Et Tu Ne Le Sais Pas

Date: 65-0815 | La durée est de: 1 heure et 48 minutes | La traduction: VGR
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1 Merci, Frère Neville. Que le Seigneur vous bénisse. Me voilà bien pris, hein? Je veux vraiment remercier le Seigneur de s’être occupé du fils de Frère Capps. Il se trouve que c’est maintenant le temps de l’année où j’ai l’habitude de revenir en Indiana. Je sais qu’ils ne sont pas en train d’enregistrer; je ne pense pas. Alors, je ne vois personne là-dedans, alors... Je suis revenu pour aller chasser l’écureuil. Alors, je pense que Charlie va devoir me supporter, lui et Nellie, et les autres dans le Kentucky, pendant un jour ou deux, pour la chasse à l’écureuil. J’aimerais mieux manquer n’importe quoi, n’importe quelle autre activité de détente, et venir ici le... vers la mi-août pour aller chasser l’écureuil avec Charlie et Banks, et les autres. C’est presque devenu une tradition pour moi. Alors j’ai emmené Jo...

2 Quand on était ici l’autre fois, tout le monde est tombé malade, d’être passés de ce climat très chaud là-bas à ce–à ce climat frais qu’il y a ici. Je sais que vous, vous ne trouvez pas ça frais, mais venez seulement une fois en Arizona. Il faisait cent neuf [quarante-trois degrés Celsius] à l’ombre le matin où je suis parti; et vers minuit, pendant la nuit quand l’air frais descend des montagnes, il faisait encore quatre-vingt-seize [trente-six degrés Celsius]. Ouais. Voyez, ça, c’était à minuit, quand l’air frais descend. Alors c’est... Là-bas, on est bien en hiver, mais en été, c’est fait pour les scorpions et les lézards, pas pour les êtres humains. Même les animaux, ils s’en vont tous dans les montagnes. Ils ne peuvent pas supporter ça.

3 J’étais allé tirer, j’ajustais ma petite carabine. Je... Je ne sais pas pourquoi, mais je veux vous raconter ce qui s’est passé avec le petit Capps. Et j’ai dit... Et Jo, il va bien falloir que je lui donne ma carabine, parce qu’il tire mieux que moi. On l’avait ajustée, et je–j’enfonçais des punaises à cinquante verges [environ cinquante mètres] Et j’ai dit à–à Jo... Jo a dit : “Papa, je crois que je peux faire ça.” Le pauvre petit avait mal à la tête. J’avais prié pour lui, une forte fièvre. Il est venu au stand avec moi, et je...

4 Avec un diamètre deux sur dix dans une carabine de 22, on croise sa ligne de tir à vingt-cinq verges [mètres]; et c’est de nouveau bon à cinquante, pareil, si c’est du deux sur dix. Alors... Je l’avais ajustée à vingt-cinq verges [mètres]. Et il me restait deux punaises, alors je les ai plantées, et Jo les a enfoncées toutes les deux! Comme je n’avais plus de punaises, j’ai mis un tout petit morceau de pigeon en argile que ceux qui s’exercent au ball-trap avaient fait éclater là, et qui mesurait à peine un quart de pouce [six millimètres] de large; je l’ai posé à cinquante verges [mètres], et il l’a coupé en deux. Et le viseur était réglé à ma vue à moi, juste quelques années de plus que lui. Alors il m’a dit : “Tu sais quoi? Il faut que je passe dire à Billy de me laisser tranquille à partir de maintenant.” Voyez? [Frère Branham et l’assemblée rient. –N.D.É.]

5 Alors j’ai dit : “Eh bien, écoute,” j’ai dit, “allons plutôt montrer ça à Frère Norman.”

6 J’ai dit : “Jo, dans des compétitions, dans le monde entier, peu importe de qui il peut s’agir, personne...” Maintenant, les punaises n’étaient pas enfoncées de travers, elles étaient enfoncées tout droit. Et ce morceau, qui ne mesurait pas plus qu’un quart de pouce [six millimètres], je pense, un seizième [deux millimètres] d’épais et un quart de pouce [six millimètres] de haut, il l’a coupé en deux, à cinquante verges [mètres]. J’ai dit : “Il n’y a personne au monde qui aurait pu mieux viser que ça. Des champions auraient pu faire la même chose, mais tu n’aurais pas pu faire trois meilleurs coups que ça.” Les punaises n’avaient pas été tordues; en traversant le papier elles avaient fait un trou tout rond. Alors j’ai dit : “Personne n’aurait pu faire un–un meilleur coup.” Bon. Je pense que son mal de tête est parti tout de suite.

7 Et j’ai dit : “On va aller montrer ça à Frère Norman”, qui travaille au magasin d’articles de sport Field and Stream de Frère Tony Stromei.

8 Il a dit : “On va passer chez Billy d’abord.” Il a dit : “Je–je veux juste dire quelque chose à Bubby.” Voyez? Et, honnêtement, son frère n’a jamais fait aussi bien. Alors il a dit : “On va passer là d’abord.”

9 Et j’avais à peine passé la porte, Billy était encore en pyjama. Et il a dit... On était partis tôt, parce qu’après, il fait tellement chaud. Et il a dit... Le téléphone a sonné. Et j’ai dit... Il m’a regardé comme ça. J’ai dit : “C’est peut-être un appel pour un malade.” Et c’était Frère Capps, pour son garçon qui était là, dans la salle d’opération, avec une péritonite et ce qui peut s’ensuivre. Et il vient juste de me dire que son garçon se remet très, très bien.

10 Alors, vous voyez comme Dieu a tout fait concourir, même par la voix de ce petit garçon, de Jo? Au lieu d’aller chez Frère Norman, on n’aurait pas été là, on est montés. Et Frère Capps et moi, on s’est unis... Je ne dis pas que c’est à cause de nos prières, mais c’était important pour lui qu’on ait eu un contact comme ça. Et, honnêtement, c’est ça qui... Quand vous avez-il faut que vous ayez foi en ce que vous faites. Voyez? Et la foi qu’il a eue pour appeler, et Billy...

11 Ils mettaient de l’argent. Il a dit : “Ça doit être un appel de très loin,” il disait, “il a mis près de cinq dollars en monnaie, pour trois... pour un appel de trois minutes.” Et je pensais que ça venait de New York, ou d’une des îles ou quelque chose comme ça. Mais il avait fait un appel de personne à personne, pour parler à Billy au lieu de Loyce, vous voyez, et c’est pour ça que ça lui coûtait cher.

12 Et maintenant, son fils se remet bien. Frère Capps disait que le docteur avait estimé qu’il avait très peu de chances de s’en remettre, vous voyez, de l’opération. Alors on est reconnaissants à Dieu pour ça ce matin, on en est vraiment contents.

13 Maintenant, on est arrivés ce matin à l’aube, et j’ai dormi à peu près trois heures, et–et je suis assez fatigué. Mais quand la réunion... quand c’était l’heure d’aller à la réunion, eh bien, je suis venu. Et...

14 Si le Seigneur le veut, maintenant, je dois descendre dans le Kentucky, comme je vous disais. Et j’ai promis de prêcher un dimanche pendant que je serais ici, alors je ferais mieux de le faire dimanche prochain, parce que celui d’après, je serai... je devrai retourner, vu que je vais repartir, monter au Canada. Alors je–je ferais mieux de le faire dimanche prochain, et, dimanche matin prochain.

15 Et Frère Neville m’a dit : “Pourquoi tu n’irais pas saluer les gens et leur parler quelques minutes?”

16 Je lui ai dit : “Frère Neville, j’ai à peine ouvert ma Bible.” J’ai dit : “Je...”

17 Il m’a dit : “Eh bien, va leur dire quelque chose.” Et, Soeur Neville, je–je–je ne sais pas comment vous vous en sortez. C’est un gars très persuasif. Mais pendant que...

18 Je n’ai pas l’occasion de dire ça quand la salle est pleine à craquer et tout, mais je suis vraiment reconnaissant à Dieu pour un pasteur comme Frère Orman Neville. Fidèle, aussi fidèle que possible à la Cause, et on ne l’entend jamais murmurer. J’étais assis là-derrière... J’ai eu une bonne conversation d’une demi-heure avec lui, pendant que j’avais le plaisir d’écouter Frère Mann, à qui j’en dirai plus long là-dessus quand on sera dans le Colorado cette année. Alors, pendant qu’on avait le plaisir d’écouter son message, j’ai eu une bonne conversation avec Frère Neville. Je lui ai dit : “Je n’ai jamais l’occasion de parler aux gens de notre brave pasteur.” J’ai dit : “Est-ce que les gens prennent bien soin de vous?”
Il a dit : “Ça ne pourrait pas être mieux.”
Et j’ai dit : “Eh bien, je suis bien content d’entendre ça.”

19 Quand un pasteur est satisfait, et que les gens sont satisfaits, ça fait vraiment une bonne assemblée, et alors Dieu est satisfait. Et je pense que de les voir tous satisfaits, surtout dans ce jour-ci, avec le Message que nous portons, je pense que ça montre l’unité du Message avec les gens, et avec Dieu. Voyez?

20 Et je suis vraiment reconnaissant pour Frère Orman Neville, pour sa précieuse épouse et sa famille. Je prie Dieu de les garder fidèles à Lui et à la Cause. Et, s’Il le trouve bon, puissions-nous être ici dans le Tabernacle, quand le Seigneur Jésus viendra nous chercher, vous voyez, pour nous emmener dans l’Enlèvement. On espère qu’on sera tous les deux tellement vieux, Frère Neville, qu’on aura chacun un bras autour de l’autre, là, appuyés sur notre canne, à essayer encore de tenir bon. Voyez? “Alors nous serons changés, en un instant, en un clin d’oeil.” Et ces vieux vêtements de chair tomberont,
Nous monterons saisir le prix éternel,
Et nous crierons, en traversant les airs,
“Adieu, adieu”, précieux moment de la prière. Alors on sera partis là-haut.

21 J’ai entendu dire que le Seigneur a guéri Frère Coomer, et je suis vraiment reconnaissant de ça. Tant de choses. Alors je suis reconnaissant d’être ici ce matin. Et je me suis dit qu’au lieu de...

22 J’arrive toujours ici avec un sujet précis, sur lequel parler. Je me suis dit que ce matin, j’allais juste m’avancer comme ça. Et j’ai dit : “Frère Neville, je regarderai l’horloge tranquillement, et je laisserai probablement les gens sortir à l’heure, je vais juste vous parler à coeur ouvert, pendant quelques minutes; juste des choses, juste, qu’on ait simplement... Non, ce n’est pas enregistré ni rien, alors on va simplement fraterniser, comme il n’y a que des gens de l’assemblée ici, vous voyez, juste entre nous.”
Alors, prions.

23 Bien-aimé Jésus, nous Te sommes reconnaissants pour le privilège que nous avons de pouvoir nous rassembler ici. Et, oh, en regardant ce tabernacle tard dans la nuit, après minuit, comme je passais devant, je me suis mis à penser comme Tu l’as soutenu.

24 Et je repense à l’étang qu’il y avait ici, et aux grands roseaux qui poussaient là, à peu près à l’endroit de la chaire. Quand j’étais petit, je–je venais ici. M. Ingram avait dit qu’on pourrait avoir le terrain pour très peu d’argent, qu’on n’avait qu’à donner un petit acompte; on n’avait pas d’argent, rien à offrir en gage, rien, mais on était prêts à essayer. Et, à l’époque, il avait une valeur totale d’un peu plus de deux mille dollars; avec un crédit sur vingt ans.

25 Et maintenant, Seigneur, regarde-le aujourd’hui! Quand il en était encore à ses débuts, encore ici dans le creux, et que l’eau s’infiltrait de partout, Tu nous avais fait cette promesse, par la Parole : “Moi, l’Éternel, Je l’ai plantée, Je l’arroserai jour et nuit, de peur qu’on ne la ravisse de Mes mains.”

26 Au même moment, les gens disaient : “Dans moins de six mois, il sera transformé en garage.”

27 Mais il y a littéralement des milliers d’âmes qui ont trouvé Christ ici à l’autel. Et dans le Tabernacle, le baptistère a constamment... Des gens ont été baptisés au Nom du Seigneur Jésus; ils ont invoqué Son Nom et ont été lavés de leurs péchés. Des centaines d’infirmes, d’affligés, d’aveugles, de boiteux, de paralytiques, de cancéreux sont passés sur cette estrade; ils étaient venus mourants, des hommes et des femmes, des garçons et des filles, et ils sont repartis pour vivre une nouvelle vie, avec la chair de leur corps renouvelée, et en marchant de nouveau; ils ont quitté leur fauteuil roulant, leurs béquilles, et tout. Ô Dieu, ces trente années de service!

28 Père, je me souviens du matin où nous avons posé la première pierre. Tu nous as donné une vision là, qui nous montrait la salle pleine à craquer, un beau coin de rue; je–je savais que ça ne pouvait pas faillir. C’est pourquoi je Te remercie pour toutes ces choses.

29 Beaucoup ont combattu le bon combat, ont achevé la course, ont gardé la Foi; ils reposent là-bas, ils attendent, ils se reposent maintenant de leurs travaux, car leurs oeuvres les suivent; ils attendent l’heure où la trompette retentira, où ils se relèveront pour une nouvelle vie, dans un nouveau corps. Beaucoup d’entre eux étaient vieux et tremblants, d’autres jeunes, d’âge moyen, et ainsi de suite. Mais que Ton Nom soit loué pour chacun d’eux.

30 Maintenant, nous nous tenons de nouveau ici, devant les–les vivants et les morts. Je Te prie d’oindre Tes Paroles ce matin. Je ne sais absolument pas ce que je dois dire, mais je Te prie de pourvoir, ce que Tu as toujours fait, Seigneur.

31 Bénis notre pasteur, Frère Neville, et son épouse. Bénis le conseil des administrateurs, le conseil des diacres, chaque membre du corps. Puissions-nous, tous ensemble, vivre d’une telle façon dans cette vie-ci que nous ayons la Vie Éternelle dans la vie à venir.

32 Aide-nous ce matin à accepter la correction de la part de l’Esprit et de la Parole, pour que nous puissions nous préparer, et repartir d’ici ce matin, avec la ferme décision dans notre coeur de vivre une vie meilleure que celle qui a été la nôtre par le passé. Nous le demandons dans le Nom de Jésus. Amen.

33 Maintenant, je–je viens juste d’ouvrir la Bible là, c’était il y a quelques minutes. Je suis dans Apocalypse 3, alors je vais juste lire, là, sur le–le Message à l’Église de Laodicée.

34 Et je voudrais aussi annoncer, Frère Neville me l’a dit à l’instant : Frère Parnell, que je viens juste d’apercevoir ici, il fait des–des réunions de réveil, de ce côté-ci de Memphis. C’est au–au... s’il y en a parmi vous qui connaissent l’endroit où il y avait le Wimpy, ce kiosque à hamburgers, eh bien, il a une–une tente là-bas, et il essaie de faire entrer les gerbes, de voir s’il y a des perdus par là qui ont été destinés à la Vie, et qu’il pourrait gagner à Christ par son ministère. Et il ne fait aucune réunion le dimanche, à cause des réunions ici au Tabernacle, et–et ça, c’est vraiment un beau geste de la part de ce frère. Alors nous vous informons que les réunions recommenceront lundi soir, la semaine prochaine. Et je sais que vous êtes tous cordialement invités à aller entendre Frère Parnell apporter son message de l’amour de Christ.

35 Et maintenant, lisons dans Apocalypse, chapitre 3, juste un passage, pour dire qu’on a lu la Bible. En effet, ce que moi je dirais, ça pourrait faillir, mais ce que Lui dit, ça ne faillit pas. Et je ne sais pas par où commencer, que faire, où aller, mais je vais juste lire l’Âge de l’Église de Laodicée. Écris à l’ange de l’Église de Laodicée : Voici ce que dit l’Amen, le témoin fidèle et véritable, et le commencement de la création de Dieu : Je connais tes oeuvres... tu n’es ni froid ni bouillant. Puisses-tu être froid ou bouillant! Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n’es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. Parce que tu dis : Je suis riche, je me suis enrichi, et je n’ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle,... nu, Je te conseille d’acheter de moi de l’or éprouvé par le feu, afin que tu deviennes riche,... des vêtements blancs, afin que tu sois vêtu et que ta honte de ta nudité ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies. Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j’aime. Aie donc du zèle, et repens-toi.

36 Vous savez, quelque part là-dedans, pendant que je lisais, je... Si vous voulez bien m’excuser un instant, je–j’ai trouvé un endroit qui me plaisait, et maintenant, je ne me souviens plus exactement où c’était. Voilà : Et... tu ne sais pas... malheureux, misérable, pauvre, aveugle, nu,

37 Oh! la la! Ça, là, c’est un peu la description de l’église d’aujourd’hui! Maintenant, c’est, je–je pense que cet âge de l’Église ici, dont nous parlons... Bien sûr, j’ai l’âge de l’Église qui va sortir en livre, maintenant. Mais puisque c’est dans l’âge de l’Église de Laodicée que nous sommes, regardons quel est son état.

38 Je ne veux pas prendre de sujet, ni rien, parce qu’on n’est pas... on va juste parler de façon décontractée, parler de ce que le Seigneur nous conduira à dire, mais quelque chose qui nous fera du bien.

39 Pensons à l’âge de l’Église de Laodicée et à l’état dans lequel elle est aujourd’hui. Pour autant que je sache, je ne vois rien maintenant qui empêche la Venue du Seigneur Jésus, sinon que Son Église n’est pas prête. Je pense qu’une des–des prophéties...

40 Hier, en voiture, quand on venait, on a fait le voyage de Tucson jusqu’ici en deux jours, deux mille milles [trois mille kilomètres], Billy et moi. Alors on... Et ça, c’était sans dépasser les limites de vitesse. On restait comme il faut. Quand c’est lui qui conduit, je suis assis à côté, et je–je suis tout–j’ai mon poing prêt comme un fusil de chasse armé. Si je le vois dépasser, je lui dis : “Attends une minute, mon gars.” Il nous est dit qu’il faut “rendre à César ce qui est à César”.

41 Et quand on est arrivés ici la nuit passée, il y avait une petite fille étendue en travers de la route, elle avait à peu près trois ans; la mère était morte, dans le fossé à côté. Un jeune homme ivre qui revenait du R.O.T.C. [Centre de formation des officiers de réserve, aux États-Unis–N.D.T.], il avait dix-huit ans, roulait à cent vingt milles [cent quatre-vingt-dix kilomètres] à l’heure sur la voie de gauche. Morte. Et je pense que lui aussi était en train de mourir. Alors vous vous rendez compte de ce que c’est.
“Rendez à César ce qui est à César.”

42 Des innocents meurent. Une petite fille de trois ans a perdu la vie à cause d’un soldat ivre, vous voyez, qui roulait à cent vingt milles [cent quatre-vingt-dix kilomètres] à l’heure, d’après les estimations, du mauvais côté de la route. En arrivant sur le haut de la côte, il les a percutés en plein devant, et ils ont été tués sur le coup. Je... Lui aussi, il était en train de mourir. Alors, vous voyez, même si les victimes innocentes ne faisaient...

43 Ce garçon-là est coupable de meurtre commis de sang-froid. Voyez? À mon avis, si un homme est trouvé ivre au volant, il devrait écoper de dix ans ferme pour meurtre prématuré, prémédité; n’importe quel homme, parce qu’il... n’importe quel homme.

44 On–on n’arrivera jamais à rien avec la politique. C’est pourri. L’idée de Dieu d’avoir un roi, un roi juste, c’est elle qui est la bonne. Mais avec la politique, c’est complètement dilué, on peut monnayer n’importe quoi, tricher, mentir, voler, et tout le reste. Et, comme je l’ai dit il y a quelques dimanches, regardez ce que ça donne, voyez : rien d’autre qu’un mélange tordu de n’importe quoi. Mais un roi juste peut faire ses propres lois. On a beau tuer un homme, si on s’y connaît en politique, pas de problème, on s’en sort. Voyez? Alors, c’est, ça–ça...

45 La démocratie, c’est une bonne idée, mais ça ne peut pas marcher. C’est comme le communisme, avoir tout en commun; ça a l’air d’être une bonne idée, mais ça ne peut pas marcher. Non. La manière de Dieu, d’avoir un roi, comme David, c’était bon, et ça donne une seule pensée qui domine. C’est comme un seul leader et un troupeau d’oies, et ainsi de suite, il ne peut pas y en avoir deux ou trois. Quand on met tout ça ensemble, on se retrouve avec n’importe quoi, comme idées.

46 Alors nous voyons que, dans les conditions actuelles, tout est prêt pour la Venue du Seigneur.

47 Mais, comme Frère Neville, moi et ces autres frères, on essaie de conduire un troupeau, j’ai quelque chose qui me vient à l’esprit maintenant, dont on pourrait parler.

48 C’est que l’autre jour, j’ai reçu une lettre d’une brave dame. Ce n’est pas moi qui l’ai reçue, quelqu’un d’autre me l’a transmise. Et la dame me mettait vraiment en pièces, ou du moins elle essayait. Elle disait : “A-t-on jamais... Ne pourriez-vous pas, vous les Hommes d’Affaires Chrétiens, faire quelque chose pour arrêter Frère Branham?” Elle disait : “Parce que maintenant, il a sorti ce livre appelé l’Âge de l’Église de Laodicée, et il va en publier d’autres.” Et elle disait : “Il démolit carrément la doctrine pentecôtiste.” Elle disait : “Maintenant il dit que le signe initial n’est pas le parler en langues.” Et elle disait : “Et puis, il est contre les femmes prédicateurs.” Et c’était une femme prédicateur. Et ses fils sont parmi les meilleurs amis que j’ai au monde. Voyez, ils sont parmi mes meilleurs amis. Et elle disait : “Maintenant...”

49 Et cet homme et sa femme, je déjeunais avec eux, ils m’ont dit : “Frère Branham, regardez ceci. Imaginez-vous donc!”, et ils ont sorti cette lettre.
J’ai dit : “Eh bien, soeur, elle ne comprend pas, c’est tout.”

50 Les gars m’avaient dit que leur mère était une femme prédicateur, et qu’elle n’acceptait pas le Message.

51 Et là elle dit, là-dedans, elle disait : “Bon, il dit : ‘Les femmes ne doivent pas prendre autorité sur les hommes.’” Elle disait : “Alors, qu’en est-il de Phoebé, dans la Bible, l’assistante de Paul?”

52 Bien sûr, elle était vendeuse d’étoffes. Et Paul demandait aux gens... Est-ce que vous croyez que Paul aurait dit : “Que les femmes se taisent dans les assemblées, car il ne leur est pas permis d’y parler”, et qu’il se serait retourné pour dire : “Et Phoebé, mon assistante dans l’Évangile, elle va prêcher quelques soirs”? Dans ce cas-là, il contredirait sa propre parole. Voyez?

53 Et puis, pour couronner le tout, elle disait... “Je pense que c’est Esther... elle a été parmi les juges de la Bible.” Elle disait : “Une femme a été juge dans la Bible. Si ça, ce n’est pas avoir autorité sur l’homme!”

54 Et cet homme d’affaires qui a été guéri, ici même dans l’église, il n’y a pas longtemps, il disait... Sa femme disait : “Frère Branham, ça, ça m’a toujours intriguée.”
J’ai dit : “Pourquoi, soeur, comment est-ce que ça peut vous intriguer?”
Elle a dit : “Eh bien, voilà une femme juge.”

55 J’ai dit : “Ça, c’est de la politique, ce n’est pas l’église. Ça n’a rien à voir avec l’église.”

56 Paul a dit : “Qu’elles soient soumises, selon ce que dit la loi.” Et la loi ne peut pas instituer une femme comme sacrificateur, elle ne peut pas l’instituer. Une femme souverain sacrificateur, on n’a jamais vu ça. Une femme sacrificateur, on n’a jamais vu ça, nulle part dans la Bible. Une femme prédicateur, on n’a jamais vu ça dans la Bible. Ça, c’est certain.

57 Il y en avait qui étaient des prophétesses, et tout ça; Miriam, et d’autres. Et Esther... L’une d’elles était juge sur Israël. Des fois, elles gouvernaient comme reines, et ainsi de suite, roi et reine. À la mort du roi, la reine devait prendre sa place jusqu’à ce qu’ils aient élu un autre roi, et ainsi de suite.

58 À Tucson–à Tucson, en Arizona, on a une femme juge là-bas dans la ville. C’est pour ça que la ville est tellement polluée. Et on a... Une femme n’a rien à faire dans la politique. Elle n’a rien à faire dans... pour toute autorité dans l’église.

59 Sa place, c’est d’être la reine d’un homme à la maison. En dehors de ça, elle n’a rien. Et nous savons que c’est la Vérité. Vous ne trouverez jamais... Je sais que ça a l’air vieux jeu, mais je suis responsable.

60 Et je sais qu’après que j’aurai quitté cette terre, ces bandes et ces brochures resteront vivantes, et beaucoup d’entre vous les jeunes enfants, vous verrez, dans les jours à venir, que c’est exactement la Vérité, parce que je le dis au Nom du Seigneur.

61 Maintenant, c’est à se demander comment une femme, une femme bien, qui, grâce à son brave mari, un homme bien, a mis au monde quelques-uns des meilleurs gars que j’aie jamais rencontrés, de vrais hommes, que j’aie jamais rencontrés. Tout de suite, dès qu’ils ont entendu le Message, ils L’ont accepté, à cent pour cent. Ça peut seulement venir par prédestination, ça. C’est la seule manière dont ça peut venir.

62 Bon, voilà la question, ici. Je pensais que, voyez-vous, pourquoi le Seigneur m’a ramené là. “Et tu le sais, tu ne le... Tu ne le sais pas. Tu es nu, misérable, malheureux, aveugle, et tu ne le sais pas.”

63 Avant d’en arriver là, je pourrais résumer ce que j’ai dit il y a quelques jours ici, dans un Message sur, je crois que c’était Le dieu de ce siècle, qui a aveuglé les yeux des gens, au point qu’ils adorent carrément le diable dans des services religieux. Est-ce que vous avez tous saisi ça? Vous l’avez tous compris? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]

64 Et puis dans ce même Message, j’ai parlé de ce qu’une femme qui porte des vêtements immodestes, qui est indécente, au Tribunal du Jugement elle sera jugée comme une vulgaire prostituée. Ça semble bien étonnant.
Je vais vous brosser un petit tableau.

65 Voilà un avocat de la ville, un jeune homme, quelqu’un de bien gentil. Pour ce qui est de–de sa politique, j’imagine qu’il doit être aussi correct que les autres, sa politique. Et il sort avec une fille qui est très en vue. Ils tombent amoureux et ils se marient. Ils vont à toutes sortes de soirées et tout le tralala, et ils boivent ensemble. Finalement, elle... Il a une belle maison. Il habite dans un beau quartier. Il est bien considéré par les gens. Mais il... Tous les deux, ils boivent. Elle, elle met des shorts, elle se coupe les cheveux, elle se maquille, et tout, elle est très sexy, elle... une belle femme qui se montre. Et elle ne va jamais à l’église, jamais, aucun des deux.

66 Alors, voilà qu’une femme de l’église baptiste ou de l’église méthodiste emménage dans la maison d’à côté, elle et son mari. Maintenant, cette femme-là...

67 Disons qu’elle est méthodiste, parce que les méthodistes sont un peu plus portés sur la sainteté que les baptistes; tous, sauf les baptistes du Nouveau Testament qui eux croient à la sanctification. Mais, pour la plupart, les baptistes ne croient pas du tout à la sanctification, voyez. Ils ne croient pas à ça. Alors, disons qu’elle est méthodiste, parce qu’eux, ils croient à la sainteté.

68 Alors, une femme méthodiste emménage à côté de chez cette femme, dans la même rue. Et son mari à elle, il est... Disons qu’il est comptable, et, ou qu’il travaille pour un bureau. Et cette femme méthodiste, elle regarde l’autre femme.

69 Et quand cet avocat quitte la ville... Il s’appelle John; disons qu’il s’appelle John. Maintenant, ne faites pas de suppositions avec ça. Je ne fais qu’inventer des noms, là. Alors, il s’appelle John. Eh bien, avant, elle sortait avec Ralph. Et ça aussi, c’est un nom inventé, c’en est tous, voyez, c’est juste pour vous faire suivre l’histoire, pour vous donner le tableau.

70 Alors il arrive bien vite que dans une de leurs soûleries, Ralph l’embrasse de nouveau. Eh bien, la voilà tout enflammée, parce qu’elle est retombée amoureuse de Ralph, qu’elle pense. Alors, après un moment, Ralph et elle commencent à se voir. Et elle s’arrange pour que John n’y voie que du feu. Madame se croit très habile, parce qu’elle arrive à fricoter avec Ralph, tout en étant mariée avec John. Voyez, cette femme n’a même pas la moindre ombre de décence, et elle trouve ça tout à fait normal.

71 Mais cette femme méthodiste, elle est montée un cran plus haut. Elle, au moins, elle va à l’église, et elle trouve cette femme horrible. Eh bien, elle dit à son mari, quand il rentre : “Je vois cet homme entrer là et la rencontrer. Et quand John est parti quelque part travailler sur une cause, à Philadelphie ou quelque part, il l’emmène dans son roadster, et ils vont s’allonger sur la plage. Je les vois quand ils reviennent; des fois, ils ne tirent même pas les rideaux, il l’embrasse et il lui fait l’amour, et... Oh, c’est affreux”, qu’elle dit à son mari. “Oh, elle n’est rien d’autre qu’une vulgaire prostituée.” C’est vrai. Elle est pire qu’une prostituée, parce que c’est une femme mariée. Voyez? Et elle, cette femme, cette femme méthodiste, elle trouve ça affreux, elle ne va jamais à l’église.

72 Maintenant, cette femme méthodiste ne ferait jamais une chose pareille. Jamais de la vie. C’est une femme respectable. Autre chose : Elle ne toucherait pas une goutte de whisky, parce que l’église méthodiste, quatre-vingt-dix pour cent de leur programme, c’est la prohibition, contre le whisky, contre le whisky. Alors ils ont un programme de prohibition, et les gens de l’église méthodiste ne vivent pas plus haut que ce que leur église enseigne.

73 Mais cette même femme, cette femme méthodiste, elle sort, le soir, avec son mari, elle porte des shorts le dimanche, après l’école du dimanche. Elle se coupe les cheveux, elle met du rouge à lèvres, et elle fume même un peu.

74 Maintenant, selon la Parole de Dieu, ce sont toutes les deux des prostituées, mais celle-ci, elle est “nue, misérable, malheureuse, aveugle, et elle ne le sait pas”. Elles sont tout aussi coupables l’une que l’autre, car “un homme qui regarde une femme pour la convoiter a déjà commis adultère avec elle dans son coeur”.

75 Et si cette femme, maintenant, elle disait : “Minute, là, M. Branham. Je vous ferai savoir que je ne suis pas une prostituée.” Ma soeur, peut-être que, si on mettait une Bible devant vous, vous poseriez la main dessus dans la Présence de Dieu, et vous prêteriez serment que vous avez été aussi fidèle, fidèle à votre mari que vous pouvez l’être. Votre corps appartient à votre mari, mais votre âme appartient à Dieu. Il y a un mauvais esprit qui vous a ointe. Sans ça, sinon, vous êtes... je peux vous prouver que vous êtes complètement folle.

76 Qu’est-ce qui serait arrivé à votre grand-mère si elle s’était promenée en short dans la rue? On l’aurait fait enfermer dans un asile de fous : elle était sortie sans mettre sa robe. Elle n’a pas toute sa tête. Si c’était comme ça à l’époque, c’est pareil maintenant.

77 Alors le monde entier est frappé de folie. C’est la folie générale. Et ça s’est infiltré si graduellement que les gens ne s’en rendent même pas compte.

78 Maintenant, est-ce que c’est une prostituée? Pas vis-à-vis de son mari, du voeu qu’elle a fait pour son corps. Mais, devant Dieu, elle a un mauvais esprit sur elle, un esprit de prostitution, qui la pousse à s’habiller comme ça. Et elle est dans l’âge de l’Église de Laodicée, et elle ne sait pas qu’elle fait ça. Cette femme innocente ne sait pas que Dieu va la juger comme une prostituée. Voilà.

79 Et essayez donc de le lui faire comprendre! Il n’y a pas moyen de lui dire. Il n’y a aucun moyen de le lui faire comprendre. La Bible dit : “Ils sont nus et ils ne le savent pas.”

80 Si vous lui disiez en face qu’elle est une prostituée, elle vous ferait arrêter. Elle le ferait. Je ne parle jamais de qui que ce soit en particulier. Je parle du péché. Je ne dis pas : “Cette église-là, monsieur Untel là, le pasteur Untel là, c’est un...” Non, non. Je dis là, que la doctrine qu’il y a là, voyez, le tout. Je ne nomme pas les individus. Ce n’est pas les individus. C’est le système dans lequel ils sont. C’est le système du monde.

81 Frère Georges Wright qui est assis ici, il a... Il a soixante-quinze ou soixante-dix-huit ans, je pense. Qu’est-ce que vous pensez qu’il serait arrivé si vous étiez allé voir Soeur Wright un jour, et qu’elle s’était tenue là en short? Oh, vous n’auriez jamais, vous auriez–vous auriez fait enfermer la pauvre femme. Vous ne l’auriez jamais épousée. Eh bien, si n’importe quel jeune homme aurait fait ça à l’époque, qu’il se serait passé la même chose. Eh bien, si c’était péché et si c’était mal à l’époque, c’est la même chose; mais les gens ont sombré dans la folie.

82 Je vais vous prophétiser quelque chose, juste avant que ça arrive. Le monde entier est en train de sombrer dans la démence, et ça va aller en empirant toujours, si bien qu’à la fin, ce sera une vraie bande de fous. Et c’est presque comme ça maintenant.

83 Est-ce que vous pouvez vous imaginer un homme qui roule tous feux éteints et du mauvais côté de la route; un “ricky”, un jeune homme, qui vient à peine, semble-t-il, de sortir du secondaire, et qui tue tout un groupe de gens. Et est-ce que ça les arrête? Un autre vient derrière lui, et il fait la même chose. Est-ce que vous pouvez imaginer qu’un jeune homme qui se... qui se respecte un tant soit peu irait sortir et se conduire comme eux, ils le font?

84 Est-ce que vous pouvez imaginer une jeune femme, dans sa fleur, belle, un beau physique, de belles formes, un beau profil, un beau visage, une beauté; et le fait même qu’elle est jolie montre qu’on est au temps de la fin. Voyez, elle a tout misé sur les apparences du monde, les choses du monde, au lieu de la beauté de la sainteté, de la douceur de l’âme. J’ai vu des femmes qui n’avaient pas grand-chose pour attirer les regards à l’extérieur, mais parlez-leur une fois, parlez avec elles pendant quelques minutes, elles sont vraiment authentiques, quelque chose d’attachant. Vous voyez, la beauté de l’extérieur, c’est du diable, c’est du monde.

85 Regardez les enfants de Caïn, comme ils sont tombés dans le panneau : “Quand les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, ils en prirent pour femmes”, et Dieu ne le leur a jamais pardonné.

86 Regardez, quand les femmes israélites avec–avec leurs mains calleuses et leurs cheveux raides comme des cordes; quand les fils de Dieu sont passés par le pays de Moab, et qu’ils ont vu les femmes coquettes de là-bas, toutes bien coiffées, bien arrangées, et avec la figure pleine de manucure ou de machin, là; quand ces fils de Dieu ont vu ces très belles femmes, un faux prophète a dit : “On est tous pareils.” [Frère Branham donne six coups sur la chaire.–N.D.É.] Et ils se sont mariés avec, et Dieu ne le leur a jamais pardonné.

87 Ils ont péri dans le désert. Chacun d’entre eux est mort là, sans espoir, sans Dieu, et ils sont Éternellement perdus; damnés à jamais, bien qu’ils aient vu la bonté de Dieu, bien qu’ils aient bu à la fontaine intarissable. Ils avaient bu au rocher frappé. Ils avaient vu le serpent d’airain accomplir des miracles. Ils étaient sortis du baptême de Moïse dans la mer. Ils avaient vu la main de Dieu. Ils avaient mangé de la nourriture d’Anges, et fait toutes ces choses. Mais ils s’étaient mariés avec les femmes de là-bas, ils s’étaient laissés prendre par elles, et ils s’étaient mariés avec elles. Ils n’avaient pas commis adultère, ils s’étaient seulement mariés avec elles; Dieu ne leur a jamais pardonné ça.

88 C’était la deuxième fois que ça arrivait. Maintenant, nous en sommes à la troisième fois, maintenant c’est plus trompeur que jamais.

89 Je sais que c’est dur. Et je me suis souvent questionné, dans tous les sens : Comment est-ce possible? Pourquoi est-ce qu’il faut toujours que je sois si tranchant avec les gens? Pourquoi est-ce que c’est comme ça? Et pourtant, je peux voir que si ce n’était pas de Dieu, il n’y aurait personne, pas une seule femme qui resterait assise à m’écouter. Mais ils reviennent, parce qu’il y en a qui ont une petite ancre de Vérité là, qui savent que C’est vrai. Peu importe, ils savent que C’est vrai. Maintenant, regardez ce qui se passe. Je sais que c’est dur.

90 C’est comme si un docteur vous donne un remède, et que vous refusez de le prendre, alors ne dites pas que c’est la faute du docteur, si vous mourez. Et Ceci, c’est comme un remède. Pourquoi est-ce que certaines personnes n’arrêtent pas de dire que je suis un misogyne?

91 Vous voyez, rien qu’à regarder le comportement des femmes, je peux vous dire où l’église en est. La moralité des femmes, dans le monde, physiquement, c’est dans Laodicée : “Nus, misérables, aveugles, et ils ne le savent pas”, les–les gens, les femmes du monde. Et l’église est dans le même état. Voyez comme le naturel, c’est toujours le type du spirituel, chaque fois. Et, un jour, au Tribunal du Jugement...

92 Je sais que ce n’est pas populaire de dire ça. Et si un homme n’a pas été établi pour le dire, vous faites mieux de ne pas le dire, parce que vous vous feriez passer pour ce que vous n’êtes pas, et là, vous auriez des ennuis, c’est sûr.

93 Maintenant, remarquez. Des fois, on aurait vraiment dit que je tenais la bouche ouverte à une femme et que je lui versais le Remède dans la bouche; et ensuite, je mettais mes mains sur sa bouche, et elle Le recrachait chaque fois. Qu’en serait-il si un docteur faisait ça à un patient, et puis que le patient meure pour avoir refusé d’avaler le remède? Au Tribunal du Jugement, quand toutes ces choses, comme de se couper les cheveux, de porter des shorts, et...

94 Je suis seulement en train de construire. L’heure est proche où vous allez voir quelque chose se passer, où il va arriver quelque chose. Et toute cette toile de fond, ça n’a fait que poser le fondement d’un Message court et rapide qui ébranlera toutes les nations.

95 Pourquoi j’ai toujours rouspété après les femmes, c’est qu’il se préparait quelque chose qui allait mettre carrément le doigt dessus. J’ai eu beau essayer de leur dire ce qui est juste. Et je tenais la main comme ça, comme sur leur bouche, et elles Le recrachaient. Qui peut accuser le docteur, alors?

96 Qu’est-ce que vous allez dire, au Jour du Jugement, quand les voix mêmes qui se sont élevées contre ça vont repasser l’enregistrement en plein devant les gens? Comment est-ce qu’ils vont pouvoir y échapper, alors?

97 Elles vous Le recrachent entre les doigts. Vous en versez encore, et finalement elles secouent la tête et elles...?... elles repartent, elles ne veulent pas. Et, malgré tout, vous revenez à la charge, et vous En versez encore. Alors, à qui la faute? Pas au docteur, ni au Remède, mais à l’attitude de la personne. C’est exactement ça. Ce sera un jour terrible, un de ces jours, quand cette génération pécheresse et adultère se tiendra devant le Dieu Tout-Puissant.

98 Je vois mes années qui s’accumulent, mes épaules qui s’affaissent; et, je sais, trente ans ici sur cette estrade, oui, trente-trois ans ici, sur le terrain. C’est une longue vie, ça. Ça fait trente-trois ans de service. Mon seul regret, c’est de ne pas en avoir eu cent trente-trois. En effet, ceci sera la dernière occasion que j’aurai jamais, pendant que je suis ici, mortel, de prêcher l’Évangile. Que Dieu m’aide à rester aussi fidèle que possible à cette Parole, et à dire exactement ce qu’Il dit.

99 Qu’est-ce qui fait que cette méthodiste... Comment pourriez-vous jamais arriver à Le lui faire comprendre? Elle est là, dans l’âge de l’Église de Laodicée.

100 Maintenant, prenons la femme pentecôtiste. Elle ne devrait pas porter de shorts, de maquillage, ni se couper les cheveux, mais elle se permet de regarder la femme méthodiste de haut, en disant : “Regarde cette femme qui fait telle et telle chose!” Disons que la femme, elle ne porte pas de shorts, mais elle dit... et elle-même, elle a les cheveux coupés. Voyez?

101 Plus vous vous élevez en Dieu, plus ça a l’air rempli de péché, tout ça. Et des fois, en prière, vous pouvez vous imaginer, quand le Saint-Esprit vous élève dans une sphère, alors ça a l’air d’un chaos total. Alors, quand on redescend de là, on dirait qu’on est, que pour les gens on est un trouble-fête, qu’on est–on est une espèce de vieux grincheux. On est pris pour un fou, parce qu’on est là comme un vieux timbré, toujours en train de réprimander les gens. Mais s’il vous arrivait une fois de monter dans ces sphères, où vous êtes dans la Présence de Dieu (pas par l’émotion, mais en étant vraiment élevé par le Saint-Esprit), c’est tout écrit “ICHABOD”. La Gloire du Seigneur s’est retirée de tout l’attirail des dénominations. C’est vrai. Il n’y en a pas une qui soit dans le vrai.

102 Maintenant, je vais vous dessiner un petit cercle. Si j’avais un tableau... Mais je veux que vous regardiez bien, là. [Frère Branham dessine des cercles.–N.D.É.] Je vais faire un rond comme ça, et je vais faire un autre rond à l’intérieur de ce rond-là, ça fait deux, et puis je vais faire encore un rond à l’intérieur de ce rond-là. Ça fait trois ronds, trois cercles. Ça, c’est vous.

103 Ça, c’est Dieu. Dieu est Un dans une trinité, et sans trinité, Il n’est pas Dieu. Il ne peut pas se manifester autrement.

104 Et vous, en tant que personne, vous ne pouvez pas non plus être manifesté sans être composé d’une trinité, c’est-à-dire corps, esprit et âme. S’il vous en manque un, vous n’êtes pas complet. Voyez? Si vous n’aviez pas d’âme, vous ne seriez rien; si vous n’aviez pas d’esprit, vous ne seriez rien; si vous n’aviez pas de corps, vous seriez seulement un esprit, pas un corps.

105 Donc, Dieu est complet dans la tri-unité d’un Être, pas une tri-unité d’êtres, mais Un seul Être dans une tri-unité. Le Père, le Fils et le Saint-Esprit, c’est un seul vrai Dieu manifesté. Dieu!

106 Remarquez ici, attendez un peu, je–je crois que je l’ai lu il y a quelques minutes. Écoutez ça : Écris à l’ange de l’Église de Laodicée : Voici ce que dit l’Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la création de Dieu :

107 Dieu est le Créateur. Alors, comment peut-Il avoir été créé? Mais ici il y a “le commencement de la création de Dieu”. Quand Dieu, l’Esprit, a été créé sous la forme d’un Homme, c’est Dieu qui était créé. Dieu le Créateur, qui devenait Lui-même une création. Dieu, qui a fait la poussière, qui a fait le calcium, qui a fait la potasse, la lumière cosmique, les pétroles, Il a rassemblé tout ça et Il S’est créé Lui-même, dans “le commencement de la création de Dieu”.

108 “L’Amen”, le final. Amen veut dire “ainsi soit-il”. “Le final de Dieu”, quand Dieu S’est rendu complet dans Sa création.

109 Maintenant, comment ça? “Personne n’a jamais vu Dieu, mais le Fils unique du Père est celui qui L’a fait connaître.” Vous comprenez?

110 Un petit instant; vous n’êtes pas pressés, dites? Prenons Colossiens, juste un instant. Je viens juste de... un passage de l’Écriture m’est venu à l’esprit. Prenons Colossiens, l’Épître aux Colossiens, au... je crois que c’est au chapitre 1. Je vais devoir vérifier, parce que ce n’était pas prévu. Alors, je vais... Avant, quand j’étais jeune prédicateur, je pouvais me rappeler ces choses [Frère Branham fait claquer ses doigts.–N.D.É.] tout de suite, mais comme je prends de l’âge, je ne peux plus. Commençons au verset 9, je crois. “C’est pour cela...” C’est Paul, qui parle aux Colossiens de Christ, de Qui Il était. C’est pour cela que nous aussi, depuis le jour où nous en avons été informés, nous ne cessons de prier Dieu pour vous, et... demander que vous soyez remplis de toute la connaissance de sa volonté, en toute sagesse et intelligence spirituelle, Pour marcher d’une manière digne du Seigneur et lui être entièrement agréables, portant des fruits en toutes sortes de bonnes oeuvres et croissant par la connaissance de Dieu, Fortifiés tous... par la puissance glorieuse, en sorte que vous soyez toujours et avec joie persévérants et patients. Rendez grâces au Père, qui nous a capables... qui nous a rendus capables d’avoir part à l’héritage des saints... Qui nous a délivrés de la puissance des ténèbres et nous a transportés dans le royaume du Fils de son amour,

111 Voilà, on y arrive maintenant. Regardez. En qui nous avons la rédemption par son sang, la rémission du péché. Il est à l’image du Dieu invisible,...

112 Vous comprenez? Verset 15, Colossiens 1.15. ...le premier-né de toute la création.

113 Amen! Le quoi? “Le premier-né de toute la création.” Qu’il s’agisse des Anges, qu’il s’agisse de n’importe quoi; Il est le premier-né de toute la création. Car en lui ont été créées toutes les choses–été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, que ce soient trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui.

114 Qu’il s’agisse de n’importe quoi; il n’y a aucun autre être! Remarquez : “Et dans... Et il est donc...” Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent par lui.

115 Que ce soit Père, Fils, Saint-Esprit, quoi que ce soit, “Il est avant toutes choses”. “Avant toutes les choses qui sont dans les cieux, sur la terre, les visibles, les invisibles, n’importe quoi”, ce Fils de Dieu était avant toutes choses. N’est-ce pas vrai? Peu m’importe que ce soient des trônes, des dominations, quoi que ce soit; des trônes Célestes, des royaumes, quoi que ce soit dans les glorieuses dimensions surnaturelles de l’au-delà, dans les Éternités, où que ce soit; quoi que ce soit, des Anges, des dieux, quoi que ce soit, “Il est avant toutes choses”. Amen! Ne pouvez-vous pas Le voir? “Il était avant toutes choses, et elles ont été créées par Lui. Il...” Verset 17. Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent par lui.

116 Il n’y a rien que Lui qui peut faire marcher tout ça. Que ce soit Dieu le Père, Dieu le Saint-Esprit, que ce soient des Anges, des dominations, des autorités, des dignités, quoi que ce soit, toutes choses fonctionnent par Lui. “Toutes choses subsistent par Lui.” Il... Il est la tête du corps de l’Église; il est le commencement–il est le commencement, le premier-né d’entre les morts (c’est-à-dire qu’Il va ressusciter ceux qu’Il est venu racheter) , afin d’être en tout le premier.

117 “Afin d’être le premier”, vous savez ce que ça veut dire? Ça veut dire “au-dessus de tout”. Il est au-dessus de toutes les choses qui ont jamais été créées, chaque Ange, chaque être, chaque–chaque chose qui existe. Il est au-dessus de toutes choses. De quelle Créature s’agit-il? Qui cela peut-il être? Au-dessus de toutes choses! “En faisant la paix...” Voyons un peu, un instant. Préémi-... Car Dieu a voulu que toute la plénitude habitât en lui;

118 “Toute la plénitude de toutes choses.” Toute la plénitude de Dieu, toute la plénitude des Anges, toute la plénitude du temps, toute la plénitude de l’Éternité, tout habitait en Lui. C’est Lui, ça. Il a voulu par lui réconcilier tout avec lui-même, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix.

119 Voilà cet Être glorieux dont nous parlons : “Le commencement de la création de Dieu.”

120 Maintenant, maintenant, là, l’Église, Son but même, dans tout ça, c’était l’Église. Et comment est-ce qu’on entre dans cette Église? “Par un seul Esprit nous sommes tous baptisés dans un seul Corps”, l’Église, le Corps de Christ. Ça ne peut pas faillir.

121 Maintenant, voici comment ça se passe. Regardez bien ça, juste un petit schéma ici. [Frère Branham montre de nouveau son dessin des trois cercles.–N.D.É.]

122 Maintenant, cet homme extérieur, là c’est la chair. C’est ce qu’on regarde, ce qu’on voit. Et ce corps, il a cinq entrées. N’importe quel enfant qui sort du primaire comme moi sait qu’il y a cinq sens qui contrôlent le corps : la vue, le goût, le toucher, l’odorat et l’ouïe. Sans eux, on ne peut pas toucher le corps. C’est la seule manière d’avoir accès au corps : la vue, le goût, le toucher, l’odorat, l’ouïe; on voit, on goûte, on touche... Maintenant, ça, c’est le mauvais, à l’extérieur.

123 Et à l’intérieur de ça, il y a un esprit, c’est ce que vous devenez quand vous naissez sur terre et que le souffle de vie est soufflé en lui. Cet esprit a une nature mondaine, parce qu’il n’a pas été donné de Dieu, mais il a été (donné) permis par Dieu. Vous comprenez, là? Car chaque enfant qui naît dans ce monde “est né dans le péché, conçu dans l’iniquité, venu au monde en disant des mensonges”. N’est-ce pas vrai? Alors cette personne, là, à l’intérieur, c’est un pécheur dès le départ. Maintenant, mais...

124 Or, il a cinq entrées. Et ces cinq entrées... je ne sais pas si je pourrai toutes les énumérer maintenant. Quand... D’abord, je sais qu’il y a la pensée, la conscience, et l’amour, le choix... Non. La conscience, l’amour, le raisonnement... Il y a cinq entrées à l’esprit. Vous ne pouvez pas penser avec votre corps, vous devez penser avec votre esprit. Vous ne pouvez pas avoir une conscience dans votre corps. Il n’a aucune faculté mentale, votre corps n’en a pas; alors vous devez penser avec votre esprit. Vous devez raisonner. Vous ne pouvez pas raisonner avec votre être physique, parce que le raisonnement ne peut pas voir, goûter, toucher, sentir ou entendre. Le raisonnement, c’est quelque chose que vous pouvez faire dans votre esprit. Si vous êtes endormi ou si vous êtes parti, et que votre corps est là, mort, votre esprit, lui, il peut encore raisonner. Il y a cinq sens qui contrôlent cet homme intérieur. Et...

125 Maintenant, ce dernier homme, qui est l’âme, il n’y a qu’un seul sens qui le contrôle, et c’est le libre... le choix du libre arbitre, de choisir ou de rejeter.

126 Et la raison pour laquelle aujourd’hui, les gens... Maintenant, n’oubliez pas ceci, et vous–vous verrez ce que le Saint-... ce qu’est le signe initial du Saint-Esprit. Voyez?

127 Les gens peuvent vivre dans cet esprit. Ils dansent par l’esprit. Ils crient par l’esprit. Ils vont à l’église par l’esprit. Et ils peuvent tout à fait avoir l’onction du vrai Esprit de Dieu sur leur esprit, mais quand même être perdus et aussi possédés du diable que possible, avec cet esprit-là.

128 Et, regardez, c’est pour ça qu’on ne peut pas dire à cette femme, que de porter des shorts, c’est mal. On ne peut pas lui dire que de se couper les cheveux c’est mal. “Voyons, qu’est-ce que les cheveux ont à voir avec ça?” Eh bien, pour Samson, ça avait quelque chose à voir. Voyez?

129 “Quiconque ajoutera un seul mot à Ceci ou En retranchera un seul Mot...” Vous devez avoir un absolu quelque part.

130 Maintenant, mettons que je sois un–un–un–un baptiste, et que vous veniez me dire que je dois être–que je dois être baptisé au Nom de Jésus-Christ; c’est dans la Bible. Eh bien, je vous répondrais tout de suite : “Je vais demander à mon pasteur.”

131 J’irais voir le pasteur, et il dirait : “Oh, ça, c’était pour une autre époque, voyez. Oui, vous voyez, nous les baptistes, voici ce que nous croyons : nous croyons qu’on doit être immergés dans les titres de ‘Père, Fils, Saint-Esprit’. C’est comme ça que notre église l’a toujours fait. Depuis sa fondation par John Smith, c’est comme ça qu’on fait.” Eh bien, c’est ça votre absolu. “On s’en fiche pas mal, de ce que ce gars-là peut dire!”

132 Et si vous êtes méthodiste, et que le système, chez vous, c’est d’asperger, et qu’on vous dise que vous devez être immergé? Vous voyez ce que je veux dire? Vous allez voir le pasteur méthodiste, et lui, il va écrire à l’évêque pour lui demander, si un tel a dit telle et telle chose à ce sujet-là. “Mais nous, l’église méthodiste, nous avons été fondés il y a trois ou quatre cents ans, en Angleterre, par John Wesley, et Whitefield, et tous les autres là-bas, et Asbury. Et nous avons établi ce document, en suivant John Wesley, selon lequel on doit être aspergés, parce que c’est juste une émo-... une forme extérieure. Alors nous pensons que l’aspersion a tout autant de valeur que l’autre manière.” Si vous êtes un vrai... Si c’est l’église méthodiste qui est votre absolu, vous allez vous en tenir à ça, un point, c’est tout.

133 Si vous êtes catholique... et que je vous dise que ce n’est pas dans la Bible de ne pas manger de viande le vendredi, et toutes ces choses comme ça, et que “la Sainte Eucharistie, ce n’est pas une hostie, parce que c’est un Esprit”, et ainsi de suite. Alors vous allez voir le curé, et le curé dit : “Voilà, c’est écrit ici même dans notre document.” Si l’église est votre absolu, alors vous vous fichez royalement de ce que n’importe qui peut dire. C’est votre absolu.

134 Ô Dieu, fais que ceci entre bien! Pour moi, c’est tout faux. C’est la Parole de Dieu qui est l’absolu. Tout ce que cette Parole dit, c’est ça qui est vrai.

135 Maintenant, là-haut dans ces sphères, la seule façon pour vous d’être dans cet homme intérieur, là, il faut que vous soyez prédestiné. À cause de ce que vous étiez avec Dieu, vous êtes une partie de Dieu.

136 J’étais dans mon père. J’étais aussi dans mon grand-père, et dans le grand-père de mon grand-père. En semence, j’étais là.

137 Et j’étais en Christ. Vous étiez en Christ avant la fondation du monde. Il est venu racheter les Siens, les Siens qui étaient en Lui. Alléluia! Ses enfants, qui étaient en Lui!

138 Il n’est pas venu pour–pour sauver les enfants du diable. Eux ne connaîtront jamais Ça. Et ils sont si habiles dans leur connaissance intellectuelle que vous ne pourriez jamais rivaliser avec eux. Vous ne pouvez pas avoir le dernier mot avec eux. Mais c’est par la foi que vous Le voyez.

139 Maintenant, la science n’a pas besoin de foi. La science prouve ce qu’elle avance. Elle n’a pas besoin de foi.

140 Le prêtre catholique vous dira : “Regardez depuis combien de temps l’église catholique tient bon. Regardez depuis combien de temps elle résiste aux persécutions des païens.”
L’église méthodiste dira : “Mais, regardez depuis combien de temps...”

141 J’ai vu une église... parlez-moi d’une annonce hypocrite, hier sur la route en venant, que je l’ai vue. C’était écrit : “Église de Christ, fondée en 33 ap. J.-C.” Elle n’a même pas encore cent ans, vous voyez, cette dénomination. Oh! la la! “La doctrine des apôtres”? Ils n’en ont presque rien. Ce sont les sadducéens d’aujourd’hui; pas d’Esprit, pas de... Et on ne peut pas leur dire; on ne peut pas leur parler, on ne peut pas discuter avec eux.

142 C’est que nous, on va plus loin que le raisonnement. “Ne t’appuie pas sur ta propre intelligence.” La foi ne raisonne pas du tout. La foi le croit.

143 Ils disent : “Mais, voyons donc, pensez-vous vraiment qu’il faut qu’on fasse les choses qu’ils faisaient, dans le temps, là? Ça ne tient pas debout! Ça...”

144 Mais la Bible l’a dit. Je ne peux pas expliquer comment ça arrive, mais ça arrive. Dieu l’a dit. Alors on n’a pas à... Je ne peux rien vous dire là-dessus. La foi ne L’explique pas. Vous saviez ça? La foi Le croit, c’est tout.

145 Jésus a dit à Nicodème, du san-... du concile oecuménique de Son temps; il est venu vers Lui de nuit, il Lui a dit : “Maître, nous savons que Tu es un Docteur venu de Dieu, parce que personne ne pourrait faire les choses que Tu fais, si Dieu n’était pas avec lui.”

146 Il lui a dit : “En vérité, Je te le dis : ‘Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut même pas voir le Royaume de Dieu.’”

147 Il a dit : “Moi, un vieillard, entrer dans le sein de ma mère, et naître?”

148 Il a dit : “Comment est-ce que Je pourrais te parler de choses Célestes, alors que tu ne veux même pas croire les choses terrestres?” Voyez?

149 Et puis un jour, Il a dit : “Si vous ne mangez la chair du Fils de l’Homme, et si vous ne buvez Son Sang, vous n’avez pas la Vie en vous-mêmes.” Il ne l’a pas expliqué.

150 Il y avait les apôtres et ceux de ce jour-là, eux étaient destinés à la Vie; Il le savait. Il a dit : “Tous ceux que le Père M’a donnés viendront. Tout ce que vous avez à faire, c’est de faire connaître Ma Voix; ils la connaissent, car Mes brebis connaissent Ma Voix.” Et une voix, c’est une parole exprimée. [espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.] “Ils le croient de toute façon. Ils n’ont pas besoin de prouver quoi que ce soit par la science, ou de demander l’avis d’un sadducéen ou d’un pharisien, ou de quoi que ce soit d’autre sur le sujet. Je l’ai dit, ils le croient. Car Mes brebis entendent Ma Voix.”

151 Et Ça, c’est la Voix de Dieu sous forme écrite, parce que Ça, c’est la révélation entière de Jésus-Christ, l’Ancien et le Nouveau Testament ensemble. Amen. Voilà.

152 Comment ça se fait? Vous direz : “Mais ce sont de braves gens. Qu’est-ce qui fait qu’ils...?” À cause d’une chose : Leur poteau d’attache, c’est une église. Et ici... Vous vous souvenez, dimanche passé, la semaine dernière; combien étaient ici et ont entendu ma prédication sur Les oints dans les derniers jours? Vous y étiez tous, je pense. Voyez, ils sont vraiment oints. Leur esprit est oint, dans cette deuxième dimension, là.

153 Maintenant, la première femme dit... Ah, elle, elle se fiche pas mal de ce que dit l’église, ou de ce que dit n’importe qui d’autre. C’est une fine mouche. Elle a été à l’université. Elle arrive à faire ça en cachette de son mari, alors elle se croit très maligne.

154 Et l’autre femme, elle, elle est “nue, aveugle, et elle ne le sait pas”. [Frère Branham frappe deux fois sur la chaire.–N.D.É.] Oh! c’est lamentable, mais c’est ça le tableau que la Bible nous en donne. Pourtant, elle va à l’église. Il vaudrait probablement mieux pour cette femme... Il vaudrait mieux pour cette femme... Elle mène une vie comme il faut, pure, là, il n’y a rien à redire. Dieu en jugera. Moi, je ne sais pas, je ne suis pas le Juge.

155 Je suis seulement le... responsable de ce qu’Il me montre. C’est ce qu’ont dit les apôtres : “Nous disons ce que nous savons, ce que nous avons entendu, ce que nous avons vu.” C’est tout ce dont je suis responsable. C’est tout ce dont vous êtes responsables.

156 Mais, vous voyez, prenez cette femme, là,... Où est-ce qu’elle a abouti, finalement? Voyez? Elle n’en a pas tenu compte. Elle a entendu, sans doute; bien des fois, elle a mis la radio. Souvent, la Voix de Dieu parlait. Eh bien, maintenant, vous voyez, elle entre dans une secte, là, un clan. Toutes les églises sont des clans. Toutes, c’est tout à fait vrai, ce ne sont que des clubs où on se rassemble entre adhérents. Et elle, elle va là, et ça lui convient parfaitement. Maintenant, si vous vous mettez à lui dire ce qu’elle doit faire, elle ne vous écoutera pas. Vous avez beau lui montrer dans la Bible, elle ne L’écoutera pas.

157 Maintenant, mon cher frère, ma chère soeur, je vais juste ajouter une ou deux petites choses avant de terminer. Il est moins le quart, l’heure de terminer, dans un quart d’heure.

158 Maintenant, écoutez, je voudrais vous poser une question. Pourquoi est-ce que cette femme-là ne peut pas le voir? Pourquoi? Pour ce qui est d’un adultère physique, envers son mari, elle n’est pas coupable; elle n’a rien à confesser. Elle est aussi pure que le jour où elle est née, aucun homme ne l’a touchée.

159 Je suis en train de faire un parallèle, là, entre la femme et l’église. Elle est aussi pure que quand elle est née. Eh bien, l’église est exactement dans cet état-là : comme quand elle est née; seulement elle est “née dans le péché, conçue dans l’iniquité, venue...”! Vous voyez ce que je veux dire?

160 Maintenant, dites-lui qu’elle a tort de se couper les cheveux, que c’est la Bible qui le dit; qu’elle a tort de porter ces shorts, que c’est la Bible qui le dit; elle vous répondra : “Foutaises.” Pourquoi? Son absolu n’est pas ici à l’intérieur, dans ce troisième homme, l’âme prédestinée et envoyée de Dieu; mais son absolu, c’est dans une organisation, là, dans quelque chose qui a été organisé par un homme, sans tenir compte de Ceci. Voyez?

161 Mais si la Parole de Dieu est à l’intérieur, dans cette âme, elle dira : “Amen! Je le vois.” Elle s’Y conforme. Maintenant, écoutez. C’est pourquoi l’homme qui est né de l’Esprit de Dieu...

162 Voyez, ici, c’est la chair, à l’extérieur. Maintenant, je parle à un auditoire mixte, mais je vous parle comme votre–comme votre pasteur, comme votre frère. Ici, c’est la chair, elle est faible, forcément... Une jeune femme marche dans la rue. Un jeune homme en pleine jeunesse passe par là; il a dix-sept, dix-huit, vingt ans, vingt-cinq, trente... Et voilà cette jeune femme qui arrive en se tortillant, en marchant sur des chaussures à talons hauts, ça dépasse par-devant et ça dépasse par-derrière, et avec une robe qui ne va pas plus bas que ça au-dessus du genou, ou un short. Saviez-vous que la Bible a dit qu’elle ferait ça? Vous savez, la Bible a dit qu’elle agirait comme ça, qu’elle serait impudique à ce point.

163 Est-ce que vous avez lu, dans le Reader’s Digest de ce mois-ci, que “les hommes et les femmes d’aujourd’hui, que les jeunes filles de vingt ou vingt-cinq ans ont leur ménopause”, que maintenant, le retour d’âge, le moment où on arrive à l’âge mûr, c’est entre l’âge de vingt et vingt-cinq ans, d’après la science. De mon temps, c’était vers les trente, trente-cinq ans. Du temps de ma mère, une femme n’avait jamais sa ménopause avant quarante ou quarante-cinq ans.

164 Qu’est-ce que c’est? C’est à cause de la science, et de la nourriture, des aliments hybrides qui ont perverti le corps humain au point qu’on n’est plus qu’un tas de–de–d’un amas de corruption. Eh bien, si le corps physique est corrompu, alors est-ce que les cellules du cerveau de ce corps ne le sont pas aussi? [Frère Branham donne quatre coups sur la chaire.–N.D.É.]

165 Maintenant, voyez comme l’Esprit suit par derrière. Et au Nom du Seigneur, il viendra un temps où les gens deviendront complètement fous. La Bible le dit. Ils crieront et ils hurleront, avec d’énormes choses hideuses dans l’imagination de leur esprit. Ce sont les radios et tout, les programmes de télévision, qui le produisent. On verra apparaître sur la terre des fourmis de la hauteur de quatorze arbres; on verra un–un–un oiseau voler au-dessus de la terre, avec des ailes de quatre ou cinq milles [six ou huit kilomètres] d’envergure; et les gens verront ça, ils crieront, ils hurleront et ils imploreront miséricorde. Mais ce sera les Fléaux. Attendez que je prêche sur ces Fléaux qui vont s’ouvrir.

166 Regardez ce que Moïse a fait dans le domaine physique, pas l’Esprit, quand Il a dit : “Moïse...” Dieu a dit à Moïse : “Va là-bas,” à Son prophète, “ramasse une poignée de poussière, jette-la en l’air et dis : ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, il viendra des mouches sur la terre.’” Il n’y avait pas de mouches. Tout à coup, ils voient quelque chose qui se met à bouger sur un buisson. Ils regardent ailleurs, et en voilà encore. Au bout d’un moment, il y en avait une telle épaisseur qu’on n’arrivait même plus à marcher à travers.

167 D’où est-ce qu’elles venaient? Dieu est le Créateur. Il peut faire ce qu’Il veut. Il est souverain. Il peut faire un–un oiseau dont les ailes vont–vont d’un bout à l’autre de la terre.

168 Il a dit : “Qu’il y ait des mouches qui couvrent toute la face de la terre.” Il n’y avait pas une seule mouche dans le pays. Mais, tout à coup, on a vu voler une mouche bleue. Et puis il y en avait huit, dix, douze... Et rapidement, on ne pouvait même plus marcher à travers. Dieu, le Créateur, tient Sa Parole.

169 Et il a étendu son bâton, sur l’ordre de Dieu, et il a dit : “Qu’il apparaisse des grenouilles, et qu’elles recouvrent la terre.” Et il est arrivé tellement de grenouilles qu’on en faisait des tas, ça puait partout; il y avait des montagnes de grenouilles de quarante à cinquante pieds [dix à quinze mètres] de haut. Il y en avait dans le placard de–de Pharaon. Il y en avait dans le... on soulevait le drap, on trouvait cinq cents grenouilles sous le drap, sous le lit, dans la bouffe. Partout où ils allaient, il y avait des grenouilles, des grenouilles, et encore des grenouilles. D’où est-ce qu’elles venaient? [Frère Branham donne quatre coups sur la chaire.–N.D.É.] Dieu, le Créateur, est souverain. Ce qu’Il dit, Il le fait!

170 Et Il a dit qu’on verrait des choses horribles sur la terre. “Des sauterelles avec des cheveux comme les femmes”, des cheveux longs, pour tourmenter les femmes qui ont coupé leurs cheveux. “Des dents comme des dents de lion, et un dard dans la queue comme les scorpions; elles tourmenteront les hommes pendant des mois.” Attendez seulement qu’on arrive à l’ouverture de ces Fléaux et de ces Sceaux, et de ces Sept Tonnerres, regardez ce qui arrivera. Oh, frère, vous faites mieux d’aller en Gosen pendant qu’il est encore temps d’aller en Gosen. Ne faites pas attention à l’extérieur, ici.

171 Voyez un peu. Voilà une jeune femme qui marche dans la rue en se tortillant; voilà un jeune homme qui s’amène, et ça attire son regard sur elle. C’est un membre d’église. Il est pentecôtiste. Il est ce qu’il est, quoi. Mais on voit bien vite qu’il n’a pas de poteau d’attache ici à l’intérieur. Elle lui dira : “Salut.” Il a les cheveux bouclés, un beau jeune homme aux épaules bien droites, peut-être qu’il a essayé de mener une vie droite. Elle s’avance vers lui, ça peut même être un prédicateur. Et bien vite...

172 Qu’est-ce que c’est? Ça, ici, le désir charnel; et pourtant l’esprit, là à l’intérieur, il est oint, et lui dit : “Ne le fais pas, ne le fais pas.” Mais qu’est-ce qui va se passer? Il n’en tiendra pas compte, et il va se laisser prendre au piège, et voilà. Bien vite, il sera là, en train de chercher à sortir avec elle. Il est coupable d’avoir commis adultère, qu’il la touche ou non.

173 Mais un vrai fils de Dieu né de nouveau! Amen! Vous ne pouvez pas y arriver tout seul. C’est absolument impossible pour un–un homme en pleine santé de passer devant une fille comme celle-là sans qu’il se passe quelque chose. Mais quand il y a Quelque Chose à l’intérieur, ce petit Quelque Chose ici, qui est né de nouveau!

174 Cet homme peut avoir crié, parlé en langues, sauté, dansé, et tout le reste, oint de l’Esprit; il peut avoir accompli tous les signes et les miracles que Dieu a promis là-dedans, par Son Esprit! [Frère Branham donne trois coups sur la chaire.–N.D.É.] Jésus a dit : “Plusieurs viendront à Moi ce jour-là, en disant : ‘Seigneur, n’ai-je pas prophétisé en Ton Nom? N’ai-je pas chassé des démons en Ton Nom? N’ai-je pas...’ Il a dit : ‘Retirez-vous de Moi, vous qui commettez l’iniquité.’” L’iniquité, c’est quoi? C’est quand vous savez ce qu’il faut faire et que vous ne le faites pas. “‘Retirez-vous de Moi, vous qui commettez l’iniquité; Je ne vous ai même pas connus.’”

175 Mais à l’intérieur de cet homme, si cette petite attache est là, cette Semence de Dieu qui a été prédestinée avant la fondation du monde; peu importe ce qui peut arriver, elle le retient. Elle ne bougera pas de là.

176 C’est pour ça que cette femme, là, elle met des shorts. Elle est considérée comme une prostituée, exactement comme celle qui commet l’acte. Voyez? Elle ne sait pas que cet esprit... Par quoi est-ce qu’elle sait? Par son absolu.

177 Qu’est-ce qu’un absolu? C’est le dernier mot. L’absolu, c’est l’amen. C’est la fin de toute contestation, votre absolu.

178 Et si votre église, une église pentecôtiste, vous dit que “les cheveux longs et tout ça, c’est du fanatisme. C’est une vraie roue de secours, ce chignon”, et ainsi de suite, ce genre de choses, l’homme qui vous dit ça est possédé du diable.

179 Car la Parole de Dieu dit : “Il est honteux pour une femme de se couper les cheveux : elle déshonorerait son chef.” Si elle déshonore son mari, et son mari, c’est l’Église, et l’Église, c’est Christ, alors elle est une infâme prostituée religieuse; nue, et elle ne le sait pas. Nue! La Bible ne dit-elle pas que “le voile de la femme, ce sont ses cheveux”? Sa chevelure ne lui a-t-elle pas été donnée comme voile?

180 Un jour, là-bas au Tribunal du Jugement! J’ai essayé de vous faire ingurgiter le Remède, et de Le retenir avec mes mains, et vous L’avez aussitôt recraché entre vos doigts. Mais, un jour, Dieu les jugera. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Ce n’était pas un tas de stupidités, ni une espèce de vieux fou dans tous ses états. Ce n’est pas ça. En effet, c’est la Parole du Seigneur.

181 Et un vrai, un authentique Chrétien, va s’aligner sur cet homme intérieur, sur cet Esprit qui était là-bas au commencement, et qui est la Parole.

182 Comme Lui était la plénitude de vous tous, vous étiez en Lui là-bas au Calvaire. Il savait d’avance que vous seriez ici. Il a seulement montré ce qui allait se passer. Et vous étiez en Lui; vous êtes morts avec Lui. Vous êtes morts à votre orgueil, vous êtes morts à vos façons de faire, vous êtes morts au monde. Quand Il... Vous êtes morts avec Lui au Calvaire, et vous êtes ressuscités avec Lui quand Il est ressuscité le troisième jour. [Frère Branham a donné trois coups sur la chaire.–N.D.É.] Et parce que vous l’avez accepté, maintenant vous êtes assis dans les lieux Célestes en Jésus-Christ. Alléluia!

183 Voilà. C’est cet homme intérieur. C’est cet intérieur qui ponctue la Parole, qui s’accroche à la Parole, quoi qu’il arrive. C’est plus fort que vous. J’ai appris ça il y a bien des années.

184 Mon bébé était là en train de mourir. Ma femme était là, dans... à–à la morgue, embaumée et préparée. Ils m’ont fait venir, Sharon était en train de mourir. C’est la tentation la plus forte que j’aie jamais eue de ma vie. J’avais à peu près vingt-cinq ans. Je suis allé là-bas, et Billy Paul était à l’article de la mort.

185 Le docteur Sam est venu, il m’a dit : “Bill, je ne crois pas qu’on arrivera à sauver Billy. Et je...” Il a dit : “Il est vraiment très malade.” Il m’a dit : “Bill, ça me fait tellement de peine pour toi.” Il a passé son bras autour de mes épaules.
J’ai dit : “Doc, je n’ai plus aucune force.”

186 Au bout de quelques heures, je l’ai appelé; mon bébé, Sharon. Je l’avais amenée là-bas en vitesse, il... pour la voir en proie à des spasmes, sans arrêt. Ils lui ont planté une aiguille dans la colonne, une ponction, ils ont fait l’analyse : méningite tuberculeuse. C’est tout.

187 Je me suis frayé un chemin jusqu’à l’hôpital, j’ai arrêté mon vieux camion là-bas, je suis descendu, et je m’en allais vers la chambre. Et voilà Sam qui arrive dans le couloir, son chapeau à la main, en train de pleurer. Il a passé son bras autour de mes épaules et il m’a dit : “Viens, Bill, on s’en va.”
J’ai dit : “Qu’est-ce qu’il y a?”
Il m’a dit : “Tu ne peux pas la voir.” Il a dit : “Elle est en train de mourir, Bill.”
Et j’ai dit : “Non, Sam! pas mon bébé!”

188 Il a dit : “Oui.” Il a dit : “Ne la réclame même pas, Bill.” Il a dit : “Si elle s’en sortait, ce serait avec des séquelles.” Il a dit : “Elle resterait invalide, elle en garderait des séquelles toute sa vie.” Il a dit : “Elle a la méningite. Ne t’approche pas d’elle, tu–tu ferais mourir Billy, en faisant ça.”
J’ai dit : “Sam, il faut que je la voie.”

189 Il m’a dit : “Tu ne peux pas, Bill. Je–je te le défends. Tu sais combien j’ai d’estime pour toi, tu es mon copain et tout,” il a dit, “j’ai beaucoup d’estime pour toi,” il a dit, “et je te crois, Bill,” il a dit, “mais ne va–ne va surtout pas vers ce bébé.” Il a dit : “Si tu le fais... Elle a une méningite.” Voyez? Il a dit : “Dans quelques minutes, elle sera partie, et”, il a dit, “tu pourras... On va l’enterrer.” Il m’a dit : “Bill, ça me fait tellement de peine pour toi.”

190 Il a appelé–appelé une infirmière pour qu’elle m’apporte un genre de médicament. Il disait : “Je ne sais pas comment cet homme arrive à tenir encore debout.”

191 Je suis resté là un moment. Il m’a fait apporter le médicament. Je me suis assis, dans le couloir. Il a dit : “Assis.” Et l’infirmière l’a apporté, elle m’a dit : “Buvez ça, Frère Branham.”

192 Je lui ai dit : “Merci. Vous n’avez qu’à le poser là en attendant.” Quand elle est partie, j’ai versé ça dans le crachoir, et j’ai reposé le verre.

193 J’étais là : “Oh, Dieu! Mais qu’est-ce que j’ai fait? Tu es un Dieu bon. Pourquoi est-ce que Tu l’as laissée mourir, l’autre jour, pendant que je tenais ses deux petits bras comme ça?” Je Le suppliais pour elle. “Pourquoi Tu l’as laissée partir? Billy est là, en train de mourir; et la voilà elle aussi, là, en train de mourir. Mais qu’est-ce que j’ai fait? Dis-moi! Oh, je ferais aussi bien de partir avec eux.”

194 J’ai ouvert la porte, il n’y avait pas d’infirmière. Je me suis glissé dans le sous-sol. C’était avant qu’ils arrangent l’hôpital. Des moustiquaires, il n’y avait presque pas de moustiquaires aux fenêtres, et les mouches allaient sur ses petits yeux. Ils lui avaient mis un petit bout de mousseline de moustiquaire, comme on appelle ça, de tulle sur le visage. J’ai chassé les mouches. Elle était étendue là. Ses petits yeux, elle souffrait tellement qu’elle en louchait.

195 Alors Satan est venu tout près de moi, là, et il m’a dit : “Tu as dit qu’Il est un Dieu bon, hein?”
J’ai dit : “Oui, c’est ce que j’ai dit.”

196 “Tu as dit qu’Il guérit, hein? Dans ce cas-là, comment ça se fait que ton père est mort là dans tes bras, pendant que tu priais, il était pécheur, et tu priais pour qu’il ait la vie? Comment ça se fait que ton frère est mort dans les bras de ton autre frère, là-bas, pendant que tu étais à la chaire en train de prêcher, il y a quelques semaines?” Il m’a dit : “Alors, pourquoi est-ce qu’Il ne t’a pas répondu? Tu disais qu’Il t’aimait, et qu’Il t’avait sauvé.”

197 Il ne pouvait pas me dire que Dieu n’existait pas, parce que je L’avais déjà vu. Mais il me disait qu’Il ne se souciait pas de moi.

198 Il m’a dit : “Ta femme est étendue là-bas. Tes bébés vont bientôt y être aussi. Ton papa est enterré. Ton frère est enterré. Et là, ta femme va être enterrée, demain. Et voilà ton autre bébé qui est en train de mourir. C’est un Dieu bon? Hein? Il guérit?” Il m’a dit : “Tu t’es vraiment rendu ridicule!”

199 Qu’est-ce qui se passait? De... ça agissait de l’extérieur, sur ce premier homme, là.

200 Il m’a dit : “Écoute, Tu sais, quand tu étais, il y a quelques années, il y a deux ou trois ans, avant que tu acceptes Ça, tu étais bien considéré parmi les gens. Tu menais une vie pure et droite. N’importe quelle fille de la ville qui voulait sortir n’avait pas peur de sortir avec toi, parce qu’avec toi, elles se sentaient respectées.” Je pourrais me tenir devant n’importe laquelle d’entre elles. Je n’en ai jamais insulté une seule, je n’ai jamais rien dit. Qu’elle se mette à mal se conduire, je la ramenais tout de suite chez elle. “Et les gens t’appréciaient. Mais aujourd’hui, qu’est-ce que tu es? Un fanatique religieux!”

201 “C’est vrai, c’était comme ça.” Vous voyez comme tout ça travaillait de concert? L’extérieur, l’esprit qui raisonnait, tout ça travaillait en même temps. “C’est vrai, Satan.
– Et tu dis qu’Il guérit?
– Oui. Oui-oui.

202 – Et toi qui suppliais et qui pleurais, et les gens te disaient que tu te trompais, que tu étais en train de faire fausse route. Ta propre église t’a mis à la porte, à cause de Ça. Ta propre église baptiste là-bas, ils t’ont mis à la porte, justement à cause de Ça.
– Ouais.

203 – Ton père est enterré, ton frère est enterré, ta femme est là, prête à être enterrée. Et ton bébé aussi, dans une quinzaine de minutes il sera mort. Et Il guérit, hein? La chair de ta chair; Il n’aurait qu’un seul mot à dire, et ton bébé vivrait. ‘Il guérit’, que tu as dit, hein? Les gens ont essayé de te parler. Le prédicateur t’a dit que ça ne tournait pas rond là-dedans, que tu étais complètement cinglé, que tu étais devenu un fanatique religieux. Et Tu dis qu’Il t’aime. Est-il possible qu’Il t’aime?

204 Et comme tu as pleuré pour ton papa! Comme tu as jeûné, soir après soir. Et quand tu... le jour, il fallait que tu pries pour arriver à grimper à un poteau, au travail. Et Il l’a laissé mourir pécheur, dans tes bras.

205 Et ta femme, quelle femme admirable, et tu l’aimais tant!” La mère de Billy, beaucoup d’entre vous vous souvenez de Hope. “C’était une jeune femme si gentille! Et comme vous étiez heureux dans votre petite maison, là-bas, avec pour environ sept ou huit dollars de meubles, ce que vous aviez comme meubles. Mais tu l’aimais, et tu... et vous vous aimiez. Et tu as prié pour d’autres, et par une sorte d’émotion mentale, ils se levaient, ils marchaient, et ils disaient qu’ils étaient guéris. Mais maintenant ta propre femme, la voilà morte, depuis deux jours maintenant, elle est là, chez l’entrepreneur de pompes funèbres Scott & Combs. Il guérit, hein?

206 Et ton petit garçon, Billy Paul, à l’article de la mort, à dix-huit mois. Et ta petite fille de huit mois, elle est ici en train de mourir d’une méningite. Tu as prié, et Dieu a tiré les rideaux, Il a dit : ‘Tais-toi! Je ne veux rien savoir; rien entendre, rien!’ Il t’a tourné le dos. C’est un Dieu bon, hein? Il t’aime, hein? Toutes les filles que tu as fréquentées, tous ceux qui étaient autrefois tes camarades, et même tes meilleurs amis, ils t’ont quitté, parce que tu es un fanatique religieux.”

207 Tout ce qu’il me disait là, c’était la vérité. Tout ce qu’il disait, c’était parfaitement logique, voyez, ici. À ce moment-là, j’étais sur le point de dire : “Eh bien, si c’est comme ça qu’Il fait, alors je ne Le servirai pas.”

208 Et comme je me disais ça, Quelque Chose est venu d’ailleurs, du plus profond de l’intérieur, et m’a dit : “Mais, qui es-tu, d’abord? Le Seigneur a donné, et le Seigneur a repris.” Voyez, c’est cet homme intérieur. Lui, il ne raisonne pas du tout.

209 J’ai repensé au passé, et je me suis dit : “Comment est-ce que je suis venu sur terre? Je viens d’une bande d’ivrognes. Comment est-ce que j’en suis arrivé ici? Qui m’a donné la vie? Qui m’a donné ma femme? Qui m’a donné ce bébé? D’où est-ce que ma femme est venue? D’où est-ce que ma vie est venue?” J’ai dit : “Qu’Il me tue, j’espérerai quand même en Lui!”
J’ai dit : “Arrière de moi, Satan!”

210 J’ai posé ma main sur le bébé. J’ai dit : “Sharon, ma chérie, je vais te déposer dans les bras de ta maman dans quelques minutes, quand les Anges de Dieu viendront t’enlever, mais un jour papa te reverra. Je ne sais pas comment ça va se passer, ma chérie, je ne peux pas te le dire; là, Il me tourne le dos, Il ne veut même pas m’écouter pour toi.”

211 Il a laissé mourir ma femme, pendant que je lui tenais les mains, que je pleurais pour elle. Et mon papa, il est mort dans mes bras, la tête sur mon bras, ici, en me regardant, en cherchant à reprendre son souffle. Et j’ai prié aussi fort que j’ai pu. Comment est-ce que je pourrais retourner devant les gens prêcher la guérison Divine? Comment est-ce que je pourrais prêcher qu’Il est un Dieu bon, quand Il a laissé mon propre papa mourir pécheur? Comment est-ce que je pourrais prêcher ça? Je ne sais pas comment, mais je sais qu’Il a raison.

212 La Parole de Dieu ne faillira jamais. Elle vaincra, quoi qu’il arrive. Alors j’ai su qu’il y avait Quelque Chose de plus profond que tous les raisonnements, Quelque Chose de plus profond que toutes les émotions, que toutes ces choses-là. Il y avait un homme intérieur, et lui, il a tenu bon à ce moment-là. Rien d’autre n’aurait pu tenir. Toutes les raisons, tout pouvait démontrer, il y avait là toutes les preuves que C’était faux, que j’étais dans l’erreur. Mais la Parole de Dieu, qui avait été prédestinée avant la fondation du monde, Elle a tenu bon, à l’intérieur.

213 J’ai senti un léger Souffle traverser la salle. Son esprit est allé rencontrer Dieu.

214 Frère, soeur, je vais vous dire : Il n’y a rien d’autre que ça. N’essayez pas de raisonner la chose. N’essayez pas d’avoir les cheveux longs parce que c’est moi qui l’ai dit. N’essayez pas de faire toutes ces choses seulement parce que, dans la chair. N’essayez pas de le faire juste pour être à la hauteur. Mais attendez devant le Seigneur, jusqu’à ce que Quelque Chose, tout au fond, à l’intérieur!

215 Il y en a beaucoup parmi vous qui s’imaginent que puisque vous avez les cheveux longs, ça veut dire que vous irez au Ciel. Pas forcément. Il y en a beaucoup qui s’imaginent que si on est une femme de bonne conduite, alors on va au...?... Pas forcément. Il y en a beaucoup qui s’imaginent que, parce que leurs églises, qu’ils appartiennent à ceci, à tel grand regroupement, avec d’éminents docteurs en théologie. Ça ne veut pas forcément dire ça. Vous voyez?

216 Il y en a beaucoup qui s’imaginent que, parce qu’ils parlent en langues, ils ont le Saint-Esprit. Pas forcément. Bien que le Saint-Esprit parle en langues, c’est sûr. Mais tant que ce vrai Saint-Esprit authentique n’est pas là à l’intérieur pour s’aligner sur chaque Parole! Si ce Saint-Esprit en vous, qui vous fait parler en langues, regarde là, et qu’il n’est pas d’accord avec le reste de la Parole, alors ce n’est pas le bon esprit. Voyez?

217 Ça doit venir de l’intérieur, qui est la Parole depuis le commencement. “Au commencement de la création de Dieu”, quand Dieu a commencé à créer, à vous amener à l’existence, vous voyez. Là-bas, vous avez commencé en tant que semence, et vous en êtes arrivés là où vous êtes maintenant. Et alors, vous étiez tous en Christ. Et puis, quand Christ est mort, Il est mort pour vous racheter tous. Et vous êtes une partie de cette Parole-là! Alors comment... La Bible, tout entière! “Précepte sur précepte, règle sur règle, un peu ici, un peu là.” “Il ne disparaîtra pas un seul iota ou un seul trait de lettre.” Comment donc pourriez-vous, vous qui êtes une partie de cette Parole, ne pas être d’accord avec le reste de la Parole, ou avec une portion quelconque de la Parole?

218 Que Dieu vous bénisse. J’ai dépassé l’heure maintenant. Je ne voulais pas le faire, vous retenir si longtemps. Je regrette de vous avoir retenus; je ne regrette pas ce que j’ai dit.
Nous sommes tout à la fin de quelque chose, mes amis.

219 Vous tous ici, je pense, vous êtes tous membres de cette assemblée. Je ne suis pas assez souvent ici pour savoir quels sont ceux qui sont membres. Je suppose que vous venez tous ici régulièrement. Je voudrais vous raconter quelque chose qui est arrivé. Est-ce que vous voulez bien me donner encore, disons, six minutes? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.]

220 Est-ce que monsieur le pasteur O. Walker, là, de l’Oregon, est ici, lui qui était avec nous ce–ce dimanche où j’étais là? Est-ce que quelqu’un en a entendu parler? C’était quelque chose d’étrange, d’extraordinaire.

221 Quand je suis arrivé ici, il y avait tellement de gens, je–j’avais... j’avais toute une pile d’entretiens, et ils étaient tous justifiés : leur fils, enfants, mariés, ivrognes et–et différentes choses, des choses qui justifiaient toutes un entretien. Il aurait fallu que je voie chacun d’eux. Mais je n’arriverais pas à faire tout ça. Alors, je vous remets à Dieu, je pose les mains dessus et je prie. Je dis : “Ô Dieu, je–je n’arriverais pas à le faire. Touche-les, Seigneur, fais... Toi, Tu peux y arriver. Je prie pour chacun d’eux.”

222 Billy m’a appelé. Je venais d’arriver avec Frère Banks. Il m’a dit : “Papa, si tu...”

223 Écoutez, des fois je vois des gens qui passent en voiture là, dans la rue, et qui regardent vers la maison. Et moi, je les regarde et je les salue de la main, comme ça, et ils–ils vont presque détourner la tête. Je ne veux pas que vous fassiez ça.

224 L’autre jour, quand ils achetaient cette maison pour que j’y habite, là-bas à Tucson, il y avait une maison là-bas que Frère Tony voulait m’acheter, et qui coûtait trois ou quatre fois plus cher que celle-là. Il était même prêt à payer plusieurs milliers de dollars de sa poche. Mais la seule façon d’entrer là, un gardien était posté à l’entrée. Un grand... C’est une annexe, là. Mais... Et les gens qui habitent là, pour les voir, il vous faut une autorisation écrite, alors le gardien les appelle pour leur demander s’ils sont d’accord de vous laisser entrer.

225 Je lui ai dit : “Tu me verrais, moi, alors que j’ai des frères et soeurs qui viennent pour me voir, qui veulent me serrer la main et demander à Dieu de me bénir, est-ce que tu me verrais, moi, m’en aller là-dedans, Tony?”
Il m’a répondu : “Eh bien, vous devez...”

226 Je lui ai dit : “Tony, comme ils font, l’assemblée, et tout, qu’ils gardent une certaine distance entre moi et les gens,” j’ai dit, “c’est à cause de ceux qui veulent me dicter ce que je dois faire.”

227 Ils, ils disent : “Le Seigneur m’a dit. Alléluia! Je ne partirai pas d’ici. Gloire à Dieu! Le Seigneur m’a dit que vous devez venir faire une réunion chez nous, dans notre groupe. Oui monsieur, gloire à Dieu! Le Dieu me l’a dit. Si vous ne le faites pas, Frère Branham, vous êtes rétrograde, ça, c’est sûr.” Et moi, qui suis là, en train d’essayer d’étudier, voyez. C’est pour ça, vous voyez. Et bien des braves gens sont empêchés d’entrer, à cause de ça.

228 C’est comme quand un homme va chasser sur le domaine d’une ferme. Un fermier lui dit : “Allez-y, vous pouvez chasser.” Et alors vous y allez et vous abattez une de ses vaches; un lapin passe sous la vache, et vous tirez sur le lapin quand même. Vous piétinez la clôture, au lieu d’aller jusqu’au poteau et de grimper par là, comme un homme honnête devrait le faire; vous escaladez la clôture et vous la démolissez, là. Voyez? Alors il dira : “Je vais mettre une interdiction d’entrer!” Je ne–je ne peux pas lui reprocher ça du tout, pas du tout. Mais qu’est-ce qu’il fait? Il empêche le chasseur honnête de passer. C’est toujours comme ça. C’est le mal qui empêche le bien d’avoir le dessus. Toujours.

229 Mais ces gens sont, il y en a des milliers qui sont vraiment dans le besoin, et qui sont bienveillants, des gens pleins d’amour, remplis de la grâce de Dieu.

230 Et c’est ce qui arrive ici, que des gens viennent comme ça. On ne veut pas, on ne veut pas de ça, non.
Mais cet homme est arrivé...

231 Billy m’a dit : “Dépêche-toi de venir, papa.” Il a dit : “Il y a Mme Waldorf qui est là avec des gens, quelqu’un qui est en train de mourir; il faut que tu les voies tout de suite.” Alors je me suis dépêché de venir ici.

232 Quand je suis arrivé, ils m’ont dit : “Ici, il y a seulement un homme, qui dort là-bas, à côté, là, sur le côté, sur un coussin tous les jours, sur le côté du bâtiment.” Il a dit : “Il veut que tu pries pour lui.”
J’ai dit : “D’accord.” J’ai dit : “Je le ferai entrer.” Je suis venu.

233 Il y avait, je crois, une Cadillac, là, derrière, un genre de grosse voiture. J’arrivais, et... Cet homme m’a dit : “Bonjour, monsieur.” Il ne me connaissait pas.

234 Je suis entré. Et Soeur Waldorf, la pauvre, elle est entrée. Vous savez, elle était...

235 Vous connaissez son histoire, n’est-ce pas? Voilà, elle avait le cancer, elle était morte dans la ligne de prière, à peu près une heure avant que j’arrive jusqu’à elle. Son docteur était venu, il avait montré... Il y a environ dix-huit ans de ça, un cancer du coeur, voyez, et elle est en vie aujourd’hui. Maintenant elle habite dans l’Arkansas.

236 Et à l’époque, elle était à Phoenix. Elle m’a dit : “Frère Willie, je n’aurais pas voulu arriver comme ça, mais”, elle a dit, “je n’avais pas d’endroit où rester. Je ne voulais pas... Ils disaient, que ces gens, que cette femme va mourir, Frère Willie.”

237 Elle m’a dit : “J’aurais voulu arriver avec une petite offrande à la main pour vous, Frère Willie,” elle a dit, “mais je ne pouvais pas. Mais j’ai fait de la gelée de mûres.”

238 Oh, quand je suis entré là et que j’ai vu ces petits pots de gelée qu’elle avait posés là, je... pour moi, c’était trop sacré pour que je puisse en manger. Voyez? Cette brave mémé, d’environ soixante-dix ans. Je lui ai dit : “Soeur Hattie...” Je–je ne pouvais pas refuser. Non. Jésus a vu cette veuve mettre trois cents, et Il–Il–Il l’a laissée faire. Voyez? Non. Dieu la récompensera pour ça. Oui.

239 Et alors le Seigneur a guéri cette femme, Il l’a guérie de tout ce qu’elle avait, Il a révélé à son pasteur ce qu’il, ce qu’elle, qui le préoccupait, ce qu’il devait faire, autre chose. Et, oh, ils sont tous sortis en criant de joie.

240 Alors Billy est entré, et il m’a dit : “Papa, cet homme est parti. Je ne peux pas...”
Je lui ai dit : “C’est qui dans la voiture, là-bas?”

241 Il a dit : “Oh, ça, c’est un type qui est venu de l’Oregon, il dit qu’il a eu un genre de songe. Et je lui ai dit : ‘Je ne voudrais pas vous donner de faux espoirs. Il y en a déjà trois cents qui attendent.’” Et il a dit : “Je lui ai dit : ‘Mettez le songe sur papier. J’en ai une pile haute comme ça, déjà. Je vais le mettre avec les autres.’”
Je lui ai dit : “Fais-le entrer. Donne-lui cinq minutes.”

242 Eh bien, dès que cet homme est entré; cinq minutes? Il m’a dit : “Je suis le pasteur Walker,” je pense que c’est comme ça qu’il s’appelait, “de l’Oregon.” Je pense qu’il faisait partie d’une des dénominations, je ne sais pas, presbytérien, presbytérien quelque chose.

243 Il m’a dit : “Je vous ai rencontré il y a une vingtaine d’années. J’étais descendu à Grants Pass, où vous...” Ou... ce n’était pas Grants Pass, là-bas, j’ai oublié comment ça s’appelle. Il m’a dit : “Dans toute la région, ça faisait les gros titres des journaux tous les matins. Tout le monde était au courant.” Il a dit : “Je n’ai même pas pu entrer dans le bâtiment où vous étiez, mais je vous ai vu entrer. Et un jour, dans la rue, je me suis avancé vers vous.” Il a dit : “Il y avait quatre ou cinq hommes autour de vous, et je vous ai serré la main. Et vous... je vous ai dit que j’étais Frère Walker, et vous m’avez dit qui vous êtes.” Il a dit : “On a échangé quelques mots, puis les trois ou quatre hommes forts qui étaient avec vous vous ont fait avancer.” Il a dit : “Je n’étais pas de ceux qui vous critiquaient, et je n’étais pas non plus pour vous.” Il a dit : “Je ne comprenais pas, c’est tout.”

244 Il m’a dit : “Ça a duré encore quelques années, et après quelque temps,” il a dit, “je... un homme m’a demandé de venir écouter des bandes, il y a environ trois ans de ça.” Et il a dit : “Cet homme passait les bandes. Et là,” il a dit, “je l’ai entendu parler.” Et il a dit : “Cet homme-là, il croyait que vous êtes un–un prophète. J’ai dit, j’ai dit à cet homme : ‘Dans ce rayon-là, je ne m’y connais pas; ça se pourrait, pourquoi pas?’”

245 Alors il a dit : “Après ça, un autre homme s’est installé dans notre ville, il a fait une réunion, je l’ai rencontré. Et il disait : ‘Je suis le prophète de Dieu pour ce jour-ci.’”

246 Il lui a dit : “‘Mais, vous êtes combien, à la fin?’ Il a dit : ‘Je–je–j’ai entendu qu’un homme ici, qui écoute des bandes, dit : “William Branham, là-bas dans l’est, est le prophète pour ce jour-ci”, et tout ça.’”

247 Il a dit : “Cet homme...” Je ne vais pas mentionner son nom, parce que ce ne serait pas bien de le faire ici, vous voyez. “Il a dit : ‘William Branham, je le connais,’ il a dit, ‘mais sa Doctrine est complètement fausse.’ Il a dit : ‘Ce n’est pas un pentecôtiste, il ne croit pas au signe initial.’ Et il a dit : ‘Autre chose, il dit qu’il y a des grands et des petits prophètes. Ça, ça n’existe pas.’ Il a dit : ‘On est prophète ou on ne l’est pas, c’est tout.’”

248 Il a dit : “‘Écoutez, monsieur, je suis... je ne dis pas ça pour argumenter avec vous. Je disais seulement que j’ai entendu cet homme dire que cet homme, là, William Branham... et cet homme prétendait qu’il était prophète.’” Il a dit : “‘Je me demandais seulement combien il y en a.’”

249 “Il a dit : ‘Mais je veux que vous sachiez ceci : C’est moi qui suis le prophète de cet âge-ci.’”

250 Alors il lui a répondu : “Vraiment?” Il a dit : “Alors, que le Seigneur vous bénisse et vous accompagne.”

251 Il a continué, sans plus s’en occuper. Et il disait qu’il avait commencé à faire une série de trois ou quatre réunions avec les frères de chez lui. Et il est allé à la poste, pour dire : “Ne–ne faites pas suivre mon courrier. Gardez-le ici jusqu’à ce que je revienne, dans quatre ou cinq jours.”

252 Ils ont dit : “Très bien.” Ils ont mis une petite note là, pour dire de ne pas le faire suivre.
Il est parti voir sa fille.

253 Et en partant, il–il s’est arrêté à une église. Et il a prêché ce soir-là. Le lendemain matin, il disait que tout d’un coup il s’est dit : “Va chercher la poste restante.” Et quand il y est allé, il y avait une lettre qui avait quand même été transmise par la poste, et qui était arrivée à sa fille; sa fille l’avait fait arriver là, en poste restante.

254 Et il l’a ouverte. Et il disait qu’elle venait d’un homme, M. Hildebrandt, qui est un de mes amis, et c’était lui l’homme qui passait les bandes. Il a dit que M. Hildebrandt avait appris par Roy Borders (qui est un des organisateurs, vous savez), que j’allais faire une série de réunions ici, du vingt-huit au premier, qu’il vienne voir par lui-même.

255 Il s’est dit : “Eh bien, voyons! voilà que ces gars essaient de m’attirer dans leur affaire.” Voyez? Et il a tout simplement balancé la lettre au panier et il est reparti, vous voyez, comme ça. Il est reparti tenir sa réunion ce soir-là. Et le matin suivant...

256 Alors il a mis la main sur son coeur, et il s’est mis à pleurer, ici dans mon bureau.

257 Il m’a dit : “Monsieur Branham, je sais bien que j’aurai à me tenir devant Dieu.” Il a dit : “Je ne sais pas si je dormais ou ce qui s’est passé au juste.” Il a dit : “J’ai eu un songe. Disons que je dormais et que j’ai eu un songe.”

258 Il a dit : “Il m’a semblé voir mon fils, au marché, enfoncer sa main dans un–un sac.” Il a dit : “Quand il l’a fait, c’était un sac de pommes, elles se sont toutes renversées.” Il a dit : “Quand je me suis approché pour les ramasser, c’étaient toutes des pommes vertes et il manquait une bouchée à chacune.” Il a dit : “Je les ramassais, pour les remettre dans le sac.” Il a dit : “Il y en a qui avaient roulé, qui étaient descendues en roulant, ce qui fait que j’ai essayé d’aller les chercher, sous... dans l’herbe.” Il a dit : “Elles avaient roulé sous une clôture fermée par une chaîne. Et il y avait une grande autoroute qui passait par là. Je me suis retourné vers l’est,” il a dit, “et la–la–la chaîne était accrochée à une–une grosse pierre là-bas vers l’est. Alors je suis allé par là, je pensais décrocher la chaîne, pour pouvoir traverser et aller ramasser les pommes pour cet homme.” Il a dit : “Je me suis mis à décrocher la chaîne.”

259 Il a dit : “Une voix a fait trembler la terre tout entière.” Il a dit : “La terre tremblait sous mes pieds.” Il a dit : “Quand ça a arrêté de trembler, j’ai entendu une voix.” Et il a dit : “Frère Branham, c’était votre voix,” il a dit, “je le savais; quelque chose me le disait.” Il a dit : “Elle disait : ‘Je parcourrai encore une fois ce sentier!’”

260 Il a dit : “J’ai regardé vers le haut du rocher, comme ça, et j’ai regardé plus loin, au-dessus des nuages. Et tout là-haut, sur un rocher qui s’étendait d’est en ouest en forme de pyramide, pointue comme ça, je suis revenu vers l’est,” il a dit, “et vous étiez là, sur un cheval comme je n’en avais jamais vu de ma vie; un grand cheval blanc, avec une longue crinière blanche.” Il a dit : “Vous étiez habillé comme un chef indien, avec tout ce que portent les Indiens.” Il a dit : “Avec un pectoral, des bracelets aux bras, et des choses qui pendaient tout autour, comme ça.” Il a dit : “Vous aviez les mains en l’air comme ça.” Et il a dit : “Ce cheval se tenait là comme un cheval militaire; il marchait, d’une allure très noble comme ça.” Et moi, je ne bougeais pas. Et il a dit : “Vous avez tiré sur les rênes, et vous êtes parti vers l’ouest.”

261 Il a dit : “J’ai regardé en bas, et là il y avait un tas de savants.” Et c’est le matin suivant... Ça, c’était le samedi. C’est le lendemain matin que j’ai prêché sur les savants, vous savez, que j’ai dit que c’est du diable. Et il a dit : “Il y avait des savants là, qui versaient des machins dans des éprouvettes et qui mélangeaient ça.” Il a dit : “Vous avez arrêté le cheval, vous avez de nouveau levé les mains en l’air et vous avez crié : ‘Je parcourrai encore une fois ce sentier!’” Et il a dit : “La terre tout entière a tremblé. Ces gens ont été secoués,” il a dit, “ils ont levé la tête, ils se sont regardés comme ça, et ils ont levé les yeux vers vous. Ils se sont contentés de hausser les épaules, et ils ont continué leurs recherches scientifiques.” Il a dit : “Vous êtes reparti vers l’ouest.”

262 “Et à ce moment-là, qu’il m’a dit, j’ai vu l’homme qui se disait prophète, vous savez,” il a dit, “il est arrivé, monté sur un cheval noir mêlé de blanc.” Et il a dit : “Il est arrivé derrière ce grand cheval.” Il a dit : “C’était, loin au-dessus des nuages,” il a dit, “et le chemin n’était pas plus large que ça.” Et il a dit : “Ce cheval...” Il a dit : “Le vent gonflait les plumes et tout, sur–sur votre costume,” et il a dit, “et la crinière et la queue de votre cheval flottaient au vent. Un grand maître, un grand cheval blanc qui marchait très droit.” Et il a dit–il a dit : “Ce type est arrivé derrière vous; il semblait venir du Canada.” Et cet homme habite au Canada. Il a dit : “Il est venu là,” qu’il disait, “et il essayait de faire tomber votre grand cheval avec son petit cheval; il le retournait pour faire frapper sa croupe contre la...” Il a dit : “Le grand cheval n’a même pas bronché; il continuait d’avancer.”

263 Il a dit : “Alors, tout d’un coup,” il a dit “vous vous êtes retourné.” Il a dit : “C’était la troisième fois que vous parliez, mais c’était la deuxième fois que vous disiez : ‘Je parcourrai’. Et il a dit : “Vous ne parliez plus comme avant. Là, vous donniez un ordre.” Il a dit : “Vous vous êtes retourné et vous avez appelé cet homme par son nom, et vous avez dit : ‘Descends de là! Tu sais pourtant bien qu’aucun homme ne peut parcourir ce chemin si ce n’est pas Dieu qui l’a établi pour ça. Descends de là!’”

264 Et il a dit : “L’homme a fait demi-tour.” Et il a dit : “Cet homme m’a déjà écrit des lettres.” Et il a dit : “Sur les hanches de son cheval,” ce noir mêlé de gris, il a dit, “sur les hanches de son cheval, son nom était écrit, sa signature, exactement comme sur ses lettres. Et il est parti vers le nord.”

265 Il a dit : “Alors vous avez continué votre chemin; ce grand cheval s’est retourné, aussi loin vers l’ouest que vous le pouviez.” Il a dit : “Vous étiez là, et vous avez levé les mains comme ça.” Et il s’est mis à pleurer. Il m’a dit : “Frère Branham, de voir ce cheval debout là, la coiffure de guerre et tout ça,” qu’il disait, “et ce pectoral et tout qui brillait.” Il a dit : “Vous avez gardé les mains en l’air un moment, puis vous avez encore regardé en bas, vous avez repris les rênes et vous avez dit : ‘Je parcourrai une fois encore ce sentier!’” Il a dit : “La terre tout entière a été secouée dans tous les sens, comme ça.” Et il a dit : “Il n’y avait plus de vie en moi; je me suis affalé au pied du rocher. Alors je me suis réveillé.”
Il a dit : “Qu’est-ce que ça signifie, monsieur?”
J’ai dit : “Je ne sais pas.”

266 Le lendemain matin... Junior Jackson, qui avait eu le songe de la pyramide, vous savez, quand je partais vers l’ouest. Vous vous souvenez de ça? Il m’a appelé, un mois ou deux avant. Il avait eu un songe qu’il brûlait de me raconter. Et j’ai dit : “Billy...”

267 Il y en avait une vingtaine là-dehors. Il m’a dit : “Il y a Junior Jackson, là, il dit qu’il faut qu’il te raconte ce songe.”
Je lui ai dit : “Fais-le entrer, cinq minutes.”

268 Il est entré avec sa femme, comme témoin, qu’il disait. Il m’a dit : “J’ai rêvé, Frère Branham, que j’étais allé faire une balade en voiture avec ma femme.” Et il a dit : “J’ai regardé vers l’est, et j’ai vu quelque chose qui ressemblait à un point, comme une de ces soucoupes volantes.”

269 Vous voyez, le monde ne sait pas ce que c’est, vous savez. Vous savez, c’est là. Nous, on sait ce que c’est. Voyez? Nous, on sait que ce sont des Anges enquêteurs de jugement, vous voyez. Et au Pentagone et tout, ils les voient descendre, et leur intelligence, ils peuvent [Frère Branham fait claquer ses doigts.–N.D.É.] partir comme un éclair, et ils ne sont plus là, ils échappent à tout ce qu’ils ont. Vous voyez, ils ne savent pas ce que c’est. Ils peuvent bien en penser ce qu’ils veulent, appeler ça des soucoupes volantes, ou n’importe quoi. Ils ne savent pas, voyez.

270 Il a dit : “Je le voyais venir, et je l’observais. Et voilà : c’était un homme à cheval.” Et il a dit : “Il arrivait à la vitesse de l’éclair.” Il a dit : “Je voyais qu’il allait atterrir devant moi. Alors j’ai arrêté ma voiture et je suis vite descendu.” Il a dit : “À ce moment-là, la voiture... le cheval était sur la route, un grand cheval militaire blanc, qui marchait d’une allure très noble.” C’est la Parole, bien sûr, qui marche d’une allure très noble.

271 Il a dit : “Il y avait un homme assis dessus.” Il a dit : “Il–il portait une sorte de costume du Far West. Ce n’était pas un cow-boy, mais”, il a dit, “il avait plutôt l’air d’un commandant de la gendarmerie à cheval de l’ouest, ou quelque chose comme ça.” Voyez? Toujours l’autorité du chef, à l’ouest : des Indiens au-dessus des Indiens, gendarmes à cheval au-dessus, voyez. Et il a dit : “Cet homme avait son chapeau enfoncé sur la tête, et il avait... il regardait de côté.” Et il a dit : “Quand il s’est tourné,” il a dit, “c’était vous, Frère Branham.” Il a dit : “Vous ne parliez pas comme avant. Vous avez dit ‘Junior!’” Je l’ai appelé trois fois et j’ai dit : “Je vais te dire ce qu’il faut faire.” Et il a dit : “Alors, vous avez repris les rênes du cheval. Vous avez fait à peu près trois foulées, et vous êtes parti vers le ciel, vous n’étiez plus là, vous étiez parti vers l’ouest.”

272 Il a dit : “Un instant après, je regardais, et voilà un cheval plus petit qui arrive; de la même race, mais plus petit, et il restait là.” Il a dit : “Je me suis approché; je me disais : ‘Il doit avoir envoyé celui-là pour moi.’” Il a dit : “Je l’ai enfourché.” (Junior aussi, il a fait un peu d’équitation. Il m’a dit : “Vous savez ce que c’est, quand une selle vous va bien, Frère Branham, les étriers et tout.”) Il a dit : “Je me suis dit : ‘Oh, celle-ci me va très bien.’ Alors j’ai pris les rênes, et je suis parti vers le ciel.” Il a dit : “J’ai tiré sur les rênes pour l’arrêter, je lui ai fait faire demi-tour, et je suis revenu. Voyez?” Il a dit : “Quand je suis revenu, j’ai arrêté le cheval, je suis descendu parler avec ma femme. Et le cheval était parti.” Et Junior aussi, il était tout remué.

273 Et puis avant-hier, il y a trois jours, Léo Mercier est venu avec exactement le même songe, sans le savoir; il s’agissait d’essayer de faire accoupler un grand étalon blanc avec une jument noire, et ils n’y arrivaient pas; il était agité. Il m’a dit que j’étais arrivé là, j’avais dit : “Léo”, et que je lui avais dit comment moi, je m’y prenais. Je ne veux pas le répéter ici, voyez, mais je lui ai dit comment je m’y prenais. “Vous avez dit : ‘Tu ne vois pas? Juste pour te dire : Je ne savais pas qu’Ed Daulton avait un gendre, et que son gendre avait un chien qui s’appelait comme ça. Tu sauras que tu es en train de rêver, Léo. Mais quand tu te réveilleras, souviens-t’en!’” Et il a dit : “Je n’avais jamais entendu donner un ordre avec tant d’autorité.”

274 À peu près au même moment, Roy Roberson est venu, il a dit : “Frère Branham, vous vous souvenez, avant la première fois où vous avez quitté l’église? On était... Je vous avais vu assis, c’était comme en Palestine. On était tous là, le conseil d’administration et tout, assis comme autour de la table du souper du Seigneur, et vous parliez. Et vous... Il n’était pas sûr de savoir de quoi vous parliez.” Il a dit : “Une nuée blanche est descendue vous prendre, elle vous a emporté.” Combien se souviennent du–du songe de Frère Roy? Et il a dit : “Cette nuée blanche vous a emporté,” et il a dit, “vous n’étiez plus là. Je parcourais les rues à pied, en criant et en pleurant.”

275 Quand je suis revenu ici, il était là, avec son bras infirme, comme il était, j’étais en train de lire ça. Il a lâché son râteau et il s’est mis à pleurer, quand il m’a vu arriver. Comme je ne l’avais pas vu avant, il m’a raconté son songe. Et il disait... Il était en train de ratisser. J’ai dit...

276 “Et–et vous êtes parti.” Il disait : “Je parcourais les rues, partout, en essayant de vous trouver. Je n’arrivais pas à vous trouver, nulle part. Je criais : ‘Oh! Frère Branham, ne partez pas!’” Il a dit : “Une nuée blanche est venue vous prendre, et elle vous a emporté loin de nous, vers l’ouest.” C’était avant la pyramide, ou quoi que ce soit. Voyez? Il a dit : “Elle vous a emporté vers l’ouest. Et moi, je pleurais, en parcourant les rues.”

277 Il a dit : “Après un moment, je suis allé m’asseoir à la table. Et quand j’ai levé les yeux et que j’ai regardé au bout de la table...” Il a dit : “Je ne pouvais pas voir plus que ça de vous, c’était blanc comme la neige.” Il a dit : “Vous étiez là.” Et il a dit : “Vous parliez avec autorité. C’était tout à fait clair.” Il a dit : “Chaque homme comprenait exactement ce que vous disiez.”

278 Oh, mon frère, ma soeur, chacun de vous en est conscient, je sais ce que ça signifie. Voyez?

279 Soyez vigilants! Restez attachés à Christ. En tant que ministre de l’Évangile, je veux vous adresser cette mise en garde : N’avalez pas n’importe quoi. N’allez rien vous imaginer. Ne bougez pas de là, tant que cet intérieur de l’intérieur n’est pas ancré à la Parole, tant que vous n’êtes pas en Christ, parce qu’il n’y a que ça qui... Parce que dans l’âge où nous vivons, la séduction est plus forte que jamais. “Ça séduirait même les Élus, si c’était possible”, en effet, ils ont de l’onction, ils peuvent tout faire comme les autres.

280 Mettez vos vies en ordre. Payez vos dettes. Jésus a dit : “Ne devez rien à personne.” Bien sûr, je ne parle pas de votre maison, votre loyer et tout, ça, vous ne pouvez pas faire autrement. Déchargez-vous de tout. Mettez tout en ordre. Préparez-vous. Tenez-vous prêts. Souvenez-vous, au Nom du Seigneur, quelque chose est sur le point d’arriver.

281 Cette semaine, je vais partir dans les collines, pas vraiment pour chasser l’écureuil; bien sûr, j’aime bien chasser l’écureuil. Mais la raison pour laquelle j’y vais, c’est pour dire : “Ô Dieu! je ne sais plus de quel côté me tourner, et je ne veux pas passer à côté. Aide-moi!”

282 Priez pour moi. Voulez-vous le faire? Moi, je prierai pour vous. J’espère, par la grâce de Dieu, que je vous rencontrerai tous, et qu’on se retrouvera dans un Pays meilleur que celui-ci.

283 Pourquoi est-ce qu’on vient ici? Qu’est-ce qu’on fait? Est-ce qu’on vient ici pour jouer? Est-ce qu’on vient ici pour se rassembler comme un club? [Frère Branham donne trois coups sur la chaire.–N.D.É.] C’est, Christ ne peut pas venir tant que l’Église n’est pas parfaitement en ordre. C’est nous qu’Il attend. Je crois que nous sommes à la fin.

284 Regardez ce qui s’est passé en Californie. Voyez les émeutes. Voyez les dix-neuf meurtres qu’il y a eu, des crimes racistes. Je vous avais bien dit, il n’y a pas longtemps ici, que ce Martin Luther King allait conduire son peuple au massacre. Combien s’en souviennent? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Ce ne sont pas ces gens de couleur; ce sont leurs leaders, qui les poussent à la révolte. Ce n’est pas l’intégration, la ségrégation, ou peu importe le nom qu’ils veulent y donner, c’est le diable! C’est vrai. Et pas seulement pour les blancs, les noirs; c’est tout le monde. C’est le diable.

285 Les hommes ont les facultés mentales et le raisonnement dégradés. Il n’y a aucun espoir. Au point où c’en est, c’est sans espoir. C’est complètement pourri. Les facultés mentales des hommes; ils ne savent pas prendre des décisions.

286 Je ne suis pas un homme politique. Non, ni démocrate, ni républicain. Ils sont tous corrompus. Je suis pour un Royaume, et c’est le Royaume de Jésus-Christ. C’est tout. Mais avez-vous déjà vu une bande de marionnettes comme ceux qui sont au pouvoir maintenant, comme cette bande de Texans qu’on a là? Ils disent : “Oh, comme les gens voudront! S’ils veulent le communisme, on va leur donner le communisme. S’ils veulent l’intégration, on va leur donner l’intégration. S’ils veulent la ségrégation, on leur donnera, quoi que ce soit.” Est-ce que... Où est-ce qu’il y a des hommes?

287 Ô Dieu! C’est comme à la chaire. Où est-ce qu’il y a des hommes, de vrais hommes, des hommes qui sont prêts à défendre un principe? Où est-ce qu’il y a des femmes qui sont prêtes à défendre un principe? Où est-ce qu’il y a une église qui est prête à défendre un principe? Je n’ai pas pour deux sous de temps à perdre avec un esprit mou, lâche, et qui fait des compromis. Si une femme est femme, qu’elle soit une dame. Si un homme est homme, qu’il soit vraiment un homme.

288 Si c’est un Président... Où sont passés ceux de la trempe de John Quincy Adams? Où sont passés ceux de la trempe d’Abraham Lincoln, des hommes qui ont des principes? Où sont passés ceux de la trempe de Patrick Henry, qui disait : “Donnez-moi la liberté, sinon donnez-moi la mort”?

289 Où est-ce qu’il y a un homme qui prend position pour ce qui est juste? Où est-ce qu’il y a un homme qui n’a pas peur de parler? Peu importe, même si le monde entier est contre lui, qui défendra ouvertement ce qui est juste, s’en tiendra à ça, quitte à y laisser sa vie. Où sont nos Arnold von Winkelried d’aujourd’hui? Où est-ce qu’on peut trouver un homme intègre? Où est-ce qu’on peut trouver un homme avec un bon esprit? Ils sont tellement lâches, tellement mous qu’ils ne savent même pas ce qu’ils croient.

290 Ô Dieu, que je puisse, en tant que prédicateur, défendre les principes d’un seul Homme, la Parole de Jésus-Christ. “Car le ciel et la terre passeront, mais Elle, Elle ne faillira jamais. Sur cette Pierre Je bâtirai Mon Église; les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre Elle.”
Levons-nous. Béni soit le lien
Qui nous unit en Christ,
Le saint amour, l’amour Divin
Que verse en nous l’Esprit. Maintenant, tenez-vous par la main. Si nous devons bientôt
Quitter ces lieux bénis,
Nous nous retrouverons là-haut
Pour toujours réunis. Avec nous toujours, avec nous,
Oui, Il est tous les jours avec nous.
Avec nous toujours, avec nous,
Jusqu’au jour du dernier rendez-vous.

291 Maintenant, courbons la tête, pendant que Frère Neville terminera la réunion par un mot de prière.

292 Alors, revenez ce soir. Nous prévoyons une glorieuse réunion ce soir, ici au Tabernacle. Que Dieu vous bénisse. Et priez pour moi; moi je prierai pour vous.

293 Mes amis, ne pensez pas que je suis un fanatique. Ne pensez pas que j’essaie de vous imposer quelque chose. Je vous aime. J’ai un principe, et c’est la Bible. On ne peut pas En retrancher un seul Mot, ni Y ajouter un seul mot. Je La crois comme Elle est écrite.

294 Maintenant courbons la tête, pendant que notre précieux et fidèle pasteur termine la réunion. Que Dieu vous bénisse, Frère Neville.

1-1 Thank you, Brother Neville; the Lord bless you. I got into something, didn't I? I--I want to thank the Lord real well for undertaking for Brother Capps' boy. It--it just so happened that this is a little time that I come back to Indiana. I know that they're not recording this; I suppose not. And so then, I don't see nobody in there. So they, I come back to go squirrel hunting. And so, I guess Charlie's going to have to put up with me, him and Nellie and them down in Kentucky now for a day or two to squirrel hunt. So I--I'd rather miss anything, any other kind of recreation then come here on about the middle of August and go squirrel hunting with Charlie, and Banks, and all of them. It's kind of a traditional thing with me. And so, I took Joe...

1-2 When we was here the other time, everybody got sick; the change from that real hot climate down to this--to this cool climate you got here. I know you think this is not cool, but you come out to Arizona once. It was a hundred and nine in the shade when I left the other morning; and then at around midnight in the night, when the cool air came down off the mountains, it was still ninety-six. See? That's at midnight when the cool air was coming down. And so it's--that place is all right in the wintertime, but it's for scorpions and lizards in the summertime, not human beings. Even all the animals take off for the mountains. They just can't stand it.

1-3 And I'd been out shooting my little rifle in, and I... Somehow I just want to tell you about the little Capps' boy. And I said... And Joe, I'll just have to give him the rifle, 'cause he can out-shoot me. We'd got it shot in, and I--I was driving tacks at fifty yards, and I said to--to Joe... Joe said, "Daddy, I believe I could do that." (Poor little fellow had had a headache. I'd been praying for him, a high fever. He went out to the range with me, and... ) Any two over ten bore in a twenty-two rifle, it crosses its line of fire at twenty-five yards and then again at fifty, just the same if it was two over ten. So then--then I had shot it in at twenty-five yards. And so I'd two more tacks and I put them up, and if Joe didn't drive both them tacks. I didn't have any more tacks, so I put a little bit a piece of old clay pigeon that'd been bursted there, what trap shooters shoot at, just about a quarter of an inch across, and took it out on fifty yards, and he cut it half in two. And the scope was set for my eyes, just a few years older than he was. So he said, "You know what? I've got to go by and tell Billy to keep off of my feet from now on." See?
So--so I said, "Well, I'll tell you what"; said, "let's go down and show Brother Norman that."

2-1 I said, "Joe, in matches across the world..." I don't care who it would be, nobody... Now, the tacks weren't drove sideways; they were drove straight through. And that piece not over, I guess a 1/4 of an inch and a 1/16 thick and 1/4 of an inch high, he cut it half in two at fifty yards. I said, "There's no one in the world could've made a better shot. They could... Champions could've done the same thing, but you couldn't have made three better shots than them. The tack's not bent, just a straight hole through the paper where the tack went through. And I said, "No one could've made a better shot." I think his headache left him right away.
And I said, "Well, let's go show this to Brother Norman," which works for the Field and Stream, Brother Tony Stromei's sporting goods place.
He said, "Let's go by Billy's first." He said, "I--I just want to tell Bubby something." See? And frankly, his brother's never done that good...?... like that. So he said, "We go by there first."

2-3 Then just as I got in the door, Billy was still in his pajamas. And he said, we went out early, 'cause it gets so hot, and so he said... The phone rang, and I said... He kinda looked at me like that. I said, "Maybe a sick call." And it was Brother Capps for his boy in the operating room then with peritonitis and that pending. And just now he told me his boy is recovering real, real good.
So see how God just worked that, even in the voice of that little boy, Joe. Instead of going down to Brother Norman's... Wouldn't have been there, and come up, and Brother Capps and I joined together. I don't say it was our prayers that did it, but it did mean something to him for us to make contact like that. And frankly, that's why... Well, you got--you've got to have faith in what you're doing. See? And that--his faith to call, and Billy was... He was putting in money, and he said, "This must be a real long distance," said, "putting pretty near five dollars worth of change in a--for a three minute call."
I thought it'd be coming from New York or out in one of the islands or something, but he made a person to person call to get Billy instead of Loyce (You see?), and that's what cost him to do that.
And now, his boy is recovering. Brother Capps said the doctor give him very little hope of ever coming out of it (You see?), from the operation, and we're thankful to God this morning: very glad for Him.

3-1 Now, we got in towards daylight this morning, and now, I had about three hours sleep, and--and I'm pretty tired. But when the church--come time to come to church, why, I come down.
And I, the Lord willing... Now, I've got to go down in Kentucky, as I said; then I've got promised to speak one Sunday while I was back here, and I'd better make it this next Sunday, because the following I'll be... I have to go back, because I'm going away again up in Canada. So I--I better make it next Sunday, and next Sunday morning.
And Brother Neville said, "Why don't you just go out, and greet the people, and talk to them just a few minutes?"
I said, "Brother Neville, I haven't even opened my Bible, hardly," I said, "I--I..."
He said, "Well, go out and say something to them."
Sister Neville, I--I don't know how you do it that... He's a very persuasive fellow. Ha ha.

3-5 But while... I don't get a chance to say this when the place is all packed, and crowded, and everything, but I'm very grateful to God for a pastor like Brother Orman Neville: faithful, just as faithful as he can be to the cause, and never hear him grumbling. I set back there. I had a good half-hour's talk with him while I was enjoying Brother Mann; and so, I'll tell him more about that when we get to Colorado this year.
So when we was enjoying his message; and I got in a good talk with Brother Neville. I said, "I don't even get to tell the people nothing about our fine pastor." I said, "Are the people treating you right?"
Said, "Couldn't be any better."
And I said, "Well, that's what I'm glad to hear." When a pastor's satisfied, and the people's satisfied, it makes a real good church. And then God is satisfied. And I think to see them satisfied together, especially in this day of the message that we're carrying. I think that shows the continuity of the message with the people and with God. See?

3-8 And I'm very grateful for Brother Orman Neville and his fine wife and family. And I pray that God will keep them loyal to Him and the cause. And if it so please Him, may we be standing here in the Tabernacle when the Lord Jesus comes for us (You see?), to take us away at the rapture. We hope we're both so old, Brother Neville, that one will have one arm around the other, and stand there on our canes still trying to hold up. You see?
But then we'll be changed in a moment in a twinkling of an eye. These old robes of flesh we'll drop and rise, and seize the everlasting prize, and shout while passing through the air. Farewell, farewell, sweet hour of prayer. We moved on up then.

4-2 Heard about Brother Coomers' healing from the Lord, and so thankful for that. So many things... So I am grateful to be here this morning, and I thought instead of... I'm always coming here with a certain text and speaking... I thought I'd just come out this morning. I said, "Brother Neville, I'll watch the clock real easy, and probably let the people out on time, and--and just talk to you from my heart, a few minutes; just things that we just have--know they're not taping it or anything, so we just have fellowship while it's just the church folks here (You see?), just us together." So let's pray.

4-3 Dear Jesus, we are grateful to You for the privilege that we have of assembling together, here, and oh, as I looked upon this tabernacle early this morning after midnight, passed by, I thought of how You have stood by it. I think of the old pond that was here, big old weeds standing up right about where this pulpit's at. As a little boy I stood here. Mr. Ingram said we could have the lot for just a little money, and pay something down and no money, no collateral, or nothing to offer, but just try. How that it then, it's full face value was a little over two thousand dollars, with twenty years to pay it out.
And now, Lord, look at it now. While it was in its infancy, still setting down in a hole here, water pouring into it, how that You promised us by the Word: "I, the Lord hath planted it; I'll water it day and night lest some shall pluck it from My hands."
The same time the people said, "Within six months, it'll be turned into a garage."

4-5 But literally thousands of souls have found Christ here at the altar. And the tabernacle, the baptistery has constantly... People has been baptized in the Name of the Lord Jesus, calling upon His Name, washing away their sins. Hundreds of crippled, afflicted, blind, halt, lame, cancer-eaten, has walked away from this platform, come in dying men, women, boys, and girls, and gone out to live a new life with new flesh on their bodies and walking again, and leaving their wheelchairs, crutches and so forth. Oh, God, this thirty years of service...
Father, remember the morning that we laid the cornerstone. And You gave the vision over there, showing the place packed and jammed, a beautiful corner; I--I knew that that could not fail. So I thank You for all these things.

5-1 Many of them has done fought a good fight, and finished the course, and kept the faith, laying yonder, waiting, resting now from their labors and their works following them, waiting for the hour for the trumpet to sound and to spring forth again into new life, a new body. Many of them old and shaken, some young, middle-aged and so forth... But Thy Name be praised for all.
Now, we're standing here again, before the--the living and the dead. I pray that You'll anoint Your Words this morning. I don't know one thing to say, but I pray that You'll furnish that; which You've always did it, Lord.
Bless our pastor, Brother Neville; his wife. Bless the trustees, deacon boards, every member of the Body. May together we live so in this life, that in the life to come we'll have Eternal Life.
Help us this morning to take corrections from the Spirit and the Word, that we might prepare ourselves as we move away from the doors this morning, determined in our hearts to live a better life than we have in the past. We ask it in Jesus' Name. Amen.

5-4 Now, I--I just opened the Bible here, and it happened to be a few minutes ago... I'm in Revelations 3, so I'll just read here, on the--the message to the Laodicea church.
And I want to announce, also (Brother Neville was just telling me.) Brother Parnell (just happened to look down and see him setting here) is in a--in a revival, just this side of Memphis, at the--the... Any of you know where the old Wimpy, the hamburger stand used to be, he's got a tent setting in there, trying to bring in the sheaves and find if there's any lost ones out in that way that's been ordained to Life, that he might win through his ministry to Christ. And he closed it up for Sunday on account of the services being at the Tabernacle, and--and that's very loyal of the brother. And we want you to know that the service will be open Monday night following next week, and I know you're all cordially invited out to hear Brother Parnell bring his message of the love of Christ.

5-6 And now, let us read from Revelations the 3rd chapter, just a portion to say that we read the Bible, because what I say might fail, but what He says won't fail. And I don't know where to start from, what to do, where to go, but let us read the Laodicea church age.
And unto the angel of the church of the Laodiceans write; These things saith the Amen, the faithful and true witness, and the beginning of the creation of God;
I know thy works,... thou art neither cold nor hot: I would thou wert cold or hot.
So then because thou art lukewarm, and neither cold nor hot, I will spew thee out of my mouth.
Because thou sayest, I'm rich, and increased in goods, and have need of nothing; and knowest not that thou are wretched,... miserable,... poor,... blind,... naked:
I counsel of thee to buy of me gold tried in the fire, that thou mayest be rich;... white raiment, that thou mayest be clothed, and that thy shame of thy nakedness do not appear; and anoint thine eyes with eyesalve, that thou mayest see.
As many as I love, I rebuke and chasten: be zealous therefore and repent.

6-1 You know, somewhere in there as I was reading, I--if you'll excuse me a minute, I--I found some place that sounded good to me. And I don't know just where it was at now. Here it is: "And knowest thou not, wretched, miserable, poor, blind, naked." Oh, my. That's kind of the picture here of the church of today. Now, it's... I--I think that that church age here that we're speaking of... 'Course I've got the church age coming forth now in the books. But being that is the Laodicean church age that we're in, let's just look at the conditions.
I don't want to take any text or anything, because we're not... It just talking casually, as we'd see to talk on, whatever the Lord would lead us to do. But something that would help us...
Let's think of the Laodicea church age, and its condition, today. As far as I know, I don't see anything to hinder at this time the coming of the Lord Jesus, outside of the readiness of His church. I think that's one of the--the prophesies.

6-4 Yesterday coming up in the car... We drove it in two days from Tucson here, right two thousand miles, Billy and I. And so we... Now, that wasn't breaking any speed laws. We stayed right... I set there if he's driving, and I... I'm all--all got my fists back like a shotgun with the hammer back. I see him going... I said, "Wait a minute, boy." Now, we're told, "Give Caesar what's Caesar's."
Then we come in down here last night, a little girl lying sprawled across the road, about three years old; mother dead over in the ditch. Some drunken boy coming from the ROTC., he's eighteen years old, driving a hundred and twenty miles an hour on the left hand side of the road: killed, and I guess he was dying too. Then you could realize what it is. "Give Caesar what's Caesar's."

7-1 Innocent people dying. A little three year old girl lost her life, because of some drunken soldier (See?) driving hundred and twenty miles an hour, estimated, on the wrong side of the road. Coming up over the hill and shot right down, and killed them all right there together. I... He was dying too, so... Then you can see, even though the innocent party was doing...
Now, that boy is guilty of cold-blooded murder. See? I think if a man would be caught on the road drinking, he ought to be given ten years flat for premature, premeditated murder: any man. 'Cause they just... Any man that...

7-3 We'll--we'll never do any good with politics. It's rotten. God's idea of having a king, a righteous king, is right. But politics just simply spread out; you can buy anything out: cheat, lie, steal, everything else as I said a few Sundays ago. And look where you're at. See, nothing but just a crooked mass of everything. But a righteous king can make his own laws. And you can kill a man, if you know good in politics; that's all right; you can get out of it. See? And so it's--it's the... Democracy is a good idea, but it won't work. Just like Communism, all things in common. It sounds good, but it won't work. No. God's way of having a king like David was--was right. And you got one mind centered over... Just like one leader in a bunch of geese or so forth. You can't get two or three of them. Then you mess them all together, you come up with any kind of an idea. So we find the conditions today ready for the coming of the Lord.

7-4 But while Brother Neville and I, and these other brothers are trying to shepherd a flock, I've got something on my mind now, that comes that we might talk about. That is, I got a letter the other day from a fine lady. I never got it; it come through another person. And she was certainly tearing me to pieces, or trying to. Was saying, "Did you ever... Can't you Christian Business Men do something to stop Brother Branham?" Said, "Because that he's got this book out now called the 'Laodicean church Age,' bringing out more." And said, "He's just simply tearing Pentecostal doctrine to pieces." Said, "Now he's talking about the initial evidence ain't speaking in tongues." And said, "Then he's against women preachers." (And this was a woman preacher.)

7-5 And her boys, some of the best friends that I got in the world, she... They are among the best friends that I got. And she said now...
And this man and wife (I was eating breakfast with them), they said, "Brother Branham, look at this, would you think it?" and pulled out a letter.
I said, "Well, sister, she just don't understand."
The boys told me their mother was a woman preacher, and that she didn't go for the message. And now, she says in here--she said now, he said, "Women should not have authority over men." Said, "How about Phoebe in the Bible, Paul's helper."
Certainly. She was a seller of goods. And Paul asked the people... Do you think Paul would say, "Let the women keep silent in the churches," not permitting them to speak, and turn around and say, "Now, Phoebe, my helper in the Gospel, she's going to preach a few nights." Why, he'd contradict his own word. See?
And said, "Then to top it all off (I believe it was Esther, was one of the judges in the Bible), said a woman was a judge in the Bible. If that's not authority over men..."

8-4 And this businessman that was healed right here in the church not long ago, he said... Now, his wife said, "Brother Branham, that always puzzled me.
I said, "Why, Sister, how would that puzzle you?"
She said, "Well, here is a woman judge."
I said, "That's politics, not the church. That doesn't have nothing to do with the church. Paul said, 'Let it be under obedience as also saith the law.'" And the law can't put a woman up to be a priest, can't put it up... You never seen a woman high priest; you never seen a woman a priest nowhere in the Bible. You never seen a woman a preacher in the Bible. Certainly, some of them was prophetess and so forth, Miriam and different ones, and Esther or one of them was a judge over Israel. Sometimes they were queens over them and so forth like that, king and queens. At the decease of the king, the queen had to take his place till they elected another king, and so forth.

8-6 In Tucson---in Tucson, Arizona, we got a woman judge there in the city. That's the reason the city's so polluted. And we got... A woman ain't got any business in politics. She's got no business in the--in over--over any authority in the church. Her place is a man's queen at home. Outside of that she has nothing. And we know that to be the truth. You'll never find... I know that sounds old fashion, but I'm responsible.
And I know that after my going away from this earth them tapes and them books will be living on, and many of you young children will find in the days to come that this is exactly the truth, because I speak it in the Name of the Lord.

9-1 Now, we wonder how a woman that's a good woman, and she has brought on this earth by her loyal husband, a good man, some of the finest boys that I ever met; they're men. That I've ever met... And just quickly, just as soon as they heard the message, they were sold on it one hundred percent. Now, that could only come by foreordination. It's the only way it can come.
Now, the question is here; I was thinking that. See, now, while the Lord was bringing me back, "and know it, knowest--know it not thou art naked, miserable, wretched, blind, and know it not."

9-3 Before I get to that spot, I might brief what I said a few days ago here in a message on, I believe it was, the God of this world blinded the eyes of the people that they absolutely worshipped the devil in religious services. Did you all get that? All of you understood it?
Then in that same message I brought the subject that a woman wearing immoral clothes indecently, she is to be judged at the judgment bar as a street prostitute. That sounds awful strange.

9-5 Let me draw you a little picture. Now, here is an attorney in the city, a young fellow. And he's a nice man as far as--as politically... I imagine he may be decent in his politics; and then he goes with a girl that's very popular. They fall in love and marry. They attend all the parties and the great things, and they all drink together. Finally, she... He has a nice home; he lives in a nice neighborhood. He's well thought of amongst the people, but he... Both of them drink; she wears shorts, cuts her hair, wears makeup, everything just as sexy, is beautiful woman displaying herself.
Well, she never goes to church at all, neither one of them. So moving in next door to them, comes a woman from the Baptist church or the Methodist church, her and her husband. Now, this woman... Let's make it Methodist, because the Methodist go a little more on holiness than the Baptists, all except the New Testament Baptist; they believe in holiness. But usually Baptists don't go for holiness at all (See?); they don't believe in such a thing. So then now, let's make it Methodist 'cause they believe in holiness.

9-7 And then a Methodist woman moves next door to this woman on the same street. Her husband is a--let's say he is a public accountant and--or some office. Well, this Methodist woman looks over to the other woman, and when this lawyer goes out of town... His name is John. Say, his name is John. Now, don't presume on that now. I'm just taking fiction names now; and his name is John. Well, she used to go with Ralph. And that's fiction name, all of it (See?), just so you can get the story to make the picture.
Well, first thing you know at a drunken party, Ralph hugs her again. Well, she gets all fired up, because she's in love again with Ralph; she thinks. Then after while Ralph begins to meet her, and she can put it over John, pull it over his eyes, and she thinks she's a pretty smart duck, because she can run with Ralph, married to John.
See, the woman don't even have the very bearing of decency. And she thinks nothing about that.

10-3 But this Methodist woman has raised up in another bracket. She does, at least, go to church; and she thinks that that woman is horrible. Why, she says to her husband, when he comes in, "I see that man go in there and meet her. And when John's out on a case somewhere, Philadelphia or somewhere; he takes her out in his roadster, and they lay out on the beach. I see them come home; don't even pull the curtains down sometimes, kissing her and making love to her and after... Oh, isn't that awful," she says to her husband. "Why, she's nothing but a public prostitute."

10-4 It's true. She's worse than a public prostitute, because she's a married woman. See? And she... This woman, this Methodist woman thinks that's horrible. She never goes to church.
Now, this Methodist woman would not do a thing like that. No, indeedy. She's a decent woman. And another thing, she would not touch a bit of whiskey, because the Methodist church, ninety percent of their program is prohibition against whiskey, against whiskey. So they got a prohibition program, and them people of that Methodist church don't live no higher than that church teaches.
But this same woman, this Methodist woman goes out in the evening with her husband, wearing shorts on Sunday after Sunday school; she cuts her hair; she wears lipstick; and even smokes a little.
Now, in God's Word, they're both prostitutes. But this one here is naked, miserable, wretched, blind, and don't know it. One's just as guilty as the other. For a man that looks upon a woman to lust after her has committed adultery with her already in his heart.

10-8 And if this woman... Now, she'd say, "Now, wait just a minute, Mr. Branham. I'll give you to understand, I am no prostitute." My sister, maybe if you'd be took before a Bible, put your hands upon It in the Presence of God and swear an oath that you'd been just as true--true to your husband as you could be. Your body belongs to your husband, but your soul belongs to God. There is a evil spirit that's anointing you. If that--if you're not, then you're... I can prove that you're totally insane.
What would've happened to your grandmother if she'd have walked down the street with them shorts on? They'd have put her in the insane institution; she come out without her dress on. There's something wrong with her mind. If it was so then, it's so now.
So it throws the whole world into insanity. The whole thing's insane. And it's so gradually crept in till the people don't know it.

11-3 Now, is she a prostitute? Not by her husband's vow to her body, but before God she's got an evil prostitute spirit on her that makes her dress like that, and she's in the Laodicean church age and don't know that she's doing that. The innocent woman don't know that God will judge her for a prostitute. There you are.
You get it to her. You can't tell her. There's no way of getting it to her. The Bible said, "They're naked and don't know it."
If you'd call her a prostitute, personally, she'd have you arrested; she would. I never talk personally about anybody. I talk about sin. I don't say, "This certain church, Mr. So-and-so here, Reverend So-and-so, he's a..." No, no I say that--the doctrine of that see, the whole thing together. I don't call individuals. It's not individuals; it's the system that they're in; it's the world system.

11-6 Brother George Wright setting here--he's seventy-five or seventy-eight years old, I guess. What would you think would've happened if you'd have went to see Sister Wright someday, and she'd have been standing in a pair of shorts? Why, you'd have never... You'd have--you'd have had the woman locked up. You'd have never married her.
Well, if any young man in that day would've done it, the same thing would've took place. Well, if it was sin and wrong then, it's the same thing; but the people has growed into insanity.

11-8 Let me prophesy something to you just before it comes to pass. The whole world is groping in insanity, and will get worse, and worse, and worse until it'll be a bunch of maniacs, and it's almost that way now.
Could you imagine a man driving with his lights off on the wrong side of the road, a Ricky, a young kid supposed to be right out of high school? Killed a bunch of people... Does that stop them?
The next one came right behind him doing the same thing. Can you imagine a young man that thinks of himself, anything of himself, getting out here and acting the way they do? Could you imagine a young woman in the bloom of womanhood, beautiful, well-built, shaped, profile, face, beautiful... And the very thing of her being pretty shows that we're at the end time. See, she's went altogether to worldly feature, worldly things and not the beauty of holiness, sweetness in her soul. I've seen women, on the outside of them wasn't nothing to look at, but you speak to them one time, talk to them a few minutes; they're real genuine something that you can't get away from. See, beauty of the outside is of the devil; it's of the world.

12-2 Look at Cain's children, how they went into it. When the sons of God saw the daughters of men were fair, they had taken unto them wives, and God never did forgive them.
Look, when them Israelite women with callused hands and hair stringing; when those sons of God came up through the land of Moab and met them dainty women with well set hair, fancy and a lot of manicure on their faces, or what you call it; and when them sons of God saw those real fair women, and a false prophet said, "We're all the same." And they married among them, and God never did forgive them; they perished in the wilderness. Every one of them died there without hope, without God, and is eternally lost, damned forever though they had seen the goodness of God; though they had drank from the fountain that never runs dry. They'd drunk from the smitten rock. They'd seen the brass serpent perform miracles. They come out from under the baptism of Moses in the sea. They had seen the hand of God. They'd eat angel's food and done all of those things. But married in--let women--and bring them in, and marry among them: not commit adultery, just marry among them. God never did forgive it.

12-5 That's the second time it met. Now, here we're on a third time--more deceiving now than ever. I know that's hard, and I've often wondered in many ways, how will it ever be? Why do I have to talk so rashel to people? What makes it so? And yet I notice, if it wasn't God, there wouldn't be nobody; not a woman would set and listen at me. But they come back, because there's somebody that's got a little anchor of truth there that knows that that's right; regardless, they know it's right.

12-6 Now, watch what happens. I know it's hard. And it's just like if a doctor give you medicine; and you refused to take it, then don't blame the doctor if you die. And this is like medicine.
What about these people that always claim to me being a woman hater. You see, you just watch the way the women act, and I'll show you where the church is. The women's morals is a Laodicea, in the world, physically: naked, miserable, blind, and don't know it.
The--the people, the women of the world, and the church is in the same stage. Watch the natural type the spiritual right through each time.

13-2 Now, someday at the judgment bar... I know it's not popular to say it, and if a man's not ordained to say it, you'd better not say it 'cause your impersonating, and then you'll get in trouble sure enough.
Now, notice. I've actually, look like at times, held a woman's mouth open and poured the medicine in her mouth; and then hold my hands over her mouth, and she'll spit it out every time. What if a doctor did that to a patient, then the patient died because they refused to swallow it, the medicine. At the judgment bar, when all these things like cutting hair and wearing shorts, and...

13-4 I'm only building. The hour's close at hand when you're going to see something happen, when something's going to take place and all this background here, has only been laying a foundation for a short, quick message that'll shake the whole nation.
Why, I've been picking on women: it's just been laying up here, for something you could hit around the head with it. Even trying to tell them what's right, and I hold my hand down like this is to where their mouth; they spit it out. Then who could blame the doctor?
How you going to say at the day of the judgment, when the very voices that's cried out against it, will play the record right back in the face of the people? Then, how are they going to get away from it?

13-7 Spit it out between your fingers. Pour some more down and kind of shake their head, go back, and go back: won't do it. Yet, they come back again and pour it in again. Then who's to blame? Not the doctor, not the medicine, but the attitude of the person. It's exactly.
It'll be a horrible day one of these days when this sinful adulternous generation stands before Almighty God.

13-9 As I see my years creeping up, my shoulders stooping, and I know... Thirty years here in this platform, yes, thirty-three years here on the field; that's a long life. That's thirty-three years of service. Only one regret I have: that I didn't have a hundred and thirty-three years of it. For this will be the last opportunity I'll ever have, while here mortal to preach the Gospel; God help me to stand true as true can be to that Word--say just as He said.
What made that Methodist woman; how could you ever get it to her? Here she is in that Laodicean church age.

14-2 Now, we'll take the Pentecostal woman. She shouldn't wear shorts, makeup, or cut her hair, but she looks back down at the Methodist: "Say, look at that woman do so and so." Say, the woman don't wear shorts but she said... And herself with bobbed hair... See? Higher you rise in God, the more sinful the whole thing looks.
And then sometimes in prayer you can imagine when the Holy Spirit take you up into a sphere, then the whole thing looks chaos. Then when you come back down, just seem like you're--to the people you're a rascal, that you're--you're nothing but an old sarcastic, you're a fool, because you stand as an old crank and always rebuking the people, but if you ever climb into them spheres one time, when you can be in the presence of God--not through emotion, but through genuine Holy Spirit lifting up--the whole thing is wrote "Ichabod"; the glory of the Lord has departed from the whole denominational outfit. That's right. There's none of them that's right.

14-4 Now, let me draw you a little circle. If I had a blackboard... But I want you to watch here. I'm going to make one ring like this. I'm going to make another ring on the inside of that ring; that's two. Then I'm going to make a ring on the inside of that ring; that's three rings, three circles. Now, that's you. That's God. God in a trinity is One, and without a trinity He's not God. He can't be manifested any other way. And neither can you be manifested without being the trinity person that you are. That's body, spirit, soul. Without either one of them, you're not complete. See? If you didn't have a soul, you'd be nothing. If you didn't have a spirit, you wouldn't be nothing. If you didn't have a body, you'd be a spirit, and not a body. So God is complete in the triunity of a Being; not triunity of beings, but one Being in a triunity. Father, Son, and Holy Ghost is one true manifested God.

14-5 God... Notice here. Just wait. I--I believe I read this just a few minutes ago. Listen to this.
... unto the angel of the church of Laodiceans write; these things saith the Amen, the faithful and true witness, the beginning of the creation of God;
God is the Creator and how was He ever created? But this is the beginning of the creation of God. When God, the Spirit, was created in the form of a man, that was God being created: God the Creator Himself becoming a creation. God Who made the dirt, made the calcium made the potash, cosmic light, and petroleum took the thing together and created Himself in the beginning of the creation of God: the Amen, the final. "Amen" means "so be it." The final of God when God completed in His creation.
Now, how was it? No man has seen God at any time, but the Only Begotten of the Father has declared Him. You get it?

15-2 Say, just a minute. You're in no hurry. Let's turn over to Colossians just a minute. I... Just happened to come a Scripture in my mind. Let's turn to Colossians, the Book of Colossians, and get the, I believe it's the 1st chapter. I'll have to look at this, 'cause it's not premeditated here, so, I'll... As I used to be, when I was a young preacher, I could think of these things just right now, but as I get older, I can't... Let's begin with the 9th verse, I believe.
For this cause... (Is Paul telling the Colossians about Christ, Who He was.) For this cause we also, since the day we heard it, do not cease to pray for you, and... desire that you might be filled with all the knowledge of his will in all wisdom and of spirit and understanding;
That ye might walk worthy of the Lord unto all pleasing, being fruitful in every good work, and to the increase in the knowledge of God;
Strengthened... all, according to the glorious power,... of patience and long-suffering with joy;
Giving thanks to the Father, which is meet--which made us meet to... partakers of the inheritance of the saints...:
Who has delivered us from the power of darkness, and has translated us into the kingdom of his dear Son: (Here we're getting now. Watch.)
In whom we have redemption through his blood, even the forgiveness of sin:
Who is in the image of the invisible God,... (Get it? 15th verse, Colossians 1:15) the firstborn of every creature.
Amen. The what? The firstborn of every creature. Let it be angel; let it be anyone it may be, He's the firstborn of every creature.
For by him were all things created,... (all things created)... that are in heaven, or in earth, visible, invisible, whether they be thrones, whether they be dominions,... principalities,... powers: all things were created by him, and for him: (Let it be anything it might be, no other being.)

16-2 Notice.
And in... And he is therefore... he is before all things, and by him all things consist.
Whether it be Father, Son, Holy Ghost; whatever it is,
... he is before all things...
Before all things that's in heaven, in earth, visible, invisible; anything, this Son of God was before all things. That right? I don't care, thrones, dominions, whatever it is, heavenly thrones, kingdoms, whatever it might be in the great supernatural realms beyond, in the eternities, where it was, whatever it was, angels, gods, whatever it was, He's before all things. Amen. Can't you see Him? He was before all things and were created by Him. He... Now, 17th verse:
And he is before all things, and by him all things consist.
There's nothing can make it run but Him. Whether it's God the Father, God the Holy Ghost. Whether it's angels, principalities, powers, dominions, whatever it is, all things run by Him. All things consist by Him.

16-4 He... And he is the head of the body, the church: who is the beginning,... (Who is the beginning)... the firstborn from the dead;... (That is, raised up when He came to redeem)... that in all things he might have the preeminences.
Might have preeminence... You know what it means? That's over all. He's over all things that was ever created: every angel, every being, ever--everything that there is, He's over all things. What creature is this? Who can it be? Over all things.
And having made peace...
Let's see I've... Just a minute.
For it pleased the Father that in him should all fullness dwell;
All the fullness of all things, all the Fullness of God, all the Fullness of angels, all the Fullness of time, all the Fullness of eternity: everything dwells in Him. That's this Fellow.
And having made peace through the blood of his cross, by him to reconcile all things unto himself; by him, I say, whether they be things in earth, or things in heaven.
There's that great Being we're talking about, the beginning of the creation of God.

17-3 Now--now that the church--that His very whole purpose was the church. Now, how do we get into this church? By one Spirit we're all baptized into one body, The church, the body of Christ; it cannot fail. Now, here's what happens. Now, watch this, just a little figurative picture here.
Now, this outside man is the flesh. That's what we look at, what we see. And it has five inlets to that body. And any grammar school child as myself, would know that there's five senses control the body: see, taste, feel, smell and hear. Without that, you can't touch the body. That's the only way you have to the body: see, taste, feel, smell and hear. See it, taste it, feel it. Now, that is the evil one on the outside.

17-5 Now, inside of that is a spirit, which you become when you're borned in here and the breath of life is breathed into you, that spirit is of a worldly nature, because it was not given from God, but it was given, permitted by God. Now, you got that?
For every child that's borned in the world is borned in sin, shaped in iniquity, come to the world speaking lies. Is that right? So that person inside there is a sinner to begin with. But now, it's got five inlets, and them five inlets... I don't know whether I can call them right off now. First, I know is thought, conscience, and love, choice... No conscience, love, reason, there's five inlets to the spirit. You can't think with your body; you have to think with your spirit. You can't have conscience in your body. It has no mental faculties at all, your body doesn't. So you have to think with your spirit. You have to reason. You can't reason with your physical being, 'cause reason doesn't see, taste, feel, smell, or hear. Reason is what you can make in your mind.
If you're asleep or you're out; your body's lying there dead, but your spirit can still reason; there's five senses that controls that inside man. And that... Now, to the last man, which is the soul. There's only one sense that controls that, and that is, free moral agency, free will, to choose or to reject.

18-1 And now, the reason that people today... Now, don't forget this, now, and you'll--you'll see what the Holy--what the initial evidence of the Holy Ghost is. See? Now, people can live in this spirit, and they dance in the spirit. They shout in the spirit. They go to church in the spirit, and they can absolutely have the real Spirit of God anointed on that spirit, but still be lost and just as devil possessed as they can be with that spirit. Because...
Watch. That's the reason you couldn't tell that woman, she's wearing shorts, was wrong. You couldn't tell her bobbing her hair was wrong. "Well, what's your hair got to do with it?" Well, it did to Samson. See? "Whosoever shall add one word to this or take one word from it..." You've got to have an ultimate somewhere.

18-3 Now, for instance, if I was a Baptist man, and you come down and told me I must--I must be baptized in the Name of Jesus Christ, it's in the Bible. Well, first thing you know, I'd say, "I'll ask my pastor."
And I go to the pastor, and he says, "Oh, that's something back yonder. (See, see?) We Baptists; here's what we believe: We believe that we should be immersed in the titles of Father, Son, Holy Ghost. That's the way all the churches done it. Since John Smith founded it, that's the way it's done."
Well, if that's your ultimate. "Heck with what that guy said."

18-5 What if you're a Methodist, and sprinkling is your system, and you're told you must be immersed? See what I mean? You go back to the Methodist pastor; he will write and ask the bishop, "So-and-so said, so-and-so about this."
"But we, the Methodist church, which was founded three or four hundred years ago in England by John Wesley, and Whitfield, and all the rest of them there, and Asbury; we founded this document following John Wesley, that we are to be sprinkled, because it's just an outward form. And we think that sprinkling is just as good as it is the other way."
If you're a real... If the Methodist church is your ultimation, that's as far as you go.
If you're Catholic... And I'll tell you, it's not in the Bible not to eat meat on Fridays and all these things like this, and the holy eucharist isn't a wafer, because it's a Spirit and so forth, and you go to your priest, and the priest say, "Here it is wrote right in our document." And if the church is your ultimate, you don't give a hoot what anybody says. That's your ultimate.
Oh, God help this to sink in. To me, the whole thing's wrong. God's Word is the ultimate. Whatever that Word says, then that's right.

19-2 Now, the only way up here in these spheres that you could ever be in this little inside man, you have to be foreordained, because you was with God; you're part of God.
I was in my father. I also was in my grandfather, my grandfather's grandfather. By seed, I was in that. And I was in Christ. You were in Christ before the foundation of the world. He came to redeem His own, His own that was in Him (Hallelujah.), His children, that was in Him.
He never came to--to save the devil's children. They never will know it. And they are so shrewd in the ways of their intellectual learning, that you can't compare with them at all. You can't out-talk them. But by faith you see it.

19-5 Now, science don't need any faith. Science proves what they're talking about. It doesn't need any faith.
The Catholic priest will tell you, "Look how long the Catholic church has waved. Look how long she's stood under the persecutions of paganism."
The Methodist church says, "Look, here. How long..."
I seen a church... Talk about a hypocrite sign. Coming up the road yesterday, I seen. Said, "The Church of Christ, established AD 33." It ain't a hundred years old yet. See? (The denomination.)

19-8 Oh, my, doctrine of the apostles, hardly got anything, they are the Sadducees of the day. No spirit no... And you can't tell them. You can't talk to them; you can't reason with them; because we go beyond reasoning. "Lean not to your own understanding." Faith doesn't reason at all. Faith believes it. They say, "Now, looky here. You believe we have to do these things back there? Nonsense. That..." But the Bible said so. I can't explain how it happens, but it happens. God said so. So you don't have... I can't tell you nothing about it.
Faith doesn't explain it. Did you know that? Faith just believes it.

19-9 Jesus said to Nicodemus from the ecumenical council of His day... Come to Him by night, said, "Master, we know You're a teacher, comes from God, 'cause no man could do the things You do less God was with him.
He said, "Verily I say unto you except a man be born again, he can't even see the Kingdom of God."
He said, "Me, an old man, enter into my mother's womb to be born?"
He said, "Now, how am I going to tell you heavenly things, when you won't even believe earthly things?" See?

20-2 Then He said one day, "Except you eat the flesh of the Son of man, drink His blood, you have no life in you." He didn't explain it.
Those apostles and them of that day who was ordained to Life, He knowed it. Said, "All the Father has given Me will come. Only thing He had to do was just make My voice known; they know it. For My sheep know My voice." And a voice is the Word expressed. [Blank.spot.on.tape--Ed.]... they'd believe it, anyhow. They don't have to scientifically prove anything or ask any Sadducee or Pharisee or anything else about it. "I said it; they believe it. For My sheep hear My voice." And This is the voice of God in letter form, because This is the entire revelation of Jesus Christ: Old and New Testament put together. Amen. There you are.

20-4 Why? You say these are good people. What makes them? Because, one thing. Their tie-post is on a church. And in here...
You remember last Sunday, it's a week ago? How many was here and heard the sermon on the "Anointed Ones in the Last Days"? I think all of you. See, they are anointed. Their spirits are anointed in this second realm.

20-6 Now, that first woman says, "No. She don't give a hoot what the church says, what anybody else says. She's a smart duck. She's got college education. She could put it over on her husband, and think she's smart by doing that.
This other woman is naked, blind, and don't know it. Oh, it's pitiful, but that's the picture the Bible paints it.
Now, she goes to church. That woman, it'd probably be better that woman would be... She lives a good clean life. There's nothing against that. God will be the Judge of it. I don't know; I'm not the judge. I'm only the--responsible for what He shows me.
That's what the apostles said: "We do speak that what we know, what we heard, what we seen." That's all I'm responsible for. That's all you're responsible for.

21-1 But now, you see, if you'd take that same woman... Where did she wind up at? See? She moved right around. She heard; no doubt turned the radio on many times. The Voice of God has been speaking many times.
Well, now see, she comes over into this cult here, or clan; all churches are clans, everything. That's exactly right. They're just lodges where people group together as membership. And she comes over here; well, that fits her just right. Now, if you go to telling her what she has to do, she won't listen to you. You show it to her in the Bible; she won't listen to it.

21-3 Now, my dear brother or sister, just one or two more comments before closing; a quarter till time to let out in fifteen minutes.

21-4 Now, look, I want to ask you something. Why can't that woman see it? Why can't she? As far as living in adultery physically to her husband, she's not guilty. She has nothing to confess. She's as clean as she was the day she was born; no man has touched her. I'm speaking parallel now, to the woman to the church. She's clean as she was born.
Well, that's exactly what the church is: as she was born, but she was borned in sin, shaped in iniquity, come... See what I mean?
Now, you tell her that it's wrong for her to cut her hair. The Bible said so. It's wrong for her to wear them shorts. The Bible said so. She'll say, "Nonsense." Why? Her ultimate is not down here in the third man, the soul that's predestinated and sent from God, but her ultimate is on an organization out here, that some man has organized outside of this. See? But if the Word of God is down in that soul, it says, "Amen, I see it." It lines up with It.

21-7 Now, look here. Therefore the man that's borned of the Spirit of God... See, here is the outside flesh. Now, I speak in a mixed audience, but I speak as your--as your pastor, as your brother. Here's the flesh; it's weak. It's bound to. A little lady walks down the street and some young man just in his young age, when he's seventeen, eighteen, twenty years old, twenty-five, thirty, walks around in there; and this young lady comes twisting every form of body, walking with a pair of high-heeled shoes on, her dress stuck all out in front and back, and dresses that high above her knees, or a pair of shorts on... You know the Bible said she'd act like that? You know the Bible said that's the way she'd act, how she'd be so filthy.

22-1 Did you read this here--this month's "Reader's Digest" that men and women of this day, little girls from twenty or twenty-five years old is in menopause; that you go through the change of life in the middle-age of life, according to science, between twenty and twenty-five. It used to be around thirty or thirty-five in my age; in my mother's age, a woman never struck menopause till she was forty or forty-five. What is it? It's through science, and the food, the hybrids that's perverted the whole human body till we become a bunch of--of a mass of corruption. Well, if the physical being is corrupted, isn't the brain cell in that physical being?

22-2 Now, watch the spirit following it. There'll come a time in the Name of the Lord, that people will go completely insane. The Bible said so. They'll scream and holler: great hideous things in their imaginary mind... The radios and things, or television programs are producing it. There'll be such things as ants raise up on the earth that'll be as high as fourteen trees. There'll be... A bird will fly across the earth with wings four or five miles across, and people seeing them; they'll scream and holler and cry for mercy; but it'll be the plague. Wait till I preach on those plagues opening up.

22-3 Watch what Moses done under the physical being, not the Spirit. When He said, "Moses..." God said to Moses, "Go out there," (to His prophet), "pick up a hand full of dust; throw it up in the air and say, 'THUS SAITH THE LORD, fleas will come upon the earth.'" There was no fleas. The first thing you know they begin to see something crawl on a bush. Looked over; there's something else. And after while they were so deep, you couldn't wade through them. Where did they come from? God is the Creator. He can do what He will. He's sovereign. He can make a bird that will reach his wings from one side of the earth to the other.
He said, "Let there come flies, and clothed upon all the earth. There wasn't a fly in the land. First thing you know, an old blowfly began to fly around. First thing there's eight, or ten, twelve. First thing you know, you couldn't walk through them. God the Creator keeps His Word.

22-5 Then he stretched forth his rod at the command of God and said, "Let frogs come up and cover the earth." And the frogs come till they heaped them up in piles, and stink was everywhere, maybe forty or fifty feet high of frogs. They were in the cupboard of--of Pharaoh. They were in the... Turn down the sheets and there'd be five hundred frogs under the sheet, under the bed, in the rugs. Everywhere they went was frogs, frogs, frogs. Where did they come from? God the Creator is sovereign. What He says, He will do.
And He said there would be hideous sights upon the earth: locusts with hair like women, long hair to haunt them women that cut their hair. Teeth like lions, stingers in their tails like scorpions... They will torment men months.
Just wait till we get in to open those plagues and seals and them seven thunders. Watch what takes place. Oh, brother, you better get to Goshen while there's time to get to Goshen. Don't pay any attention to this outside.

23-3 Looky here, here's a little lady twist herself down the street. Here's a young fellow; his eyes catches it; he's a member of the church; he's a Pentecostal; he's whatever he is; but the first thing you know there's no hold post in there.
She'll say, "Hello." He's got curly hair and kind of nice-looking, straight shouldered young man, maybe tried to live right. She starts walking up to him. Even a preacher... The first thing you know... What is it? This out here, the flesh desire, and the spirit down here, yet anointed, saying, "Don't do it, don't do it." But what will it do? It'll move right around, there the hold; there he goes. First thing you know he's trying to make a date with her. He's guilty of committing adultery whether he touches her or not. But a genuine borned again son of God... Amen.

23-5 You can't do it yourself. It's totally impossible for a--a red-blooded male to walk before a female like that without something taking place. But when there is something on the inside, that little borned again something there... Though that man might've shouted, spoke in tongues, jumped, danced, everything else, anointed with the Spirit, done all the signs and wonders that God said in there, by His Spirit...
Jesus said, "Many will come to Me in that day and say, 'Lord have not I prophesied Your Name? Haven't I cast out devils in Your Name? Have not I...'" He said, "Depart from Me, you that work iniquity." What is iniquity? Something that you know to do, and don't do it. "Depart from Me, you that work iniquity, I didn't even know you."
But down on the inside of that man, if that little tie-post had been there, that Seed of God that was predestinated before the foundation of the world, I don't care what takes place; it holds him; it's there to stay.

23-8 That's why that woman will wear them shorts. She's counted a prostitute the same as the woman in the act. See? She doesn't know that that spirit... How does she know? Her ultimate. What is an ultimate? It's the last word. The ultimate is the "Amen"; it's the end of all strife: your ultimate.
And if your church, a Pentecostal church that tells you that long hair stuff is just fanaticism, "You've got a spare tire on the back of your head," and so forth, them kind of things, the man is possessed of the devil; for God's Word said it's a shame for a woman to cut her hair. She'll dishonor her head. And if she dishonors her husband, and her husband is the church, and the church is Christ... She is a dishonorable religious prostitute: naked and don't know it. Naked? Don't the Bible said the woman's covering is her hair? Isn't the hair give to her for a covering?

24-2 Someday yonder at the judgment bar... I've tried to pour the medicine in and hold it with my hands, and you spit it right straight back out between your fingers. But God will judge them someday. That's THUS SAITH THE LORD. It hasn't been a bunch of foolishness or some crazy old men all worked up. It isn't, because it's the Word of the Lord.
And a real genuine Christian will cope with that inside man; that Spirit that was back yonder at the beginning, which is the Word. As He was the Fullness of all of you, you were in Him back yonder at Calvary.
He foreknew you would be here. He only broadcast what would take place. And you were in Him. You died with Him. You died to your pride; you died to your passion; you died to the world. When He... You died with Him at Calvary and you rose with Him, when He rose again on the third day; and because that you accepted Him, now you're setting in heavenly places in Christ Jesus. Hallelujah.

24-5 There you are. It's that inside man, that inside that will punctuate the Word, hang with the Word regardless... You can't help it. I learned that many years ago.
My little baby laying there dying. My wife laying yonder in a--in--in a morgue, embalmed and laid out. They called me out there, and Sharon was dying. That's the hardest temptation I ever met in my life. I was about twenty-five years old. I walked out there, and Billy Paul laying at the point of death...
Dr. Sam came and said, "Bill, I don't think we're going to save Billy. He said, "He's so bad." Said, "Bill, I feel so sorry for you." He put his arms around me.
I said, "Doc, I ain't got no more strength. Couple hours of calling for my baby Sharon, run her out there... Just to see her in spasms; it wouldn't stop. They put a needle in the spine; they punctured it, brought the sign up: tubercular meningitis.

25-2 Oh. I waved my way out to the hospital, stopped my old truck out there, and got out, and started walking down the room. Here come Sam down the hall with his hat in his hand, crying, put his arm around me, said, "Come on back, Bill."
I said, "What's the matter." He said, "You can't see her." Said, "She's dying, Bill."
I said, "No, Sam, not my baby.
He said, "Yeah." He said, "Don't even ask for her, Bill. If she would ever live," said, "she'd be afflicted." Said, "She'd always be drawed up, and she'd be afflicted all of her life." Said, "She's got meningitis. Said, "Don't go around her. You'll--you just kill Billy by doing it."
I said, "Sam, I got to see her."
Said, "You can't do it, Bill. I forbid you. Now, you know how much I think of you. You're my buddy and everything." Said, "How much I think of you," said, "and how much I believe you, Bill," he said, "but don't--don't go to that baby." Said, "If you do that, that meningitis is on her." See? Said, "She'll be gone in a few minutes," and said, "We'll bury her." Said, "Bill, I just feel so sorry for you."

25-5 He called, I told, called the nurse to order me some kind of medicine. Said, "I don't know how the man's standing up."
I stood there a little bit. He brought the medicine in, and I set down in the hall. He said, "Sit," and the nurse brought it, said, "Drink this, Brother Branham."
I said, "Thank you; just set it down there a minute."
When she left like that, I poured it over in that spittoon, set the glass back down. I said, "Oh, God, what have I done? You're a good God. Why did You let her die...?... me holding its two little arms like that, begging You for her? Why'd You let her go? There's Billy laying there dying, and here she is dying. What have I done? Tell me. Lord, I just might as well go with them." I opened the door, and no nurse was there; I slipped down in the basement. That was before the hospital was fixed. Screens, no screens, on the windows hardly, and flies on her little eyes. Had a piece of mosquito bar, we call it "netting" put over her face. I shooed the flies off. Laid there and her little eyes, she was suffering so hard till they were crossing.

26-1 Then, Satan moved up by the side of me there, and he said, "Did you say he was a good God?
I said, "Yeah, I said that."
"Did you say he was a healer? Well, why did your father die in your arms over there, and you calling (him a sinner), calling for his life. Why did your brother die in your other brother's arms, out there, and you standing in the pulpit preaching a few weeks ago? Said, "Then why didn't he answer you? You said he loved you, he saved you."
He couldn't tell me there's no God 'cause I'd already seen Him. But he was telling me He didn't care for me.
Said, "There lays your wife; your babies will be there pretty soon. Your daddy's buried. Your brother's buried. Your wife's going to be buried now tomorrow, and here's your other baby dying. He's a good God. Huh? He's a Healer?" Said, "You made a sap out of yourself."

26-5 What did it do? He was working from the outside now to this first man.
Said, "Now, look. You know when you was in a--few years ago, about two or three years ago before you accepted this, you was well thought of amongst the people. You lived a good clean life. Any girl in the city that wanted to go out would go out with you 'cause they felt clean and decent." I can stand before any of them. I never insulted one, never said anything. If she even acted smart, I'd take her home.
"And you were liked amongst the people, but what are you now? A religious fanatic." That's right. I was. See these things begin to move together. The outside reasoning, and the spirit moving these things together. "That's right, Satan."
"Then, did you say he was a Healer?"
"Yes, Uh-huh. Yeah."
"And you begging and crying and the people telling you it wasn't so, that you're all off the line. Your own church turns you out for this. Your own Baptist church down there, put you out the door for the very same cause."
"Yeah."
"Your daddy buried; your brother buried, your wife lying there to be buried, here's your baby, just about fifteen minutes longer, and it'll be gone. And he's a Healer? Your own flesh and blood; one word from him would save the baby's life. He's a healer, you said. The people tried to tell you. The preacher told you, you was all messed up, you was all insane. You was become a religious fanatic, and you said he loved you. Could he love you?

27-1 "And how you cried for your daddy. How night after night you fasted; and when you in daytime when you'd have to pray to get up a pole to work, and when he let him die in your arms: a sinner. How your wife; what a fine woman she was, and how you loved her." (Billy's mother; many of you remember Hope?) "What a fine girl she was. How happy you was, your little home over there with about seven or eight dollars worth of furniture. What furniture you had, but yet, you loved her; you--you loved one another. And you went and prayed for others, and some mental emotion they got up and walked away, and said they were all right. But now your own wife... And there she is dead, second day now, laying in the undertaker's establishment down yonder, Scott and Combs. He's a healer, huh? And your little boy at the point of death, Billy Paul, eighteen months old. And your little girl at eight months old is laying here dying with meningitis, and you just prayed, and God pulled a sheet down and said, 'Shut up,' don't hear--won't want to hear you at all, turned his back on you. He's a good God, huh? He loves you? And that every girl you ever went with; every boy you ever associated with, your very best friends has walked away from you as a religious fanatic."

27-2 Everything he was telling me was the truth. Everything that he would say just fall right in line. See, here? I was just then about ready to say, "Then I... If that's the way He has to act, then I won't serve Him." Just as I said that there was something come from somewhere else, way down on the inside said, "Who are you to begin with? The Lord gave, and the Lord taketh away."
See, that's that inside man. Don't reason at all. I looked back, and I thought, "How did I get on earth. I come from a bunch of drunkards. How did I get here? Who give me life? Who give me that wife? Who give me that baby? Where did my wife come from? Where did my life come from?" I said, "Though He slay me, yet I'll trust Him." I said, "Get away from me, Satan."

27-4 I laid my hand over on the baby. I said, "Sharon, honey, I'll lay you on your mother's arms in a few minutes when the Angels of God comes to take you away. But one day daddy will see you again. I don't know how it's going to be, honey. I can't tell you how, when He turns His back upon me, won't even hear for you. He let my wife die, and me holding her by the hands, crying for her. And my daddy in his arms has died on this arm right here, looking up at me trying to get his breath. And I prayed as hard as I could." How could I face the public again to preach Divine healing? How could I preach He was a good God and let my own daddy die a sinner? How could I preach that? I don't know how, but I know He's right."

28-1 The Word of God shall never fail. It'll triumph no matter what that is. Then I knowed there was something inside of all reasonings, something inside of all emotions, everything else like that; there was an inside man that held in that hour; nothing else could have done it. Every reason, everything could be showed, everything could prove that it was wrong, and I was in the wrong, but the Word of God that was predestinated before the foundation of the world held on the inside.
I felt a little wind come through the building. Her spirit went to meet God.

28-2 Brother, sister, let me tell you: That's the only thing. Don't try to reason it out. Don't try to have long hair because I said so. Don't try to do these things just because in your flesh... Don't try to do it just to kind of cope up, but just wait before the Lord till something way down on the inside...
Many of you think 'cause you've long hair, that means you're going to go to heaven. That doesn't mean that. Many of them thinks, 'cause you're a good moral woman, your going to... It don't mean that. Many of them think because their churches and belong to this and this great groups and great doctors of divinity. That don't mean that. See? Many think because they speak with tongues, they've got the Holy Ghost. That don't mean that, though the Holy Ghost does speak with tongues. But until that real, genuine Holy Spirit in there will cope with every word...

28-4 If that Holy Spirit in you makes you speak with tongues, looks back there and doesn't agree with the rest of the Word, then it's a wrong spirit. See? It's got to come from the inside, which is the Word from the beginning. In the beginning of the creation of God when God begin to create and bring you into existence... You see, you started back there as a seed and worked down to where you are now. And then you were all in Christ. Then when Christ died, He died to redeem all of you. And you are part of this Word. And how can the Bible--all of it precept upon precept, line upon line, here a little, there a little, not one jot or tittle shall fail... How in the world can you, being part of that Word, disagree with the rest of it, or any part of it?

29-1 God bless you. I'm overtime now. I didn't mean to do this--keep you that long. Sorry that I kept you: not sorry for what I said. We're right at the end of something, friends.
All of you here, I guess, are just the members here of the church. I don't get around in time to see what members there is. I imagine all you are constant comers here.
Let me tell you something that happened. Will you just spare, say, six more minutes?

29-4 Is that Reverend Mr. Orland Walker here from Oregon that was here that--that Sunday I was here? Anybody know about this great, strange thing? I come down here. There's so many people in I--I had--I had a pile of interviews like, and every one of them worthy, their children married, drunkards, and--and different things, and just things that was worthy. Everyone of them should've been seen. I can't do all that. I commit you to God and hold my hands over them... "O God, or I couldn't do it. Get to them, Lord. Do... You know how to do it. I pray for each one."

29-6 Billy called me, and I'd just come in with Brother Banks. He said, "Daddy, you--you..." And look, I see people drive out there sometime in the lane, look in, and I look out at them and wave at them like that, and they--they almost turn their head. I don't want you to do that.
The other day when they was buying that place out there at Tucson for me to live in, Brother Tony had a place up there he wanted to buy me for about three or four times what this place cost. He even wanted to put in so many thousand dollars on it himself, but the only way he could get in there, a gate-man was standing out there. A great big, well, it's an addition up there, but any of the people that lives in there, you have to have a written permission. Then this gate-man calls you to see if it's all right for them to come in.
I said, "Could you imagine me? My brothers and sisters, who come to see me that wants to shake my hand and ask God's blessings for me, and could you imagine me put myself in there, Tony?"
He said, "Well, you have..."
I said, "Tony, the way the church and all of them has the people not to come around." I said, "That's for people that's got everything they want me to do."
They--they say, "Well, the Lord told me. Hallelujah. I'm going to stay right here. Glory to God. The Lord told me you have to hold a meeting over here in our group. Yes, sir. Glory to God. God told me that. If you don't do it, Brother Branham, you're sure backslid," and me in there trying to study. See? That's what... See? And many a good person gets beat out of coming in because of that.

30-2 Just like a man going hunting out here on a farm. A farmer said, "Come on in. You can hunt." And he get out there and shoot one of his cows. A rabbit run under the cow, and just shoot the rabbit anyhow. You get upon the fence, instead of going to the post and climbed over like a decent man should do; climb up on the fence and break it down like that. See? And then he will say, "I'll post the place." I don't--I don't blame him one bit, not one bit. But what does he do? He keeps the decent hunter from coming in. It's always that way. It's the evil that keeps the good from having the preeminence. It's always.

30-3 Now, but them people are... Thousands are really needy and nice people, loving people, full of God's grace.
Now, we have this house... These people come like that. We don't--we don't want that. No. But this man come. Billy said, "Go, run down now, right quick, daddy." He said, "Mrs. Waldorf's down here with some people dying. Must see them right at once," and I run in, came down here, and coming back, they said, "There's nobody here but a man sleeping on the side of the side out there on a pillow every day on the side of the building." Said, "He said he wants you to pray for him."
I said, "All right." He said, "I'll put him in." And I come in to... I think, a Cadillac setting back there in the back or some kind of big car, I rode in with... And that man said, "How do you do." He didn't know me.
And I walked in. And Sister Waldorf, poor old thing come in. You know, she was... You know her case, don't you? See, she had cancer, died in the prayer line about a hour before I got to her, and her doctor come and showed... That's been about eighteen years ago: cancer in the heart. See? And she's living today. And she's living down in Arkansas now, and she was in Phoenix then. And she said, "Brother Willie, I hated to come in like this"; but said, "I didn't have no place to stay. Hated... They said, these people, this woman is going to die, Brother Willie." Said, "I wanted to bring you a little offering in my hand, Brother Willie." Said, "But I couldn't do it, but I canned some blackberry jelly."

31-1 Oh, when I went up there and seen them little glasses of jelly she had setting there, I--it looked too sacred for me to eat. That dear little old woman, about seventy years old now. I said, "Sister Hattie, I couldn't say 'no.'"
No, Jesus seen that widow putting in three pennies, and He--He let her alone. See? No. God will reward her for it. Yeah...?... And so, the Lord healed the woman, healed all she had, revealed to her pastor what that she--had on his mind, what he was supposed to do, another thing. And oh, they all went out shouting.

31-3 Then Billy run in and said, "Daddy, that man's gone. I can't...
I said, "Who's that out there in that car?"
"Oh," he said, "some guy come down from Oregon"; Said, "got some kind of dream, and I told him I wouldn't give him no false hope. There's three hundred here waiting now." And said... And I told him just to write the dream out. Said, "I got a pile of them here that high anyhow and they're just add it to it."
I said, "Bring him in. Give him five minutes."
Well, as soon as the man walked in... Five minutes. He said, "I'm Reverend Walker (I think his name was,) from Oregon." I think he was some other denomination. I don't know: Presbyterian, Episcopalian, something.
He said, "I met you about twenty years ago. I come down to Grant's Pass where (not Grant's Pass, but I forget the name of the place.) there," and said, "Whole country... headlines in the paper every morning," said, "everybody knew about it." Said, "I couldn't even get to the building where you were at, but I seen you go up one day on the street. I walked up." He said, "four or five men around you and I shook your hand, you... I told you I was Brother Walker, and you told me who you was, and we passed a couple words, and then three or four big men with you just pushed you on." He said, "I wasn't your critic, and I wasn't for you." He said, "I just didn't understand."

31-7 He said, "It went on that way for a few years, and after while," said, "I... A man told me to come listen to some tapes about three years ago." And said, "The man played the tapes, and when he did," he said, "I heard him talk." He said, "This man believes that you was a--a prophet." Oh, he said, "I told the man, 'I don't know about those things: might be, for all I know.'"
So said, "Then another man moved into our town, had a meeting, and I met him, and he said, 'I'm God's prophet for this day.'" He said, "How many of you guys are there anyhow?" Said, "I--I hear where that a man down here is listening to tapes said William Branham, back in the east was a prophet of the day, and things like that."
He said, "This man..." (I ain't going to call his name, 'cause it doesn't sound right here. You see?) And he said, "I know William Branham." Said, "But he's all false in his doctrine." Said, "He isn't Pentecostal; he doesn't believe in initial evidence." And said, "Another thing," he said, "these major and minor prophets, there is no such a thing." He said, "'You're a prophet or not a prophet, and that's all.'"

32-2 He said, "Well, mister, I--didn't argue with you about it; I just said I heard this man say that this man William Branham is... This man claimed that he was a prophet." Said, "I just wondered how many there was."
He said, "But I want you to know this. I'm the prophet of this age."
He said, "You are? The Lord bless you and be with you."
He went on, never paid any attention to it. And said he started on amongst his brethren a series of three or four meetings. And he went down to the Post Office and said, "Don't--don't change my mail. Leave it here." Said, "I'll come back about four or five days later."
"All right," they said. They put a ticket up there not to change it. He went down, seen his daughter. And on the road out, he--he stopped at a church, and he had that night's meeting. The next morning he said he just happened to think, "Go get General Delivery," and when he did, one letter had creeped through the Post Office and got to his daughter. His daughter sent that General Delivery.

32-4 He opened it up, and it said it was a man, Mr. Hildebrandt, which is a friend of mine; that'd been playing the tapes. Said, "Mr. Hildebrandt had a word from Roy Borders (And that's one of the managers, you know.) that I was going to hold a meeting, back here, for--from the twenty-eighth to the first. Come back and see for himself."
He said, "Now, looky here, them guys trying to pull me in something like that." See? He just flipped the letter over in the wastebasket and went on (See?), like that. Went on and held that meeting that night, and the next morning then he started holding his heart to crying right there in the room.

32-6 He said, "Mr. Branham, I realize I got to stand before God." He said, "I don't know whether I was asleep or what happened. He said I dreamed; I'm going to say I was asleep and I dreamed." Said, "I thought my son in the market stuck his hand in a sack." And said, "When he did, it was a sack of apples, and they all turned over." Said, "When I went to pick them up, they was all green apples with one bite taken out of them." Said, "I was picking them up, putting them back in the sack." Said, "Some of them rolled out and rolled down." Said, "I went to try to get them and under--on the grass." And said, "They rolled under one of these chain-lock fences, and there was a big super highway running there. I looked back east." And he said, "The--the--the chain was hooked against a big rock back in the east. I went back there, and thought I'd let this chain down, then go over and get the apples for the man." Said, "I started to let the chain down." Said, "A voice shook the whole earth." Said, "The earth shook from under my feet."

33-1 And said, "After it quit shaking, I heard a voice." And said, "Brother Branham, it was your voice." Said, "I knowed, just something said to me." Said, "It said, 'I'll ride this trail once more.'" And said, "I started looking up the rock like this, and looked on in a-past the clouds, and way up there standing on a rock that reached from the east to the west in a pointed shape like that, like a pyramid. Run back there to the east," and said, "there you was standing there on a horse, that I never seen anything like it in my life: great white horse, white mane hanging down." And said, "You was dressed like an Indian Chief, with all the things the Indians use." Said, "It had a breastplate, them bangles on the arms, and all down around like that." And said, "You had your hands up like that. And said, "That horse, standing there like a military horse, with a prance like this, walking, me standing still. And said, "You pulled on the reins, went riding off towards the west."

33-2 Said, "I looked down there and there was a whole lot of scientists." The next morning (That was Saturday.)--on the next morning I preached on scientists, you know, being of the Devil.
And he said, "Scientists there were pouring things in tubes and mixing them." Said, "You stopped the horse, raised up your hands and begin to scream: 'I'll ride this trail once more.'" Said, "The whole earth shook. Them people shook," said, "looked up at one another, like that, looked up to you, and just shrugged their shoulders, and went on with their scientific research."
And said, "You started going on towards the west and when it did, said I seen this man that called himself a prophet (you know.) Said, "He come up on a horse that was mixed with white and black together." And said, "He got up behind this great big horse." Said, "It was way up above the clouds, and the road wasn't over about that wide." And said, "That horse just...?... with the wind blowing the feathers and everything on--on your garb," and said, "then the horse's mane and tail blowing: great master, big white horse walking right in line..." And said--and said, "This guy run up behind you, came from towards Canada." (And the man lives in Canada.) And he said, "Come back and said he took his little horse, trying to knock your big horse off, turning him around: make his hips hit against the..." Said, "Never moved the big horse; he just kept walking." Said, "Then, all of a sudden," said, "you turned around." Said, That'd be the third time you spoke, but the second time you said, 'I'll ride.'" And said, "You didn't speak like you did; you commanded." Said, "You turned around and called the man by name and said, 'Get off of here.' You know that no man can ride this road here, without God be ordained him to do it. Get off of here."

34-1 And said, "The man turned around; and said the man has wrote me letters." And said, "Across his horse's hips (that black and gray and mixed up together)..." Said, "Across his horse's hips was wrote his name, signature, just exactly like is on this letter. And he rode off towards the north."
Said, "Then you went on down; that big horse turned around way, as far west as you could." Said, "You stood, raised your hands up like that." Then he started crying. He said, "Brother Branham, to see that horse standing over there, war bonnet and everything like that..." And said, "That breastplate and everything shined." Said, "You held your hands up a little while. And said, "You looked down again, picked up the reins, and said, 'I'll ride this trail just once more.'" Said, "The whole earth shook back and forth like that." And said, "There was no more life left in me. I just fell down by the side of the rock, and I woke up."
He said, "What does it mean, sir?"
I said, "I don't know."

34-3 Next morning Junior Jackson, who dreamed about the pyramid, you know, when I went out west, you remember that? He called me a month or two before that. He had a dream that was burning; he had to tell me. But I said, "Billy... There's about twenty standing out there."
He said, "Junior Jackson down there said that he had to tell you that dream."
I said, "Send him in just about five minutes.
He brought his wife in, and he said for a witness. He said, "I dreamed, Brother Branham, me and my wife was out riding." And said, "I looked back in the east, and I saw look like a spot, like one of those flying saucers."

35-1 See, the world don't know what that is. You know... You know, it's all in... We know what it is. See? We know it's investigating judgment Angels (You see?), and they... How that the Pentagon, all about how it comes right down to the intelligence; how they go like a flash and be gone; pull away from anything they got. See, and they don't realize what it is. See? Let them think whatever they want to. They call them flying saucers or whatever; they don't know. See?

35-2 Said, "I seen it coming, and I watched it. And what it was, it was a man on a horse, and said he was coming with lightning speed." Said, "I seen he was going to come down in front of me, and I stopped my car, jumped out. When I did," said, "the car-- horse was standing in the road, a great white military horse walking in a prance." That's the Word, of course, you know it, walking in a prance.
Said, "There was a man setting on there." He said, "He was dressed in western garb: wasn't a cowboy," but said, "looked like a chief over rangers or something." (See, all of his chief authority from the west. The Indians over the Indians, rangers over the... ) See? And said, "The man had his hat pulled down and had--was looking sideways." And said, "When he turned sideways," said, "It was you, Brother Branham." Said, "You never talked like you did. You said, 'Junior' (called him three times.)" He said, "I'll tell you what to do." And said, "Then you pulled upon the reins of this horse; he made about three lopes and took to the skies, and you were gone towards the west."

35-4 He said, "Just a minute. I looked around and here come a horse smaller than that one of the same breed, but smaller, and stood." Said, "I walked around." He said, "He must have sent this back for me. So I got in." Junior's done a little riding too; and he said, "You know how your saddle fits you, Brother Branham, the stirrups and everything." Said, "I thought, 'Well, this fits me just right.' So I pulled upon the reins, off to the sky." Said, "I pulled on the reins and stopped him, turned him around and went back." See? "When I went back," said, "I stopped the horse, got off, and talked to my wife, and the horse was gone." And he was worked up.

35-5 Then day before yesterday, three days ago come Leo Mercier, coming down with exactly the same dream, not knowing nothing about it, about trying to breed a big white stallion to a black mare, and they couldn't do it: nervous. Said, "I walked up there; and said, 'Leo'" and told him what I did. I don't want to say it here. See? I told him what I did. He said, "Don't you see not to know this. 'I didn't know Ed Daulton had a son-in-law, and the son-in-law had a dog with this name. You'll know, Leo, that your dream, but when you wake up, remember it.'" And said, "I never heard such a command."

36-2 About that time Roy Roberson come in, said, "Brother Branham, you remember back there before you left the church the first time? We... I seen you setting like, in Palestine. We was all the board and everything, and setting like the Lord's supper table, and then you talked, and you--you wasn't sure what you were talking about." Said, "A white cloud come down and got you, packed you away."
How many remembers the--the dream of Brother Roy? And said, "The white cloud packed you away." And said, "Then you was gone, and I walked through the streets screaming and crying." When I came out here and that little old arm crippled up like...?... He dropped the rake and started crying when he seen me come up out there. I hadn't seen him, so he was telling me the dream. And he said... And he was raking... and said, "And you went away, so I walked the streets everywhere trying to find you; I couldn't find you nowhere. I was screaming, 'Oh, Brother Branham, don't leave." Said, "A white cloud come in and got you and packed you away from us towards the west."

36-4 That was before the pyramid or anything. He said, "It packed you towards the west. And I cried and walked the streets, and after while I went and set at the table. I happened to look up there at the head of the table." Said, "I could just see that much of you was snow white." Said, "You were standing there and said you spoke with authority. There wasn't no guessing to it." Said, "Every man understood exactly what you was saying."
Oh, my brother, sister; now, everyone of you conscious I know what that means. See? Just watch. Stay close to Christ. Let me warn you now, as a minister of the Gospel that--that this... Don't take any foolishness. Don't imagine anything. Stay right there until this inside of the inside is anchored to the Word, that you're right in Christ; 'cause that's the only thing that's going to... 'Cause we're in the most deceiving age that we ever lived in. It would deceive the very elected if it was possible, because they have anointing. They can do anything like the rest of them.

36-6 Clean your lives up; pay your debts; owe no man. Jesus said, "Now... Now, I don't mean things like your house rent and stuff. You got to do it. Get all your things off your hands. Get everything right. Make ready. Get ready. Remember in the Name of the Lord, something's fixing to happen.
I'm going into the hills this week, not exactly to hunt squirrels, 'course I like to hunt squirrels; but I'm going out there for this purpose, saying, "Oh, God, I don't know which way to move, and I don't want to miss this. Help me."
You pray for me. Will you do it? I'll be praying for you. I hope by the mercies of God that I meet everyone of you, and we meet in a better land than this here.

37-2 And what are we coming here for? What are we doing? Are we coming here playing a game? Are we coming here meeting as a lodge? It's... Christ can't come until that church is perfectly right. He's waiting on us. I believe we're at the end.
Look at California. Look at the riots. Look at nineteen people being killed, racial. Didn't I tell you here not long ago, that that Martin Luther King would lead his people to a massacre? How many remembers that? It isn't them colored people; it's them leaders stirring them up. It isn't integration, segregations, and whatever you want to call it. It's the Devil. That's right. Not only to the white, colored; it's all of them. It's the devil. The mental faculties and reasons of men is broke down. There's no hopes. It's beyond hope. The whole thing is a puterated sore.

37-4 The mental faculties of men, they can't make decisions. I'm not a politician. I don't... Neither Democrat or Republican, they're all filthy. I'm for one Kingdom and that's the Kingdom of Jesus Christ. That's all. But how in the world... Did you ever see a bunch of puppets like we got up there now? Like that bunch of Texans we got in there. Why, they say, "Whatever the people wants. If they want Communism, we'll give them Communism. If they want integration, we'll give them integration. Want segregation, we give... whatever." Where is men?
Oh, God, that's like the pulpit. Where is men? men that's men that stands for a principle? Where is women that stands for a principle? Where is a church that stands for a principle? I ain't got a nickel's worth of time for a wishy-washy, give in, compromising spirit.

37-6 If a woman's a woman, let her be lady. If a man's a man, let him be man. If he's a president... Where is our John Quincy Adams? Where's our Abraham Lincolns? men of principle. Where's our Patrick Henry? Said, "Give me liberty or give me death." Where's a man that stands for what's right? Where's a man that's not afraid to speak out regardless if the whole world's against him, speak out for what's right, and stand for it, and die for it?
Where's our Arnold von Winkelried in this world again today? Where is men of integrity? Where is men with spirit? They're so wishy-washy and gaumed up, until they don't know where they stand. God, let me stand with the principles of one man as a minister, the Word of Jesus Christ: For heavens and earth will pass away, but It'll never fail. "On this Rock I'll build My church. The gates of hell shall not prevail against it." Let us stand.
Blest be the tie that binds
Our hearts in Christian love;
The fellowship of kindred minds
Is like to that above.
Now, join your hands with one another.
When we asunder part,
It gives us inward pain;
But we shall still be joined in heart,
And hope to meet again.
Till we meet, till we meet,
Till we meet at Jesus' feet;
Till we meet, till we meet,
God be with you till we meet again!

38-2 Let's bow our heads now while Brother Neville dismisses in a word of prayer. Be back tonight now. We're expecting a great service tonight here at the tabernacle. God bless you and pray for me; I'll pray for you. Don't think that I'm a fanatic, friends. Don't think I'm trying to push something on you. I love you. And I have a principle; that's the Bible. Not one word can be taken from It. Not one word can be added to It. I believe It the way It's written.
Let's bow our heads now. And our loyal, good pastor dismissed the congregation. God bless you, Brother Neville.

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