Ta Bonté

Date: 58-0228 | La durée est de: 1 hour and 33 minutes | La traduction: Shp
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1 Merci beaucoup, Frère Arnold. Inclinons la tête juste un moment pour la prière.
Bienveillant Père, nous venons maintenant dans Ta divine Présence pour T’offrir nos actions de grâces et pour T’exprimer l’adoration même de nos coeurs ; car nous T’adorons sincèrement. Et nous demandons que Tes bénédictions viennent sur nous ce soir dans l’autre partie de ce service.
Que ceux qui ne sont pas sauvés, Seigneur, considèrent le lieu où ils vivent aujourd’hui, et fuient vers la croix pour s’y réfugier. Et que ceux qui ne marchent pas avec intégrité devant Toi, bien qu’ils confessent être Tes enfants, puissent avoir tout à fait honte de leur nature, du fait qu’ils confessent qu’ils sont enfants de Dieu tout en menant une vie pleine de reproche.

2 Nous Te prions ce soir de Te souvenir des malades et des affligés qui sont ici dans Ta divine Présence, ainsi que des autres qui sont à travers le monde. Guéris les malades ce soir, Seigneur ; apporte-nous la joie que nous cherchons. Et les hommes et les femmes qui sont dans les voyages, dans le pèlerinage de la vie, certains d’entre eux, Seigneur, sont dans les champs missionnaires depuis longtemps. Et pas une seule chose qu’ils ont faite pour Ta gloire n’est cachée à Tes yeux. Souviens-toi de chaque petite oeuvre, de chaque chagrin et de tout ce qu’ils ont enduré pour la cause du Royaume. Et un jour, ils recevront cette grande récompense, quand les couronnes seront distribuées. Nous Te demandons ce soir d’encourager ces gens.

3 Et puissions-nous resserrer un peu plus la boucle de la – l’armure de Dieu ce soir, avancer demain dans la bataille où le bien et le mal sont engagés. Que nous ne puissions pas avoir peur d’avancer, mais que nous soyons certains que l’Etoile du matin brille sur nous. Et si Dieu est pour nous, qui sera contre nous, ou qui fera du mal aux oints de l’Eternel ? Que cela soit la consolation de chaque croyant. Accorde-le, Seigneur.

4 Et, alors que nous sommes sur le point de tourner les pages de Tes Ecritures saintes et sacrées que nous appelons la Bible, Seigneur, donne-nous ce soir la portion des Ecritures qui donnera la réponse à ces requêtes pour lesquelles nous prions. Oins la lecture et la prédication de la Parole. Que le Saint-Esprit entre dans la Parole, dans le prédicateur et dans l’auditoire, au point que nous oublierons même là où nous nous trouvons ; que nous serons tellement sous le contrôle du Saint-Esprit que Dieu sera magnifié et la gloire rendue à Son Nom. Accorde ces bénédictions, Père, alors que nous nous attendons davantage à Toi. Nous le demandons dans le Nom saint et béni de Jésus. Amen.

5 Juste pour un peu de votre temps… Et je suis sûr que vous serez bénis si vous quittez ce bâtiment maintenant pour rentrer chez vous, que vous serez bénis par la lecture de la Parole ou par des cantiques que vous aurez entendus.

6 J’étais juste un peu agité ce soir en route, il y a eu un accident sur le pont. Et j’ai attendu que Billy vienne ici voir si les gens m’attendaient déjà, et je priais parce que certaines personnes parmi les accidentés étaient… me semblaient être des chrétiens. Et – et elles étaient… Les policiers nous faisaient avancer. Personne ne semblait être gravement blessé, mais ils nous demandaient simplement d’avancer. Et nous avons été retardés juste un peu. S’il se fait que certains de nos frères et soeurs ont connu un accident, que Dieu les délivre de tout danger.

7 Et maintenant, ce soir je désire que vous ouvriez (si vous notez le passage de l’Ecriture) le livre des Psaumes, Psaume 63 et les trois premiers versets. Nous estimons que nous avons choisi ceci ce soir pour notre étude de la Parole. Ô Dieu ! tu es mon Dieu, je te cherche ; mon âme a soif de toi, mon corps soupire après toi, dans une terre aride, desséchée, sans eau. Ainsi je te contemple dans ton sanctuaire, pour voir ta puissance et ta gloire. Car ta bonté vaut mieux que la vie : mes lèvres célèbrent tes louanges. Voici une Ecriture très inhabituelle. Et en lisant cette Ecriture, j’ai essayé de m’imaginer ce que devait être la pensée du prophète en faisant cette déclaration : « Car pour moi Ta bonté vaut mieux que la vie. » Je ne peux pas m’imaginer quelque chose qui vaudrait plus que la vie. Vous pourriez rassembler tout ce que vous connaissez, et toutes les bonnes choses que vous connaissez, rien ne peut remplacer la vie, car tout doit avoir une fin, excepté la Vie Eternelle.

8 Et David, conscient de la Présence de Dieu, et sachant combien Dieu l’avait béni, et combien il avait vu Dieu dans la nature en marchant près des pâturages verts et ombragés, et près des eaux paisibles… Et le grand psalmiste, tandis qu’il écrivait les Psaumes là où il voyait Dieu dans la nature…
Si seulement vous regardez autour de vous, vous pouvez Le voir dans toute la nature. Oh ! j’aime contempler Dieu. Vous pouvez Le voir si seulement vous regardez à travers Ses yeux.

9 Il y a quelque temps, je conduisais du bétail tout en haut dans la forêt Arapaho, sur… de l’autre côté du col Berthoud dans le Colorado. Et j’étais là dans les montagnes, prenant tout simplement mon repos après les réunions. Et je travaillais un peu dans le ranch là-haut avec un autre gars.
Et je… Un jour, pendant que nous nous occupions du rassemblement printanier du bétail pour le ramener, je donnais du sel au bétail. Et je chevauchais… Après avoir déchargé le cheval de selle, je suis monté au sommet de la montagne. Et je regardais tout simplement à travers mes jumelles pour voir où s’établissait et prenait place le bétail, du sommet de la montagne, et j’ai assisté à un spectacle inhabituel. J’ai vu une vieille mère aigle qui sortait ses petits du nid.

10 Et je les ai observés un petit peu ; en effet, Dieu a dit dans la Bible qu’Il compare Son peuple à des aigles. Et cette vieille mère aigle a pris ses petits sur son aile, et elle les a amenés dans un – un pâturage vert. Et là, après avoir laissé ses petits, elle est montée tout en haut sur le pic le plus élevé qu’elle a pu trouver. Et elle s’est posée sur le rocher, se retournant pour regarder à l’est, à l’ouest, au nord et au sud, pour voir s’il y avait un quelconque danger.

11 Vous savez, on entend tellement parler du faucon. Le faucon ne peut pas du tout se mesurer à l’aigle. Les yeux de l’aigle sont cinquante fois plus perçants que ceux du faucon. Il est bien plus rapide. Il peut tuer le faucon dans l’attitude – ou plutôt dans l’altitude en montant. Le faucon ne peut pas le suivre. L’aigle est ainsi constitué. Dieu a comparé Ses prophètes à des aigles qui montent tout en haut au point qu’ils peuvent voir de loin des choses qui viennent.

12 Et je me suis dit, étendu là à plat ventre sur le rocher, observant ce grand aigle (je l’ai observé attentivement alors que cette énorme tête se mit à tourner pour regarder, avec ces yeux perçants qui observaient tout autour) je me suis dit : « Oui, c’est exact. Ces petits aiglons sont nés dans un nid. »
Et, oh ! si jamais vous avez été près de l’un de leurs nids, cela dégage une odeur affreuse. Et c’est fait de bâtons et de ronces, et c’est matelassé avec des peaux de lapin et de mouton, si elle a pu en trouver. Mais quand elle s’apprête à éveiller cette couvée, elle jette tout cela dehors et rend son nid vraiment inconfortable pour sa couvée.
Et des fois, Dieu fait aussi cela lorsqu’Il éveille Sa couvée. Il le rend si inconfortable que vous n’avez pas envie d’y rester plus longtemps. Il éveille la couvée.

13 Mais alors, je me suis dit… Ce qu’elle a fait après avoir déposé ses petits dans un champ verdoyant… ces derniers n’avaient jamais vu l’herbe verte et le clapotis de l’eau à côté. Mais elle s’est perchée très haut pour pouvoir veiller sur ces petits. Et elle n’était pas montée trop haut mais juste à une distance où, avec la vitesse de ses ailes, elle volerait à leur secours en – en quelques instants.
Je me suis dit : « Il n’est pas étonnant que David ait regardé et vu Dieu dans Sa nature. » Jésus est mort afin de pouvoir nous sauver. Et Il a gravi les remparts de la Gloire et s’est assis à la droite de la Majesté de Dieu, veillant sur Son héritage, Sa couvée, comme l’a dit le poète : « Son oeil est sur le passereau, et je sais qu’Il veille sur moi. » Rien ne peut vous arriver sans qu’Il ne le sache.

14 Et je me suis dit : « Combien ces petits étaient insouciants vis-à-vis du danger ! » Ils n’avaient que de petites plumes sur les ailes et ils ne pouvaient pas voler. Mais ils culbutaient l’un sur l’autre, arrachant l’herbe, ayant tout simplement un réveil pentecôtiste ordinaire ; ils étaient insouciants ; en effet, ils savaient que cette mère veillait sur eux.
Et combien les enfants de Dieu devraient être insouciants du moment qu’ils savent que Dieu veille sur Son héritage.

15 Et je regardais, et mon coeur battait fort, et j’ai pris mon petit mouchoir rouge pour essuyer de mes yeux les larmes de joie, alors que j’étais étendu là tranquillement à les observer.
Et peu après, après qu’ils eurent passé un très bon moment, un orage s’annonça avec un grondement de tonnerre. Très vite, les nuages se sont élevés. Et vous devez vous hâter d’aller à l’abri quand un orage du nord s’avance, car la pluie arrive si vite dans ces vallées, traversant le sommet des montagnes. Elle est cachée jusqu’au moment où elle arrive soudainement par-dessus la montagne.

16 Elle poussa un grand cri, et elle se lança en flèche à travers ce bois comme un énorme avion. Et quand elle a touché le sol, elle a poussé un très grand cri, et tous ces aiglons sont venus, ils ont accroché leurs petites pattes aux plumes de ses ailes, de leurs petits becs ils se sont très bien agrippés et la mère s’est élevée à l’aide de ces puissantes ailes. Et, bien que le vent soufflait au sommet de la montagne à environ soixante miles à l’heure [environ 96 km / h – N.D.T.], elle s’est dirigée avec ses petits aiglons vers le rocher de sécurité.
Oh ! si vous regardez simplement autour de vous, vous pouvez voir Dieu partout.
Un jour, Jésus viendra. Avant qu’une bombe atomique ne détruise Son Eglise, Il viendra et Il étendra Ses ailes et Ses enfants reconnaîtront Sa voix, et ce cri bien connu qu’Il poussera lorsqu’Il quittera les remparts de la Gloire. Et Son Eglise sera emportée sur les ailes de Son salut.
Peu importe combien la destruction sera terrible, Il veille.

17 Et quand j’ai entendu David dire ici : « Pour moi Ta bonté vaut mieux que la vie », estimant donc que rien ne vaut plus que la vie, il doit y avoir une autre définition, ou plutôt il doit y avoir deux sortes de vie différentes.
Et il y a deux sortes de vie. Il y a une vie qui mène à la ruine, et il y a une vie qui mène à l’éternité.

18 Et cette vie-ci dont les gens pensent que c’est la vie, le diable a perverti la vraie et authentique vie et vous fait croire que vous menez une vraie vie alors que c’est le contraire. Il cherche à vous faire penser qu’avoir beaucoup de bons habits, que posséder une belle voiture, que du fait que les taxes ont été payées à votre place, vous vivez, mais ce n’est pas le cas. C’est là que l’Amérique est séduite aujourd’hui.
Et certaines personnes pensent que c’est parce qu’ils font la vie, parce qu’ils sortent, s’amusent partout... Ça, ce n’est pas la vie ; c’est la mort.

19 Il y a quelque temps, je tenais une série de réunions dans une grande ville canadienne. Et quand je revenais de la – la grande arène, après une belle réunion ce soir-là… Et j’étais dans ce grand hôtel. Je ne sais pas s’il y a quelque chose de pareil aux Etats-Unis. Et en montant dans l’ascenseur, j’ai vu des bouteilles de whisky qui jonchaient l’ascenseur.
Et cet après-midi-là, un important groupe d’Américains était aussi venu là. C’était une organisation, une association, une loge qui tenait son assemblée annuelle. Il y avait là environ 500 ou 600 Américains. Et ils passaient vraiment un beau moment.
Quand je suis sorti de l’ascenseur… A chaque niveau jusqu’en bas, en passant, on entendait des cris, des hurlements et des danses. Et ces gens pensaient qu’ils se tapaient de beaux moments. Mais ce genre de vie amène l’homme à un point où il cherche à se débarrasser de cette sorte de vie ; il prend un pistolet et se fait sauter la cervelle. David ne pouvait donc pas parler de ce genre de vie-là. Elle devient si misérable que les gens se jettent du haut des ponts. Ils prennent du poison pour mettre un terme à cette vie. David ne pouvait donc pas parler de ce genre de vie là.

20 Et lorsque mon ascenseur s’est arrêté, j’ai entendu un bruit dans le hall, et j’ai regardé. Et voilà venir deux Américaines n’ayant sur elles que des sous-vêtements, oh ! elles avaient peut-être vingt-huit ans, vingt-six ans, quelque part dans cette tranche-là en dessous de trente ans, peut-être des mères. Ce n’est qu’une conception américaine qui dit : « C’est juste un petit amusement décent. » C’est le péché noir et crasseux. La Bible dit : « Celle qui vit dans les plaisirs est morte quoique vivante. » Mais, oh ! nous, nous trouvons que c’est un amusement innocent. C’est la porte de l’enfer.
Et peut-être que les maris de ces femmes faisaient le baby-sitter chez eux, pendant qu’elles s’amusaient un peu à leur réunion de couture : elles étaient ivres au possible, n’ayant sur elles que des sous-vêtements, avec une bouteille de whisky à la main, et des hommes les traînant d’une chambre à l’autre, « juste un petit amusement américain décent ».

21 Qu’en pense Dieu d’après vous ? Et peut-être que plusieurs hommes là, qui tirent ces femmes, ont des femmes innocentes chez eux assises avec des bébés. « Ce n’est qu’un petit amusement avec le patron et les garçons. »
Et je me suis retiré dans un petit endroit, dans un petit recoin. Et elles venaient, en titubant ; de belles femmes. Et elles se sont arrêtées et se sont passé la bouteille l’une à l’autre, elles ont retroussé leur petite histoire de jupe qu’elles portaient, leur jupon, elles ont lancé les jambes en l’air, en disant : « Youpi ! c’est ça la vie. »
Je ne pouvais pas supporter cela plus longtemps. Je suis sorti ; j’ai dit : « Vous vous trompez, madame ; ça, c’est la mort ! »
Elle s’est retournée et elle m’a regardé.
Je me suis approché d’elles. J’avais cette même Bible en main. J’ai dit : « Je suis un prédicateur de l’Evangile. Moi aussi, je suis un Américain. Et vous appelez cela la vie ? Vous êtes séduites, et c’est le diable qui vous a séduites. C’est le chemin de l’enfer et de la séparation éternelle d’avec la Présence du Dieu vivant. »
Elles se sont regardées, et leur maqui-… manucure, peu importe comment vous appelez cette histoire qu’elles appliquent au visage, partout où on les avait embrassées et fait des histoires, leur chevelure tombant. Elles se sont regardées et elles ont descendu le hall.

22 Oh ! que Dieu ait pitié de cette nation hypocrite et rétrograde, se disant une nation chrétienne et vivant dans des bêtises et le péché comme cela. Si Dieu ne juge pas cette nation pour son péché, elle va… Dieu sera juste ; Il sera obligé de ressusciter Sodome et Gomorrhe et de leur présenter des excuses. Nous nous dirigeons vers le jugement.
Il n’est pas étonnant que des spoutniks [satellites lancés par les Russes – N.D.T.] traversent les cieux et que les nations soient dans l’épouvante. Nous sommes au temps de la fin. Dieu est miséricordieux. Christ a dit : « Si l’oeuvre n’est pas abrégée à cause des élus, personne ne sera sauvé. »
Oh ! quelle chose misérable ! Le diable pervertit ces choses. Il vous fait croire que vous êtes vivant alors que vous êtes mort.

23 Maintenant, qu’est-ce qui fait que la personne ait soif, alors ? Il y a une raison à cela. Qu’est-ce qui fait que les gens veuillent boire ? Qu’est-ce qui fait que les femmes ainsi que les hommes veulent être infidèles ? Qu’est-ce qui fait qu’ils désirent adhérer à des églises qui s’adonnent à des choses telles que jouer aux cartes, fumer la cigarette, et tous ces genres de choses comme cela ? C’est parce que Dieu a fait l’homme de façon à ce que ce dernier ait soif. Et Dieu vous a fait de façon à ce que vous ayez soif. Voilà pourquoi vous éprouvez la soif. Mais Il vous a créé pour que vous ayez soif de Lui. Cette soif a été créée en vous pour que vous ayez soif de Lui. Mais le diable a perverti cela. Et il essaye de vous convaincre de chercher à étancher cette sainte chose bénie avec le péché. Vous n’avez pas le droit de chercher à étancher cette sainte soif bénie en buvant et en pataugeant dans le péché. Souvenez-vous-en.
Dieu vous a créé pour que vous ayez soif de Lui dans la justice. Et le diable dévie cela. Oh ! il y a tant de choses avec lesquelles il essaie d’étancher cela. C’est la raison pour laquelle vous n’allez plus à l’église le mercredi soir ; vous préférez rester à la maison pour regarder un vieux et sale programme de télévision comme Nous aimons Suzy. Oh ! et ensuite vous dites que vous aimez Dieu ? Il n’est pas étonnant que nous ne puissions pas avoir de réveil en Amérique.

24 Et vous avez sur vos tourne-disques ces sales et vieilles chansons d’Elvis Presley et tous ces autres tas d’ordures du Tennessee là-bas, comme All Shook up [Tout secoué – N.D.T.]. Un de ces jours, vous serez tout secoué. Arthur Godfrey et toutes ces bêtises que vous femmes vous écoutez le matin, et vous vous dites chrétiennes, avec toutes ces sales plaisanteries grossières pour chercher à vous satisfaire, alors que vous devriez avoir votre Bible ouverte quelque part dans une réunion de prière, adressant des prières au Dieu Tout-Puissant. Vous n’avez pas le droit de chercher à étancher cette sainte soif avec les choses du monde.
Et je suis surpris en regardant dans la rue… Il y a quelques années, quand j’ai commencé à fréquenter les églises pentecôtistes, après avoir quitté les baptistes, les femmes s’habillaient comme les dames sont censées s’habiller. Mais elles ne le font plus. Quel est le problème ? Oh ! je sais, cela pourrait vous rendre un peu malades.

25 Quand j’étais petit, j’ai grandi ici dans le Kentucky. Nous étions très pauvres. Des doliques et du pain de maïs, c’était tout ce que nous prenions trois fois par jour. Et maman ramenait du vieux magasin, du magasin de la campagne, du lard. Et elle le faisait fondre pour obtenir de la graisse pour le pain de maïs. Et je me souviens que chaque samedi soir toute la ribambelle des petits Branham approchait d’une vieille baignoire de cèdre pour prendre ce bain de samedi soir, changer le long sous-vêtement, et chacun recevait une bonne dose d’huile de ricin. Jusqu’à présent, je n’arrive pas à supporter cette histoire. Et étant l’aîné, je devais prendre cela le premier.
Et quand je m’approchais de maman, je me pinçais le nez, et je disais : « Maman, cela me rend malade, juste d’en sentir l’odeur. »
Et elle a dit : « Billy, si cela ne te rend pas malade, cela ne te fait aucun bien. »
C’est pareil avec la prédication de l’Evangile. Si cela ne remue pas les tréfonds de votre être, cela ne vous fait pas beaucoup de bien.

26 Vous femmes chrétiennes pentecôtistes qui sortez dans la rue en pantalon, savez-vous, madame, que la Bible dit que c’est une abomination pour une femme de porter un vêtement d’homme ? Avec de sales petits vêtements et de shorts… Et vous sortez dans la cour juste au moment où les hommes reviennent du travail. Vous rendez-vous compte que c’est une possession démoniaque ?
Ecoutez, madame, vous portez ces petits vêtements indécents et sexy qu’on vend dans ces magasins. Vous pourriez être aussi pure que le lys vis-à-vis de votre mari, mais si vous vous habillez ainsi et sortez dans la rue, et qu’un pécheur vous regarde, vous êtes coupable d’avoir commis adultère avec ce pécheur. Et à la barre du jugement vous répondrez pour cela. Jésus-Christ, le Fils béni du Dieu vivant a dit : « Quiconque regarde une femme pour la convoiter a commis adultère avec elle dans son coeur. »
Quand ce pécheur rendra compte pour avoir commis adultère, c’est avec vous qu’il aura commis cela. Eh bien, vous dites : « C’est sa faute. » C’est votre faute, du fait que vous vous êtes présentée ainsi.
« Oh ! dites-vous, mais, Frère Branham, c’est le seul genre de vêtements que l’on vend. »
Eh bien, on vend encore des machines à coudre et des tissus. Je sais que c’est vieux jeu, mais c’est ce dont le monde a besoin aujourd’hui. Dieu hait le péché, mais Il aime les pécheurs. Les gens n’arrivent pas à accepter cela. C’est tout.

27 Vous dites : « Et les hommes ? »
Très bien, vous y êtes. Un homme qui laisse son épouse s’habiller comme cela, fumer des cigarettes, cela montre quel genre d’homme vous êtes. C’est exactement ce qu’il en est. Vous êtes censé être le chef de la maison, mais vous ne l’êtes pas. C’est vrai. Et le diable fait cela en cherchant à étancher cette sainte soif. Quand un homme aime Dieu, il ne peut pas aimer Mamon en même temps. Si vous aimez le monde ou les choses du monde, c’est parce que le véritable amour du Père n’est même pas en vous. Maintenant, voyez-vous pourquoi nous ne pouvons pas avoir un réveil ?

28 Vous pourriez ne pas m’aimer après ceci, mais à la barre du jugement vous saurez que je vous ai dit la vérité.
Que s’est-il passé ? Un vieux prédicateur méthodiste répondant au nom de frère Kelly avait l’habitude de chanter un cantique : Nous avons laissé tomber les barrières,
Nous avons laissé tomber les barrières,
Nous avons fait des compromis avec le péché,
Nous avons laissé tomber les barrières,
Les brebis sont sorties,
Mais comment les boucs sont-ils entrés ? Vous avez laissé tomber les barrières (C’est tout à fait juste), en faisant des compromis avec le péché. Oh ! ô Dieu, aie pitié.
Savez-vous ce que la Bible dit ? Pour chaque croyant, Christ est votre portion qui satisfait.

29 Ce ne serait pas une chose mystérieuse pour moi si j’allais dans la campagne et voyais un – un cochon mangeant sur un tas de fumier. C’est sa nature. Mais je serais certainement surpris de voir un agneau en train de manger avec lui. C’est juste. L’esprit qui est en vous témoigne de ce que vous êtes. « Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. »
La Pentecôte, il nous faut un nettoyage de la chaire jusqu’à… jusqu’au sous-sol. Cela vous concerne aussi, vous baptistes, méthodistes, presbytériens, tout votre groupe. Il nous faut un nettoyage de la maison, le feu sacré de Dieu. Vous avez le feu dans le sous-sol alors qu’il devrait être sur l’autel et dans chaque coeur, pas au sous-sol.
On a transformé la chambre haute en une chambre de souper, pour obtenir assez d’argent afin de payer le prédicateur. Je préférerais être étendu à plat vendre, boire de l’eau plate, manger du pain sec et prêcher la vérité, plutôt que de prendre trois fois par jour du poulet frit et faire des compromis avec le péché. Amen.

30 Essayer d’étancher cette soif que Dieu a placée en vous, non pas en écoutant un scandale comme Arthur Godfrey, ou certains de ces autres imposteurs au langage ordurier… Ce n’est pas ça le véritable américanisme ; ça, c’est de l’enferisme. C’est Juste. Cela vient du sein de l’enfer. Il n’est pas étonnant que notre nation soit fichue, avec de telles histoires. Et cela s’est infiltré carrément dans l’église.
Le diable a su comment éviter aux enfants d’aller au cinéma ; il a placé celui-ci dans la maison à côté de vous. C’est juste. Vous savez que c’est juste. Vous les laissez tout simplement écouter n’importe quelle histoire immorale, toutes ces sales plaisanteries et tout, qui sont racontés. « Elève l’enfant dans la voie qu’il doit suivre. »
Il n’est pas étonnant que nous ayons la délinquance juvénile. Non, nous avons la délinquance parentale. Nous avons la délinquance de foyers. Junior est allé quelque part le dimanche avec sa voiture gonflée ; sa soeur est allée à une partie de rock-and-roll, et maman est allée à une partie de cartes, et – et papa est là-bas à une sorte de jeu de poker. Et les bancs de l’église restent vides parce que le Sang de Dieu a disparu de l’église du Dieu vivant.
Si vous aimez Dieu de tout votre coeur, vous ne ferez pas ces choses. C’est vrai.

31 Une autre chose avec laquelle il essaye d’étancher cela, c’est qu’il essaye de vous laisser vous joindre à l’église. Oh ! vous vous dites : « Je suis un membre d’église, je ne suis pas tenu d’écouter de telles histoires. »
Vous n’êtes peut-être pas tenu de vous asseoir et d’écouter cela ; vous pouvez sortir. Mais un jour, vous serez jugé par cela de toute façon. Vous serez obligé de supporter cela. Toutes ces bêtises, se joindre à l’église…
« Eh bien, mon organisation est une organisation qui date de longtemps. » Il se peut que ce soit le cas. Ce n’est pas l’évidence que vous êtes en sécurité, pas du tout.
Oh ! comme c’est pitoyable de voir que cette sainte soif bénie que Dieu a placée dans l’homme pour que celui-ci ait soif de Lui, le diable pervertit cela pour vous amener à dire : « Oh ! je suis membre de l’église. Ce n’est pas à vous de me dire ces choses, monsieur Branham. »
La Bible parle de ces choses. Et étant un prédicateur, je suis tenu par mon devoir envers Dieu de les expliquer. Alors le sang n’est pas sur mes mains.

32 Qu’est-il arrivé à toutes les femmes pentecôtistes et à leur longue chevelure ? Cela a brûlé, n’est-ce pas ? Mais c’est la vérité. La Bible dit : « Cette chevelure a été donnée à la femme comme sa gloire. » Il n’est pas étonnant que vous n’ayez plus de gloire, vous l’avez coupée. Vous savez que c’est vrai.
Que s’est-il passé ? Vous vous êtes mises à trop regarder la télévision. Vous vous êtes mises à imiter une certaine star de cinéma, mariée quatre ou cinq fois, vivant avec trois ou quatre maris. N’avez-vous pas honte d’étancher cette soif avec de telles polissonnes et prostituées comme cela, et de laisser le Saint-Esprit de Dieu grand… attristé et éloigné de vous ? Certainement.
Je ferais peut-être mieux de laisser un peu… Non, je ne le suis pas. Mais, écoutez. Cela doit être dit. Et c’est la vérité.

33 Oh ! si seulement vous preniez Dieu comme votre portion qui satisfait, si seulement vous changiez toute cette bêtise en l’adoration d’un Dieu, combien le Saint-Esprit inonderait mon âme, inonderait mon âme…
Et l’église est entrée dans l’âge de Laodicée juste pour battre un tabourin, ou battre sans arrêt du piano, sauter et crier, et se comporter tout le temps comme le monde, alors que l’amour de Dieu nous contraint à faire ce qui est juste. Oui, il n’est pas étonnant que nous n’arrivions nulle part. Il n’est pas étonnant que les dons ne puissent pas venir dans l’église.
Dieu doit avoir un fondement sur lequel placer cette Eglise. Il doit avoir une Eglise dans laquelle placer ces dons. Il ne placera jamais cela dans un tas d’histoires comme cela. C’est vrai.
Tous les différents… « Je suis presbytérien. » « Je suis des Assemblées. » « Je suis de l’Eglise de Dieu. » Qu’est-ce ? La marmite ne peut pas se moquer du chaudron. Si vous ne pensez pas… Si vous appartenez à Christ, vous avez l’amour pour tout le corps de Christ, que la personne soit méthodiste, presbytérienne, des Assemblées, ou de l’Eglise de Dieu, quoi qu’elle soit.

34 Oh ! quand David a crié : « Je désire voir Ton Esprit ; je désire voir Ta gloire comme je l’ai contemplée dans le sanctuaire. Mon âme Te réclame dans une terre aride, desséchée, sans eau. », ce prophète a vu ce jour-ci. Dans Psaume 42.1, David dit : « Comme une biche soupire après des courants d’eau, ainsi mon âme a soif de Toi, ô Dieu ! »
Etant un homme des bois, David était habitué à la nature. Et la biche est un cerf. Et j’en ai vu bien des fois, étant moi-même un chasseur.

35 En Afrique, ils ont un chien sauvage ; et en Amérique, c’est le loup. Et ce loup est sournois. Et quand il arrive à un endroit où il voit la biche, le cerf, il se glisse aussi furtivement que possible, en restant camouflé. Et c’est ce que fait le péché : ça paraît innocent.
Et dès qu’il a bien en vue sa proie, il s’élance et fait un bond. Et il a deux crocs ; on les appelle les crocs de sang. Et il… Son endroit favori pour saisir le petit cerf, c’est juste derrière le bourrelet de l’oreille. Il plante profondément ses dents. La veine jugulaire apparaît sur le côté et va jusqu’à son coeur. Et le chien sauvage saisit ce cerf, et il plante ses dents là-dedans, et ensuite il suspend son poids vers l’avant du cerf. Alors, ces crocs déchirent la gorge du cerf qui s’écroule ; ç’en est fini du petit animal, le sang gicle. Avant qu’il ne finisse à donner des coups de patte, une dizaine de chiens le dévorent jusqu’aux os.
C’est de cette manière que le diable procède. Quand l’un de vous enfants innocents sort, essaie comme Elvis Presley de laisser pousser ces longs favoris et une grande touffe de cheveux ressortant à l’arrière du cou, et vêtu d’un pauvre blouson.

36 Que Dieu bénisse cet homme qui, dans cette école il n’y a pas longtemps, a dit : « Je vais fermer cette école. Vous allez rentrer chez vous pour revenir habillés comme des gentlemen. » Amen.
Quand les gens s’habillent ainsi, qu’ils se comportent ainsi, c’est la racaille de la rue. Et cela n’est même pas convenable pour un bon citoyen, sans parler du chrétien.
Et certaines d’entre vous jeunes filles sortez dans la rue, et l’un de ces chiens sauvages vous siffle après, et vous plongez dans un tas d’habits scandaleux et sales, et peut-être votre maman à la maison prie pour vous… Et vous recevez ce qu’on appelle le sifflement admiratif. Et vous vous retournez avec ces petites lèvres toutes peintes, et «hi – hi ! », vous regardez tout autour. Vous ne vous rendez pas compte que c’est le loup en enfer qui vous poursuit. Tournez-vous une seule fois, et il va vous amener à une partie de rock-and-roll et ç’en est fini de vous.

37 A propos, comme je parle de ces visages fardés, vous femmes pentecôtistes vous n’aviez pas l’habitude de faire cela. Qu’est-il arrivé ? Je vous demande tout simplement. Qu’est-il arrivé ? Vous courriez bien, qu’est-ce qui vous a fait obstacle ? Votre chaire s’est-elle affaiblie ? Mettez alors cet homme-là dehors et prenez un pasteur qui prêche la vérité. Si votre dénomination vous abandonne, allez dans une autre dénomination. Certainement.
Ecoutez, soeur, mon intention n’est pas de vous blesser. Je viens juste de rentrer de l’Afrique et des pays païens. C’est… c’est une caractéristique païenne. Les Hottentots en – d’Afrique, c’est de là que vient le maquillage, des païens. C’est un signe du paganisme. Et Dieu condamne cela. Dieu ne cherche pas un joli visage ; c’est une belle âme qu’Il cherche.
Et, écoutez, il y a eu dans la Bible une femme qui se fardait le visage, et elle s’appelait Jézabel. Et Dieu l’a donnée en pâture aux chiens. Vous pouvez donc comprendre ce que représente aux yeux de Dieu une femme au visage fardé ; c’est de la viande pour chiens. Là, c’est juste. Je ne dis pas cela pour plaisanter. C’est la vérité. Vous pouvez tout simplement voir cela, Dieu a des appâts pour chien, qui se promènent là.
Et les loups de l’enfer (vous vous faites vous-même un appât, afin qu’ils vous sifflent), ils dévorent vos os au point que vous n’êtes rien de plus qu’une prostituée de la rue. Quand bien même vous pourriez mener une vie aussi pure que possible envers votre mari, vous répondrez pour avoir commis adultère au jour du jugement.
Et vous fils de Dieu qui laissez vos femmes faire de telles choses, honte à vous. Je ne pense pas qu’il y ait grand-chose en vous comme homme. On n’évalue pas un homme par la largeur et la robustesse de ses épaules ; ça, c’est une brute. On évalue un homme par son caractère. J’ai vu des hommes qui pesaient deux cents livres [environ 90 kg – N.D.T.] et qui avaient des muscles comme l’une de ces mules qu’on a ici, et qui n’avaient rien de plus en eux comme homme que d’arracher un bébé des bras de sa mère pour violer celle-ci. Ça, c’est une brute. Un homme, c’est le caractère. Que Dieu nous vienne en aide.
Cette soif là-dedans, c’est pour Dieu et non pour le monde. Que Dieu soit miséricordieux !

38 Si donc ce petit cerf est rapide, et que le loup l’attrape… S’il n’arrive pas à l’attraper par l’oreille et à la traîner quelque part… (Il va l’amener à s’arranger et à s’habiller d’une certaine façon.), et l’autre prise du loup, c’est de saisir le petit cerf par le flanc. S’il rate la gorge, la veine jugulaire, la mise à mort rapide (une cigarette, ou un verre de whisky ou le rock-and-roll), il l’attrape par le flanc, et alors il se jette dessus. Et c’est là le point de l’équilibre du cerf. Les arrière-trains sont plus lourds que les avant-trains, il peut donc projeter le cerf ; il n’a plus d’équilibre.
Eh bien, si le petit cerf est rapide, qu’il se ressaisisse, qu’arrive-t-il ? Elle peut se projeter de telle façon que le loup arrachera toute une bouchée de son flanc. C’est ce dont David parlait. Elle se sauve. Alors elle est toute saignante, elle est blessée. Elle a été à un réveil. Et elle rentre blessée.

39 Et tout chasseur sait que s’il blesse un cerf, et si ce dernier parvient à atteindre l’eau, il ne l’attrapera jamais. Il court tout droit vers l’eau. Je l’ai observé plusieurs fois. Il va boire et puis monter en courant pour essayer d’échapper aux chiens, puis revenir. Et il ne quittera jamais ce ruisseau. Du moment qu’il peut trouver l’eau, il vivra. Mais s’il n’arrive pas à trouver l’eau, il mourra quelques minutes après. C’est la raison pour laquelle David a dit : « Comme une biche soupire après des courants d’eau, mon âme a soif de Toi, ô Dieu ! »

40 Représentez-vous cela. Il doit trouver l’eau ou mourir. Observez, ses petites oreilles sont dressées, son coeur bat vite, [son souffle de vie] sort de ses narines. Avec tout ce qu’il a : « Oh ! oh ! où es-tu ? Où est l’eau ? » Tandis qu’il entend la meute hurler, il lui faut atteindre l’eau, sans quoi il meurt.
Béni soit le Nom du Seigneur Dieu. Quand l’Eglise en arrivera à ce point où elle doit trouver Christ ou mourir, vous verrez un réveil éclater dans le pays, mais pas avant, pas avant ce moment-là.
Oh ! ce que Dieu désire faire avec Son Eglise ! Il nous envoie des dons ; Il nous envoie des prodiges; Il nous envoie un réveil; mais nous, nous entrons tout droit dans le monde en sommeillant. Sortez, vous qui êtes dispersés.

41 Il y a quelque temps j’étais en Inde. Et le jour qui a précédé mon arrivée là-bas… (J’ai un article d’un journal.) Quand je suis arrivé, il y avait eu la veille un grand tremblement de terre. Et avant que ce tremblement de terre ne se produise, savez-vous ce qui s’est passé ? Tout…
Eh bien, en Inde, il n’y a pas de clôture comme vous en avez dans le Tennessee ; ils ont des clôtures faites de grosses pierres. Et tous le bétail et les moutons s’étaient éloignés de ces grandes clôtures, et étaient allés au milieu du champ juste au moment le plus chaud de la journée, et ils s’étaient tenus là. Tous les petits oiseaux, qui avaient leurs nids dans les petites fentes de ces clôtures et sur ces murs gigantesques, avaient quitté leurs nids et étaient allés dans la forêt pour se percher dans les arbres. Qu’est-ce qui a fait cela ? Et ils sont restés là jusqu’à ce que le tremblement de terre était terminé. Autrement, ils auraient péri le long de ces murailles et de ces grandes tours.
Et, frère, soeur, laissez-moi dire ceci maintenant : si Dieu a pu donner l’instinct à un oiseau pour fuir le danger qui venait, Il peut certainement donner cela à l’homme. Le danger est imminent. Eloignez-vous de ces énormes et vieilles histoires froides, ces histoires formalistes et empesées du monde. Sortez et fuyez vers le centre du salut de Dieu, Jésus-Christ, le Fils du Dieu vivant, et là, implorez miséricorde, car la destruction est imminente.

42 Quand vous voyez des réveils et tout se produire comme c’est le cas maintenant, souvenez-vous tout simplement, la destruction vient. Jésus Lui-même a dit : « En ce jour-là où le Fils de l’homme se révélera du ciel… » Il se révèle maintenant avec miséricorde à Son Eglise. La prochaine fois qu’Il se révèlera, ce sera pour juger ceux qui L’auront rejeté.
« Mon âme a soif de Toi, ô Dieu. Je désire voir Ta puissance, telle que je l’ai contemplée dans Ton sanctuaire. » Le véritable et authentique serviteur de Dieu a faim et soif de Dieu. Au premier mouvement de l’Esprit, son âme bondit pour s’en emparer.

43 Mais ceux qui sont très indifférents, ils voient Dieu accomplir des miracles et faire des choses comme quand Il était ici sur terre, l’Evangile être prêché, et ils restent assis là et mâchent leur chewing-gum, refont leur maquillage, disent : « Ouais, je pense que c’est juste. » Comment pouvez-vous échapper au châtiment de la colère de Dieu ?
Oh ! vous dites que vous avez parlé en langues. Satan aussi le fait. Je ne suis pas contre le parler en langues. Je sais qu’il existe un véritable parler en langues, et il en existe un faux. Ne laissez pas le diable vous séduire.
Vous dites : « Eh bien, j’ai crié et j’ai dansé dans l’Esprit. » J’ai vu des sorciers faire la même chose en Afrique et boire du sang dans un crâne humain. Ne pensez pas que vous L’avez pour autant.
Quand votre vie est en accord avec Christ, c’est alors que vous L’avez. « C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. » Et les fruits de l’Esprit, c’est l’amour, la joie, la paix, la patience, la bénignité, la douceur, la bonté, pas les rancunes, les disputes, les bagarres, les histoires et les discussions.
Voyez où vous aboutissez en agissant comme le monde, en vivant comme le monde, et la Venue du Seigneur est proche… Que Dieu soit miséricordieux, mes enfants. Etanchez cette soif ce soir avec Christ. Combien l’église est devenue froide, combien elle s’est refroidie ! Mais cela est conforme aux Ecritures ; elle est censée être comme cela.

44 Il y a quelques années, ici dans le Sud, à l’époque où l’esclavage était légal, les gens allaient çà et là, et il y avait des courtiers qui achetaient des esclaves juste comme vous achetez des voitures aujourd’hui, dans leurs parkings de voitures. Vous allez acheter une voiture et vous l’amenez pour la vendre à un autre parking de voitures d’occasion ; c’est ce qu’on faisait des esclaves il y a des années. Et des courtiers passaient et achetaient ces esclaves.
Et un jour, un courtier est passé dans une certaine plantation. Et on y vendait ces esclaves venus de l’Afrique, et ils étaient… Ils pleuraient ; ils – ils ne voulaient pas travailler ; ils étaient loin de chez eux. Ils ne rentreraient plus jamais ; ils ne reverraient plus jamais leurs bébés. Ils ne reverraient plus jamais papa et maman. Ils étaient amenés en plein ici de l’autre côté de la mer par un vieux navire en bois. Ils ne retourneraient plus jamais dans leur patrie. Alors, le propriétaire était obligé de les gronder ou de les fouetter pour les faire travailler.
Et un jour, cet acheteur est passé ; il a dit : « J’aimerais jeter un coup d’oeil sur vos esclaves. »
L’homme a dit : « Allez-y. »
Et il a vu les différents esclaves, certains très costauds, d’autres petits et ainsi de suite. Comment ils devaient… quelqu’un était là pour les faire travailler.
Et il y avait là un certain jeune homme qu’on n’avait pas besoin de pousser à travailler : il avait les épaules redressées, le menton relevé : « Oui, certainement. » Tout ce qu’on voulait que ce soit fait, il le faisait. On n’avait pas besoin de le fouetter ; il s’y mettait carrément et le faisait.
L’acheteur d’esclaves a dit : « Je voudrais acheter cet esclave-là. »
Et le propriétaire a dit : « Mais il n’est pas à vendre. »
Il a dit : « Je n’ai jamais vu un tel esclave, de tous ceux que j’ai achetés, je n’en ai jamais vu un se comporter comme cela auparavant. » Il a dit : « L’avez-vous déjà grondé ? »
Il a dit : « Non, monsieur. Il est toujours à la hauteur. C’est le meilleur esclave que j’aie jamais possédé. »
Il a dit : « Je vais vous dire ce que vous avez fait, vous en avez fait le chef des autres. »
L’autre a dit : « Pas du tout, c’est un esclave comme les autres. »
Il a dit : « Eh bien, alors, peut-être que vous le nourrissez un peu mieux que les autres. »
L’homme a dit : « Non, non ; il mange à la cantine avec les autres esclaves, juste comme eux tous. »
Il a dit : « Eh bien, qu’est-ce qui le rend si différent des autres ? »
L’homme a dit : « Je m’étais moi-même souvent demandé cela jusqu’au jour où j’ai découvert que là dans la patrie d’où ils viennent, il est le fils du roi. Son père est le roi de la tribu. Et bien qu’il soit un étranger et loin de chez lui, il sait toujours qu’il est un fils de roi. Il se comporte comme un fils de roi. »

45 Dieu Tout-Puissant, sois miséricordieux. Bien que nous soyons des étrangers dans ce monde ténébreux de péché et de souffrance, nous devrions nous comporter comme des fils et des filles de Dieu, et nous ne sommes pas comme les rois du monde. Notre Père est le Roi. Qu’avons-nous à nous soucier du domaine du diable ? Comportons-nous comme des fils et des filles de Dieu, acceptant Sa Parole et appelant tout ce qui est contraire comme n’existant pas. Vivons, agissons, habillons-nous, parlons, chantons et crions, et aimons le Seigneur, et agissons comme le Seigneur en croyant Sa Parole. Nous sommes des fils et des filles du Vrai et Vivant Roi du Ciel, le Dieu Tout-Puissant. « Mon âme a soif de Toi dans une terre aride, desséchée, sans eau. » Pensez-y alors que nous inclinons la tête juste un instant.

46 Ecoutez, chrétien, chrétienne. Depuis que vous êtes venu à Christ, vous comportez-vous comme le doit un chrétien ? Vous êtes-vous enfermé dans une petite dénomination en disant : « Moi et mon petit groupe, nous croyons cela comme ceci. Nous n’aurons rien à voir avec ça, ni rien à voir avec ceci ou cela. » ? Oh ! que Dieu parle à votre âme ce soir. Que pouvons-nous faire ? L’heure vient où vous allez implorer pour avoir ceci, et vous ne trouverez pas cela.
Ami pécheur qui êtes loin de Dieu, jeune femme, jeune homme, vous rendez-vous compte que vous cherchez à étancher cette soif que Dieu vous a donnée pour que vous ayez soif de Lui, et vous étanchez cela avec les plaisirs du diable ? Moïse quitta l’Egypte où il allait devenir Pharaon d’Egypte, regardant l’opprobre de Christ comme une richesse plus grande que les trésors de l’Egypte. Oh ! et il se montra ferme, comme voyant Celui qui est invisible.
Ôtez ces vêtements, madame ; portez des choses décentes. Laissez pousser vos cheveux et lavez-vous le visage. Vous, hommes, apprenez à être des hommes, vous qui vous promenez avec un paquet de cigarettes en poche, et vous faites partie du conseil de diacres, avec des cigares, prenant un petit verre amical, restant à la maison pour regarder la télévision, lavant votre voiture le dimanche, au lieu d’aller à l’école du dimanche, n’avez-vous pas honte ?

47 Bien-aimé Père céleste, ô Dieu, ce n’est pas mon intention d’être rude, mais que puis-je faire quand mon âme crie, ô Seigneur ? Je pense à la différence entre aujourd’hui et juste quelques années avant, quand j’étais ici à Chattanooga : quelle déchéance ! quelle différence ! Et mon esprit est attristé. Seigneur, maintenant il ne reste que deux soirées de réunions, et le petit auditoire qui était rempli, mille cinq cents s’en sont allés, et maintenant quelque chose s’est produit. [Espace vide sur la bande – N.D.E.]

48 Quand l’Esprit de Dieu vient, révèle et manifeste Sa Présence, les gens restent tout aussi tranquilles, et ils ne semblent jamais émus devant Ton Esprit qui descend…?... L’avidité, l’égoïsme, des prédicateurs qui se battent, et… Oh ! Seigneur, quelle condition ! Aie pitié, ô Dieu. Que pouvons-nous faire, Seigneur ? Des hommes et des femmes qui ne veulent pas se parler à cause des différends dénominationnels… Aie pitié, ô Dieu.
Nous prions, ô Seigneur, que par cet appel-ci, leurs âmes qui peuvent se souvenir du premier temps, qui peuvent lire la Bible et comprendre que Dieu est dans Son sanctuaire, que leurs âmes aient tant soif d’être comme cela, Seigneur, et de voir Ta grande puissance être de nouveau manifestée. Accorde-le, Seigneur.
Des hommes et des femmes ici sont devenus si froids et si indifférents qu’ils semblent vraiment penser que tout va bien pour eux. Secoue leurs âmes ce soir, Seigneur, et puissent-ils sentir la brise provenant de nouveau d’un ruisseau rafraîchissant de paix, qu’ils soupirent et satisfassent leur soif, et T’abandonnent de nouveau leur vie, Seigneur. Eveille-les comme l’aigle éveille sa couvée. Rends ce nid si inconfortable pour eux qu’ils seront désireux, peu importe ce qui se met ici, qu’ils seront désireux de venir, de lever leurs mains vers Toi et de dire : « Lave-moi, ô Seigneur, et éprouve-moi. S’il y a quelque chose de faux en moi, ôte-le et purifie-moi, ô Dieu, alors que c’est le temps de la purification, pendant que la Fontaine est ouverte. » Accorde-le, Seigneur.

49 Et pendant que nous sommes assis en prière et que chaque tête est inclinée, je ne sais pas combien d’entre vous, ainsi que vous tous, amis pécheurs, voudraient lever la main vers Christ et dire : « Aie pitié de moi, ô Dieu ; je lève mes mains. » Levez la main, je vous prie. Que le Seigneur vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. A ma droite, en haut aux balcons, levez la main, là-haut, ami pécheur, dites : « Je renonce maintenant au péché ; j’accepte Christ. J’ai dit adieu au péché. »

50 Aux balcons, vers l’arrière, au balcon vers la gauche, levez la main. Que Dieu vous bénisse. Y a-t-il quelqu’un ici dans la partie centrale ? Levez la main, dites : « Aie pitié de moi, ô Dieu, je – je… » Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. « Je comprends maintenant mon erreur. J’ai essayé de fréquenter les salles de billard, Frère Branham. J’ai tout essayé. J’ai adhéré à l’église ; j’ai tout fait, et rien ne satisfait. Je voudrais arriver à ce point où je peux avoir Christ comme ma Portion qui satisfait et où Il me rendra en retour témoignage de la chose, en me remplissant de Son Esprit. Je L’accepte maintenant. Je veux qu’Il le fasse ce soir. »

51 Y a-t-il encore une ou deux mains avant que nous allions plus loin ? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Quelqu’un d’autre ? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, madame. Quelqu’un d’autre ? « Aie pitié de moi, ô Dieu », dites-vous. Quelque part dans la salle, avant que nous terminions. Que Dieu vous bénisse, madame. Quelqu’un d’autre, juste avant que nous ne terminions maintenant.
Je vais vous demander, à vous les rétrogrades qui reconnaissez avoir mal agi, n’avez-vous pas honte là même, de partir ? Vous allez mourir. Y a-t-il quelque chose en vous, juste la plus faible petite voix qui parle quelque part, disant : « Viens à Moi, Mon enfant. Tu ne peux pas mourir dans cet état. Si cela t’arrive, tu sais que tu seras condamné » ?

52 Voulez-vous lever la main et dire : « Ô Dieu, je lève maintenant mes mains vers Toi, en disant : ‘Aie pitié de moi ; je veux retourner à la maison, ô Dieu, dès ce soir. Je désire être satisfait et avoir ce sentiment agréable que j’avais, ainsi que cette véritable adoration et cette véritable communion où j’aimais lire la Bible et aller à l’église et chanter les vieux cantiques. Je désire avoir de nouveau cela.’ » ? Voulez-vous juste lever vos mains ? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Il faut être un vrai homme pour faire cela, frère. Et j’ai confiance dans un homme qui a commis une erreur et qui est disposé à confesser qu’il a tort.

53 Maintenant, à vous, groupe de chrétiens, vous hommes et femmes qui essayez de satisfaire cette sainte soif avec les choses du monde, si vous avez un vrai principe chrétien et êtes coupables, voulez-vous lever la main vers Dieu et dire : « Ô Dieu, aie pitié de moi. Dès ce soir, je change mes voies » ? Levez la main. Que Dieu vous bénisse. C’est comme ça ; c’est comme ça qu’il faut faire. Amen.
Vous, au balcon de droite, levez la main. Allez-y ! chrétien. Que Dieu vous bénisse, là-haut. C’est juste. Mon ami, je vous fais vraiment, vraiment confiance. Au fond du balcon. Que Dieu vous bénisse, c’est bien. Au balcon de gauche, levez la main. Dites : « Désormais… » Que Dieu vous bénisse. « Dieu a parlé à mon coeur. » Que Dieu vous bénisse ; c’est juste : il y a des dizaines de mains partout.
« J’ai honte de ma vie, j’ai mal agi ; je sais que j’ai tort, Frère Branham. Je n’aurais pas dû faire cela. »

54 Combien ici, qui n’ont jamais reçu le Saint-Esprit, désirent que le Saint-Esprit vienne à vous maintenant pour vous bénir, et vous donner… Vous avez connu des hauts et des bas, des hauts et des bas, c’est comme si vous – vous n’avez été sur le toit que pour quelques heures, et puis le jour suivant vous êtes en bas dans un dépotoir, comme on l’appelle. Vous – vous ne semblez donc jamais conserver la victoire, vous n’avez qu’une vie entre les deux. Dieu ne veut pas que vous soyez ainsi. Il veut que vous soyez tout le temps plein de Sa grâce et de Sa puissance. Dieu dispose de cela pour vous. Si vous voulez accepter cela en levant simplement les mains et en disant : « Ô Dieu, Tu vois ma main. » Mon ami, que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, oui, oui, juste partout. Levez la main et voyez ce que cela a comme effet. Que cela vienne de vos coeurs. Que Dieu vous bénisse, c’est juste. Que Dieu vous bénisse. Partout au balcon, je vous regarde. Certainement, Dieu vous voit, si moi, je ne vous vois pas. Que Dieu vous bénisse, monsieur. C’est bien.
Oh ! Dieu bénisse votre âme. Ce dont Chattanooga a besoin, ce dont le reste du monde a besoin, c’est d’un réveil.

55 Est-ce tout ? Le Saint-Esprit n’a-t-Il parlé que si… encore quelques-uns ? Ne Le laissez pas passer. Vous savez, demain peut être trop tard. Peut-être que vous ne serez pas en mesure de le faire demain. Voyez-vous, vous vous êtes – vous vous êtes détourné à cause des disputes en-… entre les églises, les dénominations, les gens, et – et tout le luxe du monde.

56 Le peuple américain aime se divertir. Ils ne veulent plus de l’Evangile ; ils veulent des divertissements. Et le diable leur a donné tout ce qu’il peut, il les a tout simplement entraînés partout dans n’importe quoi. Et ils n’ont plus soif de Dieu.
Tous les enfants dans ce pays… Quatre-vingt-quinze pour cent des enfants de Chattanooga peuvent vous en dire plus sur David Crockett qu’ils ne le peuvent sur Jésus-Christ. Quatre-vingt-quinze pour cent de femmes peuvent vous en dire plus sur Arthur Godfrey ou sur Elvis Presley qu’elles ne le peuvent sur Jésus-Christ. Pensez-y. Pensez-y. Ne pouvez-vous pas voir que ç’en est fini de ce pays?
Fuyez, chrétien. Il y a une fontaine ouverte. L’eau n’est pas loin. La vie se trouve à proximité. Fuyez-y vite. Buvez, buvez, buvez jusqu’à ce que vous ne soyez plus en mesure de boire. Dieu va étancher cette soif. Que Dieu vous bénisse. Maintenant je vais prier pour vous.

57 Seigneur Dieu, après ce petit message haché de ce soir, plus de cent cinquante mains ou plus, deux cents, se sont levées pour montrer qu’ils soupirent et ont besoin de Te servir. Beaucoup sont des rétrogrades, beaucoup vivent dans le péché, et ils ne veulent plus de cela, ils désirent quelque chose de plus élevé. Ils désirent venir à la Fontaine ce soir. Ils ont été mordus par les meutes de l’enfer ; ils ont été ballottés à tout vent de doctrine. Mais ce soir ils désirent venir à Christ, à la portion satisfaisante que Dieu leur a donnée. Accorde-le maintenant même pendant que nous nous attendons à Te voir apparaître sur la scène.
Viens, Seigneur ; que cet auditoire sache que Tu es ici, que Tu es disposé, que le message est donné à cause d’eux, pas par préjugé, mais purement à partir des Ecritures et par un coeur qui aime Dieu et Son peuple. Ecoute, ô Seigneur. Nous Te les confions au Nom de Jésus. Amen.

58 Soyez vraiment respectueux un moment. Ne vous fâchez pas contre moi pour avoir prêché sans détour. Vous pourriez être en désaccord avec moi, mais lisez votre Bible. Le message de la guérison divine est merveilleux. Mais la guérison divine, c’est juste quelque chose pour attirer votre attention.
Même si vous êtes guéri – la guérison divine, vous pouvez retomber malade. Lazare a été ressuscité des morts et il mourut encore. Un médecin peut vous guérir de la pneumonie en vous administrant la pénicilline, ou en tuant les microbes qui sont en vous, et vous déclarez sain et en bonne santé le lendemain. Et lundi vous pouvez mourir de la même pneumonie. Certainement.
Mais quand vous êtes sauvé, c’est différent. Vous avez la Vie Eternelle, la Vie qui dure à toujours. Vous n’avez pas la bonne santé pour toujours, mais vous avez la Vie qui dure à toujours. Acceptez Cela ce soir, mes amis.

59 A présent, soyons respectueux juste un moment. Juste pour que vous sachiez, ces jeunes chrétiens et ceux qui sont revenus à Christ, avant que nous ne fassions un appel à l’autel, pour que vous sachiez que le Saint-Esprit est ici, nous allons prier pour les malades. Mais je voudrais que vous soyez respectueux juste un moment.
Je ne peux pas faire cela ; il est trop tard.
Très bien, combien ici n’ont pas de cartes de prière et veulent que Dieu les guérisse ? Levez la main juste un instant. Très bien, soyez respectueux.

60 Si le Saint-Esprit, comme je vous ai enseigné la vérité… Certainement, quand Christ était ici sur terre, Il s’est identifié en disant à Pierre son nom, en disant aux Juifs, lorsqu’ils venaient, à Nathanaël, le lieu où on l’avait trouvé, sous l’arbre, avant qu’il ne vienne. Il a dit à la femme au puits son péché ; et chaque fois qu’Il faisait cela, les gens reconnaissaient que c’était le Messie. Est-ce juste ? Combien savent que c’est la vérité ?
Mais vous ne trouverez jamais une Ecriture où Il a fait cela devant les Gentils. Il a dit : « N’allez pas vers les païens, car leurs jours ne sont pas encore accomplis, certaines choses ne se sont pas encore accumulées ; ils ont un jour de grâce. » C’est ce jour-ci. Quand Il a fait cela autrefois, les gens ont dit : « C’est un diseur de bonne aventure, un Béelzébul. »
Jésus a dit : « Si vous dites cela de moi… »
Qui disait cela ? Les grands chefs religieux, de saints hommes renommés. Jésus a dit : « Votre Père… Vous êtes de votre père le diable. » Et Il a dit : « Si vous dites cela de Moi, Je vous pardonnerai. Mais quand le Saint-Esprit sera venu, et qu’Il fera la même chose (en d’autres termes), un seul mot contre Lui ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.

61 Il se peut que je ne vous revoie plus jamais, c’est peut-être la dernière fois que je suis à Chattanooga. Nous sommes très proches de la fin ; je vais outre-mer. Un miracle qui est accompli dans cette série de réunions, un miracle de discernement qui s’accomplit…
J’ai vu une fois où cela s’est produit, et trente mille purs païens ont accepté Christ. J’ai fait une seule prière, et vingt-cinq mille personnes se sont levées, des estropiés, des boiteux, des aveugles, et elles étaient guéries. Et le lendemain matin, sept camions chargés de béquilles et de tout descendaient les rues de Durban, en Afrique du Sud, et les gens suivaient derrière en chantant : Crois seulement…
« Oh ! mais bien sûr, nous sommes membres de certaines églises. Nous nous gardons bien de cela. » Allez de l’avant. C’est comme ça, allez tout simplement de l’avant. La Bible de Dieu est tenue de vous le dire. Mais vous avez des obligations vis-à-vis de ce que vous dites et de ce que vous faites à ce sujet.

62 Si Christ, le Fils de Dieu que je sais être présent maintenant, si Son Esprit… Combien ont assisté auparavant aux réunions et L’ont vu faire cela ? Faites voir vos mains, partout dans le bâtiment, n’importe où. Certainement.
Si Christ, le Fils de Dieu… Il a promis que nous ferions aussi les choses qu’Il a faites.
La femme a touché Son vêtement et Il s’est retourné, Il a dit : « Qui M’a touché ? » Il ne savait pas. Il n’aurait pas dit cela s’Il le savait.
Et on L’a repris en disant : « C’est tout le monde qui Te touche. »
Il a cherché des yeux jusqu’à ce qu’Il a trouvé qui c’était, et Il a dit à la femme quelle était son problème, et elle fut guérie. Combien savent que c’est la vérité ? Certainement.
La Bible dit qu’Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités maintenant même. Si donc Il est présent… Et si cette partie de la Bible est vraie, le reste est vrai.
Vous qui n’avez pas de cartes de prière… Vous autres qui avez des cartes de prière, nous allons vous appeler demain soir, peut-être tout votre groupe. J’ai besoin de ceux qui n’ont pas de cartes de prière. Regardez par ici et croyez. Combien là-bas savent que je vous suis inconnu et que je ne sais rien de vous. Levez la main, n’importe où, peu m’importe qui vous êtes. Très bien, croyez.

63 Je ne dis pas qu’Il va le faire ; je crois qu’Il va nous en donner au moins trois comme confirmation.
Qu’est-ce ? Je m’abandonne tout simplement au Saint-Esprit. Votre foi touche Christ ; Christ se retourne et utilise tout simplement ma voix pour vous parler.
Il a dit : « Je suis le Cep ; vous êtes les sarments. » Savez-vous cela ? Saint Jean 15. C’est donc le sarment qui porte les fruits, pas le cep. Le cep donne tout simplement la vie au – au sarment. Et si c’est une citrouille, cela donnera des citrouilles. Si c’est une pastèque, cela donne des pastèques. Si c’est une vigne, cela donne des raisins. Si c’est Christ, Il produit Christ. Si c’est une certaine théologie raide et empesée comme les gens en ont eu là autrefois, c’est ce que cela produira. Mais si c’est Christ, Il produit Christ.
Croyez-vous de tout votre coeur ? (Observez maintenant lorsque trois…?... comme une avant-première, attirer mon attention). Moi, je ne peux pas y arriver, vous, vous le pouvez. Regardez à Christ, le Souverain Sacrificateur et dites : « Ô Christ, soirée après soirée j’ai compris et j’ai vu ces choses s’accomplir. Maintenant, cet homme ne me connaît pas. Je Te prie de me parler simplement, Seigneur, je suis malade. J’ai besoin de Toi. Et juste pour confirmer que Tu es ici, je vais croire en Toi de tout mon coeur. » Croyez tout simplement de tout votre coeur maintenant et voyez si Dieu va vous l’accorder.

64 Une dame est assise ici, elle me regarde, juste ici derrière, elle vient de bouger la tête il y a juste un moment. Oui, madame, vous qui avez donc bougé la tête. Avez-vous une carte de prière ? Vous n’en avez pas. Si Dieu me révèle votre problème, allez-vous croire en Dieu ? Vous êtes malade ; vous voulez qu’on prie pour vous, n’est-ce pas ? Vous avez prié avant de partir de chez vous pour que vous puissiez être dans la ligne de prière. Et quand j’ai parlé de cela il y a un instant, vous vous êtes dit dans votre coeur : « Je Te demande, ô Dieu, de permettre qu’il m’appelle. » Si c’est juste, levez la main. Très bien, vous souffrez de l’estomac. Si c’est juste, tenez-vous debout. Vous – vous n’avez pas de carte de prière. Nous ne nous sommes jamais rencontrés de la vie ; nous ne nous connaissons pas. Si c’est juste, levez la main. Très bien, vous pouvez rentrer chez vous maintenant ; vous êtes guérie.

65 Je vous demande tout simplement de croire en Dieu. Et certains de vous autres par ici, allez-vous croire ? Si tu peux croire, tout est possible.
La petite dame assise juste là derrière, au bout de la rangée, vous avez mal à la colonne vertébrale, madame. Juste ici, croyez-vous ? Avez-vous une carte de prière ? Vous avez une carte de prière. Eh bien, pas du tout, je n’en ai donc pas besoin, votre carte de prière. Le petit garçon est guéri de toute façon, allez donc tout simplement de l’avant. Vous n’aurez pas besoin d’entrer dans la ligne de prière.
Quelqu’un d’autre, quelque part, je défie votre foi. (Ça fait deux ou trois ?) Ô Dieu, permets que nous en ayons encore un. Trois, c’est la confirmation.

66 Qu’avez-vous à vous pointer du doigt, monsieur ? Vous êtes aussi malade, vous qui êtes assis là, l’homme qui pointe du doigt sa poitrine, avez-vous une carte de prière ? Vous n’en avez pas. Vous et moi, nous ne nous connaissons pas. Je pense que c’est la première fois que nous nous rencontrons. Dieu nous connaît tous deux. S’Il me révèle votre problème, allez-vous croire que je suis Son serviteur ? Vous allez le faire ? Vous souffrez du diabète sucré. C’est juste. Vous ne venez pas de cette ville ; vous venez d’Atlanta, en Georgie. Vous vous appelez monsieur Adams. C’est vrai. Très bien, rentrez chez vous et soyez en bonne santé, si vous croyez cela.
Croyez-vous en Dieu ? Croyez-vous que Sa Présence est ici ? Alors, vous qui voulez que Dieu soit dans votre vie, montez ici à l’autel. Je voudrais vous demander quelque chose juste une minute avant que vous ne le fassiez. Prions ; inclinez la tête. Maintenant, c’est le moment pour être guéri, peu importe ce que vous avez. Je désire que vous fassiez cette prière après moi ; dites la même chose que moi.
Dieu Tout-Puissant, Créateur du ciel et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, Donateur de tout don excellent, envoie-moi Ta miséricorde, par Ton Fils Jésus. Je crois maintenant au travers de la prédication de la Parole, au travers de l’oeuvre de l’Esprit, je crois que Christ est ici. Je L’accepte maintenant comme mon Guérisseur. Je vais Te servir, Seigneur, tant que je serai en vie. Et je Te promets, à partir de ce soir, j’accepte ma guérison et j’appelle ces choses qui sont comme si elles n’étaient pas, car je crois Ta Parole. Aide-moi, Seigneur, au Nom de Jésus.

67 Maintenant, restez tout simplement enfermé. Restez tout simplement enfermé ; continuez à prier. Ce – c’est votre prière. Etiez-vous sincère ? Si vous étiez sincère, vous allez voir arriver dans une minute quelque chose, que vous n’avez jamais vu auparavant. Sa Présence est ici. Maintenant, je vais prier pour vous ; vous, continuez à prier. Maintenant, continuez… « Seigneur, Tu entres. Je commence à me sentir mieux. Je crois que le Saint-Esprit est ici. Quelque chose est en train de m’arriver. » Je vais prier pour vous.

68 Seigneur Dieu, il est écrit dans la Parole…?... « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. » Il est aussi écrit : « Si tu dis à cette montagne : ‘Ôte-toi de là’, et si tu ne doutes point en ton coeur, mais crois que ce que tu dis arrive, tu le verras s’accomplir. »
Seigneur, cela fait vingt-sept ans durant que j’ai essayé de Te servir partout dans la nation et à travers le monde. Si j’ai trouvé grâce à Tes yeux, Seigneur, voyant ces gens ce soir après une prédication très dure et très sévère qui les a réprimandés, mais étant donné que leurs humbles coeurs se repentent, manifeste une fois de plus Ta Présence devant ce peuple, Seigneur. Et révèle-leur, même après que Tu t’es identifié parmi nous, que Tu n’es pas un Christ mort, ni Quelqu’un sur une croix, mais Celui qui est dans le coeur, qui est ressuscité des morts et qui est vivant aux siècles des siècles. Béni soit Ton saint Nom. Je Te prie de guérir chaque personne qui est dans Ta divine Présence.
Et je défie le diable au Nom de Jésus. Il ne peut pas défier la Parole de Dieu, car la Parole de Dieu t’a pris au piège, Satan, et tu es dépouillé de tous les droits que tu aies jamais eus. Quand Jésus est mort au Calvaire, Il nous a donné les clefs du Royaume, et tu n’as plus aucun droit légal sur nos corps. Et nous t’adjurons au Nom de Jésus-Christ de quitter chaque malade ici, chaque estropié, chaque aveugle, chaque sourd, chaque boiteux, chaque malade, tout le monde : va-t’en. Je te somme de partir au Nom de Jésus.
Restez enfermé. Soyez sincère.

69 J’espère avoir trouvé grâce dans Ton coeur. Gardez la tête inclinée, les amis. Je suis votre frère, et je vous dis la vérité. Christ, le Fils du Dieu vivant, est dans cette salle. Voilà la Lumière suspendue tout près. En dessous d’Elle, il y a un peu de ténèbres, représentant un peu de doute, un peu de superstition. Oh ! si seulement nous pouvions étendre la main par la foi maintenant, toucher ce vêtement qui pend si près de vous… Faites-le à l’instant. Vous avez confessé que vous le feriez. Croyez cela.
Je veux que la première personne qui était sourde, muette, aveugle ou estropiée, quelqu’un qui ne pouvait pas bouger la main, peut-être que vous ne pouviez pas bouger la main, je veux que vous commenciez à la bouger. Vous dont un oeil ne voyait pas, ou un oeil, regardez, voyez-vous, vous voyez maintenant. Vous dont une oreille n’entendait pas, placez le doigt dans votre oreille qui est en bon état.

70 Ecoutez, la première personne d’entre vous qui sent que Dieu l’a guérie, je désire que vous veniez ici à l’estrade pour témoigner et le dire aux autres.
Si quelque chose n’allait pas… Si vous ne pouviez pas bouger la main, bougez-la. Bougez-la ; au Nom de Christ, bougez-la. Eprouvez votre foi. Si vous pouvez la bouger, levez-vous et venez ici. Si vous ne pouviez pas entendre et que vous entendiez maintenant, levez-vous et venez ici. Si vous souffriez d’un mal de tête et que cela est parti, levez-vous et venez ici. Si vous souffriez de l’estomac et que la maladie a quitté pour vous… vous a quitté, levez-vous et venez ici.
Voici maintenant une dame qui vient rendre témoignage. C’est comme ça. Montez et rendez gloire à Dieu. A-t-Il fait cela ? Partout. Vous tous les derniers, le croyez-vous réellement ? Vous avez dit que vous croyez. Maintenant, voyez si c’est le cas. Christ tient Sa Parole.
Quelqu’un d’autre qui ne pouvait pas entendre, ou quelque chose comme ça, montez. C’est juste, madame, levez-vous. Venez, quelqu’un d’autre maintenant. C’est juste. Vous ne pouviez pas marcher, montez maintenant. Si vous ne pouviez pas parler, montez maintenant témoigner juste ici. Vous pouvez le faire. Vous n’avez pas peur, n’est-ce pas ? Avez-vous peur de mettre Christ à l’épreuve ? Qu’est-ce qui n’allait pas chez vous ? Si vous êtes guéri, levez-vous. Levez-vous vous-même ? Montez ici et témoignez pour la gloire de Dieu. Accordez à Dieu une possibilité pour – pour vérifier. C’est juste. Venez. Le voyez-vous venir ? Vous vous levez, vous dites : « Oh ! je n’y arrive pas. » Essayez cela maintenant. C’est comme cela. Vous ne pouviez pas lever la main, levez-la. Si vous ne pouviez pas parler, criez : « Alléluia ! » Prouvez que vous croyez en Lui.

71 Etes-vous en train de bluffer ? Etiez-vous juste en train de taquiner Christ ? Christ doit tenir Sa Parole. Comment me suis-je tenu ici avec ce défi soir après soir, s’Il ne tenait pas Sa Parole ?
Regardez ici ; ils sont prêts à témoigner. Peut-être que certains étaient des sourds, d’autres des muets, d’autres des aveugles, je ne sais pas ce qu’était – était leur maladie. Quoi que fût votre maladie, venez, accordez une possibilité à Dieu. Témoignez. Levez-vous ; n’ayez pas peur ; n’ayez pas honte. Vous qui avez honte de témoigner, venez.
Pendant qu’ils viennent pour rendre témoignage de leur guérison, vous qui avez levé la main il y a un instant, voulant vous repentir et mettre votre vie en ordre, venez et tenez-vous ici juste une minute ; je veux prier pour vous. Avancez-vous carrément et montez par ici, vous qui avez levé la main tout à l’heure. Et vous qui savez que vous voulez venir remercier Dieu pour avoir ôté de vous la colère, pour avoir ôté de vous le monde, et que vous allez vous habiller différemment, que vous allez vous comporter différemment, que vous allez vivre différemment…?... Montez ici. Soyez sincère. Tenez-vous ici autour de l’autel.

72 Maintenant, je désire que vous regardiez ici. J’ai besoin de vous les ministres. Pouvez-vous voir ce qui déchire le coeur d’un prédicateur ? Pouvez-vous voir ce qui déchire le Saint-Esprit ? Quand les gens lèvent la main pour dire qu’ils vont le faire et qu’ensuite ils restent assis là et refusent de bouger. Que reste-t-il, sinon le jugement ?
Vous pleurerez un jour après que je serai parti. Souvenez-vous-en. Je parle au Nom de Jésus-Christ. Vous désirerez entendre ces choses, mais vous ne les entendrez plus jamais. Venez maintenant. Je vous invite au Nom de Christ.
Avez-vous eu honte de lever la main ? Alors vous ne feriez pas un bon chrétien pour commencer. C’est très rude. Mais, frère, il est temps que l’Evangile… Otons les gants de chevreau et disons la vérité. Christ est ici ; Il est ressuscité des morts. Il est présent. C’est la raison pour laquelle nous y allons tel que nous allons.

73 Venez maintenant. C’est juste ; levez-vous. Si maman dit : « Assieds-toi », dites : « Maman, viens avec moi. » Si le mari dit : « Tu ne peux pas aller, sinon je te quitte », dites : « Au revoir. Viens, partons. » C’est juste ; voilà comment s’y prendre. Avancez-vous carrément ici et donnez votre témoignage personnel. Descendez du balcon, vous qui avez rétrogradé, vous qui avez mal agi et qui voulez mettre la chose en ordre avec Dieu. Ceux-ci viennent pour témoigner de la guérison ; nous allons faire qu’un petit réveil commence ici dès que vous vous serez levé et que vous aurez fait quelque chose à ce sujet. Dieu ne vous tirera jamais à ce propos. Vous allez marcher de votre propre gré.

74 Croyez-vous ? Montez donner…?... juste pendant qu’ils reçoivent leur guérison et qu’ils passent dans la ligne… Ceux qui perdent le bon sens : « Ô Dieu, je n’arrive pas à comprendre cela. Si les gens me voient, ils sauront que j’avais tort. » Certains membres d’église ? Oui. « Mais ici même se trouve son…?... Eh bien, que pensera-t-elle ? » Ce n’est pas ce qu’elle pense qui compte ; c’est plutôt ce que Christ pense de vous. Votre âme a soif, venez, il y a une Fontaine ouverte. Pendant que nous attendons. Venez maintenant. Il y a une fontaine remplie de Sang,
Tiré des veines d’Emmanuel, Ne voulez-vous pas venir maintenant ? Ne partez pas ; restez tranquille maintenant…?... …maintenant sous ce flot,
Perdent toutes taches de leur culpabilité.
Perdent toutes taches de leur culpabilité,
Perdent toutes taches de leur culpabilité ;
Et les pécheurs plongés dans ce flot,
Perdent toutes taches de leur culpabilité.

75 Des centaines [de gens] ont levé leurs mains. Je me demande ce qui s’est passé. Vous attendez une autre occasion. J’espère que vous l’aurez. Peut-être que vous ne l’aurez pas. Laissez-moi tout simplement vous parler. Cela ne cesse de se déverser dans mon coeur et de tirer dans mon coeur. Je dois le dire. Vous attendez un jour plus glorieux, mais ceci est votre dernier jour. Ceci, c’est l’appel final. Maintenant, notez cela dans un cahier et voyez si vous verrez arriver des choses plus glorieuses que celles que vous voyez arriver maintenant. Souvenez-vous-en ; vous essayez de remettre cela à un autre moment. Vous les Gentils, vous avez un court réveil qui tire déjà à sa fin. Il est sur le point de se terminer.
Très bien, vous qui êtes debout ici autour de l’autel, que tout le monde soit respectueux. Avez-vous honte de votre vie ? Voulez-vous que Dieu vous vienne en aide maintenant, qu’Il ait pitié de vous ? Que Dieu bénisse cette dame-ci, avancez carrément. C’est comme ça. Que le Seigneur soit avec vous. Que Dieu vous bénisse, madame. C’est juste. Montez carrément ; prenez simplement position. « Celui qui Me confessera devant les hommes, Je le confesserai devant le Père et les saints anges. »
Si vous avez honte de votre vie et voulez que Dieu vous vienne en aide, voulez-vous juste lever la main, vous qui êtes ici autour de l’autel. C’est bien, soyez un vrai homme, une vraie femme. « Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige. »

76 Considérez le témoignage de guérison, continuer tout simplement – les gens continuent tout simplement à sentir la puissance de Dieu agir en eux.
Prédicateurs, mettez-vous derrière moi maintenant, chacun de vous. Ces hommes que voici sont des hommes de Dieu qui ont des églises ici dans la ville, et qui coopèrent dans cette série de réunions. Ils vont vous tendre la main. Si vous n’êtes pas encore membre d’une église, que vous vous êtes simplement repenti, ils veilleront à ce que vous soyez baptisé du baptême chrétien. Ils vont vous amener dans l’église en tant que membre de leur église ; ils vont vous nourrir, faire ce qu’il faut. Ce sont des hommes qui croient dans ce ministère. C’est la raison pour laquelle ils sont ici, pour représenter cela. Maintenant, tous ceux qui sont préoccupés par ces âmes, inclinons la tête juste un instant.

77 Ô éternel Dieu béni, ces…?... qui sont venus ce soir… Et il est écrit dans les Ecritures : « Nul ne peut venir à Moi, si le Père ne l’attire. Et je ne mettrai pas dehors celui qui vient à Moi. » Il y a des hommes et des femmes qui ont péché et qui ont fait ce qui est mal ; ils se tiennent ici ce soir, se repentant de leur – leur divergence, d’avoir été indifférent envers Toi. Certains d’entre eux ont sans doute fait des confessions dans des églises, mais leur vie n’a jamais été à la hauteur de cette confession.
Ô Saint-Esprit béni, entre dans leurs âmes maintenant même et donne-leur le baptême du Saint-Esprit. Baptise-les dans Ton amour et dans Ta puissance. Ô Seigneur, ôte d’eux toute impiété. Ôte d’eux le monde, Seigneur, afin que ce jour-là Jésus-Christ puisse les présenter à Dieu, irrépréhensibles et irréprochables, se tenant seulement dans Sa justice. Accorde-le, Seigneur.

78 Ces ministres se tiennent autour d’eux, certains leur ont imposé les mains et prient avec eux. L’église a la tête inclinée. Nous voyons Ton Esprit apporter la conviction, pendant qu’Il se meut dans la salle. Il guérit les malades. Voici une rangée où plutôt la louange et les témoignages. Ô Dieu, nous prions que le Saint-Esprit soit déversé maintenant dans cette salle comme un vent impétueux. Puisse-t-Il purifier tous leurs coeurs du péché, et donner à ces gens… remplir leurs coeurs de bénignité. Ôte d’eux le monde, Seigneur, et fais qu’ils aient soif de Toi. Et Tu as dit : « Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés. » Accorde-le, Seigneur. Qu’ils soient remplis de la justice de notre Seigneur Jésus-Christ. Béni soit Son Nom.

79 Chacun de vous qui êtes debout ici maintenant, qui s’est repenti de ses péchés et qui croit de tout son coeur que Jésus-Christ est venu à vous dans la paix et dans l’amour, et qui se sent différent de ce qu’il était en montant ici et pour qui on vient de dire ce mot de prière, qu’il veuille lever la main. Vous ici autour de l’autel, levez simplement la main. C’est bien. Que Dieu vous bénisse.

80 Maintenant, amis prédicateurs, montez carrément ici et serrez-leur alors la main, et offrez une petite prière avec chacun d’eux. Maintenant, approchez-vous carrément d’eux, vous tous, carrément d’eux.
Très bien. Que la dame maintenant qui a posé ici ces… (Frère Vayle, venez ici.) Je désire…
Veuillez écouter ces témoignages maintenant au fur et à mesure qu’ils viennent, pendant que ceux-ci se font bien accueillir dans leurs églises et tout.
Très bien, madame, avancez carrément maintenant pour rendre témoignage à la gloire à de Dieu.

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