LES 7 NOMS COMPOSES DE JEHOVAH

Date: 55-0120 | La durée est de: 1 heure 41 minutes | La traduction: Shp
doc pdf
Voir le textes français et anglais simultanement Voir le texte anglais seulement

1.         …Crois seulement,

Tout est possible, crois seulement.

Crois seulement, crois seulement,

Tout est possible, crois seulement.

            Maintenant, restez debout juste un instant pour la prière. Père, nous Te remercions ce soir du fond du cœur pour ce merveilleux rassemblement en Jésus-Christ ici à Chicago. Nous Te prions de bénir les efforts que nous conjuguons pour essayer de Te représenter devant ces gens. Voyant cette soirée froide, et où il y a une tempête de neige dehors, avec ces gens qui sont venus de loin et qui se sont rassemblés ici ce soir pour être guéris... En lisant leurs lettres la journée et en les entendant crier au secours de façon pitoyable, cela émeut nos cœurs, Père. Je suis sûr que Tu les vois quand ils écrivent les lettres, Tu les vois quand ils arrivent, le sentiment que cela suscite en moi, la réaction, tout ce que nous pouvons  pour essayer d'apporter de l'aide. Bénis nos efforts ce soir, Père. Que Ton Esprit soit ici, puisse-t-Il approuver tout ce que nous faisons. Car nous demandons Sa divine conduite en tout au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir et que le Seigneur vous bénisse.                                     

2.         Je suis doublement heureux ce soir d'être ici à l'auditorium. Je vois que nous avons quelques lettres ici. Certains d'entre vous les ont remises à Billy Paul, et il me les transmet toujours. Et, nous apprécions donc cela. Et alors, certains ici... Avant que je commence ce soir, j'ai remarqué que quand je fais la prière de congédiement, parfois les gens déposent ces lettres pour que j'y impose les mains. J'aimerais prier pour cela personnellement avant que nous vous les remettions. Tout ce que nous pouvons faire pour vous aider, et c'est le but de notre présence ici, c'est d'essayer de vous aider à aimer notre Seigneur Jésus de tout votre cœur.                   

            J'étais en train de regarder le spécialiste de l'enregistrement ici, tous les fauteuils d'orchestre sont occupés par eux ce soir, ils font des enregistrements. Eh bien, c'est très merveilleux.

            Nous - nous sommes... Nous aimerions bien rester à Chicago pendant très très longtemps si possible. Naturellement ceci... Nous sommes un peu empêchés cette fois-ci. Nous devons retourner à l'église. L'audi... Cet auditorium a été déjà loué. C'est avec un peu de difficultés que nous l'avons, mais nous...                   

3.         Frère Joseph et moi, nous en parlions aujourd'hui. Il fait des préparatifs pour une autre réunion, très bientôt, aussitôt que nous pourrons revenir de là où nous allons commencer maintenant. Nous devons aller à Hot Springs, à Little Rock, et à - de là à Shreveport, à Lubbock, au Texas, à Phœnix, en Arizona, à Los Angeles, à Tacoma, à Washington. Et ensuite, de là à Calgary, à Edmonton, Grande Prairie, à Dawson Creek, et puis, peut-être à la - à la conférence d'outre-mer. Si nous pouvons revenir en ce moment-là...       

            Naturellement, je pense que tout le monde sait qu'un petit enfant va naître chez nous très bientôt et que cela devra avoir lieu au mois de mars ou plutôt de mai. Et nous sommes... J'aimerais être à la maison en ce temps-là.             

            Eh bien, aussitôt que ça sera passé, Dieu voulant, je - je dois retourner outre-mer. Je... Il y a simplement quelque chose dans mon cœur, je n'arrive tout simplement pas à m'y dérober. Chaque jour, j'essaie de me consoler en disant : " Dis donc, Billy Branham, tu dois rester à la maison. Voyez ? Tu - tu as... " Mais quelque chose au fond de moi dit : " Non. " Et - et je - je n'y peux rien.       

            Je voudrais juste vous montrer quelque chose, mes amis, si vous pouvez comprendre. Chicago... Nous allons juste prendre Chicago, disons que tout ceci, ce sont les Etats-Unis, ici même. Et c'est l'un des meilleurs endroits. Je n'ai rien contre un quelconque endroit. Ils sont tous beaux. Partout où je vais, les gens m'aiment, et avec un accueil aussi chaleureux que celui que vous m'avez réservé il y a quelque temps. Je... Du fond de mon cœur, je suis ému. Oh ! la la ! Je souhaiterais simplement m'asseoir avec vous, rester pour toujours ; mais je ne saurais le faire. C'est... Nous... Je ne suis pas un jeune garçon, et il y a beaucoup de travail à faire, et je ne peux pas tout faire, mais je dois faire ma part. Voyez-vous ce que je veux dire ?                        

4.         Et je vais dire ceci, et je... Si j'ai tort, que Dieu me pardonne. Car je le dis de tout mon cœur. L'Amérique, la nation, sur le plan national, n'est pas prête pour un réveil. Peut-être qu'ils ont dépassé ce jour-là. Voyez-vous ?             

            J'observais frère Joseph ce matin alors qu'il cherchait à me parler, il a dit : " Eh bien, Frère Branham, quand vous reviendrez, nous allons... " Voyez ? Il peut avoir dit cela. Je ne dis pas ceci parce que mon jeune frère suédois que voici est assis à l'estrade. Non, monsieur. Mais je l'aime. Beaucoup d'entre vous savent par quoi je suis passé pour maintenir notre communion, pas à cause de lui et de moi, mais à cause du monde extérieur. Mais Joseph Boze est mon copain, mon frère en Christ. Il lui faut faire quelque chose de pire que ce qu'il ait jamais fait pour changer mon opinion sur lui. Je l'aime. Et ainsi, je - je l'apprécie. Et par lui...

            Il vient tout simplement et s'assoit chez moi, et il roule jusque là, ou il prend un avion, ou que sais-je encore. Et je... " Frère Branham... " Les petits enfants entrent dans la pièce, ils se mettent à l'entendre parler ce mauvais anglais, vous savez. Et nous... " Nous avons besoin de toi à Chicago. Ces gens-là t'aiment. Eh bien, quand vas-tu venir et tenir pour nous une autre réunion ? " Voyez ? Il s'accroche vraiment. Et vous - vous ne pouvez pas le lui refuser. Vous ne pouvez tout simplement pas...                      

5.         Vous pouvez tout simplement dire : " Très bien, Frère Joseph. Précédez. Je - je serai là. " En effet, il... - il s'accroche tout simplement jusqu'à ce que vous soyez pratiquement obligé de venir. Et alors... Mais je - je l'aime vraiment.        

            Et ce matin, nous étions assis, en train de causer. J'ai dit : " Frère Joseph... "  

            Il a dit : " Mais, Frère Branham, vous vous rendez compte... " Il a dit : " Pensez-y tout simplement. Hier soir, vingt âmes au moins ont été sauvées, a-t-il dit, ce n'est donc pas un service d'évangélisation, là. " Il a dit : " N'importe quoi dépasserait cela. Vingt personnes sont venues à Christ. "       

            J'ai dit... "Eh bien, a-t-il dit, Frère Branham, si les gens ont un réveil et qu'une personne vienne un soir, voyez combien ils s'enorgueillissent à ce sujet, et ici, il y a eu vingt cas de conversion, des gens profondément convaincus, qui sont venus en pleurant à chaudes larmes et en criant (Voyez?), après qu'ils ont vu l'œuvre du Seigneur. "    

            J'ai dit : " Oui, Frère Joseph, Dieu sait combien j'apprécie cela. Mais voyez, juste ici, on en a eu autant ici même en une soirée des services, transposez tout simplement cette réunion et tenez-la en Afrique du Sud, tenez-la en Inde, tenez-la dans les îles ou là en Amérique du Sud, savez-vous combien d'âmes seraient venues ? Environ cinq mille, peut-être vingt mille, trente mille. " Voyez-vous ? C'est la même chose, exactement la même chose.               

6.         Eh bien, à beaucoup de ces endroits, on n'a jamais entendu parler de Christ. Beaucoup de ces frères qui s'y rendent et y tiennent ces campagnes, ils vont auprès des gens qui ont une certaine conception de Christ, tels peut-être les catholiques ou les luthériens ou les autres, et ils donnent un enseignement. Mais dans les miennes, je prêche là où on n'a jamais entendu parler de Christ. Voyez-vous ? Ils doivent avoir une certaine conception de Dieu. Eh bien, le… surnaturel... Voyez-vous ?        

            Le don ne fait aucune distinction, que l'on ait jamais entendu parler de Christ, qu'on ne sache rien de la Bible. Le don discerne malgré tout, vous voyez, parce que c'est Dieu et cela... Cela amène les gens... le - le côté surnaturel, les gens se demandent : " Oh ! la la ! de quoi parle-t-il ? Comment a-t-il su qui j'étais, et ce que je... ce qui ne va pas en moi, d'où je viens, et qui - qui sont les gens de ma famille et toutes ces choses ? Eh bien, d'où cela vient-il ? " Voyez-vous ? Alors, ils voient.                      

7.         Eh bien, les frères qui se contentent de prêcher l'Evangile, ce qui est la façon originelle et merveilleuse de s'y prendre, eh bien, ils peuvent prendre ces autres choses, vous voyez, comme cela. Mais j'aime retourner à la maison et serrer la main à tout le monde, spirituellement parlant. Et en effet, j'aimerais serrer la main à tout le monde dans le naturel si je le pouvais.       

            Mais alors, dans la réunion et le merveilleux esprit... Mais j'aimerais vous poser une question. Les prédications qui ont été apportées en Amérique pendant ces dix dernières années auraient suffi pour convertir le monde entier je ne sais combien de fois pour... Vous savez cela. Considérez simplement les évangélistes qui ont parcouru tout le pays. Considérez Billy Graham, et - et Jack Schuller, et - et Jackie Birch, et oh, tous ces autres, et Oral Roberts, et beaucoup de grands évangélistes qui ont parcouru tout le pays d'un bout à l'autre, et qui ont fait un ratissage d'un bout à l'autre, à plusieurs reprises.

8.         Et quand on m'appelle, on dirait qu'une croûte s'est formée, c'est comme ça que les chrétiens sont devenus. De temps en temps, vous tirez un d'ici ou de là. Voyez-vous ? Mais on dirait que c'est arrivé à un point où on ne peut faire une percée parmi les gens d'une façon ou d'une autre.

            Les gens viennent les deux ou trois premières soirées. C'est merveilleux. Ils voient le miracle de Dieu. Ils entendent un évangéliste, un bon prédicateur comme Oral Roberts, Billy Graham, ou l'un de ces frères qui peuvent vraiment [bien] prêcher. Ils se réjouissent après quelques soirées, mais c'est tout. Et le surnaturel est à l'œuvre, le Seigneur agit, cela a semblé être bien. C'est merveilleux. Et puis ils - eh bien, très vite, cela disparaît dans l'espace d'un ou deux jours. Voyez-vous ?                                         

9.         Voyez, on dirait que… qu'il y a tout simplement quelque chose qui est au-dessus de notre chère nation... Je pense que notre civilisation a atteint le point… Dieu a fait sans arrêt la pêche à la seine et Il rassemble les chrétiens comme cela. Mais je crois que si le réveil éclate, il éclatera dans les pays des païens. Je crois cela de tout mon coeur. Voyez ? Ils ne savent rien à ce sujet. Ils ne savent rien de leur endoctrinement et de la théologie que l'on a aujourd'hui.              

            Les gens enseignent ceci et cela. Et l'un dit : " Eh bien, il faut que je voie. " Voyez, celui qui fait cela, c'est un sceptique. Il publiera cela dans un journal. Je ne suis pas contre vous. Vous êtes mes frères et mes sœurs. Mais le monde extérieur, Chicago prendra le journal : " Des phénomènes étranges, des prodiges, telles choses ont eu lieu comme cela. Ah ! ah ! ah... "             

            " Eh bien, Docteur Dupont a dit que ce n'était que de la psychologie. " Voyez ? " Eh bien, notre pasteur a dit que c'était du diable. Je n'aurai rien affaire avec cela. " Les autres, ils n'ont même pas le temps de voir aussi loin que ça : " C'est un charlatan religieux. " Voyez ? Et ils continuent comme cela... C'est ça l'attitude.          

10.       Mais étalez cette même chose dans l'un de ces journaux étrangers, toute la nation se détournera pour voir de quoi il s'agit. Voyez ? Voilà. C'est cela la différence. Voyez, ils n'ont pas été autant endoctrinés que nous le sommes tous et tout. Eh bien, ici ce soir, je vous appelle les élus. C'est vrai. Vous êtes aimables et merveilleux. Et vous m'avez aidé.

            Et vous rendez-vous compte que ce voyage en Inde, où des milliers et des milliers des gens ont reçu l'Evangile ; ils ont reçu Jésus-Christ à la fois, des gens qui étaient des païens et des idolâtres. Savez-vous que vous avez en grande partie financé cette réunion-là, vous qui êtes assis ici ce soir ? Vous l'avez fait. Je suis revenu, j'ai tenu des réunions et fait... Si seulement je peux en avoir assez pour retourner là pour donner à ces pauvres petites gens qui crèvent de faim, ces affamés qui n'ont rien à manger, et qui sont couchés dans les rues, et quelle condition, et ils ne font que mendier.              

            Et pourtant une seule chose, quand ils voient une seule chose extraordinaire de la miséricorde de Dieu, ils sortent des fauteuils roulants et s'en vont, ils jettent les béquilles. Et on parcourt la salle pour ramasser des histoires où ils... ?... gisent comme cela, comme cela. Ils - ils ont tout simplement mis cela dans des grands tas, et des choses comme cela, on les emporte, des brancards et autres. Ils n'en ont plus besoin. Quelque chose les frappe simplement et ils croient cela, ils continuent tout simplement. Voyez-vous ?                   

11.       Et c'est la raison pour laquelle, mes amis chrétiens, je vais ça et là, essayant de voir mes amis et - et... Pas pour collecter de l'argent, ce n'est pas ça. C'est pour rendre visite à mes amis. Eh bien, peut-être, ce soir si vraiment j'étais grandement dans le besoin, je pouvais aller auprès de deux ou trois personnes qui sont assises ici même dans cette assistance et elles m'enverraient en Inde. Mais ce n'est pas - ce n'est pas ainsi que je veux m'y prendre. Voyez ? J'aimerais avoir un centime de celui-ci, dix cents de celui-là, cinquante cents d'un autre. Voyez, comme cela ? Et alors tout le groupe aura eu quelque chose à faire là-dedans, et - et je prends un peu de repos après avoir été dans le champ missionnaire à l'étranger, je reviens, et je repars. Comprenez-vous ce que je veux dire ? Voyez ?         

            Et je vous aime et je... Il n'y a pas de secrets. Il n'y a rien du tout devant moi ni rien que quelqu'un voudrait avoir. Mais tout est clair. Je dis aux gens tout ce que j'ai, chaque sou que je reçois, où que cela aille. Et mes papiers délivrés par le gouvernement américain sont là. Ma banque est là, et - et ma famille est là, ma maison. Les habits que j'ai, ce sont les gens qui me les donnent, voilà donc. Je n'ai pas besoin d'argent puisque les gens m'en donnent. Je préférerais plutôt les prières que tout l'argent. Alors, cela signifie que tout l'argent m'appartient, si j'ai cela - des amis. Voyez-vous ? Et les amis de Christ sont mes amis. Et je suis l'ami des amis de Christ. Et alors, c'est ainsi que je m'y prends dans la vie.            

12.       C'est merveilleux ! Je n'échangerais pas cela contre dix milliards de dollars. Je préférerais avoir cela, oh ! la la ! Oui, monsieur. C'est mieux. Et au total, mes dépenses s'élèvent à... J'envoie des milliers de lettres par semaine et on doit acheter des tissus sur lesquels on prie, et acheter - acheter des timbres. Et on dépense des centaines de dollars par semaine, et nous les envoyons dans les champs missionnaires à l'étranger et dans le monde entier, et tout. Avec cinq agents qui travaillent à plein temps au bureau, vous rendez-vous compte de ce que c'est ? Quand je ne suis pas dans le champ missionnaire. Voilà. Ça ne fait que régresser.             

            Les gens de la banque se sont adressés à moi, disant : " C'est en ordre, Révérend Branham, si votre compte est à découvert, laissez simplement faire. Vous vous en occuperez. " Voilà ma vie... ?... Ainsi c'est... Alors cela arrange les choses. Je vis donc juste par la foi, c'est tout, juste par la foi.           

13.       Et c'est la plus grande chose que j'aie jamais connue de ma vie, c'est de vivre par la foi en notre Seigneur Jésus-Christ, sachant qu'Il m'aime et qu'Il me bénit. Et prélever de l'argent ? Si jamais j'ai pris le… un centième de l'argent qui m'a été offert, pas ce que je demande, jamais je ne… Mais avec l'argent qui m'a été offert, je serais un multimillionnaire. Vous savez quoi ? Cela vous cause des ennuis. Je préférerais y aller au jour le jour, au jour le jour, vivre simplement pour le Seigneur. Ce dont j'ai besoin pour demain, Il pourvoira à cela demain. C'est vrai.                      

            Et puis je... Voyez, si vous pouvez avoir... Alors, vous vous mettrez à placer votre confiance dans vos richesses. Alors, vous vous mettez à... Si vous avez de l'instruction, vous vous y confierez. Si vous avez beaucoup de théologie, vous vous y confierez. Je n'ai pas de théologie, pas d'instruction, pas de personnalité, pas d'argent, ni rien. J'aime simplement le Seigneur et je place en lui ma confiance en tout. C'est tout ce que j'ai. Voyez ? Je... C'est ainsi que j'aimerais vivre. C'est mon choix, vivre comme cela.               

            Eh bien, que Dieu vous bénisse. Eh bien, vous êtes un peuple très aimable, ici à Chicago. Et maintenant, vu qu'il nous faudra peut-être encore quelques soirées là, notre auditorium ici… Nous... Quelqu'un en a parlé avant nous. Et c'est juste... C'est ce qu'on mérite. Il... Nous ne voulons pas faire des compromissions.             

14.       Mais maintenant, nous aimerions, ces quelques prochaines soirées si nous le pouvions, au lieu de prêcher, j'aimerais tout simplement faire quelques petites déclarations sur la Parole, et ensuite faire passer la ligne de prière tant que je serai en mesure de tenir debout. Voyez ? En effet, je reçois beaucoup de lettres. Les gens d'ici disent : " Nous - nous ne pouvons pas rester plus longtemps, Frère Branham. "                

Eh bien, il est impossible de savoir pour qui on va prier le soir. Comment saurais-je le nombre de ceux qui vont être guéris ce soir, alors qu'à ma connaissance je ne connais aucune âme vivante ? Je ne vois personne dans l'assistance que j'ai déjà vu auparavant, à ce que je sache. Je connais certains de ces garçons qui sont assis ici. Voyez ? Certains d'entre eux viennent de, eh bien, de mon église là à Jeffersonville, ce sont mes amis, mes amis personnels. Et... Mais je ne connais personne là-bas.               

            Eh bien, comment puis-je savoir là où l'Ange du Seigneur va être suspendu ce soir pour montrer une vision sur quelqu'un dont je ne sais rien ? Eh bien, cela... Billy Paul, je... Il va venir cet après-midi, ou plutôt ce soir, pour distribuer des cartes, et je pense qu'il l'a fait. Il distribue probablement une centaine de cartes. Elles sont là. Tout ce qu'il peut faire, c'est simplement les mélanger et vous les donner. Et il - il ne sait pas où les - les cartes de prière, ou plutôt à partir de quel numéro on va appeler. Moi, non plus. Je ne sais même pas si oui ou non on en appellera une. Voyez-vous ?                         

15.       Et - et, ça ne change rien, qu'on ait une carte de prière ou pas. Tout ce que je cherche à faire, c'est de vous amener à croire au Seigneur Jésus-Christ, et Il vous guérira. Vous n'êtes pas tenu d'avoir une carte de prière. Si vous remarquez bien, il y a plus de gens guéris là dans l'assistance qu'il y en a parmi ceux qui viennent sur l'estrade. Mais je...  Mais cela diminue vraiment ma force.                    

Eh bien, l'autre jour, j'ai appris que quelqu'un qui me connaissait très bien, a dit que, le fait que je m'affaiblis, et que je deviens faible, ce n'était qu'une imposture. Eh bien, que Dieu pardonne l'homme qui a dit cela. Voyez ? Car il ne savait pas de quoi il parlait. C'est tout. Il ne le sait pas. Et ce n'est pas le cas, mes chers bien-aimés amis.

16.       Quant à ma condition physique, je remercie Dieu pour la bonne santé, je suis très fort. Et je suis un chasseur et je vis dans les montagnes et dans les bois, et par la grâce de Dieu, j'en suis un très bon. Et ainsi donc, j'ai fait l'équitation et des choses comme cela toute ma vie, et j'ai été un très bon travailleur toute ma vie. Pour ce qui est de ma condition physique, tout va bien. Mais juste... Je peux me tenir ici et vous prêcher toute la nuit, continuer à prêcher. Mais que l'une de ces visions se produise, alors vous devez pratiquement être prêt à me transporter pour me faire partir de l'estrade. Voyez ? C'est simplement... Cela m'affaiblit. Pourquoi ? Je ne sais pas. Mais l'Ecriture dit que cela se fera, et ça se fait. C'est tout ce que je sais.                           

17.       Ainsi, que le bon Dieu vous bénisse maintenant. Je vais lire deux passages des Ecritures ici, juste pour une petite pensée, ou plutôt un petit entretien, peut-être de pas plus de quinze minutes, ensuite appeler la ligne de prière, afin que nous ne vous gardions pas jusque très tard la nuit.  Eh bien, l'un d'eux, parle de... Les deux passages se rapportent aux noms rédempteurs de Jéhovah. Et l'un d'eux se trouve dans Genèse 22, verset 7 :        

Alors Isaac, parlant à Abraham, son père, dit : Mon père ! Et il répondit : Me voici, mon fils ! Me voici. Isaac reprit : Voici le feu et le bois, mais où est l'agneau pour l'holocauste ?

Abraham répondit  : Mon fils, Dieu se pourvoira lui-même de l'agneau pour l'holocauste. Et ils marchèrent tous deux ensemble.

            Et au verset 14 nous lisons :

Abraham donna à ce lieu le nom de Jéhovah-Jiré. C'est pourquoi l'on dit aujourd'hui : A la montagne de l'Eternel il sera pourvu.

            Et puis, là dans les Psaumes, Psaumes 64 [Psaumes 46 - N.D.T.], verset 1 il est dit :

Dieu est pour nous un refuge et un appui, un secours qui ne manque jamais dans la  détresse.

18.       Eh bien, d'ici nous aimerions faire nos commentaires. Et maintenant, j'ai écrit sur cette enveloppe que j'ai amenée : " Les sept noms composés de Jéhovah. " En d'autres termes, ce que Jéhovah est, cela se trouve dans Ses sept noms rédempteurs.                         

            Eh bien, Dieu... Son attitude envers les gens depuis l'Eden, depuis là en Eden est contenue dans ces sept noms rédempteurs. Le premier, c'est Jéhovah-Jiré, qui signifie : "L'Eternel se pourvoira d'un sacrifice." Le deuxième, c'est Jéhovah Rapha : "L'Eternel, le Guérisseur." Manassé : "Notre Bannière." Shalom : "Notre Paix." Rohi : "C'est le Berger, notre Justice." Et Sham, "L'Eternel est présent."                       

            Eh bien, l'Eternel Shammah, S-h-a-m-m-a-h, Shammah, c'est celui dont je vais parler à partir du - du Psaume 64 [psaume 46 - N.D.T]. Et Jéhovah-Jiré est le premier, et celui-ci est le dernier. Jéhovah-Jiré, c'est "l'Eternel se pourvoira d'un sacrifice." Jéhovah Shammah, c'est "Jéhovah est présent." Maintenant, que le Seigneur ajoute Sa bénédiction à ceci comme nous parlons pendant quelques instants.           

19.       Maintenant, Jéhovah-Jiré. Quand Dieu est apparu à Abraham, Il... Le premier nom sous lequel Il lui est apparu, se trouve là dans Genèse 22, là où Il lui est apparu sous le nom de Jéhovah-Jiré.                      

            Eh bien, Abraham avait reçu de Dieu la promesse qu'il aura un fils qui sera son héritier. Et par cette semence, Sa semence, il serait l'héritier de la terre. Et à travers le fils d'Abraham, qui était Isaac, à travers Isaac, Jésus est venu et Jésus a fait entrer - a introduit les Gentils, c'est Lui qui pardonne toutes les races : le Blanc, le Brun, le Jaune, le Noir, tout le monde, et Il les rachète pour montrer que c'était le dernier âge. C'est tout. Il n'y aura plus d'autre âge après celui-ci. Ceci sera le dernier âge où Dieu traitera avec des gens en tant que mortels.                  

20.       Et si on avait eu un réveil avant la destruction antédiluvienne, avant la venue de Christ, si on avait eu un grand réveil, eh bien, qu'en est-il de l'accomplissement de tout cela ? Que se passera-t-il ? Considérez l'époque des apôtres... ?... depuis le début de l'âge des Gentils. Considérez quel réveil ils ont eu. Comment les gens venaient de chaque nation, et il se produisait des miracles. Considérez l'époque de Noé. Eh bien, ceci est le temps de la fin, juste à l'ombre même de la venue du Seigneur Jésus.            

            Il y a de bonnes nouvelles à annoncer ici. Leo, avez-vous tous apporté ce film ? L'avez-vous apporté ? J'ai un film qui m'a presque reconverti. Et on va le projeter ici dimanche après-midi, c'est ça ? [Un frère dit : " On ne s'est pas encore décidé là-dessus, Frère Branham - N.D.E.] Toutefois, ils vous annonceront quand ce sera projeté. Je ne voudrais pas que vous manquiez de voir cela. Et c'est l'un de mes propres films. Un homme me l'a donné, frère Arganbright, le - l'un des représentants des Hommes d'Affaires Chrétiens. Et il m'a donné ce film parce que j'ai beaucoup aimé cela. Et je n'ai pas de projecteur pour le projeter. Ainsi, j'aimerais le revoir moi-même. C'est sur le retour des Juifs en Palestine, deux érudits parlent à bord d'un avion, et vous allez certainement aimer ce film, et de les voir.                        

21.       Et chaque prophétie, tout ce que je sais, que je vois dans les Ecritures, est déjà accompli, on attend la Venue du Seigneur. Et comme je l'ai dit hier soir, je crois que la Venue du Seigneur Jésus, la seconde Venue, le temps où cela devait avoir lieu est déjà passé, ce temps est déjà passé. Et comme il en était du temps de Noé, la patience, Dieu attendait, ne voulant pas qu'aucun périsse. Et Il attend simplement, Il attend maintenant dans Sa patience, si bien que le temps de Sa Venue est déjà passé, Il attend que l'Eglise soit en ordre pour que la seconde Venue ait lieu. Qu'en pensez-vous, ami ?                        

Quel genre de personnes nous devrions être, de réaliser que ce jour peut être le dernier jour où nous sommes encore des mortels ? Il se peut que demain nous soyons immortels. Il se peut que celui-ci soit le seul jour que nous ayons, dans  notre vie, la dernière réunion où nous puissions jamais être ensemble, et travailler pour le Royaume de Dieu. Comment cette réunion devrait-elle donc être conduite ce soir ? Avec le plus grand respect, afin que de tout notre cœur, nous comptions sur le Seigneur Jésus pour qu'Il nous donne chaque âme qui est ici, et qui n'est pas convertie, qu'Il aide à faire quelque chose qui amènera l'incroyant et le tiède à considérer et à recevoir le Seigneur Jésus-Christ.

22.       Ce serait de l'égoïsme, si le cœur d'un homme n'aspire pas à sauver son frère. Quelque chose cloche dans son cœur. Quoi qu'il en soit, que son frère le haïsse, que son frère soit contre lui, que son frère ait tenté tout son possible pour le tailler en pièces, le cœur de cet homme battra cependant pour son frère. Il n'y peut rien. Quelque chose là-dedans crie : " Oh ! mon frère, tu es dans l'erreur. Mais je - je veux que tu sois sauvé." Et par conséquent, vous essayez de tout votre être d'amener votre frère à croire de tout son cœur et à entrer dans le Royaume de Dieu.

            Et maintenant, c'est là le genre de réunion que nous aimerions tenir chaque fois. J'ai prêché à - à des centaines de milliers de gens. Et j'ai prêché à quatre ou cinq personnes seulement. Mais je ne pourrais pas être plus sincère avec cinq cents mille personnes qu'avec cinq personnes, car pour Dieu, une seule âme vaut dix mille mondes.                                 

23.       Eh bien, pour que la rédemption ait lieu, le Seigneur Jésus-Christ devait venir. Avant que le Seigneur Jésus vienne, Dieu bien avant dans le passé... Cela... Pour moi, cela rend la Bible très parfaite. Dieu, là dans le passé, avant même que le Seigneur Jésus vienne, pendant quatre mille ans, tout ce qu'Il a fait tout au long de la Bible représentait le Calvaire.

Pensez-y tout simplement, tout dans l'Ancien Testament pointait droit au Calvaire. Tous les plans de la rédemption, tous les noms, tous les symboles, toute l'adoration, tout le tabernacle, tout le bois, toutes les choses dans le tabernacle, tout parlait de Christ. Où que vous alliez, quoi que vous fassiez... Autrefois, Dieu était là dans ces prophètes hébreux et les autres, parlant et parlant de ce temps de la perfection où Jésus viendrait pour amener les croyants à la perfection. Pensez simplement à ce que cela signifie, mes amis.                     

24.       Pouvez-vous vous arrêter juste un instant ? Je - je souhaiterais que Dieu ouvre nos yeux ce soir. Voyez-vous ? Nous sommes - nous sommes vraiment... Mon ami, je - je désirerais, si je savais que je pourrais vivre plus  longtemps et que je vivrais tout mon temps normal, je préférerais venir sous l'onction de Dieu et ne jamais quitter cela jusqu'à ce qu'Il me ramène à la maison. Voyez ?            

Voir comment cela a agi, et - et des choses qui ont... Quel monde différent ! Quelle inspiration différente ! Quand vous vous retrouvez sous cela, vous trouvez des choses que vous - vous... Les choses n'ont pas l'air correct. Il n'est pas étonnant que cela rende votre cœur... Eh bien, quand vous êtes là haut, vous... vous pourriez déplacer les montagnes. Ou quand vous êtes ici en bas, vous vous sentez très bien. C'est quand on est entre les deux, c'est ce qui fait cela. C'est là que… On dirait que vous retombez simplement sur la terre.                                    

25.       Et vous venez d'une dimension surnaturelle vers une dimension naturelle pour devenir l'homme mortel une fois de plus. Eh bien, vous êtes un mortel tout le temps, mais votre âme a été tellement ointe de quelque chose. Cela vous a élevé très haut au-dessus de la chose. Ici, vous êtes dans une dimension où le monde ne sait rien. Il n'est pas besoin d'essayer d'expliquer cela.                                        

            Et nous... Je dis ce soir que, comme nous sommes assis ici maintenant, nous sommes tout simplement aveuglés aux choses de Dieu. Je pense que si nos yeux pouvaient s'ouvrir ce soir et regarder par-dessus cet auditoire-ci, ils verraient les Anges de Dieu se tenant ici tout autour, les regards baissés sur cet auditoire en cet instant, peut-être volant de part en part à travers l'assistance ici, des chérubins venant du trône de Dieu, se tenant tout près, peut-être se tenant tout autour de cette estrade, des êtres angéliques planant ici.                               

26.       Oh ! vous dites : " Prédicateur, vous divaguez. " Non, je ne divague pas. Voyez-les se mettre à l'œuvre dans quelques minutes et vous saurez s'ils sont ici ou pas. Voyez ? Vous... Ils confirment cela par leur présence ici.                                          

            Vous dites : " Eh bien, s'Ils étaient ici, nous Les verrions. " Oh ! non. Vous pouvez être totalement aveugles à cela.

            Elie, lorsqu'il était là à Dothan, il a prié Dieu d'ouvrir Guéhazi, ou plutôt d'ouvrir les yeux de son serviteur (Je ne me rappelle pas maintenant si c'était Guéhazi ou non. J'ai fait allusion à cela à deux ou trois reprises, j'ai vérifié cela. Je suis... Nous voyons cela dans les Ecritures. Je ne sais pas si oui ou non c'était Guéhazi.) Mais lorsqu'il a demandé à Dieu d'ouvrir les yeux de l'autre afin qu'il puisse voir, voici des Anges étaient tout autour. Les montagnes étaient en feu et il y avait des Anges de feu et des chars de feu. Voyez ? Ils étaient juste autour de lui.

27.       Et remarquez. Eh bien, Elie s'est avancé là et a frappé ces Syriens de cécité. Quel genre de cécité était-ce ? Ils n'étaient pas aveugles, juste naturellement aveugles, physiquement aveugles. Ils étaient spirituellement aveugles. En effet, il s'est avancé là, il leur a demandé, disant : " Cherchez-vous Elie ? "

            Ils ont répondu : " Oui, nous le cherchons. "

            Il a dit : " Venez ici et je vous montrerai où il se trouve. " Et Elie les a conduits et les a amenés droit dans l'embuscade de - de - de l'armée de Palestine, là, et ceux-ci sont sortis en courant et les ont pris vraiment au piège, comme cela. Et ils étaient aveugles. Ils ne savaient pas que c'était Elie, et c'était Elie lui-même qui les conduisait.       

            Ne croyez-vous pas que ce soir nous sommes - nous pouvons être spirituellement aveugles vis-à-vis des choses qui sont autour de nous ? Regardez ceux qui allaient à Emmaüs. Leurs cœurs étaient pleins d'amour. Assurément, ils aimaient le Seigneur Jésus. Ils allaient le long du chemin, disant : " Oh ! si seulement nous avions... Oh ! si je... Si nous pouvions tout simplement Le voir une fois de plus. Le voilà, Il est mort. Nous espérions en Lui. Ce dimanche matin et on nous raconte toutes sortes d'histoires à dormir debout. " Et ils allaient le long du chemin, et le Seigneur Jésus Lui-même S'est avancé.

            Il a dit : "Pourquoi êtes-vous inquiets ? "

28.       Ils ont dit : "Etes-vous un étranger ? " Voyez-vous là ? Aveugles ? Ils ont demandé : " Etes-vous un étranger ? " Ils ont marché avec Lui, ils ont mangé avec Lui, ils ont dormi avec Lui pendant trois ans et six mois, ils marchaient à Ses côtés mais ne le savaient pas. Ils ont marché là, ils ont dit : "Es-tu juste un étranger ici ? " " Eh bien, dirent-ils, mais ne vous... Nous espérions que Jésus de Nazareth viendrait - était venu et... ?... Ce serait Lui qui délivrerait Israël et toutes ces choses."          

Et Jésus a dit : " Vous insensés et lents de cœur à savoir ce que le prophète a dit. " Il S'est référé aux Ecritures. On dirait qu'après avoir suivi Son enseignement pendant 3 ans et 6 mois, ils auraient dû reconnaître Son enseignement. Mais ce n'était pas le cas.

Et Il a avancé et a alors fait comme s'Il continuait son chemin au moment où ils entraient dans l'hôtel pour y rester toute la nuit. Ils se sont arrêtés dans un petit hôtel et le... ils... Il se rendait dans la salle à manger pour manger, alors ils ont dit : " Eh bien ", Il a fait comme s'Il continuait son chemin. Il a dit : " Ne voudriez-vous pas entrer avec nous ? "   

29.       Et Il a dit : " Eh bien... Eh bien… " peut-être quelque chose comme cela, Il est entré. Et le serveur s'est approché, et il leur a donné le menu, ils ont parcouru cela. Ils ont commandé le repas pour - pour leur souper. Et lorsqu'ils étaient assis là à la table, Jésus a dit : "Eh bien, Je crois que ç'a assez traîné, alors... " Il a tout simplement pris le pain, l'a béni, a prié et Il leur a ouvert les yeux.

Alors ils ont regardé et ont dit : " Eh bien, c'était Lui tout le temps ! " Et Il a directement disparu de devant eux. Voyez-vous ce que je veux dire ? Oh ! j'aimerais tout simplement que cela entre profondément jusque là où vous pourrez réellement vous en rendre compte. Voyez ?

Eh bien, chaque soir, vous Le voyez à l'œuvre, en action. Eh bien, Il est ici. Certainement qu'Il est ici. Toutes les preuves sont là pour l'attester. L'Ecriture déclare qu'Il ferait ces choses. Et Le voici en action ici sur la terre aujourd'hui, Il l'a fait au cours des âges, Il se meut juste parmi nous et fait des choses qui nous émerveillent.

30.       Avez-vous remarqué... Avez-vous déjà vu quelqu'un échapper à un accident, quelqu'un qui a failli être tué ? Il fait : " Ouf ! Oh ! la la ! comment est-ce possible ? C'était la main du Seigneur. " Voyez ? Il... Dieu est ici et là.

Il  y a quelques temps, une femme m'a dit, elle a dit... Elle venait d'être guérie à un endroit. Elle avait d'abord la tuberculose, et - et ensuite elle n'avait pas... Elle a grandi dans une église qui ne croyait pas au baptême. Et elle a dit : " Je pense que le fait que j'ai été aspergée, c'est en ordre. " Ou le fait qu'on lui a déversé ou je ne sais quoi qu'on lui avait fait. Et elle a dit : " Je pense que c'était en ordre. " J'ai dit : " C'est votre affaire. " Et j'ai dit : " Mais je crois au baptême par immersion. " Et il a dit... Elle a dit : " Eh bien, je ne pense pas... " Et elle a dit : " Je conçois bien le point de vue de frère Billy, a-t-elle dit, mais je n'accepte pas cette idée qu'il faille aller dans ce baptistère pour être baptisé ; je ne pense pas que ce soit obligatoire, a-t-elle dit, après que j'ai déjà été aspergée ", ou quoi que ce fût. Elle a dit : " Je ne pense pas que cela soit obligatoire. "

31.       Alors, il n'y avait pas de problème pour moi, si elle trouvait que c'était en

ordre. Je ne peux lui dire que ce que je vois dans les Ecritures. Elle est partie et elle est retombée malade. Et une énorme grosseur s'est formée sur son épaule ici, et elle faisait 40 degrés de fièvre. Elle a juste porté son - son peignoir et elle est venue là pendant que je prêchais. Elle a dit : " Frère Branham, maintenant même s'il vous plaît. " Elle a dit... Je l'ai baptisée sur-le-champ.

Elle était là à la rivière environ un mois après cela. Il y avait là une femme âgée assise au bord de la rue, et cette dernière lui a tendu la main. Elle a dit : " Gentille dame, voudriez-vous me donner dix cents pour acheter quelque chose à manger ? " La pauvre vieille était assise là, tremblotante, son visage était tout décharnu. 

Eh bien, elle a regardé dans son porte-monnaie et il n'y avait que dix cents. C'est ce que coûtait la traversée de la rivière. Elle ne savait donc pas comment elle retournerait à moins qu'elle traverse le pont à la marche. Et les dix cents étaient pour le bus… pour elle, et ses fillettes qui marchaient avec elle. Elle descendait la rue, et le Saint-Esprit lui a parlé, disant : " Pourquoi ne lui as-tu pas donné ces dix cents ? Moi, J'ai donné tout ce que J'avais pour toi. " Voyez ?

32.       Elle a dit : " Oui, Seigneur. " Elle est directement rentrée et elle a dit : " Madame, pardonnez-moi. " Elle a dit : " Je suis une chrétienne. " Elle a dit : " Le Seigneur m'a parlé. " L'autre a dit : "Que Dieu vous bénisse, chérie. " Et elle lui a donné les dix cents, et elle a continué à descendre la rue. Elle a dit : " Je sais. Je peux traverser le pont à la marche, c'est seulement un mile[1,609 km - N.D.T.]. Je vais donc le traverser à pieds. Il n'y a pas de quoi. " Elle commençait à descendre là où était l'arrêt de bus.

La fillette a dit : " Maman, regarde là. " Les dix cents gisaient là dans la rue. Voyez ? C'est - c'est donc le Seigneur. Ne croyez-vous pas cela ? Voyez ?

            Eh bien, quand Il est apparu à Abraham sous la forme de... Il a dit : " Maintenant, Abraham, Je te donne ce petit garçon Isaac ", juste un petit garçon doux, d'environ seize ans. " N'en parle pas à ta mère, mais je voudrais que tu... Je ferai de toi une grande bénédiction à partir de ce garçon. Je bénirai toutes les nations. Je te l'ai promis voilà maintenant vingt-cinq ans. Et tu as attendu jusqu'à ce qu'Isaac soit né. Maintenant, Je t'annonce ce que Je veux que tu fasses d'Isaac. Je veux que tu l'amènes là-haut et que tu le tues. Eh bien, va à - là dans les montagnes à l'endroit que Je t'indiquerai, et alors, tue-le là-bas. "

33.       Eh bien alors, Abraham n'a donc pas posé des questions à Dieu. Il savait que Dieu avait promis que par ce jeune garçon Il bénirait toutes les nations. Et si Dieu allait les bénir, qu'il soit mort ou vivant, Il le ferait. C'est tout. Et cela devait venir par là ; Dieu était donc capable de tenir Sa promesse.

Alors, il s'est levé le lendemain matin, il a pris quelques serviteurs et a scellé un petit mulet. Et lui, et le jeune garçon, et les serviteurs, ils sont allés, et là très loin, à trois jours de marche. Pensez combien l'endroit devait être éloigné, là très loin dans le désert. Et alors, ils ont levé les yeux et ont vu une montagne là très loin. Alors, ils se sont rendus à cette montagne, et il a dit aux serviteurs : " Maintenant, surveillez ce petit mulet, car le jeune garçon et moi, nous allons gravir cette montagne, et nous allons adorer. Puis Le jeune garçon et moi, nous reviendrons. Le jeune garçon et moi, nous reviendrons. " Il allait là pour le tuer. Comment allait-il le faire ? Il ne savait pas, mais Dieu avait fait la promesse. D'une façon ou d'une autre... Voyez ?

            Dieu laisse parfois Son serviteur arriver jusqu'à la dernière étape, et alors Dieu entre en scène. N'aimez-vous pas ça comme ça, juste voir ce moment crucial ?

C'est comme le... les enfants hébreux et la fournaise ardente, lorsqu'ils sont arrivés à la dernière étape de la route, là est apparu quelqu'un qui ressemblait au Fils de Dieu. Est-ce vrai ?

34.       La femme qui avait la perte de sang avait dépensé tout son argent, tout ce qu'elle avait, et les médecins n'arrivaient toujours pas à la soigner. Et elle avait probablement hypothéqué sa maison, ou l'avait vendue, elle avait vendu les chevaux, et les... tout. Il ne lui restait rien. Elle avait dépensé tout son argent chez les médecins, et les médecins avaient essayé de la soigner, sans y parvenir. Et alors à ce moment crucial, Jésus vint. C'est bien Sa manière d'agir, n'est-ce pas ?

            Il y eut le petit Jaïrus, il croyait secrètement dans son cœur. Il avait envoyé chercher le médecin, et le médecin avait fait tout son possible. Et - et juste alors, sa fillette mourut, et on l'avait étendue là. Tout... A l'heure la plus sombre qu'il eût jamais connue, c'est alors que Jésus vint, juste à ce moment crucial.

            Marie et Marthe, après qu'elles avaient quitté l'église, et Lazare aussi, et ils avaient cru en Jésus et Jésus s'en était allé et les avait laissés en détresse, quand le jeune homme était malade. Et alors, c'est au moment où le jeune homme est tombé malade, que Jésus est parti. C'était horrible. Ils L'ont envoyé chercher, Il ne voulait pas venir. Il est allé plus loin. Et elles L'ont encore envoyé chercher ; Il ne venait toujours pas, et ça s'empirait toujours. Et ensuite, après que tout espoir était perdu, alors Lazare mourut. Il était enseveli depuis quatre jours, il se décomposait déjà. Et à l'heure la plus sombre, lorsque tout espoir était perdu, tout le reste, alors Jésus vint juste à ce moment-là. Voyez ?

35.       Ici, Ses disciples allaient à Emmaüs, tout espoir perdu. Leur Maître était mort et tout, ils marchaient le long du chemin, découragés, rentrant chez eux, retournant à leurs filets de pêche, et n'importe où qu'ils allaient. Alors, Jésus est venu. Voyez ? Juste comme cela. C'est ainsi que Dieu s'y prend.

            Eh bien, là très loin, et alors, ils avaient juste peut-être... ils avaient probablement pris quarante-cinq minutes, ou une heure pour gravir cette colline. Eh bien, Jésus devait venir de quelque part très rapidement... En effet, Abraham avait le couteau sur son côté. Isaac portait le bois sur son dos. Il amenait du feu dans ses mains, et il gravissait la colline pour tuer son propre fils, parce que Dieu le lui avait dit ; Il lui avait dit aussi qu'Il bénirait toutes les nations par ce fils. En donnant la promesse...

36.       D'abord il a dû attendre vingt-cinq ans pour avoir ce fils, et maintenant il devait faire volte-face pour le tuer, voyez, rendant la promesse fausse. Dieu a dû mettre Abraham à l'épreuve. Nous ne comprendrons jamais l'épreuve qu'Abraham avait endurée, jusqu'à ce que nous le verrons dans la gloire.

            Et alors au sommet de la colline, alors, il est monté là et il a dressé l'autel avec des pierres. Et - et Isaac a demandé : " Père, a-t-il dit, voici le... " Le petit Isaac a dit : " Voici le - le feu et voici le bois. " Il a dit : "Mais où est le sacrifice ? " Voyez ?         

            " Eh bien, a-t-il dit, mon fils, Dieu Se pourvoira Lui-même d'un sacrifice. " Voyez ? Et alors, il a dit : " Dieu pourvoira d'un sacrifice. " Il a donc lié les mains du petit Isaac, il l'a jeté sur l'autel, et il a tiré le couteau. Et je me représente ce vieux papa avec son fils unique qu'il aimait... ?... a fait. Il avait plus de cent ans alors, et sa main posée sur les - sa chevelure, alors qu'il renvoya sa petite chevelure en arrière pour lui enfoncer ce grand couteau dans la poitrine, dans le cœur même de son être, un signe que Dieu était dans Abraham. Avez-vous remarqué cela ?

37.       Considérez David quand il a été détrôné par son propre peuple. Il a gravi le Mont des Oliviers, regardant en arrière et pleurant parce qu'il était rejeté. Son propre fils qu'il aimait, Absalom, l'avait chassé du trône. Et là, l'homme même de confiance lui jetait des pierres. Et il gravissait la colline, il regardait en arrière vers Jérusalem, et pleurait parce qu'il était rejeté.

            Huit cents ans plus tard, le Fils de David, Jésus-Christ, rejeté de la ville de Jérusalem par ceux qu'Il aimait, pleura sur Jérusalem. C'était Christ dans David.

            Toutes les anciennes choses de l'Ancien Testament, nous pourrions simplement passer des heures à démontrer comment tout cela se rapportait à Jésus-Christ, tout se rapportait à Lui. Et en Lui repose la plénitude de la rédemption. Et en Lui se trouve chaque nom rédempteur de Jéhovah, ça repose bien en Lui. Tout le salut repose bien en Lui. Toute la délivrance est bien en Lui. Toute paix, toute satisfaction.

38.       Les biens du monde ne peuvent jamais vous procurer la satisfaction. Le fait d'être membre d'une église ne peut jamais vous procurer la satisfaction. Vous ne serez jamais satisfait avant de trouver satisfaction en Jésus-Christ, le Fils de Dieu. C'est la seule façon dont vous pouvez jamais être satisfait. Eh bien, Il est venu apporter la perfection.          

            Eh bien, quand il a dit... Et considérez Abraham un peu plus longtemps. Et quand il était sur le point d'enfoncer ce grand couteau dans le cœur de son fils pour le tuer, car Dieu... L'Ange du Seigneur a parlé d'en haut et lui a dit : " Abraham, retiens ta main. " Et s'étant retourné, il vit un petit bélier retenu dans les lianes par les cornes, sur cette colline-là. D'où venait ce bélier ?         

39.       Eh bien, d'abord, il était éloigné de la civilisation, à une distance de trois jours de marche, à environ cent miles. [160,9 km - N.D.T.] Et ensuite, il était là loin au sommet de la montagne, là où il n'y a pas de ruisseau pour l'abreuver, pas de nourriture, là au sommet de la colline. Et c'était impossible qu'un bélier se retrouve là haut ; d'abord c'était trop éloigné de la civilisation. Ensuite, c'était au sommet de la montagne.            

            Et Abraham prit le bélier, délia son fils, lia le bélier et offrit le bélier en sacrifice. Et remarquez, ce n'était pas une vision. Le sang a giclé du bélier. Qu'était-ce ? C'était en type, Dieu amenant Christ à l'existence par la Parole. Et on a ôté la vie au bélier, et il est mort, juste au même moment : Jéhovah-Jiré, l'Eternel Se pourvoira d'un sacrifice. Quel que soit le moment où Dieu est pris au mot, Il est là pour accomplir Sa Parole : Jéhovah-Jiré.

 Juste encore une petite chose.         

40.       Eh bien, l'Eternel est pour nous un refuge et un appui, un secours qui ne manque jamais dans la détresse. Et parmi ces noms  rédempteurs, il y a S-h-a-m-m-a-h, Shammah,  "l'Eternel est présent". Eh bien, Jéhovah-Jiré, Il pourvoira. Jéhovah, celui qui pourvoit, est présent. Saisissez-vous ce que je veux dire ? S'Il est le Sacrifice auquel l'Eternel a pourvu, alors Il doit être l'Eternel Dieu qui est présent au temps où on a besoin de secours, où on est dans le besoin. Voyez-vous ce que je veux dire ?          

Eh bien, s'Il est ici ce soir pour sauver tout le monde du péché, Il doit être présent ce soir pour manifester les autres noms rédempteurs. Il est Jéhovah-Jiré, Jéhovah Rapha, Jéhovah notre... Il est Jéhovah, le Sacrifice auquel il a été pourvu pour nous, notre Guérisseur, notre Bannière, notre Paix, notre Berger, notre Justice et Sa Présence. Il doit être tout cela maintenant même. Et la dernière chose…  

41.       Au dernier de Ses noms rédempteurs dans lequel Il est apparu à Abraham, Il a dit : " Je - Je suis Jéhovah Rapha, Celui auquel il a été pourvu pour pourvoir à un sacrifice, pour pourvoir à une voie. " Quelle que soit la chose, Dieu y pourvoira. "Et Je suis Jéhovah qui te guérit. Je suis ta Justice. Je suis ta Paix. Je suis ton Bouclier. Je suis ta Bannière. Je suis toujours présent pour accomplir cela ". Amen. Voyez-vous ce que je veux dire ? Toujours présent pour accomplir cela. "Moi, l'Eternel, Je l'ai déclaré. Moi, l'Eternel J'ai planté cela. Je l'arroserais jour et nuit de peur que quelqu'un ne l'arrache de Ma main. "                          

            Juste une petite histoire personnelle. Car, si je reste plus longtemps ici, je me mettrai alors à prêcher, peut-être que la ligne de prière ne se tiendrait pas comme il faut. Remarquez, juste un instant. Cette Ecriture a eu une grande signification pour moi une fois, plusieurs fois. Mais il y a une fois où c'était particulier, et j'aimerais attirer votre attention sur ça.                     

            C'était l'année où je m'étais marié. Après avoir perdu ma première femme, j'étais donc resté célibataire pendant environ cinq ans. J'ai épousé la charmante jeune fille que j'ai maintenant, ma femme.     

42.       Et nous étions pauvres, et je l'ai épousée juste au moment où j'avais assez d'argent pour prendre mes vacances, avec environ vingt dollars, pour aller dans les montagnes, pour une partie de chasse. Alors, c'était nos vacances et en même temps notre lune de miel. Elle avait donc épousé quelqu'un qui aime la chasse. J'aime les montagnes. J'aime le grand air.       

            A propos, une dame m'a envoyé des appâts artificiels que son mari a fabriquée. Si vous êtes ici, sœur, j'aimerais vous remercier pour cela. Je les utiliserai certainement, Dieu m'aidant.

Eh bien, j'aime le grand air, car on se retrouve seul ; c'est alors que je me charge pour venir me décharger quand je reviens. Eh bien, nous sommes allés là dans les Adirondacks. Et j'étais censé chasser là cette année-là en compagnie du garde forestier. Ainsi, j'aime chasser l'ours parce que c'est très - il faut beaucoup d'habilité pour le faire. Et je...          

43.       Ce qui explique cela, c'est le fait que mon grand-père était à mon avis, le meilleur chasseur qui ait jamais vécu dans les contrées du sud. Et il - il a tendu des pièges et il a chassé toute sa vie ; il était un instituteur intelligent et il était à moitié Indien. Et il - il aimait tellement les montagnes qu'il ne pouvait pas rester loin d'elles. Eh bien, c'est exactement ce que... je pense que tout cela a été déversé en moi. Et je - j'aime cela. Et j'aime bien les montagnes, je m'y sens à l'aise. Et un - un homme peut arriver à un point où il sent que rien ne lui manque, avec des choses comme cela.        

            Ainsi donc, là dans les Adirondacks, le garde forestier n'était pas là, il allait être absent deux ou trois jours. Et il n'y avait pas... il n'y avait pas beaucoup d'orage pour forcer les animaux à descendre. Ainsi, je suis allé là et nous avons construit un petit appentis, et j'ai amené ma femme pour une randonnée là dans les montagnes. Nous sommes sortis de la ville en véhicule. Nous étions à environ vingt-cinq miles [40,225 km - N.D.T.] au sommet du mont Hurricane là où, un ou deux ans auparavant, j'avais abattu trois ours en une année.                 

44.       Et j'étais donc là haut avec cette femme, cette jeune fille-là de vingt-deux ans et moi, j'en avais trente. Et nous étions donc là. Et Billy Paul avait alors environ six ans, je pense, et c'était sa première année à l'école. Eh bien, ce petit enfant était trop petit par rapport à son âge, et ainsi, elle prenait donc soin de lui. Et le garde forestier n'était pas là.           

            Et il semblait que… il semblait qu'un orage pourrait éclater, alors, j'ai dit : " Chérie, avant que le garde forestier vienne, et que nous allions chasser l'ours, je vais me glisser dans quelques unes de ces clairières. Quelques années auparavant, on y avait coupé du bois. " Et j'ai dit : " Je - j'irai là et j'attraperai une biche pour nous, puis, je reviendrai et nous aurons du gibier frais "              

            Et elle a dit : " Eh bien, ne va pas traîner." Elle a dit : " J'aurai apprêté ton dîner."

            Et j'ai dit : "D'accord." Et cette nuit-là, il a fait horriblement froid. Nous avions dû mettre Billy entre nous deux et nous l'avons gardé comme cela pour qu'il ne gèle pas. Elle n'avait jamais été dans les bois auparavant, elle n'en savait pas grand chose, et elle allait bien certainement geler, en dormant sur les aiguilles de pin.       

45.       Nous sommes donc sortis le lendemain, j'ai pris mon vieux petit fusil, et je suis descendu dans cette direction. Eh bien, je pensais que j'étais trop bon homme de bois pour me perdre. Je - j'ai donc été dans les bois toute ma vie. Et... "Eh bien, personne ne peut me déjouer là-bas", disais-je. Alors, je suis descendu dans cette direction, vers ces petites clairières, je me suis retourné, et j'ai vu beaucoup de piste de biches. On dirait qu'elles avaient toutes les sabots pointus et tout, comme c'était des biches. Alors, j'ai gravi la montagne dans cette direction.        

            J'ai entendu quelque chose bouger dans les buissons. J'ai prêté attention, et j'ai perçu que c'était le mouvement d'un animal à quatre pattes, mais ce n'était pas des sabots. C'était des pattes à coussinet. Je me suis dit : "Je me demande bien ce que ça pourrait être." Il faisait assez sombre, juste dans un tas de buissons à feuilles toujours vertes. Il s'est fait que j'ai regardé. Et un - un puma a traversé le sentier comme cela. Et il était très rapide. Je ne l'ai pas tiré dessus. Je me suis dit : " Eh bien, je vais simplement continuer à me faufiler dans cette direction et descendre l'autre versant. Et je serais toujours au bas du mont Hurricane. " Et j'ai dit : "Alors je peux toujours voir la tour en regardant en arrière", en effet, il semblait qu'un orage pouvait éclater d'un moment à l'autre.

46.       Je - je suis allé continuellement dans cette direction. Il me semblait flairer continuellement un - un ours quelque part, et j'ai continué à le flairer. Et je me suis dit : "Il est quelque part ici tout près. Il se tient probablement là devant moi." Alors, j'ai continué à marcher comme cela, surveillant le lieu. Et celui qui a déjà chassé ne marche pas dans les bois avec le fusil sur son épaule. Vous surveillez le mouvement des feuilles et oh ! il y a beaucoup de choses à surveiller.      

            Et alors, en surveillant de très près, je ne faisais pas attention à l'endroit où j'allais. J'ai gravi une colline, je suis descendu dans cette direction vers la gauche. Je me suis dit : " Eh bien, je suis en train de descendre droit dans un petit ravin ici." Il y avait beaucoup d'endroits accidentés comme cela.

47.       Et je suis descendu et je me suis faufilé très doucement. Je me suis dit : " Cet ours n'est pas loin d'ici." Et j'ai trouvé une grande et vieille caverne. Je me suis glissé au-dessus de cette caverne pour éviter de venir bien en face de cela et pour voir si l'ours dormait. Alors, j'ai contourné comme ceci, et il y avait là une vieille caverne vide. Il n'y avait rien là-dedans. Je me suis dit : " Eh bien, il était là. "     

            J'ai donc redescendu la colline que j'ai de nouveau contournée et je suis revenu. J'ai vu des buissons bouger dans le canyon. J'ai observé cela, naturellement, parce que souvent les ours mangent les fourmis. Ils aiment les fourmis parce qu'elles sont sucrées. Ils mettent leurs pattes dessus et ils les prennent là-dessus, ensuite ils lèchent leurs pattes.

J'ai donc observé attentivement. Une très grosse biche est sortie. Et je me suis dit : "Eh bien, oh ! la la ! Je suis très loin de la maison, mais c'est exactement ce qu'il me faut. " Alors, j'ai tiré sur la biche. Je me suis rendu là. Je me suis dit : "Eh bien, maintenant, je vais te dire ce que je vais faire. Je vais directement retourner. " J'ai dit : "Dites donc ! il est une heure passée. Eh bien, ai-je dit, elle sera - elle sera là en train de m'attendre. "

48.       Alors j'ai atteint le canyon, là où il y avait juste un petit ruisseau qui coulait en ondulant comme ceci. Et j'ai directement gravi le canyon aussi vite que possible. Et j'ai levé les yeux. Et j'ai dit : "Dis donc, je vais devoir me dépêcher. Cet orage ne va pas tarder de tomber ici. " Et le ciel était bas, il y avait du brouillard, et alors, on ne pourrait rien voir.

            Et je me suis à marcher, marcher, marcher. J'ai dit : "Voyons donc, j'avais dévié quelque part par ici." J'ai continué à regarder, regarder… La première chose, vous savez, j'ai marché, marché, marché. Et je me  suis dit : "Dis donc, c'est un long chemin, mais je n'ai pas vu du tout par où j'étais sorti. "

            La première chose dont je me souviens, je me suis dit… simplement laisser tomber…transpirant. Et je - j'ai sorti mon vieux mouchoir rouge, j'ai essuyé la sueur, j'ai regardé partout. Et là était suspendue ma biche. J'ai dit : "Qu'ai-je fait ? Je n'ai pas fait un tour pour revenir." " Eh bien, ai-je dit, je ne retrouve pas mon repère. " Alors je suis reparti. Et j'ai marché, marché, marché et marché, faisant attention à mon côté droit, parce que je savais que j'avais tourné à droite. J'ai tourné à gauche et il me fallait retourner à droite.

49.       Mais en ce temps-là l'orage était alors au niveau des buissons. Alors, j'ai

marché, marché, marché encore. Et la chose suivante, vous savez, j'étais très fatigué. Je me suis dit : "Eh bien, j'observe attentivement. Je reconnaîtrai sûrement l'endroit exact d'où je suis sorti, où se trouve ce monticule parce que les montagnes ont des versants formant un col comme ceci. " Et j'ai traversé ce col et ensuite je suis descendu, puis je suis remonté.

            Naturellement, je ne pouvais pas alors voir les montagnes situées devant, loin de nous, parce qu'il y avait trop - trop de brouillard, sinon j'aurais pu monter sur un endroit surélevé et regarder tout autour. Mais il y avait du brouillard et je ne pouvais percer cela, et la neige était sur le point de - elle tombait et tout. Alors j'ai avancé là un peu plus loin comme ceci, il m'est arrivé de m'arrêter et de regarder. Et j'étais de nouveau revenu là où était ma biche.

50.       Eh bien, les Indiens appellent cela la marche de la mort, ou plutôt le

chemin de la mort. Vous êtes sur un monticule ou un endroit plat, vous tournez en rond, sans boussole, ni rien. Je n'ai jamais amené une boussole dans les bois. Je - je pensais que j'étais trop bon. Je - je ne pouvais pas me perdre. Voyez-vous ? Dieu a dû m'apprendre un peu de bon sens, Il m'a ainsi donné un peu d'intelligence pour me faire savoir que je ne me suffisais pas. Je ne m'y connaissais pas autant que je le pensais.

            Et j'ai continué à tourner en rond. Je suis encore revenu à cette biche. J'ai fait cela trois fois. Et j'ai reconnu que je m'étais perdu. Eh bien, je…Alors j'étais perplexe. C'était vers 16h 30, presque 17h, et il commençait à faire vraiment sombre, presque noir. Je me suis dit : "Miséricorde ! Maintenant, qu'est-ce que je vais faire ? Ma femme est toute inquiète. Elle mourra aussi sûr que deux et deux font quatre, elle et cet enfant, tous les deux dans ces montagnes ce soir."

            Eh bien, si j'étais seul, je - j'aurais cherché à trouver cet ours une fois de plus ou je me trouverais un endroit quelque part, et j'hibernerais pendant un ou deux jours, jusqu'à ce que cet orage soit passé. Voyez ?

51.       Eh bien, j'aimerais faire une petite illustration ici. Si j'étais seul, je serais

parti à cette caverne, ou sous des rochers quelque part et je me serais fait un feu avec du bois là. Et je n'aurais pas essayé de chercher cela, parce qu'il y avait du brouillard. Mais je ne pouvais pas faire cela à ce moment là. Il y avait une urgence.

            Et je savais que ma femme n'avait jamais été de sa vie dans les bois jusqu'à la veille au soir, et ce serait de la mer à boire pour elle que de faire un feu. Et ce petit garçon, ils allaient mourir aussi certainement que deux et deux font quatre, en effet, la température allait probablement descendre loin en dessous de zéro cette nuit-là. Et ils allaient être effrayés à mort. Et ils allaient probablement chercher à errer dans la nature quelque part, où ils iraient me chercher avec affolement, ou quelque chose comme cela, ou se mettraient à crier. Et - et c'est difficile de dire ce qui serait arrivé. Et je sais que si quelque chose pouvait pousser un cri là, tous les deux s'évanouiraient certainement ; et je savais qu'il y avait un puma juste dans cette zone-là.

52.       Alors, j'ai dit : "Oh ! la la ! " Alors, j'ai commencé vraiment à m'affoler.

J'étais perplexe et nerveux. Et j'ai dit : "Une minute, William Branham. Qu'est-ce qui t'arrive ? Es-tu devenu fou ? " Et généralement, c'est exactement ce qui arrive. Vous vous affolez et vous… On vous retrouve gisant quelque part là dans un fossé, ou là où vous vous êtes fusillé, ou quelque chose comme cela, des dangers qu'on encourt dans les bois. Et j'ai dit : "Tiens, tu es trop bon homme des bois. Tu n'es pas perdu. Qu'est-ce qui t'arrive ? "

Et je me suis assis sur une pierre. Je me suis dit : "Eh bien, tu penses que tu es perdu, n'est-ce pas ? Mais tu n'es pas perdu. " Et j'ai dit : "Eh bien, ce brouillard ne signifie rien pour moi. Eh bien, assurément, je peux continuer directement, certainement. " J'ai dit : "Eh bien, voyons. Le vent souffle juste en face de moi. Si cela vient en face de moi, alors je dois retourner et prendre cette direction, car le vent me soufflait en face quand je montais et je serai sur la bonne voie en prenant cette direction. " Je me suis dit… Je me suis mis en route. J'ai dit : "Assurément, ça va ", cherchant à me séduire moi-même (voyez), me faisant croire que je n'étais pas perdu, alors que j'étais perdu. Et, frère, c'est le sentiment le plus horrible que l'on ait jamais eu. Si vous êtes perdu ce soir, j'ai de la compassion pour vous. Ayant été perdu, ne sachant pas où j'allais, et il y avait une urgence…

Et si jamais un temps arrivait où il y a urgence, frère, vous feriez mieux de chercher un refuge pendant que vous le pouvez. Si vous êtes perdu, vous feriez mieux de chercher la lumière du phare ce soir.

53.       Là, j'ai continué à marcher. Je suis arrivé à un endroit bas où c'était

humide. J'ai dit :  "Eh bien, bien sûr que je ne peux pas… " On n'y voit rien, juste le vent soufflant dans les arbres. Et ce qui m'était arrivé, c'est que j'étais descendu loin dans les Géants sans le savoir, cette zone appelée les Géants, la forêt vierge. Et je ne le savais pas.

            Et j'ai dit : "Oh ! si seulement je voyais le mont Hurricane, je saurais quelle direction prendre. " Je me suis dit : "Eh bien, avec cet orage qui s'abat, c'est difficile de savoir dans ces montagnes comment le vent peut dévier, changer de direction et d'où il vient. " Je ne pouvais donc pas compter sur le vent, et je le savais bien.

            Et je me suis assis de nouveau sur une pierre, j'ai dit : "Eh bien, tu n'es pas perdu. Tu sais où tu es. Eh bien, tiens-toi tranquille. Tu sais où tu es. " Mais toutes mes aptitudes de chasseur et d'homme de bois étaient parties. Je vous assure, en fait, j'étais complètement perdu. Mais j'essayais de m'encourager quant à cela ; en effet, je ne voulais pas m'affoler, vous savez, parce que je savais que ma femme et l'enfant allaient mourir cette nuit-là dans les bois si je ne les rejoignais pas. C'est tout. Et j'étais à des kilomètres d'eux, et il commençait à faire sombre et cet orage soufflait.                      

54.       Alors j'ai progressé un peu plus loin, et quelque chose m'a dit : " Eh bien, Billy, mais ressaisis-toi. Ressaisis-toi. Tu sais que tu es perdu. "       

            J'ai dit : " Non, pas moi. Je ne suis pas perdu. Je suis tout à fait sur la bonne voie. " J'ai atteint une colline, et je me suis dit : " Non, ça ne va pas. " Je suis retourné en prenant cette direction-ci et je me suis dit : "Je n'ai jamais vu ceci auparavant. D'où est-ce que ceci est venu ? " Je sentais que je tremblais. Je - je transpirais.                      

            J'ai dit : " Eh bien, ça ne sert à rien de se faire des illusions. Tu es perdu. Et il n'y a qu'une seule chose à faire : c'est d'accepter que tu es perdu. " Eh bien, je me suis dit : " Je suis perdu. " Eh bien, qu'arriverait-il si... si ce n'était pas pour ma femme et mon enfant, j'irais ici dans l'un de ces escarpements et je me trouverais un endroit comme je l'ai fait une fois. Je resterais là jusqu'au lendemain, ou le jour suivant, ou jusqu'à ce que l'orage cesse. Puis, je monterais à un endroit élevé, je regarderais partout pour voir où je me trouve, et je sortirais. Mais vous ne pouvez pas faire cela dans ce cas. Le brouillard se déplaçait.                      

55.       Eh bien, je me suis mis à marcher. J'ai dit : " Eh bien, je dois prendre une certaine direction. Je ne reconnais ni l'est, ni le nord, ni l'ouest ni le sud. Il n'y a pas de signe : la neige recouvre les arbres. " On ne pouvait pas distinguer les côtés de l'écorce, ni rien, et la mousse sur les arbres, c'était autre chose. C'était plat de toutes les façons et la mousse était sur la surface des deux côtés.            

            Ainsi donc, je me suis dit : " Eh bien, maintenant que puis-je faire ? " Alors, j'ai continué à marcher. J'ai dit : " Eh bien, je vais te dire ce que je vais faire. Je vais carrément prendre cette direction. Je sais que c'est par ici que je suis venu. Je dois aller en ligne droite parce que je - je tourne en rond. " Alors je me suis mis à marcher, j'ai dit : " Oui, monsieur. Je crois. Je crois que je suis... Je - je suis parfaitement sur la bonne voie. " Et je - je... Et je disais cela de ma bouche, mais mon cœur me disait : " Non. "             

            Alors, j'entendais sans cesse quelque chose me chuchoter à l'oreille : " Le Seigneur est pour nous un refuge et un appui, un secours qui ne manque jamais en temps de détresse. " Je me suis dit : " Eh bien, je suis hors de moi", j'ai continué à marcher. Quelque chose a dit : " Le Seigneur est pour nous un refuge, et un appui, un secours qui ne manque jamais en temps de détresse. " J'ai simplement continué à marcher. Et cela s'est fait entendre plus fort : "Le Seigneur est pour nous un refuge et un appui, un secours qui ne manque jamais en temps de détresse." J'ai continué à avancer et à traîner mon fusil. Et j'étais fatigué à ce moment-là, vous savez. " Le Seigneur est pour nous un refuge et un appui. " C'était Jéhovah Shammah qui me parlait.                                    

56.       Et je - je continuais à avancer. Je me suis dit : " Ô Dieu, je suis perdu. Je suis perdu, Seigneur. Je - je n'ai pas de boussole, je n'ai rien. " Mais j'ai dit : "Tu es toujours à moi, Seigneur. " J'ai continué à parler à haute voix. Je me suis dit : " Attends une minute maintenant. Tu vas être hors de toi. Tu vas devenir fou. Tu penses à ta femme et à ton enfant qui vont mourir ce soir. " J'ai dit : " Seigneur, je ne mérite pas de vivre, mais ne les laisse pas mourir. "                       

            Et j'ai entendu Cela dire de nouveau : " Le Seigneur est pour nous un appui et un refuge, un secours qui ne manque jamais en temps de détresse. " J'ai posé mon fusil contre l'arbre.

J'ai ôté mon chapeau, je l'ai déposé par terre, je me suis agenouillé sur mon chapeau. J'ai levé les yeux et j'ai dit : " Ô Dieu, je suis perdu. Je suis - je - je - je suis perdu, Père. Et Tu es ma boussole. Et je… Quant à moi-même, ayant été prétentieux comme je l'ai été, je pensais tout connaître à ce sujet, je - je ne mérite pas de vivre. Je devrais être perdu. Je devrais rester ici pendant des jours et manger des porcs-épics pour vivre, mais pense à ma pauvre femme bien-aimée, elle est innocente. Et mon enfant mourra cette nuit là-bas dans le… C'est notre seul enfant. Et si jamais je… [Espace vide sur la bande - N.D.E.] Et épargne leur vie. [Espace vide sur la bande - N.D.E.] Ils sont au point de s'affoler à cette heure-ci. Ici il fait presque noir, et je suis perdu, Père, complètement perdu. Ne voudrais-Tu pas me venir en aide? " Voyez?                               

57.       Naturellement, ce qui est à faire quand on est malade... juste comme j'aurais naturellement dû faire, ce que j'aurais dû faire, c'était d'aller dans une caverne, me faire du feu et attendre jusqu'au matin, ou jusqu'à ce que l'orage soit passé. Naturellement ce que vous faites lorsque vous êtes malade, c'est d'aller chez le médecin pour voir ce qu'il peut faire pour vous.           

            Mais je ne pouvais pas aller dans une caverne, il y avait une urgence. Et vous ne pouvez pas aller chez le médecin, parce qu'il a déjà dit que vous allez mourir. On ne peut rien faire pour vous. Il y a une urgence. Alors, qu'est-ce qu'Il est? Jéhovah-Jiré, Jéhovah Shammah. L'Eternel pourvoira d'un sacrifice et Dieu est au milieu de nous. Il est Celui qui est présent. Et lorsqu'on a besoin d'aide, Il est là. Le Seigneur est pour nous un refuge et un appui, un secours qui ne manque jamais.

            Ou nous pouvons le prendre dans ce sens-ci : ne manque jamais, toujours présent pour venir en aide en temps de détresse. On peut le dire comme ceci : "L'Eternel est pour nous un refuge et un appui, un secours toujours présent en temps de détresse. " Et nous en étions là. Et vous en êtes là ce soir, c'est pareil. Certains d'entre vous sont très malades et les médecins vous ont abandonnés.

58.       Eh bien, si le médecin… Vous ne pouvez pas aller dans la caverne, il y a urgence, c'est donc Dieu qui vous parle ce soir, disant : " Je suis pour vous un appui et un secours toujours présent, maintenant, en temps de la détresse. "

Je me suis agenouillé et j'ai prié. Je me suis relevé. Je me suis dit : " Eh bien, maintenant, j'ai prié. Je T'ai adressé une demande, ô Dieu ! C'est tout ce que je peux faire. Tu m'as promis que si je demandais, je recevrais. Tu l'as promis, et c'est pour une cause digne, pas pour moi, mais pour quelqu'un d'autre. Et je - et je… "                                             

59.       Juste comme vous dites ce soir : " Seigneur, il se peut que je n'aie pas vécu aussi proche que je le devrais, mais si Tu me guéris ce soir, je vivrai pour Toi le reste de mes jours. Si je ne peux que distribuer les traités, si je ne peux que témoigner, je ferai tout ce que je peux si seulement Tu me rétablis. "                                         

            Il est pour nous un refuge, et un appui, un secours qui ne manque jamais en temps de détresse. Je me suis donc relevé. C'est tout ce que je pouvais faire. J'ai dit : " Maintenant, Seigneur, je m'engage dans cette direction-ci. Je crois que j'étais parti… Je suis venu comme ceci. C'est au mieux de ma connaissance : ma connaissance. Je suis venu comme ceci. Et je vais droit dans cette direction-ci, croyant que la Voix qui m'a parlé à l'oreille, laquelle a cessé maintenant, disait : 'Le Seigneur est pour nous un appui et un refuge, un secours qui ne manque jamais en temps de détresse.' Je crois que c'était Toi, ô Dieu. "                                    

60.       " Et regardant à travers ces pins alors que le vent les arrache et les traverse en sifflant là, je crois qu'au-delà de cela, il y a un Ange de Dieu qui m'a suivi dans cette forêt. " Et il y en avait Un, Il était avec moi, pourtant Il ne S'était pas du tout manifesté. Il y a des années, environ quinze ans.                                               

            Et j'allais là, marchant comme ceci, et j'ai senti quelqu'un faire [Frère Branham illustre - N.D.E.]sur mon épaule. Je me suis retourné pour voir qui c'était, et juste alors le brouillard s'est dissipé. J'ai poursuivi mon chemin à travers ces buissons, j'ai vu que je me dirigeais droit vers le Canada, le chemin que je suivais, à ma connaissance. Et le mont Hurricane se trouvait juste là, c'était de l'autre côté. Voyez, je passais juste par-là.                             

            Je me suis mis directement comme ceci. J'ai levé les mains, et j'ai dit : " Ô Grand Dieu ! Tu es si proche de moi que Tu as posé Ta main sur mon épaule. Tu es pour moi un appui et un secours, un secours qui ne manque jamais en temps de détresse. "

61.       J'ai tourné ma face, j'ai dit : "Il fait sombre. Je dois continuer ma course. Je ne dois pas dévier peu importe ce qui se met sur mon chemin. Si jamais je manque cela…"                                             

            Eh bien, cet été-là, j'avais aidé le garde forestier à installer une ligne téléphonique de la tour à l'endroit où l'on avait fait l'appentis. Et de là, nous avons fait la chasse. Je me suis dit : " Si jamais j'atteins ce fil téléphonique, je pourrais alors retrouver mon chemin. Mais je me dirige vers le mont Hurricane. Je ne peux pas me faufiler par ici parce qu'il y a trop de collines et de ravins. Et dans ce brouillard, je ne pourrais jamais retrouver cela. Je dois aller directement jusqu'à cette tour. "                                  

62.       Alors je me suis engagé, marchant avec les mains levées, louant Dieu. Il faisait nuit. Je ne voyais plus, et le vent soufflait, et déviait. Et je gravissais les collines et traversais des endroits raboteux. Peu importe le chemin où Il conduit, continuez à vous diriger au Calvaire. Continuez à regarder. Le chemin peut devenir raboteux. Vous pouvez glisser et tomber, mais continuez à vous diriger vers le Calvaire. Continuez tout simplement à avancer.                                    

            Et je me suis relevé. Et je me suis dit : "On doit être en pleine nuit maintenant. " J'ai levé les mains comme ceci. Je savais que la ligne téléphonique était à peu près à cette hauteur. Je me suis dit : " Oh! si seulement je pouvais toucher ce fil. Si je peux toucher ce fil, c'est mon seul espoir maintenant. Je ne peux pas… " Mes bras étaient tellement fatigués que je pouvais à peine marcher. Je levais celui-ci pendant que je faisais reposer l'autre et que je traversais ces buissons et contournais ces arbres, avec de la neige au cou et tout. Je me déplaçais comme ceci.                              

63.       Et j'ai dit : " Ô Dieu ! tout ce qui m'est cher sur cette terre se trouve au bout de ce fil, si seulement je peux retrouver ce fil. " Et je maintenais ma main comme ceci. Et j'avais baissé celle-ci, je ne faisais pas un pas, ni reculais, pour m'assurer que je n'avais… Oh! c'est ainsi que nous devons nous diriger vers le Calvaire. Ne perdez pas un seul centimètre. Je gardais ma main levée, avançant comme ceci. J'ai dit : " Ô Dieu ! assurément que Tu m'aideras à retrouver cela. Je viens tout droit, à ma connaissance, de traverser cette colline. C'est la direction que tu m'as indiquée. "                         

            C'est ce que vous dites à la Parole ce soir : "Tu as dit que Tu étais le Guérisseur. J'ai les mains levées. Je m'avance tout droit. C'est l'unique chose que je sache faire. C'est à Toi de m'amener à la guérison. C'est Toi seul qui peux m'amener au Sacrifice. "                                   

64.       Et voici, j'avais les mains levées; il se faisait tard. Je m'avançais. Je commençais à défaillir un peu dans mon cœur. Je me suis dit : " Oh ! suis-je déjà au-delà de cela? " Je suis entré dans quelques vallées. Je me suis dit : " Oh ! certainement  que je ne suis pas en train de descendre sur l'autre versant de la montagne. " Et j'ai gardé la main levée comme ceci, avançant à travers ces buissons, et il n'y avait même pas un rayon de lumière, nulle part, et l'orage faisant rage, soufflant, et tourbillonnant, et il faisait vraiment froid, ça gelait et tout. Il y avait à la fois la neige et la pluie, ou plutôt le brouillard.                     

            Et j'avançais comme ceci et tâtant de ma main. Tout d'un coup, vous savez, j'ai saisi quelque chose. J'ai palpé cela. C'était le fil téléphonique. Oh! quel sentiment! J'avais… Je savais que comme je tenais ce fil… Je me suis dit : " Je descendrai cette colline en marchant lentement. Et j'avance lentement. Je n'ôterai pas ma main de ce fil, car au bout de ce fil se trouve ce que je cherche, ma femme et mon enfant sont au bout de ce fil téléphonique. Je n'en détacherai pas ma main. Je suivrai cela jusqu'à ce que je… " Et j'ai fait cela, et je suis arrivé là pour trouver qu'on y avait allumé un petit feu et que tout allait bien.                                

65.       Frère, ce soir, Jésus-Christ est un secours qui ne manque jamais dans la détresse. Si vous êtes malade et que les médecins ne peuvent plus rien faire pour vous, levez la main. Levez les yeux vers Dieu jusqu'à ce que vous touchiez ce petit fil électrique qui est sous tension, là, qui dit : " C'est fini. " Peu importe combien d'incrédules, et de sceptiques, et d'églises, et tout le reste que vous devez contourner, accrochez-vous-y, car c'est cela qui vous conduit jusqu'à votre délivrance.                

            Que Dieu vous bénisse. Gardez vos mains levées. Continuez à avancer ce soir. Gardez vos mains levées jusqu'à ce que vous saisissiez ce fil. Gardez vos mains de la foi levées jusqu'à ce que vous sentiez quelque chose vous toucher et dire : " C'est fini. " Alors, suivez cela. Suivez cela. "C'est fini." Vous avez Sa Parole, qui dit qu'Il vous conduira à la victoire. Vous… Par la foi, vous pouvez être guéri. Quiconque croit, peut être guéri. Gardez vos mains levées jusqu'à ce que vous sentiez la foi de Dieu se déverser en vous. Alors, suivez cela.                  

            Le Seigneur est pour nous un appui et un refuge, un secours qui ne manque jamais dans la détresse. Prions.               

66.       Père, il y a urgence ce soir pour les gens. Et Tu es le Seigneur qui est pour nous un appui et un secours qui ne manque jamais dans la détresse. Ô Dieu ! puissent les mains de la foi se lever ce soir, spirituellement parlant. Pas juste les mains naturelles, physiques, qui n'ont que quelques pouces de long, mais, Père, puisse ce bras de foi qui peut aller au-delà de ce monde maudit à cause du péché, se lever, cette ligne de foi qui peut aller au-delà de la lune et des étoiles, et jusqu'à toucher Son vêtement, là. [Espace vide sur la bande - N.D.E.]…?… et puisse une Voix retentir du ciel, disant : " Je suis le Seigneur qui te guérit pour confirmer Ma Parole. Je suis Jéhovah Shammah, un Secours qui ne manque jamais dans la détresse. Je suis ici pour t'aider. "                                                          

            Ô Dieu, accorde ce soir que nous ne puissions pas être autosuffisants. Nous ne pouvons pas nous tirer d'affaire par un bluff, en disant : " Oh! je me rétablirai bientôt. " Non, Seigneur. Tu es notre Refuge. Nous nous réfugions en Toi. C'est en Toi que nous nous confions et c'est en Toi que nous croyons.               

67.       Maintenant, veux-Tu venir, Seigneur. Jette la petite ligne de sauvetage ici ce soir en accomplissant quelque chose de très particulier pour les gens qui, peut-être, n'ont jamais été dans les réunions auparavant. Fais quelque chose comme Tu l'as fait à Emmaüs. Fais quelque chose d'un peu différent de ce qui se passe dans les réunions ordinaires de guérison, ou dans un service ordinaire, afin qu'ils voient que le Seigneur Jésus qui est ressuscité des morts est ici avec nous ce soir pour nous accorder les désirs de nos cœurs, selon Ses richesses ; en effet, Il est mort pour acquérir cela. Nous le demandons en Son Nom. Amen.                                  

            J'étais… vous ai parlé un peu plus longtemps que prévu. Quand je me mets à parler, alors je n'arrive pas à m'arrêter. Bon, croyez-vous qu'Il est ici? Certainement qu'Il est ici. Eh bien, qu'est-ce qu'Il peut faire ce soir? Voici Sa Parole. Voici Son peuple. Sa Présence, je La sens ici. Eh bien, il n'y a qu'une chose à faire, la seule chose qu'Il peut faire maintenant, c'est de vous amener à croire cela. Est-ce vrai? Eh bien, Il a fait Sa part. Maintenant, c'est à vous de croire.                

68.       Maintenant, nous allons former une ligne de prière ici pour prier pour quelques personnes. On n'est pas obligé de faire cela, mais nous le faisons d'habitude dans nos services. Eh bien, il n'y a rien que je - que je puisse faire pour ce qui est de la guérison. Il n'y a rien que personne sur la terre  puisse faire à ce sujet, rien.                    

            Un médecin peut remettre un os en place ; il peut ôter une tumeur. Il ne peut pas guérir cela. La seule chose qu'il peut faire, c'est ôter la tumeur. Qui va donc opérer la guérison? Voyez? Il peut remettre votre bras en place, mais qui va opérer la guérison? Il faut Dieu. Psaumes 103.3 dit : " Je suis l'Eternel qui guérit toutes tes maladies. " Toute guérison vient de Dieu. Aucune guérison ne provient d'aucune autre source en dehors de Dieu. Nul ne peut guérir, nul ne l'a jamais fait, nul ne le fera. La guérison vient de Dieu seul. Dieu est Vie.             

            Maintenant, je voudrais vous poser une question. Vous dites : "Personne n'a jamais opéré une guérison. Jésus n'a jamais guéri quelqu'un? " C'est bien ce qu'Il a dit. Il a dit : "Je ne fais rien de Moi-même. " Il a dit : " Le Fils ne fait rien de Lui-même, mais ce qu'Il voit faire au Père, le Fils le fait pareillement. " Saint Jean 5.19. Est-ce scripturaire?                

69.       Jésus a dit : " Le Fils ne fait rien, Il ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu'Il voit faire au Père. " Qu'est-ce que Jésus a alors fait? Il était investi d'une puissance pour avoir des visions. Il voyait ce qui se passait. Il a dit à la femme au puits où était son problème. Il a dit à Philippe où il - ou plutôt à Nathanaël, où il se trouvait qu'il ne vienne à la réunion.             

            Il a dit… Il leur a dit différentes choses par la puissance des visions. La femme toucha Son vêtement et s'enfuit dans l'assistance et se tint là, vous savez. Et Jésus s'est retourné et a dit : " Qui M'a touché? " Qu'a-t-Il dit là? " Je sens que Je suis devenu faible. " Est-ce vrai? " Une vertu (c'est-à-dire une force) est sortie de Moi. "               

            On Lui a dit : " Eh bien, c'est tout le monde qui Te touche. "           

70.       Il a dit : " Oui, mais Je Me sens faible. " Selon ce qu'on dit en Anglais : " Je me sens faible. Quelque chose est arrivé. Une vertu est sortie de moi. " Et Il a regardé tout autour, peut-être qu'Il a eu une vision. Je ne sais pas. C'est ce qu'Il a dit qui Lui est arrivé. Il a regardé tout autour, Il a vu la petite femme en vision. Lorsqu'Il - ces yeux ont percé cette petite femme, elle a su que… [Espace vide sur la bande - N.D.E.]               

            Pas seulement dans l'âge apostolique, ou dans l'âge de saint François, dans l'âge de Wesley. Je serai avec vous jusqu'à la fin du monde. Jésus-Christ le même hier, aujourd'hui et ét-… Je crois cela, mon ami.                 

Eh bien, pour les nouveaux venus, si notre Père céleste, dont j'ai essayé de parler ce soir, ce qu'Il était, qu'Il était contenu dans Ses Noms rédempteurs, s'Il vient ce soir sous la forme de Son Fils, le Seigneur Jésus, et qu'Il fait ce qu'Il avait dit qu'Il ferait, s'Il vient ici sur l'estrade et S'empare d'un peuple humble, pas seulement moi, mais ceux qui sont là dans l'assistance, ces humbles personnes qui s'assiéront et diront : " Oui, mon Seigneur, je crois de tout mon cœur. "                  

71.       Alors, le même Saint-Esprit qui était sur notre Seigneur Jésus-Christ lorsqu'Il nous a dit que nous serons baptisés, nous a dit que nous serons baptisés du même baptême que Lui, ou du même Saint-Esprit, Il viendra sur ce pauvre serviteur indigne, et qu'Il se tournera… Je ne sais rien de ce que je dis à l'assistance : " Vous qui avez ceci, cela, et vous qui avez ceci ou cela, vous serez… Vous êtes - vous - vous avez fait ceci, vous avez fait cela, et - et - et vous - vous êtes - vous… Si vous mettez cela en ordre, si vous faites telle chose, ainsi de suite. " Ou si on demande aux gens qui viennent à l'estrade : " Eh bien, voulez-vous accepter cela? " Et vous dites : " Je crois que c'est le Seigneur Jésus-Christ qui est ressuscité des morts. " Voudriez-vous accepter cela? Si oui, levez  la main. Et dites : " Je croirai que c'est le Seigneur Jésus-Christ. " Merci, merci. Que le Seigneur vous bénisse donc.              

            Billy, quelles cartes avez-vous distribuées ? La série B? Voyons, nous avons appelé… Lorsque nous avions tenu la ligne de prière il y a deux soirées, je crois que nous avions alors appelé à partir du numéro 1, n'est-ce pas? Très bien. Prenons… Quel était alors le dernier ? Commençons par la carte de prière, disons… Combien nous prenons généralement, environ vingt? Quinze à vingt? Eh bien, appelons-en quinze donc. Disons 85, 90, 95… Appelons à partir de 85. Voyons s'il y a…?…                                   

72.       Qui a B-85? Voudriez-vous lever la main? B-85; levez votre… 85. Qui a 86? Très bien. 87? Très bien. 88? B-88? Voudriez-vous lever la main? Quiconque a B-88? Celui qui a la carte de prière B-88, voudriez-vous lever la main? Merci. Est-ce ça, juste ici, madame? 88, 89? Qui a la carte de prière B-89? Voudriez-vous lever la main, où que vous soyez? 89? Merci. 90?… de prière B… La carte de prière 90, avez-vous… Est-ce dans le bâtiment? 90? Très bien, alors 91? Qui a 91? Très bien. 92, 93, jusqu'à 100. Avancez donc et prenez place.              

            Nous verrons comment ça serait, ensuite peut-être que nous… Si nous pouvons terminer ça à temps, si je ne suis pas épuisé à ce moment-là, les frères me permettront de rester encore pendant quelque… Cela dépend de ce que notre Seigneur Jésus fait.         

            Bon, combien là-bas n'ont pas de carte de prière, mais veulent être guéris? Levez la main. Que Dieu soit avec vous, qu'Il vous aide, qu'Il vous bénisse, c'est ma prière. Eh bien, si vous n'avez pas de carte de prière… Eh bien, pendant qu'on les aligne, j'aimerais prier pour ce qu'il y a ici dans cette boîte. Merci, Frère Billy. Pouvons-nous incliner la tête juste un instant.           

73.       Tendre et Bienveillant Père, il y a dans cette boîte des mouchoirs destinés aux nécessiteux, aux malades, et aux affligés. Des mères, et des pères sont en train de les attendre, des frères, des sœurs, des petits enfants malades et nécessiteux, des aveugles, des affligés, des boiteux. Oh! combien ils désirent ardemment qu'on leur retourne ces mouchoirs. Et nous sommes très reconnaissants,  Père, de ce que nous avons trouvé grâce à leurs yeux par Toi de sorte qu'ils croient que si nous Te prions, ils pourront être secourus. Nous n'en sommes pas dignes, Père. Je ne le suis pas. Je Te prie, ô Dieu, de ne pas considérer mon indignité, mais de considérer ces pauvres gens malades auxquels nous essayons de toutes nos forces d'apporter Ton Fils, Jésus.                                   

            Lorsque ces mouchoirs seront placés sur leurs corps malades, Père, au Nom de Jésus, Ton Fils, que la maladie quitte. Accorde-le, Seigneur. Puissent-ils être délivrés de ces choses et être complètement libres.                       

            Eh bien, Tu voyais ces gens lorsqu'ils écrivaient les lettres. Tu les vois maintenant. Tu les verras lorsqu'on les retournera. Maintenant, puisse l'Ange de Dieu dont la Présence est ici maintenant, Se tenir à côté de chacun d'eux. Et lorsqu'on posera cela sur ces malades, puissent-ils guérir rapidement. Car nous le demandons au Nom de Jésus et pour la gloire de Dieu. Amen.                          

74.       Je voudrais vous demander, s'il vous plaît, d'être aussi respectueux que possible. J'espère que vous comprenez de quoi il est question. Voudriez-vous y réfléchir maintenant? Me voici debout ici, juste un homme. Dieu le sait. Voici une file de gens, quinze ou vingt, quel que soit le nombre de ceux qui sont alignés. Je pense que c'était quinze, peut-être un ou deux d'entr'eux manquent, mais ils sont là et peut-être un peu plus. Il y a au moins mille six cents personnes assises ici, je pense, à peu près ce nombre, assises ici devant moi. Il y a eu au moins mille mains qui se sont levées pour montrer qu'ils sont dans le besoin. Et j'ai parlé ici ce soir de Jésus-Christ, disant qu'Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement.              

75.       Eh bien, représentez-vous qu'alors qu'on se tient ici, dans un auditoire d'une telle importance, on doit avoir absolument des critiqueurs assis là. On doit avoir des gens qui sont un peu méfiants. Vous sentez cela. Vous pouvez sentir cela. Lorsque l'Esprit commence à S'installer, vous pouvez sentir cela. Voyez? Mais je suis très content de ce que cela est assurément à un très faible degré. C'est la foi qui prédomine, ça a été le cas dans chaque réunion que nous avons tenue ici. Voyez? C'est vrai.                

            Je ne devais pas dire qu'il y a des critiqueurs assis ici présent. Cela peut être quelqu'un qui est tout simplement méfiant et qui dit : " Eh bien maintenant, je - je me pose simplement des questions. " Voyez? Si seulement cette personne savait l'effet que cela avait, et l'influence que cela avait, eh bien alors, il dirait : " Non, je crois. Je crois, Seigneur. Seigneur, viens au secours de mon incrédulité. "                      

76.       Eh bien, qu'en serait-il si notre Seigneur Jésus Se tenait ici sur l'estrade ce soir, et qu'Il Se tenait juste là où je me tiens, eh bien que ferait-Il ? Eh bien, ne considérons pas cela selon notre propre conception. Considérons cela du point de vue biblique.                   

            Eh bien, d'abord, Il a dit : " Je ne peux faire que ce que Mon Père Me  montre. " Et qu'est-ce qu'Il… Qu'était-Il? Il était le Sacrifice pourvu par Jéhovah. Est-ce vrai? Croyez-vous qu'Il était Jéhovah-Jiré? Il était le Sacrifice pourvu par Dieu.         

Alors, lorsqu'Il est mort, Il est mort pour… Il était blessé pour nos péchés (Est-ce vrai?), brisé pour nos iniquités, le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, par Ses meurtrissures, qu'est-ce qui est arrivé? Nous serons? Nous avons été ; nous avons déjà été guéris. Allons-nous être sauvés? Nous avons déjà été sauvés. Voyez? Vous n'avez point été sauvé il y a juste deux ans, ou il y a dix ans, ou il y a vingt ans. Vous avez été sauvé il y a mille neuf cents ans. Vous avez tout simplement accepté cela il y a deux ans ou trois ans. Votre guérison est déjà accomplie. Vous n'avez qu'à l'accepter. C'est la raison pour laquelle Il a dit : " Si tu peux croire. "                       

77.       Maintenant, voici une dame debout. Est-ce elle la patiente? Cette dame ici, je ne l'ai jamais vue de ma vie. Placez-vous ici maintenant comme chrétien pour être en face de cette femme. Placez-vous ici comme chrétien pour être en face de cette assistance. Alors vous feriez mieux de vous rassurer que l'Ange de Dieu Se tient à côté. C'est vrai.                             

            Eh bien, qu'arriverait-il si dans cette ligne il y a des critiqueurs? C'est peut-être là qu'il y a l'oppression, je sens l'oppression. Et si c'est le cas? Alors peut-être le… Ils seront frappés ici même à l'estrade de la maladie qu'ils prétendent avoir. Voyez? Qu'arriverait-il si un critiqueur est assis là, et qu'une maladie est chassée d'ici et que cela allait dans l'assistance? Ce critiqueur attrapera cette maladie. Voyez? Combien savent que c'est vrai, et combien ont déjà vu cela plusieurs centaines de fois dans mes réunions? Voyez? Assurément.                 

78.       Beaucoup d'entr'eux sont dans un asile d'aliénés, et couchés malades, et tout le reste. Qu'en est-il de ce gars là qui est venu ce soir-là pour m'hypnotiser ? Il est toujours paralysé. Oui, oui. Il y a environ quatre ans, et il est toujours couché paralysé. Un hypnotiseur, il allait dans ces camps militaires hypnotisant les gens et tout, et il les faisait aboyer comme des chiens et tout. Mais on ne peut pas jouer avec Dieu. Non, monsieur.           

            Soyez vraiment respectueux et soyez en prière maintenant. Juste… Maintenant, que le Seigneur vous bénisse. Très bien. Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, pour la gloire de Dieu, le Père, et en tant que représentant de Son Fils, Jésus, je prends maintenant chaque esprit ici sous mon contrôle pour la gloire de Dieu.                        

79.       Bonsoir, madame. Eh bien, venez tout simplement ici, s'il vous plaît, madame. Nous sommes les premiers à nous entretenir et c'était - cela rendait les choses assez difficiles comme c'est la première personne. Cela… Ainsi, cela… Cette façon, eh bien, parfois cela me prend un peu de temps avant que je - que Cela commence à m'oindre. Je ne suis qu'un homme. Vous - vous en êtes consciente. Je ne suis qu'un homme. Mais Il est le Seigneur.                     

            Eh bien, s'Il Se tenait ici et que vous ayez un besoin, ou un désir… Eh bien, si c'est quelque chose qui fait partie de l'expiation… et qu'est-ce qui fait partie de l'expiation? Tout ce dont vous avez besoin. Voyez? Car Il a remplacé tout ce que nous avions perdu en - en Adam. Il a réalisé cela en souffrant à notre place à la croix. C'est là qu'Il a payé tout le prix. Eh bien, tout… Il a dit : " Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l'avez reçu, et vous le verrez s'accomplir."                        

80.       Maintenant, s'Il était ici et qu'Il vous parlait, tout ce qu'Il pourrait donc faire ce soir, si vous disiez, eh bien, peut-être vous disiez : " J'ai un besoin, je suis sur le point de perdre ma maison, et il me faut de l'argent pour - pour ma maison. " Eh bien, Il vous demanderait : " Crois-tu cela? "              

" Oui ".

Alors, Il vous dirait : " Si tu crois cela, tu le recevras. "           

            Si vous disiez : " Eh bien, j'ai été tellement maltraité, et mes ennemis m'accablent." ou quelque chose comme cela.

            Il dirait : " Pardonne-leur, et ils viendront à toi. " Voyez? Mais qu'arriverait-il si c'était une maladie, ou peut-être quelque chose qui ne va pas dans votre vie, ou un acte immoral ou quelque chose comme cela? Il saurait cela. Mais c'est pour… Si c'était pour la guérison, Il pourrait vous dire ce qui cloche en vous, mais Il ne pourrait pas vous guérir parce qu'Il l'a déjà fait. Comprenez-vous cela? C'est vrai. Eh bien, alors, s'Il est - s'Il est ici, je crois qu'Il est ici, alors Il répondra certainement de la même façon, n'est-ce pas? Croyez-vous cela, chrétiens? [L'assemblée dit : " Amen. " - N.D.E.]            

81.       Je - ne soyez pas pressés (Voyez?), soyez vraiment respectueux. Cette femme est très malade, car une ombre noire est suspendue entre elle et moi. Vous êtes sur le point de subir une opération, n'est-ce pas? C'est pour une tumeur. Elle se trouve sous le bras, c'est grave. Dieu seul peut vous aider. C'est la vérité, n'est-ce pas? Croyez-vous maintenant qu'Il est ici pour vous aider? Inclinons la tête.

Dieu notre Père, au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus, je pose les mains ici, là où le bistouri doit passer. Si cela ratait le petit endroit, le reste, Satan pourrait revenir immédiatement comme un lion rugissant. Mais Tu sais exactement où cela se trouve, c'est dévoilé ici même sur l'estrade. Dieu bienveillant et Tout-Puissant, je T'en prie, épargne la vie de cette femme, Père. Et elle sait qu'elle se tient ici dans la Présence d'un Etre qui la connaît. C'est Toi, ô Dieu ! Ecoute la prière de Ton serviteur. Il est dit dans la Bible : " La prière fervente du juste est d'une grande efficace. " Regarde tout simplement les hommes et les femmes ici en train de prier pour elle en ce moment. Ô Dieu, je T'en prie, au Nom de Jésus, épargne sa vie et laisse-la vivre. Et nous Te louerons pour cela, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant.           

82.       Bonsoir, madame. Maintenant, c'est un peu différent. Cette dame-là devait être la première il y a quelques instants, lorsqu'elle s'est rendue compte que Cela était là où elle se tenait, elle a pu ressentir les effets que Cela avait sur elle. Vous pouvez vous en rendre compte maintenant (Voyez?), que ce n'est pas votre frère. Je ne suis qu'un homme. Je ne vous ai jamais vue de ma vie, et peut-être que vous, vous ne m'avez jamais vu. Nous sommes tout simplement étrangers l'un à l'autre. N'est-ce pas vrai? Si Dieu m'aide et me dit ce pour quoi vous êtes ici, ce dont vous souffrez ou quoi que ce soit… S'Il me révèle tout simplement cela, l'accepteriez-vous comme votre Guérisseur? C'est tout ce que je peux faire avec un don divin.         

            Vous autres là-bas, allez-vous dire : "Je vais… " Cette femme, c'est la première fois que nous nous rencontrons ; est-ce vrai, madame? C'est vrai, n'est-ce pas? C'est vrai. Nous ne connaissons rien l'un de l'autre, pas de contact, rien. Nous sommes de parfaits étrangers. Et voici que nous nous rencontrons.          

83.       Maintenant, écoutez, mes amis, ne pouvez-vous - vous pas comprendre ce que ceci - ce que je veux dire? Eh bien, il y a quelque chose qui doit être ici, un moyen qu'il me faut pour savoir ce qu'il en est au sujet de cette femme. Si quelque chose est dit, je ne peux pas faire cela; je ne suis qu'un homme. Elle est là, ayant l'air d'une femme en bonne santé. Il peut même ne pas s'agir de sa santé, à ce que je sache. Mais ça peut aussi être ça ; je ne sais pas. Mais si le Saint-Esprit vient et lui dit simplement… Eh bien, quant à sa guérison, si c'est une maladie, je ne pourrais pas la guérir. Je n'ai aucune puissance pour faire cela. Personne d'autre n'en a. Cela doit venir de Dieu.                

            Eh bien, vous croyez que ceci est Sa Parole, n'est-ce pas? Vous croyez qu'Il est ressuscité des morts, n'est-ce pas? Vous croyez qu'Il a dit : " Les œuvres que Je fais, vous les ferez aussi. " Il a dit : " Je ne fais rien à moins que le Père me le montre. " Et les œuvres même qu'Il a faites s'accompliront ici ce soir. Quant à la guérir, s'il s'agit de la maladie, Il ne peut pas le faire. Il l'a déjà fait. Et tout ce qu'Il pourrait faire serait, d'une certaine façon, de l'amener à croire cela. Est-ce vrai? Combien savent que c'est vrai? Juste une certaine façon de l'amener à accepter ce qu'Il a accompli pour elle.                               

84.       Eh bien alors, si c'est le cas pour cette femme, ne serait-ce pas exactement le cas aussi pour vous autres là-bas ? Tout ce qu'Il veut que vous fassiez, c'est croire. Tout ce que j'essaye de vous amener à faire, c'est croire. Le prédicateur veut que vous croyiez parce qu'il prêche la Parole. Moi, par ce don divin qui m'a été donné souverainement par Dieu à ma naissance… Toute ma vie, cela a été ainsi, parfait chaque fois. Ainsi, ne voyez-vous pas que c'est Dieu qui essaie de vous amener à croire? J'espère que vous voyez cela, mes enfants bien-aimés.        

            Eh bien, entre moi et cette femme, je la vois se déplacer dans la cuisine ou quelque chose comme cela. C'est à table. Elle n'arrive pas à manger. Elle a des troubles gastriques. C'est vrai. Eh bien, n'est-ce pas vrai ce qu'Il a dit? Eh bien, s'Il est ici, que nous sommes étrangers, et qu'Il sait tout, qu'Il sait ce qu'était votre problème, cela ne suffit-il pas pour vous amener à croire? Cela suffit-il pour vous amener tous à croire? Mais maintenant regardez, eh bien, si je parle à cette femme pendant longtemps, Il me dira probablement quelque chose sur sa jeunesse, ou quelque chose comme cela. Voyons.          

            Allez-vous tous… Pas pour… Si Dieu veut… Voyez, c'est… Eh bien, je ne peux pas dire qu'Il le fera. Mais s'Il le fait, est-ce que cela vous encouragera doublement? Si c'est le cas, veuillez simplement lever la main, pour dire : " Cela m'encouragera doublement. " Très bien, eh bien, puisse Dieu accorder cela; je ne dis pas qu'Il le fera.      

85.       Je voudrais tout simplement vous parler. Quel était votre problème ? Qu'est-ce qui clochait en vous? Qu'est-ce qu'il a… des troubles gastriques. Oui, des troubles gastriques. Eh bien alors, s'Il guérit votre estomac, la maladie de votre estomac, Il est merveilleux, n'est-ce pas? Il est - Il est aimable. Et L'aimez-vous? Eh bien, Il est merveilleux, n'est-ce pas, l'aimable Seigneur Jésus? Et nous nous attendons à Lui maintenant.          

            Lorsque la femme au puits s'était tenue là et avait parlé à Jésus, Il a continué… Il a dit : " Donne-moi à boire. "

            Elle a dit : " Eh bien, il n'est pas de coutume pour les Juifs et… "

            Vous êtes de quelle origine? Espagnole? Mexicaine? Je le pensais.               

86.       Et Il a dit… C'est donc quelque chose de ce genre, n'est-ce pas, à peu près la même chose? Et oui, madame, vous avez un frère qui est malade. Il a un genre de crise, ou quelque… Oh! c'est une crise cardiaque. Il se tient le cœur et s'écroule. Je le vois. Je pensais que c'était l'épilepsie, mais ce sont des crises cardiaques; il tombe suite à des crises cardiaques. Vous lui avez parlé, et vous l'avez persuadé - vous l'avez persuadé de se faire baptiser pour devenir un vrai chrétien. C'est la vérité.

            Dieu notre Père, pour cette pauvre petite femme en larmes qui se tient ici, sachant que le Seigneur Jésus dont nous parlons est présent maintenant, notre Refuge, notre Appui, un Secours qui ne manque jamais dans la détresse, Ô Dieu ! sois miséricordieux et accorde-lui le désir de son cœur. Et peu importe ce qu'étaient ces choses, Seigneur, qui ne sont pas correctes, redresse-les, Père. En tant que Ton humble serviteur, et avec l'onction de Ton Esprit sur moi maintenant, je lui impose ces mains et je demande à Dieu, notre Père, par Jésus-Christ de lui accorder le désir de son cœur. Amen.

            Eh bien, sœur, vous êtes tout simplement tenue de recevoir ce que vous avez demandé, n'est-ce pas? Sentez-vous que vous vous êtes emparée de la ligne maintenant? Suivez-la tout simplement jusqu'à la maison. Amen. Que Dieu vous bénisse.              

87.       Ayez foi. Jésus a dit : " Ayez foi en Dieu. "  

            Je vois quelque chose se déplacer de haut en bas comme ceci, par ici, cela continue à se déplacer. C'est quelque chose d'élancé. Il y a quelqu'un en train d'écraser quelque chose. Oh! c'est un - c'est un médecin. Il est en train de consulter une femme. Et elle… C'est - c'est cette femme de couleur assise juste ici. Elle souffre d'hypotension, elle est assise juste ici à… Que Dieu vous bénisse. Eh bien, vous pouvez rentrer chez vous bien portante. Suivez cette ligne que vous venez de toucher tout à l'heure; elle vous mènera à la délivrance. Amen. Amen.           

            Croyez-vous maintenant? Le Seigneur Jésus, le Fils de Dieu, Sa Présence est ici. La femme là… Voyez, tout ce que vous devez faire, c'est croire tout simplement. Voyez, ce n'est pas moi ; de ma vie, je n'ai jamais vu cette femme. Je ne sais rien d'elle. Dieu le sait. Mais sa foi a contacté l'Esprit. Voyez? Et qu'est-ce que cela a fait? Exactement la même chose que pour la femme qui avait la perte de sang : Il s'est tourné vers l'assistance et Il a dit : " Ta foi t'a sauvée. " Voyez? C'est ça. Que Dieu vous bénisse. Ayez foi.

88.       Que le Seigneur vous bénisse, madame. Que Dieu soit miséricordieux envers vous, c'est ma sincère prière. Nous sommes étrangers l'un à l'autre, je suppose. Nous le sommes. Et croyez-vous que le Seigneur Jésus est exactement tel que je L'ai présenté là dans la Bible, qu'Il est ressuscité des morts et qu'Il est l'aimable Fils de Dieu ? Croyez-vous cela de tout votre cœur ? Si le Seigneur Jésus me révèle ce qu'est votre problème, allez-vous alors L'accepter comme le Guérisseur des maladies, si c'est cela ? Allez-vous le faire ? Vous le ferez. Que Dieu vous bénisse, maman. En effet, vous êtes une mère, je vois que vous l'êtes. Eh bien, votre vie ne peut pas être cachée. Voyez-vous ? J'ai contacté votre esprit et votre vie.                      

            Et vous êtes ici pour que je prie pour vous, vous avez de l'hypertension. Vous aviez l'hypertension. Et vous avez quelque chose, et je vois quelqu'un examiner vos genoux. C'est le - c'est un liquide qui provient de dessous les rotules. C'est vrai, n'est-ce pas ? Eh bien, s'Il peut révéler cela, Il peut vous guérir, n'est-ce pas ? Assurément. Oui, madame. Certainement qu'Il le peut. N'est-Il pas aimable en aidant cette pauvre femme ? Qu'est-ce qu'Il essaie de faire ? L'amener à croire, élever sa foi. Soyez très respectueux, tout le monde, je vous en prie.                                 

89.       Peut-être que nous parlerons juste un instant, maman. Cela… Voudriez-vous que je vous parle une minute ? Très bien, je vais vous parler. Très bien, maintenant, j'aimerais donc vous poser une question. Si vous croyez que je suis Son serviteur… Eh bien, croyez-vous que Dieu peut me parler et me dire ce que vous êtes - ce que - ce que -ce que vous voulez, ce que - ce que vous désirez d'autre ? Je vois ce que c'est maintenant même. Oui, oui. C'est pour un - un fils ou plutôt un petit-fils. C'est un petit-fils. Et le garçon est très nerveux. Il est tout bouleversé. Il - il est un - il a été à la guerre. Il était en Corée. Il a été blessé. Et il est revenu à la maison. Et il n'a pas de travail, il est tout bouleversé. C'est la vérité. Rentrez chez vous ; il va trouver du travail, et vous, vous êtes guérie. Que Dieu vous bénisse.                 

            Croyez au Seigneur Jésus. Ayez seulement foi ; vous recevrez ce que vous demandez. Si vous n'avez pas de foi, vous ne pouvez rien avoir. Car par la foi… Sans la foi, il est impossible d'être agréable à Dieu.                             

90.       Eh bien, cette dame m'est étrangère. Est-ce vrai, madame ? Nous sommes… S'il vous plaît, soyez aussi respectueux que possible. Nous allons terminer dans quelques minutes. Je n'aimerais pas vous ennuyer avec de longues réunions, mais j'essaie de prendre mon temps sur ces gens pour voir si cela édifiera la foi de l'assistance. Ne vous déplacez pas, s'il vous plaît, ne faites pas cela. Voyez-vous ? L'Esprit est en train de s'établir venant d'un endroit, un endroit, comme ceci. Alors ici, cela change et on se déplace, et ça vous dérange. Voyez ? Cela - cela - cela m'affaiblit plus vite. Eh bien, juste un instant maintenant.                                 

91.       Maintenant, pour vous, sœur. Nous sommes étrangers l'un à l'autre. Nous ne nous connaissons pas, nous ne nous sommes jamais vus dans la vie. Mais croyez-vous que le Seigneur Jésus est ici pour vous aider ? Vous êtes ici pour quelqu'un d'autre. Oui, oui. Il n'habite pas ici. Il est de Duluth. Et puis vous avez… Vous - vous êtes… Cette personne a l'arthrite, elle ne peut pas se lever. Et il y a quelque chose au sujet d'un soldat. Il - il était un soldat, c'est ce que c'était. Et il - il a été blessé à cheval, il s'est blessé lui-même. Eh bien, ce mouchoir que vous avez en main, pendant que le Saint-Esprit est sur vous, prenez cela et posez-le sur lui. Que Dieu vous bénisse au Nom du Seigneur Jésus.                 

            Croyez-vous que tout est possible ? Il y avait quelque chose au sujet d'un soldat, il y a quelques minutes. Et voilà un soldat là, je pensais que c'était… Cela se répète encore, et c'est la raison pour laquelle je - j'ai regardé pour voir où c'était. Mais c'était - mais c'était autre chose.          

            La dame assise là en train de me regarder, juste là, vous avez l'arthrite, n'est-ce pas, madame ? Madame assise là, avec un petit quelque chose de rond autour du chapeau, là au bout de la rangée. Voulez-vous que le Seigneur Jésus vous guérisse de cela ? Croyez-vous de tout votre cœur qu'Il va le faire? La dame assise à côté de vous a aussi l'arthrite. Vous êtes dérangée par l'une ou l'autre chose, qui sort dans la bouche. Oh ! c'est la bile. Vous av-… Est-ce vrai ? Assurément, c'est vrai. Posez vos bras, ou plutôt les mains l'une sur l'autre là. Vous tous, imposez-vous les mains.                 

            Seigneur Jésus, Tu vois ces choses, et je Te prie de la guérir et de la rétablir complètement, toutes les deux, Père, pour Ta gloire, au Nom de Jésus-Christ. Amen.                  

92.       Cette femme assise là au fond en train de prier, je vois la Lumière se tenir au-dessus de vous. Vous souffrez d'une affection de la vessie, madame. Vous croyez… assise juste, en petite robe brune, en train de me regarder juste ici, la voilà. Vous aviez une affection de vessie, n'est-ce pas ? J'ai dit : " Vous l'aviez, n'est-ce pas ? " Vous n'en avez plus maintenant.             

            Là au fond derrière vous, une autre dame en manteau brun, elle a des troubles gastriques. Elle aimerait aussi être guérie. Croyez-vous, madame ?  Vous qui êtes assise juste là derrière, le gentleman là, en train de me regarder, juste tout droit là derrière… Oui, avec votre main levée, vous qui portez on dirait un petit pull-over vert. Non, par ici, sœur, juste ici. Non, levez-vous, madame, vous, juste ici avec le… assise là au bout de la rangée. D'accord, avec la main levée, c'est là que la Lumière se tient, juste là. Levez-vous et acceptez cela maintenant même pendant que vous en avez l'occasion. C'est vrai. Que Dieu vous bénisse, vous aviez des ulcères à l'estomac, cela est complètement parti maintenant. Votre foi vous a guérie.                

93.       Que Dieu accorde que cela s'approche davantage. On dirait que quand vous êtes là au fond … La petite dame, assise par ici où j'ai pointé le doigt. Juste de l'autre côté. Je pensais que c'était au-dessus d'elle. Je vois que c'est de nouveau au-dessus d'elle. Mais je vois quelque chose… C'est la dame qui a la main levée. Vous qui avez levé la main, mettez-vous debout. Vous qui portez un chapeau rouge vif. Oui. Je pensais que c'était la petite dame assise en face de vous, mais il s'agit de vous. Oh ! c'est une affection de vessie ; c'est cela. Oui, je vois cela maintenant, quand on a fait l'examen de la vessie, sous cette côte-ci où il y a ces douleurs. C'est vrai. Rentrez chez vous maintenant, que Jésus-Christ vous bénisse, ma sœur.   

            Croyez-vous ? " Si tu peux croire, tout est possible. " Ayez foi. La petite dame, assise juste par ici avec - souffrant d'une maladie de femmes, ayez tout simplement foi en Dieu, madame. C'est tout ce que vous devez faire. Dieu vous accordera votre guérison. C'est vrai, vous, oui. Mettez-vous debout. Maintenant, vous pouvez rentrer chez vous et être bien portante. Que Dieu vous bénisse.                                 

94.       Cette dame-ci souffrait aussi d'une maladie de femmes. C'est là que ce démon était en train de tirer dans tous les sens. Vous avez une maladie de femmes. C'est vrai. Voyez, cet esprit était en train de se déplacer dans tous les sens. Il y avait quelqu'un là qui venait d'être guéri de la gastrite, en effet, vous aviez aussi la gastrite. C'est vrai. Vous avez une infection, le - a-t-on dit dans les glandes féminines, le médecin vous a dit que c'était une infection. C'est vrai. Je vois ces démons en train de se tirer les uns les autres, on peut les reconnaître de cette façon.           

            Eh bien, voici la chose dont vous avez plus besoin ; vous avez besoin de Jésus comme votre Sauveur, parce que vous n'êtes pas une chrétienne ; vous êtes une incroyante. Pas une incroyante, mais vous êtes - vous n'êtes pas une chrétienne. Voudriez-vous L'accepter maintenant, sachant que vous vous tenez dans Sa Présence ? L'acceptez-vous maintenant comme Sauveur ? Approchez.

Ô Dieu ! alors que cette enfant qui errait revient à la maison ce soir, cette affliction était là pour l'amener au pied de la croix, et maintenant, Seigneur, pardonne-lui chaque péché, guéris-la des maladies de son corps afin qu'elle soit bien portante. Puisse cette bénédiction venir sur elle, Père, et tous les péchés être pardonnés maintenant, toutes les mauvaises habitudes disparaître. Et puisse-t-elle être complètement rétablie alors que je la bénis au Nom de Jésus-Christ. Amen.             

            Votre péché vous ayant été pardonné maintenant, allez en vous réjouissant et soyez heureuse. Croyez-vous de tout votre cœur ? Maintenant, soyez respectueux, s'il vous plaît.                     

95.       Sœur, regardez ici juste une minute. Croyez-vous de tout votre cœur ? Eh bien, votre nervosité vous a quittée maintenant. Vous pouvez rentrer chez vous. Vous vous sentez calme maintenant, n'est-ce pas ? Vous êtes guérie. Jésus vous a rétablie.

Mère, voudriez-vous guérir de ce vieux diabète afin que vous puissiez vraiment mener encore une bonne vie et bien vous sentir ? Croyez-vous que Jésus va vous guérir ? Si je vous impose les mains et que je prie, allez-vous - allez-vous recevoir cela ? Effectivement, bien sûr que vous voyez cet eczéma, ou cette éruption, mais cela… La chose principale, la chose cachée, c'est le diabète.

            Seigneur Jésus, exauce la requête de notre sœur au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Ayez foi maintenant. Allez, croyant de tout votre cœur et vous obtiendrez ce que vous demandez.  

96.       Venez, frère. Me croyez-vous ? La croix que vous avez suspendue là sur vous, le crucifix du Seigneur Jésus est suspendu exactement là où se trouve votre maladie : votre estomac. Eh bien, allez manger ce que vous voulez.        

            La maladie d'affaiblissement de femme, vous avez aussi le diabète. Croyez-vous que Jésus vous rétablit ? Que Dieu vous bénisse. Allez donc et que le Seigneur Jésus vous bénisse… ?…

            Votre maladie, c'est à la gorge. L'asthme vous pousse à tousser. Vous n'arrivez pas à vous étendre, vous devez vous tenir debout comme ceci. Croyez-vous qu'Il vous a guérie?

            Dieu Tout-Puissant, accorde les bénédictions à cette fille au Nom de Jésus. Amen. 

            Croyez-vous que l'affection de reins et autres vous ont quitté lorsque vous étiez assis là ? Que Dieu vous bénisse… ?… Croyez-le de tout votre cœur. Pensez-vous que vous pouvez cesser de prendre l'insuline, et que le Seigneur vous a guéri? Poursuivez votre chemin en vous réjouissant. 

97.       Les troubles cardiaques, il n'y a rien de difficile pour Dieu, n'est-ce pas ? Il guérit simplement toutes sortes de maladies. Que Dieu vous bénisse. Rentrez en vous réjouissant, étant heureux. Et vous aviez la même chose. Continuez tout simplement à avancer ; Dieu vous a rétabli. Et Il rétablira chaque personne dans ce bâtiment maintenant même si vous le croyez. Allez-vous croire cela ? Mettez-vous debout juste une minute. " Dieu est notre Refuge et notre Appui, un Secours qui ne manque jamais dans la détresse. " La crise sévit ; la bataille est engagée. Levez les mains et touchez la ligne de sauvetage maintenant et rentrez chez vous avec cela. Puissiez-vous recevoir cela au Nom de Jésus-Christ.

Up