Puis Jésus Vint Et Appela

Date: 64-0417 | La durée est de: 1 heure et 28 minutes | La traduction: Shp
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1                      Crois...

            Tenons-nous debout juste un instant pendant que nous lisons la Parole du Seigneur. Dans Jean, chapitre 11, à partir du verset 18:

          Et, comme Béthanie était près de Jérusalem, à quinze stades environ, beaucoup de Juifs étaient venus vers Marthe et Marie, pour les consoler de la mort de leur frère.

          Lorsque Marie ou plutôt lorsque Marthe apprit... Jésus arrivait, elle alla au-devant de lui, tandis que Marie se tenait assise à la maison.

          Marthe dit à Jésus: Seigneur, si tu eusses été ici, mon frère... pas mort.

          Mais, maintenant même, je sais que tout ce que tu demanderas à Dieu, Dieu te l’accordera.

          Jésus lui dit: Ton frère ressuscitera.

          Je sais, lui répondit Marthe, qu’il ressuscitera à la résurrection, au dernier jour.

          Jésus lui dit: Je suis la résurrection et... vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort;

          ...quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?

          Elle lui dit: Oui, Seigneur, je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu, qui devait venir dans le monde.

          Ayant ainsi parlé, elle s’en alla. Puis elle appela secrètement Marie, sa soeur, et lui dit: Le maître est ici, et il te demande.

2          Inclinons maintenant la tête pour la prière.

3          Notre Père céleste, alors que nous sommes de nouveau rassemblés ici ce soir dans le but de Te servir, nous avons lu Ta Parole, nous avons pris un texte, et nous croyons que Tu vas nous apporter et nous révéler le contexte de ce texte. Nous prions, Seigneur, pour chaque besoin que nous avons ici ce soir.

4          Il se peut qu’il y en ait qui ne Te connaissent pas. Puissent-ils Te trouver ce soir comme leur Sauveur et l’accepter comme tel. Puissent-ils être en mesure de le faire, ce soir, à partir de quelque chose qui sera fait ou dit, qui rendra Christ une réalité vraie pour eux, à tel point que leur vie entière sera consacrée à Lui et à Son service. Nous Te remercions pour les choses que nous L’avons vu accomplir et pour cette espérance que nous avons de la Vie au-delà de cette ombre où nous vivons maintenant. Sachant ceci, que lorsqu’Il viendra, nous serons enlevés à Sa rencontre dans les airs. Et avec ceci, Seigneur, nous Te prions de placer cette espérance, cette espérance bénie, dans le coeur de chaque personne, ce soir. Ceux qui sont sur la route depuis bien longtemps et qui ont dû endurer bien des difficultés, ce soir, que leur foi soit élevée. Accorde-le, Seigneur, afin qu’ils aient une nouvelle vision ce soir, qu’ils renouvellent leurs voeux et prennent un nouveau départ.

5          Ô Père, nous prions pour ceux qui sont malades et affligés. Que ceci soit la soirée de leur délivrance. Seigneur, beaucoup de mouchoirs ont été déposés ici sur l’estrade. Et nous prions, Père céleste, alors que je pose mes mains sur cette boîte. Eh bien, la Bible nous enseigne qu’«on appliquait sur les malades des linges et des mouchoirs qui avaient touché le corps de saint Paul, et les esprits impurs sortaient des gens, et les malades étaient guéris». Eh bien, nous savons que nous ne sommes pas saint Paul, mais Toi, Tu restes toujours Jésus. Et nous Te prions, Seigneur, de guérir chaque personne que ces mouchoirs représentent. Que chacun soit guéri pour Ta gloire.

            Romps pour nous maintenant le Pain de Vie tiré de Ta Parole, alors que nous sommes dans l’attente, dans le Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Vous pouvez vous asseoir.

6          C’est bon d’être de retour ici ce soir, et de servir le Seigneur. C’est agréable de voir ce rez-de-chaussée pratiquement comble ce soir, et nous sommes très reconnaissant pour votre présence. Et comme c’est ma première fois d’être ici, je pense que c’est très bien.

7          Maintenant, peu importe la taille de l’assistance à laquelle nous parlons, nous prêchons la même chose. J’ai prêché à des groupes de trois ou quatre personnes seulement, ensuite j’ai prêché à cinq mille personnes à la fois. Une autre fois à deux cent cinquante mille personnes. Et la taille de l’auditoire que Christ m’envoie importe peu. Je prêche le... Je ne changerais pas du tout mon sujet, même si un million de gens étaient assis ici, ce soir, ce serait la même chose. En effet, je ne fais que semer la semence, et elle doit tomber dans la terre quelque part. Et lorsque cette dernière semence aura été plantée, il n’y en aura plus. Nous savons qu’il pourrait y avoir...

8          Nous nous demandons pourquoi le réveil ne continue pas maintenant, pourquoi nous ne voyons plus l’enthousiasme parmi les gens. J’ignore pourquoi. Mais réfléchissons simplement, et si c’était comme ceci. Peut-être qu’il y a un petit garçon ici ce soir, ou une petite fille qui est née là-bas à Seattle, à Washington. Eh bien, son nom est dans ce Livre-là. Or Jésus est venu pour racheter ceux dont les noms se trouvent dans ce Livre. Racheter signifie «ramener quelque chose d’où cela était tombé». Et elle était tombée avec la race humaine. Et elle ne peut pas recevoir Cela maintenant; elle est trop jeune. Alors l’église va se démener, entrer dans le jeu, tenir des réunions et ainsi de suite, jusqu’à ce que cette dernière personne sera amenée à l’intérieur, alors ce Livre sera fermé, plus personne ne sera ajouté. A ce moment-là, tout est fini.

9          En attendant, jusqu’à ce que ce temps arrive, aucun de nous ne sait. Mais continuons simplement à faire tout ce que nous pouvons pour Sa gloire, jusqu’à ce que ce temps soit fini. Nous ignorons qui est cette personne-là. Elle pourrait déjà être entrée, nous attendons simplement Sa Venue. Nous ne savons pas. Et l’heure de Sa Venue ne sera jamais révélée à l’homme, parce que même les Anges des cieux ne savent pas quand cela arrivera. Mais nous attendons simplement cela à n’importe quel moment, nous attendons, nous guettons Sa Venue.

10        Maintenant, vous devez avoir foi dans quelque chose. Peu importe ce que c’est, vous devez placer votre foi en quelque chose. Votre foi, votre foi pourrait être dans–dans un manuel. Elle pourrait être dans votre credo. Si votre–si votre foi est dans un credo, alors c’est–c’est là que repose votre foi.

11        Tenez, par exemple, une–une certaine dénomination dit: «Nous avons un manuel.» C’est ce que vous croyez. Eh bien, tout ce qui est en dehors de cela, vous ne pouvez pas y croire (voyez-vous), parce que c’est en cela que vous croyez, ce manuel de cette dénomination. Et il se peut que vous croyiez dans une certaine chose, vous pouvez faire votre choix. C’est ce que votre... nous sommes censés être libres en tant qu’Américains.

12        Mais, quant à moi, ma foi est dans la Parole de Dieu, ce que Dieu a dit que c’est la Vérité. Tout le reste qui est contraire à Cela, c’est comme si ça n’existait pas. Voyez? Je ne dis pas que cela n’existe pas, mais, pour moi, si cela est contraire à Ceci, alors cela n’existe pas. Et nous voyons aujourd’hui que beaucoup de gens fondent leur foi sur quelque chose, sur un certain isme, ou sur un certain événement, ou sur quelque chose. Mais, quant à moi, cela doit être la Parole de Dieu, et la Parole qu’Il a promise pour ce jour.

13        Il ne s’agit pas de la loi. La loi était pour les Juifs, il y a bien longtemps. Aujourd’hui nous sommes dans la dispensation de la grâce, et nous–nous vivons au-dessus de la loi. Un homme qui–qui vit dans la grâce n’a pas de loi. Il n’y a point de loi dans la grâce.

14        Comment pouvez-vous me condamner d’avoir brûlé un feu rouge ici, si la ville m’a accordé le droit de brûler aussi n’importe quel feu rouge que je voudrais? Voyez? Vous ne pourrez pas me condamner. Il n’y a point de loi pour me condamner.

15        Ainsi, aussi longtemps que je suis en Christ, je suis affranchi de la loi. Voyez-vous? Je suis au-dessus de la loi, parce que je suis dans Sa grâce. Il a placé cette confiance en moi, que je ne ferai rien de mal, sinon Il ne m’aurait pas accordé cette grâce. C’est ce qu’Il fait pour vous, de la même façon. Nous sommes dans Sa grâce.

16        Maintenant, mon sujet ce soir... N’oubliez donc pas pour demain soir. Nous allons essayer de rester peut-être un peu plus longtemps. J’aimerais arriver ici un peu plus tôt demain soir, parce que j’aimerais... Demain soir, c’est plutôt une soirée que nous allons consacrer au salut, où nous allons juste insister sur l’appel à l’autel, insister pour que ces gens reçoivent le baptême du Saint-Esprit. Et un soir, ou plutôt un jour, avant que je ne parte, j’aimerais parler sur le... un sujet sur le Sang, Le Signe, le Sang qui est censé être sur la porte, si le Seigneur le veut.

17        Maintenant, ce soir. Chaque soir, je suis en retard chaque soir. Je ferai de mon mieux ce soir, pour que l’on sorte à temps. Je me rends compte qu’il ne nous reste plus beaucoup de temps, et j’essaie de racheter le temps qui nous reste, alors soyez patients. Le... Je prierai que Dieu puisse s’emparer de chaque âme qui se trouve sous ce toit, chaque âme qui peut être sauvée, puisse-t-Il la sauver. Je ne sais pas comment Il fait. Notre travail c’est d’envoyer la Parole, ou plutôt de prêcher la Parole. Et que le... C’est une semence. Et lorsque cette semence commence à pousser, elle produit très exactement ce qui a été promis.

18        Maintenant, de Jean 11, ce soir, nous tirons ce texte: Puis Jésus vint et appela. Jésus vint.

19        Maintenant, nous prenons l’arrière-plan de ce tableau ce soir. C’était Jésus, lorsqu’Il était juste un–un jeune homme, Il était allé vivre avec une famille à Béthanie; et c’était la famille de Marie, Marthe et Lazare. Et ils avaient quitté leur–leur église, ou plutôt les credos des pharisiens et des sadducéens, et ils s’étaient liés d’amitié avec Jésus et L’avaient invité chez eux. Et Lazare était Son–Son ami intime. Et nous apprenons aussi que Lazare était un grand auditeur de Jean-Baptiste qui parlait d’un Messie qui allait venir. Et alors, quand Jésus est venu sur la scène, et qu’Il est venu à Béthanie, ils prenaient toujours soin de Lui dans cette maison.

20        Eh bien, nous apprenons que Marthe et Marie confectionnaient de petites tapisseries pour le temple, et ainsi de suite, alors que Lazare faisait des études pour devenir scribe, pour écrire les lettres de la loi. En... En ce temps-là, on écrivait cela sur des peaux, comme la peau des animaux, c’étaient des parchemins et on enroulait cela en petits rouleaux qu’on gardait dans un petit étui. Et Lazare avait une très belle écriture. Et il pouvait écrire sur ces rouleaux.

21        Et Jésus demeurait avec eux. Et ils L’avaient vu accomplir bien des choses, ils avaient tellement confiance en Lui qu’ils Lui ont simplement donné leur vie toute entière. Bien qu’Il était...

22        Vous voyez, en Son jour, Jésus était plus ridiculisé et on se moquait plus de Lui qu’on ne le ferait pour le culte le plus bas qu’il y a sur terre aujourd’hui. Il ne pouvait rien exister de plus bas et de plus méprisé que Jésus. Voyez-vous? Les églises Le haïssaient. Et elles ne voulaient tout simplement rien à voir avec Lui, rien du tout, parce qu’Il les réprimandait sans cesse, et les traitait de toutes sortes de qualificatifs; et Il démolissait leurs assemblées. Il mettait tout simplement le monde sens dessus dessous, pour ainsi dire. Et les gens essayaient de trouver des erreurs pour L’accuser, mais ils ne pouvaient pas en trouver. Et pourtant Il était... Pour eux: «Il était un enfant illégitime. Il était né en dehors des liens sacrés du mariage. Il était un drôle de personnage. Il n’avait aucune instruction de ce monde, pour ainsi dire, et cependant Il se disait Lui-même Prophète. Et, oh! la la! quel type horrible c’était!» Et eux tous Le rejetaient, partout.

23        Cela n’a pas tellement changé. Voyez? C’est comme je le disais hier soir: «Le diable retire son homme mais pas son esprit.» L’esprit des gens, l’esprit qui était dans ces gens, avait vécu bien avant. Si nous devions rester ici pendant quelques mois, pour faire une étude approfondie des Ecritures, j’aurais voulu vous prouver qu’il n’y a pas un seul culte sur la face de cette terre aujourd’hui, dont je ne serai pas en mesure de vous prouver qu’il a commencé dans la Genèse, et vous montrer son commencement. C’est une semence, tous ces cultes, c’est juste comme une vigne qui pousse. Et cela arrive carrément au temps du bourgeonnement maintenant, et cela retourne à–à la semence. Alors tout ce que vous voyez en train de se produire sur terre, cela avait commencé dans la Genèse, parce que la Genèse c’est le chapitre semence de la Bible, le–le commencement.

24        Alors vous voyez, ces esprits qui étaient sur ces hommes autrefois en ce temps-là vivent encore sur les hommes aujourd’hui. Vous voyez? Satan retire l’homme, mais l’esprit continue à vivre.

25        Dieu retire Son homme, mais l’Esprit continue à vivre. C’est ce qui fait que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il a retiré Jésus-Christ, mais l’Esprit, le Saint-Esprit, est revenu; Il a été sur les gens dans l’Eglise tout au long des âges. Voyez-vous? Parce que Dieu retire Son homme mais pas Son Esprit.

26        Satan retire son homme, mais vous voyez ces mêmes esprits. Observez leur nature.

27        Ce soir, dans votre état présent, identifiez-vous maintenant, là où vous vous tenez, à un personnage de la Bible. De quel côté vous seriez-vous tenu si vous aviez vécu au temps de Noé? De quel côté vous seriez-vous tenu? De quel côté vous seriez-vous tenu au temps du Seigneur Jésus, lorsqu’Il était ici sur terre dans Sa chair? A quel groupe seriez-vous identifié, ce soir? Pensez-y tout simplement. Voyez? A quel groupe seriez-vous identifié, lorsque Paul faisait des reproches aux Corinthiens en ce temps-là pour les choses qu’ils faisaient? A quel groupe seriez-vous identifié? Voyez? Regardez simplement en arrière. C’est comme regarder dans un miroir. Nous pouvons voir là où nous... ce que... Tout ce que nous étions, nous le sommes maintenant, c’est ce que nous aurions été en ce temps-là. En effet, l’esprit qui est en nous maintenant et qui était identifié en ce temps-là, c’est le même esprit qui était sur ces hommes en ce temps-là. Oh! la la!

28        Cela devrait nous secouer et nous tirer du sommeil dans lequel nous–nous sommes plongés, la tiédeur. Mais, vous savez, la Bible dit que nous devions en arriver là, afin qu’Il vomisse la chose toute entière de sa bouche. A-t-Il promis cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Nous savons tous que c’est ce qu’Il a promis. Et Il le fera. L’église toute entière doit être vomie de Sa bouche.

            Alors l’Epouse sort de l’Eglise. C’est-à-dire les élus.

29        Eh bien, Jésus avait quitté Sa famille et demeurait avec Marthe, Marie et Lazare. Et un jour, vous savez...

30        Il a dit dans la Bible, qu’Il ne faisait rien avant que le Père Lui ait montré quoi faire. Jean 5.19, Jésus a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père; le Fils aussi le fait pareillement.» Et si vous prenez comme modèle cette Ecriture, si nous avions le temps d’analyser cela, cela pourrait... vous verrez que c’est juste. Vous passerez... parfaitement... Cela se faufile simplement à travers toute la Bible. Et cela se trouve dans chaque verset de la Bible.

31        La Bible est une continuité. Toutes les Paroles sont en harmonie. Il n’y a aucune contradiction dedans. Tout s’accorde parfaitement. Si vous trouvez une contradiction, vous l’avez eue en dehors de la Bible, parce que la Bible ne se contredit pas. C’est une continuité, une continuité, dans son entièreté. Remarquez.

32        Maintenant ceci, Jésus, lorsque... Il était le plus grand don que Dieu ait jamais donné à la terre, au monde. «Dieu a tant aimé le monde», Jean 3.16. Eh bien, les gens avaient foi en Cela.

33        Les dons de Dieu sont toujours méprisés par les mouvements religieux modernes. Considérez n’importe quelle époque, aux jours d’Elie, aux jours de Moïse, n’importe quelle époque que vous voulez. Où que ce soit, cela a toujours été méprisé, toujours. Cela n’a jamais changé.

34        Et alors, nous voyons là aussi qu’en ce jour-là, lorsque Dieu utilisait Jésus...

35        Eh bien, il y a eu une fois où une femme a utilisé le don de Dieu, à travers Jésus. Elle avait touché Son vêtement, et Jésus a reconnu qu’Il ignorait qui L’avait touché. Eh bien, je ne crois pas qu’Il était simplement... qu’Il plaisantait ou racontait des histoires. Je crois que chaque Parole qu’Il a prononcée était significative, avait un sens. Et Il a dit: «Qui M’a touché?» Il ne le savait pas. Et Il a parcouru toute l’assistance du regard, jusqu’à ce qu’Il a repéré la femme qui avait cette foi-là, et Il lui a dit que sa perte de sang était guérie à cause de sa foi. Eh bien, c’était la femme utilisant le don de Dieu. Maintenant, vous voyez, cette seule femme a utilisé Son don, et cela a affaibli Jésus.

36        Mais considérez ce cas-ci, lorsqu’Il a ressuscité Lazare d’entre les morts. Là, il n’est pas du tout dit qu’Il s’était affaibli. Combien plus difficile c’était de rappeler un homme dont l’âme était à une distance de quatre jours de voyage, et la corruption s’était déjà installée dans son corps! Peut-être au bout de quatre jours, son nez s’était déjà affaissé. Et Le voilà, Il l’a rappelé à la vie, et Lazare a vécu, et il a mangé et il a bu comme tout autre homme. Combien c’était plus glorieux par rapport à cette femme qui a touché Son vêtement. Mais là, c’était Dieu utilisant Son don. Voyez-vous?

37        Eh bien, c’est cela la différence ici sur l’estrade. Maintenant, si vous suivez les–suivez les services et sortez, quelquefois, comment Cela annonce des choses qui vont se produire, eh bien, des années à l’avance, des semaines à l’avance, des mois à l’avance, où aller, et quoi faire. Là, c’est Dieu qui utilise Cela.

38        Mais ici, c’est vous qui utilisez Cela. Ce n’est pas moi. Cela coule tout simplement, parce que c’est juste un don pour–pour vous détendre, pour retirer cela du contrôle de l’être humain, afin que Dieu puisse Lui-même prendre la commande avec Cela, et dire certaines choses. Or, c’est votre propre foi, vous ne vous en rendez pas compte, c’est vous qui faites cela, vous-même. C’est votre propre foi qui fait cela.

39        Maintenant, quand Dieu veut accomplir quelque chose, Il vous élève simplement, Il dit: «Maintenant, il arrivera que tu vas aller à un certain endroit. Lorsque tu passeras en voiture sur cette avenue, telle chose va se produire ici. Il y aura un homme vêtu d’un–d’un complet brun. Il a des cheveux gris. Il te rencontrera là-bas. Va chez lui, parce que sa femme est très malade. Elle se trouve à cet autre endroit. Voici comment est son apparence. Et va lui imposer les mains. Dis-lui de restituer telle chose qu’elle avait prise ici il y a quelques années, et de faire quelque chose, de confesser, et elle ira bien.» Alors j’en parle aux gens. Nous y allons. Voici l’homme en question. C’est très exactement ce qui s’est passé en rapport avec différentes choses dans cette nation.

40        A propos de cette Marilyn Monroe, lorsqu’elle est morte, les gens ne croiront jamais autre chose, sinon que cette fille s’est suicidée. Mais elle ne s’est pas suicidée. Elle est morte d’une crise cardiaque. J’ai vu la chose, des jours avant que cela se produise, et j’en ai parlé aux gens. Mais ils n’ont pas voulu m’écouter.

41        Lorsque ces boxeurs se sont entre-tués, six mois avant que cela... Là à New York, l’un a tué l’autre. Je les ai vus dans–dans leurs tavernes, en train de se disputer. Et j’ai vu l’un tuer l’autre, six mois avant que la chose arrive.

42        Toutes ces choses que le–que le Seigneur me montre, c’est Lui-même utilisant Son don. Il n’y a pas... Vous ne devenez pas faible après cela. Mais lorsque... ce qui m’affaiblit, c’est lorsque vous utilisez le don de Dieu, comme le Saint-Esprit. Moi, je ne suis pas Son don. C’est le Saint-Esprit qui est Son don. C’est le don de Dieu à l’Eglise, le Saint-Esprit, et c’est vous qui utilisez Cela. Et Cela peut être utilisé chaque fois que vous pouvez vous mettre hors du chemin. Voyez-vous ce que je veux dire? Laissez le Saint-Esprit commencer à vous utiliser.

43        Maintenant, dans ce cas-ci, Jésus avait reçu du Père l’ordre de quitter cette maison et de s’en aller.

44        Si vous remarquez comment cela s’est passé, ils... après que Lazare est tombé malade. Et sans doute beaucoup de gens ont dit: «Oui, oui, voyons donc où se trouve maintenant ce saint exalté de prédicateur qui prie pour les malades. Il n’est pas sur la scène.»

45        Alors, Il s’était éloigné. Et finalement, elles–elles L’ont envoyé chercher. Lorsque le médecin l’a abandonné, elles ont envoyé chercher Jésus. Mais plutôt que de venir, Il a carrément continué à s’éloigner. Elles ont de nouveau envoyé des gens. Plutôt que de venir, Il a simplement continué à aller dans la direction contraire. Voyez? Et alors, tout d’un coup, Il s’est arrêté, Il a regardé Ses disciples en arrière: après plusieurs jours, la vision que le Père Lui avait montrée s’était accomplie. Il a dit: «Lazare dort.»

            Les disciples ont dit: «Eh bien, il est guéri.» Voyez?

46        «Il dort», il n’est pas mort. Un croyant ne meurt pas. Voyez? Et Il le leur a dit dans leur langage: «Il est mort. Et, à cause de vous, Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là. Mais, Je vais le réveiller. Je vais le réveiller.» Voyez?

47        Il savait que cela allait donc s’accomplir. Parce que s’Il ne le faisait pas, alors Il leur avait dit quelque chose de faux lorsqu’Il avait dit: «Je ne fais rien, à moins que le Père Me le montre premièrement.» Voyez? Il savait cela.

48        Et alors considérez-Le à la tombe: «Père, Je Te rends grâces de ce que Tu M’as déjà exaucé. Mais Je dis ceci à cause de la foule qui M’entoure.» Voyez?

            «Lazare, sors!» Et il est sorti. Il est sorti de la tombe.

49        Maintenant, lorsque Jésus a quitté la maison, eh bien, la mort et les ennuis se sont installés. Et, souvenez-vous tout simplement, lorsqu’Il quitte votre maison, les ennuis sont en route. Eh bien, ici Il n’avait pas été chassé. Plutôt Il était simplement parti, parce que le Père L’avait éloigné. Tout espoir avait disparu. Eh bien, quelle triste maison c’était! Beaucoup d’entre nous ce soir savent sympathiser avec une telle maison, lorsque la mort a déjà frappé notre maison. Et vous ne saurez jamais ce que c’est jusqu’à ce que vous passiez une fois par cela. Mais, vous savez, lorsqu’ils étaient...

50        La mort avait frappé la petite maison. Elles L’avaient envoyé chercher. Quelle maison brisée c’était! L’Homme en qui elles avaient placé leur confiance, l’Homme qu’elles avaient aimé, l’Homme qu’elles avaient vu guérir les malades, faire voir l’aveugle, prophétiser, connaître les pensées du coeur, et dire aux gens ce qui allait arriver, tout le temps. Et Il correspondait aux Ecritures à la lettre, très exactement, si bien que ces gens qui aimaient les Ecritures croyaient en Lui. Voyez? Et c’était là un de Ses amis les plus fidèles, et Il a laissé cela arriver. Voyez? Il a laissé cela arriver juste pour voir ce qu’elles feraient. Nul doute que c’est ce qui était dans la pensée du Père à ce propos.

            Tout espoir avait disparu. L’Homme en qui elles avaient cru a montré qu’Il n’était pas ce qu’elles pensaient qu’Il était, ou ce qu’Il était censé être. Et elles étaient désespérées. Lazare, leur frère, était mort.

51        Elles ne pouvaient plus retourner à l’église, parce qu’elles avaient déjà accepté Jésus, «Ce fanatique», et on les avait excommuniées; et elles avaient des notifications de leur église, comme on le dirait aujourd’hui, disant qu’elles ne pouvaient plus y retourner. Et elles n’avaient plus d’église. Et, apparemment, elles n’avaient plus d’amis. Les gens de la ville les avaient rejetées. Leurs meilleurs amis qui s’associaient à eux dans l’église n’avaient rien à faire avec elles, parce qu’elles avaient accepté Jésus, «ce fanatique extrémiste».

52        Ainsi donc, l’Homme en qui elles avaient fait confiance les avait carrément laissées tomber et ne voulait pas leur accorder une faveur. Et elles L’ont envoyé chercher une seconde fois. Et Il les a encore laissées tomber; et Il a laissé cet homme mourir, être embaumé, être mis dans la tombe et être enseveli. Eh bien, vous parlez d’une heure sombre, c’était l’heure la plus sombre que cette petite maison eût jamais connue!

53        Et alors Jésus vint. C’est Lui, en cette heure sombre. Quelquefois Il laisse cela arriver. A l’heure la plus sombre, alors Jésus vint. Sa Présence apporte toujours de nouveaux espoirs.

54        Ceci peut être l’heure la plus sombre pour certains d’entre vous. Il se pourrait que le médecin vous ait abandonné avec le cancer. Et cet homme a fait tout ce qu’il pouvait afin de vous sauver la vie, mais cela dépasse sa–sa connaissance. Il ne peut plus rien faire. Il a fait tout ce qu’il pouvait, et vous allez mourir. Il se pourrait que ce soit l’heure la plus sombre que vous ayez jamais connue. Mais, souvenez-vous, c’est à cette heure sombre que Lui vient. Il vient. Alors, lorsqu’Il vient, cela apporte un nouvel espoir. Cela apporte de nouveaux espoirs lorsqu’Il vient. Sa Présence apporte de l’espoir.

55        Marthe est sortie. Elle avait toujours montré ses couleurs, elle ne semblait pas tout aussi fidèle que Marie, parce que Marie écoutait la Parole, mais Marthe, elle préparait le dîner pour Lui, et tout. Elle a montré ce qu’elle était juste à ce moment-là.

56        En effet, lorsque Jésus est revenu dans la ville, il ne fait aucun doute que beaucoup de gens ont dit: «Maintenant, après que ce garçon est mort et enseveli, maintenant ce saint exalté de prédicateur revient discrètement dans la ville.» Il ne fait aucun doute que lorsque Marthe est sortie, certains d’entre eux ont dit: «Regardez, la voilà aller maintenant. Si j’étais à sa place, je Lui dirais ses quatre vérités. Je le Lui cracherais lorsque j’arriverais là. Oh! sans doute qu’elle le fera. Allons la voir faire cela.» Si elle avait fait cela, nous serions en train de lire une toute autre histoire, ce soir.

57        Maintenant observez-la. La voilà aller. Elle est peut-être passée près du pasteur de sa–de sa première église. Et celui-ci a dit: «Eh bien, voyons maintenant ce qui va se passer. Voyez-vous? Il s’était éclipsé. Lorsque l’heure, l’heure cruciale était venue, Il s’était éclipsé.»

58        Or, il ne fait aucun doute qu’au départ Marthe était une lectrice de la Bible; sinon elle n’aurait jamais accepté Jésus. Elle ne pouvait pas accepter cela sur base de la psychologie des gens, ni sur base de la religion de ce jour-là. Elle ne pouvait pas accepter cela sur base de l’église, parce que l’église Le haïssait. Et les religieux Le haïssaient. Tous Le haïssaient. Donc, elle doit avoir été une lectrice des Ecritures, et elle avait lu la Bible.

59        Au temps d’Elie, il y avait une femme du n-... une Sunamite. Elle était stérile. Et elle avait foi dans un homme, en un prophète, celui de ce jour-là, en Elie. Et elle lui avait fait construire une petite pièce sur le côté de sa maison. Ou plutôt, elle et son mari avaient une belle maison. Ils avaient construit une pièce et y avaient placé un–un vase d’eau, une pièce où il pouvait se laver et faire sa toilette, ils avaient construit une très belle pièce confortable. Et lorsqu’il est passé par là, lui et Guéhazi son serviteur, il a dit: «Regarde quelle gentillesse cette Sunamite a–a montré à notre endroit.» Il a dit: «Va lui demander s’il faut que je parle au chef de l’armée que je–je connais. Je le connais très bien. Ou bien, devrais-je parler au roi? J’ai été aussi appelé bien des fois pour lui parler et conférer avec lui.» Il a dit: «Eh bien, je ne sais pas si je pourrais lui parler quand j’irai encore devant lui, ou lorsque je serai appelé auprès de l’une de ces personnalités.»

60        Alors Guéhazi est allé et lui a demandé. Et elle a dit: «Non, a-t-elle dit, j’habite au milieu de mon peuple. Je n’ai aucune raison de demander pareille chose. Cela est juste venu de mon coeur, juste parce que je sais que c’est un homme de Dieu. Et je voulais lui accorder une faveur. C’est tout.» Il a dit...

61        Bien, Guéhazi est revenu et a dit: «Mais son mari est vieux, et ils n’ont pas d’enfants.»

62        Alors Elie doit avoir eu une vision. Et il a dit: «Va lui dire, à cette même époque, dans environ un an, elle embrassera un fils.» Et elle a embrassé un fils. Elle a eu un petit garçon.

63        Le petit garçon avait environ douze ans. Et il était allé au champ avec son père, vers onze heures de la journée, alors ça a dû être une insolation. Il s’écria: «Ma tête! ma tête!» Et le père dit à un serviteur de le ramener à la maison, et–et on le coucha sur les genoux de sa mère. Et vers midi, le petit garçon mourut, il était devenu tellement malade, c’était probablement une insolation. Il avait rendu le souffle. Il était mort.

64        Alors elle l’a pris et l’a étendu sur le lit d’Elie. Quel endroit où l’étendre! Oh! là là! C’était exactement l’endroit qu’il fallait. Il était étendu sur le lit d’Elie.

65        Et elle a dit à un serviteur: «Maintenant selle une mule, et pars. Et ne t’arrête pas jusqu’à ce que je te le dise, parce que nous devons aller vers l’homme de Dieu.» Elle savait que si elle pouvait parvenir auprès de cet homme, elle saurait le pourquoi. Si Dieu avait pu lui annoncer la venue de cet enfant, et que lui avait pu la bénir de la bénédiction de Dieu, afin que son–que son sein stérile puisse porter un enfant, Dieu pouvait sûrement dire à cet homme pourquoi Il avait repris l’enfant. Elle a dit: «Ne t’arrête pas jusqu’à ce que je te le dise. Allons vers cet homme de Dieu.»

66        Eh bien, lorsque le–le conducteur de la mule est arrivé près de l’homme de Dieu, ce dernier ignorait ce qui était arrivé. Dieu ne dit pas à Ses prophètes tout ce qui va arriver. Il ne savait quoi faire. Alors il a dit: «Voilà venir cette Sunamite», a-t-il dit, à Guéhazi. Il a dit: «Et–et elle est triste, et Dieu me l’a caché. J’ignore ce qu’elle désire.»

67        Alors lorsqu’elle s’est approchée... J’aime cela. Lorsqu’elle est parvenue tout près d’Elie, Elie cria, disant: «Te portes-tu bien? Ton mari se porte-t-il bien? Ton enfant se porte-t-il bien?»

68        Remarquez, son mari faisait les cent pas, en criant. Voyez-vous? Lui n’avait pas la foi qu’avait cette femme. Lui ne faisait que crier et faire des histoires; tous les voisins faisaient des histoires. Et l’enfant, des heures avant cela, était froid, étendu sur le lit.

69        Observez-la lorsqu’elle est arrivée auprès de cet homme de Dieu. Elle a dit: «Tout va bien.» Amen. J’aime cela. «Tout va bien maintenant. Je suis en présence de Son représentant.» Amen. Ça y est. «Tout va bien.» Et ensuite, elle est tombée à Ses pieds et s’est mise à lui révéler la chose; ce n’est pas lui qui le lui a dit. C’est elle qui le lui a dit.

70        Et alors, il a dit à Guéhazi: «Ceints tes reins, prends ce bâton et va le poser sur l’enfant.» Il ne savait quoi faire.

71        Je pense donc que c’est de là que... Paul, un autre homme versé dans les Ecritures, n’aurait jamais–jamais pris des mouchoirs qui avaient touché son corps, s’il n’avait pas un passage des Ecritures pour cela. Elie savait que tout ce qu’il touchait était béni; mais s’il pouvait amener cette femme à croire cela! Je pense donc que c’est ce que Paul a fait. Maintenant nous, nous oignons les mouchoirs d’huile. Eh bien, ce n’est pas scripturaire, mais c’est en ordre. C’est parfaitement en ordre. La Bible dit: «Et on prenait des linges ou des mouchoirs qui avaient touché le corps de Paul.» Remarquez. Mais...

72        Et Elie a dit: «Prends ce bâton, va le poser sur l’enfant. Et si quelqu’un te parle, ne réponds pas. Poursuis simplement ton chemin, pose ce bâton sur l’enfant.»

73        Or, la foi de cette femme n’était pas dans le bâton. Elle était dans le prophète. Elle a dit: «Le–l’Eternel Dieu est vivant, et ton âme est vivante, je ne te quitterai point.» Et elle s’est tenue là, persévérante, jusqu’à ce qu’elle a obtenu la réponse sur ce qu’elle voulait savoir.

74        Eh bien, Elie n’avait pas la réponse, alors il n’y avait qu’une seule chose à faire, c’était d’aller avec elle. Alors, il a ceint ses reins, et il est parti.

75        Il a rencontré Guéhazi qui revenait. Il a dit: «As-tu suivi mes consignes?»

76        Il a dit: «Oui. J’ai placé le bâton sur l’enfant. Il n’y a encore pas de vie ni rien.» Cela faisait des heures et des heures que l’enfant était mort.

77        Eh bien, Elie est entré. Il ne savait quoi faire. Alors, souvenez-vous, il s’est mis à faire les cent pas; il allait et revenait, allait et revenait jusqu’à ce que l’Esprit est descendu sur lui. Et lorsque l’Esprit est descendu sur Lui, il s’est étendu sur l’enfant, et l’enfant a éternué sept fois et est revenu à la vie, à cause de la détermination et de la foi de cette mère.

78        Eh bien, Marthe savait que cette Sunamite avait eu foi dans ce prophète, qui était le représentant de Dieu sur la terre pour ce jour-là. Elie était le... était le représentant de Dieu pour son jour. Elle savait qu’elle avait vu suffisamment de prodiges accomplis par Jésus pour savoir qu’Il était le Représentant de Dieu en ce jour-là. Voilà. Voyez? Cela fait que les Ecritures sont vraies.

79        Alors, lorsqu’elle est sortie en courant vers Lui, comme tel, elle avait le droit de Le réprimander et de dire: «Pourquoi n’es-Tu pas venu? Pourquoi n’es-Tu pas venu? Nous T’avons envoyé chercher. Nous avons quitté l’église. Nous avons fait tout ceci.» Non. Ça c’est la version de 1964 de cela. Ce n’est pas ce qui s’est passé en ce temps-là, voyez. «Nous avons fait ceci. Nous avons fait cela. J’ai donné ceci. J’ai donné cela.» Qu’avez-vous donné? Dieu a donné Son Fils pour vous et moi, des gens indignes.

80        Elle a dû se rendre là. Et elle savait que Dieu s’était manifesté. Et observez-la lorsqu’elle est arrivée. Les gens l’ont suivie pour voir ce qu’elle dirait. Eh bien, elle est sortie là, et elle est d’abord tombée devant Lui, et elle a dit: «Seigneur (C’est ce qu’Il était), si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort.» Voyez-vous? «Ton frère ne serait pas mort.» Et elle...

            Il a dit: «Ton frère ressuscitera.» Et Il...

81        «Oui, Seigneur. Il ressuscitera au dernier jour, à la Résurrection générale. Il était un bon garçon. Il ressuscitera au dernier jour.» Vous voyez, ils croyaient à la Résurrection générale.

            Jésus a dit: «Mais Je suis la Résurrection et la Vie.»

82        Oh! la la! après l’avoir laissé tomber. Comment un Homme, qui était la Résurrection et la Vie, pouvait-Il traiter un ami comme cela? Quelquefois Il vous éprouve, pour voir ce que vous ferez. Voyez? Il place la chose devant vous, et Il regarde ce que vous allez en faire. Il pourrait faire cela ce soir. Il fait cela afin de voir ce que vous ferez à ce sujet.

83        Alors nous voyons qu’après cela, elle a dit: «Je crois que Tu es le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde.» C’est exactement ce qu’Il confessait être. «Et même maintenant, bien que mon frère soit mort, bien qu’il ait été embaumé, bien qu’il soit enseveli et qu’il sente dans la tombe, mais même maintenant tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» Vous y êtes. Vous y êtes. C’est ça la chose capitale. Elle croyait dans ce qu’Il demandait. S’Il demandait à Dieu pour elle, Dieu exaucerait Sa prière. «Même maintenant, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»

84        Eh bien, pouvez-vous avoir ce genre de foi ce soir, dans la Parole de Dieu? Eh bien, Jésus est Sa Parole. Pouvez-vous avoir autant de foi dans la Parole de Dieu? Alors qu’Elle est–est directement confirmée pour ce jour tout autant qu’Elle l’était en ce jour-là. Pouvez-vous croire cela? «Tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» Voyez?

85        Vous direz: «Mais le médecin m’a abandonné, Frère Branham, il a dit qu’il ne peut plus rien faire pour moi.»

86        «Mais même maintenant, Seigneur.» Dites: «Je n’ai pas marché depuis des années. Mais même maintenant, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» Il est assis à la droite de la Majesté céleste, attendant que vous demandiez. «Même maintenant, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»

87        La Bible ne dit-Elle pas: «Il est assis à la droite de la Majesté»? Qu’est-ce que la droite? Ce n’est pas une main comme la main d’un homme, comme la mienne. C’est la puissance, la main droite de la puissance. Il est Dieu avec nous, Dieu en nous. Il est Dieu ici maintenant. La droite, toujours présent et vivant, juste ici. Lorsque vous avez besoin de Dieu, vous n’avez pas besoin d’aller au Ciel. Il est juste ici avec vous. La droite de la puissance de Sa Majesté, assis ici, prêt à intercéder sur base de votre confession, attendant d’être invoqué.

88        «Même maintenant, Seigneur!» Même si le médecin m’a dit qu’il ne me reste plus qu’une semaine à vivre. «Même maintenant, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»

89        Ce n’est pas étonnant qu’Il ait dit: «Ton frère ressuscitera.» Il a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort. Et quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?»

            Elle a dit: «Oui, Seigneur, je le crois.» C’est ça.

90        Maintenant, lorsque vous avez une véritable foi, lorsque ces dents d’engrenage se mettent à s’emboîter comme cela, la roue va tourner. Quelque chose va se produire, parce qu’il y a la puissance de deux côtés. La puissance, dans la foi! Et la puissance... La petite roue tournait par la foi. La grande roue tournait par la puissance de Dieu. Lorsque ces choses se mettent à tourner, quelque chose doit se produire.

91        Pour produire cette lumière qui est là-haut, il faut deux matériaux et une dynamo, pour tourner ensemble. C’est juste comme vous. Cela produira la lumière. Cela produira la foi. Cela produira–cela produira la puissance. Cela produira la guérison. Lorsque le croyant et Dieu se mettent à tourner ensemble, cela produit la puissance de Sa résurrection. Lorsque le croyant accepte Sa Parole dans son coeur et commence à générer cela, cela produit la foi parce qu’Il l’a promis. Tout est en ligne. La seule chose que vous devez faire pour produire de l’électricité, c’est d’appuyer sur le bouton. C’est tout ce que vous devez faire lorsque cette Ecriture est censée s’accomplir maintenant. Appuyez sur le bouton. N’ayez pas peur.

92        Voilà le problème qu’ont les gens. J’ai souvent dit... C’est un peu ridicule de le dire. Je vois deux catégories de gens lorsque je voyage, les fondamentalistes et les pentecôtistes. Je ne connais rien d’autre en dehors de cela. Et les fondamentalistes sont des gens qui, côté position, savent où ils se tiennent, mais ils n’ont aucune foi dans ce qu’ils font. Et les pentecôtistes sont des gens qui ont... ils ont cette foi-là, mais ils ignorent qui ils sont.

93        C’est juste comme un homme qui a de l’argent en banque et qui ne sait pas remplir un chèque, tandis que l’autre sait remplir un chèque, mais il n’a pas d’argent en banque. Si vous pouvez simplement les mettre ensemble. Si vous amenez les pentecôtistes à se réveiller et à comprendre que le Saint-Esprit qu’ils déclarent avoir, c’est Lui qui identifie Son Nom et Sa Parole, alors signez le chèque de votre nom et présentez-le. Observez cela être–observez cela être reconnu par les banques du Ciel.

94        «Demandez Tout ce que vous voulez au Père en Mon Nom.» Voyez? N’ayez pas peur de le demander. Il a promis qu’Il le ferait. Oh! là, c’est... Vous n’avez pas à vous inquiéter là-dessus. Il l’a promis.

95        Remarquez cela maintenant. Et elle avait raison, lorsqu’elle a compris que si Dieu était en Elie (C’était le cas. C’était le cas), il était aussi christ. Croyez-vous cela? Jésus a dit qu’il l’était, Il a dit qu’il était un dieu, parce que la Parole de Dieu était venue à lui. Si Dieu était en Elie, combien plus était-Il dans Son Fils! Et si Dieu, au travers de cette petite portion, pouvait ressusciter un enfant mort, à combien plus forte raison, Dieu dans Sa plénitude!

96        Eh bien, combien plus maintenant, Dieu s’identifiant avec nous et en nous. L’expiation a été faite. Elle n’était pas encore faite en ce temps-là. Ils étaient encore sous l’expiation du–du sacrifice de bélier. Et aujourd’hui, nous, nous sommes sous l’expiation du Sang de Dieu; non pas le sang d’un Juif, ni le sang d’un Gentil. Il n’était ni Juif ni Gentil. C’était le Sang de Dieu.

97        Le sang vient du sexe mâle. Et une poule peut pondre un oeuf, mais si elle n’a pas été avec l’oiseau mâle, cela n’éclora pas. Cela n’est pas fécondé. La fécondation provient de l’hémoglobine, c’est le sang qui se trouve dans le sexe mâle, toujours. La femme ne donne que l’oeuf.

98        Et dans ce cas, Jésus était le Sang de Dieu, une cellule de Sang créée. Il n’était ni Juif ni Gentil. Il était Dieu. La Bible dit: «Nous sommes sauvés par le Sang de Dieu», non pas le sang d’un Juif ni d’un Gentil, le Sang créé. C’est là que... s’Il était un Juif, ma foi est vaine. S’Il était un Gentil, ma foi est vaine. Il était Dieu. Il était le Dieu immortel manifesté dans la chair, car Il a créé une cellule de Sang et Il a créé Son propre corps. Amen. Cela fait trembler les démons et les met en fuite. Cela les fait déguerpir. Lorsque vous voyez la véritable chose authentique. Gloire au Seigneur! [L’assemblée applaudit.–N.D.E.] Dieu manifesté dans la chair. Il est le Sang de Dieu. Par conséquent, la Vie vient de ce germe. Et alors, par ce Sang...

99        Au moment du sacrifice dans l’Ancien Testament, celui qui rendait le culte plaçait les mains sur un bélier et on tranchait la gorge de celui-ci. Le sacrificateur prenait le sang et le brûlait. Et celui qui rendait le culte sentait les douleurs de la mort sur le–le bélier, ses mains étaient couvertes du sang du petit bélier qui mourait, qui mourait, ou de la petite brebis, alors qu’elle mourait, mais il retournait avec la même conscience qu’il avait lorsqu’il était venu. Parce que quand cette cellule de sang était brisée, c’était le sang de quelque chose d’autre, d’un bélier, voyez, et l’oeuf provenait de la femelle. Et la vie qui se trouvait dans cette cellule de sang ne pouvait pas revenir sur la vie de celui qui rendait le culte, parce que c’était la vie d’un animal. L’animal n’a pas d’âme, ainsi il ne peut pas distinguer le bien du mal. Par conséquent, cela ne pouvait pas revenir.

100      Mais avec Ceci, lorsque nous plaçons réellement nos mains sur notre Sacrifice, Jésus, et que nous sentons dans nos coeurs que nous sommes coupables, et que nous savons ce que nous faisons, que le Sang de ce Sacrifice, la Vie qui se trouvait dans ce Sang c’était Dieu Lui-même, alors Il revient sur vous, le Saint-Esprit. Vous devenez un fils de Dieu, alors vous n’avez plus aucune conscience du péché. Celui qui est né de Dieu ne pratique pas le péché. Il ne peut pas pécher. La semence de Dieu est en lui. Il ne peut pas pécher. Il n’a plus du tout le désir de pécher. Alors, aussi longtemps que vous éprouvez le désir de pécher, vous en êtes coupable. Mais lorsque vous n’en avez plus aucun désir, si vous faites quelque chose de mal, alors ce n’est pas volontairement que vous le faites.

101      Hébreux 6 dit: «Si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés.» Pécher volontairement. Alors si vous continuez à éprouver ce désir de pécher volontairement, il y a quelque chose de faux dans votre expérience.

102      Maintenant, lorsqu’elle L’a entendu, elle avait raison... Lorsqu’Il a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie. JE SUIS.» Oh! quelle assurance de la Parole promise, parce qu’Il était le JE SUIS qui était dans le désert avec Moïse, là derrière dans le buisson ardent! Même lorsque tout espoir avait disparu, cependant elle était convaincue. Si seulement elle pouvait L’amener à demander, la chose allait se produire. Eh bien, combien nous avons besoin d’une telle foi aujourd’hui!

103      Eh bien, elle a dû croire à ce qui était impossible pour la pensée moderne, pour le courant de pensée moderne. Elle a dû croire à l’impossible. Mais les choses impossibles deviennent réelles lorsque Dieu est pris au mot. Les choses impossibles deviennent réalité lorsque Dieu est pris au mot.

104      Remarquez combien c’est beau, «mais même maintenant, Seigneur, même maintenant», peu importe la–la situation. «Même maintenant, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu le fera», en cette heure sombre.

105      Passons en revue juste quelques personnes ici, ou à peu près cela, dans la Bible, pendant juste une minute, juste pour prendre cette heure sombre avant que nous appelions la ligne de prière.

106      Pensons à Job. Il était l’homme le plus intègre sur terre, et Satan était tombé sur lui. Et il est d’abord allé vers Dieu, il a accusé Job d’être le chouchou de Dieu. Il a dit: «Bien sûr, Tu l’as bien protégé. Brise simplement la clôture. Je le ferai Te maudire en face.»

            Dieu a dit: «Tu n’y arriveras pas.» Vous voyez?

107      Et alors, Job est entré dans toutes sortes de tourments. Souvenez-vous, il a perdu toutes ses richesses. Il a perdu toute sa popularité.

108      Il était un prince, vous savez, en Orient, et tous les jeunes princes avaient coutume de venir s’incliner devant lui parce qu’il était un sage. Il était un prophète. Et tout le monde désirait le voir, parler avec lui juste un instant. Juste un instant de son temps signifiait beaucoup. Et combien il descendait souvent la rue, honorant Dieu dans son coeur, parce qu’Il avait fait de lui un prophète!

109      Et les sages venaient et disaient: «Monsieur Job, nous savons que le Grand Dieu du Ciel est avec toi. Nous aimerions recevoir juste un petit conseil. Nous avons fait telle chose. Qu’est-ce que nous devrions faire?» Et Dieu le révélait à Job. Et ils allaient faire cela de cette manière-là, et c’était exactement la chose qu’il fallait. C’était très bien.

110      Mais tout d’un coup, tout le monde s’est retourné contre lui. Oui. Tout le monde l’a abandonné. Alors les cyclones sont venus, ont tué ses enfants et ont tué tous ses troupeaux. Tout ce qu’il avait a disparu. Alors certains de ses meilleurs amis sont venus, peut-être les diacres de son église, vous voyez, ils sont venus le réconforter. Et ils l’accusaient: «Eh bien, Job, tu sais, un homme qui avait la faveur de Dieu comme toi, et tout ceci est arrivé, il doit y avoir quelque chose qui cloche. Tu dois avoir fait quelque chose de mal.»

111      Job a dit: «Je suis convaincu que je n’ai rien fait de mal. Mon coeur est pur devant Dieu, et j’ai offert mon sacrifice.» Amen.

112      Ça y est, alors tenez-vous-en à cela. Si vous avez rempli les exigences de Dieu, tenez-vous carrément là. Ne bougez pas. Abraham considérait tout ce qui était contraire à cette promesse comme n’existant pas. Il ne douta point par incrédulité au sujet de la promesse, mais il fut fortifié, donnant gloire à Dieu.

113      Job s’en est tenu carrément à cela. Au bout d’un moment, sa propre femme s’est retournée contre lui. Job eut une irruption d’ulcères, sa propre santé déclina. Et il est sorti et s’est assis sur un tas de cendre, et il se grattait avec un tesson ou quelque chose de ce genre, un fragment. Imaginez-vous simplement combien misérable était la condition de cet homme!

114      Je me souviens avoir pris cela une fois dans mon tabernacle, il y a des années. Et j’étais resté sur cela pendant une année, juste sur le Livre de Job. C’était comme cela. Nous avions simplement détaillé cela, et nous avions relié la Parole toute entière. Et je l’avais gardé sur ce tas de cendre pendant environ cinq dimanches d’affilée. Et je n’avais jamais... Au bout d’un moment, une petite soeur m’a écrit une lettre. Elle a dit: «Frère Branham, quand allez-vous relever Job de ce tas de cendre?» Mais je–j’essayais simplement d’arriver à quelque chose. Voyez? C’est ce que j’essayais de faire. J’essayais simplement de régler cela, la raison pour laquelle il se trouvait là.

115      Et sa femme est venue et a dit: «Job, tu es misérable. Pourquoi ne maudis-tu pas Dieu et ne meurs?»

116      Maintenant écoutez. Il ne l’a pas traitée de femme insensée. Il a dit: «Tu parles comme une femme insensée.» En d’autres mots: «Tu–tu–tu parles stupidement.» Il a dit: «L’Eternel a donné, et l’Eternel a repris. Bénis soit le Nom de l’Eternel.»

117      Alors il savait qu’il allait mourir. Et il a dit: «Eternel...» Au chapitre 14 de Job, il est dit: «Lorsqu’un arbre tombe, il a de l’espérance.» Il savait qu’il avait été... Cela avait influencé les gens. Sa vie avait été utile. Dieu ne nous donne pas cette vie juste pour flâner, pour ceci, pour cela. Il la donne, afin qu’elle Lui soit utile. Faites quelque chose. Parlez à quelqu’un d’autre. Si vous ne pouvez pas parler, sifflotez un cantique, ou quelque chose. Faites une certaine impression, quelque part. Et Job était le genre d’homme qui était utile.

118      Il a dit: «Quand un arbre descend dans la tombe, à–à l’approche de la pluie, ses racines repoussent. Quand une fleur meurt, la petite semence repose là et elle éclate, la pulpe en sort. Il n’y a aucun moyen pour vous de voir la vie qui se trouve dedans. Mais à l’approche du printemps, cette petite fleur repousse. «Il y a donc de l’espérance quand une fleur meurt, quand un arbre meurt. Mais l’homme, a-t-il dit, il se couche, il rend l’âme. Ses fils viennent l’honorer, et il l’ignore.» Job voulait savoir. «Lorsque l’on plante une semence en terre, elle pousse. Mais lorsque l’on plante l’homme en terre, il ne se relève pas.» Alors il a dit: «Qu’en est-il de tout ceci?»

119      Et il n’arrivait pas à comprendre. «Comment l’homme, qui a bien plus de gloire qu’une fleur; l’homme qui a bien plus de gloire qu’un arbre, qui est à l’image de Dieu; et pourtant quand on le plante en terre, ça–ç’en est fini de lui. Ses fils viennent pleurer, et il l’ignore. Oh! si Tu voulais me cacher dans le séjour des morts, m’y tenir à couvert jusqu’à ce que Ta colère fût passée! Tu me fixes un terme et un lieu que je ne peux franchir.»

120      Remarquez maintenant, lorsque toute cette détresse est venue. Et ses amis lui ont tourné le dos, et l’ont accusé de pécher en secret. Sa femme l’a rejeté. Tout le monde l’avait rejeté. Il a dit que même son haleine était étrangère à sa femme. Et tout lui était arrivé! Et à ce qu’il paraissait, Dieu l’avait rejeté. Et il allait mourir et être enterré.

121      Dieu lui a parlé comme pour dire: «Job, maintenant ceins tes reins. Je vais te parler.» Et alors, lorsqu’Il a dit: «Tu vois, l’arbre n’a jamais péché. La–la fleur n’a jamais péché. Elle a servi Mon dessein. Donc cela était fécondé, l’un comme l’autre, cela n’a jamais péché, c’est pourquoi cela ressuscite. Mais l’homme a péché, par conséquent il est retranché.»

122      Ainsi donc, Job s’est mis à se demander, et alors il était dans l’angoisse tout comme Marthe. En cette heure la plus sombre, lorsque... toute son influence, avait-il vécu cela en vain? Comment allait-Il s’adresser à Job? Il était un prophète. Comment allait-Il lui parler? Dans une vision.

123      Alors il a levé les yeux, et les tonnerres ont grondé, les éclairs ont brillé, et Jésus est venu. Alors il L’a vu dans les derniers jours. Il a dit: «Je sais que mon Rédempteur est vivant, et qu’au dernier jour, Il se tiendra debout sur cette terre. Même si les vers détruisent ce corps, cependant dans ma chair je verrai Dieu, c’est Lui que je verrai.» A l’heure la plus sombre, alors Jésus vint.

124      Maintenant, ça c’est le plus ancien Livre de la Bible. Le Livre de Job a été écrit avant le Livre de la Genèse, d’après ce que l’on dit.

125      Maintenant remarquez Moïse, dans son heure sombre. Il avait eu la connaissance. Sa mère lui avait raconté que Jéhovah l’avait suscité, qu’il allait être le libérateur du peuple. Et il avait essayé de faire cela militairement, parce qu’il était un militaire, il avait été élevé par Pharaon, pour devenir un–un conducteur. Il allait être le prochain Pharaon. Et il est allé essayer de les délivrer par ses propres mains.

            Mais Dieu ne délivre pas comme cela. Dieu délivre par Sa main à Lui.

126      Il était donc intelligent, instruit, il avait appris toute la... avait obtenu son doctorat, son doctorat en droit, et tous les doctorats en droit et en théologie qui étaient associés à cela, je pense. Alors il s’est dit: «Je crois que je l’ai maintenant. Je viens juste de sortir du séminaire.» Alors il est allé là et il a échoué.

127      Puis Dieu l’a amené là-bas pendant quarante ans et a ôté de lui toute cette instruction, pendant quarante ans. A présent, il était un vieil homme, avec des favoris pendant jusqu’à sa taille, et avec un bâton dans sa main, et tout espoir de délivrer le peuple avait déjà disparu. Les pauvres Hébreux là-bas souffraient sous ces chefs de corvées, et on les frappait au dos, et–et ils tripotaient de la boue dans cette boue-là. Tout espoir de délivrance avait disparu. Et puis un jour, derrière le désert, Jésus vint, une Colonne de Feu. Il a dit: «JE SUIS.»

            C’est ce qu’Il était. Un jour Il parlait...

128      Ils ont dit: «Eh bien, Tu dis que Tu as vu Abraham? Oh! ont-ils dit, oh! Tu n’as pas plus de cinquante ans. Et Tu dis... Nous savons que Tu es fou. Tu as–Tu as un démon.»

            Il a dit: «Avant qu’Abraham fût, JE SUIS.»

129      Ainsi, c’était Jésus qui était venu dans une Colonne de Feu, à son heure la plus sombre. Et alors il est descendu là.

130      Vous savez, lorsque Jésus s’empare de vous, cela vous amène à faire des choses qui semblent insensées aux yeux du monde. Pouvez-vous vous imaginer ce vieil homme descendre là pour prendre le contrôle de cette ville, ou plutôt de ce pays-là? Et il l’a fait, avec un bâton tordu dans sa main, mais lui-même était dans la main de Dieu. C’est ce qui faisait la différence.

131      Eh bien, parlons d’un autre personnage pendant juste un instant. Parlons de Jaïrus, dans la Bible au temps de Jésus. Lui, c’était un aimable petit gars. Il était un–un croyant, il croyait en secret. Je l’appellerais en quelque sorte un croyant frontalier, comme les espions qui sont allés de l’autre côté et qui ont goûté les bonnes choses et qui sont revenus et ont dit que cela ne pouvait pas se faire. Mais Jaïrus croyait en secret. Il croyait au Seigneur Jésus, parce qu’il était un homme merveilleux. Il avait probablement étudié les rouleaux et il avait vu que Jésus remplissait toutes ces exigences, et qu’Il était ce Prophète qui était censé être suscité, selon ce qu’avait dit Moïse. Mais il n’arrivait pas à faire sa confession, parce que tout celui qui confessait avoir été avec Jé-... être allé chez Jésus, eh bien, il était immédiatement excommunié. Et lui était un sacrificateur.

132      Mais, vous savez, Dieu a parfois une façon de forcer les circonstances pour vous amener à faire la chose. Alors, vous savez, il avait une petite fille, son unique enfant. Et elle est tombée gravement malade, et ils ont appelé le médecin. Et le médecin a fait tout ce qu’il pouvait faire, et la petite devenait de plus en plus malade. Alors le médecin l’a appelé dehors et a dit: «Jaïrus, je déteste de te dire ceci, Docteur ou Révérend Jaïrus. Mais tu sais quoi? Cette enfant va mourir. Il ne lui reste plus qu’une heure à vivre.» Je peux m’imaginer toute l’hystérie, et les gens qui se tenaient là tout autour, en train de pleurer. Et ils l’ont étendue sur un petit lit, là sur une sorte de petit canapé. Et ensuite Je...

133      Je peux voir le petit Jaïrus aller là, mettre son chapeau et son manteau sacerdotal. Sa femme dit: «Où vas-tu?»

134      «Tu sais, je pense que je suis obligé.» Puis il est parti.

            Et il a dit: «Où...»

            Son pasteur se tenait là, il a dit: «Jaïrus, où vas-tu?»

            «Euh! eh bien, je me suis dit que je pourrais faire un tour.»

135      Vous savez, c’était son heure la plus sombre. Voici quelqu’un approcher sur la route, il dit: «Eh! Jaïrus, tu sais qui est au quai? Jésus de Nazareth, ce Prophète-là vient juste d’arriver.» C’était son heure la plus sombre, puis Jésus vint juste à cette heure sombre. Je peux le voir tirer ce petit chapeau sur son visage et descendre la route aussi vite qu’il pouvait.

136      Il a dit: «Seigneur, viens imposer les mains à mon enfant, et elle vivra.»

            Alors qu’il était sur son chemin du retour, aussitôt, quelqu’un d’autre a dit: «Ne Le dérange pas. Il... Elle est déjà morte. Elle est morte hier, elle est étendue là maintenant.» Oh! il a... Son petit coeur a failli se fendre.

137      Je peux voir Jésus le regarder, Il a dit: «Ne T’ai-je pas dit: ‘Ne crains pas et tu verras la gloire de Dieu’?» Je peux imaginer que son coeur s’est remis à battre normalement. Ils ont remonté la route, observant chaque mouvement. Lorsqu’Il est entré dans la maison, les gens ont dit: «Oh! elle est morte.»

            Il a dit: «Elle n’est pas morte. Elle dort.»

138      «Eh bien, ont dit les gens, maintenant nous... Nous avons entendu dire que Tu es fou; maintenant nous sommes convaincus que Tu l’es.»

139      Il a dit: «Sortez, vous tous qui êtes incrédules. Je ne peux rien faire pendant que vous, les incrédules, vous êtes assis ici.» Il les a tous fait sortir. Ensuite Il s’est avancé vers l’enfant, Il a dit: «Jeune fille, lève-toi.» Et elle s’est levée. L’heure la plus sombre, la mort avait frappé la maison, puis Jésus vint.

140      Maintenant nous remarquons que lorsque cette petite fille était malade, Il n’a pas attendu, comme Nicodème, un entretien privé la nuit. Le besoin était pressant. Il devait immédiatement passer à l’action. C’est la même chose à cet instant. Si jamais il y a eu un temps où vous avez besoin d’être guéri, c’est maintenant même le moment. N’attendez pas un autre moment. Voici le moment de passer à l’action. Absolument. Il était poussé à bout, alors Jésus vint et la rappela d’entre les morts.

141      L’aveugle Bartimée, encore un personnage dont nous pourrions parler juste pendant une minute. J’aimerais vous donner le récit de sa vie, comment il–il était, comment il gagnait sa vie grâce aux petites colombes qui faisaient des culbutes. Et alors, en ces jours-là, on utilisait un agneau pour conduire un aveugle, juste comme on utilise un chien aujourd’hui pour conduire un aveugle.

142      Et alors un jour, il est rapporté que l’aveugle Bartimée, avant que Jésus vienne sur scène, cet homme avait une petite fille qui était malade. Et il est dit... il s’est retiré dehors, il a pleuré et il a prié le Seigneur, il a dit: «Seigneur, si Tu... si Tu m’accordes juste la vie de ma petite fille. Je n’ai jamais pu la voir. Mais si Tu la laisses vivre, je Te promets, demain, je Te donnerai mes deux tourterelles.» C’est ce qu’il avait pour divertir les gens. Il y avait beaucoup de mendiants, il lui fallait avoir quelque chose d’inhabituel. Alors les deux petites tourterelles faisaient des culbutes l’une sur l’autre. Alors il a dit, bien, il pouvait... Il a offert, il a donné l’offrande, parce que l’enfant a été guérie.

143      Quelques jours après cela, sa femme est tombée malade. Et il est allé à tâtons sur le côté de la maison, il a dit: «Seigneur, je n’ai rien d’autre à part mon petit agneau qui me conduit.» Il a dit: «Si Tu la rétablis, a-t-il dit, je vais–je vais–je vais Te donner cet agneau.» Et alors, le jour suivant, sa femme fut guérie.

144      Alors le voici qui descend. Et il a dit–le sacrificateur a dit: «Où vas-tu, aveugle Bartimée?»

145      Il a dit: «Je vais là pour offrir cet agneau.» Il a dit: «Ma femme, Jéhovah a guéri ma femme.» Et il a dit: «Je m’en vais offrir cet agneau.»

146      Le sacrificateur a dit: «Tu ne peux pas offrir cet agneau-là, Bartimée.» Il a dit: «Cet agneau, c’est tes yeux.»

147      Bartimée a dit: «Mais si Bartimée honore la promesse qu’il a faite à Dieu, Dieu pourvoira à un agneau pour les yeux de Bartimée.»

148      Un jour, il a entendu un tapage à travers la ville, certaines personnes criaient: «Dis donc, Toi le Prophète de Galilée, on me raconte que Tu ressuscites les morts.» Ça, c’était le sacrificateur. «Nous en avons un cimetière plein par ici. Monte en ressusciter quelques-uns. On me raconte que Tu ressuscites les morts. Laisse-nous Te voir aller en ressusciter un. Certaines personnes de bien sont enterrées là. Ressuscite-les sous nos yeux.» D’autres disaient: «Si Tu es prophète, dis-moi ce que j’ai fait hier.»

149      Certains disaient: «Gloire à Dieu dans les lieux très hauts! Dégagez la voie pour le Roi d’Israël.»

150      Il y avait toutes sortes d’agitations, et il y avait des centaines de gens. Or, si vous allez, si jamais vous allez à Jéricho, et que vous situez l’endroit où il était assis, il était à environ deux cents yards [182,8 m] de la porte par où les gens sortaient. Eh bien, il ne fait aucun doute que les gens lui tombaient dessus. Et le pauvre vieil homme était assis là sous le vent, tremblant et vêtu de haillons. Et il n’avait pas un agneau pour le conduire, et pas–et pas de colombes. Et il n’avait probablement pas de bois à la maison pour l’hiver, et c’est... ça pouvait être vers le mois d’octobre, et il faisait froid. Et il était assis là, dans cette condition. Et il... Une gentille dame lui a certainement dit, lorsque...

151      Il a dit: «Qui est-ce? C’est quoi tout ce bruit?» Vous savez, il y a quelque chose d’étrange. Là où se trouve Jésus, il y a toujours beaucoup de bruit. Oui. C’est vrai. Il a dit: «C’est quoi, tout ce bruit?» Bien, les gens ont dit...

152      Cette gentille dame, elle devait être une disciple de Jésus. Elle a dit: «Tu sais, c’est Jésus de Nazareth.»

            – Bien, c’est qui, Jésus de Nazareth?

153      – Bien, tu sais, les Ecritures disent que le Seigneur Dieu suscitera un prophète.

            – Oh! oui! Tu veux dire le Fils de David? Est-Il sur la terre?

            – Je L’ai vu faire exactement ce qu’ont dit les Ecritures. Il est la Parole. C’est exact.

154      Il a crié: «Oh! Jésus, aie... Oh! Jésus, Fils de David, aie pitié de moi!» Maintenant, il a compris. Il était déjà passé. Il savait que le son de son cri ne pouvait pas être entendu. Mais il savait que s’Il était la Parole, et qu’Il était ce Messie-là, Il devait être un Prophète, car le Messie était un Prophète. Et il savait qu’il pouvait... sa foi en Dieu. Sans doute qu’il a crié: «Jéhovah, aie pitié de moi! Aie pitié! Accorde-moi de pouvoir L’arrêter maintenant.» Et il a crié: «Fils de David, aie pitié de moi!» Probablement, avec tous les cris, Il ne pouvait pas l’entendre. Mais sa foi L’a arrêté. C’est ce qu’a dit Jésus.

155      «Et Jésus s’arrêta.» J’aimerais prêcher sur cela, peut-être une fois, un jour. Et puis Jésus s’arrêta.

156      Et Il s’arrêta. Il regarda tout autour. Et Il a dit: «Ta foi t’a guéri.» A l’heure la plus sombre, puis Jésus vint.

157      Le matin juste avant cela, il y avait un... lorsqu’Il... c’était le matin, juste avant qu’Il n’arrive, qu’Il ne passe cette porte cet après-midi-là. Il était entré dans la ville, il y avait là un homme du nom de Zachée. Et il était l’homme d’affaires de la ville. Et sa femme, Rebecca, était une–une bonne femme, une croyante du Seigneur Jésus.

158      Mais lui-même n’y croyait pas, parce que le rabbin lui avait dit: «Les prophètes n’existent pas. Nous n’avons pas eu de prophètes. C’est un tas de non-sens. Ne croyez pas à une pareille chose. Vous êtes vraiment un homme bien cultivé; vous avez vos affaires ici. Oh! ne croyez jamais à cela. Considérez votre position dans l’église.»

159      Et alors, il avait parlé à Rebecca, disant: «Oh! c’est un non-sens. Les prophètes n’existent pas.»

160      Mais, vous savez, Rebecca avait prié jusqu’à ce que son petit coeur était sur le point de se fendre. Il voulait voir par lui-même. Il savait donc qu’Il allait venir dans la ville ce jour-là. Savez-vous alors ce qu’il a fait? Il était de petite taille, alors il ne lui était pas possible de–de voir Jésus à son passage, à cause de la foule. Alors il a dit: «Je vais voir si c’est un Prophète ou pas. Si je le regarde en face, je vous dirai s’Il est différent de tout autre homme.» Alors il a grimpé sur un arbre, et il a ramené toutes les feuilles autour de lui et tout, et il s’est assis là. Et il a dit: «Eh bien, vous savez, lorsqu’Il passera, je Le verrai.»

161      Alors comme Jésus arrivait au coin, Il marchait comme ceci, Il descendait la rue, Il est arrivé juste en dessous de cet arbre. Et Il s’est arrêté, Il a levé les yeux, et Il a dit: «Zachée, descends. Je vais avec toi dans ta maison.» Oh! c’était son heure la plus sombre. Etait-Il un Prophète ou n’était-Il pas un Prophète? A l’heure la plus sombre, Jésus vint. Il savait qui il était: «Zachée, descends.»

162      Zachée a dit: «Si j’ai fait quelque chose de mal, je rembourserai cela. Je ferai n’importe quoi.» Il était convaincu. Jésus vint.

163      La femme à la perte de sang s’était rendue là. La Bible dit: «Elle avait dépensé tout son argent chez les médecins. Aucun d’eux ne pouvait l’aider.» Sans doute que les médecins avaient essayé de leur mieux, mais ils avaient échoué. Ils n’ont pas pu l’aider. Elle avait souffert de cette perte de sang depuis des années et des années, probablement depuis la ménopause. Et elle était maintenant une femme avancée en âge, et cela continuait tout simplement. On ne pouvait arrêter cela. Oh! elle avait... Elle était désespérée. Parce que, sans doute, ce matin-là, lorsque la petite–petite barque a été poussée dans les vagues là-bas, quelqu’un... Elle habitait en haut sur la colline. Probablement son mari avait vendu les chevaux, et–et la ferme avait été hypothéquée, et tout, pour obtenir la guérison de sa pauvre petite femme. Pas... Elle avait entendu parler de Lui. Elle a dit: «C’est qui, là en bas?»

            On a dit: «C’est ce Prophète-là de Galilée.»

164      Elle s’est dit dans son coeur, sans aucune Ecriture pour cela: «Je crois en Lui. Et si seulement je peux toucher le vêtement de ce Juste, je serai guérie.» Si elle a pu faire cela sans une promesse dans les Ecritures, que devrions-nous faire avec la promesse qui est dans les Ecritures? Elle s’est frayé un chemin.

165      Il y avait là le pasteur et tous les autres qui se tenaient là pour la critiquer, ils se moquaient de Lui et cherchaient à Le faire partir du pays. Ils ne voulaient pas que l’esprit de leurs fidèles soit troublé. Ils ne pouvaient pas coopérer à Ses réunions. Ils ne pouvaient rien faire.

166      Mais Il est quand même venu tenir une réunion. Voyez? Et alors Il allait quand même en tenir une. Puis nous voyons qu’il y avait là deux ou trois personnes qui voulaient L’aider, alors ils Lui ont fait traverser la rivière, de toute façon. Et puis, nous voyons que sur... quand Il s’est mis à avancer.

167      Cette petite femme s’est dit: «Eh bien, un Homme comme Celui-là est tellement important, je suis trop insignifiante devant Lui.»

168      Et beaucoup, certains d’entre eux disaient: «Euh, présente-moi à Lui, parce que je–je veux voir s’Il est un Prophète ou pas. Euh, alors, bien, présente-moi, Simon», untel. Tout le monde disait: «Salut Rabbi! Eh bien, on dit que Tu es Prophète.»

169      «Oui, oui. Merci monsieur. Que le Seigneur vous bénisse.» Il continuait comme cela, alors qu’Il poursuivait Son chemin.

170      Premièrement, cette petite femme continuait de se faufiler parmi ces hommes en s’approchant, jusqu’à ce qu’elle a finalement touché Son vêtement extérieur. Le vêtement palestinien est ample; et il possède aussi un–un vêtement de dessous, afin de protéger les jambes de la poussière. Et Il n’a pas du tout senti cela physiquement. Elle L’avait donc touché. C’était exactement ce qu’elle désirait faire. Elle est retournée s’asseoir.

171      C’était son heure la plus sombre, elle avait perdu tout son argent, tout le reste, et Jésus est venu. Jésus s’est retourné et a dit: «Qui M’a touché?» Il a regardé là, et elle était là. Il a dit: «Ta foi t’a sauvée.»

172      La petite femme au puits, moralement parlant, elle ne pouvait pas être pire que ce qu’elle était. Elle avait... Elle venait juste d’avoir son sixième mari, alors moralement parlant, elle ne pouvait pas être pire. A son heure la plus sombre, sans doute, elle montait là et elle se disait: «Que je suis malheureuse, moi! Je suis une belle jeune femme, mais je commence à prendre un petit peu de l’âge. Je suis maintenant dans la vingtaine, alors mon... ne peut pas aller...»

173      Or, souvenez-vous, soeur, lorsque vous dépassez la vingtaine, lorsque vous dépassez vingt-deux ans, vous déclinez, que vous le croyiez ou pas. Vous déclinez. Oui. Vous déclinez. Chaque homme aussi. Vous, lorsque vous atteignez environ... vous êtes...

174      C’est ce que j’ai demandé une fois dans une réunion des Kiwanis. J’ai dit: «Dites-moi, comment expliquer que lorsque je mange la nourriture, cela crée des cellules de sang et je deviens plus grand et plus fort. Lorsque j’avais seize ans, je mangeais la même nourriture que je mange maintenant. Je devenais plus grand et plus fort tout le temps. Maintenant, depuis que j’ai dépassé vingt-deux ans, peu importe la quantité de nourriture que je mange, combien je me porte bien, je deviens plus faible et plus vieux. Comment expliquer cela, si je renouvelle ma vie maintenant, cela se ferait-il? Chaque fois que je mange, je renouvelle ma vie, parce que j’ajoute des cellules de sang. Pourquoi cela ne bâtit pas mon corps maintenant comme auparavant?» Scientifiquement vous ne pouvez pas le prouver, si vous deviez le faire.

175      C’est un rendez-vous que Dieu a fixé. Et vous allez y arriver aussi. Souvenez-vous tout simplement. Vous allez y arriver. Déversez l’eau d’une carafe dans un verre, ce dernier se remplit à moitié, et ensuite plus vous déversez, cela diminue; dites-moi où cela va et ce qui se passe. Voyez? C’est parce que Dieu a fixé ce rendez-vous.

176      Et cette petite femme, elle savait que ses jours étaient alors presque finis. Son occupation allait être ruinée. Alors elle se disait: «Que ferai-je? Mais, s’est-elle dit, tu sais, j’ai toujours pensé qu’un jour le Messie viendrait.» Elle s’est avancée là, au puits. D’habitude, c’est lorsque vous pensez à Lui qu’Il vient. Voyez? Alors elle s’avançait là; dans les ténèbres. Toutes les autres femmes étaient parties. Et c’était une femme immorale, elle ne pouvait pas leur adresser la parole ni rien. Elle a pris les crochets, elle a fait descendre le treuil. Et elle s’est mise...

            Elle a entendu un Homme dire: «Va chercher ton mari, et viens ici.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

177      Il a dit: «C’est vrai. Tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.»

178      Alors elle était à bout. Elle dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Je sais que lorsque le Messie viendra, c’est ce qu’Il fera.»

            Il a dit: «Je Le suis.»

179      Oh! les disciples étaient sur la mer, un soir, et tout espoir avait disparu. Peut-être que vous êtes assis ici, ce soir, dans la même condition, tout espoir ayant disparu. Leur petite barque était remplie d’eau et tout le reste. Et, Jésus... Ils étaient partis sans Lui.

180      Et alors, quand ils criaient et pleuraient, se demandant ce qui allait arriver, qu’est-il arrivé après? Ils L’ont vu venir marchant sur la mer. Vous savez quoi? Ils ont eu peur de Lui. Ç’avait l’air d’un fantôme, ç’avait l’air d’une sorte de spiritisme ou quelque chose comme ça. Voyez? Voici venir un Homme qui marchait là, comme une ombre sur l’eau, et ils se sont mis à crier. La seule Chose qui pouvait les secourir, et alors ils En avaient peur.

181      Si ce n’est pas très exactement ce qui se passe aujourd’hui, les gens En ont peur, ils En ont peur.

182      Mais qu’est-il arrivé? Juste au moment où ils avaient peur, une Voix se fit entendre, disant: «N’ayez pas peur; c’est Moi.» Puis Jésus vint. Oh! la la! Jésus vint. «N’ayez pas peur; c’est Moi.»

183      Or, Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Je me demande ce soir... Je dois omettre une partie de mon texte ici. Mais je me demande ce soir, si nous, en cette heure... Le Maître est venu tel qu’Il l’a promis, et Il appelle Ses enfants qui croient pour Le reconnaître dans Sa Parole, alors qu’Il La manifeste. Je me demande si Jésus est venu vers nous. Voici–voici l’heure la plus sombre que l’Eglise ait jamais connue.

184      Maintenant, vous savez quoi? Chaque église va bientôt devoir faire partie de ce–ce Conseil Mondial des Eglises. Et à ce moment-là, vous perdrez vos droits liés à l’Evangile en faisant cela. Et si vous ne le faites pas, alors vous ne pourrez plus être une dénomination. Parce que chaque dénomination devra y entrer. Vous avez lu cela tout comme moi. C’est l’heure la plus sombre que la petite Eglise ait jamais connue. Tout se dirige vers cela. Oh! pentecôte, réveille-toi!

185      Et juste en cette heure la plus sombre, voici alors Jésus venir, pour confirmer qu’Il est avec vous. Le voici, voyez, à l’heure la plus sombre.

186      J’ai entendu une petite histoire, cela va me prendre juste une minute pour la raconter. Une femme était–était convoquée, le comté est allé la voir, parce qu’elle était dans la misère. Elle avait un fils qui était parti en Inde depuis un certain temps. Et celui-ci était un très brave gars, un bon garçon. Et alors, cette femme en était arrivée à manquer de nourriture et tout le reste, au point que le comté est venu faire des investigations pour lui assurer la subsistance. Et alors qu’ils étaient là, l’homme a dit: «Eh bien, n’avez-vous aucun bien-aimé pour vous aider?»

            Elle a dit: «Oh! j’ai un fils.»

            Ils ont dit: «Que fait-il?»

            Elle a dit: «Oh! c’est un–un–un ingénieur électricien en Inde.»

            «Eh bien, pour le compte de qui travaille-t-il?»

            Elle a dit: «Pour le gouvernement des Etats-Unis.»

            «Oh! ont-ils dit, ne vous aide-t-il pas?»

            Elle a dit: «Eh bien, a-t-elle dit, il–il ne m’aide pas. Mais...»

187      Ils ont dit: «Bien, alors pourquoi ne lui demandez-vous pas de vous aider au lieu de faire appel au comté?»

188      Elle a dit: «C’est un garçon très doux. Il m’écrit de si belles lettres.» Et elle a dit: «Vous savez, je l’aime, alors je ne saurais pas lui dire que je–je suis dans le besoin comme ceci.»

189      Ils ont dit: «Il–il vous écrit des lettres, et vous recevez de ses nouvelles, et tout le reste?»

            «Oui.»

            «Et malgré tout il ne vous aide pas?»

190      Elle a dit: «Non.» Elle a dit: «Mais il m’envoie de plus belles images que j’aie jamais vues de ma vie.» Et elle a dit...

            Et l’homme a dit: «Faites-moi voir certaines de ces images.»

191      Elle a dit: «D’accord, monsieur. Je les ai juste ici dans ma Bible.» Et elle a ouvert sa Bible, et elle s’est mise à les faire sortir. Savez-vous ce que c’était? C’était des billets de banque de l’Inde, portant des images. Ils portent tous des images, vous savez, des billets de banque. Elle avait des milliers de dollars, mais elle ignorait la richesse qu’elle possédait. Tout cela était caché dans la Bible.

192      Je me demande ce soir si Jésus ne pourrait pas nous révéler ce qui est caché dans cette Bible pour nous. Nous sommes riches en Sa grâce et en Sa miséricorde. Je me demande s’Il voudrait venir nous appeler. Parcourons la Bible et voyons ce que nous possédons en Lui, alors que nous inclinons la tête juste un instant.

193      Père céleste, que Ta miséricorde... Tu es ici, Père. Eh bien, je suis tout aussi conscient de cela. Eh bien, Tu as dit: «Là où deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, Je suis là au milieu d’eux.» Maintenant, Tu as dit: «Les cieux et la terre passeront, mais Cela ne passera jamais.» Aide-nous, ce soir, alors que nous allons prier pour ces gens qui sont malades, pendant les quelques prochaines minutes. Fais-Toi connaître, Seigneur. Ô Jésus, viens et appelle les malades (s’il Te plaît), afin qu’ils sachent que Tu es–Tu es le Dieu omniprésent. Tu es ici, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Au Nom de Jésus, je prie. Amen.

194      Mes amis, dans une minute ou deux, ce sera l’heure de vous congédier, mais appelons juste une petite ligne de prière. Aimeriez-vous avoir cela? Levez la main, si vous êtes disposés à rester encore dix ou quinze minutes. Très bien. Que Dieu vous bénisse. Juste–juste... Le concierge qui est là y voit-il un inconvénient, y voyons-nous un inconvénient d’avoir cela? Merci beaucoup.

195      Maintenant, où est Billy? Combien de cartes as-tu distribuées? A, B, C. Qu’avons-nous distribué premièrement? La série A? Avons-nous appelé la série A la première soirée ici? [Quelqu’un dit: «Oui.»–N.D.E.] Appelons encore à partir de la série A. Voyons. Par où avons-nous commencé, Billy? T’en souviens-tu? 1, n’est-ce pas? Oui. [«1.»] De 1 à environ... Appelons à partir d’un autre numéro. Voyons, à partir d’où allons-nous appeler? Disons 75.

196      Qui a la carte de prière A 75? Levez la main. C’est donc bien, c’est bon. Nous l’avons. Descendez donc directement ici, 75.

197      76, levez la main. 76, rapidement. Très bien. Qui? La personne ne peut pas se tenir debout? Ou bien, non, c’est derrière, tout au fond. Excusez-moi. 76.

198      77, 77, voulez-vous lever la main. Celui qui a la carte de prière... Oh! c’est quelqu’un ici. Très bien. Juste ici, monsieur, 77.

199      78. Rapidement maintenant, levez la main, 78. 78.

200      79, 80, 81, -2, -3, -4, -5. Que... Tenez-vous simplement debout là, rapidement. Nous allons juste avoir un...

201      Maintenant, que le reste d’entre vous veuille bien rester calme et révérencieux. Ne vous déplacez pas maintenant. Que seuls ceux qui viennent d’être appelés se déplacent.

202      79, 80. De 80 à 85. On dirait qu’ils ne sont pas... Il se peut que certaines de ces cartes de prière aient été distribuées il y a quatre ou cinq soirées. Elles pourraient être maintenant... De 85 à 90, venez ici, que les numéros de cette tranche viennent. C’est la série A maintenant. A, la carte de prière A, à partir de 75, 80, 85, 90. Cela fera quinze personnes. 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10... Les voilà. C’est bien. C’est bon. Ce sera bien, juste pour une minute maintenant.

203      Maintenant, combien parmi vous autres là-bas qui sont... croient que–qu’ils peuvent faire comme cette petite femme-là, toucher le bord de Son vêtement? Levez la main, dites: «Je–je–je–je crois. Je crois réellement que je peux toucher le bord de Son vêtement.»

204      Maintenant le Maître est venu. Maintenant Il va... Il est prêt à vous appeler, si seulement vous croyez en Lui. Maintenant ne doutez pas de Lui. Croyez en Lui. Ayez simplement la foi maintenant. Soyez très respectueux. Croyez maintenant de tout votre coeur que le Maître est venu et qu’Il vous appelle.

205      Maintenant, alors que la ligne de prière se met en place là, je pense que certains de ces frères nous aident à arranger la ligne de prière suivant leurs numéros respectifs. Eh bien, tout le monde a une carte de prière. Y a-t-il... Combien de cartes de prière y a-t-il encore ici? Faites voir vos mains. Gardez-les. Nous allons prier pour chacun d’eux. Peu m’importe de qui il s’agit, nous allons... Si le Seigneur me laisse vivre, je vais prier pour chacun d’eux avant de partir le dimanche.

206      Maintenant, souvenez-vous, il y a un déjeuner des ministres le matin. Et avez-vous annoncé cela, là où cela se tiendra? Cela a été annoncé. Très bien. Si vous le pouvez, venez. Ce sera... Je pense que je suis censé parler, de bonne heure demain matin? [Quelqu’un dit: «Oui, au petit déjeuner.»–N.D.E.] Très bien. D’accord. Bien. Très bien.

207      Quoi? Vous dites que vous ne m’avez pas entendu? J’ai appelé environ, je pense, quinze personnes. 75, 80, 85, 90, quelque chose comme cela. Cela... Ce sera en ordre. C’est juste comme... Très bien. Commencez alors à les faire monter. Si vous regardez, maintenant c’est... Voyez-vous?

208      Eh bien, que tout le monde soit très respectueux. Maintenant, maintenant suivez. Je sais que vous devez aller au travail demain matin. Votre travail est important. Je le sais. Vos enfants vous attendent. La baby-sitter a dit qu’elle partira à 9 h 30. Mais attendons simplement. Qu’est-ce qui est plus important que de savoir si ceci est la Vérité ou pas? Qu’est-ce qui est plus important que votre âme? Eh bien, si cette Bible a promis ceci, Dieu le fera, c’est la chose la plus importante à laquelle je puisse penser. Voyez?

            Il y avait une chaise là contre le système de sonorisation, et c’est ce qui produisait ce bruit.

209      Maintenant suivez. Eh bien, souvenez-vous, que tout le monde ait de l’assurance maintenant. J’espère que je ne vous ai pas donné une impression qui vous amènerait à penser que je serais une sorte de divinité ou quelque chose de ce genre, que je serais cette Personne-là, le Seigneur Jésus. Vous ne croyez pas ça, n’est-ce pas? Sûrement que vous ne croyez pas ça. Je suis Son serviteur. Je suis un pécheur qui a été sauvé par grâce. Mais, à ce propos, l’heure est venue où Il a donné un don.

210      Je viens de passer un examen tout récemment, lorsqu’un groupe de médecins m’a examiné avec soin pour me faire passer un test, un test d’ondes. Et savez-vous ce qu’ils sont venus me dire?

211      Il a dit: «Je n’ai jamais vu pareille chose dans ma vie.» Il a dit: «Vous savez, vous êtes...» Il a dit: «Une personne, lorsque vos cinq sens que vous... qui dirigent le corps.» Il a dit: «Eh bien, maintenant, votre...» Il a dit: «C’est votre première conscience. C’est là que vous vivez. Mais lorsque vos cinq sens deviennent in-... inactifs, alors vous avez le subconscient. Cela est éloigné de vous. Vous devez être mort à toutes ces sensations ou à tout ce qui est ici, quand vous vous retirez d’ici vers ce subconscient, et vous rêvez.» Il a dit: «Il y a une partie de vous qui va quelque part. Et lorsque vous vous réveillez, vous retournez dans cette conscience, vous êtes ramené ici, vous vous souvenez de ce que vous avez rêvé.»

212      Combien parmi vous ont déjà fait un songe? Bien sûr, vous tous, cela fait bien des années, eh bien, une partie de vous se trouvait quelque part, parce que vous pouvez toujours vous en souvenir dans votre esprit. Est-ce vrai? C’était donc votre subconscient.

213      Il a dit: «Ça c’est ce qu’on voit d’ordinaire, mais, a-t-il dit, Révérend Branham, a-t-il dit, parmi des dizaines de milliers et de milliers de gens que nous avons déjà examinés, nous n’avons jamais trouvé une personne comme vous.»

            J’ai dit: «Suis-je fou?»

214      Il a dit: «Je ne pense pas que les gens puissent venir de partout à travers le monde pour s’adresser à un fou.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, suis-je... Je sais que je suis nerveux.»

215      Il a dit: «Pas plus que n’importe quel autre ministre ou médecin ou toute personne qui traite avec le public.»

            J’ai dit: «Qu’est-ce qui est donc si étrange?»

216      Il a dit: «Vous savez quoi? Vos deux consciences sont juste ensemble.» Il a dit: «Vous pouvez avoir un songe en ayant vos yeux ouverts.» Voyez?

            Il ne savait pas ce qu’il était–ce qu’il en était. J’ai dit: «Est-ce vrai?»

217      Il a dit: «Oui. Vous n’avez pas besoin d’aller dormir pour avoir un songe.»

218      J’ai dit: «Docteur, avez-vous déjà lu dans la... ce qu’il en est d’une vision? Savez-vous ce que c’est qu’une vision?»

            Il a dit: «Est-ce un terme biblique, Monsieur Branham?»

            J’ai dit: «Oui.»

219      Il a dit: «Eh bien, je ne connais rien de la Bible.» Il a dit: «Je ne sais pas de quoi vous parlez.»

            J’ai dit: «Avez-vous déjà lu la Bible?»

            Il a dit: «Oui.»

            «Lisez de nouveau dans la Bible ce qui est dit des anciens prophètes de l’Ancien Testament.»

            «Oh, a-t-il dit, cela... Comment? Ils voyaient les choses en avance?»

            «Oui.» J’ai dit: «C’est ce qui m’arrive, monsieur.»

220      Il a dit: «Cela... Je suis content que vous... Cela règle la question. Eh bien, c’est ça, voyez.» Il a dit: «Vous savez quoi? Vous devriez–vous devriez entrer dans une vision et nous laisser examiner cela.»

            Il a dit: «Ce serait une très grande recherche scientifique.»

            J’ai dit: «Un instant, docteur. Avez-vous déjà fait un songe?»

            Il a dit: «Oui.»

221      J’ai dit: «Alors faites-moi un songe. Dites-moi ce qui va arriver demain. Vous ne le pourriez pas, si vous le devriez. Voyez-vous? Il faut que celui qui vous permet d’avoir ce songe le fasse.»

222      Moi non plus je ne peux pas voir une vision. Il faut que ce soit Lui qui accorde des visions. Je ne peux pas les voir jusqu’à ce qu’Il me le dise. Je ne sais quoi dire jusqu’à ce qu’Il me dise de le dire. Mais c’est un don, vous voyez, avec lequel je suis né. La première chose dont je me souviens dans ma vie, c’est que j’avais des visions. Et pas une seule fois cela n’a été faux.» Voyez? C’est votre–votre... C’est pour cette raison que vous voyez les gens...

223      Nous avons effectivement beaucoup d’imitations. C’est l’exacte vérité. Cependant nous en aurons toujours. Assurément.

224      Je lisais l’histoire de Martin Luther, pour vous les luthériens. Il est dit dans l’histoire de Martin Luther: «Ce n’était pas tellement étrange que Martin Luther ait pu protester contre l’Eglise catholique et s’en tirer; mais la chose étrange, c’est qu’il ait pu garder sa tête au-dessus de tout le fanatisme qui a accompagné son réveil, pour rester entièrement avec les Ecritures.» C’est ça. Oui.

225      Cela n’a rien à faire avec eux. Vous êtes responsable devant Dieu... Car, voyez-vous, c’est simplement un don. Voyez? Vous vous mettez à l’écart, et alors le Seigneur parle.

226      Maintenant, ici. Ici, est-ce la femme? Maintenant, ici, ceci devrait prouver cela maintenant à n’importe qui. Soyez très révérencieux, juste quelques minutes. Il se peut qu’il y ait un nouveau venu ici. Maintenant voici une–une jeune femme, je–je ne l’ai jamais vue de ma vie. Elle m’est inconnue. Je ne la connais pas.

227      Mais nous nous rencontrons ici, juste comme dans Jean 11... Je me tiens là, ce soir, voyez-vous, lorsque... Je voulais dire Jean 4, là où Jésus a rencontré la femme au puits. Je parlais d’elle. Elle était probablement beaucoup plus jeune que Lui. Et Il lui a dit où se situait son problème. Et sur ce, elle a dit: «Maintenant, Seigneur, je vois que Tu es Prophète.»

228      Maintenant, vous voyez, un prophète, c’est quelqu’un à qui vient la Parole de Dieu. La prophétie de ce jour-là, la Parole qui doit être accomplie en ce jour-là, Elle vient à cet homme-là, et il est cette Parole vivante pour ce jour-là.

229      Elle a dit: «Je vois que Tu es Prophète. Maintenant, nous attendons ce prophète-là.» Si vous consultez la référence, elle vous renverra directement à–à ce prophète-là. Elle a dit: «Nous savons que lorsque le Messie sera venu, c’est ce qu’Il fera. Il nous annoncera ces choses.»

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

230      Et elle est allée et a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie?» Et les gens crurent tous cela.

231      Or, Il a promis que les croyants feraient aussi les oeuvres qu’Il faisait. Et maintenant, en ce dernier jour, par cela Il a confirmé Sa Venue imminente, en se révélant Lui-même de la même manière qu’Il l’avait fait à Sodome.

232      Avez-vous écouté les messages cette semaine? Croyez-vous que c’est la vérité? [La soeur dit: «Oui.»–N.D.E.] Maintenant, nous sommes des inconnus l’un à l’autre, c’est vrai, n’est-ce pas? [«Oui.»] Juste pour que les gens voient, levez la main, pour que les gens voient.

233      Je n’ai jamais vu cette femme, de ma vie. Je ne sais rien du tout à son sujet. Voyez? Elle est tout simplement une jeune femme, beaucoup plus jeune que moi. Nous sommes nés à des années d’intervalle, à des kilomètres de distance, et nous nous rencontrons ici pour la première fois. Nous voici tous deux debout ici, avec des gens tout autour, les lumières, et tout le reste. Nous nous tenons ici dans la Présence de Dieu. Et je suis en train de vous parler, afin de voir, premièrement, si cette onction viendra sur moi. Et si elle vient, je serai alors en mesure de le faire. Sans Cela, je ne peux pas le faire. Maintenant, la seule chose que je peux faire, c’est simplement prier et vous imposer les mains, comme le ferait votre pasteur, ou qui que ce soit, et continuer. Voyez? C’est un don. Je m’abandonne à Cela, du mieux que je peux. Mais alors, je ne peux pas faire venir Cela. C’est Lui qui doit venir. Cela doit venir soi-même.

234      Maintenant, soyez simplement révérencieux. Elle est ici. Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, je prends tout esprit ici présent sous mon contrôle, pour la gloire de Dieu. Maintenant restez tranquillement assis. Si quelque chose se produit, je serai en mesure de contrôler cela, si seulement vous ne sautez pas et ne commencez pas à faire des histoires. Restez calmement assis. Parfois, l’épilepsie et tout viennent dans les réunions, et cela sort par douzaines, comme cela. Combien ont déjà vu pareilles choses arriver dans mes réunions? Bien sûr. Voyez? Bien sûr. Mais restez calmement assis. J’en suis responsable. Mais si vous êtes arrogant, je ne suis pas responsable. Parce qu’il s’agit d’un châtiment.

235      Maintenant, je n’ai aucune idée sur le motif de la présence de cette femme ici. Eh bien, elle le sait maintenant, en ce moment, que quelque chose est en train de se produire. Voyez? Parce que, juste entre elle et moi... elle commence simplement à disparaître. C’est cette Lumière qui s’installe.

236      Maintenant, cette femme est en fait... le problème principal pour lequel elle est ici, elle se tient ici pour quelqu’un d’autre. Elle a quelqu’un pour qui elle–elle prie. Et c’est une–une–une–une personne qui est très malade, qui a une dépression nerveuse. C’est une soeur. C’est vrai. C’est vrai, levez les mains. Elle souffre d’une dépression nerveuse. Maintenant suivez.

237      Alors les gens disent: «Je pense qu’il a deviné cela.» Non, non. Voyez? Je n’ai jamais deviné cela.

238      Maintenant suivez. Elle est une très bonne personne, avec un très bon esprit. Maintenant un instant. Maintenant, regardez-moi. Et c’est ce que Pierre et Jean avaient dit à la porte: «Maintenant, regarde-moi.» Voyez-vous? Il semble qu’il y a quelque chose d’autre dans votre coeur. Oui. Vous souffrez, vous-même, d’une sorte de malaise, que vous semblez éprouver. C’est ce que vous avez. C’est vrai.

239      Vous avez quelque chose d’autre sur votre coeur, que vous aimeriez savoir, et c’est pour ce frère-là. Il est à l’hôpital ici. [La soeur dit: «Oui.»–N.D.E.] Voulez-vous que je vous dise comment il est arrivé là? Il a connu un accident d’automobile. C’est vrai. Hein! Croyez-vous que vous avez reçu ce que vous avez demandé? Alors poursuivez votre chemin. Alors c’est fini. Voyez?

            «Si tu peux croire, tout est possible.»

240      Bonsoir, madame. Maintenant, croyez-vous que Jésus-Christ est le Fils de Dieu, le même hier, aujourd’hui et éternellement? [La soeur dit: «Je le crois.»–N.D.E.] S’Il me révélait ce qu’est votre problème, croirez-vous qu’Il peut faire cela? [«Je le crois certainement.»] Très bien. Maintenant, puisse-t-Il l’accorder.

241      Il y a une chose dont vous souffrez, oui, oui, oui; premièrement, vous avez subi une opération. Et on vous a enlevé un sein, l’ablation d’un sein. Ensuite, vous avez mal au sein, à l’autre sein, et c’est cela votre problème. Vous ne venez pas d’ici. [La soeur dit: «Non.».] Vous venez d’un endroit situé au bord d’une rivière d’un certain... Vous venez de Louisville, dans le Kentucky. [«Et tout près de chez vous.»] Et votre nom est madame Lumpkins. Que Dieu vous bénisse. Ce–c’est vrai. Vous avez déjà été au tabernacle. Je ne vous ai pas reconnue. Mais c’est l’exacte vérité. Continuez votre chemin, croyez maintenant. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Très bien.

242      Approchez maintenant. Croyez-vous de tout votre coeur, monsieur? Croyez-vous que je suis Son serviteur? [Le frère dit: «Je crois.»] Croyez-vous que–que vous, lorsque vous venez, vous venez juste comme Simon Pierre cette fois-là? Voyez? Ce n’est pas vers moi que vous venez. Vous venez vers Lui. Et je suis juste Son représentant. Voyez? Il... Je... Nous sommes les–les–les sarments; Il est le Cep. Maintenant, si le Seigneur Jésus... Nous sommes de parfaits inconnus l’un à l’autre, je suppose. Et si–et si nous sommes de parfaits inconnus, et le Seigneur Jésus peut me révéler quelque chose comme ce qu’Il avait fait avec Simon Pierre, avec l’un d’entre eux, lorsqu’ils sont venus, cela vous amènera-t-il à croire de tout votre coeur? Croirez-vous cela? [«Oui.»] Maintenant, très bien, monsieur. Maintenant, regardez-moi juste un instant.

243      Maintenant, votre problème... je vous vois... Il s’agit de quelque chose en rapport avec l’estomac. C’est dans... C’est une tumeur dans l’estomac. [Le frère dit: «C’est vrai.»–N.D.E.] C’est vrai, une tumeur dans votre estomac. Dites, à propos, vous êtes aussi un ministre. [«Oui.»] Certainement. Croyez-vous que Dieu peut me dire qui vous êtes? Croyez-vous que Dieu vous connaît? [«Je crois vraiment de tout mon coeur.»] De tout, de tout votre coeur. Très bien. Révérend Brown, poursuivez votre chemin, soyez guéri, Jésus-Christ...

244      Croyez. Croyez-vous que Dieu peut guérir votre arthrite et vous rétablir? Partez alors en croyant cela. Dites: «Merci, Seigneur Jésus.»

245      Venez, madame. Vous souffrez de la nervosité. Croyez-vous que Dieu peut vous guérir de cela? [La soeur dit: «Amen.»] Très bien. Allez simplement, en disant: «Gloire au Seigneur!» Vous voyez, une petite roue tourne ici tout au fond. Elle avait coutume de tourner ici en haut. Lorsque vous étiez jeune, vous étiez une petite personne heureuse, toute joyeuse et de bonne humeur. Et tout d’un coup, quelque chose s’est produit. Maintenant montez simplement là-haut, et croyez de nouveau cela. Commencez simplement à être heureuse, à vous réjouir, Jésus-Christ vous amènera à cela. Que Dieu vous bénisse. Partez, croyez-le maintenant, de tout cotre coeur. Très bien.

246      Croyez-vous? Vous êtes aussi infirme. Croyez-vous que Dieu peut guérir cela et vous rétablir? [La soeur dit: «oui.»] Très bien. Allez tout simplement, dites: «Merci, Seigneur Jésus», de tout votre coeur.

247      Crois-tu que Dieu peut guérir cet asthme et te rétablir, fiston? Continue ton chemin, en te réjouissant, étant en bonne santé et heureux. Vous avez aussi la faiblesse, la prostate et l’arthrite. Crois-tu que Dieu peut guérir cela, te rétablir? [Le frère dit: «Oui.»] Si tu le crois de tout ton coeur, poursuis ton chemin, en te réjouissant, en disant: «Merci Seigneur.»

248      Juste un instant maintenant. Juste un instant. Quelque chose est arrivé. Il s’agit d’une personne autre que celle-ci. Croyez maintenant, de tout votre coeur.

249      C’est cette dame assise juste ici, qui souffre d’un mal de dos. Croyez-vous de tout votre coeur que Jésus-Christ vous rétablit? Très bien. Vous pouvez alors obtenir ce que vous avez demandé. Voyez? Le Seigneur Jésus vous guérit et vous rétablit.

250      «Si tu peux le croire, tout est possible à celui qui croit.» Croyez-vous cela de tout votre coeur? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]. Qu’en pensez-vous, vous qui êtes assis là et qui souffrez de cette hernie? Croyez-vous que Dieu vous guérira de cette hernie et vous rétablira? Oui. Croyez-vous qu’Il le fera? Très bien. Vous pouvez obtenir ce que vous avez demandé. Que le Seigneur vous bénisse.

251      Voyez? Il est là dans l’assistance tout autant qu’Il est ici. Cela devrait simplement nous mettre en pièces, n’est-ce pas? Pensez-vous que Dieu guérira ce diabète, et vous rétablira? Rentrer chez vous, et cette maladie du sang sera... Allez au Calvaire, pour une transfusion sanguine, ce sera fini. Allez, croyez-le de tout votre coeur. Ne doutez pas. Croyez simplement, de tout votre coeur, que Dieu vous rétablira.

252      Approchez. Vous souffrez de la maladie la plus dangereuse au monde. C’est d’une maladie du coeur. Mais Jésus habite dans le coeur. Croyez-vous qu’Il guérira votre coeur? Très bien. Continuez votre chemin en disant: «Merci, Seigneur Jésus», et qu’Il vous rétablisse.

253      Allez prendre votre souper. Jésus-Christ vous a guéri de cette affection de l’estomac, Il vous rétablit. Très bien.

254      Croyez-vous? Même si je ne dis pas un seul mot, et que je vous impose simplement les mains, croyez-vous que vous vous rétablirez de toute façon? Que le Seigneur vous bénisse. Croyez de tout votre coeur.

255      Croyez-vous, si je vous impose les mains, que vous serez aussi rétablie? Approchez. Au Nom de Jésus-Christ, puisse-t-elle être guérie.

256      Approchez. Maintenant, vous savez que je connais votre problème. Mais, là, même si je ne vous le disais pas, croyez-vous que vous n’aurez même pas besoin de faire ôter cette tumeur, et que cela ira bien dès maintenant? [La soeur dit: «Je ne vais pas la faire enlever.»–N.D.E.] Très bien. Très bien. Allez donc carrément de l’avant, croyez Dieu, vous serez rétablie et bien portante. [«Pensez-vous qu’il y a quelque chose qui cloche chez moi?»] Si–si simplement vous croyez cela, Il enlèvera cela. Vous ne serez même pas obligée de faire ôter cela, si vous croyez tout simplement de tout votre coeur. [«Je ne vais pas la faire enlever.»] Gloire au Seigneur!

257      Maintenant, croyez-vous que Dieu guérit le cancer, et qu’Il guérit les gens qui ont le cancer? [Le frère dit: «Absolument.»] Très bien, monsieur. Continuez votre chemin, et dites: «Merci, Seigneur, je vais me rétablir.» Et vous serez bien portant.

            Maintenant, Jésus est venu et Il vous appelle. Croyez-vous cela?

258      Croyez-vous cela, la dame qui est assise là, la dame plutôt corpulente, qui souffre de cette sinusite? Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Très bien. Voyez-vous? Regardez simplement par ici, continuez juste à croire, et croyez. Et cela...

259      La dame assise là, juste à côté de vous a secoué la tête. Elle ne savait que penser à ce sujet. Si vous croyez, votre arthrite vous quittera aussi. Très bien.

            Croyez-vous cela de tout votre coeur?

260      Cet homme âgé assis juste ici, qui vient de Okeechobee, de l’autre côté par là, croyez-vous que Jésus-Christ guérira vos yeux qui deviennent aveugles? Vous pouvez obtenir ce que vous avez demandé, si vous le demandez.

261      Le Maître est venu, et Il vous appelle. Croyez-vous en Lui? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Alors tenez-vous carrément debout et acceptez-Le, et dites: «Je crois en Toi, Seigneur Jésus, maintenant même. Je lève mes mains, et je crois que Tu me guéris maintenant.»

            Seigneur Jésus, cette assistance T’appartient. Nous sommes en retard, Seigneur.

            Mais ne m’oublie pas, ô doux Sauveur,

            Ecoute mon humble cri;

            Quand Tu appelleras les autres,

            Ne m’oublie pas.

            Toi la Fontaine de tout mon réconfort,

            Plus que la vie pour moi;

            Qui d’autre sur terre ai-je à part Toi?

            Ou qui d’autre au ciel si ce n’est Toi?

            C’est l’aveugle Fanny Crosby qui a fait cette déclaration.

262      Seigneur Jésus, n’oublie aucun d’eux, mais accorde à chacun d’eux la guérison ce soir. Je Te les recommande, au Nom de Jésus-Christ.

263      Levez vos mains maintenant et chantez Ses louanges. Je vais prier pour eux. Très bien. Tout le monde, croyez-vous en Lui?

264      Maintenant, monsieur l’organiste, Je Le louerai. Je Le louerai. Donnez-nous l’accord. Très bien.

            Tout le monde, avec vos mains levées maintenant.

            Je Le louerai, je Le louerai,

            Louez l’Agneau mort pour les pécheurs;

            Rendez-Lui gloire, vous tous les peuples,

            Car Son Sang a ôté chaque tache.

265      Maintenant serrez la main à quelqu’un à côté de vous, dites: «Que Dieu vous bénisse, mon ami. Je–je suis heureux de savoir que vous avez accepté Jésus comme votre Guérisseur.» Eh bien, c’est bon. C’est juste. Serrez-vous la main et dites: «Merci Seigneur.»

266      Maintenant, levons les mains vers Lui, et chantons encore de tous nos coeurs; avec nos têtes inclinées, nos yeux fermés et de tous nos coeurs maintenant.

            Je Le louerai, je Le louerai,

            Louez l’Agneau mort pour les pécheurs;

            Rendez-Lui gloire, vous tous les peuples,

            Car Son Sang a ôté chaque...

267      S’est-Il suffisamment identifié parmi vous pour que vous puissiez L’accepter? Croyez-vous qu’Il est ici? Croyez-vous que c’est Lui? Mes amis, si je pouvais descendre là dans cette assistance et guérir chacun de vous, je le ferais sûrement. Je le ferais de bon coeur. De tout mon coeur, je le ferais. Mais je–je ne peux pas le faire. Je–je n’ai aucun–aucun moyen pour le faire. Mais la seule chose que j’ai, c’est ce petit don que j’étais en train de vous montrer, et qui identifie la promesse des Ecritures selon laquelle Jésus-Christ est juste ici parmi nous, en train de tenir Sa promesse. Oh! cela devrait mettre nos coeurs en feu. Oh! la la! pensez simplement à Jésus, ce Nom merveilleux!

268      La première fois que ce Nom a été prononcé, c’est quand Marie s’est rendue en Judée. Et Elisabeth avait conçu, et le petit Jean avait six mois dans le sein de sa mère, mais il n’avait pas encore bougé. Eh bien, tout le monde sait qu’après trois mois ou tout au plus quatre mois, le bébé se met à bouger. Et le cas d’Elisabeth était étrange, elle... Le bébé n’avait pas manifesté de mouvement. Elle s’était cachée. Et lorsqu’elle a vu venir Marie, le petit visage rayonnant de la gloire de Dieu, elle a dit: «Tu sais...» Elle a remarqué qu’elle était enceinte, et elle a dit: «J’espère que toi et Joseph vous êtes mariés?»

            – Non. Nous ne sommes pas mariés.

            – Eh bien, euh, et tu vas avoir un bébé?

269      – Oui. Le Saint-Esprit m’a couverte de Son ombre, et Il a dit que cet Enfant qui va naître en moi sera appelé «le Fils de Dieu», et que je Lui donnerai le Nom de «Jésus».

270      Et aussitôt qu’elle a dit «Jésus», la première fois que le Nom de Jésus-Christ a été prononcé par des lèvres humaines, le petit bébé qui était mort dans le sein de sa mère a reçu le Saint-Esprit et s’est mis à bondir de joie dans le sein de la mère.

271      Que devrait faire le Nom de Jésus à une Eglise née de nouveau? Je ne comprends pas cela. Gloire à Dieu! Il est Jésus-Christ, le Fils de Dieu, le Donateur de la Vie. Amen. Rendons-Lui gloire. Levez simplement les mains. Et je Le louerai. Alléluia.

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