Il Y A Ici Plus Que Salomon

Date: 63-0605 | La durée est de: 2 heures et 10 minutes | La traduction: Shp
doc pdf
Voir le textes français et anglais simultanement Voir le texte anglais seulement

1          «Je crois.» Restons debout maintenant pour quelques instants, alors que nous inclinons la tête. Je demanderais, pendant que nous avons nos têtes et nos coeurs inclinés, que s’il y a une requête spéciale ce soir que vous voudriez adresser à Dieu, quelque chose de spécial, vous le fassiez connaître en levant la main. Il sait exactement de quoi vous avez besoin en ce moment. Dans votre coeur, ayez simplement la chose à l’esprit.

2          Notre Père céleste, nous sommes très contents ce soir d’avoir ce grand privilège d’appeler «Père» le Créateur des cieux et de la terre. Et nous sommes heureux de savoir que nous sommes assemblés ici ce soir dans les lieux célestes en Christ, Ton Fils. Et Il a promis que si nous demandions quelque chose en Son Nom, cela serait accordé. Seigneur, Tu–Tu as vu chaque main qui s’est levée. Tu–Tu connais ce qui était derrière cette main. Il y avait une requête pour quelque chose, et j’offre aussi ma prière avec la leur. Par la foi nous montons maintenant jusqu’au grand Trône d’ivoire de Dieu. Là, comme nous voyons le Sang du Seigneur Jésus qui est là sur l’autel, cela nous donne l’assurance que notre requête est exaucée. Il n’y a qu’une chose qui reste: si nous croyons que nous recevons ce que nous avons demandé, alors cela nous sera accordé. Viens au secours de notre incrédulité.

3          Et, Père, nous Te prions, ce soir, comme nous ouvrons la Parole, de nous La révéler. C’est Toi qui L’as écrite, et nous Te prions de nous La faire connaître. Viens alors parmi nous et accomplis-La et confirmes-Toi Toi-même, pour montrer qu’en cette heure de grandes réalisations scientifiques, où l’église devient froide, s’éloigne et se plonge dans des formes et des crédos, que Tu restes le même pour ceux qui croient que Tu es le même, que Tu es le même Dieu qui avait déversé la puissance à la Pentecôte. Tu es le même Dieu qui avait marché avec les disciples, Celui qui était avec Moïse dans le désert, et Tu es le même ce soir. Bénis-nous ensemble maintenant comme nous communions autour de la Parole. Nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

4          Comme toujours, je considère que c’est un grand privilège d’être là où le peuple de Dieu est rassemblé, car je suis sûr que Christ est au milieu de nous. Et nous sommes reconnaissants au Seigneur Dieu d’avoir suivi le bon rapport d’hier soir; et cela montre que Dieu guérit toujours les malades et les affligés. Et maintenant, il y a... Si nous pouvons juste garder notre pensée fixée sur Christ, et être conscients que Sa Présence est ici, et qu’Il a déjà obtenu pour vous chaque bénédiction rédemptrice pour laquelle Il est mort. Cela vous appartient. Tout ce que vous avez à faire c’est croire cela.

5          Et maintenant, nous croyons que vous avez eu un bon repos aujourd’hui. Et vous... On va essayer de vous laisser sortir ce soir, aussitôt que possible. Et puis demain soir, comme ce sera le jeudi soir, et ensuite on sera là vendredi soir; et ensuite samedi matin, on aura un petit déjeuner.

6          Je voudrais présenter à la congrégation ce soir une requête de la part de frère Carl Williams, du chapitre de Phoenix, le président du chapitre de Phoenix. Son père âgé de quatre-vingt-cinq ans a connu une congestion cérébrale cet après-midi. Et il devait être ici ce soir. Et il devait s’envoler vers le Nord quelque part, pour aller voir son père. Et aussitôt je suis allé prier pour le vieux. Il y a quelques semaines j’étais avec lui, il avait plus d’entrain que son fils, là-bas à Albuquerque où nous tenions une convention. Et ce soir, il est couché, atteint d’une congestion cérébrale, à l’âge de quatre-vingt-cinq ans. Mais je crois de tout mon coeur que Dieu va ôter cette congestion cérébrale de lui. Je–je–je le crois, voyez, car quand j’étais en prière je–je le voyais bien en mouvement. Et il–il... Vous n’avez pas de congestion cérébrale, quand vous pouvez vous déplacer, vous savez. Ainsi, lui, je–je sais qu’il va aller mieux, si pas bien.

7          Et nous sommes reconnaissants pour la–la foi, l’assurance, quelque chose que nous avons qui nous révèle les choses, et nous sommes sûrs. Il n’y a plus alors de conjecture. Nous avons eu, pendant des années, la Parole de Dieu. Maintenant nous avons le Dieu de la Parole, voyez, et juste ici, vivant Sa Parole. C’est donc la vérité, et c’est l’un des derniers grands signes promis à l’Eglise avant la Venue du Seigneur.

8          Il n’y a pas longtemps, mon fils et moi étions–sommes allés à Bombay, en Inde, où je pense que nous avons eu le plus grand appel à l’autel que j’aie jamais amené le Seigneur à faire dans nos réunions. C’était... Nous ne pouvions pas estimer combien de gens sont venus à Christ, parce que la foule était estimée à environ un demi-million de personnes au cours d’un seul rassemblement, presque cinq cent mille personnes. Et on a passé des moments très difficiles. Et les Hindous étaient là, les religieux. Et, oh! oh! la la! et vous parlez de la religion, l’Inde en a vraiment! Cet après-midi-là, j’étais reçu par dix-sept différentes religions de l’Inde, et chacune d’elles niait Jésus-Christ, chacune d’elles: les musulmans, les bouddhistes, les sikhs, les jaïns, oh! il y en a tellement. Et je n’avais rien dit. Je les ai juste écoutés tandis que... Nous devions ôter nos chaussures, pour entrer dans le temple des jaïns.

9          Ce soir-là, je me tenais devant une foule qui s’étendait à perte de vue, et quand les gens ont commencé à monter, la milice devait laisser les gens venir, une personne à la fois. Le premier à venir était un lépreux; il n’avait pas de bras, et les oreilles étaient [complètement] rongées. Evidemment, n’importe qui savait ce qu’était son problème. Et ensuite, après que deux ou trois personnes sont passées, eh bien, le Saint-Esprit était là, révélant les secrets. Evidemment, quand l’onction descend, vous pouvez alors dire ce que les gens pensent. Voyez, vous saisirez cela. Et ils pensaient que c’était quelque chose comme de la télépathie.

10        Et tout celui qui sait ce qu’est la télépathie pourrait... ce serait un... Si vous pensez que les choses que le Saint-Esprit discerne, c’est de la télépathie, eh bien, alors, vous ne savez pas grand-chose de la télépathie.

11        Ainsi donc, ces religieux, et les radjahs, et les autres, sur leurs coussins, et... Ils étaient donc serrés les uns contre les autres; deux ou trois d’entre eux étouffaient à mort dans la réunion, et les gens essayaient simplement de s’entasser; et je n’avais que deux jours à y passer.

12        Et on ne pouvait pas assurer ma protection... En effet, je devais tenir les réunions dans la ville, c’était la seule façon pour nous d’être protégés. En dehors de la ville, une dame était venue là et avait suscité un peu de trouble, et deux ou trois personnes sont mortes poignardées, et ils ne voulaient pas assurer ma protection en dehors de la ville. Et c’était certainement affreux à voir.

13        Mais la quatrième personne qui s’est avancée, c’était la quatrième ou la cinquième personne, était un aveugle, et il était un mendiant. Bien sûr, l’Inde a quatre cent soixante-dix millions d’habitants, et il me semblait que presque quatre cent millions d’entre eux étaient des mendiants. Je n’avais jamais vu autant de mendiants! Et c’est si pitoyable. Quand... Nous ne nous rendons pas compte combien nous sommes riches, avant d’avoir effectué un voyage comme cela une fois.

14        Ici, c’est une mère couchée dans la rue, son petit bébé crevant de faim. Ses petites gencives sont collées à ses lèvres. Ses petits... Il n’arrive même plus à pleurer. La mère aussi crève de faim. Elle veut vous donner le bébé, pour le préserver de la mort, et tout pour le préserver de la mort. Et tenez! eh bien, vous le prendrez? En voilà un autre, en voilà un autre, un autre, oh! vous... à n’en point finir. Et ils sont là, et ils sont si misérables. Et ce sont des êtres humains pour lesquels Christ est mort!

15        Et là, ce soir-là, pendant que je me tenais là; cet aveugle est monté. Le Saint-Esprit a alors dit: «C’est un mendiant, et il adore le soleil. Il est aveugle depuis vingt ans.» Eh bien, aussitôt que cela a été dit, vous pouviez saisir la chose, vous savez. Ils vous...

16        Quand vous allez à un endroit comme celui-là, vous feriez mieux de savoir de quoi vous parlez, parce que les gens vont vous défier là-dessus, n’importe quand. Et vous feriez mieux d’être sûr que c’est Dieu qui vous a envoyé. Ne jouez pas au religieux là-bas. Vous devez réellement savoir de quoi vous parlez. Ça marche bien ici en Amérique, mais n’essayez jamais d’aller dans le champ des missions, à moins que vous soyez vraiment sûrs. Et puis en Afrique, et ces sorciers guérisseurs et ainsi de suite, ils sont–sont des spirites. Ils ne sont pas juste en train de s’amuser avec une espèce de psychologie. Ils sont–ils sont possédés du démon, et ils ont la puissance. Et il faut seulement la Puissance de Dieu, pour vaincre cela. Et pourtant, je n’ai jamais vu une seule fois où notre Grand et Glorieux Seigneur Jésus n’a pas surmonté tout cela, et remporté la victoire; toutes les fois. Je dis cela en tant que Son serviteur, en Son Nom.

17        Et ce soir-là, je me souviens, cet homme était là. Il a été dit: «Tu es aveugle.» J’ai dit: «Tu es un mendiant, et tu adores le soleil.»

18        Et ils croient que s’ils regardent le soleil jusqu’à devenir aveugles, ils iront au Ciel; ainsi il y a un ciel pour eux, où ils iront, en adorant la création.

19        Et, écoutez, vous pouviez sentir cela venir, qu’ils... ces gens, surtout ceux qu’ils appellent des saints hommes. Alors ils s’enduisent de graisse, avec de l’huile d’olive. Quel spectacle! Ils sacrifient une chèvre et adorent.

20        Et alors, la chose suivante, l’Esprit a dit: «Tu es un homme marié, et tu as deux enfants. Et ce sont deux garçons. Et l’un a environ six ans et l’autre environ neuf ans.» Et quand l’interprète lui a dit cela, c’était correct. Mais toujours est-il qu’ils ne voulaient pas écouter cela. Ils pensaient que c’était de la psychologie.

21        Et j’ai pensé: «Seigneur, si seulement Tu pouvais me montrer quelque chose qu’ils pourraient voir s’accomplir.»

22        Et vous devez être attentif à ce que le Saint-Esprit dit. C’est ce qu’Il vous dit. Restez là assez longtemps jusqu’à ce que vous entendiez ce qu’il donne comme réponse. Voyez? Ecoutez ce qu’Il vous dit. Parce que ce n’est pas moi. Je ne sais rien à ce sujet. C’est Lui. Et je ne sais même pas ce que je dis, moi-même, et je l’ignore jusqu’à ce que j’entende la bande. Et puis, c’est donc merveilleux de voir ce qu’Il a fait.

23        Et alors j’ai regardé, et j’ai vu l’homme (c’était comme une vision) se tenant au-dessus, et il voyait. Il avait recouvré sa vue. J’ai pensé: «Ceci sera un moment merveilleux maintenant même.»

24        Et j’ai dit: «Aujourd’hui j’ai été reçu dans le temple des jaïns, où beaucoup d’entre vous, différents conducteurs ici, étaient présents. Et vous me disiez combien le christianisme était petit, et combien grande était votre religion. Je n’ai pas eu l’occasion de défendre le Seigneur Jésus; mais, ai-je dit, ce soir, voici un homme qui se tient ici, et qui est aveugle. Maintenant si je demandais au prêtre mahométan, ou au prêtre bouddhiste, ou à qui que ce soit, ce qui l’a poussé à faire cela, vous diriez qu’il était dans l’erreur parce qu’il a adoré la créature à la place du Créateur. Je dirais ‘amen’ à cela. C’est la vérité. La création à la place du Créateur.»

25        «Eh bien, maintenant, si cet homme qui vient d’affirmer qu’il servirait le Dieu qui lui rendrait sa vue... Maintenant il se rend compte qu’il est dans l’erreur. Maintenant que pourriez-vous faire pour lui? Vous les bouddhistes, vous lui feriez abandonner son dieu pour venir se joindre au bouddhisme. Les mahométans feraient de lui un mahométan, ainsi que toutes les autres religions. Qu’est-ce? Vous changeriez seulement ses pensées. Vous allez seulement... C’est de la psychologie.»

26        J’ai dit: «L’Amérique est remplie de la même chose. Tous les méthodistes veulent convertir les baptistes. Et les baptistes veulent convertir les pentecôtistes. Et les unitaires veulent convertir les binitaires. Les binitaires veulent convertir...» Oh! la la! je n’ai jamais entendu rien de pareil! Mais une chose pour laquelle je suis reconnaissant, c’est que nous adorons tous le même Dieu. Mais là-bas, c’est différent.

27        «Mais, ai-je dit, c’est de la psychologie. Il y a certainement un Créateur quelque part qui a créé les yeux de cet homme.» Maintenant, je n’aurais pas dit ceci si je n’avais pas vu la vision premièrement. Parce que, ça...

28        Je suis âgé de cinquante-quatre ans, j’ai eu des visions depuis l’âge de dix-huit mois. Pas une seule... Je demanderai à n’importe qui s’il en a déjà vu une faillir. Absolument pas. Ça ne faillira jamais. Cela n’a jamais failli et ça ne faillira jamais. C’est toujours parfait, parce que c’est Dieu.

29        Et alors j’étais sûr que l’homme allait recouvrer sa vue, mais j’essayais de tendre un petit piège pour attraper certains de ces incroyants. Et j’ai dit: «Maintenant si la religion mahométane, qui est la religion prédominante ici en Inde [est vraie], que les prêtres mahométans qui sont là viennent ici et restituent la vue à cet homme, alors je deviendrai un mahométan.» Voyez? J’ai dit: «Si le bouddhisme qui est aussi une grande religion [est vraie], que les prêtres bouddhistes viennent, ou n’importe qui.» J’ai dit: «Certainement, si l’homme veut se mettre en ordre avec le Vrai Dieu, certainement le Grand Créateur qui a créé ses yeux pour la première fois peut lui en créer pour la seconde fois, s’il veut les utiliser pour la gloire de ce Dieu.» C’était l’auditoire le plus silencieux que j’aie jamais entendu.

30        J’ai dit: «Maintenant, l’estrade est ouverte, et que l’homme qui peut venir ici et lui rendre la vue... Que le Dieu, le Dieu véritable, Celui qui l’a créé la première fois, Qui a créé ses yeux, qu’Il vienne et restaure sa vue, et je suis prêt à–à devenir adepte de cette religion-là.» Personne n’a dit un mot.

31        J’ai dit: «Je sais ce que vous pensez. Vous pensez que j’utilise la télépathie pour savoir ce que ces gens ont comme problème, et ainsi de suite, et pour leur dire ce qu’ils sont, qui ils sont. Je n’arrive même pas à lire leurs noms; je suis obligé de les épeler. Je ne sais pas les prononcer. Je ne peux même pas parler leur langue. Et vous appelez cela de la psychologie. Si c’est le cas, moi je ne connais rien de la psychologie; tandis que vous êtes des maîtres en la matière. Que ce maître en psychologie vienne et rende la vue à cet homme alors. Voyez si la psychologie peut restituer la vue à un homme aveugle.» C’était toujours un auditoire silencieux. Personne n’a dit un mot.

32        J’ai dit: «Pourquoi ne dites vous rien? Certainement qu’il y a un Dieu quelque part. Tout, tout ceci, tout ce qui se passe, cela prouve qu’il existe un Dieu quelque part. Qui est-Il?» J’ai dit: «La raison pour laquelle vous ne dites rien, c’est parce que vous ne pouvez pas le faire. Et moi non plus je ne peux pas le faire. Mais le Dieu du Ciel, Qui a ressuscité Son Fils, Jésus-Christ, dont je suis le témoin, m’a montré une vision selon laquelle cet homme va recouvrer la vue. Maintenant, s’Il ne le fait pas, alors je suis un faux prophète; expulsez-moi de l’Inde. Mais s’Il le fait effectivement... Juste ici, vous qui êtes mahométans, voici vos prêtres qui se tiennent debout avec leurs robes. Voici les bouddhistes, et ceux d’autres différentes religions. Vous voyez vos conducteurs, combien ils sont silencieux? Ils ne disent rien. Mais moi, je parle. J’ai vu une vision de cet homme, il va recouvrer la vue, et cela va s’accomplir maintenant même. Et si cela n’arrive pas, alors il y a quelque chose de faux, je suis un faux témoin de la Bible et de Christ.» Tout le monde...

33        J’ai dit: «Combien d’entre vous ici voudront Le recevoir comme leur Sauveur si Dieu restaure la vue à cet aveugle?»

34        Et partout, on ne voyait que des mains noires levées, jusqu’à perte de vue. Eh bien, on avait estimé la foule à cinq cent mille personnes. Cela fait un demi-million. Ainsi, c’était bien, bien des fois plus que ce qu’on a probablement à Tucson. Ainsi, ils se tenaient là en un seul lieu.

35        J’ai tiré–demandé à l’homme de s’approcher de moi. Je l’ai entouré de mes bras. On n’interprète pas la prière. J’ai dit: «Seigneur Dieu, ceci est un défi à ma propre foi. Mais juste ici, au moment où tous ces païens sont ici tout autour, n’es-Tu pas toujours le même Dieu que tu as toujours été?» Et j’ai dit: «Maintenant c’est Ta réputation qui est en jeu. Je ne dis que ce que Tu as dit. Et depuis mon enfance, Tu me montres des visions, et je n’en ai jamais vu une faillir. Maintenant Tu m’as montré que l’homme allait recouvrer la vue. Je réclame sa vue, au Nom de Jésus-Christ.»

36        Et l’homme a poussé un grand cri. Et le maire de la ville était assis là, l’homme a couru, l’a saisi et l’a embrassé. Il voyait aussi parfaitement que moi ou n’importe qui d’autre. Alors, j’en ai vu des milliers et des milliers.

37        Mes amis, je ne veux pas dire ceci pour critiquer, mais nous avons failli d’accomplir le programme pour lequel Christ nous a envoyés. Voyez? Il a dit: «Allez par tout le monde, et prêchez l’Evangile.» Eh bien, Il n’a pas dit de bâtir des écoles. Il n’a pas dit de bâtir des églises. En fait, ce sont toutes de bonnes choses. Mais nous avons consacré tout notre temps à bâtir des écoles, des églises et des dénominations, lesquelles ont joué leur rôle. Mais ce n’est pas ce qu’Il a dit. «Prêchez l’Evangile, et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» En d’autres mots, prêcher l’Evangile devrait consister à démontrer la puissance du Saint-Esprit. Et c’est là que nous avons failli.

38        L’église a besoin, ce soir, non pas de quelque chose d’hybride et flasque, flasque et mou comme l’église l’est, où l’on fait juste une confession, on se fait baptiser, et on devient–on devient chrétien. Etre chrétien, c’est un reniement de soi. «Renoncez à vous-même. Prenez votre croix. Suivez-Moi chaque jour.» Aujourd’hui on est si mou, et les gens se disent chrétiens. Alors qu’autrefois, cela signifiait la mort, de confesser Christ, et on devrait compter sur Lui chaque jour pour tout ce dont on avait besoin.

39        Ce même Dieu est vivant aujourd’hui. Je sais que cela est vrai. Et Il est tout aussi grand aujourd’hui qu’Il l’était alors. Si jamais Il a été Dieu, Il est toujours Dieu. Mais s’Il n’est pas Dieu, alors Il n’a jamais été Dieu, parce qu’Il est le Dieu de toute la race humaine.

40        A quoi sert de parler du Dieu d’Abraham, s’Il n’est pas le même Dieu aujourd’hui? A quoi servirait-il de parler d’un Dieu qui peut ouvrir la mer Rouge, s’Il ne peut pas... pour que ses enfants échappent, s’il ne pouvait pas faire la même chose aujourd’hui? Que dirait-on d’un Dieu qui pouvait ressusciter de la tombe un homme mort, s’Il ne peut pas faire la même chose aujourd’hui?

41        A quoi servirait-il de donner à votre canari de bons grains et de bonnes vitamines, pour qu’il développe de bons os solides, des ailes et des plumes, pour ensuite l’enfermer dans une cage? Comment va-t-il les utiliser?A quoi sert-il d’enseigner une Bible qui parle d’un certain Grand Dieu?

42        Comment un homme qui gèle peut-il avoir... Peut-il se réchauffer avec une peinture du feu? Un homme qui gèle à mort, et vous lui faites le tableau d’un feu, et vous lui dites: «Voilà ce qui était.» Ce n’est pas ça. Ça doit être le... Il faut qu’une chaleur s’en dégage, pour–pour lui faire du bien.

43        Et il doit y avoir une réalité dans la nouvelle naissance, dans le fait d’être né de nouveau, d’être rempli de l’Esprit, et de reconnaître que la Présence de Dieu est ici, et Le voir accomplir Sa Parole et Sa promesse exactement comme Il l’avait fait autrefois. Jésus a dit: «Quand Je serai élevé de la terre, J’attirerai tous les hommes à Moi.»

44        Que le Seigneur nous aide. Je n’avais pas l’intention de m’écarter pour aborder cela, mais j’en parle tout simplement. Que le Seigneur vous bénisse maintenant. Et l’un de ces soirs, peut-être, avant la fin de nos réunions, je vais peut être prêcher un soir à votre intention. Je vais le faire.

45        Maintenant, je parle de la guérison divine parce que je veux voir, je m’attends à ce que le Seigneur fasse peut-être quelque chose. Cela va...

46        Vous savez, presque quatre-vingt-six pour cent du ministère de Jésus portait sur la guérison divine. Et nous n’utilisons pas la guérison divine comme notre sujet principal. Vous ne pouvez pas accorder la primauté à ce qui est mineur, nous le savons, ce grand art de la guérison divine.

47        Je viens juste de terminer une étude que j’ai entreprise au cours de quatre ou cinq dernières années, sur l’Eglise primitive. J’avais commencé avec le livre des martyrs de Foxe, j’ai parcouru Les Deux Babylones d’Hislop, et ainsi de suite, et tout du long à Nicée, Les Pères nicéens et poste-nicéens, le Concile de Nicée, et j’ai découvert qu’après la mort de Jésus-Christ, au temps de Polycarpe, d’Irénée, de Martin, et de beaucoup de ces grands saints, pendant des centaines d’années après la mort de Jésus-Christ, ils ont combattu pour cette foi relative au baptême du Saint-Esprit, et ils parlaient en langues, ils ressuscitaient les morts, et ils guérissaient les malades. C’est dans les âges sombres que cette Chose fut perdue.

48        Mais, oh! Dieu a dit: «Je restaurerai, dit le Seigneur, toutes les années que les sauterelles et le gazam ont dévorées.» Il a promis de le faire, et c’est maintenant l’heure de la restauration. L’Arbre va de nouveau fleurir. Je le crois.

49        Que le Seigneur vous bénisse maintenant. Et dans les Saintes Ecritures, j’aimerais prendre ce soir un petit passage bien connu, juste pour vous familiariser avec ce que nous essayons de faire. Vous voyez, si vous pouvez...

50        Si je pouvais amener cet auditoire à être d’un même accord, à voir et reconnaître parfaitement que Jésus-Christ est vivant et qu’Il est ici parmi vous! Oh! vous le croyez psychologiquement ou mentalement. Mais quand cela peut aller au-delà de la pensée, au point que vous en êtes conscient, alors quelque chose arrivera, voyez, quand vous pouvez vous en rendre compte. La seule chose qu’il y a, c’est de voir Christ au milieu de nous.

51        Vous savez, là à Durban, en Afrique du Sud, selon les estimations, il y avait vingt-cinq mille fauteuils roulants, de vieilles caisses et des charrettes, et ils faisaient sortir les gens des jungles et les tiraient pendant des semaines et des semaines, ils venaient là. Après une seule prière, juste quelques mots de prière, ils ont quitté ces choses-là. Et le lendemain matin...

52        Sidney Smith, vous pouvez lui envoyer un télégramme, ou lui écrire une lettre. C’est lui le maire de Durban, une ville qui est presque deux fois, trois fois plus grande que Tucson. Oui, elle est plusieurs fois plus grande que ça. Et nous étions sur un champ de course où il avait réuni deux cent cinquante mille personnes.

53        Et il m’a appelé, il a dit: «Frère Branham, allez à votre fenêtre qui donne sur la côte.» C’est l’océan Indien là-bas. «Vous verrez quelque chose que vous n’avez jamais vu.»

54        Et voilà venir environ dix de ces gros camions anglais, peut-être longs de quarante à cinquante pieds [12 à 15 m], bien remplis de vieilles béquilles, de fauteuils roulants et de choses avec lesquels ils étaient sortis clopin-clopant du désert, le jour précédent, et ils étaient guéris. Et les voilà venir, les–les gens qui avaient été dans ces fauteuils et tout, sur une distance des pâtés des maisons, suivant derrière. Ils étaient tous d’un même accord, passant mon hôtel, chantant: «Crois seulement, tout est possible.» dans leurs langues maternelles. Là, nous avons enregistré trente mille purs indigènes qui ont reçu Christ comme leur Sauveur, en une fois.

55        Ce n’est pas par manque d’égard envers nos soeurs, mais voici ce que je n’arrive pas à comprendre quand je rentre dans notre pays. Chaque année, quand je vais ailleurs et que je reviens, je trouve que nos–nos femmes en Amérique se dévêtent davantage, tout en se disant quand même chrétiennes et en chantant dans les chorales.

56        Et ces femmes se tenaient là, plusieurs d’entre elles ne portaient qu’un petit chiffon, don du Club 4-H. Et à la minute où elles ont reçu Jésus-Christ comme leur Sauveur, personne n’a eu besoin de leur dire qu’elles étaient nues. Elles ont croisé leurs bras comme ceci, pour s’éloigner de la présence des hommes qui se tenaient là.

57        Si la Présence de Jésus-Christ a apporté cette connaissance à une femme qui n’avait jamais rien su à Son sujet, et qui L’a juste reçu comme Sauveur, et cela l’a amenée à reconnaître qu’elle était nue, qu’est-ce que cela devrait faire ici à un–un peuple qui est supposé être civilisé, et–et supposé avoir le baptême du Saint-Esprit, et qui chaque année ne cesse de se dévêtir? Au... Je pense qu’il y a quelque chose qui cloche quelque part. Peut-être que c’est moi qui ai tort; si c’est le cas, il y a quelque chose qui cloche dans la Parole. Je crois que le Saint-Esprit amènera une personne à porter des vêtements plutôt qu’à les ôter.

58        Maintenant, ouvrez avec moi dans Matthieu, chapitre 12, du verset 38 au verset 42, juste une Ecriture un peu familière, comme nous lisons. Ecoutez attentivement maintenant.

          Alors quelques-uns des scribes et des pharisiens prirent la parole, et dirent: Maître, nous voudrions te voir faire un miracle.

          Il leur répondit: Une génération méchante et adultère demande un miracle; et il ne lui sera donné d’autre miracle que celui du prophète Jonas.

          Car, de même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre d’un grand poisson, de même le Fils de l’homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre.

          Les hommes de Ninive se lèveront, au jour du jugement, avec cette génération et la condamneront, parce qu’ils se repentirent à la prédication de Jonas; et voici, il y a ici plus que Jonas.

          Et la reine du Midi se lèvera, au jour du jugement, avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon; et voici, il y a ici plus que Salomon.

59        S’il faut considérer cela comme un sujet, j’aimerais prendre ces sept derniers mots [en anglais: cinq mots]: Il y a ici plus que Salomon.

60        Nous voyons ici que Jésus était en train de faire des reproches aux gens. Il était en train de réprimander ces villes où Il avait été, et où Il avait prouvé aux gens qu’Il était le Messie, juste comme Il était en train de nous le montrer hier soir. Et tout leur enseignement c’était pour amener les gens à croire que ce serait cela le signe messianique. Et c’était même le cas pour cette petite femme dont nous avons parlé hier soir, la femme au puits, elle qui, dans sa condition adultère, en savait pourtant plus au sujet de Dieu, et elle L’a reconnu plus que les scribes et les pharisiens.

61        Car, lorsqu’ils virent cela être fait, ils ont déclaré que c’était un quelconque esprit, et ils ont dit: «C’est Béelzébul.» Béelzébul était le prince des démons, un esprit, un démon. Et ils disaient qu’Il faisait cela par du spiritisme, comme un diseur de bonne aventure. Et n’importe qui sait que la bonne aventure est du Diable. Et ainsi, ils ont accusé notre Seigneur de faire cela.

62        Et Il a dit: «Si vous M’appelez Béelzébul, ce sera pardonné. Mais si vous parlez contre le Saint-Esprit, quand il sera venu, alors il n’y aura point de pardon pour cela, parce que vous traitez l’Esprit de Dieu, qui fait ces oeuvres, d’esprit impur.’ C’est un blasphème contre le Saint-Esprit.»

63        Ma mère me disait souvent, quand j’étais un petit garçon, que le blasphème contre le Saint-Esprit, c’était de commettre un suicide. Eh bien, ce n’est pas ça. Voyez? La Bible enseigne que le blasphème contre le Saint-Esprit, c’est–c’est parler contre le Saint-Esprit. Blasphémer, c’est parler en mal. Et quand vous voyez le Saint-Esprit faire quelque chose, et que vous vous en moquez, vous avez traversé la ligne de démarcation et vous ne saurez plus revenir. Cela ne vous sera jamais pardonné.

64        Ainsi Jésus le leur avait dit, et Il leur disait qu’Il était–était en train de confirmer la Parole, attestant qu’Il était le Messie. Et ils auraient dû le savoir, parce que leur conducteur, Moïse, leur avait dit: «L’Eternel, votre Dieu, vous suscitera un prophète comme moi.»

65        Et alors, quand ils ont vu ces choses arriver, ils ne croyaient toujours pas en Lui. Pas parce que... Je–je crois qu’ils croyaient en Lui, mais ils ne voulaient pas le confesser, à cause de leurs traditions, parce que les pharisiens avaient dit: «Quiconque, homme ou femme, L’acceptera sera immédiatement être exclu de la synagogue.» Et ils aimaient leurs traditions plus que la Parole confirmée de Dieu.

66        Et à ce propos, le temps n’a pas beaucoup changé. Vous savez, Dieu prend Son homme, mais jamais Son Esprit. Satan prend son homme, mais jamais l’esprit. Il revient juste sur quelqu’un d’autre, et continue carrément. Et nous trouvons donc cela dans toutes les générations, à peu près la même chose.

67        Et Jésus s’était clairement fait connaître. Il a dit: «Si je ne fais pas les oeuvres de Dieu, alors ne Me croyez pas. Mais si Je fais les oeuvres de Dieu, alors croyez aux oeuvres.»

68        Et nous voyons donc tout ceci, et malgré tout ils ne croyaient pas. Et ils sont allés auprès de Lui, après qu’ils avaient vu toutes ces choses, et puis ils ont dit: «Maître, nous cherchons à voir un signe venant du Ciel.»

69        Eh bien, nous voyons la même catégorie des gens qui veulent dire: «Bien, les miracles n’existent pas. Laissez-moi voir cela se faire. Que je le voie de mes yeux. Que je l’examine.» Eh bien, il n’y a absolument pas d’espoir pour cette personne. Car, si jamais vous êtes sauvé, c’est un miracle. Vous ne pouvez que... Vous devez croire Dieu. Vous ne pouvez pas expliquer un miracle.

70        Que serait-il arrivé si Moïse avait dit: «Je crois que je vais arracher quelques feuilles, qui sont en feu, et les amener au laboratoire pour les faire examiner, et découvrir ce qu’il y a, pourquoi elles ne se consument pas.»? Dieu ne lui aurait jamais parlé.

71        Mais il–il–il était... il reconnaissait que c’était un miracle, le fait que les feuilles, l’arbre, ne se consumaient pas. Ainsi il s’est approché pour parler à cela, et pour ôter ses chaussures, et s’humilier devant cela. Et Dieu lui parla en retour.

72        Maintenant, si nous faisons la même chose, Dieu va nous parler en retour. Mais vous devez reconnaître que c’est Dieu. Et la seule manière pour vous de pouvoir obtenir quelque chose de Dieu, c’est de croire en Lui. «Celui qui s’approche de Dieu doit croire qu’Il existe.»

73        Maintenant, si nous voyions se faire des choses qui ne sont pas scripturaires, alors vous auriez de quoi vous poser des questions. Mais quand cela est tout à fait prouvé par les Saintes Ecritures et qu’ensuite c’est confirmé par le Dieu qui a écrit les Saintes Ecritures et fait la promesse, alors nous devrions ôter nos chaussures, pour ainsi dire, et dire: «Ô Seigneur Dieu, me voici.» Voilà ce que nous devrions faire.

74        Et ce qu’ils... Au lieu de cela, ils sont venus et ont dit: «Nous voudrions voir un miracle.» Maintenant, tout le monde cherche des miracles.

75        Nous découvrons que même le Diable, quand il a vu Jésus affamé, il a dit: «Si tu es le Fils de Dieu, ordonne à ces pierres qu’elles deviennent des pains.» Voyez? «Si tu es», il n’était pas sûr. Mais il voulait qu’Il fasse un miracle pour que lui le voie. Maintenant, c’est exactement ça. Voyez?

            Vous croyez à un miracle. Croyez pour voir un miracle.

76        Alors nous voyons que, dans le prétoire, alors que nous savons qu’Il discernait et qu’Il pouvait révéler les pensées des gens, Il savait qui Le touchait. Et toute Sa vie était–était une forme des miracles, et Il ne s’en attribuait pas le mérite. Il disait: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres. C’est Mon Père qui demeure en Moi qui fait les oeuvres. En vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même. Mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils le fait pareillement.» Voyez? Il attribuait tout le mérite à Dieu. Et Il était là, allant partout, accomplissant ces oeuvres.

77        Et puis, après tout cela, après qu’ils L’eurent conduit dans le prétoire, ils Lui ont mis un bandeau sur le visage, comme ceci, et ils ont pris un bâton de ces soldats ivres. Ils se tenaient là, Le frappaient sur la tête, et ensuite, ils se passaient le bâton l’un à l’autre, et ils disaient: «Si donc Tu es Prophète, prophétise et dis nous qui T’a frappé. Nous allons Te croire.» Il savait qui c’était.

78        Mais, vous voyez, un homme de Dieu, ou un serviteur de Dieu ne fait pas le clown pour le diable. Voyez? Ils ne sont pas obligés de faire cela.

79        Vous avez entendu les gens dire: «Eh bien, s’il existe... Vous qui croyez dans la guérison divine, je connais un endroit où il y a un homme malade. Allez là à l’hôpital, il y en a tout un groupe.»

80        Ce serait probablement comme ce même groupe-là, quand l’aveugle Bartimée est sorti, et que ces gens se moquaient de Jésus, disant peut-être: «Hé! nous avons entendu que Tu guéris, que Tu ressuscites les morts. Nous en avons tout un cimetière plein par ici, des saints. Va les ressusciter, si Tu ressuscites les morts.» Voyez, ce même vieux démon critiqueur.

81        Quand Il était suspendu à la croix, ils ont dit: «Si Tu es le Fils de Dieu, descends de là, et nous croirons en Toi.» Voyez? Il aurait pu le faire. Ils Lui ont fait un compliment sans le savoir. Ils ont dit: «Il a sauvé les autres. Et Il ne peut se sauver Lui-même.» Certainement que non. S’Il s’était sauvé Lui-même, Il n’aurait pas pu sauver les autres. Ainsi, Il s’est donné Lui-même afin de sauver les autres. Je suis heureux qu’Il ait fait cela. Certainement. Voyez? Maintenant nous Le voyons là, vous voyez.

82        Mais c’est ce même vieil esprit: «Fais quelque chose ici. Que je le voie être accompli.» Eh bien, Dieu ne pouvait pas opérer là où se trouvait une telle chose.

83        Une fois Jésus est allé parmi une multitude de gens, et Il a dit, concernant une fille qui était morte, qu’elle était simplement endormie, et ils se sont moqués de Lui. Et Il les a fait tous sortir de la maison avant qu’Il la ressuscite. Voyez? Il devait le faire.

84        Une fois Il a pris un aveugle, l’a conduit hors de la ville et a craché sur les yeux de ce dernier, en vue de... Il l’a éloigné de la foule.

85        Là où il y a l’incrédulité, Dieu ne peut pas opérer. Vous devez avoir la foi. Si nous pouvions adopter cette attitude ce soir, dissiper tout doute, croire chaque Parole de Dieu et être conscient que Jésus-Christ est vivant et que c’est Lui qui se manifeste, alors, je vous assure, les journaux écriront de gros titres à–à Tucson le matin. Que se produirait-il dans cette salle, si vous pouviez seulement être d’un même accord?

86        Mais ces hommes qui avaient vu se faire toutes ces choses, et qui en avaient entendu parler, de la chose, ils devaient donner une réponse à leur congrégation. Ils devaient dire que c’était telle chose. La chose était accomplie. Et ils ont dit: «C’est Béelzébul.» Et ainsi, ils sont venus là, ils ont di: «Maintenant, nous cherchons un miracle. Nous cherchons un signe venant du Ciel, nous cherchons un signe venant de Toi.» Il avait déjà accompli tant de miracles, alors Il n’a pas... il n’y a aucune Ecriture qui dise qu’Il ait fait des miracles.

87        Eh bien, dans tous les âges, Dieu n’a jamais manqué de témoin. Parfois Dieu ne s’est rabattu que sur un seul homme. Mais Il a toujours eu un témoin, quelqu’un qui croyait en Lui, quelqu’un qui pouvait croire au surnaturel, quelqu’un qui pouvait croire Dieu, juste comme c’est écrit et juste ce qu’Il est. Et ici Il s’est référé à de telles gens, comme nous le voyons. Dans tous les âges, Il a eu Son témoin partout.

88        Maintenant, Il s’est référé ici, dans un passage, à «Jonas», comme on l’appelle ici, mais nous l’appelons «Jonah». Et beaucoup de gens critiquent Jonas, et disent: «Oh! le vieux Jonas!» Vous avez entendu parler de ce nom. Mais je veux–je veux prendre position pour Jonas, un petit moment.

89        Jonas n’était pas en dehors de la volonté du Seigneur. Jonas était bien dans la volonté du Seigneur. Il était un prophète. Il est fait référence à lui, et il est appelé dans la Bible: «Le prophète Jonas.» Et il n’était pas en dehors de la volonté de Dieu. Il y a quelque temps, j’ai lu un petit... quelques commentaires là-dessus, comme une histoire.

90        Eh bien, Jonas avait réellement reçu l’ordre du Seigneur d’aller à Ninive, une ville ayant quatre ou cinq fois la superficie de cette ville-ci. Et là-bas, cette ville était la grande ville commerciale du monde. Ninive avait, à l’époque, beaucoup rétrogradé. Et–et les gens pratiquaient la pêche dans la mer. Et ils étaient éloignés de la véritable Parole vivante de Dieu et avaient commencé à adorer les animaux et–et les monstres marins, et que sais-je encore. Ils vivaient dans une corruption horrible. Dieu lui a dit: «Descends à Ninive.»

91        Et nous voyons qu’il est descendu au bord de la mer et a pris un bateau à destination de Tarsis. Maintenant, quelqu’un croirait là qu’il a fait juste ce que Dieu lui avait dit de ne pas faire.

92        Examinons un peu si les pas des justes ne sont pas ordonnés par l’Eternel. Et si nous Lui faisons confiance de tout notre coeur, même si nous commettons une erreur, Dieu fera concourir cela pour Sa gloire.

93        Jonas! Nous voyons, là sur la mer, que les tempêtes ont commencé à faire rage, et le bateau a commencé à être ballotté, et tout espoir d’être sauvé était parti. Et Jonas avait probablement prêché quelques soirs avant cela, et il était fatigué. Et il était en bas dans la coque du bateau, prenant une petite sieste, un petit somme en quelque sorte. Et ils sont descendus et lui ont dit: «Réveille-toi, espèce de paresseux, et invoque ton Dieu!»

94        Et Jonas a dit: «Maintenant, je vais vous dire ce que je veux que vous fassiez. Je veux que vous me liiez les mains derrière ainsi que les pieds et me jetiez hors du bateau.» Et il dit: «Alors le bateau va cesser d’être ballotté, le bateau–les vagues ne feront plus ballotter le bateau, autrement dit, si vous pouvez me jeter simplement par-dessus bord.»

95        Alors, vous voyez, quand ils ont fait cela, quand ils l’ont jeté par-dessus bord, Dieu avait préparé un gros poisson, que nous croyons être une baleine.

96        Et maintenant, cela est contesté par la science. Tenez, il y a quelques années, j’étais à Louisville, dans Kentucky, juste en face de Jeffersonville où j’habite, dans l’Indiana. C’est seulement la rivière Ohio qui sépare les deux villes. Et on avait une baleine là, le squelette d’une baleine, sur un–un wagon en plateforme. Et un homme se tenait là, qui faisait un exposé sur cette baleine. Et il a dit: ... Eh bien, il s’est présenté là. J’ai pensé: «Je me demande s’il... Que va-t-il dire?»

97        Il parlait de la dimension de sa bouche, montrant qu’un homme pouvait facilement entrer en marchant dans sa bouche, et il a dit: «Vous connaissez cette histoire de la Bible qu’on raconte,» avec un très large sourire d’opossum sur le visage. Et il a dit: «Vous savez, on dit que la baleine a avalé Jonas.» Il a dit: «Je veux que vous sachiez que cela ne pouvait pas se faire.» Il a dit: «Parce que, si vous remarquez la gorge de la baleine, a-t-il dit, même... elle ne pourrait même pas faire passer une–une balle de quatre pouces [10 cm] dans son oesophage, dans sa gorge.» Il a dit: «C’est tout simplement un mythe.»

98        C’était trop pour mon tempérament irlandais de supporter cela. J’ai dit: «Excusez-moi. C’est bien vrai.»

99        Il a dit: «Monsieur, a-t-il dit, voici une baleine, a-t-il dit, et c’est un grand spécimen de baleine.» Il a cité son nom. Il a dit: «Passez là derrière, si vous voulez être convaincu, et mesurez la gorge par laquelle il serait passé, et dites-moi si un homme adulte pourrait passer par cette gorge.»

100      J’ai dit: «C’est seulement parce que vous êtes un incroyant.» J’ai ajouté: «Celle-ci était une baleine ayant une constitution spéciale. Dieu a dit qu’Il avait préparé un poisson. Elle était spéciale, elle avait été préparée. Il peut en préparer une qui pourrait avaler tout un wagon en plateforme, s’Il le voulait. Il est Dieu.» Oui–oui. C’est donc vrai. Dieu fait ce qu’Il veut. Et moi, je crois que–que–que la baleine avait bel et bien avalé Jonas.

101      C’est comme la petite fille qui revenait un jour du tabernacle...

102      Elle était un peu... presque comme le cas de ce petit polisson d’hier soir, ou de ce soir, avec des cheveux ramenés ici en arrière, vous savez. Sa petite... Je trouvais qu’elle était mignonne. La petite chanteuse, je ne pense pas... Elle est obligée d’écouter. J’espère que je ne blesse pas ses sentiments.

103      Mais elle était vraiment mignonne. Et cette petite fille venait d’être sauvée, et elle avait sa Bible sur le coeur, elle chantait.

104      Il y avait là un vieil infidèle qui habitait là-haut sur la route, dans une petite ville appelée Utica, dans l’Indiana. Et cet homme lui dit: «Qu’est-ce qui te rend si heureuse ce matin?» Elle dit: «Eh bien, je viens de trouver Jésus.»

105      Il dit: «Comment sais-tu que tu L’as trouvé?» Il dit: «Qu’est-ce que tu as dans ta main, un livre de prière?»

            Elle répondit: «Non, c’est une Bible.»

            Il dit: «Je suppose que tu La crois?»

            Elle dit: «J’En crois chaque portion.»

106      Et l’homme dit: «Tu crois cette histoire qui s’y trouve, concernant Jonas et la baleine?»

            Elle dit: «Oui, monsieur. J’en crois chaque Parole.»

            Il dit: «Ah! ce n’est pas vrai, chérie. Ne crois pas cela.»

            Elle dit: «Mais je crois que c’est vrai.»

107      «Eh bien, maintenant, dit-il, comment vas-tu prouver que c’est la vérité en dehors de la foi, comme vous l’appelez?»

108      «Eh bien, dit-elle, quand j’arriverai au Ciel, je vais le demander à Jonas.» Ainsi...

109      Et l’infidèle continua et dit à la petite fille: «Et si Jonas n’est pas là-bas?»

110      Elle dit: «Alors c’est toi qui devras le lui demander.» Il en est donc à peu près ainsi, vous savez. S’il n’est pas là-bas, on sait où il est.

111      Ainsi, c’est très exactement comme la Bible le déclare. Si la Bible disait que Jonas a avalé la baleine, je le croirais, si c’est la Bible qui le disait. Ainsi, je crois que toutes ces choses sont la vérité, chaque Parole de cela, chaque portion de la Bible.

112      Et beaucoup de gens s’en prennent à Jonas. Maintenant nous, en tant que chrétiens... étant donné que nous sommes en train de parler de lui, comme l’un des personnages ici auxquels Jésus s’est référé. Longtemps, bien des années avant Christ, il était un signe pour cette génération-là. Et réfléchissons juste sur lui une minute.

113      Il était là, les mains liées derrière, et les pieds liés aussi. Et la baleine était en train de rôder dans les eaux, pour trouver quelque chose à manger. Eh bien, quand un poisson a mangé, nous savons qu’il va droit au fond et se repose, ces nageurs, au fond de–de l’océan.

114      Donnez à manger à votre petit poisson rouge, et observez-le. Dès que son petit ventre est plein, il va descendre droit au fond du bocal pour se reposer un moment. Il a mangé, juste comme n’importe quel autre animal.

115      Le lion d’Afrique, quand il... Il rôde jusqu’à ce qu’il trouve quelque chose à manger, et il tuera n’importe quoi. Il va dévorer sa proie à belles dents tout de suite, comme je ne sais quoi. Ainsi, mais après–après avoir mangé, il ira se coucher. Et vous pourriez carrément lui marcher dessus; il ne vous inquiétera pas. Il peut se lever et rugir, un jeune lion, ou vous chasser, mais il a déjà mangé. C’est tout. Il utilise sa grande force juste pour tuer, pour manger.

116      Et le poisson après qu’il eut mangé, descendit donc au fond de la mer. Et il avait, je pense, l’estomac bien rempli. Il avait là dans son ventre ce prophète qu’il avait avalé. Et j’ai toujours eu en quelque sorte pitié de lui, parce que vous...

117      Les gens disent toujours: «Eh bien, Frère Branham, j’avais une main estropiée, et on a prié pour moi, il y a de cela une semaine. Frère Untel, mon pasteur, a prié pour moi, et franchement je ne me porte pas mieux.» Vous ne vous porterez jamais mieux, aussi longtemps que vous regarderez à cette main. Vous ne pouvez pas regarder à la main. Vous devez regarder à la promesse. Vous regardez toujours et dites: «Eh bien, j’ai un ulcère d’estomac, et cela continue à me brûler.» Cela n’a rien à voir avec la chose. Vous devez croire. C’est ce qui accomplit la guérison; c’est votre foi. Voyez?

118      Maintenant, écoutez. Vous parlez des symptômes? Jonas en avait vraiment, des symptômes. Ecoutez bien. Disons qu’il était rétrograde. Et le voilà dans le ventre de la baleine, peut-être à quarante brasses [64 m] au fond de l’océan, par un temps d’orage sur l’océan, et baignant dans les vomissures jusqu’au coup; et quand il a regardé tout autour, les algues l’enveloppaient, de toute part. Et qu’il se tournait de ce côté, c’était le ventre de la baleine; de ce côté-là, c’était le ventre de la baleine; de ce côté-ci, c’était le ventre de la baleine. Où qu’il regarde, ce n’était que le ventre de la baleine. Eh bien, pour ce qui est des symptômes, il en avait vraiment. Il n’y a personne ici qui soit en si mauvaise posture, ce soir. J’en suis sûr.

119      Mais vous savez ce que Jonas a dit? Il a dit: «Ce sont des vanités mensongères. Je ne regarderai pas à cela, mais une fois encore je regarderai à Ton saint temple.» Voilà. Il a refusé de voir le ventre de la baleine. Il a refusé de voir les symptômes.

120      Pourquoi? Il savait que lorsque Salomon avait consacré ce temple à Dieu, quand la grande Colonne de Feu et la Nuée étaient suspendues là dehors, Elle est (la prière de Salomon) passée par-dessus et est descendue là, et Elle a trouvé son lieu de repos là où était l’Arche de l’alliance. Et quand–quand Salomon a prié, il a prié comme ceci: «Seigneur, si Ton peuple se trouve quelque part dans les difficultés et regarde vers cette sainte montagne, ou ce lieu saint, et prie, alors exauce des Cieux. Et Jonas avait confiance que Dieu avait exaucé la prière de Salomon, parce que celui-ci était un serviteur de Dieu.

121      Et s’il pouvait avoir une telle foi dans la prière d’un homme qui consacrait un temple terrestre (et l’homme qui a offert cette prière a finalement rétrogradé dans sa vie) et si, dans ces circonstances, avec ces genres des symptômes, il pouvait avoir une telle confiance que Dieu exaucerait sa prière, à combien plus forte raison devrions-nous, ce soir, nous qui sommes assis dans la Présence de Jésus-Christ ressuscité, détourner nos regards de nos symptômes, pour regarder au Ciel même où Jésus est assis à la droite de Dieu, avec Son propre Sang, pour intercéder sur base de notre confession! Pendant qu’il y a des milliers autour de nous et à travers le monde, où de grands réveils de guérison éclatent en ce moment, juste en ce moment précis il y a des gens qui reçoivent la guérison à travers le monde. L’heure a sonné.

122      Or, nous, nous regardons à nos symptômes! Honte à nous. Pourtant Jonas, dans ces circonstances-là, a pu détourner son regard de ses symptômes. Il a dit qu’il a refusé de les considérer. Il a dit: «Ce sont des vanités mensongères. Je vais regarder en direction de Ton saint temple.»

123      Ô Dieu, donne-nous des hommes et des femmes qui ont une foi rude, qui ne regarderont pas aux symptômes ni à quoi que ce soit que le diable vous passe! Rendez-lui cela. Dites: «Je crois dans la résurrection de Jésus-Christ. Je crois dans Sa puissance toute suffisante. Je crois que Sa Présence est ici maintenant pour me libérer de toute servitude dans laquelle Satan m’a gardé. Et je regarde au... où il est assis, à la droite de Dieu, toujours vivant pour intercéder en ma faveur.»

124      Avec Son propre Sang, comme Souverain Sacrificateur, Il est assis là, sur cela. A combien plus forte raison devrions-nous regarder au Lieu saint de Dieu, où Jésus Lui-même, notre Médiateur, le seul Médiateur entre Dieu et l’homme, se tient avec Son propre Sang, pour intercéder sur base de notre confession! Amen. Ne soyez pas... Amen signifie «ainsi soit-il». Je le crois de tout mon coeur. Remarquez.

125      Vous savez ce que Dieu a fait? Cela laisse les hommes de science perplexes. Il... Je ne sais pas si Dieu avait placé un réservoir à oxygène là au fond de la mer ou pas, ou ce qu’Il avait fait, mais cet homme est resté vivant pendant trois jours et trois nuits, dans le ventre de cette baleine. Je ne sais pas ce qu’Il avait fait. Mais Il lui fit faire un voyage gratuit, tout du long depuis Tarsis, pour reprendre le chemin de Ninive.

126      Et vous savez, les commerçants de cette ville, leur activité principale était la pêche. Et un jour, comme... Ils adoraient la baleine, comme «le dieu de la mer», le plus grand monstre de la mer. Quand tous les hommes étaient dehors, un jour vers onze heures, ramenant leurs filets, voilà sortir «le dieu de la mer,» qu’ils avaient adoré. Il se précipita sur le rivage, tira sa langue, et le prophète sortit directement de sa bouche en marchant. Leur propre dieu cracha le prophète. Il n’est pas étonnant qu’ils aient cru en lui. Dieu avait produit la chose pour eux. Et ce n’est pas étonnant qu’ils se soient repentis, et qu’ils aient mis des sacs sur leurs animaux. Ils ont cru son message. Dieu sait comment faire les choses.

127      Regardez ce que Jésus a dit ici à propos de Jonas, voyez, à son propos. Il a dit: «Une–une génération méchante et adultère demande un miracle.» Je pourrais éprouver un tout petit peu votre foi sur ce point, mais je crois qu’Il faisait allusion à cette génération-ci. Je vais vous dire pourquoi. Parce que nous savons que ceci est une génération méchante et adultère.

128      Depuis Sodome, il n’y a jamais eu un temps où l’homosexualité et la perversion battent leur plein comme c’est le cas aujourd’hui. Vous devriez aller à mon bureau et lire les courriers venant des mères de la Californie et d’ailleurs, concernant la vie que mènent leurs garçons. Oh! c’est terrible! Et j’ai pris un journal ici, il y a quelques années, pendant qu’on survolait Los Angeles, et il y était dit que–que le grand péché de Sodome était tellement en recrudescence là-bas que cela avait augmenté de vingt pour cent par rapport à l’année précédente. Et la chose s’est répandue, même chez les membres du gouvernement, et c’est partout. Le péché!

129      C’est parce que les femmes se sont elles-mêmes rabaissées. Elles en sont elles-mêmes la cause. Et elles sont–elles sont devenues si légères. Autrefois, on ôtait le chapeau devant une femme dans la rue. Et maintenant, si vous le faisiez, elle vous rirait au nez. Voyez? Vous–vous... Nous nous sommes rendus un tas de corruption, nous rendant nous-mêmes si vils.

130      Maintenant nous remarquons que... nous voyons que Jésus avait dit: «Une génération méchante et adultère demande un miracle, et il lui sera donné un miracle. Car, de même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre de la baleine, de même le Fils de l’homme sera trois jours et trois nuits dans le... sera dans le sein de la terre.»

131      De quoi parlait-Il? D’une génération méchante et adultère qui recevrait le miracle de la résurrection de Jésus-Christ. Et c’est ce qui nous arrive. Nous savons ce soir qu’Il n’est pas mort, mais qu’Il est vivant pour toujours, et qu’Il est avec nous.

132      En ce temps caractérisé par un monde religieux, l’adhésion à l’église, le formalisme, et des choses que nous avons dans le monde aujourd’hui, avec des membres d’église tièdes, des moqueurs, qui font des railleries, «ayant l’apparence de la piété, mais reniant la puissance du Saint-Esprit», il nous est recommandé de nous détourner de tels hommes. En cette heure précise, de cette génération méchante et adultère, Jésus-Christ se lève dans la puissance de Sa résurrection pour prouver qu’Il vit éternellement, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Une génération méchante et adultère demande un miracle, et elle le recevra. Il leur sera donné ce miracle de la résurrection. Je pense que nous sommes vivants afin de le voir aujourd’hui.

133      Ensuite, il va se référer à la génération de Salomon, quand Salomon vint sur la scène. Maintenant, nous savons tous, en tant que frères prédicateurs et lecteurs, que cela était–cela était presque le millénium pour Israël. C’était l’âge d’or d’Israël. C’est dans cet âge-là qu’ils ont bâti le temple. Ils n’avaient point de guerres.

134      Salomon était un homme qui avait un don. Dieu lui avait donné un grand don de discernement. Et tout le monde dans le pays, d’un seul coeur et d’un commun accord, croyait dans ce don. C’était le sujet de la conversation du monde, partout. Tout le monde les craignait parce que–qu’ils savaient qu’il y avait un Dieu vivant parmi eux.

135      Ne serait-il pas bien ce soir, si tous les Etats-Unis, si toute l’Amérique acceptait le don que Dieu nous a donné, le Saint-Esprit, et que d’un commun accord nous nous mettions d’accord là-dessus, et soutenions la chose, et–et juste comme ils l’ont fait en ce temps-là? Oh! quel âge d’or ce serait! Le grand don, «il y a ici plus que Salomon», mais nous n’honorons pas ce don comme ils l’ont fait au temps de Salomon.

136      Quand les gens ont vu ce grand don qui agissait en Salomon, tout le monde a cru, d’un seul coeur et d’un commun accord. La tribu de–de Juda, la tribu de Benjamin, et toutes les autres tribus, il n’y avait pas de divergences entre elles. Elles étaient d’un seul coeur et d’un commun accord. Elles se rassemblaient, et elles disaient: «Pensez simplement à notre Grand Jéhovah! Il nous a envoyé un don, et ça demeure dans un homme.»

137      Et de grandes choses, eh bien, la–la renommée de Salomon se répandit partout dans le monde. Et les autres nations lui payaient tribut, elles lui envoyaient des boeufs, des chameaux, et de grands dons d’or, et–et l’aidaient avec des pierres et tout, pour la construction du temple.

138      C’est ce dont l’Amérique a besoin ce soir; non pas de nouvelles adjonctions à la politique, non pas d’une nouvelle dénomination dans l’église; ce n’est pas de quelque chose de ce genre-là. Ils ont besoin de s’unir, en étant d’un commun accord, de croire et d’accepter le don du Saint-Esprit que Dieu nous a envoyé dans ces derniers jours, où des réveils des miracles de ce grand dernier jour ont éclaté à travers le pays.

139      Mais, dans n’importe quel âge, quand Dieu envoie un don à une nation, et que cette nation rejette ce don, cette nation sombre dans le chaos. Le savez-vous, il y a environ cinquante ans, la Russie, la bénédiction pentecôtiste éclata en Russie, il y a environ cinquante ou soixante-quinze ans, avant que cela éclate ici? C’est juste. Et ils ont rejeté cela, et vous voyez ce qu’ils sont devenus? N’importe quelle nation! Considérez l’Angleterre aujourd’hui; lorsque le grand réveil de Wesley, ces grandes reformes... Considérez les nations où de grands réveils ont éclaté, quand les gens ont rejeté cela, ce qui leur est arrivé.

140      Et toute nation qui reçoit la bénédiction que Dieu envoie, cette nation prospère.

141      Je vous le dis. Je crois, ce soir, que notre sécurité n’est pas dans la construction des abris antiaériens ou quelque chose du genre. Je crois que notre protection est faite de plumes. Sous Ses ailes, nous nous reposerons. Oh! oui!

142      Comment allez-vous entrer dans un abri antiaérien? Lorsqu’une de ces bombes éclate, elle fait un trou de cent cinquante miles carré [241 km²], et de cinq cents pieds [152 m] de profondeur, sous la terre. Eh bien, cela ébranlerait tous les os de votre corps et les désintégrerait, si vous étiez englouti en plein dans la lave.

143      Mais il y a un endroit sécurisé, et c’est en Jésus-Christ. «Sur ce Roc Je bâtirai Mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre Elle.» C’est cela la protection du croyant, juste sous Ses ailes, y demeurer en sécurité. Certainement.

144      Remarquez ce temps glorieux, si seulement les gens pouvaient croire ce que Dieu leur a envoyé! Mais, le rejeter, c’est sombrer dans le chaos. Et c’est ce que nous avons fait, en tant que nation, nous avons rejeté les bénédictions de Dieu, et nous les avons échangées contre la tradition. Mais Dieu a envoyé un témoin, et les gens ont manqué de voir cela.

145      Et je pense que les pentecôtistes, malgré le grand nombre de choses que Dieu vous a envoyées, nos églises restent cependant à moitié vides. Le pasteur ne peut pas le faire tout seul. Les laïcs doivent apporter leur aide en cela. Nous sommes tous des partenaires.

146      C’est ce qui a été à la base du chaos au début, au concile de Nicée. Ils voulaient, quand... La doctrine des nicolaïtes. «Nico» signifie «conquérir», et laïc signifie «priver les laïcs de leurs prérogatives et faire un saint homme».

147      Il ne s’agit pas d’un saint homme, d’une sainte montagne. Il s’agit d’un Dieu saint, d’un Dieu saint parmi les gens. Les laïcs ont une part dans cela. Nous sommes des enfants. Il n’y a pas de grands hommes parmi nous.

            Comment pouvez-vous avoir la foi quand vous désirez recevoir les hommages les uns des autres? Nous sommes tous un en Jésus-Christ. Il n’y a pas de grands hommes et de petits hommes. Nous sommes tous égaux. Nous sommes les enfants d’un seul Père, et nous sommes Ses enfants.

148      Maintenant nous remarquons que Dieu a fait de grandes choses pour cette nation. Il a envoyé un Tommy Osborn, un Oral Roberts, et–et beaucoup de grands hommes à travers le pays, Il a agité chaque petit don devant les gens.

149      Mais c’est juste comme un vieux marin qui, une fois, se rendait à la mer. Un homme lui a dit, ce vieux loup de mer... Il n’avait jamais... Cet homme, qui était un poète, avait consacré des écrits à la mer, et en avait parlé, mais il ne l’avait jamais vue. Ainsi, il descendait à la–à la mer. Et, oh! il a dit... Il a rencontré le vieux loup de mer. Et celui-ci a demandé: «Où allez-vous, mon brave monsieur?»

150      Il a dit: «A la mer, pour entendre les mouettes, voir ses vagues saumâtres et voir le ciel bleu se refléter dans l’eau.»

151      Le vieux loup de mer a tiré sur sa pipe quatre ou cinq fois, et a dit: «Je ne vois rien de passionnant à ce sujet. J’y suis né il y a cinquante ans.» Certainement. Il l’avait tellement vue que c’était devenu ordinaire pour lui.

152      C’est ça le problème qu’ont les pentecôtistes aujourd’hui. Il viendra un temps où ce privilège nous sera ôté. Alors vous réclamerez cela à grands cris, mais vous ne le trouverez pas. Voyez? Vous avez vu tant de choses.

153      Il n’y a pas longtemps, il y avait une femme ici à Louisville, dans le Kentucky. Elle avait un petit bébé, et elle allait çà et là avec ce petit garçon d’à peu près deux ans? Elle le tenait dans ses bras, et elle prenait de petits objets. Elle disait: «Regarde, mon chéri, regarde.» Et le petit enfant restait juste là, le regard fixe. Elle s’avançait vers un autre objet et disait: «Chéri, regarde ça.» Et les gens dans le magasin commencèrent à l’observer. Elle commença à devenir hystérique. Et elle prit une petite clochette, qui devrait attirer un petit garçon de son âge. Elle a dit: «Regarde, mon chéri. Regarde, regarde, regarde, mon chéri. Regarde, mon chéri, regarde.» Et le petit garçon restait simplement le regard fixe.

154      Et elle s’est effondrée sur le comptoir. Les gens ont accouru vers elle pour la relever et pour savoir quel était le problème. Elle a dit: «Mon petit garçon, a-t-elle dit, a simplement commencé à regarder fixement dans le vide.» Et elle a dit: «Je l’ai amené chez le médecin, et le médecin dit qu’il va mieux. Mais les choses qui devraient attirer un petit garçon de son âge ne l’attirent plus. Il semble simplement être aveugle en face de cela.»

155      C’est un peu comme cela qu’est l’église aujourd’hui. Dieu a agité devant l’église toutes sortes des dons qu’Il avait promis d’agiter, néanmoins nous restons à regarder fixement dans le vide. Voyez? «Messieurs, nous voudrions... Monsieur, Maître, nous désirons un miracle venant de Toi.» Voyez? «Maître, nous voudrions ceci.» Alors qu’Il a accompli toutes choses qu’Il avait promis d’accomplir dans la Bible. Nous sommes au temps de la fin.

156      Et bien vite, vous vous rendrez compte... vous direz: «Eh bien, n’est-il pas écrit que nous devrions avoir un enlèvement?»

157      Et il en sera comme ce fut le cas au temps de Jean-Baptiste. Ils ont dit: «N’est-il pas écrit dans les Ecritures qu’il devrait y avoir... qu’Elie viendrait premièrement?»

            Il leur dit: «Elie est déjà venu, et vous ne l’avez pas su.»

158      Un de ces jours, quand la tribulation va commencer, vous vous demanderez: «Ne devrait-il pas y avoir un enlèvement premièrement?»

159      Et la réponse sera: «C’est déjà passé, et vous n’en avez rien su.» Voyez? Cela viendra comme un voleur dans la nuit.

160      Je vous le dis, il est temps que les croyants mouchent leurs lampes, et qu’ils soient vigilants. Le temps de l’appel est proche. Nous ne devrions pas oublier cela.

161      Ils croyaient Salomon, tout le peuple d’un seul coeur et d’un commun accord, et ce n’est pas étonnant que le message soit allé partout.

162      Mais, aujourd’hui, si Dieu envoie quelque chose et que cela se manifeste dans une–une certaine dénomination, une certaine église, les autres n’auront rien à faire avec cela. Non, monsieur. Si cela se manifeste parmi les baptistes, ne vous attendez pas à ce que les méthodistes fassent quoi que ce soit. Si cela se manifeste parmi les pentecôtistes, attendez-vous à ce que tous ces deux groupes restent en dehors, car c’est ce qu’ils vont certainement faire. Voilà donc. Ça dépend du groupe d’où cela vient. Cela doit venir au travers de leur cercle, sinon ça ne vaut rien.

163      C’est la même chose que les gens pensaient quand Dieu a envoyé Jésus, ils pensaient qu’Il devrait L’envoyer au travers des pharisiens, ou des sadducéens, ou l’un de ces groupes. Mais Il L’envoya à eux tous, et non au travers de l’un de leurs groupes en particulier. C’est comme cela que Dieu agit. Il... juste... Voyez-vous, Il–Il n’est venu à aucun de leurs groupes. Il est venu et les a traités de faux jetons. C’est juste.

164      Et ainsi, nous découvrons que Dieu fait les choses à Sa propre manière. Et nous ne pouvons prendre une décision toute faite, et dire: «Ça c’est ma part, et vous n’y avait rien à faire. Si vous ne voyez pas au travers de mes lunettes, vous ne regardez pas du tout.» Non. Dieu a des lunettes au travers desquelles nous devrions regarder, c’est le Saint-Esprit. Alors le Saint-Esprit voit la Parole de Dieu et La croit, et Il aime et communie, et la couverture est assez large pour le voisin. Et vous comprenez ce que je veux dire.

165      Le monde se meurt parce qu’on a peu d’amour, et parce qu’il n’y a personne pour s’occuper des gens. C’est juste. Ils ont tellement vu de ces choses froides, raides et empesées. Mais, je vous assure, ce vieux cas de salut à l’ancienne mode fera qu’une–une robe en calicot et une robe en soie s’entourent des bras l’un et l’autre. Ça fera qu’un smoking et une salopette s’appellent «frère» l’un l’autre. Absolument. Cela fera carrément sortir de vous la raideur, quand vous recevez vraiment Christ dans votre vie, de la manière correcte. Certainement.

166      Maintenant, nous voyons que dans cet âge glorieux, la renommée de Salomon est allée partout, à travers toutes les nations, et les passants en ont entendu parler. Ils sont allés en parler dans d’autres pays. Et le–le seul moyen de communication qu’ils avaient à l’époque, ce n’était pas la télévision et les choses qu’on a aujourd’hui, et les journaux. Les nouvelles se transmettaient de bouche à oreille. Et leurs caravanes venaient passer par là, et ils achetaient des produits qu’ils emmenaient dans d’autres nations. Et finalement, sa renommée est parvenue jusqu’au-delà du désert du Sahara, dans une contrée appelée Séba.

167      Ici elle est appelée «la reine du Midi». Parlons d’elle quelques minutes. Elle était une petite reine païenne. Elle avait été élevée pour adorer des idoles.

168      Mais, vous savez, «la foi vient de ce qu’on entend, de ce qu’on entend la Parole de Dieu».

169      Et là-bas, la nouvelle arriva, disant que «Dieu, un Dieu vivant, habitait parmi Son peuple». Et son petit coeur commença à bondir de joie.

170      Et chaque fois qu’un voyageur passait par son royaume, pour faire le commerce des épices et de tout ce qu’ils avaient à échanger, et ainsi de suite, et des pierres précieuses, eh bien, elle les appelait au château, et leur demandait: «Etes-vous passés par la Palestine?»«Oui.»

171      «Vous êtes passés en Israël. Dites donc, je voudrais vous poser une question. Est-ce vrai que leur Dieu est parmi eux?»

172      «Oh! j’ai vu cela. Vous devriez voir cela. Eh bien, vous n’avez jamais rien vu de pareil. Leur Dieu est descendu, a oint l’un de leurs frères, et ils l’ont fait roi. Et, oh! cela... vous devriez voir l’unité de ce peuple! Ils sont tous d’un seul coeur et d’un commun accord. Et ce Dieu fait carrément pleuvoir les bénédictions. Et il a un grand et puissant don de discernement. Et il... Quand vous arrivez devant lui, c’est au-delà de la dimension humaine. C’est–c’est surnaturel, la manière dont il connaît les choses.»

173      Son petit coeur s’est mis à battre. «Il y a quelque chose de réel.» Elle voulait voir cela. Eh bien, cela continuait toujours. Et bien vite...

174      Vous savez, la foi vient de ce qu’on entend. Et quand Dieu se met à traiter avec le coeur humain, il se passe à l’intérieur quelque chose que vous ne pouvez simplement pas expliquer. Elle a commencé à avoir soif chaque jour. Elle voulait voir cela.

175      Vous savez, la Bible dit: «Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés.»

176      Maintenant, c’est ce que nous voyons. Illustrons un peu cela juste sous forme d’un drame, afin que les enfants puissent le saisir. Je peux m’imaginer qu’un jour elle a pris la décision qu’elle irait pour découvrir si c’était vrai ou pas.

177      C’est une bonne chose. Eh bien, c’est comme nous l’avons dit concernant Philippe hier soir: «Viens, et vois par toi-même.»

178      Elle avait peut-être commencé par acheter une–une Bible, l’Ancien Testament, avec les parchemins, les rouleaux. Et elle a commencé à lire, pour voir ce qu’était ce Dieu dont on parlait. Elle avait vu comment Il travaillait selon Sa nature.

179      Et ensuite, elle découvre que la nature et la vie même de ce Dieu étaient manifestées à travers un homme, se faisant Lui-même connaître à Son peuple, à travers les gens, ce qu’Il avait promis de faire. Eh bien, son coeur commença à désirer ardemment voir cela. Ainsi maintenant elle...

180      Un jour, elle eut l’idée qu’elle irait voir cela, elle-même.

181      Eh bien, c’est une bonne idée. Allez vous rendre compte, vous-même. Ne prenez pas ce que quelqu’un d’autre dit. Allez vous rendre compte. «Vous sondez les Ecritures,» a dit Jésus, «parce que vous pensez avoir en Elles la Vie Eternelle: ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi.» C’est exactement ce qu’Il a dit.

182      Remarquez maintenant. La petite femme a connu beaucoup d’obstacles pour le faire.

183      Maintenant, la première chose qu’elle devait faire, elle, elle a dû premièrement aller chez son prêtre païen pour obtenir la permission, parce qu’elle était une reine, une femme d’honneur. Et l’église d’état, vous savez, là-bas, devait le lui accorder. Ils devaient y accorder de l’attention, parce qu’elle allait devoir quitter sa propre religion, pour aller s’enquérir sur une autre dont elle ne savait rien, mais elle avait soif de la connaître. Ainsi, je peux m’imaginer qu’elle s’avance vers le saint père du temple païen, et elle dit: «Saint père, je désire... J’apprends que là en Israël, ils ont un–un Grand Dieu là-bas, qui se révèle à travers Son peuple. Ils accomplissent de grands signes, des prodiges et des miracles.»

184      Je peux entendre le prêtre dire: «Eh bien, ma fille, ce n’est qu’une bande de saints exaltés. Ne prête pas oreille à ça. Voyez? Maintenant, si quelque chose doit arriver, cela devrait se faire juste ici au sein de notre groupe. Tu vois la grande déesse Dagon et tous ces autres dieux par ici? Tu vois ces grands dieux que nous avons ici?» La petite reine a marché quelques minutes.

185      Vous savez, quand Dieu commence à traiter avec le coeur humain, il est difficile d’éloigner quelqu’un de cela à force de paroles. Voyez?

186      Elle a dit: «Mais, écoutez, mon seigneur.» Elle a dit: «On me dit qu’il se produit des résultats incontestables. Il se passe quelque chose, que Dieu utilise des lèvres humaines, avec une telle sagesse que cela surpasse toute personne connue. C’est insondable, la puissance que Dieu a donnée parmi Son peuple. Et ils sont tous d’un commun accord. Je veux aller voir cela.»

187      «Eh bien, dit-il, toi, tu vas ternir ton prestige, ma chère, si tu quittais cette église. Tu ne peux pas participer à ce réveil. D’ailleurs, nous ne parrainons pas cela.»

188      Mais, vous savez, je ne sais comment, si–si–si un coeur humain commence à avoir faim de Dieu, qu’il y ait un sponsor ou pas, vous y allez, de toutes les façons, voyez, quand–quand Dieu commence à traiter avec l’être humain. Et j’espère que vous ne pensez pas que je suis un critiqueur, mais je fais simplement remarquer quelque chose. Voyez?

189      Maintenant remarquez. Et aussitôt, eh bien, elle a dit: «Ecoutez. Eh bien, écoutez. Je suis dans ce temple depuis que j’ai été consacrée ici comme une petite fille. Ma mère a été consacrée ici. Ma grand-mère été consacrée ici. Vous m’avez tout dit au sujet de la puissance de ce dieu. Vous m’avez parlé de tous les livres que vous avez lus à son sujet. Et il n’a jamais fait un seul geste. Tout ce que j’ai vu, c’est un papier que vous lisez, juste un tas de crédos morts. Mais on m’apprend qu’il y a là-bas quelque chose de vivant.» Amen. Qu’elle était brave, cette petite reine! «Tout ce que je connais ce sont des crédos que j’ai récités ici. Je n’ai vu aucune oeuvre surnaturelle ni rien d’autre. Certainement, à travers certaines de notre génération, il y a eu un mouvement quelque part. Ce n’était qu’un peu d’émotion, pour nous faire tous entrer et adorer. Mais on m’apprend que c’est un Dieu vivant qui vit dans Son peuple. Et ça, c’est une statue.»

190      «Eh bien, écoute ceci, ma chère. Je vais te faire excommunier. Ton nom sera carrément effacé du livre si tu collabores avec ce groupe-là. Tu vois?»

191      Mais, cela lui était égal. Vous savez, elle avait connu beaucoup d’obstacles, mais sa foi n’en avait aucun.

192      Votre foi ne connaît point d’obstacles. Peu m’importe où l’on est, ce que c’est, peu importe qui s’oppose. Quand Dieu commence à traiter avec ce coeur humain, et que celui-ci commence à battre là à l’intérieur, disant que c’est la Vérité, et que vous trouvez que c’est la Vérité, rien ne va vous garder loin de Jésus-Christ. C’est juste. Vous allez partir, de toutes les façons.

193      Ainsi, peu importe combien de crédos il pouvait réciter, et combien il était bien instruit, et combien il pouvait s’incliner, et combien il pouvait se prosterner devant l’idole, cela ne changeait rien du tout pour elle. Elle avait soif de Dieu. Elle voulait se rendre compte, et elle n’allait pas être satisfaite avant qu’elle ne s’en rende compte, par elle-même. Elle avait vu dans les Ecritures, que c’est ce qu’Il était supposé être. Mais, maintenant, cela va-t-il marcher? C’est cela la chose suivante.

194      Vous pouvez parler de n’importe quoi, mais cela va-t-il marcher? Vous pouvez parler de toutes les mathématiques qui s’y rapportent, mais cela marchera-t-il? C’est la chose suivante. Maintenant nous découvrons quelque chose.

195      Maintenant, une autre chose qu’elle devait affronter. Eh bien, elle se disait que, si elle allait là-bas... Rappelez-vous, le désert était rempli des enfants d’Ismaël, et ils sont des cavaliers au pied léger et des brigands. Tout le désert était rempli de brigands en ce temps-là. Eh bien, la petite dame pensait: «Je vais monter là pour savoir si c’est la vérité. Je vais amener une offrande, et si c’est juste, je vais supporter cela. Si ce n’est pas juste, je pourrais ramener mon offrande.»

196      Les pentecôtistes devraient écouter cette femme. Vous apportez le soutien aux choses qui se moquent de vous. Vous laissez tomber votre propre programme radio, et toute autre chose de votre propre groupe. Très bien.

197      Elle avait du bon sens. Elle a dit: «Si je trouve que c’est la vérité, cela mérite tout pour moi. Mais si ce n’est pas la vérité, alors je saurai que ce n’est pas vrai. Je vais voir par moi-même. Et j’amènerai...» Elle a chargé des chameaux avec de l’encens, et–et de la myrrhe, de l’or, de l’argent, des aromates de grand prix, et–et des choses de valeur. Elle en a chargé des chameaux.

198      Et maintenant, rappelez-vous, elle n’y est pas allée à bord d’une Cadillac climatisée. Elle a dû y aller sur le dos d’un chameau, à travers le désert du Sahara.

199      Il n’est pas étonnant que Jésus ait dit qu’elle se tiendra devant cette génération-ci et la condamnera. Et certaines personnes ici peuvent savoir que la même chose est en train de se produire, mais elles ne traverseront pas la rue.

200      Mesurez la distance qui sépare la Palestine, qui sépare–qui sépare Jérusalem de l’endroit où elle était. Vous savez combien de temps cela leur a pris? Trois mois, à dos de chameau, à travers un désert brûlant. Et qu’est-ce qu’elle avait? Juste quelques eunuques et ses servantes qui l’accompagnaient. Probablement qu’elle devait voyager de nuit. La chaleur directe de ce désert du Sahara est terrible, elle vous brûle carrément. Et elle devait voyager de nuit.

201      Mais, vous savez, il y a quelque chose à ce sujet; quand votre coeur commence à avoir faim et soif de Dieu, vous ne ferez pas attention aux dangers ni à l’endroit. Le médecin peut dire que vous allez mourir d’un cancer. Mais si jamais votre coeur a la foi en Dieu, vous savez, vous allez oublier ce que le médecin a dit. Votre coeur ne connaîtra pas de peur, aussi longtemps qu’il est rempli de foi.

202      Elle s’en alla, voyageant de nuit, jour après jour, jour après jour, lisant ces rouleaux. «Eh bien, voyons ce que Jéhovah est, ce qu’Il était, ce qu’Il a promis, et ainsi de suite, ce qu’Il sera. Et je saurai si c’est Lui qui est dans cet homme. Je sais ce que sont les hommes. Et je crois que je connaîtrai ce qu’est ce Dieu, parce j’ai lu ce qu’Il était.»

203      Et laissez-moi dire ceci à Tucson ce soir, Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’est juste. Il ne peut pas changer. Les hommes changent. Le temps change. Mais Il est le Dieu immuable, avec un Message immuable. Cela ne peut pas être échangé contre des crédos. Cela ne peut pas être échangé contre des titres dénominationnels. Cela doit être la puissance de résurrection de Jésus-Christ dans la nouvelle naissance, par le Saint-Esprit. C’est cela l’exigence de Dieu. Il n’y a que ça, ni plus ni moins.

204      Eh bien, finalement, nous voyons qu’après toutes ses–ses difficultés et autres, son coeur avait soif. Et comme elle commençait à s’approcher de la ville de Jérusalem, je peux voir ses yeux s’illuminer. Et elle mit les rouleaux de côté, et elle a établi son camp juste en dehors, peut-être à la porte du palais quelque part, se préparant pour la réunion. Eh bien, peut-être qu’elle était arrivée au temps du soir.

205      Le lendemain matin, de bonne heure, elle s’est rendue à l’église où le pasteur allait prêcher. Et arrivée à l’église, elle a vu tout le monde prendre place, et la musique a commencé à jouer. Et après un moment, le pasteur Salomon est sorti. Peut-être qu’elle occupait un siège là tout au fond de l’église, mais elle voulait bien rester, pour voir ce qui allait être dit.

206      Elle n’était pas comme les gens d’aujourd’hui. Si vous dites une chose qui ne... avec laquelle quelqu’un n’est pas d’accord, les gens ne peuvent pas patienter pendant une seconde. Voyez? C’est donc la raison pour laquelle ils n’arrivent nulle part. Mais elle voulait être convaincue. Eh bien, elle n’était pas venue pour dire: «Je monterai simplement là,» comme le font les gens d’aujourd’hui, «et à la première déclaration que cet évangéliste fera, qui est un peu contraire à ma croyance, je me lèverai et m’en irai.» Voyez? Eh bien, peut-être qu’ils font cela. Voyez? Mais cela dénote une mauvaise éducation, en premier lieu, et cela dénote un manque de manière. Mais, quoi qu’il en soit, c’est ce que font les gens aujourd’hui. En effet, ils sentent qu’ils ne sont pas obligés de le faire. Ils ne le sont pas. Mais vous devez rencontrer Dieu, et vous allez devoir en répondre.

207      Maintenant nous découvrons que cette femme est arrivée, elle est allée, non pas pour rester juste pour un message, elle était allée pour rester jusqu’à ce qu’elle soit convaincue si c’était vrai ou faux. Et elle a pris place et a attendu.

208      Et alors la première personne s’est présentée devant Salomon. Elle remarqua que par la sagesse de ce discernement il fut révélé à cette personne avec une grande exactitude tous les secrets du coeur. Son coeur commença à bondir. Elle comprit qu’il y avait quelque chose de réel. Et le cas suivant est passé, et c’était la même chose. Elle commença alors à avoir soif, elle-même.

209      Les Ecritures nous disent qu’elle avait beaucoup de problèmes auxquels elle voulait avoir la réponse. Et quand elle est arrivée, finalement, elle avait peut-être obtenu une carte de prière. Peut-être que son numéro était appelé, pour ainsi dire, comme nous le dirions. Mais quand elle est arrivée devant Salomon, peu importe comment ça s’était passé, quand elle est arrivée devant Salomon, la Bible dit qu’il n’y eut rien qui resta caché à Salomon, qu’il ne sût lui révéler. Toutes les choses qu’elle avait cachées dans son coeur, Salomon les révéla par l’Esprit de Dieu. Et quand elle vit cela arriver, cela coupa presque le–le souffle à la petite reine.

210      Elle se leva parmi les gens, et elle dit: «Béni soit l’Eternel Dieu d’Israël. Béni soit l’Eternel Dieu qui a choisi Israël comme Son peuple, et qui a mis Son Esprit sur Son roi, et qui a manifesté cette sagesse!» Elle dit: «Heureux les hommes qui sont avec toi tout le temps, qui voient ce grand don opérer. Béni sois-tu, et heureux ceux qui te voient!» Elle voulait même prendre du sable de–de là en Israël pour l’amener dans son pays. Elle était pleinement convaincue que c’était Dieu. Et elle dit: «Tout ce qui m’a été dit au sujet de ces choses, il m’était difficile de savoir s’il fallait croire cela ou pas. Mais, eh bien, j’ai vu cela agir sur les autres, et maintenant cela a agi sur moi, et je sais que cela est vrai.»

211      Il n’est pas étonnant que Jésus ait dit: «Elle se lèvera au jour du Jugement et condamnera cette génération. Et, voici, il y a ici plus que Salomon.» Salomon était un homme ayant le don de discernement. Maintenant, Jésus-Christ est ici, rendu manifeste sous la forme du Saint-Esprit, avec–avec tous les dons divins dans tout le Corps de Christ. Toutes les choses qu’Il avait promises à l’Eglise, cela nous est manifesté.

212      Et certains d’entre nous font si peu cas de cela. C’est comme ça que sont certains d’entre nous: nous continuons à regarder dans le futur. Aussi longtemps que Satan peut vous amener à porter votre regard dans le futur à quelque chose qui est très éloigné, vous êtes en train de passer par-dessus la chose même que Dieu vous a donnée.

213      Ecoutez cette remarque. «L’homme loue continuellement Dieu pour ce qu’Il a fait, et s’attend à ce qu’Il fera, et ignore ce qu’Il est en train de faire.» C’est la nature des hommes. C’est ce qu’il a toujours fait, et c’est la même chose ce soir. L’homme regarde par-dessus, et regarde en arrière, et il voit ce que Dieu fait; et il parle d’un grand Dieu d’autrefois, là à la Pentecôte, et il attend un grand jour de Millénium, quand Il reviendra; mais il ignore la Présence de Sa Personne même parmi Son peuple, se préparant pour ce Millénium. Ils ignorent cela. C’est juste la nature des gens de faire cela.

214      Satan entre parmi eux pour aveugler leurs yeux à la chose même que Dieu leur a envoyée. C’est tout ce qu’il a à faire. Allez à l’église autant que vous voulez, faites tout ce que vous voulez, mais si nous ignorons les choses même que Dieu nous envoie, eh bien, nous–nous sommes reje-... rejetés.

215      Qu’est-ce qui poussa cette petite femme à dire cela? Elle avait vu quelque chose de réel. Elle avait vu quelque chose qui n’était pas juste un tas de crédos. Elle avait vu quelque chose qui était manifesté et qui était authentique.

216      Pour moi, tout ce qui est confirmé comme étant authentique est authentique. Je pense, aujourd’hui, que le monde entier devrait être intéressé. Si nous croyons que nous vivons au temps de la fin et croyons que la Venue du Seigneur Jésus est proche, nous devrions justement nous intéresser aux choses qui se déroulent ce jour-ci. Nous devrions examiner cela par la Parole de Dieu, parce que nous passerions juste à côté, ce serait passé et nous n’en saurions rien. Il en a toujours été ainsi.

217      Les gens n’avaient jamais reconnu les saints avant que ceux-ci ne soient morts. Ils n’ont jamais reconnu les prophètes avant que ceux-ci ne soient morts. Jésus a dit: «Hypocrites!» Il a dit: «Vous ornez les sépulcres des prophètes, et ce sont vos pères qui les y ont mis.»

            Ils n’avaient jamais reconnu saint Patrick avant que celui-ci ne soit mort.

218      Jeanne d’Arc, ils ne l’avaient jamais reconnue comme une sainte. L’Eglise catholique l’a brûlée sur le bûcher comme une sorcière, parce qu’elle avait des visions. Et ils ont traité cette femme de sorcière et l’ont brûlée sur le bûcher alors qu’elle implorait miséricorde. Deux cents ans plus tard, ils ont découvert qu’elle était une sainte. Evidemment, ils firent pénitence. Ils ont déterré les corps de ces prêtres et les ont jetés dans la rivière. La pénitence. Certainement.

219      Cela leur passe carrément par-dessus la tête, et ils ne le savent pas. C’est ainsi que Dieu fait les choses, pour faire sortir Ses enfants élus, et faire venir la condamnation sur le monde qui rejette Sa Parole et rejette Sa Présence.

220      Considérez tous ces ministres de l’époque qui voyaient le don de Dieu en Jésus-Christ, ils ont dit: «C’est un démon. Nous ne devons pas L’écouter. Nos prêtres ne sont pas d’accord avec cela.» Où sont-ils ce soir?

221      Et considérez cette petite pauvre femme de mauvaise réputation, cette petite semence prédestinée de Dieu brûlait en son coeur. Et aussitôt que cette Lumière a brillé sur son chemin, elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète, et je sais que le Messie viendra pour faire ces choses», voyez, aussitôt que la première chose a brillé sur cette petite semence prédestinée, dans son coeur.

222      Son nom était inscrit dans le Livre de Vie de l’agneau avant la fondation du monde. Et le vôtre aussi, si jamais il s’Y trouve. Voyez? C’est juste.

223      Et aussitôt que cette Lumière a brillé là, elle a compris que c’était l’heure qu’ils attendaient, la Venue du Messie; et c’était là ce que Celui-ci était censé faire. Et quand elle vit cela arriver, elle a su alors que c’était du Messie, et elle n’a plus douté de Lui. Elle est entrée dans la ville en courant, et a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit les choses que j’ai faites. N’est-ce pas le signe même du Messie?» Elle avait vu quelque chose de réel.

224      Cette petite reine avait vu quelque chose de réel. Cela change le coeur des gens.

225      Cela me rappelle quelque chose. Comme vous le savez tous, je–j’aime chasser. J’avais l’habitude de chasser là-haut dans les montagnes de l’Est. Pour terminer maintenant, je voudrais juste vous raconter ceci, un petit incident qui est arrivé. Oh! je–j’aime les couchers du soleil. J’aime la nature. J’aime entendre les cris. On tue tous ces coyotes et d’autres animaux. Comme j’aime les entendre brailler! Je–je–je–je... Il y a juste quelque chose là-dedans! J’aime cela. Et j’aime le grand air, la profondeur appelant la profondeur. C’est Dieu, pour moi. Entendre le murmure des pins et les cris des oiseaux, c’est Dieu qui est là-dedans, pour moi.

226      Maintenant, remarquez. Je montais souvent là pour chasser avec un ami qui s’appelait Burt. Il était un bon chasseur. Vous n’aviez pas à vous inquiéter à son sujet. Il était un fin tireur et un bon chasseur, et vous n’aviez pas à craindre qu’il se perde. Il savait où il se trouvait.

227      Une année, je suis arrivé là tard, pour chasser avec lui. Il n’y a qu’un défaut que je trouvais chez Burt. Il était un bon chasseur, mais il était l’homme le plus méchant que j’aie rencontré dans ma vie. Il avait des yeux comme un lézard; ses yeux étaient un peu bridés, vous savez, comme certaines de ces femmes qui se fardent les yeux aujourd’hui, au-dessus des yeux qui ressemblent à ceux d’un chat, et il avait... Il avait ce genre d’yeux, vous savez, des yeux plutôt bizarres. Et souvent il était si cruel. Il avait l’habitude de tirer sur les faons juste pour m’indisposer. Et il me disait souvent: «Oh! vous les prédicateurs, vous êtes une bande de peureux.» Voyez?

228      Et j’ai dit: «Burt, si la loi dit qu’il t’est permis de tuer un faon, c’est en ordre, car la–la taille ou le sexe de l’animal ne compte pas, si la loi dit que tu peux le faire.» Voyez? J’ai dit: «Il n’y a pas de mal à tuer un agneau. Abraham a tué un agneau et en a donné à manger à Dieu. C’est juste.» J’ai dit: «Il n’y a pas de mal à tuer un faon. Mais, Burt, tu le fais juste pour te montrer méchant. Tu en abats un, puis un autre, puis un autre. C’est méchant. Ce n’est pas correct de faire cela. C’est un meurtre.»

229      Il a dit: «Ah! Billy, ressaisis-toi. Tu es un peureux comme les autres prédicateurs.» Oh! il était cruel.

230      Mais ce jour-là, quand je me suis rendu là-haut, ma femme était avec moi. Nous sommes allés à la petite cabane, au pavillon là-bas, avec les femmes, et on s’est préparé. Et Burt et moi nous sommes partis ce matin-là. Nous emportions toujours une–une–une bouteille thermos remplie de chocolat chaud, et un sandwich. Et nous chassions jusque vers midi, et puis, nous nous séparions, en montant vers «la chaîne présidentielle», le mont Wilson, le mont Adams, et ainsi de suite. Et alors, nous nous séparions, revenions et regagnions le camp cette nuit-là. Nous chassions le cerf de Virginie, une très bonne espèce de cerfs. Ainsi nous ...

231      Cette année-là, il m’a dit, quand nous sommes partis ce matin-là, il a dit: «Dis donc, Billy, j’ai une surprise pour toi. Je vais les avoir cette année.»

232      J’ai dit: «De quoi s’agit-il, Burt?» Il a plongé la main dans sa poche et en a fait sortir un petit sifflet qu’il s’était fabriqué et qui résonnait exactement comme le petit d’une biche appelant sa maman. Vous savez, quand le faon appelle, il fait entendre ce petit bruit: «whii!»J’ai dit: «Burt, tu ne devrais pas utiliser quelque chose comme cela!»

233      Il a dit: «Oh! te voilà. Tu es toujours peureux, n’est-ce pas?» Et nous avons donc continué.

234      Et c’était plutôt vers la fin de la saison. Ces cerfs de Virginie, quand on leur tire dessus, quelques fois, oh! la la! vous parlez de se cacher! Houdini était un amateur. Oh! ils savent donc bien se cacher! Et ainsi donc, nous–nous avons marché jusqu’à 11 h 00. La neige au sol atteignait 6 pouces [15 cm] de hauteur. On ne voyait même pas des traces. Ils étaient vraiment bien cachés.

235      Ainsi, vers onze, douze heures, il y avait plutôt un amoncellement de neige, et une clairière à peu près de la dimension de cette salle-ci. Et Burt était juste en face de moi. Il s’est abaissé comme ceci, et il a plongé la main dans son manteau. Et j’ai pensé qu’il allait–que nous allions manger notre sandwich et qu’ensuite, nous pouvions nous séparer et regagner le camp, rentrer ce soir-là. Il était en train de chercher quelque chose là-dedans. Je pensais qu’il allait faire sortir sa bouteille, vous savez, qui contenait son chocolat chaud, ainsi j’ai plongé ma main pour prendre la mienne. Et alors, il a fait sortir ce petit sifflet.

236      Il m’a regardé avec ces yeux de lézard, vous savez, et a porté ce petit sifflet à la bouche comme cela. Et il a soufflé dedans, ça a résonné juste comme un petit faon, ou un petit appelant sa maman. Et quand il a fait résonner ce sifflet, juste de l’autre côté de la clairière, une grosse maman cerf, une biche, s’est levée. C’est la mère biche. Elle s’est redressée d’un bond. Elle avait entendu l’appel de son bébé. Je l’ai vu me regarder comme cela, et sourire. Je pensais: «Burt, tu ne vas pas faire ça. Absolument pas.» Il a baissé la tête, et il a encore sifflé.

237      Je peux juste voir les grandes oreilles de la bête, avec ces grands yeux bruns. Elle est carrément sortie dans cette clairière. Or, c’est étrange pour une biche de faire cela, surtout à cette heure-là de la journée, sortir juste pendant la saison de la chasse, sortir comme cela. Mais elle est carrément sortie là à découvert, dans une petite clairière, une petite prairie. C’est très inhabituel qu’elle fasse cela. Mais pourquoi l’a-t-elle fait? Elle était une mère. Elle était vraiment née une mère. Et à cause de cet appel de son bébé, elle n’a pas pensé au danger. Elle pensait à son bébé.

238      Et quand je l’ai vue tourner et présenter le flanc, j’ai entendu Burt baisser la culasse mobile de ce 30-06, et il était un fin tireur. Je l’ai vu lever et tourner le fusil et pointer le réticule de ce viseur sur le coeur loyal de cette biche.

239      J’ai pensé: «Burt, comment peux-tu faire ça? Comment peux-tu le faire? Tu ne vas certainement pas le faire.» Je me suis dit: «Cette mère sort là pour défendre son bébé, et toi, tu vas donc faire sauter son coeur loyal! Comment peux-tu faire ça, Burt?» Et je me suis tenu là. Je l’ai vu se calmer, visant comme cela.

240      J’ai pensé: «Oh! la la! je–je ne peux pas regarder cela.» J’ai pensé: «Cette mère, elle ne peut s’en empêcher.» Elle ne fait pas le malin. Elle n’est pas en train de simuler. En elle, elle est une mère. Son–son–son rôle, par nature, c’est d’être une mère. Et c’était le cri d’un bébé en difficulté, et elle est à sa recherche.

241      Et quand la culasse mobile est descendue, la biche s’est tournée et a regardé le chasseur, parce qu’il s’était levé. Cela ne l’a pas fait paniquer malgré tout. Elle était prête à mourir. Elle...

            Oh! si seulement les gens pouvaient être comme cela!

242      J’ai détourné la tête. Je ne pouvais pas le regarder lui tirer dessus. J’ai détourné la tête. Et j’ai commencé à prier, en silence, parce que je savais qu’il allait me passer un savon si j’essayais de la faire fuir. Je–j’ai détourné ma tête comme cela, et j’ai dit: «Dieu notre Père, aide-le. Aide-le. Ne–ne le laisse pas abattre cette mère qui essaye de retrouver son bébé, qui est en train de crier comme cela. Ne–ne le laisse pas l’abattre.» Et j’étais en train de me retourner, comme ceci, et j’ai remarqué quelque chose.

243      Je m’attendais à entendre le coup partir à tout moment, mais le coup ne partait toujours pas. J’ai attendu et attendu. Et quand je me suis retourné pour voir, il tenait le fusil comme ceci. J’ai vu le fusil aller comme ceci.

244      Il s’est retourné, il a levé les yeux vers moi, et de ces yeux cruels semblables à ceux d’un lézard les larmes coulaient sur ses joues. Il a jeté l’arme par terre. Il m’a saisi par la jambe du pantalon. Il a dit: «Billy, conduis-moi à ce Jésus que tu connais.» Juste là, sur ce banc de neige, j’ai conduit ce chasseur cruel à Jésus. Il est aujourd’hui un diacre dans une église baptiste là-bas.

245      Pourquoi? Qu’était-ce? Ce n’était pas une prédication. Ce–ce–ce n’étaient pas des cantiques qu’il avait entendus. Mais il a vu quelque chose qui n’était pas du fabriqué, quelque chose qui n’était pas un simulacre. Il avait vu quelque chose d’authentique. «S’ils se taisent, les pierres crieront.» Il a vu qu’il y avait quelque part quelque chose qui pouvait envoyer une personne en face de la mort, un amour qui pouvait envoyer cette mère biche en face de la mort, sans pourtant avoir peur de mourir à cause de l’amour pour son faon qui appelait. Il voulait savoir s’il existait un–un Dieu qui pouvait lui donner ce genre d’amour, et il a trouvé cela ce jour-là.

246      Mes amis, il y a ici plus que Salomon. Une fois, Jésus a dit ... Il est plutôt écrit dans la Bible: «Une mère peut-elle oublier son bébé qu’elle allaite?» Elle a dit: «Elle pourrait bien le faire, mais Moi, Je ne peux pas vous oublier. Vos noms sont gravés sur les paumes de Mes mains.» Et ils le sont, par les empreintes des clous dans Ses mains.

247      Nous regardons. Certainement que les hommes et les femmes qui croient en Lui regardent pour voir quelque chose d’authentique. Ne voudriez-vous pas, ce soir, être autant chrétien que cette biche était une mère? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Voyez? Elle n’était pas juste une mère artificielle. Elle était née une mère. Il y avait en elle quelque chose telle qu’elle n’avait peur de rien, parce que cela l’a poussée à sortir. Si seulement nous pouvions être autant chrétiens qu’elle était une mère! Combien voudraient avoir cette expérience? [«Amen.»] «Ô Dieu, laisse-moi être prêt, avec loyauté envers Jésus-Christ, à marcher en face des critiques, à marcher en face de n’importe quoi, et manifester mon amour pour Dieu. Peu importe que mon–que les miens me rejettent, que tout le monde se moque de moi, que tout le monde me traite de démodé, ou peu importe ce qu’ils font, laissez-moi manifester l’amour de Jésus-Christ dans mon coeur, aussi loyalement que cette biche pouvait manifester la maternité.» Voulez-vous cela dans votre coeur? [«Amen.»]

            Maintenant, inclinons la tête et prions.

248      Père céleste, il y a ici plus que Salomon. Il y a ici un plus grand amour que l’amour dont il est parlé dans cette petite histoire de cette mère biche ce jour-là. Elle était prête à affronter ce chasseur, à affronter ce fusil, alors qu’elle savait qu’on pouvait lui faire sauter le coeur à tout moment. Mais, ô Dieu, quand un homme ou une femme, ou même une bête est prête à manifester l’amour! Je prie, Père, que toute personne qui est ici ce soir reçoive cette sorte d’amour, et même un amour plus grand que ça. Qu’ils n’aient pas honte d’accepter Jésus comme leur Sauveur. Qu’ils n’aient pas honte de ce qu’Il a fait pour eux. Qu’Il... Qu’ils n’aient jamais honte de Le confesser comme Seigneur et Sauveur. Qu’ils n’aient jamais honte de L’accepter comme leur Guérisseur, car il est écrit: «C’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.»

249      Ô Dieu, puisses-Tu venir ce soir et être une telle réalité pour nous, que nous verrons une manifestation de Dieu parmi nous, que nous saurons que Jésus-Christ, le Seigneur crucifié, est ressuscité des morts et qu’Il se tient au milieu de nous. Père, je crois que si Tu le fais encore une fois, devant les gens ce soir, et si Tu Te montres vivant dans un don plus grand que celui que Salomon avait (C’est le don du Saint-Esprit à l’Eglise.), alors, les hommes et les femmes ici, Père, seront attirés à Toi. Je t’abandonne tout cela maintenant, Père, avec cette petite histoire simple de la Bible, et de la petite partie de chasse de ce jour de novembre là-haut dans les monts blancs. Tout est à Toi maintenant, Père; prends le contrôle dès maintenant. Je m’abandonne moi-même à Toi, ainsi que cette assemblée, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

250      Maintenant, mes amis chrétiens, si notre Seigneur Jésus veut bien vous montrer Son amour, qu’Il vous aime, et s’Il vient parmi nous ce soir et prouve qu’Il est ici, que c’est Lui (Eh bien, tout le monde le sait, comme nous l’avons dit), comment saurez-vous que c’est Jésus? Vous voyez? Comment le saurez-vous? Si cet arbre qui parait comme le sycomore portait des pêches, quelle espèce d’arbre serait-ce? Ce serait un pêcher. La vie qui est en lui produirait des pêches. Et si vous êtes un–un chrétien, la Vie de Jésus-Christ est en vous, parce que c’est le Saint-Esprit. Croyez-vous cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Et alors, le Saint-Esprit...

251      Si je vous disais que l’esprit de John Dillinger était en moi ce soir, vous vous attendriez à ce que j’aie des armes, et que je sois un voleur là, comme il l’était. Si je vous disais que l’esprit d’un certain grand artiste était en moi, vous vous attendriez à ce que je sois capable de faire des tableaux de ces montagnes-ci juste comme elles paraissent, parce que l’esprit de cet artiste est en moi. Et si je vous dis que l’Esprit de Christ est en moi, Il a dit Lui-même que vous ferez les oeuvres de Christ. Jean 14.12 dit: «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais; il en fera même de plus grandes que celles-ci.»

252      J’ai cité cela une fois. Un homme a dit: «Bien sûr, nous faisons des plus grandes oeuvres. Nous prêchons l’Evangile au monde entier. Il ne l’a pas fait en Son jour.»

253      J’ai dit: «Manifeste-moi d’abord les oeuvres qu’Il a faites, et ensuite nous parlerons des plus grandes oeuvres.» Voyez?

254      Quatre-vingt-dix pour cent du monde connaît à peine quelque chose sur Jésus-Christ. Des millions meurent chaque année, sans avoir jamais entendu Son Nom. Plus encore... Le monde est moins évangélisé aujourd’hui qu’il ne l’a jamais été. Bien sûr. Ensuite, parler des «‘plus grandes oeuvres,’ en prêchant l’Evangile». Certainement pas.

255      Eh bien, il y a des cartes de prière, je pense, qui ont été distribuées aujourd’hui. Je pense qu’on a distribué des cartes de prière. Et... [Quelqu’un dit: «Oui.»–N.D.E.] Très bien. Billy? Il n’est pas ici? Peut-être qu’il est sorti.

256      Eh bien, ont-ils quelques cartes de prière d’hier? Levez la main, si vous avez quelques cartes qui ont été distribuées hier. Eh bien, nous allons commencer par eux. Voyons, par où avons-nous commencé? Par où avons-nous commencé hier? Par le numéro 1, n’est-ce pas? Du numéro 1 jusque vers le numéro 10 ou 15? Très bien.

257      Changeons cela, ainsi commençons alors ailleurs. Nous voulons les prendre tous. Mais changeons, quelque part à un autre niveau. Prenons à partir de... Prenons les quinze derniers, de 85 à 100. Qui a la carte de prière 85? Levez la main.

258      Attendez. Il pourrait y avoir deux personnes qui ont le numéro 85. Quelle série était la première? La série A, n’est-ce pas? [Deux frères disent: «A.»–N.D.E.] A.

259      A-85. Il est mentionné A sur la carte, et un 85. A-85. Levez la main. Carte de prière A-85. Est-ce que la dame est ici? Très bien. Venez par ici. 86, levez la main. 87.

260      Eh bien, si vous ne pouvez pas vous lever, nous allons voir... Les huissiers vont vous faire monter juste ici lorsque votre numéro sera appelé.

261      87, 88, 89. 90. Voyons, maintenant, là on a, 1, 2, 3, 4, 5. 90, 91, 92, 93, 94, 95, jusqu’à 100. Alignez-vous par ici de ce côté, jusqu’à 100.

262      Maintenant, si–s’ils ne sont pas tous là et que quelqu’un a une carte, maintenant, tenez simplement votre carte, gardez-la simplement; dans peu de temps, je vais essayer de m’occuper de vous.

263      Eh bien, pendant que vous regardez de ce côté, eh bien, suivez très attentivement maintenant. Je veux que vous suiviez très attentivement ce que je dis. Votre carte de prière n’a rien à voir avec la chose, c’est seulement pour vous aligner ici. Cela ne veut pas dire que vous serez guéri. Vous êtes guéri, non pas par la carte de prière, mais seulement par la foi. C’est juste. Combien ont déjà été dans les réunions et savent que dix personnes sont guéries là dans l’auditoire, contre une seule personne ici, ici à l’estrade? Certainement. C’est votre foi qui compte. C’est votre foi. Ceci sert uniquement à commencer la ligne de prière, c’est tout, pour tenir la ligne de prière.

264      Maintenant écoutez. Tout le monde a appris cette tradition. Et je le dis à mes frères. Et cela est bien. C’est l’Ecriture. Mais nous aimons nous imposer les mains les uns aux autres. Avez-vous remarqué cela? Mais cela n’a pas été donné aux Gentils. Ce n’est pas de cette manière-là que les Gentils l’ont accepté.

265      Pour les Juifs, souvenez-vous, Jaïrus a dit: «Viens imposer les mains à ma fille et elle vivra.» C’était une tradition juive. Est-ce vrai? «Impose les mains à ma fille et elle vivra.»

266      Mais le Gentil a dit: «Je ne suis pas digne que Tu viennes sous mon toit. Dis seulement une Parole, c’est tout. Mon serviteur vivra.»

267      Et Jésus se retourna et dit: «Je n’ai jamais vu une telle foi en Israël.»

268      Il a dit: «Je suis un homme soumis à des supérieurs. Quand je...» Et qu’avait-il reconnu? Que chaque maladie était sous l’autorité de Jésus-Christ. Tout ce qu’Il avait à faire c’est prononcer la Parole.

269      Et Il L’a déjà prononcée. Voyez? Et j’essaie de vous amener à reconnaître cela.

270      Maintenant, beaucoup de gens pensent que vous devez attendre jusqu’à ce qu’un certain grand évangéliste comme (oh!) frère Osborn... Et frère Osborn est un grand évangéliste. Frère, frère Oral Roberts est un autre grand évangéliste. Et–et frère Tommy Hicks, et beaucoup de ces grands évangélistes qui sont dans le pays aujourd’hui, vous pensez que vous devez attendre jusqu’à ce qu’ils viennent, pour que vous soyez guéri. Ce n’est pas ça, ce n’est pas ça. Votre pasteur a la même autorité que n’importe qui d’entre eux. Absolument.

271      Il n’y a pas de grands hommes parmi nous. S’il y en a un, alors cette personne s’est exclue elle-même de la communion. «Nous sommes tous un en Jésus-Christ.» C’est juste. Nous sommes un. Il n’y a pas de grandes personnes parmi nous. Quand vous devenez grand, vous vous êtes exclu vous-même, vous êtes éloigné de Dieu. Nous ne le sommes pas.

272      Et–et si votre pasteur n’est pas là, la seule chose que vous devez faire, c’est de croire la Parole que vous l’avez entendu prêcher à propos de Jésus-Christ. C’est tout. Voyez? Il y a de grandes choses qui sont accomplies.

273      Maintenant, écoutez. Pensons à cette petite femme à laquelle nous nous sommes référés hier soir. Une fois Jésus traversait l’océan...

274      J’aurais souhaité que nous ayons du temps, quelques semaines ici à Tucson, où, voyez-vous, c’est en fait difficile. Quand vous arrivez quelque part, c’est tout nouveau pour les gens, quand ils voient juste quelque chose une fois, ils disent: «Eh bien, c’est quelque peu étrange, mais je ne sais pas.» Voyez? Je ne resterai pas ici assez longtemps pour que vous puissiez vous habituer et que vous voyiez cela.

275      Ecoutez. J’ai vu des dizaines de milliers de visions que le Seigneur Dieu m’a données. Et je sais qu’il y a ici des gens qui ont suivi les réunions, peut-être à plusieurs endroits. Combien ont déjà assisté à d’autres réunions? Faites voir la main. Maintenant, je voudrais vous demander quelque chose. Il n’y a jamais eu un seul mot qui a été prononcé qui n’ait été l’exacte vérité. Est-ce vrai? Si c’est vrai dites «amen». [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Personne ne peut dire... S’il y a quelqu’un qui peut dire qu’il a déjà vu une seule de ces visions faillir, vous êtes libre de vous lever et de me le dire. Je peux faire cette déclaration à travers le monde, devant des dizaines de millions de gens.

276      [Espace vide sur la bande? N.D.E.] Ils ne savaient pas ce que c’était.

277      Maintenant, les gens du Tabernacle, rappelez-vous seulement. Il y a ici quelques personnes qui sont venues. Je vois ici deux de mes amis, monsieur et madame Dauch qui sont assis ici, ainsi que madame Brown qui vient de l’Ohio. Ce phénomène concernant cet Etre là-haut, et ce bruit qui s’est fait entendre comme cela, qui m’a renvoyé pour les Sept Sceaux; cela avait été prédit, parfaitement, des semaines, des semaines et des semaines avant que cela n’arrive. Combien ici en sont témoins, qui étaient dans les réunions et en avaient entendu la prédiction? Levez la main, ceux qui sont dans la salle. Voilà. Et les scientifiques se débattent là-dessus.

278      C’est comme lorsque George J. Lacy a examiné Cela, je le lui avais dit. J’ai dit: «C’est juste comme une Lumière ambre. Ça brûle là.»Et les gens ont dit: «Oh! c’est de la psychologie.»

279      Monsieur Lacy a dit: «Je pensais aussi que c’était de la psychologie, mais, a-t-il-dit, l’oeil mécanique de cet appareil photographique ne peut pas prendre de la psychologie.» Non. La Lumière était là. Qu’est-ce? Voyez?

280      Maintenant suivez attentivement. Dans le désert, quand Dieu conduisait Israël à travers le désert, Il conduisait le peuple par Christ. Combien le savent? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Combien savent que l’Ange de l’alliance était cette Colonne de Feu, et que c’était Jésus-Christ? [«Amen.»] Certainement, c’était Lui. Assurément. Il a dit, Il le leur a dit, là dans Jean 6.

281      Ils ont dit: «Il ne parait pas avoir plus de cinquante ans; et Il dit avoir été avant Abraham?»

282      Il dit: «Avant qu’Abraham fût, JE SUIS.» Il était le JE SUIS qui était dans le buisson. Et Il a dit: «Je...» Il...

            Ils ont dit: «Nous avons bu l’eau du Rocher.»

283      Et Il a dit qu’Il était ce Rocher-là. Amen. Voyez, non pas «J’étais». «JE SUIS.» Il a dit: «Je viens de Dieu, et Je retourne à Dieu.»

284      Maintenant, cette même Colonne de Feu qui était dans le désert, avec les enfants d’Israël a été faite chair, Dieu incarné parmi nous, sous la forme du Fils de Dieu, qui avait couvert de Son ombre la vierge et L’avait engendré, afin que Dieu devienne humain pour mourir et payer le prix de Sa propre loi. Voyez? C’est l’Evangile.

285      Et puis Il dit, alors: «Je viens de Dieu, et Je retourne à Dieu.»

286      Et immédiatement après Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection, il y avait un petit Juif colérique qui essayait de jeter tout le monde en prison. Et il était en route vers Damas, ayant reçu les ordres du souverain sacrificateur pour arrêter tout le monde. Et juste vers midi, il fut jeté par terre sur la route. Et alors, il a levé les yeux, et voilà une grande Lumière l’aveugla. Combien savent cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] La même Colonne de Feu. Voyez?

287      Et il a dit: «Seigneur!» Etant un Juif, il savait que c’était la même Colonne de Feu qui était dans le désert. Il a dit: «Qui es-Tu, Seigneur?»

288      Il a dit: «Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-tu? Il te serait dur de regimber contre les aiguillons.»

            Il a dit: «Qui es-Tu, Seigneur?»

289      Maintenant, attendez. La même Colonne de Feu a dit: «Je suis Jésus.» Oui, oui. Est-ce vrai? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

290      Vous rappelez-vous une nuit, lorsque Pierre était en prison? La même Chose est entrée dans la prison, a ouvert les portes devant lui, et l’a fait sortir.

291      Qu’est-ce? Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Maintenant, si ce n’était pas Lui, si cela était quelque chose d’autre, ça ferait un autre genre d’oeuvres. Mais si c’est le même Saint-Esprit qui était dans le désert avec Israël, et qui était aussi en Jésus-Christ... Cela est maintenant dans l’Eglise. Cela fait les mêmes oeuvres parce que c’est la même Lumière. Voyez? C’est le même Esprit. Si vous pouviez simplement croire cela, mon ami! Pas moi; Lui! Voyez? Il est le Souverain Sacrificateur.

292      Un jour, une petite femme a cru qu’Il était le Fils de Dieu. Elle avait une perte de sang. Et elle s’est dit en son coeur: «Si seulement je pouvais toucher Ses vêtements!»

293      Naturellement, je pense qu’elle avait tiré ça [de l’histoire] d’Elie, «le fait de prendre un bâton». Et c’est de là, je pense, que Paul a tiré la pratique d’ «appliquer les mouchoirs sur les gens», et ainsi de suite, c’était quelque chose que quelqu’un d’autre avait fait.

294      Et elle a dit: «Si seulement j’arrive à toucher Son vêtement, je crois que je serai guérie.» Et elle se faufila à travers la foule jusqu’à ce qu’elle touchât Son vêtement. Or, le vêtement palestinien est ample, et il comporte un sous-vêtement. Et ainsi elle s’est retirée et s’est assise.

295      Physiquement, Il n’aurait pas pu le sentir, voyez, parce que le vêtement est une robe ample. Mais, Il s’arrêta.

296      Et tout le monde passait les bras autour de Lui, disant: «Salut, Rabbi! Prophète d’Israël, nous sommes heureux de T’avoir ici avec nous», et ainsi de suite. Jésus s’arrêta et dit: «Attendez une minute. Qui M’a touché?»

297      «Eh bien, dit Pierre, Seigneur!» Il Le reprit. En d’autres termes, il a dit quelque chose comme ceci: «Seigneur, ne dis pas une telle chose. Les gens vont se poser des questions sur Toi. ‘Qui T’a touché’? C’est tout le monde qui passe les bras autour de Toi. C’est tout le monde qui Te tapote. Ne dis pas: ‘Qui M’a touché?’»

298      Il a dit: «Mais ceci est un genre de toucher différent. Voyez? J’ai connu que la vertu est sortie de Moi.»

299      Il parcourut l’assistance du regard. Et la petite femme était peut-être debout. Elle était peut-être assise. Ou, peu importe où elle se trouvait, quelque chose était arrivé. Et Il l’a vue. Elle ne pouvait pas se cacher. Voyez? Elle avait touché Dieu, à travers cet Homme. La vertu, la force était sortie de Lui. Il lui a parlé de son sang, de sa perte de sang, et celle-ci s’était arrêtée.

300      Or, ce même Jésus est le même Souverain Sacrificateur aujourd’hui. C’est ce que dit la Bible. Est-ce vrai, frères ministres? [Les ministres disent: «Amen.»–N.D.E.] Voyez? La Bible dit qu’ «Il est maintenant un Souverain Sacrificateur, assis à la droite de Dieu, le Père. Il est assis là, vivant éternellement pour intercéder, un Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités».

301      Maintenant, vous qui n’avez pas de carte de prière, vous ne vous tiendrez pas ici dans la ligne. Mais si vous voulez savoir si c’est la vérité ou pas, dites simplement à Dieu ce soir: «Père céleste, je suis malade. Je dois recevoir de l’aide. Et je–j’utilise toute la foi que j’ai. Je sais qu’il ne s’agit pas de cet homme qui se tient là. Il est juste un homme comme moi, comme mon mari, ou comme mon frère. Voyez? Mais je crois que l’homme a dit la Vérité, parce c’est l’Ecriture. Et je crois que Tu es un Souverain Sacrificateur maintenant. L’important est que Tu me laisses Te toucher, Seigneur, et que Tu sois le même hier... Tu... Ce frère-là ne me connaît pas. Mais retourne-Toi et utilise ses lèvres, parle-moi et dis-moi ce que Tu avais dit à la femme.»

302      Je vous demande, au Nom de Jésus-Christ, d’avoir ce genre de foi, et voyez ce qui va arriver. Voyez si c’est vrai ou pas. C’est la vérité. Croyez-le simplement. Et si vous pouvez le faire, eh bien, Dieu vous bénira.

303      Maintenant, y a-t-il ici quelqu’un qui n’a jamais été dans l’une des réunions auparavant? Levez la main. Oh! la la! Oh! nous sommes heureux de vous avoir ici ce soir. Que Dieu vous bénisse. Ce n’est qu’une petite réunion, un moment de communion. Et on est venu à la hâte ici, nerveux, pour deux ou trois soirées, et on va repartir. Peut-être une autre fois, Dieu voulant, si les prédicateurs le veulent, nous pourrons revenir ici une autre fois, pour tenir une bonne série de réunions, où nous resterons deux ou trois semaines.

304      Et les malades peuvent parfois avoir comme une–une grosseur, en eux. Ils ne savent même pas ce que c’est qu’une grosseur. Eh bien, c’est une vie, par exemple une tumeur maligne, ou je ne sais quoi. C’est une vie. C’est une vie qui ne...

305      Prenons par exemple ma main, il n’y a pas de cancer dessus maintenant. Peut-être qu’il y en aura un jour. Généralement, un cancer, ça vient de... C’est une cellule sauvage.

306      Et c’est comme certaines d’entre vous soeurs, qui passent par la période de ménopause, et qui se font injecter cette hormone. Ne le faites pas. Confiez-vous seulement en Dieu. L’hormone est une cellule sauvage, et vous ne faites qu’introduire le cancer en vous. Voyez? Je ne suis pas... Docteur, ne pensez pas que j’essaie de prendre votre place ici. Mais, j’ai déjà rencontré trop de ces cas dans la ligne de prière. Voyez? Ainsi, la chose à faire, c’est de placer juste votre foi en Dieu. Et votre très bon et honnête docteur, votre médecin de famille vous dira que c’est la vérité. Ayez simplement foi en Dieu et faites Lui confiance. Il vous fera traverser les ombres. Il est toujours là pour vous secourir. C’est juste.

307      Remarquez. Nous voyons... qu’arrivera-t-il si cette grosseur, si ça commence à grossir? Qu’est-ce? C’est une multiplication des cellules, une cellule s’ajoutant au-dessus d’une autre.

308      C’est ce que vous êtes, vous aussi, une multiplication des cellules. Eh bien, vous savez d’où vous provenez. D’un saint mariage entre papa et maman, d’une petite cellule minuscule. Si je me mettais à décomposer votre corps, ce soir, à le prendre cellule par cellule, on arrivera à cette petite vie. A l’intérieur de cette vie, bien sûr, il y a la composition chimique du sang, et à l’intérieur du sang se trouve la vie, et cette vie c’est vous. Maintenant, cela commence à multiplier des cellules.

309      Et ainsi, chaque chose selon son espèce, l’oiseau selon son espèce, le chien selon son espèce, l’homme selon son espèce. Et cela fait...

310      Mais, vous voyez, un démon n’a pas de forme. Le cancer, c’est appelé cancer, ça vient du mot «crabe», qui signifie «pattes étendues», qui se met à sucer. Il suce votre sang. C’est une autre vie. C’est une vie qui vit en vous. Ainsi, il y a une vie humaine. Et il y a une autre vie; et c’est à cela que je parle, à cette vie-là. Maintenant, quand les gens disent, eh bien, vous appelez cela, le médecin appelle cela «cancer», et certains d’entre eux appellent cela «cataracte», et certains d’entre vous appellent cela de différents noms, par des termes médicaux. Mais, Jésus a appelé cela «démon», et c’est ce que c’est. Démon signifie «tourmenteur», et il est là pour vous ôter la vie.

311      Eh bien, parfois le médecin peut faire une incision tout autour et l’ôter entièrement. C’est merveilleux. Mais qu’arrivera-t-il si cela est tellement enraciné que ça ne peut être ôté? Eh bien, nous ne traitons pas avec la grosseur en soi. Nous traitons donc avec la vie qui est dans cette grosseur; quand vous dites: «Satan, sors!»

312      Et je peux vous le prouver. Laissez la personne poser sa main sur la mienne, pour vous le prouver, pour montrer les–les effets que ça manifeste. Vous l’avez vu se faire. Beaucoup d’entre vous ont vu cela se faire. Est-ce vrai? [L’assemblée dit: «Amen.»–N. D.E.]

313      Remarquez maintenant. Si cette vie sort de là, qu’arrive-t-il? Si vous retournez, le jour suivant ça se rétrécit. Tout le monde le sait, après que n’importe quoi... N’importe qui sait, quand n’importe quoi meurt, ça se rétrécit. Tuez une biche, ensuite pesez-la et dites aux frères combien elle pèse, et mettez-la sur la balance le matin, elle aura perdu quelques kilogrammes. Quand une personne qui a de fausses dents, un oeil artificiel, meurt, on les enlève. Car elle va... elle–elle se rétrécit. Ils vont sortir.

314      Eh bien, et puis, après que ça sera resté longtemps là, comme par exemple un petit animal, un chien, écrasé là dans la rue, étalé au soleil, il commencera à gonfler, ensuite il deviendra plus gros qu’il ne l’était avant. Le patient va alors commencer à se sentir malade après environ soixante-douze heures, quand la corruption s’installe. La personne va commencer à dire: «Oh! je suis plus malade qu’avant. J’ai perdu ma guérison.»

315      «Et quand l’esprit impur sort d’un homme, il va dans les lieux arides, et ensuite il revient.» Voyez? Et si vous ne croyez pas vraiment, peu importe combien cela est sorti de vous, si vous ne savez pas comment accepter la guérison et y croire... Quand il revient, soyez toujours sûr que c’est parti; et si vous l’acceptez, alors il ne reste plus rien, sinon la mort. Mais quel est le problème? Vous mettez un...

            Qu’arriverait-il si vous aviez en vous un serpent, d’à peu près cette longueur? Vous mouriez.

316      Eh bien, qu’est-ce? Votre coeur bat et purifie le sang. Et c’est l’infection qui cause la fièvre. Et alors, quand cette grosseur, qui est là dans le corps humain, est morte et que l’infection s’installe, ou plutôt ça commence à gonfler, le coeur doit battre pour la faire sortir, purifiant le sang. Eh bien, naturellement, vous vous sentez plus mal.

317      Mais alors, les gens qui n’ont pas la foi entrent en courant et obtiennent vraiment un soulagement. Je vois des gens...

318      Au cours d’une soirée, un homme qui avait des cataractes dans ses yeux est descendu en courant et a joué au piano, et il voyait. Il est monté à l’estrade, a pris cette même Bible et L’a lue. Et environ quatre soirées plus tard, il ne pouvait même pas voir sa main devant lui. Il est revenu, il a dit: «J’ai perdu ma guérison.» C’était vraiment une bonne chose que d’être là. Il est venu.

319      J’ai dit: «Frère, c’est faux. Vous–vous, vous avez fait...Vous ne croyez pas.»

            Il a dit: «Eh bien, Frère Branham, j’étais guéri. Mais...»

320      J’ai dit: «Non, c’est la cataracte qui gonfle, monsieur. Continuez juste à croire. Ne doutez pas. Si vous doutez; ça reviendra. Continuez simplement de croire. Vous avez dit que vous croyiez. Et ensuite, vous vous rétractez sur ce que vous avez dit. Ne le dites pas à moins que vous le croyiez.» Je l’ai encouragé et je lui ai dit cela. Il est resté là, il était là pendant deux semaines. Au bout de ces deux semaines, il pouvait lire la Bible aussi bien que n’importe qui. Voyez?

321      Maintenant, s’il n’avait pas reçu des instructions sur ce qu’il devait faire, et c’est ce que vous recevez, il est venu en courant comme ça. Et aussitôt, alors tout cela retombe sur le pasteur, et on dit: «Eh bien, ils n’étaient pas guéris.» Voyez, c’est parce que l’assemblée n’est pas entraînée. Ils ne comprennent pas comment s’y prendre, ce qu’ils doivent faire. Et ils n’ont pas du tout de foi. Ils ont beaucoup d’espérance.

322      Mais, maintenant, ce que j’essaie de faire, ce n’est pas pour que vous disiez: «Vous savez quoi? Frère Branham m’a imposé les mains, et, frère, je me suis rétabli.» Je ne veux même pas vous toucher. Je veux que vous Le touchiez, Lui. Voyez? Je n’ai rien à faire là-dedans.

323      Mais dans le don que Dieu m’a donné, si je peux manifester Christ, Le montrer et Le rendre réel ici devant vous, la Parole Elle-même faite chair parmi nous, et montrer que c’est Dieu, alors vous, touchez-Le simplement et voyez ce qui arrive. Vous voyez ce que je veux dire, mes amis?

324      Vous n’avez pas besoin de quelque chose de grand. Dans le cas contraire, vous ne pourrez pas aller aux petits endroits. J’étais dans le champ, il y a des années. Je n’ai jamais laissé mes réunions s’accroître jusqu’à un certain degré. Je n’ai point de programme de télévision. Je n’ai rien à vendre. Je–je n’ai rien, si ce n’est Christ. Et je... Si certains... Je vais à ces tout petits endroits où certains de ces frères qui possèdent ces grands programmes ne peuvent pas aller, parce qu’ils sont obligés d’avoir des milliers des dollars chaque jour, pour faire fonctionner leurs programmes. Je ne suis pas obligé d’avoir quoi que ce soit, si ce n’est davantage de Dieu. Voyez? Et je peux aller partout où Il m’envoie. Voyez? Et c’est là que je peux aller.

325      Il n’y a pas longtemps, j’ai prêché ici à un réveil qui s’est tenu dans une église qui contenait vingt personnes. C’était pitoyable, mais nous l’avons tenu, de toute façon, parce que le Seigneur m’avait dit d’y aller. Voyez? Et ensuite, je m’en vais et je prêche à une foule de cinq cent mille personnes. Quelqu’un sponsorise cela et m’y amène. Je ne me soucie de rien. Je me soucie seulement de rester en ordre devant Dieu. Voyez? Il m’envoie là où Il veut m’envoyer.

326      Maintenant, ce soir, à ce que je sache, les gens qui sont dans cette ligne me sont étrangers.

327      Combien de ceux qui sont là me sont étrangers? Levez la... Vous qui savez que je ne sais rien à votre sujet, levez la main, vous–vous qui avez besoin de Christ. Très bien. Croyez simplement maintenant. Je pense que c’était cent pour cent.

328      Maintenant, pendant que cette ligne de prière se déroule ici à l’estrade commencez à prier là en bas, pour que Dieu agisse. Et s’Il le fait, vous allez croire, n’est-ce pas? Dites: «Amen.» [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

329      Maintenant, combien savent que c’est exactement comme cela qu’Il S’est identifié en tant que le Messie de Dieu? Combien savent cela, à partir de cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Voyez? C’est exact. C’est exact. Et Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. «Je ne fais rien avant que je ne voie cela, ce que je vois faire au Père.»

330      Je voudrais prendre tout esprit qui est ici sous mon contrôle, au Nom de Jésus-Christ, pour la gloire de Dieu.

331      Restez à vos places. Restez tranquilles. Ne vous déplacez pas. Quand vous vous déplacez, voyez, chacun est un esprit. Le savez-vous? Autrement, vous seriez mort. Voyez? Et–et votre incrédulité... Et si je dis: «Inclinez la tête», faites-le. Si je dis–si Cela vous invite à vous lever, levez-vous. Et quoi que Cela vous dise de faire, faites simplement cela. Parce que ce n’est pas moi. C’est Lui.

            Maintenant, commencez votre ligne de prière, par où que ce soit.

332      Père céleste, bientôt le temps sera terminé. Débout derrière moi ici ce soir il y a des bergers, des ministres, qui ont prédit et déclaré qu’il viendrait un temps où ceci serait fait. Quelques vieux vétérans, il y a plusieurs années, se tenaient au coin de la rue, avec une guitare dans leurs mains, annonçant qu’un jour viendrait. Et voici certains d’entre eux ici ce soir; et leurs fils sont ici. Père, ils ont simplement préparé le terrain pour rendre cela réel. Maintenant puissions-nous recevoir cela, Seigneur. Accorde-le. Et puissions-nous, ensemble, communier autour de ce grand don que Dieu nous a envoyé, Jésus-Christ. Accorde-le, Père.

333      Maintenant, Seigneur, Tu sais que je ne connais personne de ces gens. Je ne sais rien à leur sujet. Toi, Tu les connais tous. Et j’essaie de faire voir aux gens, Seigneur, qu’il ne s’agit pas de grands personnages, d’une grande église. Il s’agit d’un Grand Dieu, et de Jésus-Christ. Je Te prie d’accorder qu’Il se révèle à nous ce soir, dans l’humilité.

334      Maintenant j’ai invité l’auditoire, Seigneur, à regarder à Toi. Et que certains d’entre eux là dehors, Seigneur, quelqu’un, je prie que Tu laisses le Saint-Esprit trouver de la foi là-bas ce soir, qui fera que l’audience soit enthousiasmée et voie qu’il y a quelque chose qui se déroule. Et puissent-ils comprendre, et que tout un chacun soit guéri. Qu’il n’y ait pas un malade parmi nous ce soir, quand le service sera fini. Que toute personne qui n’est pas sauvée soit sauvée, quand ils sentiront et sauront qu’ils sont dans la Présence du Dieu même qui les jugera un jour. Nous Te confions tout cela maintenant. Et je me confie moi-même à Toi. Utilise-moi, Seigneur, comme Tu le trouves bon, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

335      Maintenant, je–je vous demande de rester très calme et d’être en prière. Maintenant, imaginez juste... Maintenant, si quelqu’un pense que ceci ne vient pas de Dieu, alors, au Nom de Jésus-Christ, je vous défie de venir ici et de faire la même chose. Et alors, si vous n’en êtes pas capable, n’en dites rien. Sondez cela dans les Ecritures, vous voyez. Voyez?

336      Maintenant, pour autant que je sache, avec la Bible de Dieu ici devant moi, et ce groupe d’hommes assis ici, me regardant, et en présence de ces gens, cette femme m’est étrangère. Je ne la connais pas. Elle est juste une femme qui se tient là. Je ne sais rien à son sujet.

337      Si elle est malade, et que je–et que j’avais un moyen quelconque de la guérir, je le ferais certainement. Vous croyez cela, n’est-ce pas? Je le ferais si je le pouvais. Mais, je ne le peux pas. Personne d’autre ne le peut.

338      La guérison vient de Dieu, et Il l’a déjà accomplie. Mais si–si Dieu peut faire quelque chose, pour vous faire comprendre qu’Il est toujours là, et qu’Il est là pour tenir Sa promesse. S’Il tient cette promesse, alors Il tiendra... Il tient la promesse de guérison, bien sûr. Voyez?

339      Et alors si–si Jésus se tenait ici ce soir, avec ce costume qu’Il m’a donné, et que vous vous avanciez vers Lui et disiez: «Mon Seigneur, je suis malade. Je veux que Tu me guérisses.»

340      Je crois que ce serait quelque chose comme ceci. Il dirait: «Mon enfant, ne crois-tu pas les Saintes Ecritures? Je suis mort dans ce but. J’ai acquis ta guérison au Calvaire, quand J’ai souffert pour toi.»

            «Mais comment saurai-je qui Tu es? Es-Tu mon Seigneur?»

341      «Eh bien, qu’est-ce que J’avais fait quand J’étais ici sur la terre avant, pour Me faire connaître aux gens, aussi bien aux Juifs qu’aux Samaritains?»

342      Pas une seule fois ce miracle n’a été accompli devant un Gentil, parce que les Gentils n’attendaient pas cela. Maintenant c’est le jour des Gentils, le moment où ils reçoivent leur signe, aujourd’hui. Et voici le jour dont Il a dit: «Un seul mot contre le Saint-Esprit, appeler cela un mauvais esprit, ne sera jamais pardonné aux gens.»

343      Maintenant, cette femme, nous voici tous deux devant Dieu, et sous l’autorité de la Bible, vous voyez, nous ne nous connaissons absolument pas, nous ne nous sommes jamais vus. Et je ne sais pas, je n’ai aucune idée du motif pour lequel elle se tient là. Je ne l’ai jamais vue de ma vie, et voici la Bible dans mes mains. Et en tant que ministre, quel bien cela me ferait-il de dire cela, si c’est faux, me condamnant moi-même?

344      Je ne suis pas obligé d’être ici pour faire ça. Je viens parce que je sens que je suis dans la volonté de Dieu. Je suis venu parce que je sais que le jour du jugement va frapper Tucson un jour. Et Dieu essaie de vous faire parvenir un Message, et je dois être Son témoin. Je ne suis rien, je suis le plus petit parmi vous. Je suis juste votre frère. Il s’agit de Jésus-Christ, mais Il doit avoir quelqu’un au travers duquel travailler. Il fait ce choix, Lui-même. Il l’a prédestiné ainsi.

345      Maintenant, si le Saint-Esprit me révèle qui est cette femme, ou ce qu’elle a fait, ou ce qu’il y a, quelque chose à son sujet et qu’elle connaît, elle saura si c’est la vérité ou pas. N’est-ce pas? Assurément. Vous saurez si c’est la vérité. Et si ce n’est pas la vérité, alors ce n’est pas Dieu. Mais si c’est la vérité, alors c’est Dieu.

346      Combien d’entre vous vont croire maintenant de tout leur coeur et vont l’accepter? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

347      Maintenant nous voici, sous serment, sous l’autorité de la Bible, devant Ses témoins, devant les témoins ici présents. Et la Bible est posée ici, laquelle avait promis que les choses qui ont été faites juste avant que Sodome ne brûle seront faites devant les Gentils, avant le... qu’ils soient détruits. Le dernier appel à la semence d’Abraham, la semence royale!

348      Maintenant, n’importe qui le sait; la femme se tient ici, les yeux fermés, répétant simplement le mot de prière. Elle est une chrétienne, parce que, dès qu’elle est montée ici...

349      On trouve de temps en temps qu’un imposteur se glisse là, et essaye d’agir comme un chrétien. Combien ont déjà vu cela se faire? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Vous voyez aussi ce qui leur arrive. Soit ils tombent juste là, soit ils sont paralysés. On les emporte dehors, et c’est cela. Nous ne faisons pas de la religion. Rappelez-vous Phoenix, ce qui s’est passé, il y a quelques années passées, là-dessus.

350      Maintenant, la dame, réellement, elle a un fardeau pour quelque chose. Maintenant, si vous pouviez voir, entre elle et moi, il y a une Lumière. Elle commence à disparaître. Mais il semble que son esprit est troublé. Elle a des problèmes spirituels pour lesquels elle est inquiète. C’est la vérité. Si c’est la vérité, levez votre main.

351      De diverses manière, chaque fois je sens cela venir: «Il est en train de lire la pensée de cette femme.» Je ne lis pas sa pensée. Je vais trouver cela un de ces soirs, et je vais dénoncer cela, aussi.

352      Juste un instant, nous allons voir si nous sommes–voir si nous sommes en train de deviner ceci. Je ne sais pas ce que Cela a dit, d’abord. Il y avait quelque chose. Il semblait que c’était un trouble ou quelque chose. Oh! le voici. Je vois maintenant. C’est un problème spirituel.

353      Une autre chose, vous piquez des crises dues à une maladie. Vous avez des calculs biliaires. C’est juste. Est-ce juste? Oui, oui. [La soeur dit: «Cela vient progressivement.»–N.D.E.] Oui, oui. Un homme plutôt fort. Remarquez, une autre chose, vous avez un fardeau pour quelqu’un. Ce sont des enfants. Ce sont vos enfants, leur salut. C’est vrai. C’est aussi au sujet de quelqu’un, qui est ici. Je peux le sentir. C’est votre mari, et il s’agit de son salut. [«C’est juste.»] C’est juste. Il est assis ici maintenant. [«C’est juste.»] Hum!

354      Vous n’êtes pas d’ici. Je vous vois marcher quelque part où il y a de hautes collines vertes et beaucoup d’eau. [La soeur dit: «Jésus!»–N.D.E.] C’est–c’est loin d’ici. C’est au nord par rapport à cette ville. Vous venez de l’Etat de l’Oregon. [«C’est juste.»]. C’est juste. Vous êtes de quelque part là, près de Grant’s Pass, ou dans ces parages-là, où se trouvent ces collines. Votre prénom c’est Lena. [«C’est juste.»] Votre nom de famille est Stovell. [«C’est juste.»] C’est juste. Jésus-Christ honore votre requête ce soir. Rentrez chez vous. Votre mari est sauvé; vos enfants aussi; et recevez votre guérison. Béni soit le Nom du Seigneur Jésus-Christ!

355      Peu importe ce que c’était, je ne sais pas. Ça devra seulement être sur la bande. Mais je sais que c’était une femme qui avait la foi, qui croyait.

356      Croyez-vous en lui maintenant? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Est-Il le même hier, aujourd’hui et éternellement? [«Amen.»] Vous savez que ça doit être l’Esprit. Maintenant cela dépend de ce que vous pensez que c’était.

357      Comment allez-vous, madame? [La soeur dit: «Très bien.»–N.D.E.] Maintenant, nous sommes étrangers l’un à l’autre. Je–je ne vous connais pas. Et vous êtes beaucoup plus jeune que moi. Mais croyez-vous que Jésus peut me dire ce qu’est votre problème, ou quelque chose à votre sujet? Cela vous donnera-t-il la foi pour croire? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Vous savez que je ne pourrais pas savoir quoi que ce soit. Il me serait impossible de le savoir. Cela devrait venir de Lui, l’Esprit. Et vous êtes consciente en ce moment qu’il y a quelque chose qui se passe. C’est Sa Présence.

358      Vous ne vous tenez pas ici précisément pour vous-même. Vous avez beaucoup de problèmes. Vous avez un... spirituel, beaucoup de problèmes spirituels sur lesquels vous vous posez des questions. [La soeur dit: «Oui.»–N.D.E.] Et vous allez... Vous allez recevoir la réponse à ces problèmes. Et juste pour vous faire savoir que je sais de quoi je parle, certains de ces problèmes se rapportent à quelque chose qui se passe dans votre église. [«C’est juste.»] Oui, oui. C’est juste. C’est juste. Il s’agit des affaires. Ça se passe dans votre église, et vous pensez que cela n’est pas juste. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est la vérité.

359      Une autre chose, je vois une personne apparaître, qui est presque morte. C’est un cas de cancer. Vous priez pour le cancer, quelqu’un de votre contrée. Et vous êtes aussi de l’Oregon, parce que c’est la même contrée que celle d’où vient la femme qui vous a précédée. C’est juste. Recevez ce que vous avez demandé. [La soeur dit: «Merci, Seigneur.»–N.D.E.] Rentrez chez vous. Votre foi vous l’a accordé.

360      Je n’ai point touché la femme. Mais Dieu l’a touchée, c’est Dieu qui l’a fait pour elle. Croyez simplement.

361      Bonsoir, madame. Nous sommes étrangers l’un à l’autre. Le Seigneur Jésus nous connaît tous deux.

362      Maintenant, juste un instant. Quelque chose est arrivé dans l’auditoire. Soyez très révérencieux. Il y a un homme qui est apparu devant cette femme-ci, c’est quelqu’un qui a la foi. Continuez simplement à prier, qui que vous soyez. J’ai manqué cela. Continuez simplement à prier.

363      Encore, voyez, pour vous parler. Chacun a un esprit. Voyez? Et les gens commencent à croire, vous voyez. Et c’est ce qui produit cet effet, voyez, la foi de tout le monde tirant de tout côté, vous voyez. C’est la raison pour laquelle je dois avoir quelqu’un ici juste devant moi.

364      Il y a même des ministres assis ici, qui sont malades, qui sont en train de prier en ce moment même. Voyez? Et c’est... Voyez?

365      Et je vous ai appelés, vous qui avez des cartes de prière. Je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît. Alors si le Seigneur Jésus me dit quelque chose que vous avez fait dans votre vie, ou que vous auriez dû faire, ou quelque chose qui ne va pas chez vous, si vous êtes malade, ça pourrait être un problème domestique ou un problème financier. Je ne sais pas ce que c’est. Mais peu importe ce que c’est, vous saurez si c’est vrai ou pas, s’Il le dit. Allez–allez-vous croire–croire que–que vous êtes maintenant dans Sa Présence? Pas dans ma présence, ou dans la présence de ces hommes ici présents, cela ne vous donnerait pas la sensation que vous éprouvez en ce moment. C’est Sa Présence.

366      Il y a un homme qui se tient continuellement à côté de cette femme. C’est un homme costaud. C’est quelque chose. Je vois cela. Vous êtes une amie à un homme que je connais, Paul Cain, un ministre. Vous le connaissez. C’est juste, parce que le voilà. C’est... C’est juste. Il a prié pour vous, cet homme. Et votre problème, vous avez une rupture, et la rupture est dans le diaphragme. C’est juste. Et cela a causé des complications et toutes sortes de maladies. Vous n’êtes pas d’ici. Vous êtes de... Vous venez de l’ouest par rapport à cette ville. Vous venez de la Californie. Croyez-vous Jésus-Christ? [La soeur dit: «Oui, monsieur.»–N.D.E.] Voulez-vous L’accepter? Mademoiselle Moss, vous voulez rentrer à la maison bien portante? Retournez et croyez cela. Ayez foi en Dieu maintenant. Ne doutez pas, et cela va s’accomplir.

367      Croyez-vous au Seigneur Jésus? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

368      Bonsoir. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, je suppose. Le seigneur Jésus nous connaît tous deux. Je ne vous connais pas, mais le Seigneur Jésus vous connaît bien.

369      C’est–c’est une Lumière, et Elle ne cesse de s’éloigner de l’estrade. Continuez tous à croire comme cela. Allez simplement de l’avant, continuez simplement à croire. Voyez? Continuez à prier. C’est juste.

370      Vous souffrez d’une grosseur. Croyez-vous que le Seigneur Jésus peut me dire où se situe la grosseur? C’est sur votre sein droit, le poumon. C’est juste. Vous n’êtes pas d’ici. Quelqu’un vous a envoyée ici. Dites donc, vous avez été dans une ligne de prière avant. C’était à... Vous venez de Chicago. Et vous avez été guérie une fois dans la réunion, cela vous avait été révélé, vous aviez un problème dans votre côté, ou à la jambe, ou quelque chose comme cela. Et vous avez été guérie dans la réunion. Et un homme aux cheveux gris, ayant une mous-... grise. C’est le pasteur Mattsson-Boze, lequel est votre pasteur à l’église de Philadelphie, c’est de là que vous venez; il vous a envoyé ici ce soir. C’est juste. Jésus-Christ vous guérit. Retournez à Chicago, en vous réjouissant. Jésus-Christ vous guérit.«Si tu peux croire, tout est possible.»

371      Bonsoir. Nous sommes étrangers l’un à l’autre. Je ne vous connais pas, mais Jésus-Christ vous connaît. Croyez-vous qu’Il est capable de me donner Son Esprit? En fait, je ne suis pas suffisant comme ministre, vous le savez, de... Vous le savez. Mais–mais, par un don dont il est parlé dans la Bible, un don promis pour les derniers jours, «de ramener la foi des enfants à celle des pères»... Croyez-vous que l’heure est arrivée pour cela, et que ce ministère est en train d’opérer dans l’Eglise aujourd’hui?

372      Vous aussi, vous venez de Chicago, parce que je vous vois marchant sur une rue. Ça me parait comme Clark Street. C’est juste. Et vous souffrez de l’arthrite, et de différentes maladies dans votre corps. Vous pouvez rentrer maintenant. Votre foi vous a guéri. Que Dieu vous bénisse. Allez, en croyant de tout votre coeur.

373      Croyez-vous que Dieu guérit l’arthrite? Alors regagnez votre place et remerciez-Le pour cela. Soyez guéri. Portez-vous bien.

374      Voulez-vous vous avancer, madame? Voulez-vous aller manger et vous sentir encore bien, étant guérie de cette maladie d’estomac? Allez manger. Jésus-Christ vous guérit.

375      Madame, la dame là-bas avec la petite enfant, croyez-vous que Dieu va guérir cette enfant? Je peux vous dire le problème de l’enfant, mais je ne peux pas la guérir. Regarde ici, ma chérie. J’ai une fillette là-bas, à peu près comme toi. Je la quitte plusieurs fois (elle pleure comme tu le fais maintenant) pour aller voir des fillettes. Crois-tu que Jésus peut guérir la maladie du coeur et te rétablir? Viens ici. Viens à moi.

376      Père céleste, que la puissance du Saint-Esprit qui est présent en ce moment sauve la vie de cette enfant. Au Nom de Jésus-Christ, je réclame sa vie. Amen.

            Ne doutez pas de cela. Ne doutez pas de cela, soeur. Allez, croyez, et ça ira mieux.

            Croyez maintenant de tout votre coeur.

377      Approchez, madame. Croyez-vous que Dieu peut guérir cette maladie des femmes, cette maladie gynécologique, l’écoulement va s’arrêter? [La soeur dit: «Oui, monsieur.»–N.D.E.] Retournez. Croyez cela de tout votre coeur, et soyez rétablie. Voyez, Voyez?

378      Vous voulez respirer encore bien et librement, et vous débarrasser de ce vieil asthme et tout? Rentrez à la maison et croyez cela de tout votre coeur. Vous pouvez être guéri et rétabli. Croyez de tout votre coeur.

379      Dieu guérit la maladie du coeur, aussi. C’est juste. Croyez-vous cela? Retournez simplement et dites: «Merci, Seigneur Jésus.» Et louez Son Nom, et vous serez rétabli. Au Nom de Jésus-Christ, accorde-lui ceci.

380      Croyez-vous? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Combien croient? [«Amen.»]

381      Qu’en est-il de vous là-bas sur cette civière? Croyez-vous? Croyez-vous que je suis Son prophète, je–je veux dire, Son serviteur? Cela achoppe les gens. Je ne vous connais pas. Vous êtes juste une femme qui est couchée là. Je vois que vous êtes sur une civière. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Si Dieu peut me révéler ce qu’est votre problème, allez-vous L’accepter comme votre Guérisseur? Vous êtes couverte par l’ombre de la mort. Il y a une ombre noire sur vous. Si vous restez couchée là, vous allez mourir. Ça ne servira à rien d’aller chez le médecin; c’est trop tard, pour ce qui est du médecin. La maladie qui vous tue est le cancer. Pourquoi n’acceptez-vous pas Jésus-Christ comme votre Guérisseur? Levez-vous de votre civière, prenez-la, rentrez à la maison, et soyez rétablie. Voulez-vous croire cela? Acceptez cela, et rentrez donc à la maison. Levez-vous, et croyez-le. Et la personne s’est levée.

382      Qu’en est-il de vous qui avez levé la main là-bas, et qui portez ce manteau blanc? Croyez-vous que je suis le serviteur de Dieu? Vous croyez que Dieu peut me dire ce qu’est votre problème, monsieur? Vous faites une sorte de crise. C’est l’épilepsie. Si c’est juste, levez l’autre main. Maintenant, croyez-Le de tout votre coeur, et vous ne piquerez plus une autre crise. Je vous demande de le croire.

383      Cet homme assis ici qui me regarde, portant une chemise... regardant droit ici, vous souffrez d’une maladie du coeur. Je ne vous connais pas, mais c’est la vérité. Est-ce vrai? Laissez-moi vous dire encore quelque chose. Vous êtes ministre. Vous avez des églises que vous visitez. On dirait que c’est plutôt des gens de race noire. C’est au Mexique. C’est juste. Vous êtes tout intéressé à quelqu’un. C’est la femme qui est assise là à côté de vous. Vous croyez que Dieu peut me dire ce qu’est son problème? Je ne peux pas la guérir, mais si je peux vous dire quelle est sa maladie, allez-vous croire pour sa guérison? Elle est sourde. Posez vos mains sur ses oreilles, et croyez de tout votre coeur, et elle peut être guérie.

384      Combien vont croire la même chose? [L’assemblée se réjouit.? N.D.E.] Amen. Levez vos mains en l’air, et acceptez Jésus comme votre Guérisseur.

385      Vous qui croyez en Lui, qui n’avez jamais été sauvés, pourquoi ne pas venir à l’autel maintenant même? Vous avez dit que vous vouliez avoir dans votre coeur un sentiment comme vous en aviez, comme en avait cette mère biche. Vous voulez L’accepter comme votre Sauveur? Voulez-vous monter ici maintenant et vous tenir autour de l’autel, et me laisser prier pour vous pendant que vous êtes dans Sa Présence? Beaucoup d’entre vous ici devraient venir et se tenir ici. Si vous voulez accepter Christ comme votre Sauveur, venez juste maintenant. Voulez-vous le faire?

            Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. C’est bien.

386      Quelqu’un d’autre veut-il L’accepter? Dans Sa Présence, comment allez-vous jamais vous rapprocher de Lui? S’Il–s’Il a pu me dire ce qu’est votre problème, Il me dit que vous avez besoin–que vous avez besoin de Lui. Montez tout de suite.

            Vous qui êtes sans Lui, venez maintenant et recevez-Le comme votre Sauveur personnel. Tenez-vous ici dans Sa Présence. Qui que vous soyez, si vous êtes un membre d’église, peu importe qui vous êtes, si vous n’êtes pas encore en ordre avec Dieu, je vous demande et vous invite, au Nom de Jésus-Christ, avancez-vous maintenant avant que nous terminions cette ligne de guérison, juste pendant que le Saint-Esprit est ici, pendant que je peux offrir la prière de la foi. S’Il m’écoute pour guérir les malades, Il va certainement m’écouter pour sauver les perdus. Vous qui avez besoin de Lui comme votre Sauveur, avancez-vous maintenant au Nom de Jésus. Avancez-vous maintenant et tenez-vous autour de l’autel ici pour la prière, juste en ce moment.

387      Que le Seigneur vous bénisse. J’aime cela. Des hommes et des femmes ayant la conviction, le Saint-Esprit Lui-même les fait directement sortir et les conduit jusqu’à l’autel.

388      Vous qui croyez que ceci est le–le témoignage de la résurrection de Jésus-Christ en ces derniers jours, et que la Bible avait promis cette chose même, que ça ne peut pas être moi (je suis un homme), c’est votre Sauveur, je vous le dis, c’est Jésus-Christ. Avec ma main sur la Parole, c’est Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Sa Venue est si proche qu’Il s’est manifesté dans la plénitude de Sa puissance parmi Son peuple.

389      Si vous aviez des doutes et des frustrations, si vous n’étiez qu’un membre d’église tiède, venez ce soir et soyez rempli du Saint-Esprit pendant que le Saint-Esprit Lui-même est ici, montrant les preuves infaillibles, par l’Ecriture, qu’Il est ici. C’est Lui. Venez maintenant, vous, chaque âme qui désire Jésus-Christ dans sa vie. Avancez-vous maintenant et acceptez-Le. Venez maintenant.

            ... est possible, crois seulement.

390      Pendant que nous chantons cela, ne voulez-vous pas venir maintenant? Oh! «Crois seulement» quoi? Croyez seulement la Vérité de la Bible, ce qui vous a été dit. Le voici, confirmant cela. Pourquoi me l’a-t-Il dit juste au milieu de ce service de guérison? Pourquoi m’a-t-Il dit dans ce service de guérison: «Appelle les gens à l’autel»? Ça peut être la dernière chance pour quelqu’un. Je ne sais pas. La seule chose que je connaisse, c’est obéir à l’Esprit.

            ... crois seulement,

            Crois seulement, crois seulement,

            Tout est possible, crois seulement.

            Seigneur, je crois; Seigneur, je crois;

            Tout est possible.

391      Très bien, frères ministres, juste ici en bas, juste en bas de ce côté. «Soyez...» Cet espace-là, frère. Descendez carrément. Que les serviteurs indépendants se réunissent tout autour maintenant. Nous allons prier pour ces gens.

            Je crois; ô Seigneur, je crois;

            Tout est possible.

392      «Est-il possible que je reçoive le Saint-Esprit comme ils Le reçurent au jour de la Pentecôte?» Certainement, si vous le croyez. «Crois. Crois seulement.»

393      Voulez-vous une véritable expérience de l’amour de Dieu, comme cette vieille mère biche en avait pour son petit? Si votre expérience n’est pas semblable à celle-là, il vous manque quelque chose. Venez. Si vous voulez manifester Jésus-Christ dans votre vie, venez. Ne faites plus le religieux.

394      L’heure est là, nous ne devons pas jouer avec cette grande chose que Dieu nous a donnée, les preuves infaillibles de Jésus-Christ vivant aujourd’hui après deux mille ans passés. Ne voulez-vous pas venir? L’Eglise est en train de recevoir son dernier don. Ceci est la dernière chose qui viendra à l’Eglise avant la Venue de Christ, selon la Parole de Dieu. Jésus a dit: «Ce qui arriva du temps de Lot arrivera de même à l’avènement du Fils de Dieu.» Nous y sommes.

395      Venez, ne voulez-vous pas le faire, chaque âme qui ne Le connaît pas, chaque âme qui est dans le doute ce soir? Ne laissez pas passer cette grande occasion. Ne voudriez-vous pas venir maintenant vous tenir ici pour la prière, pendant que nous nous rassemblons autour de ce lieu? C’est juste. Continuez simplement à venir. Nous, nous voulons vous voir, tout le monde qui est... Nous attendons juste un moment, parce que je sens vraiment qu’il y en a plus ici qui devraient venir, peu importe l’église à laquelle vous êtes affilié. Nous ne vous demandons pas de devenir membre d’église. Nous vous demandons de venir recevoir Christ. Voulez-vous recevoir le Dieu qui connaît les secrets du coeur, qui peut les révéler juste ici comme Il l’a fait, qui connaît les pensées même que vous avez dans votre esprit, et qui peut vous les décrire, comme Il l’a fait autrefois? Eh bien, que le Seigneur vous bénisse.

396      Maintenant, pendant que ces gens sont autour de l’autel, et pendant que les autres sont en train de venir, que ceux qui sont dans l’auditoire se lèvent juste un moment maintenant, pendant que nous allons prier. Maintenant, vous qui êtes malades là-bas, qui n’étiez pas peut-être dans la ligne de prière, imposez-vous les mains les uns aux autres. Que tous les serviteurs indépendants et les ministres imposent les mains à ces gens-ci.

397      Etes-vous prêts? Avez-vous vu quelque chose de réel? Quelque chose a-t-il remué votre coeur? Quelque chose est-il devenu une réalité pour vous, rapidement, pour vous faire savoir que Jésus-Christ est vivant ce soir?

398      Maintenant inclinons la tête, et que chaque homme prie à sa manière. Rappelez-vous, il y a des millions de prières qui s’élèvent autour du monde en ce moment même. Dieu écoute chacune d’elles, parce qu’Il est infini. Priez maintenant comme vous le faites dans votre propre église. Priez que Dieu pardonne vos péchés. Priez qu’Il vous remplisse du Saint-Esprit. Priez que Dieu vous guérisse. C’est juste. Que le Saint-Esprit tombe parmi vous comme cela et vous donne une grande victoire et la liberté.

399      Père céleste, nous T’amenons cet auditoire en ce moment. Que la grande puissance qui a fait sortir Jésus-Christ de la tombe puisse vivifier cette église maintenant même. Que la puissance de guérison... Que chaque personne malade soit délivrée des puissances de Satan. Que chaque âme perdue soit sauvée, et que chaque personne sauvée soit remplie du baptême du Saint-Esprit. Accorde-le, Seigneur.

400      Priez comme vous ne l’avez jamais fait auparavant. Priez comme si vous alliez mourir, comme si c’était votre dernière minute, et Dieu va l’accorder.

Up