Le Dieu Qui Est Riche En Miséricorde

Date: 65-0119 | La durée est de: 1 heure et 29 minutes | La traduction: VGR
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1 Vous pouvez vous asseoir. Ça m’a emballé, quand je suis arrivé et que j’ai vu Frère Moore et tous les autres ici sur l’estrade, les amis que je connais depuis tant d’années. C’est vraiment un privilège de les voir ici ce soir. Je ne me sens pas à la hauteur, de me tenir ici et de prêcher avec des théologiens comme ceux-là derrière moi, et, peut-être qu’ils me corrigeront quand je ferai une erreur. Je l’espère.

2 Nous sommes très heureux ce soir d’avoir une certaine personne avec nous : Soeur Rose. Nous étions en route... J’étais avec Frère Shores et son assistant aujourd’hui, pour un petit dîner. Et, en route, Frère Williams disait que Soeur Rose était très malade. Alors nous sommes passés la voir un petit instant, nous nous sommes agenouillés. Elle avait une forte fièvre, elle était vraiment malade. Juste quelques mots de prière, et le Seigneur nous a parlé, Il a dit : “Elle sera guérie, elle sera là demain soir.” Et la voici ce soir, assise juste ici. C’est exact.

3 Soeur Rose, levez-vous donc un petit instant, pour qu’on... Nous sommes reconnaissants au Seigneur. Elle était alitée. Elle disait : “Le–le diable m’a vraiment mis des bâtons dans les roues. Je suis venue jusqu’ici, et je me retrouve à plat avec ça”, un genre de maladie de la gorge, et tout. Mais le Seigneur l’a fait passer au travers, alors nous sommes contents de ça. Nous remercions notre cher Seigneur!

4 Donc, nous avons passé des moments bénis. Et demain soir, là, nous irons au–au Ramada. Et n’oubliez pas, maintenant, demain soir ce ne sera pas ici, ce sera au Ramada. Et la convention commence le soir d’après. Il faudra vous résigner à ma présence un soir de plus, vous savez.

5 Alors, hier soir, je–j’ai tellement dépassé le temps prévu; je m’étais fait une petite promesse à moi-même, qu’à partir du premier de l’an, j’allais vraiment écourter mes Messages, de trois, quatre ou cinq heures à peut-être une trentaine ou une quarantaine de minutes. Et, comme je vous le disais hier soir, ma femme m’a fait remarquer dimanche, elle a dit : “Tu t’en es très bien tiré.” Alors–alors, ensuite, bien sûr, il a fallu que je vienne gâcher tout ça hier soir, voyez-vous. Mais, j’ai prêché cinquante-cinq minutes hier soir, au lieu de trente.

6 Ce soir, en venant ici, Billy a dit : “Sur quoi vas-tu prêcher?”

7 J’ai dit : “Eh bien, j’ai quelques petites notes ici, et des passages de l’Écriture. Je ne sais pas, j’en ai pour quatre ou cinq Messages différents.” J’ai dit : “Je pense que je vais voir quand j’arriverai là-bas, je verrai ce qui se passe.”

8 Il a dit : “Tu as promis de prier pour tous les malades.”
J’ai dit : “Oui, monsieur. Tu as combien de cartes?”
Il a dit : “Deux cents.”
J’ai dit : “Je fais mieux de commencer ce soir.”

9 Et il a dit : “N’oublie pas, là, tu ne pourras prêcher que quinze minutes.” Il a dit : “Tu as pris le reste hier soir.” [Frère Branham et l’assemblée rient.–N.D.É.] Il va falloir que je me dépêche, n’est-ce pas?

10 Eh bien, nous vous avons fait une promesse : que nous allions prier pour les gens qui avaient une carte de prière, et quand on–quand on fait une promesse, il faut la tenir, bien sûr. Nous ne pouvons pas tous les faire passer dans les lignes, et je ne serais pas capable de les appeler un par un dans l’auditoire non plus. Même si le Saint-Esprit me donnait de le faire, je–je ne pourrais tout simplement pas tenir le coup. Ça m’épuise vraiment trop. Et, mais nous sommes tous au courant de ces choses. Nous savons que Dieu est toujours Dieu. Ce n’est pas ça qui guérit. Ça, c’est seulement pour faire grandir notre foi, nous faire savoir que nous sommes dans Sa Présence.

11 Et, ce soir, nous allons prier pour tous les malades, tous ceux qui ont une carte de prière pour qu’on prie pour eux. Ensuite, demain soir, là-bas au Ramada, nous essaierons d’en distribuer d’autres, et nous commencerons à prier pour les malades là-bas, étant donné que je serai encore là demain soir. Et je pense que j’aurai un soir de la convention, et peut-être un petit-déjeuner aussi. Tout dépendra de la façon dont les choses se passeront.

12 Il y a quelqu’un, un des prédicateurs qui n’a pas fait acte de présence; il n’a pas encore fait acte de présence, je ne pense pas. Frère Humburg, ou, est-ce que... [Un frère dit : “Amburgy.”–N.D.É.] Amburgy, Amburgy, Kash Amburgy. Alors, je–je prononce ça tout de travers, c’est à cause de ce nom allemand. Je–je suppose que c’est allemand. Alors, il va peut-être falloir que je le remplace au pied levé, comme on dit, pardonnez-moi l’expression.

13 Donc, mais nous avons passé des moments bénis dans le Seigneur. Vous tous, s’il y a des nouveaux venus ici ce soir, nous sommes vraiment contents de vous avoir avec nous, et nous mettons notre confiance dans le Seigneur qu’Il vous bénira. Ma prière, c’est qu’il n’y ait pas une seule personne de malade dans cette salle quand nous repartirons ce soir, que notre Seigneur descendra dans Sa grande puissance et qu’Il guérira tous les malades et les affligés.

14 Dans le temps, je recevais les gens en entretiens spéciaux, pour certains cas difficiles que nous n’arrivions pas à résoudre. Et le nombre a augmenté tellement vite que c’en est venu, avec le Seigneur qui bénissait constamment, nous en avions trois ou quatre cents qui attendaient, et alors les gens étaient froissés parce qu’ils devaient attendre. Peut-être, avec le temps dont on disposait, il leur fallait attendre peut-être un an ou deux, pour qu’on arrive à les voir, vous voyez, seulement entre les réunions, les voir en entretien. Et nous restions simplement assis à attendre devant le Seigneur, jusqu’à ce qu’Il nous expose avec précision ce qu’il en était.

15 Sans doute qu’il y a des gens assis ici ce soir, qui ont été vus dans ce genre d’entretien spécial. Est-ce qu’il y en a? Levez donc la main. En entretiens spéciaux. Oui, assis là, donc, et qui savent que c’est exact. Nous attendions simplement de voir ce que le Seigneur allait dire, ce qu’il en était du cas... Et puis, j’ai été obligé d’arrêter ça il y a quelque temps. J’ai dit à Billy que nous ne pourrions plus faire d’entretiens privés.

16 Voyez-vous, je–je–j’ai eu vingt-cinq ans dernièrement, pour la deuxième fois, et j’avance au grand galop vers la troisième. Et alors, quand on prend de l’âge un peu, eh bien, on ne, on... pour une raison ou pour une autre, on n’arrive plus à suivre comme avant. On fait des plus petits pas. Et–et, bien sûr, Frère Moore, lui, il n’est pas encore au courant de tout ça. Il... Je pense que nous avons à peu près le même âge.

17 Il en a coulé de l’eau sous les ponts depuis la première fois que vous et moi et Frère Brown, nous sommes venus ici, avec Frère Outlaw, et Frère Garcia, et Frère Fuller. Je me demande si ces hommes-là sont ici ce soir? Frère Garcia, Frère Fuller, Frère Outlaw, est-ce qu’ils sont là? Levez la main si vous êtes là. Oui, voilà Frère Fuller, je crois, si je ne me trompe pas. Frère Outlaw, juste ici. Frère Garcia, toutefois je–je crois que lui, il n’est plus à Phoenix. Je pense que c’est exact. Il–il n’est plus à Phoenix, il est en Californie. Eh bien, c’était certainement une époque glorieuse, et je crois toujours le même Message que celui que j’avais à cette époque-là : “Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et pour toujours.” Ça doit faire à peu près... Eh bien, Becky était bébé. Ça fait à peu près dix-neuf ans.

18 Et maintenant, elle est une grande fille, grasse et laide, assise quelque part dans l’auditoire, elle a dix-neuf ans. Où es-tu, Becky? Oh! qu’est-ce que je vais prendre! Je me souviens d’être arrivé en la portant dans mes bras. Franchement, j’aurais beaucoup de mal à faire ça ce soir.

19 Je me souviens, un soir, à l’église de Frère Garcia, elle était toute petite. Et j’ai dit : “Nous avons une réunion internationale ce soir.” J’ai dit : “Je m’adresse à des gens de langue espagnole.” Et j’ai dit : “Mon épouse, ici, est d’origine allemande.” J’ai dit : “Moi, je suis d’origine irlandaise.” Et j’ai dit : “Et ma petite fille, c’est une Indienne”, c’était Becky.

20 Alors, quand je suis sorti par la porte de derrière, il y avait une petite Mexicaine là, elle a dit : “Frère Branham!”
J’ai dit : “Oui, ma chérie, qu’est-ce que tu veux?”
Elle a dit : “Vous ne trouvez pas que votre petite est un peu trop pâle pour être une Indienne?” Elle est blonde, vous savez.
Et j’ai dit : “Elle est seulement Indienne dans ses actions.”

21 Eh bien, nous sommes reconnaissants de ce que, d’être de nouveau ici ce soir. Maintenant, avant de nous approcher de la Parole, approchons-nous de Lui, car Il est la Parole. Quand la Parole est manifestée, c’est Lui en vous.

22 C’est ce que nous disions hier soir, dans La semence de discorde, est-ce que ça vous a plu, la bénédiction du Seigneur? [“Amen.”] Moi, je–je me suis vraiment plu à vous apporter le Message. Et nous voyons ce que sont les semences.

23 Maintenant y aurait-il une requête spéciale ce soir, quelque chose de spécial? Peut-être que certains d’entre vous, qui vont venir dans la ligne de prière, diraient : “Ô Dieu, sois miséricordieux. Quand je m’avancerai pour qu’on prie pour moi, que ma foi s’élève pour remplir les conditions.” Et–et peut-être que quelqu’un a un être cher qui est malade, quelque chose. Voulez-vous simplement lever la main, pour que Dieu abaisse le regard, pour dire... Maintenant, si ce... Vous ne pouvez pas savoir ce que ça me fait de regarder ça. Regardez-moi donc ce qu’il y a comme besoins ici! Les frères dans le ministère, regardez-moi ça. Voyez? Maintenant, si ça me fait cet effet-là à moi, qu’est-ce que ça fait à notre Père? Certainement.
Maintenant prions.

24 Cher Jésus, nous nous approchons maintenant du grand Trône de la miséricorde, par ce Nom entièrement suffisant. “Car il n’y a aucun autre Nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés, que ce Nom du Seigneur Jésus.” Et nous venons en Son Nom. Aussi nous Te prions, Père Céleste, de nous recevoir ce soir, comme Tes enfants qui croient. Pardonne notre incrédulité, Seigneur. Viens au secours de celle-ci ce soir, pour que nous puissions croire entièrement chaque Parole de Dieu ce soir, pour toutes les choses dont nous avons besoin.

25 Tu sais ce que cachent ces mains qui se sont levées; il y a de la maladie, il se peut que certains aient des problèmes familiaux, que certains aient des problèmes financiers, que certains soient abattus, il se peut que certains soient rétrogrades, que certains soient pécheurs. Quel que soit le besoin, Tu es largement de taille à faire face à n’importe quel ennemi. Alors, nous prions, Seigneur, que–que ce soir, nous reconnaissions que nos ennemis, tous nos ennemis, ont été vaincus, jusqu’à la mort même. Et que nous sommes plus que vainqueurs en Celui qui–qui nous a aimés, et qui S’est donné Lui-même pour nous, qui nous a lavés dans Son Sang.

26 Nous prions, Seigneur, que toute incrédulité, tout doute, toute frustration, tout ce qui n’est pas comme Dieu, disparaisse rapidement de nous ce soir, pour que le Saint-Esprit puisse accomplir Sa volonté dans nos coeurs. Puisse-t-Il nous parler d’une manière mystérieuse. Puisse-t-Il nous parler avec Puissance. Puisse-t-Il ressusciter ceux qui sont–sont morts spirituellement, redonner la santé à ceux qui sont malades et affligés, fortifier les genoux affaiblis, les mains lassées, languissantes. Qu’il y ait un temps d’allégresse.

27 Que ce soit un début ce soir, Seigneur, que nous partions d’ici pour nous rendre à l’Auberge Ramada, et entreprendre une des plus grandes conventions qu’il y ait jamais eues dans cette ville. Seigneur, pendant que nous sommes rassemblés et que nous prions! Tu as dit : “Si le peuple qui est appelé de Mon Nom se rassemble et qu’il prie, alors Je l’exaucerai des Cieux.” Ô Dieu, nous prions qu’il en soit ainsi ce soir.

28 Maintenant, Père, alors que nous lirons la Parole, il n’y a que Toi qui puisses L’interpréter, Tu es Ton propre interprète, aussi nous Te prions d’interpréter pour nous les choses que nous lirons ce soir. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

29 Maintenant, beaucoup d’entre vous, si vous aimez noter les versets de l’Écriture que lit le prédicateur. Et j’aimerais vous, ce soir, si vous le voulez bien, vous faire prendre dans Éphésiens.

30 Dimanche passé, je parlais des Éphésiens, je disais que le Livre de Josué, c’était l’Éphésiens de l’Ancien Testament, et que c’était un Livre de rédemption.

31 Et la rédemption comprend deux parties distinctes : “sortir de” et “entrer dans”. D’abord, vous devez sortir. Certaines personnes veulent faire entrer le monde avec eux; mais vous devez sortir du monde, pour entrer en Christ. Vous devez sortir de l’incrédulité, pour entrer dans la foi. Il ne doit rien y avoir qui vous bloque le passage. Pour vraiment avoir une foi authentique, vous devez absolument abandonner tout ce qui est contraire à la Parole de Dieu, pour entrer dans la foi.

32 C’était le Livre des Éphésiens de l’Ancien Testament : Josué. Alors que Moïse représentait la loi, qui ne pouvait sauver personne; mais la grâce le pouvait, et Josué, là, c’est le même mot que pour Jésus : “Jéhovah-sauveur”.

33 Et donc, nous voyons que nous en sommes arrivés à un autre Éphésiens, un autre Éphèse maintenant. Alors que nos dénominations intellectuelles et tout, et nos programmes pédagogiques, que toutes ces choses sont arrivées à leur–leur Jourdain, alors nous devons avoir de nouveau un–un Éphésiens. Nous devons avoir un exode, pour “sortir” et “entrer dans”, pour l’Enlèvement.

34 Maintenant, ce soir, nous allons lire dans le chapitre 2 d’Éphésiens. Je disais seulement ça pour vous permettre de trouver le–le passage, ou de prendre le chapitre.
Vous–vous étiez morts par vos offenses et par votre péché, Dans lesquels vous marchiez autrefois, selon le train de ce monde, selon le prince de la puissance de l’air, de l’esprit qui agit maintenant dans les fils de la désobéissance. Nous tous aussi, nous étions de leur nombre, et nous vivions autrefois selon les convoitises de la chair, accomplissant la volonté de la chair et de nos pensées, et nous étions par nature des enfants de colère, comme les autres... Mais Dieu, qui est riche en miséricorde, à cause du grand amour dont il nous a aimés, Nous qui étions morts par notre péché, Il nous a rendus à la vie avec Lui, ou, nous a rendus à la vie avec Christ (c’est par grâce que vous êtes sauvés);

35 Je voudrais tirer de là quelques, ou, une partie du verset “mais Dieu” : Le Dieu qui est riche en miséricorde.

36 Je voudrais vous faire remarquer ici, le prophète, ou plutôt l’apôtre Paul, qui–qui, ce qu’il dit, là : “Il vous a rendus à la Vie, vous qui étiez autrefois morts. Il vous a rendus à la Vie, vous qui étiez autrefois morts, morts par votre péché et par vos offenses, marchant selon le train de ce monde, le désir de la chair, et accomplissant le désir de nos pensées. Il a...”

37 Qu’est-ce qui a causé ce changement, voyez? Qu’est-ce qui a causé cela, “qu’à un moment donné nous étions morts”, pour être ensuite vivifiés? Vivifiés, ça veut dire “rendus à la Vie”. Il y a eu un changement, de la mort à la Vie. Il n’y a rien, il n’y a rien qui puisse arriver à une personne qui soit plus glorieux que de passer de la mort à la Vie. Un homme, s’il était mourant physiquement et qu’il soit guéri physiquement, ce serait quelque chose de glorieux, mais il ne peut rien lui arriver de plus glorieux que d’avoir été mort spirituellement et que Dieu l’ait rendu à la Vie.

38 “Vous étiez à un moment donné, autrefois, morts.” Vous étiez morts. Et même, bien des gens ici ce soir, à un moment donné, vous pouvez regardez en arrière et reconnaître que vous étiez morts. Mais maintenant, comment se fait-il que vous ne soyez pas morts ce soir, comme vous l’étiez à ce moment-là? C’est dans cet état-là que vous méritez d’être, parce que vous étiez un pécheur, “mais Dieu, qui est riche en miséricorde”. C’est là le–c’est là le point, “Dieu, qui était riche”. Tout ce que nous étions, là, “mais Dieu”! Voilà précisément ce qui a opéré le changement : “Dieu, qui est riche en miséricorde”!

39 Oh, je suis si content de ça, qu’Il soit riche en miséricorde. S’Il était seulement riche en argent, s’Il était seulement riche en biens matériels, et Il l’est effectivement, mais malgré tout, ce qu’il y a de plus glorieux, c’est qu’Il soit riche en miséricorde. Oh, quelle parole remarquable que celle-là. Nous étions autrefois morts.

40 L’autre soir, nous parlions de ce que la semence doit mourir. Et tout ce qui entoure ce germe de vie doit non seulement mourir, mais pourrir. Si ça ne pourrit pas, il ne pourra pas y avoir de vie. Et pourri, c’est “complètement disparu; c’est terminé”. Et c’est seulement quand nous en serons arrivés au point où nos propres idées et nos propres pensées ne seront plus là du tout, qu’elles seront tombées en pourriture, que le germe de vie pourra commencer à vivre.

41 Maintenant–maintenant nous allons peut-être, je vais peut-être introduire juste un peu de doctrine ici, que je ne... Si vous n’y croyez pas, d’accord. Ça ne fait rien. Moi, j’y crois. Je crois que–que l’homme, quand il naît dans ce monde, quand vous êtes un petit bébé, né dans ce monde, que vous n’auriez pas pu être ici sans la prescience de Dieu, parce qu’Il est infini et qu’Il sait toutes choses. Et quand ce petit bébé naît dans ce monde, il y a quelque chose dans ce bébé-là. Si, un jour, il doit avoir la Vie, il y a un petit quelque chose à l’intérieur de lui, de cet enfant à ce moment-là, et dont il finit par prendre conscience, tôt ou tard. Cette petite semence est à l’intérieur de lui. Maintenant, si vous prenez... Les Écritures le déclarent en termes clairs.

42 Or, si vous avez la Vie Éternelle ce soir, si nous avons la Vie Éternelle, alors nous avons toujours existé, parce qu’il n’y a qu’une forme de Vie Éternelle. Nous avons toujours existé. Et ce qui fait que nous existions, c’est parce que nous sommes une partie de Dieu. Et il n’y a que Dieu qui soit Éternel.

43 C’est comme Melchisédek, qui a reçu la dîme de la main d’Abraham, et cela a été compté à son arrière-petit-fils, Lévi, qui était encore dans les reins d’Abraham; il a payé la dîme, car il était encore dans les reins d’Abraham quand celui-ci a rencontré Melchisédek. J’ai l’intention de parler de ça, là-bas dans l’autre salle, un matin. Qui est ce Melchisédek? Maintenant remarquez ça. Bien longtemps avant, Dieu savait que ce garçon allait venir. Il savait toutes choses.

44 Or, nous sommes une partie de Dieu. Vous avez toujours existé. Vous ne vous en souvenez pas, parce que vous étiez seulement un attribut en Dieu. Vous étiez seulement dans Ses pensées. Votre nom même, s’il a jamais été dans le Livre de Vie, il y a été mis avant la fondation du monde. Il savait ce que vous étiez.

45 Je dis ceci dans le seul but, non pas de vous embrouiller dans votre doctrine, mais de redresser la chose, pour que nous puissions nous débarrasser de cette crainte et de cette peur. Vous ne savez pas qui vous êtes. Vous n’allez pas devenir, mais vous êtes maintenant les fils de Dieu. Voyez-vous, vous avez toujours été les fils de Dieu. Voyez?

46 En effet, quand Dieu vous avait dans Ses pensées au commencement, forcément que vous, qu’une partie de vous, votre Vie qui est en vous maintenant, qu’elle devait être avec Dieu avant que... Eh bien, quand Il, avant même qu’Il prenne une forme physique ici sur terre, avant qu’il y ait quoi que ce soit sauf Dieu, vous étiez un de Ses attributs. Il savait quel serait votre nom. Il savait de quelle couleur seraient vos cheveux. Il savait tout à votre sujet. La seule chose qui s’est passée, c’est que vous, quand vous étiez pécheur...

47 Beaucoup d’entre vous pourront–pourront être en communion avec moi sur cette pensée. Quand vous étiez un petit garçon, ou une petite fille, vous vous promeniez, et il y avait certaines choses qui, ça ne troublait pas les autres enfants, mais c’est comme s’il y avait quelque chose en vous qui s’écriait. Il y avait Dieu quelque part, et pourtant vous étiez un pécheur. Vous vous en souvenez? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Certainement. Or, qu’est-ce que c’était, ça? C’était cette petite forme de Vie qui était à l’intérieur de vous à l’époque.

48 Ensuite, au bout d’un certain temps, vous avez entendu l’Évangile. Peut-être que vous alliez à l’église, vous broutiez ici et là, et vous passiez d’une dénomination à l’autre. Mais un jour, puisque vous étiez une partie de Dieu, vous deviez être une partie de la Parole. Et, quand vous avez entendu la Parole, vous avez su d’où vous veniez, vous avez reconnu la Vérité. Vous avez toujours été, la semence avait toujours été en vous. La Parole a vu, la Parole qui était en vous, qui existait avant la fondation du monde, a vu la Parole, et vous êtes venu à Elle.

49 C’est comme mon histoire du petit aiglon, de ce petit aiglon qui était éclos sous une poule. Et le petit marchait avec les poulets, il, la poule gloussait, et lui, il ne comprenait pas son gloussement. Et–et les petits poulets, les aliments dont ils se nourrissaient dans la basse-cour, il–il ne comprenait pas ça, comment ils arrivaient à faire ça. Mais il y avait quelque chose en lui, qui était différent, semble-t-il, de ce poulet, c’est parce que, dès le départ, il était un aigle. C’est exact. Un jour, sa maman est allée à sa recherche, et quand il a entendu ce cri de l’aigle, c’était différent du gloussement de la poule.

50 C'est la même chose pour chaque croyant né de nouveau. Vous aurez beau entendre toute la théologie que vous voudrez, toute la discorde faite de main d'homme, mais quand la Parole émet sa lumière là-bas, alors il y a quelque chose qui s’empare de vous, vous venez à Elle. “Vous qui étiez autrefois morts par votre péché (cette vie-là), Il vous a rendus à la Vie.” Il faut d’abord qu’il y ait une Vie à ranimer. Dieu, par Sa prescience, Il savait toutes choses. Et nous étions prédestinés à être des fils et des filles de Dieu. “Vous qui étiez autrefois morts par votre péché et par vos offenses, dans lesquels nous nous trouvions tous autrefois, mais Il nous a rendus à la Vie.”

51 Regardez Paul, alors que Paul était un grand théologien. Mais, quand il s’est retrouvé face à face avec la Parole, Jésus, cela l’a rendu à la Vie. Il a pris Vie, très vite, parce qu’il était destiné à être cela. La... Il était une partie de la Parole; et quand la Parole a vu la Parole, c’était sa nature. Tout ce gloussement des poules, dans les églises orthodoxes, n’a eu aucun effet sur lui; il avait vu la Parole. C’était une partie de lui. Il était un aigle. Il n’était pas un poulet. Il était seulement dans la basse-cour avec eux. Mais il était un aigle, dès le départ.

52 J’ai entendu une autre petite histoire semblable à celle-là, – j’espère que ça n’a pas l’air sacrilège, – au sujet d’un petit canard qui était né sous une poule, une fois. Il ne comprenait pas. Il avait l’air bizarre, le petit, un drôle d’oiseau, il ne comprenait pas la poussière et tout. Ils jouaient dans la basse-cour. Mais un jour, la vieille poule a laissé sortir sa couvée derrière la grange, et il a flairé l’eau. Eh bien, il a foncé vers l’eau à toute vitesse. Pourquoi? Il n’avait encore jamais été sur un étang. Il n’avait jamais été dans l’eau. Mais il était un canard, dès le départ. Tout ce qu’il lui fallait faire, c’est d’en prendre conscience.

53 C’est la même chose pour le croyant. Il y a quelque chose en lui : quand Il se retrouve face à face avec Dieu, il prend conscience de ce qu’il est. Cette semence est en lui, et elle reprend Vie. Oh, c’est vrai, alors il s’envole, loin des choses du monde, elles sont mortes pour lui. Oh, je me rappelle, nous avons tous eu une vie, autrefois, dans ces choses du monde. Mais dès que nous nous sommes emparés de la vraie Chose, quelque chose qui nous a rendus à la Vie, il y a une petite semence qui a pris Vie, et alors toutes les choses du monde ont pourri à l’instant même. Nous n’en avions plus aucun désir.

54 “Celui qui est né de Dieu ne pratique pas le péché. L’adorateur, étant une fois purifié, n’a plus aucune conscience de son péché, plus aucun désir de pécher.” La question du péché, c’est réglé. Vous devenez une partie de Dieu, en Christ. Christ est mort pour vous racheter.

55 Or, pensez donc à tout ce que nous aurions été, sans Dieu. Mais Dieu, par Sa riche miséricorde, Il nous a rachetés ce soir! Où aurions-nous été ce soir, sans la riche miséricorde de Dieu sur nous?

56 À un moment donné, le monde était tellement rempli de péché, l’homme avait étendu la corruption sur la terre, au point que Dieu s’affligeait même d’avoir créé l’homme. La tête entière n’était qu’une plaie vive, le corps entier, et Dieu s’affligeait même d’avoir créé l’homme. Alors, Il a dit : “Je ferai périr l’homme, que J’ai créé.” Il les fera périr, parce qu’il n’y a rien que de la corruption en lui.

57 Et la race humaine tout entière aurait été anéantie à ce moment-là, mais Dieu, riche en miséricorde, n’a pas permis que l’innocent périsse avec le coupable. Alors Il s’est retiré et Il a pourvu d’un moyen pour ceux qui voulaient entrer, qui voulaient faire ce qui est bien. Il a pourvu d’un moyen de miséricorde, pour ceux qui désiraient la miséricorde, Il a préparé une arche. Autrement dit, Il a mis des ailes à Ses aigles, pour qu’ils puissent s’envoler au-dessus du jugement et ne pas se noyer avec les poulets. Mais donc Il–Il a pourvu d’un moyen d’échapper, aux jours de Noé. C’est ce qui L’a amené à faire cela, à pourvoir, c’est parce qu’Il était riche en miséricorde.

58 Mais, une fois qu’Il a pourvu d’un moyen pour les gens, et que ceux-ci le refusent; or, la raison pour laquelle ils le refusent, c’est qu’il n’y a rien en eux pour le recevoir. Il n’y a rien pour le recevoir. Ma mère disait : “On ne peut pas faire sortir du sang d’un navet, parce qu’il n’y a pas de sang dans un navet.” Donc, s’il n’y a aucune forme de Vie à l’intérieur, pour recevoir Cela, alors on ne peut pas Le recevoir.

59 C’est pour ça que les pharisiens pouvaient regarder Jésus bien en face et L’appeler “Béelzébul”, c’est parce qu’il n’y avait rien en eux qui puisse Le recevoir. “Mais tous ceux que le Père M’a donnés”, Il a dit, “viendront à Moi.” Ce–Ce leur sera présenté d’une manière ou d’une autre.

60 Parfois, on peut parler aux gens dans la rue, leur parler du Seigneur, et ils vous riront au nez. Eh bien, nous devons le faire de toute façon. Mais écoutez : “Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire premièrement.” C’est Dieu qui doit attirer. Il faut qu’il y ait une Vie. “Et tous ceux qu’Il M’a donnés viendront à Moi.”

61 Il a pourvu d’un moyen pour ceux qui veulent être rachetés. Il a pourvu d’un moyen pour ceux qui veulent être guéris. Et, donc, d’avoir fait cela, c’est ce qui Le rend riche en miséricorde, et Il l’a toujours été, riche en miséricorde. Forcément que, si vous refusez Ceci, il ne reste plus que le Jugement, parce que le péché doit être jugé.

62 Pharaon, quand il est allé dans la–la mer, comme imitateur, en voyant qu’il pouvait s’y avancer comme Moïse. Moïse avec son armée, et Pharaon avec son armée, semble-t-il que tous les deux auraient dû périr dans la mer. Mais Dieu, riche en miséricorde, a pourvu d’un moyen pour que les enfants hébreux puissent s’échapper. Pourquoi? Parce qu’ils suivaient le sentier du devoir, ils suivaient la Parole.

63 Or, le seul moyen d’obtenir miséricorde, c’est ça, c’est de suivre les directives que Dieu nous a données pour que nous les suivions. C’est seulement là qu’Il peut exercer Sa miséricorde, c’est quand nous suivons ce qu’Il a dicté.

64 Comme ce petit débat que j’ai eu il n’y a pas longtemps, avec un ministre qui disait que j’enseignais une Doctrine apostolique pour ce jour-ci. Je crois que j’en ai parlé il y a un soir ou deux, ou à un moment donné, de ce qu’il m’avait dit : “Vous essayez d’introduire dans cet âge-ci une Doctrine apostolique.” Il a dit : “L’âge apostolique a pris fin avec les apôtres.”
Je lui ai demandé : “Eh bien, croyez-vous la Parole?”
Il a dit : “Oui.”

65 J’ai dit : “Dans Apocalypse 22.18, il est dit que ‘quiconque retranchera un seul Mot de Ceci, ou Y ajoutera un seul mot’, pas deux mots, là; un seul Mot, En retrancher un seul Mot.”
Il a dit : “Je crois ça.”

66 J’ai dit : “Dans ce cas, moi, je peux vous dire quand l’âge apostolique a été donné, quand les Bénédictions apostoliques ont été données à l’Église. Maintenant, vous, dites-moi où Dieu les a retirées de l’Église, par la Parole. Vous ne pouvez pas le faire; ça n’y est pas.” J’ai dit : “Maintenant, souvenez-vous, Pierre, le Jour de la Pentecôte, c’est lui qui–qui a inauguré l’âge apostolique. Il leur a dit à tous : ‘Repentez-vous, et soyez baptisés au Nom de Jésus-Christ pour la rémission de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.’”

67 Maintenant, si vous voulez écouter le gloussement d’une poule dénominationnelle quelconque, et vivre là-bas dans les choses du monde, alors, ça prouve qu’il y a quelque chose qui ne va pas. Parce que Ça, c’est la Parole. “Celui qui veut peut venir.” Et si vous en avez la volonté, vous devriez venir. Mais si vous n’en avez pas la volonté, alors vous êtes dans un triste état. Mais si vous avez la volonté de venir, venez suivre l’ordonnance de Dieu!

68 Et Il ne manque jamais d’accomplir ce qu’Il a promis. À un moment donné, j’étais jeune, et maintenant je suis vieux : je ne L’ai jamais vu manquer à Sa Parole. En effet, Il peut tout faire, sauf faillir. Il ne peut pas faillir. Dieu ne peut pas, il est impossible à Dieu de faillir, tout en étant Dieu. Il doit le–le faire.

69 Alors, ce que l’armée de Pharaon a essayé de faire, c’est d’imiter, puisqu’ils n’étaient pas appelés et qu’ils ne possédaient pas cette Vie. À l’intérieur... La promesse n’avait pas été faite à Pharaon. La promesse d’un pays promis ne lui avait pas été faite.

70 Et un imitateur, quand il essaie de suivre un vrai croyant qui, lui, a été appelé à ça, il ne fait qu’en produire une grotesque caricature. C’est ça le problème de notre système religieux d’aujourd’hui. Il y a trop de gens qui essaient d’imiter le Saint-Esprit, trop de gens qui essaient d’imiter le baptême, trop de gens qui essaient d’imiter l’âge apostolique. C’est pour les croyants, et pour eux seuls. Dieu a pourvu d’un moyen, Lui qui est riche en miséricorde, pour que Ses enfants ne périssent pas. Il a pourvu d’un moyen pour eux.

71 Donc, Pharaon, en essayant de continuer à les poursuivre, il s’est noyé dans les eaux mêmes qui ont sauvé Moïse et son groupe. Or, Moïse n’a pas été noyé, parce que Dieu est riche en miséricorde envers ceux qui suivent la voie qu’Il a pourvue. Amen.

72 Voyez-vous ce que je veux dire? Ce soir, ces gens qui ne croient pas à la guérison Divine, ces gens qui ne croient pas au baptême du Saint-Esprit, comment peuvent-ils recevoir quoi que ce soit? Dieu est riche en miséricorde envers ceux qui sont prêts à Le suivre, Lui; pas un credo, mais Dieu.

73 Dieu est la Parole, et Elle a été faite chair et a habité parmi nous, là, pour qu’Il puisse manifester les autres attributs de Dieu. Le corps, Jésus, c’était le corps de Dieu, un attribut. Moïse L’a vu passer, L’a vu de dos; aucun homme n’avait vu Sa face. Mais maintenant, nous L’avons vu, nous L’avons contemplé, nous Le voyons, Lui, le Sacrifice. Or, voyez-vous, Il était un attribut de Dieu, manifesté, la Parole. C’est ce qu’Il était.

74 Et tout croyant qui vient à Dieu devient l’attribut de Dieu, de Sa Parole, il est utilisé pour manifester la Parole qui est promise pour son jour. Voyez? C’est exact. Dieu, riche en miséricorde, n’a jamais permis que nous soyons sans témoignage. Il est riche en miséricorde.

75 Maintenant, nous voyons que Dieu a été très miséricordieux envers Moïse, là-bas, dans la mer Morte, ou plutôt, dans la mer Rouge, là-bas. Ensuite, Il a dit, là, dans Exode 19.4, Il a dit : “Je vous ai portés sur des ailes d’aigle, amenés vers Moi. Portés sur des ailes d’aigle, et Je vous ai amenés vers Moi!” Il y avait aussi d’autres hommes, au milieu de la mer là-bas, qui essayaient d’imiter. Mais qu’en est-il? “Il les a portés sur des ailes d’aigle.”

76 Or, Dieu compare toujours Ses prophètes à des aigles. Qu’est-ce que c’était? Moïse était Son messager. Ils suivaient Moïse, et c’était ça les ailes d’aigle qui les portaient, parce qu’il avait le message de Dieu avec lui. Et c’est ce que les gens suivaient. En suivant Moïse avec Son message de délivrance, c’est Dieu qu’ils suivaient. Et la Bible dit : “Il, ils ne périrent pas avec ceux qui n’ont pas cru.” En effet, Dieu a été riche en miséricorde envers eux, parce qu’ils suivaient Ses commandements. Dieu veut que nous suivions Ses commandements.

77 Nous pourrions dire la même chose de Koré, et de Dathan, et de leur bande d’incrédules, qui ont essayé d’imiter. Ils ont essayé d’infliger quelque chose au programme de Dieu. Ils n’aimaient pas l’idée d’un programme limité à un seul homme. Ils n’aimaient pas ça. Il leur fallait avoir quelque chose à y faire. Koré a dit : “Voyons, il y a d’autres hommes que toi qui sont saints, Moïse. Tu agis comme s’il n’y avait que la terre sur... ou plutôt, comme s’il n’y avait que toi sur la terre.” Et il a dit : “Je–je... Tu ne devrais pas faire ça. Il y a d’autres hommes ici.”

78 Moïse savait que c’était à lui de conduire les enfants jusque dans le pays promis, parce que la promesse lui avait été faite à lui. Il devait les conduire au pays promis.

79 Et aujourd’hui, le Saint-Esprit est ici pour confirmer la Parole de Dieu, et c’est ça l’aile d’aigle qui doit nous porter, pas une théologie faite par l’homme. Mais c’est portés sur les ailes de l’aigle que nous devons nous rendre au Pays promis.

80 Et là, ils allaient faire venir une bande de poulets, c’est ce que Koré envisageait, vous savez, pour qu’ils se présentent là et qu’ils imitent ce... l’aigle. Et, à ce moment-là, Dieu a dit : “Sépare-toi d’eux”, et Il a englouti le monde. Il aurait englouti toute la chose, toute la création, mais Dieu a été riche en miséricorde envers ceux qui essaient de suivre Sa Parole. Toujours, Dieu est riche en miséricorde. Beaucoup d’entre eux se sont rangés du côté de Moïse, et Dieu a ouvert la terre et a englouti l’incroyant. Il, le–l’incroyant périra toujours.

81 Ceux qui n’ont pas cru, bien qu’ils soient sortis et aient marché pendant un bout de temps, mais ils, Jésus a dit : “Ils sont tous morts.” Morts, c’est “l’anéantissement”. Ils sont morts. Pensez un peu à ces gens-là. Ils étaient sortis, ils avaient vu les miracles de Dieu, ils avaient vu la main puissante de Dieu, ils avaient savouré la manne; et ils sont allés écouter un homme nommé Balaam, qui a perverti le moyen pourvu par Dieu, par son enseignement qui était contraire à la Parole : “Nous sommes tous frères, alors rassemblons-nous tous.”

82 C’est un autre système à la Balaam qui est en train de se monter aujourd’hui : “Rassemblons-nous tous.” Ça ne fonctionnera pas. Marchons avec l’Aigle, l’Aigle Jéhovah. Vous êtes des aiglons.

83 De tout le groupe, seulement trois ont été sauvés : Moïse, Caleb et Josué. Tous les autres ont péri dans le désert; Jésus l’a dit, dans Jean, chapitre 6. Dieu, dans Sa miséricorde, n’a pas permis qu’ils périssent, parce que, avec les autres, les incroyants. Ils ont tous péri en plein désert, et ils sont morts. Dieu a sauvé Moïse et les croyants, les aigles, parce qu’ils avaient égard à Sa Parole.

84 Et aujourd’hui, mon ami, le seul moyen pour nous de trouver grâce devant Dieu : Dieu est riche en miséricorde aujourd’hui, mais nous devons respecter ce qu’Il en a dit. Vous ne pouvez vraiment pas prendre ce que quelqu’un d’autre a dit. Vous devez prendre ce que Dieu a dit. Il a dit : “Que toute parole d’homme soit un mensonge, et que la Mienne soit vraie.”

85 Aujourd’hui, on nous dit : “Tout ce que vous avez à faire,” à bien des endroits, “c’est d’adhérer à l’église, avoir un credo, ou quelque chose comme ça; ou réciter une prière, mettre votre nom dans le livre, être aspergé ou baptisé d’une certaine manière, ou quelque chose comme ça. C’est tout ce que vous avez à faire.” Mais c’est faux.

86 Pour être un aigle de Dieu, vous devez suivre la Parole, jour après jour. Vous devez vous nourrir de la Parole, continuellement.

87 Or, voilà que nous les retrouvons, après ça, de nouveau en train de murmurer, la foi affaiblie, après que Dieu leur avait fait miséricorde. Nous les retrouvons en train de murmurer contre Dieu; et, d’avoir fait ça, ils se mouraient de morsures de serpents. Eh bien, ils l’avaient bien mérité. Certainement. Toute personne qui se méprendrait sur la Parole de Dieu et qui ferait ces choses qu’ils ont faites; ils méritaient la mort. Ils le désirent... le méritaient tous, de mourir dans le désert.

88 Mais, quand ils ont été tellement malades que ni le docteur Moïse lui-même, ni personne, ne pouvait rien y faire, et qu’ils mouraient par milliers; mais Dieu, riche en miséricorde, Il a pourvu d’un moyen d’échapper, pour ceux qui croiraient en Lui. Il a fait un antidote contre ça, en élevant un serpent d’airain. Dieu, dans Sa riche... Dieu a pourvu d’un moyen d’échapper, pour que Ses enfants qui croient puissent être guéris.

89 Dieu s’intéresse à tout ce qui ne va pas, à tout ce que vous envisagez. Quelle que soit votre condition sociale, Dieu s’intéresse à vous. Vous êtes Son enfant, et Il est riche en miséricorde. Il veut vous aider.

90 Après, les gens ont péché, en prenant la chose même que Dieu leur avait donnée pour qu’elle leur serve d’expiation, le serpent d’airain, qui représentait le péché déjà jugé, et ils ont idolâtré ce don-là. Et ça, c’était encore un péché. “Dieu ne partagera Sa gloire avec personne.” Par conséquent, nous ne pouvons pas avoir deux, trois ou quatre dieux. Il n’y a qu’un seul Dieu. Il ne partagera Sa gloire avec rien d’autre. Il est le seul Dieu, voyez-vous; donc, et les païens, eux, ils ont de nombreux dieux. Nous avons le seul Dieu, et Il ne partagera pas Sa gloire avec un autre, pas plus qu’Il ne permettra que quoi que ce soit devienne une idole devant Lui. Bien qu’Il ait pourvu d’une expiation pour le peuple, et que c’était la Parole de Dieu, c’était juste, mais quand ils se sont mis à idolâtrer cela, alors ils se sont attiré des ennuis.

91 Or, c’est exactement la même chose, je crois, qui est arrivée à nos âges de l’église. Dieu nous a envoyé le message, celui de Martin Luther, avec son message, de John Wesley, le message pentecôtiste, mais qu’est-ce que nous en avons fait? Exactement la même chose qu’eux avec ce serpent d’airain, nous l’avons idolâtré : “Je fais partie de ceci, et je fais partie de cela.” Voyez-vous, vous faites partie de quelque chose sans avoir la sincérité qui se rattache à une adoration sainte et vraie de la Parole.

92 Qu’est-ce qui s’est passé? La Bible, il nous est dit dans la Bible que “le prophète a pris cette idole et qu’il l’a détruite”. Alléluia!

93 Ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est un prophète qui vienne détruire l’idole des dénominations, qui s’imaginent qu’elles iront au Ciel parce qu’elles font partie d’un credo ou d’une dénomination quelconques. Il faut qu’elle soit détruite et brûlée, mise au rebut. Dieu est plein de miséricorde. Il est riche en miséricorde. Au jour où nous aurions tous été là-bas, au milieu du chaos, des ténèbres, mais Dieu, riche en miséricorde, nous a envoyé le vrai, le véritable Saint-Esprit, avec Sa propre interprétation à Cela, ici même dans cette salle chaque soir. Dieu, riche en miséricorde, quel Être merveilleux nous trouvons en Lui! Oui monsieur.

94 Donc, d’après eux, tout ce qu’ils avaient à faire, c’était simplement d’aller vers ce serpent, ou cette petite chose que Dieu avait faite là-bas, avait fait faire à Moïse et lui avait fait accrocher à une perche, et ils pourraient être guéris, sans aucune sincérité. Ils se mettaient simplement là et ils le regardaient. Alors ils se sont mis à l’idolâtrer, et Dieu a envoyé un prophète, et il l’a détruit.

95 Or, tous ceux qui ont refusé de regarder le serpent dans le désert, ils ont péri. Maintenant, Dieu pourvoit d’un moyen, mais si vous refusez de le regarder, si vous restez de l’autre côté de la rue, si vous vous accrochez à un credo quelconque, et que vous refusez de regarder directement dans la Parole pour voir si oui ou non C’est juste; tous ceux qui ont refusé de regarder, ils ont péri. Et Dieu est un Dieu qui ne change jamais. Tous ceux qui ont refusé de regarder ont péri. C’est pareil aujourd’hui, même chose.

96 Donc, après, les gens ont péché, et, comme ils l’ont toujours fait, et ils en–en ont fait leur idole, en en faisant une–une–une... en essayant de recevoir la guérison sans sincérité, et ils “faisaient partie de quelque chose”, et, comme nous le faisons aujourd’hui. Et maintenant, nous voyons, là, la différence, c’était que Dieu...

97 C’était une expiation valable, un signe valable pour cette époque-là. À cette époque-là, c’était très bien. Mais ce ne devait être que pour cette époque-là, pour ce trajet-là. Ça ne fonctionnerait que pour ce trajet-là.

98 Et le message que Martin Luther a apporté, celui de la justification, c’était très bien pour l’âge de Luther. Il est allé jusque-là, pas plus loin.

99 Celui de la sanctification, c’était bien dans l’âge de Wesley. Il est allé jusque-là, pas plus loin.

100 Ensuite, nous sommes entrés dans l’âge pentecôtiste. Et la restauration des dons, c’est quelque chose de très bien, c’était bien dans cet âge-là, mais maintenant nous allons plus loin que cela. Nous avons dépassé cela, aussi sûr qu’il y a un monde. Nous devons être plus que cela. En effet, nous en avons fait la même chose qu’eux avaient fait à l’époque, nous en avons fait une idole. “Je fais partie de ce groupe-ci, je fais partie de ce groupe-là.”

101 Dieu enverra quelqu’un qui démolira la chose et la mettra en morceaux, et Il confirmera Sa Parole, la Parole entière. Remarquez. Gloire à Dieu! Or, nous voyons que c’est bien vrai. Dieu, riche en miséricorde!

102 Ensuite, après que le prophète a détruit ça, il ne leur restait plus aucun signe de guérison, d’expiation, parce que leur idole avait été détruite. Mais Dieu, riche en miséricorde, leur en a fait un autre. Et qu’est-ce qu’Il a fait, là? Il a agité l’eau de la piscine, au temple, et beaucoup de gens venaient et étaient guéris en entrant dans cette eau. Jésus est allé à cette même piscine, et Il a vu un homme qui était couché là, depuis bien des années, il attendait le mouvement de l’eau. Vous voyez, Dieu, riche en miséricorde! Bien qu’il aient idolâtré cette chose-là, bien que le prophète ait été obligé de la démolir, Dieu a pourvu d’un autre moyen pour eux, parce qu’Il est riche en miséricorde. Il veut qu’ils soient guéris, aussi Il a pourvu d’un moyen pour leur guérison.

103 Bon, donc, ça a continué, le monde est devenu toujours plus rempli de péché, toujours plus, tout le temps. Finalement, le monde était tellement rempli de péché que Dieu aurait pu le détruire; Il a dit dans Malachie 4 : “De peur que Je ne vienne frapper le pays d’interdit.” Il aurait pu le faire; juste la question...

104 Mais alors, Dieu, riche en miséricorde, Il a envoyé un Sauveur : Jésus-Christ. Il a envoyé Jésus, pour qu’Il soit à la fois Sauveur et guérisseur. En effet, Il a dit : “Comme Moïse a élevé le serpent d’airain dans le désert, il faut de même que le Fils de l’homme soit élevé”, dans le même but. Lui, l’expiation, c’est tout ce que nous pouvons revendiquer : l’expiation. Les choses que Jésus a acquises par Son Sang, c’est ce que nous pouvons revendiquer. Et la Bible dit : “Il était blessé pour nos transgressions, brisé pour notre iniquité; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.” Voilà ce que nous pouvons revendiquer, parce que c’est ce que l’expiation que nous défendons a acquis pour nous. Dieu, riche en miséricorde!

105 Cette expiation-ci devait être une expiation Éternelle, parce qu’Il est venu Lui-même. Dieu Lui-même est venu, sous la forme d’une chair de péché, pour faire une–une–une–une expiation Éternelle. Il a souffert dans la chair, et Il a fait l’expiation. Et Il est revenu sous la forme du Saint-Esprit, pour confirmer cette expiation. Alors qu’aucun serpent d’airain, ni aucune eau trouble, ne pouvaient le faire, tout cela annonçait cette Expiation parfaite. Dieu, riche en miséricorde, a accompli ceci.

106 Maintenant, aujourd’hui, – comme c’est en ce jour-ci que nous vivons, – on a traversé tous les âges de l’église, et on a trouvé toutes les explications possibles pour éliminer Cela. Les théologiens que nous avons aujourd’hui ont carrément perdu de vue ce côté-Là. Ils trouvent toutes les explications possibles, pour confiner Cela à un autre jour, à un autre âge, quelque chose d’autre, il y a très longtemps, à une époque reculée. Et la guérison Divine, c’était pratiquement une affaire du passé, on ne trouvait pour ainsi dire plus personne qui y croyait. On en riait. Pas plus tard qu’il y a une vingtaine d’années, on en riait. Les pentecôtistes s’en étaient pratiquement complètement éloignés. Dans les premiers jours, au début, ils l’avaient, mais ils s’en étaient éloignés.

107 Regardez ce qu’ils ont fait. Voilà qu’ils étaient partis en grande dans leurs dénominations, ils s’étaient dépêchés de se faire chacun un credo, et tout. Sans, au lieu d’accepter la Lumière, à mesure que la Lumière entrait, ils s’étaient organisés et s’étaient forgé des crédos, avec chacun qui arrive avec sa doctrine et qui se tient à cette doctrine-là. Et alors, ils étaient tellement absorbés là-dedans que le Saint-Esprit ne pouvait pas entrer dans l’église. Tout cela est tout simplement devenu une autre idole, comme un serpent d’airain, la chose s’est transformée en–en idolâtrie. Chacun disait : “Je fais partie de ceci, et je fais partie de cela.” C’était de l’idolâtrie. Nous étions dans un beau méli-mélo, au temps de la fin.

108 Mais Dieu, riche en miséricorde, a renvoyé le Saint-Esprit sur nous, et Il confirme Sa Parole ce soir, comme Il l’avait promis. Dieu avait promis qu’Il ferait ces choses. Regardez ce qu’Il a fait!

109 Regardez ce qu’Il a fait. Or, nous voyons, là, la manière dont Il avait promis qu’une chose se produirait, dans chaque âge. Et nous voyons que la chose s’est produite exactement telle quelle, selon ce qu’Il avait dit qu’Il ferait, parce qu’Il est riche en miséricorde, qu’Il fait toujours miséricorde, et ce, pour accomplir chaque Parole qu’Il a promise. Il doit forcément le faire, et toujours, pour être Dieu. Il agit toujours ainsi. Sa Parole s’accomplit toujours en Son temps. Sa semence, qu’Il a mise en terre. Qu’est-ce qu’Il a fait? Il l’a placée ici, dans la Parole, et c’est une semence. Et chaque fois que l’âge en question arrive, cette semence-là mûrit, et alors il y a une réforme. C’est ce qu’Il a promis, et c’est ce qui se produit.

110 Or, nous ne méritions pas ces choses. Nous ne méritions pas ces bénédictions de Dieu, parce que nous étions partis en quête des choses du monde, nous nous étions jetés dans l’égarement de Caïn. Caïn, qui a construit un bel autel et une belle église, et qui mettait des fleurs dessus, en pensant que c’était exactement ça : “C’était des pommes, ou des poires, ou des grenades, ou quelque chose”, que son père et sa mère avaient mangé dans le jardin d’Éden, c’est à cause de ça qu’ils avaient été chassés. Alors, c’est ça qu’il a offert à Dieu, et Dieu a refusé.

111 “Mais Abel, par la foi, offrit à Dieu un sacrifice plus excellent que celui de Caïn.”

112 Et aujourd’hui, la Bible dit, dans Jude “qu’ils se sont jetés dans la voie de Caïn, ils se sont perdus par la révolte de Koré”. Voyez-vous, “se sont jetés dans la voie de Caïn”, ils construisent des autels, ils construisent des églises, des dénominations, ils les ornent bien, elles sont grandes, avec plus de membres que les autres. Ils font entrer toutes sortes de choses, tout ce qui arrive, qui a sauté en l’air, ou qui a donné une poignée de main, ou qui a été baptisé d’une certaine manière, ou qui a parlé en langues, ou qui a couru partout dans la salle, ils mettent le nom de ces gens-là dans le livre. C’est vrai. Et ensuite, ils attaquent la Vérité vraie qui est prêchée, et ils La nient. Comment est-ce possible? Remarquez, nous étions dans un beau méli-mélo! Remarquez.

113 La Bible dit : “Ils ont suivi la voie de Balaam, et ils se sont perdus par la révolte de Koré.” Ils se sont perdus par la révolte! La révolte de Koré, qu’est-ce que c’était? “Mais, t’imagines-tu que tu es le seul homme qui soit saint? Mais, Dieu... Nous sommes tous saints. Toute l’église est comme ça, toute. Chaque... Nous devrions tous nous rassembler, c’est ça que nous devrions faire.” C’est là qu’ils se sont perdus, en faisant ça. Et nous le méritions vraiment. Nous méritions d’être dans cet état-là.

114 Mais Dieu, riche en miséricorde, nous a retirés de ce chaos, et nous a ouvert les yeux là-dessus, avant que la chose arrive. Riche en miséricorde, Il nous a envoyé un réveil de guérison Divine, et une nouvelle venue de la Puissance de Dieu. D’après l’histoire, aucun réveil n’a jamais duré plus de trois ans. Ce réveil-ci s’est poursuivi pendant quinze ans, c’est un feu qui a brûlé, encore et encore, partout dans le monde. Pourquoi? Parce que nous le méritions? Dieu, riche en miséricorde. Ce n’est pas parce que nous le désirions, ou plutôt, pas parce que nous le méritions. Pensez un peu à ce qui a été accompli grâce à ce réveil!

115 Je pense à l’une de vos soeurs, de Phoenix ici, que beaucoup d’entre vous connaissent, madame Hattie Waldrop, elle avait un cancer du coeur. Elle était dans la ligne de prière, ici, quand Frère Moore et moi sommes venus la première fois, il y a peut-être quinze ou dix-huit ans de ça. Elle se mourait d’un cancer du coeur, et il y a déjà longtemps qu’elle aurait dû être morte. Mais Dieu, riche en miséricorde, a fait descendre Sa Puissance sur elle. Il lui a sauvé la vie, et elle est vivante aujourd’hui. Dieu, riche en miséricorde!

116 Le sénateur Upshaw, un grand homme. Je pense qu’il a été président, ou quelque chose, de la–de la Baptist... de la Southern Baptist Convention, à un moment donné, ou vice-président, ou quelque chose comme ça. Il avait fait tout, – c’était un brave homme, – il avait fait tout ce qu’il pouvait. Il avait consulté tous les médecins. Personne ne pouvait l’aider. Il était forcé de rester dans cet état-là. Des prédicateurs avaient prié pour lui. On lui avait bien versé un gallon [quatre litres] d’huile sur la tête, avec tous ces prédicateurs de partout qui l’avaient oint.

117 Un soir, à Los Angeles, en Californie, en m’avançant vers la chaire, je regardais, il y avait une série de fauteuils roulants, peut-être deux ou trois fois ce qu’il y a ici, tout le long des allées, jusqu’au fond. Et là-bas il y avait un brancard, avec une petite fille de couleur dessus, une petite fille noire, et sa–sa mère était assise près d’elle. Mon frère était en train de former la ligne de prière.

118 Je regardais, je ne savais pas ce qui se passait. Et j’ai vu un médecin qui portait des lunettes à monture d’écaille, il était en train d’opérer une petite fille noire, pour une affection de la gorge, et elle a été frappée de paralysie. J’ai regardé autour de moi, je me suis dit : “Où est cette enfant?” Je ne la voyais pas.

119 Au bout d’un moment, tout au fond : sans espoir, une charmante petite fille d’environ sept ou huit ans, condamnée à être paralysée jusqu’à la fin de sa vie. Et sa mère était là, à genoux, en train de prier. Alors j’ai dit : “Ce médecin a opéré votre petite fille”, et je l’ai décrit.
Elle a dit : “C’est vrai, monsieur.”

120 Alors elle a essayé d’amener sa petite jusqu’à l’estrade. Ils lui ont dit de ne pas le faire. Ils ont essayé de la calmer. À peu près au moment où ils ont réussi à la calmer, je me suis dit : “Eh bien, nous aurons l’occasion de prier pour elle.” Au bout de quelques minutes... Il se peut qu’il y ait des gens ici qui y étaient ce soir-là.

121 Je parcourais l’auditoire des yeux, et j’ai vu cette petite fille qui marchait, sur une espèce de–de petite route étroite, elle avait une poupée dans ses bras, elle berçait la poupée. Peu importe combien le médecin avait dit qu’elle serait paralysée jusqu’à la fin de sa vie, Dieu, riche en miséricorde, a fait descendre le Saint-Esprit, par une vision, et cette petite fille s’est levée de là, et elle et sa mère, en se tenant par les mains, elles ont descendu l’allée, en louant Dieu.

122 Il y avait un homme âgé qui était assis tout au fond, le sénateur Upshaw, beaucoup d’entre vous connaissent son témoignage. Il avait été un brave homme, il avait essayé toute sa vie, il y avait soixante-six ans qu’il était infirme, dans un fauteuil roulant, on devait le pousser jusqu’à son lit; des béquilles sous les bras, dont il se servait pour marcher, condamné à ne plus jamais marcher normalement. Et il était assis là, à observer cela. Tout à coup, j’ai regardé au loin et j’ai eu une vision. Le voici qui venait, il marchait au-dessus de l’auditoire, la tête inclinée, il marchait aussi bien que n’importe qui. Je ne savais pas de quel homme il s’agissait.

123 J’ai dit : “Il y a un homme important assis au fond. Quand il était un petit garçon, il est tombé de la charrette sur un support à foin, et il s’est blessé au dos. On a percé des trous dans le plancher, pour éviter que la vibration, quand les gens marchaient, donne des coups à son dos.” J’ai dit : “Il devient un homme important, et il devient de plus en plus important. Il est assis dans un grand cercle à la Maison Blanche.”

124 Alors, un homme est venu me dire, il a dit : “C’est le sénateur Upshaw. Avez-vous déjà entendu parler de lui?”
J’ai dit : “Connais pas.”

125 Et là, il a envoyé un petit micro baladeur là-bas, et on a échangé une conversation.

126 Alors, je me suis mis à regarder autour, et j’ai vu le vieux sénateur qui venait, il marchait vers moi, dans une vision, de façon tout à fait parfaite et normale. Dieu, riche en miséricorde, l’a retiré de ce fauteuil roulant, et il a marché sans béquilles jusqu’au jour de sa mort. Dieu, riche en miséricorde! Alors que les médecins avaient échoué, alors que la science avait échoué, alors que tout le reste avait échoué, Dieu a été riche en miséricorde envers le sénateur Upshaw.

127 Je pense à moi-même. Quand j’étais petit garçon, je me souviens que... Aujourd’hui les gens me traitent de “misogyne”. La raison de ça, c’est parce que j’ai vu tant d’immoralité chez les femmes quand j’étais gamin. Je les détestais. Je ne les déteste plus maintenant, parce que je sais qu’il y en a des bonnes. Mais je me souviens, il y avait tant de pourriture, d’immoralité. Et je me disais : “Oh, jamais je–je n’irai parmi les gens. Je n’ai pas d’instruction, alors, je ne m’instruirai pas.”

128 Un petit gamin assis là, pas même une chemise sur le dos, avec mon manteau attaché en haut, comme ceci, avec une épingle de sûreté, et il faisait très chaud. L’institutrice disait : “William, tu n’as pas chaud avec ton manteau sur le dos?”

129 Je disais : “Non, madame, j’ai plutôt froid.” Et elle me faisait aller près du poêle, elle mettait du bois dans le poêle, et j’étais presque en train de griller. Je–je n’ai pas eu de chemise, pendant toute cette saison-là.

130 Je me disais : “Si un jour j’avais assez d’argent, à un moment donné, que je puisse m’acheter une petite... m’acheter une carabine 30-30”, je serais venu m’installer ici, dans l’Ouest, pour vivre ici et chasser jusqu’à la fin de ma vie. Je ne voulais rien avoir à faire avec les gens. Je voulais simplement me tenir loin, parce qu’ils ne m’aimaient pas, et–et j’allais simplement me tenir loin d’eux.

131 Et puis, chaque fois que j’allais en ville, pour parler à quelqu’un, que je voyais des gars que je connaissais dans la rue, je disais : “Salut, John, Jim! Comment ça va?
– Oh, bonjour.”

132 Vous voyez, ils ne voulaient pas me parler, ils ne voulaient rien avoir à faire avec moi, à cause de mon papa et des autres, qui fabriquaient du whisky. Et ce–ce n’était pas moi qui faisais ça. Je n’avais rien fait, moi. Et j’aurais été comme ça.

133 Mais maintenant, je disais à ma femme, il n’y a pas longtemps : “Mon mur est couvert des meilleures armes à feu qu’on peut acheter.” Oh, et je pense à ces vieux vêtements sales. Ce soir, j’ai deux ou trois bons complets à moi. Et pas d’amis? Je suis obligé d’aller me cacher dans des régions sauvages pour ne pas être avec les gens. Qu’est-ce qu’il y a, est-ce à cause de ma personnalité, est-ce à cause de mon instruction? Non. Dieu, riche en miséricorde, m’a vu dans cet état-là, et Il m’a sauvé.

134 Je me souviens qu’on me conduisait par le bras, comme un aveugle. Je ne voyais pas. Devant moi, tout était flou; j’aurais été aveugle jusqu’à la fin de ma vie. Mais Dieu, riche en miséricorde, m’a rendu la vue. J’ai cinquante-cinq ans, et j’ai encore une bonne vue. Dieu, riche en miséricorde, c’est tout ce que je peux dire.

135 À un moment donné, l’église n’avait aucun moyen pourvu pour sa guérison. Ils en avaient un, mais ils l’avaient rejeté. Mais Dieu, riche en miséricorde, leur a envoyé un don de guérison Divine. C’est le Saint-Esprit parmi nous, qui confirme la Parole par les signes qui l’accompagnent. Dieu, riche en miséricorde!

136 J’ai deux ou trois pages de notes ici, mais je ne vais pas essayer de les donner, parce que je–je vois bien qu’il est presque l’heure de former la ligne de prière. Mais Dieu, riche en miséricorde!

137 Beaucoup d’entre vous ici, ce soir, les médecins vous ont abandonnés. Il y a des gens assis dans ces fauteuils roulants, ils ne se relèveront probablement jamais de là. Ils y sont pour toujours. Certains d’entre eux sont paralysés de différentes manières, jamais ils ne se, ils ne pourraient pas se relever de là, il n’y a aucun moyen pour eux de se relever de là. Mais Dieu, riche en miséricorde, a pourvu d’une expiation. Ne la rejetez pas. Recevez-la. Il y a des hommes dans l’auditoire qui souffrent du coeur, il y a des gens qui ont des cancers, pour qui les médecins ne peuvent rien faire. Vous êtes sans espoir, sans recours dans ce monde.

138 Mais Dieu, riche en miséricorde, a fait descendre le Saint-Esprit, et Il est ici même, en ce moment, pour confirmer la Parole, pour prouver qu’Il est le même hier, aujourd’hui et pour toujours. Parce que nous le méritons? Parce que Dieu est riche en miséricorde! Amen. Alors, c’est Lui, c’est cette Personne-là, c’est le Seigneur Jésus. Il n’est pas mort, mais Il est ressuscité des morts, et Il est vivant aux siècles des siècles.

139 Il est le même hier, aujourd’hui et pour toujours, Il est toujours aussi riche en miséricorde, autant qu’Il l’a été à la femme qui avait une perte de sang. Elle s’est frayé un chemin à travers la foule. Il n’y avait aucun espoir pour elle, les médecins avaient fait tout ce qu’ils pouvaient. Elle avait une perte de sang. Elle se mourait. Et elle a touché le vêtement du Maître. Dieu, riche en miséricorde, s’est retourné et Il lui a dit ce qu’elle avait. Et elle a été guérie de cette perte de sang.

140 Un jour, une vile petite prostituée est allée à un puits, chercher de l’eau. Sans espoir. Elle avait été excommuniée de la compagnie des vierges, de la compagnie des gens, sa vie ne valait rien. Et elle se disait : “À quoi bon essayer? On me met à la porte, il n’y a plus rien à espérer pour moi.” Mais elle a regardé et, debout au bord, ou, assis au bord du puits, il y avait un Homme assis là, qui lui a dit tout ce qu’elle avait fait. Dieu, riche en miséricorde.

141 Ce même Dieu, ce soir, est toujours aussi riche en miséricorde, et exactement le même qu’Il était à cette époque-là. Dieu, riche... [espace non enregistré sur la bande – N.D.É.]

142 Je pense que nous avons deux cents cartes de prière ici, ou ce que nous avons appelé de ces deux cents. Nous allons les appeler, et mettre les gens en ligne. Nous allons prier pour eux.

143 Mais, avant de faire ça, au cas où il y aurait des nouveaux venus ici; pour se débarrasser de toute superstition. Il ne s’agit pas ici de superstition. Il s’agit de la manifestation d’une promesse de Dieu. Tout dépend de ce que vous regardez. Il n’y a aucune vertu dans aucun homme. Il n’y a aucune puissance dans aucun homme. Mais nous, en tant que croyants, nous avons l’autorité; pas la puissance, mais l’autorité.

144 Il n’y a pas longtemps, quelqu’un me demandait, il disait : “Frère Branham, croyez-vous que vous avez la puissance de faire ces choses?”

145 J’ai dit : “Je n’ai pas de puissance du tout, mais j’ai l’autorité.” Chaque croyant l’a. Si vous la refusez, vous resterez où vous êtes. Mais si vous l’acceptez, elle accomplira l’infinie abondance, parce que Dieu est riche en miséricorde.

146 Prenez un petit policier, qui est là dans la rue, ses vêtements qui pendent à moitié, tellement il est maigre. Il a son képi enfoncé jusqu’aux oreilles. Il va s’avancer dans la rue, où les voitures roulent à cinquante milles [quatre-vingts kilomètres] à l’heure, avec des moteurs de trois cents HP. Il n’a pas la puissance d’arrêter une bicyclette. C’est vrai. Mais qu’il donne un coup de sifflet et qu’il lève la main, et regardez bien les freins grincer. Il n’a pas la puissance, mais il a l’autorité. Il a toute la ville derrière lui.

147 Et, quand un homme ou une femme, peu importe votre état, vous avez l’autorité de Dieu, par une promesse, parce qu’Il est riche et qu’Il a promis d’accomplir l’infinie abondance. “Si vous dites à cette montagne : ‘Ôte-toi de là’, et que vous ne doutez pas dans votre coeur, mais que vous croyez que ce que vous avez dit arrivera, ce que vous avez dit vous sera fait.” Vous n’avez pas de puissance, mais vous avez l’autorité.

148 Vous vous souvenez quand Il m’a dit, là, qu’Il a dit : “Tu seras capable de révéler les secrets des coeurs.” En effet, Il... Vous en souvenez-vous, beaucoup d’entre vous, les gens de Phoenix? Il l’a promis. Ce qu’Il promet, Il le fait.

149 Or certains d’entre vous, ici, n’ont pas de carte de prière, et, sans doute. Combien sont malades et n’ont pas de carte de prière? Levez la main. Bien sûr. Très bien. Si vous voulez savoir, pas l’autorité... pas la puissance, mais l’autorité de la Parole : “Vous ferez aussi les choses que Je fais.”

150 Jésus a promis, dans Luc 17.30, que, juste avant Sa Venue, il y aurait, comme à l’époque de Moïse... ou, de Noé, “où les hommes mangeaient et buvaient, et se mariaient; et ils ne se doutèrent de rien, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche”. Il a dit qu’il y aurait une époque comme celle-là. Et Il a aussi dit : “Ce qui arriva aux jours de Lot,” Il a dit, “c’est ce qui arrivera au jour où le Fils de l’homme sera révélé, quand le Fils de l’homme sera révélé, dans les derniers jours.”

151 Maintenant regardez ce qu’Il, comment le Fils de l’homme S’est révélé, dans la personne de cet Ange, qui était le Fils de l’homme. Absolument. Abraham L’a appelé “Elohim”. Il était le Fils de l’homme, qui S’est révélé juste avant que le monde des nations soit brûlé. Comment l’a-t-Il fait? Au croyant. Au soi-disant croyant, Il a envoyé deux prédicateurs là-bas, pour qu’ils leur prêchent. Mais pour le vrai croyant, Il s’est tenu là, le dos tourné à la tente, et Il a dit : “Abraham.” Il était Abram le jour... quelques jours auparavant. Mais là, Il est Abraham. “Où est ta femme Sara?”

152 Il a dit : “Elle est dans la tente, derrière Toi.”

153 Il a dit : “Je vais tenir Ma promesse envers toi. Je vais te visiter.”

154 Oh, Abraham avait cent ans, et Sara en avait quatre-vingt-dix; mais Dieu, riche en miséricorde, a tenu Sa promesse. Alors, le bébé est venu, parce que Dieu est miséricordieux, Il est plein de miséricorde. Il est riche en miséricorde. Il tient Sa promesse.

155 Remarquez, Il avait le dos tourné à la tente, et Sara a ri, elle a dit : “Comment ces choses peuvent-elles se faire? Je suis vieille. Comment pourrais-je avoir du plaisir avec mon mari, comme une jeune mariée? Voyons, il a cent ans. Nos relations conjugales ont pris fin il y a bien, bien des années. Comment est-ce possible?” Et elle en a ri.

156 Et l’Ange avec... le Fils de l’homme avec le dos tourné à la–à la tente, Il a dit : “Pourquoi Sara a-t-elle ri, en disant : ‘Comment ces choses peuvent-elles se faire?’”

157 Qu’est-ce que c’était? Jésus a dit, dans Luc 17.30, “qu’aux jours qui seraient comme ceux de Lot”, même situation, avant que le monde des nations soit brûlé, Il a dit que “le Fils de l’homme Se révélerait en ce jour-là”. Il a fait la promesse, Malachie 4 nous a promis, ce serait dit. Qu’un Message sortirait, qui ramènerait les gens au Message originel de la pentecôte, et avec les mêmes bénédictions qu’ils avaient reçues le jour de... Qu’est-ce? C’est un aigle avec ses deux ailes, le Nouveau et l’Ancien Testament, qui fait battre à l’unisson ses promesses de Dieu, pour accomplir ce que les promesses de la Bible avaient annoncé. Amen.

158 Dieu, riche en miséricorde, ne permettrait pas que Son peuple soit pris dans cet Âge de l’Église de Laodicée dénominationnel, “riche en biens matériels et en choses du monde”, mais Il allait pourvoir d’un moyen d’échapper. Croyez-y, les amis. Que Dieu vous bénisse. Amen. Dieu, riche en miséricorde! La miséricorde de Dieu, c’est la seule chose que je désire. Non pas Sa justice, non pas Sa loi, mais Sa miséricorde, voilà ce que j’implore. Que Dieu soit miséricordieux envers moi. Nous avons tous ce sentiment-là.

159 J’observais. Il y a une petite femme, assise ici, sur le siège au bout. Avez-vous une carte de prière, madame, là-bas? Vous n’en avez pas. Je vais vous montrer que Dieu est riche en miséricorde. Vous avez beaucoup souffert de nervosité dernièrement, n’est-ce pas? Vraiment beaucoup, et l’état de vos yeux a empiré. Pas vrai? C’est vrai. Maintenant ils vont changer. Dieu, riche en miséricorde, par cette question qui vous est posée, à savoir si vous allez le croire. Bon, vous n’avez pas de carte de prière, vous n’avez rien, mais vous n’en avez pas besoin. Voyez-vous, c’est Sa grâce qui vous est accordée.

160 Il y a un petit homme, pas grand, assis là, à l’avant, avec un genre de... assis juste ici. Il souffre d’une grosseur sur le corps. C’est tout récemment qu’elle est apparue, récemment. C’est bien vrai, n’est-ce pas, monsieur? C’est vrai. Vous ne savez pas ce que c’est. Ça vous fait peur. C’est vrai. C’est à la suite d’une contusion qu’elle est apparue, n’est-ce pas? Avez-vous une carte de prière? Vous n’avez pas de carte de prière. Vous n’en avez pas besoin. Dieu, riche en miséricorde!

161 Oh, frère, soeur, croyez Dieu! Ne doutez pas de Lui. Croyez-Le! C’est exact.

162 Il y a un homme assis ici, un veston gris, il porte des lunettes. Regardez ici, monsieur. Croyez-vous? Dieu est riche en miséricorde. Vous êtes assis là, vous avez une hernie. Croyez-vous que Dieu peut guérir cette hernie et vous redonner la santé? Assis juste ici, sur le siège au bout, en train de me regarder. Si vous croyez que Dieu peut guérir cette hernie, Dieu le fera, si vous l’acceptez. Le croyez-vous? Allez-vous l’accepter? Très bien. C’est à vous, si vous voulez seulement le croire, qu’Il ait miséricorde. Oui monsieur.

163 Il y a une dame assise ici, elle souffre d’une mauvaise circulation, dans son corps. Mais si elle croit, Dieu la guérira, si elle le croit. Je crois qu’elle va passer à côté, aussi sûr que deux et deux font quatre. Aie miséricorde, c’est ma prière. Cette femme, c’est à peine si j’ai pu voir... Madame Riley, croyez-vous que Dieu peut guérir cette mauvaise circulation? Si vous le croyez, recevez-le! Amen. Croyez seulement. Dieu est bon, n’est-ce pas, Stella? Oui. C’est exact. Je n’ai jamais vu cette femme de ma vie. Mais Dieu, dans Sa miséricorde!

164 Il y a une autre femme ici, assise juste derrière, là, au fond, le regard fixé sur moi. Elle aussi, elle a une mauvaise circulation, même chose. C’est à ça qu’elle était en train de penser. Je n’ai jamais vu cette femme de ma vie. Comme cette autre femme avait le même problème, regardez-moi. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu, ou Son serviteur? Vous souffrez aussi du coeur. Si c’est exact, levez la main. Vous n’en souffrez plus maintenant. Dieu, riche en miséricorde, démontre qu’Il est vivant, ici dans la salle, ce soir. Dieu, riche en miséricorde! Amen.

165 Est-ce qu’il y aurait, combien de pécheurs et de rétrogrades voudraient se lever, pour dire : “Ô Dieu riche en miséricorde, sois miséricordieux envers moi”? Levez-vous. Je vais prier pour vous, si vous croyez qu’Il veut... vous voulez obtenir miséricorde maintenant. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, et vous. Rétrograde, lève-toi. Dieu, riche en miséricorde! Êtes-vous–vous...

166 Sûrement que vous n’êtes pas tombés dans l’engourdissement, dans cet état-là, au point de ne pas voir qu’il s’agit de la promesse même de cette heure. Sûrement que vous n’êtes pas complètement absorbés par une dénomination et ces autres choses, au point de ne pas voir qu’il s’agit de la promesse de l’heure. Dieu, riche en miséricorde.

167 Vous qui vous êtes levés, qui que vous soyez, je vais prier pour vous dans un instant. Je veux que vous alliez à une bonne église du Plein Évangile, et–et que vous soyez–et que vous soyez baptisés du baptême chrétien, que Dieu vous donne le Saint-Esprit.

168 Est-ce qu’il y aurait encore une personne qui se lèverait, pour dire : “Moi, je veux qu’on pense à moi. Ô Dieu, dans Ta miséricorde, pense à moi. Je n’ai pas mené la vie que j’aurais dû. Peut-être...” Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. C’est ça. “Dieu, riche en miséricorde, sois miséricordieux envers moi.” Que Dieu vous bénisse, soeur. Est-ce qu’il...

169 Il y en aurait encore combien ici, qui diraient : “Je vais me lever. Je veux faire savoir à Dieu que je veux obtenir miséricorde. Je n’ai pas mené la vie que j’aurais dû. J’ai mené une vie comme ceci et comme cela. J’ai eu des hauts et des bas, mais je veux obtenir Sa miséricorde.” Que Dieu vous bénisse, frère. Quelqu’un d’autre qui dirait : “Dieu, riche en miséricorde!” Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse, soeur. C’est ça. Dieu, riche en miséricorde! Que Dieu vous bénisse, vous aussi. Que Dieu vous bénisse, vous, au fond. Dieu vous voit. Levez-vous simplement.

170 Vous dites : “Est-ce que ça change quelque chose, Frère Branham?” Certainement. Levez-vous et vous verrez la différence que ça fait.

171 Si vous êtes vraiment sincère dans votre coeur, Dieu est riche en miséricorde. “Il ne veut pas qu’aucun périsse, mais Il veut que tous arrivent à la repentance.” Dieu, riche en miséricorde! Ô Dieu, sois miséricordieux envers nous.

172 Maintenant, combien y a-t-il de gens ici, qui ont une carte de prière? Qu’est-ce que c’était? A et B, n’est-ce pas? A et B. Que tous ceux qui ont une carte de prière A viennent se placer de ce côté-ci, et ceux qui ont une carte de prière B se placeront derrière eux.

173 Je me demande s’il y a des prédicateurs qui envisageraient de venir m’aider. Si oui, si vous voulez vous avancer, je serais heureux d’avoir votre–votre aide ici, car nous serons heureux de prier, et de prier–prier avec vous.

174 Voici, la Bible dit : “Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru.” Oui monsieur. “En Mon Nom, ils chasseront les démons, ils parleront de nouvelles langues.” L’avons-nous fait? Par la grâce de Dieu; pas nous, mais Dieu, qui est riche en miséricorde, est là pour tenir Sa Parole. Dieu!

175 Maintenant, les fauteuils roulants, si vous voulez les installer ici, à l’avant; nous prierons pour eux ici, ce ne sera pas nécessaire de les pousser tout le long de l’allée, là. Qu’ils, très bien, qu’ils s’avancent jusqu’ici. Nous ne manquerons pas de prier pour eux, pour chacun d’eux. Dieu, riche en miséricorde!

176 Voulez-vous vous placer sur la droite maintenant, pour quelques minutes? Est-ce que Frère Brown est venu avec vous? [Un frère dit : “Il viendra demain.”–N.D.É.] Il viendra demain. Je–je–j’espérais qu’il soit là. Où–où est Frère Outlaw, où est Frère Fuller? Certains de ceux qui étaient ici avec moi, les premières fois que je suis venu, revenons à cela. Vous vous souvenez des lignes de prière à l’ancienne mode, où nous restions là jusqu’à ce que vous soyez obligés de me tenir, un d’un côté, l’autre de l’autre, tellement j’étais faible?

177 Combien ici ont déjà assisté à ces réunions-là, il y a longtemps, dans les débuts? Regardez donc. Vous vous souvenez, à l’époque, je vous avais raconté ce que le Seigneur Jésus m’avait dit : que, si j’étais sincère, ces choses-ci se produiraient. Pas vrai? À cette époque-là, ce n’était encore jamais arrivé. Mais c’est arrivé, parce que Dieu est riche en miséricorde, et fidèle à Sa promesse. Amen! J’essaie de m’arrêter, et je n’y arrive pas. Amen! Gloire à Dieu! Alléluia! “Oh, je suis si heureux d’être l’un d’entre eux.” Amen. Oh! la la! Il y a des gens presque partout
Dont le coeur est tout enflammé
Du Feu descendu à la Pentecôte,
Qui les a nettoyés et purifiés;
Oh, il brûle maintenant dans mon coeur,
Oh, gloire à Son Nom!
Je suis si heureux de dire : Je suis l’un d’entre eux.

178 Oh, moi, malheureux, misérable, pauvre, aveugle, le misérable que j’étais; et maintenant, par Sa miséricorde, par Sa riche miséricorde, j’entrevois le Royaume de Dieu. Amen. Qu’ils sont beaux Ses commandements!

179 Placez-vous juste là, mon frère, avec votre béquille. Si vous ne pouvez pas vous lever, très bien, restez juste ici, nous descendrons prier pour vous.

180 Et maintenant, que les A et les B, ceux qui ont ces cartes de prière là, se mettent en ligne de l’autre côté, là, et nous allons prier pour eux.

181 Mes frères dans le ministère, certainement que vous, si vous croyez à l’imposition des mains aux malades, venez vous tenir ici avec moi, sur l’estrade. Nous allons prier pour les malades.

182 Maintenant, quant à vous, les gens qui sont dans la ligne, si vous pouvez croire que la Présence de Dieu est ici, que le Saint-Esprit est au milieu de nous maintenant, à faire exactement ce qu’Il avait dit qu’Il ferait. Si j’avais la puissance de vous guérir, certainement que je le ferais. Si j’avais le moindre moyen de vous guérir, certainement que je le ferais. Je ne l’ai pas. Je... Dieu a donné un petit don.

183 Je ne suis pas un prédicateur extraordinaire. Je n’ai pas assez d’instruction, je ne remplis pas les conditions requises pour être un prédicateur, ce qu’on appelle un prédicateur ces jours-ci, alors que les–alors que les expériences doivent être d’ordre théologique, et qu’il faut avoir un certain doctorat, et tout. Je ne peux pas remplir ces conditions-là. Mais Dieu, Il voit mon coeur, et Il sait que je veux faire quelque chose pour Lui, je veux montrer mon appréciation.

184 L’autre jour, un homme me disait, il disait : “Je trouve que vous êtes vraiment un brave homme, Monsieur Branham, mais je crois que vous êtes sincèrement dans l’erreur. Vous êtes complètement en dehors de Sa volonté. Savez-vous que vous allez être condamné au bout du chemin?”

185 J’ai dit : “Écoutez, je voudrais vous dire quelque chose. Disons que vous–que vous ayez raison, disons, juste à titre d’exemple. Si je suis dans l’erreur, ce que je–je ne crois pas, mais si j’étais dans l’erreur, et que je sache en ce moment que j’allais vivre jusqu’à l’âge de cent ans, et qu’Il allait me condamner au bout du chemin, me dire : ‘Tu ne mérites pas d’entrer dans Mon Ciel, William Branham. Va-t’en dans les ténèbres du dehors.’ Savez-vous quoi? Je Le servirais quand même tous les jours de ma vie, jusqu’à ce que je parte. En effet, j’ai reçu de Lui tellement de bénédictions que je ne méritais pas, qu’Il est plus que la vie pour moi. Il est tout ce que je...”

186 Tout ce que je suis, tout ce que je pourrais jamais espérer être, je le dois à Sa grâce et à Sa miséricorde. J’étais malheureux, misérable, pauvre, aveugle, mais c’est par la grâce qu’Il m’a guéri, et je suis robuste et en bonne santé, par la grâce de Dieu. J’ai une bonne vue. J’ai à manger, à boire, j’ai tout ce dont j’ai besoin. Il n’a jamais promis de pourvoir à mes désirs, mais à mes besoins.

187 Et si je suis rejeté ce jour-là, et que je sache... Je ne peux pas voir pourquoi je le serais. Mais si je savais que j’étais dans l’erreur, et que c’est ce que Dieu ait choisi pour moi, que je sois dans l’erreur, je voudrais rester dans l’erreur, et, parce que je veux faire Sa volonté. C’est, je L’aime tellement que je veux que Sa volonté soit faite. C’est toute une affirmation, ça, mais j’espère que vous comprenez la manière, l’esprit dans lequel je l’ai dit. Vous voyez, je veux faire Sa volonté. À un moment donné, je Lui demande quelque chose, Il hoche la tête, “non”, je me réjouis tout autant de ça que je le pourrais s’Il disait “oui”. En effet, nous devrions toujours demander : “Que Ta volonté soit faite.” Ses non sont tout aussi... si c’est ça Sa volonté, c’est aussi... C’est bien mieux que Ses oui, si c’est Sa volonté de faire comme ça. C’est là qu’on L’aime vraiment. Amen.

188 Je me mets à parler de Lui, et je ne peux plus m’arrêter. Oh, Il est tellement réel, tellement réel pour moi! Mes amis, Il est–Il est tout ce que je suis, tout ce que je pourrais jamais être, tout ce que je m’attends jamais à être, tout cela est fondé sur Jésus-Christ, Sa Parole.

189 Je suis reconnaissant ce soir, du témoignage du Saint-Esprit, du Message. Je sais qu’il se pourrait, que certains pourraient être en désaccord avec, mais, comme je vous l’ai dit, je suis lié par le devoir envers un Message. Un signe a paru, et Dieu n’envoie pas un signe simplement pour montrer qu’Il est Dieu. Il y a toujours un Message, une Voix qui suit le signe. Tout le monde sait ça.

190 Jésus est venu, avec des signes et des prodiges. Il était un grand Homme quand Il opérait des signes et des prodiges, mais quand Il s’est mis, qu’Il s’est assis et qu’Il s’est mis à apporter le Message : “Moi et le Père, nous sommes Un”, oh! la la! pour eux, c’était faux, ça. Voyez? Mais la Voix devait suivre le signe.

191 Moïse a reçu deux signes, et chacun de ces signes avait une voix. C’est exact. J’ai prêché là-dessus, il y a quelque temps, quelque part, sur La Voix du signe. Il doit avoir une–une Voix, ce signe. C’est un changement. C’est toujours comme ça. Sinon, ce n’est pas venu de Dieu.

192 Si un homme se présente avec un ministère étrange, inhabituel, que ce ministère correspond à la Vérité de la Bible, mais que cet homme continue à s’en tenir à la même vieille doctrine dénominationnelle, oubliez ça. Ça ne vaut rien! Dieu ne fait rien de semblable. Cette affaire-là, c’est de la manne pourrie, c’est grouillant de termites, ou de vermisseaux, ou du nom que vous voudrez donner à ça, d’il y a quarante ou cinquante ans, et ils essaient encore de manger de cette vieille manne qui est tombée il y a bien des années passées. Les enfants d’Israël, quand ils faisaient route, il tombait de la manne neuve tous les soirs. C’est exact, on ne pouvait pas la conserver jusqu’au lendemain.

193 Nous ne vivons pas d’un autre âge qui est du passé. Nous mangeons de la Manne neuve, de la Manne fraîche qui descend du Ciel, alors que nous poursuivons notre marche.
Maintenant courbons la tête.

194 Seigneur Dieu, Tu es tellement réel, Ta Présence. Je pense à la grâce, Seigneur. Nous–nous T’avons vu faire tant de choses! Nous T’avons entendu parler en langues, nous Te voyons en donner l’interprétation, par Ton peuple. Ô Dieu, de Te voir guérir les malades, ouvrir les yeux des aveugles, faire marcher les boiteux, entendre les sourds, parler les muets, quel Dieu grand et puissant Tu es!

195 Et de voir que Tu as promis ces choses pour les derniers jours. Bien que nous trouvions beaucoup d’imitations charnelles, reste que celles-ci ne font qu’indiquer qu’il y a un vrai Dieu quelque part, qui est réellement vrai. Aussi je prie, Père Céleste, ce soir, que nous devenions tellement conscients de Dieu que nous reconnaissions que Tu es ici.

196 Et ces gens qui sont dans la ligne, quand ils passeront dans la ligne, Seigneur... en effet, si nous faisons comme ça, c’est parce que nous leur avons fait une promesse. Et Tu as dit : “Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru.”

197 Il y a des frères dans le ministère qui sont debout ici, des hommes que Tu as choisis avant la fondation du monde, pour qu’ils soient ce qu’ils sont ce soir. Tu savais, avant qu’il y ait un monde, que nous serions debout ici ce soir, parce que Tu es infini.

198 Alors, nous prions, Père Céleste, ce soir, que ces gens qui sont malades, infirmes, aveugles, boiteux, accablés par le cancer, ou quoi que ce soit, quand ils passeront dans cette ligne, qu’ils prennent conscience du fait que le Dieu même qui connaît le secret du coeur les guérira, s’ils veulent seulement l’accepter, seulement regarder et comprendre.

199 L’homme qui regardait le serpent d’airain en le considérant simplement comme un prêtre... morceau d’airain, celui-là ne serait jamais guéri, parce qu’il ne comprenait pas de quoi il s’agissait.

200 Et aujourd’hui, Seigneur, c’est pareil. S’ils regardent un don, en considérant qu’il pourrait peut-être les aider, ils ne comprennent pas. C’est seulement une confirmation de la Présence de Dieu, qui est ici pour guérir. Accorde-le, Père. Que ce soit fait, au Nom de Jésus. Amen.

201 Je voudrais que la petite pianiste, si elle le veut bien, homme ou femme, qui que ce soit, aille là jouer le chant “Le grand Médecin est proche maintenant, le compatissant Jésus”, si elle le veut bien, où que soit la pianiste. Maintenant c’est...

202 Je me rappelle l’un des mes premiers services de guérison, à Fort Wayne, dans l’Indiana. Une jeune fille amish était assise au piano, elle jouait “Le grand Médecin est proche maintenant, le compatissant Jésus”. On m’a amené un tout-petit sur l’estrade, il était infirme. Pendant que je priais pour le petit, d’un bond il s’est dégagé de mes bras et il s’est mis à courir sur l’estrade. La mère s’est évanouie. La grand-mère, son mouchoir en l’air, et elle s’est mise à pleurer.

203 Et cette jeune fille amish, là, qui ne connaissait absolument rien des pentecôtistes; en effet, elle était membre de l’église amish, mais elle était en train de jouer. Sa longue chevelure a glissé sur ses épaules; dans l’Esprit, elle s’est levée et elle s’est mise à chanter en langues inconnues, et les... et en harmonie avec ce chant. Et les touches du piano descendaient et remontaient, en jouant “Le grand Médecin est proche maintenant, le compatissant Jésus”. Amen! Il est le même hier, aujourd’hui et pour toujours.

204 Maintenant prions, là, alors que... Maintenant, que tout le monde dans l’auditoire prie. Ceux d’entre vous qui vont passer dans la ligne, quand nous vous imposerons les mains, souvenez-vous, Jésus a dit que “si vous le croyiez, vous seriez guéris”. Vous le croyez? Maintenant chantons tous, là. Le grand Médecin est proche maintenant,
Le compatissant Jésus,
Il réconforte... (Fermons donc les yeux maintenant, pendant que nous le chantons.) ...coeurs abattus,
Oh, entendez la voix de Jésus. La note la plus douce du chant d’un séraphin,
Le nom le plus doux sur la bouche d’un mortel,
Le chant le plus doux... (Ô Dieu notre Père, touche les gens maintenant.) ...chanté,
Ô Jésus, Jésus béni.

205 “Le grand...” Maintenant, pendant que vous défilez maintenant, Il est ici. Croyez-moi sur parole, ou bien croyez-le vous-mêmes, Il est ici. Que tout le monde dans l’auditoire soit en prière maintenant, pour les gens.

206 [Frère Branham et les prédicateurs prient pour les malades, pendant que Frère Borders fait chanter quelques chants à l’assemblée.–N.D.É.] Ô Seigneur, je crois; ô Seigneur, je crois;
Tout est possible, ô Seigneur, je crois.

207 Que tous ceux qui croient lèvent la main, comme ceci, dites : “Je crois.” [L’assemblée dit : “Je crois.”–N.D.É.]

208 Il y a un homme assis ici. La raison pour laquelle j’ai parlé longuement, il se meurt du cancer. Il s’appuie sur cette béquille. Il n’y a absolument aucun autre moyen pour cet homme de vivre, rien que Dieu. Le cancer s’est propagé partout dans ses intestins, et, sans la miséricorde de Dieu, il mourra. Je souhaiterais pouvoir... [espace non enregistré sur la bande –N.D.É.] ...parole d’encouragement à cet homme.

209 Vous–vous savez que les médecins ne peuvent plus rien pour vous maintenant. Vous êtes hors de la portée de la médecine, voyez-vous. Et vous êtes... Vous n’avez qu’un seul espoir, c’est en Christ, voyez-vous. Et, frère, vous... Moi aussi, un jour je mourrai. Vous devrez partir, si Jésus tarde. Je devrai vous rencontrer là-bas, me tenir là, au Tribunal du Jugement. Et ce soir...

210 Vous savez, comme la télévision, on a découvert, par la télévision, que chaque fois que nous bougeons ne serait-ce que le doigt, n’importe quoi, c’est enregistré. Chaque parole que nous prononçons est enregistrée. Maintenant, voyez-vous, la télévision a démontré ça. Or, la télévision ne fabrique pas l’image, elle ne fait qu’orienter cette onde pour la transmettre dans le téléviseur. Voyez-vous, elle ne la produit pas. La télévision existait quand Adam a marché sur cette terre, la télévision existait quand–quand Moïse a traversé la mer Rouge, la télévision existait quand Élie était sur la montagne du Carmel, voyez-vous, mais on vient simplement d’en faire la découverte. Voyez? Et maintenant, partout où je...

211 Chaque mouvement que nous faisons, et chaque son, c’est enregistré sur un disque, et nous y serons confrontés au Jugement. Chaque mouvement que nous faisons, nous devrons y être confrontés là-bas. Moi, en tant que prédicateur, je devrai répondre des paroles que je vous dis. Je devrai le faire, parce que Dieu m’en rendra responsable.

212 Maintenant, si je le pouvais, je vous guérirais; en effet, il ne vous reste qu’un peu de temps, si Dieu n’intervient pas. Bon, je suis descendu et j’ai prié pour vous, du mieux que j’ai pu. Frère, tout ce qui est humainement possible de faire pour un homme qui se trouve dans cet état-là, je le ferais.

213 Je vais vous demander quelque chose, voyez-vous. Vous–vous–vous êtes déjà guéri, parce que Jésus l’a dit. Voyez-vous : “C’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.” Maintenant, si vous pouvez, du fond de votre coeur, l’accepter, vous ne mourrez pas, maintenant, mais vous vivrez.

214 Or, voyez-vous, là, nous savons que la télévision traverse cette salle en ce moment. Nous le savons. Nous ne le voyons pas. Nous ne pouvons pas le voir, nos yeux ne sont pas faits, nos sens ne peuvent pas le capter. Il faut qu’un tube soit fabriqué, ou quelque chose, à galène, pour capter ça.

215 Dieu aussi, Il est présent. Nous ne Le voyons pas, mais nous savons qu’Il est ici. Jésus-Christ est le même. Regardez, Il vient de Se manifester, de montrer de quelle façon Il Se... Or, pour ce qui est de la guérison, s’Il se tenait ici même en ce moment, Il ne pourrait rien faire de plus pour vous, voyez-vous, absolument rien de plus. Si le Fils de Dieu était ici même, et Il l’est, Il est ici, mais Il ne pourrait rien faire de plus pour vous, parce qu’Il S’est déjà identifié, comme quoi Il est ici. Voyez? Et Il est ici, en ce moment, même chose, pour vous guérir et vous redonner la santé.

216 La petite dame qui est là, m’a dit, elle a dit : “Vous avez demandé la bénédiction, prophétisé, ou quelque chose”, sur elle, disant qu’elle aurait un bébé, – elle est assise dans ce fauteuil roulant, – et elle l’a eu, elle a eu son bébé.

217 Et maintenant cette petite dame est assise ici. Elle se faisait opérer d’un goitre, là, et elle a été frappée de paralysie. Eh bien, ce sont des choses qui se voient fréquemment. Maintenant, petite soeur, je sais que vous êtes une véritable Chrétienne. Pourquoi Dieu vous garde dans ce fauteuil, je ne sais pas. Je crois que c’est peut-être parce que vous avez... La foi, vous–vous essayez d’avoir la foi, pour vous relever de là, vous voyez. Mais maintenant, regardez, ne nous contentons pas d’essayer de l’avoir, ayons-la maintenant, voyez-vous, on va–on va y être, c’est tout. C’est aussi simple que ça, à partir de maintenant, c’est parti, on va retrouver la santé. Et ceux d’entre vous qui sont dans ces fauteuils roulants, quoi, ou–ou, quel que soit votre état, souvenez-vous seulement que Christ est présent.

218 Maintenant, vous dites : “Est-ce qu’il y a quelqu’un, est-ce que vous voyez que mon image est en train d’être transmise?” Oh oui.

219 Les Paroles mêmes de Jésus-Christ, qu’Il a prononcées quand Il était sur cette terre, passent directement dans cette salle en ce moment. Elles ne meurent jamais. Combien savent que ça, c’est une vérité scientifique? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Eh bien, qu’en est-il? Ensuite l’Esprit saisit cette Parole, qui a été écrite, et Il La manifeste. Oh, gloire!

220 Il est ici. Il est ici même maintenant, le Seigneur. Nous, simplement... Nous avons vu tant de choses, Il a accompli tant de choses, que c’est comme si on, vous savez, comme si on passait par-dessus sans y faire attention. Si nous prenions conscience, ce n’est pas quelque chose de mythique, pas qu’un terme théologique quelconque, mais c’est la preuve, Il a promis qu’Il apparaîtrait en ce jour, et Le voici qui le manifeste ici même devant nous maintenant. Comme c’est merveilleux! N’est-ce pas merveilleux? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]

221 Maintenant croyez. Voulez-vous le croire? Croyez que vous n’allez pas mourir. Vous allez vivre, et vous allez honorer Dieu. Vous allez honorer Dieu. Avez-vous déjà été baptisé? Est-ce que vous êtes Chrétien? Vous êtes Chrétien. Eh bien, vous voulez vivre pour honorer Dieu, alors, allez vivre, mon frère. Au Nom de Jésus-Christ, vivez!

222 Et, soeur, vous voulez marcher pour la gloire de Dieu, et vous occuper de votre bébé, alors, marchez, soeur, au Nom de Jésus-Christ!

223 Vous, chacun de vous, faites pareil, au Nom de Jésus-Christ! N’oubliez pas ce motel Westward Ho, cette soirée, la Présence de Dieu qui s’est identifiée ici. Il ne fait pas acception de personnes. Tout ce qu’Il veut, c’est que vous croyiez. Le croyez-vous maintenant? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Amen. Que Dieu vous bénisse.

224 Maintenant courbons la tête. Je ne sais pas qui ils ont choisi pour–pour terminer la réunion. Frère Mushegian, ici, avancez-vous, frère. Il va terminer par la prière. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse.

1 You may be seated. [Blank.spot.on.tape--Ed.] I was sort of packed away, coming in and seeing Brother Moore and all of them here on the platform, the friends that I've knowed for so many years. It's certainly a privilege to see them here tonight. I feel kinda small to stand here and speak with such theologians behind me, and maybe they'll correct me when I'm wrong. I hope so.
We are very happy tonight to have a certain person here, Sister Rose. We was coming down... I was with Brother Shores and his assistant today for a little lunch. And on the road down, Brother Williams said that Sister Rose was very sick. And I--we went in to see her just a moment, knelt down. And she had a high fever, and really sick. Just a few words of prayer, and the Lord spoke to us, and said, "She's going to be healed, and she'll be there tomorrow night." And here she is tonight, setting right here. That's right.

3 Sister Rose, stand up just a minute, so that they... We are thankful to the Lord. She was bedfast. She said, "The--the devil just beat me out of everything. I come over here and had a breakdown with this," some kind of a throat disease, and so forth. But the Lord has brought her through, so to that we're happy. Thanking the dear Lord.
Now, we've been having wonderful times. And tomorrow night, now, we go over to the--the Ramada. And don't forget now, it won't be here tomorrow night, it'll be at the Ramada. And the convention begins the next night. Had to put up with me one more night, you know.

5 So last night I--I went so far off of scale, I kind of made a little promise to myself that, the first of the year, that I just going to cut them messages down from three or four, five hours, to maybe along about thirty or forty minutes. And as I told you last night, my wife commented me Sunday, said, "You did real well." So--so then, of course, I had to come along last night and ruin it (See?) at about... I was fifty-five minutes, instead of thirty, last night.
Coming down, tonight, Billy said, "What are you going to speak on?"
I said, "Well, I got a few little notes wrote out here and some Scriptures. I don't know, some of them, four or five different messages." I said, "I feel when I get down there, and see what's going on."
Said, "You promised to pray for all them sick people."
I said, "Yes, sir. How many cards you got?"
Said, "Two hundred."
I said, "I better start on them tonight."
And he said, "Now, remember, you only get fifteen minutes to speak." Said, "You took the rest of it up last night." [Brother Branham and the congregation laugh--Ed.] We'll have to hurry up, won't I? Ha.

10 Well, we are--made a promise to you, that we would pray for those people who had prayer cards, and we're--we're obligated to a promise, of course. We can't bring them all through these lines, and neither could I be able to call them individually out in the audience. Even though the Holy Spirit would give it to me, I--I just can't stand to do it. It's just too much on me. And, but we're all acquainted with those things. We know that God's still God. It isn't that that heals. It's that that only builds faith to let us know that--that we're in His Presence.
And we're going tonight to pray for all those sick people, every one of them that's got those prayer cards to be prayed for. And then tomorrow night, over at the Ramada, we'll try to give out some more and start praying for them over there, 'cause I still have tomorrow night. And I think I have one night of the convention, maybe a breakfast also. It depends on how things come out.

12 There's some of the, one of the speakers that never showed up; hasn't as yet, I don't think. Brother Humburg, or is that... [A brother says, "Amburgy."--Ed.] Amburgy, Amburgy, Kash Amburgy. So I--I get it all wrong; that's that German name. I--I guess that's German. So I may have to kind of pinch-hit, as we call it, excuse the expression, for him.
So we been having a wonderful time in the Lord though. To all of you, if there be some strangers here tonight, we're sure glad to have you in, and trust that the Lord will bless you. I pray that there won't be any sick people in the building when we leave tonight, that our Lord will come down in His great power and will heal all that's sick and afflicted.

14 Here sometime ago, I used to take the individuals in on special interviews, some of the hard cases that we couldn't get through. Then it built up so fast, till it got to be, the Lord kept blessing it, till we got three or four hundred on waiting, and so then people get their feelings hurt because they'd wait. Maybe on that much time, you'd have to wait maybe a year or two, so to get in to it (See?) just in between the meetings, to take them on the interviews. And we'd just set and wait on the Lord until He told us just exactly the case.
There's no doubt there's people setting here tonight that's been on them special interviews. Is there? Let's see you raise your hands. On the special interviews, yes, there sits, so--and know that that's right. We just wait to see what the Lord would say, what that case... And then I had to stop that here some time ago. I told Billy that we couldn't have any more private interviews.

16 See, I--I--I just passed twenty-five, recently, second time, and way up towards the third time. And so as you get a little older, why, you don't, you... Somehow you can't keep up like you used to. Your steps shorten. And--and you... 'Course, Brother Moore don't know anything about that yet. He... I think we are somewhere around the same age.
But a lot of water's went down the river since you and I, and Brother Brown come here the first time, with Brother Outlaw and Brother Garcia, and Brother Fuller. I wonder if them men would be in here tonight? Brother Garcia, Brother Fuller, Brother Outlaw, are they here? Raise up your hands if you are there. Yes, there's Brother Fuller, I believe, if I'm not mistaken. Brother Outlaw over here. Brother Garcia, I--I believe though that he left Phoenix. I think that's right. He--he left Phoenix, and he's over in California. Well, it was certainly grand days, and I still believe the same Message I had then: "Jesus Christ the same yesterday, today, and forever." I guess that's been about... Well, Becky was a baby. That's about nineteen years.
And now, she is a big, old, fat, ugly girl setting out there somewhere, nineteen years old. Where are you, Becky? Boy, she'll get me for that. I remember packing her in on my arm. I'd sure have a job doing that tonight...?...

19 Remember over at Brother Garcia's church one night, she was a little bitty fellow. And I said, "We have an international meeting tonight." I said, "I'm speaking to the Spanish." And I said, "My wife here is a German." I said, "I'm an Irishman." And I said, "And my little girl's an Indian," and that was Becky.
So when I went out the back door, there was a little Mexican girl out there, said, "Brother Branham?"
Said, "Yes, honey, what do you want?"
Said, "Don't you think your baby is a bit pale to be an Indian?" She's a blond, you know.
And I said, "Just an Indian in action."
Well, we're thankful that--to be here again tonight. Now, before we approach the Word, let's approach Him, for He is the Word. When the Word is made manifest, that's Him in you.

22 As we had last night on "The Seed Of Discrepancy," did you appreciate that, the Lord's blessing? I--I certainly appreciated bringing the message to you. And we see what the seeds are.
Now, is there a special request tonight, just something special? Maybe some of you all that's going to be in this prayer line, say, "God, be merciful. When I come to be prayed for, let my faith rise up to meet the conditions." And--and maybe somebody's got a loved one sick, and something, would you just raise your hand so God would just look down and say... Now, if--if that... You know how that makes me feel to look there. Just look at the need in here. Minister brothers, just look at that. See? Now, if it makes me feel that way, what does it do to our Father? Certainly. Now, let us pray.

24 Dear Jesus, we are approaching now the great throne of mercy, through this all-sufficient Name. "For there's no other Name given among men whereby we must be saved, or--but only this Name of the Lord Jesus." And we're coming in His Name. And we pray, heavenly Father, that You will receive us tonight as Your believing children. And forgive our unbelief, Lord. Help it tonight, that it may be that we will completely believe every Word of God tonight, for all the things that we have need of.
You know what's beneath these hands that's been raised up; there's sickness, some of them may be domestic troubles, some of them financial troubles; some of them are weary, maybe some backslid, some sinner. Whatever the need is, Thou art more than a match for any enemy. So we pray, Lord, that--that tonight that we will recognize that our enemies, every one, has been defeated, even to death itself. And that we are more than conquerors in Him Who--Who loved us and gave Himself for us, has washed us in His Blood.

26 We pray, Lord, that all unbelief, all doubt, all flusteration, all that's unlike God will flee from us tonight, that the Holy Ghost might have the right-of-way in our hearts. May He speak to us in a mysterious ways. May He speak to us in His power. May He resurrect those that are--are spiritually dead, bring back health to those who are sick and afflicted, lift up the feeble knees, the wearied hands that's hanging down. May there be a time of rejoicing.
May it break forth tonight, Lord, to leave this place to the Ramada Inn, and start one of the greatest conventions that's ever been held in this city. Lord, while we're assembled together and pray. You said, "If the people that are called by My Name, shall assemble themselves together and pray, then I'll hear from heaven." God, we pray that this will be so, tonight.
Now, Father, as we read the Word, no one can interpret It but You; You're Your own Interpreter, and we pray that You'll interpret to us the things that we read tonight. For we ask it in Jesus' Name. Amen.

29 Now, if many of you like to just mark down Scriptures that a minister reads... And I would like for you to tonight, if you would, to turn to Ephesians.
And I was speaking last Sunday on the Ephesians, how that the Book of Joshua was the Ephesians of the Old Testament, and how it was a Book of redemption. And redemption has two different parts: "come out of" and "entering into." First, you have to come out. Some people wants to bring the world in with them; but you got to come out of the world to enter into Christ. You have to come out of unbelief to enter into faith. There cannot be one thing in your way. To really have genuine faith, you must absolutely leave everything that's contrary to the Word of God behind to enter into faith.
And that was the Book of the Ephesians of the Old Testament: Joshua. Where, Moses represented the law, could not save no one, but grace could, and here "Joshua" is the same word like Jesus, "Jehovah-Saviour."
And now then, we find out that we have come to another Ephesians, another Ephesus now. Where that in our intellectual denominations and so forth, and all of our educational programs has come to its--its Jordan, then we must have an--an Ephesians again. We must have an exodus we--to "come out" and to "go into," for the rapture.

34 Now, we're going to read tonight from the 2nd chapter of Ephesians. I was just saying that so you could get to the--the spot, or turn to the chapter.
You--and you has he quickened, who were dead in trespasses and sin:
Wherein in times past you walked according to the course of this world, according to the prince of the power of the air, the spirit that now worketh in the children of disobedient:
Among whom also we all had our conversations in times past in the lusts of the flesh, fulfilling the desire of the flesh and of the mind; and were by nature the children of wrath, even as others.
But God, who is rich in mercy, for his great love wherewith he loved us,
Even when we were dead in sin, has He quickened us together with Him,... (or)... quickened us together with Christ, (by grace are ye saved;)
I want to take from there a few, or part of the verse, "but God... The God Who Is Rich In Mercy."

36 I want you to notice here of the prophet, apostle, rather, Paul, who--who, how he made mention of this, how, "You has He quickened, who were once dead. You hath He quickened, who were once dead, dead in sin and trespasses, walking after the things of the world, the desire of the flesh, and fulfilling the desire of the mind. Has..."
What caused this change? you see? And what caused it from one time being dead, to quicken? "Quicken" means "made alive." There was a change from death unto Life. There's no other--there's no other thing that could happen to any person, so great, as to change him from death to Life. A man, if he was dying, physically, and could be healed physically, that would be a great thing, but nothing so great as when he is spiritually dead and God has quickened him to Life.

38 You once in times past, dead... You were dead. Even many here tonight, one time can look back and know that you were dead. But now why aren't you dead tonight as you were then? You deserve to be that way, because you was a sinner, but God Who is rich in mercy. That's the--that's the thing: God Who was rich. All these things that we were, but God. That made the change right there: God Who is rich in mercy.
Oh, I'm so glad for that, that He being rich in mercy. If He was just rich in money, if He was just rich in materials, which He is, but yet the greatest thing is being rich in mercy. Oh, what a great word that is, how that we were once dead.

40 And we was speaking the other night on how the seed must die. And everything around that germ of life must not only die, but rot. If it doesn't rot, it cannot live. And rot is "completely done away with; it's finished." And until we get to the place that our own ideas and our own thinking is completely gone and it's rotted away from us, then the germ of life can begin to live.
Now, now, we might, I might inject just a little bit of doctrine here that I don't... If you don't believe it, all right. That's just okay. I do believe it. I believe that--that a man, when he's born in this world, that when you're a little baby, born into the world, you could not have been here without being the foreknowledge of God, because He is infinite and He knows all things. And when that little baby is born into the world, there's something in that baby. If he's ever going to have Life, there's a little something in there, in that child then, that he comes to sooner or later. That little seed is in him. Now, if you'll take... The Scriptures plainly declare that.

42 Now, if you've got Eternal Life tonight, if we have Eternal Life, then we always were, because there's only one form of Eternal Life. We always were. And the reason we were, because we are a part of God. And God is the only thing that's eternal.
And like Melchisedec received tithes from Abraham, and it was 'lotted to his great-grandson, Levi, who was yet in the loins of Abraham; paid tithes, for he was yet in the loins of Abraham when he met Melchisedec. I want to speak on that over at the other place, one morning: Who Is This Melchisedec? Now, notice that. Way back, God knew this boy coming down. He knowed all things.
Now, we are a part of God. You always was. You don't remember it, because you were only an attribute in God. You were only in His thinking. Your very name, if it ever was on the Book of Life, it was put there before the foundation of the world. He knew what you were.

45 I'm only saying this, not to mix up doctrine, but to straighten it out, that we might get away from this fear and scare: you don't know who you are. You are not going to be, but now you are the sons of God. See, you always were the sons of God. See?
For when God had you in His thinking at the beginning, you have to be, some part of you, your Life that's in you now, had to be with God before there... Well, when you--before you even become material here on earth, before there was anything, but God, you were one of His attributes. He knowed what your name would be. He knowed the color of hair you'd have. He knowed all about you. The only thing happened is when you, being a sinner...

47 Many of you can--can fellowship with me on this thought. When you was a little boy, or a little girl, you'd walk around and there would be certain things that would just, where it wouldn't bother the other kids, it seemed like there was something in you that cried out. There was God somewhere, yet you were a sinner. You remember that? Certainly. Now, what was that? That was that little form of Life in you then.
And then after while, you heard the Gospel. Maybe you went to church; you picked out this and that, and went from denomination to denomination. But one day, you being part of God, you had to be part of the Word. And when you heard the Word, you know where you come from, you knowed what was the Truth. You were always, the seed was in you always. The Word seen the Word that was in you, that was before the foundation of the world, saw the Word and you come to It.

49 Like my little eagle story, of how the little eagle was hatched out under a hen. And the little fellow walked with the chickens, he, the hen clucked, and he didn't understand her clucking. And--and the little chickens, their diet they had in the barnyard, he--he didn't understand that, how that they did that. But there was something in him, seemed to be different from what that chicken was, because at the beginning he was a eagle. That's right. One day his mama come hunting him, and, when he heard that scream of the eagle, it was different from the cluck of the hen.
And that's the way it is with every born again believer. You can hear all the theology you want to and all the manmade discrepancy; but when that Word flashes out there, then there's something takes ahold, you come to It. "You who were once dead in sin; that life has He quickened." There has to be a Life there to quicken to, first. God by His foreknowledge knowed all things. And we were predestinated to be sons and daughters of God. "Ye who were once dead in sin and trespasses, wherein we all had our times past, but hath He quickened."

51 Look at Paul, when Paul was a great theologian. But when he come face to face with that Word, Jesus, it quickened. He come to Life right quick, because he was ordained to be that. The... He was part of the Word; and when the Word saw the Word, it was his nature. All the clucking of the hens in the orthodox churches, didn't have no effect upon him; he had saw the Word. It was part of him. He was an eagle. He wasn't a chicken; he was just in the barnyard with them. But he was a eagle to begin with.

52 I heard a similar little story, I hope it don't sound sacrilegious, about a little duck being born under a hen one time. He couldn't understand. A funny-looking little fellow, odd guy, and he couldn't understand the dust and everything. They were playing in the barnyard. But one day the old hen led the little brood out behind the barn, and he got a smell of water. Why, he took out towards that water as hard as he could go. Why? He had never been on a pond before. He'd never been in the water. But he was a duck to begin with. Only thing he had to do was come to himself.
That's the same thing the believer is. There's something in him, that, when he meets God face to face, he comes to himself. That seed is in him, and it's quickened. My, that's right, and he flies away from the things of the world. They become dead to him. My, I remember, we all had our life in the past in those things of the world. But once we got ahold of that real Thing, something that quickened us, a little seed that come to Life, then all the things of the world rotted right there. We had no more desire of it.

54 "He that's borned of God, doth not commit sin. The worshipper once purged has no more conscience of sin, no more desire to sin." The sin question's over. You become a part of God in Christ. Christ died to redeem you.
Now, just think of all that we would've been if it hadn't been for God. But God in His rich mercy, how He has redeemed us tonight. Where would we been tonight if it hadn't been for God's rich mercy upon us?
Once the world was so sinful, that man had caused corruption to come upon the earth until it even grieved God that He ever made man. The whole head was a putrefied sore, the whole body, and God even grieved that He ever made a man. So He said, "I will destroy men who I've created." He will destroy them because he has nothing but just a bunch of corruption.
And the whole human race would've been wiped out at that time, but God rich in mercy would not let the innocent perish with the guilty. And He went away and made a provided way for the ones that wanted to come in, that wanted to do what was right. He made a way of mercy for those who desired mercy, and He prepared an ark. In other words, He put some wings on His eagles, that they could fly above the judgment, and not drown with the chickens. But He--He made a way of an escape in the days of Noah. This caused Him to do that, to provide it, because He was rich in mercy.

58 But after He has provided a way for people and then they refuse it... Now, the reason they refuse it is because there's nothing in there to receive it. There's nothing to receive it. My mother used to say, "You cannot get blood from a turnip, because there's no blood in a turnip." So if there is no form of Life in there to receive It, then It cannot be received.
That's the reason the Pharisees could look right in the face of Jesus and call Him Beelzebub, because there was nothing in them to receive Him. "But all the Father has given Me," He said, "will come to Me." There's--there's some way it's going to be presented.

60 You can talk to people sometime on the streets, talk to them about the Lord; they laugh right in your face. Well, we're supposed to do it anyhow. But listen, "There's no man can come to Me except My Father draws him first." God has to do the drawing. There has to be a Life. "And all that He has given Me, will come to Me."
He made a provision for those who wants to be redeemed. He made a provision for those who wants to be healed. And then because that He did this, makes Him rich in mercy, as He's always been rich in mercy. It must be, if you refuse This, there's nothing left but the judgment, because sin must be judged.
Pharaoh, when he went into the--the sea, as an impersonator, seeing that he could go in like Moses did... Moses with his army, and Pharaoh with his army, both of them should've perished in the sea, looked like. But God rich in mercy, made a way of escape for the Hebrew children (Why?), because they were following in the line of duty; they were following in the Word.
Now, that's the only way to obtain mercy, is to follow the instructions that God has give us to follow in. That's the only way He can show mercy, is when we follow what He said do.

64 As the little debate not long ago with a minister that said that I was teaching an apostolic doctrine in this day. I believe I spoke of it a night or two ago, or sometime, about how he said, "You're trying to inject into this age, an apostolic doctrine." He said, "The apostolic age ceased with the apostles."
And I asked him, "Well, do you believe the Word?"
He said, "Yes."
I said, "Revelations 22:18 says, that, 'Whosoever shall take one Word out of This, or add one word to It...' not just two words; one Word, take one Word out...
Said, "I believe that."
I said, "Then I can tell you where the apostolic age was given, the apostolic blessings was given to the church; now you tell me where God taken it out of the church by the Word. You can't do it; it's not there." I said, "Now, remember, that Peter on the day of Pentecost, he was the--the introducer of the apostolic age. And he told them all to, 'Repent, and be baptized in the Name of Jesus Christ for the remission of sins, and you shall receive the gift of the Holy Ghost. For the promise is unto you, and to your children, and to them that's far off, even as many as the Lord our God shall call.'"

67 Now, if you want to listen to the clucking of some denominational hen, and live back out there in the things of the world, then it goes to show that there's something wrong. Because that is the Word. "Whosoever will, may come." And if you've got a will, you should come. But if you haven't no will, then you're in a sad condition. But if you've got a will to come, come follow God's formula.
And He never fails to fulfill what He promised. I once was young, and now I'm old; I've never seen Him fail in His Word. Because He can do anything but fail. He cannot fail. God cannot. It's impossible for God to fail, and remain God. He has to, to do that.

69 Now, Pharaoh's army tried to impersonate, because they wasn't called and they had not that Life. Into the... The promise wasn't given to Pharaoh. The promise wasn't give him for a promised land.
And an impersonator, trying to follow a real believer who's called to such, only makes a mockery out of it. That's what's the matter with our religious system today. There's too many people trying to impersonate the Holy Spirit, too many people trying to impersonate the baptism, too many people trying to impersonate the apostolic age. It's for believers and that alone. God has made a way, rich in mercy, that His children would not perish. He's made a way for them.
Now, Pharaoh trying to pursue on, he drowned in the very waters that saved Moses and his group. Now, Moses did not drown, because God is rich in mercy to them who are following His provided way. Amen.
Can you see what I mean? That tonight, people who don't believe in Divine healing, people who do not believe in the baptism of the Holy Ghost, how can they receive anything? God is rich in mercy to those who will follow after Him; not after a creed, but after God.

73 God is the Word; It was made flesh and dwelt among us, now, that He might bring forth the other attributes of God. The body, Jesus, was the body of God, an attribute. Moses seen Him pass, the back part of Him; no man had seen His face. But now we seen Him, we have beheld Him, see Him as the Sacrifice. Now, see, He was an attribute of God, being displayed, the Word. That's what He was.
And when any believer comes to God, he becomes God's attribute of His Word; he's used to manifest the Word that's promised for that day. See? That's right. God, rich in mercy, has never left us without a testimony. He's rich in mercy.

75 We find out that God was so merciful to Moses out there in that dead sea--out in the Red Sea out there, rather. Then when He said here, in Exodus 19:4, He said, "I carried you away on eagles' wings, brought you to Myself. Carried them on eagles' wings, and brought you to Myself." There was other men in the middle of that sea out there also, trying to impersonate. But what? "He carried them on eagles' wings."
Now, God always likens His prophets to eagles. And what was it? Moses was His messenger. And they were following Moses, and that was the eagles' wings that they were carried on, because he was packing God's message. And the people followed that. They were following God as they followed Moses with His message of deliverance. And the Bible said that, "He--they perished not with them who believed not." 'Cause God was rich in mercy to them, because they were following His commandments. God wants us to follow His commandments.

77 We could say the same about Korah and about Dathan and their gang of unbelieving people, as they tried to impersonate. They tried to--to inflict something into God's program. They didn't like a one-man program. They didn't like that. They had to have something to do. Korah said, "Why, there's more holy men than you, Moses. You act like you're the only beach on the--or the only pebble on the beach, rather." And said, "I--I... you oughtn't to do that. And there's more men here."
And Moses knowed that he was to carry those children over into the promised land, because the promise was given to him. And he must pack them to the promised land.

79 And, today, the Holy Spirit is here to vindicate God's Word, and that's the eagle wing that we're supposed to ride on, not some manmade theology. But we are to ride upon the wings of the eagle, to the promised Land.
And here they was going to get a bunch of chickens out there, Korah thought, you know, to come around, impersonate this, the eagle. And when they did, God said, "Separate yourself from them," and He swallowed up the world. He would've swallowed up the whole thing, the whole creation, but God was rich in mercy to those who are trying to follow His Word. Always, God rich in mercy. Many of them come over on the side with Moses, and God opened up the earth and swallowed up the unbeliever. He, the--the unbeliever will always perish.

81 Those who did not believe, though they come out and walked for a while, but, they--Jesus said, "They are, every one, dead." And dead is "annihilation." They are dead. Just think of them. They come out, seen the miracles of God, seen the great hand of God, enjoyed the manna; and got out there and listened to a man named Balaam, that perverted the way of God by his teaching contrary to the Word, "We're all brethren, so let's just all get together."
That's another Balaam system rising up today, "Let's all get together." It will not work. Let's walk with the Eagle, Jehovah Eagle. You're eaglets.
There's only three saved out of the entire group; Moses, Caleb, and Joshua. The rest of them perished in the wilderness; Jesus said so in Saint John the 6th chapter. God in mercy would not let them perish, because--with the rest of the unbelievers. They all died right there in the wilderness, and they are dead. God saved Moses and the eagle believers, because that they had respect to His Word.

84 And today, friend, the only way that we can ever have favor with God, God's rich in mercy today, but we've got to respect what He said about it. You just can't take what somebody else said. You've got to take what God said. He said, "Let every man's word be a lie, and Mine true."
Today we're told that all you have to do in many places is join church, have a creed, or something like that; or say a prayer, or put your name on a book, or be sprinkled or baptized a certain way, or something like that. That's all you have to do. But that's wrong.
To be an eagle of God, you've got to follow the Word day by day. You've got to continue to feed upon the Word.

87 Now, we find them, after this time, murmuring again, weakened in faith, after God had showed mercy to them. And we find them murmuring with God, and when they did, they were dying with snake bites. Well, they deserved it. They certainly did. Anybody that would mistake God's Word and do these things that they did, they deserved to die. Every one of them desired--deserved to die in the wilderness.
But when they were so sick that even doctor Moses and none of them could do anything about it, and they were dying by the thousands, but God rich in mercy, He made a way of escape for those who would believe Him. He made an antidote for it by setting up a brass serpent. God in His rich... God made a way of escape so His believing children could be healed.
God's interested in everything that's wrong, everything that you anticipate in. Every walk of life, God is interested in you. You are His child, and He's rich in mercy. He wants to do for you.

90 The people sinned later by taking this same thing that God had made an atonement for them, by the brass serpent, which represented sin already judged, and they idolized that gift. And that sinned again. "God will not share His glory with nobody." Therefore, we can't have no two, three, four gods. There's only one God. He'll not share His glory with anything else. He's God, alone (See?), so as the heathens have many gods. We have the one God, and He will not share His glory with another; neither will He let anything be an idol in front of Him. Even though He had made an atonement for the people, and it was God's Word, it was right; but when they become to idolizing that, then they got in trouble.

91 Now, that's just the same thing, I think, that's happened to our church ages. God sent us the message of Martin Luther with his message, John Wesley, the Pentecostal message, but what did we do with it? The very same thing that they did with that brass serpent; we idolized it, "I belong to this, and I belong to that." You see, you belong to something without the sincerity that's connected with genuine godly worship of the Word.
What happened? The Bible... We're told in the Bible that the prophet took that idol and destroyed it. Hallelujah.
What we need on the scene today is a prophet that will destroy the idol of denominations, that thinks they're going into heaven upon belonging to some creed or a denomination: needs to be destroyed and burnt up, throwed away. God is full of mercy. He's rich in mercy. In the day that when we would've all been in that chaos of darkness out there, but God rich in mercy has sent us the real genuine Holy Ghost with His Own interpretation to It, right here in the building every night. God rich in His mercy, how wonderful we find Him to be. Yes, sir.
Now, all they thought they could do was to just go to this snake, or this little thing that God had made out there, had Moses to make and hang on a pole, and they could be healed without any sincerity. They just stood and looked at it. And they got to idolizing it, and God sent a prophet along and destroyed it.

95 Now, all that refused to look at that serpent in the wilderness, they perished. Now, God makes a way, but if you refuse to look at it, if you'll set across the street, if you'll hold onto some creed and refuse to look straight into the Word and see whether It's right or not; all that refused to look, they perished. And God is a never changing God. And all who refused to look, perished. So is it today, the same thing.
Then the people sinned later, and as they've always did, and made the idol out of--out of it, making it a--a--a--getting--trying to get a healing without sincerity, and they belonged to something, and the way we do today. And now we see then, the difference of it was that God...
It was a good atonement, the good sign for that time. That time it was all right. But it was just to be for that time, for that journey. That's all it will work for, that journey.

98 And the message that Martin Luther brought of justification was all right for Luther's age. That's as far as it went. Sanctification was fine in Wesley's age. That's as far as it went. Then we come into the Pentecostal age. And the restoration of the gifts is a very fine thing; it was fine in the age; but we are going beyond that now. We're beyond that, just as sure as there is a world. We've got to become beyond this thing, because we have done the same thing with it that they did before: make an idol out of it. "I belong to this order of it. I belong that order of it."
God will send somebody that'll smash the thing, and tear it to pieces, and confirm His Word, the full Word. Notice. Praise be to God. Now, we see that that's true. God rich in His mercy.

102 Then when the prophet destroyed this, it left them without any sign of healing, of an atonement, because their idol was destroyed. But God rich in mercy made them another one. And what did He do that? He troubled water at the pool at the temple, and many come and was healed by stepping into this water. Jesus came down to this same pool and saw a man had been laying there for a number of years, waiting for the troubling of the water. See, God rich in mercy. Although they idolized that thing, although the prophet had to tear it up, God made another way for them, 'cause He's rich in mercy. He wants them to be healed, and He made a way for their healing.
Now, then that went on, the world become more sinful and more sinful all the time. And finally the world got so sinful that God could've destroyed it, He said in Malachi 4, "unless I come and to smite the earth with a curse." He could've done it; just the question.

104 But then God rich in mercy He sent forth a Saviour, Jesus Christ. He sent forth Jesus to be both Saviour and Healer. For He said, "As Moses lifted up the brass serpent in the wilderness, so must the Son of man be lifted up," for the same purpose. He, the Atonement, that's what we have claim upon, nothing but the atonement. What Jesus purchased by His Blood, that's what we have claims upon. And the Bible said, "He was wounded for our transgressions; He was bruised for our iniquity; the chastisement of our peace was upon Him; and with His stripes we were healed." That's what we can claim, because that's what the atonement, that we stand for, ordered for us. God rich in mercy.
This was to be an eternal atonement, because He came Himself. God came Himself in the form of sinful flesh to make a--an eternal atonement; and suffered in the flesh, and made the atonement; and returned back in the form of the Holy Ghost, to confirm that atonement. Where no brass serpent or no trouble's water could do it; it all pointed to that perfect Atonement. God's rich in His mercy has did this.

106 Now, today, being it's the day that we're living in, we have come through these church ages and explained everything away from that. Our theologians of the day has far lost that side of it. They explain it all away to some other day, some other age, some other something, way back, from long ago. And Divine healing was just about played out, hardly found anybody who would believe it. They made fun of it. Not no more than about twenty years ago, they were making fun of it. The Pentecostals had practically got away from it. They started in the early days, but they got away from it.
Look how they did. Now, they got denominational wild, running out to make them each a creed and so forth. Except, instead of accepting Light, as Light come in, they organized and made themselves creeds, each one coming around, making himself a doctrine and staying in that doctrine. And then they got so much took away till the Holy Spirit couldn't get into the church. They just become another idol like a brass serpent, it become a--an idolatry. Every fellow said, "I am belong to this, and I belong to that." It was an idolatry. What a mess we were in at the end time.
But God rich in His mercy has sent back the Holy Spirit upon us, and vindicating His Word tonight as He promised He would do. God promised He would do these things. Look what He did.

109 Look what He did, He... How now we can see how He promised each age a certain thing to happen. And we find out that it happened just exactly like it, that He said that He would do, because He's rich in His mercy to always have mercy to fulfill every Word that He has promised. He has to do it, and always, in order to stay God. Always He does this: His Word always comes to pass in Its season, His seed that He has sowed into the earth. What did He do? He put it here in the Word, and that's a Seed. And every time the age comes along, that seed ripens up, and then a reformation comes forth. And He promised it, and it does that.
Now, we did not deserve these things. We did not deserve these blessings of God, because we had went out after the things of the world, went in the error of Cain. Cain, building a nice altar and a nice church, and putting flowers upon it, and thought that's exactly what it was; it was a bunch of apples, or pears, or pomegranates, or whatever it was that his father and mother had eat in the garden of Eden that run them out. And so he offered that back to God, and God rejected it.

111 "But Abel by faith offered unto God a more excellent sacrifice than Cain."
And, today, the Bible said in Jude, that, "They have run in the way of Cain; perished in the gainsaying of Korah." See, run in the way of Cain, building altars, building churches, denominations, making it flowery, big, more members than the rest of them; taking in things, anything that come along and that jumped up-and-down, or shook hands, or was baptized a certain way, or spoke in tongues, or run through the floor, they put their name on the book. That's right. And then turn on the real Truth that be preached, and deny it. How can it be so? Notice what a mess we were in. Notice.
And the Bible said, "And they went in the way of Balaam, and perished in the gainsaying of Korah." Perished in the gainsaying of... What was the gainsaying of Korah? "Why, you think you're the only holy man? Why, God's... All of us are holy. The whole church is all that. Every... All of us get together; that's what we ought to do." That's where they perished: that. And we truly deserved it. We deserved to be that.
But God rich in mercy has pulled us out of that chaos and let us see it before the thing hits here. Rich in His mercy, and sent us back a revival of Divine healing, and the coming again of the power of God.
According to history, no revival ever lasted over three years. This revival carried for fifteen years; it's been a burning fire around and around the world. Why, because we deserved it? God rich in His mercy, not because we desire it or because we deserved it, rather.

115 Just think of what it's done. I think of one of your sisters right here in Phoenix, that many of you know, Mrs. Hattie Waldrop; she had cancer of the heart. And she was in the prayer line up here when Brother Moore and I were here the first time, about fifteen, eighteen years ago. And she was dying with cancer of the heart, and she should've been dead a long time ago. But God rich in mercy sent His power upon her. And He saved her life, and she's living today. God rich in mercy.
Congressman Upshaw, a great man, I think he was the President, or something of the--of the Baptist, Southern Baptist Convention at one time, or Vice President or something. He'd done all. He was a good man. He did all that he knowed how to do. He'd went to every doctor. Nobody could do nothing for him. He was bound down. Ministers had prayed for him. He'd had a gallon of oil poured on his head, anointing, of different ministers everywhere.

117 One night, Los Angeles, California, walking up to the pulpit, look at a bunch of wheelchairs about twice, three times, to what's setting there, all up-and-down the aisles, back and forth. And then there laid over there a cot with a little colored girl in it, little Negro girl, and her--her mother was setting by her. And my brother had bringing the prayer line up.
And I was looking, knowing not what was going on. And I seen a doctor with tortoise-shell glasses operating on a little Negro girl for a throat condition, and she'd paralyzed. And I looked around; I thought, "Where is the child at?" I couldn't see her.
After while, way down there, no hope, lovely little girl about seven or eight years old, to be paralyzed the rest of her life... And there was her mother down there on her knees, praying. Then I said, "This doctor operated on your little girl," and described it.
She said, "That's right, sir."
Then she tried to get the baby to the platform. They told her not to do it. They tried to quieten her down. About time they got her quiet, I thought, "Well, we'll get a chance to pray for her." In a few minutes... Maybe people right here was there that night.
And I was looking out over the audience; I seen that little girl going down, looked like through a--a little narrow road, with a doll in her arms, rocking that doll. No matter how much the doctor said that she was going to be paralyzed the rest of her life, God rich in mercy sent down the Holy Spirit by a vision, and that little girl got up out of there, and she and her mother took hold of hands and walked down through that aisle, praising God.

122 Way back there set an old man, Congressman Upshaw, many of you knows his testimony. He had been a good man, tried all of his life, sixty-six years an invalid in a wheelchair, pushed in bed; crutches under his arms, that he walked with, never no more to walk normal. And there he set there, looking on that. And all of a sudden I looked out and saw a vision. Here he come, walking down across the top of that audience, bowing his head, could walk as good as anybody. I didn't know who the man was.
I said, "There's a great man setting back there. He fell off of a wagon when he was a little boy, onto a hay frame, and hurt his back. They bored holes in the floor to keep the vibration, when the people walked from striking on his back." I said, "He becomes a great man, and he keeps growing greater. He's setting in a great circle at the White House."
And then this man come and told me, said, "That's Congressman Upshaw. Did you ever hear him?"
I said, "Never heard of him."
And so he run a little extension mike back there, and they was talking, back and forth.

126 Then I started to look around, and I seen the old Congressman coming, walking towards me in a vision just as perfectly normal as he could be. God rich in mercy pulled him from that wheelchair, and he walked without crutches till the day he died. God rich in mercy. When doctors had failed, when science had failed, when everything else had failed, God was rich in mercy to Congressman Upshaw.
I think of myself. As a little old boy, I remember as... People call me today a woman-hater. The reason it was, is because I seen so much immorality out of women when I was a kid. I hated them. And I don't do that now, because I know there's some good ones. But I remember how it was so bad, so immoral. And I thought, "My, I--I'll never be around where people is at. I have no education, so I won't get any."

128 And a little old kid setting there, not even a shirt on, with my coat pinned up like this, with a safety pin, and it real hot. And the teacher said, "William, aren't you hot with that coat on?"
I said, "No, ma'am, I'm a little bit chilly." And she made me go over to the stove and--and put some wood in the stove, and I liked to have burnt up. And I--I didn't have no shirt that whole season through.
And I thought, "If I could ever get the money, some time that I could get a little, get me a thirty-thirty rifle, I'd come out west here and live out here and hunt, for the rest of my life. I didn't want nothing to do with people. Just stay away, because they didn't like me, and--and I'd just stay away from them.
And then every time I'd go downtown to talk to anybody, see some fellows on the street, I knew. I'd say, "Hello there, John, Jim. How are you?"
"Oh, hello."
See, they didn't want to talk to me, didn't want nothing to do with me, because of my daddy and them that made whiskey. And I--I didn't do that. It wasn't nothing I done. And I would've been that type.

133 But now I said to my wife not long ago, "My wall is plastered with the best guns that can be bought." Oh, and I think of them old dirty clothes. Tonight I got two or three good suits. And no friends? I have to hide out in the wilderness to keep away from people. What's the matter, is it because of my personality, is it because of my education? No. God rich in mercy saw me in that condition and He saved me.
I remember being led by the arms as a blind man. I could not see. Everything in front of me was a blur; I'd be blind the rest of my life. But God rich in mercy restored back my sight. I'm fifty-five years old, and still got good sight. God rich in mercy is the only thing that I can say.

135 Once the church had no provided way of healing. They had one, but they turned it down. But God rich in mercy has sent them a gift of Divine healing. That is the Holy Spirit among us, confirming the Word with signs following. God rich in mercy.
I have two or three pages here of these notes, but I ain't going to try to strike them, because I'm--I'm conscious that it's almost time to start that prayer line. But God rich in His mercy...
Many of you here tonight, the doctors turned you down. There's people setting in them wheelchairs, they'll probably never come out of there. They are there to stay. Some of them, paralyzed in different ways, they (would never) couldn't come out; there's no way for them to come out. But God rich in His mercy has provided an atonement. Don't turn it down. Receive it. There's men out there with heart trouble; there's people with cancers, that the doctors can do nothing with. You're hopeless, helpless, in this world.

138 But God, rich in His mercy, has sent down the Holy Ghost, and right here now to confirm the Word, to prove that He's the same yesterday, today, and forever. Because we deserve it? Because God is rich in His mercy. Amen. Now, that's the One; that's the Person; It's that Lord Jesus. He is not dead, but He has risen from the dead, and He's alive forevermore. And He's the same yesterday, today, and forever, still just as rich in His mercy as He was to the woman that had a blood issue. And she started through the crowd. There was no hopes for her, the doctors had done all they could do. She had a blood issue. She was dying. And she touched the Master's garment. God rich in mercy turned around and told her of her condition. And she was healed of this blood issue.
A little, foul prostitute went up to a well one day, to get some water. No hope. She'd been excommunicated from the virgins, from around the people; her life was no good. And she thought, "What's the use of trying? I'm turned out; there's nothing left for me." But she looked, standing over on the side, or setting by the side of the well, and there was a Man setting there Who told her all things that she had ever done: God rich in His mercy.
That same God tonight's just as rich in His mercy, and just the same as He was in them days. God rich... [Blank.spot.on.tape--Ed.]

142 I think we have two hundred prayer cards out here, or what we've called out in two hundred. We're going to call them and let the people line up. We're going to pray for them.
But before we do it, that there be some newcomers here, to get away from all superstitions... This is not a superstition. It is the manifestation of a promise of God. It depends on what you're looking at. No virtue in any man. There's no power in no man. But we as believers have authority; not power, but authority.
Someone asked me, not long ago, said, "Brother Branham, you believe you got power to do this?"
I said, "I ain't got power at all, but I've got authority." Every believer has it. If you refuse it, you'll stay where you're at. But if you'll accept it, it'll do the exceeding abundance, because God is rich in His mercy.

146 Take a little policeman standing out here on the street, his clothes hanging half off of him, he's so skinny. The--the cap's got his ears pulled down. And he walk out there where cars are coming down that street at fifty miles an hour, three hundred horse power motors in it. He hasn't got the power to stop a bicycle. That's right. But just let him blow that whistle and hold up that hand, and watch the brakes squeak. He hasn't got power, but he's got authority. The whole city's behind him.
And when a man or a woman, I don't care what condition you're in, you've got the authority of God by a promise, because He's rich and promised to do the exceedingly abundantly. "If you say to this mountain, 'Be moved,' and don't doubt in your heart, but believe that what you've said will come to pass, you can have what you've said." You got no power, but you got authority.
Remember when He told me back there, said, "You'll be able to reveal the secrets of the hearts." For He... You remember that, many of you Phoenix people? He promised it. What He promises, He does.

149 Now, there's some of you here that hasn't got prayer cards, and no doubt. How many's sick and don't have prayer cards, raise up your hands? Sure. All right. If you want to know, not authority, not power, but the authority of the Word, "The things that I do, shall you also."
Jesus promised in Luke 17:30, that just before His coming, there would be like the time of Noah, Moses--or Noah, "When they were eating and drinking, and given in marriage; and knew not till the day that Noah entered into the ark." He said there would be that time. Then He said also, "As it was in the days of Lot," and said, "this will take place in that day when the Son of man shall be revealed, when the Son of man is revealed in the last days."

151 Now, look what He, how the Son of man revealed Himself in the Person of this Angel, which was the Son of man. Absolutely. Abraham called Him, "Elohim." He was a Son of man, revealed Himself just before the Gentile world was burned. How did He do it? To the believer? To the make-believer, He sent two preachers down to preach to them. But to the real believer, He stood with His back to the tent, and He said, "Abraham..." He was Abram the day--a few days before that. But now he's Abraham. "Where is thy wife, Sarah?"
Said, "She's in the tent behind You."
Said, "I'm going to keep My promise to you. I'm going to visit you."
Oh, Abraham was a hundred years old, and Sarah was ninety; but God rich in mercy kept His promise. It brought the baby, 'cause God's merciful, and He full of mercy. He's rich in mercy. He keeps His promise.

155 Notice, with His back turned to the tent, Sarah laughed and said, "How could these things be? I'm old. How can I have pleasure with my husband as a young married woman? Why, he's a hundred years old. Our family relationship has ceased, many, many years ago. How could this be?" And she laughed about it.
And the Angel with--the Son of man with His back turned to the--to the tent, said, "Why did Sarah laugh, saying, 'How can these things be?'"
What was it? Jesus said, in Saint Luke 17:30, that, "In the days like it was in the days of Lot," same situation, before the Gentile world is burned up, He said, "the Son of man will reveal Himself in that day." He made the promise, that Malachi 4 promises it would say. A Message would come forth that would restore the people back to the original Pentecostal Message, and with the same blessings they had on the day of... What is it? It's a two-winged eagle, both New and Old Testament, flopping its promises together of God to fulfill what the promises of the Bible said it would do. Amen.

158 God rich in mercy would not let His people go out in this denominational, rich in goods and things of the world Laodicean church age, but He would make a way of escape. Believe it, people. God bless you. Amen. God rich in mercy. The mercies of God, that's the only thing that I desire, not His righteousness, not His law; but His mercy is what I call for. God, be merciful to me. We all have that feeling.
I was watching. There's a little woman setting out here on the end of the seat. You have a prayer card out there, lady? You don't. Let me show you God's rich in mercy. You've been real nervous here lately, haven't you? Real bad, and your eyes has gotten worse. Isn't that right? That's right. Now, they're going to change. God rich in His mercy by asking you if you'd believe this. Now, you have no prayer card; you have nothing; but you don't need it. See, it's grace that's bestowed to you.

160 There sets a little bitty fellow setting right there in front, with kind of a--setting right out here. He's suffering with a growth on his body. It's just recently come on there, recently. Isn't that right, sir? That's right. You don't know what it is. You're scared of it. That's right. It was caused from a bruise, wasn't it? Have you a prayer card? You don't have no prayer card. You don't need one. God rich in His mercy.
Oh, brother, sister, believe God. Don't doubt Him. Believe Him. That's right.
Here sets a man, gray suit, glasses on. Look at here, sir. Do you believe? God is rich in His mercy. You're setting there with a hernia. Do you believe that God can heal that hernia and make you well, setting right here on the end of the seat, looking at me? If you believe that God can heal that hernia, God will do that to you if you'll accept it. Do you believe it? Will you accept it? All right. You can have it if you'll just believe it, have mercy. Yes, sir.

163 Here's a lady setting out here; she's suffering with poor circulation in her body. But if she will believe, God will heal her, if she believes it. I believe she's going to miss it, as sure as anything. Have mercy is my prayer. Like I plainly see the woman's... Mrs. Riley, do you believe that God can heal that poor circulation? If you will, receive it. Amen. Just believe. God is good, isn't He, Stella? Yeah. That's right. I never seen the woman in my life. But God in His mercy...
Here sets another woman, setting right back behind there, right in the back, looking right at me. She also... She's got poor circulation too. She was thinking about it just then. I never seen the woman in my life. Being that this other woman had the same thing, look at me. Do you believe me to be God's prophet, or His servant? You also have heart trouble. If that's right, raise up your hand. You don't have it now. God rich in His mercy is showing forth that He's alive here in the building tonight. God rich in His mercy. Amen.

165 Could there be, how many sinners and backsliders would stand to your feet, and say, "God, rich in His mercy, be merciful to me"? Stand to your feet. I'll pray for you, if you believe that He want--you want mercy now. God bless you. God bless you. God bless you and you. Backslider, raise to your feet. God rich in His mercy. Are you--you...
Surely you've not gotten so numb in this condition, that you can't see that that's the very promise of the hour. Surely you ain't got so wrapped up in denomination, and other things, that you can't see that this is the promise of the hour: God rich in mercy.
Ever who you was, that stood up, I'm going to pray just in a minute. I want you to make your way to some good full Gospel church and--and be--and be baptized in Christian baptism, God give you the Holy Ghost.

168 Is there another will stand to your feet, and say, "Me, I want to be remembered. God, in Your mercy remember me. I haven't lived like I should. Maybe..."? God bless you, lady. I... God bless you. God bless you. God bless you. God bless you. That's right. "God, rich in His mercy, have mercy on me." God bless you, sister. Is there...
How many more is in here, say, "I'll stand. I want God to know that I want mercy. I haven't lived right. I've lived this way and that way. I've been up and down, but I want His mercy." God bless you, brother. Someone else, say, "God rich in His mercy." God bless you, sister. God bless you, sister. That's right. God rich in His mercy. God bless you too. God bless you back there. God sees you. Just stand to your feet.
Say, "Does it do any good, Brother Branham?" Sure. Stand up and see how much different it is.
If you're really sincere in your heart, God is rich in mercy. "He's not willing that any should perish, but that all might come to repentance." God rich in His mercy. O God, have mercy on us.

172 Now, how many in here now, that's holding those prayer cards? What were they? A's? A's and B's. All the people that's got prayer card A's, stand over on this side, and prayer card B will stand up behind them.
I wonder if there's some ministers here that would like to anticipate in helping me. If they are, would like to come up, I would be glad to have your--your assistance here, for we will be glad to pray, and pray--pray with you.
This, the Bible said, "These signs shall follow them that believe." Yes, sir. "In My Name they shall cast out devils; they shall speak with new tongue." Have we done it? By the grace of God; not us, but God rich in mercy to keep His Word. God...
Now, the wheelchairs, if you want to put them right down here in the front; we'll pray for them right here, won't have to pull them up through that, all that aisle there. Let, all right, let them come right up here. We'll certainly pray for it, every one of them. God rich in His mercy.

176 Would you stand to the right-hand side now for a few minutes? Did Brother Brown come with you? Coming tomorrow. I--I--I was in hopes he'd be here. Where--where's Brother Outlaw? Where's Brother Fuller? Some of them people that was up here with me when I first come, let's come back. You remember these old fashion prayer lines, when we used to stand there till you would have to hold me on one side, and somebody on the other, I'd get so weak?
How many has been in them meetings way back in the beginning? Looky here. You remember back there, I told you that the Lord Jesus told me that, if I'd be sincere, that these things would take place. Is that right? We never had such as that in that day. But it happened, because God's rich in His mercy and loyal to His promise. Amen. Oh. Amen. Praise God. Hallelujah. "Oh, I'm so glad I'm one of them." Amen. Oh, my.
There are people almost everywhere,
Whose hearts are all on flame,
With the Fire that fell on Pentecost,
That cleansed and made them clean;
Oh, it's burning now within my heart,
Oh, glory to His Name!
I'm so glad that I can say I'm one of them.

178 Oh, me, a wretched, miserable, poor blinded wretch, as I was, and now by His mercy, His rich mercy, I can see the Kingdom of God in sight. Amen. How beautiful is His commandments.
Stand right over, my brother, on your crutch. If you can't get up, all right, stand right here, we'll come right down and pray for you.
And now let the A's and B's, of prayer cards, get lined up over on the other side there, and we're going to pray for them.
Minister brothers, you are certainly, if you believe in laying hands on the sick, you come right here and stand with me on this platform. We're going to pray for the sick.

182 Now, to you people that's standing in that line, if you can believe the Presence of God is here, that the Holy Spirit is in our midst now, doing just exactly what He said He would do. If I had power to heal you, I'd certainly do it. If I had any way of healing you, I would certainly do it. I do not have it. I... God has give a little gift.
I'm not much of a preacher. I don't have education enough to be qualified as a preacher, what's called a preacher in these days, when the--when the experiences must be a theological experience, and it must have certain doctor's degree, and so forth. I can't qualify for that. But God, seeing my heart, and know that I want to do something for Him, I want to appreciate it.

184 A man said to me the other day, said, "I think you're just a fine man, Mr. Branham, but I believe you're sincerely wrong. You're all out of the will. Do you know you'll be condemned at the end?"
And I said, "Look I want to tell you something. I'm going to say that you--that you would be right, just to say for the argument's sake. If I am wrong, which I--I don't believe I am; but if I was wrong, and I knowed right now that I was going to live to be a hundred years old, and He was going to condemn me at the end of the road, and tell me, 'You don't deserve to come into My heaven, William Branham. Get out into outer darkness.' You know what? I'd serve Him every day of my life until I went anyhow. For I have received so much of His unmerited blessings, that He's more than life to me. He's everything that I..."

186 All that I am, all that I ever could hope to be, I have derived from His grace and mercy. I was wretched, miserable, poor, blind, but by grace He has healed me, and I am strong and healthy by the grace of God. I have good eyesight. I have eat, drink, have whatever I have need of. He never promised to supply my wants: my needs.
And if I am cast away at that day, and I knowed... I cannot see where I would be. But if I knew that I was wrong, and God has chose me to be wrong, I would want to stay wrong, and because that I want to do His will. It's... I love Him till I want His will to be done. Now, that's a big statement, but I hope you get it in the way, the spirit I said it in. See? I want to do His will. I ask Him for something some time, He shakes His head "no," I just rejoice so much about that as I can if He said, "yes." Because we always ought to ask, "Thy will be done." His no's is just as... If that's His will, that's just... It's a whole lot better than His yeses, if it's His will to do it. That's when you really love Him. Amen.

188 I get to talking about Him, I just can't stop now. Oh, He's so real, so real to me. Friends, He's--He's all that I am, all that I ever could be, all that I ever expect to be, is grounded in Christ Jesus, His Word.
I'm thankful tonight for the witness of the Holy Spirit, for the Message. I know it might, some might disagree with It, but as I have told you, I'm duty bound to a Message. A sign went forth, and God does not send a sign just to show that He's God. A Message, a Voice always follows the sign. Anyone knows that.
Jesus come with signs and wonders. He was a great Man when He was doing signs and wonders, but when He begin to set down and to begin to bring the Message, "I and My Father are One," oh, my, that was wrong to them. See? But the Voice had to follow the sign.

191 Moses was given two signs, and each sign had a voice. That's right. I preached on it here sometime ago, somewhere, on "The Voice Of The Sign." It must have a--a Voice of the sign. It's a changing. Always it's that way. If it isn't, then it didn't come from God.
If a man comes out with an odd peculiar ministry, that's found in the Bible to be the Truth, and that man stays right in that same old denominational doctrine, forget it. Nothing to it. God don't do a thing like that. That thing, that's rotten manna that's got termites in it, or wiggletails, or whatever you want to call it, from forty, fifty years ago, still trying to eat that old manna that fell way back years ago. And the children of Israel on their journey, new manna fell every night. That's right, you couldn't keep it over.
We don't live over some other age gone by. We're eating new Manna, fresh Manna out of heaven, in our journey as we go on.
Let's bow our heads now.

194 Lord God, You are so real, Your Presence. I think of grace, Lord. We--we have just seen You do so many things. We've heard You speak with tongues, see You interpret it through Your people. O God, to see You heal the sick, open up the eyes of the blind, make the lame to walk, the deaf to hear, the dumb to talk, what a great and mighty God You are.
And then to see that You promised this in the last days. Though we have many carnal impersonations, yet it only declares that there is a real God somewhere, that really is true. And I pray, heavenly Father, tonight, that we will become so God-conscious that we see that You're here.
And these people in the line, when they go through this line, Lord... For we're doing this because that we made a promise to them. And You said, "These signs shall follow them that believe."
Here's minister brothers standing here, men that You have chosen before the foundation of the world to be what they are tonight. You knew, before there was a world, that we would stand here tonight, because You're infinite.

198 So we pray, heavenly Father, tonight, that as these sick people, crippled, blind, lame, cancer-ridden, whatever it might be, that passes through this line, may they realize that the very God that knows the secret of the heart will heal them, if they will just only accept it, only look and understand.
The man that looked upon the brass serpent just as a priest's piece of brass, he never would be healed, because he didn't have understanding of what it was. And today, Lord, the same. If they look upon a gift, to think of it might be able to help them, they don't have understanding. It's only vindication of the Presence of God that's here to heal. Grant it, Father. May it be done, in Jesus' Name. Amen.

201 I want the little pianist, if she will, man or woman, whoever it might be, to go over there and play this song, "The Great Physician Now Is Near," the sympathizing Jesus, if she will, wherever the pianist is. Now, that's...
I remember one of my first healing service, Fort Wayne, Indiana. A little Amish girl setting, playing that piano, "The great Physician now is near, the sympathizing Jesus." A little baby was brought to me on the platform; it was crippled. And while I was praying for that baby, it jumped out of my arms and run down across the platform. The mother fainted. The grandmother threw up her handkerchief, begin to cry.
And this little Amish girl now, not knowing nothing about anything about Pentecostals, because she belonged to the Amish church; but she was playing. Her long hair fell down; she raised in the Spirit and begin to sing in unknown tongues, and the--and with the harmony of that song. And them piano keys moved up-and-down, playing, "The great Physician now is near, the sympathizing Jesus." Amen. He's the same yesterday, today, and forever.

204 Now, let us pray now as... Now, let's everybody out there pray. You people coming through the line, when we lay hands upon you, remember, Jesus said if you'd believe it, you'd be well. You believe it? Now, let's all sing now.
The great Physician now is near,
The sympathizing Jesus,
He speaks... (Let's just close our eyes now as we sing.)... hearts to cheer,
Oh, hear the voice of Jesus.
Sweetest note in seraph song,
Sweetest name on mortal tongue,
Sweetest... (Father God, move upon the people now.)... sung,
O Jesus, blessed Jesus.
The great...
Now, as you walk through now, He's here. Take my word, or you believe it yourself; He's here. Everybody in prayer out there now for the people.

206 [Brother Branham and ministers pray for the sick while Brother Borders leads the congregation in singing. Blank.spot.on.tape--Ed.]
O Lord, I believe; O Lord, I believe;
All things are possible, O Lord, I believe.
All that believe, raise your hand like this, say, "I believe." [Congregation says, "I believe."--Ed.]
Here sets a man setting here. The reason I was extent, talking, he's dying with cancer. He's on this crutch. There's no way in the world for the man to live outside of God. He's got cancer all through the bowels, and well, he's going to die if it isn't for the mercy of God. And I wish I could just... [Blank.spot.on.tape--Ed.]... word of encouragement to this man.
You, you know the doctors can do nothing for you now. You're beyond that. See? And you're a... You--you only got one chance, and that is in Christ. See? And, brother, I--I--you... I'll die one day too. You'll have to go, if Jesus tarries. I've got to meet you over there, stand there at the judgment bar. And this night...

210 You know, like in television, television has picked up that every time we even move our finger, anything, it's on record. Every word we say is on record. Now, see, television has proven that. Now, television doesn't manufacture a picture; it only channels that wave into the--the television. See, it doesn't make it. There was television when Adam walked on earth; there was television when--when Moses come through the Red Sea; there was television when Elijah was on Mount Carmel (See?); but they just now discovered it. See? And now, everywhere I...
Every move we make, and every sound, it's playing a record that'll meet us at the judgment. Every move we make has got to meet us there. And I've got to answer for the words that I say to you, as a minister. I've got to do it, because God will hold me responsible to it.

212 Now, if I could, I'd make you well; 'cause you just got a little time, if not for God. Now, I come down and prayed over you, all I knowed how to do. Brother, anything in the world, I could do for a man setting there in that condition, I'd do it.
And let me ask you. See? You--you--you are already healed, because Jesus said you was. See, "By His stripes we were healed." Now, if you could, from the bottom of your heart, accept that, you'll not die now, but you'll live.
Now, see, now we know that television's coming through this room. We know that. We don't see it. We can't see it; our eyes are not made, our senses can't pick it up. It takes a manufactured tube, or whatever it is, crystal, to pick that up.
So is God present. We don't see Him, but we know He's here. Jesus Christ is the same. Look, He just declared Himself, how He makes Hisself. Now, as far as healing, if He was standing right here now, He could do no more for you (See?) not another thing. If the Son of God was standing right here, which He is, He's here, but He couldn't do no more for you, because He's already identified Himself here. See? And He's here right now, just the same, to heal you and make you well.

216 And that little lady there told me, said, "You asked the blessing, and prophesied or something, over her, that she'd have a baby," setting in that wheelchair. And she did; she had her baby.
And now, the little lady setting here. Now, she had a goiter operation and it paralyzed her. Well, we just see so much of them things happen. Now, little sister, I know you're a genuine Christian. Why God has let you set there, I don't know. I believe maybe it's because that you have... Faith, you--you're trying to have faith to get out of there (See?); but now look, let's just not try to have it, let's just have it now (See, see?); just--just going be there. That's all there is to it; it's going to start right now, and we're going to get well. And you people out there in those chairs, wherever or whatever you are, just remember that Christ is present.

218 Now, you say, "Is there somebody, do you see my picture is coming through." Oh, yes.
Even the Words of Jesus Christ that He spoke when He was here on earth, is passing right through this room. It never dies. How many knows that's scientifically the truth? Well, what is it? Then the Spirit picks up that Word that's been written and makes It manifest. Oh, glory.
He's here. He's right here now, the Lord. We just... We have seen so much; He's done so much, till we just kinda, you know, just kinda stumble over it. If we would realize, not just some mythical something, some theological term; but the evidence that He promised He would show Himself in this day, here He is declaring it right here before us right now. What a wonderful thing. Isn't that wonderful?

221 Now, you believe. Will you believe it? Believe you're not going to die. You're going to live, and you're going to honor God. You're going to honor God. Have you ever been baptized? You're a Christian, are you? And you're a Christian. Well, you want to live for the honor of God. Then go live, my brother. In the Name of Jesus Christ, live.
And, sister, you want to walk for the glory of God, and take care of your baby; then walk, sister, in the Name of Jesus Christ.
You, every one of you, do the same, in the Name of Jesus Christ. Don't forget this Westward Ho Motel here tonight, the Presence of God identified here. He's no respecter of persons. He only wants you to believe. Do you believe Him now? Amen. God bless you.
Let us bow our heads now. I don't know who they've chose, to--to dismiss. Brother Mushegian here, come right here, brother. He's going to dismiss in prayer. God bless you.

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