QU'Y A-T-IL DANS TA MAIN?

Date: 55-1120 | La durée est de: 1 heure 46 minutes | La traduction: Shp
doc pdf
Voir le texte français seulement Voir le texte anglais seulement

1.         Gloire soit rendue à Dieu ! Oh ! la la ! cela ne vous fait-il pas beaucoup de bien ? Très ravi… Tous ceux qui apprécient le cantique de frère Einar et de frère Waermo, levez simplement la main. Je voudrais vous montrer, frères, combien on les a appréciés.

            Il n'y a pas longtemps, je pensais m'acquérir peut-être… commencer à m'acheter une tente, une tente d'une bonne dimension, et voir si je peux me faire accompagner de ces frères et faire continuellement le tour des nations, les… chanter et prêcher l'Evangile, prier pour les malades, m'occuper en quelque sorte jusqu'à ce que le Seigneur vienne, vous voyez, jusqu'à ce que tout sera donc terminé. Alors nous pourrons rentrer à la maison, et alors je vais juste les écouter chanter le glorieux Evangile jour et nuit… toute la journée, car il n'y a pas de nuit là-bas, là dans l'autre monde.

            Frère Waermo et frère Ekberg, Dieu seul sait combien j'apprécie vos cantiques. Eh bien, vous voyez combien l'assemblée les apprécie. Nous vous remercions, frères, du fond de nos cœurs.

2.         Il y a un jeune frère assis ici, John ; c'est tout ce que je connais de son nom. Il est plombier, je pense. Et j'espère qu'il amène tous les plombiers de la Californie à avoir le même genre d'attitude que lui envers Christ. Ç'a été merveilleux de bénéficier de son aide, et il a - il a travaillé jour et nuit ; il se lève à cinq heures du matin et s'en va et fait cinquante miles [80 km - N.D.T.] en voiture pour aller travailler, puis il revient. Il vient par ici et - et reste ici, peut-être jusqu'à minuit et alors… Vous savez, c'est un travail difficile. Vous voyez ? Et il l'a fait gratuitement. Et nous l'aimons pour cela, n'est-ce pas ? Nous apprécions tous cela, frère.

3.         Je ne vois pas le petit frère Arganbright. Il est peut-être par ici quelque part. Il est peut-être déjà ici dans la salle. C'est un autre vaillant petit soldat de Dieu. S'il n'est pas ici, eh bien, ce n'est pas grave. Je ne veux pas qu'il entende cela de toute façon. Je veux que ce soit vous qui l'entendiez. Vous voyez ? C'est un vrai, vrai frère. Juste… Je le connais depuis quelque temps, et c'est l'un des petits hommes les plus gentils que j'aie jamais vus de ma vie. Et sa toute petite femme irlandaise, juste comme… Les deux ensemble font une personne de bonne taille, vous voyez, ils sont si petits. Et ainsi… Et nous restions chez eux. Et vous parlez d'un foyer aimable, c'est toujours ouvert, en prière, semblable à Christ. Nous apprécions certainement frère et sœur Arganbright, ainsi que tous les amis du mont Sion, là-haut. Ils appellent cela le mont Sion. Toute la - l'atmosphère là-bas, c'est le christianisme. Et ainsi, nous sommes heureux pour eux et pour ses efforts.

            Eh bien, frère Arganbright ne manque jamais des choses à faire pour le Seigneur Jésus. Et il ne les fait jamais à contrecœur ; il part volontiers et les fait. Je n'aurais même pas fait de voyages outre-mer n'eût été son assistance. Et il a un fardeau sur le cœur. Lorsqu'il a un fardeau pour une nation, le voilà qui vient. Je vois une… sa voiture entrer dans la cour et je comprends, eh bien,… Meda dit, mon épouse, elle dit : " Eh bien, nous voilà de nouveau en voyage pour outre-mer, n'est-ce pas ? " Donc, frère Arganbright avec un fardeau sur le cœur…

4.         Et c'est un petit homme si pieux que même quand je n'ai pas de conduite, je vais quand même avec lui, car je sais que Dieu le conduit. Et nous l'apprécions donc de tout notre cœur. Et si, un jour, vous le voyez, dites-le-lui. C'est lui qui m'a amené ici. J'étais loin en Suisse. C'est depuis des années qu'il me disait : " J'ai un fardeau pour la vallée de San Fernando. "

            Et j'ai dit : " Eh bien, ça se trouve où ? " Et je suis… ne connais pas très bien cette contrée.

            " C'est loin là-bas, il y a là un peuple négligé ; il y a quelques petites églises établies là et les gens se débattent durement. " Je… Il a dit : " Voudriez-vous aller là-haut ? Eh bien, il se peut que vous n'ayez pas beaucoup de gens dans l'assemblée, mais voulez-vous y aller ? "

            J'ai dit : " Même s'il n'y en a qu'un, ce sera en ordre. Vous voyez ? Cela ne change rien du tout le lieu où cela se trouve. "

            Vous savez, cela pourrait paraître bizarre pour les gens. Nous ne regardons jamais au nombre. Nous, nous ne regardons jamais à la qualité, nous regardons à la quantité. C'est ce que nous cherchons.

            Une fois, Philippe tenait un grand réveil en Samarie. Et Dieu l'a appelé de ce grand auditoire pour qu'il aille au désert rencontrer une seule personne, et Il ne lui a jamais demandé de retourner là. Est-ce juste ? Vous voyez ? Nous - nous considérons donc cela sous ce rapport ; c'est alors différent.

5.         A vous tous les pasteurs ici présents qui collaborez, qui collaborez avec eux. Je ne connais pas les frères, mais c'est un groupe de braves hommes. Et vous, nouveaux convertis de cette partie du pays, allez dans leurs églises. Aidez-les. J'essayerais de soutenir des gens qui croient dans ce genre de ministère. Pas vous ? Un Evangile, le Plein Evangile et… Allez dans leurs églises. Il y a d'autres bonnes églises ici, et nous les apprécions toutes. Tous ces hommes, vos efforts… mon précieux frère, je prie Dieu de vous aider et de vous bénir en tout.

            Et puis, à l'intention des huissiers, ils ont fait un travail formidable. Et nous les apprécions, même le concierge qui est dans les environs. Tout le monde a été très gentil envers vous.

6.         Frère Arganbright, j'essaye de le contacter. D'habitude, après le service, on prélève une offrande d'amour pour moi. Eh bien, je… je n'ai jamais prélevé une offrande de ma vie. Une fois je me suis mis à le faire ; je n'oublierai jamais cela.

            J'ai été pasteur d'une église pendant douze ans et jamais je n'ai prélevé un centime de ma vie. Je travaillais et je supportais - devais supporter l'église. Je me rappelle donc l'après-midi où je suis arrivé et, oh ! la la ! nous étions sérieusement coincés cette semaine-là. Et vous savez comment on en arrive à ce point où on ne sait pas nouer les deux bouts du mois, vous savez. Ce - c'est quand ça va mal.

            Et j'ai dit : " Tu sais, chérie… " Ce n'est donc pas parce qu'ils ne m'auraient pas aidé. Pas du tout. Ce petit tabernacle, ils vendraient tous leurs - leurs habits pour me venir en aide. Et je - je les apprécie, mais c'est juste parce que je ne voudrais pas prendre cela. Je - je pensais donc que j'étais capable de travailler, pourquoi ne pas travailler.

            Et je vous dis la vérité. Je dis ceci du fond de mon cœur. Je souhaiterais, lorsque je vais faire ces campagnes, pouvoir trouver quelque part un bon travail, même s'il s'agit juste de fendre du bois ou casser le béton, ou quelque chose de ce genre. C'est la vérité. Je le dis du fond de mon cœur. Afin que je puisse ne fût-ce que supporter ma famille ou quelque chose de ce genre. Mais ils prélèvent une petite offrande d'amour pour m'aider à supporter ma famille.

7.         Et ainsi, je me souviens que j'en ai parlé à ma femme. J'ai dit : " Je vais prélever une offrande ce soir. "

            Elle a dit : " Parole d'honneur ? "

            Et j'ai dit : " Huh huh. "

            Alors elle a dit : " Je serai là pour t'y voir. "

            Elle - elle est donc venue et s'est perchée juste devant moi. Je me suis levé et j'ai dit : " Eh bien, mes amis, ai-je dit, je n'aime pas faire ceci. " J'ai dit : " Mais j'ai un petit problème. " J'ai dit : " Si un des frères voudrait bien faire circuler le chapeau… " J'ai dit : " Je déteste vous demander cela, mais, ai-je dit, si vous voulez bien m'aider avec quelques pièces de cinq centimes, ai-je dit, il me manque environ cinq dollars. " J'ai dit : " Je ne m'en sors pas, et j'ai une dette et j'ai promis de la régler, mais je n'y arrive pas. " J'ai dit : " Si vous voulez bien m'aider, j'apprécierai cela. "

            Le vieux diacre se leva et me regarda, le pauvre vieux frère Wisehart, si par hasard l'un de vous tous est des alentours… il a tendu la main et a pris son chapeau. Et j'ai baissé les yeux. En bas à ma droite était assise une petite femme âgée, du nom de madame Webber. Elle était assise là, une vieille et sainte petite femme très pieuse. Et elle a plongé la main sous le petit tablier qu'elle portait par-dessus sa robe. Les femmes bien souvent s'habillent comme cela dans le Sud. Et elle avait une poche ici, sous le tablier, elle a fait sortir un petit porte-monnaie grand à peu près comme ça, muni d'un petit bouton-pression. Elle l'a retourné puis s'est mise à prendre là des pièces de cinq centimes. Mmmmm. Je ne pouvais pas faire cela ! Je l'ai regardée. J'ai dit : " Oh ! je vous taquinais tout simplement vous tous. Je n'en avais pas l'intention. "

8.         Et ainsi, frère Wisehart avait mon chapeau… le chapeau, et il a dit… J'ai dit : " Oh ! Frère Wisehart, je ne faisais que porter. Vous voyez ? " Je vous assure, je ne pouvais pas dépenser cela pour ma survie, de voir cette pauvre petite créature tendre le bras et faire sortir ces pièces de cinq centimes de sa petite… Non, non, pas ça.

Et savez-vous ce que j'ai fait ? Un frère âgé du nom de frère Ryan avait l'habitude de venir chez moi. Il m'a suivi à l'ouest. Tous ils… tout… Il n'y a pas longtemps, il s'en est allé dans la gloire. Il avait à peu près quatre-vingts ans, et portait une longue barbe blanche. Et il avait des cheveux… Je m'en prenais à lui à ce sujet. Mais, je… Les hommes ne devraient pas porter de longs cheveux. Et je l'accusais d'être de la Maison de David, mais c'était un frère pentecôtiste.

            Et ainsi, il avait… Il roulait à bicyclette là, de Dowagiac, dans le Michigan. Et il m'a offert la bicyclette. Elle n'avait pas de garde-boue et à peine des pneus ; elle était en très mauvais état. Et je l'ai rangée là dans un vieux petit hangar à charbon. Je suis donc allé me procurer une boite de peinture à dix cents, là au bazar ; je l'ai entièrement repeinte, j'y ai mis une affiche de vente, et je l'ai vendue à cinq dollars ; et je n'ai même pas eu besoin - prélever une offrande. C'est donc à peu près ça l'offrande que j'ai jamais prélevée.

9.         Ainsi donc… Dans la réunion et… Peut-être qu'ils l'ont fait. J'ai dit à frère Arganbright… Maintenant, écoutez. Tous les efforts que vous, mes chers… Nous n'avons eu qu'un petit groupe, et les dépenses étaient élevées, et je sais que c'est… que vous avez fait tout votre possible. Et je vous ne savez pas combien j'apprécie cela. Je suis désolé d'être même obligé de prendre cela. Si je pouvais souscrire cela, je le ferais. Mais, oh, frère, je - je ne pouvais pas le faire. Et je - et j'apprécie vos efforts. Dieu va… Je prie qu'Il vous le multiplie au centuple.

            Mais j'ai appris (par le téléphone arabe, vous savez) qu'on n'a pas pu faire face aux dépenses. J'ai dit à frère Arganbright que s'il prélevait une offrande d'amour pour moi, qu'il l'affecte aux dépenses de l'église. Et j'avais trois cents dollars pour commencer ici ; cela était acquis précédemment dans une autre série de réunions. J'avais assez pour rentrer chez moi et je pouvais payer ma facture et tout pendant que j'étais ici. Cela aurait bien marché.

10.       Et maintenant, cette série de réunions… frappant cela. Ce ne sont pas vos dépenses, mais en quelque sorte cela… Il se peut que nous soyons en dehors de la section ou quelque chose d'autre ; on n'a pas eu suffisamment de gens pour couvrir les dépenses. J'ai manqué cela deux ou trois fois, et les deux fois, c'était en Californie : une fois, c'était ailleurs, et l'autre fois, ici. Et j'ai promis au Seigneur que lorsque mes réunions en arriveraient au point où elles ne se supporteraient pas financièrement… Et je ne laisserai jamais les gens mendier. Si quelqu'un mendie de l'argent, ou qu'on dise " Qui va offrir cinquante dollars ? " Et ainsi de suite, nous arrêtons à ce moment-là. Oui, oui. Je ne crois pas à ça. Non, non. Dieu est capable. Et j'ai dit : " Maintenant, Seigneur, si Tu ne me soutiens plus, alors c'est le moment pour moi de rentrer chez moi. "

            Ainsi donc - donc, je ne crois pas dans le fait de mendier de l'argent. Mais toutefois, nous avons un moyen, alors Dieu a frayé une voie pour nous maintenant, de sorte que par nos efforts nous - nous puissions nous acquitter de tout, et on en prendra soin comme il faut. Eh bien, ce n'est pas pour dire maintenant… Rappelez-vous, vous chers amis qui y avez placé de l'argent et qui avez fait tout votre possible, si - si vous - si vous avez besoin de quelque chose et - et qu'il n'y a pas assez pour y arriver, et que tout le monde… vous - vous n'y arrivez pas, vous savez, j'en sais quelque chose.

            Qu'arriverait-il si cet après-midi quelqu'un venait me faire une demande, disant : " Frère Branham, je souhaite que vous me donniez cinq mille dollars. "

            " Oh, frère, j'aurais souhaité pouvoir le faire. " Mais je ne suis pas en mesure de le faire, c'est donc… vous comprenez ce que je veux dire.

11.       Eh bien, nous apprécions tous vos efforts. Et que Dieu vous bénisse. J'espère qu'un jour, Dieu voulant, et avec votre permission, je pourrai revenir pour rester un peu plus longtemps, alors nous pourrons peut-être avoir une série de réunions plus importantes, un jour quand nous reviendrons à San Fernando. [L'assemblée applaudit. - N.D.E.] Merci, tous mes remerciements. Tous mes remerciements..

12.       Pour éviter à ma femme de s'évanouir complètement, lorsqu'elle sait qu'elle va devoir monter sur l'estrade, elle est… Je suis arrivé à la maison, là où elle était, juste avant qu'ils ne s'en aillent. On m'a amené et on a vidé les lieux afin que je puisse étudier. Elle est la petite créature la plus nerveuse que j'aie jamais vue de ma vie. J'ai eu pitié d'elle.

            Elle a dit : " Billy, devrai-je vraiment monter là ? "

            Et j'ai dit : " Monte simplement sur l'estrade, chérie. "

            Elle a dit : " Oh, oh, je… [Frère Branham rit. - N.D.E.]

            " N'y pense pas. " Elle veut monter avant que l'Onction ne descende. Ma femme, aussi tendre et timide qu'elle est, elle reste toutefois quelqu'une de très spirituelle. Et je le dis parce qu'elle va probablement monter et descendre, et j'espère et je crois que tout jeune homme dans ce bâtiment et que tout jeune couple aujourd'hui… Et quand vous serez mariés, que vous aurez une vie heureuse ensemble comme elle et moi depuis presque quinze ans que nous sommes mariés, cela a été comme le ciel sur la terre. Et si un quelconque honneur doit être rendu à la famille Branham, rendez-le à elle. C'est elle qui le mérite. C'est juste. [L'assemblée applaudit. - N.D.E.] Une véritable femme, une véritable… ?... Très bien, chérie, où que tu sois… Elle est ici quelque part.

13.       Et je veux qu'elle et ma fillette, Sara… J'ai une petite Rebecca, une petite Sara, et un Joseph. Combien se souviennent que lorsque je suis venu pour la première fois en Californie, cela fait plusieurs années, que je vous avais dit que j'allais avoir un Joseph ? Faites voir vos mains. Et ce qui était étrange, l'enfant qui naquit après était une - une fille. Mais le Seigneur m'avait dit que j'aurais un Joseph. Le médecin avait dit : " Elle ne peut plus avoir d'enfants. " Il avait dit : " Cette césarienne… " Mon épouse doit accoucher par césarienne, elle comme sa famille.

            Et ainsi, la petite Sara était née, et elle est assez garçon manqué pour être un Joseph. Mais après tout, après plusieurs années, le petit Joseph est venu. Il pèse dix-huit livres [8,15kg - N.D.T.] et il a six mois, et nous l'aimons de tout notre cœur. [L'assemblée applaudit. - N.D.E.] Frère et sœur, c'est mon épouse, madame Branham. Merci.

14.       [Frère Branham parle à la sœur Branham. - N.D.E.] Prends un micro. Eh bien, tu ne vas pas t'évanouir. Ainsi donc… Ha ha ha.

            [Sœur Branham dit : " Je suis certainement ravie d'être ici, mes amis, et de vous rencontrer, toutes ces aimables personnes que vous êtes. Et j'apprécie vraiment ces réunions, et la Présence du Seigneur. "]

            Merci, chérie. C'est le mieux que tu aies jamais fait. Merci.

            [Frère Branham parle à sa fillette. - N.D.E.] Tu veux dire un petit mot, Sara?

            Oh ! elle est aussi timide que sa mère. Eh bien, merci, chérie, et merci à la petite Sara, et…

            Eh bien, c'est là la petite dame que vous entendez au téléphone, qui reste jour et nuit au téléphone, à la porte, constamment, tout le temps et reçoit les gens. Elle a trente-six ans maintenant et elle a la tête presque blanche comme neige et elle frôle une dépression nerveuse maintenant même, en effet elle est vraiment en difficulté. Elle se tient entre moi et le public du monde, du monde entier. Et elle passe vraiment par des moments [difficiles]. Que Dieu bénisse sa noble âme, et qu'elle soit un jour pour toujours là où vont toutes les braves mères,. Que le Seigneur la bénisse !

            Je vous remercie tous de l'avoir si bien accueillie. Nous - nous vous aimons de… beaucoup pour cela.

15.       Et maintenant, voici quelques mouchoirs sur lesquels on doit prier. Et doit-on prier sur ces gants ? [Un frère dit : " Non, quelqu'un les a perdus. " - N.D.E.] Quelqu'un les a perdus. Eh bien, ce que je fais pendant les - pendant les services, j'obtiens des gants, j'obtiens des petites chaussettes pour enfants.

            Et récemment, je… C'est un peu malin. Nous avons un peu de temps pour communier, n'est-ce pas, avant de commencer ?

16.       Je traversais la Louisiane, et nous allions très loin dans le Sud de la Louisiane pour tenir une réunion. Et pendant que j'étais là, j'ai perdu une valise du dessus de la voiture, tout juste dans le quartier des gens de couleur. Monsieur Moore m'a dit, il a dit : " Frère Branham, vous n'avez aucune chance, a-t-il dit, vous ne reverrez plus jamais cette valise. Et vous n'avez même pas un mouchoir de poche, a-t-il dit, qu'allez-vous faire ? "

            J'ai dit : " Eh bien, je…Tout ce que je vais faire, c'est d'aller droit de l'avant pour prêcher l'Evangile. "

Il a dit : " Eh bien, écoutez donc, Frère Branham, a-t-il dit, ces gens de couleur, a-t-il dit, c'est un quartier pauvre là-bas. "

J'ai dit : " Cela ne fait pas de mal. " J'a dit : " Les gens de couleur sont comme moi, et je les aime. "

Il a dit : " Eh bien, si les… "

            J'ai dit : " Ma Bible s'y trouvait. " Quelqu'un venait de m'offrir un nouveau costume, et il s'y trouvait. Je portais un vieux costume délabré et usé.

            Et il a dit - a dit : " Tout ce que vous avez se trouve dans cette valise. "

            Et j'ai dit : " Oui, c'est en ordre. " Je - j'ai dit : " Eh bien, ma Bible s'y trouve. "

            Il a dit : " Eh bien, si donc un des pécheurs la trouve, il jettera la Bible et il prendra les costumes et s'en ira. " Et il a dit : " Et vous ne pourrez pas gagner. " Il a dit : " Si les chrétiens la trouvent et s'ils savent qui vous êtes, ils vont découper ces costumes en morceaux et vont s'envoyer des tissus de prière les uns aux autres. Qu'allez-vous donc faire ? " Il a dit : " Nous devons partir. "

17.       Et nous sommes allés très loin dans le Sud de cet Etat, là où nous allions tenir la réunion, et nous sommes arrivés là dans une petite ville, et les gens étaient donc… Ensuite, un policier s'est approché. Et il lui a parlé, disant : " Voudriez-vous aussi signaler par radio qu'un prédicateur a perdu sa valise là-bas ? "

            Et il a dit : " Bien sûr. " (Vous connaissez cet accent du Sud.)

            Il a dit : " Hé, ce n'est pas la valise de frère Branham, n'est-ce pas ? "

            Il a dit : " Si. "

            Eh bien, il a dit : " Il a prié pour ma mère, elle était dans un fauteuil roulant, et elle a été guérie. " Il a dit : " Je vais bien sûr chercher cette valise. " Et il est parti, et il a envoyé le message par radio pendant deux ou trois jours. Non, aucune suite positive nulle part.

18.       Alors frère Moore a dit : " Il n'y a rien à ce sujet, Frère Branham. On va là vous acheter un nouveau costume pour remplacer vos costumes et tout, et vous procurer quelques chemises. "

            J'ai dit : " Celle-ci n'est pas trop sale. Elle est bien. " Et ainsi j'allais prêcher et immédiatement.

            Et ensuite, j'étais sur… Il a dit : " Non, nous n'allons plus supporter cela. Vous allez partir immédiatement. "

            Et le téléphone sonna, et on a dit : " Dites donc, quelqu'un a besoin de vous au téléphone, M. Moore. "

            Il y alla, et un brave jeune homme de couleur a dit : " Hé, est-ce vous, M. Jack ? "

            Il a dit : " Oui. "

            Il a dit : " Frère Branham est-il - est-il avec vous ? "

            Il a dit : " Oui. "

            Il a dit : " Dites à M. Bill que j'ai déjà retrouvé sa valise. Je viens avec. " [Frère Branham rit. - N.D.E.]

            J'ai dit : " Frère Moore, où est votre foi ? " C'est juste.

19.       Eh bien, que le Seigneur soit béni. Prions maintenant pendant que nous prions pour les mouchoirs.

            Notre Bien-Aimé Père céleste, aujourd'hui, devant Toi, nous T'apportons humblement ces mouchoirs, ces tissus, ces gants, et que sais-je encore, qui se trouvent ici, Te demandant d'avoir l'amabilité de guérir tous ceux qu'ils représentent. Que Ta bonté repose sur eux tous. La prière de la foi sauvera les malades, et Dieu les relèvera.

            Maintenant, dans la Bible où nous lisons ceci, dans le Livres de Tes Ecrits, au chapitre19 des Actes du Saint-Esprit dans les Apôtres, nous voyons là où le grand saint Paul prenait des mouchoirs et des linges qui avaient touché son corps. Les esprits impurs et les maladies quittaient les gens, et ces derniers étaient guéris. Les gens ont vu que Tu étais avec Paul et ils ont eu foi ; ils voulaient donc prendre des linges, des mouchoirs et autres qui avaient touché son corps. Et Tu as honoré chacun d'eux et ils… tous… la Bible dit que les maladies et les afflictions quittaient les gens.

            Maintenant, Père, nous sommes conscient que nous ne sommes pas saint Paul. Il est rentré à la maison auprès de Toi, il y a bien des années, mais Tu demeures toujours Jésus, le même hier, aujourd'hui, et éternellement. Nous voyons Ton Esprit se mouvoir au milieu de nous ; la même foi qui était dans ces gens est dans ces gens-ci aujourd'hui. Tu retires Ton homme, mais jamais Ton Esprit. Et je prie, Père, qu'en commémoration des glorieux actes des gens de ce temps-là, ces gens-ci aujourd'hui, avec la même foi, envoient maintenant des mouchoirs, que chacun d'eux soit guéri. Avec humilité et révérence, de tout mon cœur et de toute mon âme, je Te prie de bénir chacun et de guérir chacun que ces symboles représentent. Nous le demandons au Nom de Jésus Ton Fils bien-Aimé. Amen.

20.       Je pense qu'immédiatement après le service, ils seront donnés à ceux qui sont dans le besoin. Et maintenant, s'il vous arrive… Juste un instant. Je n'ai pas pu prier pour elle. Donnez-moi cela, s'il vous plaît.

            Divin Père, je prie, c'est tard mais c'est finalement arrivé, je Te demande de la bénir, et peu importe où ce mouchoir sera envoyé, qu'il soit la bénédiction qu'elle demande au Nom de Jésus. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, ma… ?... Ne vous inquiétez pas. Il y a quelque chose au sujet d'une petite vieille mère, cela me rend… Ne vous sentez-vous pas comme cela ?

21.       Il y a quelque temps, un soir, très loin dans une réserve indienne, une vieille mère s'est approchée de l'autel en boitillant sur des béquilles, et elle devait les tenir comme cela. Elle a levé les yeux vers moi, et les larmes coulaient sur ses joues et à travers ses profondes rides. Et elle a tendu les mains et a pris ses béquilles et me les a tendues, elle s'est redressée et a quitté l'estrade, sans prière ni rien. Elle, une Indienne. Je l'ai regardée et je me suis dit : " C'est la mère de quelqu'un. "

22.       Je ne suis pas sûr… La dame qui est assise juste ici, est-ce elle qui est venue me voir au Clifton l'autre jour et qui m'a parlé, et qui, en me serrant la main au… là au Clifton ? Là, êtes-vous cette dame ? Elle était si ravie pour quelque chose qui s'était produit pendant la réunion.

            Hier soir, après les services, on m'a emmené manger dans un petit restaurant, quelque part ici sur l'autoroute. Et j'étais assis là, savourant un hamburger lorsqu'un groupe de gens est entré. Et un jeune homme a dit qu'il avait souffert d'une sorte de mal de tête ou quelque chose de ce genre pendant très longtemps, et que cela l'avait quitté et ne l'avait plus dérangé depuis lors.

            Cette dame-ci, concernant le salut de ses bien-aimés ou quelque chose qui est arrivé et qui… Elle en était si heureuse. Elle a dit : " Frère Branham, tant de choses se produisent. Je ne voudrais pas être comme le lépreux indigne, je veux revenir présenter mes remerciements. " J'apprécie cela, sœur. Que Dieu bénisse votre noble âme.

            Maintenant, beaucoup d'entre vous ont reçu des bénédictions. Dites-le donc à quelqu'un d'autre afin de magnifier le Seigneur Jésus à qui nous devons la louange et la gloire.

23.       Je pense aux autres personnes paralysées. Or, nous avons quelques fauteuils roulants, trois sont ici maintenant, et nous avons deux lits de camp. Demandons à Dieu aujourd'hui d'accorder à chacun d'eux… Je crois voir des béquilles sous la chaise de cet homme-là. Demandez simplement maintenant à Dieu de leur accorder de sortir d'ici aujourd'hui en marchant sans leur support. Soyez respectueux.

            Eh bien, si j'ai omis quelqu'un de… une façon de dire les choses… Ouais, un homme montre un aveugle qui est assis là. Qu'il dise comme la vieille aveugle Fanny Crosby : " Ne m'oublie pas, ô Doux Sauveur, écoute mon humble cri. Et quand les autres Tu appelles, ne m'oublie pas. "

24.       J'aurais souhaité avoir le pouvoir de venir aujourd'hui guérir chacun de vous qui êtes malades. Je le ferais. Je ne l'ai pas. J'aurais souhaité avoir le pouvoir de sauver chaque pécheur qui se trouve ici. Je - je n'en suis pas capable. Je n'ai pas ce pouvoir là. Personne d'autre en dehors de Jésus-Christ ne le détient. Et maintenant Il vous donne cela gratuitement, si vous pouvez bien l'accepter par la foi, aussi bien pour votre salut que pour votre guérison. " Il était blessé pour nos péchés, et c'est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris. "

Tous ceux qui sont tristes, j'aurais aimé vous rendre heureux. Je n'en suis pas capable. Mais Lui a déjà fait cela ; en effet Il a porté cela au Calvaire. Et tout ce que vous avez à faire, c'est accepter cela, y croire tout simplement.

25.       Eh bien, si je peux être une bénédiction pour vous à n'importe quel moment, faites-le-moi savoir. Si vous avez besoin d'un mouchoir et n'en avez pas reçu ici aujourd'hui, faites-moi simplement un coup de téléphone ou quelque chose de ce genre, à Jeffersonville, dans l'Indiana, et je serai heureux de vous envoyer un petit mouchoir. C'est gratuit. C'est un petit ruban sur lequel je prie et que je vous envoie. Je prierai tout le temps pour vous.

            Et je vais peut-être, dans les tout prochains mois, peut-être, je retournerai outre-mer, dans les pays des noirs. Allez-vous prier pour moi ? Je me souviendrai de San Fernando Valley, que les gens ont promis qu'ils prieraient.

            Que le Seigneur vous bénisse donc. Et juste avant d'ouvrir les pages pour un court service, nous ne voudrions pas être ici au-delà de quarante-cinq minutes ou d'une heure donc. Nous allons alors appeler la ligne de prière pour prier pour les malades, ensuite nous devrons partir. Et je dois partir pour rentrer chez moi. Et je dois repartir aussitôt en Louisiane une fois de plus.

            Je pense que nous devrons retourner très bientôt à Phœnix. J'ai demandé à frère Ekberg. Où est frère Ekberg ? Etait-il ici ? Où est-il ? Est-il encore dans la réunion ? Frère Ekberg, voulez-vous lever la main si vous êtes là ? Frère Einar Ekberg. Je ne le vois pas. Peut-être qu'ils viennent de partir, lui et frère Waermo. Mais je leur demande cependant de m'accompagner à Phœnix.

26.       Et que le Seigneur Dieu vous bénisse maintenant, pendant que nous avons la tête inclinée pour un moment de prière.

            Seigneur Jésus, viens maintenant. Si nous avons péché d'une quelconque manière, pardonne-nous. Et je prie que Tes grandes bénédictions reposent sur chacun d'eux sans exception. Nous venons sous la protection et les ailes du Tout-Puissant. Nous Lui adressons nos prières aujourd'hui au travers de la voie appropriée, en venant par le Sang versé de notre Seigneur Jésus, en confessant nos torts, notre indignité. Nous n'avons aucun mérite. Nous venons simplement parce que nous avons été invités à venir. Il a dit : " Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai. " Nous croyons cela, en effet nous regardons à la ressource, d'où cela vient, Qui l'a dit ; ce n'est nul autre que le Bien-Aimé Enfant du Dieu Tout-Puissant, Qui était le cœur, le sein du Père.

            Et maintenant, nous Te prions de nous recevoir. Viens prendre Ta Parole, Seigneur, et prononce-La par des lèvres mortelles aux oreilles mortelles, et qu'Elle entre dans les cœurs, et… ?... comme l'âme. Donne la foi pour les réunions à venir. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

27.       Maintenant, pour ouvrir la Parole… Et j'allais prêcher somme toute, aujourd'hui c'était sur mon cœur de prêcher sur : Dieu dans Son Univers ; mais étant donné que mon temps s'est envolé, je prêcherai en partant du Livre d'Exode, au chapitre 4.

            Je sais que vous devez aller à l'église ce soir, et nous tâcherons donc de vous libérer de bonne heure. Nous voulons avoir une très longue ligne de prière cet après-midi, beaucoup de gens à appeler pour qu'on prie pour eux.

            Et maintenant nous allons… Ouvrez avec moi le chapitre 4 de l'Exode, vous qui notez. J'aime la Parole, pas vous ? " La foi vient de ce qu'on entend, ce qu'on entend de la Parole de Dieu. "

            Peu importe combien de petites choses nous essayons de faire ou de dire, combien de petites choses imaginaires, et tout, et notre… ?... notre théologie, cela ne marche pas, à moins que cela vienne de la Parole de Dieu. C'est là dessus que notre foi repose.

            Maintenant, nous lisons :

Moïse répondit, et dit: Voici, ils ne me croiront point, et ils n'écouteront point ma voix. Mais ils diront: L'Éternel ne t'est point apparu.

L'Éternel lui dit: Qu'y a-t-il dans ta main? Il répondit: Une verge.

            Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à ces Paroles, et pour… pendant que nous essayons, par le Saint-Esprit, de trouver le contexte à partir de ceci, nous intitulerons ce texte : Qu'y a-t-il dans ta main ?

28.       C'était un grand jour. A l'époque de Moïse… Nous savons tous que Dieu avait appelé Moïse et l'avait choisi dès sa petite enfance, qu'il était né pour être un prophète. Et quand sa mère l'a enfanté, elle a reconnu qu'il était un - qu'il était un bel enfant. En plus, Moïse est un type parfait du Seigneur Jésus, il est né pendant la persécution. L'ennemi a tenté de le tuer, exactement comme ils ont essayé de tuer le Seigneur Jésus.

            Quand Jésus est né, l'empire romain a publié un édit qu'il fallait tuer tous les enfants à partir de deux ans. Et Moïse, à sa naissance, quand ses parents ont vu que c'était un bel enfant, ils l'ont caché comme Joseph et Marie ont caché Jésus. Tout, il était né pour être un libérateur, pour être un prophète, pour être un sacrificateur ; et c'était pareil pour Jésus, en tout point.

29.       Mais Moïse, quand la loi a été donnée, Moïse a failli. Il descendit et frappa la pierre qui était dans sa main, et il la jeta par terre et brisa les Commandements, à cause d'une faiblesse qu'il avait, qui était la colère. Et il brisa les Commandements et s'en retourna, montrant que le sacerdoce, le sacerdoce lévitique serait brisé.

            Et lors de sa tentation, il avait fait quarante jours d    ans le désert, et Jésus a fait quarante jours dans le désert. Et quand Il en est sorti, Satan L'a tenté sur Son point faible : la faim - un jeûne de quarante jours. Mais quand il a rencontré - quand il a rencontré Moïse, il a pu le vaincre, quand cependant il a rencontré Jésus, il a découvert qu'il y avait là plus que Moïse.

            Il a dit : " Si Tu es le Fils de Dieu, accomplis un miracle ici devant moi. Que je Te voie le faire, et je croirai en Toi. Change ces pierres en pain. Si Tu es le Fils de Dieu, Tu peux le faire. "

            Jésus savait qu'Il ne faisait que ce que le Père Lui montrait. Il a dit : " Il est écrit : 'L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu. "

30.       Satan L'a constamment combattu, et il utilisait même les Ecritures, et Jésus répliquait : " Il est aussi écrit. "

            Et Jésus a vaincu Satan sans utiliser un seul don divin qu'Il avait, montrant que le chrétien le plus faible peut vaincre Satan sur base de la Parole de Dieu. Et c'est la raison pour laquelle j'essaye de présenter à la personne… il n'y a rien dans un individu, le prédicateur, c'est en Christ, et Christ est dan Sa Parole. Croyez-vous cela ?

            Ecoutez ceci : " Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair et a habité parmi nous ", Elle est morte et est ressuscitée, et Elle est en nous aujourd'hui, la même Parole qui était au commencement.

            Cette Bible est la Lettre de Dieu. Et chaque promesse qui s'Y trouve vous appartient, si vous pouvez La croire et La recevoir avec le genre d'attitude correcte. Elle est en vous, l'espérance de la gloire, Christ.

31.       Remarquez. Maintenant, comment entrons-nous en Christ ? Premièrement, nous Le recevons par la foi, en croyant. Deuxièmement, " nous avons donc tous été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul Corps ", I Corinthiens 12. Par une seule adhésion ? Nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul Corps. Ce sont des croyants, qui ont déjà cru au Seigneur Jésus-Christ, qui sont baptisés dans un seul Esprit pour former le Corps de Christ. C'est un peu contraire à mes enseignements baptistes, mais c'est la Bible.

            Je suis baptiste tant que cela reste avec la Bible ; à part cela je suis la Bible. On nous a enseignés qu'on reçoit le Saint-Esprit quand on croit, mais Paul a demandé (Actes 19) à un groupe de baptistes… Oui, oui. Ils étaient avec Apollos, et Apollos était l'un des convertis de Jean. Et quand Paul parcourait les hautes provinces d'Ephèse, il a vu certains disciples et il leur a demandé : " Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru ? " C'est juste. Depuis que vous avez cru ? "

32.       Ils ont dit… C'étaient des croyants ; ils éprouvaient une grande joie, criaient et louaient le Seigneur. Ils ont dit : " Eh bien, nous ne savons même pas qu'il y ait un Saint-Esprit. "

            Il a dit : " De quel baptême avez-vous donc été baptisés ? "

            Ils ont dit : " De Jean. " C'étaient des baptistes.

            Il a dit : " Jean a baptisé du baptême de repentance, étant donné que vous devriez croire en celui qui venait, au Seigneur Jésus. " Et quand ils entendirent cela, ils furent baptisés au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Paul leur imposa les mains, et ils parlèrent en langues et prophétisèrent. Ça, c'était plusieurs années après la Pentecôte. Vous voyez ? La bénédiction était toujours en cours.

            Elle est encore en cours aujourd'hui et continuera jusqu'à ce que Jésus viendra, partout où l'assemblée se réunira. Que les gens soient des méthodistes, des baptistes, des presbytériens, qui qu'ils soient, quand ils laissent Jésus entrer, Il trouve un - un troupeau dans l'église, c'est comme des étincelles projetées par une enclume frappée sur un morceau de fer chaud (C'est juste.) quand - quand ils laissent Christ entrer. Toujours. Tous ces signes. Lorsque Dieu apparaît, observez ce qui arrive.

33.       Moïse était un échec total. Et il se pourrait qu'il y ait des gens ici cet après-midi, peut-être des ministres, qui ont été des échecs totaux. Peut-être que vous l'avez été en tant qu'épouse, peut-être que vous l'avez été en tant qu'étudiant à - à l'école, peut-être que vous l'avez été en tant qu'enfant pour vos parents. Quoi que vous ayez été, que cela soit " a été " et commencez un nouveau départ dès aujourd'hui. Peu importe ce que c'est. Peut-être que vous avez été un échec en tant que chrétien, peut-être que vous n'avez pas réussi à avancer avec Dieu. Si tel a été le cas, prenez bonne note de ce que je vais dire dans quelques instants à ce sujet.

            Moïse a échoué là en Egypte, alors qu'il était né pour être un libérateur, pour faire sortir les enfants d'Israël de l'Egypte. Pourquoi ? Parce qu'il avait fait cela de lui-même. Il se chargea de le faire lui-même. Et chaque fois que vous vous chargez de faire vous-même les choses en mettant Dieu de côté, vous serez donc un échec comme Moïse.

34.       Il avait pensé qu'il pouvait faire la chose. Quand il a vu un Egyptien frapper un Israélite, il l'a donc simplement tué et l'a caché. Et quand il l'a fait, il est devenu un réfugié dans un autre pays, là en Ethiopie. Et il est allé là et a épousé une femme. Il était… s'est trouvé un travail de gardien de moutons. Et il épousa… il épousa la fille de Jéthro, le sacrificateur de Madian, et il lui naquit deux enfants. Et il eut un travail ordinaire de laboureur, de gardien de moutons, et il garda ces moutons pendant quarante ans, parce qu'il avait manqué de placer Dieu en premier.

            Je pense que c'est là le problème qu'ont les églises. Frère, quand on en arrive au point où nous plaçons notre église en premier plutôt que Christ, nous sombrons immédiatement. Quand vous placez les gens en tant qu'individus, vous placez votre église en premier, votre vie sociale en premier, au lieu de votre vie spirituelle, vous allez échouer.

            Puis-je m'arrêter juste un instant. L'autre jour quelqu'un a dit, il a dit : " Frère Branham, j'apprécie vos prédications, mais vous allez de la Genèse à l'Apocalypse. "

            " Oui. Tout ça, c'est la Bible. " C'est très bien. Je dois simplement aller là où Il me conduit. Vous voyez ? Ha.

35.       Et quand ils construisaient le temple de Salomon, ils avaient toutes les pierres taillées. Tout était mis en ordre. Mais ils ont trouvé une pierre bizarre. Ils ne pensaient pas qu'une chose pareille représentait quelque chose, ils l'ont donc simplement jetée dans un tas de mauvaises herbes. Et ils ont continué avec leur mortier et leurs pierres, en les assemblant. Et ils ont fini par trouver que la chose même qu'ils avaient rejetée… ils étaient très avancés dans les travaux de construction et ils ont découvert qu'ils ne pouvaient pas aller plus loin, une pierre manquait. Et ils avaient construit jusqu'à ce niveau-là, mais ils ne pouvaient pas aller plus loin. Et la pierre même qui manquait était la pierre principale de l'angle, celle qu'ils avaient jetée de côté.

            Je dis que… Je vais dire cela pour les baptistes, et alors vous les presbytériens, vous pourrez vous en glorifier. Très bien. L'une des choses primordiales avec les baptistes, ou avec n'importe quelle église, et ce que nous tous nous avons fait et que vous les pentecôtistes vous êtes en train de faire (c'est juste), c'est que vous rejetez la seule Pierre Principale, la seule Pierre fondamentale qui soit, et c'est Christ.

            Lorsque vous La rejetez… Vous pourriez dire : " Oh ! cela ne marchera pas avec notre programme. "

            Eh bien, avec quel programme cela va-t-il donc marcher ? Quittez simplement votre programme et entrez dans Son programme, et l'Eglise avancera. Placez d'abord la Pierre angulaire. Sinon, vous vous rendrez compte après un moment que ce ne sont que des briques et du mortier une fois de plus.

            Ils devaient donc recevoir d'abord la Pierre de faîte avant de pouvoir… la Pierre angulaire avant de pouvoir continuer.

36.       Moïse avait rejeté cela. Il avait rejeté les principes de Christ. Et puis, il pensait avoir raison. Mais alors, il est devenu un réfugié, et il s'est marié et a eu ces enfants ; il gardait les moutons de Jéthro, il s'était trouvé un travail de gardien de moutons. Pendant quarante ans, il parcourait la partie arrière du désert là, gardant les moutons, empruntant les mêmes sentiers, un vieil homme de quatre-vingts ans. Il avait été appelé quand il avait quarante ans.

            Et savez-vous que quarante ans, c'est l'âge auquel Dieu appelle ? Eh bien, écoutez ; Josué, Caleb, David sur le trône, oh, ainsi de suite, et tout.

            Et lorsqu'il eut quarante ans, Dieu l'appela. Et à quatre-vingts ans, il était rejeté depuis quarante ans. La durée de la vie de Moïse fut de cent vingt ans : quarante ans c'était l'instruction ; quarante ans ont été un échec total ; c'est donc pendant quarante ans qu'il a servi le Seigneur.

37.       Eh bien, un matin alors qu'il descendait ce sentier, marchant sur le même vieux sentier qu'il avait toujours pris, il lui arriva cependant de remarquer quelque chose d'étrange ; c'était un buisson en feu mais qui ne semblait pas se consumer. Et il a dit : " Je veux me détourner pour voir cette chose étrange. "

            Eh bien, c'est là que Moïse a posé l'un des actes les plus glorieux qu'il ait jamais posés ; c'était lorsqu'il se détourna, non pas pour critiquer, mais il se détourna pour voir ce qu'était cette chose étrange. Oh ! mes frères, si seulement vous… Il se peut que vous pensiez que ces choses sont étranges, mais détournez-vous, asseyez-vous comme Moïse. Et il s'est assis là pour voir la chose.

38.       L'un des plus grands hommes de science, au cours de sa conférence, a dit : " Comment êtes-vous parvenus… ? "

            On a demandé : " Comment en savez-vous tant sur la science ? "

            Il a dit : " Savez-vous comment j'ai appris cela ? Je me suis assis dans la présence de la Mère Nature et je lui ai simplement ouvert mes bras, et elle m'a ouvert son cœur et m'en a parlé. "

            Or, c'est ce que vous devez faire avec Christ. Asseyez-vous simplement près de l'Evangile, ouvrez votre cœur à Christ. Il vous parlera. La nature va… Dieu vous répondra.

39.       Moïse s'est détourné pour voir ce qu'était cette chose étrange. Eh bien, il n'a jamais dit : " Je vais prendre quelques feuilles, et je vais aller au laboratoire pour les faire examiner par le chimiste, afin de comprendre le pourquoi. " Voyez-vous ? Il n'était pas curieux de cette manière-là. Il s'est simplement assis et s'est détourné pour contempler le spectacle : un feu brûlant, un feu étrange. Et alors, Dieu lui parla, et dit : " Moïse, ôte tes souliers, car la terre sur laquelle tu te tiens est une terre sainte. "

            Eh bien, qu'en serait-il si Moïse avait dit : " Eternel, c'est un peu embêtant pour moi de faire cela, je vais donc simplement ôter mon chapeau. " Dieu n'avait pas dit : " Ôte ton chapeau. " Il avait dit : " Ôte tes souliers. "

            Et bien des gens disent : " Eh bien, je vais adhérer à l'église. "

            Ce n'est pas ce que Christ a dit. " Vous devez naître de nouveau. " Voyez-vous ? Il ne s'agit pas d'adhérer à une église, mais vous devez naître de nouveau.

            Et Moïse a ôté ses souliers et s'est approché avec révérence. C'est ainsi que vous devez vous approcher de Dieu : avec révérence, pas avec curiosité, mais en mettant de côté tout fardeau, tout doute, pour venir avec révérence, en disant : " Seigneur, que veux-Tu que Ton serviteur fasse ? " Approchez-vous de Lui avec révérence.

40.       Ce n'était pas facile ce soir-là, quand j'étais assis dans la baraque, là tout au fond dans un petit campement de pêche, alors que je voyais des visions depuis mon enfance. Ainsi en arrivant et en voyant les tourbillons… Mais quand j'ai entendu ce bruit de pas sur le plancher… Ce n'était pas une vision, pas du tout, je sais ce que c'est une vision. Certainement. Mais cela n'était pas une vision. L'Homme se tenait là. Je L'ai entendu marcher, Il s'est approché de l'endroit où je me trouvais, Il avait les bras croisés. J'étais mort de peur. J'ai pris mon pouce et j'ai commencé à me mordre l'ongle. Il a dit : " N'aie pas peur. "

            Je reconnus que c'était la même Voix qui me parlait depuis que j'étais un petit garçon, mais c'était la première fois que je Le voyais sous la forme d'un homme. Il a dit : " Je suis envoyé par le Dieu Tout-Puissant pour te dire que tu dois aller prier pour les malades ", alors Il révéla ce qui allait arriver.

            Cela régla la question pour moi. Et quand les gens m'ont dit que j'allais perdre la tête si je partais le faire, je ne fis aucun cas d'eux, parce que je m'étais approché de Lui avec révérence. Peu importe ce que les gens disent. Ce que Dieu dit et ce que les gens disent sont deux chose différentes. Si vous écoutez les gens, vous vous retrouverez dans toutes sortes de situations. Mas si vous écoutez Dieu, vous serez un chrétien.

41.       Et quand il s'est approché avec révérence et qu'il a ôté ses souliers, Dieu lui a parlé, et a dit : " J'ai vu l'affliction de Mon peuple. J'ai entendu leurs plaintes et leurs gémissements, et Je suis descendu pour les délivrer. Et Je veux que tu (celui qui avait fait un fiasco quarante ans avant) Je veux que tu rentres immédiatement et que tu y retournes toi-même. Je t'envoies juste là. "

            " Oh ! a dit Moïse, je - je ne sais pas très bien parler, Seigneur. " Il a dit : " Je - j'ai la bouche un peu embarrassée. " Il a dit : " Je - je ne peux pas y arriver. "

            Il a dit : " Qui a fait la bouche de l'homme ? " Et Il S'est vraiment mis à passer Moïse au peigne fin ; c'est ce que Dieu fait. Frère, Il vous secoue. Il doit reconstruire.

            Il en est ainsi des gens aujourd'hui, ils ne veulent pas être brisés. Vous devez être brisé avant d'être refaçonné. Le prophète est allé à la maison du potier pour être brisé, pour aller sur le tour du potier afin de devenir quelque chose d'autre. Si vous êtes un pécheur, allez sur le Tour. Dieu va vous briser, vous modeler différemment, façonner différemment votre vie, façonner différemment votre vie de famille.

42.       Remarquez. Moïse a dit : " Seigneur, je ne peux pas aller. "

            Mais Dieu avait décidé qu'il allait partir. Et Il a dit : " Moïse, tu dois aller. "

            Et il a dit : " Montre-moi Ta gloire, Seigneur. "

            Et remarquez. Dieu a parlé à Moïse, et a dit : " Qu'y a-t-il dans ta main ? "

            Il a dit : " C'est un bâton, " ou " une verge ", juste un vieux bâton sec venant du désert, où il avait marché comme cela avec cela en main.

            Il se pourrait que tout ce qu'il avait, c'était un bâton. Il se peut que vous ayez même moins que ça, mais quoi que vous ayez, donnez cela à Dieu. Regardez ce qu'Il a fait avec ce bâton.

43.       C'était le même genre de perche que le serpent… C'était fait avec ça, c'était fait dans le désert ; ce qui représentait Christ. Il l'a jeté par terre et cela est devenu un serpent : le jugement, le jugement déjà passé, le serpent a déjà été jugé, depuis le jardin d'Eden. Il l'a saisi par la queue et cela est redevenu un bâton. Il mit sa main sans son sein, elle fut couverte de lèpre ; il la retira ; il la remit dans son sein, et quand il la retira de nouveau elle était pure.

            Alors, certainement… Il avait voulu voir la gloire de Dieu. La guérison divine fait partie de la gloire de Dieu. Il l'a guéri.

            Autre chose, cela montre que le cœur est trompeur, plein de lèpre. Et la - la main qui manipule la puissance, la verge de la puissance de Dieu, doit être pure ; elle doit être rendue divinement pure. Et il a mis sa main dans son sein, elle était guérie de la lèpre ; il l'a fait sortir et elle pouvait alors porter la verge.

            Alors il a vu Sa gloire. Après avoir vu Sa gloire, il n'a plus fait attention au nombre de critiqueurs ou quoi que ce soit d'autre, il était en route pour l'Egypte.

            Et tout homme ou toute femme qui ne tergiversera pas devant les critiques et qui acceptera la pure Parole de Dieu et La croira dans son cœur, tous les démons de l'enfer ne pourront alors l'ébranler. Certainement pas.

44.       John Sproule, un de mes amis, me disait il n'y a pas longtemps qu'il était en Alsace Lorraine, et qu'il traversait là un grand jardin. Il y avait là une statue de Christ. Et lui et sa femme se tenaient à l'écart et la regardaient. Il critiquait cela ; il n'y avait rien là qui ressemblait à la souffrance de Christ. Et l'homme lui dit, le guide a dit : " Monsieur, êtes-vous en train de critiquer cette - cette statue ? "

            Il a dit : " Oui. "

            Il a dit : " Vous ne la regardez pas comme il faut. " Il a dit : " Venez ici. Voyez-vous cet autel ? Agenouillez-vous, et maintenant levez les yeux. "

            E il dit que lorsqu'il leva les yeux, son cœur se fendit. Le sculpteur l'avait faite de façon que lorsque vous… Ne vous tenez pas au loin pour la regarder comme cela ; vous devez vous agenouiller et lever les yeux vers cela pour voir réellement à quoi cela ressemble.

45.       Et c'est de cette façon que Dieu a écrit Sa Parole, pas pour se tenir à distance d'un point de vue intellectuel, psychologique élevé, et dire : " Oh ! je ne sais pas. Les jours des miracles, oh ! je ne sais pas si oui ou non c'est effectivement juste. "

            Dieu n'écrit pas Sa Parole pour cela. Agenouillez-vous et levez les yeux dans la promesse, dans le Sang du Seigneur Jésus. Cela vous paraîtra bien différent lorsque vous viendrez de cette façon-là. On ne doit pas critiquer cela et dire : " Et ces choses ont été, et cela ne se produira pas. " Mais la Bible dit que Jésus est le même hier, aujourd'hui, et éternellement dans chaque principe, chaque puissance. Mettez-vous à genoux et levez les yeux comme cela, alors cela vous paraîtra différent.

            Les choses parurent différentes à Moïse. Il avait eu une vision. La vision changea sa vie. Si jamais vous recevez une vision du Dieu vivant, elle changera votre vie, si une fois vous pouvez voir réellement ce qu'Il est.

46.       Et cet homme et cette femme… Et je dis ceci avec révérence, mais sachant qu'un jour… Je dois donc être ferme, car je dois rencontrer chaque individu à qui je prêche, à la barre du jugement de Dieu. Et là, je préférerais être… vous pourriez vous fâcher un peu contre moi ici et m'aimer là-bas, plutôt que de savoir que ce jour-là vous pourriez dire : " Espèce de séducteur, tu connaissais la vérité mais tu n'as pas voulu me le dire. " Je préfère vous dire la vérité.

            L'homme doit recevoir Christ comme son Sauveur personnel et naître de nouveau et être rempli du Saint-Esprit pour entrer en Dieu et connaître tout de Lui. Si ce n'est pas le cas, c'est un point de vue intellectuel.

47.       Cela peut être un changement d'esprit. Vous pouvez connaître un changement d'esprit sans connaître de changement de cœur. Beaucoup de ministres acceptent de bonnes églises et tout pour un bon de repas. Un grand nombre des gens de haute classe payent beaucoup mieux à l'église. Ce n'est pas ça le changement de cœur ; ça, c'est le changement de pensée.

            Je préférerais être à plat ventre et manger des biscuits secs et boire l'eau plate, mais prêcher la véritable Parole de Dieu, si je dois La prêcher au coin de rue, plutôt que de faire des compromis avec le diable et vivre dans le meilleur palais qu'ils ont et faire des compromis. Prêchez la vérité. Je préférerais porter un costume d'occasion, avec des souliers usés aux pieds, mais prêcher l'Evangile et dire la vérité à ce sujet, telle que Dieu L'a écrite ici dedans, plutôt que faire des compromis avec le diable et passer au second plan. Amen. Soyez sincère avec les gens.

            " Prêche la Bonne Nouvelle ", c'est ce que Dieu a dit. Quelles que soient les circonstances. C'est ça la chose à faire. " La cognée est mise à la racine de l'arbre. "

48.       Moïse était un homme changé, pas par toute l'instruction que sa mère lui avait donnée, pas par toute son instruction et du fait qu'il était un génie militaire, que Pharaon avait chan-… avait formé pour l'être. Mais cependant Moïse avait fait un choix important. Moïse a dit qu'il a regardé l'opprobre de Christ comme une richesse plus grande que les trésors de l'Égypte.

            Que serait-il arrivé si Pharaon avait simplement regardé dans la Parole et avait vu ce que Moïse avait fait. Et Moïse avait fait son choix quarante ans avant, selon lequel il préférerait servir Dieu plutôt que devenir l'héritier et le plus grand roi de la terre, être le Pharaon d'Egypte. Il avait fait son choix. Et cependant, frère, avant de rencontrer Dieu face à face, il essayait toujours de faire cela par lui-même.

49.       Et je crois aujourd'hui qu'il y a beaucoup de bons prédicateurs à travers la nation…Je dis ceci avec respect, frères. Il y a dans le pays beaucoup de bons prédicateurs qui sont vraiment des érudits raffinés et de vrais hommes, qui ne sont jamais allés plus loin que d'accepter Christ. Ce dont on a besoin aujourd'hui, c'est d'être face à face avec la réalité et de naître de nouveau par une expérience du Saint-Esprit à l'ancienne mode, comme ils en ont eu autrefois aux temps bibliques, et d'accepter Jésus-Christ comme ils l'ont fait alors. Une vision de cela changera tout votre être, mon frère, ma sœur, et fera de vous une personne différente. Naissez de nouveau, ayez la vision du Seigneur.

            Il apparut là… des signes. Là où Dieu apparaît, les signes apparaissent avec Lui. Jamais Dieu n'apparaît sans manifester des signes et des prodiges liés à Son Etre. Je suis si reconnaissant de savoir qu'ici même, non pas quelque part là-bas, non pas de l'autre côté de la mer, mais juste ici au coin du Boulevard Lancashire, juste ici le Dieu-Puissant s'est Lui-même rendu présent ici pendant ces quelques dernières soirées, et a prouvé que Son Fils, Christ, est ressuscité des morts et Il montre et fait les mêmes choses qu'Il avait faites lorsqu'Il était ici sur terre. Amen. Et nous n'avons pas honte de l'Evangile de Jésus-Christ ; c'est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit.

50.       Un homme changé, oh ! quand il a reçu cette nouvelle vision… Le garder hors d'Egypte ? Vous ne pourriez pas le faire s'il vous le fallait. Il avait peur d'y aller, il avait peur de Pharaon. Il avait peur de tous les Egyptiens, car il était recherché pour meurtre. Mais maintenant, essayez de l'arrêter. Il s'était rapproché de Dieu. Il avait vu un Ange ; une vision était apparue devant lui. Il s'était réchauffé auprès du Feu de Dieu. Son cœur s'était - s'était réchauffé pendant qu'il se tenait là. Il avait vu des miracles et des choses surnaturelles. Les gens allaient douter de lui, mais Dieu était avec lui.

            Et chaque homme… il se pourrait que vous soyez un petit épicier lâche, ou un médecin, ou un avocat, quoi que vous soyez, assis dans un coin, ayant adhéré à une certaine église ou quelque chose de ce genre, et pensant que vous êtes en ordre. Mais si vous entrez dans la Présence du Dieu Tout-Puissant, là où la puissance et le Feu de Dieu tombent, vous serez une personne différente. Vous direz à tous vos amis médecins que Jésus-Christ vit et règne. Vous le direz à tous ceux qui entrent dans votre épicerie. En tant qu'avocat, vous le direz à vos clients ou à qui que ce soit, que Jésus-Christ est ressuscité des morts et qu'Il est le même hier, aujourd'hui, et éternellement. Mais vous ne pouvez pas le faire en regardant Cela à distance ; vous devez y entrer, vous livrer vous-même à Cela, personnellement.

51.       Observez-le. Maintenant, c'est un nouvel homme. Le voilà partir. Et maintenant, combien le monde vous critiquera quand vous ferez ceci ! Ne vous attendez pas à avoir un lit fleuri d'aisance. Si tout le monde disait du bien de moi, et que tout allait bien, que je n'avais pas de problèmes ni d'épreuves, je retournerais à l'autel et dirais : " Seigneur, qu'y a-t-il donc ? Il y a quelque chose qui ne va pas. Car tous ceux qui vivent pieusement en Jésus-Christ seront persécutés. " C'est la Bible. C'est ce que Jésus a dit. Il ne peut pas faillir. Ses Paroles sont la vérité. Tous, pas juste quelques-uns, tous ceux qui vivent pieusement en Jésus-Christ…

            Observez, combien c'est le cas. Eh bien, il est un homme nouveau, il a reçu une nouvelle vision. Il rentre directement chez lui, il prend sa femme, la fait asseoir à califourchon sur un mulet avec un enfant sous chaque bras comme ceci ; il prend ce vieux mulet, avec un bâton en main, sa barbe blanche flottant d'un côté et les cheveux de l'autre, il s'en va comme cela.

            On dit : " Où vas-tu, Moïse ? "

            " Je vais en Egypte pour envahir. "

52.       Eh bien, le monde a dû se moquer de lui. Quelle scène horrible ! Quelle occasion pour un critiqueur ! Et bien des fois, le Dieu Tout-Puissant accorde l'occasion aux critiqueurs pour montrer qu'ils sont des critiqueurs. Ça n'a pas bien pénétré. Je vais vous le dire encore. Dieu donne l'occasion pour qu'il y ait des critiques.

            Ce que vous pensez… C'est ridicule, un vieil homme de quatre-vingts ans, traînant un mulet, un vieux petit âne, sa femme assise dessus avec un enfant sous chaque bras, en route vers l'Egypte, vers la plus grande puissance militaire du monde. Eh bien, la Russie serait, comparée à cela, serait une petite histoire à côté de ce que c'était. L'invasion par un seul homme (Amen !), avec un bâton en main, mais avec une promesse de Dieu dans son cœur. Il doit y parvenir.

53.       Eh bien, on a dit : " Moïse, tu es un petit peu détraqué, n'est-ce pas, fiston ? Tu te… trompes simplement. Tu fais simplement une petite erreur ?

            " Non, non. Dieu l'a dit. "

            " Tiens, Moïse, il n'y a pas de mal que tu aies un Dieu. Je - je ne m'en fais pas de ça. Mais - mais, Moïse, ne penses-tu pas que tu t'emballes un peu ? "

            Non, non, a-t-il dit, j'ai vu Dieu. Je suis entré dans Son Feu. Il m'a montré une vision, et Il m'a dit de partir. Et la promesse est dans mon cœur, et voici je m'en vais. " Et la bonne chose qu'il a faite, c'est qu'il est allé et a fait l'invasion. Amen. Car Dieu avait promis cela, et Dieu s'en tiendra fermement à chaque promesse qu'Il fait.

            Je sais que vous pensez que je raisonne un peu ici, mais ce n'est pas le cas. Vous voyez ? Il est carrément parti et a fait ce que Dieu lui avait dit de faire, car c'était la promesse de Dieu. Quand Dieu donne une promesse, Il S'en tiendra à Sa promesse. Il ne faillit jamais. Quand Dieu vous promet quelque chose, Il le fera, si c'est Dieu. Je ne L'ai jamais vu faire une promesse sans qu'Il la tienne. Il la tient toujours.

54.       Qu'avait-il en main ? Un bâton. C'était tout pour aller affronter environ sept millions d'hommes armés, des chars, des cavaliers, des lances. Considérez toutes les grandes lances que les Egyptiens avaient. Considérez les grands chars munis des sabres à leurs roues, fonçant comme cela pour couper les hommes pendant qu'ils roulent à travers eux. Considérez les chevaux armés même de lances sur leurs fronts, sur leurs plaques comme ceci, alors qu'ils foncent à travers les hommes pour - pour les tuer en fonçant au milieu d'eux. Non pas des centaines, non pas des milliers, mais des millions…

            Et voici venir un vieil homme, avec de vieux petits bras flasques, enveloppé dans un vieux petit morceau d'habit comme ceci, un vieux, portant une longue barbe blanche, à quatre-vingts ans, avec un bâton en main ; ses yeux brillent, ce sourire sur son visage, il tire ce petit mulet derrière lui. Le voilà qui s'en va, il part envahir toute l'Egypte. Amen. Et il l'a fait. Non, il ne s'amusait pas ; il avait vu Dieu. Amen.

55.       Il est tout autant réel aujourd'hui. C'est juste. Et Il est tout autant du fanatisme aux yeux du monde, pas seulement du monde, mais de beaucoup de membres d'églises (c'est vrai), tout autant du fanatisme. Le voilà aller, mais dans son cœur… " Eh bien, Moïse, tu n'es même pas un homme entraîné. Tiens, toi, tu n'es qu'un berger. Eh bien, ce que… Comment vas-tu te battre avec ce bâton ? "

            " Ce n'est pas grave. Dieu m'a dit que c'est tout ce que j'avais pour le faire."

            Il se pourrait que nous n'ayons pas même un bâton. Peut-être que vous chantez seulement un cantique ; peut-être que vous témoignez. Quelque chose… ?... quoi que vous ayez, faites-le. Utilisez cela pour la gloire de Dieu, peu importe ce que c'est. Si vous ne pouvez pas chanter, que vous ne pouvez pas siffler, que vous ne pouvez pas témoigner, que vous ne pouvez… distribuez simplement des traités. Faites quelque chose d'autre. Allons-y. Tout ce que vous avez en main, utilisez-le pour la gloire de Dieu. Dieu a toujours eu des hommes qui s'attachent à Lui.

56.       Une fois la - l'armée d'Israël avait complètement fait marche arrière ; ils s'étaient éloignés de Dieu. Ils voulaient agir comme les autres nations, alors ils sont allés se procurer un roi et ont rejeté Dieu. Ils ont pris un brillant pasteur moderne, vous savez.

Et donc, ils... Il était tout à fait à la mode, vous savez. Et le premier... Puis le diable le sut, il envoya alors là un très grand gaillard du nom de Goliath. Il s'est tenu sur le flanc de la colline et a dit : " Je vais vous faire une proposition, vous qui prétendez être ceci cela. Si... Envoyez un de vos hommes et qu'il se batte avec moi, et si je le tue, eh bien, alors votre armée servira - votre nation servira la nôtre. Et s'il me tue, alors notre nation servira la vôtre. "

Eh bien, évidemment, c'est comme ça que le diable se vante quand il a l'avantage. C'est vrai. Donc chaque Israélite disait : " Oh, oh, oh. J'ai peur de me hasarder à cela. "

Oh !la la ! Je peux les voir aiguiser leurs sabres et se gratter la tête, en disant : " Eh bien, je ne le peux pas. " Ils étaient restés trop longtemps éloignés du Feu. C'est tout. C'est juste.

57.       Alors un jour, un pauvre jeune homme maigre et ratatiné est venu là pour - pour apporter des raisins à ses frères, et des bonbons aux raisins, quoi que ce fût qu'il devait apporter à ses frères. Son papa, Isaï, l'avait envoyé là-bas. C'était un pauvre jeune homme ratatiné, vêtu d'un morceau de peau de mouton, d'un petit manteau de peau de mouton, maigre, juste un petit bout d'homme. Et il s'est amené là. Et, frère, Goliath s'est alors vanté aux oreilles de l'homme qu'il ne fallait pas.

Il a dit : " Oh ! vous Israélites là-bas. "

Le jeune David s'est retourné; il a dit : " Vous voulez me dire que vous allez vous tenir là et laisser ce Philistin incirconcis défier l'armée du Dieu vivant? Voulez-vous me dire que vous allez vous tenir là au milieu d'un monde qui devient aussi communiste et athée comme il l'est, et laisser ces incroyants se tenir là et dire que Jésus-Christ n'existe pas, et que Sa Parole n'est pas vraie, que la guérison divine est une fausse histoire ? Ils ne le feront pas aussi longtemps que j'ai le souffle dans mon corps. Bien sûr que non. Et Dieu sera avec moi. Eh bien, certainement. "

58.       Eh bien, son frère s'est retourné et a dit : " Eh bien, je sais que tu es venu ici, espèce de petit galopin, pour te mêler de quelque chose. Tu as de la malice dans ton cœur. Rentre à la maison auprès des moutons de ton père. C'est nous qui sommes ici dans cette affaire ecclésiastique. Nous avons tout cela sous contrôle. (Ouais, ils semblent bien avoir le contrôle sur la chose.) Oh, nous avons tout cela sous contrôle. Toi, rentre. "

Mais un homme a accouru et a dit : " Saül, il y a un homme par ici, un petit jeune homme tout maigre. Il - il a dit qu'il se battra contre ce Philistin. "

            " Eh bien, a-t-il dit, amenez-le ici. "

            Et ils l'ont amené là. Et il a dit : " Eh bien, je t'assure, fiston, j'admire ton courage. Mais si tu peux obtenir un diplôme, une licence, et si tu peux obtenir un doctorat en théologie, et autres, je crois que tu pourras... Tu peux essayer cela. "

59.       Et il est parti et s'est dépouillé lui-même et a fait porter sa grande armure à David. Mais il a vu que son gilet ecclésiastique ne convenait pas à un homme de Dieu. Alléluia. Pas du tout.

David a dit : " Je ne connais rien de ce genre de choses. Mais il y a une chose que je connais : J'ai un lance-pierre en main. " C'est tout qu'il avait, un lance-pierre : deux ficelles et un morceau de cuir. Il a dit : " Mais l'Eternel, le Dieu d'Israël m'a permis d'attraper un lion et de le tuer avec ceci, et Il a tué un ours avec ça. J'ai arraché le lion de - de… J'ai arraché la - la brebis de la gueule du lion. Quand celui-ci s'est dressé contre moi, je l'ai abattu. " Et il a dit : " Si Dieu a été avec moi là-bas... J'ai eu confiance en cette fronde. Je l'ai éprouvée. Je sais que c'est en ordre. Et si Dieu m'a permis de faire cela, combien plus m'aidera-t-Il à tuer ce Philistin incirconcis. " Mmmmm. Une vraie fanfaronnade pour un petit homme maigre comme cela, n'est-ce pas?

            Eh bien, Saül a dit : " Eh bien, attends une minute. Tu ne peux pas partir. L'association ne te recevra pas comme cela, tu sais. Nous devons donc veiller à cela. "

60.       Il s'est donc dépouillé de son énorme armure et l'a mise sur lui. Alors les jambes du pauvre petit David se sont pratiquement courbées; il ne pouvait pas supporter cette grosse histoire.

            Voilà le problème qu'ont beaucoup de gens aujourd'hui, frères. Vous êtes si encombrés avec toutes sortes de diplômes que vous n'arrivez même plus à prêcher l'Ancien Évangile, et... [L'assemblée applaudit. - N.D.E.] C'est juste. C'est juste. On est donc tellement lié, tellement préoccupé par la dénomination et tout comme cela... " Le comité ne me laissera pas faire cela. "

            Que m'importe le comité? Qu'en dit le comité du ciel? Prêchez l'Évangile. " Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru. " Oui, oui. Jésus, le Fils de Dieu, est ressuscité des morts et Il est vivant aujourd'hui, confirmant qu'Il est parmi les hommes. Rien en rapport avec le comité...

            David a dit : " Ôtez de moi ce truc. Je ne peux simplement plus le supporter. Cela m'énerve un peu de toute façon. " Il a donc tendu la main là, et a pris ce petit lance-pierre, et a porté son vieux petit manteau de berger. C'est ce qu'il vous faut faire, frère. Il a dit : " Je suis... je - j'ai testé ceci. "

61.       Et il y a une chose que je peux dire au sujet de cette vieille religion. Je l'ai testée, frère. Je sais qu'elle est vraie. Je sais de quoi je parle, car j'ai me suis confié en cela quand le médecin a dit : " Vous n'avez plus que trois minutes à vivre. " Amen.

Jésus-Christ, le Fils de Dieu, m'a sauvé par Sa grâce étonnante. Je sais de quoi je parle. C'est la raison pour laquelle je n'ai pas honte de prêcher la guérison divine et la puissance de résurrection du Seigneur, parce que je me suis confié en cela jusqu'à la fin de la route. Je sais ce que cela fera. Je sais ce que fera une vraie et authentique foi dans la Parole de Dieu. Elle produira tout ce que Dieu a promis qu'Elle produirait. C'est juste.

Je ne sais pas comment dire " Amen ", comme un... vous le faites, et m'incliner, et tous vos habits fantaisistes et ainsi de suite. Je ne connais rien de cela. Mais il y a une chose que je connais, c'est que Jésus-Christ est ressuscité des morts, et Il est le même hier, aujourd'hui, et éternellement. Et le Saint-Esprit est tout aussi libre aujourd'hui qu'Il l'était le jour où Il est tombé à la Pentecôte. C'est le même Évangile, mais dépouillez-vous simplement et sortez en plein air. C'est juste.

62.       Il était là. Il a pris son vieux petit manteau de [peau de] mouton et l'a mis, il a pris son lance-pierre, et s'est senti mieux, vous savez, il était en quelque sorte libre. Complètement lié, versé dans la tradition, voilà le problème qu'a l'église aujourd'hui.

            Le voilà qui part, il court là et ramasse cinq petites pierres. Goliath dit : " Vous voulez me dire que c'est là le meilleur que vous avez ? "

            Eh bien, frère, vous ne faites pas du tout le poids contre cela, c'est ce que je dirais. Vous ne savez simplement pas ce qui est enveloppé là dans ce vieux petit manteau de peau de mouton. C'est juste.

63.       Il a ramassé ces cinq pierres, il en a placé une là-dedans... Eh bien, ce costaud d'incroyant se vantait tout en s'avançant là et il l'a maudit au nom de son idole, il a maudit David. " Eh bien, a-t-il dit, je vais te prendre par le bout de ma lance. " Celle-ci était en fait comme une aiguille de tisserand, plus longue que l'un des poteaux centraux de la tente. Et il a dit : " Je vais te prendre par le bout de cette lance... " Un petit garçon pesant environ cent et dix livres [55 kg - N.D.T.], plutôt maigre, petit - petit de taille, un petit homme, qui n'avait peut-être pas beaucoup à manger derrière le désert, mais il restait avec Dieu. C'est l'essentiel.

" Il l'a pris par… " Il a dit : " Je vais te prendre par le bout de ceci, et je vais te soulever et laisser les oiseaux manger ta chair aujourd'hui. "

Voyez ce que David a dit. David a dit : " Tu marches contre moi en tant que Philistin, avec une armure, et avec une lance, et aux noms de votre dieu ; mais, a-t-il dit, moi, je marche contre toi au Nom de l'Eternel, le Dieu d'Israël. Aujourd'hui, je couperai ta tête, et je donnerai ta chair aux oiseaux. "

64.       Pourquoi? Qu'y avait-il dans sa main? Un lance-pierre. Mais Dieu était avec lui. C'est l'essentiel. Que vous ayez une licence, ou une licence en lettres, ou quoi que vous ayez, si vous avez reçu Christ en vous, qu'est-ce que cela change? Que vous connaissiez votre Abc, ou quoi que vous connaissiez, du moment que vous connaissez Jésus-Christ dans Sa puissance de la résurrection, voilà ce que vous devez connaître.

            Il s'est tenu là. Eh bien, il a dit ce qu'il ferait. Et le voilà parti. Quand ils ont commencé à s'approcher, ce Philistin fou furieux, avec sa très grande armure comme cela, et sa lance pendante pour attraper le pauvre petit David... Le petit David s'est avancé et a alors pris cette fronde (la seule chose qu'il avait en main), il y a mis une pierre, comme cela, il l'a enveloppée autour de ses doigts. Regardez, frères, il avait la f-o-i [en anglais f-a-i-t-h - N.D.T.], cinq , en J-E-S-U-S, encore cinq.

            Le voici avancer avec une pierre. Quand il a lâché la pierre, Dieu a dirigé celle-ci droit au milieu du casque, là où le casque aurait dû couvrir ce vieux Goliath, et l'homme s'est écroulé. Et d'un bond David a sauté sur lui et a tiré l'épée même de Goliath et lui a coupé la tête. Et tous les autres ont pris courage et ils ont éliminé les Israélites… ou plutôt ils ont éliminé l'armée des Philistins du pays.

            Je vous assure, ce dont nous avons besoin aujourd'hui c'est d'un autre David qui se tiendra sur la Parole de Dieu et qui prêchera l'Évangile pur de Jésus-Christ, et qui encouragera quelques pasteurs pour qu'ils aillent couper jusqu'à ce que nous boutions hors de notre nation, de notre ville (Amen.) et de nos églises tous ces communistes vantards et athées. Oh ! c'est vrai, mes amis.

65.       Une fois, un homme, un homme tout seul... Un grand groupe de Philistins s'est rué sur lui. Il s'appelait Samson. Il a regardé tout autour. Il n'avait rien, mais il a ramassé la mâchoire d'un mulet. Et l'Esprit de Dieu est venu sur lui, et il a terrassé mille Philistins avec la mâchoire d'un mulet. Pourquoi? L'Esprit de Dieu était sur lui. C'est ce qui l'a fait faire cela. Certainement.

            Une fois il y eut un vieil homme, là dans le Livre des Juges; il s'appelait Schamgar. Avez-vous déjà lu ce qui est écrit de lui? Beaucoup de gens pensent très rarement à Schamgar. Il est là dans le Livre des Juges. C'est lorsque chaque homme faisait ce qui lui semblait bon et ce qu'il pensait. Et le petit Schamgar et tous les autres Israélites, lorsqu'ils mettaient leur - leur nourriture dans les dépôts, voilà que les Philistins venaient et l'emportaient.

66.       C'est ce que fait le diable. Juste au moment où vous avez bien établi les choses et où vous pensez que tout commence à bien marcher, alors le diable s'amène. Observez simplement cela. Il essaiera de venir démolir, ravir ce que Dieu vous a donné. " Des chiens ravisseurs de moutons ", c'est ce que Paul a dit. C'est juste. " Après mon départ, des loups cruels s'introduiront et ils n'épargneront pas le troupeau. "

            Savez-vous ce que nous faisons là chez nous d'un chien qui tue les moutons? Nous déchargeons les deux canons d'un vieux fusil de chasse sur lui. Je vous assure, la meilleure chose pour un chien ravisseur de moutons est de décharger ces deux canons-ci sur lui, et le Nouveau et l'Ancien. Eh bien, cela va...?... l'abattre; je vous assure. Quand vous l'attrapez avec des poils dans la gueule, c'est là la preuve. Très bien. Et c'est juste.

Quelqu'un est venu et a dit : " Maintenant...?... vous êtes allés à cette réunion sous tente, n'est-ce pas? "

" Oui, oui. "

" Oh ! ce type est télépathe. "

" Eh bien, c'est peut-être le cas, mais je suis sauvé. " Amen. C'est juste. C'est Dieu qui travaille.

            Il y a quelque temps, je regardais un homme qui parlait, là où il était assis sur un lit de camp. Il avait été dans un lit de camp depuis je ne sais pas combien de temps. Et aujourd'hui il est rétabli, il fréquente une église pour communier. Grâces soient rendus à Dieu. Quelqu'un a du courage, suffisamment de courage pour vous amener à vous lever et à faire face à la situation.

67.       Schamgar se tenait là. Il venait de battre complètement tout son blé. C'est comme ça que le diable laisse la chose évoluer. Il avait fait sa récolte, le dur labeur était achevé, il avait tout mis dans le grenier... Il se tenait là, et juste à ce moment-là, lui et sa femme, et ses petits enfants peut-être, se tenaient là, il a entendu un bruit. Il s'est relevé d'un côté et a regardé. Savez-vous ce qui se passait? Six cents Philistins arrivaient, très gros, rondelets, s'approchant là dans leurs énormes armures, trump, trump, trump, avec leurs lances ; ils venaient pour emporter sa récolte.

            Il regarda sa pauvre petite femme qui se tenait là, les manches retroussées, ses pauvres petits avaient des visages pâles. Les Philistins avaient emporté tout ce qu'il avait eu l'année précédente. Et il a compris qu'il devrait encore continuer à endurer la famine ; voilà qu'ils s'amenaient. Ils avaient tous travaillé tout l'été, ils avaient déjà engrangé cela, et ces gens le savaient. Quand tout était engrangé, ils se sont donc dit qu'ils viendraient prendre cela. Il se tenait là et il regardait cela. Vous savez, je ne veux pas dire qu'il était fâché, mais peut-être sa juste indignation monta. Ha, ha !

68.       Vous savez, c'est ce qui devrait vous arriver, à vous qui êtes ici sur ces lits de camp et sur ces civières cet après-midi. Mettez-vous simplement un peu dans une colère noire contre le diable. Dites : " Toi, espèce de vieux vaurien trompeur, tu es un menteur. Christ m'a libéré. Je ne dois plus rester dans cet état-ci. Sors d'ici. " Obligez-le à obtempérer, frère. Il n'a aucune autorité. Jésus l'a dépouillé de tout droit légal qu'il avait, quand Il est mort au Calvaire. Tout le problème du salut et de la guérison a été résolu au Calvaire. C'est juste.

69.       Il a regardé tout autour; il s'est dit : " Eh bien, je ne suis - je ne suis pas soldat; je ne peux pas me battre. Je ne sais pas du tout combattre. Et si je... Je n'ai pas le temps d'aller là pour apprendre à combattre en duel, afin de combattre ces hommes. "

            Mais il devint tout excité. Et il leva les yeux, il y avait là sur l'étagère un aiguillon à bœufs, dit la Bible. C'est un outil qui a un long bâton muni et dont le bout est en cuivre. On fait entrer le bétail dans les stalles avec. Et peut-être quand ils labourent, on ôte la terre du bout de la charrue avec un vieil aiguillon à bœufs.

            Eh bien, il n'avait pas de temps pour apprendre à combattre. Il était fermier. Il ne savait pas du tout combattre, mais le temps pour combattre était là.

            Et il a dit : " Je sais une chose : Je suis un Israélite. " Alléluia. " Je suis circoncis. Je suis dans l'Alliance. Jéhovah Dieu est avec moi. " Et comme il se met à penser à ces choses, je peux le voir balancer ses vieilles petites mains.

            Sa femme s'est dit : " Qu'est-ce qui arrive à mon mari? "

Frère, il a saisi cet aiguillon à bœufs, et la seule chose qu'il pouvait prendre dans sa main, c'était un aiguillon à bœufs. Puis il est sorti par cette porte et a tué six cents Philistins armés. Alléluia !

70.       Qu'y a-t-il dans votre main, cet après-midi? Les médecins vous ont abandonné. Vous n'avez plus de temps à perdre inutilement avec cela. Recevez Christ. Peu importe ce que vous avez dans la main... Dieu... Prenez la Parole de Dieu qui dit que Jésus est le même, hier, aujourd'hui, et éternellement, et tuez la chose, et avancez avec cela. Amen.

            Vous dites : " Eh bien, Frère Branham... " Ouais, vous êtes trop timide. Voilà la vérité. C'est exactement ça le problème.

            Un jour, je prêchais dans l'arène d'un stade de football. Et en entrant, j'ai vu une petite enseigne, cela m'a toujours encouragé. Il y avait là une grande enseigne qui disait : " Ce n'est pas la taille du chien qui compte dans le combat; mais la taille du combat dans le chien. " C'est juste.

Il ne s'agit pas de combien vous êtes timide ou de ce que vous êtes. Frère, levez-vous. Il ne s'agit pas de ce que vous êtes; il s'agit de ce que Christ est en vous, la puissance du Saint-Esprit. Vous dites : " Eh bien, mes voisins se moqueront de moi si je suis sauvé. " Recevez Christ là à l'intérieur, et voyez comment vous parlez à votre voisin. Voyez combien la vie change.

71.       J'ai été rude. Je sais que je l'ai été. Je vous ai parlé comme je ne sais quoi, mais je veux que vous sortiez de cette pauvre petite timidité dans laquelle vous êtes retrouvé ici. Je veux que vous veniez devant... N'ayez pas peur. De quoi devez-vous avoir peur? Jésus a marché hardiment vers le Calvaire, Il a étendu Ses mains et a été cloué là. Même celui qui L'a cloué a dit : " Ce... Il doit être de Sang Royal; Il ne meurt pas comme un lâche. " Il est mort comme un Prince.

            Il était le Prince des princes. Il était le Roi des rois. Il était le Seigneur de tous les seigneurs. Et Il est ici aujourd'hui. Il n'a jamais bronché, Il a posé Son bras... Il avait un objectif, un choix : faire la volonté de Dieu.

            Faites la même chose. Peu importe ce que le diable vous a dit... vous a dit, que vous n'alliez pas vous rétablir. Votre médecin a essayé tout ce qu'il lui était possible. Il pense toujours que vous n'allez pas vous en sortir. Mais Jésus a dit que vous le pouvez, si vous croyez.

72.       Il y a des nouveaux venus ici aujourd'hui. Je me demande, pendant que nous avons la tête inclinée, juste un instant, pour la prière… Le temps s'envole.

            Notre Père céleste, veux-Tu bien accorder du courage à un pauvre homme ou à une pauvre femme qui a été agité à tout vent de doctrine. Ils viennent, et ils ne savent pas quoi croire. Pendant la semaine passée, nous T'avons vu accomplir des choses, Seigneur, que les hommes ne peuvent pas accomplir. Nous T'avons observé. Nous voyons que Tu es ressuscité des morts et que Tu es ici aujourd'hui.

            Et, Seigneur, fais que Ton Saint-Esprit parle aux cœurs des gens sans courage qui sont ici maintenant même, et qui ne sont pas sauvés, et qui savent qu'ils ont juste une certaine attitude mentale vis-à-vis de la Parole. Ils ne sont jamais nés de nouveau, ils ne savent pas ce que cela signifie être baptisé dans le Saint-Esprit pour former le Corps de Christ. Qu'ils fassent l'inventaire maintenant même, Seigneur, et réfléchissent. Et quoi que Tu aies placé dans leur main, puissent-ils lever cette main vers Toi et Te donner le tout petit talent qu'ils ont. Si ce n'est qu'un témoignage, ils ont ne fût-ce qu'une main qu'ils peuvent lever. Et c'est Toi qui peux placer tout ce qu'il y a dans leur main. Nous le demandons pour l'amour de Christ.

73.       Et pendant que nous avons nos têtes inclinées et que tous ceux qui savent prier sont en prière, je me demande aujourd'hui si, pendant que vous réfléchissez là-dessus, mon ami… Peut-être que ceci est notre dernière rencontre sur cette terre. Si je devais revenir dans six mois, il y en a beaucoup ici qui ne seront plus là alors. Peut-être que moi, je ne serai plus là à ce moment-là. Mais ceci sera notre dernière fois d'être ensemble pour un auditoire de cette taille. Beaucoup d'entre vous seront partis avant que je ne vous revoie ; notre prochaine rencontre, ce sera là de l'autre côté.

            Rappelez-vous, je vous offre au Seigneur Jésus. La seule chose que vous devez faire pour recevoir cela, c'est croire cela dans votre cœur et accepter cela. Et je me demande aujourd'hui s'il y a quelqu'un qui voudrait tout simplement lever la main vers le Dieu Tout-Puissant et dire : "Par ceci, Seigneur, je lève ma main. Je viens maintenant à Toi. Je veux devenir un chrétien courageux dès ce moment, car j'accepte le Seigneur Jésus comme mon Sauveur personnel. Je lève ma main pour Te signifier la même chose. " Voudriez-vous lever la main maintenant ?

            Que Dieu vous bénisse, ma sœur. Que Dieu vous bénisse, ma sœur. C'est bien. Que Dieu vous bénisse, mon frère, derrière. Y a-t-il quelqu'un ? Que Dieu vous bénisse, mon frère, par ici.

74.       Quelqu'un d'autre qui dise : "Je lève maintenant mes mains vers le Seigneur Jésus. " Que Dieu te bénisse, mon fils. Je te vois. Quelqu'un… Que Dieu vous bénisse, mon frère, là derrière. Je vous vois. Dieu vous voit. Maintenant, que chacun soit en prière, les chrétiens. Que Dieu vous bénisse, frère, et que Dieu vous bénisse, sœur, par-là. " J'accepte maintenant le Seigneur Jésus comme mon… " Que Dieu vous bénisse, mon frère. " J'accepte le Seigneur Jésus comme mon Sauveur personnel. "

            Que Dieu vous bénisse, mon frère, par-là. Je vois votre main. Dieu aussi la voit. Rappelez-vous… Que Dieu te bénisse, petit garçon. C'est très bien. " Celui qui entend Mes Paroles et qui croit à Celui qui M'a envoyé a (maintenant même) la Vie Eternelle. " Parce qu'il a fait quoi ? Il a cru.

            Dites : " Seigneur, je crois. J'accepte maintenant cela en levant… " Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu soit avec vous, mon frère. C'est très bien.

            Vous dites : "Frère Branham, est-ce que cela représente quelque chose ? "

            Eh bien, Jésus a dit : "Nul ne peut venir si Mon Père ne l'attire. Et tous ceux qui viendront, Je leur donnerai la Vie Eternelle. "

            Eh bien, vous ne pouvez pas… Vous ne seriez pas - vous ne seriez pas…n'avez pas un principe assez réel pour lever la main si Dieu ne vous a parlé. Et comme vous avez effectivement levé la main, alors cela montre à Dieu… J'ai dit que cela montre à Dieu que vous voulez L'accepter maintenant même, Son Fils bien-aimé a pris votre place.

75.       Que Dieu te bénisse, petit garçon ici dans un fauteuil roulant, il a levé la main. Que Dieu soit avec toi, chéri. Oh ! la la ! Voilà que cela a touché mon cœur ! Pensez-y tout simplement, il y a des hommes et des femmes ici, peut-être âgés, qui sont simplement allés et qui ont lu de vieux Magazines True Story et tout au point que cela a tout simplement rendu leurs cœurs durs et insensibles, et ils sont des membres quelque part et ont inscrit leur nom dans un registre, sans jamais savoir ce que c'est que naître de nouveau. Mais voici un petit garçon estropié dans un fauteuil, il lève les mains pour dire : " Je veux accepter le Seigneur Jésus maintenant même. " Oh ! certainement.

            Quelqu'un d'autre maintenant, juste avant que nous priions. Que Dieu vous bénisse, frère, là derrière. Je vous vois, l'homme âgé. Je vous vois, mon frère. Dieu aussi vous voit, frère. Peut-être que vous avez perdu beaucoup d'années, mais maintenant à cet âge-ci Jésus va vous recevoir. C'est ce qu'Il a dit : "Celui qui entend Mes Paroles, qui croit en Celui qui M'a envoyé a (C'est maintenant même.) la Vie Eternelle, perpétuelle. Il ne viendra point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie. "

76.       C'est quand vous croyez que vous recevez Christ dans votre cœur. C'est ce que Jésus a dit : Saint Jean 5.24. Ecoutez… Comment cela se passe-t-il ? Oh ! nous avons des façons qui diffèrent. Certains d'entre nous veulent venir à l'autel ; c'est bien. J'aime cela. Je pense que tout le monde devrait venir - venir à l'autel et prier un moment. Vous-même personnellement, vous priez là. Mais, écoutez, le salut c'est une grâce. Il n'y a rien que vous puissiez faire ; il s'agit de ce que Dieu a fait pour vous. Vous ne pouvez pas venir à moins que Dieu vous appelle. Jésus a dit que vous ne le pouvez pas.

            Et puis, qu'a dit Jésus ? "Je ne mettrai pas dehors tout celui qui viendra. Celui qui écoute Ma Parole et qui croit à Celui qui M'a envoyé a (le temps présent, maintenant même) la Vie Eternelle, et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie. "

            La chose suivante que vous pouvez recevoir maintenant, c'est le baptême du Saint-Esprit. Après que vous avez reçu Christ comme votre Sauveur personnel, vous recevez alors le Saint-Esprit par le baptême du Saint-Esprit.

77.       Que quelqu'un d'autre lève la main. Dites : "Priez pour moi, frère. Que Dieu me reçoive. "

Que Dieu te bénisse, petit garçon. Que Dieu te bénisse, fiston. Et que Dieu vous bénisse, là derrière. Et la petite dame derrière, que Dieu vous bénisse, sœur. C'est bien. Juste encore quelques-uns. Nous en avons eu plusieurs. Voici une dame, juste ici. Que Dieu vous bénisse, sœur. Que Dieu vous bénisse, sœur. C'est très bien.

            Immédiatement après ce service-ci, quand l'appel à l'autel… Je veux que vous veniez tous vous tenir ici tout autour, ici tout autour, et que vous apportiez à Dieu votre contribution sous forme de prière. Dieu fera de vous un véritable chrétien.

78.       Pouvons-nous attendre encore une fois et faire le tour pour voir s'il n'y a pas quelqu'un d'autre là derrière ? Je sens plutôt cela dans mon cœur. Il y en a encore un. La différence est que vous pouvez soit lever la main soit ne pas le faire. Si vous voulez bien lever la main, c'est ce qui vous est demandé.

            Que Dieu vous bénisse, mon frère et ma sœur espagnols. Juste… Que Dieu vous bénisse, frère, là derrière. Que Dieu te bénisse, fiston. Que Dieu vous bénisse, sœur. Que Dieu bénisse cet homme et cette femme assis ici. Ces deux mains juste de ce côté-ci, deux petits enfants. Une jeune dame, que Dieu vous bénisse, sœur. Vous savez que vous n'êtes jamais dans l'erreur quand vous suivez la conduite du Saint-Esprit.

            Que Dieu vous bénisse. C'est merveilleux, mon frère. Que Dieu te bénisse, mon jeune petit garçon. Quelqu'un d'autre maintenant ? Rappelez-vous, qu'y a-t-il dans votre main ? Que Dieu vous bénisse, mon frère. Qu'y a-t-il dans votre main ? Que Dieu vous bénisse, mon frère. C'est Christ qui dit : "Lève ta main maintenant. " Que Dieu vous bénisse, sœur. Qu'y a-t-il dans votre main ?

            Vous dites : "Eh bien, Frère Branham, je - je suis un peu timide, comment… " Ce que vous êtes ne change rien. Ce qui compte, c'est ce que Dieu peut faire de vous. Donnez-Lui simplement ce que vous avez maintenant. Et vous avez ne fût-ce qu'une main que vous pouvez lever et dire : "Seigneur, la voici. C'est tout ce que j'ai. Je Te donne ma main avec un cœur sincère derrière cela. J'en ai marre du péché. Je - je veux être Ton serviteur. " Que Dieu te bénisse, jeune homme. C'est très bien.

79.       Très bien. Je pense que vingt, trente ou plus L'ont accepté maintenant même. Et maintenant… Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu soit miséricordieux envers vous. C'est peut-être la dernière fois que nous soyons ensemble avant de nous rencontrer au Jugement ; mais je suis certainement heureux… Que Dieu te bénisse, jeune homme qui est assis là derrière. C'est bien. Les gens continuent simplement à s'ajouter. J'en suis très heureux.

            Et, vous savez, je crois que Dieu va nous accorder un service de guérison mémorable, parce que vous venez et vous acceptez. Beaucoup d'entre vous qui êtes ici pour la première fois n'ont jamais vu les œuvres du Seigneur. Et, malgré tout, vous venez à Christ. Le Christ même que vous acceptez, si je dis la vérité, vous Le verrez se tenir juste ici dans cette salle et accomplir les mêmes choses qu'Il a accomplies quand Il était ici sur terre.

            Ce n'est pas du tout quelque chose que vous devez supposer, mon ami. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu te bénisse, chérie, la fillette juste ici devant moi, ce tendre petit cœur. Il n'y a rien à supposer, plus d'inquiétude, plus de supposition ; c'est complètement parti maintenant. Jésus est ici, le dernier jour.

80.       La Bible dit, le prophète dit : "Au temps du soir la lumière paraîtra. " Il y eut un jour qui n'était ni nuit, ni ténèbres. Décidez-vous maintenant.

            Où le soleil a-t-il premièrement brillé ? Sur le peuple oriental, en Orient. Mathématiquement, géographiquement, il se déplace en direction de l'Ouest. La civilisation s'est déplacée de l'Est à l'Ouest. Et au début quand il a brillé sur le peuple de l'Est, qu'est-il arrivé ? Il y eut un grand réveil du Saint-Esprit parmi les gens de l'Est. Puis vint un jour où la théologie, les églises, les dénominations ont voilé cela. La Bible dit : " C'est un jour qui n'est pas ténébreux ; il est sombre. "

            Ils ont eu assez de lumière pour croire que Jésus était le Fils de Dieu. Ils n'avaient pas de miracles et de prodiges. Ils croyaient que c'était pour le jour passé. Mais le prophète a dit : " Au temps du soir la Lumière paraîtra. "

            Le peuple de l'Ouest reçoit maintenant leur Lumière. Ne La rejetez pas. La Lumière est en train de briller. Le même Saint-Esprit qui tomba au jour de la Pentecôte est ici même accomplissant les mêmes choses.

81.       Oh ! nous avons un tas de fanatisme. Je reconnais cela, mon ami. Cependant il faut que nous ayons cela. Rappelez-vous, les épouvantails sont tout autour du meilleur pommier. Ainsi donc rappelez-vous tout simplement, Jésus-Christ est toujours le Fils de Dieu et ces choses doivent arriver. L'Evangile ne peut pas être prêché sans qu'il y ait des critiques ; nous savons cela. La Bible le dit. Ne regardez donc pas à cela ; regardez à Jésus. C'est la Lumière ; le temps du soir est là maintenant.

            Y a-t-il quelqu'un d'autre quelque part, avant que nous priions, qui s'est décidé… Que Dieu vous bénisse, chère sœur. C'est très bien de votre part. Que Dieu vous bénisse, sœur par ici. C'est bien de votre part. Dieu voit votre main. Maintenant, prions. Que Dieu vous bénisse, frère. C'est bien. Que Dieu soit miséricordieux envers vous. Que Dieu vous bénisse, petite dame par-là, qui avez levé la main. Ma prière est qu'Il soit miséricordieux envers vous.

            Maintenant, prions. Et que chaque chrétien, à votre propre manière maintenant donc, prie pour ceux-ci qui sont fraîchement venus à Christ.

82.       Dieu Bien-aimé, comme je le sais maintenant, je me tiens ici entre les vivants et les morts. J'ai dû parler très durement cet après-midi, car j'ai senti que Tu avais placé cela sur mon cœur, même après que j'étais déjà ici. Tu as dit : " Secoue les gens. "

            Et j'ai simplement enseigné Ta Parole, et à présent quelque trente ou quarante mains se sont levées. J'espère que je ne les juge pas mal, Seigneur. Je crois qu'ils étaient tous sincères. Ils ont levé leurs mains parce que Quelque chose a parlé à leur cœur. Et maintenant, je Te cite, Ta Parole, Seigneur Jésus, qui les rencontrera là à la rivière un de ces jours, quand la mort va leur serrer la gorge. Le médecin quittera la maison en disant : " Eh bien, il ne se remettra jamais de cette attaque. " Le petit bébé sera couché là à l'intérieur, étouffé par la pneumonie, les petits enfants ou qui que ça pourrait être. Les mères et les pères qui auront eu une longue vie, l'ange de la mort se tiendra au pied du lit, et les vieilles vapeurs froides du Jourdain flotteront devant eux, mais Il sera Là. Tu as dit : " Il ne viendra point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie. "

            Puisse l'Etoile du Matin apparaître et éclairer le chemin pour eux. Et quand les mottes de terre seront jetées au-dessus du cercueil, que les vieux pins puissent murmurer : " Il y a un pays au-delà de la rivière. "

83.       Lorsque cette heure sonnera, ils se souviendront qu'aujourd'hui, parce que Tu as parlé à leur cœur, ils ont levé leur main. Loin là-bas, dans l'autre pays, il se peut que je ne puisse plus jamais leur serrer la main ici, mais, ô Dieu, accorde que dans le nouveau monde, là où il n'y a ni mort ni chagrin, ni tristesse ni maladie, que je puisse serrer chacune de leurs mains là-bas et qu'ils disent : " Frère Branham, c'était ce soir-là, je vous avais entendu prêcher si durement sur le fait que les hommes doivent recevoir Christ, et sur ce qu'il y a dans ta main. Et j'avais levé la main vers Christ et Il m'avait reçu. Et me voici aujourd'hui par les bénédictions et la grâce de Christ. "

Voudras-Tu bien le faire pour nous, Père ? Nous le demandons au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus. Amen.

[Espace vide sur la bande - N.D.E.] C'est tout ce que je vous demande de faire.

            Crois seulement….

            Tout est possible, crois seulement.

            [Espace vide sur la bande - N.D.E.]

84.       … ?… Ne vous déplacez pas. Restez très tranquilles. Ici se tient une femme âgée, probablement une vieille petite mère, elle a les cheveux gris. Je pense à ma mère qui est à la maison, quand je pense à elle. Ma mère a à peu près cette taille. Mais ma mère est pratiquement une demi-indienne ; elle est… Ses cheveux sont noirs comme du charbon. Mais comme les Indiens, quand ils prennent un peu de l'âge, ils deviennent lourds.

            C'est peut-être la mère de quelqu'un, elle porte une alliance à la main. Dieu seul sait ce qui est passé par ses vieilles mains. Elles ont peut-être bien des fois essuyé les larmes des yeux d'un bébé en pleurs. Il y a des années, peut-être encore petite, une mère l'a peut-être prise et l'a embrassée au doigt quand elle s'y était fait mal, l'a bercée pour l'endormir. Cela fait longtemps que cette vieille mère est allée sur l'autre rive. Peut-être qu'aujourd'hui elle a un mal qu'une mère ne peut faire partir par un baiser, mais il y a Quelqu'un ici qui peut ôter cela par un baiser.

            Je ne la connais pas. Je ne l'ai jamais vue. Je ne sais même pas si elle parle anglais ou pas ; je ne sais pas. Parlez-vous anglais, madame ? Oui ? Mais en fait vous n'êtes pas Anglaise ; vous êtes Allemande, n'est-ce pas ? Oui, oui. C'est juste. Au revoir ; " Auf wiedersein ". [Le prophète dit : " Au revoir en allemand. " - N.D.T.]

85.       Je ne vous connais pas et vous ne me connaissez pas, je viens de quitter votre pays. Avez-vous entendu l'histoire de la fillette allemande aveugle qui a recouvré la vue ? A Karlsruhe, c'était une merveilleuse série des réunions, environ cinquante mille en Allemagne sont venus à Christ, de même qu'à peu près cinquante mille en Suisse sont venus à Christ. Votre peuple est tout abattu, là-bas. Ils en ont assez d'Hitler. A présent, ils ont besoin de Christ. Ils sont aimables. Ils m'ont traité comme si j'étais leur frère. Merci, Seigneur, c'est juste.

            Vous savez, mère, ne vous connaissant pas, je ne me tiendrais pas ici… En tant que gentleman, je me sentirais trop petit pour me tenir devant une personne âgée comme vous, une mère, et essayer d'être un séducteur. Je serais assez sincère pour ôter cela de mon cou et quitter cette salle. Je veux vous aider. Je veux faire quelque chose pour vous si je le peux, car vous êtes une chrétienne. C'est juste.

            Vous éprouvez un merveilleux sentiment dans votre esprit. Cela est déjà venu à ma rencontre. Et je sais que vous êtes une chrétienne. Et Dieu connaît votre besoin, n'est-ce pas ? Et si Dieu me permet de faire avec vous comme Il le fit à travers Son Fils au puits de Samarie…

86.       L'auditoire sait que lorsque Jésus est allé à Samarie Il s'est assis au puits, Il avait envoyé Ses disciples, et une femme est venue. C'était une femme de Samarie. Et Il a dit : "Apporte-Moi à boire. " Avez-vous déjà lu cela ? L'auditoire a-t-il déjà lu cela ? Il essayait d'engager une conversation avec elle.

            Elle a dit : "Il n'est pas de coutume pour les Samaritains - ou plutôt les Juifs de demander pareille chose aux Samaritains. "

            Il a dit : "Mais si tu savais à Qui tu parlais, c'est toi qui Me demanderais à boire. "

            Eh bien, elle a continué la conversation : " Le puits est profond… "

            Finalement Il était… Que faisait-Il ? Il cherchait à contacter son esprit, c'est la même chose que je suis en train de faire à l'instant. Elle est Allemande ; je suis Irlandais. L'une était une Samaritaine, mais cependant Il lui a fait savoir qu'il n'y avait pas de discrimination. Dieu aime tous les peuples.

            Eh bien, elle a dit…

87.       Il a dit : " Va chercher ton mari. " Il a découvert son problème. Elle vivait de façon illégale, elle n'était pas mariée.

            Il a dit : " Va chercher ton mari. "

            Elle a dit : "Je n'ai pas de mari. "

            Il a dit : " C'est juste. Tu en as eu cinq. "

            Oh, elle a dit : "Je vois que Tu es un prophète. " Maintenant, écoutez ceci. N'oubliez pas ceci. Elle a dit : "Nous savons que lorsque le Messie viendra (C'est-à-dire Christ)… on nous a enseignés que lorsque le Messie viendra, Il fera ces choses. " Quoi ? Connaître les secrets de leur cœur comme Lui connaissait ceux du cœur de cette femme, Il savait où était son problème. C'était là le signe du Messie, est-ce juste ? Elle a dit : "Nous savons que lorsque le Messie viendra Il connaîtra ces choses, ou plutôt Il nous annoncera toutes ces choses. Mais elle ne savait pas qui Il était. "

            Il a dit : "Je le suis Moi qui te parle. "

            Elle est donc entrée [dans la ville] en courant, elle disait : "Venez voir un homme… "

88.       Eh bien, s'Il est le Messie et qu'Il est ressuscité, vous savez que moi je serais indigne ou quiconque d'autre, mais quelqu'un doit être choisi pour ceci, n'est-ce pas ? Ainsi donc, si le Messie est ressuscité, je vous dis la vérité, et qu'Il se tient ici à côté de vous… Le Messie, l'Esprit peut dire par mes lèvres, si vous avez assez de foi pour qu'Il fasse cela, vous dire la raison pour laquelle vous êtes ici, comme ce fut le cas pour cette femme-là. Ne pourrait-Il pas le faire ? L'auditoire va-t-il croire cela, s'Il le fait ?

            Ma prière est qu'Il puisse l'accorder. Maintenant, Seigneur, je me confie en Toi au Nom de Jésus.

C'est si difficile, après la prédication, de recevoir l'onction du Saint-Esprit. Mais Il est ici. Le même Ange que vous voyez sur le papier est à moins de deux pieds [environ 60 cm - N.D.T.] de l'endroit où je me tiens.

            La femme souffre d'une maladie nerveuse. Et elle souffre aussi d'une autre maladie en rapport avec quelque chose qu'on place autour du bras. Il s'agit de l'hypertension. Elle souffre de l'hypertension. Vous souffrez aussi de maux d'estomac. Et vous avez deux tumeurs, ici à l'intérieur. C'est vrai, n'est-ce pas ? Maintenant, croyez-vous ? Alors, allez-y et recevez votre guérison. Jésus-Christ vous rétablit.

89.       Ayez foi, ne doutez pas, mais croyez de tout votre cœur que Jésus le Fils de Dieu est ressuscité des morts.

            Bonjour, madame ! Je suis vraiment heureux de pouvoir vous rencontrer. Et que Dieu soit avec vous. Je vois directement que vous êtes une chrétienne. Maintenant, je souhaite vous parler juste un instant, sur un sujet. Je ne vous connais pas… Un homme est apparu juste sur la scène de cela… Il est trop jeune pour être… à moins que ce ne soit son fils.

            Juste un instant. Non. C'est une dame assise juste là qui prie pour son mari qui n'est pas sauvé, elle est assise juste ici derrière. C'est juste. Une jeune dame portant un petit chapeau noir, sa chevelure en quelque sorte pend, elle a un mari qui n'est pas sauvé et elle prie pour lui. Elle a un mouchoir en main. C'est juste, madame, n'est-ce pas ? Levez la main. C'est vrai. Vous avez une grande foi, madame. Puisse Dieu vous accorder votre requête. Je crois qu'Il le fera. Quand vous le verrez, dites-lui que Jésus lui parle.

            Maintenant, je ne… que… Maintenant, voyez-vous ce que je veux dire ? Comment… ?… la dame. Avez-vous une carte de prière, madame ? Vous n'avez pas de carte de prière ? Non. Vous voyez, vous ne pourriez jamais être appelée dans la ligne sans la carte de prière. Vous n'en avez pas besoin, n'est-ce pas ? Voyez-vous ? C'est déjà exaucé. Voyez-vous ? Vous n'avez pas besoin de carte de prière. Il ne s'agit pas de carte de prière ; il s'agit de votre foi. Essayez de vous éloigner de la carte de prière, cela n'a rien à voir avec cela, c'est juste une personne qui se tient ici. Soyez tout simplement fidèle, tendre et loyale, et croyez au Seigneur Jésus.

90.       Oui, la dame qui se tient devant moi est une chrétienne. Et elle souffre de la tension. Et elle est très nerveuse. Et elle souffre d'un trouble de la vésicule biliaire, et elle est nerveuse, agitée ; c'est ce qui provoque la tension chez elle. Et vous avez quelque chose d'étrange. Vous - vous aviez autrefois accepté votre guérison pour la même chose, mais c'est comme si vous êtes devenue trop hautaine avec cela, et cela s'en est allé. Et au fait, vous êtes une - vous êtes missionnaire, ou plutôt vous étiez missionnaire.

            Et je vois un autre homme, et c'est votre mari. C'était un prédicateur pentecôtiste, mais il est dans la gloire. Il est déjà parti. Mais il… Et vous avez encore quelque chose à l'esprit. Vous cherchez à comprendre ce que vous devez faire du reste de votre vie. Et vous essayez de prendre une décision, et vous sentez que vous devez partir à l'est d'ici, vers les Etats de l'est, pour terminer votre vie dans l'œuvre missionnaire. C'est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C'est vrai. Ce qu'Il a dit est la vérité, n'est-ce pas ? Ce n'était pas moi, c'était Lui. Chaque parole est la vérité. C'est toujours le cas. Maintenant continuez votre chemin en vous réjouissant et en disant… [La sœur dit : " Je doutais de ma guérison et je l'ai perdue. " - N.D.E.] Maintenant partez, soyez humble et douce, et Jésus sera avec vous.

91.       Disons : " Grâces soient rendues à Dieu. " [L'assemblée dit : " Grâces soient rendues à Dieu. " - N.D.E.] Crois-tu ? Si tu peux croire, tout est possible.

            Vous qui êtes assis là à côté du huissier, vous avez mal au cou. Voulez-vous que Jésus vous guérisse ? Croyez-vous que Jésus va le faire, monsieur ? Vous croyez ? C'est merveilleux, n'est-ce pas ? Certainement.

            Dites donc, l'homme qui est assis juste à côté de vous, là avec la petite fille, il souffre d'un - un trouble à la partie inférieure de son corps ; la prostate le rend nerveux, il se lève la nuit et tout. Vous souffrez de l'estomac et tout qui vous dérangent, en effet cela vous a rendu très nerveux. C'est juste, n'est-ce pas, monsieur ? Vous êtes guéri. Christ vous rétablit. C'est plein de Lumière autour de vous. Tout ce qu'il vous faut, c'est la foi pour croire.

92.       Bonjour, monsieur ! Je vous suis inconnu, monsieur. Nous ne nous connaissons pas. Je ne vous ai jamais vu de ma vie, mais cela… C'est la première fois que vous me voyez. Très bien. Maintenant, si c'est vrai, levez la main pour que l'auditoire voie. C'est la première fois que nous nous rencontrons. Et moi je ne vous connais pas, cependant Dieu vous connaît. Je - je ne… Il m'est impossible de vous connaître ; c'est Dieu qui vous connaît.

            Mais vous souffrez d'une espèce de toux, vous souffrez de l'asthme. Et vous souffrez aussi des troubles gastriques. Vous toussez ; c'est une toux sèche, mais votre estomac est… Oh ! voici ce que c'est. Monsieur, vous avez besoin de la guérison, mais vous avez aussi besoin du salut. C'est juste. Vous êtes un buveur. Je vous vois vous tenir là, buvant du whisky et des boissons que vous ne devriez pas boire. C'est juste. Votre vie - vie est à découvert devant Dieu. Je vais vous dire quelque chose afin que vous puissiez savoir, croire que je suis Son prophète. Durant la dernière semaine ou les deux dernières semaines, vous priiez cherchant à vous mettre en ordre, n'est-ce pas ? Eh bien, votre mal d'estomac s'en est allé ; vos péchés sont pardonnés. Allez et faites-vous baptiser, en invoquant le Nom du Seigneur, et vous allez… Que Dieu vous bénisse, mon frère. Maintenant vous êtes mon frère.

93.       Ne venez pas à moins d'avoir confessé d'abord vos péchés. Amen. Exactement comme pour la femme au puits, Il connaît votre cœur. Ne vous déplacez pas. Croyez.

            Bonjour, madame ! Nous sommes des inconnus l'un à l'autre. Mais Dieu nous connaît tous les deux, n'est-ce pas ? Vous souffrez des troubles nerveux et vous avez aussi mal au cou. C'est vrai. Vous avez une tumeur ; vous souffrez de l'estomac. Je vous vois quitter une table, vous n'arrivez pas à manger. Vous avez des ulcères. Eh bien, quelque chose est donc arrivé, n'est-ce pas ? Avez-vous éprouvé une sensation étrange ? Maintenant, allez manger. Ne doutez pas ; soyez rétablie ; que Dieu vous bénisse. Vous êtes absolument la bienvenue. Ce n'est pas moi, sœur ; c'est Lui. Ayez simplement la foi et croyez.

94.       Si tu peux croire… Petite dame, vous ne deviendrez jamais aveugle. Vos yeux vous dérangent, vous qui êtes assise là, mais vous ne deviendrez pas aveugle si vous croyez au Seigneur Jésus. Est-ce juste ? Vous priez pour vos yeux. La dame à côté de vous, toutes les deux vous souffrez des yeux. C'est juste. Vous ne portez pas des lunettes, mais vous… C'est comme si les nerfs de vos yeux sont endormis et vous n'arrivez pas à voir ; tout est flou. N'est-ce pas juste ? Je vous vois essayer de lire un livre, vous le rapprochez puis l'éloignez, comme ceci. Est-ce vrai ? Si c'est le cas, levez-vous, vous deux, c'est ce dont vous souffrez toutes les deux. Eh bien, ma sincère prière est que le Seigneur daigne vous redonner la vue.

            Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas, croyez plutôt et vous recevrez. Si tu peux croire, tout est possible. Oh ! comme c'est merveilleux !

95.       Monsieur, Il a aussitôt entendu votre prière. Oui, Il l'a effectivement entendue. Vous qui avez la main sur le visage, vous êtes assis juste ici derrière, vous portez un costume gris, quelque chose vous a complètement émue, mais vous avez l'arthrite. C'est juste. Vous priiez pour cela à ce moment-là. Vous avez dit : "Seigneur, fais qu'il me parle. "

            Je vous vois… Egalement des troubles gastriques, cela vous dérange. C'est juste, monsieur. Je vois une femme à côté de vous, elle a des cheveux gris, elle porte des lunettes, elle vient d'être guérie. C'est votre épouse, elle est présente dans cette réunion. C'est juste. Maintenant, rentrez chez-vous ; votre arthrite est terminée. Votre foi vous a sauvé, mon frère.

96.       Croyez-vous ? Tout est possible. Ayez la foi. Si vous pouvez croire… Il vous accordera infiniment au-delà de tout ce que vous pourriez faire ou imaginer.

            Madame, quand je parlais tout à l'heure des yeux à cette femme, la deuxième en partant du bout, là, elle porte des lunettes, croyez-vous que cela est arrivé à ce moment-là ? Ici derrière au bout, si vous croyez cela, vous pouvez obtenir ce que vous demandez. Amen. Oui. C'est à vous que je parle, vous qui êtes assise là et qui priez. Amen. Voyez-vous ? Comment a-t-Il dit… Comment pourrais-je entendre la même prière que vous faites ? Parce que je me tenais à vos côtés. Amen.

97.       Est-ce la patiente ? Une aussi jeune fille être une patiente ? Bonjour, mademoiselle ! Vous êtes une très gentille demoiselle, et je vois que vous êtes une chrétienne. Que Dieu nous accorde davantage de jeunes filles comme vous, des chrétiennes. J'aurais souhaité pouvoir faire quelque chose pour vous, ma jeune sœur, pour vous aider, mais, je n'en suis évidemment pas capable. Je suis un homme, mais le Seigneur que nous servons peut le faire.

            Eh bien, Nathanaël est venu auprès du Seigneur Jésus. Il lui a dit aussi qu'il était un croyant. En ce jour-ci et à cette époque-ci, et particulièrement ici sur cette côte ouest où tant de jeunes filles vivent si négligemment, comment ai-je su que vous étiez une chrétienne ? C'est la même raison pour laquelle je sais que vous êtes ici pour que je prie pour vous. Et vous voulez que je prie pour une grosseur, et c'est une protubérance sur votre côté. C'est vrai. Amen. Eh bien, croyez-vous maintenant que je suis Son prophète ?

            Puissé-je vous dire ceci pour vous amener à croire davantage. Vous êtes préoccupée par le cas de deux garçons. C'est juste. L'un est en quelque sorte un toxicomane, l'autre est un délinquant ; et vous priez pour ces garçons. Est-ce vrai, mademoiselle ? Vous avez reçu ce que vous avez demandé. Partez, ne laissez pas votre foi faiblir ; Dieu sera avec vous, ma jeune sœur, au Nom du Seigneur Jésus.

98.       Croyez-vous ? C'est étrange, quelque chose est donc arrivé. Je vois debout ici quelqu'un que je connais. Il se tient en haut en l'air, c'est un homme. Il est en train de chanter. C'est l'un des chanteurs d'ici. C'est monsieur Ekberg, et il prie pour quelqu'un : il s'agit d'une jeune fille. C'est sa fille et elle souffre des troubles féminins. N'ayez pas peur, monsieur, si vous êtes tout près. Dieu va la guérir. Amen.

            Je crois que j'ai vu monsieur Ekberg. Est-il dans la salle ? C'est un homme qui porte des lunettes, il porte un complet brun, monsieur Ekberg. Je ne le connais pas, mais l'un des siens avait un problème. Y a-t-il quelqu'un d'ici qui connaît le cas ? Voudriez-vous lever la main, celui qui connaît le cas ? Très bien, c'est bien. Très bien. S'il n'est pas ici, dites-le-lui là où il est en train de prier, il est en prière, et Dieu a entendu sa prière. Il est apparu ici devant moi dans la tente. Dieu sait que je ne connais rien concernant sa famille, mais voilà la chose. Quelque chose est arrivé à sa famille tout récemment.

            Monsieur Ekberg allait mourir ; il était à bord d'un avion qui était en train de tomber; il a invoqué le Seigneur. Je me tenais sur une montagne faisant la chasse, et Dieu m'a donné une vision pour que je prie pour lui. Les trains d'atterrissage de l'avion sont sortis alors qu'ils étaient bloqués, et ils ont atterri en sécurité, en sécurité. Croyez seulement. Ayez foi.

            Est-ce le patient, qui est-ce… [Un frère dit : " Monsieur Ekberg est ici. " - N.D.E.] Oh ! Monsieur Ekberg. Vous étiez dans la ligne, frère ? Ne - n'ayez plus peur. Allez-y. Tout va bien. Vous étiez en train de prier. Etait-ce la vérité, tout ce qu'Il a dit? Est-ce la vérité ? Que Dieu vous bénisse donc.

99.       Approchez. Croyez-vous ? Vous souffrez sérieusement des nerfs. Cela vous cause beaucoup d'ennuis. Une chose, c'est l'absorption dans votre estomac. Vous souffrez de troubles gastriques. Cela est dû à la nervosité. Vous ne digérez pas votre nourriture, la graisse et tout. C'est vrai. Croyez-vous maintenant ? Je deviens très faible. Voudriez-vous simplement approcher ? Père, je bénis la femme que Tu… ne… faire ce miracle. Qu'elle soit guérie au Nom de Jésus. Amen. Ne doutez pas ; croyez tout simplement.

            Voulez-vous approcher, madame ! [Frère Branham parle à quelqu'un. " Ne vous éloignez pas trop. " - N.D.E.] Juste un instant, sœur. Croyez-vous de tout votre cœur ? Acceptez-vous que je suis Son serviteur ? Eh bien, l'Ange a dit : "Si tu amènes les gens à te croire… " Il ne s'agit pas de croire en moi comme en Eux, Dieu, le Saint-Esprit, mais de croire qu'Ils m'ont envoyé. Voyez-vous ? Ce n'est que de cette manière que je peux vous aider, si vous me croyez. Si vous n'avez pas la foi pour croire que j'ai dit la vérité au sujet du Seigneur, je ne pourrais pas vous aider. Si vous croyez cela, alors je peux vous aider. [La sœur dit : " Je crois. " - N.D.E.] Croyez-vous ? Alors vous n'aurez plus ces troubles féminins… ?… Maintenant, vous pouvez partir et être rétablie.

            Disons : "Grâces soient rendues à Dieu. " [L'assemblée dit : " Grâces soient rendues à Dieu. " - N.D.E.]

100.     Approchez, mademoiselle. Je voudrais vous demander quelque chose. Regardez ici juste un instant. Faites-moi voir… Tournez-vous vers l'auditoire. Environ soixante pour-cent des gens dans cet auditoire souffrent de la même chose que vous. Il vient de l'auditoire comme un grand rugissement. Vous êtes nerveuse, n'est-ce pas, sœur ? Des fois vous n'arrivez simplement pas à vous maintenir. Des fois vous vous dites que vous pourriez pratiquement vous donner la mort ; vous vous demandez ce qui va se passer. Et dans votre expérience religieuse et ainsi de suite, vous n'avez jamais été tout à fait satisfaite. Vous vous êtes toujours demandé ce qu'était… C'est juste. C'est vrai.

            Et vous avez désiré une marche plus intime avec Lui. Et puis des fois Satan vous a dit, tout récemment, quand vous étiez toute seule en chambre, il a dit : "Tu as traversé la ligne. " Je ne suis pas en train de lire votre pensée, mais c'est la vérité, n'est-ce pas ? Voyez-vous ? Il vous a menti, sœur. Vous êtes guérie à l'instant même. Voyez-vous ? Vous n'êtes pas tenue de… ?… Partez en vous réjouissant. Et, ô Dieu, que cette malédiction démoniaque qui a été sur cette enfant sorte et s'en aille, et qu'elle soit remplie de Ton Esprit, au Nom de Jésus. Amen.

101.     Ayez la foi. Maintenant, vous… En réalité, vous n'avez pas besoin que l'on prie pour vous. Vous aviez la même chose. Voyez-vous ? Ce sont des troubles nerveux qui vous dérangent. Permettez-moi de vous montrer quelque chose. Que tous ceux qui sont dérangés par des troubles nerveux lèvent la main là-bas. Voyez-vous cela ? Que Dieu bénisse votre… Jésus qui peut guérir directement ici peut guérir directement là. Ne croyez-vous pas cela ? Que tous ceux qui souffrent des troubles nerveux se mettent debout juste une minute.

Je vois quelque chose. Tenez-vous ici juste un instant. Approchez. Restez debout. Croyez-vous ? Si je suis prophète de Dieu et que j'ai représenté Jésus correctement, et que je déclare qu'Il a donné un don selon lequel je m'abandonne à Lui, et que votre foi peut me dire ce qui ne va pas en vous, croirez-vous cela ? L'anémie et une maladie de femme. Eh bien, tous ceux là-bas qui ont l'anémie, levez-vous, tous dans la salle. Levez-vous, vous qui souffrez de l'anémie, d'une maladie de femme. Levez-vous. Tenez-vous juste ici, juste une minute.

102.     Approchez, madame. Occupez simplement la même place que vous aviez, car vous souffrez de cette même maladie, l'anémie. Tenez-vous juste là une minute. Restez simplement debout ; vous allez voir quelque chose dans un instant.

            Si ces démons là-bas crient demandant du secours ici, si cela doit quitter ici, il est aussi vaincu là-bas. Ayez la foi. Crois-tu ? Si tu peux croire, tout… Restez juste là.

C'est facile pour Jésus de guérir l'arthrite et tout, n'est-ce pas ? Croyez-vous cela ? Maintenant, que tous ceux qui souffrent de l'arthrite lèvent la main là-bas. Restez simplement debout, vous qui le pouvez ; vous qui ne le pouvez pas, placez la main sur votre cœur. Ayez foi en Dieu. La même chose. Cela est allé juste derrière vous, elle avait la même chose. Disons : "Grâces soient rendues au Seigneur. " [L'assemblée dit : " Grâces soient rendues au Seigneur. " - N.D.E.]

103.     Je crois que quelque chose doit arriver maintenant. La dame… Ici, c'est juste au-dessus d'une dame. Cela descend juste ici. Ayez la foi. Croyez. Amenez la patiente.

Approchez, madame. Croyez-vous que je suis… Juste un instant. Je saisis en même temps… Combien souffrent des troubles cardiaques, levez-vous, vous qui souffrez de troubles cardiaques. Cette femme aussi a des troubles cardiaques. Ayez la foi. Tenez-vous ici juste un instant. Croyez cela. Approchez. Est-ce le bébé, sœur ? Tournez-le par ici. Très bien. Retournez et l'asthme, la toux… Que tous ceux qui souffrent de l'asthme se lèvent juste une minute. Voulez-vous bien le faire ? Juste une minute.

104.     Qu'y a-t-il dans ta main ? Satan est vaincu. Il est exposé, chrétiens. Qu'en est-il de cela ? Aucun d'entre vous n'essaie de quitter ce lit de camp, le diable vous vole. C'est une maladie mentale. Le diable dit que c'est une maladie mentale. Ne le croyez pas. Jésus-Christ triomphe de la maladie mentale. Il chasse de vous le diable. Si j'étais à votre place, je me lèverais dans ce petit lit - de ce petit lit, et accepterais ma guérison, et croirais et aurais foi en Dieu.

            Et vous autres, quelle que soit la chose qui cloche en vous, tout disparaît. Il semble vraiment que tout devient laiteux partout. Posez vos mains les uns sur les autres. Vous allez… Le voici. C'est cela. Voilà que ça part. Oh ! Satan, tu es vaincu. Jésus-Christ, l'Omnipotent, le Dieu Tout-Puissant… ?… tous ces gens guéris. Sors !

E-1 Praise be to God. Oh, my, doesn't that make you feel wonderful? So happy... All that appreciates the Brother Einar, Brother Waermo singing, just raise your hands. I want to show you, brethren, how you appreciated them.
I been thinking recently about maybe having a--starting buying me a tent, a good size tent, and see if I can get these brothers go along with me and just take around and around the nations, the--singing, and preaching the Gospel, and praying for the sick, kind of filling in time till the Lord comes (You see?), until it's all over then. Then we can go home, and then I'll just listen at them day and night--all day, 'cause there's no night over there, over in the other world, singing the glorious Gospel.
Brother Waermo and Brother Ekberg, only God alone knows how I appreciate it, your singing. Now and you see how the congregation appreciates it. We thank thee, brethren, from the depths of our hearts.

E-2 A little brother setting here, John, that's all I know his name is; a plumber, I believe. And I hope he gets every plumber in California has the same kind of attitude towards Christ as this man has. Been so wonderful, having his help and how he's--he's worked day and night; and get up at five o'clock in the morning and get off and drive fifty miles to work and come back; and get over here and--and stay here, maybe till around midnight and then... You know, that's hard work. See? And he's done it freely. And we just love him for it, don't we? We all appreciate this, our brother.

E-3 I don't see little Brother Arganbright. He's around here somewhere, perhaps. Maybe he's got in yet. Another gallant little soldier of God. If he isn't here, why, all right. I don't want him to hear it anyhow. I want you to hear it. See? He's a real, real brother. Just... I've knowed him now for sometime, and he's one of the nicest little man that I ever met in my life. And his little tiny Irish wife, just as... Both of them together just about make one good size person (You see?), they're so small. And so... But we been staying at their house. And talk about a lovely home, always open, prayer, Christ-like.
We certainly appreciate Brother and Sister Arganbright, and all the folks on Zion's Hill up there. They call it Zion's Hill. The--the whole atmosphere there's Christianity. And so, we are so happy for them and his efforts.
Now, Brother Arganbright just never runs out of things to do for the Lord Jesus. And he doesn't do them grudgingly; he just freely goes out and does them. I couldn't have even taken trips overseas if it hadn't been his help. And he's got a burden on his heart. When he gets a burden for some nation, here he will come. I'll see a--his car drive in the yard and I'll know, well... Meda will say, my wife, say, "Well, here we go overseas again, don't we?" So Brother Arganbright with a burden on his heart...

E-4 And he's such a godly little person, even I have no leading, yet I'll go with him, because I know God leads him. And so we appreciate him with all our heart. And sometime when you meet him, tell him so. He was the one who got me out here. I was away in Switzerland. For years he's been telling me, "I got a burden for San Fernando Valley."
And I said, "Well, where's that at?" And I'm... don't know too much about the country.
"Way up there a little neglected people, got a few little churches set down there and they're struggling hard." I... He said, "Would you go up there? Now, you may not have many in congregation, but will you go?"
I said, "If there's only one, that'll be all right. See? Just don't make any difference where it's at."
You know, that might seem strange to people. We never look at numbers. We never look at quality, we look at quantity. That's what we're after.
Philip was having a big revival down in Samaria one time. And God called him away from that great audience to go out in the desert and meet one person, and never did send him back. Is that right? See? So we--we look at it in that respect; it's different then.

E-5 To all the cooperating pastors here, that's cooperating with them. I don't know the brethren, but they're a fine bunch of men. And you new converts from around this part of the country, get into their churches. Help them. I would try to support men who believe in the ministry like this. Don't you? A Gospel, the full Gospel and... Get into their churches. There's other good churches here, and we appreciate every one of them. All these men, your efforts... my dear brother, I pray that God will help you and bless you in every manner.
And then, to the ushers, they've done a wonderful job. And we appreciate them, even the custodian around. Everybody's been so kind to you people.

E-6 Brother Arganbright, I been trying to get him. Usually after a service is over, they take up a love offering for me. Now, I... I never took an offering in my life. I started to, one time; I'll never forget it.
I pastored a church twelve years and never took a dime in my life. I worked and I supported--had to support the church. So I remember the afternoon I come in, and oh, my, we were really stricken that week. And you know how you get to them points, you can't make them meet, you know? That--that's when it's bad.
And I said, "You know, honey..." Not because now, they wouldn't have helped me. No, sir. That little tabernacle would've sold their--their clothes to help me. And I--I appreciate them, but just 'cause I just wouldn't take it. So I--I thought I was able to work, why not work.
And I tell you the truth. I say this from the depths of my heart. I wish when I go into these campaigns, I could get me a good job somewhere, if it wasn't nothing but splitting wood or busting concrete, something. That's the truth. I mean it from my heart. So that I could at least support my family or something, but they take up the little love offering to help me to support my family.

E-7 And so, I remember I told the wife. I said, "I'm going to take up an offering tonight."
She said, "Honest?"
And I said, "Uh-huh."
So she said, "I'll go over and watch you."
So she--she gets over and perches herself right out in front of me. I got up and I said, "Well, folks," I said, "I don't like to do this." I said, "But kinda got a little snag." I said, "If one of the brothers would pass the hat around..." I said, "I hate to ask you," but I said, "if you'll help me with a few nickels," I said, "I'm a little bit under, about five dollars." I said, "I can't make it, and I owe a debt and I promised to make it, and I can't do it." I said, "If you'll help me, I'd appreciate it."
The old deacon got up and looked at me, poor old Brother Wisehart, if any of you all happen to be from around; reached over and got his hat. And I looked down, setting down to my right, and a little old woman named Mrs. Webber; she was setting down there, a very godly, saintly, little old woman. And she reached under this little apron she wore outside of her dress. (Ladies do that a whole lot in the south.) And she got this pocket thing here, beneath the apron, pulled out a little pocketbook about like that, with a little snap on top of it, turned it back, begin to reach down there among them nickels. Mmmmm. I couldn't do it. I looked at her. I said, "Oh, I was just teasing you all. I didn't mean that."

E-8 And so, Brother Wisehart had my hat--the hat, and he said... I said, "Oh, Brother Wisehart, I was just going on. You see?" I tell you; I couldn't spend that to save my life, see that poor little thing reach down and getting out them nickels of her little... No, sir, not of that.
And you know what I done? There's an old brother used to come to my house by the name of Brother Ryan. He followed me out west. They all... everything... He just recently went to glory. He was about eighty years old, long white beard. And he had hair... I used to get on him about it. But I... Men oughtn't to wear long hair. And I used to accuse him of being in the House of David, but he was a Pentecostal brother.
And so, he had... He rode a bicycle down there from Dowagiac, Michigan. And he gave me the bicycle. Didn't have any fenders on it, and hardly any tires, and pretty bad shape. And I had it setting out there in a little coal shed. So I went down and got me a ten-cent can of paint, down at the ten-cent store, painted it all up, put a sign on it for sale, and sold it for five dollars, and didn't even have to have--take up the offering. So that's about as close to an offering as I ever took up.

E-9 So but... Out in the meeting and... Perhaps they did. I told Brother Arganbright... Now, look. All the efforts that you dear people... We haven't had but just a little group of people, the expenses are high, and I know that it's--that you've done everything that you possibly could do. And you don't know how I appreciate that. Sorry to even have to take it. If I could underwrite it, I'd do it. But, oh, brother, I--I couldn't do it. And I--and I appreciate your efforts. God will... I pray that He will multiply you a hundredfold.
But I understood (by the grapevine, you know) that the expenses wasn't met. I told Brother Arganbright if he taken up a love offering for me to turn it over to the expenses of the church. And I had three hundred dollars to start out here; it was formerly from another meeting. I had enough to get back home and I could pay my bill, and so forth, while I was here. It'd be all right.

E-10 And now, this meeting... striking that. Not your cost, but it just somehow... We may be out of section or something another; they didn't have the audience enough to take care of the expenses. I've missed it two times, and both of it was in California, one down at the other place, and one up here. And I promised the Lord that when my meetings got to a place they didn't financially support itself... And I never will let them beg. If anyone ever begs for money, or who's going to give fifty dollars, and so forth, that's the time that we stop. Yes, sir. I don't believe in that. No, sir. God is able. And I said, "Now, Lord, when You don't support me, then it's time for me to come in home."
So, now--now, I don't believe in begging money. But anyhow, we have a way, then God has made a way for us now, that through our efforts we--we can pay off everything, and it'll be taken care of fine. Now, this is not saying now... Remember, you dear people that just put in money and done all you could, if--if you--if you need something and--and there's not enough to make it up, and everybody, you--you can't do it, you know, I know what it is.
What if somebody come and ask me this afternoon and say, "Brother Branham, I wish you'd let me have five thousand dollars."
"Oh, brother. I wished I could." But I couldn't do it, so that's... you get the measure I'm talking in.

E-11 Now, we appreciate all your efforts. And God bless you. I hope someday, if God is willing and you'll let me, I'll get to come back and stay a little longer where we can maybe have a bigger meeting, sometime when we come back to San Fernando. [Congregation applauds--Ed.] Thank you, thank you kindly. Thank you kindly.

E-12 To keep my wife from completely fainting, when she knows she's going to have to walk up on the platform, she's... I come at the house where she was, just before they left. They brought me in and emptied up the place so I could study. She was the nervousest little thing I ever seen in my life. I felt sorry for her.
She said, "Billy, am I really going to have to get up there?"
And I said, "Just walk up on the platform, honey."
She said, "Oh, oh, I..." [Brother Branham laughs--Ed.]
"Don't think about that." She wants to come up before the Anointing strikes. My wife, as tender and bashful as she is, she's still a very spiritual person." And I say this, because she'll just probably walk up and walk back, but I hope and trust that every young man in this building and every young couples today... And when you get married, that your life will be just as happy together as she and I have been together the fifteen years nearly that we been married, been like heaven on earth. And if there's any credit to be given to the Branham family, give it to her. She's the one who deserves it. That's right. [Congregation applauds--Ed.] A real woman, a real...?... All right, honey, wherever you are... She's here somewhere.

E-13 And I want her and my little girl, Sarah... I got a little Rebekah, a little Sarah, and a Joseph. How many remembers when I first come to California several years ago, told you I was going to have a Joseph? Let's see your hands. And the strange thing was, the next child was born was a--a girl. But the Lord told me I'd have a Joseph. The doctor said, "She can't have no more children." Said, "That caesarean..." My wife has to have sectional birth, her and her people.
And so, the little Sarah was born, and she's tomboy enough to be a Joseph. But after all, after several years, along come little Joseph. He weighs eighteen pounds and six months old, and we love him with all of our heart. [Congregation applauds--Ed.] Brother and sister, my wife, Mrs. Branham. Thank you.

E-14 [Brother Branham speaks to Sister Branham--Ed.] Get a microphone. Now you're not going to faint. So just... Ha-ha-ha. [Sister Branham says, "I'm certainly happy to be here, friends, and meet all you lovely people. And I'm really enjoying these services, and the Presence of the Lord."] Thank you, sweetheart. That's the best you ever done. Thank you. [Brother Branham refers to his little girl, Rebekah--Ed.] Oh, she's as bashful as her mother. Well, thank you, sweetheart, and thanks to little Sarah, and...
Now, that's the little lady that you hear on the telephone, that sits day and night at the telephone, and at the door, constantly all the time, meets the public: thirty six years old and almost snow white-headed and almost to a nervous breakdown right now, because she's just in such a fix. She stands between me and the public of the world, all around the world. And she certainly has a time. God bless her gallant soul, and someday where all good mothers go, may she be there forever. The Lord bless her.
Thank you all for making her so welcome. We--we love you with... for that very much.

E-15 And now, here's some handkerchiefs to be prayed for. And is these gloves to be prayed over? [A brother says, "No, someone lost them."--Ed.] Someone lost them. Now, I do in the--in the services, I get gloves, I get little children's little stockings.
And here sometime ago, I... This is kinda cute. We got just a little bit of time to have fellowship, haven't we, before we start?

E-16 I was going down through Louisiana, and we were going way down in the southern Louisiana to have a meeting. And while down there, I lost a suitcase off the top of the car, just right among the colored district. Mr. Moore said to me; he said, "Brother Branham, you haven't even got a chance." Said, "You'll never see that suitcase. Without even a pocket handkerchief," said, "what are you going to do?"
I said, "Well, I... Only thing I'm going to do is just go right ahead and preach the Gospel."
He said, "Well now, look, Brother Branham," said, "those colored folks," said, "that's a mean district in there."
I said, "That don't hurt." I said, "The colored folks like me, and I love them."
He said, "Well, if the..."
I said, "My Bible was in there." Somebody had just give me a new suit, and it was in there. I had an old ragged wore out suit on.
And he said--said, "All you got is in that suitcase."
And I said, "Yeah, that's all right." I--I said, "Well, my Bible is in there."
He said, "Well now, if one of the sinners find it, they'll throw the Bible away and take the suits and away they'll go." And he said, "And then you can't win." He said, "If the Christians find it, and know who you are, they'll cut that suit to pieces and send prayer cloths one to another. So what are you going to do?" He said, "We got to leave."

E-17 And we got way down in the southern part of the state, where we was going to have the service, and pulled into a little place down there, and so they were... The next thing, there was a policeman come up. And he told him, said, "Would you radio back, that a preacher lost his suitcase up there?"
And he said, "Shore." (You know that southern talk.)
He said, "Hey, it ain't Brother Branham's suitcase is it?"
Said, "Yes."
Well, he said, "He prayed for my mother, and she was in a wheelchair, and she was healed." Said, "Shore, I get that suitcase." And away he went, and he radioed over two or three days. No, no good nowhere.

E-18 So Brother Moore said, "There's nothing about it, Brother Branham. We're going over and buy you a new suit to replace your suits and things, get you some shirts."
I said, "This one's not too dirty. This is all right." And so I was preaching right on.
And the first thing you know, I was over... He said, "No, we're not going to stand it any longer. You're going right now."
And the phone rang, said, "Say, somebody wants you, Mr. Moore, on the phone."
He went down there, old colored boy said, "Hey, is this you, Mr. Jack?"
Said, "Yes."
Said, "Is--is Brother Branham with you?"
He said, "Yes."
Said, "You tell Mr. Bill; I done found his suitcase. I's on my road with it." [Brother Branham laughs--Ed.]
I said, "Brother Moore, where's your faith?" That's right.

E-19 Well, the Lord bless. Shall we pray now as we pray for the handkerchiefs.
Our dear heavenly Father, we bring humbly to Thee this day, before Thee, these handkerchiefs, cloths, gloves, whatevermore that's laying present, asking You to be so kindly to heal every one that these represent. May Thy loving mercy rest upon them all. The prayer of faith shall save the sick, and God shall raise them up.
Now, in the Bible where we read this over in the Book of Your writings, the 19th chapter of Acts of the Holy Spirit in the Apostles, we see where the great Saint Paul taken from his body handkerchiefs and aprons. Unclean spirits left the people and diseases, and they were healed. The people saw that You were with Paul and they had faith; so they wanted to take from his body aprons, handkerchiefs, and so forth. And You honored every one of them and they every... the Bible said that diseases and afflictions left the people.
Now, Father, we realize that we're not Saint Paul. He's come home to Your house long years ago, but You still remain Jesus, the same yesterday, today, and forever. We see Your Spirit moving among us; the same faith that was in them people is in the people here today. Thou does take Your man, but never Your Spirit. And I pray, Father, that in commemoration of this great act of the people of that day, these people today with the same faith is now sending handkerchiefs, may each of them be healed. I humbly and reverently, with all my heart and soul, ask that You'll bless everyone and heal everyone that these tokens are meant for. In Jesus' Name, Thy beloved Son, we ask it. Amen.

E-20 I think immediately after service these will be given to those who have needs. And now, if you happen... Just a moment. I didn't get to pray for her. Hand it to me, please.
Father God, I pray, late but finally arrived, I ask You to bless her, and wherever this handkerchief's intended, may it be a blessing that she's asking in Jesus' Name. Amen.
God bless you my...?... don't weary. There's something about a little old mother, just makes me... Don't you feel that way?

E-21 Sometime ago, way up in the Indian reservation, an old mother one night come crippling up to the altar on crutches, and she had to hold them down like that. She looked up at me, and the tears running down her cheeks and through those deep wrinkles. And she reached over and got her crutches and handed them to me, straightened up and walked off the platform, no prayer or nothing. She a Indian. I looked at her and thought, "Somebody's mother."

E-22 I'm not sure... Is this the lady, setting right out here, that met me at Clifton's the other day and talked to me, and shaking my hand at... down at Clifton's? Are you the lady there? She was so happy about something that taking place in the meeting.
Last evening in a little restaurant up the highway here somewhere, after the services was over, they taken me out to eat. And I was setting here enjoying a hamburger when a group of people come in. And a young man that said he had been suffering with some sort of headaches or something for so long, and how it left him and hadn't bothered him since.
This lady here, about her loved ones being saved or something another taking place and that... She was so happy about it. She said, "Brother Branham, there's been so much happen. I don't want to be like the unworthy leper; I want to return to give thanks." I appreciate it, sister. God bless your gallant soul.
Now, many of you, perhaps, has had blessings. So just tell it to someone else to magnify the Lord Jesus to Who we give praise and glory.

E-23 Just thinking of the different crippled people. Now, we got a couple of wheelchairs, three setting here now, and we got two cots. Let's ask God today that He will let everyone of them... I believe I see crutches laying under the man's chair there. Just ask God that He will let them walk out of here today without their support now. Just be reverent.
Now, if I've missed anybody of... some way of saying things... Yeah, a man's pointing to a blind man setting there. May he like old blind Fanny Crosby, "Pass me not, oh, gentle Saviour, hear my humble cry. And while on others Thou art calling, do not pass me by."

E-24 Wished I had the power to come forth today to heal everyone of you that's sick. I'd do it. I don't have it. Wish I had the power to save everyone of the sinners that's in here. I--I can't do it. I haven't got it. No other man has got it outside of Jesus Christ. And now He's freely give it you, if you can accept it by faith, both for your salvation and for your healing. "He was wounded for our transgressions, with His stripes we were healed."
All that's sad, I'd like to make you happy. I can't do it. But He has already did it, for He bore it to Calvary. And the only thing you have to do is accept it, just believe it.

E-25 Now, if I can be a blessing to you anytime, let me know. If you need a handkerchief and you didn't get it in here today, just give me a call, or something, at Jeffersonville, Indiana, and I'll be glad to send you a little handkerchief. They're free. A little strip of ribbon it is that I pray over it and send to you. I'll be praying for you all the time.
And I'll, perhaps, maybe in the next few months, I'll be back overseas again, down through the dark countries. Will you pray for me? I'll remember San Fernando Valley, the people said they'd be praying.
The Lord bless you now. And just before we open the pages just for a short service, we don't want to be in here no more than forty five minutes to an hour now. Then we'll call the pray line and pray for the sick, then we have to move along. And I have to leave for home. And I got to start in Louisiana again right away.
I think we're to be back in Phoenix pretty soon. I asked Brother Ekberg. Where is Brother Ekberg? Was he setting here? Where's he at? Is he in the meeting yet? Brother Ekberg, would you raise up your hand if you're here? Brother Einar Ekberg. I don't see him. Maybe he's just stepped out, him and Brother Waermo. But I ask them to come to Phoenix with me.

E-26 And the Lord God bless you now, while we bow our heads for a moment of prayer.
Lord Jesus, come now. If we sinned in any manner, forgive us. And I pray that Your great blessings will rest upon each and every one. We come under the care and the wings of the Almighty. We're praying to Him today through the appropriated way, coming by the shed Blood of the Lord Jesus, confessing our wrongs, our unworthiness. No merits we have. We only come because we've been bidden to come. He said, "Whatever you ask the Father in My Name, I'll do it." We believe that, because we look at the resource, where it come from, Who said it, none other than the beloved Child of the Almighty God, Who was the heart bosom of the Father.
And we pray now, that You'll receive us. Come, get Your Word, Lord, and speak It through mortal lips to mortal ears, and may It go into hearts, and...?... like the soul. Give faith for the coming services. We ask in Jesus' Name. Amen.

E-27 Now, in the opening of the Word... And I was going to speak altogether, today was on my heart, to speak on the subject of God In His Universe; but seeing my time getting away, I will speak over from the Book of Exodus, the 4th chapter.
I know you have to go to church tonight, and so we'll try to let out early. We want a good long prayer line this afternoon, many people to be called to pray for.
And now we'll... Turn with me to the 4th chapter of Exodus, you that marks it down. I just love the Word, don't you? "Faith cometh by hearing, hearing the Word of God."
No matter how many little things that we try to do or say, how many little fictitious things, and so forth, and our...?... our theology, it simply just doesn't work 'less It comes from the Word of God. That's where our faith rests.
Now as we read:
And Moses answered and said, But, behold, they will not believe me, nor hearken unto my voice: for they will say, The LORD hath not appeared unto thee.
And the LORD said unto him, What is that in thine hand? And he said, A rod.
May the Lord add His blessings to these Words, and for--while we try to, by the Holy Spirit, to get the context from this, we'll make the text: "What Is That In Your Hand?"

E-28 This was a great day. In the days Moses... We all know that how God had called Moses and chose him in the early days, how that he was born to be a prophet. And when he came from his mother, she recognized that he was a--that he was a proper child. Moses, again, a perfect type of the Lord Jesus, born during the time of persecution. How the enemy tried to kill him, just like they tried to kill the Lord Jesus.
When Jesus was born, the Roman Empire issued forth a issue to kill all the children from two years old. And Moses, when he was born, saw he was a proper child, his parents hid him like Joseph and Mary hid Jesus. Everything, he was born to be a deliverer, and to be a prophet, to be a priest; and so was Jesus, just in every way.

E-29 But Moses, when the law was given Moses failed. He came down and struck the rock that was in his hand, and threw it down and broke the Commandments, on because of a weakness he had, which was temper. And he broke the Commandments and went back, showing that priesthood, Levitical priesthood, would be broken.
And in his temptation, he was forty days in the wilderness, and Jesus was in the wilderness forty days. And when He come out, Satan tempted Him at His weakness spot, hunger--forty day fast. But when he met--when he met Moses, he could overthrow him, but when he met Jesus, he found out that there was something more than Moses there.
He said, "If Thou be the Son of God, perform a miracle here before me. Let me see you do it; I'll believe You. Make bread here out of these stones. If You're the Son of God, You can do it."
Jesus knew that He only did what the Father showed him. He said, "It is written: Man shall not live by bread alone; ever Word that proceeded out of the mouth of God."

E-30 Continually on Satan battled at Him, and even used the Scriptures, and Jesus come back, "And it's also written."
And Jesus defeated Satan without using any Divine gift that He had, showing that the weakest of Christians can defeat Satan on the Word of God. And that's the reason that I try to get before the person--nothing in the individual, the preacher, it's in Christ, and Christ is in His Word. Do you believe that?
Listen to this. "In the beginning was the Word. And the Word was with God, and the Word was God. And the Word was made flesh and dwelled among us," died and rose again, and is in us today, the same Word that was in the beginning.
This Bible is the Letter of God. And every promise in It belongs to you, if you can believe It and accept It in the right kind of an attitude. It's in you, the hope of glory, Christ.

E-31 Notice. Now how do we come into Christ? First, we receive Him by faith, believing. Secondly, "by one Spirit, then, we are all baptized into one Body," I Corinthians 12; by one membership? by one Spirit we are all baptized into one Body. That is believers, that's already believed on the Lord Jesus Christ are baptized into the Body of Christ by one Holy Spirit. That's a little against my Baptist teachings, but that's the Bible.
I'm a Baptist as long as it stays in the Bible; after that I'm the Bible. We're taught that you receive the Holy Ghost when you believe, but Paul said (Acts 19), to a bunch of Baptists... Yes, sir. They was with Apollos, and Apollos was one of John's converts. And when Paul passed through the upper coast of Ephesus, find certain disciples, he said to them, "Have ye received the Holy Ghost since ye believed?" That's right. Since you believed?

E-32 They said... They were believers, having great joy, shoutings, and praising the Lord. Said, "Why, we know not whether there be any Holy Ghost."
Said, "Then unto how was ye baptized?"
Said, "Unto John." They were Baptists.
Said, "John baptized unto repentance, seeing that you should believe on them that comes, on the Lord Jesus." And when they heard this, they were baptized in the Name of Jesus Christ. Paul laid his hands upon them, and they spoke in tongues and prophesied. That's many years after Pentecost. See? The blessing was still going on.
It's still going on today and will till Jesus comes, wherever the congregation gathers together. Whether they're Methodist, Baptists, Presbyterian, whatever they are, when they let Jesus in, finds a--a flock in the church, like sparks off of an anvil beaten on a hot piece of iron (That's right.) when--when they'll let Christ come in. Always. All these signs. When God appears, watch what takes place.

E-33 Moses had been a total failure. And there may be men here this afternoon, maybe ministers, that's been total failures. Maybe you been as a housewife, maybe you been as a student at--at school, maybe you been as a child to your parents. Whatever you have been let that be "has been" and start from today. No matter what it is. Maybe you been a failure as a Christian, maybe you failed to go on with God. If it has been, take note to what I'm going to say just in a few moments about this.
Moses failed down in Egypt, when he was born to be a deliverer, to bring the children of Israel out of Egypt. Why? Because he did it in himself. He took it upon himself to do it. And anytime you take things upon yourself and leave God out, then you're going to be a failure like Moses was.

E-34 He thought he could do it. Seeing an Egyptian beating an Israelite, so he just killed him and covered him up. And when he did it, he become a refugee in another land, over in the land of Ethiopia. And he went over there and had married a wife. He was--got him a job herding sheep. And he married... Jethro, the priest of Midian, he married his daughter, and there was two children born to him. And he got a common laborer's job, a sheepherder, and had been herding sheep for forty years because he failed to put God first.
I think that's what been the matter with the churches. Brother, when it gets to a place that we put our church first instead of Christ, we're going right straight down. When you put them as an individual, put your church first, your social life first, instead of your spiritual life, you're going to fail.
May I stop just a moment. Someone said the other day, said, "Brother Branham, I appreciate your preaching, but you go from Genesis to Revelation."
"Huh. It's all Bible." It's all right. I just have to go where He leads me You see? Ha.

E-35 And when they was building the temple of Solomon, they had all the stones cut out. Everything was set in order. But they found a funny looking stone. They didn't think a thing like that would ever amount to anything, so they just kicked it out over into the weed pile. And they went on with their mortar and their stones, putting them together. And come to find out, that the very thing that they had rejected... they built so far and they found out they couldn't go any farther, there was a stone missing. And they built up to it, but they couldn't go any farther. And the very stone was missing was the chief cornerstone, that they'd kicked out to one side.
I say that... I will say it for the Baptists, and then you Presbyterians can glory in it. All right. One of the chief things with the Baptists, or any other church, and what we've all done and what you Pentecostals are doing (that's right), you're rejecting the only Principal, the only Keystone that there is, is Christ.
When you kick it out... You might say, "Oh, it won't work in our program."
Well, what program will He work in then? You just get out of your program into His program, and the Church will move on. Put the Cornerstone down first. If you don't, you'll find out after awhile it's just brick and mortar again.
So, they had to receive the headstone first before they could... the cornerstone before they could go on.

E-36 Moses had rejected that. He had rejected the principles of Christ. And then, he thought he was right. But then he become a refugee, and married, and had these children, and was herding Jethro's sheep, got him a job a herding sheep. Forty years he'd went up-and-down on the back side of the desert there a herding sheep, down the same old paths, an old man, eighty years old. He was called when he was forty.
And did you know, forty is God's calling age? Well, look: Joshua, Caleb, David at the throne, oh, so forth, on and on.
But when he was forty, God called him. And at eighty he had been forty years in rejection. Moses' life consisted a hundred and twenty years; forty years of it was coming up to be taught; forty years of it was total failure; forty years then he served the Lord.

E-37 Now, turning down this pathway one morning, walking along the same old path that he'd always come, but he happen to see something strange; it was a bush on fire that didn't seem to burn up. And he said, "I'll turn aside to see this strange thing."
Now, there's where Moses made one of the greatest moves he ever made, was to turn aside, not to criticize, but turned aside to see what this strange thing was. Oh, my brethren, if you only... You might think these things are strange, but turn aside and set down like Moses did. And he set down to look at it.

E-38 One of the greatest scientist lecturing, he said, "How did you come..."
They said, "How did you know so much about science."
He said, "You know how I learned it? I set down in the presence of Mother Nature and just opened up my arms to her, and she opened up my heart and told me about it."
Now, that's the way you have to do Christ. Just set down by the side of the Gospel, open up your heart to Christ. He will talk to you. Nature will... God will talk back to you.

E-39 Moses turned aside to see what this strange thing was. Now, he never said, "I'll take a few of the leaves, and go down to the laboratory, and have them examined by the chemist to find out why." See? He wasn't curious like that. He just simply set down, and turned aside, and watched the sight: a fire burning, strange fire. And when he did, God spoke to him and said, "Moses, take off your shoes, for the ground you're standing on is holy ground."
Now, what if Moses said, "Lord, just a little bit of trouble for me to do that, so I'll just take off my hat." God didn't say take off your hat; He said, "Take off your shoes."
And many people say, "Well, I'll just join church."
That isn't what Christ said. "Ye must be borned again." See? Not how much you join church, but you got to be borned again.
And Moses took off his shoes and came up in reverence. That's the way you have to approach God: in reverence, not curious, but laying aside every weight, every doubt, and come up reverently and say, "Lord, what would You have Your servant do?" Approach Him reverently.

E-40 It wasn't an easy thing that night, sitting in the building, away back there in a little fish camp, when I'd just seen the vision since I was a boy. Then coming on up and seeing the whirlwinds... But when I heard that walking on the floor... Not a vision, no, sir, I know what a vision is. Surely. But this wasn't a vision. The Man was standing there. I heard Him walking, walked up to where I was, had His hands folded. I was scared to death. I grabbed my thumb, begin to bite on my nail. He said, "Do not fear."
I knew that was the same Voice that spoke to me since I was a little boy, but first time I ever seen Him in form of a man. He said, "I been sent from Almighty God to tell you you're to go to pray for sick people," then revealed what would take place.
That settled it for me. And when they told me I was going to lose my mind if I went and did that, I didn't pay any attention to them because I'd come to Him reverently. No matter what people say. What God says and people says is two different things. You listen to people, you'll be in all kinds of condition. But you listen to God, you'll be a Christian.

E-41 And when he walked up reverently, took off his shoes, God told him, said, "I've seen the affliction of My people. I've heard their groans and moans, and I'm come down to deliver them. And I want you (the one that made a failure forty years ago), I want you to go right back and backtrack yourself. I'm sending you right down."
"Oh," Moses said, "I--I can't talk very good, Lord." Said, "I--I'm kinda slow of speech." He said, "I--I just can't do it."
He said, "Who made the mouth of man?" And begin to really comb Moses down, that's the way God does. Brother, He shakes you down. Have to build up again.
That's the way the people today, you don't like to get broke up. You got to be broke up before you can be remade. The prophet went down to the potter's house to get broke up, to get on the wheel and spun out something different. If you're a sinner, get on the Wheel. God will break you up, mold you different, shape your life up different, shape your home life different.

E-42 Notice. Moses said, "Lord, I can't go."
But God was determined that he was going. And He said, "Moses, you must go."
And he said, "Show me Your glory, Lord."
And notice. God told Moses, said, "What's that in your hand?"
He said, "It's a stick, or a rod," just an old, dry stick off the desert, where he'd walked along like this with it in his hand.
That may be all that he had was a stick. Maybe you haven't even got that much, but whatever you got, give it to God. Look what he did with that stick.

E-43 That was the same kind of a pole that the serpent... It was made out of here, was made in the wilderness, representing Christ. He threw it down and it turned into a snake: judgment, already, past judgment, the serpent, from the garden of Eden, already judged. Picked it up by the tail, and it become again a stick. Put his hand in his bosom, turned leprosy; took it out; put it back in again, and it was clean when he took it out again.
Then surely... He had wanted to see God's glory. Divine healing is included in the glory of God. He healed him.
Another thing, showing that the heart is deceitful, full of leprosy. And the--the hand that sways the power, God's power rod, has to be clean, made Divinely clean. And he put his hand in his bosom, it was healed with leprosy, took it out and he could yield the stick then.
Then he seen His glory. After he seen His glory, he didn't care how many critics or anything else, he was on his way to Egypt.
And any man or any woman, not standing off from a critical condition, but will accept the unadultered Word of God and believe it in your heart, all devils out of hell can't upset you then. Certainly not.

E-44 John Sproule, a friend of mine, not long ago was telling me he was down at Alsace Lorraine, and was going through a great garden there. There was a statue of Christ. And he and his wife was standing off looking at it. He was criticizing it; there was nothing there look like the suffering of Christ. And the man said to him, the guide, said, "Sir, are you criticizing that--that statue?"
He said, "Yes."
Said, "You're looking at it wrong." He said, "Come here. See this altar? Get down on your knees, and look up now."
And said, when he looked up, his heart would break. The sculptor had made it so that when you... You don't stand off and look at like this; you have to get down and look up to it to really see what it looks like.

E-45 And that's the way God wrote His Word, not to stand off from a high-pointed, psychological, educational standpoint, and say, "Oh, I don't know. The days of miracles, oh, I don't know whether it's really right or not."
God doesn't write His Word for that. Get down on your knees, and look up through the promise, through the Blood of the Lord Jesus. It'll look a lot different to you when you come that way. It isn't to be criticized and say, "And these things was, and this won't be." But the Bible said Jesus is the same yesterday, today, and forever in every principle, every power. On your knees and look up that way, then it'll look different to you.
Things looked different to Moses. He'd had a vision. The vision changed his life. If you ever get a vision of the living God, it'll change your life, if you can ever once see really what He is.

E-46 And how that man and women... And I say this with reverence, but knowing that someday... I must be firm now, for I've got to meet every individual that I preach to at the judgment bar of God. And there I'd rather be--you'd be a little angry with me here and love me there, than to know at that day you'd say, "You deceiver, you knowed different and you wouldn't tell me." I'd rather tell you the truth.
Man has got to receive Christ as a personal Saviour and be borned again and filled with the Holy Spirit to ever get into God and know anything about Him. If it's not, it's an educational standpoint.

E-47 It might be a change of mind. You can have a change of mind without having a change of heart. A lot of ministers take good churches and so forth, because it's a meal ticket. A lot more better people pay a lot better at the church. That's not a change of heart; that's a change of mind.
I'd rather lay on my stomach and eat soda crackers and drink branch water, and preach the true Word of God, if I have to preach it on the street corner, than to compromise with the devil, and live in the best palace that they had and have to compromise. Preach the truth. I'd rather wear a hand-me-down suit, and my shoes gone off my feet, and preach the Gospel and tell the truth about It, the way God writes It in here, than to compromise with the devil and take a back seat. Amen. Be honest with people.
"Preach the Gospel," that's what God said. Let the chips fall where they will. That's the thing to do. "The axe is laid to the root of the tree."

E-48 Moses was a changed man, not with all of his education his mother give him, not with all the education and the military geniuses that he was, that Pharaoh had chan--had trained him to be; and yet, Moses took a great choice. Moses said he esteemed the reproach of Christ greater treasures than that of Egypt.
What if Pharaoh would've only looked into the Word and seen what Moses did. And Moses made his choice forty years back, that he'd rather serve God than to become the heir and the greatest king in the earth, to be a Pharaoh of Egypt. He made his choice. But yet, brother, until he met God face to face, he was still trying to do it in hisself.

E-49 And I believe today, there's a many a good preacher across the nation... I say this reverently, brethren. There's a many a good preacher across the nation that's really a polished-up scholar and a real man, that's never went no farther than to accept Christ. What you need today is to come face to face with the fact and be born again with an old-time Holy Ghost experience like they had back in the Bible days, and accept Jesus Christ as they did then. A vision of that will change your whole being, my brother, my sister, make you a different person. Be born again, see the vision of the Lord.
How He appeared there--signs. Where God appears, the signs appears with God. Never does God appear without showing signs and wonders of His Being. I'm so thankful to know that right here, not out yonder somewhere, not across the sea, but right here on the corner of Lancashire Boulevard, right here Almighty God has made Hisself present in these last few nights here, and proven that His Son, Christ, has raised from the dead and showing and doing the same things that He did when He was here on earth. Amen. And we're not ashamed of the Gospel of Jesus Christ, for it's the power of God unto salvation to everyone that will believe.

E-50 A changed man, oh, when he got that new vision... Keep him out of Egypt? You couldn't do it if you had to. He was a scared to go down; he was scared of Pharaoh. He was a scared of all the Egyptians, because he was wanted for murder. But now try to stop him. He'd got close to God. He'd seen an Angel; a vision had come before him. He'd warmed up to the Fire of God. He got his--he'd got his heart warm when he was standing there. He'd seen some miracles and supernatural things. The people was going to disbelieve him, but God had been with him.
And every man... You might be a little coward grocery man, or a doctor, or a lawyer, whatever you was, set back in a corner, joining some church or something and thinking you're all right. But you get into the Presence of Almighty God someday, where the power and Fire of God is a falling, you'll be a different person. You'll tell all your doctor friends that Jesus Christ lives and reigns. You'll tell every person that comes into your grocery. You'll tell your clients as a lawyer, or whatever it is, that Jesus Christ is raised from the dead and He's the same yesterday, today, and forever. But you can't do it standing off looking at It; you've got to get into it, gives it yourself, personally.

E-51 Notice him. Now, he's a new man. Here he goes. And now how the world will criticize you when you do this. Don't expect a flower bed of ease. If everybody talked good about me, and everything went fine, didn't have any troubles and trials, I'd go back to the altar and say, "Lord, what's the matter here? There's something wrong. For all that live godly in Christ Jesus shall suffer persecution." That's the Bible. That's what Jesus said. He can't fail. His Words are true. All, not just some of them, all that live godly in Christ Jesus...
Notice, how this is. Now, he's a new man, got a new vision. He goes home right quick, gets his wife, sets her a straddle of the mule, and a kid under each arm like this, grabs this old mule with a stick in his hand, a white beard a blowing one way and a hair another one, going down like that.
Say, "Where you going, Moses?"
"Going down to Egypt to take over."

E-52 Why, the world would've laughed at him. What a horrible sight. What a room for a critic. And many times Almighty God gives room for critic to prove that they are critics. That didn't soak in just good. I'll tell you again. God makes room for criticism.
What you think... Ridiculous, an old man eighty years old, dragging a mule along, a little old donkey, his wife sitting on there with a child, under each arm, going down to Egypt to the greatest military nation in the world. Why, Russia would be, in comparison would be a little thing to what that was. One man invasion (Amen.) with a stick in his hand, but a promise in his heart, coming from God. He has to do it.

E-53 Well, said, "Moses, you're just a little bit off, aren't you, son? You're just... going a little wrong?"
"No, sir. God said so."
"Why, Moses, it's all right for you to have a God. I--I don't mind that. But--but, Moses, don't you think you just got a little on the deep end?"
"No, sir," he said. "I seen God. I walked into His Fire. He showed me a vision, and He told me to go. And the promise is in my heart, and here I go." And the good thing he did, he went down and took over. Amen. For God promised it, and God will stick good to any promise He ever makes.
I know you think I'm a little rational here, but I'm not. See? He went right down and done what God told him to do, because it's God's promise. If God makes a promise, He will stand by His promise. He never fails. God promises you anything, He will do it, if it's God. I've never seen Him make a promise yet that He didn't keep. He always will.

E-54 What did he have in his hand? A stick. Whole lot to go against about a several million armed men, chariots, horsemen, spears. Look at all the big spears the Egyptians had. Look at the big chariots with sabers on the wheels, running like this to chop the men down as he drove through them. Look at the horses with even spears out in front of their heads on their plates like this, as they run through men to--to kill a man as he run through. Not hundreds, not thousands, but millions...
And here comes an old man, little old flabby arms, little old piece of cloth wrapped around him like this, old, and long white beard, eighty years old, stick in his hand, his eyes a shining, this smile across his face, pulling this mule behind him. Here he goes, going down to take over all of Egypt. Amen. And he did it. No, he wasn't fooling; he'd seen God. Amen.

E-55 He's just that real today. That's right. And He's just that fanatically in the sight of the world, not only the world, but a lot of church members (True.), just as fanatically. Here he goes down, but in his heart... "Why, Moses, you're not even a trained man. Why, you, you're just a sheepherder. Why, what... How you going to fight with that stick?"
"That's all right. God told me this was all I had, do it."
We might not even have a stick. Maybe you only sing a song; you can testify. Something...?... whatever you got, do it. Use it for the glory of God, no matter what it is. If you can't sing, can't whistle, can't testify, can't--just pass out tracts. Do something else. Let's get going. Ever what's in your hand, use it for the glory of God. God's always had men who'd stick by Him.

E-56 One time the--the Israelite army, all backed up; they'd got away from God. They wanted to act like the rest of the nations, so they went and got them a king and refused God. Got them a fine up-to-date pastor, you know.
And so they... He was all styled up, you know. And the first... Then the devil knew that, so he sent a great big old fellow out there by the name of Goliath. Stood over on the side of the hill, said, "Let me make a proposition with you, you people who claim to be so-and-so. If... You send one of your men over and let him fight with me, and if I kill him, well then, your armies will serve--your nation will serve ours. And if he kills me, then our nation serve yours."
Well, sure, that's the way the devil blows when he's got the odds. That's true. So every Israelite, "Oh, oh, oh. I'm afraid to do that."
Oh, my. I can see them sharpening up their saber and scratching their heads, "Well, I can't do that." They'd been away from the Fire too long. That's all. That's right.

E-57 So one day there was a little old scrawny-looking, dried up boy come up there, and to--and to bring his brothers some raisins, and some raisin candy, whatever he had to bring up to his brothers. His daddy, Jesse, sent him up there. Little old dried up fellow with a piece of sheepskin, a little sheepskin coat on, scrawny-looking, just a little bitty old fellow. And he come walking up there; and brother, Goliath made the boast in the wrong man's ears then.
Said, "Oh, you Israelites over there."
Little David turned around; he said, "You mean to tell me that you'll stand and let that uncircumcised Philistine defy the armies of the living God? Do you mean to tell me that you'll stand in the midst of a world Communistic as it's getting to be and as atheotic as it is, and let them infidels stand up and say, there's no Jesus Christ? and that His Word's not right, Divine healing's wrong? Not while I got breath in my body, they'll won't. No, sir. And God will be with me. Why, certainly."

E-58 Why, his brother looked around, said, "Now, I know you'd come up here, you little snicklefritz, to get into something. You got mischief in your heart. You get back over home to your daddy's sheep. We're the ones standing in this ecclesiastical affair over here. We got it all under control. (Yeah, it looks like you got it under control all right.) Oh, we got it all under control. You get back."
But some man run along, said, "Saul, there's a man out here, a little old scrawny-looking boy. He--he said he'd fight that Philistine."
"Why," he said, "bring him up here."
And they brought him up there. And he said, "Now, I'll tell you, son, I admire your courage. But if you can get you a degree, a Bachelor of Art, and you can get a D. D., and so forth, I believe you might... You can try it."

E-59 And he went and unharnessed his ownself, and put his big armor on David. But he found out that his ecclesiastical vest didn't fit a man of God. Hallelujah. No, sir.
David said, "I don't know nothing about them kind of things. But there's one thing I do know: I got a slingshot in my hand." That's all he had, a slingshot: two strings and a piece of leather. He said, "But the Lord God of Israel let me take and kill a lion with this, and he killed a bear with it. I took the lion out of the... out... I took the--the sheep out of the lion's mouth. When he rose up against me, I slew him." And he said, "If God was with me there... I've trusted this sling. I've proved it. I know it's all right. And if God will let me do that, how much more will He help me to slay that uncircumcised Philistine." Mmmmm. Quite a boast for a little scrawny-looking guy like that, wasn't it?
Why, Saul said, "Now, wait a minute. You just can't go. The association won't receive you like that, you know. So we got to watch this."

E-60 So he unharnessed his great big armor and stuck it on him. Then poor little David was almost bowlegged; he couldn't hold that big thing up.
That's what the matter with a lot of fellows today, brethren. You're so harnessed up with all kinds of degrees till you can't even preach the old fashion Gospel anymore, and...[Congregation applauds--Ed.] That's right. That's right. So harnessed up, denominational minded and everything like that... "The board won't let me do it."
What do I care about the board? What's the board of heaven say about it? Preach the Gospel. "These signs shall follow them that believe." Yes, sir. Jesus, the Son of God, has raised from the dead and He's alive today proving Himself among men. Nothing about the board...
David said, "Take this thing off of me. I just can't stand it no longer. It kinda gets on my nerves anyhow." So he reached down there, and picked up this little slingshot, packed up his little old shepherd's coat. That's what you want to do, brother. He said, "I'm... I--I proved this."

E-61 And there's one thing I can say about this old-time religion. I've proved it, brother. I know it's real. I know what I speak of, for I've trusted in it when the doctor said, "You got three more minutes to live." Amen.
Jesus Christ, the Son of God, by His amazing grace saved me. I know what I'm talking about. That's the reason I'm not ashamed to preach Divine healing and the power of the resurrection of the Lord, because I've trusted it down to the end of the road. I know what it will do. I know what real genuine heartfelt faith will do in God's Word. It'll produce everything God said it would do. That's right.
I don't know nothing about how to say, "Amen," like a... you do, and bow and all your fancy dressings and so. I know nothing about that. But there's one thing I do know, that Jesus Christ is raised from the dead, and He's the same yesterday, today, and forever. And the Holy Ghost is just as free today as it was the day It fell on the day of Pentecost. It's the same Gospel, but just unharness yourself and walk out in the open. That's right.

E-62 There he was. He took his little old sheep coat and put it on, picked up his slingshot, felt better, you know, kinda get free. All bound down, traditional, that's what's the matter with the church today.
Here he goes, runs down there and picks him up five little stones.
Goliath said, "Do you mean to tell me that that's the best you got?"
Well, brother, it's more than a match for you. I'll say that. You just don't know what's wrapped around that little old sheepskin coat there. That's right.

E-63 Picked up these five stones, places one in there... Why, this great big boasting infidel walked out there and cursed him in the name of his idol, cursed David. "Why," said, "I'll take you on the end of my spear," which it was like a weaver's needle, longer than one of them middle tent poles. And he said, "I'll take you on the end of this spear..." Little old boy weighed about one hundred and ten pounds, kind of scrawny, draw--drawed in, little old fellow, maybe didn't get too much to eat back on the backside of the desert, but he stayed with God. It's the main thing.
"Picked him up on..." Said, "I'll pick you up on the end of this, and I'll hold you up and let the birds eat your flesh this day."
Watch what David said. David said, "You come to me as a Philistine with an armor, and with a spear, and in the names of your god," but said, "I come to you in the Name of the Lord God of Israel. This day I'll cut your head off, and I'll give your flesh to the birds."

E-64 Why? What was in his hand? A slingshot. But God was with him. That's the main thing. Whether you got a bachelor's degree, or a degree of art, or whatever you got, if you got Christ in you, what difference does it make? Whether you know your ABC's, or whatever you do know, as long as you know Jesus Christ in the power of His resurrection, that's what you have to know.
There he stood. Why, he said what he would do. And here he went. When they begin to draw near, that Philistine raging mad, with his great big armor on like that, and his spear hanging out to catch little old David... Little David went and took that sling now (only thing he had in his hand), put a rock in it, like that, wrapped it around his fingers. Look, brethren, he had f-a-i-t-h, five, in J-E-S-U-S, five more.
Here he come with a rock. When he let the rock go, God directed it right in the middle of the helmet, where the helmet should've been on that old Goliath, and he fell. And David jumped up on him and pulled his own sword out, and chopped his head off. And the rest of them took courage and cut the Israelite--or cut the Philistine army plumb out of the country.
I'm telling you, what we need today is another David, who will stand on the Word of God, and preach the unadulterated Gospel of Jesus Christ, and make a few preachers take courage and go to cutting down until we get all this boasting and atheotic, communistic element out of our nation, and our place (Amen.), and out of our churches. Oh, that's true, my friends.

E-65 One time a man, one man single-handed... A big bunch of Philistines run up on him. His name was Samson. He looked all around. He didn't have nothing, but he picked up the jawbone of a mule. And the Spirit of God come upon him, and he beat down a thousand Philistines with the jawbone of a mule. Why? The Spirit of God was on him. That's what made him do it. Yes, sir.
There was an old fellow one time over in the Book of Judges; his name was Shamgar. Did you ever read of him? Many people very seldom ever think of Shamgar. He's over in the Book of Judges. That's when every man done according to his own will and his own thoughts. And little Shamgar and all the rest of the Israelites when they'd get their--their food into the storehouse, here come the Philistines and take it away.

E-66 That's the way the devil will do. Just about the time you get things built up right and you think everything's beginning to move good, then the devil will come in. Just watch that. He will try to come in and tear down what God has given you, steal away. "Sheep stealing dogs," that's what Paul said. That's right. "After my departure, grievous wolves will enter in, not sparing the flock."
You know back home what we do for a sheep killing dog? We turn both barrels of a old shotgun on him. I'll tell you; the best thing for a sheep stealing dog is to turn both barrels here, New and Old both on him. Now, that'll...?... him down; I tell you. When you catch him with the hair in his teeth, that's the evidence. All right. And that's right.
Someone come around and said, "Now...?... you went down to that tent meeting, didn't you?"
"Uh-huh."
"Oh, that guy's psychic."
"Well, that maybe so, but I'm saved." Amen. That's right. God's doing work.
Awhile ago I was looking at a man talking, there where he set on a cot here. He'd been in a cot for I don't know how long. And today he is restored normally, coming into a church to take fellowship. Thanks be to God. Somebody's got courage, whatever is enough courage in you to rise up and meet the situation.

E-67 Shamgar was standing there. He just got all of his wheat all thrashed out. That's the way the devil lets it go. Got his harvest, the hard work all done, had it all laid up in the loft... He was standing there, and just about that time, him and his wife, and his little children perhaps, standing there, he heard a noise. He raised back the side and looked down. You know what happened? There come six hundred Philistines, big old fat, roly-poly, walking along there in their great big armors, tromp, tromp, tromp with their spears, coming up to take away his crop.
He looked down at his poor little old wife standing there, sleeves all out, poor little kids looked pale in the face. The Philistines took all he had the year before. And he seen he'd have to go hungry again; there they come. Worked all summer, all of them, done got it put up, and they knowed. When it was all laid up, so they thought they'd come over and take it. There he was standing there, and he looked at that. You know, I don't mean he got angry, but maybe his righteous indignation got up. Ha, ha.

E-68 You know, that's what ought to happen to you here on these cots and stretchers this afternoon. Just get a little mad at the devil. Say, "You old lying rascal, you're a liar. Christ made me free. I don't have to set like this no more. Get out of here." Toe the line with him, brother. He hasn't got a bit of authority. Jesus stripped him of every legal right he had, when He died at Calvary. The whole question of salvation and healing was settled at Calvary. That's right.

E-69 He looked around; he thought, "Well, I'm--I'm not a soldier; I can't fight. I don't know nothing about fighting. And if I... I ain't got time to get out here and learn how to duel so I can fight these fellows."
But he just got all stirred up. And looked up, laying on the shelf and there laid an ox goad, the Bible said. That's the thing that's got a long stick with a piece of brass on it. They punch the cattle into their stalls. And maybe when they're plowing, they rake the dirt off the end of the plow, an old ox goad.
Now, he didn't have time to train to fight. He was a farmer. He didn't know nothing about fighting, but it was time to fight.
And he said, "One thing I know: I'm an Israelite." Hallelujah. "I'm circumcised. I'm in the covenant. God Jehovah is with me." And as he begin to think on those things, I can see him swing his little old hands.
His wife thought, "What's taking place with my husband?"
Brother, he grabbed that ox goad, and the only thing he could get in his hand was an ox goad. And out that door he went and slew six hundred Philistines, armed. Hallelujah.

E-70 What's that in your hand, this afternoon? The doctors done turned you down. You ain't got time to piddle around with that anymore. Get Christ. What's ever is in your hand... God... Pick up the Word of God that Jesus is the same, yesterday, today, and forever, and slay the thing, and walk out with it. Amen.
You say, "Well, Brother Branham..." Yeah, you're too timid. That's what it is. That's exactly what's the matter.
I was preaching one day in an arena of a football stadium. And as I went in, I seen a little sign, always encouraged me. Had a big sign there, said, "It's not the size of the dog in the fight; it's the size of the fight in the dog." That's about right.
It ain't how timid you are or what you are. Brother, rise up. It ain't what you are; it's what Christ is that's in you, what the power of the Holy Ghost. You say, "Well, my neighbors will laugh at me if I got saved." Get Christ in there, and see how you can talk to your neighbor. See how life will change.

E-71 I've been rough. I know I have. I've talked to you like I don't know what, but I want you to get out of that little old timid condition you got here. I want you to walk out in the face... Don't be a scared. What's you got to be afraid of? Jesus walked boldly to Calvary, laid His hands out and tacked up there. Even to the one that tacked him, said, "That... He must be Royal Blood; He doesn't die as a coward. He died like a Prince."
He was a Prince of the princes. He was a King of the kings. He was Lord of all lords. And He's here today. Never did He flinch, laid His arm out... He had one motive, one alternative: do the will of God.
You do the same thing. No matter what the devil said to you... Told you, you wasn't going to get well. Your doctor tried everything he could do. He still thinks you're not going to make it. But Jesus said you could, if you'd believe.

E-72 There's strangers here today. I wonder, while we bow our heads just a moment for a prayer... Time's getting away.
Our heavenly Father, will You give courage to some poor man or woman who has been tossed about by every wind of doctrine. They come, and they don't know what to believe. Through this past week we have seen You do things, Lord, that could not be done by human beings. We've watched You. We see that You have risen from the dead, and You're here today.
And without any encouraging, Lord, let Your Holy Spirit speak to the hearts of the people that's in here that's unsaved just now, that knows that they've just got a mental attitude towards the Word; they've never been born again; they don't know what it means to be baptized into the Body of Christ by the Holy Spirit. Let them take inventory just now, Lord, and consider. And whatever You put in their hand, may they raise that hand to You and give whatever little talent they have to You. If it's no more than a testimony, at least they've got a hand, they can raise it. And what is it in their hand, Thou can place. We ask for Christ's sake.

E-73 And while we have our heads bowed and everybody praying that knows how to pray, I wonder today if while you're thinking this over, friend... This maybe our last meeting time on this earth. If I should come back in six months from now, there's many here that won't be here then. I may not be here then. But this will be our last time together of an audience of this size. There's many of you that's going to go out before I see you again; our next meeting time's over there.
Remember, I'm offering you the Lord Jesus. The only thing you have to do to receive it, is to believe it in your heart and accept it. And I wonder today if there's anyone that would just slip up your hand to Almighty God and say, "By this, Lord, I raise my hand. I'm coming to You now. I intend to be a courageous Christian from this hour on, for I'm accepting the Lord Jesus as my personal Saviour. I'm raising my hand to signify the same thing to You." Would you put your hand up at this time?
God bless you, my sister. God bless you, my sister. That is fine. God bless you, my brother, in the back. Anyone? God bless you, my brother, over here.

E-74 Someone else say, "I now raise my hands to the Lord Jesus." God bless you, my son. I see you. Someone... God bless you, my brother, back there. I see you. God sees you. Everybody praying now, Christians. God bless you, brother, and God bless you, sister, over there. "I now accept the Lord Jesus as my..." God bless you, my brother. "I accept the Lord Jesus as my personal Saviour."
God bless you, my brother, over there. I see your hand. God sees them too. Remember... God bless you, little boy. That's very fine. "He that heareth my Words and believeth on Him that sent Me, has (right now) Everlasting Life." Because he what? Believed.
Say, "I believe, Lord. I'm now accepting it by raising..." God bless you, sir. God be with you, my brother. That's very fine.
You say, "Brother Branham, does that mean anything?"
Well, Jesus said, "No man can come except My Father draws him. And all that does come I'll give them Everlasting Life."
Now, you can't... You wouldn't be--you wouldn't be--have enough real principle about you to raise your hand unless God spoke to you. And because you did raise your hand, then that shows to God... I said, it's showing to God that you want to accept Him right now, His beloved Son in your place.

E-75 God bless you, little boy, setting here in a wheelchair, raised his hand. God be with you, honey. Oh, my, if that didn't strike my heart. Just think, there's men and women in here, probably aged, that's just went along and read old "True Story Magazines" and things, till you're just hardened and calloused your heart, and belong somewhere, and put your name on a book, and never know what it was to be borned again. And here a little crippled boy in a chair, raises up his hands, "I want to accept the Lord Jesus just now." Why, sure.
Someone else now, just before we pray. God bless you, brother, back there. I see you, the aged man. I see you, my brother. God sees you too, brother. Maybe you wasted a many of year, but now in this age Jesus will receive you. What did He say, "He that heareth My Words, believeth on Him that sent Me, hath (That's right now.) Eternal Life, Everlasting. Shall not come into the judgment, but passed from death unto Life."

E-76 That's when you believe, you receive Christ in your heart. That's what Jesus said, Saint John 5:24. Look... How is it? Oh, we have different ways. Some of us wants to come to the altar; that's good. I like that. I think everybody ought to come--come up to the altar and pray awhile. Personally, yourself, you're praying there. But look, salvation is grace. It's nothing you can do; it's what God did for you. You can't come 'less God calls you. Jesus said you couldn't.
And then what did Jesus say? "Every one that cometh, I will not cast out. He that heareth My Word and believeth on Him that sent Me, hath (present tense, right now) Eternal Life, and shall not come into condemnation, but has passed from death to Life."
The next thing you can receive now is the baptism of the Holy Ghost. After you've received Christ as your personal Saviour, then you receive the Holy Spirit by the Holy Ghost baptism.

E-77 Someone else raise your hand. Say, "Pray for me, brother. God receive me."
God bless you, little boy. God bless you, son. And God bless you back there. And the little lady in the back, God bless you, sister. That's fine. Just a few more. We've had several. Here's a lady, right here. God bless you, sister. May God bless you, sister. That's so good.
Immediately after the service is over here, when the altar call... I want you all come up around here and stand, around here, and just offer your contribution to God of prayer. God will make you a real Christian.

E-78 Could we just wait once more and go around, and see if there just wouldn't be one more that's back there? I kinda feel it in my heart. There's just one more. The difference is whether you can raise your hand or not. If you'll raise your hand, that's what's asked.
God bless you, my Spanish brother and sister. Just... God bless you back there, brother. God bless you, sonny boy. God bless you, sister. God bless this man and woman setting here. These two hands right on this side, two young children. A young lady, God bless you, sister. You know you're never wrong when you just go according to the Holy Spirit.
God bless you. That's wonderful, my brother. God bless you, my little boy. Someone else now? Remember, what's that in your hand? God bless you, my brother. What's that in your hand? God bless you, my brother. It's Christ, saying, "Raise up your hand now." God bless you, sister. What's in your hand?
You say, "Well, Brother Branham, I--I'm a little timid, how..." That don't make any difference what you are. It's what God can do with you. You just give what you got to Him now. And at least you've got a hand you can raise up and say, "Lord, here it is. It's all I got. I give You my hand with a true heart behind it. I'm tired of sin. I--I want to be Your servant." God bless you, young man. That's very fine.

E-79 All right. I guess twenty or thirty or more has accepted Him just now. And now... God bless you, sir. God be merciful to you. Our last time together till we meet at the judgment, maybe, and I'm sure happy... God bless you, young man, setting back there. That's good. They just keep piling through. I'm so happy for that.
And you know, I believe God will give us an outstanding healing service, because that you're coming and accepting. Many of you, here for your first time has never seen the works of the Lord. And yet, you're coming to Christ. The very Christ that you're accepting, if I'm telling the truth, you'll see Him standing right here in this building, performing the very same things He did when He was here on earth.
It's not nothing you have to guess at, friend. God bless you, sir. God bless you, honey, the little girl right here in front of me, little tender heart. Nothing you have to guess, no more weary, no more guessing, it's all gone now. Jesus is here, the last day.

E-80 The Bible said, the prophet said, "It'll be light in the evening time." There was a day that wasn't night or dark. Make up your mind now.
Where did the sun shine first? On the Oriental people in the East. Mathematically, geographically it travels westward. Civilization moved form the east to the west. And when it shined down on the people in the east first, what happened? A great Holy Ghost revival amongst the easterners. Then it come a day where theology, churches, denominations blinded it out. The Bible said, "It's a day that it's not dark; it's a gloomy."
They've had enough Light to believe that Jesus was the Son of God. They never had miracles and signs. They believed it was the day past. But the prophet said, "It'll be Light in the evening."
The western people now is receiving their Light. Don't turn It down. The Light's a shining. The same Holy Spirit that fell on the day of Pentecost is right here doing the same things.

E-81 Oh, we got a lot of fanaticism. I'll admit that, friend. But we have to have that. Remember, scarecrows is around the best apple tree. So now just remember, Jesus Christ is still the Son of God, and those things has to happen. The Gospel cannot be preached without observation; we know that. The Bible said so. So don't look at that; look at Jesus. It's Light; the evening time's here now.
Is there another anywhere before we pray, that's made up their mind... God bless you, sister dear. That's very fine of you. God bless you, sister, over here. That's good of you. God sees your hand. Now, shall we pray. God bless you, brother. That's good. God be merciful to you. God bless you, little lady, over there, that raised your hand. Be merciful to you is my prayer.
Now, shall we pray. And every Christian, in your own way now, pray for these who's just come to Christ.

E-82 Dear God, as I know now I'm standing here between the living and dead. I've had to talk real hard this afternoon, because I felt You put it upon my heart, even after I got here. You said, "Shake the people."
And I just taught Your Word, and now some thirty or forty hands has went up. I hope I'm not misjudging them, Lord. I believe they were every one sincere. And they raised up their hands because that Something spoke to their heart. And now, I'm quoting to You, Your Word, Lord Jesus, Who'll meet them down there at the river one of these days when death is choking them in the throat. The doctor's walked away from the house, said, "Well, he will never come out of that attack." The baby's laying in there, choking out with pneumonia, the little children, or whatever it might be. The mothers and dads that's lived a long life and the death angel sets at the foot of the bed, and the old cold vapors of the Jordan floating in their face, but He will be there. You said, "He shall not come into condemnation, but has passed from death unto Life."
May the Morning Star come out and light up the way for them. And when the clods are thrown down on top of the casket, may the old Pine trees whisper, "There's a land beyond the river."

E-83 They'll remember when that hour strikes, that today, because You spoke to their hearts, they raised their hand. Way over in the other land, and I may never get to shake their hand here, but God grant that in a new world, where there's no death or sorrow, no sadness or sickness, may I shake everyone of their hands there and they say, "Brother Branham, it was that evening, I heard you preach so hard about men must receive Christ, and what's in your hand. And I raised my hand to Christ and He received me. And here I am today by the blessings and grace of Christ."
Will You do that for us, Father? We ask in the Name of Thy beloved Son, the Lord Jesus. Amen.
[Blank.spot.on.tape--Ed.] That's all I ask you to do.
Only believe...
All things are possible, only believe.
[Blank.spot.on.tape--Ed.]

E-84 ...?... Don't stir around. Set real still. Here stands an aged woman, probably a little old mother, gray-haired. Think about my mother at home, when I think of her. My mother's about that size. But my mother's almost a half Indian; she's... Her hair's coal black. But as like Indians do when they get a little old they get heavy. That may be somebody's mother, wearing a wedding band on her hand. Only God knows what's past through them old hands. They might've smoothed back the tears from a crying baby's eyes a many time. Years ago, maybe as a little girl, a mother might've picked her up and kissed her finger when she hurt it, rock her to sleep. That old mother's crossed over the border long ago. Maybe something's wrong with her today that a mother couldn't kiss away, but there's Somebody here Who can kiss it away.
I don't know her. I've never seen her. Don't even know if she speaks English or not; I don't know. You speak English, lady? You do? But you're really not English; you're German, aren't you? Uh-huh. That's right. Until I see you, "Auf wiedersein."

E-85 Me not knowing you and you not knowing me, I just left your land. Did you hear the story the little blind German girl getting her sight? At Karlsruhe, wonderful meeting, there was around fifty thousand in Germany come to Christ, the same as fifty thousand nearly in Switzerland come to Christ. Your people's all beat down over there. They got enough of Hitler. They want Christ now. They're lovely. They treated me like I was their brother. Thanks, Lord, is right.
You know, mother, me not knowing you, I wouldn't stand here... I'd feel too little as a gentleman to stand before an old person like you, a mother, and try to be a deceiver. I'd be honest enough to take this from around my neck and walk away from this building. I want to help you. I want to do something for you if I can, because you're a Christian. That's right.
You got a wonderful feeling to your spirit. It's already coming to meet me. And I know you're a Christian. And God knows your need, doesn't he? And if God will let me to you, like He did through His Son at the well at Samaria...

E-86 The audience knows that when Jesus went up to Samaria, He set at the well, sent His disciples away, and a woman come out. She was a woman of Samaria. And He said, "Bring Me a drink." Did you ever read that? The audience ever read that? He was trying to get a conversation with her.
She said, "It's not customary for Samaritans--or Jews to ask Samaritans such."
He said, "But if you know Who you was talking to, you'd ask Me for a drink."
Why, she went on with the conversation, "The well's deep..." Finally He was... What was He doing? Finding her spirit, the same thing I'm doing right here. She's German; I'm Irish. One was a Samaritan, and yet, He let her know they was no dividing lines. God loves all people.
Well, she said...

E-87 He said, "Go, get your husband." He found her trouble. She was living illegally, unmarried. Said, "Go, get your husband."
She said, "I don't have any husband."
He said, "That's right. You got five."
Why, she said, "I perceive that You are a prophet." Now, listen here. Don't forget this. She said, "We know that when the Messiah cometh (that's Christ)... We're taught that when Messiah cometh, that He will do these things." What? Know the secrets of their heart like He knowed hers, know where her trouble was. That was the sign of the Messiah, is that right? Said, "We know when Messiah cometh, He will know these things, or tell us all these things. But she didn't know Who He was.
He said, "I'm He that speaks to you."
Then she run in, and said, "Come, see a Man..."

E-88 Now, if He's the Messiah, has resurrected, you know I'd be unworthy or anybody else, but somebody has to be chosen for this, doesn't it? Well then, if the Messiah is resurrected, I'm telling the truth, and He's standing here beside of you... Messiah, the Spirit can tell through my lips, if you had faith enough to do it, to tell you what you're here for, like that woman was. Couldn't He? Will the audience believe it, if He does?
May He grant it is my prayer. Now, Lord, I'm trusting in You in Jesus' Name.
It's so hard after preaching to get the anointing of the Holy Ghost. But It's here. The same Angel you see on the paper is not two foot from where I'm standing.
The woman's suffering with a nervous condition. And she's also got something another, about putting a thing around the arm. It's a high blood pressure. She's got high blood pressure. You have stomach trouble also. And you got two tumors in here. That's true, isn't it? Now, you believe? Then go receive your healing. Jesus make you well.

E-89 Have faith; just don't doubt, but believe with all your heart that Jesus the Son of God has risen from the dead.
How do you do, lady. I'm certainly glad to get to see you. And may God be with you. I perceive that you are a Christian, right away. Now, I wish to speak to you just a moment, upon a subject. Not knowing you... A man appeared just on the scene of it... It's too young to be... 'less it was her son.
Just a moment. No. It's a lady setting right there praying for her unsaved husband, setting right back here. That's right. A young lady with a little black hat on, kinda got hair hanging down, she's got an unsaved husband she's praying for. She holds a handkerchief in her hand. That is right, lady, isn't it? Raise up your hand. That's true. Your faith, lady, is great. May God grant you your request. I believe He will. When you meet him, tell him that Jesus is speaking to him.
Now, I only... Now, you see what I mean? How...?... the lady. Did you have a prayer card, lady? You didn't have a prayer card? No. See, you'd never be called in the line without a prayer card. You don't need one, do you? See? It's already answered. See? You don't need any prayer card. It ain't the prayer card; it's your faith. Trying to get away from the prayer card situation, that has nothing to do with it, just a person standing here. Just be faithful and loving and loyal, and believe the Lord Jesus.

E-90 Yes, the lady standing before me is a Christian. And she's suffering with a--a blood pressure. And she's really nervous. And she's got a gallbladder trouble, and nervous, upset, brings her to a blood pressure. And there's something strange about you. You--you've accepted your healing once before on the same thing, but you got too haughty with it, like, and got away. And by the way, you are a--you're a missionary, or you've been an missionary.
And I see another man, and that's your husband. He was a Pentecostal preacher, but he's in glory. He's gone on. But he... And you're still got something in your mind. You are trying to figure out what you must do with the rest of your life. And you're trying to make a decision, and you feel that you're to go east of here, towards the eastern states, to finish your life in mission work. That's THUS SAITH THE LORD. That is true. What He said is the truth, is it? That wasn't me, that was Him. Every word true. It always is. Now go on your road rejoicing, and saying... [Sister says, "I had doubts about my healing, and I lost it."--Ed.] Now go, be humble and sweet, and Jesus will be with you.

E-91 Let's say, "Thanks be to God." [Congregation says, "Thanks be to God."--Ed.] Does thou believe? If you can believe, all things are possible.
Setting next to the usher there, you got trouble with your neck. You want Jesus to heal you? You believe Jesus will do it, sir? You do? Wonderful, isn't it? Sure is.
Say, the man setting right next to you, with the little girl there, has a--a trouble in the lower part of his body; prostate glands is making him nervous, getting up at night, and so forth. You have a stomach trouble and things that's bothering, because it's made him so nervous. That is right, isn't it, sir? You're healed. Christ makes you well. It's all Light around you. That's all you need is faith to believe.

E-92 How do you do, sir? I'm a stranger to you, sir. We do not know each other. I've never seen you in my life, but that... First time you ever saw me. All right. Now, if that is true, raise up your hand so the audience will see. First time we've ever met. And me not knowing you, yet God knows you. I--I don't... I have no way of knowing you; it's God that knows you.
But you're suffering from some kind of a coughing condition, asthmatic condition you have. And you also have a stomach trouble; you cough, it's a dry cough, but your stomach is... Oh, here's what it is. Sir, you need healing, but you need salvation too. That's right. You've been a drinker. I see you standing, drinking whiskey and drinks that you shouldn't drink. That's right. You're life--life is open before God. And I'll tell you something that you might know, to believe me to be His prophet. For the last week or two you been praying, trying to get right, haven't you? Well, your stomach trouble is gone; your sins are forgiven. Go and be baptized, calling on the Name of the Lord and you shall... God bless you, my brother. You are my brother now.

E-93 Don't come down 'less you--you confess your sins first. Amen. Just the same as the woman at the well, He knows your heart. Don't move. Believe.
How do you do, lady? We are strangers to each other. But God knows us both, doesn't He? You are suffering with a nervous trouble, and you have trouble in your neck also. That is true. You have a tumor; you have stomach trouble. I see you moving from a table, can't eat. You got ulcers. Now, something happened then, didn't it? A strange feeling come to you? Now, go eat. Don't doubt; you be made well. God bless you. You're entirely welcome. It's not me, sister; it's Him. Just have faith and believe.

E-94 If thou canst believe... Little lady, you'll never go blind. Your eyes are bothering you, setting there, but you wouldn't go blind if you believe the Lord Jesus. Is that right? You're praying for your eyes. The lady next to you, both of you got eye trouble. That's right. You don't wear glasses, but your... The nerves in your eyes seem to be deadening and you can't see; everything's blurred. Isn't that right? I see you trying to read a book, pushing it up and backwards, like this. Is that true? If it is, stand up, both of you, that's the condition of both of you. Now, may the Lord give you your sight is my sincere prayer.
Have faith in God. Just don't doubt, but believe and ye shall receive. If thou canst believe, all things are possible. Oh, how wonderful.

E-95 Sir, He heard your prayer just then. Yeah, He really heard it. Hand over your face, setting right back here, gray suit on, you're all thrilled about something, but you have arthritis. That's right. You were praying about it then. You said, "Lord, let him speak to me."
I see you... A stomach trouble too, you been bothered with. That is right, sir. I see a woman standing by you, gray-headed, wearing glasses, she's just been healed. It's your wife, is in this meeting. That is right. Now, go home; your arthritis is finished. Your faith has saved you, my brother.

E-96 Doest thou believe? All things are possible. Have faith. If you can believe... He will give exceedingly, abundantly, above all that you could do or think.
Lady, when I was talking about eyes to this woman awhile ago, the second woman from the end up there, she's wearing glasses. You believe it happened then? Back here at the end, if you believe it, you can have what you ask for. Amen. Yes. I'm talking to you, setting there praying. Amen. See? How did He quote... How would I hear the same prayer that you're praying? Because I was standing with you. Amen.

E-97 Is this the patient? A young girl like this being a patient? How do you do young lady? You're a very fine little lady, but I perceive that you are a Christian. God, give us more girls like you: Christians. I wish I could do something for you, my young sister, to help you, but of course, I can't. I'm a man, but the Lord Who we serve can do it.
Now, Nathanael came to the Lord Jesus. He told him he was a believer too. In this day and time, and especially on this west coast here where so many young ladies live so carelessly, how did I know you was a Christian? The same reason that I know you're here for me to pray for you. And what you want me to pray for, is concerning a growth, and that's a lump over your side. That's true. Amen. Now, do you believe me now as His prophet?
May I say this to you to make you believe more. You're interested in two boys. That's right. One of them is a kind of a dope fiend; the other is a juvenile delinquent; and you're praying for those boys. Is that the truth, young lady? You've received what you ask for. Go, don't let your faith fail; God will be with you, my little sister, in the Name of the Lord Jesus.

E-98 Does thou believe? Strange, something happened then. I see standing here somebody that I know. Standing up in the air, it's a man. He's singing. It's one of the singers from here. It's Mr. Ekberg, and he's praying for somebody: that's a young girl. It's his daughter, and she's suffering with a female trouble. Don't fear, sir, if you're near. God will heal her. Amen.
I believe I seen Mr. Ekberg. Is he in the building? He's a man with glasses on, wearing a brown suit, Mr. Ekberg. I don't know him, but it was something wrong with some of his people. Is anybody here know it? Would you raise your hand, somebody know it? All right, that's fine. All right. If he's not here, tell him where he's at praying, He's praying, and God has heard his prayer. He's appeared here before me in the tent. God knows I know nothing about his family, but there it is. Something happened to his family just then.
Mr. Ekberg was dying; he was going down in a plane; he called on the Lord. I was setting in a mountain, hunting, and God gave me a vision to pray for him. The landing gears come down in the plane, where they had been stuck, and he landed safely, safely. Only believe. Have faith.
Is the patient, what is it... [A brother says, "Mr. Ekberg is over here--Ed.] Oh, Mr. Ekberg. Was you in the line, brother? Don't--don't fear no more. Go away. It's all right. You were praying. Was whatever he said true? It's true? God bless you then.

E-99 Come. Do you believe? You got a real nervous condition. It's causing you to have many things wrong. One thing is the 'gurgitation in your stomach. You got stomach trouble. It's caused from a nervous condition. Your foods, greases and things, certainly doesn't agree with you. That is true. Do you believe now? I'm getting very weak. Would you just come here? Father, I bless the woman who Thou... doesn't... do this miracle on. May she be healed in Jesus' Name. Amen. Don't doubt; just believe.
Would you come, lady? [Brother Branham speaks to someone. "Just don't leave too far."--Ed.] Just a moment, sister. You believe with all your heart? Will you accept me as His servant? Now, the Angel said, "If you get the people to believe you..." That's not believe me as Them, God, the Holy Ghost, but believe that They sent me. See? That's the only way I could help you, for you to believe me. If you don't have faith to believe that I've told the truth about the Lord, I couldn't help you. If you believe that, then I can help you.[Sister says, "I believe."--Ed.] You do? Then you won't have female trouble no more...?... Now, you can go and be made well.
Let us say, "Thanks be to God." [Congregation says, "Thanks be to God."--Ed.]

E-100 Come, little lady. I want to ask you something. Look here just a moment. Let me see... Turn around towards the audience. There's just about sixty per cent of this audience suffering with the same thing you have. It's just coming like one big blast from the audience. You're nervous, aren't you, sister? You just can't hold yourself together at times. Sometimes you think you'd almost take your own life; you wonder what's going to happen. And in your religious experience and so forth, you've never been satisfied just exactly. You've always wondered what was... That's right. It's true.
And you've wanted a closer walk with Him. And then sometimes Satan has told you, just recently, when you're in the room by yourself, said, "You've crossed the line." I'm not reading your mind, but that's true, isn't it? See? He lied to you, sister. You're healed right now. See? You don't have to...?... You go rejoicing. And, God, may this demon curse that's been on this child come out and leave, and may she be filled with Your Spirit in Jesus' Name. Amen.

E-101 Have faith. Now, you... You really don't have to be prayed for. You had the same thing. You see? It's nervous trouble is bothering you. Let me show you something. Everybody bothered with nervous trouble, raise up your hand out there. See it? God bless your... Jesus Who can heal right here can heal right there. Don't you believe it? Everybody with nervous trouble stand upon your feet just a minute.
I see something. Stand here just a moment. Come here. Just remain standing. Do you believe? If I be God's prophet, and I've represented Jesus right, and claim that He gave a gift that I yield myself to Him, and your faith can tell me what's wrong with you, would you believe it? Anemia condition and a lady's condition. Now, everyone out there that's got anemia, stand to your feet, just everyone in the building. Stand up, with anemia condition, female. Stand upon your feet. Stand right here, just a minute.

E-102 Come, lady. You just take your same place, 'cause you have that same condition, anemia. Just stay right there just a minute. Just keep standing to your feet; you're going to see something in a moment.
If them demons out there are screaming here for help. If it has to leave here, it's defeated out there too. Have faith. Does thou believe? If thou canst believe, all things... Just remain right there.
Arthritis and things is easy for Jesus to heal, isn't it? You believe it? Now, all that's got arthritis raise your hand out there. Just remain to your feet, you that can; you that can't hold your hand over your heart. Have faith in God. Same thing. It's moved right in behind you, had the same thing. Let's say, "Praise the Lord." [Congregation says, "Praise the Lord."--Ed.]

E-103 I believe something now is to happen. The lady... Here, It's right over a lady. It's moving right down here. Have faith, believe. Bring the patient.
Come here, lady. Do you believe me to be... Just a moment. I just catch at the same time... How many suffers with heart trouble, stand on your feet with heart trouble. This woman has heart trouble too. Have faith. Stand here just a moment. Believe it.
Come. Is it the baby, sister? Turn it around here. All right. Move back and the asthmatic condition, coughing... All with asthmatic trouble stand on your feet just a minute. Will you do it? Just a minute.

E-104 What's in your hand? Satan's defeated. He's exposed, Christians. What about it? None of you are trying to get up off that cot, the devil robbing you. It's a mental condition. The devil says it's a mental condition. Don't you believe him. Jesus Christ defeats a mental condition. He runs the devil from you. If I was in your place, I'd stand up on the cot--and off the cot, and accept my healing, and believe, and have faith in God.
And the rest of you, whatever's wrong with you, the whole things fading out. It looks real like getting milky all around. Put your hands over on each other. You're going... Here It is. This is it. There it goes. Oh, Satan, you are defeated. Jesus Christ, the omnipotent, the Almighty God...?... all these people healed. Come out.

Up