Jésus-Christ Est Le Même Hier, Aujourd’hui, Et Éternellement

Date: 54-0813 | La durée est de: 46 minutes | La traduction: Shp
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1          Voyez-vous pourquoi un prophète? Il n’est pas un guérisseur. Il est là pour découvrir la volonté de Dieu pour vous.

            Ils ont donc envoyé chercher le prophète. Peut-être qu’Ezéchias avait là des médecins qui avaient tout fait pour lui, mais on dirait que son état ne s’améliorait pas. Ils ont donc envoyé chercher le prophète ; et il a demandé au prophète: «Quelle est la volonté de l’Eternel?»

            Quand donc le prophète a reçu la volonté de l’Eternel, il est arrivé là, sortant du désert, il est entré dans la maison de... ou au palais, il est allé vers Ezéchias, qui était alité. Il a dit: «AINSI PARLE L’ETERNEL.» (Frère, c’est AINSI PARLE L’ETERNEL, c’est cela, le Seigneur l’a dit.). Il a dit: «AINSI PARLE L’ETERNEL, tu ne descendras pas de ce lit-là, mais tu–tu vas mourir sur ce lit-là.» Et il a fait demi-tour et il est sorti.

            Eh bien, pouvez-vous vous imaginer? J’ai toujours eu pitié d’Esaïe, sur ce point-ci. Quand il est sorti, peut-être que les dignitaires et les autres étaient à la porte. Et je peux les entendre dire: «Ô prophète de Dieu, nous savons que tu as la Parole de l’Eternel, Elle demeure en toi. Qu’est-ce que donc le... notre–notre espoir pour notre roi?»

            Je peux l’entendre, alors qu’il lève sa... Il a levé la main et a dit: «AINSI PARLE L’ETERNEL, le roi ne descendra pas de ce lit-là, il mourra sur ce lit-là.»

2          Il traverse les couloirs, le voici. Un groupe de soldats le rencontrent, et: «Ô prophète de Dieu, nous savons que tu as la Parole de Dieu. Alors, qu’a dit l’Eternel au sujet de notre roi?»

            «AINSI PARLE L’ETERNEL, il va mourir, il ne vivra pas.»

            Il est sorti, il a rencontré les pauvres gens qui se tenaient à la porte alors qu’il sortait. Eh bien, il a dit... eux ont dit: «Nous aimons notre roi, ô prophète. C’est un homme de bien. Quelle est la volonté de l’Eternel pour notre pro–... pour notre roi? Va-t-il survivre?»

            Voyez Esaïe se redresser, le prophète de l’Eternel, dire: «AINSI PARLE L’ETERNEL, il mourra, et il ne survivra pas.» Oh ! la la ! Et sa réputation de prophète était accrochée à cela. Il arrive là où il était... devait être.

            Et cet Ezéchias, après qu’il eut entendu cela, remarquez, cela ne l’abattit pas. Il tourna son visage contre le mur, il pleura amèrement dans la prière, disant: «Ô Dieu, je Te supplie d’avoir de la considération pour moi, car j’ai marché devant Toi avec intégrité de coeur.» Pouvez-vous dire cela ce soir? «J’ai marché devant Toi avec intégrité de coeur.» Il avait encore besoin de quinze ans ; il a réclamé cela en pleurant amèrement.

3          Eh bien, je crois qu’il parlait à Jéhovah. Ne le croyez-vous pas? A Dieu Lui-même. Eh bien, qui est l’homme le plus considéré dans un royaume? Evidemment, c’est le roi. Eh bien, Jéhovah et le roi, l’homme le plus considéré dans le royaume d’Israël, parlant face à face avec Jéhovah. Pourquoi Jéhovah ne lui a-t-Il pas répondu?

            Mais, au lieu de cela, Il va au désert, là où était Son prophète, et Il a dit: «Maintenant, j’ai exaucé sa prière. Va lui dire que Je l’ai exaucé, et Je vais l’épargner pendant quinze ans.» Et le roi, le plus élevé en dignité, le potentat, était là, parlant face à face avec Jéhovah, et Il ne lui a pas répondu, mais Il est allé dire au prophète d’aller lui parler. Dieu a des voies de faire les choses, et nous devons nous soumettre à la volonté de Dieu et aux voies de Dieu. Il était là, en train de Lui parler, mais cependant, Il a demandé au prophète de parcourir de nouveau tout le trajet.

            Pouvez-vous vous imaginer l’embarras d’Esaïe en revenant pour dire... «Eh bien, pourquoi revenez-vous, Esaïe?»

            «AINSI PARLE L’ETERNEL, il va survivre, il descendra du lit. AINSI PARLE L’ETERNEL, il va survivre et il descendra du lit.» Qu’est-ce qui avait opéré le changement? Il était passé en disant: «AINSI PARLE L’ETERNEL, il va mourir. AINSI PARLE L’ETERNEL, il va mourir.» Le voici revenir, en disant: «AINSI PARLE L’ETERNEL, il va survivre. AINSI PARLE L’ETERNEL, il va survivre.» Qu’est-ce qui avait opéré le changement?

            La prière avait changé des choses: de la mort à la vie. C’est ce que fait la prière pour vous ce soir: de la mort à la vie. N’ayez pas peur de prendre Dieu au Mot.

4          Il me faut terminer maintenant, mais j’aimerais dire quelque chose d’autre juste une minute.

            Regardez, le problème en est que, avec vous les pentecôtistes, et tous, vous avez peur de prendre Dieu au Mot. C’est ça. N’ayez pas peur. Il accomplira cela. Acceptez simplement cela et accrochez-vous-y.

            Les Ecritures déclarent: «Il est le Souverain Sacrificateur de notre confession.» Maintenant, pas le Souverain Sacrificateur de vos sensations, le Souverain Sacrificateur de votre confession. Maintenant, Hébreux 3 dit: «Nous... Il est le Souverain Sacrificateur de notre confession.» Or, tout érudit sait que c’est professer qui est utilisé là, mais professer et confesser, c’est exactement le même mot, le même mot en grec, confesser et professer. Voyez? Il est le Souverain Sacrificateur, déclarent les Ecritures, la version King James, de notre profession, notre confession.

            Or, Il ne peut rien faire à vous, ou pour vous, à moins que vous acceptiez ce qu’Il a déjà fait, et que vous le confessiez.

5          Je ne suis pas sauvé ce soir parce que je sens que je suis sauvé. Je suis sauvé ce soir pour avoir rempli les conditions de Dieu selon Sa Parole. Dieu est tenu de prendre soin de moi si je remplis ces conditions. Est-ce vrai?

            Eh bien, quelqu’un dit: «Je suis sauvé parce que je me sens bien.» Les soulards se sentent aussi bien. Assurément. Le diable peut vous flouer à plusieurs reprises sur base de vos sensations ; mais quand il fait face à la Parole de Dieu, non, non, il ne peut pas passer là-dessus.

            Et Dieu a rendu le salut et la guérison divine si simples que le–le chrétien le–le plus faible peut bénéficier de chaque attribut de Sa vie. Quand Jésus... Croyez-vous qu’Il était Emmanuel? Tout ce que Dieu était, c’était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Chaque don qui était en Dieu était en Christ. Et Il avait toutes ces bonnes qualités en Lui. Tout ce que Dieu était, était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.

6          Mais quand Il rencontra Satan (pour vous faire savoir que vous avez cette autorité), Il n’utilisa jamais un de Ses dons, ni rien de Sa puissance.

            Satan a dit: «Si Tu es le Fils de Dieu, accomplis un miracle ici devant moi, fais-le-moi voir.»

            Il a dit: «Il est écrit: L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.»

            Il L’a placé sur le haut du temple et a dit, citant un passage des Ecritures, enduisant un passage des Ecritures, il a dit: «Les anges Te porteront sur les mains de peur que Ton pied ne heurte contre une pierre.»

            Il a dit: «Il est aussi écrit.»

            Il Le transporta sur la montagne, Lui montra tous les royaumes du monde ; il a dit: «Ils sont à moi, je Te les donnerai, si Tu m’adores.»

            Et Jésus a dit: «Il est écrit.» Chaque fois que lui, Satan, arrive, Il lui disait: «Il est écrit, Mon Père a dit ça. Mon Père a dit ça.» Et Il a vaincu Satan, avec la Parole de Dieu.

            Et chaque chrétien ici présent peut vaincre Satan à n’importe quel lieu, n’importe où, n’importe quand, avec la Parole du Dieu vivant. Il dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, il est écrit.» Quand vous prierez ce soir, dites: «Seigneur, j’accepte ma guérison. Je crois cela.» Peu importe ce que vous sentez, dites: «Je crois cela.»

            Jésus n’a jamais dit: «Avez-vous senti cela?» Il a dit: «Avez-vous cru cela?» Pas vos sensations. Il n’est pas le Souverain Sacrificateur de vos sensations. Il est le Souverain Sacrificateur de votre confession. Acceptez cela, croyez-le et confessez-le.

7          Le même principe, lorsqu’on vient à l’autel. Vous pouvez venir ici à l’autel, crier toute la nuit, marteler l’autel, crier, hurler, vous relever le matin, crier toute la journée, marteler sur l’autel, crier et hurler, jusqu’à grisonner, année après année ; vous n’allez jamais, jamais accepter... avoir le salut, jusqu’à ce que vous acceptiez ce que Jésus a fait pour vous, et qu’ensuite vous le confessiez. Est-ce vrai? Vous devez confesser cela.

            Maintenant, vous ne... Eh bien, vous ne... voyez, il n’est pas question d’attendre, vous avez d’abord confessé cela, et vous agissez sur base de cela, et ensuite les sensations viennent après.

            C’est pareil avec la guérison, vous acceptez cela: «Jésus, Tu l’as dit, je Te crois. J’ai cela, c’est mon bien personnel. J’ai signé ce chèque, je Te l’ai soumis. Tu m’as dit que tout ce que je demande dans la prière, en croyant, je le verrai s’accomplir. Et je crois que Tu l’as dit et Tu as déclaré la vérité, et c’est pour moi.»

            Quelqu’un dira: «Comment te sens-tu?»

            «Merveilleux.»

8          Eh bien, je me rappelle quand les frères Mayo m’avaient abandonné avec le trouble d’estomac ; ils avaient dit que je ne pouvais jamais me rétablir, que mon estomac était très irrité, un ulcère saignant, et que rien ne pouvait être fait. J’ai accepté Jésus-Christ comme mon Guérisseur. Je suis rentré à la maison. Maman a dit... J’ai dit... J’ai demandé la bénédiction à table.

            Et le médecin avait dit: «S’il prend une bouchée de nourriture solide, il aura une indigestion aiguë, il mourra dans les cinq prochaines minutes.»

            Il a dit: «Je suis l’Eternel qui te guérit.»

            Je devais croire soit le médecin, soit ce que Dieu a dit. Ils m’avaient soigné pendant deux ans, et ils n’avaient rien fait pour moi.

            Et nous avions–nous avions du pain de maïs, des haricots et des oignons. Je ne sais pas si vous en avez déjà pris un peu ou pas, mais c’est bon. Et quand j’ai demandé la bénédiction, j’ai dit: «Seigneur, je–je Te crois, et j’ai accepté ma guérison. Je...» Maman avait déversé le jus de pruneau là, et le jus d’orge mélangé à cela, vous savez, les deux petits biscuits secs salés ; c’est tout ce que je prenais.

            Et j’ai dit: «Donnez-moi des haricots.»

            Elle a dit: «Ô chéri, tu ne peux pas manger ça.»

            J’ai dit: «Le Seigneur a dit que je le pouvais.»

            «Oh ! Le médecin a dit...»

            J’ai dit: «Mais je crois la Parole du Seigneur.»

9          Alors, on m’a donné un plat plein de haricots et j’ai pris une grande... Je n’avais pas mangé depuis deux ans, rien de semblable. J’ai pris une grande bouchée de haricots, un morceau d’oignon et un gros morceau de pain de maïs. Je me suis mis à mâcher, ça goûtait bon. Dès que j’ai avalé cela et que ça a touché l’estomac irrité, cela a vite remonté. J’ai mis la main sur la bouche. J’ai dit: «Oh ! Non, hein, hein, non, non. Vous ne sortez pas. Non, non.» Et j’ai mis la main sur la bouche jusqu’à ce que j’ai mâché une autre bouchée et que je l’ai avalée. J’ai mis cela juste au-dessus de l’autre, j’en avais tellement plein que cela ne pouvait pas remonter. C’est vrai. J’ai simplement tenu cela là, allant de l’avant. Je suis sorti de la pièce, je suis allé dehors, et l’eau chaude me coulait de la bouche.

            Maman a dit: «Comment te sens-tu?»

            J’ai dit: «Merveilleux.»

            Je parcourais la rue, et je–je parcourais la rue, chantant:

Je le peux, je le veux, je le crois vraiment ;
Je le peux, je le veux, je le crois vraiment ;

            Quelques-uns demandaient: «Révérend Branham, comment vous sentez-vous?»

            Je disais: «Merveilleux.»

Je le peux, je le veux, je le crois vraiment ;
Que Jésus me guérit maintenant.

            «Vous sentez-vous–vous mieux, Révérend Branham?»

            «Merveilleux, je me sens bien. Jésus m’a guéri.»

10        Semaine après semaine s’écoulèrent, juste le même. Ce soir-là, chaque morceau de cela était là même. Je suis allé à table (Vous savez comment sont les pauvres), j’ai dit: «Passez-moi encore des haricots et du pain de maïs.» C’est vrai. Et j’ai mangé cela.

            Et je vous assure, frère, le... Maman a fait venir le médecin. Elle a dit: «Eh bien, c’est...»

            Il–il a dit: «Eh bien, cela va le tuer, aussi sûrement que deux fois deux font quatre.»

            Je l’ai fait, à mon incrédulité. Maintenant, je suis vivant, et avec la foi maintenant, avec Jésus-Christ. C’est vrai. Or, il a dit... Je pèse cent soixante-cinq livres [75 kg] ; à l’époque, je pesais cent dix-huit [53,5 kg]. Alors, voyez-vous ce que le Seigneur fera? Prenez-Le au Mot, croyez cela, confessez cela, peu importe comment vous vous sentez, croyez cela de toute façon. Il l’a dit.

11        Abraham crut à Dieu et cela lui fut imputé à justice. L’enfant n’était point venu avant vingt-cinq ans. Mais il donnait toujours gloire à Dieu pour cela, avant qu’il vînt. Il fut fortifié par la foi, donnant gloire à Dieu. Oui, c’est ça.

            Mais vous regardez votre symptôme. Juste une minute. Vous regardez votre symptôme. Vous dites: «Eh bien, regardez ça, on a prié pour moi à cause d’une main infirme, l’état de ma main ne s’est pas amélioré.» Ce n’est pas ça le signe que vous n’êtes pas guéri. Dieu l’a dit. C’est ça. Peu importe ce qui arrive à cette main, c’est ce que Dieu a dit qui compte, ce n’est pas pour ma main. Voyez? C’est ce que Dieu a dit qui compte. J’ai accepté cela, et je m’y suis cramponné, c’est tout. Maintenant, Il peut ouvrir cela, ou Il... aujourd’hui, demain, Il... peut avoir vingt-cinq ans, mais c’est en ordre, que votre témoignage soit positif.

            Chaque fois que vous tombez malade et qu’on prie pour vous, que vous sortez et que vous devenez un peu malade, vous dites: «Eh bien, je pense que j’ai perdu ma guérison.» Alors, votre témoignage devient négatif. Et Jésus ne peut plus rien dire pour vous.

            Il est le Souverain Sacrificateur de votre confession, Il est assis là, intercédant sur base de votre confession, ce que vous croyez.

12        Vous tous ici présents qui êtes sauvés ce soir, mettez-vous simplement en tête que vous n’êtes pas sauvés, et promenez-vous, disant: «Non, je–je ne suis plus sauvé.» Vous n’êtes pas sauvé. C’est un grand mot pour un baptiste, n’est-ce pas? Mais c’est vrai. Vous rétrogradez chaque fois que vous faites cela. C’est vrai, c’est vrai. Je crois que vous pouvez rétrograder. Assurément. Très bien.

            Mais, vous voyez, il vous faut avoir votre témoignage et votre–votre confession positifs: «Pas selon mes sensations, mais selon ce qu’Il a dit.» C’est ça.

13        Vous parlez de symptômes, je pense à quelqu’un qui a vraiment eu des symptômes, et c’était Jonas. Eh bien, il était... Le Seigneur lui avait parlé et l’avait oint pour aller prêcher à une grande ville, d’à peu près la superficie de Saint Louis. Et certaines personnes ne savaient pas distinguer la main droite de la main gauche. Il l’avait oint pour aller là prêcher à cette ville-là, sinon Il la détruirait.

            Jonas s’est dit: «Eh bien, il n’y a pas beaucoup de chrétiens là-bas, il y a donc probablement plus de chrétiens ici, ainsi je vais... (ou des croyants.)» Il allait donc à Tarsis.

            Mais il a eu des ennuis sur la mer. C’est ce qui arrive à tout homme qui fuit loin de Dieu, il connaît des ennuis tôt ou tard.

            Oh ! Comment, ce que je vois là, mais je ferais mieux de laisser donc ça de côté maintenant même. Alors, je–je vois Jonas là, le voilà partir. Tout d’un coup, vous savez, cela a un peu secoué la mer, un peu, de voir un rétrograde naviguer là, hors de la volonté de Dieu. Et alors, la mer devint furieuse à ce sujet, elle se mit à bondir, et les tempêtes descendirent.

            Tout va mal quand vous êtes rétrograde. Vous savez que c’est vrai. Et il était là, là sur une mer houleuse. Et peu après, il est remonté avec une vraie et bonne confession. Il a dit: «C’est moi qui en suis la cause. Liez-moi les mains et les pieds, jetez-moi par-dessus bord, et je n’aimerais pas que vous tous, vous mouriez.» Alors, quand ils l’ont jeté par-dessus bord, Dieu avait un drôle de grand poisson qui parcourait l’eau, il l’a simplement englouti. Ce poisson l’a englouti.

14        Tout le monde sait que quand un poisson mange... Nourrissez vos poissons rouges, il descend directement au fond, il fait reposer ses nageoires au fond. Il parcourt l’eau jusqu’à ce qu’il trouve sa proie. Ensuite, une fois qu’il mange, il descend et se repose. Et puis, il remontera et s’exposera au soleil, et tout.

            Mais eh bien, après que le poisson eut englouti Jonas, il avait eu tout ce dont il avait besoin pour cette journée-là. Alors, il–il est descendu au fond de la mer.

            Maintenant, vous parlez de quelqu’un qui avait des symptômes: il regardait de ce côté-ci, il y avait le ventre du grand poisson ; de ce côté-là, il y avait le ventre du grand poisson. Partout où il regardait, c’était le ventre du grand poisson. Il avait les mains liées derrière lui, c’était un rétrograde, dans une mer houleuse, couché au fond de l’océan, dans le ventre d’un grand poisson. Personne ici n’est dans un si mauvais état. Je vous le dis ! Il n’y en a pas. Là, il... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

15        ... Dieu intercédant sur base de votre confession. Eh bien, frère, repoussez d’un coup de pied ces béquilles, débarrassez-vous de ce vieux trouble d’estomac, sortez prendre votre souper, et soyez rétabli. Amen. Croyez en Lui. Vous avez entre vos mains l’arme la plus performante qu’il y ait au monde: la prière.

16        Il y a quelque temps, une femme est passée dans une réunion (J’étais en train de rejouer cela pour les gens.), elle est passée dans la réunion, elle est passée dans la ligne. Elle souffrait gravement d’estomac. Et le Saint-Esprit a parlé, disant: «AINSI DIT LE SEIGNEUR», après avoir vu ce qui clochait chez elle. Et elle allait arranger le tort qu’elle avait commis, l’une ou l’autre chose de ce genre-là. Il lui a dit qu’elle se rétablirait. Il a dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR.»

            Une femme juste après elle (quelque chose d’autre avait été dit sur elle) avait une grosseur au cou. La grosseur au cou était là même. On lui avait dit d’aller prendre son souper. Elle est allée et a essayé de manger, mais elle avait failli mourir. Oh ! la la ! Elle était tombée malade. Des jours s’écoulèrent. Elle tomba de plus en plus malade. Et alors...

            Elle a dit qu’elle était rentrée, elle avait pris les bandes et elle avait joué cela. Eh bien, vous devez faire attention à ce qu’Il dit. Mais chaque fois que vous L’entendez dire: AINSI DIT LE SEIGNEUR, rappelez-vous, ce n’est pas votre frère, c’est Lui. Voyez. Eh bien, je n’oserais pas utiliser cela. Non, non, frère. Ainsi donc, c’est Lui et Lui seul.

            Et elle a compris que c’était la Voix du Saint-Esprit qui lui avait parlé. Et puis, plusieurs semaines s’écoulèrent, six ou huit semaines. Et elle souffrait atrocement d’estomac, elle cherchait à manger, elle ne faisait que vomir, elle a encore essayé de manger. Et elle disait cela, allant çà et là, disant à tout le monde: «Je suis guérie.»

            Eh bien, son mari et ses enfants se moquaient même d’elle et la raillaient. Quelques-uns parmi les voisins se moquaient d’elle, disant: «Eh bien, tu vas devenir folle.» Ils ont demandé: «Que t’a fait ce prédicateur saint exalté?»

            Elle disait: «Ce n’est pas ce que lui a fait, c’est ce que Dieu a fait qui compte. Dieu m’a donné Sa promesse et je la crois.» Voyez?

17        Alors, un matin, après que la famille était partie, qui à l’école et qui au travail, elle faisait la vaisselle, et–et elle eut très faim. Alors, elle prit un petit morceau de pain, a-t-elle dit. La femme peut être assise ici même ce soir. Et alors, elle a pris un petit morceau de pain avec... un pain grillé, elle a mangé cela. Un des enfants avait laissé cela à table. Elle n’avait pas encore fait la vaisselle. Elle se tenait à la fenêtre, et elle a dit que quelque chose l’avait simplement envahie, et elle a eu très faim. Elle s’est mise à manger ce morceau de pain grillé, et, généralement, cela l’aurait rendue malade dans les quelques minutes, et cela ne l’a pas rendue malade. Alors, elle s’est dit: «Eh bien, je–je vais essayer avec de l’avoine.» Alors, elle a pris de l’avoine, cela ne l’a pas rendue malade. Alors, elle a dit: «Je vais vraiment aller à l’extrême.» Elle a pris une tasse de café, cela ne l’a pas rendue malade. Elle s’est bien sentie.

            Alors, elle s’est engagée dans la rue vers sa voisine qui était venue avec elle, qui avait une grande grosseur au cou. Elle a parcouru la rue, elle est entrée chez la voisine. Elle allait lui annoncer ce que le Seigneur avait fait pour elle. Et quand elle était arrivée là, la voisine criait et sautillait, agissant comme cela. Elle a dit: «Qu’y a-t-il?»

            Elle a dit: «Ma grosseur vient de disparaître ce matin, elle n’y est plus.» Et elles ont eu un très grand jubilé ensemble.

18        Maintenant, qu’était-il arrivé? Voici ce qui était arrivé. Si Dieu dit quoi que ce soit, Dieu est tenu de s’occuper de ce qu’Il a dit. Dieu ne peut pas venir à votre secours chaque fois à la minute même. L’Ange du Seigneur ne peut pas vous atteindre chaque...

            Vous vous rappelez, Daniel avait prié, et je pense là, vingt et un jours, l’Ange... N’était-ce pas vrai, érudit? Vingt et un jours avant que le–l’Ange puisse l’atteindre. Il a dit: «Le prince m’a résisté là», les Médo-Perses, mais il est arrivé auprès de lui. Il a dit: «Je t’avais exaucé, mais je ne pouvais pas t’atteindre.»

            Qu’était-il arrivé? L’Ange du Seigneur était passé dans le quartier confirmer la Parole de Dieu. C’est exactement ce qui était arrivé.

            Ne doutez pas, acceptez Jésus ; quand vous priez, croyez que vous recevez ce que vous demandez, mettez-vous juste à témoigner, à louer Son Nom: Vous recevrez exactement ce que vous avez demandé. C’est Jésus-Christ qui l’a dit, ce n’est pas frère Branham. Le Seigneur Jésus a dit: «Quand vous priez, croyez que vous recevrez cela.» Puisse-t-Il vous accorder cela ce soir, dans une double portion, c’est ma prière.

            J’aimerais voir un moment où il n’y aura plus un fauteuil roulant placé là. Je peux vous regarder, assurément, d’ici peu, et savoir ce qui cloche chez vous, mais à quoi cela servira-t-il (Voyez?) à moins que je sache que vous étiez guéris?

19        Croyez ce soir. Le... vous ici, vous tous, quelque soit ce qui cloche chez vous, certains parmi vous.

            Evidemment, maintenant, vous dites: «La personne dans le fauteuil roulant.» Les gens se rassemblent pour voir cela. Mais ce qu’ils font, au lieu de voir cela, vous voyez, ils trouvent qu’avec cela, eh bien, la personne... Vous ne pourrez pas... Je dis: «Cette personne, là, est estropiée, ou assise dans un fauteuil roulant, elle a telle ou telle chose.» Eh bien, vous ne remarqueriez pas cela.

            Mais quand quelqu’un dit: «Quelqu’un souffre de–souffre de cancer ou quelque chose comme cela, il ne va pas vivre, il va mourir dans un ou deux jours.» Vous pourrez... C’est quelqu’un que vous... elle vivra, le... Quelqu’un dans un fauteuil roulant mènerait probablement une vie normale, tant que... pendant des années. Mais un homme souffrant de cancer, ou souffrant du coeur, à moins que quelque chose lui arrive tout de suite, il mourra. Est-ce vrai? Alors...

            Mais Dieu guérit les malades ; Il guérit les affligés. Et quand Jésus passait près de la piscine là, Il ne pouvait rien faire au sujet de ces choses. Ces gens étaient estropiés, boiteux, infirmes. Il est allé vers un homme qui avait une indisposition, Il l’a guéri, car Dieu Lui avait dit où serait l’homme, Il le lui avait montré. Il est allé là et Il a guéri cet homme-là, et Il s’en est allé.

            Et Il a prononcé ces paroles: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père (Est-ce vrai?), le Fils aussi le fait pareillement.»

            Il est Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement. Croyez-vous cela? Il est donc tenu à Sa Parole ce soir, d’écouter Sa Parole, de La confirmer, selon que vous La croyez. Prions.

20        Père, Toi en Qui nous plaçons notre confiance et notre amour, que Tes miséricordes et Ta puissance viennent maintenant et parcourent cette petite réunion. Et que le Saint-Esprit étende Ses mains, pour ainsi dire, sur cette assistance. Et que toute incrédulité soit ôtée ; qu’il n’y ait que la foi vierge, originelle, de la puissance apostolique qui parcourt cette salle ce soir. Et que chaque personne qui ici présente, qui est malade ou affligée, soit guérie ; et que chaque pécheur soit sauvé. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

21        Je suis vraiment désolé d’avoir pris tant de temps. Je... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... Voyez? C’est le Seigneur Jésus-Christ dans la puissance de Sa résurrection. Recevez simplement cela et croyez cela.

            Quoi? A-t-on distribué des cartes de prière ce soir? Oui? Hein? G? Très bien. Combien? Hier soir, je pense, nous avons pris les premières, ou les... Prenons-en les dernières ce soir. Faisons venir environ... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Quelqu’un de malade allait auprès de Lui, dirait... Eh bien, Il–Il pourrait... Il ne pouvait pas vous guérir. Il ne peut pas vous guérir maintenant. Il l’a déjà fait. Il vous a guéri quand Il est mort au Calvaire. Il vous a sauvé quand Il est mort au Calvaire. Il vous a débarrassé de vos inquiétudes et des troubles.

            Tout ce qu’Il peut faire maintenant, Il pourrait faire comme Il le faisait quand Il était ici sur terre. En effet, la Bible déclare: «Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Est-ce vrai? Et quand Il était sur terre, Il ne prétendait pas être quelqu’un d’important. Il prêchait simplement l’Evangile. Il était habillé comme les autres hommes, allant çà et là, juste comme... doux et humble.

            Mais c’était différent: Quand Il se tenait devant une assistance, et que quelqu’un venait auprès de Lui, Il connaissait, là dans l’assistance, ce qu’il faisait, ce à quoi il pensait.

22        Après qu’un homme du nom de Philippe fut venu vers Lui, il est allé chercher Nathanaël et Nathanaël est venu. Il a dit: «Voilà un croyant, un Israélite, sans fraude.»

            Il a dit: «Quand m’as-Tu connu, Rabbi?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Est-ce vrai? Et quand Il a parlé à la femme au puits, Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’en ai point.»

            Il a dit: «C’est vrai, tu en as eu cinq.»

            Elle a dit: «Je vois que Tu es Prophète. Nous savons que quand le Messie sera venu, Il annoncera ces choses.» Le Messie.

23        Le Messie est venu maintenant, mes amis, mais vous ne Le reconnaissez pas. C’est ça.

            Et tout aussi certainement que les Juifs l’avaient rejeté et L’avaient taxé de prince des spirites, de Béelzébul, l’église des Gentils fait la même chose quand Il revient dans le dernier jour dans Sa puissance. C’est l’exacte vérité. Ils font la même chose. Jésus-Christ dans Son Eglise. Il a dit: «Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père.» C’est vrai. «Mais encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus.» Alors, si vous êtes un incroyant ce soir, vous savez de quel côté vous vous trouvez donc. «Le monde ne Me verra plus.»

            Vous dites: «Oh ! Je ne crois pas cette sottise-là.» Eh bien, vous savez exactement quel genre d’esprit vous a saisi.

24        Regardez ici dans la Bible. Dieu retire Son homme, mais jamais Son Esprit. Le diable retire son homme, mais jamais son esprit. Cela continue jusqu’à la fin. Voyez?

            Et vous pouvez donc être très religieux, Caïphe l’était aussi, ainsi que les autres prêtres et tout. Mais ils ont condamné Jésus, car ils pensaient qu’Il était un–un démon. Quand ils L’ont vu prédire des choses, dire aux gens ce qui clochait chez eux, et ce qu’ils avaient fait, leur révéler les péchés de leur vie, et des choses semblables, ils ont dit: «Eh bien, ce gars est un démon, c’est un diseur de bonne aventure. C’est le prince des diseurs de bonne aventure. Il est Béelzébul.»

            Mais Il était le Fils de Dieu ; c’est Ce qu’Il était. Croyez en Lui ce soir, et que le Seigneur vous vienne en aide.

25        Voyez. Combien là dans l’assistance n’ont pas de... n’est pas... n’ont pas de cartes de prière et aimeraient être guéris? Levez la main. Merci. Que Dieu vous bénisse. Tout ce que je vous demande de faire, c’est ceci, sur cette base, tout ce qui n’est pas dans cette Parole ici, je ne le crois pas. Ceci est la Parole de Dieu et ceci est le ministère du Seigneur Dieu, pas le mien, c’est le Sien. Je suis juste comme ce microphone ici, muet sans Lui, et vous le savez. Mais je–je ne peux rien faire, c’est Lui qui fait cela.

            Mais si le Seigneur Jésus-Christ vient ici à l’estrade ce soir, cette assemblée, avec votre frère, si nous nous abandonnons au Saint-Esprit et qu’Il fasse la même chose qu’Il avait faite quand Il était ici sur terre, allez-vous L’accepter, croire en Lui, et accepter votre guérison? Cela...

26        Quand Il venait d’Emmaüs ce jour-là, ou plutôt quand Il allait à Emmaüs, avez-vous remarqué quand Il a rencontré les disciples là? Il a fait quelque chose d’un peu différent de ce que faisaient d’habitude les prédicateurs ; alors, leurs yeux s’ouvrirent et ils Le reconnurent. Mais Il disparut rapidement de leur vue. Ils retournèrent chez eux, disant: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous?» Voyez? Voyez? Puissiez-vous dire la même chose ce soir.

            Et maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, pour Sa gloire, et en confirmation de Sa Parole, je prends chaque esprit ici présent sous mon contrôle, pour la gloire de Dieu, maintenant.

27        Maintenant, à l’assistance, ne bougez pas. Soyez respectueux. Voyez, les visions se déroulent parfois, c’est... Je–je–je vois on dirait une traversée comme ceci, peut-être quelqu’un traverse ici juste au-dessus des têtes des gens, vous voyez.

            Et si quelqu’un est en train de prier là dans l’assistance, et que Dieu veut le guérir, et quand vous vous déplacez, cela–cela me rend confus, surtout après que j’ai prié pour une ou deux personnes, et que les visions ont alors commencé. Alors, on entre dans une autre dimension, on dirait, et on ne sait simplement pas, la moitié du temps, où l’on est.

            Vous dites: «Est-ce scripturaire?» Absolument. Si vous lisez la Bible, vous devrez savoir que c’est vrai. Oui, oui.

28        Maintenant, cette dame ici, je... peut-être que nous sommes inconnus. Il est arrivé que c’est vous la première personne ici ce soir à être à l’estrade ou ici, pendant que c’est... ce sera... Il me faudra vous parler juste un peu, si ça ne vous dérange pas. Et nous sommes inconnus, n’est-ce pas? Nous sommes inconnus.

            Et maintenant, je vous vois porter cette photo dans votre main. Je suis... Je souhaite que vous la conserviez longtemps, et que chaque fois que vous vous souviendrez de la réunion, vous la regardiez. Je pense que c’était... non par... non... Ce n’est pas moi, vous voyez, c’est l’Ange du Seigneur. C’est Sa photo. Il est la Colonne de Feu qui conduisait les enfants dans le désert. Peut-être que vous en avez entendu l’histoire, et comment cela a été rapporté. C’est écrit dans le livre aussi, signé à Washington, D.C. Voyez-vous? Il n’y a rien de caché au sujet de la chose. C’est–c’est bien à découvert, en pleine vue pour être examiné, par n’importe qui.

            Cela montre simplement que Jésus-Christ qui était dans le désert avec Moïse, qui était sur le rivage de Galilée avec des apôtres, est ici à Los Angeles ce soir. Voyez? Juste le même. Il fait... Ce qu’Il avait fait là pour Moïse, Il l’a fait dans Sa chair, Il le fait dans Son Eglise ce soir, le même hier, aujourd’hui et éternellement.

29        Maintenant, vous savez que je suis en train de faire quelque chose. N’est-ce pas, soeur? Tout ce qu’il en est, c’est juste saisir votre esprit. C’est tout à fait vrai. La même chose que Jésus avait dite quand Il parlait à la femme au puits. Il a dit: «Va chercher ton mari.» Voyez?

            La première chose, Il a dit: «Apporte-Moi à boire.»

            Elle a dit: «Le puits est profond, et il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous demandiez pareille chose aux Samaritains.»

            Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire, et Je t’aurais donné de l’eau que tu ne viendrais point puiser ici.» Et Il est allé de l’avant jusqu’à ce qu’Il a découvert là où était son problème, Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «Tu en as eu cinq.»

            Et puis, elle est allée, elle a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’aie jamais fait.» Ce n’est pas ce qu’Il avait fait. Il lui avait juste dit une seule chose qui–qui clochait. Mais elle savait que puisque Dieu avait pu lui révéler une seule chose, Il pouvait lui révéler toutes choses. Alors, quand–quand elle a dit que... Quand Il a dit cela, elle est donc partie dans la ville.

30        Eh bien, s’Il est ressuscité d’entre les morts, et que moi-même, je me suis parfaitement abandonné à Son Esprit, selon Sa Parole, Il a promis de faire la même chose. «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.»

            Maintenant, vous êtes ici et nous sommes inconnus, nous ne nous connaissons point l’un et l’autre, c’est donc notre première rencontre, il n’y a aucun moyen de nous connaître l’un l’autre. Mais il y a Quelqu’Un qui a placé la vie en nous, qui nous a gardés toutes ces années, Il nous a tous nourris de tout ce dont nous avons jamais mangé. Et vous êtes ici ce soir, peut-être, quelque chose cloche, je ne sais pas. Lui le sait.

            Et quand Il touchera et se mettra à parler, soyez simplement calme et écoutez ce qu’Il dit. Vous saurez alors si c’est vrai ou pas. Alors, ce qu’Il vous dit sera... s’Il vous a dit ce qui a été, et que vous reconnaissez que c’est vrai ou faux, vous pourrez savoir par là ; et si c’était vrai, ce qu’Il dit que vous serez sera aussi vrai, n’est-ce pas? C’est vrai. Oui, madame.

            Il y a quelque chose qui agit sur vous maintenant, une sensation étrange, une espèce de respect mêlé de crainte. C’est cette même photo que vous tenez là en main, c’est cette Lumière-là. Cela devient laiteux et brumeux entre nous, car nos esprits s’unissent. Et l’Esprit, le Saint-Esprit... alors, quand je me défais de mon propre esprit, il faut Son Esprit, et alors Il connaît.

            Et vous êtes dans un... Je vois maintenant que la dame, qui se tenait devant moi, est dans un cabinet de médecin. Elle se fait examiner le flanc gauche. C’est une maladie du coeur. Le médecin... et il trouve quelque chose, il parle avec un autre médecin, et ils... il parlait d’une intervention chirurgicale. Mais ils trouvent qu’il y a quelque chose qui cloche, c’est un–c’est un diaphragme brisé, tout de travers, et il ne peut pas opérer. Ces choses sont vraies. Croyez-vous maintenant? De tout votre coeur? Vous avez...

31        Je vois qu’il y a autre chose qui se déplace. C’est un–c’est un jeune homme, ou un homme, c’est un fils, votre fils, et il–il pique des crises d’évanouissement, ou quelque chose comme cela, il passe... Il a le zona, partout sur lui, et il est–il est... il a une espèce de... Je vois un jeune homme qui s’évanouit on dirait ou quelque chose comme cela. Il–il est...

            Et vous êtes–vous êtes une croyante chrétienne de toute façon, vous–vous ne fréquentez aucune église, parce que vous êtes tellement embrouillée sur le comportement des gens, et tout, vous avez honte de... c’est vrai. Mais vous me croyez. Et vous croyez que les réunions qui se déroulent viennent de Dieu.

            Et vous êtes guérie, madame. Vous pouvez rentrer chez vous bien portante, il en sera de même pour votre fils, au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen. Vous verrez cela. Que Dieu vous bénisse, soeur. Ayez foi, ne doutez pas. Croyez simplement avec tout ce que vous...

            Bonsoir. Croyez-vous que le Seigneur Jésus-Christ, le Fils de Dieu, vous guérit? Le dos, tout ce qui cloche chez vous, c’est votre mal de dos? Vous vous intéressez aussi à quelqu’un d’autre, n’est-ce pas? C’est une soeur. Elle entre dans une oeuvre missionnaire, ou quelque chose comme cela, et elle est un peu faible, et vous voulez qu’on prie pour elle. Je ne suis pas en train de lire vos pensées, mais c’est la vérité. Vous recevrez ce que vous demandez. Que Dieu vous bénisse. Poursuivez votre chemin, réjouissez-vous et soyez heureuse, au Nom de Jésus.

32        Vous qui secouez la tête là dans l’assistance, il y a quelques instants, monsieur, vous qui souffrez des hémorroïdes. Croyez-vous que Dieu vous en guérit donc? Vous assis là derrière qui souffrez des hémorroïdes. Croyez-vous que Dieu vous guérit?

            Je vois, derrière lui, quelque chose qui bouge. C’est une–c’est une femme, elle est en train de prier pour quelqu’un. C’est–c’est quelqu’un qui est loin d’ici. Elle me regarde maintenant, et elle est... C’est un–c’est un frère, il a quelque chose qui cloche avec ses yeux. Il est dans un Etat qui a beaucoup de blé, c’est Minnesota. Tenez-vous debout, soeur. Rendez gloire à Dieu pour la guérison de votre frère à Minnesota. Amen. Que Dieu vous bénisse. Ayez foi, ne doutez pas.

33        Bonsoir. Croyez-vous que vous êtes maintenant dans–dans Sa Présence, du Seigneur Jésus? Vous ne pourrez pas vous sentir comme cela en vous tenant à côté d’un homme. Ça doit être Dieu. Et ce n’est pas moi, mais ce que vous sentez, ça vient de Dieu.

            Vous souffrez–vous souffrez d’une maladie, et votre maladie, c’est dans vos yeux, et vous piquez aussi des crises d’évanouissement, vous êtes... vous avez une–une allergie qui vous dérange, et je vous vois vous évanouir, ou quelque chose comme cela, et–et on vous évente pour vous faire récupérer le souffle. Vous êtes dans une maison, c’est une maison où on vous dépose. Je vous vois couché sur le dos, et on vous évente pour vous faire récupérer le souffle. Votre–votre nom est Merle Davison. Vous–vous... votre... Je vois votre numéro sur le côté de votre... C’est 1733 su-... ou plutôt, Ouest, 50e Avenue, Los Angeles. Rentrez chez vous, le Seigneur Jésus vous guérit, au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Accorde-le.

            Ayez foi, ne doutez pas.

            Vous saviez que vous étiez guéri tout de suite, n’est-ce pas? Une petite dame assise là, vous souffriez de reins et de l’affection de vessie. Jésus vous a guérie tout à l’heure. Que Dieu vous bénisse. Votre foi vous a sauvée. Le même Seigneur Jésus qui avait dit à la femme que la perte de sang s’était arrêtée, c’est pareil pour vous. Vous êtes maintenant guérie. Vous pouvez rentrer chez vous, bien portante. Ayez foi en Dieu.

34        Bonsoir. Croyez-vous de tout votre coeur, de toute votre âme? Que Dieu vous bénisse. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je ne vous ai jamais vue de ma vie, je ne sais rien sur vous, mais Dieu le sait. Mais vous savez que vous êtes dans Sa Présence. C’est vrai.

            Vous êtes–vous êtes ici... Vous avez quelque chose qui cloche à vos jambes, c’est–c’est la varice à vos jambes. Et vous souffrez de faiblesse, cela vient de la crise cardiaque que vous avez connue récemment. Hum ! Hum !

            Un homme a prié pour vous par le... Il m’a tourné le dos, il est... c’est monsieur Valdez, quand il se retourne... Il a dit que vous souffriez de cancer. Et puis, je vous vois vous lever de quelque part, et un–un homme court, avec une espèce des cheveux touffus, Jack Coe, on vous a demandé de courir autour d’une tente, l’une ou l’autre chose avec... C’est lui. Exact.

            Vous venez d’éprouver beaucoup de bonheur dans votre maison, quelque chose venait d’arriver, vous vous réjouissiez et vous étiez heureuse au sujet de votre mari, ou quelque chose comme cela, il a reçu le Saint-Esprit. Rentrez chez vous. Vous êtes guérie, madame. Jésus-Christ... Venez. Oui, oui.

35        Bonsoir. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je ne vous connais pas, mais le Seigneur Dieu vous connaît.

            Tout aussi respectueux que possible, s’il vous plaît, c’est bien difficile lorsque vous bougez, mais soyez fidèle, croyez de tout votre coeur.

            Quelqu’un a été guéri, ici même, de l’affection de vésicule biliaire, tout à l’heure, et je pense que c’est ici même devant, l’affection de vésicule biliaire. Quelqu’un s’est déplacé, là derrière, et je–j’ai perdu cela, je ne sais qui c’était. J’ai vu la vésicule biliaire tout enflammée. Et cela a quitté.

            L’arthrite, pas vous? Croyez-vous que Dieu vous guérira de l’arthrite et vous rétablira? Croyez-vous. Très bien, vous pouvez avoir votre guérison. Oui, oui.

            Qu’en est-il de vous, soeur? Vous souffrez des maux de tête, n’est-ce pas? Vous assise là à côté. Croyez-vous que Dieu vous guérira? C’est votre frère qui est assis là à côté de vous, n’est-ce pas? C’est vrai. La grosseur. Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Très bien. Levez-vous et acceptez votre guérison, vous tous deux, la soeur aussi. Jésus-Christ vous guérit et vous rétablit. Hmm. Que Dieu vous bénisse.

            Madame, la raison pour laquelle vous vous êtes levée, ce n’était pas vraiment pour l’affection de vésicule biliaire, c’est l’hypertension dont vous souffrez. C’est vrai. La vôtre, c’était l’hypertension. Vous êtes maintenant guérie. Que Dieu vous bénisse. Le fait que vous vous êtes levée, ça vous a aidée. Oui, que Dieu vous bénisse. Allez et soyez bien portante. Croyez cela.

            Madame, vous assise à côté d’elle, là, vous souffrez des reins, n’est-ce pas? Vous pouvez vous lever et être aussi guérie. Voyez? Que Dieu vous bénisse. Ne doutez pas. Ayez foi. Hmm.

36        Regardez de ce côté-ci, juste une minute, soeur. Croyez de tout votre coeur.

            Vous êtes ici pour quelqu’un d’autre, et c’est une soeur. Elle n’est pas dans cet Etat. Maintenant, juste une minute, voici cela se déplacer ici. Elle est dans un Etat qui a une grande région de bois dur, une chaîne de collines, et la femme va sur une–une autoroute, et sur un écriteau que je vois, c’est mentionné P-e-n... Pennsylvanie, c’est là qu’elle est. Et A-r-d, Ardara, Ardara ou quelque... Ardara, Pennsylvanie, c’est là qu’elle habite.

            Elle a quelque chose qui cloche dans son... C’est le cancer aux jambes. Elle a un jeune homme qui a quelque chose en rapport avec le ministère, ou quelque chose comme cela. Il est prédicateur. Envoyez-lui ce mouchoir-là, pendant que le Saint-Esprit est sur vous.

            Et qu’elle soit guérie, par le Nom de Jésus-Christ ; confirme-le.

37        Croyez-vous de tout votre coeur, tout le monde? Soyez respectueux, soyez humble, soyez calme devant Dieu.

            Ne vous éloignez pas de moi, voyez. Bonsoir. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Qui d’autre peut faire cela si ce n’est Dieu seul? C’est vrai. Maintenant, regardez simplement, soyez humble, détendez-vous, regardez-moi juste un instant. Nous tous ensemble, regardons à l’Agneau de Dieu qui a promis ces choses.

            Vous êtes nécessiteuse. Vous êtes chrétienne ; en effet, le... tout est clair autour de vous. Mais vous avez des ennuis. Vous êtes gravement malade. Vous souffrez d’une phtéose rénale, et–et les organes de votre corps, et l’affection de foie, et vous êtes très gravement malade. Et vous êtes la femme d’un prédicateur. Et ce prédicateur vient de quitter le champ de travail, prêcher, à cause de votre maladie.

            Il me semble voir devant moi un très grand bâtiment apparaître. C’est ça. Et il y a un–un lac derrière, un bâtiment élevé, et vous le parcourez, avec tout un tas de petites enveloppes en main, allant de chambre en chambre. C’est la clinique Mayo. C’est ça. Vous avez été chez les Mayo, et ils vous ont abandonnée. Vous habitez maintenant Pasadena. Venez ici.

            Satan, tu peux te cacher aux médecins, mais tu ne peux pas te cacher à Dieu. Sors de la femme. Je t’adjure par le Dieu vivant, quitte-la. Tu es exposé. Sors d’elle.

            Que Dieu vous bénisse. Allez, avec vos mains en l’air, vous réjouissant et heureuse, et ne doutez de rien. Croyez en Jésus-Christ de toute votre âme.

38        Approchez-vous, soeur. Croyez-vous que Dieu peut vous guérir de cette maladie du coeur et vous rétablir?

            Ô Dieu, je Te prie au Nom de Jésus de la guérir. Qu’elle parte, alors qu’elle se tient ici, le Saint-Esprit, oignant Ton serviteur, et Tu as dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Elle a accepté ceci, ici maintenant, Maître de l’univers, Toi qui as oint les pauvres gens indignes. Maintenant, je lui impose les mains, au Nom de Jésus-Christ, pour sa guérison. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez en vous réjouissant, soyez heureuse et vous serez rétablie. Ayez foi en Dieu.

39        Croyez-vous, soeur? Croyez-vous que Jésus-Christ est le Fils de Dieu? Croyez-vous que je suis Son prophète, Son serviteur?

            Vous devez croire maintenant, sinon vous mourrez. C’est le cancer, et je les vois vous examiner. Il n’y a rien qu’ils puissent faire à ce sujet. Et le cancer se trouve sur les deux seins. C’est vrai.

            Eh bien, Lui qui connaît les secrets de votre coeur, Il m’a dit que si vous... que vous étiez... j’étais censé prier pour les malades. Et j’ai dit: «Ils ne me croiront pas, je ne suis pas instruit.»

            Il a dit: «De même qu’il a été donné deux signes à Moïse, a-t-Il dit, tu connaîtras les secrets mêmes de leur coeur, alors ils croiront.»

            Croyez-vous? Venez ici et prions.

            Ô Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, je condamne ce démon, qu’il quitte notre soeur, et qu’elle vive, par Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Amen.

            Croyez-vous? Maintenant, j’aimerais que vous placiez votre main juste sur la mienne, ainsi, je ne vous regarderai pas, afin que les gens sachent que je ne suis pas en train de lire vos pensées. Si le Dieu Tout-Puissant qui est mon Juge, qui a ressuscité Jésus d’entre les morts (Jésus a dit que nous ferions aussi les oeuvres qu’Il avait faites.), Lui qui m’a rencontré dans mon enfance et qui a donné ce don d’avoir des visions, Dieu au Ciel le sait que c’est vrai, s’Il me montre, et que cette assistance, sans que moi, je vous regarde, ce qui cloche chez vous, accepterez-vous votre guérison et croirez-vous de tout votre coeur? Si vous allez le faire, levez la main, pour que... Un estomac ulcéré. C’est vrai. Rentrez chez vous maintenant, et allez manger. Votre foi vous guérit, soeur. Que Dieu vous bénisse.

40        Venez. L’insuline est une chose horrible, mais c’est une bonne chose, n’est-ce pas? Mais vous souffrez du diabète. Jésus-Christ a le plasma sanguin pour vous ce soir. Croyez-vous que vous pouvez accepter cela par la foi?

            Au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, que ce sang blanc qui coule se transforme en sang rouge, au Nom de Jésus-Christ, le Flot qui donne la Vie. Amen.

            Bonsoir. Beaucoup de choses, par exemple les indispositions de dames, c’est ce que vous avez. Une chose, c’est que vous devenez raide surtout lorsque vous vous couchez. Vous souffrez de l’arthrite. Croyez-vous que Jésus-Christ vous rétablit et que vous allez être bien portante?

            Ô Seigneur, je Te prie d’accorder cela à notre soeur, au Nom du Seigneur Jésus-Christ, alors que je lui impose les mains, en Son Nom, Lui qui a commissionné que ceci soit. Amen. Croyez maintenant, ne doutez pas.

            Dieu peut facilement guérir la maladie du coeur, aussi facilement qu’Il peut guérir n’importe quoi. C’est le pire ennemi du monde, mais Jésus-Christ le guérit. Croyez-vous cela? Allez donc, réjouissez-vous et remerciez-Le pour cela. Et soyez rétablie par le Nom de Jésus-Christ.

            N’est-ce pas étrange, quand je lui ai dit cela, vous avez éprouvé la même sensation, n’est-ce pas? Vous avez été aussi guérie. Que Dieu vous bénisse. Allez simplement, remerciant Dieu, et soyez rétablie.

41        Beaucoup de choses: l’arthrite, et tout, évidemment, vos yeux, nous voyons cela. Croyez-vous que Jésus-Christ vous rétablit? Croyez-vous qu’Il vous guérira?

            Seigneur, alors que cette pauvre mère grisonnante se tient ici, je lui impose les mains, au Nom du Seigneur Jésus, qu’elle soit guérie. Amen. Que Dieu vous bénisse. Ayez foi.

            Vite ! Tout le monde, inclinez la tête. Voici un esprit de surdité qui se meut quelque part dans l’assistance. Oh ! Ça vient de cet homme. Inclinez la tête une minute.

            Ô Dieu, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, et Donateur de tout don excellent, c’est Satan qui a fait ça à cet homme. Nous ne recherchons pas des miracles, Seigneur, pour croire, car Tu as dit: «Une génération faible et adultère cherche de telles choses.» Mais, Père, afin que le monde sache que Tu es Jésus-Christ, le Fils de Dieu, et que je suis Ton serviteur, j’ordonne maintenant à cet esprit qui est venu sur cet homme pour l’amener à être tué par un véhicule, de sortir de lui maintenant. Toi esprit de surdité, au Nom de Jésus-Christ, quitte-le.

            M’entendez-vous, mon frère? M’entendez-vous? Vous êtes normal et bien portant. Vous souffriez de la prostatite, cela vous rend nerveux, et levez-vous. Tout cela vous a quitté maintenant. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant. Vous êtes heureux et bien portant, au... Jé-...

42        Tout celui qui est dans la Présence divine en ce moment-ci peut être guéri de tout ce dont il souffre. Tout ce qu’il vous faut faire, c’est croire au Seigneur Jésus. Croyez-vous cela?

            Je vais vous demander de faire quelque chose ce soir. Si je vois bien... J’aimerais que vous, partout, tout le monde qui est ici, qui est malade, j’aimerais que vous vous imposiez les mains les uns aux autres. Je–je–je vois ça, en vision, devant moi. C’est ce que vous devez faire, maintenant même. Imposez-vous les mains les uns aux autres, partout dans la salle. Quelqu’un se tient à côté d’eux.

            Ô Dieu Tout-Puissant, regarde cette scène, maintenant même. De pauvres êtres mortels qui souffrent, et ils prient les uns pour les autres. Satan, tu es condamné: Sors, au Nom de Jésus, le Fils de...

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