Dieu s'est pourvu d'un agneau

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Date: 64-0620E | La durée est de: 1 heure 13 minutes | La traduction: MS
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1    Lisons dans le livre de Saint Marc, je crois, j'ai choisi de lire un petit passage et d'en parler, au 46e verset et au dixième chapitre. Levons-nous, dans le respect de la Parole, pendant que nous lisons. La Parole est Dieu. Nous savons tous cela. Ainsi vous vous levez, faites voeu de fidélité, ce que vous devriez faire; vous vous levez pour saluer le drapeau quand il passe; pourquoi pas la Parole de Dieu, quand elle est lue?
    Et ils arrivent à Jéricho; et comme il sortait de Jéricho avec ses disciples et une grande foule, Bartimée l'aveugle, le fils de Timée, était assis sur le bord du chemin et mendiait.
    Et ayant entendu dire que c'était Jésus le Nazarénien, il se mit à crier et à dire: Fils de David, Jésus, aie pitié de moi!
    Et plusieurs le reprirent afin qu'il se tût; mais il criait d'autant plus fort: Fils de David! aie pitié de moi!
    Et Jésus, s'arrêtant, dit qu'on l'appelât; et ils appellent l'aveugle, lui disant: Aie bon courage, lève-toi, il t'appelle.
    Et jetant loin son vêtement, il se leva en hâte et s'en vint à Jésus.
    Et Jésus, répondant, lui dit: Que veux-tu que je te fasse? Et l'aveugle lui dit: Rabbouni, que je recouvre la vue.
    Et Jésus lui dit: Va, ta foi t'a guéri; et aussitôt il recouvra la vue, et il le suivit dans le chemin. [Darby]

2    Prions. Grand Saint-Esprit, vivifie cette Parole pour nous ce soir, dans cette petite histoire dramatique. Et puissions-nous voir cette scène vécue, et, en faisant cela, avoir la foi que Dieu vit encore qu'Il est le même, hier, aujourd'hui et éternellement. Nous le demandons au Nom de Jésus, Son Fils bien-aimé, notre Sauveur. Amen. (Vous pouvez vous asseoir.)

3    Notre sujet ce soir est: Dieu a un Agneau pourvu.

4    Et maintenant ce matin, nous avons eu un temps tellement merveilleux, alors que nous avons vu Jésus entrer dans Jéricho. Et nous avons découvert qu'il y avait un petit gars du nom de Zachée Il était monté sur un sycomore et il se camouflait, parce qu'il ne croyait pas que Jésus était un prophète. Mais sa femme était un disciple de Jésus, et elle avait prié pour lui. Et quand Jésus est venu là, en dessous de l'arbre, Il s'est arrêté, Il a levé les yeux et Il l'a appelé par son nom, et Il a dit: «Descends, je vais chez toi aujourd'hui.» Et je pensais que ce serait une bonne chose, ce soir également, alors que nous sommes ici, que nous continuions avec Jésus. Nous lui avons demandé ce matin de venir avec nous, et nous désirions aller avec Lui, continuons donc avec Lui à travers Jéricho.

5    Maintenant, ce soir, la scène s'ouvre au même endroit, à Jéricho à nouveau, et Jésus est maintenant dans la maison de Zachée, alors qu'Il prend Son repas. C'est un jour froid d'octobre et il est assez tôt le matin, et le vent souffle de la montagne. Là, en Judée, il fait assez froid tôt le matin, particulièrement à cette époque de l'année.

6    Et le pays, en ce temps-là, tout comme ça l'est encore dans le vieux pays maintenant, est plein de mendiants. Ils se trouvent au coin des rues et ils mendient. Je... Dans ces pays-là, les rues sont pleines de mendiants. En Inde, et en Afrique, et dans beaucoup d'endroits il y a des mendiants; des paralysés, des personnes qui ne savent plus se déplacer, des aveugles, d'autres aux membres atrophiés. Et quelquefois, les gens qui ne peuvent gagner leur vie mendient simplement, ils s'asseyent là et meurent de faim.

7    En Inde, j'ai été dans ces rues, avec un peu d'argent que ces gens m'avaient donné, et je l'avais changé de dollars en roupies. En essayant de--de passer, eh bien! ils ont dû faire appel à la milice pour me sortir de la rue; ils se ruaient sur moi. Il y avait de pauvres petites femmes, couchées là, mourant de faim. Un petit bébé, il mourait de faim au point où la chair était attachée aux os et que l'on pouvait voir les os de son petit crâne. Elles vous tendent le bébé, en essayant que vous le preniez, afin qu'il ne meure pas. Et si vous prenez celui-ci, qu'en est-il de celui-là, et de celui-ci, qu'en est-il...? Oh! la la! c'est, vous--vous... si vous voyiez ce que nous jetons dans les poubelles ici, eh bien cela nourrirait pratiquement ces gens. Vous ne réalisez pas dans quel bien-être ce pays se trouve, quand vous voyez le reste du monde en train de mourir de faim.

8    Oh! c'est plein de mendiants, et aujourd'hui, alors que notre scène s'ouvre, il y avait un... Nous découvrons que tous ces mendiants viennent habituellement à Jéricho, à la porte nord, celle qui vient de Jérusalem. Jéricho n'était pas une ville très riche. Mais Jérusalem, la grande ville stylée, l'endroit fameux du temple, et... et tous les riches allaient à Jérusalem. C'était une grande cité prestigieuse. Et les gens qui venaient de là étaient plutôt riches. Et les marchands, etc., quand ils entraient dans la journée, ces mendiants avaient leurs endroits, c'est une loi qui n'est pas écrite. Chacun connaissait exactement la place où il devait être, pour mendier son pain, ses aumônes.

9    Et ils devaient se trouver là tôt, quand les marchands entraient, parce que peut-être l'homme n'aidait qu'un mendiant par jour, il avait mis une pièce dans sa poche avant de partir. Et bien sûr, en ce temps la, c'était Rome qui gouvernait la Palestine, et la monnaie était les deniers romains. Ainsi, ils avaient une petite pièce et ils la donnaient au premier mendiant, peut-être, et cela était suffisant pour la journée. Ils ne pouvaient pas se permettre de donner à chaque mendiant Ainsi celui qu'ils rencontraient le premier, bien entendu, avait la pièce. C'est pourquoi ils avaient leur place, en dehors des portes de la ville, même avant que les gens n'entrent dans la cité, les touristes, etc. Et ils se trouvaient là, ils étaient couchés là, particulièrement à la porte nord, attendant que les touristes passent par là.

10    Et comme nous l'avons vu ce matin, nous en avons parlé, le soleil commençant à se lever maintenant, à environ neuf heures, il y avait un mendiant aveugle qui était arrivé, en quelque sorte, en retard.

11    Il avait eu une mauvaise nuit. Il était aveugle. Il était aveugle depuis qu'il était un petit garçon. Et il était arrivé en retard. Il n'a pas... Il avait passé la nuit, ce matin-là, parce que toute la nuit, il avait rêvé qu'il pourrait voir à nouveau. Et il s'était tourné et retourné dans son lit. Et il pouvait voir, il pensait qu'il pouvait voir, et le fait de se réveiller avec cette déception, qu'il ne pouvait pas voir. En réalité, ce n'était qu'un rêve.

12    Et il s'était frayé un chemin jusqu'à sa place. Et quand il est arrivé là, (maintenant, c'est une pièce dramatique, pour en arriver à mon sujet), il n'y avait personne là. Quelque chose d'étrange était arrivé. Il n'était pas plus tard que neuf heures et demi ou dix heures, et il n'y avait plus de mendiant là. Habituellement, chaque personne était à sa place. Il ne savait pas ce qui était arrivé dans la ville; ce dont nous avons parlé dans notre petit déjeuner ce matin Jésus était entré par la porte et était allé dans la ville, et beaucoup de gens étaient allés voir de quoi il en retournait, et les mendiants étaient partis. Et il ne savait pas ceci, étant arrivé en retard. Ainsi, nous pouvons le voir, tandis qu'il commence à appeler différents noms, et il n'y a personne là. Une sorte d'histoire solitaire.
    Il se demandait: «Eh bien! peut-être les officiers romains les ont-ils fait déguerpir» ou quelque chose comme cela. Ainsi, il n'entendait personne, ainsi il... il faisait frisquet et il était en haillons et ses vêtements bien usés.

13    Et il a tâtonné jusqu'à ce qu'il se trouve un rocher au soleil, qui était probablement tombé des murs, lorsque Dieu avait secoué le vieux mur, aux jours de Josué. Il sur ce rocher et essayait de penser à son rêve de la nuit précédente, combien il serait réel s'il pouvait vraiment voir. Mais il ne pouvait pas voir. Il était aveugle. Et il commença à penser à ces choses, et son esprit dériva vers son enfance.

14    Vous savez, j'aime faire cela, m'asseoir et penser à des choses qui sont passées, des choses plaisantes, des victoires que j'ai vu le Seigneur remporter, et les temps passés.

15    Et Bartimée, puisque nous connaissons son nom, rêvant cette nuit la qu'il recevait la vue, il commençait à penser combien réel cela serait s'il pouvait vraiment voir. Il pensait: «Oh! je suis aveugle depuis si longtemps, je ne sais pas comment je pourrais m'y retrouver à nouveau.» Donc il commença à penser, de nombreuses années en arrière, quand il était un petit garçon. Il avait l'habitude de jouer sur la colline, sur le côté, sur la rive là où le Jourdain coule, et la vallée se trouve la, où ils faisaient pousser le grain. Nous dirons qu'il habitait sur le flanc de la colline. Et il se souvenait combien c'était agréable, au printemps, de regarder les petites fleurs, comme elles poussaient; et comme il en cueillait de petites poignées, et il s'asseyait et regardait le beau ciel bleu.

16    Vous savez, la cécité est une chose horrible. Quand je vois un homme aveugle, mon coeur sort de moi pour lui. Et cependant, je connais une cécité pire, la cécité spirituelle; comment Dieu a fait l'homme pour Le visualiser, et ils ne peuvent le faire.

17    Une fois, au zoo de Cincinnati, j'étais là, nous étions là avec ma petite fille. Je suis un grand amoureux de l'extérieur, comme vous le savez. Et j'ai vu qu'ils avaient pris un aigle, et l'avaient mis dans une cage, ce pauvre gars! J'ai entendu un cri; je tenais la petite Sarah par la main, et nous sommes allés vers la cage. Ce grand oiseau se tenait là, saignant sur la face, toutes les plumes en bataille. Je pensais: «Quel spectacle pitoyable!»

18    Il descendit. Il recula dans la cage. Il prit un départ et le voici, faisant battre ses ailes à nouveau, pour aller frapper le côté de la cage avec la tête, faisant battre ses ailes de haut en bas, essayant de sortir de la cage, et battant des plumes. Mais il était capturé. Il retomba sur le sol et était couché là, les yeux tournant tout autour, il regardait et voyait le ciel bleu pour lequel il était né. Il est un oiseau céleste, vous savez. Mais vous voyez, une réalisation de la sagesse de l'homme l'avait mis dans une cage.

19    Je me trouvais là, le regardant. Je pensais: «Je donnerais n'importe quoi pour l'acheter. Si je pouvais l'acheter, je le libérerais, disant «Vas-y, petit gars, tu aimeras cela. Moi aussi. Sois libre et envole-toi là-haut. Tu appartiens à là-haut. Tu es né pour cela.» Je pensais: «C'est la vue la plus pitoyable que j'ai jamais eue.»

20    J'ai saisi Sarah et l'ai prise sur mon bras. J'ai dit: «Chérie, c'est un des pires spectacles que tes yeux regarderont jamais.»

21    Je me trouvais là, pensant. Je pensais: «Non, je connais une vue pire que celle-la. Je regardais vers la colline là, ces hommes avec une bouteille de bière à la main, des femmes avec des shorts, une cigarette.» Quand en fait ils sont nés pour être des fils et des filles de Dieu, et les voilà, dans une cage de péché dans laquelle Satan les a mis. Pitoyable, spirituellement aveugles, encagés; peut-être appartiennent-ils à une église, chantent-ils dans un choeur, mais cependant ils sont encagés dans le péché.

22    Et comme Bartimée essayait de penser au temps où il était un petit garçon, comment aux environs de deux heures, dans la soirée, sa gentille petite maman juive l'appelait: «Bartimée!» Il pouvait presque entendre sa voix à nouveau, son écho dans les collines, et il arrivait en courant. Et elle sortait du porche, prenait le vieux «rocking chair» et le prenait dans ses bras. Et il se souvenait comme il regardait ses beaux yeux, quelle jolie mère il avait. Et comme elle l'avait l'habitude de le bercer pour l'endormir, afin qu'il prenne son repos du soir. Et pendant qu'elle faisait cela, elle lui racontait des histoires, des histoires au sujet des gens, et au sujet des grands et puissants prophètes de Dieu qui avaient été au milieu d'eux. Combien il aimait cela, il aimait l'entendre.

23    C'est tellement dommage que des mères mettent leurs gosses devant un programme de télévision ou un quelconque scandale d'Hollywood; au lieu de faire la même chose, leur raconter des histoires de la Bible.

24    Mais elle était une authentique mère hébreu et elle racontait des histoires au petit gars. Elle lui parlait de Dieu envoyant le grand et puissant Moïse, lorsqu'ils étaient esclaves en Égypte. Dieu avait promis au Père Abraham qu'Il les délivrerait. Et Il est apparu à un grand prophète que Dieu avait suscité parmi eux, appelé Moïse.
    Et Il est venu dans la forme d'une Colonne de Feu, et a envoyé Moïse en Égypte, et les grands, puissants signes et miracles avec lesquels Il les avait fait sortir. Et comment, dans le désert, sans pain et sans rien à manger, ils marchaient cependant dans la ligne de l'obéissance, et Dieu fit pleuvoir du pain du ciel.

25    Et je peux entendre le petit Bartimée dire: «Maman, une minute. Dieu devait avoir tous Ses anges au travail là-bas, et Il a de grands fours partout dans les cieux, et les Anges travaillent tout le temps, pour préparer le pain, et le mettre sur...

26    «Non, chéri, tu es trop jeune pour comprendre. Tu vois, Jéhovah ne doit pas faire cela. Jéhovah n'a pas besoin de fours. Il est un Créateur. Il le parle simplement, et c'est ainsi.»

27    Alors, qu'allons-nous dire au sujet de Jésus, quand nous Le voyons faire la même chose? Il doit y avoir quelque chose de divin à Son sujet. Il doit être une certaine relation à Jéhovah. Quelqu'un essayant aujourd'hui de n'en faire qu'un prophète ou un homme ordinaire, ou un philosophe, un bon enseignant. Il n'était rien de moins que Dieu manifesté dans la chair.

28    Là, comme elle lui parlait et lui racontait comment ils avaient traversé le grand désert, qui était juste au-delà du Jourdain, alors, et comment au printemps, au mois d'avril, quand la neige fondait, en Judée, et toutes les eaux des montagnes descendent, tout le Jourdain était rempli d'eau, les grands bras au bas de la rivière. On aurait dit que Jéhovah était un piètre guide, de conduire Son peuple à ce moment où les crues des rivières étaient les pires. Comment seraient-ils jamais capables de construire un pont en travers? Et le petit Josué, ou le petit... pas Josué. Mais le petit Bartimée a peut-être dit: «Maman, comment a-t-Il fait?»

29    Elle dit: «Chéri, souviens-toi, Jéhovah est toujours le Créateur. Il a simplement parlé, et le...»

30    Dieu aime que les choses en arrivent... quand c'est embrouillé, et Se montrer Lui-même Dieu. Directement au printemps! Alors qu'en été, vous pourriez probablement traverser le Jourdain assez. facilement là, il y a un gué pour la ville. Nous savons cela, par les espions qui sont venus à ce point. Mais Dieu laissa toute la vallée se remplir d'eau, et ensuite Il est venu et a tiré Sa grande Puissance du Ciel et a fait un chemin sec en travers. Les rochers se trouvaient la, juste en dessous, où Josué avait du les empiler, comme un mémorial pour Jéhovah, comment Il avait pris soin de leur peuple. Et il...

31    Une autre qu'il aimait vraiment bien, c'était au sujet de la femme sunamite. Il se souvenait de cela. Sa mère avait l'habitude de lui raconter l'histoire de la sunamite, et du grand prophète Élie, en ce jour-là, et comment cette femme fut gentille envers ce prophète. Cependant, elle n'était pas exactement une israélite. Elle était une sunamite.

32    Ainsi elle croyait qu'Élie était un prophète, un grand prophète du Seigneur. Ainsi lorsque... un jour, elle dit à son mari: «Construisons-lui une petite chambre sur le côté de notre maison, et montrons-lui de la gentillesse, car c'est un grand homme.»

33    Et comment un jour, quand Élie et Guéhazi, son serviteur, sont venus et ont vu toute cette gentillesse, il a dit à Guéhazi: «Va lui demander: Que pouvons-nous faire? Puis-je parler au roi ou au capitaine-commandant?»

34    Elle dit: «Non, je vais simplement habiter parmi mon peuple. C'est très bien.»

35    Mais Guéhazi dit: «Elle est stérile. Elle est vieille, son mari est vieux, et ils n'ont pas d'enfants.» Et il dit...

36    Et Élie dut avoir une vision. Il a dit: «Va lui dire, AINSI DIT LE SEIGNEUR, elle va avoir un petit garçon.» Et après neuf mois, le petit garçon est arrivé. [Passage blanc sur la bande – N.D.É.]

37    ...vieux, il était avec son père, dans les champs, au temps de la moisson, et il a dû avoir un coup de soleil. Il pleurait: «Ma tête, ma tête!» Et le père le renvoya à la maison. La mère le tenait sur les genoux, et le berçait et peut-être lui donna-t-elle tous les remèdes qu'elle pouvait lui donner. Et l'état du petit garçon empira, jusqu'à ce que finalement vers midi, il mourut.

38    Comme cette petite mère n'allait pas être vaincue! Quand le père entra, et tous les voisins, ils pleuraient et criaient, le petit gars mort, mais elle avait encore foi dans ce prophète, un prophète hébreux; elle une des Nations. Elle a dit: «Sellez-moi une mule, et ne vous arrêtez pas, mais laissez-moi aller à cette grotte où ce prophète vit, là au Mont Carmel.»

39    Et son mari lui dit: «Ce n'est ni la nouvelle lune, ni le sabbat, il ne sera pas là.»
    Elle dit: «Tout ira très bien.» Elle dit: «Allons-y.»

40    Et quand Élie la vit venir, lui et Guéhazi sortirent de la grotte, et regardèrent, en se trouvant là dehors. Et la voici. Il dit: «Voici la Sunamite, elle a des problèmes, mais Dieu l'a gardé secret à mon coeur.»

41    Vous savez, Dieu ne dit pas tout à ses prophètes, seulement ce qu'Il veut qu'ils sachent.

42    Ainsi, il regarda et il dit: «Elle est...» Il dit: «Va à sa rencontre et dis-lui: «Tout va-t-il bien avec toi? Tout va-t-il bien avec le mari? Tout va-t-il bien avec l'enfant?» Et voici la partie que j'aime bien aussi.

43    Quand Guéhazi la rencontra, il dit: «Tout va-t-il bien avec toi? Tout va-t-il bien avec ton mari? Tout va-t-il bien avec l'enfant?»

44    Elle dit: «Tout va bien.» Un enfant couché mort, un mari criant, des larmes coulant dans son coeur, mais: «Tout va bien.» Elle était venue devant l'homme qui pouvait lui dire et la bénir, et, elle avait le bébé, certainement Dieu allait lui révéler pourquoi Il l'avait repris. «Le Seigneur a donné, le Seigneur a repris, béni soit le Nom du Seigneur!» Elle voulait savoir pourquoi.

45    Ensuite, comment elle vint et tomba aux pieds d'Élie, et Guéhazi la secoua; cela ne se faisait pas devant son maître. Et elle lui révéla ce qui n'allait pas. Et Élie alla et ressuscita le petit garçon en posant son corps sur le petit gars.

46    Je veux que vous remarquiez la foi de la mère également. Elle posa le bébé sur le lit sur lequel Élie s'était couché. Je veux que vous...

47    Je désire éclaircir l'idée de Paul ici, à ma façon de penser. Vous savez, Paul mettait des mouchoirs sur les malades et les affligés, et des nappes. Je ne crois pas que Paul était non scripturaire. Je pense que c'est ici qu'il l'a reçu. Vous souvenez-vous de la première chose qu'Élie a dit à Guéhazi? «Prends mon bâton et pose-le sur le bébé.» Vous savez que tout ce qu'il touchait était béni. Et ainsi, vous vous souvenez, Paul n'a pas prié sur les mouchoirs. Ils les ont simplement pris de son corps. C'était la foi des gens.

48    Ainsi, vous voyez, il a dit: «Prends mon bâton et (si quelqu'un te salue, ne le salue pas en retour) pose-le sur le bébé.»

49    Mais la foi de la femme n'était pas dans le bâton; elle était dans le prophète. Et elle a dit: «Je ne te quitterai pas avant que... Certainement, puisque ton âme vit, je ne te quitterai pas.»

50    Ainsi Élie, pour se débarrasser d'elle, devait aller avec elle. Ainsi, il entra et posa son corps sur le petit bébé mort, et il éternua sept fois et revint à la vie.

51    Oh! la la! quelle grande histoire c'était pour ce petit Bartimée, quand il était un petit garçon. Combien il aimait cette petite histoire, parce que c'était la résurrection d'un petit garçon. C'était l'une de ses préférées.

52    «Mais c'était dans les jours passés» lui dit le prêtre maintenant. «Hélas, c'était des jours quand Israël avait de grands et puissants hommes; de grands et puissants prophètes marchaient dans le pays.» Mais les prêtres disaient: «Vous savez, Jéhovah n'a plus besoin de prophètes.» Non seulement les prêtres disaient cela, mais eux disaient alors: «Jéhovah n'a plus besoin de prophètes. Il nous a donné la loi, et nous avons construit une église, un temple, et c'est tout ce dont nous avons besoin.»
    Et c'est à peu près la même chose qu'ils croient aujourd'hui, mais Jéhovah demeure Jéhovah et Il ne peut changer Sa manière; Il est Dieu, et ne change pas. Maintenant ils croyaient que cela, c'était tout ce dont ils avaient besoin.

53    Ainsi, alors qu'il était assis là, dans ce rêve éveillé, comme cela était, pensant à cela, ses yeux aveugles tournés vers le chaud soleil; tout à coup, il entend le cliquetis des pieds d'une petite mule descendant la route rocailleuse, descendant de Jérusalem, des cailloux, entrant. Comme il écoutait attentivement, il y avait quelqu'un avec des sandales courant devant la petite mule. Et il savait que cela devait être un homme riche, car il voyageait sur une mule et qu'il avait un serviteur pour conduire la mule.

54    Ainsi, il se lève, sachant qu'il devait se procurer quelque argent pour vivre. Donc il se lève et met sa robe, une petite robe en haillons, et court vers la rue et dit: «Je désire une aumône. Il était tard ce matin-là. Voudriez-vous me donner une aumône? Je suis aveugle.»

55    Et nous entendons sortir une voix vraiment dure: «Hors du chemin, mendiant! Je suis le serviteur de Jéhovah. Je suis un prêtre. Je descends de Jérusalem, envoyé par l'association, pour arrêter cette réunion de guérisons qui va avoir lieu ici ce matin à Jéricho. Je dois aller rencontrer les Frères et voir que cette chose ne se produise pas, aller chercher les gens. Il y a un faux prophète dans le pays, vous voyez. Nous avons entendu qu'Il est à Jéricho ce matin, et je suis en chemin. Hors de mon chemin!»
    Prêtre.
    «Et, très bien. Serviteur va ton chemin.»
    Et la petite mule trottait de nouveau.

56    Ensuite le mendiant retrouve son chemin à tâtons, jusqu'à ce qu'il trouve le rocher et s'assied. Il continua son rêve, et quand il commença à penser: «Là, sur cette petite route, où je me trouvais il n'y a pas longtemps, les grands et puissants prophètes Élie et Élisée, sont passés, bras sous le bras, marchant sur la même route, bras sous le bras, allant vers le Jourdain. Et le Jourdain allait s'ouvrir à nouveau. Et de l'autre côté, pour ce vieux prophète fatigué, Élie, il y avait un chariot de Feu et des chevaux de Feu, attachés à une branche par là pour le ramener à la maison. Et il allait voir ceci, le jeune Élie. Élisée allait regarder en arrière et voir le ministère devant lui, ce qui se trouvait devant lui. Il devait garder les yeux sur ce prophète.»

57    Et j'imagine Bartimée disant: «Si seulement j'avais pu vivre ce jour-la, étant assis ici, j'aurais couru vers ces prophètes, je serais tombé sur ma face, et j'aurais dit: - Oh! prophète de Dieu! Priez pour moi, et Jéhovah me rendra la vue.»
    Mais le prêtre disait: «Il n'y a plus une telle chose. Nous n'avons pas cela. Jéhovah ne guérit pas par Sa puissance, Il ne le fait plus. Nous avons des docteurs et autres qui font cela. Nous n'avons plus besoin de cela, ainsi Jéhovah ne guérit pas C'était pour les jours passés. Nous n'avons qu'à observer la loi. Et nous devenons malades, et nous mourons et nous allons au Ciel, et c'est tout. C'est tout ce dont nous avons besoin.»

58    Alors, comme il commençait à penser, alors il se souvint. À moins de cinq cents mètres d'où il se trouvait; après qu'Israël ait traversé et campé, tout étant en ordre, toutes les tentes en place, attendant les ordres pour marcher sur Jéricho. Et probablement le rocher même sur lequel il était assis était l'un de ceux que Jéhovah avait fait exploser des murs.

59    Et il a dit: «Pensez-y seulement! Il n'y a pas si longtemps, un puissant guerrier, Josué, grand et puissant serviteur de Dieu, a traversé la rivière, au printemps, a planté ses tentes, droit devant l'ennemi. Un jour, alors qu'il étudiait une stratégie pour l'attaque de Jéricho, un soir, alors qu'il se promenait dehors, ou un matin, regardant les portes, combien cela était grand Ils pouvaient faire des courses de chars au sommet, des chevaux, plusieurs de front, autour des portes. Comme Josué regardait. Il regardait se trouvant appuyé contre le mur, et là se trouvait un Homme avec Son épée tirée. Josué tira son épée et alla à Sa rencontre. Josué s'écria: «Es-Tu avec nous ou es-Tu l'un de nos ennemis?»
    Il dit: «Non, Je suis le Capitaine des armées du Seigneur.» Le puissant Josué jeta son épée sur le sol, enleva son casque et tomba à Ses pieds.»

60    L'aveugle Bartimée pensa: «Ce n'était pas à cinq cents mètres de l'endroit où je me trouve ici maintenant. Là où la puissante armée du Seigneur, le Capitaine de l'armée, et Josué s'inclinant à Ses pieds. Oh! si je m'étais seulement trouvé là, dans ces tentes, aveugle alors, j'aurais demandé au puissant Capitaine de l'armée du Seigneur s'Il me donnerait ma vue, et Il me l'aurait donnée.» Il ne se doutait pas que ce même Capitaine se trouvait à moins de cent mètres de lui.

61    C'est là où nous manquons ce soir. Nous essayons de mettre toute cette gloire, et Christ, dans un autre âge. La Bible dit: «Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement.» Il est simplement tout autant dans ce bâtiment, ce soir, qu'Il l'était en Galilée ou à Jérusalem.

62    Ce grand Capitaine sortait de la maison de Zachée, et les gens L'attendaient à l'extérieur.

63    En quelques minutes, il entend un bruit, et le bruit est composé de voix mélangées.

64    L'une dit: «Hosanna au Prophète qui vient au Nom du Seigneur! Béni est le Prophète de Galilée, le Serviteur de Jéhovah!»

65    D'autres disent: «Dehors une telle Personne! Nous ne voulons avoir personne ainsi autour de la ville.»
    Et comme ils s'avancent, et que quelques-uns lancent des fruits trop mûrs vers Lui, alors qu'Il passe la porte.

66    Il n'avait jamais entendu quelque chose comme cela, ainsi il dit: «Que se passe-t-il? Quel est tout ce bruit? Que se passe-t-il ici?» Et les gens se pressaient.

67    Après quelque temps, il entendit la voix du même prêtre qui était descendu pour convoquer l'association afin de ne pas avoir la réunion. Il l'entendit dire: «On dit que Tu ressuscites les morts. Maintenant nous en avons tout un cimetière rempli, ici sur la colline, voyons si Tu peux venir et en ressusciter quelques-uns devant nous.»

68    Mais, vous savez, Il se dirigeait vers Jérusalem, montant pour être crucifié. Tous les péchés du monde étaient sur Lui, et Il allait à Jérusalem pour être offert en sacrifice. Et ils se moquaient et Le ridiculisaient; certains Le bénissaient, certains Le maudissaient. Tout comme cela se passe dans pratiquement chaque réunion où Il se trouve, certains sont pour Lui, certains sont contre Lui. Mais cela n'a jamais semblé Le déranger. Il avait Son visage dirigé vers la fin de Sa course. Et en avant, Il marche, calmement, regardant vers Jérusalem. Et douze petits hommes Lui servaient de garnison, essayant de retenir la foule. Certains essayant de Le toucher. Certains criant et se moquant de Lui, et ainsi de suite.

69    Et la foule en quelque sorte écrasa le vieil homme aveugle, qui est notre personnage ce soir, ils l'avaient renversé. Et pensons qu'il y avait une gentille et jeune dame qui passait, peut-être une soeur de Rébecca dans notre histoire ce matin, ou était-ce un croyant en Christ. Et elle les avait vus pousser le vieil homme, et qu'ils n'étaient pas gentils à son égard. Mais étant donné qu'elle était une croyante en Jésus, cela la rendait aimable. Cela le fait toujours. Cela fait considérer ceux qui sont vieux et qui sont dans le besoin. Et le vieux gars avait été renversé, et elle s'était arrêtée pour le relever. Elle...

70    Il lui a peut-être dit quelque chose comme cela: «Jeune dame, je peux dire, à votre voix, que vous êtes une jeune dame.»

71    «Oui, je le suis. Voulez-vous vous lever, vieil homme. Je crois qu'ils vous ont blessé?»

72    Il dit: «Quel est tout ce remue-ménage? Quelle est toute cette confusion ici? Qu'est-ce que tout cela veut dire?»

73    «Eh bien! dit-elle, n'avez-vous pas compris que Jésus de Nazareth, le Fils de David, est dans la ville? C'est Lui qui passe, le Prophète de Galilée. Voulez-vous dire que vous ne Le connaissez pas?»
    - Non, je n'en ai jamais entendu parler.

74    «Eh bien! laissez-moi vous dire ce qui s'est passé ce matin dans la ville. Connaissez-vous Zachée, le restaurateur?» «Oui.»

75    Il a toujours été une sorte de critique. Sa femme était croyante. Et ce matin, Zachée, était dans un arbre pour voir Jésus passer. Et nous savons tous qu'Il est le Prophète. Et quand Il est venu, Il s'est arrêté, a regardé en haut et a appelé Zachée par son nom; Il n'avait jamais été à Jéricho auparavant.»

76    Le vieux mendiant s'illumina. Il dit: «Alors, c'est l'accomplissement de Deutéronome 18:15:
    Le Seigneur notre Dieu suscitera un prophète comme Moïse.
    Ce doit être Lui. Si c'est Lui, où est-Il maintenant?»
    - Il est juste une centaine de mètres plus bas dans la rue.

77    Il est passé, pensa-t-il. Donc il commença à crier: «Jésus, Toi Fils de David, aie pitié de moi. Aie pitié de moi, ô Fils de David. Alors que Tu passes, aie pitié.»

78    Maintenant, physiquement, Il n'aurait jamais pu entendre Sa voix, à cause de toute l'animation. Certains Le louaient, certains Le bénissaient, et d'autres Le maudissaient. Et toute l'animation, Il n'aurait jamais pu l'entendre.

79    Mais Il était la Parole. Et quand une âme crie; comme la femme avec la perte de sang, qui avait touché Son vêtement. La Bible dit: «Il s'arrêta.» Cela L'a arrêté. Pensez-y, pensez-y seulement; que l'appel de cet aveugle, ce vieux mendiant insignifiant, et Lui, avec les péchés du monde et le fardeau sur Lui, allant à Jérusalem pour devenir une offrande pour le péché, cependant l'appel d'une âme humaine Le fit s'arrêter.

80    Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement. Un appel, ce soir, Le fera venir sur la scène, exactement de la même façon que cela le fit alors. Combien Il demeure le même!

81    Je me souviens un soir, revenant de Dallas au Texas. C'était il y a plusieurs années de cela. Je m'étais arrêté à Memphis. Et ils m'avaient installé là-bas, dans ce fameux hôtel, les lignes aériennes l'avaient fait, à l'hôtel Peabody. Et ils m'avaient dit qu'ils appelleraient le matin suivant, à temps pour attraper la limousine, pour retourner à l'avion.

82    Et j'avais bien dormi la nuit; je m'étais levé le matin suivant, j'avais écrit quelques lettres et j'allais à la poste, pour les expédier. Je suis sorti et j'ai regardé dans la rue. Et tout à coup, j'ai senti Quelque chose dire: «Arrête et retourne.»

83    Vous savez comment les gens ont des impressions. Et je pensais que c'était probablement ce que c'était.

84    Je suis allé un peu plus loin et Cela continuait à dire: «Arrête-toi et retourne.»

85    Eh bien! je suis arrivé à un coin, il y avait un grand policier irlandais, là au coin, et je ne... je regardais des cannes à pêche et autres choses, dans une vitrine. Et peut-être suis-je resté un peu trop longtemps et il devenait suspicieux pensant que j'allais essayer de prendre l'une de ces cannes, ainsi je me suis retourné et j'ai commencé à marcher en arrière. Comme je marchais, d'où je venais, de plus en plus vite, je suis repassé devant l'hôtel et je suis descendu vers la rivière. Je ne sais pas, je pense que je pourrais retrouver l'endroit ce soir. Et je pensais: «Il se fait tard, mais Quelque chose...»

86    Croyez-vous au fait d'être conduit par Dieu? [L'Assemblée dit: «Amen.» – N.D.É.] Et alors que je descendais, il se faisait tard et je savais que je devais me dépêcher, mais Quelque chose continuait à dire «Continue, continue.»

87    Et alors qu'il était pratiquement trop tard pour que je revienne et prenne mon avion, je pensais: «Eh bien! je dois suivre cette conduite.» Et voilà que je chantais ce petit chant, avec lequel je vous ai rencontré, vous Pentecôtistes:
Ils étaient tous rassemblés dans la chambre haute,
Tous priaient en Son Nom,
Ils furent baptisés du Saint-Esprit,
Et la puissance pour le service vint.

88    Avez-vous jamais entendu ce chant? «Je suis heureux de pouvoir dire que je suis l'un d'entre eux.» J'essayais de répéter cela, disant Viens, mon Frère, chercher cette bénédiction, Qui purifiera ton coeur du péché.

89    Et comme je descendais la rue, j'ai regardé, et il y avait là une vieille et typique Tante Jemima, s'appuyant sur la palissade, une petite maison colorée, comme une petite cabine peinte à la chaux, elle était là s'appuyant sur la palissade. Elle avait une chemise d'homme nouée autour de la tête.

90    Je me suis arrêté de chanter et j'ai continué à marcher. Je ne savais pas où j'allais; Il disait simplement: «Continue, continue seulement à marcher.» Et quand je suis arrivé près d'elle, j'ai vu qu'elle souriait. Je l'ai regardée, j'ai tourné la tête et continué à marcher.

91    Elle a dit: «Bonjour, Parson.» Maintenant, dans le Sud, 'parson' signifie 'serviteur'.
    Et j'ai dit: «Bonjour, Tantine.»

92    J'ai regardé en arrière et je pensais: «Comment sait-elle que je suis un pasteur?» Je n'avais ni Bible, ni rien. Je me suis retourné et j'ai dit: «Comment saviez-vous que j'étais un pasteur?»
    Elle dit: «Je savais que vous viendriez.»
    Et je dis: «Cela me paraît étrange.»

93    Elle dit: «Avez-vous lu dans la Bible au sujet de la Sunamite?»
    Je dis: «Oh! oui, Madame.»

94    Elle dit: «Vous savez, elle n'avait pas; elle était stérile, elle ne pouvait avoir d'enfant.»
    Je dis: «Oui, Madame. Je me souviens de l'histoire.»

95    Elle dit: «Et elle a promis au Seigneur, et elle allait élever le bébé dans le Seigneur, bien sûr.» Elle dit: «Vous savez, c'était ce genre de femme.» Elle dit: «Je ne pouvais pas avoir d'enfant, avec mon mari.» Et elle dit: «J'ai promis au Seigneur, s'Il me donnait un bébé, je l'élèverais pour Lui.» Elle dit: «Il m'a donné un bébé.» Et elle dit: «J'ai élevé ce garçon du mieux que j'ai pu, pour servir le Seigneur.» Elle dit: «Mais vous savez, dit-elle, il a eu des mauvaises fréquentations, et il a attrapé une--une--une maladie dans son corps.» Et elle dit: «Le docteur lui a fait toutes les piqûres qu'il pouvait. Et c'en est fini, dit-elle, son sang est glacial, une maladie sociale», la syphilis.
    Ainsi elle dit: «Une--une partie de son sang s'écoule à travers son coeur. Il y a des trous dans son coeur.» Et elle dit: «Il est couché là, inconscient.» Et elle dit: «Un docteur était ici, il y a deux jours et a dit: - Il ne s'éveillera plus jamais; il est parti.»

96    Et elle dit: «Je ne peux tout simplement pas supporter de voir mon bébé mourir comme cela.» Et elle dit: «Alors j'ai prié toute la nuit: «Seigneur, si Tu vas le reprendre... Tu me l'as donné; mais je veux l'entendre dire qu'il est sauvé, ainsi je saurai que je le rencontrerai à nouveau.» Et elle dit: «J'ai prié, et j'ai prié la prière comme celle de la femme Sunamite.»

97    Elle dit: «Je suis allée dormir et j'ai fait un rêve.» Elle dit: «Et j'ai dit au Seigneur: - Tu m'as donné le bébé.» Elle dit: «J'étais comme la Sunamite, mais où est Ton prophète? Et elle dit, Il a dit: - Regarde qui vient ici.
    Et j'ai vu un homme avec un petit chapeau sur le côté de la tête, portant ce costume gris, descendant la rue.»

98    Et elle dit: «C'était à environ quatre heures, ce matin.» Elle dit: «Je me tiens ici depuis.» Il est toujours Dieu. Il répond des deux côtés.

99    J'ai dit: «Mon nom est Branham. Je prie pour les malades. Avez-vous déjà entendu parler de mon ministère?»

100    Elle dit: «Non, monsieur, pasteur Branham, je n'ai jamais entendu parler de vous.» Et elle dit: «Voulez-vous entrer?»

101    Et ensuite, j'ai ouvert la porte. Elle avait une vieille petite palissade et un heurtoir était suspendu à la porte, comme en Arkansas. C'était juste de l'autre côté de la rivière, ainsi, de toute façon vous savez ce que c'était. Ainsi j'ai tiré la porte derrière moi et je suis entré.

102    Quand je suis entré dans cette maison... Je suis allé dans des palais de rois, trois ou quatre rois différents; le roi d'Angleterre, le Roi Gustave de Suède, beaucoup d'endroits, allant là prier pour eux. Et je suis allé dans les plus belles maisons, je pense à Hollywood. Mais je n'ai jamais été mieux accueilli que lorsque j'ai été là. Juste une vieille petite place de plain pied, deux chambres, une petite cuisine à l'arrière, une petite chambre ici, et un vieux lit. Il n'y avait pas de «top modèles» sur le mur; mais il y avait un signe là, disant: «Que Dieu bénisse notre maison.»

103    Je regardais, me trouvant là, et un grand garçon Noir, me regardait, il semblait un gaillard grand et fort en pleine santé, d'environ dix-huit ans. Et il avait la couverture dans les mains, et il s'en allait: «Oh! oh!» Et je dis: «Que se passe-t-il avec lui?»

104    Elle dit: «Il pense qu'il est sur une mer sombre, perdu.» Et elle dit: «Il n'arrête pas de dire qu'il est perdu, là dans la mer et il ne peut pas retrouver son chemin. Il pense qu'il rame dans un bateau.» Elle dit: «Voilà deux ou trois jours qu'il fait cela.» Et elle dit: «Je ne peux simplement pas le laisser mourir comme cela.»
    Elle dit: «Voulez-vous prier pour lui?»
    J'ai dit: «Oui, Madame.»

105    J'allais lui parler de guérison. Elle n'était pas intéressée en cela. Elle voulait seulement l'entendre lui dire qu'il était sauvé. C'est tout ce qui l'intéressait, le fait qu'il soit sauvé. Et j'ai dit qu'il...

106    Elle marcha en travers de la pièce, le pris par la tête et le poussa en arrière, l'embrassa sur la joue, et elle dit: «Que Dieu bénisse le bébé de maman.»

107    Je me trouvais là en train de regarder et je pensais: «Oui, oui, c'est cela.» Peu importe la disgrâce qu'il a amenée dans la famille, aussi loin qu'il soit allé, peu importent les problèmes dans lesquels il se trouve, il est toujours le bébé de maman.

108    Et je pensais: La Bible dit: «Une mère peut oublier son bébé qui tête, mais Moi, Je ne peux t'oublier. Tu es...» Quel amour il y a! «Vos noms sont gravés sur les paumes de Mes mains.»

109    Elle l'embrassa. Nous nous sommes agenouillés. J'étais au pied du lit. J'ai mis mes mains sur ses pieds, ils étaient chauds, collants.

110    Et j'ai dit: «Tante, voulez-vous prier premièrement?» Et, mon ami, je savais qu'elle Lui avait parlé avant. Oh! quelle prière elle fit à Dieu!
    Ensuite elle dit: «Voulez-vous prier?»
    Et j'ai dit: «Oui, Madame.»

111    J'ai dit: «Père céleste, je suis au moins une heure en retard pour l'avion. Tu m'as dit de venir ici, et voici, je viens d'arriver. Et je ne sais pas si c'est ici que Tu voulais que je vienne, ou non, mais c'est ici que je me suis arrêté. Si Tu m'as envoyé pour prier pour ce garçon.»

112    Et environ à ce moment-là, il a dit: «Oh! maman.» Elle dit: «Qu'est-ce que le bébé de maman veut?»

113    Il dit: «Il y a de la lumière dans la chambre.» En cinq minutes environ, il était assis sur le lit.

114    Je me suis précipité dehors et j'ai descendu mon chemin. Je pensai: «Eh bien! je n'ai qu'a me procurer un taxi, c'est tout, et attendre un jour ou quand je pourrai avoir un autre avion.»

115    Juste comme j'entrais par la porte, deux heures et quelque en retard, j'entendis: «Dernier appel pour le vol numéro 67 à destination de Louisville, Kentucky.»

116    Quoi? Quoi? La souveraineté de Dieu! Voyez? La prière et la foi de cette petite femme noire insignifiante ont fait que cet avion reste au sol et l'ont maintenu là. Il est le même Dieu qui pouvait S'arrêter et Se détourner vers un mendiant aveugle aux murs de Jéricho. Il est le même Dieu hier, aujourd'hui et éternellement. C'est la foi qui fait cela. Il veut que vous le croyiez.

117    À propos, environ deux ans plus tard je passais par là en train, en revenant de Phoenix. Et vous savez, ils vous font payer tellement cher pour leurs sandwiches, je descends habituellement dans une gare et je me procure des hamburgers, un sachet rempli, qui est suffisant jusqu'à ce que je descende, parce qu'ils vous font payer soixante-quinze cents pour un petit sandwich avec une tranche si fine qu'on dirait qu'elle n'a qu'un côté. Et, maintenant, c'est affreux. Et je suis descendu à Memphis. Et si quelqu'un a jamais été à Memphis, vous savez comment les trains s'arrêtent là, étant donné que c'est une plaque tournante. J'ai sauté du train et j'ai couru Jusqu'à une échoppe de hamburgers. J'entendis quelqu'un dire: «Hello, pasteur Branham!»

118    Je regardai autour de moi et il y avait là un petit gars avec un manteau rouge, la tête relevée. Je dis: «Salut, fils.» en retour.
    Il dit: «Vous ne me connaissez pas, n'est-ce pas?» Je dis: «Non, je ne crois pas.»

119    Il dit: «Vous savez, un jour vous êtes venu à la maison.» Et il dit: «Ma maman était restée dehors et vous lui avez donné un mot d'encouragement.»
    Je dis: «Vous n'êtes pas ce garçon?»

120    Il dit: «Oui, c'est moi.» Il dit: «Oui, je suis ce garçon.» Il dit: «Je ne suis pas seulement guéri mais, dit-il, je, je, je suis sauvé depuis lors aussi.» Ainsi, c'était donc cela.

121    Oh! grâce étonnante! Le même Dieu, qu'un mendiant aveugle pouvait arrêter, une petite femme Noire insignifiante pouvait clouer un avion au sol. Ses prières et sa foi en Dieu. Elle Le croyait.

122    Jésus s'est arrêté. La face de ce mendiant aveugle L'arrêta directement dans Sa trajectoire. J'aimerais avoir quelques soirées pour prêcher sur le sujet: «Et Jésus s'arrêta.» Mais Il se trouvait là, disant: «Amenez-le ici.» Amen.

123    Je lisais une histoire au sujet de l'aveugle Bartimée, il n'y a pas longtemps, quand je prenais l'histoire de la Bible. C'est probablement une légende, mais elle disait qu'il avait toujours cru dans la guérison. Peu importe ce que les prêtres disaient, il continuait à le croire. Elle disait qu'il était un homme marié, qu'il avait une femme et une jeune fille qu'il n'avait jamais vue. Elle avait environ cet âge, environ seize ans. Il ne l'avait jamais vue. Elle racontait ce qu'il avait fait...

124    Vous savez vous devez être différent des autres, lorsque vous mendiez ou que vous ne pouvez attirer l'attention des gens. En Inde, ils laissent une de ces mangoustes tuer un cobra, et autre chose afin de pouvoir attirer l'attention. J'ai vu un singe prendre un bâton et frapper sur la balle, dans la rue, quelque chose d'autre, pour attirer l'attention, ensuite ils leur donnent de l'argent.

125    Elle racontait qu'il avait deux tourterelles et qu'il leur faisait faire des culbutes, comme les petit... l'une sur l'autre, et que cela amusait les gens, les touristes, et qu'ils lui donnaient de l'argent.

126    Une nuit sa femme était devenue vraiment malade. Ils avaient fait venir le docteur, et le docteur avait dit: «Bartimée, il n'y a rien que je puisse faire. Elle, je ne puis arrêter cette fièvre.»

127    Il trouva son chemin autour des murs, sortit de la maison et dit: «Jéhovah, je T'aime. Je Te crois. Il n'y a rien que je puisse T'offrir. J'ai deux petites tourterelles, grâce auxquelles je peux vivre. Mais si Tu veux laisser ma chère femme rester avec moi pour m'aider à élever mon enfant; et je suis aveugle, je ne peux voir; si Tu laisses ma femme aller bien afin qu'elle puisse m'aider, je Te le promets, demain Je ferai un grand sacrifice. Je prendrai mes tourterelles, en offrande pour mon sacrifice.»

128    Eh bien! ils disent que sa femme s'est remise. Il a pris les tourterelles et les a offertes.

129    Quelque temps après cela, sa petite fille devint malade. Elle aussi était sur le point de mourir, ainsi il sortit à nouveau. Il dit «Jéhovah, il ne me reste plus rien, mais j'ai mon agneau.» Et en ces jours-là, un agneau conduisait les aveugles, tout comme les chiens d'aveugles le font maintenant, ils étaient entraînés à conduire les aveugles. Il avait un agneau qui le conduisait à l'endroit où il mendiait. Il dit: «La seule chose qui me reste, Jéhovah, est cet agneau.» Et il dit: «Si Tu laisses seulement vivre ma petite fille, bien que je ne l'aie jamais vue, mais elle m'est d'un tel réconfort quand je caresse ses cheveux de mes mains.» Et il dit: «Elle m'aime et moi, je l'aime.» Et il dit: «Jéhovah, si Tu la laisses vivre, je Te donnerai mon agneau en sacrifice.»

130    Et sa fille alla bien. Et le voici, descendant vers le temple avec l'agneau. Le prêtre sort et se trouve au balcon, il dit: «Bartimée l'aveugle, où vas-tu ce matin?»

131    Il dit: «Je vais au temple, pour offrir cet agneau en sacrifice.»

132    «Oh! dit-il, Bartimée l'aveugle, tu ne peux faire cela.» Il dit: «Je vais te donner de l'argent, et tu iras aux étables t'acheter un agneau et tu l'offriras.»

133    Il dit: «Je n'ai jamais promis à Dieu 'un' agneau. J'ai promis à Dieu cet agneau.»

134    Il dit: «Mais, Bartimée l'aveugle, tu ne peux donner cet agneau, car cet agneau c'est ta vue.»

135    Il dit: «Si j'obéis à ma promesse envers Jéhovah, Il pourvoira un agneau pour mes yeux.»

136    En ce froid matin d'octobre, un Agneau avait été pourvu pour les yeux de l'aveugle Bartimée. Il dit: «Amenez-le ici.» Il posa Ses mains sur ses yeux, et cet Agneau pourvu de Dieu lui ouvrit les yeux.

137    Mes amis, vous savez, on pourrait en dire beaucoup plus sur cette histoire à Son sujet, alors qu'Il va à la crucifixion, mais nous réservons cela pour un peu plus tard. Savez-vous que ce même Agneau est pourvu ce soir pour vos yeux également? Ce même Agneau est ici ce soir. Dieu l'a pourvu. Il n'en a pas d autre et n'en aura jamais d'autre. C'est l'Agneau pourvu de Dieu. Le croyez-vous? [L'Assemblée dit: «Amen.» – N.D.É.]

138    Je viens de regarder ma montre, il est déjà dix heures moins vingt, et j'allais essayer d arrêter à neuf heures, pour sortir à neuf heures trente, à une heure habituelle.

139    Mais courbons la tête un moment. Je veux que chaque oeil soit fermé maintenant, et la tête inclinée. Soyez vraiment respectueux pendant un moment.

140    «Oh! Jésus, Toi Fils de David» criait le mendiant «aie pitié de moi.» Et il ne se taisait pas. Il devait... il devait attirer Son attention. Et ne croyez-vous pas que notre même cri va Le faire venir sur la scène à nouveau? Cela le fit alors. Pourquoi ne le ferait-il pas à nouveau?

141    Maintenant, alors que vous inclinez la tête, et votre coeur, je veux que vous criez à Lui «Jésus!» Ne L'appelez pas Fils de David, parce qu'Il n'est pas le Fils de David pour vous. Il est Seigneur. «Seigneur Jésus, aie pitié de moi. Ouvre mes yeux aveuglés, j'ai entendu ce ministre qui est avec nous ce soir, dire que Tu as promis de Te manifester à Abraham et à sa semence de ce jour. Tu as promis cela, que Tu es la Parole.»

142    Ces derniers soirs, j'ai remarqué des choses étranges. Il a dit, dans Saint Jean, je sais, 14:12, «Celui qui croit en Moi, les oeuvres que J'ai faites, il les fera aussi.» Et la femme a touché Son vêtement, et Il savait quel était Son trouble, parce qu'elle avait démontré sa foi. Eh bien! croire ce qu'Il était, Sa foi en ce qu'elle avait fait, Il prononça sa guérison, disant: «Ta foi t'a sauvée.» Et un homme aveugle aux portes de Jéricho, la même chose. Un homme dans un arbre, ce matin-là, ses péchés lui furent pardonnés.

143    «Ouvre mes yeux aveuglés, Agneau. Que je puisse reconnaître que je suis en Sa présence, qu'Il est ici. Tu as dit; «Là où deux ou trois sont réunis en Mon Nom, je suis au milieu d'eux.» Ouvre mes yeux aveuglés, et aie pitié de moi, ô Agneau de Dieu.»

144    Et pendant que vous priez comme cela, s'il y a un doute dans votre esprit, s'il y a eu un doute quelque part... Nous sommes maintenant au bord d'un grand service de guérison. S'il y a eu un doute à ce sujet, ne voulez-vous pas Lui demander d'enlever toutes les écailles de vos yeux, afin que vous puissiez comprendre clairement?

145    Ces quelques soirs, j'ai essayé de tout mon coeur, de vous faire voir quelque chose, qu'Il donne Son dernier signe à l'église, avant qu'Il ne se tourne vers les Juifs. L'Épouse des Nations doit être appelée.
    [Quelqu'un parle en langues et ensuite donne une interprétation. – N.D.É.]

146    Amen. Maintenant, si je comprends bien, pendant que vous priez, le Saint-Esprit a parlé et ensuite a donné l'interprétation. Dieu vous donne une invitation.

147    Combien ici aimeraient que l'Agneau pourvu de Dieu vous ouvre les yeux, afin que vous puissiez Le voir ici, présent? Voulez-vous lever la main, disant: «Dieu, ouvre mes yeux aveuglés. Fais que mon voile soit ôté de mon coeur, Seigneur, afin que je puisse comprendre.»

148    Et maintenant, comment se fera-t-Il connaître? Comment Le connaîtrons-nous? Par Sa nature, ce qu'Il fait, Ses oeuvres. Il a dit: «Je suis le Cep, vous êtes les sarments.» Maintenant, le sarment porte les fruits, pas le cep. Le cep donne l'énergie à la branche. Et si la branche fait pousser, ou si le cep fait pousser une branche, elle porte des grappes; le prochain cep sort, ou la branche sort de ce cep, elle aura des grappes sur elle. Si la première église qui est sortie de ce cep était une église pentecôtiste, avec tous les dons, si jamais il produit vraiment une autre branche, ils écriront un autre Livre des Actes, derrière celui-ci. Et c'est ce qu'ils avaient aux jours des apôtres, et l'âge apostolique n'a jamais pris fin.

149    Pierre a dit, le jour de la Pentecôte: «Repentez-vous, chacun de vous, et soyez baptisés au Nom de Jésus-Christ pour la rémission des péchés, vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, et pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, autant que le Seigneur notre Dieu en appellera.» Et aussi longtemps que Dieu appelle, l'âge apostolique continue. «Car la promesse», la promesse comme elle l'était alors, «est pour vous, et pour vos enfants, ceux qui sont au loin, autant que le Seigneur notre Dieu en appellera.»

150    Seigneur, ouvre nos yeux, et laisse-nous voir cet Agneau pourvu. Tu as promis que le--que Tu Te révélerais Toi-même, dans les derniers jours, comme Tu l'as fait à Sodome, lorsque le Fils de l'homme fut révélé. Nous prions, Dieu, que Tu l'accordes maintenant. Nous sommes Tes sujets, Seigneur. Nous sommes Tes vignes.

151    Nous ne sommes pas dignes, nous ne sommes pas dignes de demander quoi que ce soit; mais si nous pensions à cela, alors nous serions si petits, que nous ne serions rien de bon ainsi. Mais, Seigneur, quand j'ai levé les yeux là et que j'ai vu un Agneau pourvu pour moi, il y a un Agneau pourvu, alors Dieu ne me voit pas, Il voit mon Agneau. Et je sais qu'il n'y a rien qui n'aille pas avec cet Agneau. Il a déjà été reçu.

152    Maintenant, Seigneur, laisse la Parole de Dieu Se manifester au milieu de nous, ce soir, afin que la foi de ce Bartimée, qui est ici, chacun d'eux, et les femmes avec une perte de sang et quoi que ce soit, et les Simon Pierre, et tous les autres qui sont ici, qui sont dans le besoin, les Zachée dans l'arbre. Manifeste-Toi Toi-même, Seigneur, à travers la chair humaine. Que Ta Parole devienne vivante au milieu de nous, ce soir, afin que nous sachions et que nous voyions que Tu es Dieu.
    Et puisse tout oeil aveugle être ouvert à la compréhension, Seigneur, afin que lorsque ce grand service de guérisons commencera, chacun d'eux puisse être guéri. Tous ces petits enfants, et ces gens avec des béquilles, et quoi que ce soit qui n'aille pas avec eux, avec les cannes blanches, puissent-ils être capables de sortir en marchant comme l'aveugle Bartimée le fit. Il a reçu sa vue. Accorde-le, Père. Nous le demandons dans le Nom de Jésus-Christ. Amen.

153    Maintenant, nous avons prié. Et maintenant, solennellement, calmement, croyez. Maintenant, ce que j'ai... Cette petite histoire dramatique, ce qu'elle est, elle est soit la vérité ou elle n'est pas la vérité Et Christ est le même hier, aujourd'hui et éternellement.
    Maintenant, comment Le connaîtriez-vous?

154    Que se passerait-il si quelqu'un venait ici maintenant avec une robe, une barbe et des cheveux comme ceux avec lesquels les artistes Le peignent, des cicatrices de clous dans les mains, et du sang coulant sur Son visage? Cela ne serait pas Jésus. Non. Il est assis à la droite de la Majesté; quand Il viendra, tout genou fléchira et toute langue confessera. Mais, mais comment Le reconnaîtrez-vous? N'importe quel hypocrite pourrait se peindre comme cela et jouer un rôle comme cela. Certainement.

155    Mais comment Le reconnaîtrez-vous? C'est Lui quand vous voyez Sa nature, Sa Parole étant manifestée et faisant exactement ce qu'Elle a toujours fait, alors vous savez que c'est Lui. Est-ce exact? «Les oeuvres que Je fais.»

156    Maintenant, vous voyez, puissiez-vous Le croire vous-même maintenant. Venez. Ne laissez pas votre esprit s'assoupir, comme les gens disent. Ne faites pas cela. Vous ne venez pas à Dieu au hasard. Vous venez à Lui, intelligemment, avec Sa Parole. Vous amenez la Parole devant vous et dites: «Seigneur, Tu as fait la promesse. Je T'ai demandé d'ouvrir mes yeux. Que ma foi arrête le Seigneur Jésus, ce soir. Puisse-t-Il se tourner vers moi, et me dire comme... comme la femme le fit, il y a de nombreuses années.»
    Et vous croyez de tout votre coeur.

157    Maintenant, pour autant que je puisse voir, dans l'assemblée, il n'y a pas une personne que je vois que je connaisse. Vous êtes tous étrangers pour moi.

158    Et parfois vous pensez qu'il n'y a que ces gens ici devant qui le reçoivent. Non, non. Peu m'importe où vous vous trouvez, croyez simplement. Peu m'importe, n'importe où dans le bâtiment. Il sait qui vous êtes et où vous vous trouvez.

159    Maintenant, voyons. Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement, si votre foi peut L'arrêter, comme celle de Bartimée le fit. Il n'est pas nécessaire que vous soyez un mendiant. Il n'est pas nécessaire que vous criiez comme il l'a fait. Le cri ne L'a pas arrêté. Il n'a pas entendu cela. C'est la foi qui L'a arrêté. «Ta foi!» Il n'a pas dit: «Ton cri t'a sauvé.»; «Ta foi t'a sauvé.» Vous voyez: «Ta foi t'a sauvé.» Très bien. Que le Seigneur soit béni!

160    Je me demande si ce ministre qui est assis là, le Frère plus ancien qui prêche depuis soixante-cinq ans, me ferait une faveur? Voulez-vous, monsieur? Posez votre main sur cette femme assise à côté de vous, et le problème cardiaque la quittera. Très bien, c'est cela. Le croyez-vous, Soeur? Très bien, c'est tout.

161    Qu'a-t-elle touché? Je ne l'ai jamais vue, mais c'est arrivé. «Si vous pouvez croire!» Croyez-vous maintenant? [L’Assemblée dit: «Amen.» – N.D.É.]

162    Cela L'identifie-t-il? Vos yeux sont-ils ouverts? Alors regardez-Le, Il est merveilleux, le puissant Conquérant! Il n'y a rien, ni credo, ni dénomination, ni scientifique ou rien qui puisse L'arrêter. Il est Dieu. Amen Je défie chaque personne ici de le croire, qu'Il est présent maintenant.

163    Combien ont déjà vu cette photo de l'Ange du Seigneur sur le papier, qu'ils ont à Washington? Il se trouve ici à la chaire, maintenant. Très bien! Je sais que C'est ici. Je le sais. Je ne suis pas un fanatique. Oh! non, je suis loin de cela. Je vous dis la Vérité. Croyez-le. Croyez-le et voyez ce qui arrive.

164    Ici, Le voici à nouveau. Cette petite dame de Couleur assise là au bout, regardant autour d'elle. En réalité, elle désire une faveur de Dieu. Elle est ministre, et elle prie pour que Dieu l'aide dans son ministère. N'est-ce pas exact, Madame? Levez la main, si c'est exact. Je ne l'ai jamais vue, elle m'est autant étrangère que cette petite dame de Couleur l'était, en ce temps-là au Tennessee.

165    Il y a un homme de Couleur, assis là vous regardant, qui est comme comblé de joie par cela. Croyez-vous que je sois un serviteur de Dieu, monsieur? Oui? Cette femme vous a touché exactement comme ils l'ont fait. Ayez bon courage.» Ce n'est pas moi qui vous appelle, mais Il vous appelle. Si vous croyez de tout votre coeur, ce diabète sucré vous quittera Le croyez-vous? Amen. Très bien, alors vous pouvez l'avoir. Amen. Gloire au Seigneur! C'est cela. Qu'a-t-il touché? Il ne m'a jamais touché. Il L'a touché.

166    Ici, ici se trouve un jeune garçon blanc, assis ici en train de me regarder, avec un profond désir dans son coeur. Je ne vous connais pas, mais vous cherchez le baptême du Saint-Esprit. C'est exact. Vous le croyez? vous Le recevrez. Vous le croyez, jeune homme? Très bien, vous pouvez Le recevoir, si vous le croyez.

167    Voici une petite femme, ici à l'arrière. Elle souffre. C'est son bras gauche. Il est fracturé, il y a un noeud dessus; le bras gauche Dans son bras droit elle a une névrite et du rhumatisme. Elle va le manquer. Madame Council, croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que Dieu fera... Vous êtes guérie. Jésus-Christ vous guérit.

168    Je n'ai jamais vu cette femme ou entendu parler d'elle de ma vie. Jéhovah sait que c'est vrai. Amen.

169    Voici une petite dame de Couleur, assise ici. Elle souffre de complications, beaucoup de choses. Une chose, vous avez des problèmes avec les yeux. Pas parce que vous portez des lunettes; mais vos yeux vont mal de toute façon. Vous avez de l'arthrite. Si c'est vrai, faites signe de la main. Vous avez des douleurs dans la poitrine. C'est vrai? Faites signe de la main. Vous avez un problème d'estomac. Si c'est vrai, faites signe de la main. Croyez-vous qu'Il va vous guérir? Croyez-vous que Dieu peut me dire qui vous êtes? Edna Gerald. Si vous croyez de tout votre coeur, croyez-le, et vous pouvez avoir votre guérison. Amen.

170    Croyez-vous qu'Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement? [L'Assemblée dit: «Amen.» – N.D.É.]

171    Qu'en est-il de cette dame assise ici au bout de la seconde rangée, en train de me regarder? Elle a des problèmes aux pieds. Croyez-vous que Dieu peut guérir vos pieds? Si vous le croyez, levez la main. Je ne la connais pas, je ne l'ai jamais vue.

172    Qu'en est-il de la dame assise à côté d'elle? Regardez par ici, Soeur. Croyez-vous que je sois serviteur de Dieu, de tout votre coeur? Vous avez une névrite qui vous accable. Si c'est vrai, faites signe de la main. Maintenant, vous pouvez être guérie.

173    La dame assise à côté d'elle, le croyez-vous de tout votre coeur? Vous souffrez également. Croyez-vous que Dieu peut me dire quel est votre problème? Un problème de reins. Si c'est vrai, faites signe de la main.

174    La dame assise à côté d'elle, croyez-vous? Vous souffrez d'un problème de nerfs et des yeux. Si c'est vrai, faites signe de la main.

175    La dame assise à côté d'elle, croyez-vous Soeur? Vous êtes recouverte d'une ombre Vous avez un problème d'estomac, c'est le cancer de l'estomac. Croyez-vous que Dieu vous a guérie? Amen.

176    Croyez-vous? Vos yeux peuvent-ils s'ouvrir et croire qu'Il est le Fils de Dieu? Alors, si vous le croyez, levez-vous et acceptez-le, et croyez-le de tout votre coeur, qu'Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement. «Ô Jésus, Toi Fils de David, aie pitié de moi!»
Ne m'oublie pas, ô gentil Sauveur, Entend mon humble cri;
Alors que Tu en appelles d'autres, Ne m'oublie pas.
Toi, le fleuve de tout mon réconfort,
Tu es plus que la vie pour moi,
Qui ai-je sur terre à côté de Toi,
Ou qui dans le Ciel sinon Toi?

177    Que s'est-il passé? Votre foi, exactement comme ce mendiant aveugle L'a appelé sur la scène. Amen. Le croyez-vous? [L'Assemblée dit: «Amen.» – N.D.É.] Oh! il n'y a pas besoin de ligne de guérison. Combien croient qu'ils sont guéris de toute façon? Levez la main, louez-Le! Amen. Vous êtes guéris.

178    Jésus-Christ est au milieu de nous, le même qui a marché dans Jéricho, qui connaissait Zachée par son nom, qui connaissait Bartimée. Le même Seigneur Jésus, dans la forme du Saint-Esprit, est ici, ce soir, faisant les mêmes choses qu'Il a faites, prouvant infailliblement qu'Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement. Ne laissez pas les credo, les théologies et coups de froid vous secouer hors de cela. Vous êtes dans la Présence de Jésus-Christ, qui est rendu manifeste parmi vous. Amen. Je le crois de tout mon coeur. Amen.

179    Acceptez votre guérison. Dites: «Louez soit le Seigneur! Je l'accepte.»

180    Chantons-Lui les louanges alors. «Je L'aime, je L'aime.» L'aimez-vous? [L'Assemblée dit: «Amen.» – N.D.É.] «Car Il m'aima le premier.» L'aimez-vous?
Je L'aime...

181    Adorez-Le maintenant, dans Sa Présence. Vous savez, Il doit être ici.
Je L'aime
Car Il m'aima le premier
Et a acquis mon Salut.

182    C'est la guérison, également. C'est une partie de votre Salut. Où a-t-Il fait cela? Au Calvaire, sur le bois du Calvaire. De tout nos coeurs!
Oh! je L'aime, oh! je L'aime, (Pensez-le vraiment. Adorez-Le!)
Car Il m'aima le premier
Et a acquis mon Salut
Sur le bois du Calvaire.

183    Oh! ne L'aimez-vous pas? [L'Assemblée dit: «Amen.» – N.D.É.] Donnez la main à quelqu'un disant: «Louez soit le Seigneur!» Vous vous aimez les uns les autres, vous L'aimez. Tournez-vous et serrez la main de quelqu'un disant: «Loué soit le Seigneur! Loué soit le Seigneur! Nous sommes heureux d'être ici, Frère, contents d'être dans la Présence du Seigneur Jésus.» Amen. Amen. Merveilleux. Oh!

184    Paul a dit: «Si je chante, je chante dans l'Esprit.» Adorons-Le dans l'Esprit, a nouveau. Chantons dans l'Esprit.
Oh! je L'aime, oh! je L'aime, (Alléluia)
Car Il m'aima le premier
Et a acquis mon Salut
Sur le bois du Calvaire.

185    Oh! ne L'aimez-vous pas? N'est-Il pas merveilleux? Chantons:
Merveilleux, merveilleux, Jésus est pour moi,
Conseiller, Prince de la Paix, Dieu Puissant Il est;
Oh! Il me sauve, Il me garde du péché et de la honte,
Merveilleux est mon Rédempteur, loué soit Son Nom!
Merveilleux, merveilleux, Jésus est pour moi,
Conseiller, Prince de la Paix, Dieu Puissant Il est;
Oh! Il me sauve, Il me garde du péché et de la honte,
Merveilleux est mon Rédempteur, loué soit Son Nom!

186    Que pourrait-il arriver maintenant, dans la Présence de Dieu, comme ceci?
Un jour j'étais perdu, maintenant je suis retrouvé,
Libre de la condamnation, Jésus donne la liberté et un complet Salut,
Il me sauve, Il me garde du péché et de la honte,
Oh! Merveilleux est mon Rédempteur, loué soit Son Nom!
    Oh! chantons-le comme nous le pensons!
Merveilleux, merveilleux, Jésus est pour moi,
Conseiller, Prince de la Paix, Dieu Puissant Il est;
Oh! Il me sauve, Il me garde du péché et de la honte,
Oh! Merveilleux est mon Rédempteur, loué soit Son Nom!

187    Oh! est-ce que cela ne vous fait pas quelque chose, cela vous récure de l'intérieur? [L'Assemblée se réjouit – N.D.É.] La communion, oh! quelle sensation! Je n'échangerais pas ceci pour tout l'argent que vous pourriez amonceler. Jetez cela dehors, mais donnez-moi Jésus. Oh! la la! Oui, monsieur. La communion!

188    Oh! combien il est doux de marcher dans ce chemin du pèlerin, s'appuyant sur le Bras éternel, sachant qu'il est ici! Oh! l'amour au premier coup d'oeil, quelque chose en nous qui appelle! Oh! quelque chose comme le couvercle d'un puits artésien enlevé, faisant jaillir de l'eau; et plus il en jaillit, plus froide et plus fraîche elle devient. Amen. Oh! Il est merveilleux! N'est-ce pas? [L'Assemblée dit: «Amen.» – N.D.É.] Je L'aime. Ne L'aimez-vous pas? [«Amen.»] Oh! la la!

189    Ne vous aimez-vous pas les uns les autres? [L'Assemblée dit: «Amen.» – N.D.É.] Maintenant, vous, tous les Méthodistes, donnez la main aux Pentecôtistes, et vous les Baptistes, et soyez simplement vraiment aimables. Si vous ne pouvez faire cela, vous ne L'aimez pas. C'est exact. Parce qu'ils L'aiment, vous L'aimez; Il vous a pris avec vos particularités, Il l'a fait pour les autres, ainsi mettons-nous d'accord. Oh! n'est-Il pas merveilleux? [«Amen.»] Nous le croyons de tout notre coeur.

190    Oh! chantons-le à nouveau, ce merveilleux vieil hymne de l'église «Je L'aime, je L'aime.»

191    Je ne pourrai jamais assez le dire, parce qu'Il m'aima le premier. Il m'aima, un fils d'ivrogne pauvre, délibérément aveuglé, aimant le péché, misérable, dans les gouttières, et Il se baissa, dans Sa grâce je n'avais rien. Il m'a choisi. Oui. Comment cela se peut-il? Comment la nielle peut-elle être changée en blé? Cela prend la puissance de Dieu. Amen. Je L'aime. Oh! je me sens en quelque sorte religieux, moi-même, maintenant. Je, je, je me sens bien.

192    Je sais qu'Il est ici. C'est Lui. Il l'a promis. Il, Il est ici au milieu de nous. Combien je L'aime! Il est merveilleux. Cela vous fait sentir bien de savoir que nous n'avons pas à le deviner. Il est ici, s'identifiant Lui-même directement dans La Parole, comme Il l'a toujours fait, Se faisant Lui-même, pas un credo, un quelque chose mythique; mais le Dieu vivant Lui-même. Comment s'est-Il fait connaître? Pas à Sodome, mais à Abraham; et maintenant à la semence d'Abraham, après Lui, montrant que nous sommes la Semence d'Abraham. Amen. Oh! la la! Je me sens vraiment bien, juste maintenant.
Oh! je L'aime (Oh! quelle douche de bénédiction!)
Oh! je L'aime, car Il... (Pensez-y simplement; avant que vous L'aimiez, Il vous a aimé!)

193    Seigneur Jésus, accorde la guérison de ces gens, Père, qu'ils puissent être guéris, chacun d'eux. Dans le Nom de Jésus-Christ, je prie, Seigneur, pour Ta gloire. Amen.
...bois du Calvaire.

194    Oh! courbons la tête maintenant, doucement, calmement. Vous savez, nous ne sommes que des enfants, de toute façon. Nous sommes les enfants de Dieu. Avez-vous déjà vu quelle liberté un enfant avait autour de ses parents? Ses parents l'observent, voyez-vous. Fredonnons-le. [Frère Branham commence à fredonner «Je L'aime.» – N.D.É.]

195    Simplement Le voir ici, cette grande Colonne de Feu! Il a dit: «Je viens de Dieu; je vais à Dieu.» Il était le Logos qui était avec Moïse dans le désert, la Colonne de Feu. Il est mort au Calvaire, est ressuscité Et lorsque Saul était sur la route de Damas, cette même Colonne de Feu le renversa; il a dit: «Qui es-Tu Seigneur?»
    Il a dit: «Je suis Jésus.»

196    Il est venu de Dieu; Il est retourné à Dieu. Il s'est identifié à nous, par une preuve scientifique, par la preuve de l'église, par tout. «Je...» Produisant Sa même chose, déclarant Sa Parole. Il est l'interprète. [Frère Branham fredonne: «Oh! je L'aime.» – N.D.É.]

197    Ne serait-ce pas un temps merveilleux pour Lui de venir maintenant, de regarder et voir tout le monde changé, s'en allant? Il le fera un jour. [Frère Branham fredonne «Oh! je L'aime!» – N.D.É.]

198    Maintenant avec nos têtes baissées, vraiment doucement. [Frère Branham fredonne «Oh! je L'aime!» – N.D.É.]

199    Souvenez-vous, les services le matin. Si vous êtes étranger ici, et si vous n'avez pas d'église; ce sont de bons pasteurs, ils croient le même Évangile ou ils ne m'auraient pas ici. Ils sont les bienvenus dans leurs églises. Ayez un bon service demain, une bonne nuit de repos cette nuit, et ensuite revenez demain après-midi pour le service de guérison.
    [Frère Branham fredonne «Oh! je L'aime.» – N.D.É.]

200    Très bien. Que Dieu vous bénisse, Frère.

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