Que Pensez-Vous Du Christ?

Date: 54-0321 | La durée est de: 56 minutes | La traduction: Shp
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1          Mon coeur est ravi ; c’est mon cantique favori. Si seulement vous saviez la toile de fond de ce cantique-là ! C’est mon ami qui l’a composé, Booth Clibborn. Une nuit, il était dans un champ de maïs, sur ses coudes et ses genoux, là dans la prière, et Dieu lui donna ce cantique. Et je pense que c’est l’un des... il est incomparable en ce jour-ci où la Divinité de Jésus-Christ est reniée par beaucoup de croyants formalistes, qui disent qu’Il était juste un homme, juste un prophète, pas plus. Il était Emmanuel.

            Et je suis très reconnaissant, et ça a été si merveilleusement exécuté par notre soeur. J’espère que je ne m’impose pas, et j’ai demandé à frère Joseph de bien vouloir lui demander de chanter ce soir avant que je monte à la chair: Puis Jésus vint. Je serais très content d’entendre cela ce soir. Et c’est juste pratiquement... Mon âme était ravie. J’ai changé de texte maintenant même, de ce que je suis...?... prêcher là-dessus.

2          Je suis content d’être ici, comme toujours. Je suis très content. J’espère ne rien faire de mal en ce moment-ci, mais j’ai un très bon ami à moi ici, qui est un prédicateur méthodiste. C’est frère John O’Bannon, de Louisville dans le Kentucky. Est-ce que ça vous dérangerait juste de vous lever une minute, Frère O’Bannon? Je ne sais pas si cela vous rend remarquable, mais, Frère O’Bannon, c’est afin que vous voyiez comment les méthodistes et les baptistes s’entendent dans la partie sud de l’Etat. Nous sommes très contents de l’avoir ici. C’est un très bon ami à moi. Nous venons de tenir une campagne de guérison pour son frère. Au... Je pense que c’est... Je n’en suis pas très sûr. Quel est le nom de cette ville du Kentucky? Pardon? Sacramento, dans le Kentucky. Et là... Nous avons bien passé un temps merveilleux, là-bas, dans cette petite ville. Et nous nous attendons à ce que Dieu fasse de grandes choses chez les méthodistes, qu’Il déverse Son Esprit sur eux une fois de plus et leur donne un autre réveil à l’ancienne mode, comme ils en avaient eu du temps de–de Whitefield et Wesley, dans ces jours passés.

            Et ils étaient de la pluie de l’arrière-saison de l’époque. C’est vrai. Ils étaient de la pluie de l’arrière-saison en ce temps-là. Quand les baptistes sont arrivés, ils sont devenus de la pluie de l’arrière-saison par rapport à eux: cela continue simplement à évoluer. Et maintenant, je pense que nous sommes tous de la pluie de l’arrière-saison par rapport aux autres. D’ici peu, peut-être, si Jésus tarde, il y en aura de plus en plus. Mais tout au cours des âges et au cours des générations, Dieu a toujours eu un peuple, quelqu’un qui Lui fait confiance et qui croit en Lui. Et nous sommes très contents de ce qu’Il en a.

3          Maintenant, ce soir, je pense, est-ce le service de guérison? Et c’est généralement l’après-midi qu’on me laisse venir à l’estrade et parler un peu. Je ne suis pas un prédicateur, ce que vous appelleriez prédicateur ; je suis... je juste... ce qu’on appelle un pneu de réserve. Vous savez? C’est, quand on connaît une crevaison, alors, on met le pneu de réserve. Ce n’est pas que nous connaissons de crevaison ; en effet, nous avons de bons prédicateurs ici. Mais, généralement, j’occupe l’après-midi ; cela me détend de parler (Vous savez?), ce que je sais en fait au sujet du Seigneur Jésus. Et je ne connais pas trop les Ecritures, je suis loin d’être un théologien, et je ne connais pas beaucoup de théologie, mais je–je connais l’Auteur de ce Livre, Jésus-Christ. Et–et je L’aime. Et mon instruction est limitée et mes mots sont très pauvres, ma grammaire, je... Vous m’excuserez cela, j’en suis sûr.

4          Cela me rappelle là à Fort Wayne, il y a quelque temps, un homme, là où ce chant de Paul Rader, c’était là dans cette ville qu’il était. Je pense que c’était pratiquement le dernier grand réveil que Chicago ait jamais connu, un vrai réveil qui secoue la ville, du temps de Paul Rader, Armedea, ou certains de ceux-là. Et c’est lui le compositeur de ce célèbre cantique Crois seulement, et cela est devenu mon cantique thème.

            Je ne l’avais jamais entendu jusqu’à ce qu’un soir, quand j’entrais, et je ne savais pas que c’était Paul qui en était le compositeur, et ma pianiste était en train de jouer cela, cela a bien frappé mon coeur. Je m’en suis servi partout à travers le pays, là dans des campagnes, et vous entendez les gens le chanter.

5          Je me rappelle une fois, là en Arkansas, je restais là à l’hôtel Sandpeck, et nous avions un merveilleux...?... Il y a de cela six ou sept ans. Il n’y avait personne d’autre sur le champ de travail à l’époque, avec des guirlandes suspendues partout, vous savez. Et nous passions un moment merveilleux. Je suis sorti, je devais passer derrière pour rejoindre un prédicateur, afin qu’il m’amène dîner. Alors, je descendais avec l’ascenseur, et il y avait là un petit garçon de couleur qui sifflait ses chaussures, et «Crois seulement, crois seulement, tout est possible, crois seulement.» Et je suis sorti, je suis passé par derrière et je descendais l’allée, et je suis passé par le quartier le plus bas de la ville. Il y avait une maman en train de bercer l’enfant là vers le bas, en chantant: «Crois seulement, crois seulement, tout est possible.»

            Il m’est arrivé de constater qu’il y avait quelques enfants qui jouaient aux billes. Un petit garçon s’est accroupi, vous savez, et il a très bien visé...?... Il s’est arrêté, a tapé la bille, s’est relevé, a épousseté son pantalon et a dit: «Crois seulement, crois seulement, tout est possible...» Je me suis dit que c’était très beau. Oh ! Comme ces chansons, et tout, que vous chantez... Et combien notre Seigneur a été très bon.

            Et je pense bien au temps où tout sera terminé et que nous serons rassemblés ; nous ne serons donc plus nerveux ni pressés, ni rien, nous pourrons bien passer un temps à nous détendre.

6          Là où monsieur Rader, comme j’avais commencé à le dire, a composé ce cantique, il y eut un érudit qui est entré là, et il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, vous avez une grammaire très médiocre.»

            Et j’ai dit: «Oui, monsieur, c’est vrai.»

            Et alors, il a ajouté: «Oh ! J’ai relevé certaines fautes de grammaire que vous avez commises ce soir.» Il a dit: «Oh ! C’était terrible.»

            Et j’ai dit: «Oui, monsieur, je n’ai pas acquis une grande instruction.» J’ai dit: «J’ai grandi dans une famille très pauvre de dix enfants.» Et j’ai dit: «C’est moi l’aîné, et j’ai dû travailler pour subvenir aux besoins des autres.»

            Il a dit: «Eh bien, cela n’est plus une excuse maintenant, a-t-il dit, vous êtes un homme.»

            J’ai dit: «Eh bien, c’est aussi vrai, mais, ai-je dit, depuis que le Seigneur m’a envoyé prier pour les malades, je ne reste plus assez tranquille pour étudier la grammaire.» J’ai dit: «Je dois simplement prier pour les malades.»

            Et il a dit: «Oh ! Mais vous pouvez suivre cela par correspondance.» Il a dit: «Eh bien, par exemple ce soir, je vous ai entendu utiliser ce mot-là.» Il a dit: «Vous avez dit: ‘Vous tous maintenant, montez ici au polepit, ici. Et il a dit: «Eh bien, savez-vous que ces gens vous apprécieraient davantage si vous disiez pulpit plutôt que polepit»?

            J’ai dit: «Eh bien, frère, je ne sais pas s’ils le feraient ou pas, ai-je dit, je crois que ce que ces gens veulent de moi, c’est que je mène le genre de vie correct et que je manifeste ce dont je parle, ils ne se soucient pas que je dise pulpit ou polepit.» C’est vrai, n’est-ce pas? Comme le vieux dicton le dit: «C’est à l’oeuvre que l’on connaît l’artiste», n’est-ce pas? C’est vrai? Vous savez, je...

            Et je ne cherche pas à soutenir mon ignorance avec ça. Je me rappelle... J’aurais voulu connaître de meilleurs mots et la meilleure grammaire, mais si cela ôte quelque chose de Jésus, je préférerais connaître Jésus n’importe quand, Le connaître dans la puissance, comme Paul l’a dit: «dans la puissance de Sa résurrection.»

7          Je sais qu’il y a ici devant moi, comme devant chaque personne ici, un puits noir ; il est placé ici devant chacun de nous. A chaque battement de notre coeur, nous nous en approchons davantage, cela bat vers ce puits-là qui est appelé la mort. Chaque homme aura à atteindre ce lieu-là un jour, si Jésus tarde. Et quand je m’en approcherai, je sais que j’y vais, peu m’importe que je dise polepit ou pulpit, peu m’importe ce qu’est ma grammaire, mais j’aimerais connaître cette seule chose, je connais cette seule chose: je Le connais dans la puissance de Sa résurrection, de sorte que quand Il appellera d’entre les morts, j’aimerais sortir d’entre eux, quand il sera temps d’être appelé.

8          Maintenant, cet après-midi, avant... Nous pouvons tourner ces couvertures de la Bible comme cela, évidemment ; mais quant à L’ouvrir, aucun homme n’en est digne, dit la Bible. Je crois, c’est Jean qui a cherché dans les cieux, et il n’y avait personne qui était digne de prendre le Livre, de L’ouvrir et d’En rompre les Sceaux, ni rien. Mais il y eut un Agneau, venant de... immolé dès la fondation du monde ; c’est Lui qui était capable de prendre le Livre de la main droite de Celui qui était sur le Trône, pour L’ouvrir aux gens.

            Et maintenant, pendant que ce petit groupe de gens est assemblé ici, juste un... Oh ! peut-être quelques heures avant que le service de guérison commence. Je pensais coiffer l’émission radiophonique, ici, je suis descendu vous parler un peu. J’ai apprécié ces cantiques. Je vais me dépêcher pour vite rentrer, rester en prière, revenir peu après, prier pour les malades. Priez pour moi. C’est...

            Je vous assure, frère Joseph parlait des appels téléphoniques. Hein ! Eh bien, il n’est pas étonnant que ma femme grisonne à trente-quatre ans. Voyez? Elle supporte non seulement les appels téléphoniques qui affluent à la maison, mais elle doit affronter le public qui se tient là. Voyez? Ainsi donc, c’est certainement un travail. Et maintenant, ça l’est. Vous devez vous garder...

9          L’autre jour, mon fils... Oui, il est ici quelque part. C’est juste un enfant de dix-huit ans. Et alors, nous étions assis quelque part dans un restaurant et ils... des jeunes gens, vous savez, là à Wood River, ils jouaient l’un de ces petits appareils, vous savez, ça joue cette drôle de petite musique qu’on a par là. Eh bien, je ne fais même pas cas de cette affaire quand ça joue. Alors, quelqu’un jouait cela. Et j’ai vu ses yeux briller. Et il observait les enfants, vous savez, ce qu’ils faisaient. Evidemment, il n’est qu’un enfant ; les autres font cela. Et il a dit: «Papa, c’est beau, n’est-ce pas?»

            J’ai dit: «Quoi?»

            Il a dit: «Ce qui est mauvais.»

            J’ai dit: «Oh ! Je–je ne faisais pas cas.»

            Et alors, il a dit: «Papa, tu sais quoi?» Il a dit: «Tu deviens simplement mort à tout sauf à Jésus-Christ.»

            Et j’ai dit: «C’est bien. C’est bien»...?... devenir simplement mort à tout. J’ai dit: «Rien n’a de son à part Jésus-Christ, laissez-moi rester comme cela. J’aimerais Le connaître, Lui seul.» C’est tout. Le connaître, c’est la Vie. Est-ce vrai? Voyez?

            Et maintenant, que le Seigneur vous bénisse. Je vais essayer de tout mon mieux ce soir de faire tout ce que je peux pour parler à notre Seigneur Jésus, afin de guérir toute maladie qui est au milieu de vous.

10        Voici quelque chose qui me tient à coeur pendant vingt-quatre heures. Je ne sais pas si c’est le Seigneur ou pas. Cela n’est pas venu dans une vision. C’est ce que je vois, ce sont des visions ; alors, j’ai l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Mais, ceci a impressionné mon coeur. Je parlais avec Billy aujourd’hui à l’hôtel à ce sujet. Nos réunions sont trop courtes. Nous ne faisons qu’arriver, et nos réunions, disons, durent cinq soirées. C’est toujours trop court. J’aimerais arriver dans une ville de cette dimension et y passer un ou deux mois (Voyez?), allez simplement à une ville ici. En effet, la plupart du temps, juste quand on arrive pratiquement au moment où je dis: Ceci aura lieu, cela aura lieu, et vous voilà parti.

            Monsieur Brewer m’a appelé de Peace River, pas de Peace River, mais de Wood River, et il a dit: «Frère Branham, nous vous avons enregistré sur une bande magnétique.» Et il a dit: «Et tout ce que vous avez dit pendant que vous étiez sous inspiration, les différentes choses qui allaient se produire, a-t-il dit, tout s’est absolument accompli à la lettre.» Voyez? Eh bien, c’est Dieu. Il a dit: «Revenez donc pour juste une soirée, juste une soirée.» Il a dit: «Pouvez-vous venir demain?» C’était ce soir.

            J’ai dit: «Non, je suis à Chicago.» Et alors...

11        Eh bien, mes réunions n’ont jamais pu être programmées, en effet... comme il le faut, comme celles de frère Roberts et des autres ; en effet, frère Roberts programme ses réunions deux ou trois ans d’avance. Il va dans une ville, il peut y rester jusqu’à ce que ça soit terminé. Et c’est tout. Il peut rester tant qu’il le veut, il organise ses réunions pour deux ou trois semaines d’affilée, et parfois six semaines d’affilée. Mais les miennes, je peux être juste en pleine réunion ; Il me donne une vision et m’envoie quelque part ailleurs, je sors directement, et j’abandonne ça. Voyez? Je ne peux donc pas tenir des réunions comme ces hommes. Ils sont–ils... Evidemment, ils font juste ce que Dieu leur a dit de faire. Je crois. C’est... Ils doivent faire cela.

            Mon ministère, je suis en pleine réunion là où les gens sont bondés et coincés, et debout pendant une heure ; je me mets en route pour quelque part ailleurs. Voyez? Partout où Il m’appelle, je dois aller tout de suite. J’ai eu récemment un groupe de ministres. Oh ! Ils ont failli me tailler en pièces ici à ce sujet. Et ils ont dit: «Oh ! Frère Branham, vous ne pouvez pas quitter.»

            J’ai dit: «Oh ! Si. Dieu d’abord. (Voyez?) Je dois partir.»

            Et ils ont dit: «Et si c’est Dieu qui nous a dit d’organiser cette réunion ici?»

            J’ai dit: «Une fois, Dieu avait une réunion là à... Philippe était là en train de prêcher, et les Samaritains étaient sauvés, il y avait une grande joie et une grande puissance. Et le Seigneur l’a appelé à l’écart pour parler à un seul homme là: un eunuque de l’Ethiopie.» Est-ce vrai? Il n’est plus jamais rentré dans la ville. Voyez? L’obéissance vaut mieux que le sacrifice (Est-ce vrai?), et l’observation de Sa Parole plus que la graisse des béliers.

12        Maintenant, inclinons la tête juste une minute pendant que nous parlons à l’Auteur du Livre.

            Maintenant, notre très Bienveillant Père céleste, nous nous adressons à Toi aujourd’hui dans ce glorieux Nom du Fils, Jésus-Christ, le Bien-Aimé. Nous Te demandons, Bienveillant Père céleste, que pendant que nous sommes assemblés ici, pendant ces quelques instants, maintenant, pour un petit, un–un temps de jubilé, à parler de la Parole, que le Saint-Esprit prenne la Parole de Dieu et La révèle à chacun de nous selon que nous En avons besoin. Accorde-le, Seigneur. C’est Lui seul qui peut le faire. Nous pouvons ouvrir le Livre, mais c’est Toi seul qui peux L’interpréter. Je Te prie donc, Père, de parler à chaque coeur. Circoncis chaque oreille pour entendre. Et circoncis les lèvres pour parler, et que les rideaux des soucis de ce monde soient tirés maintenant, que rien n’entre dans nos esprits si ce n’est le Seigneur Jésus-Christ, Sa Venue, Sa puissance et Sa Divinité. Que cela devienne si réel pour nous cet après-midi que les coeurs des saints se réjouiront, les pécheurs seront condamnés et se repentiront ; et les malades pourront être guéris. Accorde-le, Seigneur, afin que nous partions d’ici ce soir avec des coeurs pleins de joie, de puissance, nous réjouissant et Te remerciant pour ces bénédictions, car nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen.

13        Maintenant, nous allons juste consacrer quelques instants. Nous sommes juste sur... J’ai un retard d’environ une demi-heure par rapport à ce que j’ai dit à Billy, que je devrais rentrer à l’hôtel dès maintenant, mais je vais me dépêcher, très vite donc, et juste vous parler quelques instants, pendant que vous priez.

            Maintenant, j’aimerais lire un passage des Ecritures que j’ai trouvé ici, j’ai changé d’avis après avoir entendu la soeur chanter. J’aimerais lire dans Saint Matthieu, chapitre 22, à partir du verset 41, c’est un passage des Ecritures très familier à pratiquement tous les lecteurs de la Bible. C’est Jésus-Christ qui parle, et Sa Parole est si réelle. Et Sa Parole est si éternelle. Tout sur la terre et dans le ciel passera, sauf Sa Parole, Elle restera éternellement. Une fois que Dieu a dit quelque chose, cela restera éternellement. Ça ne peut pas être changé.

            Vous savez, la parole d’un roi ne se modifie pas ; vous le savez. Comme dans le... sur le... une nation qui est dirigée par un roi ; il n’est pas question de faire la politique là. Le roi l’a dit, ça doit être exécuté. C’est réglé. Et quand Dieu parle, ça doit être exécuté. Il n’y a pas de changement, on ne fait pas la politique; ça doit être accompli exactement comme il l’a dit. En effet, une fois que cela est prononcé, c’est établi pour toujours dans la Gloire. Ainsi, quand nous lisons Sa Parole, Elle est éternelle, et Elle ne cessera jamais d’exister. Je crois Sa Parole de tout mon coeur, de toute mon âme, de toute ma vie, de tout mon être. Je m’accroche donc à Sa Parole. C’est vrai. Je crois qu’Elle est éternellement la Vérité.

14        Maintenant, écoutez notre Seigneur Jésus ici, verset 41, chapitre 22, dans l’Evangile selon saint Matthieu.

Comme les pharisiens étaient assemblés, Jésus les interrogea,

En disant: Que pensez-vous du Christ? De qui est-il fils? Ils lui répondirent: De David.

Et Jésus leur dit: Comment donc David, animé par l’Esprit, l’appelle-t-il Seigneur, lorsqu’il dit:

Le Seigneur a dit à mon Seigneur: Assieds-toi à ma droite, jusqu’à ce que je fasse de tes ennemis ton marchepied? Si donc David l’appelle Seigneur, comment est-il son fils?

Nul ne put lui répondre un mot. Et, depuis ce jour, personne n’osa plus lui proposer des questions.

15        J’aimerais tirer un sujet, si ça peut être appelé un sujet: Que pensez-vous du Christ? Eh bien, c’est une chose très directe à donner à une assemblée de gens, pourtant ça doit être ainsi.

            Dieu va vous juger à partir de votre attitude envers Jésus-Christ. Aucun homme... l’enfer n’a pas été fait pour les chrétiens ; l’enfer a été fait pour les incroyants. Et Dieu a fait tout Son possible pour amener les gens à éviter l’enfer, afin que vous n’ayez pas à y aller. Il a envoyé la loi ; Il a envoyé les prophètes ; Il a envoyé Son Fils. Il a envoyé le Saint-Esprit. Il a envoyé les églises, les cantiques, tout pour essayer de vous empêcher d’aller en enfer.

            L’enfer n’a pas été fait pour les gens. Il a dit... L’enfer a été créé pour le diable et ses anges ; pas pour les êtres humains, mais si vous y allez, c’est que délibérément vous voulez y aller. Et vous ne pouvez pas y aller facilement. Vous devez vous débattre sur votre chemin vers là. Saviez-vous cela? Vous ne pouvez pas aller facilement en enfer. Vous devez vous débattre sur votre chemin vers là.

16        Quand j’étais un petit garçon, je pensais, oh ! la première petite histoire que vous... et la petite fille, aussi, ait donc débitée à sa mère, il y a une conscience là, qui dit: «Ne fais pas ça, petit garçon. C’est mauvais. Ne fais pas ça.»

            Vous vous rappelez quand vous avez fumé cette petite cigarette de barbe de maïs là, derrière la vieille cheminée, et que vous avez mangé des grains de café pour que la mère ne sente pas l’haleine?

            «As-tu fumé?»

            «Non, maman.»

            Et la conscience a commencé à dire: «Ne fais pas ça ; c’est mauvais.» Voyez? Alors, vous êtes passé dessus, la prochaine chose, vous savez, vous passez à côté d’une église. Vous entendez des cantiques ; vous entendez la prédication. Chaque lumière rouge que Dieu fait briller devant vous, vous ne faites que traverser les barrières vers le bas, et vous allez carrément de l’avant ; vous ne faites pas cas à la conscience ni à rien d’autre. Alors, Dieu a-t-Il envoyé quelqu’un en enfer? Non, c’est vous-même qui vous y êtes envoyé. C’est vrai. Vous êtes allé de votre propre gré. Dieu a fait briller en face de vous chaque lumière rouge qu’Il pouvait, et vous avez carrément continué à avancer, sans réfléchir. Vous étiez déterminé à y aller.

            Eh bien, il y a un feu rouge suspendu ici dans la ville. Si vous brûlez ce feu rouge-là, la ville ne répondra pas de vous. Vous avez fait ça de votre propre gré. C’est vrai. Ainsi donc, Dieu a fait tout son possible pour garder les gens et les amener auprès de Lui et les aimer.

17        Maintenant, cette vieille, vieille question sur Christ, la naissance virginale, comment cela s’est-il donc passé? Il y a quelque temps, j’étais dans des montagnes. Je venais d’y monter, allant... j’allais à la chasse à l’ours, et je longeais un escarpement, et il y avait un cow-boy qui passait là, monté sur un cheval. Je regardais çà et là ; j’ai entendu le bruit d’un cheval. Je suivais la piste d’un–d’un élan. Et il a dit: «Uh, salut !»

            Et j’ai dit: «Bonjour.»

            Il a dit: «Vous suivez la piste de quel animal?»

            J’ai dit: «Je suis la piste d’un élan.»

            Il a dit: «Je n’aimerais pas vous taxer de menteur, mais vous êtes en train de suivre la piste d’une vache.»

            J’ai dit: «Eh bien, j’ai assez suivi des pistes des animaux pour savoir qu’une vache n’a pas deux griffes qui descendent si bas et n’a pas non plus de sabot pointu.»

            Et alors, il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, qu’êtes-vous? Qu’êtes-vous?»

            J’ai dit: «Eh bien, je vais là au fond chasser.» J’ai dit: «Je cherche quelqu’un du nom de Jefferies.»

            Il a dit: «C’est moi cet homme-là.»

18        J’ai dit: «Oui. Eh bien, vous êtes censé... Le garde forestier m’a dit de me diriger vers l’enclos des vaches, ai-je dit, de là, je dois aller à Corral Peaks.»

            Il a dit: «Eh bien, pouvez-vous chevaucher?»

            J’ai dit: «Un peu.»

            Il a dit: «Eh bien, montez ici derrière.»

            Je suis donc monté là-dessus, il a dit... on a effectué un parcours, il a dit: «Eh bien, d’où venez-vous?»

            J’ai dit: «De l’Indiana.»

            Et il a dit: «Que faites-vous?»

            J’ai dit: «Un prédicateur.»

            Il a dit: «Un quoi?»

            Et j’ai dit: «Un prédicateur.»

            Il a dit: «Vous avez l’air trop intelligent pour faire ça.»...?...

            J’ai dit: «Eh bien...» J’ai vu que vous... ces gens de l’ouest sont plutôt des gens d’un parler dur, tranchant, mais des gens aimables. Eh bien, j’ai dit: «Monsieur, je pense que c’est un signe de l’intelligence.»

            Il a dit: «Oh ! a-t-il dit, je pense que vous croyez cette histoire de Jésus-Christ, ou je ne sais comment vous L’appelez.»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Il a dit: «Croyez-vous cette naissance virginale?»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Il a dit: «Si je prouve que c’est un mensonge, allez-vous croire cela?»

            J’ai dit: «Vous ne le pouvez pas. Il n’y a aucun moyen du tout pour vous de le faire.»

            Il a dit: «Je...» Il a dit: «Une personne qui jouit vraiment de son bon sens saura que c’était une erreur.»

            «Eh bien, ai-je dit, je pense donc que vous aurez à me qualifier de quelqu’un de dépourvu de bon sens.» J’ai dit: «En effet, je crois que c’est la vérité, tout aussi vrai que possible.»

            Et il a dit: «Eh bien, maintenant, j’aimerais vous poser une question.» Il a dit: «Pour commencer, j’aimerais dire que je suis un infidèle, a-t-il dit ; je ne crois en rien au sujet de Dieu ni rien d’autre. Je ne crois pas qu’une telle Créature existe.»

            Et j’ai dit: «Oh ! Vous ne croyez pas?» J’ai dit: «Alors, vous êtes vraiment dans un mauvais état.»

19        Et il a dit–il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, j’aimerais vous raconter quelque chose.»

            J’ai dit: «Voulez-vous dire qu’un homme peut vivre ici dans ce bel endroit et me dire que vous ne croyez pas en Dieu?»

            Il a dit: «Non, je crois que c’est juste une histoire comme on en raconte aux enfants à Noël, de père Noël.»

            J’ai dit: «Oh ! Non. Vous avez certainement eu un mauvais départ, ami.» J’ai dit: «Je déteste être en désaccord avec vous, mais, ai-je dit, je vais le faire, car je sais que vous êtes en erreur et vous êtes un être humain, et vous avez autant que n’importe qui d’autre le droit d’aller au Ciel, mais vous avez seulement retourné vers l’arrière votre bonnet de réflexion, c’est tout.»

            J’ai dit: «Vous n’êtes pas seulement... vous avez une histoire bien montée.»

            Et il a dit: «Oh ! a-t-il dit, oui, j’en ai ; c’est vous qui avez tout embrouillé.»

            J’ai dit: «Eh bien, c’est maintenant le bon moment, nous sommes seuls, nous avons vingt miles [32 km] à chevaucher aujourd’hui.» J’ai dit: «Beaucoup de temps pour réfléchir là-dessus.»

20        Il a dit: «Eh bien, j’aimerais vous dire quelque chose.» Il a dit: «Pour commencer, cela ne peut absolument pas être vrai.»

            Et j’ai dit: «Mais pourquoi cela n’est-il pas possible?»

            Il a dit: «Eh bien, nous allons établir le principe, en premier, de la naissance virginale.»

            J’ai dit: «C’est bien une bonne chose de quoi parler.» J’ai dit: «Si jamais vous voyez correctement la naissance virginale, alors vous avez vu correctement le christianisme.»

            Et il a dit: «Eh bien, j’aimerais vous dire quelque chose.» Il a dit: «Il est absolument impossible à une femelle de mettre bas sans avoir été en contact avec un mâle.»

            J’ai dit: «C’est exact.» J’ai dit: «Je le crois.»

            Il a dit: «Alors, comment cette femme, Marie, a eu un Enfant sans avoir été avec un homme?»

            J’ai dit: «Dieu était le Père de cet Enfant.»

            Et il a dit: «Eh bien, comment cela a pu...? Et vous dites que Dieu est Esprit.»

            J’ai dit: «C’est ce qu’Il est. Et ce–c’est Lui qui avait créé la cellule de Sang dans le sein de la femme qui a enfanté le Fils, Jésus-Christ.»

            Il a dit: «Oh ! Impossible, a-t-il dit, c’est impossible.» Il a dit: «La femme a juste fait une petite gaffe.» Comme l’une de ces belles... J’ai un livre chez moi à la maison qui parle d’un séminaire baptiste qui enseigne la même chose aujourd’hui ; que Jésus-Christ est le fils d’un soldat allemand, que Marie était absolument... et cela est publié par un séminaire aujourd’hui. Maintenant, vous pouvez voir à quel point ils s’éloignent de Dieu. C’est vrai.

21        Et il a dit: «Il–il est tout possible que cela ait été vrai. Et comme il était un enfant illégitime...?...», et tout comme cela. Vous savez, beaucoup d’artistes pensent qu’Il avait des cheveux blonds, et tout comme cela, ils pensent qu’Il...?... autre. Il a dit: «C’est tout un mensonge.»

            «Alors, ai-je dit, j’aimerais vous poser une question.» J’ai dit: «Voulez-vous dire que–que Dieu ne pouvait pas créer cette cellule de sang-là?»

            Il a dit: «Non. Pour commencer, Dieu n’existe pas.» Il m’a donné sa théorie là-dessus (Vous savez), sur la lune et des étoiles qui s’étaient rassemblées, et le soleil, la théorie de Darwin, comment cette évolution a commencé. Tous ces petits têtards qui ont commencé à perdre leurs queues, et ils ont eu des jambes et ils ont commencé à marcher, et...

            J’ai dit: «Eh bien, tout ce qui est donc arrivé, si tout... certains d’entre eux sont devenus des hommes ; qu’est-il arrivé après à ce têtard? Il n’y a plus eu de têtards.» Alors, il a dit... J’ai dit: «J’aimerais vous poser une question. Allez-vous croire... Allez-vous m’accorder maintenant que cet Enfant Jésus avait une mère? Nous le savons, selon les écrits. Nous avons vu cela, selon la Bible. Eh bien, Il avait une mère. Mais c’est absolument contraire à la science de dire qu’Il a pu naître sans que cette mère ait eu un contact avec un homme terrestre.»

            Il a dit: «C’est tout à fait exact.»

            J’ai dit: «J’aimerais alors vous poser une question. Comment le premier homme est-il arrivé ici sans père ni mère? Que ça soit un têtard, ou un singe, tout ce que vous voulez que ça soit, d’après votre déclaration, il a dû avoir un père et une mère.»

22        Mes amis, je vous assure, certaines personnes ont un esprit très borné, vous pouvez passer la mine du crayon entre leurs yeux, cela les aveuglerait. C’est vrai. Ils sont–ils... Ils ne regardent simplement pas de deux côtés ; ils attrapent juste une petite théorie et s’enfuient avec. Vous devez vous arrêter et réfléchir sur la chose.

            «D’après cela donc, comment le premier homme est-il apparu ici? Selon la science, il a dû avoir un père et une mère, et qui étaient ces derniers? C’est ce que j’aimerais savoir. Quand répondrez-vous à cela?»

            Dès qu’il répondra à cela, je serai prêt pour ça.

            Il a chevauché sur une petite distance et il n’a jamais dit un mot. Il est simplement resté tranquille et il a chevauché sur une petite distance devant moi, il a arrêté son cheval, il est revenu et il m’a entouré de ses bras. Il a dit: «Je crois que vous croyez cela, prédicateur.»

            J’ai dit: «Je le crois certainement.»

            Il a regardé et a dit: «Je lève ma tête vers les montagnes... D’où me viendra le secours? Mon secours viendra de l’Eternel.» Son père était un prédicateur baptiste ; il est lui-même prédicateur. Il voulait simplement voir si je croyais cela ou pas. Vous y êtes. Oh ! Frère, je vous assure, ça paie de tenir ferme à ce que vous savez être la vérité. Oui, oui. Le monde observe. Tenez-vous exactement sur vos convictions et soyez prêt à répondre à un homme à n’importe quel moment.

23        C’est comme le vieux dicton le dit: «Qu’est-ce qui était en premier, la poule ou l’oeuf?» Vous avez donc entendu cela, je pense. Entre la poule et l’oeuf, qu’est-ce qui est apparu le premier? Si vous dites: «C’est la poule qui a dû venir de l’oeuf, et le... L’oeuf est apparu ici le premier? Et l’oeuf ne pouvait pas être ici sans la poule.» Eh bien, c’est facile. Dieu a créé la poule, elle a pondu un oeuf, c’est ainsi que cela a commencé. C’est tout aussi facile que un plus un égale deux. Cela a arrêté de vieilles questions. Beaucoup de gens émettent ces petites théories et ces petites choses, comme cela. A vrai dire, il n’y a rien là.

            Mais maintenant, la chose capitale, s’Il était ce Fils de Dieu... Eh bien, comme vous commencez à... Le printemps arrive maintenant. Nous savons que le sang vient du mâle. Nous... D’ici peu, les oiseaux vont venir ici, faire leurs nids.

            J’observais aujourd’hui les petits passereaux ramasser de mauvaises herbes dans la rue et les emporter dans le... dans les gouttières et tout, à l’hôtel, faire leurs nids. Il y aura plus d’une vieille mère oiseau qui fera un nid là-haut et qui couvera un nid plein d’oeufs qui n’écloront jamais, car elle n’a pas été avec un oiseau mâle. Elle peut pondre l’oeuf... N’importe qui peut pondre un oeuf, mais si elle n’a pas été avec un oiseau mâle, cela n’éclora jamais. Cela restera simplement là même, cela va... cela pourrit en plein dans le nid.

24        Et la vieille mère oiseau peut couver ce nid-là jusqu’à se rendre si faible qu’elle ne pourra même pas quitter le nid. Si elle crève de faim, en dorlotant ces oeufs, en les retournant, attendant leur éclosion. Mais ils ne vont jamais éclore ; il n’y a rien en eux pour éclore. Il n’y a pas de vie en eux.

            Cela me rappelle beaucoup ces vieilles églises froides et formalistes, vous faites entrer les gens, vous en faites des diacres, vous en faites des docteurs en divinité, et tout le reste, mais s’ils n’ont pas été avec Jésus-Christ et qu’ils ne sont pas nés de nouveau par le baptême du Saint-Esprit, ils ne croiront jamais un Dieu surnaturel. Il n’y a rien en eux pour croire. Ils sont morts pour commencer, ils ont juste l’apparence de la piété, mais ils renient ce qui en fait la force. C’est tout à fait vrai. La meilleure chose à faire, c’est nettoyer le nid et recommencer. C’est vrai. Au lieu de les faire entrer par une lettre et une adhésion, qu’ils s’agenouillent à l’autel et prient jusqu’à l’exaucement, jusqu’à ce que Dieu inscrive leurs noms dans le Livre de Vie de l’Agneau ; alors, ils resteront là. Alors, ils produiront des fruits après qu’ils seront nés de nouveau de l’Esprit de Dieu.

25        Eh bien, s’il me fallait... Jésus aujourd’hui là-dessus, et sur chaque individu, là où vous devrez vous tenir, selon votre opinion sur Jésus-Christ: «Que pensez-vous du Christ? De qui est-Il Fils?»

            Faisons venir quelques personnages ici dans quelques instants, et demandons-leur simplement de qui Il est Fils. Et si je faisais venir Son ennemi juré? Laissons Ses ennemis témoigner sur Lui d’abord. Son ennemi juré, c’est Judas Iscariot, celui qui L’avait trahi, Lui réservant un si mauvais traitement, qui L’avait livré pour trente sicles d’argent. Faisons-le venir là, Judas, et demandons à Judas ce qu’il pense de Lui. Judas, quand il L’a vu là au prétoire de Pilate, il avait pris trente sicles d’argent, il les a jetés aux pieds du sacrificateur et a dit: «J’ai trahi le sang d’un Innocent.» Et il était assez gentleman pour prendre une corde et se pendre. Ça serait de loin mieux si certains de ces gars aujourd’hui étaient tout aussi gentlemen à ce sujet que Judas l’a été, qu’ils allaient se pendre. Et alors, ils... il s’est pendu à un sycomore.

26        Voyons Pilate, l’homme qui s’était lavé les mains. Il se tient là, et il condamne Jésus. Il est prêt à prononcer le jugement, pour avoir la faveur d’un empereur romain. Et pendant qu’il est là, prêt à prononcer le jugement, il dit: «Accomplis un miracle, fais-nous voir quelque chose. Qui es-Tu? Parle pour Toi-même.» Et l’Agneau de Dieu n’a même point ouvert Sa bouche, et Il n’a même point dit un mot. Il s’est simplement tenu là.

            Et la chose suivante, vous savez, j’entends le bruit d’un cheval passant au galop dans la rue. Tout d’un coup, vous savez, un jeune homme saute du cheval et s’approche en courant, il lui tend un petit morceau de papier. Regardons par-dessus son épaule, nous voyons Pilate devenir pâle. Il reprend son souffle. Il perd la force. Il commence–il commence à... Ses genoux s’entrechoquent.

            Regardons par-dessus son épaule et voyons ce qui est écrit dessus: «N’aie rien à faire avec cet Homme juste (C’est une femme païenne), car j’ai beaucoup souffert aujourd’hui à cause de Lui dans un songe.»

            Et là Pilate dit: «Apportez-moi de l’eau. Laissez-moi me laver les mains; en effet, occupez-vous-en, je n’ai rien à dire dans cette affaire.» Eh bien, ce sont Ses ennemis qui témoignent de Lui. C’est vrai.

            Considérez le soldat romain qui se tenait là et qui Lui avait percé le coeur avec son épée et sa lance. Quand Il a levé les yeux et qu’il a vu la terre devenir noire, et les bâtiments être secoués, le temple être déchiré... le voile être déchiré de haut en bas, il a mis sa main sur son coeur et a dit: «Certainement, c’était le Fils de Dieu.» Oui, oui. Ce sont Ses ennemis jurés qui témoignent là.

27        Demandons à certains de Ses amis. Faisons revenir Adam aujourd’hui du pays des bénis où il est. Adam, que pensez-vous de cet Homme? Que pensez-vous du Christ? De qui est-Il Fils? Adam répondrait: «C’est la Semence de la femme qui devait écraser la tête du serpent», si Adam pouvait témoigner.

            Faisons venir un autre homme du nom de Moïse, un personnage très remarquable de la Bible: le plus grand de tous les prophètes. Il était un type du Seigneur Jésus-Christ, le Sacrificateur, le Roi, le Législateur ; un type très parfait. Jamais un homme n’a parlé à Dieu comme Moïse, en dehors de Christ Lui-même. Aucun prophète, en aucun moment. Voyons ce que Moïse dirait s’il pouvait se tenir ici aujourd’hui. Il dirait: «L’Eternel ton Dieu te suscitera un Prophète comme moi ; et celui qui ne L’écoutera pas sera retranché du milieu du peuple.» C’est ce que Moïse pensait qu’Il était.

            Demandons à Ezéchiel, ce grand prophète Ezéchiel. Viens ici, Ezéchiel, descends de ta gloire, et le... Que pensez-vous du Christ, Ezéchiel? Ezéchiel dirait: «Quand je L’ai vu, Il était une Roue au milieu de la roue, se tenant en l’air.» En d’autres termes, toute la création tournait autour de ce moyeu de la roue ; chaque rayon, chaque jante, tout le reste s’emboîtait dans ce moyeu de la roue, la roue au milieu de la roue, là en l’air.

28        Je fais venir Esaïe ; c’était l’un des grands prophètes. Voyons ce qu’il dirait de Lui. Esaïe, que pensez-vous du Christ? De qui est-Il Fils?

            Esaïe était un grand prophète ; il a écrit une Bible en soi. Il y a soixante six livres dans le... Dans Esaïe, il y a soixante six chapitres dans Esaïe, soixante six livres dans la Bible. Il commence par la création comme dans la Genèse, juste au milieu du livre, là où apparaît le Nouveau Testament, Jean-Baptiste paraît, et puis à la fin, il termine cela par le Millénium: ils construiront des maisons et les habiteront, ils planteront des vignes et en mangeront. Il a écrit toute la Bible. Il était l’un des prophètes, Dieu l’a trouvé assez prophète pour le susciter et lui permettre de voir la fin depuis le début, puis du début jusqu’à la fin, d’un bout à l’autre, et Esaïe a écrit cela.

            Que pensez-vous du Christ, Esaïe? Il dirait: «Un Fils nous est né, un Enfant nous a été donné. La domination reposera sur Ses épaules ; on L’appellera Conseiller, Prince de la Paix, Dieu Puissant, Père Eternel ; et Son Royaume ne connaîtra pas de fin.» C’est ce qu’il dirait. C’est exact. Il ne serait pas comme certains théologiens aujourd’hui, qui Le prennent juste pour un simple homme ou un enseignant, ou un philosophe. Il...

29        Je dirais: «Faisons venir Daniel.» Daniel, ce grand prophète, qui a vu le début de la fin... ou le temps où il a vu cela jusqu’à la fin, au travers d’une statue. Assurément, il a vu Jésus là quelque part. Il a vu le commencement avec la tête d’or: le roi Nebucadnetsar et le royaume des Gentils. Il a vu les Médo-Perses, l’airain et tout, jusqu’à l’empire romain, jusqu’à Sa Venue. «Que pensez-vous du Christ?» Eh bien, Daniel, vous le grand et... le prophète de Dieu, puissant en force: «Que pensez-vous du Christ?»

            Il dirait: «J’ai vu toute la statue du monde. J’ai vu cela là debout. Puis, j’ai vu une Pierre se détacher de la montagne sans le secours d’aucune main, Elle est entrée à Babylone en roulant, Elle a écrasé cela, et c’était devenu comme de l’herbe dans l’aire avec la balle dessus et le vent a soufflé et emporté cela. Et Cela est devenu une grande montagne qui a rempli toute la terre, la mer et le ciel.» C’est ce qu’il pensait de Lui: la Pierre qui s’est détachée de la montagne sans le secours d’aucune main. Daniel, le grand prophète.

30        Maintenant, demandons à un autre qui devrait être là. En fait, demandons à Jean-Baptiste. Que pensez-vous de Lui, Jean-Baptiste? Si Jean pouvait venir sur la scène aujourd’hui et se tenir ici à l’estrade pour témoigner, Jean dirait: «Je ne L’ai pas connu. Mais Celui qui m’avait dit au désert: ‘Va baptiser d’eaux’, a dit: ‘Celui sur qui tu verras l’Esprit descendre et s’arrêter, c’est Celui-là qui baptisera du Saint-Esprit et du Feu.’» Il témoignerait pour Lui-même, pour confirmer qui Il était.

31        Je pense à la meilleure autorité qu’il y a, à notre connaissance, c’est Sa mère. Ne le pensez-vous pas? Si une femme est censée savoir à qui appartient un bébé, c’est sa mère. Est-ce vrai? Marie, nous allons vous faire venir cet après-midi et vous demander: Que pensez-vous du Christ? De qui est-Il Fils? C’est vous la mère, vous êtes censée le savoir. Vous êtes censée tout savoir à ce sujet.

            Je peux entendre la petite vierge dire: «Je n’ai point connu d’homme.» Alléluia ! «Mais un jour, alors que je revenais du–du puits des vierges avec un seau d’eau sur mes épaules, un Ange est apparu devant moi et a dit: ‘Marie, ne crains point, Je te salue. Tu es bénie d’entre toutes les femmes.’ Il a dit que le Saint-Esprit me couvrirait de Son ombre et que ce Saint Enfant qui naîtrait de moi serait appelé Fils de Dieu. Je crois que c’est Ce qu’Il était, le Fils de Dieu, le Fils du Dieu vivant, né de la vierge.» Je pense que ça devrait faire autorité, ne le pensez-vous pas? Que pensez-vous, Marie? De qui est-Il Fils? Elle a dit: «C’est le Fils de Dieu.»

32        Je pense que l’autorité finale devrait être... Demandons au Dieu Tout-Puissant Lui-même. Apprenons de Lui, maintenant, Qui Il dit. Là sur la montagne de la Transfiguration, un jour, alors que Pierre, Jacques et Jean étaient là, pendant qu’Il était couvert d’une nuée et qu’une Voix s’est fait entendre de là, disant: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé en Qui J’ai mis toute Mon affection.» Cela a mis une fois pour toutes le sceau, en ce qui me concerne. Cela... Qu’est-ce? Il était le Fils de Dieu, pas le fils de Joseph. C’est réglé pour toujours. «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé en Qui J’ai mis toute Mon affection.» Alléluia ! Il est le Fils de Dieu. Que pensez-vous?

            Ils ont dit: «Il est le Fils de David.» Il était le Fils de David, mais avant tout, Il était le Fils de Dieu par l’Esprit et par la naissance. Il est le Fils de Dieu né d’une vierge.

Mon espoir ne repose sur rien d’autre
Que sur le Sang de Christ et Sa justice ;
Quand tout cède autour de mon âme,
Alors, Il est tout mon Espoir et mon Soutien.

Car sur Christ, le roc solide, je me tiens,
Tout autre terrain, c’est du sable mouvant.

33        Si vous me demandiez: «Prédicateur, de quoi vous vantez-vous là? Pourquoi ne nous dites-vous pas ce que vous pensez de Lui?» Oh ! C’est avec une grande joie que je le ferai. Oui, oui. Permettez-moi de vous dire ce que je pense de Lui. Je pense, à Sa naissance, Il était merveilleux, quand bien même Il est entré par la crèche et qu’Il est sorti par la peine capitale, néanmoins, jamais naissance n’a été comme celle-là, des potentats, des rois, quoi que ça puisse être; jamais naissance n’est comparable à celle là et ne le sera. Il était le Fils du Dieu vivant né d’une vierge.

            Quand Il naquit, Il... Dans Sa sagesse, Il était–Il était incomparable, il n’y avait personne qui pouvait L’égaler dans Sa sagesse. Et comme un prédicateur a dit: «Jamais homme n’a parlé comme cela», a dit un homme qui était venu Le voir. C’est vrai. En tant que Guérisseur, Il était Divin. Alléluia ! Oui, oui. Dans Sa mort, Il a été mon Rédempteur ici.

En vivant Il m’aima, En mourant Il me sauva ;
Enseveli, Il emporta mes péchés au loin ;

            Alléluia ! Oui, oui. Quand Il était ici sur terre, Il paraissait comme Dieu ; Il agissait comme Dieu ; Il a dit qu’Il était Dieu ; Il a vécu comme Dieu ; Il a prêché comme Dieu ; Il est mort comme Dieu ; Il règne comme Dieu ; Il a prouvé qu’Il était Dieu. Alléluia. C’est ce qu’Il était. C’est ce que je pense de Lui.

34        Chaque homme qui ait jamais abouti à quoi que ce soit dans cette vie a été un homme qui se fiait en Lui et qui savait qu’Il était le Fils du Dieu vivant, le Jéhovah incarné ici sur terre. Oui, oui. Pas étonnant...

Il descendit de Sa Gloire, l’histoire toujours vivante,

Mon Seigneur et mon Sauveur vint, et Jésus était Son Nom.
(Regardez. Il était...)... né dans une mangeoire, et étranger pour les Siens ;
Le Dieu de tristesse, des larmes et d’agonie,

            Oh ! Dieu condescendant ! Et Il s’abaissa sous la forme de la chair pour racheter l’humanité, guérir les hommes et rendre la vie agréable pendant que nous vivons ici, nous amener dans la Gloire. Eh bien, tout homme qui ait jamais vécu et qui a abouti à quoi que ce soit croit cela de tout son coeur.

35        Faisons venir quelques-uns de grands poètes sur la scène aujourd’hui, des écrivains et vous des hommes solides. Chaque homme qui ait jamais eu un brin d’inspiration doit cela à l’Homme Jésus-Christ. Alléluia ! Demandons à Eddie Perronet: «Que pensez-vous de Lui?» Alors qu’il vivait jadis, il était tout abattu, il était ivre et névrosé, et tout le reste...?.. Alors, il a dit... Puis, un jour, l’inspiration le frappa ; il prit son stylo et composa:

Grâce étonnante, ô quel doux son,
Qui sauva un vil comme moi !
Autrefois j’étais perdu, mais maintenant je suis retrouvé,
J’étais aveugle, mais maintenant je vois.

Cette grâce m’a enseigné oh ! la crainte,
Et la grâce m’a affranchi de mes peurs ;
Combien précieuse parut cette grâce
Tout au début de ma foi !

36        Demandons à Gilmour. Que pensez-vous de Lui? C’était un homme agité. Il a été en Angleterre, ici, à divers endroits. Que pensez-vous de Lui? Un jour, quand l’inspiration le frappa, Christ entra dans son coeur, il dit:

J’ai ancré mon âme dans le havre du repos,
Je ne naviguerai plus sur des mers houleuses,
Que la tempête balaie la mer houleuse et profonde,
Mais en Jésus je suis en sécurité pour toujours. (Alléluia !)

37        Demandons à Thompson. Que pensez-vous de Lui? Oh ! Ou Charles Wesley. Qu’on vous demande quoi? Un jour, il était assis et une tempête a éclaté, il était là sur une plage. Une tempête éclata et un petit passereau entra dans son sein. Il l’attrapa en son sein et il le garda là-dedans ; après la tempête, il le mit sur son petit doigt, comme cela, et le drôle de petit passereau s’est envolé, dans le ciel, vers la lumière du soleil. La foi se remua dans son sein au point qu’après la tempête, il composa:

Rocher d’âges, fendu pour moi,
Laisse-moi me cacher en toi.
Pendant que les eaux coulent plus près,
Pendant que la tempête est encore forte

            C’est ce que Wesley dirait de Lui. C’est ce que John Wesley dirait... ou plutôt Charles Wesley, le grand poète et le compositeur de chants.

38        Et maintenant, demandons à Hopkins: Que penseriez-vous? Ou demandons à Lowell Mason, que penseriez-vous? Voici ce qu’il dirait:

Ma foi regarde à Toi,
Toi Agneau du Calvaire,
Sauveur divin !
Maintenant, écoute-moi pendant que je prie,
Ôte toute ma culpabilité ;
Laisse-moi dès ce jour,
Etre tout à Toi !

39        Oh ! Que pensez-vous du Christ ce soir, assistance? Que pensez-vous de Lui aujourd’hui alors qu’Il apparaît? Que pensez-vous de Lui aujourd’hui en tant que l’Incomparable? Je crois qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Sa puissance...?...

            Eddie Perronet. Demandons-lui. C’était un homme considéré, on le disait fou. Et un jour, pendant qu’il était dans sa chambre, l’inspiration le frappa. Il prit le stylo, Dieu lui permit de composer avec une sagesse immortelle le couronnement de la Venue du Seigneur Jésus. Il dit:

Que tous acclament la puissance du Nom de Jésus !
Que les anges se prosternent ;
Qu’ils apportent le diadème royal,
Et Le couronnent Roi de tous.

40        Oh ! la la ! La vieille Fanny Crosby, l’aveugle: Que pensez-vous du Christ? De qui est-Il Fils? Elle était aveugle. Elle n’avait jamais vu la lumière du jour. Elle ne savait pas distinguer la lumière du jour des ténèbres. Que pensez-vous de Lui? Elle a dit:

Ne m’oublie pas, ô doux Sauveur,
Ecoute mon humble cri ;
Pendant que Tu appelles les autres,
Ne m’oublie pas.

Toi la Fontaine de tout mon réconfort,
Plus que vie pour moi,
Qui d’autre ai-je sur terre à part Toi?
Qui au Ciel si ce n’est Toi?

            Un autre a écrit:

En vivant, Il m’aima ;
En mourant, Il me sauva ;
Enseveli, Il emporta mes péchés au loin,
En ressuscitant, Il me justifia gratuitement pour toujours ;
Un jour, Il viendra, ô quel jour glorieux.

41                    Chicago, je vous demande cet après-midi: «Que pensez-vous du Christ? De qui est-Il Fils?» Quand Il marchait ici sur terre, dans la puissance de Sa résurrection, Il avait des visions, Il accomplissait des miracles, Il accomplissait des oeuvres. Et Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Tous les soirs, vous voyez ces oeuvres être accomplies ici même dans cette église-ci. Quel est votre avis sur Jésus-Christ? Il est le Fils du Dieu vivant, n’est-ce pas? C’est vrai.

            Je peux demander aujourd’hui, Dwight Moody, que pensez-vous de Jésus-Christ? A Sa mort, là, on lui a posé cette question-là, je pense, à sa mort. Et Il a dit: «Est-ce ça la mort?» Il a dit: «C’est le jour de mon couronnement.» Alléluia ! Je vous le dis:

La vie de grands hommes nous rappelle tous,
Que nous pouvons rendre notre vie sublime,
Et en partant, laisser derrière nous,
Des empreintes de pas sur les sables du temps ;
Des empreintes de pas qu’un autre, peut-être,
En naviguant sur l’océan solennel de la vie,
Un frère désespéré et naufragé,
En voyant cela, reprendra courage.

42        Mon frère, ma soeur: «Que pensez-vous du Christ?» C’est une question personnelle à chaque individu. Ne Le rejetons pas dans notre génération. Acceptons-Le comme le Fils de Dieu né d’une vierge. Bâtissons notre espoir sur rien d’autre que sur le Sang de Jésus et Sa justice.

            Tenons-nous debout maintenant et donnons notre témoignage, disons au monde ce que nous pensons de Lui ; Qui Il est, ce qu’Il est, et ce qu’Il est pour nous.

43        Qu’avais-je fait alors que j’étais étendu là à l’hôpital, chez les frères Mayo? Ils m’ont examiné et ils ont dit: «Eh bien, vous n’avez pas beaucoup de temps à passer ici.» Que puis-je penser du Christ, Lui qui est venu vers moi cette nuit-là dans une vision? Quand on disait: «C’est impossible, Révérend Branham, pour vous de jamais vous en tirer...» Mais par Sa grâce étonnante, Il vint à moi et dit: «Ne crains pas. Je suis avec toi. Et tu vas prêcher l’Evangile.» Alléluia ! Il a dit...

44        S’il me fallait demander à la petite Georgie Carter, qui était étendue là: «Que pensez-vous du Christ?» Elle avait été alitée là neuf ans et huit mois sans même un brin d’espoir, puis Jésus vint et la rétablit parfaitement.

            Et si je pouvais faire venir E. Howard Cadle, d’ici en Indiana, un ivrogne, un soûlard étendu là, couvert de mouches alors qu’il était étendu là dans un bar? Quand il est entré dans le... fond de son église, là ses partisans démocrates avaient jeté la photo de sa propre mère sur un tas de débris, là-bas, les larmes lui coulaient des yeux. Que pensez-vous du Christ? Christ l’a relevé, et Il lui a envoyé des milliers d’âmes. Cet ivrogne, ce que Dieu a fait pour lui, c’est la grâce étonnante, par rapport à ce qu’Il a donné à Howard Cadle.

            Non seulement cela, mais chaque homme et chaque femme ici présent, vil, aveugle, vous auriez été une prostituée dans la rue, quand si... n’eût été Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Ô hommes, je ne sais pas ce que vous seriez devenu. Je serais mort et dans ma tombe depuis longtemps. Beaucoup, il en aurait été de même pour beaucoup, si notre foi n’avait pas été ancrée en Jésus-Christ comme le Fils du Dieu vivant.

            Que pensez-vous du Christ? Il est le Fils du Dieu vivant. Oh ! Combien je L’aime ! Combien je L’adore ! Qu’Il est incomparable et aimable ! Que Ses bénédictions reposent toujours sur vous.

45        Et je prie ce soir que Son Saint-Esprit soit déversé sur vous ici, que de grands signes et de grands prodiges se produisent dans cette salle ce soir.

            Que pensez-vous du Christ? De qui est-Il Fils?

            Je ne pourrais pas être un fils de l’homme et faire de telles choses. Comment a-t-Il sauvé le monde? Tout ce qui soit jamais arrivé, chaque civilisation, c’est venu par Lui. Chaque pièce de monnaie qui vaut quelque chose, pratiquement, porte le Nom de Dieu dessus. Chaque nation qui a... qui reconnaît Dieu a connu une civilisation. Et les autres sont devenus des païens et des païens. Là où une femme est honorée, c’est là qu’Il...c’est là que Dieu se trouve généralement, que Jésus-Christ est cru comme le Fils de Dieu. Et chez les nations, là où Dieu et Jésus ne sont pas reconnus, les moeurs des femmes ne sont pas au-dessus de celles d’une vache ; elles parcourent la rue par douzaine, on se les échange et tout le reste, comme des femmes et des épouses et tout comme cela. L’unique respect, la seule décence et tout le reste, ça vient des gens qui L’ont reconnu comme Fils de Dieu. Et Il a confirmé Ses oeuvres dans toutes les nations qui ont cru, là où subsiste ce reste. Oui, monsieur, la civilisation est passée par...

46        Il n’y a pas longtemps, je suis monté dans la statue de la liberté, là où se trouve ce grand bras, je suis allé là, et il y avait un tas de petits passereaux morts.

            Des infidèles peuvent s’élever et venir, des sceptiques peuvent s’élever. Je vais ici dans votre musée, et on m’a pratiquement chassé l’autre jour. Quand je suis entré là... Beaucoup parmi vous étaient ici. Je suis allé là et on montrait ce que l’homme était il y a de cela des centaines de milliers d’années, tout au long: qu’il est descendu d’un arbre ou quelque chose comme cela, l’arbre, l’arbre généalogique. De telles sottises, nous supportons que cela soit enseigné dans nos écoles. Pourquoi les gens, par amour pour les cieux, ne se lèvent-ils pas pour rejeter cela? Miséricorde, c’est une disgrâce. Il n’est pas étonnant que nous ayons éclos treize millions d’incroyants pendant les deux dernières années, c’est à cause de telles sottises. Ces pauvres petits esprits tendres...

            Et puis, vous pouvez fréquenter une église, là où on essaie de prêcher l’Evangile et de démontrer la puissance du Saint-Esprit, on vous taxe de saint exalté, et ils écrivent toutes sortes de choses qu’ils peuvent dire à votre sujet. Cela montre le diable dans tous ses états, mais l’Eglise de Dieu ne faillira jamais, elle ira de victoire en victoire jusqu’à ce que Jésus vienne chercher Son Epouse. Alléluia !

            Les tempêtes peuvent éclater, les vagues peuvent déferler ; mais l’Eglise de Dieu restera éternellement. Elle y entre, tout aussi certainement que je me tiens ici cet après-midi. Amen !

47        Pendant que je regardais ces petits passereaux étendus là, j’ai dit au garde qui m’accompagnait, j’ai dit: «Que se passe-t-il avec ces petits oiseaux?»

            Il a dit: «Ils sont morts hier soir.» Il a dit: «Une tempête a éclaté, et ils volaient juste dans la tempête.» Et il a dit: «Ils sont venus à la lumière ; au lieu de se servir de la lumière qui émanait de la Statue de la Liberté, a-t-il dit, pour aller en paix, ils sont venus et ont cherché à éteindre la lumière, ils ont cogné leurs petites têtes contre cela jusqu’à se faire sauter les cervelles.» Et ils gisaient là morts, pour avoir refusé de suivre la lumière, mais avoir essayé de l’éteindre.»

            J’ai dit: «Ô Dieu, quel exemple est-ce ! Les hommes et les femmes se lèvent aujourd’hui, des gens qui cherchent à nier la Bible de Dieu, que Jésus est le Fils de Dieu né d’une vierge ; ils se font sauter la cervelle au lieu de se servir de la Lumière, le baptême du Saint-Esprit, pour avancer vers la victoire, la puissance et la victoire. Seulement pour... Ils ne font que se faire sauter la tête. L’église du Dieu demeurera éternellement: «Sur cette pierre, Je bâtirai Mon Eglise et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle.» Quand Pierre a fait sa première confession: «Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant, Il a dit: «Tu es heureux, Pierre, car ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela. Tu n’as point appris cela dans un séminaire. Tu n’as point appris cela de quelqu’un d’autre qui l’a dit, mais c’est Mon Père qui est dans les cieux qui t’a révélé cela.»

            «Et sur cette pierre, Je bâtirai Mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle.» Il a montré que les portes du séjour des morts seraient contre Cela, mais que ça ne pourrait pas prévaloir ; car l’Eglise du Dieu vivant continuera d’avancer. Oh ! La grande Eglise de Dieu, qui se tient...?... avec...?...

48        Oh ! Comme dans le Testament, l’Ancien Testament, quel beau tableau a été donné sur Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection ! Quand un homme souffrait de la lèpre, ce qui est un type du péché, quand il était guéri par Dieu, il offrait deux tourterelles. On amenait les colombes ou les pigeons là. On décapitait l’un, on le renversait comme ceci, il saignait, son sang se déversait sur le compagnon vivant. Et puis, on amenait le compagnon vivant à la fenêtre, on le lâchait. Et quand le compagnon vivant s’en allait, volant de ses petites ailes, il baignait la terre avec le sang de son compagnon mort, en criant: «Saint, saint, saint est l’Eternel.» Le compagnon vivant, le Mari de l’Eglise de Dieu, c’est Jésus-Christ, qui a été tué au Calvaire comme un Sacrifice pour la lèpre, pour la purification du péché et pour la maladie ; puis Sa Vie et Son Sang ont été déversés sur l’Eglise ; Celle-ci traverse le monde aujourd’hui, prêchant l’Evangile de l’ancien temps, la sainteté et la puissance de la résurrection de l’Esprit de Jésus-Christ, criant: «Saint, saint, saint est l’Eternel.» Il est né d’une vierge, sans aucune relation sexuelle là-dedans, pas du tout. Il est le Fils du Dieu vivant. C’est là mon espoir ; c’est là ma force ; c’est là que ma foi repose, là même.

49        Et la nuit, et à différents moments, quand je rencontre des démons, face à face, ma foi est bâtie là. Les cieux et la terre passeront, mais cela ne passera jamais. Il est le Fils du Dieu vivant né d’une vierge.

            Si vous ne Le connaissez pas aujourd’hui, trouvez-Le vite. Laissez-Le venir vers vous et secourir vos âmes. S’il y a l’ombre de doute dans votre esprit, si seulement il y a de l’espoir là, prenez tout votre espoir et mettez la foi à sa place. Et sur cette pierre, Dieu bâtira Son Eglise, et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle.

            Que pensez-vous du Christ? Que pense chacun de vous? Que penserez- vous après la réunion de ce soir? Qu’avez-vous pensé quand c’était terminé hier soir? Que penserez-vous à la fin du réveil? Je pense que Dieu va l’envoyer à Chicago. Et là, nous reviendrons après avoir été outre-mer. J’aimerais dresser la grande tente de Jack Coe ici, ça offre environ quinze mille places assises, et rester ici pendant environ trois, quatre, cinq mois, jusqu’à ce que je voie Chicago voler en éclats pour la gloire de Dieu ; tous les chrétiens unis ensemble ; et la puissance de Dieu agissant dans un réveil à l’ancienne mode, du Saint-Esprit, prêchant le même Evangile, que Jésus-Christ est le Fils de Dieu. Que Dieu l’accorde, voilà ma prière. Que Dieu vous bénisse et je prie à cette fin-là ; c’est là mon espoir ; c’est là ma foi ; c’est ce que je crois, que Jésus-Christ est le Fils du Dieu vivant, né d’une vierge. Prions.

50        Notre Père céleste, nous Te remercions aujourd’hui pour Jésus, Ton Fils, qui nous a sauvés d’une vie de péché, qui nous a rachetés par Son Sang ; qui nous a donné la Vie Eternelle. Et nous prions que Tes bénédictions se manifestent à tout le monde ici présent. Ô Eternel, étends Tes grandes ailes sur cette salle, et fais que ces gens Te connaissent maintenant, par le pardon du péché. Que ceux qui n’ont pas reçu le baptême du Saint-Esprit ici le reçoivent juste cet après-midi.

            Maintenant, pendant que vous avez vos têtes inclinées dans la prière, chacun de vous, je vais vous poser une question. Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru? Avez-vous réellement senti la puissance de Dieu qui a changé votre vie et vous êtes devenu une nouvelle créature? C’est en ce moment-là que l’oeuf devient fécond. C’est alors que vous acceptez Jésus-Christ de cette façon-là, vous devenez...

            Vous direz: «Eh bien, je crois.» Le diable croit aussi. Vous direz: «J’ai confessé.» Le démon l’a aussi fait. Caïn l’a aussi fait, Ses disciples le font aussi; les églises formalistes l’ont aussi fait tout le temps. Mais, mes amis, vous ne savez pas ce que c’est jusqu’à ce que Jésus-Christ soit ressuscité dans votre coeur par la puissance et la démonstration du baptême du Saint-Esprit. Avez-vous Cela? Est-ce dans votre coeur?

51        Pendant que l’organiste vient à l’orgue juste un instant, s’il vous plaît, et que la pianiste est à sa place, j’aimerais que vous soyez en prière. Et j’aimerais vous poser cette question solennelle. Si vous n’avez pas le baptême du Saint-Esprit, voudriez-vous vous lever pour dire: «Frère Branham, maintenant même, je crois que Dieu va me donner le Saint-Esprit. Je L’accepte maintenant.»

            Si vous êtes un pécheur, levez-vous pour dire: «Je veux L’accepter comme mon Sauveur personnel.» Sinon: «J’aimerais recevoir le baptême du Saint-Esprit.» Que Dieu vous bénisse. Ils se lèvent partout, partout dans la salle. Et c’est bien. C’est en ordre. Très bien. Dites simplement: «Il m’a touché.»

52        Pendant que la pianiste joue doucement. Oh ! C’est bien, c’est bien. Beaucoup se lèvent. Que Dieu vous bénisse. Certaines personnes avancées en âges...

            Oh ! Si–si vous m’avez trouvé juste, serviteur de Dieu, si le Saint-Esprit vous a convaincu que j’ai dit la vérité sur Jésus-Christ, qu’Il vous accorde le baptême du Saint-Esprit cet après-midi. Que cela soit le–le temps du couronnement de votre expérience. Que Dieu couronne cela cet après-midi du baptême du Saint-Esprit.

            Amis, nous avons besoin de la puissance aujourd’hui. Nous avons besoin, pas d’un réveil, pas de faire entrer de nouveaux membres. Nous n’avons pas besoin de nouveaux membres, mais nous avons besoin d’un réveil de la puissance divine, et de la joie dans les coeurs humains, qui les transforme, des choses du monde pour faire d’eux de nouvelles créatures. Y a-t-il quelqu’un d’autre qui aimerait se lever avant la prière de clôture? S’il vous plaît, levez-vous. Très bien. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Très bien. Que le Seigneur Jésus-Christ accorde des bénédictions de Dieu. Maintenant, avec vos têtes inclinées partout, s’il vous plaît, doucement maintenant, dans la prière... Très bien, tout le monde, avec la tête inclinée maintenant, soyez en prière. Tout le monde. Venez, Frère Boze, et conduisez l’assemblée maintenant même dans la prière, s’il vous plaît.

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