissance. Voilà la raison pour laquelle nous avons des petits-enfants dans l’église. Les gens ont peur de la nouvelle naissance, du Saint-Esprit, de la puissance de Dieu, ils ont peur que cela–ils ont peur que cela ôte votre maquillage ou quelque chose comme cela. C’est ça le problème. Ô Dieu, envoie-nous un réveil à l’ancienne mode, qui produira de nouveau le Saint-Esprit. Il y en a plein.

            «N’y a-t-il point de Baume en Galaad? N’y a-t-il point de médecin là-bas?» Bien sûr, il y a des médecins ici, il y a beaucoup de Baume ici aussi. «Pourquoi donc la guérison de la fille de mon peuple ne s’opère-t-elle pas?» C’est parce que les gens refusent cela. Amen. C’est ça. Ils refusent de se rassembler. Ils refusent d’avoir un réveil. Voilà le problème, l’égoïsme et tout ont pris le dessus. Il y a beaucoup de baume en Galaad, il y a des médecins ici, mais les gens refusent cela. Voilà le problème.

56        A une époque donnée nous n’avions pas de toxine contre la fièvre typhoïde, à une époque donnée nous n’avions pas de toxine contre... le–le vaccin de Salk et des choses pareilles, et–mais maintenant nous en avons. C’est juste. Nous en avons maintenant. Nous remercions Dieu pour cela. A une époque donnée, notre toxine pour le salut n’était pas très efficace, parce que c’étaient des agneaux, des boucs et ainsi de suite. Mais maintenant, la toxine a été changée. Certainement.

57        Lorsque... Comment découvre-t-on des remèdes comme médicament? Savez-vous ce qu’ils font? Ils étudient cela. Ils mettent telle quantité de–de ceci là-dedans, et telle quantité de ceci là-dedans, suffisamment d’antidote pour–pour–pour tuer le poison, et telle quantité, et ils observent le cas du patient, comment cela fortifie son... Ne prenez jamais de médicament à moins d’avoir consulté un véritable médecin, parce que cela pourrait vous tuer. Et alors, à ce moment-là, alors ils–ils font la découverte. Et ensuite, aussitôt ils injectent cela dans un petit cobaye. S’il survit à cela, alors ils vous le donnent. Et quelquefois... Tous les corps humains ne sont pas faits comme celui de cobaye, vous savez. C’est pour cette raison que cela tue certains êtres humains. Voyez-vous? Ils donnent au cobaye un petit test, et si ce petit animal supporte cela, alors ils vous le donnent. Eh bien, c’est de cette manière que l’on expérimente le médicament. Vous savez que c’est la vérité. Quand ils découvrent une certaine chose et qu’ils administrent cela au cobaye, si celui-ci survit à cela, alors ils vous le donnent. Et c’est pour cette raison qu’ils tuent beaucoup de patients, c’est parce que nous ne sommes pas tous faits comme des cobayes.

58        Eh bien, permettez-moi de vous dire quelque chose. Lorsque Dieu a testé Sa Toxine, Il n’a jamais recouru à un cobaye; Il se l’est administré. Oh! Dieu. Lorsqu’Il a été baptisé là-bas par Jean, sur les rives du Jourdain, l’inoculation est descendue du Ciel: «Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui Je me plais de demeurer». Ils ont observé cela, pour voir si cela allait tenir. Lorsqu’ils Lui ont craché au visage, cela a tenu bon. Lorsqu’Il était injurié, Il n’a pas riposté. Lorsqu’Il mourut au Calvaire, Il pria pour Ses ennemis. Cela tint bon au Calvaire. Cela tint bon dans la mort. Cela tint bon sur terre. Cela tint bon partout. Ils L’ont placé dans la tombe, et au matin de Pâques cela tint encore bon. Amen. Ce n’était pas un cobaye, mais c’est le Fils de Dieu qui reçut la toxine. Il se l’est administrée. Amen. Eh bien, je ne deviens pas excité; je commence à me sentir religieux. Oui, monsieur. Qui a reçu la toxine? Qui a testé cela? Oh! Alléluia. Il était Celui qui a pris nos péchés et qui a porté nos maladies. Il a pris sur Lui-même la toxine, ce n’était pas injecté à un cobaye, à un prophète, ou à quelque chose d’autre; Il l’a prise sur Lui-même. Alléluia. Oui, monsieur. «Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris.»

59        Cela a tenu à l’heure de la mort; cela a tenu bon à la Croix, cela a tenu bon à Gethsémané, cela a tenu bon devant chaque tentation, et tout le reste. La toxine a tenu bon. Amen. Dieu allait tester la Vie Eternelle, et Il l’a placée dans le corps humain de Son propre Fils. Il est entré et a habité en Lui, et la toxine a tenu bon. Lorsqu’Il est ressuscité au matin de Pâques, Il brisa les liens de la mort, du séjour des morts, de la tombe, et Il sortit. Il apparut aux onze pendant qu’ils étaient à table, Il les réprimanda à cause de la dureté de leur coeur et de leur incrédulité, parce qu’ils n’avaient pas cru aux femmes qui L’avaient vu après Sa résurrection d’entre les morts. Amen.

60        Il a dit: «Allez par tour le monde et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé; celui qui ne croira pas sera condamné, car Je vais leur donner une certaine toxine. Si je leur donne cette toxine, ils feront aussi les oeuvres que Je fais. Je vais inoculer l’Eglise entière ici.» Il a dit: «Par tout le monde... Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. (Alléluia.) Ils feront aussi ces miracles que J’ai faits parce que Je vais inoculer l’Eglise de la même toxine. Pouvez-vous être baptisés de la même toxine dont J’ai été inoculé?» Amen.

61        Voilà le problème aujourd’hui. Nous prenons un certain vieux credo d’une église comme inoculation. C’est la raison pour laquelle le péché s’est glissé à l’intérieur. Si nous avons le même Esprit qui était sur Lui, le même baptême, la même puissance, la même gloire, le même Saint-Esprit, cela nous inoculera de la même façon que cela L’inocula. Ôtez toute peur. Alléluia. Tenez-vous en face de l’ennemi et appelez la Parole de Dieu la Vérité. Amen. Cela vous donnera une colonne vertébrale solide comme un rondin. Cela ôtera de vous le bréchet et placera une véritable colonne vertébrale. Oui, certainement. «Pouvez-vous être baptisé de l’inoculation dont Je suis inoculé?»

62        Cela avait certainement tenu dans Sa vie. Lorsqu’on Lui a craché au visage, Il n’a pas dit: «Espèces de vieux trinitaires, espèces de vieux unitaires!» Non, non, ce n’était pas cela. Non, non. Il était inoculé de l’amour de Dieu. «Car Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point.» Il était inoculé, le Corps né d’une petite vierge dans lequel le Dieu du Ciel a demeuré. Il était inoculé par Dieu. La Vie Eternelle était son inoculation. Et cela a tenu bon à l’heure de la tentation, cela a tenu bon à l’heure de... Lorsque tout le monde L’avait abandonné, cela a tenu bon. Cela est resté efficace.

63        [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... un ennemi en face de la mort. Et ils désiraient avoir cette même inoculation, parce qu’après qu’Il fut mort et qu’Il eut été dans la tombe pendant trois jours et trois nuits, lorsque tous les cieux s’étaient assombris, la terre a eu une dépression nerveuse, et tous les–les rochers ont été arrachés des montagnes et tout le reste a témoigné qu’Il était mort et qu’Il se trouvait dans la tombe... Et le dimanche matin, l’inoculation a tenu bon, parce qu’Il avait dit: «J’ai le pouvoir de donner Ma Vie et J’ai le pouvoir de la reprendre. Cette inoculation que J’ai, va donner Ma Vie et Je vais La reprendre.»

            «Frère, c’est ce que je désire. Je désire étendre mes bras.» Vous ne la recevez pas dans le bras; vous la recevez dans le coeur. Tenez bon pour cette inoculation de la résurrection, ou la puissance de Jésus-Christ. Alléluia! L’inoculation... Maintenant, vous ne devez pas écrire un credo sur ceci. Laissez simplement Christ entrer; voilà l’inoculation. Il ne l’a jamais testée avec un credo; Il l’a fait avec Son Esprit.

64        N’y a-t-il point de baume en Galaad? N’y a-t-il point de médecins là-bas? Oh! si, nous avons le baume et les médecins. Alors, pourquoi? C’est ce que Dieu nous demandera un de ces jours. «Pourquoi?» «Pourquoi?» Les disciples devaient être inoculés, alors Il a dit: «Je vais vous dire ce que vous devez faire. Montez dans la ville de Jérusalem, et montez dans cette chambre haute, restez là jusqu’à ce que votre inoculation vienne.» Oh! frère, restez jusqu’à ce que vous serez inoculé, jusqu’à ce que la toxine descendra, que le baume descendra. Et pendant qu’ils étaient tous assis ensemble, chantant des cantiques d’un commun accord, soudain il vint du ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux. Cela inocula cent vingt personnes là-bas. Oh! la la! Qu’ils se sont mis à courir! Oh! la la! C’est comme lorsque l’on marque un veau, j’avais l’habitude de marquer les veaux. J’avais toujours pitié de ces petits compagnons. Et je devais aller à cheval pour apporter le fer, et vous les Texans, vous savez de quoi je parle. Et alors, on devait lui lier les pattes, et on prenait ce fer-là et on le lui appliquait à la va vite. Je vous assure qu’il avait des spasmes. Il donnait des ruades, il hurlait, il faisait des histoires là pendant un bon moment, mais, frère, il savait désormais à qui il appartenait. Il était marqué. C’est vrai. Et parfois, cela vous fait agir comme si vous avez perdu le bon sens, mais vous êtes marqué; vous savez où vous vous tenez. Vous êtes l’un d’entre eux, rempli du Saint-Esprit, inoculé.

65        Cent vingt furent inoculés. Oh! ils passaient un bon moment, c’est ce que je veux dire. Ils passaient réellement un moment glorieux. Ils sont sortis de là étant tous inoculés, ils avaient la Vie Eternelle, ils savaient que Dieu allait les ressusciter aux derniers jours. Et ils passaient un bon moment. Et ils étaient tellement remplis de gloire... Beaucoup d’entre eux pouvaient s’exprimer en quatre, cinq, six, sept, huit, dix langues différentes, mais ils n’ont même pas pu trouver une seule langue dans laquelle ils pouvaient Le louer, alors, ils ont juste... Dieu leur a donné une langue toute neuve afin de Le louer, alors ils se sont simplement mis à parler dans des langues inconnues, selon que l’Esprit leur donnait de s’exprimer. Ils avaient tout simplement... Ils étaient inoculés. Cela montrait qu’ils avaient été inoculés. Ils étaient–ils parlaient d’un Royaume où ils se rendaient. Ils étaient inoculés.

66        La question du péché était réglée. Pierre n’avait plus à sortir pour pleurer amèrement. C’était fini à ce moment-là. Il était inoculé. Absolument. Et vous savez quoi? Certains d’entre eux avaient tellement faim de cela, et savez-vous ce qu’ils ont fait? Ils ont dit: «Hommes, frères, que pouvons-nous faire? Avons-nous un médecin ici?»

            «Oui.»

            «De quoi s’agit-il?»

            «Ceci est un baume.»

            «Y a-t-il un médecin ici?»

            «Oui. Son nom c’est le docteur Simon Pierre.» «Très bien, Pierre, veux-tu nous écrire une ordonnance?»

            «Oui. Je n’ai pas besoin d’en établir tout le temps. Je vais simplement en établir une, une fois pour toutes. Je vais vous établir une ordonnance.»

67        Maintenant suivez, frères. Vous savez quoi? Si l’ordonnance a été prescrite correctement, n’amenez jamais cela dans l’une de ces pharmacies de charlatans qui pourraient y mettre un petit peu, ou plutôt y ajouter un petit peu, ou en retrancher. Si vous mettez quelque chose de différent là-dedans et que vous mélangiez cette formule, cela tuera votre patient. Et si vous réduisez trop l’antidote ou si vous y ajoutez trop, cela ne fera aucun bien. Laissez donc simplement cela tel que c’est prescrit. Il a dit... Quel genre d’ordonnance? Il a dit: «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car cette ordonnance est pour vos enfants, et pour les enfants de vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» L’inoculation... Oh! frère, repentez-vous et mettez-vous en ordre avec Dieu. Ôtez toutes les choses... Dieu a promis qu’Il vous donnera le Saint-Esprit. Voilà l’ordonnance.

68        «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: En Mon Nom ils chasseront les démons. Ils parleront de nouvelles langues. S’ils saisissent un serpent ou prennent un breuvage mortel, cela ne leur fera aucun mal.» Car ils sont inoculés...?... Ils...?... chacun d’eux. Alléluia! Prêchez cela tel quel. N’y a-t-il point de baume en Galaad? Ou bien, n’y a-t-il pas d’inoculation ici? Il y en a plein. Alléluia! Gloire! Oh! la la! Oui. Oui, le baume–le baume en Galaad. Inoculé... Cela peut tenir en face de la mort. Venir droit en face de...

69        Une fois, saint Paul, on érigeait un échafaud pour lui couper la tête là-bas à Rome. Je me suis tenu au même endroit. Paul a dit: «Ô mort, où est ton aiguillon? Ô mort, où est ta victoire? J’ai été inoculé. Comment vas-tu me retenir? Que vas-tu me rétorquer? Grâces soient rendues à Dieu qui a envoyé le baume de Galaad et qui a inoculé mon coeur avec le baptême du Saint-Esprit.» Il n’y a rien dans le futur, la mort...?... aucune organisation, ni rien ne peut vous séparer de l’amour de Dieu qui est en Jésus-Christ. Alléluia. Aussi longtemps que nous sommes en Dieu, nous sommes inoculés...?... du monde.

70        Les organisations, les frontières, vous les franchirez carrément et vous sauterez au cou de l’autre frère, si vous avez l’inoculation. Amen. Oh! je me sens bien. Oh! nous avions coutume de chanter un petit cantique:

            Je m’envolerai, oh gloire, je m’envolerai.

            Un matin radieux, lorsque cette vie sera finie,

            Je m’envolerai.

            Je suis si heureux d’être inoculé. Oh! le Fils de Dieu a pris sa propre Vie et L’a injectée dans la mienne, Il L’a injectée dans la vôtre, et alors, Il descend et la vivifie par Sa Présence. Oh! la la!

71        Vous savez, d’habitude lorsque vous prenez un sérum, de temps en temps... Vous êtes inoculé, mais vous devez recevoir un vaccin de rappel. Et ce dont cette ville a besoin dans l’Eglise pentecôtiste aujourd’hui, c’est un vaccin de rappel. Alléluia. Ne donnez pas un vaccin de rappel en disant: «Nous allons former encore quelques organisations.» Cela ruinera votre ordonnance. Faites carrément demi-tour et prenez un vaccin de rappel du même genre que ce qui était venu la première fois, le même baptême par la même expérience, et le même Saint-Esprit. Amen. Amen. Gloire éternellement et pour toujours, gloire et puissance à la résurrection de Christ...?...

            Ensuite Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, parce que vous avez été inoculés.» Amen. Inoculé par la puissance de la résurrection... Oh! quel avant-goût de la gloire divine! Amen. Je sais que vous pensez que je suis bruyant, mais, oh! la la! c’est exactement de la même manière que, je pense, vous deviendrez aussi bruyant. Inoculé, marqué, tellement content de savoir où je suis, dans la maison de Dieu. N’êtes-vous pas heureux, vous les chrétiens? Oh! Il est ici. Oh! sans l’ombre d’un doute. Inclinons la tête et adorons-Le.

72        Ô Seigneur Jésus, ô Dieu, Ton Esprit est tellement riche et... «Combien riche et pur, il endurera pour toujours les chants de saints et des anges.» L’amour de Dieu, qui traverse le–qui va dans les profondeurs, qui tend la main pour saisir les perdus, l’amour de Dieu qui est répandu dans notre coeur par le Saint-Esprit. Seigneur, nous avons le baume. Nous avons l’inoculation. Nous avons des médecins ici qui peuvent lire l’ordonnance. Ô Dieu, Tu es ici comme un pharmacien afin de remplir cela et de donner l’inoculation. Je Te prie, ô Dieu, d’accorder cela à chaque coeur ce soir, qui est indifférent vis-à-vis de Christ. Accorde-le. Que Ton glorieux Esprit s’avance maintenant et manifeste Sa puissance. Accorde-le. Alors que je m’appuie sur ces mouchoirs, ces linges, ces petits tissus, que le Saint-Esprit qui apporte cette joie de la Fontaine de vie dans cette église, ô Dieu, puisse-t-Il passer sur chacun de ces petits tissus. Au Nom de Jésus-Christ, puisse chacun d’eux être béni et que les gens soient guéris. Je Te les recommande, Seigneur, avec cette assistance, dans le Nom de Jésus-Christ le Fils de Dieu. Amen et amen.

73        Oh! la la! Combien–combien je suis heureux! Oh! je suis si heureux, je suis si heureux. Lorsque j’avais l’habitude de... Lorsque j’étais garde-chasse, je traversais... Il y avait une vieille petite fontaine. Et c’était la fontaine la plus heureuse que j’aie jamais vue. Elle ne faisait que bouillonner, bouillonner, bouillonner tout le temps, en été comme en hiver. Un jour je me suis assis à côté de cette vieille petite fontaine, et j’ai dit: «Qu’est-ce qui te rend si heureuse?» Bien sûr, elle ne pouvait pas me répondre. Et je me suis dit: «Eh bien, si elle pouvait me répondre, que dirait-elle?» J’ai dit: «Es-tu heureuse parce que les cerfs boivent de ton eau?

            «Non.»

            J’ai dit: «Pourquoi bouillonnes-tu? Parce que les ours boivent de ton eau?»

            «Non.»

            «Bouillonnes-tu parce que je bois de ton eau?»

            «Non.»

            J’ai dit: «Qu’est-ce qui te fais bouillonner tout le temps?»

            Si elle pouvait parler, elle dirait: «Frère Branham, ce n’est pas moi qui bouillonne. C’est quelque chose en moi qui me fait bouillonner, qui me pousse.»

74        Et c’est ce qu’il en est d’un fils de Dieu né de nouveau, qui a été inoculé par la puissance de Jésus-Christ ressuscité. «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, a dit Jésus. C’est le Père qui demeure en Moi. C’est Lui qui fait le travail.» Ce n’est pas juste... S’il y a quelqu’un ici qui ne comprend pas cela, ce ne sont pas ces gens qui bouillonnent; c’est quelque chose là au-dedans d’eux  qui les fait bouillonner au dehors (C’est vrai.), des puits jaillissants, des geysers qui surgissent. Il a dit à la femme au puits que les eaux de la Fontaine de Vie jailliraient jusque dans la Vie Eternelle.

75        Oh! ce n’est pas étonnant que le poète ait dit: «C’est une joie inexprimable et pleine de gloire.» Amen. Fiou! Oh! je sens comme si j’avais deux fois ma taille. Oui, oui, je me sens chez moi maintenant. Je suis content. Je suis content que nous soyons sortis. N’êtes-vous pas heureux? Oh! la la! qu’est-ce que Dieu pourrait faire avec ce petit groupe à cet instant même? Ce qu’Il peut faire, s’Il peut se saisir d’une personne ici de sorte qu’Il puisse avoir dans Sa main cette seule personne, Il peut–Il peut mettre dix mille personnes en fuite avec cette seule personne. Avec une seule personne qui a une foi authentique, il peut mettre en fuite dix mille démons qui se sauveraient à toutes jambes. Oui, oui. Amen. Je suis très content, pas vous?

76        Nous avions coutume de chanter un petit cantique lorsque je suis arrivé pour la première fois parmi les pentecôtistes. Ils disaient: «Je suis si heureux que Jésus m’ait libéré.» Certainement. Vous étiez tous liés. Il vous a donné l’inoculation. C’est ce qui vous a libéré. C’était tout ce qu’il fallait. Amen.

            Je L’aime, je L’aime

            Parce qu’Il m’aima le premier

            Et acquit mon salut

            Sur le bois du Calvaire.

            Oh! cela ne vous fait-il pas quelque chose?

                 ... je L’aime (Pensez-y tout simplement.)

                 Parce qu’Il m’aima le premier (Et qu’a-t-Il fait? Il nous a inoculés.)

                 Et acq-... (Acquit la toxine) mon salut

                 Sur le bois du Calvaire.

77        Oh! comme je suis heureux! Comme je suis content d’avoir découvert ceci! Comme je suis heureux d’avoir reconnu, d’être parvenu à un point où j’ai pu me rendre compte que je ne suis rien! Et–et un jour, Il m’a ramassé, Il m’a embrassé, toutes mes larmes ont été essuyées, et Il a dit: «Tu es à Moi maintenant.» Oh! cela a tout simplement brisé mon coeur, et j’ai dit: «Oh! Seigneur, laisse-moi marcher avec le Seigneur dans la Lumière de Sa Parole. Laisse-moi rester jour et nuit sous l’onction de l’Esprit.» C’est une honte de devoir quitter cela. N’est-ce pas? C’est tellement merveilleux.

            Souvenez-vous, mes amis, je vous aime. La nuit ne sera pas trop sombre et la pluie ne–ne sera pas trop forte, pour que je ne puisse faire pour vous tout ce que je peux. Souvenez-vous simplement, je suis votre frère. Je vous aime de tout mon coeur.

78        A-t-on distribué des cartes de prière? Quelqu’un a-t-il une carte de prière? Oh! j’ai oublié cela. Eh bien, il est inutile d’en appeler une. Très bien, nous ne sommes pas obligés. Dieu guérira de toute façon. Croyez-vous dans l’inoculation? Croyez-vous que Jésus a frayé une voie au travers de Son Sang, qu’Il a pu mettre Son sérum dans un croyant, et que ce même sérum dans ce croyant fera la même chose que cela avait fait dans l’autre homme? Cela fera... Oh! Il est merveilleux, n’est-ce pas? «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.»

79        Très bien, vous là-bas, si Dieu témoignait maintenant... Combien sont malades? Faites voir la main, vous qui désirez une assistance de la part de Dieu, levez simplement la main. Très bien. Oh! n’est-Il–n’est-Il tout simplement pas une joie ineffable et glorieuse? Maintenant, soyons aussi respectueux que possible pendant quelques minutes, et regardons simplement à Lui maintenant. Ne sentez-vous tout simplement pas les pluies de bénédiction? «Nous aurons des pluies de bénédiction, envoie-les-nous, ô Seigneur. Accorde-nous maintenant un rafraîchissement.» N’aimez-vous pas cela? Ce rafraîchissement, cette vie?

80        Frère, soeur, j’aimerais vous dire une chose. J’aimerais que vous me croyiez alors que je vous parle dans le Nom du Seigneur et que je dis «AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Il n’y a qu’une seule chose qui peut vous guérir, et c’est Dieu. Et la seule voie par laquelle vous pourriez parvenir jusqu’à Lui, c’est par la foi. Est-ce vrai?

            Maintenant, nous savons que nous croyons à l’imposition des mains. N’y croyez-vous pas? Et je vous demande un peu de patience... Vous vous êtes toujours demandé... Les gens disent: «Frère Branham, Oral Roberts prie pour cinq cents personnes, là où vous, vous priez pour cinq personnes.» Je le sais. C’est vrai. Oral Roberts prie pour eux de la manière que Dieu lui a dit de le faire; moi je prie de la manière dont Dieu me dit de le faire. Voyez-vous? Ainsi il–il... Dieu... il obéit à Dieu, et moi aussi. Mais, vous voyez, Oral Roberts et ces frères-ci qui pratiquent l’imposition des mains, je vous demande un peu de patience un instant, ça c’est une coutume juive. Ce n’était pas le cas pour les Gentils.

81        Considérez le–le sacrificateur. Il a dit: «Viens imposer les mains à ma fille, et elle–elle se lèvera; elle se portera bien, si Tu viens lui imposer les mains.» Ça c’est une coutume juive, l’imposition des mains. Mais lorsqu’Il est venu devant le centenier romain, celui-ci a dit: «Je ne suis pas digne que Tu viennes sous mon toit. Dis seulement un mot.» Qu’a-t-il reconnu? Que Jésus avait la puissance sur toute maladie. Il a dit: «Je suis un–je suis un–je suis un centenier.» C’est-à-dire un chef de cent hommes. Une centurie est constituée de cent hommes. «Je dis à celui-ci: ‘Va faire ceci’, et il le fait. Je dis à celui-ci ‘viens’ et il vient. Il est donc obligé de venir, il est sous mes ordres.» Que voulait-il dire par cela? «Je sais que Tu as autorité sur chaque maladie, chaque affection. Prononce seulement la Parole; c’est tout ce que Tu as à faire.»

82        Qu’a dit Jésus? Il s’est retourné et a dit: «Je n’ai jamais vu pareille foi en Israël.» Maintenant, nous aimerions avoir cela à un niveau plus élevé, n’est-ce pas? La guérison a déjà été accomplie au Calvaire. Alors, si Dieu fait venir au moins deux ou trois personnes qui sont dans cette assistance ce soir, dont je ne sais rien, et vous montre que ce que je vous ai prêché est la vérité, s’Il prouve que je vous ai dit la vérité...Maintenant, enfermez-vous tout simplement pendant un instant. Dites ceci: «Seigneur Jésus, cet homme ne me connaît pas.» Eh bien, il y a deux ou trois personnes là que je connais. Je connais frère et soeur Evans qui sont assis par ici, et voici leurs deux filles qui sont assises juste ici. Et puis, frère Sothmann, frère Fred Sothmann qui est là est l’un des administrateurs de mon église, à Jeffersonville. Et je pense que frère... C’est lui et sa femme, et frère et soeur Simpson sont assis juste à côté d’eux. Ils sont derrière, juste de ce côté. Maintenant j’aimerais juste regarder l’assistance pendant un instant. J’aimerais que vous croyiez de tout votre coeur. Oh! vous ne savez pas comment cela... Je viens de sentir cela me frapper en cet instant même. Voyez, je–je sais que cela se produira. C’est tout. Dieu l’a promis. Ses promesses sont vraies. Le croyez-vous? Croyez-moi en tant que Son serviteur. C’est merveilleux.

83        Comme je vous en parlais l’autre jour, du moment où je me tenais en Inde, vous savez, là où il y avait ces milliers de gens, eh bien, c’était simplement de cette manière-là. Vous avez la chose juste entre vos mains. Dieu a bel et bien donné cela. Je prends chaque esprit ici sous mon contrôle pour la gloire de Dieu. Oh! que pourrait-il se passer en cet instant même? Voyez? Nous nous réjouissons. C’est ça la joie de Dieu. C’est ça la joie de notre salut. Est-ce vrai? Vous voyez, David n’avait jamais perdu son salut. Il a dit: «Rends-moi la joie de mon salut.» Il avait son salut, mais il avait perdu sa joie. Eh bien, nous avons beaucoup de joie. Nous le savons. Nous avons la joie, une joie ineffable et glorieuse. Nous possédons cela.

84        Mais alors, cette chose qu’est la puissance de Dieu est une chose plus grande que la joie. La puissance vient au travers d’une foi établie. Nous pourrions avoir beaucoup de joie, mais il se peut que nous n’ayons aucune puissance du tout dedans pour guérir. Mais lorsque nous avons–nous avons la puissance de Dieu, nous avons alors la foi de Dieu qui s’élève, qui s’accroche à Dieu, qui sait comment Le toucher.

            Maintenant, soyez tout simplement en prière. Je surveille cela pour vous. S’Il me touche, je le saurai alors. Y a-t-il quelqu’un ici qui n’a jamais assisté à l’une des réunions? Faites voir la main, ceux qui n’ont jamais été dans l’une de mes réunions auparavant? Un homme, deux hommes, trois hommes, quatre, cinq. C’est bon. Six, six personnes qui n’y ont jamais été auparavant. J’aimerais alors vous dire quelque chose, frères. Comment Jésus a-t-Il reco-... comment le monde a-t-il reconnu Jésus comme étant le Messie? Parce qu’Il pouvait dire aux gens qui ils étaient, ou ce qu’ils étaient, ou ... Lorsque Simon Pierre s’est avancé, il était juste un vieux pêcheur, Il a dit: «Tu es Simon. Tu es le fils de Jonas.» Pierre a cru en Lui. Lorsqu’Il est venu vers... Eh bien, nous avons simplement parcouru toute la Bible. Hier soir, nous avons pris Zachée qui était dans un arbre. L’aveugle Bartimée, lorsqu’il L’a touché, Il s’est retourné et lui a parlé. La femme au puits, Il lui a dit où se situait son problème, et elle a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie même?»

85        Il ne l’avait jamais fait devant un homme des Gentils. Cela est allé seulement chez les Juifs et chez les Samaritains; en effet, eux attendaient un Messie. Maintenant, ils désir-... Nous, nous avons erré pendant deux mille ans dans l’obscurité. Mais maintenant, les Gentils ont eu leurs jours de préparation, et maintenant l’Eglise passe au crible. Elle est arrivée à la fin, tout comme eux étaient arrivés à leur fin, quatre mille ans, et ensuite, ils étaient arrivés à leur fin, cela fait maintenant deux mille ans, parce qu’Il est juste en train de prendre un peuple, pas une nation, juste un peuple du milieu des Gentils qui puisse porter Son Nom. Ils porteront Son Nom. Voyez? Pour porter Son Nom, Il prend un peuple du milieu des Gentils. Mais Il a pris Israël en tant que nation.

86        Mais Il est le même Christ, et Il a promis que ce qui arriva aux jours de Lot, la chose qu’Il avait faite, Il la ferait de nouveau. Combien aimeraient–croient que l’Ange de Dieu, Celui qui rencontra Lot–rencontra Abraham ... Il n’est jamais descendu chez Lot. Il est resté avec Abraham. Vous ... Avez-vous lu ce récit maintes fois?

            Eh bien, deux d’entre eux sont descendus chez Lot, et L’Un d’eux... Ils les ont fait sortir, mais Celui-ci n’est jamais descendu chez Lot. Et Il était le Seigneur Dieu, Elohim. Et Il avait Son dos tourné à la tente. Il a d’abord regardé Abraham, et Il lui a demandé où se trouvait sa femme Sara.

            Il a dit: «Elle est dans la tente, derrière Toi.» Il a dit: «Je vais te visiter au temps de la vie, le temps de la vie (une nouvelle période de vingt-huit jours).» Elle avait alors cent ans. Elle avait juste quatre-vingt-dix ans. Elle avait quatre-vingt-dix, et Abraham en avait cent. Et Il a dit... Et elle a ri. Il a dit: «Pourquoi a-t-elle ri?» Or, Il a dit que cela se répèterait.

87        Je vais juste le faire de deux façons, pour voir s’il s’agit du même Dieu. Maintenant, que le Dieu du Ciel ... Et regardez, avec cette Bible... Permettez-moi de dire ceci, vous chrétiens, avec cette Bible posée sur mon coeur. Un peu d’incrédulité s’est glissée, une personne est venue hier soir, et s’est tenue là au bord de l’estrade, elle a perturbé la réunion. Dieu s’en chargera. Bien que je l’ignorais. N’ayez jamais de telles pensées, frère. Permettez-moi de dire ceci avec la Bible sur mon coeur; je ne fais pas ceci pour offrir un spectacle. Je le fais parce que cela accomplit ce que Jésus avait annoncé. Lorsqu’Il est venu, Il n’était pas obligé de guérir. Il l’a fait afin que cela soit accompli. Est-ce vrai? Ceci ne doit pas... Il n’est pas obligé de le faire, mais Il le fait afin que cela soit accompli. C’est ce qu’Il a promis. C’est Sa Parole. Il permet donc cela pour l’accomplissement de Sa Parole.

88        Dieu peut-Il guérir les troubles cardiaques? Il l’a donc fait, n’est-ce pas? C’est terminé maintenant. Je n’ai jamais vu cette femme de ma vie, mais maintenant elle est guérie. Alors, cela accomplit-il Sa Parole?

            Eh bien, vous direz: «Frère Branham, qu’est ce que cela accomplit?» Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Est-ce vrai?

            «Eh bien, je pensais que vous disiez qu’Il était El, Elah, Elohim.» C’est vrai.

            Bien, vous direz: «Il avait le dos tourné, et Il a su ce que faisait Sara.» C’est correct.

            Alors vous direz: «Etes-vous Lui?» – Nullement.

            C’est Lui qui est partout dans cette salle. Vous voyez? C’est Lui en vous, Lui en moi, mais Il doit agir à travers quelqu’un. Aucun de nous n’est digne. Nous ne pouvons pas être dignes; nous sommes des pécheurs, mais Il nous a choisis. Je crois que nous étions–que les dons et les appels sont sans repentir. Je crois que Dieu nous a choisis, nous Son Eglise, avant la fondation du monde. Le croyez-vous? C’est ce que dit la Bible. C’est vrai. L’antichrist séduira tous ceux, sur la terre, dont les noms n’ont pas été écrits dans le Livre de Vie de l’Agneau depuis la fondation du monde.

89        Vous qui êtes par ici, priez; que quelqu’un prie et voie. Nos frères, cela vient aussi de vous qui êtes ici derrière. Alors priez tout simplement avec moi, frères. Nous verrons où se trouve ce même Ange-là. Maintenant, prenez simplement votre temps. Soyez révérencieux. Nous allons juste prendre notre temps. Nous avons suffisamment de temps. Ne soyez tout simplement pas pressés. Ne vous pressez pas. Restez tranquilles, dites: «Seigneur Dieu, cet homme m’a tourné le dos. Et je sais qu’il est juste un homme, alors s’il–il me connaissait, il faudrait que ce soit Toi qui le lui dise. C’est tout ce qu’il en est, parce que je suis juste un inconnu assis ici dans cette réunion.»

90        Oui, il y a une femme qui apparaît devant moi juste ici maintenant. Je regarde droit vers elle. J’aimerais que vous regardiez par ici, frères. Ne voyez-vous pas? Regardez juste par ici, juste sur la lisière de ce tissus-ci (voyez?), c’est rouge. (Voyez?) Regardez par ici. Voyez-vous cette Lumière? Eh bien, il y a une femme assise juste derrière moi. Elle est vraiment troublée. Elle a l’arthrite, elle a l’hypertension, elle est dérangée par une allergie et elle a des complications. Maintenant, si seulement elle ne manque pas cela lorsque je vais me retourner. Elle s’appelle Mme Kahn. Tenez-vous debout Mme Kahn, recevez votre guérison. Maintenant, est-ce que vous croyez? Ayez alors foi en Dieu.«Abraham, où est ta femme, Sara?»«Dans la tente derrière Toi.» Voyez-vous ce que je veux dire?Qu’en est-il de certains d’entre vous autres? Cela peut-il vous arriver? Cela peut vous arriver si vous voulez bien le croire. Tenez, voyez-vous, cette femme assise juste ici? Voyez-vous cette Lumière juste là au-dessus? Regardez par ici. Elle a levé les yeux vers moi à ce moment-là, elle prie. Elle ne prie pas pour elle-même, c’est pour un fils. Qu’étiez-vous en train de demander, c’est pour votre fils, n’est-ce pas, madame? Croyez-vous que Dieu peut me dire son problème? Allez-vous accepter la guérison pour lui? Un problème de l’estomac. C’est vrai. Croyez simplement, c’est tout.

91        Y a-t-il quelqu’un dans cette section? Qu’est-ce que vous croyez, vous tous qui êtes de ce côté? Croyez-vous de tout votre coeur? Ayez la foi. Croyez simplement. Combien parmi ceux qui sont ici sont malades et n’ont pas une carte de prière? Cela commence juste à vous pénétrer en ce moment. Voyez? Vous voulez qu’on prie pour vous, mais vous n’avez pas une carte de prière. Eh bien, personne n’a de carte de prière, bien sûr, c’est exact. Je pense qu’on m’a dit qu’il n’y a qu’une seule carte de prière ici quelque part, cela provient probablement d’une réunion précédente ou de quelque chose comme ça. Si ... Que tout le monde ait la foi maintenant et croie...?... «Si tu peux croire ...»Juste ici, regardez par ici, vous ici dans la première rangée. Cette hernie, croyez-vous que Dieu guérira cela? Croyez-vous cela de tout votre coeur? Vous pouvez recevoir ce que vous avez demandé. Qu’en est-il de vous, monsieur par ici, qui avez incliné la tête? Cela est passé au-dessus de cette femme, et c’est allé directement de là pour se tenir au-dessus de cet homme. Vous aussi vous êtes dans le besoin, n’est-ce pas? Croyez-vous que Christ peut vous guérir? Vous souffrez des yeux et des oreilles. Vous venez de Houston, au Texas. Monsieur West, retournez à Houston et dites aux autres que Christ guérit les malades.

92        Croyez-vous maintenant de tout votre coeur? Vous avez eu une dépression nerveuse, n’est-ce pas, madame? Vous venez de Corpus Christi, là, croyez de tout votre coeur. C’est Dieu qui guérit toutes les maladies. Croyez-vous de tout votre coeur?Vous avez levé la main là tout à l’heure, monsieur qui souffrez de cette affection du foie et d’un trouble de l’estomac, M. Rainwater, de la Louisiane. C’est la première fois pour vous d’assister à une réunion, je pense que vous aviez levé la main. Que pensez-vous de Lui? N’est-Il pas un Guérisseur merveilleux? Retournez et dites aux autres par là ce qu’Il peut faire pour vous. Maintenant c’est terminé. Ce petit garçon assis là derrière souffre d’un blocage mental, n’est-ce pas? C’est dû ... Un médecin lui a fait quelque chose. Une trop forte dose d’anesthésie lui a causé un blocage mental. Si je vous disais qui vous êtes, allez-vous poser la main sur ce garçon pour moi? Mme Howell, c’est vrai, posez la main sur le garçon. Je condamne ce démon. Satan, sors de lui. Au Nom de Jésus-Christ, je demande Sa guérison.

93        Est-ce que vous croyez? Est-ce que tout le monde croit? Dieu est-Il ici? Est-ce ceci l’inoculation? Est-ce le même Saint-Esprit, le même Seigneur Jésus, Celui qui a été promis? Combien parmi vous sont des croyants? Levez la main. Alléluia! Alors imposez-vous les mains les uns aux autres et faites juste comme je vous dis maintenant. Maintenant, tenez-vous vraiment tranquilles, imposez-vous les mains les uns aux autres. J’ai quelque chose maintenant, si vous allez faire attention à ceci pendant juste un instant. Très bien. Maintenant, je vais dire la prière. Je sais certainement ce qu’il faut pour vaincre votre ennemi en ce moment. Je vais mettre des paroles dans votre bouche, et vous, répétez-les du fond du coeur. Répétez ces paroles de prière. Je vais les prononcer.

94        Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, Donateur de tout don parfait, pardonne mon péché d’incrédulité et accorde-moi Ta miséricorde. Je crois en Toi. Je T’accepte comme mon Sauveur, mon seul Salut. J’ai besoin de Ta force pour ma santé. Je ne peux pas avancer sans Toi. Je T’accepte maintenant comme mon Guérisseur. Je renonce au diable et à toutes ses oeuvres. Dorénavant, je vais avoir des pensées positives. Je croirai chaque promesse. Maintenant, j’accepte les Ecritures qui disent que «par Ses meurtrissures je suis guéri». Je crois cela. Cela m’appartient. Je Te remercie, Seigneur. Je continuerai de témoigner de ma guérison jusqu’à ce que je serai parfaitement guéri. Eh bien, maintenant restez tranquilles; maintenant, gardez les mains les uns sur les autres. Maintenant, priez. Enfermez-vous maintenant avec Dieu. Vous allez voir quelque chose se produire maintenant. Très bien, frères, les ministres; tout le monde, êtes-vous prêts? Or, si Dieu entend ma prière ici, Il l’entendra n’importe où. Maintenant vous avez prié. Vous avez fait votre confession, juste comme vous l’auriez fait en venant comme un chrétien. Vous êtes prêts maintenant...  Si vous étiez un pécheur, vous êtes prêt pour le baptême. Maintenant, étant donné que vous êtes chrétien, vous avez fait votre confession, et maintenant vous êtes prêt pour la guérison. Maintenant, qu’est-ce que cela requiert-il?

95        Maintenant, Dieu est prêt à vous la donner. Il n’y a qu’une seule chose qui plane sur vous. C’est une toute petite ombre de doute. Maintenant, si nous pouvons faire une percée à travers cela... c’est juste comme un grand avion, on m’a appris que ces avions à réaction, s’ils peuvent juste faire un effort constant jusqu’à franchir le mur du son, après qu’ils ont franchi ce mur du son, alors ils sont libres. Eh bien, si vous pouvez tout simplement vous élever au-dessus de ce petit–petit mur de doute qui est là, oh! frère, que se passerait-il? Vous allez courir librement. Vous serez guéri. Maintenant, j’aimerais que vous soyez très respectueux. Gardez vos mains les uns sur les autres, et restez alors enfermés avec Christ, comme s’il n’y avait personne près de vous, à part Lui; et imaginez simplement dans votre coeur que vous Le voyez maintenant venir, s’avançant droit vers vous, se tenant droit devant vous. Alors, ouvrez votre coeur et laissez-Le entrer, pendant que je prie et que je chasse cette petite ombre des ténèbres qui plane au-dessus de vous. Et lorsque cela se dissipera, vous serez alors au-delà du mur du son, levez-vous alors et rendez-Lui gloire. Chaque fois que vous sentirez que votre âme traverse cette incrédulité, vous serez alors libres en Christ.

96        Père céleste, nous Te remercions pour tout ce que Tu as fait, pour les nombreuses guérisons, pour la glorieuse puissance de Dieu, pour les nombreuses personnes qui ont été sauvées, pour la communion des ministres, et par-dessus tout, la communion du Saint-Esprit. Tu ne nous as jamais délaissés une seule fois, mais Tu nous as dit la vérité chaque fois, Tu as confirmé Ta Parole par des miracles et des prodiges qui suivaient. Et maintenant, Père, ce petit groupe est sorti ce soir en chancelant pour rouler sur ces routes glissantes et sous la pluie, pour venir ici afin de voir Jésus. Nous T’avons vu, nous T’avons senti; nous savons que Tu es ici. Nous avons Ta Parole dans nos coeurs. Ils ont confessé; ils ont confessé ouvertement, publiquement qu’ils croient et T’ont accepté comme leur Guérisseur. Maintenant leurs âmes se débattent, Seigneur, pour franchir cette petite barrière-là, cette petite chose là-bas qui les secoue: «Je me demande si c’est de moi qu’il s’agit? Je me demande si cela va disparaître.» Ô Dieu, que la puissance de Jésus-Christ les élève à l’instant même, brise ce mur.

97        Satan, recule! Tu as perdu la bataille. Laisse l’Eglise traverser. Au Nom de Jésus-Christ. Satan, sors d’ici; je te chasse. Au Nom de Jésus Christ, tenez-vous debout et réclamez votre guérison. Réclamez votre guérison et tous les...? ... Je vous confie au Seigneur Dieu, Jésus-Christ. Dans Son précieux Nom, je vous déclare tous guéris. Levez-vous et acceptez maintenant votre guérison au Nom de Jésus-Christ.

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