Il prend soin de vous

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Date: 60-0301 | La durée est de: 1 hour and 15 minutes | La traduction: Shp
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1 Inclinons maintenant la tête pendant que nous parlons à l'Auteur de la Parole. Notre Père céleste, nous Te sommes reconnaissants pour ce grand et noble privilège de venir de nouveau à Toi ce soir, venir humblement au Nom du Seigneur Jésus, demander de nous pardonner nos péchés, de nous visiter de nouveau ce soir et de nous accorder infiniment au-delà de tout ce que nous pouvons faire ou penser.

2 Nous prions pour chaque personne qui est dans la Présence divine, d'abord pour des pécheurs qui ne Te connaissent pas, pour que la guérison de leur âme et de leur esprit puisse s'opérer ce soir, afin qu'ils deviennent entièrement Tes serviteurs ce soir. Nous Te prions, Père, que ceux qui sont indécis, pour ainsi dire, qui ne savent simplement pas où aller, et peut-être que ceci est leur dernière occasion, nous prions, Père, qu'ils tournent leurs yeux vers le Ciel. Accorde-le, Seigneur.

3 Nous ne voudrions pas oublier ceux qui sont convalescents, qui sont dans les hôpitaux et à - à la maison, ainsi que ceux qui sont malades et qui ne sont pas en mesure d'assister à la réunion, quoi qu'ils aient bien voulu cela. Nous demandons que les anges de Dieu puissent s'approcher ce soir de leur chevet. Et peut-être que comme nous nous sommes rassemblés et que nous avons prié, Tu laisseras la puissance de guérison aller vers eux, afin qu'ils soient en mesure de venir demain soir au service et continuer à venir. Accorde-le, Seigneur.

4 S'il y a ici des malades et des affligés, puisse ceci être la soirée de leur délivrance. Bénis-nous tous ensemble comme nous nous attendons davantage à Toi, car nous le demandons au Nom de Jésus et à cause de Lui. Amen. (Vous pouvez vous asseoir.)

5 C'est si agréable d'être de retour ce soir dans la maison du Seigneur. Je… juste au moment où je franchissais la porte là-bas, j'ai rencontré un - un ami. J'ai tendu mon bras comme ceci et j'ai saisi sa main, c'était le fils de frère John Sharitt. Je ne comprends pas comment ce garçon est devenu si grand. Je lui ai demandé si David était aussi grand que lui et, eh bien, c'est comme si ça fait une année que j'étais ici. Et je pense que ça fait environ trois ans. Et il n'était qu'un petit garçon qui courait ça et là en salopette. Mais le voici ce soir, robuste et élancé (eh bien, je ne pense pas qu'il soit à l'écoute), je dirai un beau jeune homme. Mais il a certainement grandi. Et il en est ainsi de toute chose. Nous ne faisons que grandir et nous ne restons pas les mêmes.

6 Et j'étais aujourd'hui au mont Camelsback où, il y a trente-trois ans, je traversais le désert à dos de cheval, poursuivant des ânes, ici derrière le South Mountain. Je ne pense pas qu'il en reste encore en Arizona; l'Arizona est entièrement traversé par des routes et des autoroutes. Eh bien, il y a une chose: "Nous n'avons point de cité permanente ici; mais nous cherchons une qui est à venir dont Dieu est l'architecte et le constructeur. Je sais que les gens immigrent, et on est obligé d'aller au-delà des limites et de faire des extensions. Mais j'ai regretté de voir les vieilles réserves de cactus disparaître, et être transformées en des projets d'habitat. Et - et c'est juste comme si... je déteste de voir cela. J'espérais ne pas vivre assez longtemps pour voir cela. C'est… je - j'aime de toute façon ce qui est original. Oh! Vous avez de belles maisons, c'est vrai. Mais c'est - c'est perverti; ça, c'est ce que l'homme a fait. Selon moi, la beauté, ce n'est pas ce que l'homme a fabriqué, mais selon moi, la beauté, c'est les choses telles que Dieu les a créées, contempler simplement cela, c'est ainsi que j'aime cela.

7 Mais notre nation se meurt, ou plutôt notre peuple se meurt et tout ici se meurt. Je me suis tenu là où le grand Pharaon s'était autrefois tenu, les grandes puissances qui ont dominé le monde, et vous devriez creuser jusqu'à une profondeur de 20 pieds [6m - N.D.T.] sous terre pour retrouver les ruines de leur royaume. Même là où les Césars de Rome… on parcourait la rue et on nous a dit: "Là en dessous, à 20 pieds, c'était là qu'un tel, un grand empereur…" Oh! la la! Là…, En effet, nous n'avons point de cité permanente. C'est pourquoi nos espoirs ne reposent sur rien d'autre que
le sang de Jésus et sa justice;
Quand tout cède autour de mon âme,
Il est alors tout mon espoir et mon soutien
Sur Christ le roc solide je me tiens;
Tous les autres terrains ne sont que du sable mouvant. (C'est ce que nous attendons impatiemment.)

8 Et maintenant, ce soir nous voyons les gens debout le long des murs. Et si j'ai bien compris, demain soir on devra être là à l'auditorium, ou je ne sais pas, au Madison Square Garden. Dites donc, j'espère qu'on n'a donc pas amené cela à l'ouest.

9 Tout va à l'ouest. Il y a quelque temps j'ai entendu un petit poème qui disait: "On a transformé le pâturage… Quand les gens de l'est sont venus à l'ouest, ils ont transformé tout le pâturage ici en terrain de golfe. Et ils ont pris le vieux Kraal et en ont fait une piscine; on a placé le coyote dans les zoos de New York." Et il disait: "Il ne reste qu'une seule chose, c'est une corde pour se pendre avec, à un cotonnier." Je pense donc que c'est pratiquement ce qui se passe. C'est vrai. C'est…

10 Avez-vous déjà remarqué que la civilisation se déplace de l'est à l'ouest? Et partout où elle passe, la civilisation souille son parcours. C'est l'exacte vérité. Ce soir même vous pensez que je suis pessimiste, n'est-ce pas? Mais cela… L'une de ces soirées pendant que je suis ici, j'aimerais prêcher, le Seigneur voulant, sur quand l'est et l'ouest se rencontrent. Et c'est ce qui est arrivé. Nous… la plus vieille civilisation, c'est la Chine. Et si nous allons tout droit vers l'ouest, nous nous retrouvons encore directement en Chine. Il n'y a que l'océan qui nous sépare. L'est et l'ouest se rencontrent.

11 Et souvenez-vous, la Bible dit, le prophète dit qu'il y aurait un jour qui ne serait ni jour ni nuit, ce serait plutôt un jour brumeux; mais vers le soir, la lumière paraîtra, au temps du soir.

12 Eh bien, la civilisation a voyagé de l'est à l'ouest. Et géographiquement, quand le soleil se lève, il se lève à l'est et voyage en direction de l'ouest, et il se couche à l'ouest.

13 Ainsi, voyons, ce que le FILS [Son en anglais - N.D.T.] a fait quand Il a apporté la lumière de l'Evangile. Au commencement, il eut une pentecôte, une effusion du Saint-Esprit sur le peuple oriental, avec des signes, des prodiges, des miracles, de grandes choses qui se sont accomplies.

14 Or, on a eu un jour qui n'était ni jour ni nuit; un jour sombre. On a eu assez [de lumière] pour - pour adhérer à une église, inscrire son nom dans le registre. "Mais au temps du soir la lumière paraîtra." Le même soleil qui se lè - lè - lève à l'est, se couche à l'ouest. Et maintenant, au cours des années, ce glorieux Saint-Esprit a fait briller suffisamment de lumière au milieu de ces systèmes des églises, des dénominations et tout, pour qu'il y ait un peuple sauvé tout au long de l'âge.

15 Mais à présent les lumières du soir sont apparues. Et à présent le même Saint-Esprit, avec la même manifestation, faisant les mêmes choses, oeuvrant exactement comme autrefois, est en train de briller sur le peuple de l'ouest, prenant du milieu des gentils un peuple qui porte son nom.

16 Et maintenant l'est et l'ouest se sont rencontrés, et les civilisations se sont entrechoquées, et cela a plongé le monde dans la condition la plus ridicule, la plus barbare jamais connue ou imaginée. Nous aborderons cela un soir; c'est ce que - ce n'était pas de cela que je comptais parler ce soir. Mais à présent, nous sommes certainement arrivés à la fin. Ce que j'essaie de faire, c'est d'avertir constamment les gens, que nous sommes au temps de la fin.

17 Que pouvons-nous faire? Il n'y a plus d'espoir dans quoi que ce soit, si ce n'est en Christ. Souvenez-vous en bien. Christ est le seul soutien que nous avons.

18 On ne peut pas compter sur la démocratie. Eh bien, c'était une bonne chose, mais elle est finie; elle a fait son temps. Les rois ont fait leur temps, les royaumes et les dictateurs et tout ont fait leur temps. La démocratie était la meilleure chose qu'ils ont eue. Et ç'a été tellement souillé par la politique; elle est pourrie jusqu'à la moelle; il n'y a point du tout d'espoir là-dedans. C'est exactement comme si vous essayez de bâtir sur une ville qui a été incendiée et qui est en fumée. Vous ne pouvez pas la rebâtir. Elle est ruinée et détruite. Et il faut qu'il en soit ainsi. Ça doit se passer ainsi. La Bible dit qu'il en sera ainsi.

19 C'est Satan qui dirige chaque nation. Chaque royaume appartient à Satan, et il le dirige selon sa propre manière de diriger. Mais ne les a-t-il pas proposés au Fils de Dieu un jour? "Tous les royaumes du monde sont à moi, j'en fais ce que je veux." C'est la raison pour laquelle les gens se battent, tuent et commettent des meurtres.

20 Mais Jésus a dit: "Arrière de Moi, Satan."

21 En effet, Il savait qu'Il en deviendrait l'héritier. "Et réjouissez-vous, vous tous, cieux et vous les saints prophètes, car le royaume de ce monde est devenu le royaume de notre Seigneur, et Il va le diriger et régner pendant mille ans." Alors, il n'y aura plus de guerre. Oh! ce glorieux jour qui doit venir!

22 Oh! Laissez-moi vous persuader au Nom de Christ. Vous, précieuses personnes qui êtes ici, placez tous vos espoirs sur Lui, car Il est le seul fondement. En effet, une grande secousse est en route. La démocratie a volé en éclats. Les royaumes ont volé en éclats. Les nations ont volé en éclats. Nous sommes à la fin de tout. "Mais nous, nous recevons un royaume qui ne peut être ébranlée; stable, inébranlable, abondant toujours dans les grâces de Dieu." Oh! J'aime cela. Je suis si heureux ce soir d'être un chrétien. Je - je - je ne sais pas ce que je ferais si je n'étais pas un chrétien. Je me serais probablement suicidé si je n'étais pas chrétien. Comme je sais et je vois ces choses, et - et puis avec ce don que le Seigneur m'a donné pour voir à l'avance et comprendre ce qu'il me permettra de faire, juste me laisser voir cela… je sais que c'est juste là au-delà de l'horizon. Vous voyez? De voir cela s'approcher comme c'est le cas, cela me fait alors crier de tout mon être. Oh! Fuyez la colère à venir.

23 Ô Dieu, sois miséricordieux. Père céleste, ô Dieu, je Te supplie de nous aider d'une façon ou d'une autre, Seigneur. Donne-nous de comprendre cette terrible chose qui se glisse tel un serpent, charmant pour ainsi dire l'oiseau qui autrefois était libre, perché dans l'arbre, a maintenant le regard captivé par le serpent. Et malgré tout, celui-ci se faufile, se fraye un chemin, et bientôt l'oiseau se retrouvera dans sa gueule et sous ses crochets venimeux. Ô Dieu, sois miséricordieux! Que tout le monde, ici ce soir, qui n'est pas tout à fait ancré en Jésus-Christ, le Fils de Dieu, puisse venir ce soir et naître de nouveau de l'Esprit, ô Seigneur, afin que leurs espoirs soient dans Sa Venue, "tous ceux qui aiment sa venue". Accorde-le, Seigneur. Nous prions au Nom de Jésus. Amen.

24 Ce soir, j'aimerais tirer mon sujet, le Seigneur voulant, du livre de I Pierre. Et si vous voulez lire avec moi, I Pierre chapitre 5, commençons au verset 5. I Pierre 5, à partir de 5. De même, vous qui êtes jeunes, soyez soumis aux anciens. Et tous, dans vos rapports mutuels, afin que - revêtez-vous d'humilité, car Dieu résiste aux orgueilleux, mais fait grâce aux humbles. Humiliez-vous donc sous la puissante main de Dieu, afin qu'il vous élève au temps convenable; Et déchargez-vous sur Lui de tous vos soucis, Car Lui-même prend soin de vous.

25 Quel merveilleux passage de l'Ecriture. Eh bien, j'aimerais prendre ceci comme sujet: Il prend soin de vous.

26 Il est aussi écrit dans Jean chapitre 14: Que votre coeur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en Moi. Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n'était pas, je vous l'aurais dit. Je vais vous préparer une place. Et, lorsque je m'en serai allé, et que Je vous aurai préparé une place, Je reviendrai, et Je vous prendrai avec moi, afin que là où Je suis vous y soyez aussi.

27 Les Ecritures déclarent ainsi, ce qu'Il prierait le Père et que ce dernier nous donnerait un autre Consolateur. Et ce Consolateur c'est le Saint-Esprit que le monde ne peut pas recevoir. Mais Il est un Consolateur pour les croyants, "et quand Il sera venu, Il rendra témoignage de Moi, et vous rappellera ces choses, ces choses que Je vous ai enseignées, et il vous annoncera des choses à venir". Le Saint-Esprit béni…

28 Et en son jour, Paul a dit: "Si nous - quelqu'un du peuple venait parmi vous, et que vous parliez tous en langues et qu'il n'y ait personne pour interpréter, alors le non -croyant dira que vous êtes fous. Mais s'il y en a un qui prophétise et qui révèle les secrets des coeurs, dit-il, alors ils se prosterneront et diront que Dieu est vraiment parmi vous."

29 Et nous voici en ce jour avec ce même Consolateur, se manifestant comme Il le fit alors. Quelle consolation que d'avoir une promesse…

30 Eh bien, ce n'est pas tout le monde qui a ce merveilleux Consolateur. Les gens - les gens ne - Les gens ne L'ont pas. Ils Le refusent; ils Le rejettent parce qu'ils ne croient pas en Lui.

31 Il n'y a qu'un moyen pour vous de pouvoir recevoir ce merveilleux Consolateur, c'est en croyant au Seigneur Jésus-Christ, en confessant vos péchés, en vous faisant baptiser du baptême chrétien, et, la promesse déclare que Dieu vous remplira du Saint-Esprit. C'est sa promesse. Il ne peut revenir sur cela. C'est Sa promesse. J'ai toujours dit que, si une personne qui a été bien enseignée se repent et croit Dieu de tout son coeur, avec tout ce qui est en elle, lorsqu'elle est baptisée, le Saint-Esprit viendra immédiatement sur elle, parce que Dieu a promis de le faire. Il a promis cela. "Vous recevrez le Saint-Esprit, car la promesse est pour vous."

32 Eh bien, aujourd'hui si les gens ne reçoivent pas cela, c'est parce que cela interfère avec la vie spirituelle qu'ils désirent mener. La Bible dit que le monde, l'homme a plus aimé les ténèbres que la Lumière, parce que ses oeuvres sont mauvaises. Et une personne qui aime marcher dans les ténèbres et faire le mal, elle est - qui aime de mauvaises oeuvres, elle ne peut pas aimer le Saint-Esprit. En effet, la Bible dit: "Si vous aimez le monde ou les choses du monde, l'amour de Dieu n'est même pas en vous."

33 Eh bien, il se peut que vous ayez déjà entendu parler de ces Ecritures, mais prêtons-y attention. Sont-elles vraies? Elles sont plus vraies que le fait que vous soyez assis ce soir dans cette église. Elles sont plus vraies que le fait que ceci est l'Etat de l'Arizona. Elles sont plus vraies que le fait que vous soyez un être humain en vie". Elles sont les Paroles Eternelles de Dieu et Ses promesses. Et tous les cieux et la terre passeront, mais Ses Paroles ne passeront jamais. Elles ont un sens, le - un sens sublime. Mais elles ne signifieront rien pour vous avant que Dieu vous les révèle. Comme c'est merveilleux de savoir qu'Il prend soin de nous!

34 Ainsi si l'homme… Il a été créé de telle sorte qu'il éprouve le désir d'être consolé. Ainsi donc, s'il n'accepte pas la voie de Dieu, alors il empruntera sa propre voie. Et il essayera de trouver un substitut qui prendra la place du Saint-Esprit. Oh! Je désire que vous écoutiez ceci. L'homme ou la femme qui refuse d'accepter le Saint-Esprit, le Consolateur, cherchera à se consoler avec un substitut violent, que Satan lui présentera. Satan a beaucoup de substituts. Mais pourquoi faut-il que nous ayons un substitut alors que les cieux de la Pentecôte sont pleins de ce qui est authentique? Pourquoi mangerais-je dans une poubelle alors qu'une table propre est remplie des mets de choix dressés? Il y aurait quelque chose qui cloche en moi, dans mon esprit, si je faisais cela. Eh bien, comme c'est malheureux de voir que l'homme cherche un substitut. Des fois, il essaiera d'apaiser sa conscience en sortant…

35 Par exemple, une mère cherchera à enseigner ses filles à être populaires, à faire que… elle… toute son ambition, c'est de faire de cette jeune fille une - une danseuse de ballet ou quelque chose comme cela. Et vous savez que vous êtes en train de lui donner la strychnine, vous lui donnez de l'arsenic qui ne fera que détruire son coeur et l'envoyer dans la tombe du diable, ou plutôt dans l'enfer du diable et dans la tombe du pécheur, car rien de bon ne peut provenir de cela. Mais vous essayez de penser: "Si seulement ma fille pouvait être une telle…" et vous les envoyez au - même à quelque chose comme nos YWCA [Association des jeunes femmes chrétiennes - N.D.T.], où elles pratiquent le rock-and-roll. Et les personnes âgées sortent pour une soirée des danses folkloriques, ou pour une sorte de bal populaire.

36 Quand les gens atteignent l'âge d'environ trente ans, ils ont le cafard. Ils se disent: "Avec l'âge que j'ai, je n'ai pas encore suffisamment jouie de ma jeunesse." Et des fois, ils - ils essaient de tricher vis-à-vis de leurs voeux de mariage, aussi bien les hommes que les femmes. Ils sont tous coupables. Quel est le problème? Il leur manque quelque chose.

37 Des fois, ils se mettent à boire. Quand ils deviennent plus âgés, eh bien, ils fréquentent le bar et ils se mettent à boire. Et en buvant, ils essaient de noyer cela dans l'alcool. Ils prennent juste quelques vivres, et - et après, cela les amène à en prendre davantage, au bout d'un moment ils finissent par devenir alcooliques.

38 Et des fois pour être populaires, ils regardent la télévision dans les… et dans les rues, ils fument; et la chose la plus vile que les femmes ont faite en ce 20e siècle, c'est quand elles se sont mises à fumer la cigarette. Ce sont les membres les plus redoutables de la cinquième colonne [La colonne qui, de l'intérieur, aida les quatre colonnes rebelles qui assiégèrent la ville de Madrid en 1936. - N.D.T.] que cette nation ait jamais connu. Cela détruit la moralité; cela - cela - cela remplit ces asiles des fous; cela remplit les hôpitaux des tuberculeux, des cancéreux et de tout ce qui s'ensuit, et pourtant ils font cela pour avoir une consolation.

39 Dieu nous a donné quelque chose pour nous consoler: le Saint-Esprit, le Consolateur de Dieu. Ces choses ne sont que des substituts qui en fin de compte mèneront à se bagarrer, à tricher, à voler et à se comporter mal.

40 L'autre soir, ma fillette m'a posé une question, elle a dit… ou plutôt c'était le petit Joseph, il a dit: "Papa, une sorcière est-ce que ça existe?"

41 J'ai dit: "Oh! Certainement."
Il a dit: "Est-ce qu'elle a un long nez et se promène sur un balai pendant la nuit? "

42 J'ai dit: "Non. Elle a un visage fardé et elle se rend à un cocktail à bord d'un cadillac." C'est une autre version moderne de la sorcière.

43 Et il a dit: "Est-ce là une sorcière?" Je ne sais pas si c'était une bonne chose de le lui avoir dit, parce que chaque fois qu'il en voit une dans la rue, il dit: "Papa, celle-là est une sorcière, n'est-ce pas?" Eh bien, je pense que…

44 Vous savez, on avait le vieux Charley Barleycorn. Certains d'entre vous qui êtes âgés, vous vous souvenez de lui, il portait un chapeau enfoncé jusqu'aux oreilles. Et même un corbeau aurait eu peur de lui: Charley Barleycorn. Oh! Il a changé depuis que la Prohibition a cessé. [Prohibition: interdiction légale de l'alcool aux USA de 1919-1933. - N.D.T.] Mais à présent, il est sur chaque petit pare-chocs, il se trouve sur chaque glacière, et c'est le gars le plus populaire de la ville. Mais il est toujours cette créature abominable qui envoie les âmes des hommes en enfer, et les jeunes gens dans des asiles de fous; et on a aujourd'hui un âge des idiots du rock-and-roll et des hippies, de la délinquance juvénile au point que c'est devenu la folie. On en est même arrivé au point où nos écoles ne peuvent pas les toucher; l'an passé, nous avons perdu vingt mille enseignants.

45 Pourquoi? Ils cherchent quelque chose. Ils cherchent cela, mais l'église a manqué de le leur donner. La raison pour laquelle ils font cela, c'est parce qu'ils ont été faits de manière à rechercher cela.

46 Finalement, à quoi cela aboutit-il? Aux meurtres et aux suicides. Un homme qui pense qu'il fait quelque chose quand il prend un rendez-vous avec la femme de son voisin, ou quand il brise un foyer; ou une femme… Vous pensez que vous vous en tirez avec quelque chose, mais finalement, vous allez vous retrouver avec un pistolet sur la tempe, et vous vous ferez sauter la cervelle, ou bien vous sauterez quelque part d'un échafaud, ou vous vous suiciderez, vous vous empoisonnerez, vous vous droguerez ou quelque chose comme cela. Et vous vous retrouverez dans une condition misérable, vous mourrez et vous irez dans un enfer des démons, parce que vous avez rejeté le - le véritable remède.

47 Nous avons un remède. C'est le Calvaire qui est ce remède. Christ est le remède. Et Il est le seul remède, le seul fondement, la seule voie. Il y a des choses que vous pouvez obtenir de Christ et que vous ne pourrez obtenir nulle part ailleurs. Christ est le chemin; pas un chemin, c'est le chemin. L'église, c'est bien; nous aimons ça; mais l'église n'est pas le chemin. C'est Jésus qui est le chemin. On ne peut pas se décharger de ses soucis sur l'église, il n'y a pas de salut dans l'église. Elle ne peut que vous montrer Jésus, qui est le seul salut. Il est le chemin, la vérité, la vie. Le seul chemin vers le Père c'est Jésus. Le seul Consolateur, le seul qui peut - qui sait comment prendre soin de nous, car nous ne sommes même pas en mesure de prendre soin les uns des autres.

48 Il y a quelque temps, j'ai lu dans les Ecritures là où il est dit: "Sans discerner le corps du Seigneur." Et je me suis dit: "Quelle déclaration!", c'est dans I Corinthiens 11. "… sans discerner le corps du Seigneur… C'est pour cela qu'il y a parmi vous beaucoup d'infirmes et des malades…"

49 Le corps du Seigneur, c'est l'église. Et nous n'avons pas assez de discernement spirituel pour prendre soin les uns des autres. Comment pouvons-nous donc prendre soin si nous ne sommes pas capables de prendre soin les uns des autres? Comment pouvons-nous prendre soin des perdus et de ceux qui se meurent? A quel hôpital pouvons-nous les amener? "Déchargeons-nous de nos soucis sur Lui, car Il prend soin de vous."

50 L'homme prend des raccourcis, et la raison pour laquelle il le fait, c'est parce que… Dieu, quand Il a créé l'homme, Il ne l'a pas créé pour qu'il fasse cela. Il a créé l'homme pour qu'il soit heureux, pour qu'il soit satisfait, pour qu'il soit consolé. L'homme… Dieu ne veut pas que ses enfants soient mal à l'aise. Vous ne voulez pas…

51 Eh bien, vous les mamans, vous vous levez au milieu de la nuit, même si vous êtes très malades; si le cadet, d'un coup brusque de pied, s'est débarrassé de la couverture et vous savez que le petit pourrait attraper froid, vous vous efforcez d'une façon ou d'une autre d'aller à son chevet afin de le mettre dans de bonnes conditions. Si l'un de vos bien-aimés, l'un de vos enfants était couché malade et brûlant de fièvre, et qu'il vous était possible de rester là avec un chiffon et de baigner son visage avec l'eau fraîche pour le mettre à l'aise, vous le feriez. Vous resteriez là, même si vous étiez vous-même malade et que vous aviez besoin d'être au lit, vous seriez de toute façon là; en effet, vos enfants ont du prix pour vous. Ils sont une partie de vous. Ils sont votre vie.

52 Et l'Eglise est la vie de Dieu sur terre, et Il veut réconforter Son église.

53 Et qu'en serait-il si vous saviez que le fait d'essuyer le front fiévreux de votre enfant le réconforterait, mais que lui refuse et vous crache au visage et tende la main pour prendre une bouteille de whisky ou quelque chose à prendre à la place de - à la place de la caresse de la main de la mère ou quelque chose comme cela?

54 C'est ce que nous faisons quand nous recourons à d'autres remèdes. Il existe beaucoup de remèdes, mais une seule guérison. Christ est la guérison, et la seule Chose qui guérit ceci. Il prend soin de nous. Il nous aime, et Il désire que nous venions à Lui. Dieu nous a créés ainsi, Il a placé en nous cette chose sainte qui cherche la consolation.

55 Dieu a donné à l'homme une femme pour le consoler, pour le caresser. Et tout homme qui a une bonne femme sait qu'il y a quelque chose chez une bonne femme qui peut… Un homme qui a des problèmes dans ses affaires ou - ou dans son travail, et il peut rentrer chez lui; peu importe, personne, aucun médecin…

56 C'est ainsi avec moi. Quand je reviens d'outre- mer ou de quelque part, je suis très nerveux, indisposé et manquant de sommeil et - et d'entendre les pleurs, de voir de petits enfants affamés dans les rues et, oh! pleurant et continuant comme ça, cela me tue pratiquement. Alors, quand je rentre chez moi, mon épouse s'assoie sur le bras du fauteuil, elle passe son bras autour de moi et dit: "Oh! Bill, je - je comprends, tu sais."

57 Et rien que quelques petites tapes de mon épouse signifient beaucoup: il en est de même pour l'homme vis-à-vis de sa femme. Dieu veut qu'il en soit ainsi. Et quand nous y substituons quelque chose, quand on prend une autre femme pour qu'elle essaie de jouer ce rôle-là, ou un autre homme, vous voyez ce que vous faites.

58 Eh bien, alors, il nous donne des amis. Il aime… nous - nous devrions être des amis. Nous devrions être des frères. Et combien c'est agréable d'aller auprès d'un bon ami en cas de difficultés et de dire: "Oh! mon ami, telle chose est arrivée." Et c'est merveilleux que de s'asseoir avec un bon ami en qui on a confiance pour parler. Ça vient de Dieu. Exactement comme votre femme, elle vient de Dieu, votre mari, si vous êtes fidèle.

59 Mais dans l'homme, les choses en sont arrivées là même pour montrer sa nature déchue, il a avili ce que Dieu lui a donné. Premièrement, il a adopté la bouteille ou le monde pour se consoler, au lieu du Saint-Esprit. Dieu lui donne une femme pour qu'elle soit sa compagne de vie, mais il n'est pas satisfait avec une seule; il doit en prendre une autre, puis une autre; et vice-versa, la femme vis-à-vis de l'homme; les jeunes gens et ainsi de suite.

60 Et même tous ces consolateurs que le Seigneur nous a donnés, quand on arrive à la fin du voyage, et qu'agonisants, on appuiera un oreiller contre notre front fiévreux notre femme ne pourra que se tenir là, les larmes lui coulant sur le visage, avec ses yeux levés vers Dieu. Notre ami peut nous tapoter sur l'épaule et nous serrer la main, se tenir là, se tordre les mains, ne pouvant aller plus loin. Mais alors quand le consolateur…, comme David l'a dit: "Quand je marche dans la vallée de l'ombre de la mort, je ne crains aucun mal. Car tu es avec moi. Ta houlette et Ton bâton, me rassurent" (Darby), même dans la vallée de l'ombre de la mort"…

61 Comment se fait-il que l'homme a soif et faim? C'est parce que lorsqu'il fut fait, il fut fait et fut créé avec un petit compartiment où Dieu demeure pour le consoler. Et lorsqu'il s'est éloigné de Dieu à cause du péché, alors ce compartiment est resté vacant. C'est pourquoi il a faim de cela, il cherche cela.

62 Et l'ennui aujourd'hui, avec nous les chrétiens, je crains que nous ne fassions pas tout notre possible pour montrer à notre frère déchu que c'est là le problème avec lui. S'il y a la délinquance juvénile, c'est parce qu'il y a la délinquance dans l'église et la délinquance à la maison, c'est ce qui en est la cause.

63 C'est pourquoi les hippies et les autres sont dans les rues à sautiller, et que toutes ces choses prennent de l'ampleur, ils essaient en effet, de trouver quelque chose qui satisfasse.

64 Permettez-moi de dire ceci ce soir au Nom du Seigneur Jésus: "Rien n'apportera satisfaction comme la venue de la puissance du Saint-Esprit qui changera votre vie et vos attitudes, qui apportera la consolation et la Vie Eternelle. Il y a une fontaine remplie de sang
Tirée des veines d'Emmanuel,
Les pécheurs une fois plongés dans ce flot
Perdent toutes leurs taches de culpabilité.

65 Une femme pourrait vous réconforter en vous tapotant. Un ami pourrait s'asseoir et vous prodiguer de bons conseils. Mais une seule chose peut ôter le péché, c'est le Sang du Seigneur Jésus. Qu'est-ce qui peut ôter mon péché?
Rien que le Sang de Jésus;
Qu'est-ce qui peut me rétablir?
Rien que le Sang de Jésus. Comme l'a dit un poète: Oh! précieux est ce flot
Qui me rend blanc comme neige;
Je ne connais aucune autre fontaine,
Rien que le Sang de Jésus.

66 Voilà. Cela nettoie, purifie, amène la communion: "Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus. Mais vous, vous Me verrez, car Je (pronom personnel) serai avec vous, même en vous, jusqu'à la fin du monde. Et quand Lui, le Saint-Esprit, sera venu, Il viendra - sera le Consolateur que le Père enverra en Mon Nom. Il vous montrera les choses à venir et vous rappellera ces choses." Quand? C'est pendant que nous sommes assis ensemble dans les lieux célestes en Jésus-Christ, le Saint-Esprit venant par la Parole, descendant, réconfortant, donnant la consolation.

67 C'est la venue de la destruction du monde, tout ce qui a existé est maintenant en train de disparaître. Il n'y a plus d'espoir et le monde ne sait où tenir. Les gens boivent, jouent à l'argent, se marient, donnent en mariage, parce qu'ils ont rejeté le véritable fondement de la consolation, le Saint-Esprit.

68 Mais nous qui croyons en Lui, nous attendons un royaume à venir (béni soit le Nom du Seigneur), où il n'y aura plus de chagrin, ni de pleurs, ni de peine; mais la paix, la joie, l'amour et l'immortalité remplaceront cela un jour.

69 Déchargez-vous de vos soucis. Si vous avez des soucis, déchargez-vous-en sur Lui, car Il prend soin de vous. Quelque chose d'autre conduit à la mort éternelle. Ceci conduit à la Vie Eternelle. Et l'homme est créé de manière à avoir besoin de ce Consolateur. Il a besoin d'un consolateur, parce qu'il a été créé ainsi. C'est ainsi que Dieu l'a constitué, Il a édifié des compartiments en lui; son âme, sa conscience, sa vue, ses sens, tout a été rassemblé. Et dans ce petit compartiment où doit résider la Chose qui doit le rendre heureux, le consoler, lui ôter la lassitude et sa nervosité, Dieu s'installe là avec le Saint-Esprit. Oh, quelle image! Quelle vérité!

70 Maintenant, mon pauvre ami découragé, si vous êtes ici et que vous ne le savez pas, je témoigne que c'est la vérité. Je suis une personne nerveuse, inquiète, Irlandais de deux côtés, et - et ce sont des gens nerveux et des ivrognes. Et ma mère est mi-indienne, ce qui, à vrai dire, fait de moi de par ma naissance, un renégat. C'est juste. Oh! J'aurais été une personne terrible, pratiquement un mulâtre. Mais que s'est-il passé? J'ai trouvé quelque chose qui s'est emparé de ce petit compartiment qui est en moi, et cela me donne une paix qui dépasse l'entendement, et je suis passé de la mort à la vie, des ténèbres à la lumière. Oh! Je ne pourrais jamais renier cela. C'est ma vie. Il est tout.

71 Alors que j'étais là-bas à l'hôpital, c'était le moment où j'en étais arrivé à deux doigts, durant les trente-trois ans de mon ministère, j'étais à deux doigts de céder à Satan, quand ma fillette, Sharon Rose, se mourait à l'hôpital, je me suis tenu là, et le médecin ne savait même pas que j'étais en chambre.

72 Il avait refusé de me laisser entrer parce qu'elle avait la méningite. Il a dit: "Billy, tu vas contaminer Bill Junior. N'entre pas là."

73 Et j'ai dit: "Doc!" Et il m'a fait asseoir. Il a parlé à l'infirmière, disant: "Allez prendre un médicament et donnez-le-lui."

74 Elle est venue avec un petit verre d'à peu près cette grandeur et a dit: "Prenez ceci, Frère Branham."

75 Et j'ai dit: "Déposez simplement cela." Et je l'ai observée jusqu'à ce qu'elle est sortie de la pièce. Et j'ai traversé le hall, puis, je suis descendu au sous-sol.

76 Et mon bébé gisait là, il gisait là avec des mouches sur les yeux. Il y avait une petite toile moustiquaire en une matière qui couvrait son visage, qu'elle avait écartée. Et j'ai regardé vers la morgue où gisait la mère de la petite. Son petit frère, Billy, était à l'hôpital, gravement malade. Mon père venait de mourir là dans mes bras quelques semaines auparavant. Et mon frère avait été tué sur le coup… et voilà, et moi, je n'étais qu'un jeune prédicateur. Et je l'ai regardée. Et j'ai regardé et j'ai dit: "Oh! Sharon, chérie, c'est papa, me reconnais-tu?" Et je savais qu'elle me reconnaissait. C'est comme si elle essayait de me dire aurevoir d'un signe de la main. Et ces petits yeux louchaient. Elle souffrait terriblement. Je pouvais voir ses petits yeux bleus loucher.

77 Et alors je l'ai regardée. Et je suis tombé à genoux et j'ai dit: "Oh Dieu, sa mère gît là à la - la morgue; nous devons l'enterrer le matin. Ne prends pas mon bébé, Seigneur. Laisse-moi l'élever. Elle est si douce. Ne la prends pas, Seigneur." Juste à ce moment là, c'est comme si un voile noire était tombé, bien déployé, m'empêchant de la voir. "Prends- là, de toute façon." Je me suis levé.

78 Et alors Satan est venu à moi et il a dit: "Et, tu vas donc Le servir? Te voilà, tu n'es qu'un jeune homme. Et tu veux dire… Qu'as-tu fait? Tu t'es tenu au coin des rues, partout où tu le pouvais, tu jeûnais jusqu'au point où tu devenais si faible que tu ne pouvais pas monter sur le poteau téléphonique pour faire ton travail. Et qu'as-tu fait d'autre que prêcher, crier, et prier? Et un seul mot de Sa part changerait toute la scène, mais acceptera-t-Il de le faire? Non, Il ne le fera pas. Il la laissera mourir. Et ensuite tu te remettras à Son service?" A cette heure, j'étais pratiquement arrivé à …

79 Quand mes jambes n'étaient plus en mesure de me supporter, je me suis appuyé contre le lit. Et j'ai dit: "Chérie, tu reconnais papa." Et elle… C'est comme si je l'entendais respirer bruyamment et elle regardait. Je - je savais qu'elle se mourait.

80 Je me suis dit: "Juste un mot. Il n'a même pas besoin de parler; rien qu'un regard de Sa part; Sa propre pensée changerait simplement la scène, et la méningite la quitterait et elle se porterait bien. Juste un seul mot, et pourtant Il ne veut pas le faire. Satan dit: "Alors, vas-tu continuer à Le servir?"

81 Et je me suis dit: "Où irai-je? Que pourrais-je faire? Auprès de qui pourrai-je aller? Où est mon espérance? Quelque chose m'est arrivé, ai-je dit, il y a quelques années ici au fond de moi et je sais que je L'aime."

82 Je me suis approché du lit, j'ai placé mes mains sur sa petite tête, j'ai dit: "Chérie, c'est Dieu qui t'a donnée, et Dieu te retire; béni soit le Nom du Seigneur. Quand bien même Tu me tues, je Te ferai néanmoins confiance." Oui, oui.

83 J'ai dit: "Chérie, je vais te prendre, pour te déposer là-bas dans les bras de ta mère, là à la - à la morgue, chez l'entrepreneur de pompe funèbre dans une heure environ. Mais quand bien même Il me tuerait, je n'irai nulle part. Il est la seule espérance que j'aie jamais trouvée. Il est le seul fondement. Il est la seule consolation que j'aie jamais eue. Et où irai-je maintenant trouver consolation, si ce n'est auprès de Lui?"

84 Quand j'ai dit cela, les anges sont venus et l'ont emportée. Et j'ai failli m'effondrer, mais quelque chose arriva. Il était mon Consolateur. Il est venu vers moi. Il a pris soin de moi.

85 Jour après jour, je me rendais à la tombe pour m'acquitter du devoir d'aller là-bas chaque jour pleurer un moment et prier. Le sénateur de l'Etat était un membre de mon église, de l'église baptiste. Et ainsi donc, je - je montais la route et Monsieur Isler a dit - il venait et il m'a vu; il s'est arrêté; il a accouru et il m'a entouré de ses bras. Je portais des bottes, c'était juste après l'inondation de 1937. Et je marchais sur la route, les mains derrière le dos. Et monsieur Isler s'est arrêté et il a accouru vers moi; il a dit: "Billy, j'aimerais te poser une question, fiston?" C'est un homme âgé, il est encore en vie, il est maintenant à la fin de sa vie.

86 Et j'ai dit: "Qu'est-ce, monsieur Isler?"
Il a dit: "Je t'ai entendu prêcher. Je t'ai entendu parler et tu exaltais Christ et disais toutes ces choses à Son sujet. Et voilà qu'il a laissé mourir ton père juste dans tes bras, suite à un surdosage de médicament, cela l'a tué."

87 Un médecin l'a tué. Il ne savait pas ce qu'il faisait, il lui a donné un demi-comprimé de strychnine et cela l'a tué. Et je… et il est mort juste dans mes bras, me regardant en face.

88 Deux ou trois jours après cela, j'ai vu une précieuse chrétienne, ma belle soeur, l'épouse de mon frère, mourir, et je l'ai vue se relever et regarder le rouge-gorge perché sur l'arbre, et chantait: "Il y a un pays au-delà de la rivière."

89 Mon épouse est morte là, alors que je tenais sa main, elle disait: "Bill, tu as parlé de cela; tu as prêché à ce sujet, mais tu ne sais pas combien c'est glorieux de quitter cette vie pour aller dans l'autre." Toutes ces choses là que je L'ai vu faire…

90 Et, oh! il a dit: "Maintenant, Il a pris tout ce que tu avais, que représente-t-Il pour toi maintenant?"

91 J'ai dit: "Toi, Fontaine de tout mon réconfort, plus que la vie pour moi; qui ai-je sur terre à part Toi, ou qui ai-je au ciel à part Toi?" Oh!
Il a dit: "Est-ce que c'est ce que cela représente pour toi?"
Et j'ai dit: "C'est ce que cela représente pour moi."

92 J'ai gravi le flanc de la colline où elle a été enterrée. Et je me suis assis là un petit moment, et c'est comme si une vieille colombe venait là, elle chantait ou plutôt roucoulait, tard le soir pendant que j'étais assis là à penser à elle, et au bébé qui gisait là dans ses bras. C'est comme si la brise en soufflant dans les pins, chantait: Il y a un pays au-delà de la rivière,
Qu'on appelle pays de joie sans fin.
Et nous n'atteignons ce rivage que sur décision de la foi;
Un à un nous atteindrons le portail,
Pour demeurer là avec les immortels,
Un jour, on fera sonner ces cloches d'or pour toi et pour moi.

93 Les dernières choses que j'ai dites à ma femme quand elle mourait, et quand je l'ai embrassée en guise d'aurevoir… Elle a dit: "Ne reste pas célibataire, Billy, trouve une bonne femme remplie de l'Esprit de Dieu pour élever mes enfants. Elle ne savait pas que le bébé allait mourir le lendemain. Et elle a dit: "Je te rencontrerai ce matin-là." Elle a dit…

94 J'ai dit: "Tiens-toi à la porte qui est à l'orient. Et quand tu verras Abraham, Isaac, Jacob et ces enfants du royaume entrer, mets-toi simplement à crier: 'Bill! Bill!' aussi fort que possible. Je rassemblerai les enfants et nous te rencontrerons là." C'était mon dernier rendez-vous avec elle. Et avec l'aide de Dieu, par la consolation du Saint-Esprit, je vais encore me décharger sur Lui de tous mes soucis, afin qu'un jour je rende réel ce rendez-vous, quand je la rencontrerai là.

95 Par la grâce de Dieu, je resterai dans le champ de bataille et je prêcherai jusqu'à ce que toute ma vie soit consumée pour le Royaume de Dieu.

96 Oh! déchargez-vous sur Lui de vos soucis; Il prend soin de vous. Eh bien, Il prend soin de vous, maintenant nous le savons. Demandons quelques minutes, puisqu'il prend soin de nous. Très bien.

97 Il a pris soin des lépreux quand Il était ici sur terre. Il y avait les lépreux.

98 Avez-vous déjà vu un lépreux? Oh! J'en ai vu beaucoup, j'en ai serré dans mes bras, ils étaient blancs de lèpre. On dirait une excroissance d'une graine retournée.

99 Il se tenait là où personne ne voulait rien avoir à faire avec lui, il était par terre dans la boue et la crasse et la saleté de la rue, il était déconsidéré au possible, au point où tout le monde avait peur de s'approcher de lui. Il était un… Il était un paria. Il était exclu de la communauté de la ville, de la communauté de l'église, de la communauté de - de tout ce qu'il y avait dans la ville. Personne ne voulait rien avoir à faire avec lui. Tout ce qu'on faisait pour lui, c'était de lui jeter un bout de pain qu'on laissait ramasser dans la saleté. On ne voulait pas s'approcher de lui.

100 Mais Jésus a pris soin de lui. Il s'est directement rendu auprès de lui et s'est assis. Je peux Le voir poser sa main sur lui et dire: "Je le veux, sois pur." Oh, Il a pris soin de lui quand rien d'autre ne pouvait prendre soin, Lui a pris soin.

101 Quand rien d'autre ne peut prendre soin de vous, Lui prend toujours soin de vous.

102 Il y avait un vieux mendiant aveugle, ses manches étaient tout en lambeau, son visage était couvert de barbes et il n'avait rien à manger, un jour, il s'est assis à côté d'une porte, pour mendier. Et le fils de Dieu, était en route vers le Calvaire, pour être crucifié, Il avait sur Lui le péché du monde, mais quelqu'un a crié: "Toi, fils de David, aie pitié de moi."

103 Un homme de ce calibre là, un homme, un président, le maire, le gouverneur de l'Etat, un agent de la police, s'arrêterait-il pour une telle histoire? C'est rare de voir cela.

104 Mais Jésus a pris soin. Il s'est déchargé de ses soucis sur Lui, et Lui en a pris soin. Il a dit: "Que veux-tu que je fasse pour toi?"
Il a dit: "Seigneur, que je recouvre la vue."
Il a dit: "Ta foi t'a sauvé." Il a pris soin de lui."

105 Il y avait une fois, une femme immorale, de genre alcoolique ou prostituée, elle était si immorale que les femmes de la ville ne voulaient rien avoir à faire avec elle. C'était une paria. Elle est sortie pour puiser de l'eau; elle devait attendre jusqu'à midi. Elle ne pouvait pas venir en compagnie des femmes décentes. Personne n'avait rien à voir avec cette femme. Elle avait été mariée, puis avait eu un tas de maris, et elle vivait alors en concubinage. Personne ne prenait soin d'elle. Les gens étaient trop raides et empesés. Personne ne prenait soin.

106 Mais Lui a si bien pris soin d'elle qu'Il lui a dévoilé les secrets de son coeur, et lui a pardonné tous ses péchés, et Il a mise en elle Quelque chose qui l'a fait entrer dans la ville en courant, en disant: "Venez voir un homme qui m'a dit ce que j'ai fait."

107 Vous voyez, c'est ce qui Le rend grand pour moi. Il n'est pas prétentieux. Il était la grâce de Dieu pour les gens. Il était l'amour de Dieu exprimé dans la chair humaine. Peu importe combien on est petit ou insignifiant, lui, Il prend soin; que l'on soit immoral, ivrogne, alcoolique, quoi que l'on soit.

108 Je pense à la petite Rosella Griffin de Chicago (son livre va bientôt paraître), elle est venue à la réunion, elle était si vile que la - la grande association "les Alcooliques Anonymes" l'avait renvoyée. Et environ six ou huit célèbres hôpitaux de Chicago avaient effacé son nom de leurs registres, "ne peut jamais venir" là. Elle était tellement dépossédée, tout ce qui lui restait, c'était un manteau que sa mère lui avait donné; elle l'avait déchiré à l'intérieur pour y mettre ses bouteilles, afin qu'elle ne puisse point geler de froid, comme elle passait ses nuits dans le caniveau, une grande alcoolique. Une jeune femme intelligente, instruite, une misérable vieille chouette qui était assise au balcon, là-bas dans l'Indiana où nous tenions une réunion, personne ne semblait s'occuper d'elle. Si les gens savaient qui c'était, ils se seraient éloignés d'elle.

109 Mais Jésus a pris soin. Il m'a inspiré et a dit: La femme assise là-bas s'appelle Rosella Griffin. C'est une alcoolique. Elle a été abandonnée par les Anonymes, et ils ne peuvent rien faire pour elle. Il n'y a donc aucun espoir. Mais elle a cru en Lui: "AINDI DIT LE SEIGNEUR. A partir de cette heure-ci, plus d'alcool." Et aujourd'hui, c'est une douce et aimable chrétienne, prêchant l'Evangile pour sauver les alcooliques, sillonnant les lieux, les bars et les prisons.

110 Jésus prend soin, déchargez-vous donc sur Lui de vos soucis. Quand vous êtes chagrinés, Il prend soin. Quand vous perdez vos biens-aimés, Il prend soin; Il prend soin des morts, de ceux qui sont morts en Christ.

111 Un jour, Il était si fatigué en chemin qu'il pouvait à peine continuer. Mais un groupe de gens venait de la ville, un cortège funèbre, et une petite mère lançait frénétiquement les mains en l'air et les tordait. "Oh Jéhovah, pourquoi l'as-Tu pris? C'est mon fils unique."

112 Il était fatigué et las, mais Il prit soin de cette pauvre petite femme au coeur brisé. Il s'est approché de ceux qui portaient le - le cercueil et l'a touché, et Il a dit: "Fils, lève-toi." Pourquoi? Il prenait soin.

113 Il comprend. Eh bien, nous comprenons de par Sa vie qu'Il prend soin.
Eh bien, c'est à nous que la question est posée ce soir, prenez-vous soin, Lui Il prend soin. Mais maintenant, vous souciez-vous de vous-même? Si vous ne vous souciez pas, alors Il ne peut pas vous aider. Mais si vous vous souciez assez, ou prenez assez soin de vous-même… j'ai entendu des gens faire cette observation insensée: "Je me moque de ce qui m'arrive." Oh! la la! Je me soucie certainement de ce qui m'arrive. Assurément, je m'en soucie. Et je crois que n'importe quelle personne qui est dans son bon sens s'en soucie. Je veux savoir ce qui va m'arriver, et si je sais qu'Il m'a aimé, personne d'autre ne pourrait m'aimer de la sorte. Il prend soin de vous. Il prend soin de vous. Peu importe combien vous êtes petit, combien vous êtes sans valeur, combien vous êtes pauvre, combien vous êtes indifférent, combien de fois vous avez essayé et avez échoué, Il prend toujours soin. Son amour continue à frapper à la porte de votre coeur. Mais en sommes-nous ingrats? En ce jour où…

114 Je viens de vous en parler. J'espère que cela ne vous est pas passé par-dessus la tête. J'espère que cela n'a pas été pris à la légère, mais rappelez-vous ces paroles: tout est arrivé à la fin. La civilisation est arrivée à la fin. La démocratie est arrivée à la fin. Tout… cette nation est rongée, elle pourrait voler en éclat à tout moment. Oh! Les autres nations, le monde est à la fin. En effet, tout ce qui est mortel doit mourir, afin que l'immortalité puisse prendre sa place. Nous devons en arriver là. Nous y sommes. Nous sommes à la fin. Et il n'y a point d'autre fondement; il n'y a rien d'autre que vous puissiez… et rien d'autre maintenant en dehors de Jésus ne peut prendre soin, et Il prend effectivement soin.

115 Ne voudriez-vous pas bien Lui confier votre vie, L'aimer, aller dans les rues, aller vers votre patron, vers votre voisin, partout avec un esprit doux et bienveillant… Séparez-vous des choses du monde et vivez une vie si paisible, si douce que les autres verront Jésus en vous. Ne trouvez-vous pas que vous Lui devez cela? Ne soyons pas ingrats.

116 Vous ici… Hier soir, quand je sortais, une petite femme se tenait à la porte; j'espère qu'elle est ici ce soir. Quand je passais, elle se tenait là avec un petit bébé. Il pleurait. Elle n'était pas une chrétienne. Mais elle ne voulait pas que le message soit dérangé, elle a donc pris son enfant et est sortie discrètement avec. Mais quand j'ai franchi la porte, elle a dit: "Oh! combien j'aurais aimé suivre la fin de ce message." Et je…

117 Quelque chose m'a tout simplement dit: "Ceci est provi…" (pas providentiel.) Ceci vient de Dieu."
J'ai dit: "Madame, êtes-vous chrétienne?"

118 Elle a dit: "Non, monsieur. Je souhaite le devenir un jour." Une charmante petite mère, avec un petit bébé dans les bras.

119 J'ai dit: "Il est ici. Ne renvoyez pas cela à beaucoup plus tard." Et là ensemble nous avons incliné la tête et nous avons prié. Et j'ai demandé à Dieu d'accepter son âme.

120 Et à la fin, quand j'ai fini la prière, elle a dit: "Amen." Et elle s'est mise à essuyer les larmes de ses yeux.

121 Pourquoi? Elle a montré… Alors qu'elle avait quand même besoin du message, si elle n'a pas reçu cela, peut-être qu'elle a permis à quelqu'un ici de recevoir cela. Elle voulait que quelqu'un d'autre reçoive cela.

122 Et qu'est-ce que cela a fait? Dieu a pris soin. Il a donc fait qu'elle se tienne juste là, à l'endroit exact où elle pouvait recevoir cela. C'est là. Il prend soin. Il sait comment faire concourir parfaitement les choses. Sommes-nous assez reconnaissants?

123 Cela me rappelle l'histoire de ce qui est arrivé dans une ville voisine. Il y a quelques années, une mère avait envoyé sa fille à l'université. Celle-ci s'appelait Marie. Et la jeune fille était donc une bonne fille quand elle a quitté la maison. Elle avait… Sa mère avait fait la lessive sur la planche à lessiver et tout pour - pour payer ses études à l'université. Et un jour, elle est rentrée visiter sa famille. Et elle s'était mêlée là-bas à un groupe hétérogène de gens. Et elle s'était liée d'amitié avec une jeune fille incroyante, qui était très mondaine et impie.

124 Et c'est une mauvaise chose d'aller se - se séparer d'avec de telles gens. Séparez-vous des choses du monde. Sortez. Ne passez pas pour le meilleur, ne cherchez pas à agir comme si vous étiez le meilleur; mais ne souillez pas vos vêtements avec le péché: "Ne prenez pas part aux péchés des autres." Si vous voulez dire un mot d'encouragement aux gens, pas de problème, mais il ne faut pas se vautrer avec les cochons. Tenez-vous-en éloigné. C'est vrai.

125 Et elle était tombée dans la déchéance avec cette jeune fille. Et alors quand elle est rentrée à la maison, le train s'est arrêté devant la porte. Et la jeune fille assise à la fenêtre, a jeté un coup d'oeil dehors.

126 Et il y avait là une femme âgée qui avait le visage tout couvert de cicatrices, et son coup était très rentré, elle avait de petites mains osseuses comme cela, elle regardait avec tout ce qu'il y avait dans son coeur, attendant que quelqu'un descende du train.

127 Et cette jeune fille était avec Marie; elle a dit: "Marie, regarde cette vieille qui a l'air d'une vieille sorcière." Elle a dit: "N'est-ce pas qu'elle est affreuse?" Mais c'était la mère de Marie.

128 Et Marie, à cause du sentiment de son amie, a dit: "Si très affreuse."

129 Et quand elles sont descendues du train, pendant que Marie était prise dans cette scène, sa mère a accouru en disant: "Oh! chérie, je suis heureuse de te voir."

130 Mais Marie tourna le dos à sa mère. Et elle dit: "Je ne te connais pas", et elle s'est mise à s'éloigner.

131 Et il s'est fait que le chef de train se tenait là, et il a sauté sur une caisse et a dit: "Attendez un instant." Et il a attiré l'attention de tous ceux qui se tenaient là. Il a dit: "Toi, misérable enfant, comment peux-tu tourner le dos à ta propre mère à cause de cette petite insolente qui est avec toi? N'as-tu pas honte de toi-même, Marie?"

132 Il a dit: "Je connais en fait le cas. Ecoutez-moi, jeune fille", s'adressant à l'autre jeune fille qui avait fait cette remarque à ce sujet. Il a dit: "C'est sa mère. Et jamais Marie n'égalera de moitié de sa mère en beauté. Je l'ai connue depuis sa jeunesse." Et il a dit: "Elle a connu un mariage heureux. Et elle a eu cette petite enfant, Marie. Et elle se trouvait à l'étage et elle avait ouvert les fenêtres pour que la - la brise puisse… et le petit berceau était là à l'étage." Et il a dit: "Elle est descendue faire la lessive, elle suspendait les linges dans la cour arrière. Et la maison a pris feu. Et avant qu'elle s'en rende compte, la maison était complètement en feu, les voisins ont accouru. Et quand la mère de Marie est arrivée là, elle s'est écriée, elle s'est écriée: 'Mon bébé! Mon bébé est à l'étage!' Et les pompiers ont dit: "La maison ne peut plus être maîtrisée. Il est impossible d'y accéder maintenant." Mais qu'a-t-elle fait? Elle a enlevé son petit tablier qui était humide d'eau de la lessive, elle l'a enroulé autour de son visage et elle a foncé dans ces flammes. Et les policiers ont essayé de l'arrêter. Elle a rapidement monté l'escalier. Pourquoi? Son cher bébé était là. Elle a pris le bébé et elle s'est dit: "Ce vêtement humide m'a protégée. Mais si je ressors avec l'enfant, il sera réduit en cendres par les flammes." Elle a donc enveloppé l'enfant dans son propre vêtement mouillé, elle l'a serrée contre son sein et elle a traversé les flammes en courant. Et les flammes lui ont brûlé la chair du visage."

133 Il a dit: "C'est la raison pour laquelle elle est laide. Elle est laide afin que tu puisses être belle. Veux-tu dire que tu tournerais le dos à ta mère qui a consenti un tel sacrifice?" Elle baissa la tête de honte.

134 Je pense que c'est ainsi que nous devrions être. Cet Evangile, ce Consolateur que nous avons, ce Saint-Esprit que le monde traite de fanatisme, et dont les gens aiment dire que ceux qui l'ont sont des saints exaltés. Avez-vous honte? Avez-vous honte du sacrifice que Jésus a fait là à la croix, afin que nous puissions avoir cette consolation? Voudriez-vous échanger cela contre la consolation du monde, contre la faveur d'un voisin? Loin de là.

135 Puissions-nous nous décharger de nos soucis sur Lui, car Il prend soin de nous. Puissions-nous L'aimer et Le chérir avec tout ce qui est en nous.

136 Et, oh! Comme les disciples qui, en rentrant, se réjouissaient de ce qu'ils avaient été jugés dignes de porter l'opprobre de son Nom, c'est ainsi que je me sens ce soir. Peu m'importe; vous pouvez dire que j'ai perdu la tête; vous pouvez me traiter de saint exalté. Et mon Eglise baptiste m'avait dit que je perdrais la tête, ou que je deviendrais un saint exalté.

137 Mon père et ma mère m'ont chassé de leur maison, avec juste un sac en papier sous le bras, contenant quelques vêtements; avec une petite chemise et des sous-vêtements de rechange, quelques paires de chaussette, c'était tout ce que j'avais. Et les membres de ma famille ont dit: "Il ne peut pas apporter cette histoire ici et demeurer notre enfant." Et je suis allé à New Albany, sans savoir où aller, n'ayant point de lieu où reposer la tête.

138 Mais, frère… et le diable est venu vers moi en cette heure-là, quand mon enfant se mourait. Cela est arrivé plusieurs fois, mais je sais où repose le salut. Je ne pourrais pas renier cela. Quand bien même cela me tuerait, je ne peux pas renier cela. Je suis passé de la mort à la Vie par la grâce de Dieu. Je me suis déchargé sur Lui de tous mes soucis, car Il prend soin de moi. Et Il prend soin de vous.

139 Inclinons maintenant la tête juste un instant. Et je me demande, si vous ne vous êtes jamais déchargé sur Lui de tous vos soucis; peut-être que vous vous êtes déchargé d'une partie, mais vous avez un petit peu peur de vous décharger de tout, comme un croyant frontalier, comme ce qui est dit dans Hébreux 10. Il est dit dans Hébreux au chapitre 6, il est dit: … puisque nous crucifions pour notre part, le fils de Dieu… …et tenu pour profane le sang de l'alliance par lequel nous avons été sanctifiés, et… aura outragé l'esprit de la grâce?

140 Hébreux 10 dit: …si nous péchons volontairement après… avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour le péché, Mais une… une attente terrible du jugement, et l'ardeur d'un feu… Car nous savons que c'est une chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant. Pendant qu'il y a de la miséricorde, de la miséricorde à la Fontaine, de la place à la Fontaine…

141 J'aimerais vous parler de cette Ecriture pendant que vous êtes en train de prier. De quoi parle cette Ecriture: "Ceux qui ont été une fois éclairés, ils leur est impossible de parvenir à la pleine connaissance…"? C'est comme les croyants frontaliers, comme dans Genèse 14, ou quand le - quand le… Dans Exode, quand les Israélites sont allés à la Terre promise, ils ont goûté les raisins même en provenance de la Terre promise; mais ils sont revenus dire avec crainte et lâcheté: "Nous ne pouvons pas traverser; l'opposition est trop forte", les croyants frontaliers, des gens qui viennent à l'église et oh, ils disent que c'est merveilleux, mais qui jamais ne mettent la main là-dessus, qui ne veulent jamais tomber par terre à l'autel et dire: "Ô Dieu, remplis-moi de l'Esprit, laisse-moi devenir l'un des Tes enfants." Frontalier, nous ne voulons pas de ça.

142 Soyons de vrais chrétiens. Que cette église soit en feu, avec des réunions de prières tout le temps, avec des réunions partout dans la ville, des ouvriers qu'on n'a pas besoin de pousser par des ordres, mais qui sont disposés à travailler tout le temps pour le Royaume de Dieu. Que les autres églises qui sont représentées ici, que leurs membres retournent dans leurs églises avec cette expérience. Déchargez-vous de vos soucis sur Lui, car Il prend soin de vous. Il est le Consolateur.

143 S'il y a quelqu'un comme cela ce soir, qui confesse sincèrement devant Dieu qu'il n'a pas cette paix-là, à savoir qu'on s'est déchargé de chaque souci sur Lui, mais que vous voulez cela, vous avez essayé, vous avez trébuché là-dessus, vous n'en êtes jamais arrivé à pouvoir vraiment vous abandonner entièrement à Lui, et vous aimeriez le faire, voudriez-vous dire: "Souvenez-vous de moi dans la prière, Frère Branham, alors que je lève les mains"? Voudriez-vous lever les mains maintenant, dire simplement: "Souvenez-vous de moi dans la prière, Frère Branham." Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, soeur. Qu'Il vous bénisse, et vous, et vous là-bas. Oui. Et là au fond, que Dieu vous bénisse. Il voit vos mains se lever. Que le Seigneur vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse vous qui êtes juste ici devant, soeur. Et que Dieu vous bénisse là derrière, mon frère. Il prend soin de vous. Nous avions l'habitude de chanter un petit cantique: Il prend soin de toi,
Il prend soin de toi;
Sous le soleil ou à l'ombre,
Il prend soin de toi.

144 Vous vous souvenez, Arizona, de mon premier voyage ici, et vous avez chanté ce cantique pour me dire aurevoir, une petite chorale espagnole par ici, de l'église de frère Garcia; quand nous nous sommes rassemblés là-bas en Californie, quand je descendais l'allée et que nous pleurions en nous faisant signe de la main. Plusieurs sont devenus des pères et des mères et plusieurs se trouvent dans l'au-delà, ce soir. Mais Il prend toujours soin de vous. Il continuera à prendre soin. Quand rien d'autre ne pourra prendre soin, Lui prendra soin. Vous L'aimez maintenant et vous voulez… vous voulez qu'Il prenne soin de vous, mais il vous faut prendre soin de Lui. Levez la main, dites: "Souvenez-vous de moi dans la prière, Frère Branham, j'ai un besoin ce soir, je ne suis pas capable de le déposer sur l'autel. A moins que…"

145 Retirez-vous tout simplement, déchargez-vous de cela sur le Seigneur et dites: "Seigneur, j'ai - je suis un fumeur." Que Dieu vous bénisse, frère. "Je suis un buveur. Je suis - je suis un menteur. Je n'arrive pas à cesser de plaisanter, à faire des sales plaisanteries. Je n'arrive simplement pas à cesser de boire, de prendre un verre amical, je fréquente le monde. Je - je désire - je désire me débarrasser de tout cela. Je - je - je suis quelqu'un qui regarde toujours de mauvaises choses, les rues sont remplies de - de femmes et d'hommes impies. Et - et cela - cela… je - je veux - je veux m'en débarrasser. Veux-Tu bien, ô Dieu, me permettre d'être en mesure de me décharger sur Toi de tous mes soucis ce soir."

146 Voudriez-vous lever votre main et dire: "Priez pour moi, Frère Branham. J'abandonne tout maintenant ici, et je le place sur l'autel, et je vais me décharger de tous mes soucis sur Lui." Y a-t-il quelqu'un d'autre avant que nous priions?

147 Que Dieu bénisse ce jeune homme qui a la main levée, le petit ami qui est assis là en pull rouge. "Un petit enfant les conduira." Certainement, les Ecritures sont vraies.

148 Y en a-t-il un autre quelque part qui voudrait lever la main pour dire: "Priez pour moi"? Le petit garçon espagnol assis ici. Que Dieu te bénisse. Quelqu'un d'autre? Que Dieu vous bénisse là, madame, je vois votre main. Vous monsieur, là-bas, je vois la vôtre. Et le jeune homme espagnol qui est là derrière. Et cette dame assise ici. Je vois. Dieu voit votre main; Il connaît vos sentiments. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse, frère. C'est bien. Y a-t-il quelqu'un d'autre qui dirait: "Souvenez-vous de moi, Frère Branham"? Que Dieu te bénisse, toi là derrière, fiston. Que Dieu vous bénisse, soeur. Et toi aussi, la petite fille assise ici. Là au fond, je vois votre main, cet homme vraiment costaud qui a les mains en l'air. Que Dieu te bénisse, toi jeune homme, assis ici, encore à la fleur de l'âge, assis ici avec la tête inclinée

149 Oh! quel moment! Des décisions sont en train d'être prises: "Puis-je me décharger sur Lui de tous mes soucis?" Ça peut sembler étrange. Que Dieu bénisse ce couple âgé [Espace vide sur la bande. - N.D.E.] "Par ici, je désire me décharger sur Lui de tous mes soucis." Oui, abandonnez tout simplement tout. Je… [Espace vide sur la bande. - N.D.E.] "Voici tous mes soucis, je m'en décharge sur Toi. Je crois." Que Dieu te bénisse, jeune fille là derrière, la jeune fille espagnole. Ce jeune homme là-bas, cette jeune dame là-bas. Oui, que Dieu vous bénisse. C'est bon. Y en a-t-il encore un autre juste avant que nous ne priions maintenant? Souvenez-vous, vous êtes en train de prendre votre déci….

150 Qu'Il Bénisse ce petit garçon. Qu'Il Bénisse la jeune femme ici. Oh! vous qui êtes en train de prier, j'aimerais simplement dire quelque chose. L'un des plus doux petits regards …s'il y a un lendemain, voilà un ministre d'environ quatre ans, assis là en train de me regarder.

151 Eh bien, souvenez-vous, l'esprit de discernement, je n'ai pas exercé cela ici dans cette église tout au moins la dernière soirée ou les deux dernières soirées. Je veux d'abord obtenir quelque chose d'autre. Il y a des gens qui sont assis ici avec des témoignages dans leurs coeurs (je le sais), ils ont été guéris il y a des années et toutes ces choses. Mais je voudrais mettre en premier, les choses essentielles. Disposons nos âmes de façon à pouvoir nous confier en Dieu et tout déposer sur l'autel, en disant: "Seigneur Dieu, me voici. Sinon que Ton sang a été versé pour moi,
Et que, Tu m'invites à venir à Toi,
Oh! Agneau de Dieu, je viens! je viens! [Frère Branham se met à fredonner "Tel que je suis." - N.D.E.]

152 Je me demande maintenant, étant donné que beaucoup ont levé la main…

153 Il y a quelque chose de doux dans l'église. C'est là où les saints se rassemblent à maintes reprises pour prier, là où la Parole est prêchée à l'estrade. Il y a quelque chose d'aimable dans une église. Aujourd'hui, le monde est tellement peuplé, il est quelque peu difficile de tenir une campagne dans une église, les gens restent debout et en attrapent le crampe.

154 Et mon précieux frère, ma précieuse soeur, il y a environ douze ans, je suis venu vers vous comme un jeune homme au début de son ministère. Beaucoup d'entre vous sont encore là. Je vois que madame Waldrop est là alors qu'elle avait été amenée ici dans un brancard, morte du cancer du coeur, cela fait des années. Et le Saint-Esprit l'a ramenée à la vie. Ses médecins ont donné leur témoignage et ils en avaient les attestations. Il y a d'autres assis ici, qui… c'est prouvé mes amis, qu'Il vous aime.

155 Voudriez-vous donc venir ici ce soir? Vous qui avez levé la main, qui avez quelque chose dont vous voulez vous décharger sur le Seigneur, votre souci; voudriez-vous venir ici et me laisser simplement prier avec vous? Venez, tenez-vous débout. Vous qui ne connaissez pas Christ comme votre Sauveur, ou si vous Le connaissez, mais vous avez des habitudes dont vous n'arrivez pas à vous débarrasser, ou autre chose, voudriez-vous venir ici? N'ayez pas honte maintenant. Vous dites: "J'ai levé la main, Frère Branham." Alors certainement que vous vous avanceriez ici et diriez: "Je confesse publiquement que j'ai besoin de Christ. Je désire venir ici et me tenir debout."

156 Il a dit: "Si vous avez honte de moi devant les hommes, J'aurai honte de vous devant Mon Père et les saints anges. Mais celui qui me confessera devant les hommes, c'est celui-là que Je confesserai devant Mon Père et les saints anges."

157 Voudriez-vous descendre l'allée maintenant? Venez directement ici et tenez-vous debout.

158 Une jeune femme s'amène, peut-être que… je pense que c'est une Chinoise, elle vient maintenant pour confesser publiquement qu'elle a besoin de Christ. Que Dieu vous bénisse, soeur. Juste là, je serai avec vous dans un instant.

159 Y en a-t-il d'autres qui voudraient venir maintenant même pendant que nous chantons? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Doucement et tendrement… Maintenant, si vous voulez vous décharger sur Lui de vos soucis, venez, jetez-vous, Il t'appelle… sur Son autel ici avec...

160 Levez-vous carrément; venez juste ici. Nous voulons nous tenir ici et prier avec vous, vous imposer les mains.

161 Le voici au portail qui attend et observe, Attendant…

162 Qu'observe-t-Il? Il observe pour voir si tu es vraiment sérieux ou pas. Viens maintenant, viens. Es-tu sérieux? Certainement. Reviens à la maison, reviens, reviens… (Que Dieu te bénisse. Que Dieu te bénisse, jeune homme là-bas.)
Toi qui es fatigué, reviens à la maison;
Instamment (oh Dieu) tendrement, Jésus…

163 Ce soir, avez-vous un souci dont vous ne pouvez pas vous débarrasser, dont vous voulez vous décharger sur le Seigneur? Venez.
Oh! pécheur, reviens à la maison! Reviens à la maison, reviens à la maison, toi qui es fatigué, reviens à la maison.

164 [Frère Branham quitte la chaire et prie avec les gens qui sont à l'autel; un autre frère continue à chanter "Doucement et tendrement" et demande instamment à d'autres de venir. - N.D.E.] Bien que nous ayons…

165 Ne voudriez-vous pas venir maintenant, juste là, et vous agenouiller tout autour pour la prière. Vous qui n'êtes pas convaincu, et qui êtes debout à votre place, ne voudriez-vous pas venir? Venez. … pour toi et pour moi.
Reviens à la maison (que Dieu te bénisse, jeune homme. Que Dieu vous bénisse, frère) … maison,
Toi qui es fatigué, reviens à la maison.

166 [Frère Branham quitte de nouveau la chaire et prie avec les gens qui sont à l'autel, le frère continue à chanter "doucement et tendrement" avec l'assemblée, tout en leur parlant. - N.D.E.] Reviens à la maison…

167 Y en a-t-il ici qui n'ont pas le Saint-Esprit, qui n'ont jamais été remplis de l'Esprit de Dieu, qui ne sont pas sûrs de leur position? Levez la main, dites: "Je n'ai pas reçu [encore] le Saint-Esprit, Frère Branham." Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru? Si ce n'est pas le cas, levez la main. Voudriez-vous venir vous agenouiller ici même maintenant, et nous laisser prier pour vous, afin que vous receviez le Saint-Esprit? Venez maintenant pendant que nous chantons. Reviens à la maison, reviens à la maison,
Toi qui es fatigué, reviens à la maison,
Instamment, tendrement, Jésus appelle,
Il appelle, ô pécheur, reviens à la maison!
Pourquoi devons-nous attendre alors que Jésus…

168 Ne voudriez-vous pas venir maintenant juste ici, maintenant pendant que Jésus appelle? Peut-être que c'est le dernier appel. Nous ne le savons pas. Ça peut ne pas être le cas; mais toutefois ça peut l'être. Ne voudriez-vous pas venir? Ne courez pas de risque à ce sujet. Si vous n'êtes pas sûr, venez maintenant. Voudriez-vous venir? … traîner et ne pas faire cas de Sa miséricorde,
La miséricorde pour toi et pour moi?
Reviens à la maison, (Que Dieu vous bénisse, frère, soeur!)
… maison,
Toi qui es fatigué… [Frère Branham parle à un frère, puis quitte la chaire. - N.D.E.] Vous devrez prendre cela.. Que Dieu vous bénisse...?...

1 Shall we bow our heads now while we speak to the Author of the Word. Our heavenly Father, we are grateful to Thee for this grand and noble privilege of coming to Thee again this evening, coming humbly in the Name of the Lord Jesus, asking the forgiveness of our sins, and that You will visit us again tonight and give unto us the exceedingly, abundantly, above all that we could do or think.
We pray for every person that's in Divine Presence, for the ones that are sinful, first, that doesn't know Thee that tonight there might come a healing of their soul and their spirit, that they might altogether become Your servants tonight. We pray, Father, that those who are on the fence, as we would call it, they just don't know which way to turn, and it may be, this be their last opportunity, we pray, Father, that they will turn their eyes towards heaven. Grant it, Lord.

3 We would not forget those that are convalescence, that's in the hospitals and in the--the homes, and that's sick and cannot attend the service, though they would love to so much. We'd ask that the Angels of God would draw near their bedside tonight. And maybe 'cause that we have assembled together and prayed, that You will let healing power come to them, that they can come tomorrow night to the service and continue on. Grant it, Lord.
There be some here who are sick and afflicted, may this be the night of their deliverance. Bless us together as we wait farther on Thee, for we ask it in Jesus' Name and for His sake. Amen. (May be seated.)

5 So good to be back in the house of the Lord tonight. I, just walking in the door out there, and I met a--a fellow. I reached up like this and got ahold of his hand, it was Brother John Sharritt's boy. I don't know how that boy ever growed that much. I asked him, was David as big as he was. And, well, it just seems like a year ago, I was here. And I think it's been about three years. But he was just a little boy running around in a little pair of overalls. And here he is tonight, a strong, tall (Well, I don't think he's listening.), I'll say, handsome young man. But he certainly has growed up. And that's the way everything goes. We're just growing away from ourselves.

6 And I was out today to Camelsback Mountain, where thirty-three years ago I rode through a wilderness out there on the back of a horse, chased burros behind South Mountain here. I don't think there's any left in Arizona no more; it's all cut up in roads and highways. Well, there's one thing, "Here we have no continuing city; but we're seeking one to come, whose Builder and Maker is God." I know that people coming in, and you have to go out and spread out. But I just hated to see the old cactus beds leave, and turned into housing projects. And--and just look like... I hate to see that. I hoped I wouldn't stay long enough to see it. It's... I--I like the original somehow. Oh, you got beautiful homes; that's true. But that's--that's perverted; that's what man has done. My thought of beauty isn't what man has made, but my thought of beauty is the way God makes it. Just to look, that's the way I like it.

7 But our nation is going, or our people are going, and everything here is going. I've stood on where the great Pharaohs once stood and the great powers that ruled the world, and you'd have to dig twenty feet under the earth to find the ruins of their kingdoms. And in where the Caesars in Rome, walk down the street and they'd say, "Twenty feet below here was where So-and-so, the great emperor..." Oh, my. There... because we have no continuing city.
So our hopes is built on nothing less
Than Jesus' Blood, with righteousness;
When all around my soul gives way,
He's then all my hope and stay.
On Christ the solid Rock I stand;
All other grounds are sinking sand.
(That's what we look forward to.)

8 And now, tonight we see the people are standing around the sides. And I understand that tomorrow night they're to be down at the auditorium, or what, Madison Square Garden. Say, I hope they haven't brought that out west now.
Everything's going west. I heard sometime ago, a little poem, said, "They turned the grazing lands... When the easterners come west, they turned all the grazing lands out here into a golf course. And they took the old corral and made a swimming pool; put the coyote in the New York Zoo." And said, "There's only one thing left, that was a rope to hang themself with, on a cottonwood tree." So I guess that's about the way it goes. That's right. That's...

10 Did you ever notice civilization moves from east to west? And where civilization goes, it pollutes its way as it goes. That's exactly the truth. You think I'm a pessimist right tonight, don't you? But that... I want to preach on, one of the nights while I'm here, the Lord willing, on when the east and the west meets. And that's what they've done. We... The oldest civilization is China. And if we go straight west, we go right into China again. There's nothing but the ocean between us. And the east and west moves together.
And remember, the Bible says, the prophet said that there would be a day come that it would not be neither day nor night, kind of a dismal day; but in the evening it shall be Light in the evening time.

12 Now, civilization has traveled from east to west. And as the sun geographically rises, it rises in the east and travels westward, and goes down in the west.
Therefore, let's look what the S-o-n did when It brought Gospel Light. At the beginning on the eastern people, there was a Pentecost, an outpouring of the Holy Spirit, signs, wonders, miracles, great things taking place.
Now, we've had a day that hasn't been neither day nor night; it's dismal. We've had enough to--to join church, put our name on the book, "But in the evening time it shall be Light." The same sun that rai--rai--rises in the east, sets in the west. And now, that great Holy Spirit down through the years has shone enough Light through the midst of church-anity and denominations, and so forth, for a people to be saved all down through the age.
But it's come the evening Lights now. And now the same Holy Spirit, with the same manifestation, doing the same things, working just as It did, is shining on the western people, taking from the Gentiles a people for His Name's sake.

16 And now the east and the west has come together, and civilization has clashed together, and it's brought in one of the most ridiculous, uncivilized condition that the world has ever seen or dreamed of. We'll get on it one night; that's what--wasn't what I was going to speak on tonight. But it certainly is a time, that we're at the end time. That's what I am trying to do to warn the people, constantly, that we are at the end time.
What can we do? There's not hopes in anything no more, only in Christ. Just remember that. Christ is the only Stay we have.

18 We can't look at democracy. Now, it was right; but it's run; it's lived its life. Kings lived their life, and kingdoms, and dictators and all have lived their day. Democracy was the best thing they had. But it's so polluted through politics; it's rotten to the core, no hopes on it at all. You're just like trying to build on a charred city that's burnt to smolders. You can't build it. It's ruined and gone. And it has to be that way. It must come that way. The Bible says it'll be that way.
Satan is the ruler of every nation. Every kingdom belongs to Satan, and he rules them according to his own way of ruling. But did not he offer them to the Son of God one day? "These are mine, I do with them whatever I want to, all the kingdoms of the world." That's the reason they fight, and kill, and murder.
But Jesus said, "Get thee behind Me, Satan."
For He knew that He would fall heir to them. "And rejoice, all ye heavens and ye holy prophets, for the kingdom of this world has become the Kingdom of our Lord, and He shall rule it and reign a thousand years." Then there'll be no more war. Oh, for that great day to come.

22 Oh, let me persuade you, in Christ's Name. You precious people here, put all your hopes on Him, for He's the only foundation. For there's coming a shaking. Democracy's shook to pieces. Kingdoms is shook to pieces. Nations is shook to pieces. We're at the end of all things. "But we receive a Kingdom that cannot be moved; steadfast, unmovable, always abounding in the mercies of God." Oh, I love that. I'm so glad tonight to be a Christian. I--I--I don't know what I would do if I wasn't a Christian. I'd probably be a suicide case if I wasn't a Christian. For knowing and seeing these things, and--and then with the gift that the Lord has given me to foresee and understand what He will let me do, just let me see it... I know it's just across the horizon yonder. See? See it coming as close as it is, then it makes me scream with all that's in me. Oh, flee the wrath that is to come.

23 God, be merciful. Heavenly Father, O God, I pray. Somehow help us, Lord. Give us a understanding of this great something that's slipping up like a serpent, charming, as it was, the bird that's has once been free, setting in the tree, but now the serpent has caught its eye. And it's weaving, giving a way, soon it'll be into his mouth and his poison fangs. God, be merciful. May everyone here tonight, that's not perfectly anchored away in Christ Jesus the Son of God, may they come tonight and be borned anew of the Spirit, Lord, and that their hopes might be on His coming, "All those that love His coming." Grant it, Lord. In Jesus' Name we pray. Amen.

24 I want to take my subject tonight, the Lord willing, from the Book of I Peter. And if you wish to read with me, the I Peter the 5th chapter, and let's begin about the 5th verse: I Peter 5, beginning with 5.
Likewise, you younger, submIt yourselves to the elders. Yea, all of You be subject one to another, that--and be clothed with humility: for God resists the proud, and giveth grace to the humble.
Humble yourselves therefore under the mighty hand of God, that he may exalt you in due season:
Casting all your cares upon him; for he careth for you.
What a beautiful Scripture reading. Now, I'd like to take this for a subject: "He Careth For You."

26 And it is also written in the 14th chapter of St. John:
Let not your hearts be troubled: if you believed in God, believe also in me.
For in my Father's house are many mansions: if it wasn't so, I would've told you. I will go and prepare a place for you.
And if I go and prepare a place for you, I will return again, to receive you unto myself; that where I am there ye may be also.

27 Another statement of the Scripture is that He would pray the Father, and He would give us another Comforter. And that Comforter would be the Holy Spirit, who the world could not receive, but It would be a Comforter to the believer. "And when He comes, He will testify of Me, and bring things to your remembrance, that I have taught unto you, and will show you things to come." The blessed Holy Spirit...

28 And in the days of Paul when he said, "If we--one unlearned come among you, and you all speak with tongues, and there be no interpreter, then the unbeliever will say you're mad. But if there be one prophesy and reveal the secret of the heart," said, "then they'll fall down and say truly God is with you." And here we are in this day, with that same Comforter manifesting Himself in the same way that He did then. What a consolation with a promise...
Now, everyone doesn't have this wonderful Comforter. They--they don't... They don't have It. They refuse It; they reject It because they just don't believe in It.

31 There's only one way that you'll ever be able to receive this wonderful Comforter is when you believe on the Lord Jesus Christ, confess your sins, repent, have Christian baptism administered to you, and a promise that God will fill you with the Holy Spirit. That's His promise. He cannot go back on That. It's His promise. I've always said, if a person was thoroughly taught, and was repented, and from their heart had believed on God with all that was within them, and when they are baptized, immediately the Holy Spirit will come upon them, because He promised to do so. He promised it. "You shall receive the Holy Ghost, for the promise is unto you."

32 Now, people today, the reason that they don't receive that, is because it interferes with their spiritual life that they desire to live. The Bible said that the world, man, loved darkness more than Light, because their deeds are evil. And a person who loves to walk in darkness and do evil things, is--loves evil works, cannot love the Holy Spirit. Because the Bible said, "If you love the world, or the things of the world, the love of God is not even in you."

33 Now, you might've heard these Scriptures before, but let's take heed to Them. Are They true? They are more true than you're setting in this church tonight. They're more truer than this is the state of Arizona. They're more truer than you are a live human being. They're God's eternal Words, and His promises. And all heavens and earth will pass away, but them Words shall never pass away. They have meaning, the--meaning sublime. But they'll never mean nothing to you until God reveals Them to you. How beautiful it is to know that He cares for us.

34 So if man... He was made to want to be comforted. So then if he doesn't accept God's way, then he'll take a way for himself. And he'll try to substitute something to take the place of that Holy Spirit. Oh, I want you to listen to it. A man or a woman that will not accept the Holy Spirit, the Comforter, will try to comfort themselves with some violent substitute that Satan will present to them. Satan's just got plenty of substitutes. But why do we have to have a substitute, when the Pentecostal skies are full of real? Why would I eat from a garbage can when a clean table's setting full of choicey food? There would be something mentally wrong with me if I did that. Now, what a pity it is to see that man will try to substitute something to take that place. Sometimes he'll try to ease his conscience by going out...

35 Like mother sometime will try to teach their young girls to be popular, to make... They... Their whole ambition is to make that young girl a--a ballet dancer or something. And you know that you're giving her strychnine; you're giving her arsenic that'll nothing but break her heart and send her to a devil's grave, or a devil's hell and a sinner's grave, for there's nothing good can come out of it. But you try to think, "If my daughter could be such-and-such..." And you'll send them over to the--even to as much as to our YWCA's, where they practice rock-and-roll. And the old people will get out for a barn dance, or some kind of a hoedown.

36 When they get around about thirty years old, they get the blues. They think that, "Then because that I have gotten this old, I haven't sowed enough wild oats yet." And they--they try to sometimes cheat in their marriage vows, both men and women; they're both guilty. What's the matter? It's something that they are lacking.
Sometimes they'll take to drinking. And after they get older, why, they'll go down to the barroom, and they'll start to drinking. And when they drink, and try to drink it away. Just a few drinks, and--and then it brings some more drinks, and after while they end up an alcoholic.

38 And sometimes to be popular, they'll watch television on the--and on the streets, and smoking, the lowest thing that women has done in the twentieth century, when women started smoking cigarettes. That's the greatest fifth columnist this nation ever had. It breaks morals; it--it--it sends these institutions out here full of insanity people; it sends the hospitals full of tubercular, cancer cases, and everything developing from it, and yet they do it to get comfort.
God gave us something to comfort us: the Holy Spirit, God's Comforter. These things are only substitute that'll finally lead to a place rioting, and cheating, and stealing, and doing things wrong.

40 My little girl asked me the other night; she said... Or it was little Joseph, he said, "Daddy, is there such a thing as a witch?"
I said, "Oh, sure."
He said, "Does she have a long nose, and she rides on a broom at nighttime?"
I said, "No. She has a painted face and rides in a Cadillac to a--a cocktail party." That's the new modern version of it.
And he said, "Is that a witch?" I don't know whether I should've told him that or not, because every time on the street he sees one, he says, "Daddy, there's a witch, isn't it?" Well, I suppose that...

44 You know, they used to have old Charley Barleycorn. Some of you older people remember him, with the hat pulled down over his ears. And even a crow would be scared of him: Charley Barleycorn. Oh, he's changed since prohibition went out. But now he's in a little bumper, setting in every icebox, and he's the most popular fellow in the city. But he's still the same damnable thing that sends men's soul to hell, and young people to the insane institution; and has got an age up here of rock-and-roll idiots and beatniks, and juvenile delinquency, till it's become insanity. Even till our schools can't touch them; we lost twenty thousand teachers last year.
Why? They're searching for something. They're looking for it, and the church has failed to give it to them. The reason they do that, because they were made that way to search.

46 Finally, what does it end up in? Murder and suicide. Man who thinks that he's doing something when he gets a date with his neighbor's wife, or would break up some home or some woman. You think you're getting by with something, but finally you'll end up with a pistol to the side of your head, and blow your brains out, or jump from some scaffold somewhere, or kill yourself, take poison, dope, or something, and go into a miserable condition, and die and go to a devil's hell, because you've rejected the-- the real cure.
We got a cure. Calvary's that cure. Christ is the Cure. And He is the only cure, the only foundation, the only way. There's things that you can get from Christ that you can't get from nowhere else. Christ is the way; not a way, it's the way. The church is fine; we love them; but the church is not the way. Jesus is the Way. Can't cast your cares upon the church, the church has no salvation. It can only point you to Jesus, Who is the only Salvation. He is the Way, the Truth, the Life. The only way to the Father is through Jesus. The only Comforter, the only One Who can--knows how to care for us, for we can't even care for one another.

48 I read in the Scripture some time ago, where It said, "Not discerning the Lord's Body." And I thought, "What a statement," found in I Corinthians 11.
... not discerning the Lord's body.
And for this cause many are sick and weakly among you...
The Lord's Body is the Church. And we do not have spiritual discernment enough to care for one another. How can we care then if we can't care for each other? How can we care for the lost and the dying? What hospital can we take them to? "Cast our cares upon Him, for He careth for you."
Man takes this short routes, and what makes them do that is because God, when He made man, He didn't make man to do that. He made man to be happy, to have satisfaction, to be comforted. Man... God doesn't want His children to be uncomfortable. You would not...

51 Why, you mothers would get up in the middle of the night, if you were ever so sick; if junior had the cover kicked off of him, and you know that the little fellow might take a cold, you'd struggle some way to get to the bedside to make him comfortable. If one of your loved ones was laying sick with a fever, and you could stay there with a rag and bathe their face in cool water to make them comfortable, you would do it, one of your children. You would set there, though you were sick and you needed to be in bed yourself, you'd still set there; because your children mean something to you. They're a part of you; they're your life.

52 And the Church is the Life of God on earth, and He wants to comfort His Church.
And how it would be, if you knowed that wiping the fevered brow of your child would comfort it, and it would refuse, and spit in your face, and reach and get a bottle of whiskey or something to take instead--instead of the touch of the mother's hand or something.
That's what we do when we turn to other remedies. There's many remedies, but one Cure. Christ is the Cure, and the only Cure in this. He cares for us. He loves us, and He wants us to come to Him. God made us that way, that holy thing in us that wants to be comforted.

55 God gave man a wife to comfort him, to touch him. And any man knows, that's got a good wife, there's something about a good wife that can... A man be upset in his business or--or his walks of life, and can come home; no matter, there's no one, no doctor...
It is that way with me. When I come from overseas or somewhere, and I'm so nervous and upset, and loss of sleep. And--and hear the cry, and seeing the little hungry children on the street, and, oh, crying and going on, it just kills me. Then when I come home, if wife will set down on the arm of the chair, put her arm around me, and say, "Oh, Bill, I--I understand it, you know."
And just a few little pats from the wife mean so much: same thing, a husband to a wife. That's the way God want it to be. And when we substitute something for that, and you'll get some other woman to try to take that place, or some other man, you see what you do.

58 Now, why, He give us friends. He loves... We--we should be friends. We should be brothers. And how that it's good to go to a good friend in time of trouble and say, "Oh, friend of mine, certain-certain thing has happened." And a good, trusted friend to set down and talk with you, that's wonderful. That's of God. Just like your wife is of God, your husband, when you're true.
But it's got so in even man to show his fallen nature, he degrades that that God give him. First thing, he took the bottle, or the world to give him comfort in the stead of the Holy Spirit. God give him a wife to be his life's companion, and he's not satisfied with one, he has to get another and another; vice versa, the woman to the man; young people, and so forth.

60 And even all those comforters that the Lord has given us, when it comes down to the end of the journey, and we are pressing a pillow against our fevered brow and dying, our wife can only stand, and the tears run down her face, with her eyes up towards God. Our friend can pat us on the shoulder and shake our hands, and stand, wringing his hands, because he can go no farther. But then when the Comforter, as David said, "Yea, though I walk through the valley of the shadow of death, I'll fear no evil. Thou art with me. Thy rod and Thy staff they comfort me, even in the valley of the shadows of death."

61 Why is it man thirsts and hungered? Because when he was made, he was made and created with a little place in him that God dwelt to comfort him. And when he shook hisself away from God by sin, then that place is vacant. And that's why he's hungering for it, reaching for it.
And the trouble today, with us Christians, I'm afraid we're not doing all we can do to show our fallen brother that that's what's the matter with him. That's what's the matter with juvenile delinquency, is because there's been a delinquency in the church and a delinquency in the home, that's made the juvenile a delinquency.
That's the reason that the beatniks and so forth are on the streets a-jumping up and down, and is growing all these things, is because they're trying to find something to satisfy.

64 Let me say this tonight in the Name of the Lord Jesus: There's nothing will satisfy like the coming of the power of the Holy Ghost, that'll change your life and your attitudes, and give you comfort and Eternal Life.
There is a Fountain filled with Blood,
Drawn from Immanuel's veins,
When sinners plunge beneath the flood,
Lose all their guilty stain.
A wife might comfort and pat. A friend might set down and give good advice. But there's only one thing that can take away sin, that's the Blood of the Lord Jesus.
What can take away my sin?
Nothing but the Blood of Jesus;
What can make me whole again?
Nothing but the Blood of Jesus.
As the writer said:
Oh, precious is that flow
That makes me white as snow;
No other fount I know,
Nothing but the Blood of Jesus.

66 That's it. That cleanses, and purifies, and brings in a fellowship, "A little while and the world will see Me no more. Yet ye shall see Me, for I (a personal pronoun) will be with you, even in you, to the end of the world. And when He the Holy Spirit has come, He will come--be the Comforter the Father will send in My Name. He'll show you things to come and bring things to your remembrance." When? As we set together in Heavenly places in Christ Jesus, the Holy Spirit coming through the Word, coming down, comforting, giving consolation.

67 The coming of destruction of the world, all the things that has been are now vanishing. All hopes is gone, and the world has nowhere to stand. They're drinking, gambling, marrying, given in marriage, because they have rejected the true Foundation of comfort, the Holy Spirit.
But we who believe in Him, are looking for a Kingdom to come (Blessed be the Name of the Lord.), where there'll be no more sorrow, or crying, or heartaches; but peace, and joy, and love, and immortality shall take its place someday.

69 Cast your cares. If you have cares, cast them on Him, for He careth for you. The other leads to eternal death. This leads to Eternal Life. And a man's made so he could want that Comforter. He's wanting a comforter, because he was made that way. That's the way God put him up together, built the rooms in him; his soul, his conscience, his sights, his senses, everything was put together. And in this little room of something to make him happy, to give him consolation, to take weary and nervousness from him, God set there with the Holy Spirit. Oh, what a picture, what a truth.

70 Now, my poor dejected friend, if you are here and don't know that, I'm a witness that that's the truth. I'm a nervous, upset person, Irish, on both sides, and--and they're nervous and drunks. And my mother's a half Indian, which would, actually, by birth, make me a renegade. That's right. Oh, I'd be a terrible person, a half-breed almost. But what happened? I found something that took that little room in me, and give peace that passes understanding, and I come from death unto Life, from darkness unto Light. Oh, I could never deny that. That's my Life. He's All.

71 Standing yonder in the hospital, when I come the closest of my thirty-three years of ministry, come the closest of ever giving to Satan. When my little girl, Sharon Rose, was dying in the hospital, I stood there, and the doctor didn't even know I was in the room.
He wouldn't let me go in, because she had meningitis. He said, "Billy, you'll give it to Billy Junior. Don't go in there."
And I said, "Doc."
And he set me down. He told the nurse, said, "Go, get some medicine and give him."
She come out with a little glass about that high and said, "Take this, Brother Branham."
And I said, "Just set it down." And I watched her till she got out of the room. And down through the hall I went, and down into the basement.

76 And there laid my baby, laying there with flies in its eyes. A little mosquito bar of a thing over the top of its face, it'd kicked it off. And I looked over to the little fellow's mother laying in the morgue. Her little brother, Billy, in a hospital, seriously sick. My father had just died on my arms a few weeks before there. And my brother killed instantly... And there it was, and me nothing but a boy preacher. And I looked over at her, and I looked. I said, "Oh, Sharon, honey, this is daddy, do you know me?" And I know she knowed me. She was trying to, look like, wave good-bye to me. And her little eyes was crossing. She was suffering so hard, I could see those little blue eyes crossing.
And then I looked at her. And I fell on my knees, and I said, "God, her mama lays yonder in the--the morgue; we're to bury her in the morning. Don't take my baby, Lord. Let me raise her. She's so sweet. And don't take her, Lord." Just then, looked like a black sheet come, unfolding, just shut off the vision from her. "You take her, anyhow." I raised up.

78 And then Satan come to my side, and he said, "And then you'd serve Him? Here you are, nothing but a boy. And you mean... What have you done? Stood on the street corner everywhere you could, and fasted till you was so weak you couldn't climb a telephone pole to do your work. And what have you done but preached and cried and prayed? And one word from Him would change the whole picture, but would He do it? No, He won't do it. He'll let her die. And then you'll turn around and serve Him? I come almost, in that hour...

79 When my legs wouldn't hold me up no longer, I leaned on the bed. I said, "Sherry, you know daddy." And she'd... Hear her wheezing like, and she'd look. I--I know she was dying,
I thought, "Just one word. He wouldn't have to even speak; He'd just look; His own mind would just change the picture, and the meningitis would leave her and she'd be well. Just one word, but yet He won't do it."
Satan said, "Then you'll continue on to serve Him?"
And I thought, "Where would I go? What could I do? Who could I go to? Where's my hope? Something happened to me," I said, "a few years ago down here, and I know that I love Him."

82 I walked over to the bed, put my hands on her little head, I said, "Darling, God gave you, and God's taking you away; blessed be the Name of the Lord. Though You slay me, yet I'll trust You." Yes, sir. I said, "I'll take you, darling, and lay you on your mother's arm yonder in the--in the undertaker's morgue in about a hour from now. But yet if He kills me, there's nothing I can go to. He's the only Hope that I've ever found. He's the only Foundation. He's the only Comfort that I ever had. And where could I go now for comfort, if it wasn't to Him?
When I said that, the Angels come and packed her away. And I just almost collapsed, but something happened. He was my Comforter. He came to me. He cared for me.

85 I went up to the grave, day after day, to meet the obligation of going there each day to mourn awhile and pray. The state senator was a member of my church, the Baptist church. And so then I--I was going up the road, and Mr. Isler, he said--come up and he seen me; he stopped; he run over and put his arms around me. I had boots on, it was right after the '37 flood. And I was walking up the road, my hands behind me. And Mr. Isler stopped, and he run over to me; he said, "Billy, I want to ask you something, son." He's an old man; he's still living, way in his late years now.
And I said, "What is it, Mr. Isler?"
He said, "I've heard you preach. I've heard you talk, and how you exalted Christ and said all these things about Him. And there He let your daddy die right on your arm with an overdose of medicine that killed him."
A doctor killed him. Not knowing what he was doing, give him a half grain of strychnine, and it killed him. And I... And he died right on my arms, looking me in the face.

88 Two or three days after that, I watched a dear Christian, my sister-in-law, my brother's wife, die, and seen her raise up and look at the robin setting in the tree, and sing, "There's a land beyond the river."
There my wife died, me holding her hand, saying, "Bill, you've talked about it; you've preached about it; but you don't know how glorious it is to move from this life to another." All these things there that I'd seen Him do...
And, oh, he said, "Now, He's took everything that you've got, what does He mean to you now?"
I said, "Thou the stream of all my comfort, more than life to me; whom have I on earth beside Thee, or whom in Heaven but Thee?" Oh.
He said, "Does it mean that to you?"
And I said, "It means that to me."

92 I went on up on the hillside there where she was buried. And I set there a little while, and seemed like an old dove come out, would sing, or coo, late of the evening while I set there and thought of her, and the baby laying down there on her arm. And seemed like the breeze, blowing through the pine trees, would sing.
There is a Land beyond the river,
That they call the sweet forever,
And we only reach that shore by faith degree;
One by one we gain the portal,
There to dwell with the immortal,
Someday they'll ring those golden bells for you and me.

93 Last things I told my wife when she died and I kissed her good-bye... She said, "Don't live single, Billy. Get some good woman that's filled with the Spirit of God to raise my children." She didn't know the baby was going to die the next day. And she said, "I'll meet you in that morning." She said...
I said, "Stand over there at the east side of the gate. And when you see Abraham, Isaac, and Jacob, and those children of the Kingdom coming in, just start screaming, 'Bill! Bill!' as loud as you can. I'll get the children together and meet you there." That was my last date with her. And by the help of God, I'll still cast all my cares on Him with the comfort of the Holy Spirit, that someday I'll make that date real, when I meet her there.
By the grace of God, I'll stay on the battlefield and preach till all my life is wasted away for the Kingdom of God.

96 Oh, cast your cares on Him; He careth for you. Now, He cares for you, now we know. Let's ask a few minutes if He cares for us. All right.
He cared for the leper when He was here on earth. There set the leper. Did you ever see a leper? Oh, I've seen many of them, hugged them in my arms, them white with leprosy. Looks like a seed wart turned inside out.
Setting where nobody would touch him, down in the slime and dirt and filth of the street, about as low as he could be, where everybody was afraid to get around him. He was a... He was a outcast. He was cast away from the society of the city, from the society of the church, from the society of--of everything there was in the city. No one wanted nothing to do with him. If they done anything, they'd pitch him a piece of bread and let him get it out of the dirt. They wouldn't get near him.
But Jesus cared for Him. He walked right down with him and set down. I can just see Him lay His hands upon him and said, "I will, be thou clean." Oh, He cared for him. When nothing else could care, He cared.
When nothing else will care for you, He still cares.

102 There was an old blind beggar, with his sleeves all torn, whiskers all over his face, and not nothing to eat, sit by a gate side one day, begging. And the Son of God, on His way to Calvary, to be crucified with the sins of the world on Him; but one screamed, "Thou Son of David, have mercy on me."
Would a man of that caliber, would a man, would a President, would the mayor, the governor of state, one on the police force, stop for such a thing as that? Seldom you'll find it.
But Jesus cared. He cast his cares on Him, and He cared. He said, "What would you that I would do for you?"
Said, "Lord, that I might receive my sight."
He said, "Thy faith has saved thee." He cared for him.

105 There was an immoral woman one time, like an alcoholic or a prostitute, so immoral till the women of the city wouldn't touch her. She was an outcast. She come out to get her water; she had to wait till noontime. She couldn't come with decent women. Nobody'd have anything to do with the woman. She'd been married, and had a bunch of husbands, and living common law then. Nobody cared for her. They were too stiff and starchy. Nobody cared.
But He cared for her so much that He told her the secrets of her heart, and forgive every sin, and put Something in her, that she run into the city, saying, "Come, see a Man that's told me the things that I've done."
See, that's what makes Him great to me. He isn't a stuffed shirt. He was God's grace to the people. He was God's love expressed in human flesh. No matter how little or insignificant, He cared; immoral, drunks, alcoholics, whatever it was.

108 I think of little Rosella Griffin in Chicago (her book's coming out now), that came into the meeting so vile till the--the great Alcoholics Anonymous had turned her down. And about six or eight famous hospitals of Chicago had wrote her name off the book, "never to come" there. Even till she was so low, until the only thing she had left was a coat that her mother give her; she cut it on the inside to put her bottles down into there, such an alcoholic, that she might not freeze to death, laying in the gutters at nighttime. A young woman, smart, educated, miserable hag setting in the balcony, up yonder in Indiana where we was having a meeting, no one seemed to care. If they knowed who it was, they moved back from her.

109 But Jesus cares. He moved me around, and said, "The woman sitting yonder, her name is Rosella Griffin. She's an alcoholic. She's been give up by the 's-Anonymous, and they can't do nothing for her. And so all hopes is gone. But she has believed on Him: "THUS SAITH THE LORD. From this hour on, no more alcohol." And now she's a sweet, loving Christian; from place to place, and from dive to dive, from jail to jails, preaching the Gospel to save alcoholics.
Jesus cares, so just cast your cares upon Him. In your sorrow, He cares. When you lose your loved ones, He cares; He cares for the dead, those who have died in Christ.

111 One day, He was so weary in His way, He could hardly go, But there come a--a band from the city, a funeral procession, and a little mother frantically throwing her hands in the air, and wringing them. "O Jehovah, why did You take him? He's my only son."
He was tired and weary, but He cared for that poor, little, heartbroken woman. Walked over to the--the carriers that--that carried the--the casket, and touched it, and said, "Son, rise." Why? He cared.
He understands. Now, we know, by His life, that He cares.

113 Now, the question is for us tonight, do you care? He cares. But now do you care? If you do not care, then He can't help you. But if you care enough, or care enough about yourself... I've heard people make this insane remark, "I don't care what becomes of me." Oh, my. I sure care what becomes of me. Sure, I do. I care. And I believe any person in their right mind cares. I want to know what's going to happen to me. And if I know He loved me, there no one else could love like that. He cares for you. He cares for you. No matter how little you are, how insignificant you are, how poor, how indifferent, how many times you've tried and failed, He still cares. His love still knocks at your heart's door. But are we ungrateful for that? In a day here where...

114 I've just told you. I hope it didn't go over your head. I hope it just didn't pass through lightly, but you remember these words, that everything's at the end. Civilization's at the end. Democracy's at the end. Everything... This nation is honeycombed, just any time to blow to pieces. Oh. Other nations, the world's at the end. For every mortal thing must die, that immortality can take its place. We've got to come to this place. We're here. We're at the end. And there's no other foundation; there's nothing else that you can... And nothing else can care now but Jesus, and He does care.
Don't you care enough to submit your life to Him, to love Him, to go to the streets, to go to your boss, to your neighbor, to everywhere with a sweet, gentle spirit... Separate yourselves from the things of the world and live such a peaceable, sweet life, that others will see Jesus in you. Don't you feel that you owe that to Him? Let's not be ungrateful.

116 You people here... Last evening when I went out, a little woman was standing at the door; I hope she's here tonight. When I went through, she was standing there with a little baby. It got to crying. She wasn't a Christian. But she didn't want the message to be interfered, so she took her baby and slipped out with it. When I went out the door, she said, "Oh, how I would've loved to have heard the end of that message." And I...
Something just said to me, "This is provi--not providential. This is of God."
I said, "Lady, are you a Christian?"
She said, "No, sir. I hope to be sometime." Lovely looking little mother, with a little baby in her arm...
I said, "He's here. Don't put it off too long." And there we bowed our heads together there, and prayed. And I asked God to take her soul.
And at the end, when I got through praying, she said, "Amen." And she begin to wipe the tears from her eyes.
Why? She showed. When she wanted the message though, if she didn't get it, maybe she had somebody here to get it. She wanted somebody else to get it. And what did it do? God cared. So He had her standing right there, just exactly the place to receive it, That's it. He cares. He knows how to work things just right. Are we grateful enough?

123 Reminds me of a story of something happened in a city near by. Some years ago a mother had sent her girl away to college. Her name was Mary. And so the girl was a fine girl when she left home. She'd... Her mother had washed over a washboard, and so forth, to--to pay her way through college. And one day she went to visit home. And she'd got mixed-up out there with a mixed class of people. And she got in fellowship with an unbelieving girl that was very worldly and ungodly.
And it's bad when you go to s--segregating with such as that. Separate yourselves from the things of the world. Come out. Don't be better, try to act like you're better; but don't mar your garments with the sin, "Don't be partakers of other man's sins." If you want to speak a word of encouragement to people, all right, but don't have to wallow with the pig. You stay away from it. That's right.

125 And she'd got down into the gutter with this girl. And then when she come home, the train stopped in front. And the girl, setting at the window, looked out. And there was an old woman out there, that was all scarred all over her face, and her neck drawed way in, her little hands bony like that, looking with all that was in her heart, watching for someone to get off the train.
And this girl was with Mary; she said, "Mary, look at that old haggy-looking woman." Said, "Isn't she awful looking?" And that was Mary's mother.
And Mary, because of the feeling of her friend, she said, "Yes, she is, very."
And when they got off of the train, Mary caught in that stage, her mother run up and said, "Oh, darling, I'm so glad to see you."
And Mary turned her back to her mother. And she said, "I don't know you," and started to walk away.

131 And there happened to be a conductor standing there, and he jumped on this box, and he said, "Wait a minute." And he attracted the attention of all around. He said, "You child of misery, how could you turn your back on your own mother because of that little flip that's with you? Aren't you ashamed of yourself, Mary?"
Said, "I happen to know the case. Listen here, young woman," to the other girl that had made the remark about it. Said, "That's her mother. And Mary will never see the day that she was half as pretty as her mother. I knew her when she was young." And said, "She was happily married. And she had this little baby, Mary. And she was upstairs, and she had the windows open so that the--the breeze would... And the little cradle up there." And said, "She went downstairs and was doing her washing, hanging them up in the backyard. And fire caught in the house. And before she knew it, the house was all aflame, the neighbors running. And when Mary's mother come around, said, she said, 'My baby! My baby, it's upstairs!' And the firemen said, 'The house is out of control. There's no way to get to it now.' But what did she do? She grabbed her little apron off of her, that was wet with wash water, and wrapped it around her face, and run through those blazes. And the policemen trying to stop her. She run up the stairs real quick. Why? Her loving baby was laying there. And she grabbed the baby, and she thought, "The wet garment protected me. But now if I take the baby back through, it'll cut it to pieces, those flames.' So she wrapped the baby in her own wet garment, held it in her bosom, and run through the blazes. And they tore the meat from her face."
Said, "That's the reason she's ugly. She's ugly, that you might be pretty. And you mean you'd turn your back on your mother that made such a sacrifice?" In shame she bowed her head.

134 I think that's the way we ought to be. This Gospel, this Comforter that we have, this Holy Spirit that the world calls fanaticism, that the people want to say they're holy-rollers, are you ashamed? Are you ashamed of the sacrifice that Jesus made yonder on the cross, that we might have this comfort? Would you swap It for the comfort of the world, a popularity of some neighbor? God forbid. May we cast our cares on Him, for He cares for us. May we love Him and cherish Him with all that's in us.

136 And, oh, as the disciples returned back, rejoicing because they were counted worthy to bear the reproach of His Name, that's the way I feel tonight. I don't care; you can say I'm out of my mind; you can call me holy-roller. And my Baptist church told me I'd lose my mind, or I would go be a holy-roller.
My father and mother turned me from their house with nothing but a paper sack under my arm, with some clothes under it; a little shirt and a change of underclothes, and a couple pair of socks was all I had. And my own people said, "You can't bring that stuff around here and remain our child." And I went to New Albany, not knowing where to go, with no place to lay my head.
But, brother... And the Devil come to me in that hour in the dying of my child. Many times, that I've come, but I know where salvation lays. I couldn't deny it. Though it would kill me, I can't deny it. I've passed from death unto Life by the grace of God. My cares are all cast on Him, for He cares for me. And He cares for you.

139 Let us bow our heads just a moment now. And I wonder, if you've never cast all your cares upon Him; you might cast some, but you're just a little afraid to cast them all, like the borderline believer, like in Hebrews 10. It said in Hebrews the 6th chapter, said:
... seeing that we crucify to ourselves the Son of God afresh...
... and count the blood of the covenant, wherewith we were sanctified, an unholy thing, and... done despite to the works of grace?
Hebrews 10, said:
... if we sin wilfully after... we have received the knowledge of the truth, there remaineth no more sacrifice for sins,
But a... fearful looking towards the judgment and the fiery indignation...
For we know it's a fearful thing to fall into the hands of the living God.
While there's mercy, mercy at the Fountain, room at the Fountain...

141 That Scripture, while you're praying, I'd like to tell you. What does that Scripture refer to, "Once enlightened, never able to come to the full knowledge..."? Like the borderline believer, like in Genesis 14, or when the--when the... In Exodus, where the Israelites come up to the promised land, tasted the very grapes from the promised land; but come back with a cowardly, afraid, "We can't go over; the opposition is too great," borderline believers, people who will come to church and, oh, say it's wonderful, but never put their hand to it, never willing to fall down at an altar, and say, "God, fill me with the Spirit, and let me become one of Your children." Borderline, we don't want that.

142 Let's be a real Christian. Let this church be on fire, prayer meetings going all the time, meetings through the city, everywhere; workers, not have to be told, but willingly working all the time for the Kingdom of God. Let other churches that's represented here, may the members thereof return to their church, with that experience. Cast our cares on Him, for He careth for you. He's the Comforter.
If there's such a person tonight, honestly confessing before God that you do not have that peace, that you could cast every care upon Him, but you want it; you've tried it, you've stumbled at it, but you've never come to a place where really you could just completely surrender yourself to Him, and you'd like to do it, would you say, "Remember me in prayer, Brother Branham, as I raise my hands"? Would you raise your hands now, just say, "Remember me, Brother Branham, in prayer." God bless you, lady. God bless you, sister. Bless you, and you, and you over here. Yes. And back there in the back, God bless you. He sees your hands go up. The Lord bless you, lady. God bless you right here in front, sister. And God bless you back there, my brother. He careth for you. We used to sing a little song:
He careth for you,
He careth for you;
Through sunshine or shadow,
He careth for you.

144 You remember, Arizona, my first trip here, and you sang "good- bye" to me with that song, a little Spanish choir out here from Brother Garcia's church; when we'd gather together in yonder in California, when I walked down the line, crying, and waving at each other. Many are papas and mamas, and many of them has passed on over the veil yonder tonight. But He still careth for you. He'll care on. When there's nothing else can care, He will care. You love Him now, and you want to... You want Him to care for you, and you want to care for Him. Raise your hand, say, "Remember me in prayer, Brother Branham, I have a need tonight that I'm not able to lay on the altar. Unless..."

145 And just walk away, cast it upon the Lord, and say, "Lord, I've--I'm a smoker." God bless you, brother. "I'm a drinker. I'm--I'm a liar. I just can't quit joking, telling dirty jokes. I just can't quit from taking a drink, a sociable drink, I get with a crowd. I--I want--I want to get away from all of that. I--I--I'm a person that's always looking at evil things, the streets are full of--of unclean women and men. And--and it--it--I--I want--I want to get away from that. Will You, O God, let me be able to cast all my cares tonight on You?"
Will you raise your hand, say, "Pray for me, Brother Branham. I here now surrender everything, and put it on the altar, and I'll cast all my cares upon Him"? Would there be another before we pray?

147 God bless this young fellow setting here with his hand up, the little fellow with the red sweater on. "A little child shall lead them." Truly the Scriptures are right.
Would there be another anywhere would just raise your hand, and say, "Pray for me"? God bless you, the young Spanish boy setting here. Someone else? God bless you there, lady, I see your hand. There, sir, I see yours. And the young Spanish man back there. And this lady setting here. I see. God sees your hand; He knows your emotion. Bless you, sister. God bless you, brother. That's good, Anyone else would say, "Remember me, Brother Branham"? God bless you back there, sonny boy. God bless you, sister. And you, the little girl setting here. Way back there, I see your hand, that big strong man with his hand up in the air. God bless you setting here, young fellow, just in the prime of life, setting here with his head bowed.

149 Oh, what a moment, decisions are being made, "Can I cast all my cares upon Him?" It might seem strange. God bless this aged couple [Blank.spot.on.tape--Ed.] "in here, I want to cast my cares upon Him." Yes, just surrender everything. I... [Blank.spot.on.tape--Ed.] "Here is all my cares, upon You. I believe." God bless you, the young lady back there, the Spanish girl. That young man, that young lady. Yes, God bless you. That's good. Be another just before our prayer now? Remember, you're making your...
Bless this little boy. Bless this young woman here. Oh. You in prayer, I just want to say something. One of the sweetest little looks... If there is a tomorrow, there sets a minister looking at me of about four years old.

151 Now remember, the spirit of discernment, I haven't been giving it here in the church just in the last night or two. I'm wanting to get something else first. There's people setting here with testimonies in their hearts (I know it), healed years ago, and all these things. But I want to put first things first. Let's get our souls so we can just trust God and lay everything on the altar, say, "Lord God, here I am."
But that Thy Blood was shed for me,
And that Thou bidst me come to Thee,
O Lamb of God, I come! I come!
[Brother Branham begins humming, "Just As I Am"--Ed.]

153 I wonder now, being that many has raised up their hand... There's something about a church that's sweet. It's where the saints gather time after time to pray, where the ministry is preached across the platform. There's something lovely about a church. The world's so populated today, it's kind of hard to hold a campaign in a church, people stand cramped.
And my precious brother and sister, about twelve years ago I come to you as a young man starting the ministry. Many of you are still here. I see Mrs. Waldroff is here, where she was carried in there dead on a stretcher with cancer in the heart; that's been years ago. And the Holy Spirit brought her back to life again. Her doctors give their testimony and had the records of it. Others setting here that... It's proven, friends, that He loves you.

155 Would you come up here tonight now? You that raised your hands, got something you want to cast on the Lord, your care, would you come here and just let me pray with you? Come, stand up. You that doesn't know Christ as your Saviour, or if you do know Him, and you've got some habits you can't get rid of it, or something, would you come here? Don't be ashamed now. You say, "I raised my hand, Brother Branham." Then surely you'd walk up here and say, "I publicly confess that I need Christ. I want to come here and stand."
He said, "If you're ashamed of Me before men, I'll be ashamed of you before My Father and the holy Angels. But if you'll confess Me before men, him will I confess before My Father and the holy Angels."

157 Would you walk and come right down the aisle now? Come right down here and stand.
A young woman's coming, perhaps either... I suppose Chinese woman, coming down now to make her public confession that she needs Christ. God bless you, sister. Right there, I'll be with you in a moment.
Would some more come right now while we're singing? God bless you, sir.
Softly and tenderly...
Now, if you want to cast your cares on Him, come, cast yourself on His altar here with...
Calling for you...
Just raise right up; come right down here. We want to stand here and pray with you, just lay hands on you.
See on the portal He's waiting and watching,
Watching for...

162 What's He watching? Watching to see if you really meant that or not. Come on now, come on. Did you mean it?' Sure, you did.
Come home, come, come... (God bless you. God bless you, young man there.)
Ye who are weary, come home;
Earnestly, (God.) tenderly, Jesus...
Have you got a care tonight that you can't get rid of, you want to cast it on the Lord? Come on down.
Oh, sinner, come home!
Come home, come home,
Ye who are weary, come home;
[Brother Branham leaves the pulpit and prays with the people at the altar; another brother continues singing "Softly And Tenderly" and urging others to come--Ed.]
Though we have...
Won't you come on now, right around, kneel around for prayer. You that's not satisfied, just the place you're standing, won't you come? Come on.
... for you and for me.
Come home, (God bless you, young man. God bless you, brother.)... home,
Ye who are weary, come home;
[Brother Branham again leaves the pulpit and prays with the people at the altar, the brother continues singing "Softly And Tenderly" with the congregation, speaking to them--Ed.]
Come home...

167 Is there any here that doesn't have the Holy Spirit, has never been filled with the Spirit of God, you're not sure of your standing? Raise your hand, say, "I haven't received the Holy Ghost, Brother Branham." Have you received the Holy Ghost since you have believed? If you haven't, raise your hands. Would you like to come and kneel right here now, and let us pray for you, receive the Holy Ghost? Come on now while we sing.
Come home, come home,
Ye who are weary, come home;
Earnestly, tenderly, Jesus is calling,
Calling, O sinner, come home!
Why should we tarry when Jesus...
Won't you come now right around now while Jesus is calling? Maybe it might be your last call. We don't know. It might not; but still it might be. Won't you come? Don't take a chance on it. If you're not sure, come now. Will you come?
... linger and heed not His mercy,
Mercy for you and for me?
Come home, (God bless you, brother, sister)
... home,
Ye who are weary...
[Brother Branham speaks to a brother, and leaves pulpit--Ed.] You'll have to take it... God bless you...?...

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