QUAND L’AMOUR DIVIN S’ELANCE, LA GRACE SOUVERAINE INTERVIENT

Date: 57-0126E | La durée est de: 2 hours and 2 minutes | La traduction: SHP
doc pdf
Voir le textes français et anglais simultanement Voir le texte anglais seulement

1.         Bonsoir, les amis. Nous sommes très heureux d’être de nouveau ici ce soir, dans la Présence du Seigneur. Et je suis sûr que c’est pour nous un grand privilège que d’être réunis au Nom du Seigneur Jésus. J’en suis heureux, et je sais que vous l’êtes aussi.

2.         Eh bien, demain matin… Cela fait énormément plaisir de visiter le – l’Eglise baptiste de Spencerville, le matin. Je dois tenir des réunions avec notre brave frère, le Dr Lee Vayle, qui est le pasteur de la Première Eglise baptiste à Spencerville, dans l’Ohio. Et demain matin à 10 heures, je dois tenir son… le service dans l’auditorium principal, je pense, demain matin, un service de prédication.

3.         Et puis, demain dans l’après-midi, à quatorze heures trente, [je tiendrai] un autre service de prédication ici à l’église. J’ai un message pour l’église, demain dans l’après-midi, le Seigneur voulant.

4.         Ensuite, demain soir, c’est la soirée de clôture de… de cette campagne, il y aura un service de guérison ou plutôt la prière pour les malades, je voulais dire demain soir. Nous nous attendons donc à de grandes choses.

5.         Et au courant de la semaine, nous avons tenu des services en prêchant la Parole, et il y avait l’onction du Saint-Esprit dans le discernement, ou plutôt par le don prophétique du Seigneur Jésus, nous avons le privilège de Le voir revenir parmi nous et faire exactement les mêmes choses qu’Il a faites quand Il était ici sur terre. Et je suis sûr que nos cœurs sont ravis de Le voir faire cela.

6.         Et d’habitude dans des réunions, nous avons ce que nous essayons d’appeler une salle d’urgence. Mais comme nous n’en avons pas cette fois-ci, hier soir, nous avons décidé, si c’est la volonté du Seigneur, que ce soir nous puissions avoir ce que nous appelons une ligne d’urgence. Et ce serait… D’habitude, quand le…là dans le discernement, c’est lent et les visions peuvent se produire dans la salle, partout dans la salle.

7.         Et le Seigneur agit exactement comme Il l’a fait avant Sa crucifixion comme une preuve, une preuve infaillible de Sa résurrection. Il n’est pas mort, mais Il est vivant pour toujours. Et cela nous donne une très grande consolation de savoir que Celui que nous aimons, Il nous honorera par Sa Présence parmi nous, en se manifestant comme étant vivant, après deux mille ans. Il est donc le Dieu immortel, le Dieu infini, infaillible et omnipotent.

8.         Et maintenant, ce soir nous allons essayer quelque chose de neuf. Apparemment le… Et je le dis avec respect et amour. Le peuple américain ne semble pas être en mesure de saisir la chose comme c’est le cas outre-mer. Les mêmes choses qui se sont produites ici, se sont produites une fois en Afrique du Sud, et trente mille purs païens sont venus à Christ en une fois. Voyez-vous? Pensez-y.

9.         Et je me suis simplement arrêté à la troisième personne et j’ai offert une prière, une prière collective pour toute la congrégation, on a estimé à vingt-cinq mille personnes le nombre de ceux qui ont été guéris en une seule fois. Pensez-y. Il y avait sept camions remplis de béquilles et de fauteuils roulants qui avaient été ramassés au sol et qu’on avait emportés, avec des gens qui marchaient derrière comme une armée, et qui chantaient Crois Seulement en Afrikaans.

10.       En Inde, il y a eu beaucoup plus que cela. Mais ici, il semble que le peuple américain est enseigné de tant de différentes façons ; il leur est difficile de saisir la chose de toute façon. Des gens aimables, mais il leur est difficile de saisir la chose, de tendre simplement la main par la foi… Il semble… et cela donne lieu aux fanatiques (vous voyez, voyez-vous?), cela donne lieu à l’élément humain.

11.       Nous voulons garder le côté humain loin de cela. Il s’agit de Dieu. Ce n’est pas si un homme vous touche, c’est Dieu qui vous touche. Voyez-vous? Ce – c’est une œuvre achevée. C’est quelque chose que Christ a déjà accompli pour vous. Et c’est votre propriété personnelle, pour chaque croyant. Il s’agit de regarder et vivre. Le serpent d’airain ne pouvait prier pour personne, ni toucher quelqu’un. Mais les gens regardaient et vivaient. Et c’était un type de Christ. Et si le type a pu faire ce qu’il a fait, que fera donc l’antitype quand il viendra, le fait de regarder pour vivre?

12.       Maintenant, j’aimerais vous parler sur un petit message évangélique. Alors nous allons faire venir les gens… le Seigneur voulant. Mon fils a dit qu’il a distribué un tas de cartes de prière pour les cas urgents, la catégorie de gens qui ne sauront pas attendre jusqu’au service de demain soir qui sera l’apogée tel que nous croyons que Dieu nous l’accordera. Et nous allons faire venir les gens ici, je vais prier pour eux sans attendre les visions les concernant. Ainsi, je peux donc les faire passer pour que l’on prie pour eux parce que ce sont des cas urgents, et nous ne pourrions pas en prendre beaucoup, nous ne saurons vraiment pas le faire.

13.       Maintenant, j’aimerais lire juste une portion des Ecritures. Et avant de le faire, parlons à l’Auteur juste un instant pendant que nous inclinons la tête.

14.       Notre Bienveillant Père céleste, c’est avec l’adoration même de nos cœurs que nous Te remercions Toi, le Dieu vivant, d’avoir vraiment songé à nous envoyer Ton Fils bien-aimé, comme Rédempteur afin de nous ramener, nous, créatures indignes de la terre, à la communion avec Toi.

15.       Et ce soir, lorsque nos esprits sondent les coulisses de générations, là dans les temps reculés, quelle belle communion cela a dû être, lorsque Dieu appelait Ses enfants dans la fraîcheur du soir et qu’Il communiait avec eux ! Ensuite, Il les embrassait, pour ainsi dire, sur la joue et Il les faisait coucher pour qu’ils se reposent la nuit; et les bêtes sauvages du champ, Il les installait pour la nuit sans aucun dérangement, sans aucun mal, il n’y avait pas de mal là, il n’y avait pas de mort, il n’y avait pas ni maladie ni trouble ; et ils se réveillaient dans un nouveau jour, marchant dans la Présence de leur Créateur, sans crainte ni maladie. Ô Dieu, nos esprits soupirent de voir encore ce temps-là. Car, c’est pour cela que nous avons été créés.

16.       Et nous prions ce soir, Père céleste, que si la mort avec son ombre est en train de suivre de près une personne ce soir, et que celle-ci ne soit pas encore préparée à rentrer dans cette grande bénédiction, qui a été préparée pour nous avant la fondation du monde, puisse ceci être le soir où elle prendra cette unique décision finale et éternelle, Te disant: «Oui, mon Seigneur, je vais maintenant Te croire et Te prendre comme mon Sauveur.» Et puisses-Tu alors les remplir de Ton Saint-Esprit, les baptisant dans Ton bien-aimé Corps des saints et les placer dans leur position, afin qu’ils soient des ouvriers dans cette grande œuvre qui est la Tienne sur la terre.

17.       Sois miséricordieux, guéris les malades et les affligés. Car, c’est dans ce but que Tu as fait l’expiation au Calvaire, et nous sentons que c’est notre propriété personnelle que Tu as donnée cette bénédiction rédemptrice à quiconque a été racheté. Et nous sentons que nous avons le droit de venir devant le Dieu vivant et de Lui demander ces bénédictions, car Il nous a gracieusement promis de le faire, en disant: «Tout ce que vous demanderez au Père en mon Nom, Je le ferai.»

18.       Et maintenant Père, puisse le Saint-Esprit prendre la Parole, ouvrir le Livre, et libérer la puissance de l’Esprit afin qu’elle entre dans la Parole, et que Celle-ci trouve Son lieu de repos dans chaque cœur. Car nous le demandons au Nom de Ton Enfant bien-aimé, le Seigneur Jésus. Amen.

19.       Ce soir, j’ai choisi juste pour un petit moment… parce qu’il y a très peu de gens pour qui on doit prier ce soir. Et ce soir, j’aimerais que vous tous, vous puissiez prier avec moi dans la ligne de prière. Mais ne pensons pas à la ligne de prière en ce moment, mais tournons nos pensées sur quelque chose de plus grand que la ligne de prière. Tournons nos pensées sur le Seigneur Jésus, Son retour et Son amour pour nous.

20.       Je vais lire un vieux passage qui vous est familier à vous tous, un passage qui est très familier. Peut-être que vos pasteurs et les autres ont lu cela maintes fois. Peut-être le – un des plus petits enfants ici peut citer cela. C’est le passage d’or de la Bible, Jean 3.16:

Car Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle.

21.       Pendant que j’étais assis là dans ma chambre, un – il y a quelque temps, après avoir passé ce temps de communion avec mon bon ami, le pasteur Boze de Chicago, je me disais: « Ô Dieu, que puis-je dire ce soir à ceux que Tu as rachetés par Ton Sang?» Car, se présenter devant une assistance, qu’elle soit petite ou grande cela importe peu.

22.       Hier soir, nous avions… Je parlais de cela, comment Dieu rencontre de grandes foules ou de petites foules, juste là où les cœurs l’accueillent bien. Et voyant que vous qui êtes venus ce soir pour exprimer votre foi et ouvrir vos cœurs pour entendre la Parole de Dieu, vous….

23.       Je me suis souvent demandé comment je me sentirais, si je pouvais avoir le privilège de tenir dans ma main deux gouttes du sang littéral de Jésus placées sur une assiette ou dans un verre. Que ferais-je avec deux gouttes du sang littéral de Christ? Oh! Je crois que je les porterai à mon cœur, je les garderais, je verserais des larmes. Mais, vous savez, aux yeux de Celui qui a librement versé Son Sang, j’ai devant moi [quelque chose] de plus grand ce soir. Car, j’ai reçu le privilège de parler à ceux qui ont été rachetés par Son Sang. Dieu a tant aimé le monde, qu’Il a donné Son fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle.

24.       Donc, cette portion de l’Ecriture, un tout petit carré d’un pouce, sur un… juste sur un simple bout de papier, cependant si on adopte une attitude correcte vis-à-vis de cette Ecriture, cela pourrait changer la – cela changerait la destinée éternelle de ce monde. Ce n’est pas la taille qui compte, c’est la qualité.

25.       Il n’y a pas longtemps, je lisais l’histoire d’un garçon qui était monté dans un vieux grenier. Et dans le grenier, il a par hasard trouvé un timbre postal de moins d’un pouce carré [2,54cm – N.D.T]. Et il l’a amené chez le collectionneur de timbres, et ce collectionneur de timbres lui a donné un dollar pour cela. Plus tard, ce timbre était vendu à 100 dollars. Et il est passé d’un collectionneur à un autre. Et si je comprends bien, maintenant, ce même timbre postal vaut presque 250.000 dollars, juste un petit morceau de papier. Mais ce n’est pas… ce n’est pas le papier qui le rend si précieux, c’est ce qui est sur le papier qui le rend précieux.

26.       Et c’est ce qu’il en est de Jean 3.16. Ce n’est pas la longueur de l’Ecriture qui compte, mais c’est ce qu’Elle contient qui compte. Elle contient un message pour le monde comme quoi Dieu a tant aimé…

27.       Et maintenant, j’aimerais prendre comme sujet, si on peut le prendre comme tel, pendant les quelques prochaines minutes, Quand l’Amour de Dieu s’élance, la grâce souveraine intervient. Quand Dieu a tant aimé le monde, l’amour divin de Dieu envers la race d’Adam, quand Il a tant aimé celle-ci, Christ est apparu et la grâce souveraine est intervenue. La grâce souveraine a rencontré l’amour de Dieu. Dieu a donné Son Fils unique. Vous voyez cela?

28.       Eh bien, autrefois, je pensais que Dieu était fâché contre moi, mais que Christ m’aimait. Mais j’ai fini par découvrir que Christ est le cœur même de Dieu. Et dans ce beau type de la sortie des enfants d’Israël, Christ sous forme de type, était ce rocher frappé. Et le seul moyen que ce peuple… Après avoir cherché l’eau partout… ils périssaient. Et Moïse, le serviteur de Dieu, a pris la verge du jugement, laquelle était une verge de jugement... Elle avait apporté le jugement sur les incroyants de l’Egypte: les mouches, les moucherons, toutes sortes de maladies et d’afflictions. La verge du jugement de Dieu qui était agitée dans la main de Son serviteur, a frappé le rocher, et le rocher a donné de son eau, et un peuple qui périssait a été sauvé. Quel beau type de Jean 3.16!

29.       Dieu a tant aimé le monde qu’Il… Lorsque les justes jugements qui devaient tomber sur nous ont frappé, ils sont tous tombés sur Christ. Et de Lui sont sortis des fleuves d’eaux vives (qui parlaient de l’Esprit) afin qu’un peuple qui périssait puisse vivre. Les eaux de la vie qui sont sorties de Lui, un Sacrifice frappé, Celui qui a été accepté… Et peu importe combien c’est petit… J’aime Dieu pour cela.

            Certaines personnes disent: «Eh bien, ça m’est parfaitement égal, que je reçoive cela ou pas.» Ce n’est pas vrai.

            «Eh bien, je ne suis qu’une petite ménagère.»

30.       « Je ne suis qu’une dame de couleur qui habite là au fond de la rue.» Cela… Peu importe qui vous êtes, que «celui qui veut, qu’il vienne…» Peu importe combien on est petit comme ce passage biblique, peu importe combien il est court…

31.       Je me suis souvent posé des questions; quand je vais en forêt au printemps, après l’hiver froid et venteux, je vois des toutes petites fleurs, pas plus grandes qu’un demi-pouce [1,27cm – N.D.T], et il me faut parfois m’abaisser pour les voir. Combien insignifiantes elles sont par rapport à un grand et imposant chêne qui se tient à côté d’elles! Mais Dieu est tellement soucieux de cette toute petite fleur qu’Il veille à ce qu’elle soit préservée pendant l’hiver, qu’elle puisse croître encore et s’épanouir. Et parfois parmi elles, il y a des bleues et des rouges. Dieu les connaît toutes. Dieu se soucie de nous tous.

32.       Il n’y a pas longtemps, une petite fille nous a enseigné une leçon, quand l’illustre roi George, pour lequel j’avais eu le privilège de prier, quand le Seigneur l’avait guéri de la sclérose en plaques… Et il visitait une ville canadienne, et toutes les écoles étaient allées assister. Et les gens ont pris des drapeaux canadiens et ils sont allés aux coins des rues.

33.       Et pendant que le roi passait… Je n’oublierai jamais l’expression sur le visage de mon manager, monsieur Ern Baxter, un Canadien. Et lorsque le roi passait, alors qu’à ce moment-là, il était souffrant de l’estomac et de la sclérose en plaques, il était debout ou plutôt assis à côté de sa belle reine vêtue de bleu… Lorsque la carrosse a tourné l’angle, j’ai vu cet homme de 240 livres [108,86 kg – N.D.T.] mettre ses mains sur son visage et pleurer. Et il a dit: «Imaginez-vous, le roi est en train de passer.» Et alors, il a crié: «Oh! Qu’arrivera-t-il un jour, quand le Roi des rois passera?»

34.       On a retrouvé une petite fille, après que les rues étaient dégagées. Elle se tenait là à côté d’un poteau télégraphique avec ses petites mains élevées contre le poteau, en train de pleurer, sanglotant de tout son petit cœur. Et l’enseignante cherchait à retrouver l’enfant…. Elle avait son petit drapeau canadien sur l’épaule et elle pleurait. Et la dame, l’enseignante a dit: «Chérie, pourquoi pleures-tu? N’as-tu pas agité ton petit drapeau vers le roi pour montrer que tu es patriote?»

            Elle a répondu: «Si, madame, j’ai agité mon petit drapeau.»

            L’enseignante a dit: «Tu n’as donc pas vu le roi?»

            La petite a répondu: «Non, madame, ce n’est pas que je n’ai pas vu le roi. J’ai vu le roi.»

            L’enseignante a demandé: «Alors pourquoi pleures-tu?»

            Elle a dit: «Le roi ne m’a pas vue.»

35.       Oh! combien c’est différent avec le Roi des rois? Vous ne pouvez pas être trop petit. Il voit tout mouvement que vous faites. Il connaît tout ce qui est en vous. Il… Même pas un moineau ne peut tomber dans la rue sans que Lui le sache. Pas une petite fleur ne peut germer, un petit crocus, sans que Lui ne le sache.

36.       Ainsi, combien ne valez-vous pas plus qu’une fleur? Et si vous êtes étendu ici malade ou affligé, ne savez-vous pas que le Roi des rois veille sur vous? Ne savez-vous pas qu’Il s’intéresse à votre guérison et à votre bien-être? Vous pouvez être vraiment coupable, mais saviez-vous qu’Il s’intéresse à ce que vous deveniez Son sujet? Vous direz: «Mais je ne suis qu’une personne insignifiante.» Mais vous ne l’êtes pas aux yeux de Dieu. Dieu a besoin de vous. Il vous aime. Et Dieu vous a tant aimé quand Son amour a été projeté, la grâce souveraine est intervenue et Il a envoyé un Sauveur pour vous racheter et vous ramener à Lui.

37.       Et dans ce Sauveur… Il a été blessé pour nos péchés, parce que Dieu vous a aimés. Dieu a vu les afflictions de Son peuple, et par Ses meurtrissures vous avez été guéris, la grâce de Dieu a frayé une voie, car Son amour exigeait cela.

38.       Et quand Son amour a projeté Son sentiment, Christ est sorti pour prendre Sa place. Il fallait que quelque chose prenne cette place. Seul Son amour a été manifesté pour vous. Et la grâce a pourvu à un Sacrifice pour vous. Maintenant, on vous demande simplement de croire cela: «…Quiconque croit en Lui, ne périsse point, mais qu’il ait la Vie Eternelle.» J’espère que vous saisissez la vision…

39.       L’amour, c’est l’un des plus grands instruments qui existe dans la grande économie de Dieu. Dieu est Amour. La Bible dit qu’Il est amour. Et quand vous devenez un de Ses enfants, vous devenez une partie de cet amour. Vous êtes une partie de l’économie de Dieu. Vous devenez un sujet de Son domaine. Et quand vous faites cela, vous devenez un fils et une fille de Dieu. Et Il a dit qu’Il vous donnerait la Vie Eternelle.

40.       Eh bien, si je ne suis pas mal enseigné, et si je comprends correctement… Je n’ai pas d’instruction, je n’ai fait que l’école primaire. Mais je suis enseigné par des érudits, qui devraient connaître que le terme utilisé «donner la Vie Eternelle» en grec c’est «Zôê», qui signifie «la Vie de Dieu.»

41.       Puis l’amour de Dieu projeté vers vous, vous ramène et fait de vous une partie de Lui dans la nouvelle naissance. Alors vous devenez un enfant qui est – un «né de» ou «qui vient de». Et cela vous met en relation avec Dieu, si bien que vous êtes [ses] fils et [ses] filles.

42.       Et Dieu le Créateur, Qui a créé toutes choses par Sa puissance, par Sa Parole parlée… Et tout ce qui existe, c’est par la Parole de Dieu rendue manifeste; le monde entier a été créé. Et combien nous commettons une erreur quand nous essayons d’ignorer la Parole de Dieu ou que nous essayons de limiter la puissance de Dieu par notre propre imagination. Car la terre même sur laquelle vous vous tenez ce soir, n’est que la Parole de Dieu rendue manifeste. Dieu a créé le monde par Sa Parole parlée. Oh! la la! la poussière, tous les minéraux, l’or, toutes les eaux, et tout ce qui existe, ce n’est que la Parole parlée de Dieu. Si ce n’est pas le cas, où est-ce qu’Il a eu cela? D’où cela est-il venu? Dieu a dit: «Que ceci soit», et cela fut. Alors quelle foi devrions-nous avoir en Lui et dans Sa Parole?

43.       Alors, quand vous devenez un fils ou une fille de Dieu, votre disposition change; votre attitude change, tout votre être, votre façon de considérer la vie et les autres change. Cela ne signifie pas que vous vous êtes joint à l’église; ça signifie que vous avez été régénéré. Vous êtes devenu une nouvelle création en Jésus-Christ, que vous avez… Les choses anciennes sont passées, et Dieu vous a parlé, et vous êtes devenu une nouvelle créature. J’aimerais que ceci pénètre profondément même dans des membres d’église.

44.       Alors quand vous aimez rester dans la Présence de Christ, et que vous devenez une partie de Christ, alors les gens aiment rester dans votre présence, parce que vous êtes devenu une partie de Dieu, un fils ou une fille de Dieu.

45.       Avez-vous déjà vu des gens dont vous aimez la compagnie? Ils ont quelque chose qui rayonne et qui fait que vous aimez leur parler. Et d’autres gens qui sont de bonnes gens (cependant nous ne disons pas ceci par méchanceté), mais c’est à peine si vous pouvez rester à leurs côtés. C’est à cause de l’atmosphère que vous créez. Car vous, en tant que fils de Dieu, vous êtes un petit créateur, parce que vous êtes une partie de Dieu.

46.       Et c’est pourquoi vous pouvez croire la Bible, pour tout ce qu’Elle déclare; car la Parole, c’est la Parole de Dieu. Vous, étant une partie de Dieu, vous serez d’accord avec la Parole.

47.       Alors, comprenez-vous la raison pour laquelle les gens disent : «Ceci n’est pas inspiré, et cela n’est pas inspiré, et ceci, c’est pour une autre époque»? C’est parce qu’ils n’ont jamais été en contact. Oh! peu importe combien de diplômes ils peuvent exhiber, cela n’a rien à faire avec la chose. Mais ils ne sont jamais entrés en contact avec Dieu pour naître de nouveau. Oh! Ils peuvent avoir sauté, ils peuvent avoir fait ceci; ils peuvent être des docteurs d’Etat. Ils peuvent avoir parlé en langues, ils peuvent avoir dansé en Esprit, mais Jésus a dit: «C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.» Car là où il y a l’Esprit de Dieu, il y a l’amour; il y a la compréhension; il y a quelque chose qui fait que vous aimiez y rester.

48.       Et oh! Combien c’est pitoyable dans cette heure dans laquelle nous vivons, que l’église du Dieu vivant n’ait pas encore trouvé ceci ! Car si Dieu habite abondamment dans nos cœurs, les barrières dénominationnelles ne pourraient jamais nous séparer; les barrières raciales ni rien d’autre ne pourraient jamais nous séparer; car rien du présent, rien du futur, que ce soit la faim ou quoi que ce soit, rien ne peut nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ.

49.       Tous, en une seule grande Eglise de Dieu rachetée, debout, unis, faisant front commun, laissant la Parole de Dieu être le plan ou la carte qui nous aide à voyager vers la gloire avec… Juif ou Gentil, esclave ou homme libre, catholique ou protestant, devraient se tenir ensemble comme une très puissante armée, à cause de nos relations. Et si nous sommes les enfants de Dieu, nous sommes donc des frères. Pas du fait que nous avons tous des relations de fils avec Dieu, mais par la régénération, nous sommes des fils de Dieu. Nous sommes des fils d’Adam par nature, nous sommes des fils de Dieu par naissance.

50.       Cela marche, beaucoup comme cela. Et j’ai remarqué cela dans ma vie, au fur et à mesure que je prends de l’âge, j’observe comment cela agit. Eh bien, je vous parle sur base d’une expérience, et c’est parfaitement en accord avec la Parole de Dieu.

51.       Dans notre propre maison… Et essayez ceci chez vous. Et si jamais il y a une maison qui – qui est vraiment dans la confusion et déchirée, c’est la nôtre. Les gens de partout dans le monde entier, ils viennent et repartent jour et nuit, tout le temps... Et j’ai remarqué, il n’y a pas longtemps, que mon aimable petite femme, à 37 ans, elle a les cheveux complètement blancs; elle s’est tenue entre moi et le public. S’il y a d’éloges à faire à la famille Branham, faites-les à elle. Le téléphone vous rend comme fou jour et nuit. 

52.       La maison était pleine de monde toute la journée. J’étais sorti, et mes gosses, la petite Sara et la petite Rebecca se battaient pour le jeu de construction, petit Joseph, le bébé, était assis là au sol en train de crier à tue-tête, ma femme dans la cuisine se tenant le visage avec les mains, en train de pleurer… Quand finalement je ne trouvais plus personne dans la maison, certains étant allés dans telle chambre, d’autres dans telle autre chambre et d’autres au sous-sol ; je suis entré, et je me suis dit: «Oh! quelle confusion !»

53.       Elle m’enlaçait et, disait: «Billy, je vais devenir folle.» Elle a dit: «Je n’ai pas réussi à donner le dîner aux enfants.»

54.       Une fois, des fous furieux, et je le dis avec révérence, parfois une bande de fanatiques, font des va-et-vient dans la maison, disant: «Le Seigneur a dit ceci, le Seigneur a dit que si je ne suis pas votre manager… Le Seigneur a dit ceci.» Eh bien, si le Seigneur ne m’a pas parlé à ce sujet-là… s’Il avait quelque chose à dire… Mais vous n’y pouvez rien; c’est tout à fait humain.

            Et elle a dit: «Les enfants n’ont pas eu de quoi manger, et je ne sais quoi faire.»

55.       Eh bien, je me suis dit: «Maintenant, il ne reste qu’une chose à faire. Eh bien, je suis fatigué, mais je vais faire cela. Maintenant, Père céleste, dans mon cœur, aide-moi à être ce que Tu voudrais que je sois dans cette scène.» Et je me suis dit: «Eh bien, si je peux seulement la calmer !» Je me suis alors dit: «Chérie, veux-tu vite sortir avec moi pour dîner?»

56.       «Oh! je vais laver les enfants», ceci et cela. Et c’est à peine si vous pouvez vous entendre penser, avec le petit Joseph qui frappe le plancher de toutes ses forces.

57.       Alors, je me suis glissé quelque part, j’ai pris un tablier et je l’ai mis sur moi et j’ai commencé à l’aider. Puis je lui ai dit: «Chérie, tu sais quoi? J’ai vu la plus jolie robe l’autre jour. Je voudrais vraiment te l’acheter. Et c’était dans une certaine ville juste tout près d’ici, et nous irons l’acheter.» Et je priais constamment dans mon cœur: «Père céleste, calme cette chère petite femme.» Et, j’ai mis ma main sur elle… Elle ne savait pas ce que je faisais. Je disais: «Oui, chérie, oh! Elle était jolie.» «Ô Seigneur, calme cette petite femme.» Et je continuais, vous savez, elle ne savait pas… Qu’est-ce que j’étais en train de faire? J’étais en train de projeter, de créer une atmosphère différente. Marchez dans l’amour de Dieu; ayez la communion.

58.       Et quelque temps après, elle s’est tranquillisée. Et alors, quand elle est devenue calme, Sara et Becky se sont partagés le jeu de construction; Joseph a pris quelque chose avec quoi jouer; et la paix a régné dans la maison.

59.       Qu’était-ce? Projeter l’amour. Ils étaient miens, mes enfants, ma femme, et j’étais dieu. Et alors, Dieu donne son Esprit, et par cet Esprit, avec l’amour pour ma famille, la grâce souveraine est venue et a tranquillisé la famille. Elle le fera. Je sais qu’elle le fera.

60.       Il y a quelque temps, je m’étais intéressé à une grande chose, avec monsieur Krause, un membre des Hommes d’Affaires du Plein Evangile (beaucoup d’entre vous le connaissent), un très bon ami de notre très honorable et bien-aimé frère Oral Roberts. Et ainsi, monsieur Krause, qui était un bon ami à Oral Robert, a dit: «Oh! si j’ai un problème, je suis un ami d’Oral Roberts. »

61.       Ainsi, finalement un jour, monsieur Krause a été atteint de la maladie de reins. Alors, il est allé dîner avec frère Roberts. Et frère Roberts a dit: «Oh! frère Krause, pour Dieu c’est juste une petite chose.» Il a posé ses mains… Et frère Oral avec cette véritable (excusez-moi l’expression, mais) foi opiniâtre [en anglais, «bulldog faith»: foi de bouledogue – N.D.T.], il lui a imposé les mains et a dit: «Je réprimande cette maladie.» Il a dit: «Frère Krause, ne t’inquiète pas, tu seras guéri.»

62.       Et frère Krause a dit: «Je me suis vraiment senti mieux.» Mais quelques jours après, la chose est encore revenue. Il a dit: «Je suis encore allé chez frère Roberts.» Et il a dit: «Il s’est passé la même chose.» Il a dit: «Alors, je me suis dit que je connaissais William Branham, j’irai donc auprès de lui.» Et il a dit: «Il a vu des visions; ainsi, je me tiendrai devant William Branham; il est un bon ami à moi, et William Branham pourra donc m’aider.»

63.       Alors, il a téléphoné là et il a appris que j’étais à Shreveport, en Louisiane. Monsieur Krause et son épouse sont venus en avion jusqu’à Shreveport, et ils ont assisté aux réunions. Et il a dit: «Frère Branham, j’ai peu de temps, mettons nous à l’écart; et j’aimerais voir ce que le Seigneur me dira.»

64.       Et j’ai dit: «D’accord, Frère Krause, mettons nous à l’écart.» Je me suis tenu là pendant 45 minutes et le Seigneur n’a rien dit. J’ai dit: «Je vais prier frère Krause.»

65.       Il a dit: «Si le Seigneur vous révèle quelque chose, appelez-moi.» J’ai prié pour lui. Il a dit: «Vous savez, je me sens mieux. Je crois que le Seigneur m’a simplement guéri sans me révéler la maladie.»

            J’ai dit: «Eh bien, nous sommes reconnaissants à Dieu.»

66.       Ainsi je… Ce soir-là, étant un cher ami à frère Krause, j’ai prié pour lui, j’ai prié sans arrêt. Et environ quelques semaines après, il est encore revenu. Il a dit: «Tenons-nous devant le Seigneur et voyons ce qu’Il me dira. Je suis dans un état grave.» Je me suis encore tenu pendant une heure ou plus, et le Seigneur n’a rien dit.

            Ainsi donc, il est allé chez le médecin. Le médecin a dit: «C’est un travail trop grand pour moi; vous feriez mieux d’aller chez Les Mayo.

67.       Il est allé chez Les Mayo. Les Mayo l’ont examiné et [le médecin] a dit: «Monsieur, vous n’avez qu’une chance sur mille de vivre. Il faut immédiatement une opération.» Eh bien, il a dit: « J’accepte cela.»

68.       Il est sorti et il a dit: «Je me suis dit que si j’étais si près de la mort, je ferais mieux de m’examiner vis-à-vis de Dieu.» Il a donc dit: «Seigneur, Tu sais que je T’aime, et j’ai essayé de tout mon cœur de soutenir tout ce qui est correct.» C’est un homme riche. Et il a dit… Il fabrique des charrues. Vous pouvez le connaître; il est en Arkansas.

69.       Puis il a dit: «J’ai essayé de mener une vie correcte, et Tu sais, Seigneur, que je T’aime. Maintenant, si Tu es prêt à me ramener à la maison, je suis d’accord. J’ai vécu assez longtemps, et je suis prêt à venir. Mais Seigneur, si Tu peux m’utiliser, eh bien, je suis d’accord.» Il a dit: «Je me suis tenu devant Tes serviteurs Oral Roberts et William Branham, et c’est comme si leurs prières n’ont pas eu d’effets pour me guérir.» Et il a dit: «Peut-être que c’est quelque chose que j’ai fait, mais certainement, Tu aurais révélé cela pendant que je me tenais là devant le discernement.» Il a dit: «Mais si c’est mon temps de venir, je suis prêt à partir. Et je T’aime, je vais donc dans la salle d’opération, l’unique chance que j’ai.»

            Et les médecins l’ont encore examiné, et ils ont dit: «Monsieur Krause, êtes-vous sûr de vouloir subir cette opération?»

            Il a dit: «J’ai prié et je suis sûr de vouloir subir cela.»

70.       Ainsi, dans la salle d’opération où ils sont allés, la dernière chose dont il s’est souvenu, c’est d’avoir dit: «Seigneur si Tu es prêt en ce qui me concerne, je T’aime, Seigneur. Je T’aime, Seigneur.» Et ils l’ont anesthésié. Et quand il est revenu à lui-même, la salle tout entière a commencé à s’illuminer. Et il a vu les médecins debout autour de lui. Et ils sont vite allés vers lui et ils ont dit: «Monsieur Krause, quelque chose est arrivé. Nous n’avons jamais vu une opération si parfaite. Et nous pensions que vous alliez mourir, mais tout d’un coup, vous êtes devenu normal.»

            Qu’était-ce? Quand l’amour divin a été projeté, la grâce souveraine est venue pour prendre place. Elle devait intervenir. Obligatoirement.

71.       Il y a quelques mois, dans l’ancien Mexico, je tenais une réunion. Et un jour… Je ne peux pas dire que ceci est vrai. Tout ce que je sais, c’est ce que je vais dire. Le jour précédent, un bébé avait été rejeté par un médecin pour aller mourir.

72.       Il pleuvait. Les gens n’étaient pas assis sur des chaises comme vous. Ils étaient debout, les uns contre les autres comme des brebis dans un pâturage, ils étaient venus à 9 h ce matin-là, pour m’entendre prêcher à 9 h du soir. Ils se sont tenus sous un soleil accablant; des estropiés, des affligés… Et quand je suis entré… Le soir précédent, le Seigneur avait accompli un grand miracle et sur l’estrade dans cette grande arène, on avait empilé des tas d’habits sales, qui formaient une pile aussi haute que ça, afin que je puisse prier dessus: de vieux chapeaux, des châles. Mon cœur brûlait. Et il pleuvait dehors. Nous étions tous dehors en plein air.

73.       Et alors, une petite mère était en train de crier quand j’ai appelé la ligne de prière. Et Billy est venu vers moi, et a dit: «Papa, tu dois faire quelque chose.» Il a dit: «Le bébé d’une mère est mort à trois heures de cet après-midi. C’est une petite femme catholique. Son bébé est mort, et elle l’a couvert.» Billy a dit: «Quand frère Espinosa a distribué les cartes de prière, elle n’a pas reçu de carte. Mais il n’y a plus assez d’huissiers pour empêcher la femme de monter sur l’estrade. Elle a ce bébé et elle est en train de crier à tue-tête: ‘Padre, padre’, (ce qui signifie: Père.)»

74.       Et j’ai regardé à travers la longue file de lumières, et cette petite femme, une belle petite dame, se déchaînait, les larmes lui coulant sur les joues et une couverture dans ses bras, elle criait à tue-tête. Et j’ai dit à frère Moore, qui se tenait là sur l’estrade, un des managers, j’ai dit: «Descendez et priez pour le bébé et peut-être cela va la consoler.» Et l’amour de la petite maman pour ce bébé…

75.       Et quand je me suis retourné vers – vers l’assistance au-dessus de l’audience pour continuer de prêcher, j’ai regardé et j’ai vu un petit bébé espagnol assis, en train de gazouiller. Frère Moore essayait de la tranquilliser, mais cela n’a pas satisfait son petit cœur. L’amour d’une mère était projeté vers Dieu.

76.       Et j’ai dit: «Un instant, Frère Moore.» Je suis descendu. Et le bébé était enveloppé dans des couvertures. Je ne pouvais ni parler ni comprendre l’Espagnol. Mais j’ai simplement posé mes mains sur la petite couverture qui était trempée.

77.       Eh bien, on me dit que le bébé est mort depuis 3 heures juste. Je ne sais pas. Je ne saurais l’affirmer. Les personnes mortes que j’ai inscrites dans mon livre, c’est authentique, elles ont été ressuscitées, ressuscitées par le Seigneur. Le médecin ou l’entrepreneur pourrait le confirmer.

            Mais quand j’ai imposé les mains au bébé, quelque chose a donné un coup de pied sous cette couverture, et il a poussé un cri comme vous n’en avez jamais entendu dans votre vie.

78.       Qu’était-ce? L’amour divin a été projeté vers le cœur du Dieu d’amour et la grâce souveraine a renvoyé une vision pour la guérison de l’enfant. Certainement.

79.       Je me rappelle qu’environ une heure après cela, presque une heure, un pauvre vieux Mexicain est venu sur l’estrade. Ses pieds étaient ridés; il était pieds nus, son visage était couvert d’une barbe grise, il avait des cheveux gris, et il était aveugle. Comme il s’approchait de moi (on le conduisait), j’ai regardé et j’ai pensé: «Si mon père était en vie, il aurait presque cet âge.» Et il marmonnait quelque chose. Et quand il est arrivé près de moi, il a sorti une paire de – ou, un chapelet.

80.       Et certains d’entre eux lui ont dit, Frère Espinosa… Il voulait savoir où j’étais et il était là en train de tâter mon visage. Je me suis tenu tranquille. Et ses vieilles et faibles mains tremblaient; ses joues étaient vraiment creuses; et les larmes sur ses joues. Puis je pensais: «C’est le papa de quelqu’un; c’est l’enfant d’une mère.»

81.       Et il a commencé avec ses grains de chapelet, et j’ai dit: «Ce n’est pas nécessaire, papa.» Et il s’est mis à pleurer et il a trouvé mon visage, et il m’a tapoté, et il s’est agenouillé. Je l’ai encore relevé. Je pensais: «Regardez-moi ça!»

82.       Vous voyez, mes amis, si vous n’entrez pas dans la communion, si quelque chose en vous ne réclame pas à grands cris l’autre et réciproquement, si quelque chose ne projette pas un amour…Vous savez, les gens ne sont pas si insensés; ils comprennent si vous simulez ou pas. Ils comprennent cela. Les animaux sauvages comprennent cela. Ainsi, vous devez entrer dans cette communion-là.

83.       Et comme le vieil homme se tenait là, je l’ai regardé, et mon cœur s’est mis à battre sérieusement, et je me suis dit: «Pauvre vieil homme. La nature a été si cruelle envers toi. Probablement que tu ne t’es jamais assis pour prendre un bon repas de toute ta vie. Probablement que tu n’as jamais porté un costume de ta vie.»

84.       J’ai placé mon pied à côté du sien. J’allais ôter mes souliers pour les mettre à ses vieux pieds poussiéreux et ridés. Mais j’ai vu qu’ils ne lui conviendraient pas. Avec ses épaules plus larges que les miennes, même mon veston ne lui conviendrait pas. Alors j’ai pleuré; je pensais: «Oh! et après tout ceci, tu es donc assis dans un monde des ténèbres. Tu ne peux pas voir où tu vas. Tu n’as jamais eu un beau costume. Et probablement que tu ne t’es jamais couché sur un bon lit. Tu n’as jamais pris un bon repas. Et peut-être que tu n’as jamais eu une bonne paire de chaussures de ta vie. Et maintenant, tu es dans les ténèbres.» Oh! combien cruel le diable peut être!

85.       Et à propos, cela projetait l’amour vers le vieil homme. Et comme je l’enlaçais et que je l’étreignais contre ma poitrine, sans attendre une vision, je l’ai simplement tenu contre ma poitrine, j’ai dit: «Ô Dieu notre Père, sois miséricordieux envers ce pauvre vieil homme, le père de quelqu’un.»

86.       Et je l’ai entendu crier: «Gloria a Dios!» Et il a fait un bond vers l’arrière de là où j’étais; et il a frotté ses yeux; il est tombé sur le plancher; il a embrassé ma main; il criait: «Gloria a Dios!» ce qui signifie: «Gloire à Dieu.» Et il a traversé l’estrade, il voyait aussi parfaitement que n’importe qui dans l’assistance.

87.       Qu’était-ce? L’amour divin qui était projeté, a fait que la grâce souveraine intervienne. L’amour divin ne peut aller que jusque-là. Mais quand on s’en tient à cela fidèlement jusqu’à la fin, la grâce souveraine intervient et produit ce que l’amour ne peut pas accomplir.

88.       Oh! mes amis, c’est ce dont l’église a besoin. Ce n’est pas d’une nouvelle organisation, pas d’un tas de fantastiques, pas d’une discussion, pas d’un débat, elle a besoin du baptême de l’amour, pour s’aimer les uns les autres. Elle n’a pas besoin de nouveaux dons; elle a besoin de l’amour pour faire opérer les dons qu’elle a. C’est ce dont elle a besoin.

89.       Ceci peut paraître très étrange, et si c’est le cas, eh bien! nous nous rencontrerons un jour. Les animaux connaissent l’amour. Je les ai observés. Etant un chasseur et un homme qui aime la nature, j’ai observé comment Dieu y a pourvu. J’ai observé un poisson avec un hameçon dans la bouche. Ne vous tracassez pas à son sujet. L’acide de son corps va engloutir cela peu de temps après. J’ai observé un chien avaler un os. Ne vous tracassez pas à son sujet. L’acide de son corps prendra soin de cela. Dieu a offert une voie.

90.       Il y a quelque temps, chez moi, j’avais un… J’avais l’une de ces tondeuses électriques. Et je tondais la cour au presbytère. Et je faisais quelques tours et si quelqu’un entrait chez moi, je me glissais là derrière, je me changeais et j’entrais vite pour prier pour les malades; et puis je ressortais peut-être et tondais une autre tranche et quelqu’un d’autre venait. Et vous savez, le gazon repoussait dans la cour du devant avant que je ne revienne pour celle de derrière. C’était vraiment pénible.

91.       J’étais donc dans la cour de derrière par un après-midi chaud du mois d’août. Et je suis simplement allé là, personne ne me voyait, et j’ai ôté mon maillot; je suis resté torse nu. Il faisait très chaud, et la chaude tondeuse… Et je tondais le gazon et je chantais: «Oh! combien j’aime Jésus», pensant à la bonté du Créateur céleste. Et j’étais tellement emporté dans le – l’Esprit de ce à quoi je pensais, le Seigneur, que j’avais oublié que là au coin de la clôture, il y avait un grand nid plein de frelons. Et pendant que je tondais le gazon et que je chantais, les yeux fermés, et que je priais, j’ai heurté ce nid de frelons. Et tout d’un coup, sans penser… J’étais complètement couvert de frelons. Et ils peuvent vous ôter la vie. Ce sont de gros insectes. L’un d’eux peut vous faire tomber à terre.

92.       Eh bien, ceci peut vous sembler un peu fictif, mais savez-vous que la vérité est plus étrange que la fiction? Mais quelque chose est arrivé. J’aimerais que ça reste comme cela.

93.       Avez-vous déjà lu mon livre, au sujet du fou là à Washington? Avez-vous lu cela? Ce fou s’est précipité vers l’estrade, un homme de 260 livres environ [118 kg – N.D.T.] ou plus, et il a dit: «Je vais briser tous les os de ton corps.» Et la police et les ministres avaient tous fui dans toutes les directions, et je suis resté sur l’estrade avec le fou. Il s’est produit quelque chose.

94.       A l’époque, je pesais 128 livres [58,05 kg – N.D.T.] Et le maniaque se tenait comme cela, les dents serrées, les yeux… Il a dit: «Toi, espèce d’imposteur, tu es ici prétendant être un homme de Dieu.» Il a dit: «Je te montrerai à quel point tu es un homme de Dieu. Je vais briser tous les os de ton corps.» Il a tiré son gros poing en arrière, et il était bien capable, physiquement, d’accomplir ses menaces.

95.       Il s’est produit quelque chose. Au lieu de mépriser l’homme, j’ai eu pitié de lui. J’ai pensé: «Pauvre homme, tu n’aurais pas dû me traiter de cette manière-là. Eh bien! tu es un homme comme moi. Tu n’as pas été créé pour agir de la sorte. Tu as été créé pour aimer, pour être un père pour tes enfants, et – et pour les aimer, et aimer tout homme. Tu as été créé pour être un fils de Dieu; mais le diable s’est saisi de toi.» J’ai eu pitié de cet homme-là.

96.       Et il a dit… Il s’est approché de moi, et il a [Frère Branham émet le son du crachat – N.D.E.] craché sur mon visage. Je l’ai regardé. Oh! cela m’est arrivé avec des sorciers et autres. Ne vous en faites pas. Si Dieu est avec vous, qui peut être contre vous?

97.       Ainsi, j’ai regardé l’homme et je me suis dit: «Pauvre homme, je t’aime, mon pauvre frère perdu.» Je n’avais prononcé aucune parole. Et il s’est approché de moi et il a levé son grand poing vers l’arrière. Et la foule était assise là, le souffle coupé, une foule de six mille personnes à l’intérieur, et il y en avait presque autant qui se tenaient sous la pluie. Et il a tiré son grand poing en arrière.

98.       Il venait de frapper un prédicateur. Il était sorti d’un asile de fous. Vous pouvez vous enquérir auprès de la police là-bas. Ce cas a été enregistré au casier judiciaire. Et il a frappé un prédicateur, et lui a brisé la mâchoire et la clavicule.

99.       Il est entré là en courant, il a couru vers l’estrade et a dit: «Ce soir, je vais briser tous les os de ton corps.» Et je l’ai regardé, pas avec haine, mais avec amour. Et comme il prononçait ces paroles et qu’il commençait à s’avancer vers moi, Quelque Chose en moi a dit: «Mais ce soir, tu tomberas sur mes pieds.»

100.     Il a dit: «Tomber sur tes pieds? Je te montrerai, toi espèce d’imposteur, sur les pieds de qui je tomberai.» Et il a couru vers moi et il a tiré son grand poing en arrière pour me frapper. J’ai dit: «Satan, sors de cet homme.» Ses yeux se sont immobilisés, sa tête est allée vers l’arrière, il est tombé et a coincé mes pieds contre le plancher. La police a dû l’écarter en le roulant. Oh! c’est cela: l’amour.

101.     Quand ces frelons m’avaient couvert et que j’étais conscient que je serais piqué à mort dans les quelques instants qui suivaient, au lieu de fuir ou d’avoir peur…

102.     Il n’y a que deux choses qui peuvent vous diriger: c’est soit la foi, soit le doute. Et ce… Le doute accompagnera – la peur accompagnera le doute. Donc, si vous êtes… Jésus a dit: «N’ayez pas peur.» N’ayez pas peur. Dieu tient Sa Parole. Peu importe la condition dans laquelle vous vous retrouvez ce soir. Dieu tient Sa Parole.

103.     Eh bien! Nous allons terminer dans quelques instants, écoutez attentivement. Qu’est-il arrivé? J’ai aimé ces frelons. Cela paraît étrange, mais je l’ai fait. Et voici pourquoi… Je – Je leur ai parlé. Eh bien! je ne dis pas qu’ils m’ont compris, mais il y a quelqu’un qui m’a compris, car j’ai dit: «Petites créatures de Dieu, je vous ai interrompues. Vous dormiez et je vous ai interrompues. Mais je suis serviteur de votre Créateur, et Ses enfants malades sont chez moi pour que je prie pour eux. Je tondais le gazon et je regrette de vous avoir dérangées, petites créatures de Dieu. Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, votre Créateur, mon Seigneur, retournez vite chez vous et je ne vous dérangerai plus.»

104.     Et quand je vous rencontrerai au jugement… Ces frelons qui fourmillaient sur moi ne m’ont jamais touché, et ils ont formé une seule ligne et ils sont rentrés droit dans leur nid. Quand l’amour est projeté, la grâce souveraine intervient.

105.     Pendant sept ans, j’étais garde-chasse dans l’Indiana. Un jour, pendant que je mettais des poissons dans l’eau… Je ne sais pas pourquoi je dis ces choses. Mais pendant que je traversais un champ où un grand taureau avait tué un homme de couleur; et ce taureau était du pâturage de monsieur Gurnsey à Sellersburg, dans l’Indiana. J’avais oublié que ce taureau était là; en effet, il y avait des écriteaux partout: «N’entrez pas.» Mais j’avais acquis un petit fusil que j’étais censé porter, mais je l’avais jeté dans la voiture. Et j’étais en train de traverser ce champ, sur la colline, pour aller prier pour un homme malade que je connaissais.

106.     Et je marchais dans le champ, je ne remarquais rien. Et tout d’un coup, ce grand bourreau est sorti d’un bond du milieu d’un buisson, il m’a regardé et il a poussé un mugissement; il a baissé sa tête et il a planté ses cornes dans la terre et les a retirées. Immédiatement, j’ai cherché mon fusil. Il était dans la voiture. Je me tenais là seul. La clôture était à environ 250 yards [228,6 m – N.D.T.], et le taureau était à environ 30 yards [27,432 m – N.D.T.]; il n’y avait pas d’arbres ni rien. J’ai dit: «Eh bien! C’en est fini de moi.» J’ai dit: «Je n’aimerais pas mourir en lâche, mais je me tiendrai ici et je mourrai comme un chrétien devrait mourir.» Et alors que je pensais à moi-même; ce grand taureau s’est retourné, je savais que c’était la mort, que je serais tué à coup de cornes dans les quelques instants qui suivaient. Oh! avec ma force, je n’étais pas en mesure de l’affronter.

107.     Et je suis reconnaissant que je n’avais pas de fusil; en effet, quelque chose s’est produit. Oh! excusez mon émotion, mais quelque chose s’est produit. L’amour est descendu. Maintenant, ceci peut paraître étrange, mais c’est la vérité. J’ai parlé à ce taureau. J’ai dit: «Je t’ai dérangé, mais je suis le serviteur de ton Créateur. Je suis en route pour aller prier pour mon frère qui est malade. Je suis désolé de t’avoir dérangé. Maintenant, ne me fais pas de mal, car je t’aime. Et comment peux-tu me faire du mal alors que moi je t’aime.»

108.     Et le voici venir. Je n’avais pas peur de l’animal, pas plus que je n’en ai de mes frères qui sont assis ici. Il est venu et je me suis tenu simplement là. Et j’ai dit: «Je t’aime parce que c’est Dieu qui t’a créé. Je t’ai dérangé, et je le regrette.» Et comme il s’approchait de moi, je suis resté tranquille, et il est arrivé à environ dix pieds [3,04 m – N.D.T], il a projeté ses pattes en avant et s’est arrêté; il avait l’air très épuisé. Il a regardé de part et d’autre. J’ai dit: «Au Nom du Seigneur Jésus, toi, créature de la création de Dieu, rentre et va te coucher.» Et Dieu est mon témoin; le taureau s’est retourné et il est allé se coucher; et je suis passé à environ 5 pieds [1,52 m – N.D.T.] de lui.

            Qu’était-ce? La mort était proche. L’amour a été projeté, et la grâce souveraine a arrêté le taureau.

109.     Qui n’a jamais entendu parler de l’histoire de l’opposum? Pendant que je termine… Elle a fait le tour du monde. L’été passé… Léo et Gene qui sont assis là, mes deux jeunes gens qui enregistrent les bandes… Le frère et sœur Wood sont assis là. Léo et Gene, ce sont deux bons garçons qui m’accompagnent dans les réunions; l’un est issu d’une famille catholique, et l’autre avait formé un petit FBI à lui. Ils allaient et faisaient des investigations sur moi. Et ils l’ont fait. Et dès lors, ils voyagent avec moi pour enregistrer les bandes. Et ce sont de bons jeunes gens chrétiens. Et quand ils l’ont fait, ils étaient là, assis sous le porche, et je les appelle mes étudiants. Et je leur enseignais l’amour de Dieu.

110.     Monsieur et madame Wood. Wood – Madame Wood était de l’église de Dieu, monsieur Wood était un témoin de Jéhovah. Et ils avaient un garçon estropié qui avait une jambe raccourcie. Ils sont venus à la réunion de Louisville, et ils ont vu le Seigneur accomplir des œuvres. Monsieur Wood, un entrepreneur très bien connu partout dans le nord du Kentucky, a dit: «Je suis un témoin de Jéhovah, mais ça c’est de Dieu.» Il s’est donc rendu à Houston, au Texas, à la réunion suivante et c’est là que l’Ange de l’Eternel est descendu, et a été photographié. Monsieur et madame Wood étaient présents pour voir cela.

111.     Je suis allé outre-mer en Suède. Sur mon chemin du retour, j’ai commencé mes réunions dans l’Ohio, à Cleveland, dans l’Ohio. Ce soir-là, ils sont venus à la réunion, ils étaient assis au fond; ils étaient assis et ils priaient. Et pendant que j’étais sur l’estrade, le Saint-Esprit m’a fait retourner par leur foi et Il a dit quelque chose, peut-être pas en ces termes, mais en rapport avec ce problème. «La dame, l’homme et le petit garçon qui sont assis là, l’homme est un entrepreneur, il vient du Kentucky; et ils ont un petit garçon qui est estropié suite à la paralysie qui a fait que sa jambe se soit raccourcie. Mais AINSI DIT LE SEIGNEUR, il est guéri.» Ils ne savaient quoi dire. Quelque temps après, ils ont dit: «David, lève-toi.» Et David était aussi normal que n’importe quel autre garçon. L’amour a été projeté.

112.     Il a abandonné son travail d’entrepreneur, il a tout liquidé et a acheté une maison à côté de la mienne, et il est mon voisin. Madame Wood est une vétérinaire. Elle aime les animaux et elle aime aller dans les bois, c’est une très bonne dame. Et sa famille est méthodiste, je pense.

113.     Ce matin-là, je donnais un enseignement sur l’amour à ces jeunes gens. Maintenant, écoutez attentivement avant qu’on termine… J’ai regardé sur la route, et j’ai vu venir une petite chose qui se roulait et boitait pendant qu’elle descendait la route. Et j’ai regardé et il était environ, je pense, 10 heures du matin, mes amis. Et qu’était-ce ? C’était un opossum. Vous savez ce que sont les opossums ici. Eh bien, quiconque connaît les animaux sait que les opossums se promènent la nuit. Ils ne voient pas pendant le jour.

114.     Voici donc que cet opossum se promenait pendant le jour. Et il est venu par-là où il n’y avait pas de clôture, sur une distance de deux ou trois maisons, il venait de la forêt, à environ 500 yards [457,2 m – N.D.T.] de l’autre côté de la grande route. Voilà qu’il venait longeant l’allée. Et ma maison est clôturée et a un portail ayant une construction en pierres. Et quand l’opossum est arrivé juste chez moi, il est entré. J’ai regardé et j’ai dit: «Il y a un opossum là, quelque chose lui est arrivé. Il a peut-être attrapé la rage. Regardez comment il fait, il fait des culbutes, il se roule, il se débat, essayant d’entrer.

115.     Et monsieur Wood était en train de ratisser la cour et il avait un râteau dont on se servait pour la cour, qui était là. Et j’ai dit aux jeunes gens: «Venez ici juste un instant.» J’ai couru, j’ai pris le râteau, et je l’ai jeté sur l’opossum. A ce moment-là, le laitier est venu, monsieur Guilmore. Nous avions les regards fixés sur l’opossum, et j’ai dit: «Elle doit avoir la rage.» J’ai dit: «Oh! non, et regardez.» Oh! excusez ceci, mais sa jambe était toute couverte d’asticots, de chiures de mouches. Les chiens l’avaient dévorée ou plutôt une voiture lui était passé dessus et l’avait écrasée.

116.     «Oh! ai-je dit, regarde comment cette patte est enflée, celle qui est devenue grosse comme ça et l’autre.» J’ai dit: «Elle est – elle est mourante.» Et pendant que je maintenais le râteau sur l’opossum, à ma surprise… Un opossum, et un kangourou, ce sont les seuls animaux qui transportent leurs enfants dans une poche. Et sa poche s’est ouverte et elle avait neuf petits, des tout petits nus. Et j’ai dit: «Venez ici, jeunes gens. Et je vais vous enseigner plus au sujet de la Bible.» J’ai dit: «Peut-être que cet opossum est entré…»

117.     Le jour précédent, une très jolie et belle jeune dame de couleur de notre ville avait donné naissance à un enfant illégitime. Elle l’a enveloppé dans une couverture et l’a tué en l’étouffant. Elle l’a amené à bord d’un taxi jusqu’à la rivière et l’a jeté dans la rivière.

118.     Et nous parlions de cela. J’ai donc dit: «Cette charmante jeune dame n’avait rien d’une mère par rapport à cette [maman] opossum.» Pas parce qu’elle était une fille de couleur, non; des blanches, des brunes, des jaunes, toutes celles qui sont sans Christ font la même chose. Mais j’ai dit: «La moralité de cette [maman] opossum est supérieure à celle de cette femme-là; en effet, cette femme-là ne voulait pas de son bébé et elle lui a ôté la vie.» La police l’avait mise en prison. Mais j’ai dit: «Cette vieille maman opossum n’avait pas plus de 30 minutes pour vivre.» Et elle mordait le râteau, c’est tout ce qu’elle pouvait faire.

119.     Généralement, lorsque vous les touchez, ils tombent, (ils font le mort comme on le dit). Mais elle était en train de se frayer le chemin quelque part. Et j’ai dit: «Elle était en train de mordre ce râteau et elle est vraiment prise de panique; mais elle est une véritable mère. Elle va consacrer ces trente dernières minutes de sa vie à se battre pour ses petits.» J’ai dit: «C’est ça l’amour d’une mère.» Elle aimait ses petits.

120.     J’ai soulevé le râteau; l’opossum a roulé; et elle est allée jusqu’à ma porte; et elle est tombée là, épuisée. J’ai dit: «Elle est morte.» Et je suis allé là-bas, et je l’ai piquée avec le râteau. Mais j’ai vu qu’elle n’était pas morte. Elle pouvait encore – de petites grimaces sur le côté. Et j’ai regardé cette patte, qui était complètement écartée et tendue et ces petits qui tétaient cette pauvre mère mourante. 

121.     Et alors, monsieur et madame Wood sont venus. Et madame Wood qui est une douce, chère et femme chrétienne (mais d’après ses connaissances, étant une sorte de vétérinaire), elle a dit: «Frère Branham, tue cet opossum et tire-le de sa misère.» Et elle a dit: «Les petits ont une bouche ronde. Ils ne peuvent pas prendre du biberon et ils sont tout petits de toute façon. Ils sont trop jeunes de toutes les façons. Ils n’ont que quelques heures. Il vous faudra donc amener ces petits pour les tuer.»

            Oh! je me suis dit: «Je ne peux pas faire cela.» j’ai dit: «Je ne peux simplement pas faire cela.»

122.     «Oh! a-t-il dit, Frère Branham, vous n’allez pas laisser ce pauvre animal s’étendre là comme cela et ces petits opossums en train de téter le lait de cette mère mourante. Ils mourront d’une mort affreuse.»

123.     Eh bien! la femme avait raison. Mais quelque chose en moi ne voulait pas que ça se passe ainsi. Elle a dit: «Eh bien! Vous êtes un chasseur. Allez prendre votre fusil et abattez-la.»

            J’ai dit: «Je suis un chasseur, mais je ne suis pas un assassin.» J’ai dit: «Et je ne peux pas faire cela.»

            Elle a dit: «Que Banks…» C’est son mari bien-aimé, mon copain. Elle a dit: «Qu’il la tue?»

            J’ai dit: «Je ne le peux.»

124.     Elle a dit: «Vous voulez dire que vous laisserez ce pauvre animal rester étendu là, sous ce soleil accablant, et ses petits brûler, comme leurs petits corps nus sont frappés par les rayons directs de ce soleil d’aujourd’hui, alors qu’elle est couchée là, gémissant, morveuse et mourante?»

125.     Humainement parlant, c’était la chose à faire, mais je ne pouvais tout simplement pas le faire. J’ai parlé à Léo et à Gene. Plus tard, ils sont partis. Tout au long de la journée, elle est restée couchée là. Je suis parti. Les petits opossums s’efforçaient toujours de téter…

126.     Ce soir-là, monsieur Wood est venu et il a dit: «Eh bien, Frère Branham, tu étais occupé toute la journée. Tu dois simplement tout abandonner. Viens, je vais t’offrir une petite promenade en voiture.» Nous avons pris ma femme et nous sommes allés faire un tour. Et j’ai trouvé un petit pauvre chien couché au bord de la route, il était galeux, rongé, couvert de puces. Et je l’ai ramassé en sorte que les puces montaient sur mes mains. Et ma femme a dit: «Billy, tu ne vas [quand même]pas l’amener.»

127.     J’ai dit: «Mais chérie, ce n’est qu’un petit animal. Quelqu’un l’a jeté parce qu’il est galeux.» J’ai dit: «Il a le droit de vivre.» Et je l’ai amené à la maison, je l’ai lavé, je lui ai administré des médicaments, j’ai prié pour lui. C’est un gros chien, un magnifique gros chien de berger écossais.

128.     Quand je suis rentré vers 23 heures, la vieille [mère] opossum était couchée là-dehors, étalée par terre. Frère Wood a dit: «Eh bien, elle est donc morte.» Et les petits continuaient à téter… J’ai dit: «Eh bien, peut-être qu’elle est morte.»

            Il a dit: «Eh bien! pourquoi est-ce que tu ne la tues pas, Billy?»

            J’ai dit: «Je ne le peux vraiment pas.»

129.     Alors, mon fils est revenu de la rivière, vers minuit, revenant de la pêche, et le vieil opossum était toujours étendu là. Toute la nuit, j’ai pensé à cet opossum. Je ne pouvais tout simplement pas ôter cela de mon esprit. Et le lendemain matin, je me suis levé très tôt et je suis sorti. Et quand je suis allé à l’extérieur, le vieil opossum était toujours couché là. Ce soir-là, monsieur Wood m’a dit: «Tu sais, Frère Branham, si cet opossum allait se déplacer, elle serait partie au coucher du soleil.» Il a dit: «Tu as assez tendu des pièges et chassé pour le savoir.»

            J’ai dit: «C’est vrai.»

130.     Et le lendemain matin, je suis sorti. J’ai une petite fille qui a eu sa première vision tout récemment, une petite fille de 11 ans. Elle est sortie sous le porche, la petite Rébecca. Et elle a regardé [cet opossum] et elle s’est mise à crier. Elle a dit: «Papa, elle est une véritable mère, n’est-ce pas?»

131.     J’ai dit: «Oui.» Je l’ai tapée du pied. Elle était couverte de rosée et les mouches à viande étaient toujours sur elle. Elle a dit: «Papa, que vas-tu faire de cette maman opossum?»

            J’ai répondu: «Chérie, papa ne sait pas.»

            Elle a dit: «Vas-tu la tuer, papa?»

132.     Et j’ai dit: «Papa ne peut pas faire cela, chérie.»

            J’ai dit: «Chérie, tu t’es levée trop tôt», juste avec son petit pyjama… J’ai dit: «Rentre dans la maison et retourne au lit auprès de maman.» Ainsi, je la hâtais de rentrer en chambre. Et je suis entré dans mon cabinet de travail et je me suis assis. Je pensais: «Ô Dieu, combien cette pauvre vieille maman opossum a souffert! Combien elle doit aimer ses petits!» Et pendant que j’étais assis là, je me suis dit: «Eh bien! En tout cas, je n’aimerais pas la voir être tuée.»

            Pendant que j’étais assis là, Quelque Chose m’a dit: «Hier tu prêchais à son sujet. Tu l’as utilisée comme ton sujet.»

            J’ai dit: «C’est vrai.»

            «Tu as dit qu’elle était une véritable mère.»

            J’ai dit: «C’est vrai.»

133.     La voix a dit: «Je l’ai envoyée à ta porte, et elle est couchée à ta porte depuis 24 heures, comme une dame, attendant son tour afin que tu pries pour elle, et tu n’as rien dit.»

134.     J’ai dit: «Eh bien, je n’ai pas…» J’ai dit: «A qui est-ce que je parle? Suis-je en train de parler à moi-même?» J’ai sursauté. Je me suis dit: «Oh! est-ce Toi, Dieu?»

135.     Je suis sorti sur le porche et la petite Rébecca se tenait encore là, en train de regarder cette mère opossum. Elle était immédiatement sortie de la maison. Je suis allé vers l’opossum. J’ai dit: «Ô Dieu, je sais que Tu connais chaque fleur. Tu connais chaque moineau. Etant donné que cette grande et horrible chose est arrivée chez les femmes, cette chose en rapport avec cette belle jeune fille qui a tué son bébé… et Tu as voulu montrer que Tu peux même conduire les animaux. Et elle est venue et s’est couchée à ma porte, attendant son tour pour que l’on prie pour elle.» J’ai dit: «Je suis désolé d’avoir fait cela, ô Dieu!» J’ai dit: «Je ne le savais pas, ô Dieu! Je l’aurais fait.» Mais j’ai dit: «Si c’est dans Ta providence divine que Tu as cherché à faire ceci, et que Tu veux que je prie pour l’opossum, alors je fais ceci au Nom de Christ. Aide-la, Père. Son amour pour ses petits a été si grand…» J’ai pensé: «Ô Dieu, pourquoi fais-Tu ceci?» Et quand je dis cela…

136.     Eh bien, cela peut paraître étrange. La chose s’est répandue… J’ai reçu des lettres de l’Afrique, de l’Inde, du monde entier à ce sujet. La presse associée, je pense, s’est saisie de cela. Et cette vieille mère opossum s’est levée, elle a repris ses petits dans sa poche, elle a descendu cette allée marchant aussi normalement que le pouvait n’importe quel autre opossum. La queue relevée; elle est descendue vers le portail, elle s’est retournée comme pour dire: «Merci, gentil monsieur.» Elle a traversé la route, elle est rentrée dans le bois. Autant que je le sache, elle est heureuse avec ses petits ce soir.

137.     Si Dieu peut penser de la sorte à un opossum, combien ne peut-Il pas penser à vous, quand votre amour est produit et projeté dans le cœur du Dieu vivant? Si Dieu… Rien que par instinct, cet opossum n’avait pas d’âme. C’était un animal muet. Et si cela a pu être fait de cette manière-là par instinct, et que le Saint-Esprit a pu conduire une vieille mère opossum là, sachant qu’Il me demanderait de prier pour cet opossum, et que sa vie serait épargnée, combien valez-vous plus qu’un opossum?

138.     Pourquoi êtes-vous venus ici ce soir pour qu’on prie pour vous? Où se tient votre âme vis-à-vis de Dieu, c’est cela ma question? Inclinons la tête juste un instant. J’ai parlé longtemps, je ne sais pourquoi. Vous êtes si aimables. Et je sais qu’un jour, après demain, peut-être que nous serons obligés de nous séparer à des miles.

139.     Pendant que nous sommes assis avec nos têtes inclinées, je me pose la question pendant que je vous demande, si: «Dieu a tant aimé le monde, qu’Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croît en Lui, ne périsse point, mais qu’il ait la Vie Eternelle», je me pose la question. Avez-vous apprécié cela à tel point que vous avez accepté Son don de la Vie Eternelle pour vous?

140.     Maintenant, soyez sincère, que chaque tête soit inclinée, et chaque œil soit fermé. Etiez-vous en train de penser de façon particulière à quelque chose? «Oh! Je ne suis qu’un membre d’église; je n’ai jamais accepté Son amour envers moi, pour rendre ma vie ce qu’elle devrait être. J’aimerais avoir cela. J’aimerais que Dieu vienne à moi ce soir, qu’Il me remplisse de Son Esprit, qu’Il me pardonne mes péchés.» Voudriez-vous lever la main vers Dieu pendant que chaque tête est inclinée? Je le ferai. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse madame. Que Dieu vous bénisse, vous, vous, monsieur et vous, vous. Oh! la la! Que Dieu vous bénisse, vous, madame, vous, vous et vous, frère et vous et vous, frère et vous, sœur, vous, frère, vous.

141.     Oh! Il y en a partout dans le bâtiment. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Que Dieu vous bénisse, ma sœur, là-bas. Là, au-dessus, aux balcons maintenant, combien là-haut peuvent dire: «Frère Branham, je vais être sincère avec Dieu. Quelque Chose a parlé à mon cœur depuis que je suis assis ici. Vraiment, je ne suis pas tout à fait ce que je devais être»?

142.     Que Dieu vous bénisse, frère. «Je lève maintenant ma main…» Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, fiston. Oh! la la! Que Dieu vous bénisse, petite fille. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, vous là au-dessus. Je… Que Dieu vous bénisse, mon frère. Que Dieu vous bénisse, mon frère.

143.     « De toute façon, Frère Branham, là au fond de mon cœur…» Que Dieu vous bénisse, sœur. «Je me sens très étrangement réconforté, mais il y a quelque chose que je manque en moi. Je veux que Dieu remplisse ce vide, maintenant même, de Son amour.» Que Dieu vous bénisse, sœur. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, et vous, et vous, et vous. Oh! la la! juste partout.

144.     J’ai besoin de Dieu maintenant, avec Sa miséricorde, car je suis amoureux de Lui. Je veux qu’Il me donne l’amour divin, la grâce souveraine enverra le baptême du Saint-Esprit sur moi afin de me rendre une personne différente.»

145.     Combien parmi ceux qui sont ici, qui ont accepté Christ et qui n’ont jamais été remplis du Saint-Esprit, voudraient aimer Dieu à tel point qu’Il les remplira du Saint-Esprit? Voudriez-vous lever la main? Oh! partout dans la salle, partout, au moins deux cents ou plus de cent cinquante pécheurs ont levé la main, quelque deux ou trois cents personnes ou plus cherchent le baptême du Saint-Esprit.

146.     Si Dieu s’est tant soucié d’une pauvre vieille mère opossum, combien plus vous aime-Il?» Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique…» Vous direz: «Frère Branham, qu’est-ce que ça change si je levais la main?» Pour vous, c’est une question de vie et de mort. «Oh! Ce n’est qu’une petite chose.» Je sais. Il en est de même de Jean 3.16. Mais c’est une question de vie ou de mort. C’est ce que c’est.

147.     Jésus a dit dans Saint Jean 5.24: «Celui qui entend Mes paroles et croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle, et ne viendra pas en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.»

148.     Y aurait-il quelqu’un d’autre qui est en dehors de Christ, qui n’a pas levé la main et qui aimerait le faire maintenant et dire: «Souviens-Toi de moi. Ô Dieu, me voici. Me voici.» Là, au balcon? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, monsieur, vous. C’est bien. Un…Y aurait-il quelqu’un d’autre, certainement quelque part, qui est en dehors de Christ? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Dieu voit votre main. Que Dieu vous bénisse, la petite dame. 

149.     Oh! c’est vraiment quelque chose que de reconnaître que le Dieu vivant est présent maintenant, pour accomplir pour vous ces choses que vous ne pouviez pas faire par vous-même. Que Dieu vous bénisse monsieur. C’est une question de vie ou de mort pour vous.

150.     Y a-t-il encore quelqu’un au rez-de-chaussée qui aimerait dire: «Souviens-Toi de moi, ô Dieu. Je lève ma main, pas tellement… pas pour que frère Branham la voie, mais j’aimerais que Toi, Tu me voies, ô Dieu» ? Que Dieu vous bénisse, là contre mur là-bas. Que Dieu bénisse la dame de couleur. Je vous vois. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, monsieur.

151.     Là-bas dans les halls, là-dehors et dans les couloirs là au-dessus, ceux qui ne peuvent pas entrer, voudriez-vous lever la main et dire : «Souviens-Toi de moi.»? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Dieu vous voit. Dieu vous voit…?...

152.     En bas, dans cet autre couloir, voudriez-vous dire: «Dieu, souviens-Toi de moi. Je veux que Tu te souviennes de moi, Seigneur. Et ce soir, je lève ma main comme un signe que je crois maintenant et que j’accepte l’amour de Dieu»?

            Si vous êtes membre d’une église, vous êtes un membre d’église; c’est très bien. Mais j’aimerais que vous soyez un chrétien en plus de cela.

153.     Très bien. Y a-t-il quelqu’un d’autre juste avant de prier? Que Dieu bénisse ce petit garçon qui est assis ici. Que Dieu bénisse le petit…?... là au-dessus. Oh! certainement, juste un autre qui veut se repentir. Que Dieu te bénisse, fiston, toi qui te tiens là, ce petit garçon d’environ dix ans. La Bible dit: «Laissez les petits enfants venir à Moi, ne les empêchez pas.» Que Dieu vous bénisse, mon frère qui se tient là. Certainement.

154.     «J’ai été étrangement touché dans mon cœur, Frère Branham. Quelque Chose est venu à moi et a dit: ‘Mets cela en ordre maintenant même. Je suis l’Amour de Dieu qui frappe à ton cœur. J’aimerais entrer ce soir. Je t’ai tant aimé que j’ai donné la meilleure chose que J’ai. Maintenant, veux-tu me donner ta vie?’»

            «Qu’est-ce que…?... En faire, allez-vous la détruire?»

            «Non, je la ressusciterai.»

155.     Quand le froid d’hiver sera terminé, vous viendrez directement à ce…?... Vous reviendrez comme un homme nouveau, un jeune homme, une jeune femme, et vous resterez ainsi éternellement. Il n’y aura plus de vieillesse ni de rides, ni de cheveux gris, ni de corps défigurés ni de maladie qui vous dérangeront à la résurrection. Vous serez immortel, fait à Sa ressemblance. Vous avez le choix ce soir. Très bien, pendant que nous inclinons la tête, et si la sœur qui est au piano…

156.     Ô Dieu, c’est l’heure; c’est le moment où partout beaucoup de mains se sont levées… Ces gens sont sincères, Seigneur. Et moi, comme Ton serviteur, j’intercède pour eux. J’implore la miséricorde. Accorde-le, ô Dieu. Qu’ils soient tous sauvés et remplis du Saint-Esprit. Et puisse l’amour de Dieu qui a été abondamment répandu par le Saint-Esprit remplir chaque cœur. Et puissent-ils sortir de cette salle, libérés de toutes leurs rancunes et leurs différends.

157.     Nous savons que le péché est noir et sombre, mais les plus grands éléments du péché peuvent devenir une simple goutte, comme si cela tombait dans une très grande cuve de décolorant. Essayer de les retrouver. Oh! on ne peut plus retrouver cela. Lorsque l’ancre tombe dans le décolorant, l’ancre va… L’ancre devient le décolorant. Et lorsque l’injustice d’un pécheur repentant tombe dans le sang du juste, elle devient la justice de Dieu. Oh! Jésus, nous croyons Ta Parole à ce sujet. Ta Parole est éternellement vraie.

158.     Quand Tu as dit: «Celui qui écoute Ma Parole, et qui croit à Celui qui m’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie...» Et je prie, comme seulement un serviteur peut le faire, pour chaque main qui s’est levée ; Toi qui connais leurs cœurs, Tu leur accorderas réellement satisfaction à chaque besoin qu’ils ont.

159.     Peut-être que je ne leur serrerai jamais la main, pas même sur cette terre, mais lorsque tout sera fini avec cette vie et qu’un jour, nous nous rassemblerons à la tombée du jour, et que le grand souper de noces sera dressé, et que nous verrons les rachetés de tous les âges autour de la table… Et quand, les uns en face des autres, nous nous regarderons à table, de petites larmes couleront sur nos joues, quand nous verrons nos amis qui auront traversé en toute sécurité. Alors le Roi sortira et essuiera toutes les larmes de nos yeux, et dira: «Ne pleurez pas. C’est fini. Entrez dans les joies du Seigneur, qui ont été préparées pour vous depuis la fondation du monde.»

160.     Ô Dieu, accorde que chaque personne qui est dans la Divine Présence ce soir, soit dans la Divine Présence à ce moment-là. Si nous avons trouvé grâce à Tes yeux, nous T’offrons cette prière en leur faveur, au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus. Amen.

161.     Je ne veux pas dire qu’il faut être comme un bébé pour pleurer. Mais il y a quelque chose en rapport avec le Saint-Esprit qui vous fait non pas pleurer de chagrin, mais de joie. Il y a quelque chose qui jaillit. Pensez combien les anges doivent être en train de se réjouir maintenant.

162.     Combien se sentent vraiment, vraiment bien dans leur âme? Voudriez-vous lever la main vers Dieu? Oh! la la! Pourrions-nous chanter une fois de plus comme nous l’avions fait hier soir, Je Le louerai? Pouvez-vous nous frapper un accord, sœur, s’il vous plait? Tous ensemble maintenant.

163.     Que quelqu’un m’aide ici. Je ne suis pas un chanteur. Et si quelqu’un peut m’aider à conduire le cantique, soit le Dr Vayle, soit… voudriez-vous le faire? Pendant que nous chantons: «Je Le louerai, louerai l’Agneau immolé pour les pécheurs; rendez-Lui gloire, vous tous les peuples, car Son Sang peut ôter chaque tache.» Levons les mains pendant que nous chantons cela. Tout le monde maintenant.

            Je Le louerai, je Le louerai,

            Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs;

            Rendez-Lui gloire, vous tous les peuples,

            Car son Sang a ôté chaque tache.

            Oh! n’est-ce pas beau? Chantons-le encore. Allons-y tout le monde.

            Je Le louerai, je Le louerai,

            Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs

            Rendez-Lui gloire, vous tous les peuples,

            Car Son Sang a ôté chaque tache.

164.     Oh! tendez simplement la main et saluez quelqu’un qui est assis à côté de vous et dites: «Gloire au Seigneur.» Vous tous, méthodistes, baptistes, les gens du Plein Evangile, et tous ensemble, serrez-vous la main. Oh! n’est-ce pas merveilleux? Combien c’est agréable d’être un chrétien! Oh! n’est-Il pas merveilleux?

165.     Maintenant, mes amis, il se fait un peu tard; nous allons demander, peut-être à certains d’entre vous de devoir s’en aller, et nous les laisserons partir pendant que nous appellerons la ligne de prière. Et maintenant, ce soir, nous allons essayer quelque chose de nouveau, que je n’ai pas fait il y a longtemps. Dr Vayle va prendre un micro, il se tiendra là au coin, il recevra les gens et les appellera. Et je vais essayer sans le discernement, si le Saint-Esprit me le permet, de prier pour ceux qui doivent rentrer, et leur imposer les mains.

166.     Bon, demain matin, allez dans votre église. Et si vous êtes ici comme visiteur, allez dans certaines de ces bonnes églises des environs. Le pasteur sera content de vous voir. Allez-y et serrez-lui la main. Dites-lui que vous étiez ici à la réunion, souhaitez-lui une chaleureuse bienvenue à la réunion de demain après-midi.

167.     Si vous êtes à Spencerville, il y a une église méthodiste là-bas; un frère de couleur a une église méthodiste. Et je suis sûr qu’il sera content de vous voir. D’habitude, il s’assoit par ici, c’est un très brave homme. Je ne pense pas qu’il soit ici ce soir, mais il était ici chaque soir.

168.     Et puis, il y a d’autres églises dans le voisinage. Demain matin, si vous voulez venir à la Première Eglise Baptiste [First Baptist Church – N.D.T.], je prêcherai là de 10 heures à 11 heures. Et puis demain après-midi à 14h30, nous reviendrons dans cette salle pour le service, le message; et demain soir, [on tiendra] un service de guérison à l’ordinaire. Et ce soir, nous allons essayer de prendre tous les cas urgents dans la ligne de prière et leur imposer les mains.

169.     Eh bien, où est Billy? Quelle – quelle était la série des cas urgents ? Est-ce la série Y? On a écrit un Y pour les cas urgents. Vous avez une carte qui porte la lettre Y. Combien? De 1 à 50. Eh bien, commençons par le numéro 1. Qui a le numéro 1 de la série Y, pouvez-vous lever la main? La dame là-bas, numéro1. Numéro 2? Numéro 3? 4? 5? 6, 7, 8, 9, 10. C’est la série Y de 1 à 10. Tenez-vous juste ici, s’il vous plaît.

170.     Très bien. Et maintenant, nous allons prier. Je vais vous demander une chose. Vous qui êtes venus à Christ, voudriez-vous faire ceci? Faites ceci. Demain matin si vous êtes ici dans les parages, allez dans une bonne église, et dites: «Pasteur, je vais adhérer à cette église. Je veux être baptisé. Je veux être membre ici.»

171.     Eh bien, il y a une – une église qui collabore ici. Elle est appelée l’Eglise de Foursquare. Il y en a une appelée le Full, l’Eglise de Dieu. Frère Vayle…?... Avez-vous annoncé cela? Très bien. Trouvez vos places et prenez… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]

            Un jour à la réserve indienne en Ari… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]…?... Notre sœur est partie au Nom de Christ.

172.     Maintenant, avec nos têtes inclinées juste un instant… Quelle était votre maladie, sœur? Oh! la gorge…?... Franchement, je… je n’en reviens pas. J’aimerais que vous remarquiez une grosseur, une petite masse qui était juste ici dans cette petite veine, dans sa gorge, juste ici, le Seigneur Jésus vient de l’ôter maintenant même. Une petite masse presque comme ça, qui était attachée ici à sa gorge, a été enlevée par notre Seigneur. Rendons-Lui gloire et disons: «Merci Seigneur.» Gloire à Dieu.

173.     [Frère Vayle dit: «Une attaque d’apoplexie, Frère Branham.» – N.D.E.] Oh! une attaque…?... Eh bien, monsieur, nous savons que seul Dieu peut faire cela. Et je sais qu’Il est mort dans ce but-là. Et maintenant, je… L’Ange du Seigneur m’a envoyé pour prier pour les malades. Ça, je le sais. Maintenant… Et Il m’a dit que si j’amenais les gens à me croire, et que j’étais sincère, Il guérirait les malades. Pas parce que j’ai prié, mais parce que Sa Parole doit s’accomplir.

174.     Maintenant, allez-vous Le louer s’Il vous guérit? Allez-vous Lui rendre gloire pour cela? Je prie qu’Il accorde… Maintenant, est-ce le…?... Etiez-vous ici les soirées précédentes? C’est votre première fois. Vous n’avez jamais vu les visions du Seigneur en action.

175.     Maintenant, je vais vous demander à chacun d’incliner la tête pour cet homme paralysé suite à une attaque d’apoplexie, afin que vous puissiez prier avec moi, de tout votre cœur, et que nos prières ensemble puissent aider ce pauvre cher frère. Vous êtes un chrétien.

176.     Maintenant, Bienveillant Père céleste, nous T’aimons tant, et nous savons que Tu as tout pouvoir au Ciel et sur la terre. Et je pense à ce cher homme, qui se tient ici en train de traîner ce pied, et ce bras qui pend et qui se balance à son côté. Satan est déterminé à l’affliger et à mettre fin à sa vie. Et nous prions de tout notre cœur, demandant que l’amour qui est dans nos cœurs pour lui, soit projeté jusqu’à Ton trône, et que de là, la grâce souveraine de Christ retourne, touche son corps, et ôte cette attaque d’apoplexie. Ô Sauveur béni, puisse notre foi être fortifiée. Et puisse notre frère être guéri, nous le demandons au Nom de Jésus-Christ.

177.     Et maintenant, je vais demander à l’assistance de garder simplement la tête inclinée, juste un moment. Ne regardez pas s’il vous plaît, parce qu’en le faisant, vous interférez un tout petit peu. Pouvez-vous garder vos têtes inclinées? Je ne sais pas si Dieu va toucher cet homme. Je ne sais pas. Je le Lui demande simplement. Et maintenant, s’il vous plaît, si vous entendez ma voix, gardez vos têtes inclinées.

178.     Maintenant je vais vous demander de…?... Je vais demander de lever la…?... levez la main. Auriez-vous pu le faire? Très bien, vous pouvez lever la tête. Il a fait tomber son chapeau; il a levé les mains; ses pieds sont libérés; et Dieu a guéri cet homme. Retournez par ici. Vous pouvez descendre de l’estrade en étant heureux. Marchez comme un jeune homme…?... Disons: «Gloire à Dieu.»

            Voici cette dame; elle avait un appareil orthopédique sur elle, elle l’a simplement enlevé. Grâce soit rendue à Dieu. Amen.

179.     Offrons une prière, offrons une prière de remerciement à Dieu. Père Céleste, au Nom de Jésus-Christ, nous Te louons, nous Te remercions pour tout ce que Tu as fait. Tu es le Christ vivant, et nous réclamons Tes bénédictions éternelles sur ceux qui attendent. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

180.     [Frère Vayle dit: «C’est sœur…?... Elle devient aveugle suite à une infection de reins – N.D.E.]

            Pouvez-vous venir, sœur? Maintenant, priez s’il vous plaît. C’est dur de supporter la vision. Voyez-vous? Mais je… Les visions; sont un don prophétique qui amène la Présence du Saint-Esprit dans l’auditoire, et vous recevez cela. C’est un don de guérison. L’Ange du Seigneur… Avez-vous lu mon livre? Il a dit avec un… Et je n’ai pas exercé ceci depuis quelque temps. Mais Il a dit: «Si tu amènes les gens à croire…»

            J’ai dit: «Ils ne me croiront pas parce que je n’ai pas d’instruction.»

            Il a dit: «Deux signes t’ont été donnés pour que tu les manifestes devant les gens, et avec cela, ils te croiront.»

181.     Et le Dr Lee Vayle, qui est assis ici aujourd’hui, me disait comment il m’observait là à Portland, Ore… ou à Washington, dans la grande arène [Ice Arena] et à Vancouver, comment les gens étaient guéris. Il a dit: «Frère Branham, qu’est-il arrivé?»

            J’ai dit: «Les gens se pressent pour des visions.»

            Il a dit: «Y a-t-il un moyen par lequel vous êtes capable…?... juste un petit peu pour exercer le don que Dieu vous a donné?»

182.     J’ai dit: «Il m’a dit que si j’étais sincère, rien ne résisterait devant la prière.»

            Et je crois que j’ai, peut-être, j’ai sauté beaucoup de choses. Aux Américains, il faut leur imposer les mains. C’est ce qu’ils veulent.

183.     Maintenant, sœur, la cécité est une chose horrible et certainement, je n’aimerais pas vous voir aveugle. Mais Jésus de Nazareth a touché l’aveugle à la porte de Jéricho et celui-ci a recouvré la vue. Croyez-vous que Dieu vous guérira ce soir? Maintenant, inclinons la tête juste une minute.

184.     Ô Miséricordieux Père divin que nous aimons et en qui nous croyons, nous Te louons et Te rendons gloire. En présence de cette assistance, nous Te remercions pour Jésus, Ton Fils, et nous Te louons pour Sa grâce expiatrice pour nous. Et si Ta présence est ici pour guérir les malades et guérir les affligés… Et maintenant, voici notre chère sœur qui se présente, confessant ainsi sa foi, sachant qu’elle va devenir aveugle. Mais elle est venue à Toi et comme Ton serviteur, je la conduis à Christ, et avec mes mains posées sur elle conformément à la commission de Dieu, je demande à la cécité de quitter ses yeux, et à l’infection de quitter son corps et que tout au long de sa vie, qu’elle reste avec une vue parfaite. Au Nom de Jésus, ceci arrivera.

185.     Maintenant, gardez vos têtes inclinées, et vos yeux fermés juste un instant. Eh bien,…?... Maintenant, sœur, ne sachant pas dans quel état étaient vos yeux, j’aimerais que vous regardiez vers moi. Voyez-vous très bien maintenant? Me voyez-vous bien? Pouvez-vous voir mieux que dans l’état où vous étiez quand vous êtes venue à l’estrade? Pouvez-vous me dire maintenant combien de doigts j’ai levés? Vous dites? Pouvez-vous croire que votre cécité est terminée? Pouvez-vous lire cela maintenant?

186.     Très bien, vous pouvez lever la tête. La dame ne pouvait pas lire; elle était aveugle sans ses lunettes. Et voici que maintenant, elle peut lire la Bible. Et elle ne pouvait pas… Pouvez-vous voir parfaitement maintenant? Levez la main si c’est le cas. Maintenant, rendons gloire et grâce à Dieu pour Sa bonté, pour avoir guéri cette dame.

187.     Oh! nos cœurs sont dans la joie Père, pour Ta grâce de guérison…?... Et puisse notre bien-aimée sœur être complètement guérie dès ce soir. Que ceci ne la dérange plus. Que son médecin mette par écrit son témoignage, comme quoi l’infection a quitté son corps. Nous prions au Nom de Christ et nous Te rendons grâce. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur, et je crois que vous serez guérie.

188.     [Frère Vayle dit: «Voici madame Brown d’Adrian, dans le Michigan. Elle a la gastrite.» – N.D.E.] La gastrite, c’est une chose terrible, sœur. Quand on mange, le système nerveux a des répercutions sur l’estomac, et quand l’estomac secrète le suc digestif, la nourriture n’est pas convenablement digérée, et c’est affreux. J’en ai tant souffert lorsque j’étais un jeune homme. Mais, par après, le Seigneur m’a guéri. Et je suis sûr qu’Il vous guérira.

189.     Vous êtes une chrétienne, et vous croyez que le Seigneur vous guérira. Et vous êtes consciente que je ne suis que votre frère, mais Jésus est le Christ; Il est ici pour vous guérir. Maintenant, que l’assistance incline la tête et prie avec moi.

190.     Maintenant, Bienveillant Père céleste, comme cette nerveuse petite dame vient ici avec sa tête inclinée… Et elle sait que Tu es le grand Médecin. Et son amour s’élance…?... il peut. Et c’est pourquoi elle se tient ici. Son amour s’élance... Et Ton amour est descendu. Et quand l’amour s’élance comme ceci, certainement que la grâce souveraine interviendra et guérira. Accorde-le, Seigneur. Je le demande au Nom de Jésus, à cause de Lui et en faveur de cette femme. Amen.

191.     Maintenant, sœur, évidemment, pour le moment, il n’y a rien de visible que nous pouvons vous montrer et que vous pouvez manger pour attester que votre estomac est guéri. Mais croyez-vous qu’il est guéri…?... de tout votre cœur? Très bien. Maintenant, allez simplement de l’avant et mangez, juste comme vous l’avez toujours fait, en rendant gloire à Dieu. Et donnez-nous votre témoignage. Le ferez-vous? Grâces soient rendues à Dieu pour votre guérison. Que Dieu vous bénisse.

192.     [Frère Vayle dit…?... Webster, il est tourmenté par des troubles nerveux – N.D.E.] C’est une chose terrible. C’est une chose sérieuse qui est…?... c’est une chose terrible, c’est comme une ombre d’obscurité, et ça vous rend toujours très nerveux. Mais vous savez, tout le monde ne cesse de dire : « Calmez-vous.» Comment? Comment le pouvez-vous alors que quelque chose est en train de vous hanter? Mais vous dites: «Peut-être que vous ne vous sentez pas lié.» Mais…?... c’est toute la vérité. Mais vous savez que Jésus peut vous guérir. N’est-ce pas, sœur? Oui, Que Dieu vous bénisse. Maintenant inclinons la tête juste un instant pour cette jeune sœur nerveuse.

193.     Et Père, voici un bébé, une chérie d’une maman, peut-être l’épouse d’un certain monsieur, peut-être la mère d’un certain enfant. Et elle se tient ici avec une obscurité. Satan la rend nerveuse. Oh! il voulait l’amener à se suicider. Il voulait l’envoyer dans un asile de fous, et l’amener à rester dans une cellule capitonnée…?... contre un mur. Mais elle s’est avancée pour confesser son amour. Et en étendant maintenant…?... Ô Dieu, fais descendre Ta grâce souveraine. Et puisse le Saint-Esprit chasser cet ennemi loin d’elle. Que cela la quitte à l’instant même et que ça ne revienne plus jamais. Qu’elle soit heureuse tout le reste de sa vie, libérée de cette maladie et de cette affliction. Au Nom de Jésus.

194.     Maintenant, gardons la tête inclinée juste un moment. Maintenant, sœur, n’allez-vous pas tourner le regard de ce côté-ci? Cela vous a quittée? Vous sentez-vous très bien maintenant? Tout est parti? Amen. Maintenant vous pouvez relever la tête. Maintenant, vous pouvez quitter l’estrade heureuse, vous réjouissant, louant Dieu…?... Nous attendons de vos nouvelles. Que Dieu vous bénisse.

195.     [Frère Vayle dit: «Le petit David…?... Une excroissance sur son poignet.» – N.D.E.] Le petit garçon est venu pour qu’on prie pour lui. Très bien…?... Une excroissance sur le poignet du petit garçon. Pouvons-nous incliner la tête?

196.     Etes-vous son père? Etes-vous chrétien? Croyez-vous que Dieu ôtera cette excroissance? Allez-vous L’aimer, Le louer et élever le garçon pour qu’il Le serve, s’Il permet que cette excroissance soit ôtée de son corps?

197.     Bien-aimé Père céleste, comme ce petit enfant blond aux yeux bleus se tient ici, je pense à mon propre petit Joseph qui est chez moi, qui, peut-être ce soir, est en train de pleurer, disant: «Où est papa?» Mais je suis ici comme serviteur de Mon Seigneur, priant pour le chéri de cet Homme, qui vaut autant pour lui que mon fils pour moi. Et, ô Dieu, Tu nous as tellement aimés, nous et nos enfants, que Tu as donné Ton Fils unique, afin qu’au travers de Son sacrifice…?... qu’Il nous sauve et guérisse nos corps.

198.     Et cette excroissance qui est sur le poignet de cet enfant, moi maintenant, comme serviteur de Christ, je condamne cela sur base de la confession de cet homme qui vient, qui m’a offert cet enfant pour que je prie pour lui, et je demande cela au Nom de Jésus, le bien-aimé Fils de Dieu, afin qu’Il ôte l’excroissance du poignet de l’enfant, pour la gloire de Dieu et le témoignage de Christ. Car c’est au Nom de Jésus que nous le demandons, en guise de notre amour ; le petit enfant ne comprend pas, nous…?... au bout de ses forces. Et maintenant, puisse la grâce souveraine vous accorder ce que vous avez demandé.

            Pendant que chaque tête est inclinée, et que chaque œil est fermé dans la prière… l’excroissance a quitté le poignet du petit enfant…? ...

199.     Nous rendons gloire et grâce à Dieu pour Sa guérison…?... Gentil monsieur. Et oui, tout marchera maintenant. Que vous êtes gentil. Que Dieu vous bénisse, monsieur.

200.     Voyez combien notre Seigneur est grand? Que Tu es grand. Que Tu es grand. Maintenant, nous remercions Dieu pour Sa bonté. Très bien, Frère Vayle…

201.     [Frère Vayle dit: «Madame Holstrom de Colombus. Elle a les jambes gonflées – N.D.E.] Madame Holstrom, je…êtes…Vous êtes une chrétienne…?... Votre expression dans cette réunion nous fera savoir que vous êtes une croyante. Et maintenant, vous êtes venue, comme vous aimez Christ, sachant que ce gonflement est néfaste. Vous aimez le Seigneur. Et vous êtes venu pour projeter votre amour vers Lui. Et je viens aussi offrir le mien avec vous. Et puisse la grâce souveraine descendre, vous guérir et que vous n’ayez plus jamais ce gonflement. Vous allez croire, n’est-ce pas? Puis-je prendre votre main comme point de contact?

202.     Bien-aimé Père céleste, comme des centaines de gens dans ce bâtiment, des chrétiens qui croient, des hommes et des femmes nés de nouveau, des garçons et des filles, qui maintenant projettent leur amour vers Toi, en compagnie de cette sœur qui a un gonflement sur son corps… Et elle est ici pour croire, accepter, et projeter son amour vers Toi, pour se présenter devant ces gens ce soir, devant les hommes qui peuvent prier pour elle, croyant que Tu condamneras la maladie de son corps et que Tu lui rendras la bonne santé. Ô Dieu, de tout mon cœur, je prie que Tu lui accordes cette bénédiction. Je le demande dans le précieux Nom de Jésus.

Up