La Plus Grande Bataille Jamais Livrée

Date: 62-0311 | La durée est de: 2 heures et 54 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, Frère Orman. Que le Seigneur te bénisse.

2          Bonjour, mes amis. Je suis heureux d’être de retour ici ce matin, et c’est un peu imprévu, je pense, pour moi, et je suis sûr que ça l’est pour l’assemblée. Et je lisais simplement et (Merci, soeur) et il semble que le Seigneur m’a mis à coeur un petit quelque chose à apporter à l’église, et j’ai pensé que c’était le moment de le faire.

3          Et maintenant, ce... quand je suis arrivé, et alors, sans savoir que nous serions ici ce dimanche-ci, j’avais annoncé que j’ai un–un Message pour l’Eglise. Et je voudrais, Dieu voulant, apporter ce Message dimanche prochain. Et ce sera assez long, alors, probablement qu’on ne sortira peut-être pas avant midi et demi ou treize heures, si à cette heure-là. Je l’ai à coeur depuis longtemps, et je pense que je me dois de donner une réponse au public pourquoi je n’ai pas été actif sur le champ de travail. J’ai prêché tout autour, mais je suis sûr que ça n’a encore jamais été exprimé tout à fait comme ça devrait l’être. Alors, je pense, le Seigneur voulant, dimanche prochain, je voudrais vraiment prendre mon temps et présenter clairement la raison et le pourquoi, et vous faire voir, selon les Ecritures, ce qui est en train d’arriver, voyez, juste le pourquoi de tout ceci. En effet, je vais probablement partir outre-mer ou quelque part très bientôt. J’attends maintenant de voir de quel côté Il va m’appeler à aller.

4          Le derni-... Il y a peut-être trois nuits ou deux, j’ai reçu un coup de téléphone vers minuit; et c’était afin de prier pour une femme qui était à l’hôpital. Et ils m’ont téléphoné et m’ont demandé de prier. Je ne me souviens plus du nom qu’ils m’ont donné, que... Ils disaient que c’était une amie de madame James Bell, notre soeur ici, de l’église, une soeur de couleur, une femme très loyale, une femme très bien. Je pense que le nom était Shepherd, celui qu’on m’avait donné. Alors, je suis sorti du lit et je me suis agenouillé, et–et j’en ai parlé à ma femme (La sonnerie du téléphone l’avait réveillée), et j’ai dit: «Nous devons prier pour madame Shepherd, une soeur a téléphoné, c’est une amie de madame James Bell.»

5          Alors, nous avons prié pour elle, et nous nous sommes remis au lit. Et puis, le lendemain vers dix ou onze heures, j’ai reçu un autre appel. C’était Billy. Et il a dit que ce n’était pas madame Shepherd; il a dit que c’était madame Bell elle-même, et non l’amie de madame Bell. «C’était madame Bell, et elle est à l’hôpital; c’est très grave.» Et je suis allé à toute vitesse à l’hôpital, mais elle était partie. Le Seigneur avait rappelé madame Bell à la Maison.

6          Mme Bell a été fidèle à se rassembler avec nous ici à l’église depuis des années. Son mari, James, et moi, nous avons travaillé ensemble, avec mon père, il y a bien des années, à rentrer... nous rentrions les wagons de la compagnie des chemins de fer Pennsylvania dans les entrepôts de Colgate, ici, il y a bien des années, une trentaine d’années, je pense, ou plus. Et nous aimons soeur Bell. C’était une personne formidable.

7          Et d’après ce que j’ai compris, elle a connu une crise aiguë de l’affection de la vésicule biliaire, et ils... Son médecin, qui connaissait très bien le cas, n’était pas en ville à ce moment-là, un nouveau médecin est venu l’examiner et il a suggéré qu’elle soit opérée d’urgence, et elle n’y a pas survécu. Et–et elle était... Je pense que son... D’après ce que j’ai compris, c’est que son médecin traitant n’aurait pas prescrit la–l’intervention chirurgicale, vu qu’elle était corpulente et que sa vésicule biliaire était en mauvais état. Et elle avait des calculs, je pense, ou quelque chose comme ça dedans, et–et le Seigneur avait été miséricordieux. Elle avait piqué de ces crises-là auparavant, et le Seigneur s’en était occupé, bien des fois; mais il s’est simplement trouvé que... Enfin, tout bien pesé, nous dirons ceci: Dieu avait appelé soeur Bell, et c’est comme ça qu’il fallait la prendre. Vous voyez?

8          Et comme il s’est mal exprimé, en transmettent cela, j’ai pensé qu’il s’agissait de madame... d’une demoiselle Shepherd. Je ne connaissais pas mademoiselle Shepherd. La dame est peut-être ici ce matin, et peut-être que je la reconnaîtrais si je voyais son visage. Mais on disait que c’était une madame Shepherd. Et si tout s’est passé comme ça, c’est parce que si... si j’avais su que c’était madame Bell qui était dans cet état-là, je serais probablement allé là-bas et j’aurais tout de suite intercédé pour elle. Et alors, voyez-vous, ça, Dieu ne voulait pas que nous fassions ça, peut-être. Alors, nous savons que toutes ces choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu. Et je suis sûr que soeur Bell aimait notre Seigneur. Elle était une brave femme.

9          Or, elle est l’une d’entre nous. Ici, nous n’avons pas de lignes de démarcation raciales. La famille de Dieu ne trace pas de lignes de démarcation raciales. Que nous soyons rouges, bruns, noirs ou jaunes, peu importe, blancs, quoi que ce soit, nous sommes frères et soeurs en Christ. Et alors, nous–nous l’aimons. Et elle nous manquera, à nous du tabernacle. Combien ils vont me manquer, ces gros «amen» vigoureux de soeur Bell, là-bas au coin. Et quand on la ramenait à la maison, elle parlait du Seigneur Jésus.

10        Et si j’ai bien compris (Je ne l’ai su qu’il y a quelques instants), mais je pense que son service funèbre doit se tenir ici même à l’église [Frère Neville dit: «C’est exact.»–N.D.E.] mardi prochain à [«treize heures»] treize heures. Et je pense que c’est toi et moi qui devons officier [«C’est exact.»] à ce service funèbre.

11        Mais, juste en tant qu’assemblée, comme nous sommes affaiblis, avec une personne en moins ce matin, par respect pour notre soeur Bell, levons-nous donc un petit instant, alors que nous inclinons la tête.

12        Dieu de la vie, qui donnes et qui ôtes la vie, comme Job d’autrefois l’a dit: «L’Eternel a donné, et l’Eternel a ôté; que le Nom de l’Eternel soit béni.» Il y a quelques années, Tu as envoyé soeur Bell parmi nous pour être concitoyenne avec nous de la grande communauté de Dieu. Et nous Te remercions pour chaque inspiration qu’elle a été pour nous: comme elle aimait chanter et témoigner, et elle était tellement remplie de l’Esprit qu’elle se mettait à pousser des cris et à jubiler. Et elle n’avait pas honte de l’Evangile de Jésus-Christ, car c’était la puissance de Dieu pour son salut. On a vu ses années s’accumuler, et le moment vient où nous devons tous répondre à l’appel. Aussi Tu l’as ôtée du milieu de nous, ce matin, pour être dans Ta Présence, car, assurément, quand nous partons d’ici, nous sommes dans la Présence de Dieu.

13        Ô Dieu, nous Te remercions pour tout. Nous Te prions de bénir son mari, mon ami James; son fils, ses filles, tous ceux-là que... D’après ce que nous avons compris, son garçon rentre de l’Allemagne par un avion des Forces armées, il revient à la maison pour rendre les derniers hommages qu’il peut rendre sur terre à sa défunte mère. Comme le coeur de ce jeune homme doit palpiter ce matin! Je prie pour lui, Seigneur. Ô Dieu, bénis-le. Bénis Jimmy, et comme il est... de le voir travailler là-bas, pendant des heures fatigantes, pour pourvoir aux besoins de sa famille. Je prie que cette grande famille ne soit pas séparée, mais que la roue familiale reste intacte dans ce Pays, de l’autre côté.

14        Puissions-nous, Seigneur, resserrer maintenant l’armure et la ceinture, un peu plus serrées, et partir au combat maintenant, livrer bataille avec une personne de moins qu’il y a une semaine. Nous Te prions de nous soutenir et de nous fortifier, et de nous venir en aide alors que nous continuons d’avancer. Et, un jour, puissions-nous tous nous rassembler de nouveau de l’autre côté. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

15        Maintenant, que l’âme de notre défunte soeur repose en paix. J’aimerais dire que son–son service funèbre sera prêché ici dimanche... ou mardi, et nous... tous ceux qui voudront venir seront les bienvenus. Je pense que frère Neville ici doit avoir les détails de ce qu’ils ont convenu et... Tu les as. [Frère Branham parle à frère Neville.–N.D.E.]

16        Maintenant, aujourd’hui, simplement, je... Voyez, il n’y a pas trop de monde. S’il y a quelque part un siège qu’on pourrait apporter pour frère et soeur Slaughter là au fond... J’ai reçu votre appel, soeur Slaughter, et je me suis mis en prière pour votre... l’autre soeur Slaughter, soeur Jean Slaughter, qui souffre de cette maladie fébrile, la tularémie. Elle est vraiment très atteinte, mais nous mettons notre confiance en Dieu que tout ira bien pour elle.

17        Maintenant, nous voulons lire une portion de l’Ecriture. Et je veux simplement enseigner ce matin, en prenant mon temps, parce que, depuis mon retour de l’Arizona, eh bien, j’ai la gorge un petit peu irritée.

18        Et maintenant, dimanche prochain, n’oubliez pas, et je pense que Billy a déjà posté les–les annonces. Et nous croyons que ce sera une réunion passablement longue, alors venez aussi tôt que possible. Nous voulons commencer tout de suite, vers neuf heures et demie, ou, je veux dire, dix heures. Et peut-être, souvenez-vous, vers treize heures ou treize heures... peut-être, ou midi et demi, treize heures, quelque chose comme ça, c’est trois ou quatre heures, ou plus.

19        J’aimerais prendre, et rien que prendre les Ecritures. Apportez votre crayon et du papier, et mettez ça par écrit. S’il y a une question, posez-la, vous voyez, et peut-être que nous pourrons en donner l’explication, aider du mieux possible.

20        Maintenant, lisons d’abord quelques passages des Ecritures. Maintenant, il y a trois passages de la Bible que j’aimerais lire. Le premier, si vous voulez le noter et si vous avez un crayon... Je voudrais me référer ce matin à plusieurs textes auxquels je... ou plutôt plusieurs passages des Ecritures auxquels j’aimerais me référer. Le premier sera 1 Pierre 5.8-10; Ephésiens 6.10-17, et Daniel 12.1-14.

21        Maintenant, en lisant, nous prendrons notre temps. Presque tout le monde est assis, alors... Il reste encore quelques personnes debout, à l’arrière et sur le côté, mais nous allons essayer de faire aussi vite que possible, pour vous laisser partir. Ensuite, nous allons prier pour les malades. Il y a une petite demoiselle étendue ici, ce matin, qui est très malade. D’après ce que j’ai compris, elle était très malade hier. Et je–je tenais à ce qu’elle entende d’abord ce matin avant que je prie pour elle. Et je connais l’état de la petite demoiselle, elle est très malade, mais nous avons un très grand Père céleste qui a été plus que Vainqueur sur toute maladie.

22        Et j’ai un–un petit... (J’avais demandé à madame Wood de le lire, mais elle–elle était un peu réticente à–à le faire) un article qui raconte qu’un médecin a eu toute une surprise, étant un critiqueur de la guérison divine, et il ne permettait même pas à qui que ce soit d’en parler dans son cabinet; son infirmière aussi. Alors, il est arrivé qu’il a eu une patiente qui était un cas de cancer, un gros cancer. Il ne voulait rien avoir à faire avec ça, alors il l’a envoyée à une autre clinique. Là-bas non plus, ils ne voulaient rien avoir à faire avec ça, ils l’ont alors renvoyée. Alors, ils...

23        Oh! C’était sur le sein, et c’était dans un état terrible. Et toute la peau avait été rongée. Et le cancer était descendu dans le sein, dans les côtes. Je pense que vous comprenez ce que je veux dire. (On a notre ami, le petit médecin de la Norvège, assis avec nous ce matin.) Il a préparé tout son matériel, car il disait qu’il savait que–qu’elle voulait qu’il l’opère pour enlever le sein. Et c’était un travail sanglant qui allait être, et–et il avait toutes ses compresses, et tout. L’infirmière a préparé la dame et l’a emmenée dans la salle d’opération, et après elle est retournée chercher les instruments vers... qui devaient être utilisés par le médecin et son assistant, pour enlever le sein. Et alors, ils avaient posé les serviettes et tout sur elle. Et alors, ils ont commencé... quand il s’est mis à faire demi-tour...

24        Le mari de la dame a demandé s’il pouvait s’asseoir au fond de la salle pour prier; il était un prédicateur de la sainteté. Il s’est assis là à côté du... au pied du lit, et il priait. Evidemment, le médecin n’était pas tout à fait content de ça, vous savez, qu’il soit là. Mais pourvu qu’il ne regardait pas, et que ça ne le dérangerait pas, eh bien, je pense que ça pouvait aller bien... il n’allait pas s’évanouir–n’allait pas s’évanouir.

25        Alors, pendant que ça... il était assis à prier, il y a eu un frémissement dans la salle. Le médecin s’est tourné pour aller vers... avec ses instruments pour commencer à enlever le sein. Il a ôté une compresse après l’autre, il n’y avait même pas une marque sur le sein; pas même une marque. Il a dit: «Est-ce que–est-ce que ça–est-ce que ça se déplace?» Et il s’est mis... Et l’infirmière a donné son témoignage. Tous les deux s’en sont allés et ils sont devenus pentecôtistes, remplis du Saint-Esprit, ils servent le Seigneur.

26        Pas même une marque! Le docteur Holbrook en a témoigné lui-même, il a dit: «Une minute plus tôt, la–la femme était étendue là, et l’infirmière, et cet énorme cancer qui dépassait de partout sur son sein. Et une minute plus tard, il n’y avait même pas une marque à l’endroit où il avait été ôté.» Il s’agit de l’un de nos excellents médecins ici en Amérique. Il a dit qu’il a été convaincu aussitôt, et il... pourtant, il était diacre dans une église. Voyez?

27        Voyez-vous, les gens pensent que l’église, c’est seulement quelque chose, on y va, simplement, et c’est un... Oh! On va là pour apprendre à être bon, ou quelque chose comme ça. Ce n’est pas ça, mon ami. Non. Dieu est Dieu. Il est tout aussi grand aujourd’hui qu’Il l’a été, l’a toujours été. Et Il sera toujours le même. Et Il est un... Nous L’aimons, tout simplement.

28        Eh bien, nous voulons lire maintenant dans 1 Pierre, chapitre 5, les versets 8 et 10, pour commencer.

          Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rôde... un lion rugissant, cherchant qui il dévorera.

          Résistez-lui fermement avec... foi, sachant que les mêmes souffrances sont imposées à vos frères dans le monde.

          Le Dieu de toute grâce, qui vous a appelés en Jésus-Christ à sa gloire éternelle, après que vous aurez souffert un peu de temps, vous perfectionnera lui-même, vous affermira, vous fortifiera, et vous rendra inébranlables.

29        Oh! Dieu soit loué! Maintenant, dans l’Epître aux Ephésiens... Nous aimerions prendre ici l’Epître aux Ephésiens, chapitre 6, et nous aimerions lire les versets 10 à 17, que j’ai notés.

          Au reste, mes frères, fortifiez-vous dans le Seigneur et dans la puissance de sa force;

          Revêtez-vous de l’armure complète de Dieu, afin que vous puissiez tenir ferme contre les artifices du diable.

          Car notre lutte n’est pas contre le sang et la chair, mais contre les principautés, contre les autorités, contre les dominateurs de ces ténèbres du siècle... de ce siècle, contre la puissance spirituelle de méchanceté qui est dans les lieux célestes.

          C’est pourquoi, prenez l’armure complète de Dieu, afin que, au mauvais jour, vous puissiez résister, après avoir tout surmonté, tenir ferme.

          Tenez donc ferme, ayant ceint vos reins de la vérité... ayant revêtu la cuirasse de la justice,

          Et ayant chaussé vos pieds de la préparation de l’Evangile de paix;

          Par-dessus tout... le bouclier de la foi, par lequel vous pourrez éteindre tous les dards enflammés du méchant.

          Prenez aussi le casque du salut, et l’épée de l’Esprit, qui est la parole de Dieu. [Version Darby]

30        Maintenant, dans le Livre de Daniel, j’aimerais encore lire. Maintenant, Daniel, chapitre 12. Je veux commencer au verset 1, et en lire une–une assez longue portion, quatorze versets.

          Et en ce temps-là se lèvera Micaël, le grand chef, qui tient pour les fils de ton peuple; et ce sera... temps de détresse tel qu’il n’y en a pas eu depuis qu’il existe une nation jusqu’à ce temps-là. Et en ce temps-là ton peuple sera délivré: quiconque sera trouvé écrit dans le livre.

          Et plusieurs qui dorment dans la poussière de la terre se réveilleront, et les uns pour la vie éternelle... les autres pour l’opprobre, pour être un objet d’horreur éternelle.

          Et les sages brilleront comme la splendeur de l’étendue, et ceux qui ont enseigné–enseigné la justice à la multitude, comme les étoiles, à toujours et à perpétuité.

          Et toi, Daniel, cache le–cache le... livre jusqu’au temps de la fin. Plusieurs courront çà et là; et la connaissance sera augmentée.

          Et moi, Daniel, je regardai; et voici deux autres personnages qui se tenaient, l’un deçà, sur le bord du fleuve, et l’un delà, sur le bord du fleuve.

          Et il dit à l’homme vêtu de lin qui était au-dessus des eaux du fleuve: Jusques à quand la fin de ces... merveilles?

          Et j’entendis l’homme vêtu de lin qui était au-dessus des eaux du fleuve; et il leva sa main droite et sa main gauche vers les cieux, et jura par celui qui vit éternellement que ce serait pour un temps déterminé, un temps, et une moitié de temps; et lorsqu’il aura achevé de briser la force du peuple saint,... ces choses seront achevées. [Version Darby]

            Je crois que je vais m’arrêter juste là.

31        Je veux tirer de là un sujet, si on peut l’appeler un sujet, pour en arriver à cette conclusion-ci: La plus grande bataille jamais livrée. C’est ce que je veux prendre comme sujet.

32        Eh bien, ce qui m’a amené à ceci comme sujet pour ce matin.... Nous venons de rentrer; quelques administrateurs de l’église ici et moi-même, nous étions en Arizona. Et nous y sommes allés, en fait, pour tenir une réunion à Phoenix avec frère Sharrit à son tabernacle. Mais quand j’ai vu qu’un–un frère était en ville, tenant des réunions sous une tente, eh bien, alors, j’étais un peu réticent à tenir une réunion. J’envisageais de la tenir peut-être le dimanche après-midi, pour que ça ne nuise à personne, dans leurs églises. Mais j’ai vu qu’il tenait aussi des réunions le dimanche après-midi. Et je n’étais pas–pas tout à fait tranquille à l’idée de tenir une réunion, et alors, nous les frères, au lieu de continuer pendant la journée (vu que nous étions à la chasse), là nous sommes allés en ville et nous nous sommes préparés, et nous sommes allés aux réunions de frère Allen. (Frère A. A. Allen tenait des réunions.) Alors, nous sommes allés aux réunions, et frère Allen a prêché un sermon puissant. Nous avons passé des–des moments, de bons moments à écouter frère Allen, à écouter les–les chanteurs, et tout, les gens chantaient et poussaient des cris, et ça a été une réunion formidable.

33        Et puis, nous avons vu, tout le long du chemin, la main du Seigneur. Partout où nous allions, le Seigneur Jésus était là avec nous. Et il y a quelque chose de spécial, d’être là tout seul, là-bas dans les régions sauvages. Il y a quelque chose de spécial, si jamais vous vous retrouvez seul comme ça, il y a quelque chose qui vous attire. Ça, je pense, c’est l’une des raisons pour lesquelles j’aime les endroits reculés. On s’éloigne de la puissance de l’ennemi.

34        Comme nous en avons ici, un démon est presque inoffensif à moins d’avoir quelque chose dans lequel agir. Il va... Vous vous souvenez de ces démons qui ont été chassés de Légion? Ils avaient... ils voulaient encore faire de mauvais coups, alors ils voulaient entrer dans les pourceaux. Donc, les démons doivent avoir quelque chose dans lequel agir, quelqu’un à travers qui agir. Et c’est ce que Dieu fait, Lui aussi. Il doit nous avoir, nous. Il compte sur nous pour agir à travers nous.

35        Et pendant ce voyage-là, beaucoup sont venus avec des songes. Et le Seigneur Jésus n’a jamais manqué de donner l’interprétation, très exactement, et c’était précisément ça, tout à fait comme ça.

36        Et puis, Il a été bon envers nous, Il nous menait vers le gibier et nous disait où il se trouvait. Et, vous savez, rien que d’être là, comme ça, c’est tout simplement merveilleux. De s’asseoir, le soir, autour d’un feu de camp, loin de tout le monde, à des kilomètres et des kilomètres et des kilomètres, et de regarder le–le feu de camp danser tout autour, au bord des rochers. Et, oh! c’était extraordinaire!

37        Il y avait là un frère qui avait des ennuis avec une... sa femme qui avait... Il y a plusieurs années, elle avait levé la tête à une réunion où je tenais un service. J’avais demandé aux gens de garder la tête baissée. Il y avait un mauvais esprit qui ne voulait pas sortir d’une–d’une femme sur l’estrade. Et la dame, tout simplement irrespectueuse, a quand même levé la tête. Et l’esprit est sorti de la femme sur l’estrade, et il est allé à elle, et cela faisait environ quatorze ans. Et depuis, la dame est dans un état grave, à un point tel que, même mentalement, elle fait tout simplement des choses qui ne sont même pas convenables. Par exemple, elle a quitté son mari, et elle est allée se marier avec un autre homme, alors qu’elle vivait avec son mari; elle a affirmé qu’elle l’avait fait sans le savoir.

38        Et, alors, on–on a voulu l’examiner pour ça...Quel nom donne-t-on à ça, quand on... Amnésie? Ça... Oh! la la! Quel que soit le nom. Je pense que c’est bien ça, docteur. Mais il ne s’agissait pas de ça; c’était un esprit. Et son... Et la dame était une bonne amie à moi, mais à partir de ce soir-là, elle a fait exprès de me détester. (Evidemment, vous pouvez voir pourquoi.)

39        Mais alors, quand son mari est venu et que nous nous sommes agenouillés dans la pièce pour prier, alors le Saint-Esprit est descendu; avec ça, c’était classé. Ensuite, Il est apparu à son mari cette nuit-là dans un songe. Il est revenu avec son songe; il le trouvait cocasse. Et il s’est fait que c’était la réponse, exactement ce qu’il fallait pour la guérison de sa femme.

40        Oh! Comme le Saint-Esprit a agi... Nous avons continué jusqu’à Tucson, avec frère Norman et les autres, et là aussi, le Seigneur s’est mis à l’oeuvre, en accomplissant de grandes choses puissantes, et Il a révélé des choses. Un soir, et c’est ce qui m’a amené à cette conclusion-ci, j’étais avec frère Wood et frère Sothmann, et nous étions... C’était vers vingt-deux heures, et j’avais les yeux levés vers le ciel, et j’ai été saisi d’un grand émerveillement. Et j’ai dit: «Regardez donc! Toute cette grande armée céleste!» Et j’ai dit: «Tout est dans une harmonie parfaite.»

41        Et frère Wood a dit: «Quand on regarde deux petites étoiles, elles sont si proches que ça fait... que ça a l’air d’une lumière.»

42        J’ai dit: «Mais, tu sais, frère Wood, selon la science, dans cette Ourse (la Petite Ourse, la Grande Ourse), ces étoiles ne semblent pas éloignées de plus de deux pouces [5 cm], alors qu’elles sont plus éloignées l’une de l’autre que nous sommes éloignés d’elles. Et si elles partaient en direction de la terre, ça prendrait, à des milliers de kilomètres à l’heure, ça prendrait des centaines et des centaines d’années avant qu’elles atteignent la terre.» Et j’ai dit: «Dans tout ce grand et vaste système ici, et pourtant on nous dit qu’ils regardent dans des longues-vues et qu’ils peuvent voir à cent vingt millions d’années lumière, très loin là-dedans; et il y a encore des lunes et des étoiles. Et pourtant, Dieu a créé chacun de ces astres. Et Il est assis au milieu d’eux.»

43        J’ai dit: «Quelque part là-dedans, on m’a une fois montré, dans un observatoire, le zodiaque: ça commence par la vierge, et ça passe par l’âge du cancer, et ainsi de suite jusqu’au dernier, qui était le lion, Léo le Lion. La Première Venue de Christ, par la vierge; la Seconde Venue, par le Lion de la tribu de Juda.» Et j’ai dit: «J’ai essayé de mon mieux de voir ce zodiaque, et je n’arrive pas à le voir. Et pourtant, il est là. Ceux qui sont exercés savent qu’il est là. Job l’a vu. Autrefois, des hommes l’observaient. A une époque, c’était une Bible. Mais dans toute cette énorme masse de millions et de milliards de–d’années-lumière, Dieu est assis au milieu de tout cela, et Il regarde d’en haut. Paul est là. Ma mère est là, quelque part, elle regarde d’en haut.»

44        Et je pensais à l’ordre de cette armée céleste. Pas un seul de ces astres n’est en dehors de sa place; chacun d’eux est parfaitement bien réglé: La grande armée de Dieu! Je pensais aux soldats; si jamais il arrivait que la lune quitte sa place, la terre serait de nouveau couverte d’eau, au bout de seulement quelques minutes. La terre serait exactement comme elle était quand Dieu a décidé de l’utiliser, pour... pour nous placer ici. «Elle était informe et vide, les ténèbres et l’eau couvraient l’étendue de la terre.» Et si jamais cette lune se déplaçait, il se passerait de nouveau la même chose. Quand la lune, dans son déplacement, s’éloigne un peu de la terre, les marées montent. Quand elle descend, ça suit simplement les marées. C’est la grande armée de Dieu.

45        Quand j’ai pensé à... que c’était là la grande armée de Dieu... Alors, nous sommes allés nous coucher, et je me suis donc mis à penser que pas un seul d’entre eux ne quitte sa place; ils restent tous en place. Et s’il y a un déplacement quelque part parmi eux, et c’est dans un but, et cela affectera cette terre. Nous en voyons les résultats en ce moment, du déplacement de quelques-uns d’entre eux pour aller dans leurs autres zones. Cela a un effet. Cela affecte tout.

46        Et alors, je me suis dit: Si cette grande armée céleste, comme ça, doit rester à sa place pour que tout soit en ordre, qu’en est-il du désordre de l’armée terrestre? Oh! Quand l’un n’est pas en ordre, comme toute la chose se retrouve de travers! Le programme entier de Dieu est bouleversé quand un seul membre n’est pas en ordre. Nous devrions nous efforcer constamment de maintenir l’ordre de l’Esprit.

47        Si Dieu pouvait permettre ce matin que ceci nous amène à avoir un vrai service de guérison, que nous puissions garder cette partie... ce groupe de gens que nous avons ici, rassemblés sous ce toit, ce matin, dans une telle harmonie que le Saint-Esprit placerait chaque membre du Corps, ici présent ce matin, dans une grande harmonie, telle qu’il y aurait une guérison vraiment spontanée de l’âme et du corps. Si seulement nous restons à notre position...

48        Maintenant, comme je le disais au début, cette dame qui avait ce cancer que le docteur Holbrook enlève... allait enlever... Eh bien, le Dieu qui a fait entrer ce bruit de frémissement dans cette clinique et qui a ôté ce cancer sans même laisser une marque, ne savez-vous pas que ce même Dieu est ici? Et la seule chose qu’Il attend, c’est que Son–Son armée prenne sa position, comme les astres, prenne sa position.

49        Eh bien, savez-vous que nous avons eu guerres après guerres, et des bruits de guerre? Et si la terre subsiste, nous aurons encore beaucoup plus de guerres. Mais vous rendez-vous compte qu’en fait il n’y a que deux puissances dans tout l’univers? De toutes nos divergences entre nations, et les divergences entre nous, et tout, tout cela aboutit à deux puissances. Il n’y a que deux puissances, et il n’y a que deux royaumes: deux puissances et deux royaumes. Toutes les autres choses, les petites choses mineures, se rattachent à l’une ou l’autre de ces puissances. Et ces puissances, ce sont la puissance de Dieu et la puissance de Satan. C’est ce que le... Toute guerre, tout désordre, tout ce qui arrive, c’est contrôlé soit par la puissance de Dieu, soit par la puissance de Satan, parce que ce sont les deux seules puissances qui existent. Et ce sont la puissance de la Vie et la puissance de la mort. Donc, ce sont les deux seules puissances.

50        Et Satan peut seulement... Sa puissance qu’il a, c’est la puissance de Dieu pervertie. Ce n’est pas une vraie puissance. C’est une perversion de la puissance de Dieu, tout ce que Satan a. La mort, c’est seulement une vie pervertie. Un mensonge, c’est seulement la vérité présentée de travers. Voyez? L’adultère, c’est un–un acte mal utilisé, un acte juste mal utilisé. Voyez? Tout ce que Satan possède, c’est quelque chose qui a été perverti, mais c’est une puissance.

51        Et, aujourd’hui, nous sommes assis ici, et l’une ou l’autre puissance va nous contrôler. Alors, chassons le méchant. Prenons notre position comme les astres des cieux.

52        Comme le dit la Bible: «Des astres errants (dans le Livre de Jude), rejetant l’écume de leurs impuretés...» Nous ne voulons pas être des astres errants: nous demander si ceci est juste, nous demander si cela est juste, nous demander si la chose va arriver, nous demander si... comment la chose pourrait se faire. Ne vous posez pas de questions; restez là comme ces astres du ciel, comme un vrai soldat à son poste. Tenez-vous là, avec foi! La vie et la mort...

53        Eh bien, une armée... en réalité, quand une armée... une nation se prépare à attaquer une autre nation, elle devrait d’abord s’asseoir et considérer ce qui convient et ce qui ne convient pas, et s’ils sont capables ou pas d’attaquer l’autre nation. Jésus l’a enseigné. Et si les gens faisaient ça, si les nations avaient... s’asseyaient et s’arrêtaient pour réfléchir à ces choses, de deux côtés, nous n’aurions plus de guerre.

54        Or, nous voyons que si un homme ne fait pas ça, si les chefs militaires de la nation ne s’assoient pas d’abord pour considérer et s’assurer qu’ils ont raison, et que leurs motifs et leurs objectifs sont justes, examiner s’ils ont assez d’effectifs et de forces pour vaincre l’autre armée, alors leur défaite est assurée.

55        C’est là que le général Custer a commis son erreur fatale. Le général Custer, d’après ce que j’ai compris, avait reçu des ordres du gouvernement de ne pas pénétrer dans le territoire des Sioux, parce que c’était une période religieuse pour eux; c’était une période d’adoration. Ils célébraient une fête. Mais Custer s’est enivré, et il s’est dit qu’il le ferait quand même. Il allait traverser, que ce soient les ordres ou pas. Et alors, ils sont allés jusqu’à tirer des hommes innocents, tirer sur eux. Je pense qu’ils en ont atteint quelques-uns. C’étaient des éclaireurs qui cherchaient de la nourriture pour nourrir leur–leur peuple pendant qu’il adorait. Et Custer, en traversant, les a vus, et il a cru qu’ils voulaient s’en prendre à leur camp, alors ils ont tiré sur ces éclaireurs. Et ces éclaireurs ont pris la fuite et sont rentrés. Qu’ont-ils fait? Ils se sont armés, et les voilà revenir. Et ça a été la fin du général Custer, parce qu’il ne s’est pas assis d’abord pour réfléchir.

56        Il n’était pas à sa place là-bas. Il n’avait aucun droit d’être là. De toute façon, il avait déjà repoussé les Indiens, depuis la Côte Est jusqu’à l’autre bout, dans l’ouest. Et ils avaient conclu un traité, mais il a violé le traité. Et ayant violé le traité, c’est là qu’il a perdu la bataille.

57        Donc, une armée, premièrement, en se préparant au combat, premièrement, il faut être un... faire une sélection des soldats. Ils doivent être vêtus pour le combat. Ils doivent être entraînés pour le combat. Et je crois que la plus grande bataille qui ait jamais été livrée est maintenant prête à s’engager. Je crois que Dieu a sélectionné Ses soldats; je crois qu’Il les a vêtus, qu’Il les a entraînés. Et le front de bataille est maintenant en place, on se prépare à commencer.

58        Cette grande bataille, la première qui ait jamais été livrée, a commencé au Ciel, quand Micaël et ses anges ont livré bataille à Lucifer et ses anges. Elle a d’abord commencé... la première bataille s’est déroulée au Ciel. Ainsi, le péché n’a pas tiré son origine sur terre, il a tiré son origine au Ciel. Ensuite, il a été précipité du Ciel, chassé du Ciel, pour venir sur la terre, et il s’est jeté sur les êtres humains. Alors, la bataille, qui était celle des anges, est devenue une bataille d’êtres humains. Et Satan est venu pour détruire la création de Dieu. Ce que Dieu avait créé pour Lui-même, il est venu, Satan, pour le détruire. C’était là son but, c’était de détruire ça.

59        Alors, la bataille s’est engagée ici sur terre, elle s’est engagée en nous, et elle fait rage depuis lors.

60        Maintenant, avant de pouvoir se ranger en ordre de bataille, il faut d’abord choisir un terrain de rencontre, ou un lieu où se livrera la bataille, un lieu déterminé. Pendant la Première Guerre mondiale, il y a eu un tel emplacement, un no man’s land et des lieux où ils livraient bataille. Il fallait qu’il y ait un lieu qu’ils avaient déterminé.

61        Par exemple, quand Israël est allé faire la guerre aux Philistins, il y avait une–une–une colline de chaque côté du lieu où ils s’étaient rassemblés. Et c’est là que Goliath est sorti et a lancé un appel aux armées d’Israël. C’est là que David a marché à sa rencontre dans la vallée. Quand il a franchi le petit ruisseau qui coulait entre les deux collines, il y a ramassé des cailloux. Il faut qu’il y ait un lieu qui est déterminé.

62        Et là, il y a un–un terrain commun, un no man’s land, et ils livrent bataille dans ce lieu. Ils ne vont pas simplement se battre l’un ici, et l’autre là, et l’autre se précipite là-bas. Il y a un front de bataille, où ils se rencontrent et mettent leurs puissances à l’essai, où chaque armée teste sa force contre l’autre armée, un lieu commun de rencontre.

63        Maintenant, ne saisissez... manquez pas ceci  Quand cette grande bataille s’est engagée sur terre, il a fallu qu’il y ait un lieu commun de rencontre. Il a fallu déterminer un lieu où la bataille allait s’engager et où la bataille allait faire rage. Et ce champ de bataille a commencé dans la pensée humaine. C’est là que la bataille s’engage. La pensée humaine a été choisie comme lieu de la bataille, où elle allait s’engager, et c’est parce que les décisions se prennent dans la pensée, dans la tête.

64        Eh bien, ils n’ont jamais pris une organisation comme point de départ. Ils n’ont jamais pris une mécanique quelconque comme point de départ. Ça n’a jamais commencé sur ces champs-là. Ainsi donc, une organisation ne pourra jamais, jamais faire l’oeuvre de Dieu, parce que le champ de bataille, là où vous devez affronter votre ennemi, c’est dans la pensée. Il vous faut faire votre choix. Vous y êtes confronté.

65        Je veux que cette petite fille, ici, qui est très malade, ne manque pas d’écouter ceci maintenant très attentivement.

66        Les décisions se prennent dans la pensée, dans la tête. C’est là que Satan vous affronte. Et les décisions s’y prennent, parce que Dieu a fait l’homme ainsi. Maintenant, j’ai (si vous regardiez ce que j’ai noté ici) tracé un petit croquis. Je l’avais ici il n’y a pas longtemps, sur... on s’en est servi au tableau.

67        L’être humain est fait exactement comme un grain de blé. C’est une semence. Et l’être humain est une semence. Physiquement, vous êtes la semence de votre père et de votre mère; la vie vient du père, la partie charnue vient de la mère. Alors, les deux, ensemble, l’ovule et le–le sang, s’unissent. Et dans la cellule sanguine, il y a la vie; le développement s’amorce en elle pour produire le–l’enfant.

68        Or, toute semence a une enveloppe extérieure; à l’intérieur, il y a une partie charnue; et à l’intérieur de la partie charnue, il y a le germe de la vie. Eh bien, c’est comme ça que nous sommes faits. Nous sommes corps, âme et esprit. L’extérieur, le corps: l’enveloppe; à l’intérieur de ça (la conscience et ainsi de suite), c’est l’âme; et à l’intérieur de l’âme, c’est l’esprit. Et c’est l’esprit qui gouverne tout le reste.

69        Maintenant, si vous vous asseyez, en rentrant chez vous, et que vous dessiniez trois petits cercles, vous verrez que l’extérieur, le corps, a cinq sens par lesquels il peut être contacté, et ce sont la vue, le goût, le toucher, l’odorat, l’ouïe, ce sont les cinq sens qui contrôlent le corps humain. A l’intérieur du corps, il y a une âme, et cette âme est contrôlée par les imaginations, la conscience, la mémoire, les raisonnements, et les affections; c’est ce qui contrôle l’âme. Mais l’esprit, lui, il n’a qu’un seul sens, l’esprit. Oh! Saisissons-le bien. L’esprit a un seul sens, et ce sens, c’est ce qui le domine, c’est soit la foi, ou bien le doute. C’est tout à fait exact. Et il n’a qu’une voie d’accès, c’est le libre arbitre. Vous pouvez accepter le doute ou vous pouvez accepter la foi, l’un ou l’autre, selon ce que vous voulez faire.

70        Par conséquent, Satan a commencé au point principal à inciter l’esprit de l’homme à douter de la Parole de Dieu. Dieu a commencé au point principal à établir Sa Parole dans cet esprit. Voilà. C’est ça qui agit.

71        Si cette église, maintenant même, pouvait être unie et liée si étroitement que toutes les personnes seraient d’un commun accord, sans l’ombre d’un doute nulle part, d’ici cinq minutes il n’y aurait plus une seule personne faible parmi nous. Il n’y aurait ici personne qui, désirant le Saint-Esprit, ne Le recevrait, si seulement on pouvait régler cette chose-là.

72        Donc, c’est là que la bataille s’engage, en plein là dans votre pensée, à savoir si vous voudrez... Maintenant, souvenez-vous, il ne s’agit pas de la Science Chrétienne, là, de la victoire de la pensée sur la matière. Ça n’a... La pensée accepte la Vie, c’est-à-dire la Parole de Dieu, et c’est de là que vient la Vie. Seulement, ce n’est pas votre pensée qui le fait, mais la Parole de Dieu amenée dans le canal de votre pensée. Voyez? Ce n’est pas la pensée, comme le dit la Science Chrétienne, la victoire de la pensée sur la matière. Non. Ce n’est pas ça. Mais votre pensée accepte cela et saisit cela. Qu’est-ce qui contrôle votre pensée? Votre esprit. Et votre esprit saisit la Parole de Dieu, et c’est en Elle que se trouve la Vie. Elle fait entrer la Vie en vous.

73        Ô frère! Quand cette chose-là arrive, quand la Vie descend en vous par ce canal, la Parole de Dieu est manifestée en vous. «Si vous demeurez en Moi, et que Mes Paroles demeurent en vous, alors demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé.»

74        Alors, quel effet cela produit-il? A partir du centre du coeur, c’est-à-dire de l’âme, à partir de là, il y aura une alimentation de tous les canaux. Le problème, c’est que nous nous tenons ici, à l’intérieur, avec beaucoup de doutes, et nous essayons d’accepter ce qui est là, à l’extérieur. Vous devez arrêter ça et descendre par ce canal avec la vraie Parole de Dieu, et ensuite, ça sortira tout seul, automatiquement. C’est ce qui est à l’intérieur, c’est ça qui compte, c’est l’intérieur. Satan, sa façon de s’y prendre, c’est de l’intérieur.

75        Eh bien, vous dites: «Je ne vole pas. Je ne bois pas. Je ne fais pas ces choses-là.» Ça n’a rien à voir, voyez-vous, c’est l’intérieur. Quelles que soient votre bonté, votre haute moralité, votre franchise, ces choses-là sont respectables, mais Jésus a dit: «Si un homme ne naît de nouveau...» Voyez? Il faut qu’il se passe quelque chose à l’intérieur. Sinon, c’est quelque chose d’artificiel, de fabriqué, puisqu’au fond de votre coeur, vous avez quand même le désir de le faire.

76        Ça ne doit pas être artificiel. Il faut que ce soit réel. Et il n’y a qu’une seule–seule voie d’accès, pour que ça descende, c’est par le moyen du libre arbitre que ça pénètre dans l’âme par vos pensées. «Un homme est tel que sont les pensées dans son coeur.» «Si vous dites à cette montagne: ‘Ôte-toi de là’, et si vous ne doutez pas en votre coeur, mais croyez que ce que vous avez dit arrivera, cela vous sera accordé.» Saisissez-vous cela? Vous y êtes. Voyez? C’est là le champ de bataille.

77        Si seulement vous commenciez par là, d’abord. Nous sommes si désireux de voir les choses s’accomplir. Nous sommes si désireux de faire quelque chose pour Dieu. Cette petite demoiselle n’est pas désireuse... est sans doute désireuse de vivre. Elle veut être en bonne santé. D’autres sont ici, ils veulent être en bonne santé. Et quand nous entendons parler de ce cas, comme ce médecin, de la résurrection des morts, de grandes choses puissantes que notre Dieu a accomplies, alors nous sommes désireux. Mais ce qu’il y a, c’est que nous essayons d’atteindre, par le moyen de ces sens, de nous emparer de quelque chose ici, par exemple la conscience.

78        Tant de gens, bien des fois, ont mal interprété la Parole. Et j’ai été mal compris en ceci, le fait de faire des appels à l’autel. J’ai dit que je n’étais pas tellement en faveur des appels à l’autel, ce qui ne voulait pas dire qu’on ne devrait pas faire d’appel à l’autel. Mais quelqu’un qui prend l’autre par le bras, en disant: «Oh! Frère Jean, sais-tu quoi? Toi et moi, nous sommes voisins depuis tout ce temps. Avance-toi ici à l’autel, agenouille-toi.»

79        Que fait-il? J’aurais aimé avoir un tableau noir ici. J’aurais pu vous montrer ce qu’il est en train de faire. Il essaie d’agir dans son âme, par les affections. Ça ne marchera pas. Ce n’est pas ça la voie d’accès. Certainement pas. Peut-être qu’il agit sur (quoi?) un souvenir, par ce sens-là de son âme. «Oh! Frère Jean, tu as eu une mère formidable. Elle est morte il y a longtemps.» Un souvenir! Voyez? Vous ne pouvez pas faire ça. Il faut que ça vienne par cette voie du libre arbitre. Vous devez vous-même laisser la Parole de Dieu... Vous ne venez pas parce que votre mère était une brave femme; vous ne venez pas parce que vous êtes un bon voisin; vous venez parce que Dieu vous appelle à venir, et vous L’acceptez sur base de Sa Parole. Cette Parole, c’est tout ce qui compte.

80        Cette Parole! Si vous pouvez tout ôter du chemin, toute conscience, tous les sens, et laisser simplement la Parole entrer, cette Parole produira exactement ce qu’il faut.

81        Ici, voyez-vous de quoi c’est recouvert? Vous dites: «Eh bien, alors...» Vous dites: «Eh bien, ces choses, la conscience et les sens, et tout, n’ont rien à faire avec ça, Frère Branham.» Bien sûr que oui. Mais si vous laissez la Parole entrer et que vous La recouvrez par la conscience, alors cela ne peut pas se développer; ce sera une parole difforme. Avez-vous déjà vu un bon grain de maïs planté dans la terre et qu’un bout de bois tombe dessus? Il va pousser de travers. N’importe quelle plante grimpante, pour tout ce qui pousse, ce sera pareil, parce que quelque chose l’a entravé.

82        Eh bien, c’est ce qui se passe avec notre foi pentecôtiste, aujourd’hui. Nous avons laissé trop de choses entraver cela, la foi qui nous a été enseignée, le Saint-Esprit qui a vécu en nous. Nous avons laissé trop de choses: regarder à quelqu’un d’autre. Et le diable cherche toujours à vous montrer les failles de quelqu’un, mais il va chercher à vous tenir éloigné du vrai témoignage, celui qui est l’authentique. Il va parfois vous montrer un hypocrite, qui s’est promené en imitant quelque chose comme cela. Il ne l’a pas fait, parce que c’était une imitation. Mais si cela provient de la véritable source, de la Parole de Dieu: «Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera pas.» Elle doit demeurer. Tu le vois, soeur?

83        Elle doit être acceptée dans la pensée; puis Elle est crue du coeur. Ensuite, la Parole de Dieu devient une réalité; alors, tous les sens de l’âme et du corps sont complètement nettoyés par le Saint-Esprit. Alors, vous devenez le sens de Dieu; vous devenez la conscience de Dieu; tout ce qui est de Dieu coule en vous. Il n’y a pas un doute, nulle part. Il n’y a rien qui puisse remonter. Il n’y a rien qui puisse remonter à la mémoire, pour dire: «Eh bien, je me souviens que Mlle Jones a essayé de mettre sa confiance en Dieu, et Mlle Une telle. Mlle Doe a essayé de mettre sa confiance en Dieu pour sa guérison, à un moment donné, et elle a échoué.» Voyez?

            Mais si ce canal a été dégagé, qu’il a été nettoyé et qu’il a été rempli à l’intérieur du Saint-Esprit, ça ne remonte même pas à la mémoire. Mlle Jones et ce qu’elle a fait, ça n’a aucune importance; c’est vous et Dieu, ensemble, et personne d’autre que vous deux. Vous y êtes. Voilà votre bataille.

84        Tuez-le au départ. Arrêtez-le net. Il ne s’agit pas de faire durer la guerre aussi longtemps que possible; il s’agit de l’arrêter tout de suite! Si vous venez et que vous gardiez ces souvenirs, et cette conscience, et tout, de penser: «Eh bien, il se pourrait que j’échoue. Il se pourrait que ce ne soit pas vrai.» Ne faites pas ça du tout. Débarrassez-vous de tout, dégagez le canal, et dites: «Ô Dieu, Ta Parole est éternellement vraie, et Elle est pour moi. Si toute l’église échoue, si le monde entier échoue, malgré tout ça, moi, je ne peux pas échouer, parce que je prends Ta Parole.» [Frère Branham frappe sur la chaire.–N.D.E.]

85        Voilà la bataille. C’est ce qu’il y a. Pourquoi le Dieu Tout-Puissant enlèverait-Il un cancer du sein d’une femme sans aucune marque, et laisserait-Il une enfant mourir là? Non, non.

86        Une petite fille est venue, il n’y a pas longtemps, de l’école secondaire. Sa mère m’a téléphoné, disant: «Frère Branham, ma fille est atteinte de la maladie de Hodgkin.» (C’est un cancer qui prend la forme de bosses.) Les médecins ont fait un prélèvement d’une lésion qu’elle avait à la gorge, ils l’ont envoyé, et c’était exactement ça: la maladie de Hodgkin.

87        Alors, il a dit: «La prochaine lésion, ce pourrait en être une au coeur. A ce moment-là, elle s’en ira.» Il a dit: «Elle n’a... A voir l’évolution des lésions, elle en aurait peut-être pour environ trois mois à vivre.»

            La mère a dit: «Que ferai-je, la renvoyer à l’école?»

            Il a dit: «Laissez-la y aller, parce qu’elle va probablement partir tout d’un coup.» Et il a dit: «Laissez-la y aller simplement, et qu’elle mène une vie normale, autant que possible. Ne lui en dites rien.»

            Alors, la dame m’a dit: «Que dois-je faire?»

            J’ai dit: «Amenez-la et faites-la passer dans la ligne de prière.» Et j’ai dit: «Vous aussi, venez avec elle.» (Je ressentais comme un drôle d’impression.)

88        Et quand la petite fille est passée ce matin-là, avec des lèvres toutes bleues à cause du maquillage, et comme ça se passe dans les écoles, et–et la petite est passée. (Je ne savais pas qui elle serait, on me téléphonait.) Je lui ai pris la main. J’ai dit: «Bonjour, soeur.» Elle était là. C’était elle. Au bout de seulement quelques instants, j’ai regardé vers sa mère, et j’ai vu qu’elles étaient toutes deux sans Dieu, sans Christ.

            J’ai dit: «Comment pouvez-vous vous attendre à une guérison sur cette base-là? Allez-vous accepter Jésus-Christ comme votre Sauveur personnel?» J’ai dit: «Allez-vous venir au baptistère, ici, et être baptisées dans le Nom de Jésus-Christ pour la rémission de vos péchés?»

            Elles ont dit: «Nous le ferons.»

89        Oh! Vous savez ce qui est arrivé. Cette femme est peut-être assise ici ce matin. Beaucoup d’entre vous connaissent le cas. Frère Mike Egan, l’un des administrateurs, ici, a suivi le cas. Il y a environ quatre, cinq ans de ça. La petite fille a été ramenée chez le médecin, et on n’a même pas trouvé en elle la moindre trace de la maladie de Hodgkin.

90        Quel était le problème? Il fallait premièrement ouvrir le canal. Il faut placer le Soldat, le Saint-Esprit, au front de bataille, qui s’avance avec la Parole de Dieu. Il est la Parole, et Il se tient là; alors, il n’y a rien qui va L’arrêter. Il n’y a rien qui peut... Tous les autres canaux sont dégagés.

91        C’est comme une vieille chaudière dont les conduits sont obstrués; si vous y mettez le feu, cela explosera. C’est là le problème de tant de chrétiens qui ont fait explosion, c’est parce qu’ils ne nettoient pas les canaux à fond; ils ne vont pas jusqu’à l’intérieur. Vous devez nettoyer ça, la conscience, la mémoire, les pensées, mettre tout de côté, et que ça vienne du dedans vers le dehors, par cette Parole de Dieu sans mélange, qui est la Vérité. Peu importe que dix mille personnes confiantes meurent de ce côté-ci aujourd’hui, que dix mille personnes confiantes meurent de ce côté-là demain; ça n’a rien à voir avec moi. C’est moi l’individu. C’est moi qui suis confiant. C’est moi qui le crois.

92        Et nous verrons, là-bas, si nous voulons donc dégager nos canaux si possible pour voir; nous constaterons qu’il y a celui-ci et celui-là, et celui-ci et celui-là, des milliers qui en témoignent, mais le diable cherchera à revenir à la charge. Voyez, s’il peut seulement réussir à s’infiltrer, à l’instant même il aura mis votre armée en déroute. Si vous avez vos sens, la vue, le goût, le toucher, l’odorat et l’ouïe, ils sont très bien, mais ne placez pas votre confiance en eux à moins qu’ils ne s’accordent avec la Parole. Ils sont très bien, mais s’ils sont en désaccord avec la Parole, ne les écoutez surtout pas.

93        Maintenant, les imaginations, la conscience, les souvenirs, les raisonnements et les affections, ils sont très bien, s’ils s’accordent avec la Parole. Mais si votre affection ne s’accorde pas avec la Parole, débarrassez-vous-en; vous feriez tout de suite sauter un conduit. Voyez? Si votre raisonnement ne s’accorde pas avec la Parole, écartez-le. C’est exact. La machine... Si votre mémoire, si vos imaginations, si votre conscience, n’importe quoi, ne s’accordent pas avec Ce qu’il y a à l’intérieur, débarrassez-vous-en.

94        A ce moment-là, qu’avez-vous? Vous avez un système solaire. Alléluia! Dieu a mis les astres en place et a dit: «Restez suspendus là, jusqu’à ce que Je vous appelle!» Ils restent là. Rien ne les fera bouger. Quand Dieu arrive à tenir un homme dans Ses mains jusqu’à ce que ses sens, sa conscience, que tout ait été nettoyé à fond, si bien que ce soit Dieu qui soit là derrière, dans l’Esprit, il n’y a pas un démon au monde qui pourra enfoncer un doute là-dedans. C’est exact.

95        S’il se présente en disant: «Tu ne te sens pas mieux», vous n’avez même plus conscience de ça. Le conduit est tellement dégagé qu’il crie: «Alléluia!» L’échappement émet un sifflement: «Gloire à Dieu!» Il resplendit, certainement, clair et net au possible, pour que la Parole de Dieu puisse agir à travers lui, la puissance de Dieu. Voyez? Voilà l’essentiel. C’est là qu’est votre champ de bataille. Votre champ de bataille se trouve ici, au départ, ici, dans l’âme, dans notre pensée, qui s’ouvre. La–la pensée est la porte de l’âme, la–la porte de l’esprit, plutôt. Votre pensée s’ouvre et accepte l’Esprit, ou bien elle rejette l’Esprit.

96        Vous pouvez avoir de petites consciences, et de petits sentiments, et de petites sensations, toutes ces choses. Ça n’a rien à y voir. Ce ne sont que de petites sensations, et tout. Mais quand on en arrive à la réalité, c’est votre pensée qui s’ouvre à cela. Soit votre pensée l’accepte, ou bien elle le rejette. C’est ça, mes amis. Ô Dieu, que personne d’entre eux ne manque de le voir! Voyez? C’est votre pensée qui ouvre la porte, ou qui ferme la porte, et écoute votre conscience, écoute votre mémoire, écoute vos affections. Mais quand votre pensée se ferme à ces choses et laisse Dieu, l’Esprit de Sa Parole, entrer, Il pousse tout le reste dehors. Tous les doutes ont disparu. Toutes les peurs ont disparu. Toute sensation de doute a disparu. Tout sentiment a disparu. Il n’y a plus que la Parole de Dieu là, et Satan ne peut pas combattre contre Cela. Non, non. Il ne peut pas combattre contre Elle. Or, ça, nous savons que c’est vrai.

97        Ces batailles ont fait rage depuis le jour du jardin d’Eden, la bataille dans la pensée humaine. C’est Satan qui l’a déclenchée. Qu’a-t-il fait en rencontrant Ève? Il n’a pas nié la Parole de Dieu, mais il L’a badigeonnée en blanc. Il a obstrué quelques petits canaux ici quelque part. Il a dit: «Mais certainement que Dieu...» (Genèse 3.1; voyez?) «Certainement que Dieu, toutes ces choses qu’Il–Il–Il a promises...» Il savait que la Parole était vraie. Mais il savait qu’il ne pouvait pas simplement se présenter là et L’attaquer carrément, comme ça, mais il L’a enrobée de sucre.

98        C’est comme maman, autrefois, qui nous faisait prendre du médicament, et–et elle essayait de mettre du jus d’orange dans l’huile de ricin. Oh! la la! Autant prendre l’huile de ricin sans le jus d’orange! Tout ce qui est hypocrite... Voyez? Elle... Il fallait qu’on se lève la nuit, et elle nous donnait du kérosène pour soigner le croup. Et elle mettait du kérosène, et elle y mettait du sucre. Voyez? Un peu hypocrite, mais ça vous mettait presque les amygdales en feu, quand ça descendait, une fois le sucre parti.

99        Eh bien, c’est comme ça, mon ami. Satan essaie de–de faire l’hypocrite à ce sujet. Il essaie de vous montrer quelque chose de mieux, un moyen plus facile, un plan plus rationnel. Mais il n’y a pas de plan plus rationnel que celui que Dieu a établi au commencement: Sa Parole. Tenez-vous à cette Parole. Saisissez-vous d’Elle. Laissez-La se saisir de vous. Restez là avec Elle. C’est ça–c’est ça qu’il faut.

100      La bataille a fait rage quand Ève a ouvert sa pensée pour écouter ses raisonnements. C’est par ce conduit-là qu’il est entré, c’est par ce–ce canal-là qu’il est descendu: son raisonnement. Elle, dans son âme, elle a raisonné. Ses yeux, avec la vue, elle a vu le serpent. Il était magnifique, beau, bien mieux que son mari. Il était le plus rusé de tous les animaux des champs, et il était probablement plus bel homme que son mari. Il avait l’air d’une grande bête virile, debout là. Qu’il était imposant! Et il essayait de lui exprimer combien cette chose-là, c’était extraordinaire. Et la première chose qu’elle a faite, elle a ouvert sa pensée. Et alors, les raisonnements humains ont saisi ça. «Mais ce serait vraiment excitant, ça, hein?»

101      C’est bien ce qu’il fait à la femme aujourd’hui. Une femme qui a un gentil petit mari repère un grand homme, très viril. Cet homme va essayer de créer une ouverture par les raisonnements. Souvenez-vous, c’est Satan, ça; c’est le diable. Ou vice versa, l’homme à l’égard de la femme, la femme à l’égard de l’homme, l’un ou l’autre... Que fait-il? Il exploite le pouvoir du raisonnement par cette conscience où quelque chose commence à agir par ce moyen-là, mais donnez à la Parole de Dieu la première place.

102      Un homme ne peut même pas venir à... Il ne peut pas pécher... Alléluia! Ça y est, ça me vient fraîchement. Un homme ne peut pas pécher tant qu’il n’a pas d’abord mis de côté la Parole de Dieu. Il ne peut même pas pécher (c’est-à-dire être incrédule) tant qu’il ne s’est pas d’abord débarrassé de la Parole de Dieu, de la Présence de Dieu; il ne peut pas pécher.

103      Ève ne pouvait pas pécher tant qu’elle n’avait pas mis de côté la Parole de Dieu, en ouvrant son canal de raisonnements à son âme, et commencer à raisonner. «Eh bien, c’est certain, mon mari ne m’a jamais dit ces choses, mais je crois que tu... Il m’a dit de ne pas faire ça, mais, tu sais, tel que tu le présentes, c’est tellement réel, c’est tellement clair. Je–je crois que ce serait formidable parce que, tel que tu me le présentes, c’est tellement clair.»

104      Voyez? C’est là qu’il y a eu la première bataille. Et c’est cette bataille-là qui a été la cause de toutes les autres guerres et de toutes les effusions de sang qu’il y a jamais eues; la cause, c’était en plein là, en Eden. Elle a été incrédule à la Parole de Dieu.

105      Et si d’avoir été incrédule à un seul petit iota de la Parole de Dieu a causé tous ces ennuis, comment allons-nous faire pour revenir, étant incrédules à la Parole? On ne le peut pas. Il faut fermer l’accès à toutes ces autres choses, la conscience, les souvenirs, et dire... les raisonnements et toutes ces autres choses. «Nous renversons les raisonnements.» Nous ne raisonnons pas du tout à ce sujet, rien du tout. Nous acceptons tout simplement la Parole sur cette base: «Dieu l’a dit»; et alors, il y a un courant qui passe entre vous et Dieu. Tous les canaux s’ouvrent, entre vous et Dieu, alors. Voilà la bataille, la toute première, le front.

106      Ne nous servons pas d’une carabine de calibre vingt-deux; prenons une–une bombe atomique. Faisons le travail comme il faut. Prenons la bombe atomique de Dieu. «Qu’est-ce, Frère Branham?» La f-o-i en Sa Parole. Voilà la bombe atomique de Dieu. Elle fait sauter la maladie et les démons de tous côtés. Elle–elle les anéantit, elle distingue. Oh! Elle–elle est... Elle détruit tout simplement; elle désintègre tout ce qui n’est pas de Dieu. Quand cette bombe de la foi tombe là-dedans, avec la Parole de Dieu derrière elle, elle fait sauter tous les démons, toutes les maladies, toutes les infirmités.

107      Vous dites: «C’est vrai, ça, Frère Branham? Alors, pourquoi a-t-elle cet effet sur certains, et pas sur d’autres?» C’est à cause du canal. Vous pouvez regarder dehors et le voir. Mais il vous faut l’avoir ici à l’intérieur, regarder dans cette direction-ci. Pas là, de l’extérieur, regarder à l’intérieur; vous devez, de l’intérieur, regarder à l’extérieur. Voyez?

108      Vous ne pouvez pas venir par le raisonnement. Vous ne pouvez pas venir par ces autres choses; il vous faut y venir par le canal de Dieu, directement dans l’âme. Et comment faire? Quel est le dernier canal?

            Il raisonnera jusque-là et dira: «Les sens. Oh! Je–je peux le ressentir. Oui, c’est là. (Oui, oui.) Oh! Peut-être que je–je le sens, ou quelque chose comme cela. Ces choses sont bien là. Oui.»

109      Après, vous raisonnez: «Eh bien, il me semble qu’il devrait savoir de quoi il parle. Le médecin dit que je ne peux pas me rétablir. Ça doit être ça...»

110      Vous voyez, c’est en plein là que vous–vous êtes dans l’erreur. C’est le diable qui est là. C’est le diable qui enfonce ces choses en vous. N’allez pas croire ça. Alléluia! La Parole de Dieu dit: «Je... Par-dessus toutes choses, je souhaite que tu prospères côté santé.» C’est exact. Comment pouvez-vous être un vrai soldat, là-bas? Voyez? «Je veux que tu prospères côté santé.»

111      C’est en plein là, ces canaux. Si vous devez arriver à les dégager, il ne faut pas vous contenter de les contourner. Alors, si Satan peut s’infiltrer par là, passer par la conscience et toutes ces autres choses, alors il descend jusqu’au fond de l’âme, dans la pensée. Or, s’il peut seulement vous amener... Jamais vous ne–jamais vous ne regarderez à l’une de ces choses avant de le laisser d’abord entrer ici. Il vous faudra le laisser entrer. Ensuite, une fois entré, il prend le contrôle.

112      Alors, que fait-il? Il se met à utiliser la conscience. Il se met à utiliser ceci, il se met à utiliser l’échappement, ici. Qu’est-ce? La vue, le goût, le toucher, l’odorat, l’ouïe; les imaginations, la conscience, la mémoire, les raisonnements, les affections. Il se met à utiliser tous ces différents petits canaux, du moment qu’il a réussi à entrer, au-dessus de celui-ci, ici. Il doit d’abord entrer dans votre pensée, et il vous faut l’accepter. Il peut...

113      Ecoutez. Ça peut s’acharner contre vous, mais ça ne peut pas vous atteindre tant que vous ne l’aurez pas accepté.

            Quand Satan s’est approché d’Ève et a dit: «Tu sais, le fruit est agréable», elle s’est arrêtée un instant. Oh! C’est là qu’elle a commis une erreur, quand elle s’est arrêtée un instant. Ne vous arrêtez pour rien. Vous avez le Message. Jésus vit. Dieu est un Guérisseur. C’est ça le Message. Ne vous arrêtez pas pour quoi que ce soit, pour aucun raisonnement, ni pour rien d’autre.

114      Mais elle s’est arrêtée un instant. C’est que Satan est entré d’un coup dans sa pensée. Elle a dit: «Eh bien, ça semble raisonnable.» Oh! Ne faites pas ça. Prenez seulement ce que Dieu a dit.

115      Abraham, et s’il s’était arrêté pour raisonner quand Il lui a dit qu’il allait avoir un bébé de Sara, alors qu’elle avait soixante-cinq ans et lui, soixante-quinze? Et quand il a eu cent ans, et qu’elle avait... et qu’elle en avait quatre-vingt-dix, encore là, il–il–il–il confessait que la Parole de Dieu était vraie. Et il appelait les choses qui n’étaient pas comme si elles étaient. Voyez? Il–il... Même l’espérance, y avait-il de l’espérance? Il n’a même pas utilisé l’espérance.

116      «Eh bien, dites-vous, j’espère pouvoir me rétablir. J’espère être en bonne santé. J’espère que je recevrai le Saint-Esprit. J’espère être un chrétien. J’espère faire ceci.» Vous ne voulez pas de ça. Abraham n’a même pas considéré ça. Amen. «Contre toute espérance, il a quand même cru la Parole de Dieu.» La foi va au-delà de l’espérance. La foi vient d’ici au fond, à l’intérieur. La foi vient d’ici. Comment entre-t-il? Par cette pensée, cette–cette porte, c’est là qu’est le front de bataille.

117      Maintenant, quand on se range en ordre de bataille... Maintenant, le diable est installé près de chaque coeur ce matin. Il est installé près du coeur de cette petite fille, il est installé près de votre coeur; il est installé tout autour, là. Il dit: «Oh! J’ai déjà vu cela être essayé auparavant. J’ai déjà entendu ça auparavant.» Chassez-le, c’est tout; chassez-le. Qu’a dit la Bible, ici, dans notre texte? «Le chasser.» C’est exact. «Le chasser.»

118      Nous avons été entraînés. Je me dis: «Que se passe-t-il avec nous, les prédicateurs?» Je me demande quel genre d’entraînement nous avons reçu. Dieu vous entraîne pour cette grande bataille.

119      Il est dit là, dans Matthieu 24, et aussi dans Daniel 12, il est dit qu’il y aurait une époque de détresse telle qu’il n’y en a jamais eu auparavant sur la terre. Et nous vivons à cette époque-là où la culture, l’instruction et tout ont étouffé la Parole de Dieu et se sont retrouvés dans les raisonnements et tout le reste. La bataille, c’est maintenant. Qui va tenir ferme? Alléluia! La bataille est prête à s’engager. On est en ordre de bataille maintenant.

120      Regardez quel redoutable adversaire nous avons, là-bas. Qui sera comme David qui a dit: «Vous restez là et laissez ce Philistin incirconcis défier les armées du Dieu vivant. Moi, j’irai le combattre»? Amen. Ce matin, Dieu veut des hommes et des femmes qui pourront se lever et dire: «Je prendrai le Seigneur à Sa Parole. (Amen!) Peu importe quel échec il y a eu, où il y a eu ceci et ce que celui-là a fait, ça n’a rien à voir avec ça. Vous, les Saül et tout, si vous avez peur de lui, retournez donc à votre place. Mais l’armée de Dieu va de l’avant.» Amen! Des hommes vaillants, des hommes de–de foi, des hommes puissants, des hommes de sens. Ils n’ont pas besoin d’être intelligents. Ils n’ont pas besoin d’être instruits. Ils ont besoin d’être des canaux. Dieu s’empare de ces petits canaux. Elle s’est arrêtée un instant pour raisonner, disant: «Eh bien, maintenant, voyons voir.»

121      Eh bien, c’est juste comme... Et si la... cette petite demoiselle, ce matin, sans doute que le médecin lui a dit qu’elle est presque arrivée au bout du chemin, rien ne pourrait être fait. Eh bien, là, c’est... ce médecin-là, je ne le condamne pas. Cet homme est un scientifique. Il voit que la maladie a vaincu le corps de l’enfant. C’est complètement hors de sa portée. Il n’a aucun médicament pour enrayer ça. Ce cancer aussi, il avait vaincu cette femme. Certainement la mort avait vaincu ce bébé, mais notre Capitaine en chef (Alléluia!) de cette grande armée, Il est la Résurrection et la Vie. Rien ne peut Le vaincre. Alléluia!

122      Le cerveau d’une armée réside dans ses capitaines, l’intelligence. Rommel, en Allemagne, était le cerveau de l’Allemagne; pas Hitler. Rommel! C’est exact. Eisenhower; un militaire Patton, ces hommes qui étaient au front, tout dépendait de ce qu’eux avaient donné comme ordres.

123      Suivez votre capitaine. S’il est le général qu’il faut, s’il est celui qu’il faut, s’il est un général à quatre étoiles, s’il a fait ses preuves, s’il a été prouvé qu’il avait raison, suivez-le. Bien que ça puisse vous sembler incorrect, avancez-vous au front. Faites ce qu’il vous a dit. Alléluia!

124      Nous avons un Général à cinq étoiles, ça s’écrit J-é-s-u-s, Il pose cinq étoiles sur nous, la f-a-i-t-h [f-o-i]. Il n’a jamais perdu une bataille. Alléluia! Il a vaincu la mort, le séjour des morts et la tombe. Ôtez les démons du chemin. Il est le grand Capitaine en chef. Alors, le diable ne compte même pas.

125      La plus grande bataille qui ait jamais fait rage est maintenant bien en cours. Certainement que oui. Oh! Alléluia! Quand j’y pense, alors que je me suis tenu là à Le regarder accomplir des choses, à Le voir révéler des choses, dévoiler des choses, dire: «Ce sera comme ceci, et comme cela», et voilà, c’est ça! Oh! Regarder ici et dire: «Qui est ce grand Capitaine?» Oh! Je ne regarde pas pour voir s’il s’agit du docteur Untel. Je vois ce que le Capitaine a dit; Il est le Capitaine de notre salut. Alléluia! Le salut, c’est quoi? La délivrance! Gloire! Il est le Capitaine de notre délivrance.

126      La grande heure de l’assaut est proche. Alléluia! Soldat, avec votre armure qui reluit, vos couleurs qui flottent au vent... La foi et le doute sont rangés en ordre de bataille, dans ce tabernacle, ce matin; le doute d’un côté, la foi de l’autre. Soldats, tenez-vous à votre poste de devoir. Alléluia! Notre Capitaine, l’Etoile du Matin, marche en tête. Il ne recule jamais. Jamais Il ne... Il ne connaît pas le mot retraite. Il n’a pas à battre en retraite. Amen! Certainement.

127      La plus grande bataille jamais livrée, elle se déroule ici même en ce moment (oui, oui), entre la vie et la mort, entre la maladie et la santé, entre la foi et le doute (Oh! la la!), entre la liberté et l’esclavage. La bataille se poursuit! Faites briller vos lances, soldats; astiquez l’armure.

128      Dieu est en train de préparer Ses soldats. Amen. Dieu oint Son armée. L’Amérique habille ses soldats avec ce qu’elle peut de meilleur comme habillement, des casques en acier, et des armures, et tout ce qu’ils ont, des chars d’assaut blindés, ce dans quoi ils se déplacent. Dieu habille Son armée. Alléluia! Quel genre d’équipement utilisons-nous? L’Esprit de l’Epée, la Parole de Dieu! Amen! «La Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants (Hébreux 4), pénétrante jusqu’à partager l’os, moelle et os; Elle discerne même les pensées du coeur.» La Parole de Dieu! Croire Sa Parole, et c’est de cette armure-là que Dieu revêt.

129      C’est ce qu’Il avait donné à Ève pour qu’elle s’en arme, et elle a démoli son armure. Comment l’a-t-elle fait? En ouvrant sa pensée au raisonnement. On ne raisonne pas la Parole de Dieu. Il n’y a rien à raisonner en Elle. Vous... C’est la Parole de Dieu, tout simplement. Il n’y a aucun–il n’y a aucun doute à Son sujet. Il n’y a aucun raisonnement à Y avoir. C’est la Parole de Dieu. C’est réglé. Avec ça, on y est. C’est réglé pour toujours. Vois-tu ce que je veux dire, chérie? C’est la Parole de Dieu. Dieu l’a promis. Dieu l’a dit.

130      Ils ont dit à Abraham: «Comment sais-tu que tu vas avoir ce bébé?» «Dieu l’a dit.» C’était réglé.

            «Eh bien, pourquoi ne l’as-tu pas?»

            «Je ne sais pas quand je vais l’avoir, mais je vais l’avoir. Dieu l’a dit. Ça ne m’arrêtera pas du tout.» Il a saisi...

            «Pourquoi ne rentres-tu pas chez toi, là d’où tu viens?»

            «Il faut que je sois pèlerin et étranger dans ce pays.» Amen!...?... «Dieu a donné la promesse. Dieu donnera le bébé ici même, dans ce pays où Il m’a envoyé.»

131      Alléluia! Dieu vous guérira ici même, dans cette atmosphère du Saint-Esprit, où Il vous a envoyés. Amen. Dieu vous le donnera; croyez-le seulement. Amen. Dégagez ces conduits de l’âme et du corps, les sens et la conscience, et... Laissez simplement les Paroles de Dieu pénétrer. D’abord, prendre possession de la pensée; c’est là le champ de bataille. Non pas dire: «Eh bien, si je pouvais le sentir, si je pouvais sentir la gloire de Dieu descendre. Oh! Ça n’a rien à faire avec; rien du tout. Dégagez votre pensée. C’est ça le champ de bataille. C’est là qu’on se range en ordre de bataille, ici même, au front, votre pensée. Dégagez-la, et dites: «Je... Tous les doutes, je doute de mes doutes.» Amen. «Maintenant, je doute de mes doutes; je mets ma foi dans la Parole de Dieu. Me voici, Satan.» Quelque chose va se produire. C’est sûr que oui. Oui, oui.

132      Il oint Ses serviteurs de Son Esprit; Il leur envoie des anges. Les gens se moquent de ça, parfois: des anges. Permettez-moi–permettez-moi de prendre quelque chose avec vous un petit instant. Prenons Hébreux, ici, un petit instant. Hébreux au chapitre 4, chapitre 4, et allons... je veux dire, le chapitre 1 de Hébreux, et prenons le verset 14:

          Ne sont-ce pas tous des esprits au service de Dieu, envoyés de... envoyés pour exercer un ministère en faveur de ceux qui doivent hériter du salut?

          ...auquel des anges a-t-il... dit: Assieds-toi à ma droite...?

          ...tous les anges de Dieu...

133      Maintenant, voici que la Bible revient nous dire ici que Dieu envoie des anges. Gloire! Que sont-ils? Des esprits qui exercent un ministère. Gloire! Des esprits qui exercent un ministère, envoyés (d’où?) de la Présence de Dieu. Pour faire quoi? Apporter Sa Parole. Amen! Vous ne devez pas apporter une théologie quelconque d’un groupe dénominationnel quelconque, mais apporter Sa Parole. C’est ça. Des esprits qui exercent un ministère, envoyés.

134      Comment savoir s’ils en sont? La Bible dit que la Parole du Seigneur est venue aux prophètes. Pas vrai? Ces anges apportent Sa Parole, par Son Esprit; ils apportent la Parole par le Saint-Esprit. Et l’Esprit et la Parole sont venus aux prophètes, et les prophètes avaient la Parole de Dieu. C’est pour cette raison qu’ils ont pu accomplir les miracles qu’ils ont accomplis. Ce n’était pas l’homme, c’était l’Esprit de Dieu dans l’homme, l’Esprit de Christ dans l’homme. En effet, la Parole de Dieu...

135      Qu’avait-il fait? Il avait nettoyé à fond tous les canaux. Dieu l’avait choisi, et il était oint du Saint-Esprit, et ce n’était pas lui. Il ne faisait jamais rien avant de l’avoir vu en vision. Elie a dit, sur la montagne du Carmel: «Je l’ai fait sur Ton ordre. Maintenant, Seigneur, que l’on sache que Tu es Dieu.» Oh! Gloire à Dieu!

136      Je l’ai vu tant de fois. Quand on voit l’Esprit de Dieu descendre dans un lieu, et que ce lieu est sous l’onction... Si seulement ce petit groupe qui est ici ce matin pouvait vraiment prendre cette pensée ici, ôter du chemin tous les doutes... Comment pouvez-vous encore douter quand vous voyez les morts–les morts ressusciter, les boiteux marcher, les aveugles voir, les sourds entendre?

137      L’Ange du Seigneur, même Sa photo est accrochée ici au mur, alors, partout, la science ne sait plus quoi répondre. Que fait-Il? Il s’en tient strictement à la Parole. Amen! Elle tranche tous les démons. Oui, effectivement. Qu’est-Ce? Des esprits envoyés de la Présence de Dieu qui exercent un ministère pour oindre ceux qui prêchent la Parole, qui s’en tiennent à la Parole. Et Il confirme la Parole, par des signes qui L’accompagnent, produisant Jésus, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Le voilà

138      Comment pourrions-nous douter alors que, aussi bien scientifiquement, matériellement que spirituellement, par toutes sortes de preuves qui peuvent être fournies, Il l’a prouvé ici? Qu’y a-t-il? C’est dans notre pensée. Nous laissons entrer la chose dans notre pensée, en disant: «Eh bien, je–je ne sais pas si ça se peut ou non. Peut-être, si je me sens mieux demain...» Oh! Ça n’a absolument rien à voir avec.

139      Comme je l’ai souvent dit, peut-être qu’Abraham avait dit à Sara... Elle avait dépassé l’âge de–d’être femme. (Vous savez ce que je veux dire, c’est l’époque de la vie, ses vingt-huit jours. Voyez?) Elle avait soixante-cinq ans. Elle avait probablement dépassé cela, depuis quinze, vingt ans. Et il lui a dit, peut-être quelques jours plus tard, il a dit: «Sens-tu un changement en toi, chérie?»

            «Pas le moindre changement.»

140      «Ça n’a absolument rien à y avoir; nous allons continuer de toute façon. Eh bien, là, si tu redeviens une–une jeune femme, nous savons, par ce sang de la vie, eh bien, alors, nous voyons, là, que ça va protéger le bébé contre les chocs, et tout ira bien. Maintenant, sens-tu un changement en toi aujourd’hui? Ça fait un mois depuis qu’Il m’a fait la promesse. Sens-tu un changement en toi, chérie?»

141      «Pas du tout, Abraham. Il n’y a aucun signe, rien. Je–je suis toujours exactement comme je–je l’ai été depuis les quelques dernières années. Il n’y a pas le moindre changement.»

            «Gloire à Dieu! Nous allons l’avoir de toute façon.»

142      «Veux-tu dire, Abraham, sur ce... Regarde, s’Il te l’a promis, certainement qu’Il nous donnerait un signe comme ceci. Certainement qu’Il nous donnerait un signe.» Hum! Alléluia!

143      «Une génération faible et adultère demande des signes.» C’est exact. Il avait eu un Signe. C’était quoi? La Parole de Dieu. C’était ça le Signe.

144      Comment Dieu peut-Il guérir cette enfant? La Parole de Dieu l’a dit. Que j’aie une sensation ou non. Que je... quoi qu’il arrive, Dieu l’a dit et c’est réglé.

145      Abraham a dit: «Ramasse tes bonnets et tout, nous partons pour ce pays.»

            «Où vas-tu?»

            «Je ne sais pas. (Amen.) Mais nous partons de toute façon. C’est parti!» Les bagages sont faits, et les voilà partis. Alléluia! Voilà la vraie Parole de Dieu. Qu’y avait-il devant lui, qui le tenait? La promesse de Dieu, la Parole de Dieu. «Nous allons l’avoir.»

146      «Sépare-toi de ton peuple, Abraham, ils sont... ce qu’il y a, c’est que ce sont des sceptiques et des incroyants. Ils vont t’entraîner dans le même pétrin qu’eux. Sors de là, sépare-toi, et vis pour Moi.» Qu’est-ce? «Laisse toute ta conscience, et tes sens, et... derrière toi, comme ça. Dégage ta pensée, et rappelle-toi, c’est Moi. Viens vivre avec Moi.» Amen.

147      Dieu appelle chaque semence d’Abraham, ce matin, à ce même genre-là de vie. La grande bataille se poursuit maintenant partout dans le monde. Dieu veut que Ses enfants se séparent de quoi? De la vue, du goût, du toucher, de l’odorat, de l’ouïe; des imaginations, de la conscience, des souvenirs, du raisonnement, des affections; tout. Qu’ils dégagent leur pensée et laissent la Parole entrer, et qu’ils marchent au pas de la Parole. Voilà un vrai soldat.

148      Voilà la position que prennent les astres. Le système solaire n’a pas changé, le zodiaque. L’étoile du matin se lève, à son poste, tous les matins, exactement comme elle l’a fait quand la terre a été créée. L’étoile du soir prend sa place, tous les astres, la petite Ourse, juste à la période de la saison, est exactement là où elle doit être. L’étoile polaire reste là constamment, sans jamais bouger. Alléluia! Tout gravite autour de l’étoile polaire, toutes les autres étoiles, parce qu’elle est centrée par rapport à la terre; ça, c’est Christ. Amen.

149      Il se tient là, à commander Son armée, comme un grand Capitaine. C’est comme Moïse, sur la montagne, les mains levées; Israël livrait bataille, en se taillant un passage, et il est resté là, les mains levées. Il est resté là, les mains levées, jusqu’au coucher du soleil. Il a fallu qu’ils tiennent ses mains pour qu’elles restent levées. Ça, c’était Moïse. Il était un type de Christ. Pour s’assurer que Ses mains restent levées, Ses mains levées ont été clouées à la croix. Alléluia! Et Il a escaladé les remparts de la Gloire aujourd’hui, avec Ses vêtements sanglants, devant Dieu, à la droite de Sa Majesté, Là-bas. Et la bataille, chaque soldat, il se taillera un passage (Peu m’importe ce qui peut arriver) par la Parole de Dieu, il se taillera un chemin jusqu’à la liberté. Amen.

150      C’est comme un poussin dans un oeuf, et s’il avait peur de regarder à l’extérieur? Et s’il avait peur de picoter l’oeuf? Et si le petit poussin, à l’intérieur de l’oeuf, le petit oiseau, il avait peur de taper sur la coquille de l’oeuf? Et s’il avait entendu un son, à l’extérieur, qui disait: «Ne tape pas sur cette coquille, tu pourrais te blesser»? Mais la nature même, dans cet oiseau, lui dit: «Donne des coups de bec! Fais un trou dedans.»

151      Que toutes les vieilles organisations disent: «Les jours des miracles sont passés. Tu vas te blesser. Tu tombes dans le fanatisme», donnez des coups de bec sur la coquille, de toutes vos forces.

152      Alléluia! «Satan, retire-toi! Je sors d’ici; je ne reste plus couché ici; je ne reste plus assis ici; je ne suis plus sur ce vieux terrain du diable; je donne des coups pour sortir d’ici ce matin. Amen. Je suis un aigle.» Amen! Alléluia!

153      Mais ce brave petit aigle, le cou comme un marteau à bascule, là, il donne des coups de bec sur cette coquille; peu importe combien dure était la coquille, il a donné des coups de bec jusqu’à ce qu’il passe à travers. La première chose, vous savez, il a pu battre un peu les ailes. Tout allait bien pour lui.

154      Donnez des coups de bec pour vous en sortir; c’est exact. Comment faire? Attaquez à coups d’AINSI DIT LE SEIGNEUR. AINSI DIT LE SEIGNEUR. AINSI DIT LE SEIGNEUR. Finalement, vous commencez à sentir de l’air frais. AINSI DIT LE SEIGNEUR. Votre tête est sortie de la coquille. AINSI DIT LE SEIGNEUR. Poussez bien fort, là, vous sortez! Il ne retourne plus jamais dans la coquille. Amen. Il est libre. Oh! la la! Une fois que cette Parole s’installe, qu’Elle a traversé tous ces sens et les consciences et tout, pour s’installer ici, au fond, et que la pensée se dégage pour La laisser entrer (Ô Dieu, aie pitié!), plus jamais rien ne l’asservira. Vous êtes libre. Celui que le Fils a mis en liberté est sorti de la coquille.

155      Votre dénomination ne pourra jamais vous y faire revenir. Le diable ne pourra plus rien vous faire. Il aura beau siffler et hurler sur vous, mais vous êtes sur le chemin, vous courez à grande vitesse (Oh! la la!), montant le Chemin du Roi en courant, un soldat de la croix oint. Et c’est pour vous, tous les aigles: proclamez avec foi Jésus, la Lumière du monde; montez le Chemin du Roi en courant.

156      Certainement. Oui, oui! Ce sont des esprits qui exercent un ministère, envoyés de la Présence de Dieu. Pour être des ministres, pour apporter (quoi?) Sa Parole; non pas une théologie quelconque, mais la Parole de Dieu. Ce sont des esprits qui exercent un ministère, envoyés par Dieu pour exercer un ministère: Des esprits qui exercent un ministère. Oh! Et, souvenez-vous, s’il apporte autre chose que la Parole, il n’est pas venu de Dieu. En effet: «Ta Parole est toujours confirmée dans les Cieux.» Toujours, dans les Cieux, la Parole, Dieu veille sur Elle. Et jamais Il n’enverra un esprit pour qu’il apporte autre chose que la Parole.

157      Jamais Il n’enverra un esprit muni d’un grand D.D.D., d’un doctorat en philosophie, avec son col tourné vers l’arrière, et tout, comme cela, qui dira: «Eh bien, évidemment, les jours des miracles sont passés. Ça, nous le savons tous.» Absolument pas. Ce n’est pas venu de Dieu, ça. C’est contraire à la Parole. Amen. Il envoie ceux qui apportent l’Esprit de la Parole. Amen. (Oh! J’avais à peu près quatre ou cinq choses encore, mais je vais m’en tenir là pour le moment, j’y reviendrai dimanche prochain. Bien.)

158      Satan et ses démons sont oints. Si ces esprits angéliques sont oints pour vous apporter la Parole, pour vous amener à croire la Parole... Eh bien, pouvez-vous concevoir qu’on puisse jamais entendre un prophète, un vrai prophète de Dieu, nier la Parole de Dieu? Non, non. Que se passait-il quand les organisations de leur époque s’élevaient et disaient: «Eh bien, il a tort»? Il se tenait là tout seul, il restait seul. Il disait: «C’est la vérité.»

159      Regardez Michée, là-bas, ce jour-là, le petit saint exalté. (Voyez?), le fils de Jimla. Il y en avait quatre cents qui étaient oints, c’est ce qu’ils prétendaient être, des prophètes oints qui se tenaient là-haut, tous bien nourris et bien soignés, avec de grands diplômes, des érudits avec beaucoup d’instruction et de raffinement. Ils ont dit: «Monte, notre noble roi. Que l’Eternel soit avec toi. Cela nous appartient. Josué nous l’a donné. Alors, monte t’en emparer. C’est tout à fait exact. Monte t’en emparer.»

160      Qu’a-t-il dit? «Eh bien, Josu-...Vous savez, Josaphat a dit: «N’y en aurait-il pas encore un quelque part?» Eh bien, ils en avaient quatre cents. Pourquoi ne pas croire les quatre cents? Il a dit: «Mais tu dois sûrement en avoir encore un quelque part.»

161      Il a dit: «Je–je... Eh bien, nous en avons un. Il y en a encore un, mais, oh! je le hais.» Hm! Voyez?

162      «Voilà–voilà, c’est le gars que j’aimerais écouter.» Voyez? Il a dit: «Faites-le venir. Voyons ce qu’il va dire.»

163      Alors, ils sont allés lui dire, ils ont dit: «Bon, écoute. Prépare bien ta prédication ce matin, parce que tu vas prêcher au roi. Tu vas prêcher à la... à toute la–l’association pastorale de tel et tel, tu vois, de la Palestine, l’association pastorale tout entière. Maintenant, souviens-toi, voici ce qu’ils ont dit. Dis la même chose, crois donc la même chose.»

164      Ce petit... Il–il n’avait pas l’homme qu’il faut, là. Cet homme-là s’était déjà débarrassé de ce vieux raisonnement. Il avait déjà nettoyé les conduits à fond (Voyez), sa conscience, et...

165      «Eh bien–eh bien, mais, sais-tu ce qu’ils vont faire? Si tu dis la même chose, j’imagine qu’ils te nommeront surveillant régional; probablement que oui. Ils–ils te nommeront surveillant général de la région, ici, si tu–si tu es du même avis qu’eux.» Ça, ce n’était pas un vrai homme de Dieu.

166      Eh bien, ses conduits avaient été nettoyés à fond, toute sa conscience et tout, c’était dégagé. Sa pensée s’était ouverte à la Parole de Dieu. Et c’est la Parole de Dieu, et Elle seule, qu’il allait croire. Des esprits qui exercent un ministère, c’est ça; un esprit qui exerce un ministère, c’est ça. Il a dit: «Je ne sais pas quoi dire en ce moment, mais je vous dirai une chose: je ne dirai que ce que Dieu me dira de dire.» Alors, ils ont attendu; cette nuit-là, il a eu une vision.

167      Le lendemain matin, je peux imaginer Michée parcourir les Ecritures, en disant: «Maintenant, voyons voir, là. Est-ce que cette vision... Eh bien, tous ces hommes... Quelque chose cloche quelque part, parce que c’est contraire à ce qu’ils ont dit. Mais, qu’Y est-il dit? Voyons ce qu’Elie a dit ici, le prophète, parce que nous savons qu’il était prophète. Voyons ce que... La Parole de l’Eternel est venue à Elie, oui, et qu’Y est-il dit? ‘Et les chiens lécheront ton sang. Jézabel. Les chiens la mangeront, et... c’est à cause du juste Achab... d’un juste, Naboth.’» Alors, il a dit... Quand il a vu ça, alors, il a vu que sa vision concordait parfaitement avec la Parole de Dieu, que le vieux Achab ne perdait rien pour attendre.

168      Il s’est avancé là sans hésitation, et il a dit: «Vas-y, monte, mais j’ai vu Israël...» Voyez, il n’avait donc pas honte de prononcer sa vision, parce que c’était la Parole du Seigneur. Il savait qu’il pouvait apporter cette chose-là parfaitement. Quoi? Il avait ouvert son coeur, sa pensée, à la Parole de Dieu, alors la Parole de Dieu lui avait été révélée; il savait donc que c’était la Parole de Dieu, parfaitement.

169      Eh bien, vous dites: «Oh! Si je pouvais seulement être un Michée!» Vous pouvez en être un. Vous en êtes un. Toi aussi, ma chérie. Vous êtes un Michée, le prophète. Que pouvez-vous faire? Ouvrir votre pensée. Qu’est-ce que j’essaie de vous dire ce matin? La Parole du Seigneur. Voyez? Ouvrez votre pensée, dites: «Maintenant, tu sais, je crois vraiment que je peux être guéri.»

            «Eh bien, qu’est-ce alors? Est-Ce la Parole du Seigneur?»

170      Bien sûr que C’est la Parole du Seigneur. Et il y a ce gars ici qui dit: «Les jours des miracles sont passés. Vous ne pouvez pas faire ceci et...» Oubliez ça. Faites passer Dieu en premier. Voici venir la Parole du Seigneur, et il L’a prononcée, et il En a été ainsi.

171      Or, qu’avait fait Satan? Satan avait oint les autres. Or, Satan oint ses serviteurs. Oh! Certainement. Oui, oui. Certainement. Il oint ses serviteurs. De quoi les oint-il? D’incrédulité. Satan et ses démons oignent l’humanité pour qu’elle soit incrédule à la Parole de Dieu. Maintenant, si vous voulez en avoir la confirmation, prenez Genèse 3.4.

172      Prenons donc ça, et écoutons ça un petit instant, et voyons si c’est bien sa première tactique. C’est la première chose qu’il a faite. Il n’abandonne jamais ses mêmes tactiques. C’est ce qu’il fait, tout le temps. Maintenant, voyez si ce–si c’est bien ça. Or, il n’a pas été en désaccord avec la Parole, il a simplement incité cette femme à La mal interpréter un peu, vous savez, Lui faire dire un peu ce qu’il voulait qu’il Y soit dit... ne pas prendre la totalité de la Parole.

173      Maintenant, Genèse, ce que j’ai ici, Genèse 3.4. Voyons si c’est ce qui est dit là. Bien.

          Et le serpent dit à la femme:

          Vous ne mourrez point certainement–ne mourrez point certainement.

174      Voyez-vous comment il a contourné ça, en le citant? «Oh! Nous croyons que les jours des miracles sont passés. Nous ne croyons pas que des gens puissent recevoir le Saint-Esprit comme ils L’avaient reçu à la Pentecôte. Oh! Qu’on se fasse baptiser d’une manière ou d’une autre, il n’y a pas de différence.» Voyez-vous le diable? Voyez-vous ses tactiques?

            «Eh bien, si le médecin t’a dit que tu ne pouvais pas te rétablir, ça règle la question.»

175      Eh bien, ce n’est pas que je mette en doute... que je ne croie pas le médecin; le médecin travaille sur le plan de la science. Et le médecin a fait tout son possible pour sauver la vie de cette personne, et elle ne peut pas être sauvée, parce qu’il ne sait plus quoi faire. Il est au bout du rouleau. Cet homme est honnête.

176      Mais, maintenant, l’arbre de la connaissance, c’est bien, mais quand vous arrivez au bout, alors, passez de celui-là à l’Arbre de la Vie, et continuez simplement à avancer. Amen. C’est ça. Il fera l’affaire jusque-là, pas plus loin. Oui.

177      Eh bien, quelle est la tactique de Satan? Qu’a-t-il dit, ici? Eh bien, regardez le premier et le–le deuxième versets. Maintenant, je vais–je vais lire le premier verset ici, jusqu’à 3:

          Or le serpent était plus rusé que tous... qu’aucun animal des champs que l’Eternel Dieu avait fait; et il dit à la femme: Quoi, Dieu a dit: Vous ne mangerez pas... tout arbre du jardin? [Darby]

178      Ecoutez-le maintenant, comme il devient vraiment désagréable, et comme il–comme il badigeonne en blanc cette Parole. Voyez? Qu’essaie-t-il de faire? D’entrer dans sa pensée. Voyez? Il lui parle, après que la Parole avait déjà été fortifiée là. Maintenant, ne laissez surtout pas Satan fortifier quoi que ce soit. Voyez? Gardez la Parole de Dieu fortifiée dans votre coeur. Voyez? Faites la même chose. Maintenant, regardez bien, vous les Michée.

          ...la femme dit au serpent: Nous mangeons du fruit des arbres du jardin; mais le...

          Mais du fruit de l’arbre qui est au milieu... (le milieu, voyez?) du jardin, Dieu a dit: Vous n’en mangerez point, et vous n’y toucherez point, de peur que vous ne mouriez. [Darby]

179      Voyez? Eh bien, ça, c’est la Parole. Elle La lui cite. Maintenant, regardez bien.

          Et le serpent dit à la femme: Vous ne mourrez point certainement; [Darby]

180      Voyez-vous sa tactique? Voyez-vous? Qu’essaie-t-il de faire? Ce premier être humain, il essaie d’oindre cette précieuse femme, là, la fille de Dieu, d’incrédulité à l’égard de la Parole de Dieu. Voilà précisément ce qu’il essaie de l’amener à faire. Voilà ce qu’il essaie de t’amener à faire, ma petite. Voilà ce qu’il essaie de vous amener à faire, chacun de vous: là-bas; vous oindre. Et tout ce qu’il vous faut faire... Eh bien, vous avez le libre arbitre. Maintenant, vous pouvez l’accepter si vous voulez, mais mettez ça à la porte!

181      Si Ève ne s’était pas arrêtée pendant cet instant-là pour écouter... Ne vous arrêtez pour rien. Ne vous arrêtez pas.

182      Quand le... quand Elie a dit à Guéhazi, il a dit: «Prends mon bâton, va le mettre sur le bébé mort; et même si quelqu’un te parle, ne lui réponds pas. Si quelqu’un essaie de t’arrêter, continue simplement à avancer.»

183      Regardez cette femme, quand elle a appelé son serviteur. Elle a dit: «Selle une ânesse et pars, et ne t’arrête même pas tant que je ne te l’aurai pas dit.» C’est ça. Une fois que vous avez le Message, continuez à avancer. Amen. Vous dites: «Je n’arrive plus à marcher. Eh bien... Oh! Je m’affaiblis.» Continuez simplement à avancer; ne vous arrêtez pas. Mettez tout de côté, continuez simplement à vous tailler un passage. Frère, vous avez l’Epée en main, continuez simplement à trancher.

184      Je suis une fois allé dans un stade de football, et j’allais y prêcher. Et je me suis arrêté à la porte, j’ai levé les yeux, là-haut, il était dit: «Ce qui compte, ce n’est pas la taille du chien dans le combat, c’est la taille du combat dans le chien.» Alors, voilà ce qui gagne la bataille. Voyez?

185      Vous dites: «Eh bien, regardez–regardez, toutes les grandes églises qui sont contre ceci.» Peu m’importe leur taille. C’est la combativité dans le chien, c’est ça qui compte. C’est la foi qu’il y a dans l’individu. Si vous êtes un lâche, retournez vous blottir dans votre trou. Eh bien, frère, si vous êtes un soldat, tenez-vous là, debout. Il y a une bataille en cours. Il y a un combat entre le bien et le mal. Livrons bataille.

186      C’est comme Peter Cartwright, il est allé dans une ville et a dit: «Le Seigneur m’a dit de–de venir tenir des réunions de réveil.» Il a loué un vieil entrepôt, il y est entré et il s’est mis à l’aménager.

187      Et la grande brute de la ville, un pistolet accroché sur le côté, est arrivé et a pris... des portes... Quelqu’un a dit: «Que fait-il là, ce gars-là?»

            On a répondu: «C’est un prédicateur. Il va tenir des réunions, dit-il.»

            «Eh bien, a-t-il dit, je pense qu’il va falloir que j’aille là-bas le jeter à la rue, le chasser d’ici. C’est tout. Nous ne voulons pas de réunions chez nous.»

188      Alors, il y va, martèle la porte. Et Peter Cartwright portait son manteau, vous savez, et il nettoyait simplement les vitres et les murs; un petit bout d’homme, vous savez. Le vieux prédicateur s’était moqué de lui, vous savez, parce qu’il mangeait du poulet avec ses mains (et aujourd’hui, c’est l’étiquette, ça, vous savez). Il lavait simplement les vitres, simplement, et il arrangeait ça. La grande brute s’est approchée, a ouvert son manteau, son pistolet accroché sur le côté. Il a dit: «Que fais-tu?»

189      «Oh! a-t-il dit, je nettoie les vitres.» Et il a simplement continué à nettoyer la vitre, vous savez. Il avait un seul but. Dieu lui avait dit de tenir des réunions de réveil. Il continuait à nettoyer les vitres.

            Il a dit: «On ne permet pas des réunions de réveil par ici.»

            Il a dit: «Oh! Mais c’est le Seigneur qui m’a dit de–de tenir ces réunions de réveil.» Voyez? Il a simplement continué sa besogne. Voyez? Voyez?

            Il a dit: «Il va falloir que tu–tu comprennes une chose, a-t-il dit; c’est moi qui dirige ici, dans cette ville.»

            Il a dit: «Ah oui?» Et il continuait à nettoyer les vitres, vous savez.

            Il a dit: «Avant de tenir des réunions de réveil, il faudra d’abord que tu me flanques une raclée.»

            Il a dit: «Ah oui? Eh bien, c’est la prochaine chose que je vais faire, alors.»

190      Il a juste ôté son manteau, s’est avancé, l’a pris par le collet, l’a jeté par terre et a sauté sur lui; il a dit: «Je dois combattre si je dois régner. Augmente mon courage, Seigneur.» Il lui a administré toute une raclée. Il a dit: «Tu en as eu assez?»

191      Il a dit: «Oui.» Il s’est relevé et lui a serré la main. Il a été sauvé ce soir-là à l’église. Vous y êtes. Voyez?

192      Prenez simplement la Parole de Dieu et taillez-vous une voie à travers tous les doutes. Voyez-vous ça? Certainement, c’est ça. Si c’est le prochain travail à faire, alors faisons-le. Exact. La meilleure chose que je sache faire, c’est me débarrasser de mes doutes, les abattre.

193      C’est mon prochain travail à faire: me débarrasser de toutes mes contrariétés. Si mes sens me disent: «Eh bien, tu te sens mal», la prochaine chose à faire, c’est retrancher cette chose-là. C’est exact.

194      Vous dites: «Eh bien, vous... Ils me disent que... Vous savez, ma conscience me dit, Frère Branham, que je...» Eh bien, tenez, autant retrancher cette chose-là; vous n’irez pas plus loin que ça. Faites simplement le prochain travail que vous avez à faire. Ôtez votre manteau, dégainez et allez-y rondement. Continuez simplement à avancer. Un seul objectif: «Je vais gagner.» Amen. «Je ne peux pas perdre. Je vais gagner.» Amen.

195      Satan oint. Voyez? Quelle est sa première tactique? Quel est le premier endroit qu’il a réussi à occuper? La pensée. Elle s’est arrêtée un instant pour écouter ce qu’il disait.

196      Oh! Ne dites pas ça! C’est là que bien des jeunes femmes ont commis leur erreur et que bien des jeunes hommes ont commis leur erreur. Exact. Ils se sont arrêtés un instant, se sont juste arrêtés un instant.

197      Combien de fois j’ai vu des cas de divorce et tout se présenter devant moi!198  «Eh bien, je vous assure, Frère Branham, il a sifflé comme ça [Frère Branham émet un sifflement semblable à celui d’un loup.–N.D.E.], vous savez, et je me suis arrêtée; et, honnêtement, je–je ne voulais pas faire ça.» Hein! Hein! Vous y êtes.

199      «Oh! Elle... J’étais assis en face d’elle, de l’autre côté de la table; elle–elle avait de si beaux yeux!» Voyez? Ah-ha. Voyez? C’est ça. Le diable fait la même chose.

200      «Oh! Le médecin m’a dit que je ne pouvais pas me rétablir, alors, je...» Vous y êtes. La même chose, voyez. La plus grande bataille qui ait jamais été livrée.

201      «Eh bien, ils me disent... J’ai vu Untel prétendre avoir le Saint-Esprit.» Oui, vous avez regardé une espèce de vieil hypocrite. Mais qu’en est-il de ceux qui L’avaient réellement? Hein. Oui. Le diable vous indiquera une espèce d’appât à corneille, mais il ne vous montrera pas la vraie colombe. C’est exact. Ça, il ne vous le montrera pas; il vous aveuglera là-dessus.

202      Oh! Lui aussi, c’est un guerrier. Souvenez-vous-en, mais grand est notre... «Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.» Ainsi, accrochez-vous-en à la Parole de Dieu; croyez-La, vous, les capitaines de l’armée, ici. Défendez votre forteresse, frère. C’est exact, gardez votre poste du devoir.

203      Ainsi, j’avais une jeune fille ici à un moment donné. La dame est peut-être assise ici en ce moment; elle s’appelait Nellie Sanders. L’une des premières fois que j’ai vu un démon être chassé. (Nous habitions... Eh bien, si je peux seulement expliquer où... c’était à peu près trois rues plus loin, ici, après le cimetière). Et j’en étais à mes débuts comme prédicateur, et je prêchais ici même au coin, à une réunion sous une tente. Et cette jeune fille était l’une des meilleures danseuses. Elle allait à l’école secondaire, ici. Et elle et Lee Horn (beaucoup d’entre vous de la ville ici, vous connaissez Lee Horn, ici, il tient la salle de billard), alors, elle et Lee Horn étaient les meilleurs danseurs de la région. Lui, il est catholique. Evidemment, la religion, pour eux, ça ne comptait pas. Ainsi donc, Nellie et les autres, elle était donc une très bonne danseuse, et lui aussi, et on avait cette danse appelée le black bottom, et le jitterbug, là, et toutes ces choses. Et elle était... ces deux-là étaient les meilleurs de la région.

204      Un jour, elle est entrée ici d’un pas titubant, un soir, à la réunion. Là, elle est tombée à genoux, à l’autel, la petite Nellie; qu’elle soit bénie. Elle est restée là à l’autel; elle a redressé la tête, elle pleurait, et les larmes lui coulaient sur les joues. Elle a dit: «Billy...» (Elle me connaissait.) Elle a dit: «Je voudrais tant être sauvée.»

205      J’ai dit: «Nellie, tu peux être sauvée. Jésus t’a déjà sauvée, ma fille. Il faut que tu l’acceptes maintenant sur base de Sa Parole.»

206      Elle est restée là. Et elle a pleuré, elle a prié, elle a dit à Dieu qu’elle n’écouterait plus jamais les choses du monde. Tout d’un coup, une belle et douce paix a envahi son âme. Elle s’est relevée de là en poussant des cris et en louant Dieu, en glorifiant Dieu.

207      Et environ six ou huit mois plus tard, elle descendait la rue Spring, un soir. (Eh bien, elle était toute jeune, elle n’était qu’une adolescente d’environ dix-huit ans.) Elle était venue me voir, et elle disait: «Hope...» (C’était ma femme, celle qui est décédée.) Elle disait: «Comme j’aimerais ressembler à Hope et à Irène.» Elle disait: «Tu sais, elles, elles n’ont jamais été dans le monde.» Elle disait: «Le monde laisse son empreinte sur vous.» Elle disait: «J’ai un air dur.» Elle disait: «Eh bien, j’ai arrêté de porter du maquillage et tout, mais j’ai un air tellement dur. Même les traits de mon visage, disait-elle, j’ai un air dur.» Elle disait: «Elles, elles ont un air tellement innocent et tendre.» Elle disait: «Comme j’aimerais n’avoir jamais fait ça!»

208      J’ai dit: «Nellie, le Sang de Jésus-Christ purifie de tout péché, ma petite. Va ton chemin, crois-le.»

209      Wayne Bledsoe (Beaucoup parmi vous ici le connaissent, un de mes amis intimes, pendant des années et des années), c’était un buveur, et il venait ici avec mon frère Edward. Et il s’était enivré là-bas dans la rue; alors, je l’ai ramassé, parce que les flics allaient se saisir de lui. Je l’ai emmené ici. J’étais prédicateur, et j’habitais chez maman et papa, ici; c’était bien avant que je me marie. Et je l’ai pris, je l’ai mis au lit, là. Je dors... je dormais sur un canapé. Il y avait tout un tas de Branham, vous savez (nous étions dix), et alors, nous avions environ quatre pièces, et il fallait un peu les partager entre nous. Ainsi, moi, j’avais un vieux canapé sur lequel je dormais. Je l’ai ouvert en tirant comme ceci, et–et je me suis mis au lit avec Wayne; il était ivre. J’ai été obligé de l’emporter, l’emmener dans la maison et de le coucher. Et j’étais étendu là; j’ai dit: «Wayne, n’as-tu pas honte de toi-même, comme ça?»

210      Il... «Ah! Billy, ne me parle pas comme ça.» Vous savez [Frère Branham imite le parler d’un homme ivre.–N.D.E.] J’ai imposé ma main et j’ai dit: «Je vais prier pour toi, Wayne. Que Dieu te bénisse.»

211      Cela faisait à peu près, oh! je pense à peu près, peut-être un an que j’avais été sauvé. Et alors, tout à coup, un–un taxi, la portière a claqué dehors, et quelqu’un a frappé à la porte, très fort. «Frère Bill! Frère Bill!» [Frère Branham frappe sur la chaire.–N.D.E.]

212      Je me suis dit: «Bonté! Quelqu’un doit être mourant.» J’ai bondi vers la porte; j’ai attrapé mon vieux truc, là, j’ai mis ça autour de mon pyjama, comme ceci; j’ai couvert Wayne. Je suis allé à la porte en vitesse. On aurait dit la voix d’une femme. J’ai ouvert la porte, et cette jeune fille se tenait là à la porte. Elle a dit: «Oh! Puis-je entrer?»

            J’ai dit: «Entre.» Et j’ai allumé les lumières et...

213      Eh bien, elle était en larmes, comme cela, et elle disait: «Oh! Bill... Billy, je suis–je suis–je suis fichue! Je suis fichue!»

214      J’ai dit: «Qu’y a-t-il, Nellie? Tu as piqué une–piqué une crise cardiaque?»

215      Elle a dit: «Non.» Elle a dit: «Frère Bill, je descendais la rue Spring.» Elle a dit: «Franchement, Frère Bill, sincèrement, Frère Bill, je ne voulais pas faire de mal; je ne voulais pas faire de mal.»

216      J’ai dit: «Qu’y a-t-il?» Je me disais: «Que vais-je faire avec elle, maintenant?» Voyez? Je ne savais pas quoi faire. Je n’étais qu’un jeune homme. Et je...

217      Elle a dit: «Oh! Frère Bill, disait-elle, je ne sais–je ne sais–je ne sais vraiment plus où j’en suis.»

            J’ai dit: «Bon, calme-toi, petite soeur. Raconte-moi tout ça.»

218      Et elle a dit: «Eh bien, a-t-elle dit, je descendais la rue, et la salle Redman...» (Autrefois, on y organisait des soirées dansantes, le samedi soir.) Et elle a dit: «J’avais des choses et je rentrais à la maison pour me faire une robe.» Et elle a dit: «J’ai entendu cette musique.» Et elle a dit: «Tu sais, a-t-elle dit, je me suis arrêtée juste une minute et, a-t-elle dit, ça sonnait de mieux en mieux. Alors, je me suis dit: ‘Tu sais, il n’y a pas de mal à ce que je reste ici.’»

219      C’est là qu’elle a commis son erreur, elle s’est arrêtée un instant.

220      Elle a simplement écouté, disant: «Eh bien, je vais penser.» Elle a dit: «Ô Seigneur, Tu sais pourtant que je T’aime.» Elle a dit: «Tu sais que je T’aime, Seigneur, mais je me souviens très bien de l’époque où Lee et moi, on remportait toutes les–les coupes, et tout.» Elle a dit: «Oh! la la! Je me souviens que cette espèce de musique-là, avant, elle m’attirait; plus maintenant.»

            Oh! Oh! Oh! Oh! Tu t’imagines que non; elle te tient déjà là. C’est pratiquement ce qu’il veut là même. Voyez?

221      Combien ont déjà fait la connaissance de Nellie Sanders? Eh bien, un bon nombre d’entre vous, je pense. Oui, c’est sûr. Alors, ils... Il y avait un... Il était dit... Elle a dit: «Eh bien, sais-tu quoi?» Elle a dit: «Peut-être que si je gravis les marches, là-bas, a-t-elle dit, peut-être que je pourrais témoigner à quelques-uns d’entre eux.» Voyez, vous êtes en plein sur le terrain du diable. Restez hors de là. Fuyez l’apparence même du mal.

222      Mais elle est montée jusqu’en haut des marches et est restée là quelques minutes. Et tout à coup, vous savez, elle s’est retrouvée dans les bras d’un garçon, sur la piste. Alors, elle a repris ses sens et elle était là en larmes et tout, disant: «Oh! Je suis perdue maintenant pour de bon.»

223      Je–je me suis dit: «Eh bien, je n’en sais pas trop sur la Bible, mais je crois que Jésus a dit ceci: ‘En Mon Nom, ils chasseront les démons.’» Eh bien... Et Wayne s’était dégrisé un peu et était assis là, observant cela. Voyez? J’ai donc dit: «Maintenant, démon, je ne sais pas qui tu es, mais je te le dis maintenant, ça, c’est ma soeur, et tu n’as pas le droit de la retenir. Elle ne voulait pas faire ça; elle s’est juste arrêtée un instant.» (C’est quand même là qu’elle a commis son erreur.) J’ai dit: «Mais tu vas être obligé de sortir d’elle. Tu m’entends?»

            Je le certifie, ô Dieu, à la barre du Jugement, ce sera connu. Cette porte grillagée s’est mise à s’ouvrir et à se fermer toute seule: «Boum-badoum! boum-badoum!» là, à la porte. «Doum! badoum! badoum!» J’ai pensé... Et elle a dit: «Bill, regarde là. Regarde là.»

224      Et j’ai dit «Ouais. C’est quoi, ça?»

            Elle a dit «Je ne sais pas.»

            J’ai dit: «Moi non plus.»

225      Et la porte faisait: boum-badoum! badoum!, en se fermant comme ça. Je me suis dit: «Que se passe, ici? Que se passe-t-il?» Et j’ai regardé de nouveau, comme ça. Et j’ai dit: «Laisse-la, Satan! Au Nom de Jésus, sors d’elle!»

            Quand j’ai dit ça, quelque chose semblable à une énorme chauve-souris, longue comme ceci, est sorti de derrière elle, avec de longs cheveux qui pendaient de ses ailes et de ses pattes, comme ça. Ça faisait: «Whrrrrrr.» Ça s’est dirigé vers moi, à toute vitesse. J’ai dit: «Ô Seigneur Dieu, que le Sang de Jésus-Christ me protège de ça.»

226      Et Wayne a fait un bond dans le lit, il a regardé. Et c’était là, comme une grande ombre, ça décrivait des cercles, et c’est allé là-bas, c’est descendu derrière le lit. Wayne est sorti du lit et s’est enfui dans l’autre pièce à toute vitesse.

227      Alors, nous... J’ai emmené Nellie, je l’ai ramenée chez elle. Je suis revenu, et je ne pouvais pas... Maman est allée là, elle a secoué les draps et tout; il n’y avait rien dans ce lit. Qu’était-ce? Un démon était sorti d’elle. Qu’était-il arrivé? Elle s’était arrêtée un instant. C’est tout.

228      Ne vous arrêtez pas du tout. Quand Dieu fait pénétrer Sa Parole dans votre coeur, prenez simplement cette Epée et commencez à trancher et à découper. Alléluia! «Je n’ai pas le temps d’attendre quoi que ce soit d’autre. Je viens de traverser; je n’ai pas le temps même de m’installer.»

229      Il a dit: «Quand... Prends mon bâton et mets-le sur le bébé. Et si quelqu’un te parle, ne lui parle même pas.» Si le diable dit: «Hé! Tu sais comment tu te sens...» Ne lui parlez même pas. Continuez simplement à avancer.

230      Le diable, vous savez, le diable dit: «Mais, sais-tu quoi? Tu connais Untel, quand ils ont reçu le Saint-Esprit, tu te souviens, ils–ils ont presque perdu la tête.» Ne lui parlez même pas, continuez simplement à avancer. Vous ne savez pas ce qu’il en est d’un tel. Il s’agit de vous et Dieu. C’est exact. Gardez Dieu.

231      Il oint Ses serviteurs. (Il me faut me dépêcher.) Dieu oint Ses serviteurs. Voyez? (Maintenant, il faut que je laisse de côté quelques notes, ici, mais j’aimerais dire ceci.) Ici... Maintenant, écoute attentivement, petite demoiselle, écoute attentivement, maintenant.

232      Ici, nous voyons les tactiques du diable. Comment faisons-nous? Eh bien, j’ai ici beaucoup de passages des Ecritures où il est question des prophètes et tout, alors qu’il était venu à eux et à différentes personnes, partout dans la Bible, et qu’il avait fait la même chose. C’est toujours sa tactique, d’essayer d’amener les gens à être incrédules à la Parole de Dieu.

233      Ecoutez, vous, les soldats de la croix. Quand vous êtes incrédules à une seule Parole de la Bible écrite de Dieu, vous êtes désarmés. Crois-tu cela, chérie? Vous êtes désarmés; vous capitulez. Espèces de méduses, revêtez-vous de l’armure complète de Dieu. Amen. Nous sommes... en bataille. Ce que Dieu a dit est vrai, toute parole d’homme est un mensonge. Voyez?

234      Mais dès que vous... qu’il vous amène à écouter une seule chose, c’est sa tactique, vous êtes désarmé. Combien de choses a-t-il fallu qu’Ève écoute? Une seule. Là même elle était désarmée.

235      Qu’a fait le diable? Tout de suite, il est entré, par sa pensée, dans son esprit, et c’est là qu’elle a été pervertie. Pas vrai? Elle a été pervertie dès l’instant qu’elle a été désarmée, quand elle a été incrédule à la Parole de Dieu. Bien. Ici, nous voyons ses tactiques.

236      Les soldats de Dieu ont reçu l’ordre de se revêtir de l’armure complète de Dieu. Pas vrai? Maintenant, si vous voulez noter ce passage de l’Ecriture, il se trouve dans Ephésiens 6.10 et 13. Voyez? Nous l’avons lu tout à l’heure, c’est notre texte. Bien.

237      Remarquez. Revêtez-vous de l’armure complète de Dieu.» Nous allons... Avez-vous quelques minutes? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]Revenons à cela un petit instant. Voyons ce qu’est l’armure complète de Dieu. Bien. Commençons au verset 10. Maintenant, écoutez attentivement, là. Allons voir l’armure complète de Dieu.

          Au reste, mes frères...

238      Maintenant, je sais que je suis... je... En ce moment, il est midi moins vingt, presque. Je–je ne... Je ne voulais pas vous donner un enseignement trop long aujourd’hui, mais il se pourrait que je–que je n’aie peut-être qu’un seul Message encore avant de partir pour quelques-uns de mes voyages de l’été (Vous voyez), et...

239      Savez-vous quoi? Savez-vous pourquoi je fais ceci? Je vais vous le dire. L’autre jour, j’ai eu un songe. Je n’avais pas l’intention de le raconter, mais il me revient à l’esprit; autant le faire.

240      Une fois que le Seigneur m’en a donné les interprétations, j’ai rêvé que je m’apprêtais à traverser un grand fleuve, en vue d’une oeuvre missionnaire. Et je... Au départ, j’étais là avec ma femme... Et combien ont déjà connu George Smith, Six-second Smith, ici, en ville? George Smith, son fils est policier, ici. Il... Pauvre George, maintenant, il est alcoolique. Mais c’était l’un des meilleurs boxeurs. C’est lui qui m’a entraîné, avant même d’aller au Y.M.C.A. et partout. C’est lui qui nous entraînait, à l’époque. Et il était rapide, très rapide. Il était seulement un poids mi-moyen, à cent quarante-cinq livres [65,8 kg], et il m’entraînait. A l’époque, il se tenait là, et avec son poing, comme ça, il pouvait me frapper en plein estomac, il me soulevait, j’étais appuyé contre le mur (Voyez?), mais... et ça ne me dérangeait pas. Il m’avait tellement entraîné que ce n’était plus qu’un entraînement, tout simplement.

241      Et donc, je–j’ai rêvé l’autre nuit que j’ai vu Six-second Smith. (Or, ce n’était pas une vision, c’était un songe.) Et j’ai vu Six-second Smith, des jeunes gens l’affrontaient, à la lutte. Et il... ce vieil homme d’environ... oh! je pense... J’ai cinquante-deux ans. Il a environ cinquante-huit, soixante ans. Aucun de ces jeunes-là n’arrivait à le toucher, d’aucune manière. Il les immobilisait, mais alors complètement, comme ça, les terrassait et les retenait là avec sa main. Eh bien, j’ai pensé: «C’est étrange», et je pensais que ma femme était avec moi, et j’ai dit: «C’est étrange.» J’ai dit: «Sais-tu quoi, Meda? Autrefois, c’était mon entraîneur.»

            Elle a dit: «Je–je m’en souviens, tu m’en avais parlé.»

242      J’ai dit: «Oui, oui. Grâce à son bon entraînement, j’ai gagné quinze combats professionnels. Ensuite, je me suis retiré du–du métier pour prêcher l’Evangile.»

243      Au même instant, ça s’est transformé, et je m’étais mis à traverser une–une étendue d’eau. Mais comme j’y allais, j’y allais dans une embarcation à moteur. J’ai jeté un coup d’oeil, et deux de mes frères étaient assis là, dans un canot, ils se préparaient à partir avec moi. J’ai dit: «Vous ne pouvez pas faire ça, frères. Non, non. Je dois y aller seul.»

244      Et le batelier est arrivé et a dit: «Voici une embarcation pour vous», un canot en plastique, très blanc.

            J’ai dit: «Non. Non, non. Pas ça.»

245      Il a dit: «Eh bien, avec ça, vous pourrez faire cinquante miles [80 km] à l’heure en montant dans cette direction-ci.»

            J’ai dit: «Mais il me faut traverser dans cette direction-là.» Voyez?

            «Eh bien, a-t-il dit, allez-y avec ces gars-là.»

246      J’ai dit: «Ce ne sont pas des bateliers. Ils ne s’y connaissent pas assez. Ils sont emballés. Ils ne peuvent pas traverser ça. Ils vont se noyer là-bas, tous les deux. Ils ne peuvent pas, vraiment pas.»

            Et il a dit: «Etes-vous... pouvez-vous vous fier...?»

247      J’ai dit: «Ecoutez, je–je m’y connais plus qu’eux en bateaux, et moi, je n’essaierai pas de traverser avec ça, rien qu’avec ce genre de matériel-là.» J’ai dit: «Il faut absolument une embarcation à moteur pour traverser ça.» J’ai dit: «Il faudra quelque chose de plus puissant que ça.»

248      Et je l’ai vu tourner le regard vers l’un des frères, et il a dit: «Etes-vous bateliers?»

            Les frères ont dit: «Oui.» Voyez?

            J’ai dit: «C’est faux.»

249      Et le batelier est revenu. Il a dit: «Je vais vous dire quoi faire.» Il a dit: «Ils vous aiment. Ils croient en vous. Mais, a-t-il dit, si vous essayez de traverser dans l’embarcation à moteur, ils essaieront de vous suivre dans ce canot. Ils mourront tous les deux.» Voyez? Il a dit: «Ils ne peuvent pas vous suivre.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, que dois-je faire?»

250      Et ce batelier, au quai, a dit: «Retournez là-bas.» Il a dit: «Il n’y a qu’un seul petit magasin dans tout ce pays, un seul petit magasin. Et vous n’avez qu’à y emmagasiner des provisions en abondance, a-t-il dit, et ils resteront ici. Ils–ils resteront ici, pendant que vous serez–pendant que vous serez parti. Mais, a-t-il dit, il vous faudra emmagasiner des provisions.»

251      Et là, j’en commandais de toutes sortes, des choux, des navets, des radis, et tout, et je les entassais là-dedans, comme ça. Alors, je me suis réveillé. Je ne savais pas de quoi il s’agissait, mais maintenant, je le sais. Voyez? Nous emmagasinons les provisions, frères. Cette vie en est une où il vous faut marcher seul.

252      Léo, tu te rappelles le songe que tu as eu, quand tu es venu ici, la première fois, au sujet de la pyramide? Et tu pensais pouvoir monter jusque-là. J’ai dit: «Léo, aucun homme ne monte jusqu’ici; c’est Dieu qui doit placer un homme ici. Tu as atteint toutes les hauteurs qu’on peut atteindre physiquement.» J’ai dit: «Tu ne peux pas venir ici, Léo. (Voyez?) Retourne en bas. Contente-toi de dire aux gens que cela vient de Dieu. (Voyez? Voyez?) C’est quelque chose sur lequel vous... vous ne pouvez pas compter sur...»

253      Si bons que soient les frères et les soeurs, et mon église et tout, et si bonnes que soient les autres églises, et les frères, partout...

254      Or, je ne peux pas me tenir loin de l’église du dehors. Quelqu’un dira: «Eh bien, pourquoi allez-vous là-bas avec ces gens, les trinitaires, et tous les ceci, les cela et les autres, et les unitaires, et ceux du Nom de Jésus, et tout ce qu’il y a d’autre là-bas? Pourquoi vous impliquez-vous avec eux, pour commencer?» Ils sont à moi. Quoi qu’ils aient fait, ils sont à moi. Ma chaire, c’est eux.

255      Quand Israël avait fait le mal, à un point tel que Dieu avait même dit à Moïse: «Sépare-toi. Je vais former une nouvelle–nouvelle tribu avec toi», Moïse s’est jeté en travers du chemin, il a dit: «Avant de les prendre, eux, prends-moi.»

256      Quoi qu’ils aient pu faire, c’est à eux que j’ai été envoyé. Il envoie une Lumière, pas pour qu’Elle brille où il y a de la Lumière; là où il y a des ténèbres, c’est là que la Lumière est à Sa place. Et il vous faut aller avec les gens; il vous faut prendre position à côté d’eux quand même. Vous devez le faire malgré leur erreur.

257      Israël était dans l’erreur au possible. Ils étaient tellement dans l’erreur que Dieu a abandonné leur cas. Mais Moïse... Je me suis toujours demandé comment cette chose-là avait pu arriver, mais c’était l’Esprit de Christ en Moïse. Voyez? Voyez-vous, nous sommes tous dans l’erreur. Il a pris position pour nous tous, quand nous, nous étions dans l’erreur.

258      Peu importe combien ils sont dans l’erreur, ne brisons pas la communion et ne nous dissocions pas de quoi que ce soit. Tant que nous pouvons gagner une âme, allons-y, comme ceci: «Prudent comme le serpent, simple comme la colombe» (Voyez-vous?), et essayons de gagner toutes les âmes que nous pourrons.

259      Eh bien, ceci est... c’est ce que je dis ce matin, c’est emmagasiner de la Nourriture, d’emmagasiner de la Nourriture, pour que vous ayez de quoi manger, pour que vous ayez de quoi festoyer. Allez La chercher sur vos bandes; asseyez-vous dans la fraîcheur de la chambre. Peut-être que longtemps après mon départ, vous vous souviendrez encore que ces choses sont vraies. Asseyez-vous dans votre chambre, et écoutez. Voyez? Ceci, c’est la Nourriture, et emmagasinez cela dans l’entrepôt. Je ne sais pas où mène le voyage, mais où que ce soit, c’est Lui qui sait où Il conduit; moi pas. Je ne fais que suivre.

260      Eh bien, qu’a-t-il dit ici? Maintenant; écoutez attentivement.

          Au reste, mes frères, fortifiez-vous dans le Seigneur et dans la puissance de sa force; (Fortifiez-vous dans la puissance de sa force)

          Revêtez-vous de l’armure complète de Dieu, afin que vous puissiez tenir ferme contre les artifices du diable,

          car notre lutte n’est pas contre le sang et la chair... (De tirer des coups de feu et de se donner des coups de couteau... voyez, ce n’est pas ça.) ...mais contre les principautés, contre les autorités, contre les dominateurs des ténèbres de ce siècle... (Les dominateurs des ténèbres)... [Darby].

261      Qui domine le monde? Le diable. Certainement. Toutes ces choses qui ont cours, toutes ces choses impies qui ont cours un peu partout ici, et ces gouvernements, et tout le reste, de qui s’agit-il? Tout ça, c’est du diable. La Bible l’a dit. C’est le diable qui contrôle les Etats-Unis; c’est le diable qui contrôle l’Allemagne; c’est le diable qui contrôle toutes les nations du monde. (Je vais y arriver dans quelques minutes, là.) Et nous verrons si oui ou non il contrôle, si tous les royaumes qui ont jamais existé et qui existeront jamais, jusqu’à ce que le... Dieu établisse Son Royaume à Lui, sont contrôlés par le diable. Je ne veux pas dire par là que tous ceux qui en font partie sont du diable. Il y a des hommes pieux qui occupent des–des fonctions au gouvernement.

262      Il va y en avoir un ici dans quelques soirées, juste ici, pour projeter un film ici avec frère Arganbright, dans la salle, ici. Il a été diplomate pour environ cinq présidents, Frère Rowe. Et il est un... (Il sera ici, je pense que c’est vers la deuxième semaine d’avril. Frère Neville va l’annoncer.) Et c’est un homme formidable.

263      Il déclarait parler huit langues différentes, je crois, mais quand il a reçu le Saint-Esprit, il n’avait pas la langue qui lui permettrait de parler au Seigneur; alors le Seigneur lui en a simplement donné une, disait-il, pour qu’il Lui parle dans cette langue-là, Il lui en a donné une nouvelle qu’il n’avait encore jamais utilisée. Très bien.

264      ... spirituelle de méchanceté qui est dans les lieux célestes.

          C’est pourquoi... (Maintenant, écoutez, vous, tous les soldats, là, juste avant que nous commencions la ligne de prière.) prenez votre... prenez l’armure (c-o-m-p-l-è-t-e) complète (pas juste une partie)... l’armure complète de Dieu, afin que, au mauvais jour, vous puissiez résister...(Ça, c’est le jour où nous vivons.) et, après avoir tout surmonté, tenir ferme.

          Tenez donc ferme... (Amen! Vous saisissez ça? Tu vois, chérie, quand tu as fait tout ce que tu peux pour tenir ferme, alors tiens ferme. Ne bouge pas.) Tenez donc ferme, ayant... vos reins... (Ecoutez ceci. Ecoutez ici ce que c’est)... vos reins... (C’est la partie de la ceinture, ici, voyez-vous.) ...ceint vos reins de la vérité... (La Vérité, qu’est-ce? La Parole de Dieu. C’est exact. «Ta Parole est la Vérité.» Bien.) ...et ayant revêtu la cuirasse de la justice... (C’est-à-dire faire ce qui est juste. Vous avez la Parole de Dieu en vous, vous faites ce qui est juste)... la cuirasse de la justice;

          Et ayant chaussé vos pieds de la préparation de l’Evangile de paix; (Que vous alliez n’importe où, à n’importe quel endroit, à n’importe quel moment, vos pieds sont chaussés de l’Evangile, voyez. Et regardez:)

          Par-dessus tout (par-dessus tout cela), prenez le bouclier de la foi... (Ça, c’est celui qui fait tomber les dards, voyez), le bouclier de la foi.

          ...par lequel vous pourrez éteindre tous les dards enflammés du méchant.

          Prenez aussi le casque du salut... (Ça, c’est l’âme... la pensée–la pensée, ici, la tête, ça couvre la tête.) ... et la–et l’épée de l’Esprit, qui est la Parole de Dieu. [Darby]

265      Ce casque va vous permettre de faire quoi? Que fait-il? C’est une protection. Un casque, c’est fait de quoi? D’airain. L’airain, on ne peut même pas le tremper; dur, plus dur que le fer. Un casque d’airain, (le quoi?) le salut, la connaissance de savoir ceci: «Ma guérison vient de Dieu. Mon salut vient de Dieu. Mon expérience est conforme à Sa Parole et non à la conception qu’en ont les églises; à la Parole!» Amen. Vous y êtes. Recouvert d’une protection, le casque du salut, de la délivrance. Prenez ça, et ensuite allez de l’avant. Oh! Eh bien, maintenant, c’est ce que nous sommes censés faire.

266      L’armée de Satan... (Maintenant, regardez bien. Maintenant, nous... Il faut vraiment que je me dépêche, mais il faut que je–j’inclue ceci.) L’armée de Satan... apporte des maladies. C’est ce que Satan est; il est un destructeur. Satan, le royaume entier de Satan, c’est la maladie, la mort, et le chagrin, et les contrariétés, et l’inquiétude, tout ça vient de Satan. Dieu, c’est la Vie, la foi, la joie, la paix, de ce côté-ci. Voyez?

267      Or, ce sont ces deux grandes forces-là qui s’affrontent maintenant même. Elles se battent. Elles se battent ici même, dans ce bâtiment, maintenant même. Elles se battent, jour après jour, avec vous, chacune de ces forces. Satan vous suit partout, cet imposant Goliath, à l’allure très royale, très sacerdotale, qui cherche à vous flanquer la trouille, il est dans son droit... Par Dieu, vous êtes fortifiés (Amen!) avec l’Evangile, avec la Parole de la Vérité qui entoure vos reins. Gloire! Prédicateur, voilà ce que c’est: Le casque du salut; le bouclier de la foi; et l’Epée que vous brandissez à la main. «Satan, je marche à ta rencontre. Tu marches contre moi au nom de la science, tu marches contre moi au nom de–de la culture, tu marches contre moi au nom de l’organisation; tu marches contre moi au nom de ceci, cela ou autre chose; mais moi, je marche contre toi au Nom de l’Eternel, le Dieu d’Israël. Je viens t’affronter. Retire-toi!» La mort elle-même ne peut même pas rester là. Découpez un trou dedans. C’est exact.

268      L’armée de Satan apporte des maladies, et l’armée de Dieu a reçu la commission de les chasser. Amen. Vous y êtes. Chaque fois que Satan en lance, en lance sur vous, l’armée de Dieu doit le chasser. Amen. Chasser. Ça, c’est la technique même que Dieu a employée. Satan a employé l’armée de la destruction, pour être incrédule à la Parole de Dieu et établir pour lui-même un royaume qui soit meilleur que celui de Micaël, et Dieu l’a chassé.

269      La méthode de Dieu, c’est de chasser le méchant, de renverser le raisonnement, de renverser la superstition, de renverser l’inquiétude, de renverser les maladies, de renverser le péché. Amen. Vous êtes au-dessus de cela, ressuscités en Jésus-Christ, assis dans les lieux célestes, avec tous les démons sous votre pied. S’il cherche à fourrer son nez là-dedans, qu’est-ce...

270      Vous savez, vous êtes morts, votre vie est cachée. Qu’est-ce qui est mort? Vous êtes mort à vos sens, vous êtes mort à votre conscience (Votre propre volonté humaine dirait: «Oui, je pense que je...») mort à vos raisonnements, mort à toutes ces choses, et vous êtes enseveli au Nom de Jésus-Christ et ressuscité avec Lui. Et partout où Il est, vous y êtes aussi.

271      Que s’est-il passé quand ceux-là... un de ces douteurs-là est arrivé dans le Ciel? Dieu l’a chassé. Et qu’a-t-Il dit aux soldats qui sont ressuscités en Christ? «Quand un démon se présente, mettez-le à la porte. Chassez-le.»

272      Quand Jésus a entraîné Son armée et qu’Il leur a donné la commission, jusqu’aux extrémités du monde: «Allez par tout le monde, prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé; celui qui ne croira pas sera condamné. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru, Mes soldats: En Mon Nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; s’ils saisissent des serpents ou boivent quelque breuvage mortel, cela ne leur fera point de mal; ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.»

            En avant, soldats chrétiens!

            Marchons comme à la guerre,

            Avec la croix de Jésus

            Allons en avant.

273      «J’ai été crucifié avec Lui; et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Lui qui vit en moi.» La Parole ouvre la marche, Dieu retranche, avec Son Epée aiguë à deux tranchants...?...

274      Ce n’est pas étonnant, là, quand Grant s’est emparé de Richmond et que cette petite femme du Sud a vu Grant faire son entrée, qu’elle ait été saisie par l’inspiration. Et elle a dit:

                 Mes yeux ont vu la gloire de la Venue du Seigneur;

                 Il foule la vendange, là où les raisins de la colère sont gardés;

                 Il a délié l’éclair fatidique de Son épée terrible et rapide;

                 Ses troupes sont en marche. Amen.

275      Comment Grant s’est-il emparé de Richmond? Aussitôt qu’il est arrivé là. Amen. C’est comme ça qu’il s’est emparé de Richmond. C’est comme ça que les soldats de Dieu s’emparent du péché, de la maladie: aussitôt qu’ils arrivent là. Amen. C’est de cette manière qu’ils vainquent leurs doutes, et leurs peurs, et tout. Quand l’un d’eux s’élève, ils l’abattent, l’écartent du chemin. Oh! la la! C’est ça.

276      Dieu les chasse, comme Il l’a fait dans le Ciel. Notre grand Capitaine en chef nous a montré comment faire. Amen

277      Roy Roberson, Frère Funk, beaucoup d’entre vous, les vieux vétérans ici, vous savez ce qu’est un vrai capitaine.

278      Une fois, j’étais... ce petit service des pompiers de Jeffersonville ici. Le feu avait pris chez Pfau. Et voici le service des pompiers de Jeffersonville était là-bas, et le capitaine allait et venait, disant: «Envoyez un peu d’eau ici, en haut.» «Pss-pss-pss-pss!» [Frère Branham imite le bruit de l’eau qui jaillit à un petit tuyau d’arrosage.–N.D.E.], comme un petit tuyau d’arrosage, là. Voilà ceux de Clarksville qui arrivent: «Envoyez un peu d’eau par ici.» «Pss-pss-pss!» [Frère Branham imite le bruit de l’eau qui jaillit à un petit tuyau d’arrosage.–N.D.E.] Tout le bâtiment de Pfau a brûlé.

279      Ils ont fait venir Louisville. Voici venir des hommes solidement entraînés. Oh! Comme ces sirènes retentissaient, là! Et les capitaines en chef qui étaient là, de ces services de pompiers, ils disaient: «Envoyez un peu d’eau ici, en haut. Envoyez un peu d’eau par ici.» Des hommes inexpérimentés. Frère, aussitôt que la voiture s’est immobilisée, qui était en haut de l’échelle? Le capitaine. Quand on a hissé l’échelle, il est monté avec. Quand il est arrivé à la fenêtre, il n’était même pas encore arrivé à la fenêtre qu’il a pris sa hache et l’a lancée pour défoncer la fenêtre, et il a dit: «Venez, les gars!» Et le feu s’est éteint en quelques minutes. Un capitaine!

            Ce n’est pas un capitaine qui dit: «Envoyez un peu d’eau par ici, essayez un peu par ici.», mais: «Venez, les gars!» Amen. Il a ouvert le chemin, il nous a montré comment faire.

280      Je me suis dit: «Ce service-là des pompiers solidement entraînés, ils ont éteint ce feu en quelques minutes.» Pourquoi? Ils avaient là un capitaine qui savait ce qu’il faisait.

281      Frère, parlez de toute votre théologie autant que vous voudrez, de vos dénominations faites de main d’homme, de vos organisations. Amusez-vous avec ça. Moi, j’ai un Capitaine en chef qui m’a dit comment faire. Vous dites: «Eh bien, si je peux en sentir l’odeur, ressentir cela...»

282      Oh! Un non-sens! Voici la manière dont le Capitaine en chef a dit de procéder, dans Luc, au chapitre 4. Je n’ai pas le temps de le lire. Lisez-le vous-mêmes. Quand... Luc, au chapitre 4, à partir du verset 1. Il n’a jamais dit: «Bon, Je vais vous dire. Vous allez par ici, et vous formez une grande organisation. Vous choisissez des surveillants, et des diacres, et... ou vous choisissez des cardinaux, et des évêques, et vous cherchez ceci.» Il n’a jamais dit ça.

283      Quand Satan L’a affronté, il a dit: «Maintenant, Tu as faim. Change ces pierres en pain.»

            Il a dit: «Il est écrit.» Amen!

284      Il a dit: «Ici, nous allons Te transporter ici en haut et Te montrer quelque chose.»

            «Mais il est écrit...»

            «Je ferai ceci, si Tu le fais.»

            «Il est écrit.»

285      Voilà comment le Capitaine en chef a dit qu’il fallait procéder. Comment procéder, soeur? «Il est écrit: ‘Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.’» «Il est écrit: En Mon Nom, ils chasseront les démons.» Amen. Qu’est-ce? «Il est écrit!» Voilà les ordres du Capitaine. «Il est écrit: ‘Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle.’» «Il est écrit! Il est écrit! Il est écrit!» Voilà les–voilà les ordres. Voilà le soldat. Voilà la manière. Voilà l’artillerie que nous mettons en avant.

286      Qu’a-t-il fait? Il s’est avancé tout droit vers un Goliath. Il nous a montré. Comment David a-t-il montré à une armée la manière de procéder? Comment David a-t-il montré à Israël la manière de procéder? David, ça veut dire bien-aimé, sauveur. Voyez? Comment David a-t-il procédé? Il a dit: «Voici la manière de procéder: Faites confiance à la Parole du Seigneur.»

287      Et Goliath s’est présenté là, en disant: «Sais-tu quoi? Je vais te piquer au bout de cette lance, et je vais te donner en pâture aux oiseaux.»

288      Il a dit: «Tu marches contre moi en organisation, tu marches contre moi en savant moderne; tu marches contre moi avec ton énorme épée de quatorze pieds [4,25 m]; tu marches contre moi avec un casque d’airain et avec un bouclier, une pièce que je ne pourrais même pas soulever de terre; tu marches contre moi en guerrier entraîné; tu marches contre moi avec un doctorat en philosophie, et un doctorat en droit, et encore un doctorat en droit; tu marches contre moi avec toutes ces choses, mais moi, je viens au Nom de l’Eternel, le Dieu d’Israël, et aujourd’hui, je vais te couper la tête de sur les épaules.» Amen.

289      Cette espèce de petit poireau qui est allé attaquer ce géant, mais il savait à quoi s’en tenir. Israël, ils étaient tout tremblants, là: «Oh! Pauvre petit garçon!»

            Goliath a dit: «Je vais te montrer qui... ce que je vais faire.» Et il s’est avancé là.

290      Il avait la f-o-i [f-a-i-t-h], voyez, e-n J-é-s-u-s; cinq cailloux, cinq pierres. Une petite pierre, là, pour commencer. Il l’a fait tournoyer, comme ça, le Saint-Esprit s’est saisi de ce caillou, et voilà, il est parti. Goliath a été terrassé. Voilà la manière de procéder.

291      Voilà la manière, ce dont Jésus a parlé, quand Il a dit: «Maintenant, si vous, les frères, qui allez sur le champ de travail, si vous voulez savoir comment vaincre ces démons, je vous montrerai comment procéder.»

292      Satan a dit: «Je vais marcher contre toi (Goliath); je Te montrerai ce que je peux faire. Tu as faim. Si Tu es le Fils de Dieu, je Te lance un défi. Tu dis que Tu es le Fils de Dieu; je Te mets au défi. Si Tu es le Fils de Dieu, change ces pierres en pain. Mange, Tu as faim. Et si Tu es le Fils de Dieu, Tu as le pouvoir de le faire.»

293      Il a dit: «Mais il est écrit: ‘L’homme ne vivra pas de pain seulement.’» Oh! Voilà comment le Capitaine en chef a procédé.

294      Il L’a placé sur le haut du temple, et il a dit: «Si Tu Te jettes en bas, a-t-il dit, Tu sais, il est aussi écrit...»

295      Il a dit: «Oui, a-t-Il dit, il est aussi écrit: ‘Tu ne tenteras pas le Seigneur, ton Dieu.’» Voyez-vous le Nom qu’Il s’est donné? «Le Seigneur, ton Dieu.» Voyez? Oui. «Tu ne tenteras pas le Seigneur, ton Dieu.» Ça aussi, c’est écrit comme ça.» Voyez?

296      Oh! la la! Qu’a-t-Il fait? Il l’a vaincu par la Parole de Dieu. La tactique du diable, c’est de vous amener à être incrédule à la Parole de Dieu. Et le Capitaine en chef dit de prendre la Parole de Dieu et de passer à l’action. «En Mon Nom, ils chasseront les démons.»

297      Oh! Satan, leur capitaine en chef à eux, oh! oui, vous savez, certaines de ces dénominations qui essaient de vous faire croire qu’il a le sabot fourchu, vous savez, et la queue fendue, et tous ces trucs. N’allez pas croire. Huh-uh! Il n’est pas comme ça. Non, non, frère, c’est un fin renard. N’allez pas croire qu’il a ça. Ils font ça rien que pour vous épouvanter. Le diable, ce n’est pas ça. Le diable n’a pas de sabots, pour commencer. J’en doute fort. Il est un–un esprit, tout simplement, le diable est un esprit. Il n’a pas de sabots fourchus et tout, comme on essaie de le décrire. Non, non. Mais il est sage. Frère, c’est un homme très sage, instruit on ne peut plus (il l’a toujours été), dans la sagesse du monde. Oh! Oui. Il est beau. Il a organisé son armée avec la sagesse du monde au point que, frère, tu ne vas pas essayer de–essayer de tenir tes propos. Tu as intérêt à savoir de quoi tu parles quand tu affrontes un de ces gars-là, qui disent: «Les jours des miracles sont passés.»

298      Eh bien, il n’a pas–il n’a pas de sabots fendus. Il est, oh! il est–il est–il est sorti fraichement du séminaire. Il a des manières raffinées, frère. Je vous assure qu’il est intelligent: doctorat en philosophie, doctorat en droit, Q.U.S.D, et tout le reste. Voyez? Il a tout ça, il est intelligent au possible. Sage? Bien sûr, c’est un serpent, le plus sournois de tous. Les cheveux bien lissés, frère, je vous assure, habillé, et pas un faux pli dans son veston; intelligent, sage et rusé au possible. C’est exact. Ne vous aventurez pas sur son terrain à moins de savoir de quoi vous parlez. C’est exact. Oh! Mais nous connaissons ses vieilles–ses vieilles tactiques. Nous savons ce qu’il essaie de faire: nous amener à être incrédules à la Parole de Dieu. Et il n’a pas de sabots fourchus. Non, non, non.

299      Eh bien, nous voyons que, puisqu’il n’a pas de sabots fourchus, alors il doit être autrement. C’est un fin renard. Lui, c’est la sagesse, il est instruit, organisé. Frère, il a formé son armée tellement...

300      Regardez. Une fois, là-bas en Suisse (Je n’arrive plus à m’arrêter, nulle part, mes amis), il y a une... Là-bas en Suisse, cette armée allemande est arrivée... ces étrangers entraient. Eh bien, on aurait dit un mur de briques; tous les hommes bien entraînés, toutes les lances pointées comme ceci, huit ou dix pieds [2,4 ou 3 m] en avant. Et ils marchaient sur les pauvres petits Suisses, là-bas. Eux, qu’avaient-ils? Ils s’étaient armés des–des lames de leurs faucilles, de bâtons et de pierres. Et ils se tenaient là. Ils les avaient refoulés. De l’autre côté de la colline, il y avait leurs maisons. Voici l’armée suisse marcher à leur rencontre. Ils ne leur avaient rien fait. Ils sont tout simplement entrés et se sont emparés de leur pays.

301      Cette enfant, qu’a-t-elle donc fait, elle une gamine? C’est Satan, voilà qui c’est, il lui enlèverait la vie s’il le pouvait. Certainement. C’est lui, ça, prématurément. Voyez?

302      Les Suisses n’avaient rien fait. C’étaient de braves gens; ils essayaient de défendre leurs maisons, ils se tenaient seulement là pour se défendre. Peu après il y en eut un du nom d’Arnold von Winkelried.

303      Voici cette armée approcher, ils étaient entourés de toutes parts. Ils disaient: «Que pouvons-nous faire?» Partout, des masses d’hommes, solidement entraînés. Voilà comment Satan procède. Solidement entraîné, sa lance pointée bien en avant, chaque homme marchant au pas: un, deux; un, deux; s’arrêtant vers cette petite armée. Ils n’avaient qu’à–qu’à continuer à marcher, c’est tout ce qu’ils avaient à faire, et ils les cueilleraient tous avec les épées, les lances, les transperceraient ainsi d’un bout à l’autre. Ça aurait été la fin de l’armée suisse, ça se serait arrêté là.

304      Juste de l’autre côté de la colline, il y avait leurs maisons et leurs bien-aimés. Ils auraient abusé des femmes et les auraient violées, ainsi que leurs jeunes filles, et ils auraient tué leurs enfants et incendié les maisons, et tout, pris la nourriture, le bétail et tout; ils seraient repartis. Ils en étaient là. Que s’est-il passé?

305      Quelqu’un du nom d’Arnold von Winkelried a été saisi par l’inspiration. Il a dit: «Hommes de la Suisse, aujourd’hui, je meurs pour la Suisse.» Amen. «Aujourd’hui, je meurs pour la Suisse.»

            Ils ont dit: «Que vas-tu faire?»

306      Il a dit: «Vous n’avez qu’à me suivre et à combattre avec tout ce que vous avez.» Il s’est tenu là; il a laissé tomber sa lance (un petit bâton qu’il avait en main, comme cela) et il s’est écrié, les mains en l’air, comme ça, et il a couru dans leur direction, en criant à tue-tête: «Place à la liberté!» Il a couru à toute vitesse, tout droit vers l’armée. Et alors, il a attrapé toutes les lances qu’il a pu, et il les a enfoncées dans sa poitrine, comme ça, et il est mort.

307      Il leur avait dit, avant de partir, il avait dit: «Il y a une petite maison là-bas, une épouse et des petits enfants.» Il avait dit: «Je laisse derrière moi une petite maison que je viens d’acheter.» Et il avait dit: «Je–je les aime, mais aujourd’hui, je meurs pour la Suisse. Il donne ma...» Il avait dit: «Je donne ma vie pour sauver le pays.» C’était un héros que... Ils n’ont pas eu une seule guerre depuis. Cela–cela y a mis fin. L’armée a été mise en déroute devant un tel déploiement d’héroïsme, si bien qu’il n’y a pas eu une... cette–cette... leur armée était dans une telle confusion, les Suisses ont fait rouler des pierres sur eux, et les ont chassés du pays; et ils n’y sont jamais retournés depuis. Il y a des centaines d’années de ça. Voyez? Pourquoi?

308      Ça a été un haut fait, mais, ô frère, un jour, alors que l’ignorance, la superstition, le doute, les contrariétés et les peurs, avaient coincé le peuple de Dieu, il y a eu Quelqu’un du Nom de Jésus-Christ qui a dit: «Aujourd’hui, Je meurs pour le peuple.» C’est exact.

309      Qu’ avait-Il dit à Son armée? «Suivez-moi, et combattez avec tout ce que vous avez. Si vous avez une massue, combattez avec une massue, n’ayez pas peur. Si vous avez un bâton, combattez avec un bâton. Si vous avez une pierre, combattez avec une pierre, quoi que vous ayez.» C’est ce que dit notre Capitaine en chef aujourd’hui. «J’ai pris la Parole de Dieu, et J’ai vaincu le diable et sa puissance.» Il l’a déchiqueté (Amen!) avec cette Parole.

310      Maintenant, quoi que vous ayez, si vous n’avez qu’une seule Parole: «L’Eternel, ton Dieu, qui te guérit», coupez-le. Suivez... Amen. Suivez notre Capitaine. Oui, oui. Il l’a coupé en morceaux.

311      Satan, avec ses beaux grands royaumes, et plus de beauté, et tout, très à la page, ça n’a rien à voir avec nous. C’est exact. Il est toujours le plus rusé de tous les animaux des champs. Oui, oui. Jésus a dit que les enfants de ce siècle étaient plus prudents que les enfants du Royaume de Dieu.

312      Alors, ces deux grands conflits (Nous allons... je dois... il faut terminer.), ces deux grands conflits s’affrontent maintenant même. Maintenant même, c’est l’heure où la maladie et tout ont frappé le monde, à un point tel que la médecine ne sait plus quoi faire, que personne ne sait plus quoi faire; il n’y a rien ici... simplement, nous... Et l’armée, la petite armée de Dieu, a été coincée, et tout. Frère, il est temps qu’on ait un autre Arnold von Winkelried.

313      Il est temps, temps qu’un autre homme de Dieu s’avance; il est temps qu’un Elie paraisse. Il est temps que quelque chose entre en scène. Armée de Dieu, fermez votre pensée, ne vous arrêtez pas un seul instant, pour penser à ce que le diable peut bien avoir à vous offrir par le moyen de vos sens. Mais, souvenez-vous, la Parole de Dieu ne peut jamais faillir. Ces deux grandes armées...

314      Quand l’ennemi viendra comme un fleuve, comme il vient aujourd’hui, qu’a dit Dieu qu’Il ferait? «L’Esprit de Dieu lèverait un étendard contre lui.» Êtes-vous l’un d’entre eux? Oui, oui.

315      Il nous est enseigné, dans Jacques 4.7 (Je n’ai pas le temps de le lire), Jacques 4.7, de résister au diable, et il ne s’éloignera pas seulement, mais il fuira. Résister au diable. Comment résistez-vous au diable? De la même manière que notre Capitaine en chef nous a dit de le faire. Prenez la Parole de Dieu, voilà comment vous résistez au diable, c’est par la Parole de Dieu. Le Capitaine en chef nous a dit exactement comment il fallait procéder. Bien.

316      Maintenant, pour terminer, je voudrais dire ceci: Ce vieux diable, là, vous pensez donc qu’il a du culot. Pensez-vous qu’il s’attaquera à un enfant? Il s’attaquera à n’importe quoi. Il s’est attaqué à Jésus-Christ. Il a foncé sur Lui avec trois attaques sauvages. Saviez-vous ça? Satan n’a pas attaqué juste une seule fois. Il vous attaquera avec une maladie, ensuite il reviendra vous attaquer en disant: «Les jours des miracles sont passés. Tu ne peux pas être guéri; tout ça, ce n’est que du vent.» Savez-vous que c’est vrai, ça?

317      Il a attaqué Jésus trois fois. Trois attaques sauvages, il s’est rué sur Jésus avec son incrédulité à la Parole de Dieu. Jésus était la Parole. Bien sûr, il ne croyait pas ça. «Si Tu es... Si Tu es...» Le voilà qui s’amène, des attaques sauvages, comme l’ennemi le fait parfois. Le voilà qui s’amène, disant: «Si Tu es le Fils de Dieu, fais-moi voir un miracle. Que je voie cela s’accomplir.» Frère, trois attaques sauvages, il a foncé: «Si Tu... Si Tu es...»

318      Maintenant, qu’a fait Jésus? Jésus était la Parole de Dieu. Il était la Parole. Il avait attaqué la Parole. Gloire! Je–je–je commence vraiment à me sentir vraiment bien pour prêcher maintenant, sincèrement je le suis. Voyez? Jésus est la Parole. «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a habité... a été faite chair, et a habité...» Jésus était la Parole. Qu’a-t-Il fait? Il l’a déchiqueté. Oh! la la! (Je vais m’arrêter.) Qu’a fait Jésus? Il était la Parole; alors, avec la Parole, Il a découpé Satan quand il s’est attaqué sauvagement à Lui. Il avait foncé, là-bas, comme une bande de parachutistes d’une troupe d’assaut, ou quelque chose comme cela, il a foncé sur Jésus, la Parole, comme cela. Et Jésus a pris cette Parole, et Il l’a taillé en pièces. Alléluia! Certainement, Il l’a taillé en pièces, Il l’a vaincu par la Parole.

319      Voyez-vous son attaque? Observez. Ecoutez attentivement alors que je termine. Son attaque, qu’est-ce? Etre incrédule à la Parole de Dieu; c’est ça son attaque. Là, pouvez-vous voir la plus grande bataille qui ait jamais été livrée? Il n’y a que deux forces: Satan et Dieu. Et quelle est l’arme de Satan contre vous? C’est d’essayer de vous amener à être incrédule à votre Arme. Il vous désarme. Ecoutons–écoutons bien tranquillement, maintenant. Ecoutez.

320      S’il peut vous amener à être incrédule à votre Arme, votre équipement, s’il vous amène à croire que votre Arme n’est pas assez puissante, il vous aura désarmé. Oh! Frère Neville, j’espère que vous ne serez jamais incrédule à cela. Regardez. Il vous aura désarmé, quand il vous aura amené à être incrédule à cette Arme. Quand vous La déposez, votre combat s’arrête là. Vous êtes fichu. Tenez cette Arme; ne La déposez pas. Nous voyons son incrédulité. Que...

            Une autre chose que je voudrais dire, maintenant, dans un instant.

321      En Russie. Je voudrais dire ceci expressément pour les vétérans, et autres, ici, et pour vous qui étudiez la Bible. Pourquoi faites-vous tant d’histoires et vous époumonez-vous à parler de la Russie? Vous ne m’entendez pas vous parler de construire un abri antiaérien, n’est-ce pas? Pourquoi faites-vous tant d’histoires au sujet de la Russie? La Russie, ce n’est rien. Elle ne va gagner aucune guerre. Elle ne va pas conquérir le monde, pas du tout. Le communisme ne va pas conquérir le monde, pas du tout. Que se passe-t-il avec les gens? La Parole de Dieu peut-Elle faillir?

322      Ecoutez, ceci est enregistré, là. Je parle au monde, ou partout où ces bandes pourront aller. Et à vous ici présent, quoi qu’il puisse m’arriver, vous, croyez ceci. La Russie, le communisme ne va pas conquérir quoi que ce soit. La Parole de Dieu ne peut pas faillir. C’est le romanisme qui va conquérir le monde.

323      Prenons la vision de Daniel; c’est la Parole de Dieu. «Toi, Ô Daniel... Ô toi, ô roi Nebucadnetsar, qui es la tête d’or: Babylone. Un autre royaume te succédera, qui sera d’argent (Voyez?), c’est-à-dire les Médo-Perses.» Un autre était celui de la Grèce, Alexandre le Grand. Ensuite, il y a eu Rome. Et rien n’a été dit au sujet du communisme. C’est Rome qui a conquis le monde.

324      Jésus-Christ est né dans le royaume romain et a été persécuté, la première fois qu’Il est venu, par le royaume romain. Et lors de Son second Avènement, Sa Venue maintenant, Son Message est persécuté par les dénominations de Rome, qui est la mère de toutes. Et à Son retour, Il reviendra pour anéantir ce royaume romain, et c’est ce que les Juifs ont toujours attendu, qu’Il vienne anéantir le royaume romain. La hiérarchie catholique, avec toutes les dénominations du monde, elles se rassemblent maintenant même pour former une organisation, la confédération des églises, elles se réunissent pour s’organiser. Ce n’est pas la Russie. C’est Rome. AINSI DIT LE SEIGNEUR. Oui.

325      Montrez-moi un passage de l’Ecriture où il soit dit que le communisme, ou n’importe quoi d’autre que Rome, gouvernera. Les Médo-Perses ont-ils succédé à Nebucadnetsar? Bien sûr. La Grèce leur a-t-elle succédé? Oui. Rome a-t-elle pris le pouvoir, après eux, à partir de là? Ça s’est-il séparé en dix puissances ottomanes, exactement comme ce qu’on a maintenant? Est-ce que Eisenhower (ce qui veut dire fer) et Khrouchtchev (ce qui veut dire argile), est-ce qu’ils ont eu leur rencontre ici, et que Khrouchtchev a enlevé son soulier pour rendre cela bien clair, quelque chose de visible, il a frappé sur la table, comme ça, [Frère Branham donne des coups sur la chaire pour illustrer.–N.D.E.] pour montrer aux gens? Eh bien, que se passe-t-il avec les gens aujourd’hui?

326      Où en est la foi? Pourquoi ne croyez-vous pas que la Parole de Dieu est la Vérité? Et cela est dit...?... ici. Que se passe-t-il avec les prédicateurs aujourd’hui? Le communisme! Tous les prédicateurs sont là à essayer de combattre le communisme. Le communisme n’est rien; la chose, le diable est en train de l’introduire sous votre nez, et vous ne le savez pas. C’est le romanisme, le système des dénominations, et Rome est la mère des dénominations. La Bible dit qu’elle était une prostituée, et que ses filles étaient des prostituées, contre Dieu, contre Sa Parole. Soldats, empoignez la Parole...?... demeurez avec cette Parole.

327      Un jour, je périrai, mais cette Parole ne peut pas périr. Et vous, les plus jeunes, si ça n’arrive pas dans ma génération, vous verrez. C’est ça la chose.

328      Avez-vous entendu les nouvelles, ce matin, que Mme Kennedy est allée voir le pape, et ce que le pape a dit? Voyez? Toutes les religions du monde... Oh! Eh bien, peut-être que nous en parlerons un peu plus dimanche prochain.

329      Voyez? Ne vous faites pas de souci au sujet de la Russie. La Russie, ce n’est qu’un petit caillou sur la plage. Ne vous faites pas de souci au sujet du communisme; surveillez le romanisme, alors qu’il s’unit aux églises. Il n’y a rien d’écrit dans l’Ecriture sur le communisme qui gouvernerait le monde. Et moi, je me base sur la Parole, quoi qu’il en soit de tout le reste. Moi, c’est la Parole que je crois.

330      C’est le romanisme qui prend le contrôle du monde, et le romanisme est la mère de l’organisation. Il n’y avait jamais eu aucune organisation avant Rome, et elles sont toutes sorties d’elle. Et la Bible l’a dit. Elle était la mère des prostituées. (Je pourrais encore passer une demi-journée là-dessus, mais je ferais aussi bien de continuer, je pense.)

331      Quand l’ennemi nous attaque, alors... «Oh! Je vais vous dire, vous devriez venir vous joindre à notre...» Qu’allez-vous faire, reculer? Faire des compromis? Pas un vrai soldat, non. Non, non. Que faisons-nous alors? «La pensée, que la pensée qui était en Christ...» Est-ce bien ce que dit la Bible? «Que la pensée qui était en Christ soit avec vous.» Quel genre de pensée avait-Il? De s’en tenir à la Parole. C’est exact. S’en tenir à la Parole, la Parole du Père, et Il a vaincu l’ennemi chaque fois.

332      Eh bien, quand l’ennemi attaque et qu’il essaie de dire que vous devez faire ceci et faire cela, qu’allez-vous faire? Vous en tenir à la Parole. C’est exact. Que devez-vous faire alors? Prendre la Parole. La Parole, qu’est-Ce? La Bible l’a dit ici, nous venons de le lire. En effet, l’Esprit de Dieu est la Parole. Voyez? Regardez ici. «Prenez aussi le casque du salut, et l’Epée, l’Epée de l’Esprit, l’Epée de l’Esprit.» Qu’est-ce? L’Esprit qui entre par votre pensée, et qui entre en vous, et l’Epée de cet Esprit, c’est la Parole de Dieu. De quoi cet Esprit se sert-Il pour combattre? De quoi le Saint-Esprit se sert-Il pour combattre? Des sensations? Un sentiment? La Parole! Gloire! Fiou! Gloire!

333      De quoi se sert-Il pour combattre, un sentiment? La Parole. La Parole. Disons-le: «La Parole! La Parole!» [L’assemblée répète: «La Parole!»–N.D.E.] C’est de la Parole de Dieu que se sert l’Esprit pour combattre.

334      L’Esprit de Dieu s’avance directement vers le diable et dit: «Il est écrit!» Amen! «Il est écrit!» Et le diable se retire.

335      Que faisons-nous? Nous prenons l’Epée, qui est la Parole de Dieu, nous La dégainons avec (quoi?) une main de foi, une main forte de foi, l’Epée à deux tranchants. La Bible dit, dans Hébreux 4: «Elle–Elle est une Epée à deux tranchants», Elle coupe dans les deux sens, à l’aller et au retour.

336      Frère, que fait-il? Prenez la Parole... Prenez l’Esprit, laissez entrer l’Esprit dans votre coeur, ouvrez votre pensée, dites: «Ta Parole est vraie.» (Et fais ceci, soeur.) «Ta Parole est la Vérité.» Seigneur, je ne prêterai aucune attention à ce que je ressens, à ce que qui que ce soit dit. Je bloque tout, j’évacue toutes mes voies d’accès, toutes les contrariétés, tous les doutes et toutes les incrédulités que j’aie jamais eus. Tout sentiment que vous ayez jamais eu; toute maladie que j’aie jamais eue; tout le reste que j’ai jamais eu, j’évacue tout ça. Je fais abstraction de tout ça, et directement à mon esprit.

337      «Ô Seigneur, descends. Tu as dit que Tu m’avais donné le libre arbitre.»

            «Tu l’as, Mon fils.»

            «Très bien, j’ouvre mon coeur et ma pensée. Entre, Seigneur Jésus.»

338      Alors, saisissez la foi, cette Epée de l’Esprit, AINSI DIT LE SEIGNEUR. Criez: «Alléluia!» Amen. Ensuite, abattez tous les ennemis devant vous. Amen. Ça y est. Tranchez tous les ennemis. S’il y a une–une espèce d’esprit fantomatique, qui fait que vous vous sentiez tout... Retranchez cette chose, avec la Parole du Seigneur. Notre force, c’est: «La joie de l’Eternel est ma force.» «Eloigne-toi de moi.» Frappez-le et tranchez-le avec la Parole.

339      Que ce soit un démon, que ce soit un ennemi, que ce soit une maladie, que ce soit une infirmité, quoi que ce soit, prenez cette Parole et dégainez-La par l’Epée. Et si–si la première fois que vous donnez un grand coup, ça n’a pas l’air de bouger, donnez encore un grand coup, et donnez encore un grand coup, et donnez encore un grand coup. Et donnez de grands coups, jusqu’à ce que vous fassiez un trou dedans, comme un petit poussin qui sort de là, ou un aigle, ce que vous êtes. Continuez à sortir de cette vieille coquille de la maladie, taillez-vous un chemin pour sortir et dites: «Alléluia! Où est le suivant?» Amen. Voilà la bataille. Voilà un soldat. Voilà le soldat de la croix. Oui, oui.

340      Eliminez tous les ennemis. Pourquoi? Pourquoi? Nous, une Semence royale d’Abraham, prédestinée... Alors qu’Abraham niait tout ce qui était contraire à la Parole de Dieu, il se taillait un chemin à travers tous les obstacles qui se présentaient devant lui.

341      Ils disaient: «Ta femme est trop âgée.» Il a simplement ôté cette chose-là du chemin, à coups d’épée. Le diable disait: «Tu ne peux pas faire ceci. Tu ne peux pas faire cela.» Abraham a ôté ça du chemin, à coups d’épée. Il a donné un grand coup, et encore un grand coup, jusqu’à ce qu’il se taille un chemin à travers.

            «Ensuite, Seigneur, où va-t-on?»

            «Monte installer ta tente ici.»

342      Il est monté et il Lui a bâti un autel là-haut. Il est monté là, et Satan est venu, en disant: «Bon, je vais te dire, ce n’est pas l’endroit qui convient.»

            «Je vais rester ici même. Ôte-toi de mon terrain», a-t-il dit. Alléluia!

343      Lot a dit: «Tu ferais mieux de descendre ici. Nous nous amusons bien ici. Nous avons toute notre organisation ici. Eh bien, ma femme est directrice de la société littéraire, et tout, en ville. Je t’assure, tu devrais descendre ici.»

344      Sara a dit: «Abraham...» «Tais-toi, Sara.» Alléluia! «Reste ici même. C’est ici que Dieu m’a placé. C’est ici même que je reste.» C’est ici que Dieu m’a placé.»

            Gloire au Nom puissant de Jésus!

            Que les anges se prosternent,

            Apportez le diadème royal,

            Couronnons le Seigneur de tous

            Sur Christ, le Roc solide, je me tiens;

            Tout le reste est sable mouvant,

            Tout le reste est sable mouvant.

345      Même la mort elle-même, tout le reste est sable mouvant. «Sur Christ, le Roc solide, je me tiens...» La semence royale d’Abraham, la semence royale!

346      Tenez, l’armée d’élite de l’Angleterre, ce sont des membres de la famille royale, de sang royal, et tout. Et la Semence royale de Christ, c’est l’Eglise remplie du Saint-Esprit, remplie du Saint-Esprit. Qu’est-ce? La Semence royale, par la promesse, pas par une sensation, mais par la promesse de Dieu. Ils tiennent par la Parole de Dieu, et ils se taillent un chemin, en criant: «Alléluia!»

347      Même si la mort vient et dit: «Il se prépare à vous emporter», dites: «Retire-toi, Jourdain. Je traverse.» Continuez à vous tailler un chemin jusqu’à la Terre promise. Amen.

348      Qu’arrive-t-il? Quand la bataille sera terminée (Je termine maintenant, c’est sûr), quand la bataille sera terminée et que les saints rentreront à la Maison en marchant au pas... Je voudrais vous demander quelque chose: Qu’est-il arrivé–qu’est-il arrivé quand Hitler est entré en France? Eh bien, on disait qu’on ne voyait même plus le ciel à cause de ces avions. Les Allemands, au pas de l’oie (Voyez?), se tenaient là... défilaient, ils célébraient une victoire.

349      Quand Staline est arrivé en Russie, sur plusieurs kilomètres, les chars d’assaut se suivaient tout près, l’un derrière l’autre, et ils avaient bombardé Berlin au point qu’il n’en restait plus rien. C’est tout. Et quand ils y sont allés, et ces Allemands... ces soldats russes fêtaient, ils sont entrés en faisant ça, vous savez, cette drôle de petite chose qu’ils font. J’ai vu ça dans un film, une fois, à Londres, comment ils sont entrés (l’événement même sur film, là, ce qui était arrivé), ils sont entrés en célébrant. Oh! la la! Quand nous avons appris la fin de la guerre, nous avons poussé des cris, nous avons donné des coups de sifflet. Quand les héros sont revenus, nous sommes allés à leur rencontre là-bas. Ils poussaient des cris et criaient à tue-tête.

350      Un de mes cousins était là. Il disait, à son retour, tous les vieux... les vétérans qui avaient été mutilés au point de ne pas pouvoir se lever du lit; alors, quand ils sont arrivés, on les a emmenés sur le pont du navire, en les roulant, pour qu’ils voient la Statue de la Liberté se dresser là. Il a dit: «Ces grands gaillards, qui étaient là, ils pleuraient à chaudes larmes et tombaient à la renverse, comme ça, quand ils ont vu la Statue de la Liberté.» Ils avaient été absents de chez eux pendant quatre ans, à combattre, traumatisés par la bataille et tout le reste. Mais ils savaient que cette épouse, cette petite amie, cette maman, ce papa, et ces enfants, et tous ceux qu’ils aimaient se trouvaient juste là derrière cette Statue de la Liberté; elle représentait ce pour quoi ils avaient combattu. Oh! Les coups de sifflet ont retenti, et tout New York s’est écrié (c’est tout), quand leurs héros sont arrivés en marchant au pas. Ça, ce sera bien secondaire.

351      A un moment donné, quand César, après une grande bataille, avait dit: «Je veux que mon guerrier le plus fameux monte se tenir à mes côtés, pendant cette grande cérémonie pour marquer notre victoire sur l’ennemi», et tous les officiers ont taillé leur plumet et astiqué leur bouclier, et ils ont défilé, vous savez, comme ça, comme–comme de vrais soldats, comme cela. Peu après, une espèce de petit drôle de soldat est passé, balafré. Oh! la la! Il a un peu relevé la tête et il a continué à marcher, comme ça. César a dit: «Attends une minute, attends une minute. Toi (il n’était même pas en habits de–d’officier), a-t-il dit, viens ici.» Il a dit: «D’où te viennent ces marques?»

            Il a dit: «Du champ de bataille.»

352      Il a dit: «Monte ici. C’est toi le gars que je veux installer à mes côtés.» Pourquoi? Il a prouvé qu’il avait été au combat.

353      Ô Dieu, aie pitié d’un homme qui va se couper à la main sur une boîte de sardines et obtenir une citation. Je veux être marqué par les combats. Comme Paul a dit: «Je porte sur mon corps les marques de Jésus-Christ.» C’est pour ça que je veux combattre sur le champ.

354      Un jour, quand notre grand Capitaine en chef viendra, Celui qui nous a revêtus de l’armure, Celui qui nous a donné l’armure de Dieu, le Saint-Esprit, qui nous a donné Sa Parole pour que nous combattions avec Elle, que nous nous tenions là; quand notre grand Capitaine en chef arrivera à cheval, je veux monter sur le char et monter à la Maison avec Lui. Pas vous? Alors, quand je prendrai ma brave petite femme par le bras, que je regarderai autour de moi, là, et que je verrai mes frères et leurs femmes, et leurs enfants; quand nous nous mettrons à circuler dans ces paradis de Dieu, et que l’air s’emplira des hymnes des anges, là-haut, comme ça, vous parlez d’une fête.

355      Et quand la bataille sera terminée, nous porterons la couronne. Oh! la la! Oh! Soldats de la croix, ce matin, sortez ce bras de la foi, là, et saisissez cette Arme.

356      Qu’en penses-tu, soeur? Es-tu prête? Dégaine cette Arme, dis: «Ô Dieu, peu m’importe ce que–ce que le diable m’a dit, tout ce que quelqu’un d’autre a bien pu dire, ce matin, je crois, je crois.»

357      Comme je le disais l’autre jour, un petit... il y a quelques dimanches, je pense, un homme a fait un rêve. Il a rêvé que le diable était une espèce de petit avorton, il est venu vers lui en courant et a fait: «Boum!» Il a reculé, et le diable a grossi. «Boum!» Il a reculé et le diable a grossi. Finalement, le diable était aussi grand que lui, et il allait le vaincre. Il savait qu’il lui fallait se servir de quelque chose pour le combattre, alors il a regardé autour de lui, il ne trouvait rien avec quoi le combattre. Il a simplement pris la Bible; et le diable a fait: «Boum!» Et il lui a tout de suite répondu: «Boum!», et le diable a diminué, diminué, et diminué. Et, finalement, il l’a battu à mort avec la Parole.

358      Tu es un soldat, n’est-ce pas, petite soeur? Prends cette Parole et dis: «Il est écrit (Amen.) Je ne vais pas mourir; je vais vivre. Je vais m’asseoir ici même dans ce tabernacle et louer Dieu pour Sa bonté, avec tous les autres.» Vous le croyez, les saints? [L’assemblée répond: «Amen.»–N.D.E.] Amen. Inclinons la tête.

            Ô Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, que l’on sache aujourd’hui que Tu es toujours Dieu. Peu importe combien je pourrais prêcher, combien de choses je pourrais dire, Seigneur, une seule Parole de Toi règle la chose.

359      Ces mouchoirs qui ont été posés ici, ils représentent des malades. Je prie, Père céleste, que Tes bénédictions et Ta puissance reposent sur chacun d’eux, alors que je pose mes mains sur eux. Ô Dieu, au Nom de Jésus-Christ, je Te prie d’oindre ces mouchoirs de Ta sainte Présence, car c’est écrit dans la Parole. Ce n’est pas quelque chose qui va à l’encontre de la Parole, au contraire, il est dit dans la Parole qu’ils prenaient des mouchoirs et des linges qui avaient touché le corps de Paul; les esprits impurs sortaient des gens, et ils étaient guéris de diverses maladies.

360      Or, nous ne sommes pas saint Paul, mais Tu es toujours Dieu, et Tu es toujours le même Saint-Esprit. Je pose mes mains sur ces mouchoirs, au Nom du Seigneur Jésus, et je Te demande de bénir et de guérir chacun.

361      Et, ô Dieu, étendue ici sur un lit, elle est restée étendue ici, rien qu’une enfant, juste une ravissante petite fille... Elle ne peut pas en réchapper, Seigneur. Satan lui a fait du mal, et les bien-aimés médecins de cette terre ont fait tout leur possible, sans doute, pour sauver l’enfant; ils ne le peuvent tout simplement pas. Ils sont au bout de leur rouleau; ils ne savent plus quoi faire. Mais, Seigneur, je suis si content qu’il y ait un autre chapitre qui a été écrit. Nous pouvons encore tourner la page, et sur cette page-là nous voyons paraître le Grand Médecin. Nous Lui demandons une consultation ce matin.

362      Maintenant, Seigneur, n’est-il pas écrit ici, dans Ta Parole, que «voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru»? Seigneur, si je ne suis pas un croyant, fais que j’en sois un maintenant. Si cette fillette n’est pas une croyante, fais qu’elle en soit une maintenant. «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Il est aussi écrit: «En Mon Nom, ils chasseront les démons.» Seigneur, ces–ces Paroles-là sont les Tiennes. Ce sont les Tiennes. Ce–c’est Ta Parole.

363      Et maintenant, comme Ton serviteur... Comme Tu l’as dit: «Si deux ou trois d’entre vous sont assemblés, Je serai au milieu de vous; et si vous vous accordez sur une chose, et que vous la demandez, vous la recevrez.»

364      Ô Dieu, cette enfant est probablement la personne la plus malade dans ce bâtiment, ce matin, puisque, sans Toi, elle ne pourra plus vivre encore très longtemps, et c’est elle la plus malade. Alors, nous tous, nous nous accordons, tous les soldats ici présents, et dans ce groupe, il y a la Semence royale d’Abraham. Nous marchons sur Satan maintenant. Autant te préparer à partir, Satan, parce que nos armures reluisent, les couleurs flottent au vent, les hommes et les femmes brandissent l’Epée, ils s’avancent maintenant, marchant sur toi, dans l’intérêt de cette petite fille. Sors d’elle, Satan. Laisse cette enfant. Nous qui sommes l’armée du Dieu vivant, nous te défions. Quitte-la, au Nom de Jésus-Christ.

            Je vais aller lui imposer les mains.

365      Maintenant, Satan, toi qui as lié cette enfant, toi qui as fait cette vilaine chose, je sais que tu es largement de taille à faire face à un être humain, mais tu n’es pas de taille à faire face à mon Seigneur; ainsi, je viens en Son Nom. Quitte-la, toi, esprit du diable. Toi, démon de maladie, sors de cette enfant, et puisse-t-elle s’en aller libre, à partir d’aujourd’hui. Je prononce ceci au Nom de Jésus-Christ.

366      Maintenant, Seigneur Dieu, Toi qui as ressuscité les morts et qui as prouvé que Tu étais Dieu, redonne à cette jeune fille la santé et la force, afin qu’elle se tienne debout dans ce bâtiment, ici. Le diable est sorti d’elle! Tu vas la rétablir. Puisse-t-elle vivre à la gloire et à l’honneur de Dieu. Cela–cela a été prononcé, maintenant que ce soit fait.

367      Y en a-t-il ici d’autres qui veulent lever la main pour dire: «Je voudrais qu’on prie pour moi. Je suis malade. J’ai besoin de Dieu»? Je ne sais combien de temps nous avons. Nous avons assez de temps pour faire défiler ces gens ici. Je me sens vraiment en état de vaincre ce matin...?... Je voudrais que tu viennes, Billy, et on va prendre, peut-être, cette section qui est juste ici, de ce côté-ci, juste celle-là. Que seulement cette section-là vienne d’abord, ensuite on va prendre la section de derrière après cela, seulement jusqu’à cette allée-là, là-bas. Ensuite, on va simplement les prendre comme ça, alors ils ne...

368      Et maintenant, je voudrais que frère Neville et quelques-uns de mes frères prédicateurs se tiennent juste près de moi, juste ici, et comme ça vous pourrez faire redescendre les gens dans l’allée. Bien.

369      Bien. Maintenant, je... Combien d’entre vous ont revêtu leur armure? Elle a changé maintenant. Rentre chez toi et porte-toi bien maintenant. Amen. Oh! la la!

370      Vous tous, soldats, dégainez l’Epée, dégainez l’Epée, soldats de la croix. Continuez à avancer, continuez à avancer...Sur Christ, le Roc solide, je me tiens;Tout le reste est sable mouvant.

371      Très bien. Venez, et redescendez tout de suite par le côté de l’estrade. Que tout le monde soit en prière, maintenant, pendant qu’ils défileront.

372      Au Nom de Jésus-Christ, guéris le...?... Amen. Alléluia!

            Dégainez votre Epée maintenant (Voyez?), allez droit au bout, en jubilant. [Les gens passent dans la ligne de prière.–N.D.E.]

373                  En avant, soldats chrétiens!

            Marchons comme à la guerre,

            Avec la croix de Jésus

            Allant en avant.

374      «Retire-toi, Satan!» Qu’avez-vous, soldats? Ne pensez-vous pas que nous pouvons vaincre? Nous avons déjà vaincu. Nous sommes plus que vainqueurs en Jésus-Christ. Tous les démons sont chassés, tout le reste.

375      [Frère Branham continue à prier pour les malades.–N.D.E.]

            Guéris mon frère...?... Seigneur. Je Te prie de guérir...?...

            Guéris mon frère...?... au Nom de Jésus...?...

            Au Nom de Jésus-Christ...?...

376      Ô Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, ô Dieu, Tu sais ce qu’elle a dans son coeur. Tu sais tout...?... Je prie pour elle...?... Au... de Jésus-Christ, je...?...

            Au Nom de Jésus-Christ, je vous oins...?... et je prie que...?...

            Au Nom de Jésus-Christ, je...?...

377      Ô Dieu, sois avec ma soeur, Seigneur. Nous savons que des années commencent à s’accumuler...?... autres que le merveilleux Saint-Esprit. Maintenant, au Nom de Jésus...?...

378      Au Nom de Jésus-Christ, bénis...?... durs combats...?... et je sais ce que Tu fais. O Dieu, apporte...?... déverse en elle ce matin...?...

            Bénis ce petit garçon maintenant...?... père et fils, et je Te prie de...?...

            Ô Dieu, bénis mon frère...?... en son...?... Au Nom de notre Seigneur Jésus, je l’ai prononcé!...?...

            Au Nom de Jésus-Christ, guéris notre soeur.

            Au Nom de Jésus-Christ, guéris notre soeur.

            Au Nom de Jésus-Christ, guéris notre soeur.

            Au Nom de Jésus-Christ, guéris...?...

            Au Nom de Jésus-Christ, guéris notre soeur..

            Au Nom de Jésus-Christ, guéris notre soeur.

            Au Nom de Jésus-Christ, guéris...?...

            Au Nom de Jésus-Christ, guéris mon frère.

            Au Nom de Jésus-Christ, guéris ma soeur.

            Au Nom de Jésus-Christ, guéris ma soeur.

            Au Nom de Jésus-Christ...?...

            Au Nom de Jésus-Christ, sois rétabli.

379      [La ligne de prière se poursuit; des mots ne sont toujours pas perceptibles.–N.D.E.]

            ... qui Tu sais que ce...?... tous ces ennuis. Je Te prie, ô Dieu, de...?... sur eux...?... dégaine cette Epée...?... et avance, ...?...

            [Des mots ne sont pas perceptibles.–N.D.E.]

380      Ô Dieu, notre Père, Je Te prie de guérir notre frère et de le rétablir au Nom de Jésus-Christ. Nous ...?...

            Ô Dieu, je Te prie de bien vouloir guérir notre soeur...?... au Nom de Jésus...?...

381      Dieu, notre Père, je Te prie, au... de Jésus, de guérir notre frère...?...

            [Des paroles ne sont pas perceptibles.–N.D.E.]

382      Ô Dieu, bénis-le, Seigneur, au Nom de Jésus...?... Calvaire...?... Je Te prie de lui accorder cela...?... au Nom de Jésus...?...

383      Père céleste, je prie pour mon frère. Ô Dieu, je prie...?... ô Dieu, puisse-t-il...?... soldat de la croix. Qu’il dégaine cette Epée ce matin, et...?... pour cela au Nom de Jésus.

384      Ô Dieu,...?... Je Te prie de guérir...?... Accorde ce...?...

385      Ô Dieu, bénis frère...?... Je Te prie de le guérir, Seigneur, au Nom de Jésus.

386      Notre Père céleste, ...?... elle...?... travaillant, parlant...?... croira. Ô Dieu, je Te prie de la guérir au Nom de...?... la grande armée de Dieu avance maintenant avec l’Epée levée...?... Seigneur.

            Son petit coeur est...?... ici et des pensées dans ce lit de cancéreux où...?... se mourant du cancer, et les médecins l’avaient abandonné, il s’en allait. Et le voici, ce matin, un petit soldat...?... Fortifie-le, Seigneur...?... au Nom de Jésus. Amen.

387      Je voudrais que cette petite dame... Quelque chose cloche avec ce petit prédicateur, ici. Venez ici, Frère Kidd. Cet homme a été renvoyé à la maison, de l’hôpital dernièrement; il se mourait, il était rongé par un cancer, il y a un an, deux ans, de la prostate. Les médecins ne lui donnaient plus que quelques jours à vivre. Et, un matin, nous sommes allés là-bas, très tôt, nous avons prié pour lui, exactement comme nous venons de le faire pour vous, et ils n’arrivent même plus à trouver la moindre trace...?... Il travaille maintenant plus qu’il ne l’a jamais fait. Lui et sa petite femme étaient sur les champs d’évangélisation, peut-être avant ma naissance. [Frère Kidd dit: «Cinquante-cinq ans.»–N.D.E.] Vous l’avez entendu...?... Cinquante-cinq ans. Avant même que je vienne au monde, ils prêchaient l’Evangile. Et le voici, guéri, à l’âge d’environ soixante-quinze... ou quatre-vingt-un ans. [Frère Kidd parle encore à frère Branham.–N.D.E.] Une série de réunions de réveil de deux semaines, il vient de tenir une série de réunions de réveil de deux semaines, et il a prêché tous les soirs. Quatre-vingt-un ans, guéri du cancer...?...

388      Très bien, soeur, c’est votre tour maintenant. Croyez-vous? (En avant, soldats chrétiens.) Très bien, soeur. Vous, chacun de vous, qu’allons-nous faire? AINSI DIT LE SEIGNEUR. Qu’as-tu à traîner ici, Satan? Tu as perdu. Nous traversons maintenant. Nous continuons à marcher jusque dans la Terre promise. Qu’est-ce? Quelle est cette montagne devant Zorobabel? Qui se tient là? «Il sera aplani.» Pourquoi? Avec une Epée à deux tranchants, nous allons l’abattre jusqu’au sol. C’est exact. Bien.

            En avant, soldats chrétiens!

            Marchons comme à la guerre,

            Avec la croix de Jésus

            Allons en avant.

            Oh! Christ, le Maître royal

            Mène contre l’ennemi, (avec Sa Parole)

            Tout droit dans la bataille,

            Voyez, Sa bannière.

            En avant, soldats chrétiens!

            Marchons comme à la guerre,

            Avec la croix de Jésus

            Allons de l’avant.

389      Alléluia! Que faisaient-ils? Ce qui avançait en premier dans la bataille pour Israël, c’était quoi en premier? Les chanteurs avançaient en premier. Qu’est-ce qui venait ensuite? L’Arche. Ensuite, la bataille. Bien. Le croyez-vous maintenant? Nous chantons En avant, soldats chrétiens. Nous écartons tous les doutes. Nous nous levons maintenant, nous marchons au combat.

390      Levons-nous maintenant, tout le monde.

            En avant, soldats chrétiens!

            Marchons comme à la guerre,

            Avec la croix de Jésus

            Allons de l’avant.

            Nous ne sommes pas divisés,

            Tous nous sommes un seul corps;

            Un dans l’espoir et la doctrine,

            Un dans la charité;

            (Comment le vainquons-nous? Par la Parole.)

            Tout droit dans la bataille,

            Voyez, Sa bannière

            En avant, soldats chrétiens!

            Marchons comme à la guerre,

            Avec la croix de Jésus

            Allons de l’avant.

            Nous ne sommes pas divisés,

            Tous, nous sommes un seul corps;

            Un dans l’espoir et la doctrine,

            Un dans la charité.

391      Que tous ceux qui croient en Dieu disent: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Alléluia! Croyez-vous cela? [«Amen!»] Nous sommes vainqueurs. Où sont tous les ennemis? Sous nos pieds. Etes-vous prêts? Ressuscités en Christ! Maintenant, c’est terminé, petite soeur. Le crois-tu? Tu peux rentrer chez toi maintenant. Te sens-tu bien? Elle dit qu’elle se sent bien maintenant; tout va bien. Combien dans l’auditoire se sentent bien?

392      Et quand ils ont poussé des cris, la muraille s’est écroulée (Amen!) et ils s’en sont emparés. Amen. Ils se sont emparés de la ville. Amen! Amen! Croyez-vous en Lui?

393      Maintenant, n’oubliez pas la réunion de ce soir. Frère Neville sera ici ce soir et nous apportera un bon message. Et dimanche prochain, le Seigneur voulant, je serai ici. Maintenant, repartons, alors que nous sortons, et maintenant... du bâtiment, repartons en chantant En avant, soldats chrétiens. Et, à partir d’aujourd’hui, ne remettez plus jamais cette l’Epée dans le fourreau. Dégainez-la. Vainquons. «Ils sont partis en vainqueurs et pour vaincre.» Très bien. Reprenons le premier couplet.

            En avant, soldats chrétiens!

            Marchons comme à la guerre,

            Avec la croix de Jésus

            Allons en avant.

            Christ, le Maître royal...

            Gloire a Dieu!

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