Un Exode

Date: 56-0615 | La durée est de: 1 heure et 46 minutes | La traduction: Shp
doc pdf
Voir le texte français seulement Voir le texte anglais seulement

1          [Un frère accueille frère Branham.–N.D.E.] Merci. Merci. Merci. Vous pouvez vous asseoir juste un instant. J’apprécie certainement ce bon accueil. Et j’aimerais aussi dire au docteur, le président, à frère Boze, et à l’autre, docteur Beeland, que ça a été certainement un plaisir pour moi d’être ici et de travailler avec vous les frères dans cette bonne communion, et de compter cela uniquement... Je considère cela comme un privilège d’avoir à revenir l’année prochaine. Vous avez été très gentils, et je vous apprécie certainement vous tous pour votre gentillesse et votre courtoisie.

            Et j’aimerais aussi dire à–à tous ceux qui sont assemblés ici, venant de diverses églises, que vous avez été très gentils et très coopérants, et je vous apprécie de tout mon coeur, et j’espère que je pourrais vous être utile à un moment et être pour vous une bénédiction.

            Ainsi, pour le Cadle Tabernacle et son comité, je le remercie certainement, vraiment, de tout mon coeur, de ce que c’est certainement un grand privilège d’être ici sous le toit de cette immense église, ici. Je dis ceci sans hésitation. Je pense que c’est la meilleure acoustique et l’église la mieux disposée pour une campagne de guérison, dans laquelle je sois jamais entré de ma vie. Et j’apprécie certainement leur gentillesse en nous ouvrant les portes. Que le Seigneur les bénisse.

2          Et monsieur Russel Ford, et Cadle, et le comité, je vous remercie certainement tous, mes frères, de tout mon coeur. Et si jamais je peux être une bénédiction pour vous, ou vous faire une faveur, eh bien, faites-le-moi simplement savoir.

            Et je pense à ceci... ce que cela représente, et monsieur Cadle, ce mémorial ici de l’amour, de la souffrance, des larmes et de prière, de lui et madame Cadle qui ont gravi les marches. Que Dieu accorde du repos à leurs vaillantes âmes, c’est ma prière. Et nous sommes... Nous considérons cela comme un privilège d’entrer dans le tabernacle pour continuer l’oeuvre et jouer notre rôle, autant que monsieur et madame Cadle qui avaient travaillé si fidèlement ici dans l’église.

            Et puis, nous espérons que l’année prochaine, par la grâce de Dieu, nous pourrons tous revenir. J’espère que tous les malades seront guéris et–et que tous ceux qui ne sont pas sauvés seront sauvés d’ici notre retour. Et que Dieu vous bénisse.

            Je n’arrive pas à me rappeler le–le nom du ministre qui a parlé à ces petits-déjeuners du matin, mais j’ai certainement été emballé par ses messages. Ils ont été certainement merveilleux. Charles Weston, je pense, de la Côte Ouest. Et il doit avoir une merveilleuse église là si c’est cela qu’il enseigne. Et il est certainement un bon enseignant. Que Dieu vous bénisse tous.

3          Et maintenant, je pense, on m’a dit qu’on a prélevé une offrande pour moi il y a quelques instants. Merci. Je ne suis point venu pour une offrande. Je leur avais dit qu’ils n’étaient pas tenus de le faire. Je suis venu juste pour vous être une bénédiction. Mais je vous remercie. J’ai, eh bien, quatre enfants et une femme, et j’ai beaucoup de dépenses. Mes dépenses s’élèvent à environ cent dollars par jour, que je travaille, ou que je sois sur le champ de travail ou pas, mon bureau et autres. Je vais vous garantir que chaque sou de cela, ce qui est une partie de vos subsistances, et que vous avez partagées avec moi, et je ferai de tout mon mieux pour dépenser chaque centime pour le Royaume de Dieu. Et puisse-t-Il vous récompenser au centuple, c’est ma prière.

            Maintenant, avant d’ouvrir le Livre, parlons à l’Auteur juste une minute, avec nos têtes inclinées.

4          Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir, du fond de notre être intérieur, pour l’amour de Jésus-Christ qui a été répandu dans nos coeurs par le Saint-Esprit. Et maintenant, ce soir, à la fin de cette grande campagne, de cette grande convention, nous nous inclinons pour Te rendre des actions de grâces pour tout ce que Tu as fait. Bénis tout le monde qui a participé à cela. Et nous Te remercions vraiment pour de nombreuses, nombreuses choses que Tu as faites. Voyant les témoignages affluer, Seigneur, des gens qui rentrent chez eux et voient que des tumeurs ont disparu, des goitres ont disparu; et toutes sortes de maladies et d’afflictions ont été ôtées d’eux. Nous en sommes très reconnaissants: des âmes, par-dessus tout, qui sont venues avec un coeur élevé vers Toi et qui se sont abandonnées à Toi. Nous Te prions, Seigneur, de les bénir abondamment dans la vie. Accorde-leur une longue vie et la Vie Eternelle dans le monde à venir.

            Maintenant, nous ouvrons Ton Livre, Père, les pages, et nous Te prions de nous assister par le Saint-Esprit; car nous le demandons au Nom de Jésus.

5          Maintenant, il se fait juste un peu tard ce soir, et nous sommes... Nous n’aimerions pas vous garder longtemps. Ce soir, j’ai encore une centaine de kilomètres à parcourir en voiture. Ainsi, j’aimerais juste dire ceci, et mon–mon intention n’est pas de lancer ceci au–au... pour les pasteurs et les autres. Souvent, quand les gens disent: «Ecrivez-moi. Envoyez-nous une lettre», il y a parfois quelque chose derrière cela. C’est peut-être ça. Je ne veux pas dire cela pour faire du mal maintenant. Voyez, des gens ont des émissions à la radio et autres à financer, mais je n’ai rien de semblable. Je cherche à garder mon ministère modeste, afin que je puisse servir et non pas supporter un quelconque fardeau. Je n’ai pas de journal, ni–ni rien, si ce n’est le Seigneur Jésus. Ainsi, je... Il me suffit. Alors, je... Mais cela...

6          Souvent, j’ai constaté au cours de cette série de réunions qu’on n’a pas déposé des tissus sur lesquels prier, des mouchoirs et autres. Vous tous, vous croyez cela, n’est-ce pas? C’est scripturaire. Et si vous en voulez, écrivez-moi simplement à Jeffersonville, je vais vous le garantir, vous ne serez pas taxé ni rien, c’est complètement gratuit, ça ne vous coûte rien. Mais nous serons certainement contents de le faire. Parfois, des gens envoient un petit quelque chose pour nous aider pour les timbres, les tissus et autres; il nous faut les acheter. Tout ce que j’ai...?... prié dessus et vous l’enverrai. Nous exerçons un ministère plus puissant qu’avec pratiquement n’importe quoi d’autre que nous faisons. Ils en distribuent par milliers à travers le monde. Et ils sont certainement... Dieu a béni nos faibles efforts avec ça, parce qu’il s’agit de l’obéissance à une Ecriture.

            Eh bien, écrivez-nous simplement à Jeffersonville, dans l’Indiana, et cela me parviendra. La boîte postale, c’est 325, mais vous... ce n’est pas nécessaire de la mentionner, juste mon nom, Jeffersonville; cela arrivera.

7          Maintenant, rapidement, nous aimerions aborder directement les Ecritures, prier pour les malades, et prêcher. A vous tous les bien-aimés maintenant ici, venant de... on me disait là derrière, je pense, qu’il y avait ici des gens venus de divers endroits dans le monde. Nous sommes donc contents. Et surtout, j’ai rencontré des gens de l’Afrique. J’espère prêcher en Afrique une fois de plus bientôt, dans un autre grand réveil.

            Et je dis, il y a une chose que vous pouvez faire pour moi, ça sera la plus grande assistance que vous puissiez apporter. Voulez-vous le faire? Dites: «Amen.» Priez pour moi, et c’est la meilleure chose que je connaisse donc. Rappelez-vous, quand on connaîtra des temps difficiles et que des sorciers lanceront des défis et tout le reste, je compterai sur vous, je me rappellerai qu’il y a des gens qui sont en train de prier pour moi pendant que je prêche. Et si jamais je ne vous revoyais de ce côté ici de la rivière, j’espère vous rencontrer de l’autre côté. Que Dieu soit avec vous.

8          Alors que nous lisons la Parole de Dieu dans Exode, le–le... je veux dire Nombres, chapitre 13, commençons à lire à partir du verset 30, juste un petit texte pour en tirer un petit contexte des Ecritures, Dieu voulant, par le Saint-Esprit; je n’ai rien de prémédité, je m’attends simplement à l’onction... Et je vais veiller et je ne cherche pas à vous garder trop longtemps, si j’y peux.

Caleb fit taire le peuple, qui murmurait contre Moïse. Il dit: Montons, emparons-nous du pays, nous y serons vainqueurs !

9          Hier soir... Les deux dernières soirées, nous parlions de la Genèse, le Livre Semence, là où Dieu a planté la Semence, et Satan a planté la semence, la sienne. Et toutes les deux ont grandi ensemble depuis lors. Le temps de la moisson arrivera bientôt, où la moisson sera mûre. Oh ! Si seulement nous avions environ deux ou trois semaines pour un bon moment de réveil ici, pour aborder certaines de ces choses importantes !

            Je suis un typologue, et je–j’aime présenter en types les–les ombres. En effet, si je sais à quoi ressemble l’ombre, j’ai une certaine idée de ce à quoi ressemble la réalité. Aussi, comme je n’ai pas d’instruction, j’ai eu à me référer aux ombres, à l’Ancien Testament pour voir cela préfigurer le Nouveau. Et tout dans l’Ancien Testament annonce le Calvaire. Tout. Vous êtes parfait en Christ. Et vous n’êtes pas sauvé pour avoir porté un crucifix; vous n’êtes pas sauvé parce que vous fréquentez l’église; vous n’êtes pas sauvé parce que vous connaissez votre catéchisme ou votre manuel; vous n’êtes même pas sauvé parce que vous connaissez la Bible; vous êtes sauvé parce que vous connaissez la Personne, Jésus-Christ. Le connaître, c’est la Vie. Connaître même Sa Parole, ce n’est pas ça la Vie, mais Le connaître, Lui, la Personne, c’est la Vie. Il n’y a qu’un seul moyen pour Le connaître, c’est de naître de nouveau de l’Esprit de Dieu.

10        Eh bien, les deux dernières soirées, nous méditions sur Abraham, le grand patriarche. Et ce soir, nous allons dans Exode juste pour un court moment. Nous avons laissé Abraham sur la montagne où il avait offert le bélier à la place d’Isaac. Et il a appelé le lieu Jéhovah-Jiré. Dieu avait annoncé à Abraham que sa postérité séjournerait dans un pays étranger et qu’elle y serait dans l’esclavage, la servitude, pendant quatre cents ans; mais qu’après Il l’en ferait sortir par une main puissante.

            Et nous voyons qu’Isaac engendra Jacob, et Jacob, Joseph. Et Joseph fut trahi par ses frères: un beau type parfait du Seigneur Jésus. Il a été amené... rappelez-vous, il était aimé de son père, haï de ses frères. Et la seule raison pour laquelle ils le haïssaient, c’est qu’il était spirituel; il avait des visions et il pouvait interpréter des songes. Et ses frères, c’étaient de bonnes personnes fondamentalistes, mais ils n’arrivaient simplement pas à voir le côté surnaturel. Et ils l’ont haï sans cause. Un parfait type de Christ quand Il est venu, Il était un... on L’a haï, les Juifs, Ses frères, parce qu’Il était spirituel et qu’Il avait un entendement spirituel, et qu’Il pouvait annoncer d’avance, ou prédire, ou connaître les secrets de leur coeur, ou Il pouvait leur dire ce qui leur était arrivé, ce qu’était leur problème. Alors, les Juifs L’ont haï à cause de cela. Mais Il venait de Dieu.

11        Ensuite, Joseph fut jeté dans une fosse, il était censé avoir été tué, et il fut retiré de la fosse, et il alla en prison en Egypte; et de là, il est allé à la droite de Pharaon. De même que Christ a été vendu à trente sicles, Joseph a été vendu à pratiquement trente sicles. Christ fut jeté dans une fosse, la tombe, et Il en fut relevé, et Il est assis à la droite de Dieu le Père. Et tout le monde... personne plutôt ne pouvait venir auprès de Pharaon sans premièrement passer par Joseph. Nul ne peut venir à Dieu si ce n’est par Christ, le Fils de Dieu.

            Et Il a été décrété que–que Joseph pouvait à son gré lier les serviteurs de Pharaon. Et autre chose, quand Joseph passait à bord du char, les coursiers le précédaient en disant: «Agenouillez-vous, tout le monde, car Joseph apparaît.» Et quand Jésus viendra, tout genou fléchira et toute langue confessera. Ami, vous allez prier à un moment ou un autre; vous allez confesser Jésus à un moment ou un autre, soit comme votre Sauveur maintenant pour Le rencontrer en paix, soit comme votre Juge, en ce jour-là, pour Le rencontrer quand la colère de Dieu sera votre destination.

12        Remarquez. Alors, après le séjour, Isaac fut ramené, ou plutôt Jacob, il mourut là en Egypte, et il fut ramené en Palestine et enseveli, Joseph mourut; et à sa mort, il laissa un–un signe à tous les Israélites, disant: «N’ensevelissez pas mes os ici.» J’aime ça.

            Avez-vous déjà remarqué? Hier soir, nous avons eu un petit quelque chose entre les lignes. Voici juste un petit quelque chose entre les lignes. Allez-vous me supporter un petit moment là-dessus? Un petit quelque chose entre les lignes. Regardez. Ils étaient des prophètes; c’est la raison pour laquelle ils pouvaient voir ces choses. Ce n’était pas écrit. Cela... Ce n’est pas non plus écrit aujourd’hui, mais ils étaient des prophètes et ils pouvaient voir cela d’avance.

13        Remarquez donc quand Job, le patriarche, mourut à la fin de sa grande tribulation... J’aime vraiment le Livre de Job. Beaucoup de gens passent simplement à côté de cela. C’est Dieu, chaque... le Plein Evangile là-dedans, le Livre de Job. Toutes ses épreuves... J’ai prêché là-dessus dans mon tabernacle pendant un an et quelques. Et quand j’ai amené Job sur le tas de cendres, je l’ai gardé là pendant environ six semaines. Une dame était... Elle ne voulait pas venir me le dire en face; elle m’a écrit une lettre, disant: «Frère Branham, quand allez-vous relever Job de ce tas de cendres?» Ainsi, pendant... Oh ! la la ! Tout s’y rattachait.

            Ce grand patriarche était là, il cherchait à trouver la maison de Dieu quelque part pour aller frapper à la porte, avoir un petit entretien avec Dieu. Et Elihu est arrivé, il a essayé de lui faire voir qu’il avait tort, et qu’un Juste viendrait, Celui-là qui mettrait Sa main sur un homme pécheur et sur un Dieu saint, et ferait le pont. Et quand Job, l’Esprit est venu sur Job, il s’est levé, et il a dit: «Je sais que mon Rédempteur est vivant, et qu’Il se lèvera le dernier sur la terre. Et quand ma peau sera détruite, je verrai Dieu.» Les tonnerres grondèrent et les éclairs jaillirent.

14        Remarquez ce qu’il a dit: «Dans les derniers jours... Je sais que mon Rédempteur est vivant (une forme continue), et que dans les derniers jours, Il se lèvera sur la terre. Quand ma peau sera détruite (Pardonnez-moi), je verrai Dieu dans ma chair, je Le verrai. Mes yeux Le verront, et non ceux d’un autre.»

            Maintenant, eux tous savaient que Job était un prophète, que si Job allait voir le Rédempteur se lever sur la terre dans les derniers jours, les patriarches par la révélation savaient qu’ils Le verraient aussi. Alors, Job, là où il a été enseveli... Nous pourrons passer plusieurs heures sur le sujet, mais pour toucher les points essentiels...

15        Abraham vint, et quand Sara mourut, Abraham désigna un lieu et il acheta une parcelle de terre. Avez-vous déjà vérifié là où c’était? Au même endroit où Job fut enseveli. Ensuite, quand Abraham mourut, il fut enseveli à côté de Sara; Abraham engendra Isaac. Quand Isaac mourut, il fut enseveli à côté d’Abraham. Isaac engendra Jacob. Et Jacob mourut là loin en Egypte; mais avant sa mort, reconnaissant son fils spirituel (Joseph était un prophète), il a dit: «Joseph, viens ici et mets ta main sur la hanche», là où l’Ange du Seigneur l’avait touché quand il était un grand homme, fort.

            De ce côté-ci de la rivière, il était un menteur très fort, mais de l’autre côté de la rivière, il était un prince boitillant. Il a changé le nom de prince... de menteur à Israël. Alors, il a mis sa main là-dessus et il a dit: «Jure-moi par le Dieu du Ciel, que tu n’enseveliras pas mes os ici en Egypte.» Pourquoi? Qu’est-ce que cela change, l’endroit où on est enseveli? Il a dit: «Jure-moi par le Dieu de nos pères, Abraham et Isaac, que tu n’enseveliras pas mes os ici, mais que tu me ramèneras dans la patrie.» Pourquoi?

16        Joseph, quand il est mort, des années plus tard... Jacob fut ramené, enseveli à côté d’Abraham. Joseph, quand il est mort, il a dit: «N’ensevelissez pas mes os ici.» Pourquoi? Il a dit: «Emportez mes os à votre sortie et ensevelissez-les dans la Terre promise.» Pourquoi? Ils savaient qu’à la résurrection, les prémices de la résurrection, que Jésus allait venir. Et quand Il est venu, et ils Lui ont fait ce qui était dit... Et le matin de Pâques, quand Il est ressuscité (Matthieu 27), la Bible dit que plusieurs corps des saints qui dormaient dans la poussière de la terre sortirent des tombes à la résurrection et entrèrent dans la Gloire avec Lui. Qui était-ce? Abraham, Isaac, Jacob. Voyez? Il... ils étaient spirituels et ils avaient un discernement qui leur avait permis de savoir que la résurrection n’allait pas avoir lieu là en Egypte. Elle allait avoir lieu dans la Terre promise.

            Et, frères, ce soir, je sais qu’en quittant l’Eglise baptiste et les autres, j’ai été beaucoup critiqué et tout, mais j’ai vu l’application spirituelle de la Venue du Seigneur, car ceux qui sont en Christ, Dieu les ramènera avec Lui à la résurrection. Vous pouvez avoir toutes vos choses fantastiques que vous voulez, et toutes vos grandes dénominations, mais ensevelissez-moi en Christ; car ceux qui sont en Christ, Dieu les ramènera avec Lui à la résurrection. C’est entre les lignes. Voyez-vous cela?

17        Puis, finalement, le temps de l’Exode arriva. Exode veut dire l’appel à sortir ou la séparation. Le temps arriva où Dieu devait séparer Son peuple; ils étaient dans la servitude; un beau type d’aujourd’hui. Je pense que le mot même église veut dire les appelés à sortir. Et il y a un Exode en cours dans le monde aujourd’hui. Croyez-vous cela? Dieu, appelant un peuple à sortir pour porter Son propre Nom, des Gentils. Les jours des Juifs sont bientôt proches; les jours des Gentils sont donc finis. Voyez? Quand l’Evangile va chez les Juifs, la dispensation des Gentils est finie. Oh ! Je sais donc que cela va arriver bientôt, chaque signe pointe vers cela.

18        Remarquez l’Exode, l’appel à sortir. Alors, Dieu, quand Il s’est apprêté à faire cela, il n’y avait rien au monde qu’un homme pouvait faire ou sur lequel il pouvait mettre la main. C’est Dieu Lui-même qui a fait cela. Ainsi, peu importe combien nous osons dire: «C’est telle organisation qui le fera. C’est telle dénomination qui le fera.» C’est Dieu qui le fera. Il est l’Unique qui puisse le faire. Il y aura la grâce souveraine de Dieu qui descendra et unira les églises, les appelés à sortir, et nous aurons un exode, un départ.

            Observez comment Dieu s’y est pris. C’est très étrange. Il a fait venir un homme et une femme, un homme de Dieu, un juste. Ils ont enfanté un petit garçon, ils lui ont donné le nom de Moïse. Et quand il a atteint l’âge de quarante ans, il a refusé d’être appelé le fils de la fille de Pharaon, estimant les trésors de Christ comme des richesses plus grandes que celles d’Egypte. Il était le fils de Pharaon et il avait son pied sur le trône. Mais si seulement Pharaon avait pu examiner la Parole de Dieu, il n’aurait certainement pas fait ce qu’il avait fait.

            Et je suis sûr ce soir, ami pécheur, que si vous examiniez la Parole de Dieu, vous feriez attention à ce que vous dites et à ce que vous faites. Pharaon se disait: «Assurément, j’ai la sécurité totale.»

19        Mais Moïse, étant spirituel, avait compris que Dieu ferait sortir les enfants d’Israël et qu’Il l’a appelé à le faire. Or, il a essayé cela de lui-même. C’est ça le problème de beaucoup de gens aujourd’hui. Vous essayez de produire la guérison par vous-même. Vous essayez de produire votre salut vous-même. Ça ne marchera pas. Ça ne se fera donc pas. Adhérer aux églises, signer des documents, faire des engagements, ce n’est pas là le programme de Dieu. Ça, c’est la religion, ce n’est pas le salut.

            Remarquez, il a échoué, lamentablement échoué, et il a fui dans le désert durant quarante autres années pendant que Dieu le gardait là derrière le désert, là où il a épousé cette femme éthiopienne, Séphora. Et c’était une femme au tempérament colérique. Moïse aussi. Je pense donc qu’il y a eu de temps à autre un peu de trouble derrière le désert. Ne renvoyez pas votre femme à cause d’un petit tempérament colérique. Peut-être que c’est ça votre croix. Dieu a peut-être donné cela pour vous maintenir plutôt en ligne; c’est pareil pour vous les femmes vis-à-vis de vos maris. Restez ensemble, vous avez promis à Dieu que vous le feriez, restez donc avec cela.

            Remarquez, je suis quelqu’un qui ne croit pas dans le mariage et le divorce. Vous savez que, alors... Regardez, mon frère. Si vous vous y engagiez plus dans l’esprit de la prière, il y aurait moins de ça.

20        Eh bien, Moïse avait quatre-vingts ans. Au lieu de devenir un libérateur, on dirait qu’il n’y avait plus du tout d’espoir. Il était devenu berger de son beau-père. Oh ! la la ! Là loin derrière le désert, un matin, il marchait alors que le soleil se levait, et il a regardé là, il a vu un buisson ardent. Dieu donne toujours quelque chose pour attirer l’attention du croyant. Il s’est donc mis à l’écart, non pas pour critiquer, ni pour faire l’analyse, ni pour cueillir quelques feuilles à amener au laboratoire pour voir pourquoi ces feuilles ne brûlaient pas. Il s’est mis à côté de ce feu brûlant pour plutôt... Il s’en est approché avec révérence. Dieu a dit: «Ôte tes chaussures, Moïse, car la terre sur laquelle tu te tiens est sainte.»

            C’est ce qui se passe aujourd’hui. La raison pour laquelle les dons et l’église... La raison pour laquelle les gens ne reçoivent pas grand-chose aujourd’hui, c’est que vous vous en approchez sans respect. Vous devez vous en approcher en vous abandonnant entièrement, étant déterminé. Amen ! Quand vous venez vers Dieu, ne vous approchez pas à tout hasard, en tapant sur l’autel et en mâchant le chewing gum. Ce n’est pas ainsi qu’on s’approche de Dieu. Venez avec autant de bon sens que vous pouvez et exprimez ce dont vous parlez. Dieu vous recevra.

21        Remarquez. Il a dit: «Moïse, J’ai vu la souffrance de Mon peuple. Je me suis souvenu de Ma promesse.» J’aime ça. Dieu se souvient toujours de chaque promesse qu’Il a faite. «Et Je t’enverrai là-bas.»

            Alors, Moïse a commencé à se plaindre. Mais Il a dit: «Montre-moi Ta gloire.» Et Dieu a montré à Moïse Sa gloire; alors, il était prêt à aller. Et tous les quarante ans de la formation théologique reçue de sa chère mère, et tout ce qu’il avait appris dans tous les manuels, cela avait fait de lui un échec. Et dans cinq minutes qu’il a passées, abandonné dans la Présence du Feu de Dieu, il a été mieux équipé, plus que tout ce que les équipements du monde pouvaient faire de lui.

            Et je dis aujourd’hui que ce dont nos séminaires et nos prédicateurs ont besoin, ce n’est pas d’une très longue instruction, plusieurs années d’instruction; ils ont besoin d’entrer dans la Présence du Dieu vivant et de recevoir la révélation de Sa volonté divine et de Sa puissance divine, et de s’en approcher, non pas d’un point de vue critique: «Mon église ne croit pas cela.» Ôtez vos souliers quand vous vous approchez de Cela; abordez Cela avec révérence.

22        Dieu peut faire certaines des choses les plus ridicules pour l’esprit humain. Observez votre esprit charnel: Qu’en dirait-on le matin suivant? Voici venir Moïse. Il rentre vite à la maison et prend Séphora, la met à califourchon sur un mulet, avec un enfant sur chaque hanche, un bâton à la main, un vieil homme de quatre-vingts ans, avec une barbe qui lui pendait, de longs cheveux qui retombaient, conduisant un petit âne, le tirant par une corde; et sa femme était assise sur le mulet avec un enfant à chaque hanche. «Où vas-tu, Moïse?»

            «Je descends faire l’invasion de l’Egypte.» Combien c’est ridicule ! L’invasion par un seul homme ! Exact. Mais ce qui était beau en cela, c’est qu’il l’a faite. Pourquoi? Dieu l’avait dit.

            Ça ne change rien, combien cela paraît irréel, combien ça paraît non raisonnable, n’essayez pas de vous représenter cela, obéissez seulement à ce que Dieu a dit de faire. Vous pouvez prendre le contrôle de la circonstance ce soir si vous le souhaitez. Dieu l’a dit. Vous pouvez prendre le contrôle de chaque maladie qui est dans ce corps. Dieu l’a dit. Et Il l’a fait, et Dieu le fera encore. Quand Il donne une promesse, Il se tient derrière elle.

23        Quel genre d’armes allez-vous utiliser? Rappelez-vous que Pharaon avait beaucoup de chars, de tireurs d’épées, de cavaliers et tout comme cela. L’autre avait un bâton tordu dans sa main. «Qu’as-tu dans ta main?» Vous pouvez ne pas être à mesure de siffler, mais vous pouvez faire quelque chose. Qu’y a-t-il donc dans votre main? Utilisez-le pour la gloire de Dieu. Donnez-le-Lui, laissez-Le bénir cela, et observez ce qui se passe. Certainement, peu importe ce qui se passe. Cela peut paraître petit et insignifiant pour vous, mais remettez-le une fois à Dieu.

            Un petit garçon avait un repas. Ce n’était pas grand-chose pour lui, mais une fois cela entre les mains de Jésus, ça a nourri cinq mille personnes, on a ramassé des paniers pleins. Tout ce que vous avez à faire, faites-le. Le peu de foi que vous avez, mettez cela là et appuyez cela sur la croix du Calvaire et croyez la promesse de Dieu pour cela, et observez ce qui se passe, combien cela se multipliera. Certainement.

24        Combien cela paraissait ridicule: ce vieil homme, le visage tout couvert de barbe. Oui, descendant à...

            «Où vas-tu, mon vieux?»

            «Je descends en Egypte.»

            «Que vas-tu faire?»

            «Faire l’invasion.» Et il l’a faite, il est descendu, il a conquis. Il a fait sortir les enfants d’Israël de la servitude. Sur la voie de sortie, Dieu avait accompli des signes et des prodiges. Chaque fois que vous voyez un homme, n’importe quand dans la Bible, qui ait jamais eu une touche de Dieu, des signes et des prodiges suivent. Jésus a promis la même chose: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru, jusqu’à la fin du monde. En Mon Nom, ils chasseront les démons, ils parleront de nouvelles langues, ils saisiront des serpents, ou s’ils boivent quelque breuvage mortel, cela ne leur fera point de mal. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Que pensez-vous aujourd’hui être un signe de croyant: un doctorat en théologie, un doctorat en philosophie, un doctorat en droit, quelque chose de ce genre? Mais Jésus a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru», les signes surnaturels. Les choses ecclésiastiques ne marcheront pas. Vous essayez de faire cela de vous-même.

25        Comme Saül était une fois acculé là, Goliath était de l’autre côté de la colline, respirant la menace, et eux tous avaient peur à mort. Mais l’homme qu’il ne fallait pas pour Goliath est entré dans le camp un jour: un tout petit homme rabougri, aux épaules affaissées, en manteau de peau de brebis, appelé David. Il a dit: «Voulez-vous me dire que vous allez laisser ce Philistin, cet incirconcis, insulter l’armée du Dieu vivant?» Il a dit: «J’irai le combattre.» Oh ! Quel–quel courage ! Pourquoi? Il avait été quelque part. Il avait eu une expérience.

            Saül a dit: «Viens ici, fils. Je te revêtirai de mon armure.» Et il l’a revêtu d’une grande armure. La cuirasse... le pauvre petit garçon avait probablement des jambes arquées. C’est ça le problème de l’église aujourd’hui. Et le pasteur, vous le bourrez de tellement de diplômes et autres qu’il a des jambes arquées et il ne sait quoi faire. Saül a découvert une chose. C’est vrai. Comment l’instruire, le former... le pire: l’envoyer au séminaire et le dépouiller de tout cela, Dieu qui était en lui. C’est vrai.

26        David a regardé çà et là. Il a découvert, Saül a découvert que sa veste ecclésiastique ne convenait pas à un homme de Dieu. C’est vrai.

            Alors, nous voyons que le petit David a dit: «Débarrassez-moi de cette chose. Je n’ai jamais expérimenté cela. Mais j’ai une fois eu une expérience, c’est avec cela que je vais.» C’est ce dont l’église a besoin aujourd’hui, d’une expérience authentique dont on est sûr, qui vous permet de vous avancer et de faire la différence (C’est vrai.), l’onction du Saint-Esprit. Croyez-vous cela? Oui, oui.

            Il a dit: «Je sais une seule chose. J’ai pris cette fronde, un ours s’était précipité, il avait attrapé un des agneaux, et je l’ai tué. Un lion était venu, je l’ai attrapé.» Il a dit: «Il en sera de même de ce Philistin, cet incirconcis.» Il savait de quoi il parlait. C’est ça, des hommes qui ont une expérience, ce soir, savent de quoi ils parlent. C’est ce que... la raison pour laquelle Moïse va là. Peu importe combien cela paraissait ridicule au monde, Moïse savait de quoi il parlait; il avait été dans la Présence de Dieu. Et tout homme qui a eu ce genre d’expérience sait de quoi il parle. Que le monde le taxe de saint exalté, de fanatique, ou de tout nom qu’il veut, cela ne change rien de toute façon. Allez de l’avant de toute façon. Vous avez une chose à faire. Jésus avait une chose à faire: accomplir la volonté du Père. Vous avez la même chose à faire.

27        Très bien. Nous trouvons parfois que Dieu nous laisse avoir des ennuis juste pour nous témoigner Son amour. Regardez-les après leur sortie de l’Egypte. Si nous avions le temps d’aborder ces grands points, ça prendrait des semaines. Mais voyons. Quand ils sont sortis de l’Egypte, ils étaient avec leur... ils ont continué droit la marche. Et tout d’un coup, vous savez, ils se sont retrouvés coincés. Oh ! la la ! Un matin, ils se sont réveillés pour regarder en arrière. Il y avait d’un côté des montagnes, la mer Rouge, le désert, l’armée de Pharaon venant à leur poursuite. Toute la nature tremblait sous eux. Il n’y avait rien qui pouvait être fait. Dieu les avait laissés tomber dans une situation difficile pour se révéler à eux.

            Je pense que souvent, aujourd’hui, la raison pour laquelle nous connaissons ces moments difficiles, c’est que Dieu veut se révéler et nous témoigner Son amour, nous prouver qu’Il est le même Dieu hier, aujourd’hui et éternellement, et que Sa puissance reste la même. Certainement.

28        Regardez-le. Premièrement, vous savez, Moïse se met à prier, il est descendu à la mer Rouge, il s’est avancé. Et le Seigneur a fait descendre un vent, et cela a frayé un sentier en soufflant sur la mer Rouge. Oh ! Comme Dieu fraye toujours une issue ! Dans chaque épreuve, Il frayera une issue. Tenez-vous tranquilles. Ne vous mettez pas à sautiller, ne vous effrayez pas. «Tenez-vous tranquilles, a-t-Il dit, et sachez que Je suis Dieu.»

            Et quand les épreuves deviennent difficiles, rappelez-vous, parfois, c’est Dieu qui cherche à vous témoigner Son amour. Mais, rappelez-vous, peu importe combien de mers Rouges il y avait, le chemin de Dieu passait par là. Dieu conduit... N’est-ce pas étrange la façon dont Dieu conduit Ses enfants?

Certains par les eaux,
Et d’autres par une marée,
D’autres par de dures épreuves,
Mais tous par le Sang.

            C’est Dieu qui conduit Ses enfants. Peu importe ce qui fait obstacle, cela va... Cela aura à se mettre hors du chemin. Cela aura à céder devant Dieu.

29        Et quand ils ont traversé la rivière, ils ont eu un très grand jubilé de la Pentecôte, une réunion en plein air. Eh bien, si ce n’était pas là une réunion de la Pentecôte, c’est que je n’en ai jamais vue une. Moïse a chanté en Esprit, Miriam et toutes les femmes ont battu des tambourins et ils ont dansé en Esprit. Si ce n’est pas là la Pentecôte, je n’en ai jamais vue une. Exact.

            Dieu avait promis de pourvoir à tous leurs besoins lors du pèlerinage. Il nous a promis de pourvoir à tous nos besoins lors du pèlerinage: le même Dieu, par la même promesse. Le même Dieu a fait la promesse.

30        Et nous voyons que quand ils sont arrivés là, à une courte distance, ils étaient à court de pain. Dieu a fait pleuvoir du pain du Ciel pour eux. Cela fut appelé la manne. Et quand ils sont sortis goûter cela, ils ont dit que c’était délicieux. Et c’était un très beau type du Saint-Esprit, notre vie. C’était le pain naturel pour l’homme naturel, pour qu’il continue le pèlerinage. Nous avons le pain spirituel pour l’homme spirituel afin de continuer le pèlerinage.

            Et regardez. Cela ne pouvait jamais cesser tant qu’ils étaient en pèlerinage. Moïse a parlé à Aaron, il a dit, même après le pèlerinage: «Va ramasser plusieurs omers pleins, pour toutes les générations», afin que quand un sacrificateur aura été ordonné pour le ministère, il puisse entrer dans le lieu très saints prendre une bouchée de la manne originelle qui était tombée au début.

            Quel beau type du Saint-Esprit ! Quand le Saint-Esprit était descendu au début, à la Pentecôte, Pierre leur a parlé, disant: «C’est ici ce qui a été dit par le prophète Joël.»

            J’ai souvent pensé: «Si ce n’est pas ici ce qui, je vais garder ici jusqu’à ce que ce qui arrive.» J’aime plutôt ça. Ceci fera la chose jusqu’à ce que ce qui arrive, si ce n’est pas ici ce qui. Mais je crois que c’est ici ce qui.

31        Remarquez, et après qu’ils eurent tous mangé cette manne-là, ils se sont enivrés, tout aussi ivres qu’ils pouvaient l’être, ils titubaient comme des hommes ivres. Et écoutez, mon ami catholique, la vierge Marie était avec eux. Et si elle a dû faire cela avant d’entrer au Ciel, à combien plus forte raison allez-vous devoir le faire. C’est vrai.

            Vous savez quel est le problème aujourd’hui? La raison pour laquelle nous sommes très allergiques à beaucoup de choses, c’est que nous ne nous enivrons pas assez. Croyez-vous cela?Je pense que c’était William Booth Clibborn qui a dit une fois, dans le... que dans les premiers jours de l’Armée du Salut en Angleterre, il avait raté son train un soir et il a dû parcourir les rues. Alors, il marchait avec un policier. Il pleuvait, et un vieux ivrogne était étendu dans la rue, tout aussi ivre que gelé sur la rue. Et il a parlé pour faire venir une camionnette de la police qui transporte les prisonniers. Il est allé, il a ramassé l’ivrogne et il l’a fait entrer là. Il a dit: «Qu’allez-vous lui faire?»

            «Eh bien, a-t-il dit, nous allons l’amener et le jeter en prison.»

            Il a dit: «Eh bien, ce que... juste... n’allez-vous pas prendre soin de lui?»

            Il a dit: «Il n’a pas besoin d’assistance.»

            «Eh bien, a-t-il dit, cet homme attrapera la pneumonie.»

            Il a dit: «Je pense donc que si vous l’ameniez chez l’Armée du Salut, vous le faites marcher un instant, vous allez le réchauffer, vous allez lui donner du café chaud, un bain chaud et toutes ces choses.»

            Il a dit: «Certainement. C’est pourquoi vous le tuez.»

            Il a dit: «Vous savez quoi, a-t-il dit, vous ne comprenez pas. Mais cet homme est tellement ivre que chaque port de sa peau est bourré de whisky.» Il a dit: «Il ne peut pas avoir froid.»

            Et la Bible dit: «Ne vous enivrez pas de liqueur forte, à l’excès, mais soyez ivres de l’Esprit.» C’est ça le problème aujourd’hui, nous devrions tellement nous enivrer que nos cadavres seraient pleins du Saint-Esprit au point que rien ne peut transpercer cela. Le problème en est que nous ne nous enivrons pas de la bonne Pentecôte à l’ancienne mode. Amen. C’est vrai.

32        Remarquez, pour le pèlerinage, Dieu avait dit qu’Il pourvoirait à tout ce dont ils auraient besoin. Et ils se sont mis à goûter cette manne-là, cela avait le goût du miel. Avez-vous déjà goûté quelque chose de ce genre dans le domaine spirituel? Je crois que quelqu’un a dit cela, un poète, il a dit: «Ça a le goût du miel sur le rocher.» C’est David qui l’a dit.

            Vous savez, David était un berger. Il paissait les brebis. Et les bergers portaient toujours une gibecière à leur flanc, ils y mettaient du miel. Et chaque fois que l’une de leurs brebis tombait malade, ils mettaient du miel sur le rocher et faisaient lécher ce miel à la brebis malade. Et en léchant du miel, elle léchait du calcaire du rocher et elle était guérie.

            Frère, j’en ai toute une gibecière pleine ici ce soir, et je vais placer cela sur le Rocher, Jésus-Christ, et vous les brebis malades, mettez-vous à lécher, vous trouverez sûrement quelque chose. Maintenant, nous ne mettrons pas cela sur une quelconque dénomination, nous allons mettre cela à sa place, sur Christ, le Rocher des âges; c’est Lui qu’on lèche. Vous êtes sûrs d’avoir quelque chose quand vous vous mettez donc à lécher. Mettez-vous donc à lécher très vite. Observez comment les maladies vont disparaître dès que vous léchez le miel du Rocher de Dieu, Jésus-Christ; c’est la Parole du Rocher. Voyez ce qui arrive.

33        Ce dont ils ont besoin aujourd’hui, ce dont l’église a besoin, c’est d’un bon réveil du Saint-Esprit à l’ancienne mode. Nous avons besoin du retour du feu. L’unique feu que nous avons pratiquement dans l’église de nos jours, c’est dans le sous-sol. C’est vrai.

            Quand j’étais un petit garçon, mon frère et moi, nous sommes une fois sortis. Nous avons vu une vieille tortue, une tortue. Nous les gens de l’Indiana, nous savons ce qu’elle est, elle marche de façon drôle. Et nous les petits enfants, nous nous disons: «Dites donc, c’est une créature bizarre.»

            Alors, j’ai dit: «Avançons vers elle.» Et aussitôt que nous nous sommes approchés d’elle, elle s’est enfermée dans sa coquille. Cela me rappelle quand on se met vraiment à présenter l’Evangile. Oh ! Ces vieilles mousses rentrent dans cette carapace: «Oh ! Je ne crois pas cela. Les jours des miracles sont passés.»

            «Oh ! Vraiment?»

            J’ai donc dit: «Je vais–je vais lui régler le compte.» Je suis allé me trouver un long bâton, je l’ai découpé, et j’ai déversé cela sur lui. Ça ne lui a fait aucun bien. Elle est restée simplement là. Vous ne pouvez pas la frapper à l’intérieur. C’est vrai. C’est vrai.

            J’ai dit: «Je vais lui régler le compte.» Je l’ai amenée à la rivière, je l’ai plongée dans la rivière. Il n’y a eu que quelques bulles qui sont montées; c’était tout. Frère, vous pouvez les baptiser face en avant, face en arrière, n’importe comment que vous voulez, cela ne fait aucun bien. C’est vrai.

            Savez-vous comment je l’ai fait marcher? Je me suis allumé un petit feu, et j’ai placé la vieille créature dessus. Alors, elle a marché. C’est vrai. Oui.

            Ce dont l’église a besoin ce soir, c’est d’un bon baptême du Saint-Esprit à l’ancienne mode; alors, elle avancera pour Dieu, si seulement on la met sur le feu. C’est vrai.

34        Oh ! Comme Dieu a frayé une voie, avec tous Ses signes et tous Ses prodiges, et puis, ils sont arrivés à Kadès. Oh ! Il y a là beaucoup de choses que nous aimerions aborder, mais le temps ne le permettra simplement pas. Nous aimerions prier pour les malades, d’ici quelques minutes.

            Quand ils sont arrivés à Kadès, le siège du jugement, alors arriva le temps d’épreuve. J’aimerais donc vous faire remarquer, après tous les grands miracles et autres, ils étaient bien sur le point de traverser pour prendre possession du pays. Et le temps d’épreuves arriva, ils eurent alors peur d’y aller.

            Et je pense, frères, aujourd’hui, que le problème de l’église, c’est qu’elle est à bout, avec ces grands doctorats et la théologie. Je pense que c’est le temps d’épreuves pour l’église.

            Et juste avant d’entrer, ils ont envoyé douze espions de l’autre côté. Et ceux-ci sont revenus. Et alors, dix espions ont dit: «Oh ! C’est un bon pays.» Tous les douze ont dit: «Il est bon.» Ils ont ramené une grappe de raisins qui avait été découpée et qui avait pu être transportée par deux hommes, ils ont rapporté: «Il y coule le lait et le miel.»

            Je m’imagine que c’était un très bon appât, n’est-ce pas? Du lait et du miel? Cela ferait un bon cocktail de la Pentecôte, n’est-ce pas? Amen. Du vin, du lait, du miel remués ensemble. Vous parlez des vitamines, c’est plus que ce que la pharmacie ait jamais contenu. Certainement.

35        Ils ont dit: «Il y coule le lait et le miel», mais il a dit... Dix d’entre eux ont dit: «Oh ! Mais, frères, nous ne pourrons pas nous en emparer. C’est tout emmuré. C’est impossible. Les dénominations, c’est très haut. Je vous dis, vous ne pouvez donc pas les percer.»

            Mais un drôle de petit gars savait de quoi il parlait, deux d’entre eux, Josué et Caleb, ils ont dit: «Nous pouvons nous en emparer.» Amen. C’est ce qui se passe aujourd’hui.

            Ils ont dit: «Peut-on tenir un réveil interdénominationnel, à l’ancienne mode, plein de Saint-Esprit, sanctifié?» Certainement que nous le pouvons. Pouvons-nous avoir la guérison divine? Certainement que nous le pouvons. Pouvons-nous avoir la guérison divine dans les églises presbytériennes, méthodistes, luthériennes, baptistes? Certainement que nous le pouvons; Dieu l’a dit. Ces hommes considéraient les circonstances, Josué et Caleb considéraient la Parole de Dieu. C’était là la différence.

            Et si vous vous mettez à considérer les circonstances autour de vous, vous vous évanouirez. Mais si vous détachez vos yeux des circonstances pour regarder à ce que Dieu a dit à ce sujet... Oh ! Vous dites: «Mais, Frère Branham, le médecin a dit que j’ai le cancer.»

            Ah ! Oui, c’est en ordre. Mais Dieu a dit: «Je suis l’Eternel qui te guérit.» Maintenant, qu’en est-il?

36        Vous savez, Moïse avait conduit ce groupe d’enfants d’Israël pendant quarante ans dans le désert, plus de deux millions. Combien d’enfants naissaient chaque nuit? Combien de gens se fracturaient les jambes et tout le reste pendant le voyage? Les maladies et les afflictions parmi eux... Quand il les a fait sortir, pendant les quarante ans, il n’y eut aucune personne faible parmi eux. Dites donc, ne voudriez-vous pas, certains parmi vous les médecins ici ce soir, ne voudriez-vous pas jeter un coup d’oeil à sa trousse médicale pour voir ce qu’il avait là-dedans, ce qu’il leur prescrivait à eux tous? Comment docteur Moïse a effectué tous ces déplacements chaque soir au lieu d’accouchement, auprès des vieux, des affligés et chaque... comment s’y prenait-il? Aimeriez-vous jeter un coup d’oeil dans la trousse médicale de Moïse? Combien aimeraient y regarder? Faites voir les mains. Très bien. Nous allons ouvrir cela pour voir ce qu’il y a à l’intérieur.

            Voici sa prescription; j’ai trouvé cela: «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.» C’est ce qu’il donnait à chacun d’eux. C’est tout ce dont ils avaient besoin. «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.» Et deux millions de gens ont fait un voyage de quarante ans sans quelqu’un de faible à la fin.» Alléluia ! Dieu vit et règne toujours, Il est toujours Dieu. Il est tout autant Jéhovah ce soir qu’Il était Jéhovah à l’époque. Amen.

37        Revenez. Dieu, conduisant Ses enfants bien-aimés. Oh ! Je déteste m’arrêter, mais je dois arrêter. Mais croyez-vous que c’est Dieu qui conduit Ses enfants? Ils sont conduits par l’Esprit, remplis de l’Esprit... Pourquoi êtes-vous venus ici? Pourquoi êtes-vous ici ce soir? Pour être vus? Non pas en ce lieu où il fait chaud, vous n’êtes pas là pour ça. Vous êtes venus dans un but. Le Saint-Esprit vous a conduits ici. Dieu conduit même la vie de Ses animaux. Croyez-vous cela?

            Il n’y a pas longtemps, vous en avez peut-être entendu parler dans des magazines. J’aime les animaux sauvages. J’étais assis sous la véranda avec mes deux ministres étudiants ici, monsieur Mercier et monsieur Goad, je... les jeunes gens chargés des bandes. Ils étaient venus là et nous parlions. Nous étions assis sous la véranda, en train de parler. C’était en juillet dernier, et tôt un matin, un vieil opossum descendait la rue, il est passée. Et il rampait, il a dépassé toutes les quatre maisons qui n’avaient pas de clôture ni de portails, et il est venu chez moi où il y avait une clôture et un portail. Il est entré. J’ai dit: «Je sais...» Tout celui qui connaît la vie des animaux, qui a étudié cela, un opossum est aveuglé la journée, il se promène la nuit. Et j’ai dit: «Regardez là. Il a probablement la rage.» Et je...

38        Monsieur Wood ici, le vendeur des livres, il était là dans la cour à ratisser, là, alors il... Il y avait un râteau déposé là, j’ai pris le râteau, je suis sorti, je l’ai jeté sur le vieil opossum. Et j’ai dit: «Eh bien, je suppose...» J’ai dit: «Oh ! Regardez, son épaule gauche est toute fracturée, écrasée, il a été mâchonné par les chiens ou par un véhicule.» Et j’espère que cela ne vous rend pas malade, mais il était couvert d’asticots et de mouches vertes. J’ai dit: «Pauvre vieille créature, elle se meurt.»

            Et il m’est arrivé de remarquer, quand je le soulevais, qu’il était... Généralement, il joue à l’opossum. Mais quand je le soulevais, il s’est dirigé vers la maison. J’ai encore jeté le râteau sur lui, le râteau qu’on utilisait dans la cour. J’ai découvert qu’il... Il n’y a que deux animaux au monde qui ont des poches. Ce sont le kangourou et l’opossum. Ils y portent leurs petits. Alors, quand sa poche s’est relâchée, il avait neuf petits opossums nus d’à peu près cette taille.

39        Eh bien, la veille, Léo, Gene et moi parlions. Il y avait un article dans un journal sur une belle jeune fille de couleur qui avait donné naissance à un enfant, un enfant illégitime. Elle l’a enveloppé dans une couverture et l’a lié avec des fils, l’a étouffé à mort, elle l’a amené sur un pont à bord d’un taxi et l’a jeté dans la rivière. Et les autorités avaient rattrapé cela. Nous disions combien cela avait été cruel. Et je disais: «Cette mère opossum est une meilleure mère, quoiqu’étant un animal, de loin plus que cette femme-là.» C’est vrai. Elle a plus de moralité que cette femme-là.

            Ainsi donc, nous en parlions, et monsieur Wood s’est avancé avec madame Wood, monsieur Gilmore, il était arrivé. Nous en parlions. Aussitôt que j’ai laissé cet opossum-là, il s’est dirigé vers la maison à toute vitesse. Et j’ai dit: «Regardez. Il ne lui reste peut-être qu’encore trente minutes à vivre à peu près, mais il va les passer à se débattre pour ces petits pour qu’ils survivent, tandis que cette autre femme avait voulu noyer le sien.» J’ai dit: «C’est cela le véritable amour maternel.»

40        Alors, la pauvre vieille créature s’est directement approchée de ma marche et elle est tombée, épuisée. Je suis donc allé là et je lui ai donné des coups. J’ai dit: «Elle est morte.» Et je l’ai vue, après que j’ai donné un petit coup. J’ai dit: «Non, elle a la vie en elle.»

            Eh bien, madame Wood... La femme de monsieur Wood est une espèce de vétérinaire. Elle était là. Elle a dit: «Eh bien, Frère Branham, tout ce qu’il y a à faire avec elle maintenant, c’est–c’est la tuer et tuer ces petits opossums.» Elle a dit: «Ils sont trop petits, ils ont des bouches rondes de toute façon, on ne pourrait pas les faire téter au biberon.» Elle a dit: «Donc, vous... Ne les laissez pas souffrir.» Et ces petits opossums cherchaient à téter auprès de cette mère morte.

            Et j’ai dit: «Oh ! la la ! C’est vraiment dommage.» J’ai dit: «La tuer?»

            Elle a dit: «Oui.»

            «Oh ! ai-je dit, je ne peux pas la tuer.» Et il a dit... j’ai dit...

            «Eh bien, pourquoi?»

            Et j’ai dit: «Je ne sais pas.»

            Elle a dit: «Eh bien, vous êtes un chasseur.»

            J’ai dit: «Oui, mais je ne suis pas un meurtrier.» J’ai dit: «Je–je–je ne peux de toute façon pas la tuer.»

            Elle a dit: «Eh bien, laissez Banks, mon mari, la tuer.» Elle a dit: «Allez prendre l’un de vos fusils et tuez-la.»

            Et j’ai dit: «Je ne peux simplement pas le faire. Je ne sais pas pourquoi.»

            Elle a dit: «Vous allez laisser cette pauvre créature rester couchée là, sous cet ardent soleil, toute la journée, comme cela, avec ces pauvres petits enfants qui tètent d’elle du vieux lait, comme cela, et mourir d’une telle mort?»

            J’ai dit: «Soeur Wood, je–je sais que vous avez raison, mais je–je ne peux simplement pas faire cela.»

41        Alors, toute la journée avait été vraiment chargée et... à la maison, avec des gens qui venaient. Et ce soir-là, monsieur Wood est venu et a dit: «Maintenant, regarde, Billy, il te faut sortir prendre un peu de repos.» Alors, lui et sa femme, moi et la mienne, nous avons effectué une petite promenade. Et je... Nous avons failli rouler sur un chiot. Alors, je lui ai demandé d’arrêter, je suis rentré, je l’ai ramassé, il était tout galleux, tout couvert de mouches et de puces.

            Et ma femme a dit: «Je pense que tu ne vas pas le garder.»

            J’ai dit: «Si, madame.»

            «Oh ! a-t-elle dit, tue ce chien-là, chéri.» Elle a dit: «Cet animal va... il se meurt de toute façon.»

            J’ai dit: «Je vais prier pour lui.» J’ai dit: «Il est petit, il doit vivre. Il n’y a rien qui cloche chez lui.» Aujourd’hui, c’est donc un très beau chien berger écossais. Alors, vous savez, c’est Dieu qui fait ça, assurément.

42        Ainsi donc, nous avons trouvé, à notre retour cette nuit-là, vers vingt-trois heures, j’ai braqué les phares, cette vieille mère opossum était étendue là, allongée.

            Frère Wood a dit: «Eh bien, maintenant, Frère Branham, tu as suffisamment chassé pour le savoir, et tu as suffisamment chassé les opossums pour le savoir. Aussitôt le soleil couché, s’il y avait un quelconque... si cet opossum allait donc se lever, il se serait donc levé.» Et vous le savez aussi, certains parmi vous qui connaissez les opossums. Il a dit: «Il se serait aussitôt levé, mais, a-t-il dit, il ne se lèvera plus jamais. C’en est fini pour lui.»

            J’ai dit: «Je pense...» Il était tout recouvert de la rosée et ses petits continuaient à téter.

            Soeur Wood a dit: «Frère Branham, allez-vous le laisser souffrir comme ça?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas, soeur Wood. Je ne peux simplement pas le tuer.»

            Billy est rentré, il avait été à la pêche, quelque part, et il est rentré vers une heure, il a braqué les phares sur le vieil opossum; il était là.

43        Toute la nuit, j’ai pensé à ce vieil opossum. Le lendemain matin, je suis sorti. J’ai une fillette, elle a dix ans, et elle venait d’avoir sa première vision récemment, une enfant très spirituelle. Et je l’ai vue sortir sous la véranda, en pyjama, vers six heures trente, le matin. Je suis sorti là, et j’ai regardé de côté, il était étendu là à côté de la porte, le vieil opossum, tout étendu, ses petits cherchaient toujours à téter. Becky a dit: «Papa, est-il mort?»

            Et j’ai dit: «Je ne sais pas, chérie.»

            Elle a dit: «Papa, que vas-tu faire avec cette pauvre mère opossum?»

            Et j’ai dit: «Chérie, je ne sais pas. Rentre au lit, mon chou.» J’ai dit: «C’est trop tôt pour toi d’être dehors.»

            Elle a dit: «Papa, j’ai pensé à cet opossum toute la nuit.»

            J’ai dit: «Moi aussi.»

            Et elle a dit: «Eh bien, que vas-tu faire avec elle? Vas-tu laisser frère Wood le tuer?»

            J’ai dit: «Non, chérie, je ne peux simplement pas faire cela.» J’ai dit: «Retourne vite au lit maintenant.»

44        Alors, je suis sorti, je lui ai donné de petits coups et, on dirait, il ne bougeait pas. Et j’ai essayé un tout petit peu, j’ai vu qu’il était encore vivant de toute façon. Mais, oh ! la la ! cette grande jambe était toute enflée, et il était tout recouvert d’asticots et des mouches. Et j’ai dit: «Pauvre vieille créature !» Je suis rentré dans la pièce latérale, mon bureau. Je me suis simplement assis là où les malades viennent pour qu’on prie pour eux, je me frottais la tête comme ceci. Et je me suis dit: «Eh bien, que vais-je faire avec cet opossum? Je dois faire quelque chose. C’est une honte.»

            Et quelque chose... Maintenant, je ne sais pas si vous allez croire cela, c’est entre vous et Dieu. J’ai entendu Quelque Chose dire: «Eh bien, elle a attendu à ta porte vingt-quatre heures comme une dame. Tu as prêché sur elle hier et tu as tiré un sujet, tu as dit qu’elle était une vraie mère; elle tenait à élever ses petits. Je l’ai amenée à se coucher à ta porte pendant vingt-quatre heures. Tu n’as rien dit à son sujet.»

            Eh bien, j’ai dit: «Je ne savais pas. Que veux-Tu dire?»

            Il a dit: «Elle est venue pour qu’on prie pour elle. Elle attend son tour.»

            J’ai dit: «Eh bien, je ne savais pas qu’elle était venue...» Je me suis dit: «Qu’est-ce qui se passe avec moi? Suis-je en train de me parler?» Eh bien, je me suis dit: «Qu’est-ce?» Alors, j’ai reconnu la Présence du Saint-Esprit. J’ai ouvert la porte, je suis sorti là, et je me suis tenu à côté d’elle. J’ai dit: «Père céleste...» Becky la regardait. J’ai dit: «Père céleste, ai-je été si stupide à Te connaître, dans Ta grâce divine...» J’ai dit: «Maintenant, attends une minute. Oui, Tu connais les oiseaux de l’air; Tu connais toutes choses, Tu connais tout... et... Eh bien, ai-je dit, la... que voici, alors cette opossum sait plus au sujet de la guérison divine que beaucoup de prédicateurs.» Et j’ai dit: «Elle est ici.» Et maintenant, il n’a pas d’âme, cela m’a donc encouragé. «Tu m’as dit d’aller prier pour les malades, et j’ai souvent vu des malades être conduits. Mais si Tu as eu assez de considération pour ce vieil opossum afin qu’il élève ses petits, Tu as eu à tirer... le Saint-Esprit l’a amené. En effet, il n’a pas d’âme; c’est un animal, il est venu, il s’est couché là comme une mère, mourante, attendant son tour pour qu’on prie pour elle?» J’ai dit: «Ô Dieu, pardonne-moi d’avoir été si stupide.» J’ai dit: «Maintenant, Père céleste, je Te prie, si tel est le cas, de guérir ce vieil opossum. Je le demande au Nom de Jésus, si c’est Toi qui as envoyé cette vieille créature depuis la route ou je ne sais où elle a été mâchonnée, et elle est couchée là... et elle tient à élever ses petits et Tu l’as envoyée ici pour qu’on prie pour elle, Tu l’as conduite ici. Eh bien, ai-je dit, je regrette de n’avoir pas compris cela. Je prie donc qu’elle soit guérie, au Nom de Jésus.»

            Aussitôt que j’avais dit cela, le vieil opossum s’est retourné et m’a regardé, il s’est levé, il a pris ses neuf petits, et il les a remis dans son sein comme ceci, il a levé les yeux vers moi comme pour dire: «Merci, gentil monsieur.» Il a dressé cette queue en l’air et il a descendu la route, il s’est dirigé vers les bois, il est allé à toute vitesse. C’est vrai...?...

45        Les journaux ont publié ces articles. Tous les lieux... Oh ! la la ! Nos journaux locaux ont publié cela. Les magazines ont publié cela. Les gens envoient depuis l’Allemagne et disent: «Frère Branham, priez pour moi comme vous avez prié pour cet opossum-là.» Regardez. Si Dieu peut conduire un animal, à combien plus forte raison peut-Il vous conduire ici? Certainement. Vous devriez connaître Dieu autant qu’un animal, comme vous êtes intelligents, remplis du Saint-Esprit, nés de nouveau; Dieu travaille dans Sa nature, accomplissant des signes.

            Eh bien, observez les canards, ils quittent le nord. Ils vont du sud au nord et pondent leurs oeufs là, et les petits canetons éclosent. Ceux-ci n’ont jamais quitté cet étang-là. A la toute première petite brise froide qui descend sur cet étang-là, venant de la montagne, la gelée... Quand je vais chasser au nord en hiver, en automne, vers septembre, la toute première gelée qui descend de la montagne, cette brise froide souffle, vous savez quoi? Il y a dans ce groupe un petit caneton mâle qui est choisi. Il va courir droit en plein milieu de cet étang, il va lever son petit bec en l’air et cacarder à quatre ou cinq reprises, et chaque caneton sur l’étang viendra vers lui. Oui, les canards reconnaissent leur conducteur, mais l’homme, non. Et ce petit caneton est né dans cet étang-là, mais il se lèvera directement depuis cet étang-là et ira tout droit vers les champs de riz en Louisiane, à toute vitesse. L’instinct, comme on l’appelle. Eh bien, si un... Nous devrions avoir l’instinct du canard. Si Dieu a doté un canard d’un instinct pour qu’il échappe au danger, à combien plus forte raison a-t-Il donné le Saint-Esprit à l’homme pour qu’il échappe au danger? Assurément, nous devrions en savoir autant qu’un canard. Car le baptême du Saint-Esprit...

46        Mais le problème en est que, frère, Dieu accomplit des signes, Il accomplit des prodiges, et nous restons assis en retrait et nous nous demandons si cela s’accorde avec notre théologie ou pas. C’est la raison pour laquelle Il ne peut pas nous conduire aujourd’hui. Et c’est la raison pour laquelle nous tournons en rond comme Israël l’avait fait pendant quarante ans. Ce qu’il nous faut faire, c’est recevoir le Saint-Esprit de Dieu et la Colonne de Feu une fois de plus et entrer dans la promesse de... Chaque promesse divine dans la Bible vous appartient, et c’est votre propriété personnelle, si vous croyez cela. Amen. Croyez-vous cela ce soir, ami? De tout votre coeur? Dieu conduit, Il montre même par des animaux Son amour envers Sa création. Il vous aime mieux qu’Il aime les animaux. Combien plus valez-vous par rapport aux animaux? A combien plus forte raison Jésus est mort pour vous, plus que pour les animaux? Et Il veut vous guérir.

            Il... Ce vieil opossum ne boitillait même pas de cette jambe-là; il est donc parti de là en marchant mieux que n’importe quoi, parfaitement normal et bien. Oh ! la la ! Quand vous pensez à l’amour de Dieu, à la souveraineté de Dieu, comment Dieu fait toutes ces choses et nous conduit !

47        Maintenant, Il est ici ce soir. Il est ici pour manifester Ses bénédictions. Il est ici pour montrer Sa puissance. Il aime montrer Sa puissance. Il accule Ses enfants afin qu’Il puisse montrer Sa puissance, Son amour. Combien c’est différent de cela et du train du jour, selon lequel: «Dieu vous rend malade pour obtenir que vous restiez étendu avec patience.» Si c’est cela, alors Christ a détruit Son propre objectif quand Il guérissait les malades. Voyez, ce n’est pas ce qu’Il a fait. Dieu vous débarrasse de la maladie pour... Parfois, Il peut permettre que la maladie frappe pour vous guérir afin de vous témoigner Son amour. C’est vrai. Il peut faire cela, vous sortez de Sa volonté.

48        Or, si Dieu vient ce soir et montre Sa puissance, allez-vous croire en Lui, vous tous? Prions.

            Notre Père céleste, comme nous savons qu’il se fait tard, cela nous rend nerveux, comme nous savons que les gens doivent conduire sur des centaines de kilomètres. Et l’heure est très proche. La réunion se termine, Seigneur. Et ce soir, beaucoup de malades sont assis ici. Ô Christ, je Te prie d’augmenter, d’une façon ou d’une autre, leur foi en Toi maintenant même. Que tout un chacun parmi eux soit guéri ce soir, du plus grand au plus petit, du plus vieux au plus jeune, du pire genre de maladie à la toute petite douleur insignifiante.

            Accorde, Seigneur, que Ton Saint-Esprit maintenant, pour ainsi dire, étende Ses ailes de puissance sur cette salle pour l’éclairer, comme c’est la dernière heure de la réunion. Que la foi s’élève à ce niveau où–où tous reconnaîtront que Tu vis, Tu règnes et Tu domines. Accorde-le, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

49        Je déteste être sous pression du temps, me dépêcher et tout. Mais nous devons nous détendre pour ce service de guérison. Maintenant, mon ami, je vous aime. J’aimerais vous dire au revoir maintenant, si l’Esprit arrive, je ne saurai le faire après, car cela m’affaiblit. Et je vais dire à mes frères de me laisser dans la ligne de prière tant qu’il y aura du souffle en moi ce soir, prier pour chaque personne pour qui je peux prier dans la ligne ce soir. J’ai quelques jours. Je dois dédicacer une église dimanche, et puis, je vais chez les Hommes d’Affaires Chrétiens, pas pour un service de guérison, pour un service de prédication. Ensuite, je vais au Canada transmettre un message à une femme qui, il y a de cela huit ans, était dans sa quarantaine, je l’ai vue en vision porter un enfant. Je lui en avais parlé. Elle a fait des années, cinq ou six ans. Elle s’est mise on dirait à douter. Elle a cinquante-trois ans maintenant. Son bébé doit naître le mois prochain. Dieu ne ment jamais. Cinquante-trois ans. Voyez? Je n’ai jamais vu cela faillir; et cela ne faillira pas. Moi, je peux faillir, mes paroles peuvent faillir. Je suis un homme. Mais quand Dieu dit quelque chose, c’est réglé pour toujours. Eh bien, c’est dans la Bible. Vous avez dit: «Ça a été écrit il y a des années.» Mais Sa Parole est tout aussi réelle ce soir qu’Elle.-. qu’Elle l’était quand Il L’avait proclamée avant la fondation du monde.

50        Maintenant, y a-t-il ici quelqu’un qui n’a jamais été dans l’une de nos réunions? Voudriez-vous lever la main juste un instant? Merci. Et pardonnez-moi de boire devant vous. Mais j’aimerais bien entendre les nouveaux venus dire ceci. Voudriez-vous voir Jésus, vous les nouveaux venus qui n’avez jamais...? Voudriez-vous Le voir? Le voudriez-vous? Eh bien, s’Il n’est pas mort, pourquoi ne pouvons-nous pas Le voir alors qu’Il a dit que nous Le verrions? «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde.» Est-ce vrai? Eh bien, pourquoi ne pouvons-nous pas Le voir?

            Il a dit: «Vous ferez aussi les mêmes oeuvres que Moi.» Que faisait-Il? Prétendait-Il être un guérisseur? Non. Que faisait-Il fait? Il n’a jamais dit... Dans Saint Jean 5.19, Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même.» Combien savent qu’Il a dit cela? Combien ont lu cela? «Je ne peux rien faire de Moi-même, mais ce que Je vois faire au Père... Ce que le Père Me montre, Je le fais.» Eh bien, Jésus ne faisait rien avant de l’avoir vu en vision donc, d’après Ses propres Paroles. Combien croient que c’est vrai? Dites amen. Il avait des visions. Et ce que les visions Lui disaient, c’est ce qu’Il faisait.

51        Eh bien, au commencement de Son ministère (Je prendrai un–un passage, alors que c’est partout dans Son ministère.), Il prêchait, et un homme est allé, du nom de Philippe, trouver son ami Nathanaël, il l’a trouvé, il l’a ramené, c’était là loin de l’autre côté des montagnes par rapport à Lui. Quand il est arrivé auprès de Jésus, Jésus a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Il a dit: «Quand m’as-Tu connu, Rabbi?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

            Il a dit: «Tu es le Fils de Dieu.»

            Il a dit: «Parce que Je t’ai dit ça, tu crois?» Il a dit: «Tu verras de plus grandes choses que ça.»

            Quand Il était ici sur terre, Il pouvait... les gens pouvaient Le toucher. Or, beaucoup de gens Le touchaient et ils n’étaient pas guéris. Mais ceux qui Le touchaient... Une femme L’a touché un jour, elle s’est retirée... Et Il a dit: «Qui M’a touché?»

            Il a dit... tout le monde a nié cela: «Personne ne T’a touché.»

            Il a dit: «Eh bien, quelqu’un M’a touché, parce que Je me suis senti faible. La vertu est sortie de Moi.» Il a donc promené Son regard jusqu’à repérer la femme, Il lui a dit que sa perte de sang était terminée.

52        La femme au puits, Il était assis là, Il lui a parlé... C’était une femme samaritaine. Or, les Juifs avaient reconnu en Lui le Fils de Dieu, car Il avait la puissance d’avoir des visions selon que le Père les Lui montrait et Lui disait quoi faire. Eh bien, Il n’avait jamais accompli un miracle de Lui-même. Il a dit: «Je ne fais que ce que le Père Me montre premièrement.» Combien savent que c’est l’Ecriture? Saint Jean 5.19. Aucun prophète ni personne d’autre dans la Bible n’a jamais rien fait sans que Dieu le lui ait premièrement montré.

            Et maintenant: «Vous ferez aussi, a-t-Il dit, les oeuvres que Je fais. Vous en ferez même davantage, car Je m’en vais au Père. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez.» Le monde, ça veut dire les incroyants, ils ne verront pas ça. Il a dit: «Mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous.» Et Il a promis d’être en nous jusqu’à la fin du monde.

53        Eh bien, la Bible dit que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Hébreux 13.8. Croyez-vous cela? Eh bien, alors, s’Il est le même, Il doit être le même en essence; Il doit être le même quant à la puissance, Il doit être le même à tout point de vue, sauf un corps corporel. Est-ce vrai? En effet, Dieu a ressuscité Son corps corporel, Il l’a fait asseoir à la droite de Dieu, Il a renvoyé le Consolateur, qui est Christ encore [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... plein du Saint-Esprit pour travailler dans Son Eglise. Et la Bible dit que Dieu a placé les uns dans l’église, premièrement comme missionnaires, deuxièmement comme prophètes, comme docteurs, comme évangélistes, comme pasteurs. Et puis, les neuf dons spirituels, dans l’église, tout pour glorifier Dieu et pour rassembler l’église. Maintenant, si Dieu ne meurt pas... n’est pas mort...

54        Maintenant, si je descends à la rivière Ganges, ou à un autre endroit chez les païens, là, ce soir, le paganisme a plus d’adeptes que le christianisme, par des millions et des millions... Mais si je passe par là, disons, au tombeau de Bouddha... Il est mort il y a environ deux mille trois cents ans. Et si je passe par son tombeau... Et au Japon, là, ils ont une très grande statue de Bouddha de trente ou quarante pieds [9 ou 12 m], avec de très gros yeux en rubis; ça vaut des milliers et de dizaines de milliers de dollars, et il y a des dents, des cheveux, et des os de ses disciples, une statue dédiée à Bouddha. Si je vais à ce tombeau-là, ou à sa tombe, il se trouve dans la tombe.

            Si je vais au tombeau de Mahomet... C’est la religion qui a le plus d’adeptes au monde, l’islam; il est de loin, de loin plus nombreux que les chrétiens. Et si je vais à la tombe de Mahomet, il y a un cheval blanc depuis deux mille ans: on le change toutes les quatre heures, dans l’attente de sa résurrection. Il est mort et il est dans la tombe. Mais il n’y a qu’un seul, et c’est le christianisme, qui a un Dieu vivant. Or, si nous ne connaissons cela que du point de vue théologique, quelle consolation peut-on donner aux gens du dehors, en dehors de ce qu’ils font: Lire, donner cela aux gens? Mais Jésus...

55        Comme un musulman avait dit au docteur Reidhead... Lui avait dit: «Ne veux-tu pas renoncer à ce vieux prophète mort pour recevoir le Seigneur Jésus ressuscité?»

            Il a dit: «Qu’est-ce que votre Seigneur Jésus peut faire pour moi de plus que mon prophète mort?»

            Il a dit: «Tous deux, ils ont écrit des Livres, ils ont promis la Vie après la mort, et nous croyons cela.»

            Il a dit: «Mais notre Jésus est ressuscité d’entre les morts.»

            Il a dit: «Est-il ressuscité? J’aimerais vous voir le prouver.»

            «Oh ! a-t-il dit, nous avons le bonheur et la joie; nous avons l’Esprit dans notre coeur.»

            Il a dit: «Ecoutez ça, monsieur.» Il a dit: «L’islam peut produire autant de psychologie que le christianisme.» C’est vrai. Et c’est la vérité. Oui. Mais écoutez. Il a dit ceci au chrétien, il a dit: «Mahomet n’a jamais rien promis après sa mort si ce n’est la vie, après la mort, mais la vie. Mais votre Jésus a promis que vous les enseignants, vous feriez la même chose qu’Il faisait. Eh bien, faites-le-nous voir, a-t-il dit, alors nous croirons qu’Il est ressuscité d’entre les morts. Avant cela donc, Il n’est pas plus que notre prophète.»

56        Mais grâces soient rendues à Dieu, la Lumière brille. Jésus est ressuscité d’entre les morts. Il est ici ce soir et Il fera la même chose qu’Il faisait quand Il était ici sur terre, sinon je suis un faux témoin de Sa résurrection. C’est un défi, n’est-ce pas? Un faux témoin de Sa résurrection.

            Je me tiens ici, plusieurs milliers de gens sont assis dans cette église ce soir, et je... des critiqueurs et des sceptiques, des athées et tout le reste. Et il y a beaucoup de saints assis aussi ici. Mais n’ayez pas peur. Dieu l’a dit, c’est réglé. Ceci est soit la vérité, soit une erreur. Si c’est une erreur, je ne veux rien avoir à faire avec. Si chaque Parole n’est pas inspirée, je n’aimerais rien avoir à faire avec; je ne saurais pas ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas. Mais je sais que chaque Parole est inspirée, et vous pouvez Y accrocher votre âme, à chaque trait de Cela, et Dieu L’honorera.

57        Alors, s’Il vient ce soir et qu’Il accomplit ici à l’estrade la même chose qu’Il faisait quand Il était ici sur terre, est-ce que tout le monde ici présent Le recevra avec joie? Allez-vous le faire, alors que vous levez vos mains vers Lui pour dire: «Je Le recevrai avec joie»?

            Notre Père céleste, maintenant, j’ai parlé de Toi, et je Te prie de venir maintenant parler pour Ton serviteur, que j’ai dit la vérité aux gens. Aussi, si nous revenons d’ici un an, il y a beaucoup de gens assis ici, et peut-être moi-même, qui ne seront plus ici dans un an, dans une foule de cette taille. Et alors, à la barre du Jugement, ils seront sans excuse. Ils auront à témoigner qu’ils avaient vu la Bible revivre. Je Te prie donc d’accorder cela, non pas parce que nous sommes dignes. Nous confessons notre indignité.

            Et, Père, je Te prie de laisser Ton humble serviteur se soumettre et s’abandonner jusqu’à ce que le Saint-Esprit prenne la relève. Et que chaque serviteur dans la salle s’abandonne jusqu’à ce que le Saint-Esprit parle dans l’assistance, guérisse les malades et les affligés, sauve les perdus, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

58        Maintenant, nous allons vous demander, s’il y a un critiqueur, ceci est un don divin. Ce n’est pas moi. Et s’il y a ici un critiqueur, je vais vous demander de ne pas rester dans la salle plus longtemps. Je ne serai pas responsable. S’il vous faut partir pendant les quinze prochaines minutes, les vingt prochaines minutes, partez. Ne vous déplacez pas. Faisons de ceci une vraie soirée pour la Présence de Dieu. Et si Dieu nous honore maintenant, je ne... Je ne peux pas faire cela. Je dois simplement Lui demander et c’est Lui qui le fait. Voyez? Je ne peux pas le faire. Non, non. Il peut bien carrément me quitter. Eh bien, c’est tout ce que je peux faire, me tenir simplement ici. Mais s’Il vient, Il se glorifiera.

            Et tout ce qu’il y a, amis, membres, c’est qu’il y en a qui sont nés avec de bonnes voix pour chanter. Croyez-vous cela? D’autres sont nés musiciens, juste pour jouer une note. Ils n’ont pas à apprendre des leçons, ils savent ce qu’ils font. Ils le savent; c’est un don. Vous savez cela. Et c’est pareil avec certains qui sont des prédicateurs; ils n’ont pas besoin d’une expérience de séminaire. Ils... Tout ce dont ils ont besoin, c’est sortir, s’emparer de la Parole et se mettre en route. Ils sont nés prédicateurs. Ils s’abandonnent simplement à Dieu et vont de l’avant. J’aurais bien voulu faire cela.

            Mais pour moi, c’est un don prophétique. Je m’abandonne simplement et c’est Lui qui parle. C’est votre foi qui fait opérer cela, pas la mienne, votre foi.

59        Or, Jésus ne faisait rien... Le Père utilisait le Fils. Regardez ça. Laissez-moi vous montrer quelque chose. La femme qui toucha Son vêtement, la raison pour laquelle Il ne savait pas cela, c’est que c’est la femme qui croyait qu’Il était le Fils de Dieu, et elle a tiré Dieu au travers de Jésus, sa guérison. Voyez? Elle l’a fait d’elle-même. C’est vous-même qui le faites, quand vous tirez. Ce n’est pas moi; ce n’est pas... ce–c’est Lui, et vous ne faites que L’honorer. C’est la raison pour laquelle le Saint-Esprit se tourne vers vous et vous dit ce que vous devriez faire, ou ce que vous ne devriez pas faire, et ce qui vous est arrivé, ainsi de suite. C’est votre propre foi qui fait cela. Je n’ai rien à faire avec ça. Voyez? Eh bien, maintenant, c’est ainsi que les gens utilisent le don de Dieu.

            Or, quand Dieu voulait utiliser Son don, Il L’élevait simplement et Lui montrait ce qui allait arriver. Il n’y avait pas de perte de vertu dans ce cas-là. Quand Il a vu Lazare et qu’Il l’a ressuscité d’entre les morts, combien cela était un miracle plus grand que celui qui eut lieu quand la femme toucha Son vêtement? Il n’y a pas eu de perte de vertu dans ce cas-là, car c’était le Père qui utilisait Son propre don.

60        Eh bien, quand Dieu veut que moi je sache quelque chose, Il dira: «Maintenant, tu vas à tel endroit, tu trouveras ceci; et cela sera comme ça; et de ce côté ici, ainsi de suite; et fais ceci et il y aura cela.» Il me dit même des mois et des mois... Et j’en parle aux gens. Combien ont su et ont vu cela être prédit (Voyons.), et ils ont vu cela s’accomplir? Levez les mains. Voyez? Voyez? C’est vrai. Il me dira ce que c’est. Je ne perds pas de force dans ce cas-là, mais quand nous entrons dans une réunion et qu’après on est oint de ce don-là, et que les gens se mettent à tirer, c’est cela qui affaiblit. Maintenant, comprenez-vous? S’il arrive donc qu’un critiqueur dise quelque chose à ce sujet, vous savez comment lui répondre.

61        Maintenant, soyez respectueux. Soyez en prière, et voyons... Où sont les jeunes gens? Combien? La série X... 100? Oh ! Nous avons appelé à partir de 1 et–et de 10, et... Nous avons appelé, nous n’avons jamais appelé depuis combien? 50? Eh bien, appelons à partir de 50 alors ce soir. Très bien. Qui a X-50? Voudriez-vous lever la main? Votre carte de prière... Une petite carte de prière dans votre main, on y a mentionné X. Vous dites qu’on a X-50? Eh bien, maintenant, le même numéro ne peut pas être détenu par cet homme et cette femme. Maintenant, il y a quelqu’un... Regardez, madame, est-ce que la vôtre, c’est X-50? Maintenant, il y a trois mains qui sont levées là. X-50. Vous feriez mieux de regarder au verso. C’est une petite carte. Regardez. Une petite carte avec ma photo et au verso, il y a X-50. X... X comme Exode, ce sur quoi j’ai prêché. X-50. Que celui qui a cela, vienne. X-51. Très bien. X-52... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

62        ... et quand il montait au Ciel, il a appelé son frère Luc et a dit: «Luc...» D’après donc ce que je comprends, je n’y étais pas. Cela m’a été rapporté. Il a dit: «Luc, nous venons ensemble de loin, n’est-ce pas? Mais penses-y, dans cinq minutes, je serai dans la Présence de Jésus-Christ, revêtu de Sa Justice.»

            Peu savait-il, alors que j’étais un petit garçon, assis là au Rediger Tabernacle, écoutant Paul Rader prêcher, que j’emporterai donc sa chanson à travers le monde. Combien connaissent le Rediger Tabernacle, voudriez-vous lever la main? Assurément.

            Romaine, celle qui a fait longtemps dans l’institution psychiatrique, un jour, elle est venue chez moi. Je ne savais pas cela. Je revenais de Floride. Et on l’avait placée derrière dans la remise de charbons, là derrière, elle se tirait les cheveux et criait, elle venait d’une institution psychiatrique. La fille de B.E. Rediger. Un homme qui était mort dans le harnais pour la guérison divine, le pasteur et fondateur du grand Fort Wayne Gospel Tabernacle. Je me suis dit: «La fille de B.E. Rediger, dans une remise de charbons?» Je suis sorti là derrière.

            Madame Rediger, une belle et jolie dame, elle a dit: «Frère Branham...»

            J’ai dit: «Est-ce... madame Rediger, vous ne vous souvenez pas de moi. Quand j’étais un petit garçon, je venais au temple.»

            Elle a dit: «Nous avons appris que Dieu vous a visité, Frère Branham.» Et elle a dit: «J’ai amené mon enfant.» Elle a dit: «Sa soeur est morte de la même maladie.»

            Et j’ai dit: «Quel est le problème?»

            Elle était assise là, disant: «Une pièce de cinq cents est une pièce de cinq cents. Un sou est un sou.» Une belle jeune fille d’environ dix-huit ans, elle se tirait des cheveux comme cela, et sa mère essayait de la calmer.

63        Je me suis tenu un petit peu là, et–et mon coeur pleurait. Je me suis dit: «La fille de Rediger...» Tout d’un coup, une vision est apparue là, je me suis avancé, je lui ai imposé les mains. J’ai dit: «Satan, tu ne peux plus la retenir. Dieu a déjà proclamé sa guérison, tu vas donc la quitter.» La jeune fille s’est ressaisie, elle s’est peignée les cheveux. Elle est mariée, elle a deux enfants. Là même, juste en ce temps-là... Jésus-Christ vit et règne toujours, amis. Ce n’est pas moi qui ai fait cela, jamais. Il m’a simplement montré quoi faire, et j’ai fait ce qu’Il m’avait dit.

            N’est-Il pas merveilleux? J’attends qu’on aligne les gens là-bas, au bout de la ligne jusqu’à ce qu’ils puissent terminer cela. Alors, nous allons... Aussitôt qu’ils auront terminé là en bas, ils me le feront savoir. Voyez, ils mettent tout cela en ligne, je vais essayer de rester en ligne aussi longtemps que possible.

64        Que tout le monde soit respectueux. Soyez tout aussi calmes que possible. Vous dites: «Pourquoi faites-vous passer le temps, Frère Branham?» Je L’attends. C’est vrai. Combien ont vu Sa photo, maintenant? Faites voir les mains. Nous en avons là derrière. Vérifiez donc cela et voyez si c’est authentique ou pas. Ou n’importe quel témoignage dans un de ces livres, ça doit être authentique, sinon nous ne pouvons pas mettre cela là-dedans. Soyez donc respectueux, et Dieu va assurément... va vous bénir, j’en suis–suis sûr. L’aimez-vous maintenant et vous attendez-vous à Lui? Vous attendez-vous à Le voir agir? Combien là dans l’assistance maintenant, ceux qui ne sont pas entrés dans la ligne de prière, aimeraient être guéris? Faites voir vos mains, partout où vous êtes. Eh bien, regardez, environ–environ deux mille cinq cents encore. Eh bien, je peux... IL.-.IL vous a déjà guéris. Vous êtes tous guéris pourvu que vous croyiez donc cela. C’est tout. Croyez simplement cela. Combien savent que c’est la vérité? Assurément, quand Il mourut au Calvaire, chaque–chaque bénédiction rédemptrice a été achevée au Calvaire. Alors, Il... Vous n’avez qu’à croire simplement; c’est tout.

65        Très bien, soyez respectueux maintenant. Que le Seigneur Dieu l’accorde. Est-ce qu’ils sont tous dans la ligne, Paul? Tous présents. Très bien. Maintenant, soyez vraiment respectueux et ne vous déplacez pas. Restez donc très tranquilles et soyez en prière, chacun de vous. Maintenant, regardez de ce côté-ci et croyez. Vous qui ne pouvez pas entrer dans la ligne de prière maintenant, regardez de ce côté-ci et croyez de tout votre coeur, et Dieu accomplira des choses pour vous. Voyez? Et puis–puis, le reste de cela, c’est à vous. Que Dieu vous bénisse. Je le répète.

            L’Ange du Seigneur est ici. Je ne peux pas vous dire pourquoi... C’est comme un autre sens, un sixième sens. Je sais simplement qu’Il se tient ici, ici même. Voyez? Et maintenant, quand je... Voici une–une femme, ou c’est.... C’est qui le patient? Celle-ci. Très bien.

66        Maintenant, la dame est ici debout, je ne... Vous ne me connaissez pas, je pense, et je ne vous connais pas. Maintenant, voici pour les nouveaux venus, voici un tableau biblique. Voici ici debout une femme que je n’ai jamais vue de ma vie et elle ne m’a jamais vu.

            Eh bien, quand Jésus est monté en Samarie, Il s’est assis près du puits. Tout le monde était parti et Il avait renvoyé les disciples dans la ville. Et une femme est sortie, une–une femme de mauvaise réputation, pour puiser de l’eau. Et Jésus, qu’a-t-Il fait? Il lui a demandé à boire. Est-ce vrai? Et elle Lui a dit qu’il n’était pas de coutume que les Juifs demandent pareille chose aux Samaritains. Avez-vous déjà lu cette histoire-là? Et Il a dit... Oh ! Auriez-vous voulu être là en ce temps-là? N’auriez-vous pas voulu être là?

67        Eh bien, c’est à dessein que Jésus a parlé à la femme. Il a prolongé la conversation avec elle. Et tout d’un coup, le Père Lui a montré quel était son problème. Vous rappelez-vous quel était son problème? Elle était mariée plusieurs fois. Jésus lui a donc dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’en ai point.»

            Il a dit: «C’est vrai, a-t-Il dit, tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.»

            Suivez. Qu’a-t-elle répondu? Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Est-ce ce qu’elle avait dit? Elle a dit: «Eh bien, nous savons que quand le Messie sera venu, c’est ce qu’Il fera.» Etait-ce donc là le signe du Messie pour les Samaritains? C’était le signe du Messie pour les Juifs. Et s’Il est le même Messie, ressuscité d’entre les morts, sera-ce le même... le signe du Messie ce soir? Est-ce vrai, assistance?

68        Maintenant, la femme peut lever la main, comme quoi nous sommes inconnus l’un à l’autre; nous ne nous sommes jamais rencontrés auparavant, nous ne nous sommes jamais vus. Eh bien, Jésus la connaît; Il sait tout à son sujet, et Il... chaque... Toute la nourriture qu’elle ait jamais prise et tout le reste, c’est Lui qui la lui donne, et à vous aussi. Est-ce vrai? Et...?... moi. Maintenant, ça doit être quelque chose. Si quelque chose est dit... La femme peut être ici, elle peut avoir des problèmes de ménage. Elle peut avoir autre chose. Je ne sais pas. Mais quoi que ce soit pour lequel elle est ici, ce serait la chose la plus facile à trouver, car c’est ce pour quoi elle est ici. Mais moi, je ne l’ai jamais vue de ma vie, cela devra se faire par quelque chose de surnaturel. C’est donc votre attitude envers ce que cela est qui compte.

            Eh bien, les pharisiens ont dit à Jésus, quand Il avait fait cela, ils ont dit: «Tu es Béelzébul, le prince des diseurs de bonne aventure.»

            Jésus a dit: «Vous serez pardonné, Je vous pardonnerai, mais quand le Saint-Esprit sera venu faire la même chose, Il ne vous pardonnera jamais ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.» Ainsi, je–j’aimerais être vraiment sûr d’avoir cru dans cela avant que je Le laisse me dire quoi que ce soit, car la Bible dit: «Va et ne pèche plus (C’est-à-dire: Ne doute plus.) de peur qu’il ne t’arrive quelque chose de pire.» C’est vrai, n’est-ce pas?

69        Je vous parle comme Il avait parlé à la femme pour saisir votre esprit. Et si Dieu me dit ce pour quoi vous vous tenez là, croirez-vous en Lui? Croirez-vous? Est-ce que l’assistance va de même croire, vous tous? Maintenant, si vous voulez interroger la femme, vous êtes libre. Le Saint-Esprit me dit que vous souffrez d’une affection à la gorge. C’est vrai. Et Il me dit aussi que vous êtes extrêmement nerveuse. Il me dit que vous souffrez d’une maladie gynécologique, un trouble de femmes. Et vous avez quelque chose qui cloche dans votre bouche aussi. Est-ce vrai? Il me dit que vous n’êtes pas de cet Etat. Il me dit que vous venez de Tennessee. Votre nom est Turner. Janes Turner. C’est Janes Turner. Votre maison, vous habitez sur... au coin de 3e Rue et de la Rue du Nord. Votre maison, c’est numéro 223, n’est-ce pas? Vous êtes guérie. Rentrez chez vous. Dieu...?...

70        Maintenant, c’est à vous maintenant. Ça dépend de vous. Je ne vous connais pas. Mais vous souffrez, et si je peux vous expliquer par le Saint-Esprit, par un don divin, ce pour quoi vous êtes ici, allez-vous croire? Vous allez croire. Eh bien, je peux prendre beaucoup de temps, et je ne terminerais jamais cette ligne de prière. Mais juste vous parler, je leur ai demandé de me laisser aussi longtemps que possible.

            Mais vous êtes... Une chose, vous êtes extrêmement nerveuse. C’est vrai. Et je vous ai vue essayer de sortir du lit. Vous êtes raide; vous souffrez de l’arthrite. C’est vrai. Vous vous appuyez sur des choses, surtout tôt le matin, je vous vois devenir... aller... Vous laissez tomber aussi des choses, vous laissez tomber cela. Je vous vois laisser tomber des assiettes et des choses comme cela. C’est vrai. Je ne suis pas en train de lire vos pensées. C’est vrai.

            Tenez, afin que vous sachiez ceci, vous avez une amie qui est très très malade, elle souffre du cancer, vous la représentez aussi. N’est-ce pas vrai? Croyez-vous que je suis Son prophète? Vous–vous–vous voulez dire que cet Esprit qui parle, c’est l’Esprit de Dieu? Alors, Jésus a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.»

            Maintenant, Père céleste, j’obéis à Tes commandement en imposant les mains à cette femme. Au Nom de Jésus-Christ, que cela soit...?... Que Dieu vous bénisse. Allez et recevez ce que vous demandez. Maintenant, regardez encore de ce côté-ci. Vous savez que votre arthrite est partie. Maintenant, je demande donc à l’assistance: Ne vous sentez-vous pas libre de cela? Vous entendez cela, n’est-ce pas? Elle est guérie.

71        Croyez-vous en Dieu? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Je vous suis aussi inconnu, je suppose. Maintenant, Il est allé dans l’assistance. Juste un instant. Soyez respectueux.

            Monsieur, vous assis là dans l’assistance, au bout de la rangée, vous souffrez de l’épilepsie. Croyez-vous que Jésus-Christ vous guérit? Acceptez-vous cela et croyez-vous cela? Priez et demandez à Dieu, Dieu vous accordera votre désir, si vous pouvez croire cela.

            Madame, vous avez beaucoup de problèmes spirituels, n’est-ce pas? Et vous avez quelqu’un à l’esprit, vous voulez qu’on prie pour lui. Et voici ce qu’il y a. Je crois que c’est votre belle-mère, une de vos parentés, qui a quelque chose, une–une affection rénale. Et vous souffrez vous-même, vous souffrez d’une espèce de–de maladie de peau et ça fait éruption. Et vous avez été très nerveuse et bouleversée. Jésus-Christ peut vous guérir si seulement vous croyez en Lui. Croyez de tout votre coeur. Allez-vous le faire? Croyez-vous que Jésus-Christ vous guérira? Oui. Vous–vous en souffriez. Vous n’en souffrez plus maintenant. Maintenant, vous pouvez...?... Que Dieu vous bénisse. Disons: «Gloire au Seigneur !»

72        J’ai vu un homme apparaître devant moi, quand j’ai mentionné cela il y a quelques secondes. Le voici, assis juste ici en bas, il souffre aussi de la maladie de peau. Croyez-vous, monsieur, que le Seigneur Jésus vous rétablira? Si vous pouvez croire de tout votre coeur... Oui, monsieur. Très bien. Faites signe de la main, là très haut vers Dieu, afin que Dieu puisse vous voir. Voyez? Vous avez été guéri en ce moment-là, monsieur. Ayez foi.

            Si je vous disais que vous avez été guéri du mal de poitrine, croiriez-vous cela, monsieur, vous assis là? Très bien. Tout cela est terminé maintenant. N’est-Il pas merveilleux? Il est ici pour vous guérir si seulement vous croyez.

            Il va directement là derrière. La dame assise là au bout, il y a quelque chose qui cloche à vos yeux, le mal des yeux. C’est vrai. Imposez la main à cet homme à côté de vous qui souffre du diabète et que Dieu le guérisse aussi. Alléluia !

            Cette dame assise juste derrière avec sa main levée, elle souffre du cancer. Si vous croyez que Dieu vous guérira, c’est en ordre, vous pouvez aussi avoir cela, si vous pouvez croire...?...

73        N’est-Il pas merveilleux? Oh ! Il est le Conseiller, le Prince de la Paix, le Dieu Puissant, le Père Eternel. Ne croyez-vous pas cela? L’Alpha, l’Oméga, le Commencement et la Fin, Celui qui était, qui est et qui vient; la Racine et le Rejeton de David; l’Etoile du Matin. Il est ici. Il est omnipotent, le Tout-Puissant. Eh bien, quand Il parle, répondez vite. Voyez?

            Vous essayez de croire, n’est-ce pas? Et si je vous disais que vous avez été guéri, croiriez-vous cela? Vous l’êtes. Tranquillisez-vous et croyez de tout votre coeur. Que Dieu vous bénisse.

            Bonsoir, monsieur. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Vous habitez Martinsville? J’ai dit: Nous sommes inconnus l’un à l’autre, nous ne nous connaissons pas l’un l’autre. Vous aimeriez–vous aimeriez être guéri de cette affection de rectum et être rétabli? Croyez-vous que Dieu, le Saint-Esprit, est ici me révélant cela? Je vous dis autre chose: Vous avez quelqu’un à l’hôpital pour qui vous priez aussi. C’est votre petite fille qui est dans un hôpital psychiatrique, une enfant. N’est-ce pas vrai? Croyez-vous que je suis prophète de Dieu? Très bien. Allez et recevez ce que vous avez demandé maintenant; au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Disons: «Gloire au Seigneur !»

74        Bonsoir, monsieur. Je vous suis inconnu, monsieur. Mais Jésus-Christ vous connaît, n’est-ce pas? Vous souffrez du coeur. C’est vrai. Vous souffrez aussi des yeux. Vous êtes ici, et votre femme souffre aussi, n’est-ce pas? Sa maladie est au niveau de la gorge, n’est-ce pas, au niveau des yeux aussi. Vous venez de l’Indiana, de Bloomfield, dans l’Indiana. Est-ce vrai? Votre nom est W. Chamberlain, n’est-ce pas? Rentrez chez vous et soyez guéri, au Nom de Jésus-Christ.

            Ayez foi. Et si je vous disais que vous étiez guéri pendant que vous étiez assis là, me croiriez-vous? Croiriez-vous? Allez donc en louant Dieu et dites: «Grâces soient rendues à Dieu pour la guérison.» Ne doutez donc de rien dans votre coeur.

            Ayez foi maintenant. Le Saint-Esprit est au-dessus de l’assistance.

            Bonsoir, monsieur. Oh ! la la ! J’aurais voulu... je–j’aurais bien voulu avoir un moyen d’expliquer ceci. Que c’est glorieux ! Que c’est glorieux ! Vous avez peur, n’est-ce pas? Vous avez surtout peur d’aller chez un médecin. Oui, oui. Comment ai-je su cela? En effet, vous–vous avez peur qu’il aille découvrir dans votre estomac quelque chose qui cloche, ce trouble d’estomac. Croyez-vous qu’Il vous guérira? Croyez-vous? Allez-vous L’accepter comme votre Guérisseur maintenant? Oui, oui.

            Vous avez une mauvaise habitude, si vous vous en débarrassez, ça ira mieux pour vous. C’est ce qui fait mal à votre estomac. Croyez-vous cela? Alors, n’utilisez plus cela. Jetez ces histoires. Cette nicotine descend dans votre estomac, et cela va–cela va vous ruiner, cela maintiendra le trouble d’estomac tout le temps. Dieu ne veut pas que vous fumiez, débarrassez-vous-en donc. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant. Allez-vous oublier cela maintenant? Que Dieu vous bénisse. Allez de l’avant et soyez guéri, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

75        Croyez-vous que Jésus vous a guéri? Croyez-vous qu’Il vous rétablit maintenant même? Maladie du coeur, tout est déjà fini; toute votre nervosité est calmée. Croyez-vous cela? Alors, au Nom de Jésus-Christ, recevez votre guérison. Amen.

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu !» Le diabète et autres, c’est facile. Dieu peut guérir tout le monde pourvu qu’il croie cela. Croyez-vous cela de tout votre coeur? Croyez-vous que cela vous quittera maintenant même donc? Et alors, au Nom de Jésus-Christ, puissiez-vous recevoir votre guérison. Amen.

            Disons: «Gloire au Seigneur !» Combien notre Père céleste est merveilleux, précieux, glorieux ! Cela se meut là. Oubliez la tumeur, monsieur. Cela vous a quitté. Amen.

            Cette dame ici au bout avait aussi une tumeur. Oui. C’est vrai. Levez la main afin que les gens voient cela. Ils pensent qu’ils... Les gens ne saisissent pas cela. Je perçois, quand je vois cela devenir clair autour de vous, je vois que c’est parti. Voyez? Allez-vous me faire une faveur? Imposez la main à ce jeune garçon derrière vous, il souffre de l’estomac, ce jeune garçon. N’est-ce pas vrai, petit garçon? Lève la main si c’est...?... c’est ta mère qui est assise à côté de toi, n’est-ce pas? Elle souffre d’une hernie, elle veut aussi être guérie. C’est vrai. Maintenant, fiston, pose ta main sur maman. Amen. Maintenant, poursuivez votre chemin en vous réjouissant, étant donné que les troubles et la maladie vous ont quittés. Et vous pouvez aller en vous réjouissant et être heureux...?... Disons: «Gloire au Seigneur !»

76        La même chose est ici même. C’est vrai. Croyez-vous que vous êtes guéri maintenant? Alors, au Nom de Jésus-Christ, allez et soyez rétabli. Amen. Disons: «Gloire au Seigneur !»

            Dieu peut guérir le trouble d’estomac et tout le reste. Vous croyez cela, n’est-ce pas? Vous aimeriez aller manger maintenant et...? Croyez-vous que vous le pouvez? Allez de l’avant; Jésus-Christ vous guérit.

            Juste un instant. J’ai vu un esprit noir lever de derrière. Il y a quelqu’un qui est assis là derrière, au bout de la ligne, quelqu’un de jeune qui souffre de l’épilepsie. Croyez-vous de tout votre coeur? Levez la main si vous croyez cela, vous voulez accepter votre guérison. Très bien. Alors, que le Seigneur Jésus soit avec vous. Amen. Oh ! Satan pensait s’en tirer avec cela, mais il a échoué là. Amen. Cela a été guéri. «Gloire au Seigneur !» Poursuivez votre chemin, en vous réjouissant, soeur, croyant Dieu de tout votre coeur.

77        Voici un muet. Inclinez la tête, tout le monde. Que personne ne lève les yeux, s’il vous plaît, au Nom de Jésus. Que chaque tête soit inclinée, partout. Je demande au Nom de Jésus, les malédictions de Dieu sur... Si vous croyez, vous feriez mieux d’incliner la tête. J’aimerais vous demander: «Combien croient que Dieu m’a envoyé afin que ce muet puisse parler et entendre? Voudriez-vous lever la main? Maintenant, abaissez les mains. Je n’aimerais pas que quelqu’un–quelqu’un me regarde. Je ne dis pas qu’Il va... Je n’ai jamais prié sincèrement pour quoi que ce soit sans qu’Il l’ait fait. J’aimerais donc que vous soyez... ou qu’Il me dise pourquoi Il ne le peut pas. Ça sera un signe pour ces autres qui sont assis ici.

            Je ne dis pas qu’Il le fera, mais c’est un esprit. Je viens de voir cela se mouvoir quand elle... cette jeune fille s’est approchée ici. Maintenant, que tous les yeux soient fermés jusqu’à ce que vous entendiez ma voix dire: «Levez la tête.» Maintenant, attendez d’entendre ma voix. Maintenant, gardez vos têtes inclinées.

78        Bienveillant Père céleste, d’une façon ou d’une autre, par Ta sage providence, nous avons confiance que nous trouverons grâce à Tes yeux. Non pas qu’il nous faille avoir des miracles pour croire; nous croyons de toute façon. Mais afin que ce groupe de gens sachent que c’est Toi qui es ici, et que ce n’est pas moi, Ton serviteur; et si nous avons trouvé grâce à Tes yeux, nous Te prions, ô Dieu, de manifester Ta puissance même devant des critiqueurs ce soir, des incrédules, afin qu’ils sachent que Tu es Christ, que Tu es vivant, que j’ai témoigné de la vérité. Veux-Tu l’accorder, Seigneur?

            Maintenant que je m’avance relever le défi de cet esprit de surdité et de mutité qui a possédé cette jeune fille, je Te prie de m’accorder la force, qu’il n’y ait aucun doute dans mon coeur. Une belle jeune fille comme celle-ci, qui marche dans cette condition...

            Satan, honte à toi. Jésus-Christ te réprimande. Je sais que tu réclames un privilège. Je réclame la victoire par le Calvaire. Je soutiens que tu n’as aucun droit de la retenir. Tu es exposé. Jésus-Christ, le Fils de Dieu, Que je représente... tu as essayé de les retenir tous; tu as échoué. Maintenant, je te défie dans un duel de la foi, au Nom de Jésus-Christ, de quitter la jeune fille. Sors d’elle. Elle peut être rétablie.

            [Frère Branham tape ses mains une fois.–N.D.E.] Dites ce que vous m’entendez dire: «Maman.» M’entendez-vous? Vous avez recouvré votre ouïe. Très bien, relevez la tête. Cette muette parle et entend. Observez ceci. [Frère Branham tape encore ses mains.–N.D.E.] «Maman.» «Papa.» M’entendez-vous? M’entendez-vous? M’entendez-vous? M’entendez-vous? Vous êtes guérie. Vous êtes guérie maintenant. Réjouissez-vous. S’il y a quelqu’un qui l’accompagne, qu’il lui enseigne à parler et à entendre. L’esprit de surdité et de mutité, cet esprit vient de la quitter, elle doit simplement être enseignée comme on enseigne une enfant. Gloire au Seigneur ! Amen ! Louons le Seigneur, tout le monde. Donnez-Lui des louanges; rendez-Lui gloire. Inclinons la tête.

79        Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir pour le Seigneur Jésus. Assurément, Seigneur, Tu es omnipotent, le Tout-Puissant. Meus-Toi sur ces gens et fais-leur savoir que c’est Toi, Seigneur, qui Te meus parmi les gens, le Grand Jéhovah en Qui ils ont placé confiance. Que le pécheur reconnaisse sa culpabilité maintenant dans la Présence de Dieu.

            Maintenant, avec vos têtes inclinées, je vais vous demander quelque chose pendant que l’assistance est en train de prier. Ami pécheur, Dieu a fait toutes ces choses cette semaine. Il a relevé les paralytiques, Il a fait parler les sourds... les sourds-muets ont parlé et entendu plutôt. Etes-vous un pécheur? Etes-vous sans Christ? Croyez-vous au ministère que j’exerce? Croyez-vous que je suis prophète de Dieu? Il me dit maintenant même d’arrêter cette ligne de prière pour quelques minutes, qu’il y a beaucoup de gens qui ont besoin d’être sauvés. Je ne suis pas un fanatique. Dieu a déjà confirmé cela, Il vous a montré que je ne le suis pas. Et d’une façon ou d’une autre, ma force, au lieu de diminuer se renouvelle. Et je–je me sens bien.

80        Maintenant, j’aimerais savoir, mon ami pécheur, si vous voulez lever la main vers Christ maintenant même pour dire: «Par ceci, Frère Branham, je vous demande de prier pour moi en tant que pécheur. J’aimerais rencontrer Dieu en paix.» Allez-vous lever la main? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Combien ici sont sans Christ, sans la nouvelle naissance? Levez la main. Que Dieu vous bénisse. Si vous croyez qu’Il exauce ma prière, croyez-vous réellement cela? Chaque personne ici présente qui désire que je prie pour elle, pour son salut, si vous vous êtes égaré, un peu embrouillé quant à votre salut, si vous n’êtes pas encore sûr, c’est juste... vous êtes en ordre avec Dieu, vous feriez mieux d’être sûr, ami. Vous feriez mieux d’être sûr. Je vais vous dire maintenant qu’il y a un fardeau dans mon coeur juste en ce moment-ci, qui me fait savoir qu’il y a beaucoup ici qui ne sont pas sûrs. Je... vous... assurément vous savez que je vous dis la vérité.

            Allez-vous vous lever, ceux qui désirent que je prie pour eux de cette façon-là? Voudriez-vous vous lever maintenant même? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. C’est bien, restez simplement debout juste une minute. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. C’est bien, ami pécheur, rétrograde, levez-vous; continuez donc à vous lever. Il y a plus que ça. Continuez simplement à vous lever. Levez-vous, continuez donc... Restez debout, s’il vous plaît, juste quelques minutes. Je vais prier avec vous. Que Dieu soit avec vous. Que Dieu soit avec vous. Que Dieu soit avec vous. C’est merveilleux. Y en a-t-il d’autres qui se lèvent? Je me demande si je peux vous serrer la main. Je me demande si ça serait trop. Aimeriez-vous descendre ici, juste une minute? Descendez directement ici, allez-vous le faire? Venez ici, juste une minute. Tenons-nous ici pour un mot de prière. Venez ici même.

81        Je ne sais pourquoi je fais ceci; je ne l’ai jamais fait de ma vie, mais le Saint-Esprit... Venez tous, partout où vous êtes. Descendez directement de ce côté-ci, allez-vous le faire? Tenez-vous juste autour de l’autel ici une minute. Regardez donc, ils viennent ici. Donnez-nous un accord?

Il y a une Fontaine remplie de Sang,
Tiré des veines d’Emmanuel;
Les pécheurs plongés dans ce flot,
Perdent toutes les taches de leur culpabilité.

            C’est vrai. Père céleste, je Te prie d’envoyer à cet autel, ce soir, chaque personne qui est condamnée dans son âme. Ô Dieu, ils savent qu’ils ont commis une erreur. Ils ont commis le... Ils ont eu un départ et ils n’ont pas continué. Ô Dieu, je Te prie de les envoyer ici ce soir. Que ceci soit une véritable effusion maintenant même. Accorde-le, Seigneur. Si Tu ouvres les oreilles des sourds, et que Tu fais parler les muets, Tu fais voir les aveugles, Tu fais marcher les boiteux, et que Tu connais les secrets des coeurs... J’ai su que Tu me disais la vérité, Seigneur, quand Tu m’as dit qu’un grand groupe attendait de venir. Je Te remercie. Et je Te prie de leur accorder cela maintenant, au Nom de Christ.

82        Pendant que le reste parmi nous chante cet hymne, que chaque âme condamnée vienne de ce côté-ci. Allez-vous le faire? Je vais vous le promettre. Je vais vous promettre que c’est Dieu qui me parle. Avais-je raison au tort? Regardez ça. Je–je... Il ne me dit jamais quelque chose de faux. Il y a une Fontaine remplie de Sang. Très bien.

Il y a une Fon-... (Ça y est, venez.)... de Sang,
Tiré des veines d’Emmanuel;
Les pécheurs plongés dans ce flot,
Perdent toutes les taches de leur culpabilité.
Perdent...

            Venez donc. Ne voudriez-vous pas venir? Sortez directement de votre siège et descendez; c’est maintenant le temps. Vous allez voir quelque chose arriver. Ami pécheur, vous feriez mieux de venir. Je vous appelle au Nom de Christ, venez. [Espace vide sur la bande.–N.D.E.]

... les pécheurs plongés dans ce flot,
Perdent toutes les taches de leur culpabilité.

83        Je sais qu’il y en a d’autres, ami. Je–je suis tout aussi convaincu que je me tiens sur cette estrade. Cette sensation est toujours là, cela ne me quitte simplement pas. Voyez? Venez, n’aimeriez-vous pas faire cela? Le voleur mourant se réjouit... Vous pouvez ne pas être un voleur, mais vous êtes peut-être un mourant. Vous êtes un mourant. Et peut-être avant l’aube, votre coeur s’arrêtera. Et quand vous appuierez l’oreiller en mourant, et que le pull remontera votre bras, frère, vous souhaiterez être venu. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            J’éprouve un sentiment très étrange maintenant même. Je ne sais pourquoi. Je–je... Tout celui qui a déjà été dans mes réunions sait que je ne fais pas ça. Mais tout d’un coup, cette faiblesse m’a quitté; je me suis simplement redressé. Et le Saint-Esprit a dit: «Regarde là dans l’assistance.» Et j’ai vu des pécheurs descendre l’allée. Il a dit: «Appelle.» C’est ce que je fais.

Le pécheur mourant s’est réjoui de voir
Cette Fontaine en son jour;(Venez, ami. Venez; croyez-moi en tant que votre frère.)
... puissé-je, vil comme lui,
Ôter tout mon péché.
Ôter tout mon péché;
Ôter tout...

(Venez directement. C’est ça, des jeunes filles, des vieux, des jeunes, des vieux, tous pareils. Descendez donc, soyez de la partie maintenant.)

Quand les pécheurs plongent... quoique vil comme lui,
Ôter tous mes péchés.

84        Inclinez simplement la tête un moment. Continuez, soeur. Je ne sais pas ce qui se passe. Je ne sais même pas ce que Dieu est sur le point de faire. C’est la fin pour moi-même maintenant. Mais j’éprouve un sentiment étrange, qu’il y a assurément une autre petite brebis égarée quelque part ici.

            Laissez-moi prier juste une minute pendant que vous avez vos têtes inclinées.

            Père, je Te prie de ne pas laisser les gens penser que je fais ceci de moi-même; qu’ils sachent, Seigneur, que je–je suis véridique à ce sujet. Tu–Tu témoignes la vérité de cela. Et je perçois qu’il y a autre chose, Seigneur, qui retient quelqu’un. Veux-Tu, s’il Te plaît, Dieu bien-aimé, envoyer cette personne-là maintenant même.

            Pendant que nous avons nos têtes inclinées, voudriez-vous lever la main, qui que vous soyez? Dites: «C’est moi, Frère Branham, je n’ai pas eu le courage de venir, mais je vais lever la main pour dire que c’est moi.» Hum ! Levez la main, quelqu’un, qui que ce soit, à qui Dieu parle. Que Dieu vous bénisse, c’est bien. Je le savais. Venez maintenant; n’aimeriez-vous pas descendre ici même de ce côté-ci? Que Dieu vous bénisse. Venez par ici, dans l’allée pendant que nous chantons encore. Ne voudriez-vous pas faire cela?

85        Je crois que Dieu va, d’ici peu, déverser ici quelque chose. Je ne sais pas si ça va être des guérisons instantanées, si ça va être un remplissage du Saint-Esprit, si ça va consister à envoyer un ministère. Je ne sais pas, mais quelque chose est sur le point d’arriver. Rappelez-vous, je vous en ai parlé. Je ne me suis jamais senti comme ceci dans la ligne de prière. Demandez à n’importe qui. Il y a des hommes ici qui sont avec moi depuis le début de mon ministère. Vous n’avez jamais vu cela; cela m’a pris et je me suis senti assez fort, on dirait, pour courir sur un mile [1,6 km] (Voyez?), passer au milieu d’une troupe et sauter par-dessus un mur. Je ne m’étais jamais senti comme cela, cela ne reviendra jamais comme cela. Quelque chose a commencé; quelque chose se passe. Et j’ai vu en vision des gens affluer dans les allées avec leurs mains levées, et les voici, tout à fait comme cela a été montré en vision. Venez, amis. Je vois quelqu’un d’autre. Chanter encore une fois avant de nous mettre à prier.

Puis dans un noble... remplis de...

            Ne voudriez-vous pas venir à la Fontaine? Je vais lever la main vers vous. Ne voudriez-vous pas venir ici, être de la partie, me permettre de me joindre à vous dans la prière? Si Dieu exauce ma prière pour les aveugles et les affligés, n’exaucera-t-Il pas ma prière?

Ôter tous mes péchés,
Ôter tout mon péché (Gloire à Dieu.)
... tous mes péchés (Oh ! Comme je me sens.)
Et là puissé-je...
... tous mes péchés.

86        J’aimerais vous poser une question. Eprouvez-vous un sentiment étrange? Je–je ne me base pas sur les sensations, mais je me base sur cette vision-là, et–et quelque chose est arrivé ici. Maintenant, je crois que s’il y a quelqu’un d’estropié ou d’affligé, je crois que vous êtes guéri. Je–je–je... Quelque chose... Je crois que chaque pécheur est pardonné. Je crois que le Saint-Esprit va baptiser ce lieu-ci, l’éclairer. Etes-vous prêts, amis? Etes-vous prêts à recevoir cela?

            Regardez les gens qui se lèvent bien automatiquement. Ça y est. Eh bien, c’est partout dans la salle, partout.

            Ô Dieu, notre Père céleste, déverse Ton Esprit. Je condamne le diable et je demande que Jésus-Christ...?... tout le monde...?... mouvoir Dieu...?... précieux Nom de Jésus...

Up