Le Début De La Renommée De Jésus

Date: 53-0605 | La durée est de: 1 heure et 9 minutes | La traduction: Shp
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1          Restons debout juste un instant avec nos têtes inclinées pour la prière. Notre Père céleste, nous Te remercions pour ce grand et glorieux privilège que nous avons de nous rassembler une fois de plus ce soir pour Te servir, exprimer nos sentiments d’amour et Te chanter des louanges, Toi, notre glorieux Père et Créateur.

            Nous Te remercions pour chaque âme qui est ici et nous prions qu’il n’y en ait aucune de perdue, aucune, en ce grand jour-là; qu’ils soient tous sauvés. Et, Père, nous prions que ce soir, le Saint-Esprit prenne possession de la réunion, et qu’Il se manifeste maintenant, qu’Il manifeste Sa puissance à cette assistance. Que les malades soient guéris ce soir, Seigneur, car ils regardent au Calvaire et voient ce sacrifice grand et tout suffisant qui a été offert pour eux là-bas: L’amour de Dieu exprimé pour le monde, Sa sympathie envers les malades. Ô Dieu, puissions-nous ne pas rejeter cela ce soir. Puissions-nous considérer cela et le croire, car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen.

2          [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... exprimer mon amour et l’appréciation du Seigneur Jésus-Christ envers vous, priant que cette soirée représente beaucoup pour chacun de nous, que l’amour de Dieu soit pour nous tous.

            Eh bien, hier soir, je parlais... ou je donnais des témoignages. Maintenant, mon grand handicap, c’est que frère Baxter nous quitte ce soir. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            ... de la Parole, Dieu bénira Sa Parole. Il va bénir Sa Parole. Ainsi donc, dans Matthieu, chapitre 4, verset 23, juste le début de la renommée de Jésus, voici ce que nous lisons:

            Jésus parcourait toute la Galilée, enseignant dans les synagogues, prêchant la bonne nouvelle du royaume, et guérissant toute maladie et toute infirmité parmi le peuple.

            Sa renommée se répandit dans toute la Syrie, et on lui amenait tous ceux qui souffraient de maladies et de douleurs de divers genres, des démoniaques, des lunatiques, des paralytiques; et il les guérissait.

3          Et évidemment, comme cela a toujours été mon thème: Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Son attitude actuelle n’a pas changé par rapport à ce qu’elle était en ce jour-là. Or, comme chaque soir nous avons des gens qui viennent dans nos réunions, qui ont... probablement des nouveaux venus. Et au début de la réunion, nous avons on dirait quelque chose... nous devions... des soirées fraîches et tout, ainsi, nous avions plutôt eu à démontrer et–et à expliquer comment opère la guérison divine, au mieux de notre connaissance. J’ai donc consacré ces quelques soirées maintenant pour témoigner sur les choses qui sont arrivées.

            Et si j’essayais de vous raconter un centième de ce qui est arrivé, je redouterais que nous ayons une très longue réunion ici. Cela prendrait des semaines et des mois pour terminer cela, ce que notre Seigneur a accompli. Il n’est pas étonnant qu’Il ait dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez de plus grandes.» Il ne s’agit pas de plus grandes en–en qualité, mais de plus grandes en quantité; en effet, nul ne peut faire de plus grandes en qualité que ce qu’Il avait fait. Il a arrêté le cours de la nature, Il a ressuscité les morts, mais Il le fait toujours. Et Il est juste le même aujourd’hui qu’Il l’a toujours été.

4          Un soir, le Seigneur voulant, j’aimerais vous raconter le–le récit du petit garçon ressuscité des morts en Suède, ou plutôt en Finlande, l’une des plus merveilleuses choses que j’ai vue durant tous les jours de mon ministère. Evidemment, c’était d’après une vision.

            Hier soir, je vous parlais de madame Georgie Carter à Milltown, dans l’Indiana, qui avait été guérie de la tuberculose. Au même moment, lors de mon premier réveil là à l’Eglise baptiste de Milltown, le révérend monsieur Hall, qui était un ancien membre de l’Eglise nazaréenne et qui avait rétrogradé... Il était devenu très amer et froid contre tout christianisme. Il fut converti lors de l’une de mes réunions là-bas, et maintenant, c’est lui le pasteur là-bas. A mon retour de la Californie, après la... quand monsieur Upshaw avait été guéri...

            Et si vous aimeriez écrire à madame Carter, elle serait contente de vous envoyer son–son médecin, et tout, afin que vous puissiez lui parler. Tout témoignage qui est rapporté dans les livres, c’est juste... ce sont toutes des déclarations médicales dignes de foi. Ainsi, vous–vous êtes le bienvenu pour les sonder. Beaucoup... Cela a été examiné par les critiques, mais chaque fois, Dieu a Lui-même prouvé qu’Il est exactement ce qu’Il a toujours été.

5          Et dans le livre, probablement que certains parmi vous ont lu concernant cette soirée-là, quand ce fou avait accouru à l’estrade, là dans l’Oregon, il allait m’ôter la vie. Quelqu’un a dit: «Frère Branham, aviez-vous peur?»

            J’ai dit: «Non, monsieur, pas du tout.» Tant que Jésus est là, tant que c’est Lui qui m’a dit de faire ça, je suis dans Sa volonté, il n’y a rien à craindre. Voyez? Tant que vous faites ce qu’Il ordonne, et que vous savez que vous êtes sous une conduite directe, eh bien, alors, il n’y a rien à craindre. L’amour parfait bannit toute crainte. Il n’y a pas de crainte en Dieu. L’amour ôte la crainte.

            Et je sais, ce soir, je crois dans la guérison divine. Je crois que–que la guérison divine... qu’un jour, les grandes églises, qui aujourd’hui refusent cette grande oeuvre de Dieu, verront un jour que la puissance de Dieu pour guérir les malades est exactement la même qu’elle l’a été tout au long des âges. Voyez-vous? Ce sont juste des gens qui ont été enseignés différemment. C’est pourquoi ils n’ont pas la foi dans la guérison divine. On leur a enseigné que ces choses sont passées.

6          Mes amis, ici, en provenance de l’Afrique, combien c’était frappant à voir quand nous sommes arrivés en Afrique. Beaucoup de missionnaires ont été là, ils ont distribué des tracts et autres, ils leur ont parlé de Jésus. Mais quant à la guérison, ils disaient que c’était du passé, ça ne se pratique plus. Et c’est alors même qu’ils ont battu des tam-tams dans le désert pour annoncer la victoire, quand ils ont appris que Jésus était le Guérisseur. C’est pourquoi nous avons gagné trente mille convertis en un seul jour, c’est parce qu’ils avaient vu la puissance de Dieu qu’ils voulaient servir; mais les missionnaires leur avaient dit que Sa puissance, étant pour autre chose que vous sauver, était terminée. Il n’y avait plus de guérison divine. Mais quand ils L’ont vu redresser les estropiés, faire voir les aveugles, faire entendre les sourds, faire parler les muets, ils sont tombés sur leurs faces et ils ont loué Dieu.

            J’ai un journal de Durban où il est dit, aussitôt après la réunion, qu’il y avait eu de véritables conversions, au point qu’on a eu sept grands camions d’armes à feu, des montres, et autres que les indigènes avaient volés de... Juste une tribu qui les avait restitués: sept grands camions à bord desquels ils étaient venus remettre cela; ils ne voulaient plus rien avoir à faire avec cela.

7          J’étais à une conférence, ou à une réunion des ministres de ma propre église, à mon retour; certains théologiens disaient: «Frère Branham, nous aimerions que vous parliez ce soir.» Oh! Quel sentiment j’ai éprouvé d’avoir l’occasion de me lever et de dire: «Frères...» (Le prédicateur qui m’avait ordonné était présent.) J’ai dit: «Ce que vous disiez, que j’avais eu un cauchemar...» J’ai dit: «Nous avons envoyé des missionnaires en Afrique le... pendant les centaines d’années passées. Et quand je suis arrivé là, j’ai trouvé des gens porter des idoles en argile, tout en se disant chrétiens. Mais, ai-je dit, ce que vous taxez de fanatisme, ce que vous taxez d’oeuvre du diable, a gagné plus d’âmes à Christ en cinq minutes que tous les missionnaires que nous avons envoyés pendant une centaine d’années, outre des millions de dollars que nous avons dépensés.»

            Frère, soeur, l’église devrait entrer dans le programme de Dieu, c’est alors que l’église évoluera très bien. C’est comme par exemple les soupers, les dîners et autres, pour se faire de l’argent, ce n’est pas le procédé de Dieu. Payez vos dîmes, c’est ce que Dieu veut que vous fassiez. Voyez? Continuez simplement dans le programme de Dieu, et Il bénira celui qui donne et tout. Il l’a promis.

            Si donc nous substituons autre chose, tout comme nous avons substitué la théologie aujourd’hui au baptême du Saint-Esprit, cela ne marchera jamais. Ça ne le peut pas. Nous avons substitué un grand nombre à la puissance. Il ne prendra jamais la place de la puissance. Dieu est la puissance. Il est le Dieu Tout-Puissant. La puissance de toutes les puissances, c’est Dieu.

8          Ce prédicateur baptiste dont je parlais, monsieur Hall, le révérend William H. Hall, de Milltown, en Indiana, pasteur de l’Eglise baptiste de Milltown, c’est un ami intime à moi depuis des années, après sa conversion dans des réunions. Il est un grand croyant dans la guérison divine. Et pendant que j’étais en Californie, c’est là, comme je disais hier soir, que s’est produite la guérison du membre du Congrès Upshaw, et de beaucoup d’autres; je suis rentré chez moi, ma femme qui est présente ce soir m’a dit que je... Frère Hall était couché là, mourant du cancer. Eh bien, vous vous imaginez quel sentiment cela me donnerait de voir ce merveilleux et vaillant soldat de Dieu qui allait mourir. J’ai dit: «Eh bien, chérie, qui est son médecin?»

            Elle a dit: «Monsieur Dillman, je pense.» Eh bien, Dr Dillman est mon ami intime. Je l’apprécie certainement beaucoup. Ainsi donc, je me suis proposé d’appeler docteur Dillman avant de venir... d’aller chez monsieur Hall, mais il n’était pas dans son cabinet. Alors... Il est de Corydon, dans l’Indiana.

9          Je suis donc allé voir monsieur Hall. Et il était couché là, il avait perdu à peu près soixante ou soixante-dix livres [27 ou 31 kg] pendant les quatre ou cinq dernières semaines au cours desquelles il souffrait, et il était tout aussi jaune qu’un potiron. Et j’ai demandé de quoi il souffrait, il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, j’ai le cancer.» Il a dit: «C’est sur le foie.» Il a dit: «Je suppose que ça en est fini de moi, si Dieu ne me vient pas en aide.» Eh bien, cela... Je–j’aime cet homme, je me suis donc agenouillé, j’ai prié avec lui. J’ai demandé à Dieu de tout mon coeur de le guérir, mais... Je me suis relevé et je suis rentré chez moi.

            Et, le lendemain matin, j’ai téléphoné pour m’enquérir de sa situation. Son état empirait tout le temps. C’est ce qu’on avait donc dit, j’oublie le nom du spécialiste, de New Albany, qui avait pris les rayons X à–à l’hôpital Saint Edward de New Albany, dans l’Indiana. Cela... C’est lui qui avait fait les rayons X. Alors, le lendemain, j’ai eu le docteur Dillman, je lui ai demandé des nouvelles de monsieur Hall. Il a dit: «Eh bien, Frère Branham...» (Docteur McCully, c’est ça le nom de cet homme.) Il a dit: «Nous l’avons amené là et on a pris les rayons X.» Il a dit: «Il a le cancer de foie et il n’y a rien que nous puissions faire à ce sujet. Cela est de loin trop avancé pour être opéré.» Et il a dit: «Il n’y a rien que nous puissions faire à ce sujet maintenant. Cet homme est en train de mourir.»

            J’ai dit: «Je déteste entendre cela, docteur Dillman.»

            Il a dit: «Oui, c’était un brave homme, Frère Branham.»

10        Ainsi donc, je–je suis donc allé voir monsieur Hall ce jour-là et–et il était bien, bien bas. J’ai encore prié pour lui. Ma femme voulait le voir, ma belle-mère aussi, ainsi que mon secrétaire, frère Cox, il voulait aussi le voir. Nous avons donc tous formé une délégation, nous sommes descendus ce soir-là le voir; en effet, nous savions qu’il ne lui restait que peu de temps. Et il n’arrivait pratiquement plus à nous parler; malgré tout, nous nous sommes tous rassemblés et nous avons prié, nous avons chanté un cantique, nous avons prié; nous sommes sortis. Et pendant que nous sortions, mademoiselle Hall a dit: «Frère Branham, n’y a-t-il pas une seule chose que vous puissiez faire?»

            J’ai dit: «Soeur, tout ce que je peux faire, c’est prier juste comme vous le faites.» Et c’est une très bonne femme. Ils seront probablement ici ce week-end. J’aimerais l’entendre témoigner. Et alors, elle–elle a dit: «N’y a-t-il pas une seule chose, à votre connaissance? Y a-t-il un autre médecin?»

            J’ai dit: «Eh bien, les médecins sont tout comme n’importe qui d’autre. Vous devez avoir confiance en votre médecin. Sinon, ça ne servira à rien de l’appeler.»

            Elle a dit: «Suggéreriez-vous quelqu’un d’autre?»

            J’ai dit: «Evidemment, mon copain, l’un de mes copains ici dans la ville, c’est un garçon avec qui j’ai fréquenté l’école, docteur Sam Adair: l’un des meilleurs spécialistes, à mon avis, que l’Etat a n’importe où. Et aussi, nous sommes des amis intimes, ça fait vingt-cinq ou trente ans.»

            Il avait écrit une lettre à l’association médicale de Louisville l’autre jour au sujet de mes réunions. Si je l’avais moi-même écrite, ou l’un de mes... un–un prédicateur n’aurait pas pu trouver des termes plus agréables et meilleurs pour l’écrire. Il l’a adressée à l’association médicale de Louisville. Elles sont envoyées par milliers.

11        Ainsi donc, j’ai dit: «Je–j’aimerais qu’il l’examine.» Il a dit...

            Elle a dit: «D’accord.»

            Alors, j’ai appelé docteur Adair, et j’ai dit... Il a dit: «Maintenant, Frère Branham, tout ce que nous pouvons faire, c’est envoyer cet homme à le–l’hôpital pour qu’on prenne les rayons X.» Il a dit: «C’est tout ce que je peux faire.» Il a dit: «Si–si le médecin a déjà pris les rayons X à l’hôpital, j’irai lire les rayons X.» Il a dit: «Je vous dirai, à mon retour, si c’est correct ou pas.»

            «Eh bien, ai-je dit, eh bien, cela l’aidera un peu.» Il est donc allé interpréter les rayons X, il est revenu et il a dit: «Hein...» Il... Nous nous connaissons, je l’appelle «Sam» et il m’appelle «Billy.» Alors, je... il a dit: «Billy, a-t-il dit, cet homme va mourir. Il a le cancer de foie. C’est tout.»

            Puis, j’ai dit: «N’y a-t-il pas quelque chose que vous puissiez faire pour l’aider d’une façon ou d’une autre, docteur?»

            Il y a un spécialiste à Louisville, je pense, c’est docteur Able, je pense que c’est ça son nom. Il a une clinique.

            Il a alors dit: «Je peux l’envoyer là, mais juste il... tout ce qu’il peut faire, c’est amener les rayons X.» Il a dit: «Vous auriez à le faire sortir du lit, là...» Il a dit: «Vous feriez tout aussi mieux de le laisser à l’aise pendant qu’il est à l’aise, tel qu’il est.»

12        Eh bien, je suis allé demander à madame Hall. Elle a dit: «Eh bien, si quelque chose peut être fait, amenez-le, Frère Branham.» Alors, eh bien, on a envoyé l’ambulance là-bas, on l’a pris et on l’a amené chez le médecin de Louisville, et on l’a ramené. Evidemment, il n’a pas voulu en parler à mademoiselle Hall. Il en a parlé au médecin. Alors, le médecin a appelé docteur Sam Adair, et il a dit: «Cet homme est mort. C’est tout.» Il a dit: «Il n’y a rien que vous puissiez faire pour lui.»

            Docteur Sam Adair m’a donc appelé et a dit: «Billy, a-t-il dit, ton ami révérend Hall s’en va à...» Voici l’expression qu’il a utilisée, il a dit: «Il va sauter dans la mer un de ces quatre matins.» Il a dit: «Il s’en ira dans quatre jours; il ne peut pas vivre au-delà de cela.» Il a dit: «Ce sont là les nouvelles.»

            J’ai dit: «Oh! la la! Docteur Adair, ai-je dit, je déteste entendre cela.»

            Il a dit: «Certainement, nous tous.»

            J’ai dit: «Il n’y a rien que vous puissiez faire pour lui dans le domaine médical?»

            Il a dit: «Rien, Billy.» Il a dit: «Nous ne pouvons pas amputer le foie de cet homme et le laisser vivre.» Il a dit: «Il n’y a rien à faire.» Il a dit: «Puisqu’il est prédicateur, je pense qu’il est prêt à partir.»

            J’ai dit: «Oh! Oui. Mais il n’a que cinquante-quatre ou cinquante-cinq ans environ et, ai-je dit, il peut prêcher encore l’Evangile, et il peut aussi faire beaucoup de choses; je déteste vraiment le voir partir si jeune.» J’ai dit: «De toute façon, je crois qu’il passera directement de cette vie à l’autre, parce que c’est un vrai chrétien.»

13        Y a-t-il ici quelqu’un qui connaît Will Hall de Milltown, dans l’Indiana? Révérend Will Hall... Levez la main. Certainement, il y a des gens assis ici qui le connaissent. Voyez? Ainsi donc, ce–c’est un très brave homme. Alors, j’ai dit: «Eh bien, vous dites qu’il va mourir?»

            Il a dit: «Sans doute, Billy, a-t-il dit, il sera mort dans quatre jours. Le cancer, a-t-il dit, s’est répandu; on dirait une grosse araignée qui s’est établie juste sur le... sur son foie et cela s’est répandu comme ça.» Il a dit: «Cela a déjà pris... l’a rongé.»

            J’ai dit: «Eh bien, c’est en ordre. Merci, docteur Adair.» Et je–je suis descendu. J’ai appelé madame Hall. J’ai dit: «Soeur Hall, je déteste vous dire ceci, mais, ai-je dit, docteur Adair a dit que le médecin de Louisville lui a dit qu’il va mourir dans quatre jours.» Alors, elle s’est mise à pleurer, appuyée sur mon... Elle est juste une vieille mère on dirait... Et j’ai dit: «Soeur Hall, je déteste vous l’annoncer.»

            «Est-ce que... Frère Branham, n’y a-t-il pas une seule chose que vous...»

            J’ai dit: «Soeur Hall, je–j’ai fait tout ce que je sais faire. Juste–juste prier, c’est tout ce que je peux faire. Le médecin a fait tout son possible, si c’est donc le temps pour l’homme de partir, notre bien-aimé frère traversera directement le voile vers la Gloire.» Et j’ai dit: «C’est tout ce que nous pouvons faire.»

            Eh bien, elle était très triste. Cette nuit-là, j’ai pris la famille, nous sommes encore allés le voir. Il arrivait à me parler à peine.

14        Et je suis né dans l’Etat du Kentucky. Y a-t-il des gens ici qui croient à la chasse à l’écureuil? Faites voir les mains. Eh bien, ce–c’est très bien donc. Je voulais seulement savoir si j’étais à la maison ou pas. Je–j’aime aller des fois chasser l’écureuil. Je me suis levé, vous avez une bonne forêt par là. Alors, je m’étais proposé d’aller absolument à Erie, en Pennsylvanie, le lendemain matin, et ensuite, nous allions revenir, et nous allions partir outre-mer. Je devais partir, frère Baxter et moi, le groupe, pendant environ six semaines.

            Alors, il y avait beaucoup de gens qui étaient entassés, serrés à la maison, et tout. J’étais pratiquement épuisé et je revenais de la Californie également. Et frère Baxter était déjà parti, il avait ramené sa famille à Vancouver et il allait me rencontrer là dans l’Ohio, à Toledo, et puis on allait partir à Erie. Il y a probablement ici ce soir des gens qui étaient à cette réunion là-bas. Et ainsi donc, il y avait...

            Je suis allé, j’ai parlé... Le lendemain matin, j’ai dit, là... à ma femme, j’ai dit: «Chérie, je vais aller dans les bois. Je doute que j’arrive à chasser l’écureuil, car j’ai vraiment sommeil.» Nous avons dégagé la maison vers minuit ou minuit trente. Je suis allé prendre mon vieux fusil 22, je l’ai déposé par terre, ainsi que ma vieille salopette, et je les ai mis dans un coin afin que... J’ai réglé l’alarme à trois heures afin de me réveiller pour aller chasser l’écureuil; aller dans les bois, peut-être, jusqu’à ce que cela... après le jour, ensuite, je pourrais m’endormir et me reposer un peu avant d’aller à la prochaine réunion.

15        Et vers trois heures, l’alarme a sonné, et je–je me suis réveillé et je l’ai arrêtée. Ma pauvre femme dormait si profondément que cela ne l’a même point réveillée. Je me suis donc levé et j’ai porté ma salopette, je suis allé au bureau, j’ai regardé par la fenêtre, il n’y avait personne là dehors. Je me suis dit: «Eh bien, tout est en ordre alors, je... ça doit être bien en ordre pour moi d’aller.» J’ai donc pris mon petit fusil, j’allais traverser la pièce pour aller dans la salle de bain, et alors, j’ai regardé: Il y avait suspendu là sur... au mur une drôle de petite pomme à peu près de cette grosseur, qui était toute (Vous savez ce qu’est une pomme noueuse, comme nous l’appelons, vous tous, les habitants d’Indiana, ici, voyez-vous?) toute rongée par les vers et aigre; juste un tout petit fruit à peu près comme ça, très défectueux, suspendu là. Et j’ai dit: «Eh bien, qu’est-ce que–qu’est-ce que Meda a fait...» (C’est ma femme.) J’ai dit: «Pourquoi a-t-elle suspendu cette histoire au mur?» C’est moi qui pensais là: «Eh bien, je–je ne comprends pas pourquoi elle a placé une petite pomme bizarre et noueuse, comme cela, et l’a suspendue au mur.» Eh bien, j’étais...

16        La–la lumière du couloir éclairait un peu; je pouvais voir cela suspendu là. Et je me suis dit: «Eh bien, quoi?» Il m’est arrivé de regarder et ce n’était pas suspendu à un mur. C’était suspendu juste en l’air. Eh bien, j’ai alors su que cela venait de la maison. J’ai donc discrètement remis mon fusil au coin, j’ai jeté mon chapeau par terre, au coin, et je me suis agenouillé; j’ai dit: «Que veux-Tu que Ton serviteur sache, Seigneur?» Et j’ai vu une autre petite pomme descendre juste comme cela, puis une autre, puis une autre, jusqu’à ce qu’il y en eût cinq suspendues là. Et puis, une très grosse pomme est descendue, à peu près grosse comme ceci, qui était jaune avec des traits rouges, et c’était une belle pomme saine. Et cela a fait un mouvement vif, comme ça, et ça a avalé une d’elles, puis deux, puis trois, puis quatre, puis cinq. Et cette pomme a disparu; et au-dessus d’elle, suspendu juste là où était la pomme, était suspendu Ceci là. Ça faisait: Whooouoush! [Frère Branham produit le bruit d’un vent qui souffle.–N.D.E.] Je suis resté très calme. J’ai dit: «Que veux-Tu que Ton serviteur fasse, Seigneur?»

            Et Il a dit: «Lève-toi et va dire à frère Hall qu’AINSI DIT LE SEIGNEUR, il ne mourra pas, mais il vivra.» Il n’y a plus eu de chasse à l’écureuil ce jour-là.

            J’ai enlevé ma salopette, je suis allé réveiller ma femme. Elle est assise ici à l’intérieur quelque part. J’ai dit: «Chérie, je viens d’avoir une vision. Frère Hall va vivre.»

            Elle a dit: «C’est vrai?»

            J’ai dit: «Il va vivre. Il est...?... rien ne peut empêcher cela.»

17        Alors, j’ai porté d’autres habits et je suis descendu. On était juste en train de lui frotter les mains, et il pleurait et–et tout. Et j’ai dit: «Eh bien...» Je suis entré. Mademoiselle Hall a dit: «Ô frère Billy, il est sur le point de partir.» Elle a dit: «Il... Nous nous sommes attendus toute la nuit à le voir partir.»

            Et j’ai dit: «Pensez-vous qu’il me reconnaîtra?»

            Elle a dit: «Oh! Je pense que oui.»

            Alors, je suis entré. J’ai dit: «Rassemblez ceux qui sont dans la cour», ils étaient assis là avec lui. J’ai dit: «Faites-les entrer dans la maison, car j’ai l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.»

            Elle a dit: «Est-ce bon?»

            J’ai dit: «Oui.» Et la pauvre vieille créature s’est mise à pousser des cris, tombant sur ses genoux.

            J’ai dit: «Venez maintenant et tenez-vous près.» J’ai dit: «Frère Hall, m’entendez-vous?»

            Et il répétait sans cesse: «Mattie, Mattie.» C’est sa femme. Et elle a dit: «C’est frère Bill qui te parle.»

            J’ai donc dit: «Frère Hall, m’entendez-vous?» Je le secouais.

            Il s’est retourné, et son regard était las, il a dit: «Oh! Frère Bill, je pensais que j’avais déjà traversé.» Il a dit: «Je ne suis pas encore parti?»

            Et j’ai dit: «Vous n’allez pas partir maintenant, Frère Hall.» J’ai dit: «Il y a quelques instants, j’allais partir à la chasse...» Et je lui ai répété la vision. J’ai dit: «Frère Hall, depuis combien de temps souffrez-vous?»

            Il a dit: «Mattie, ça fait combien de temps depuis que je suis malade?»

            Elle a dit: «Eh bien, voyons. Tu es tombé malade en tel mois. Ça faisait exactement cinq mois.»

            J’ai dit: «C’est ce que je me disais: Cinq drôles de petites pommes noueuses. Mais, AINSI DIT LE SAINT-ESPRIT DE DIEU, vous allez vivre.»

18        Alors, un juge de la ville, un ex-juge, sa soeur a épousé le frère de monsieur Hall, elle était donc là. Elle a dit: «Comment cet homme va-t-il vivre avec un cancer en lui comme cela?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas, mais Dieu a dit qu’il vivrait et cela suffit. Quand Il dit cela, cela va arriver.»

            Elle a dit: «Voulez-vous dire qu’il va vivre?»

            J’ai dit: «Oui, madame.»

            Et j’ai fait demi-tour, très heureux, je suis sorti, frère Cox et nous tous, nous sommes sortis, nous sommes entrés dans la voiture. Et le pauvre frère Hall était tout...avec ses mains faibles, et on les soulevait comme cela; il disait: «Merci, Bien-Aimé Jésus. Je prêcherai tant que Tu me donneras le souffle de prêcher», et il louait Dieu avant que cela soit donc accompli, avant que quoi que ce soit n’ait eu lieu. Mais Dieu l’avait déjà dit.

19        Je suis donc rentré chez moi, j’ai appelé le médecin. J’ai dit: «Docteur Sam...» Vous pouvez l’appeler; c’est docteur Sam Adair, de Jeffersonville, si vous le voulez. Il est...?... Il a une grande clinique là. Voyez? J’ai dit: «Docteur Sam...»

            Il a dit: «Oui?»

            J’ai dit: «Connaissez-vous révérend monsieur Hall dont vous avez dit qu’il allait sauter dans l’eau dans quatre jours?»

            Il a dit: «Oui, il va le faire.»

            J’ai dit: «Non, il ne va pas le faire.» J’ai dit: «Il va vivre.»

            Il a dit: «Ô Billy, comment peut-il vivre avec un cancer sur son foie?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas, mais Dieu vient de me montrer une vision.» J’ai dit: «Docteur Adair, combien de fois as-tu vu cela?»

            Il a dit: «Eh bien, Billy, a-t-il dit, je n’aimerais pas douter de ta parole, mon fils, mais regarde, le vieux docteur aura à voir celle-là.»

            J’ai dit: «Eh bien, tu ne mourras pas de vieillesse, et il... avant d’avoir vu cela.»

            Et il a dit: «Eh bien, quand cela va-t-il arriver?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas.»

            Il a dit: «Est-il guéri maintenant?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas, mais Dieu a dit qu’il ne mourrait pas de ce cancer-là. Et il ne va pas mourir.»

            Il a dit: «Il me faudra voir cela.»

            J’ai dit: «Tu le verras.»

            Il a dit: «Quand vas-tu partir?»

            J’ai dit: «Demain.»

20        J’étais absent pendant six semaines. Je suis revenu et nous avons eu une–une soirée là au gymnase de l’école secondaire, à Jeffersonville. Eh bien, on a eu environ quatre mille à l’intérieur, et environ quatre mille dehors. Et le lendemain, je m’apprêtais à partir à New York, pour aller en Afrique. Et juste au moment où je montais à l’estrade, à peu près à ce moment-ci, j’étais rentré tard l’après-midi, je suis allé à la réunion. Mon fils et les autres m’ont fait entrer. Je suis monté à l’estrade. Et ils étaient là, ils avaient dû se dépêcher pour distribuer les cartes de prière pendant que nous étions dans la réunion, car nous venions d’arriver. Les rues étaient pleines et bourrées de gens.

            Il m’est arrivé de voir assis, là dans le pourtour, docteur Dillman de Corydon. J’ai dit: «Je suis content de vous voir, docteur Dillman.» Il a incliné la tête.

            Et il m’est arrivé de voir assis par là docteur Balden de Jeffersonville. Sa femme avait été guérie, il n’y avait pas longtemps, de l’asthme pendant qu’elle était chez moi. Il avait passé son bras autour de moi, il avait simplement pleuré là chez moi. Il a dit: «Billy, elle est tout aussi normale que possible.»

            J’ai dit: «Je suis content de vous voir, docteur Balden.» Il a fait un signe de tête. Puis, il m’est arrivé de voir debout au fond, docteur Sam Adair: il n’avait pas pu entrer; il se tenait à la porte. Et j’ai dit: «Je suis content de vous voir, docteur Adair.» Et il... Et il m’est arrivé de voir, assis là, frère Hall. Et je–j’ai dit: «Docteur Dillman, vous souvenez-vous de votre patient, monsieur Hall?»

            «Oui, oui.»

            Et j’ai dit: «Docteur Adair, vous rappelez-vous que je vous en ai parlé, qu’il vivrait?»

            Il a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Vous aviez dit que vous auriez à voir cela, n’est-ce pas?»

            «Oui.»

            J’ai dit: «Aimeriez-vous témoigner, Frère Hall?»

            Il a dit: «Oh! Gloire à Dieu!» Il a dit: «Témoigner?» Il a dit: «J’ai gagné trente-cinq livres [16 kg].» Il s’est levé, et je vous assure, cela a mis la chose en marche tout de suite. Et cela...

            On a amené... Et le médecin a amené cet homme à l’hôpital, il l’a fait passer par les rayons X, il l’a examiné de toutes les manières possibles, il n’arrivait à trouver aucune trace de cancer. Il pèse cent quatre-vingt-cinq livres [84 kg]. C’est depuis deux ans qu’il est en parfaite santé, il habite à Milltown, dans l’Indiana ce soir. Appelez-le à mes frais. Avec Georgie Carter.

21        A propos, en parlant du médecin, s’il vous arrivait de l’appeler, demandez-le-lui. Il y a quelques jours... Je ne sais pas s’il apprécierait que je raconte ceci dans un auditoire ou pas, mais c’est un brave homme. Et souvenez-vous donc, vous qui critiquez les médecins, faites attention à ce que vous faites. Beaucoup d’entre eux sont de braves chrétiens croyants.

            Quand je suis allé en Afrique, je n’avais fait qu’une nuit, et l’association médicale m’a invité le lendemain matin, ils m’ont donné la main d’association et ont dit: «Tous les hôpitaux de l’Afrique du Sud vous sont ouverts.» Ils ont dit: «C’est vraiment la guérison divine et nous le croyons comme tel.»

            J’ai dit: «Merci.» C’est exact. Et on est allé et ils avaient organisé un petit-déjeuner... ils voulaient–voulaient avoir un petit-déjeuner. Evidemment, je... certaines de ces dures réunions, on ne mange pas. On s’attend simplement à l’Esprit du Seigneur.

22        Le médecin est entré dans ma maison, et il a dit... Ma femme est venue et a dit: «Docteur Adair est là, là sous la véranda dehors, il aimerait te voir.» Et j’avais un groupe de gens dans la pièce. J’ai dit: «Installe-le au bureau.» Je savais qu’il y avait quelque chose. Je suis sorti. J’ai dit: «Docteur, qu’y a-t-il?»

            Il m’a parlé. Il cherchait à acheter... Il a dit: «Billy, penses-tu que cette ville devrait avoir une clinique?»

            J’ai dit: «Chaque ville devrait avoir une clinique.»

            Il a dit: «Elle devrait avoir un bon médecin?»

            J’ai dit: «Chaque ville.»

            Il a dit: «Penses-tu que je serais considéré comme un médecin digne?»

            J’ai dit: «Je–je ne vois pas qui d’autre pourrait être plus digne.» J’ai dit: «Tu es sympathique.»

            Il a dit: «La plupart de mes clients sont des gens pauvres, Billy, a-t-il dit. Je ne fréquente pas tellement l’église comme je le devais, mais, a-t-il dit, les gens viennent, s’il leur faut une intervention chirurgicale, a-t-il dit, je la leur accorde, sans même leur exiger des frais pour cela. Tu le sais.» Il a dit: «C’est–c’est simplement ainsi que je sers Dieu.»

            J’ai dit: «Eh bien, ce n’est pas la bonne façon de s’y prendre, mais c’est bien; c’est bien.» Et j’ai dit: «Ce que vous devez faire pour servir Dieu, c’est naître de nouveau.»

23        Et il a dit: «Eh bien, je suis venu te poser une question.» Il a dit: «J’ai lu dans la Bible que les gens allaient demander aux gens diverses choses, s’ils les consultaient.» Il a dit: «J’ai un problème.» Et il m’a indiqué là où il voulait construire une clinique, et il n’arrivait pas à avoir cet endroit-là; cette femme ne voulait pas du tout le laisser acquérir cela.

            J’ai dit: «Prions.» Nous nous sommes donc agenouillés et nous avons prié.

            Il a dit: «Il n’y a pas d’autre endroit dans la ville où je peux construire cela.» Et c’était là en bas dans un très... un mauvais quartier. Je ne... on dirait que ça ne devrait pas être là. Pendant que je priais, j’ai vu un autre endroit au croisement de Wall et Market. Dans la vision, j’ai vu une–une–une clinique en briques rouges construite là. Alors, après la prière, j’ai dit: «Docteur Adair, oubliez cet endroit là-bas. Ce grand terrain ici au croisement de Wall et Maple, c’est le meilleur endroit de la ville qui convient. Le Seigneur te le donne.»

            Il a dit: «Billy, a-t-il dit, fils, a-t-il dit, je viens de rechercher cela au tribunal pendant les six dernières semaines.» Il a dit: «On ne peut même pas y toucher pendant vingt-cinq ans.» Il a dit: «Cela est monopolisé par quelques héritiers à Houston ou quelque part là et, a-t-il dit, on ne peut même pas y toucher pendant vingt-cinq ans.»

            J’ai dit: «Docteur Adair, Il vient de me dire que c’est à toi, et que tu vas avoir une clinique en briques rouges construite là.»

            Il a dit: «Fils, a-t-il dit, je–je ne vois pas comment cela peut se faire.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, Il vient de le dire.»

            «Eh bien, a-t-il dit, cela, je viens de connaître une affaire au tribunal là-dessus il y a deux jours.» Il a dit: «On ne peut pas y toucher.» Il a dit: «Ça ne sert à rien d’essayer cela.»

            J’ai dit: «Eh bien, ne discute donc pas avec moi; mets-toi simplement à croire ce que je t’ai dit, car le Seigneur te l’a donné.»

24        Le lendemain matin, le téléphone a sonné, et il m’a appelé. Il a dit: «Billy, je meurs de froid.»

            J’ai dit: «Qu’est-ce qui t’arrive?»

            Il a dit: «Des frissons me parcourent.» Il a dit: «Ils ont tenu une réunion à Boston hier soir, ils ont mis le terrain en vente et je l’ai déjà acheté ce matin.» Et ce soir, il y a de cela environ huit mois, il y a une bonne et grande clinique médicale érigée au même endroit, construite en briques rouges, et telle que le Seigneur l’avait montré.

            Hier, après avoir quitté, ou avant hier, après avoir quitté là, j’étais là, causant avec lui, et nous racontions cela, il a dit: «Billy, j’ai raconté cela à des milliers de gens qui ont fait des va-et-vient par ici.» Oh! Ce que Dieu a fait pour lui cette nuit-là!

25        Approchez de Dieu avec sincérité. Ne doutez de rien. Ayez foi en Dieu. Maintenant, quand Dieu montre, Dieu l’accomplira. Ce que Dieu dit, Dieu est tenu à Sa Parole. Maintenant, amis chrétiens, ceci vient en premier. Ceci est la Parole de Dieu. N’importe quel genre de ministère fondé sur autre chose que Ceci est en erreur. C’est la Parole de Dieu premièrement, en premier, le fondement.

            Mais après, Dieu peut parler au travers de Son serviteur par des dons. Croyez-vous cela? Ensuite, ce qu’Il a dit par un moyen, ce que je témoigne au sujet de ces choses, c’est la Parole de Dieu, c’est secondaire. Et si Dieu vous annonce une certaine chose à faire, allez faire cela. Si vous manquez de faire cela, alors, ça sera juste comme si vous avez manqué d’accomplir Sa Parole ici. Il a dit: «Venez à Moi, vous tous qui êtes chargés et fatigués, Je vous donnerai du repos», et vous manquez de venir; eh bien, vous donc... cette Parole-là ne vous a fait aucun bien. Mais Il vous a donné une invitation, Il vous a appelé, et vous n’êtes pas venu. Ainsi donc, cela ne fera aucun bien.

            Alors, pendant que le Saint-Esprit est en train de se mouvoir parmi les gens, permettez-moi de vous demander, au Nom de notre Bien-Aimé Seigneur Jésus, de croire en Lui ce soir de tout votre coeur. S’Il était ici ce soir, Il ferait les mêmes oeuvres qu’Il avait faites sur les rivages de Galilée, dans la ville de Jérusalem, à Capernaüm, partout dans toute la Galilée. Il ferait... en Judée, Il ferait la même chose. Et voici ce qu’Il déclarait.

26        Maintenant, à certains des nouveaux venus, ceux qui sont ici pour la première fois, je vais juste répéter cela. Jésus ne prétendait pas être un Guérisseur divin. Et aucun homme sur cette terre ne peut soutenir, à juste titre, soutenir être un guérisseur divin, car il n’y a pas de guérisseurs divins. C’est Dieu seul qui est le Guérisseur. Jésus a dit: «Le Fils ne peut rien faire. C’est le Père qui demeure en Lui qui fait les oeuvres.» Est-ce vrai? C’est Lui qui accomplit les oeuvres. Jésus a dit, maintenant si...

            Jésus a dépassé des estropiés, des aveugles, des gens aux membres tordus, des boiteux, des infirmes, toutes sortes de gens, et Il ne les a point guéris. C’est ce que déclare la Bible qu’Il a fait: Il est passé à côté de la piscine de Béthesda, là où il y avait un grand nombre, bien, bien, bien des fois plus que ce qu’il y a ici ce soir, des estropiés, des aveugles, des infirmes, des paralytiques, qui attendaient le mouvement de cette eau-là, et Il n’a jamais guéri aucun d’eux. Il est allé vers un homme qui était couché sur un grabat, Il l’a guéri, et Il a continué Son chemin. Pourquoi Lui qui témoignait de la plus grande compassion a-t-Il dépassé tous ces estropiés? En effet, Il a dit: «Je ne peux faire que ce que le Père Me montre.» Saint Jean 5.19: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.»

            Si vous lisez attentivement les Ecritures, c’est ce qui s’est toujours passé au cours des âges, les miracles ne sont pas accomplis par la volonté de l’homme, c’est par la volonté de Dieu. C’est Dieu qui montre des visions, qui établit des gens et leur parle... Gédéon, et tout du long, par exemple Elie...

            Un homme est venu et a dit: «Eh bien, nous avons tellement besoin...»

27        Il est arrivé une fois que l’un de mes organisateurs, pas frère Baxter, mais c’était un homme qui était avec nous, l’un des organisateurs sur le champ de travail. Et un journal a fait une déclaration très critique, absolument fausse. Je peux m’attendre à ce qu’il y ait une critique amicale; mais la critique était déplacée, car elle était fausse. Tant que c’est la vérité, c’est en ordre. Mais ce n’était pas vrai. Alors, cet organisateur a dit: «Pourquoi n’allez-vous pas vous agenouiller là et dire à Dieu de détruire ce lieu par le feu?»

            J’ai dit: «Ô frère, ne pensez pas...»

            Il a dit: «Ce qu’il nous faut aujourd’hui, c’est d’autres Elie.» Il a dit: «Elie avait fait descendre le feu du ciel.» Il a dit: «Il aurait... ce qu’il avait fait aux cinquante.» Certes, le frère était bien en erreur. Voyez? Elie n’avait fait descendre le feu du ciel qu’après que Dieu le lui a montré.

            Il a dit: «Oh! Frère Branham, a-t-il dit, Elie est allé simplement là et il a lancé un défi avec hardiesse.» Il a dit: «Venez et démontrez qui est Dieu.»

            J’ai dit: «Non, il ne l’a jamais fait. Dieu le lui avait premièrement annoncé.»

            «Oh! a-t-il dit, il n’avait jamais eu de vision.»

            J’ai dit: «Si, il en avait eue.» J’ai dit: «Quand il a dit, quand il a placé tout le... son taureau et tout sur un autel, qu’il a fait déverser de l’eau dessus, il s’est avancé et a dit: ‘Ô Dieu, j’ai fait ceci sur Ton ordre.’ (Est-ce vrai?) Alors, le feu s’est mis à descendre, après qu’il eut tout terminé.» Voyez? Premièrement, cela a dû être révélé.

28        Maintenant, la chose suivante, la Parole de Dieu dit que Jésus-Christ vous a guéri au Calvaire quand Il mourut il y a mille neuf cents ans. La Parole de Dieu enseigne cela. Est-ce vrai? D’accord. Tout comme «Il a été blessé pour vos péchés...» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Voulez-vous me contester? Cet homme est là. Mais je ne le vois pas; il m’est impossible de le voir. Pourquoi? J’ai un autre sens, et ce sens-là, c’est le toucher. Et mon toucher est tout aussi direct que ma vue. Est-ce vrai? Ainsi donc, je ne le vois pas. Il m’est impossible de le voir, mais il est là, car je l’ai touché.

            Maintenant, il m’est impossible de le toucher; il est hors de ma portée, mais je sais qu’il est là, par la vue. Eh bien, combien de sens contrôlent le corps humain? Cinq: la vue, le goût, le toucher, l’odorat et l’ouïe. Est-ce vrai? Eh bien, je le vois maintenant. Ma vue, mon sens de la vue déclare qu’il est là. Mais mon sens de toucher n’est pas actif. Eh bien, je sais qu’il est là de par le sens du toucher, et ma vue est inactive vis-à-vis de lui. Merci beaucoup.

            Appuyez sur une touche du piano là, s’il vous plaît, monsieur. [Un homme joue plusieurs accords.–N.D.E.] Juste... Combien entendent cela? Combien ont vu cela? Non, vous n’avez jamais vu cela. Vous ne pouvez pas voir cela. Eh bien, comment savez-vous que c’était une–que c’était une note de musique? Comment savez-vous que c’était... que c’est le piano? Avez-vous vu cela traverser l’air? Goûtez-vous cela? Avez-vous touché cela? Sentez-vous cela? Mais vous savez que cela est là, n’est-ce pas? Vous avez entendu cela. Est-ce vrai?

29        Maintenant, regardez. La foi, c’est quoi? La foi, c’est le sixième sens. Cinq sens contrôlent cet homme. Dieu a doté l’homme de cinq sens pour qu’il entre en contact avec sa demeure terrestre. Vous n’entrez pas en contact avec Dieu par vos cinq sens. Vous connaissez Dieu par la foi, qui est le sixième sens, qui est le... L’âme a deux sens: la foi et l’incrédulité. Et si vous êtes possédé par la foi, la foi est tout aussi réelle, aussi réelle pour vous que la vue.

            Si vous croyez que cette chemise est blanche, ce soir, si vous jouissez de la vue, et que vous avez foi dans votre vue, et que vous dites que cette chemise est blanche... Si vous croyez que Jésus-Christ vous a guéri au Calvaire, juste... et votre foi vous déclarera tout autant que votre vue le fait pour ceci, vous êtes guéri maintenant même. C’est terminé. Voyez? La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas, qu’on ne goûte pas, qu’on ne touche pas, qu’on ne sent pas, qu’on n’entend pas. Vous croyez cela. Vous dites: «Eh bien, je n’ai senti aucun changement.» Vous n’êtes pas censé sentir quoi que ce soit de différent. Vous êtes censé croire. Est-ce vrai? Que le Seigneur vous bénisse. Ayez foi en Dieu.

30        Maintenant, ne faites pas comme si vous aviez foi. Ayez réellement foi. Et je remercie le Père céleste ce soir, de tout mon coeur, de s’être manifesté à Son peuple, pour... par Sa Parole, par Sa puissance, par Ses dons, et de montrer aux gens en ce jour-ci où nous vivons qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Inclinons la tête. Je regrette d’avoir pris beaucoup de temps.

            Père, au Ciel, envoie le Saint-Esprit avec une grande puissance ce soir. Confirme Ta Parole partout. Que chaque personne malade dans cette salle sorte d’ici en marchant, en bondissant et en louant Dieu. Qu’ils témoignent demain dans la ville. La réunion touche à la fin maintenant. Et je Te prie, ô Dieu, de faire quelque chose qui déclenchera un réveil à l’ancienne mode ici dans cette ville et dans toute cette contrée. Accorde-le, Seigneur. Nous savons que Jésus vient. Nous ne savons pas quand, mais nous croyons que c’est bientôt. Et je Te prie de préparer les gens. S’il y a des pécheurs ici ce soir même et par-dessus tous les malades à guérir, accorde que le pécheur devienne un croyant ce soir et qu’il accepte Christ comme son Sauveur personnel. Accorde-le, Seigneur. Exauce-nous maintenant et réponds à la prière.

            Et que ce Tendre Jésus, Ton Bien-Aimé Fils, notre Sauveur, qu’Il vienne ce soir et qu’Il demeure avec Son peuple, qu’Il accomplisse des signes et des prodiges devant eux comme Il l’avait fait quand Il était ici dans un corps de chair. Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» Accorde-le ce soir, Père, car nous le demandons en Son Nom. Amen.

31        [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... comme vous pouvez. Priez. Croyez Dieu. La raison pour laquelle nous avons votre nom et votre adresse là, c’est que nous aimerions vous écrire après que ça sera terminé, voir ce qui est arrivé, voir ce que... comment vous allez. Eh bien, c’est Dieu seul qui peut vous aider. Nous le savons tous. Et maintenant, soyez très respectueux et fredonnons simplement encore une fois, comme j’ai parlé un peu longtemps, et que je... attendant Sa Présence. Fredonnons simplement Crois seulement. Eh bien, allons-y, ensemble, un peu lentement comme...

            Crois seulement, seul...
            Tout est possible, crois seulement,
            Crois seulement, seul...

            [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

32        ... critiques. Il y a un petit enfant qui souffrait de l’épilepsie. On avait noué un lambeau autour avec une pince à linge. Et il a piqué une crise d’épilepsie juste à l’estrade. J’ai invoqué notre Père céleste. J’ai dit: «Voudriez-vous tous incliner la tête?» Il y avait cependant un ressentiment; on pouvait sentir cela là au fond, probablement, pratiquement aussi long que ce bâtiment-ci. Il y avait vingt-huit mille personnes là, elles étaient donc pratiquement au... là loin vers la cour de cet endroit. Je continuais à éprouver un ressentiment venir. Alors, j’ai regardé. C’était un ministre avec environ huit ou dix de ses membres. Et j’ai dit à l’huissier, j’ai dit: «Va demander à ce ministre-là d’incliner la tête.»

            L’huissier est revenu quelques instants après, il a dit qu’il a dit que ceci était un lieu public d’adoration. Il n’était pas obligé de le faire.

            J’ai dit: «Monsieur, ne voulez-vous pas incliner la tête?» Il a dit... Il est resté assis là, la tête relevée. J’ai dit: «D’accord. Vous–vous... C’est votre privilège en tant qu’Américain, mais rappelez-vous, je n’en suis pas responsable.»

            Et le petit garçon a piqué une crise aiguë d’épilepsie, j’ai dit: «Père céleste, ne laisse pas l’innocent être obligé de souffrir à cause du coupable. Je Te demande de guérir le petit garçon, au Nom de Ton Fils, Jésus.» Les spasmes ont quitté le petit enfant. Et alors, j’ai dit: «Eh bien, nous sommes très reconnaissant.» Et le petit enfant s’en est allé. J’ai entendu une agitation, et tout le groupe était frappé d’épilepsie, là même et tout autour.

33        Eh bien, écrivez simplement à Richard T. Reed, à Jonesboro, dans l’Arkansas, au Blessed Old Bible Hour Tabernacle, et vérifiez cela. Tout le groupe a attrapé l’épilepsie et ils piquent encore des crises d’épilepsie. Je peux prouver que ces... certaines de ces déclarations ici, je le dis d’après les statistiques officielles, ou les comptes rendus du gouvernement: les fonctionnaires, les agents du FBI qui étaient directement entrés dans la réunion, ils ont suivi cela, ils ont surveillé cela, ils ont fait rapport là-dessus. Nous ne faisons pas de religion, ami. Soyez donc respectueux. Voyez? Soyez respectueux.

34        Maintenant, c’est... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Ecoutez. Quelque... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Vous, croyez-vous ce soir que le Seigneur Jésus est ici dans la salle et qu’Il peut vous guérir? Croyez-vous cela? Vous... Croyez-vous que ces choses que vous voyez et que vous entendez... Est-ce la première réunion à laquelle vous assistez? Vous avez été dans d’autres réunions. Oh! Vous avez été à Flint, dans le Michigan, à la réunion. D’accord. Bien. Je vois. Maintenant, Dieu seul peut vous aider. Eh bien, vous venez de me dire que votre maladie, c’était un mal du coeur. C’est vrai. Vous êtes... Peut-être alors, comme vous m’avez dit ce qui clochait chez vous, peut-être que le Seigneur vous dira autre chose, juste pour exercer donc votre foi. Voyez-vous? Maintenant, croyez-vous que je suis Son prophète? Vous le croyez. Je le dis humblement, voyez? Juste... Car Il a dit ceci: «Si tu amènes les gens à te croire, et qu’ensuite tu es sincère pendant que tu pries, c’est alors que ça arrivera.»

            Vous êtes aussi prédicateur. Est-ce vrai? Oui, monsieur. Et n’est-ce pas que vous venez de traverser de l’eau quelque part venant d’outre-mer? Que Dieu vous bénisse. Maintenant, croyez-vous? Allez, soyez guéri de votre maladie du coeur maintenant. Que le Seigneur vous bénisse. Oui. Que Dieu soit donc avec vous et vous allez vous rétablir, et que Dieu vous bénisse. Disons: «Grâces soient rendues à Dieu!»

35        Voyez? C’est juste pour parler un peu. Maintenant, j’aimerais que vous soyez très respectueux là dans l’assistance maintenant et que vous croyiez de tout votre coeur. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Croyez-vous que c’était la vérité? Est-ce que vous... Vous–vous pensez à quelqu’un, n’est-ce pas? Vous vous intéressez à quelqu’un. C’est votre enfant. Est-ce vrai? Le petit enfant est étendu là. Ayez simplement foi en Dieu. Dieu peut faire cela, si seulement vous croyez.

            Très bien, faites venir le–l’enfant. Bonsoir, soeur. Croyez-vous de tout votre coeur? Je crois vraiment cela. Je crois que vous êtes une croyante. N’importe qui qui a cette attitude-là peut certainement toucher le coeur de Dieu. Vous êtes–vous êtes–êtes malade et vous êtes... Il y a quelque chose qui cloche dans votre sang: c’est l’anémie. N’est-ce pas vrai? Vous souffrez aussi de l’asthme. N’est-ce pas vrai? Et vous avez été... quelque chose au sujet d’un médecin. Non, le médecin examine cet enfant. Est-ce vrai? Cet enfant est aussi malade. Oh! L’état de l’enfant est pire que le vôtre. L’enfant est aussi anémique et il a la hernie. N’est-ce pas vrai? Et je vois un médecin secouer la tête. C’est... le médecin ne peut rien faire pour cet enfant. C’est... Est-ce vrai? Si c’est vrai, levez la main. Dieu peut-Il vous guérir tous deux? Acceptez-vous la guérison pour vous tous deux?

            Maintenant, le médecin a fait tout son possible. Il est sincère là-dessus. Mais Dieu peut vous aider maintenant. Croyez-vous cela?

            Seigneur Jésus, j’implore la miséricorde pour ce cher enfant et cette mère. Que tous les deux rentrent à la maison ce soir, et par Tes meurtrissures, puissent-ils être guéris. Que Satan ne puisse pas les toucher. Sors d’eux, Satan. Au Nom de Jésus-Christ. Amen. Je te bénis, ma soeur. Et je bénis l’enfant, au Nom de notre Seigneur Jésus-Christ, qui connaît votre vie et aussi celle de l’enfant. Maintenant, croyez-vous que vous allez vous rétablir? Vous aurez cela. Que Dieu vous bénisse. Allez.

            Disons: «Grâces soient rendues au Seigneur Jésus-Christ!» Amen.

36        Tout le monde ici devrait croire maintenant même. L’Ange de Dieu dont la photo est dans ce journal, qui est connu scientifiquement à travers le monde en ce moment-ci, Il est ici même dans cette assistance, maintenant même. Il ne se tient qu’à quelques pieds de là où je suis. Un jour, au jour du Jugement, vous verrez que je vous avais dit la vérité, qu’Il est ici même maintenant, qu’Il guérit chaque personne qui peut croire en Lui. Croyez en Jésus-Christ, qu’Il vous a guéri. Ayez foi en Dieu. Dieu connaît toutes choses, n’est-ce pas? Croyez en Lui.

            Où est cette dame qui venait d’être gué-... guérie toute à l’heure avec cet enfant-là? [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Je me le disais. Je vous ai vu debout au-dessus d’elle, ici dans une ombre. J’ai regardé tout autour; et je me suis dit: «Eh bien, cette dame se tient ici même.» Puis, je vous ai vus ensemble. Vous souffrez du coeur, n’est-ce pas? Regagnez donc votre siège. C’est bien. Que Dieu vous bénisse. Vous devez accepter le Seigneur Jésus. Ayez foi. Tout est possible si vous pouvez croire cela.

37        Bonsoir. Vous souffrez de l’estomac, n’est-ce pas? Oui, oui. Oui, monsieur. C’est une espèce de parasite. Cela entre dans votre estomac, cela vous cause beaucoup d’ennuis. Je sais ce qu’ils sont. J’en ai moi-même souffert. Oui, oui. Eh bien, le Seigneur Jésus m’a rétabli, fils; Il peut aussi vous rétablir. Dites donc, vous êtes venu de loin pour arriver aussi ici, n’est-ce pas? Vous avez fait de l’autostop pour arriver ici, l’une ou l’autre chose. Je vous ai vu sur la route en train d’agiter votre... Est-ce vrai? N’est-ce pas que vous venez d’une contrée où il y a beaucoup de plaines, ou l’une ou l’autre chose de ce genre? Je dirais que c’est là quelque part à l’ouest. Est-ce vrai? Maintenant, rentrez chez vous, vous allez vous rétablir et être un homme normal une fois de plus. Votre foi vous a sauvé, fils. Que Dieu vous bénisse, au Nom du Seigneur. Oui, oui. Très bien, allez directement de l’avant. Disons: «Grâces soient rendues à Dieu!»

            Ayez foi et croyez au Seigneur Jésus. Combien croient que Jésus est ressuscité d’entre les morts? Croyez-vous qu’Il est ici ce soir, que c’est le même Seigneur Jésus qui est ressuscité d’entre les morts qui opère parmi les hommes? Eh bien, ayez foi en Lui et Il l’accordera.

38        Le même Seigneur Jésus qui est ressuscité d’entre les morts... Maintenant, regardez. Quand Il est ressuscité d’entre les morts, Il allait sur Son chemin vers Emmaüs, des gens y allaient. Je veux simplement parler un moment. Quand l’onction devient très forte, parfois, je n’arrive pas à me contenir, on dirait. Mais, écoutez attentivement maintenant. En route vers Emmaüs, Il a rencontré quelques disciples, ils ont parlé avec Lui toute la journée. Et quand Il est arrivé là cette nuit-là, Il a fait une certaine chose, juste d’une certaine manière, de sorte qu’ils ont reconnu que c’était Lui. Est-ce vrai? Eh bien, Il est avec vous toute la journée. Il est avec beaucoup parmi vous pendant des années. Est-ce vrai? Maintenant, observez comment Il fait des choses. C’est... Ne L’avez-vous pas vu dans votre vie, la façon dont Il a fait des choses? Quand Il vous a sauvé de cet accident-là; quand Il vous a sauvé de cette crise de maladie; quand vous étiez... n’aviez pas d’argent et que quelqu’un vous a apporté des épices; vous savez ce que je veux dire, n’est-ce pas? C’est ainsi qu’Il fait des choses. Voyez? Il est avec nous. Il est ressuscité d’entre les morts. Il est ici ce soir. Amen.

39        Très bien. Venez, jeune homme. Maintenant, ayez foi en Dieu et croyez en Lui. Dieu accordera toutes choses. Maintenant, j’aimerais juste vous parler un instant. Croyez-vous que ce que vous voyez est la vérité? Croyez-vous? Maintenant, vite, comme mon esprit va rencontrer le vôtre, il y a quelque chose qui cloche...?... vous êtes un homme malade. Vous êtes diabétique. Est-ce vrai? Et vous avez besoin de Jésus-Christ comme votre Sauveur. Comme pécheur, vous avez besoin de Jésus-Christ comme Sauveur. Est-ce vrai? Ne voulez-vous pas avoir une transfusion sanguine à la fois pour l’âme et pour le corps, ce soir, jeune homme? L’acceptez-vous comme votre Sauveur, maintenant même? Croyez-vous que vous vous tenez dans Sa Présence? Croyez-vous? Si vous L’acceptez, que vous témoignez à ces gens que vous acceptez maintenant Christ comme votre Sauveur, et que vous implorez miséricorde, levez la main et tournez-vous vers les gens. Venez ici.

            Seigneur Jésus, pardonne-lui chaque offense, chaque péché. Ô Dieu, je Te prie de guérir ce jeune homme, puisse-t-il partir d’ici, mener une vie normale et être parfaitement guéri. Pardonne chaque péché et fais-le entrer dans Ton Royaume ce soir; je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Allez en vous réjouissant. Sentez-vous que Dieu vous a sauvé maintenant, que vos péchés ont disparu? Vous allez... Allez-vous adhérer à une bonne église et vivre pour Christ? Vous allez aussi être guéri, frère. Que Dieu vous bénisse.

            Un prédicateur devrait parler à ce jeune homme aussitôt au sujet d’entrer dans la... à l’église, et le baptiser. Disons: «Nous Te remercions, Seigneur.» Nous Te remercions, Seigneur. Et aie pitié, c’est notre–notre sincère prière, pour tout le monde.

40        Très bien, faites venir la dame. Maintenant, vous devez croire de tout votre coeur, et de toute votre âme, et de toute votre pensée pour être guérie. Et croyez-vous cela, madame? Oui, oui. Croyez-vous que vous vous tenez... pas votre frère, ici (Voyez?), mais vous êtes dans Sa Présence, le Surnaturel, Celui dont la photo a été mise dans ce journal ici? Oui, oui. Croyez-vous? Etes-vous mariée? Puis-je vous parler à l’écart juste un moment? Assistance, chantez Crois seulement, s’il vous plaît, maintenant. Crois seulement. Venez ici. [Les gens chantent pendant que frère Branham parle à la femme.–N.D.E.]

            Juste quelque chose que... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ha... ne peut pas être dit devant une assistance. C’était un... Dieu seul saurait cette affaire. Est-ce vrai, jeune dame? C’est vrai. Et juste, cela ne peut pas être dit devant une assistance. La vision est apparue et quand cela m’a quitté, je me suis avancé et je lui en ai parlé; et elle lève la main pour montrer que c’est la pure vérité. Et personne n’avait pu être à cet endroit-ci à part Dieu et elle seule. C’est vrai. Maintenant, approchez-vous. Croyez-vous que si je demande la bénédiction pour vous, Dieu exaucera ma prière?

            Notre Père céleste, alors que cette femme ici ne comprend pas exactement ce qu’est ce problème, Seigneur, j’implore la miséricorde pour elle. Et puisse-t-elle être guérie. Tu es ici, Père, et Tu peux la rétablir. Et en commémoration de la Parole de Ton Fils Jésus, les dernières Paroles qui sont sorties de Ses lèvres sacrées, quand Il montait au Ciel, ayant promis de revenir, d’être avec nous même jusqu’à la fin de l’âge, Il a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris.» Et là, Seigneur, cette nuit-là, quand l’Ange du Seigneur est venu, Il a dit: «Va, et sois sincère, amène les gens à te croire; et prie sincèrement, rien ne résistera à la prière.» Tu es toujours Dieu. Tu existes toujours. Tu es toujours ici. Et je réclame sa guérison, Seigneur. Epargne cette jeune vie; je le demande au Nom de Christ. Amen. C’est... Tenez... C’est une chose grave, mais je crois que vous allez vous rétablir. Je crois que vous allez être bien portante. Que le Seigneur Jésus vous bénisse maintenant, alors que vous partez. Amen.

41        Disons: «Grâces soient rendues à notre Seigneur.» Ayez foi. Voulez-vous guérir de votre mal de dos? Etre rétablie? Croyez-vous qu’Il le fera?...?... Croyez-vous que si je Lui demande, Il le fera donc et vous rétablira? Très bien, venez ici juste un instant.

            Père, je Te demande d’être miséricordieux. Guéris cette femme, Seigneur, je prie, pour Ta gloire. Accorde, Seigneur, que la puissance qui a ressuscité Christ d’entre les morts la fortifie maintenant, et éloigne d’elle cet esprit étranglant, et puisse-t-elle aller, guérie, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Croyez-vous maintenant? Croyez-vous que cela vous quittera? Depuis combien de temps cela vous dérange-t-il? Oui, oui. Et cela étouffe donc petit à petit... invisible. Voyez? C’est... Evidemment, on ne peut pas voir cela de l’extérieur, voyez, mais il–il n’y a pas que ça, mais il y a aussi des grosseurs à l’intérieur. Vous avez des grosseurs plus le goitre à l’intérieur. N’est-ce pas vrai? Voyez? Juste afin qu’Il... que vous sachiez que je comprends de quoi je parle. Maintenant, allez simplement et ne doutez de rien. Voyez? Mettez-vous simplement à remercier Dieu. Et maintenant, dans environ soixante-douze heures, si notre prière est exaucée, vous tomberez malade, vraiment malade, environ trois jours et trois nuits. Voyez? Vous tomberez malade: des maux de tête, des nausées. Ne vous en faites pas, c’est pourquoi... C’est alors que vous–vous remercierez donc Dieu; c’est parti. Que Dieu vous bénisse, et que Dieu soit avec vous. Disons: «Gloire à Dieu qui nous donne la victoire.»

42        Venez, soeur bien-aimée. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Est-ce votre mère? Est-ce elle? Je me le disais. Vous êtes en train de prier. Vous souffrez de quelque chose de grave, n’est-ce pas, fils? Quelque chose cloche chez vous, vous perdez on dirait la mémoire; vous n’arrivez pas à vous souvenir des choses. N’est-ce pas vrai? Est-ce vrai? Oui, oui. La maman, là, souffre du coeur, elle souffre de la nervosité. N’est-ce pas vrai? C’est votre mère, est-ce vrai? Si c’est vrai, levez la main. Voyez? Cette femme souffre aussi du coeur. Ces démons se tiraient l’un l’autre. Que Dieu vous bénisse toutes les deux. Maintenant, allez et soyez guéries, toutes les deux, au Nom du Seigneur Jésus. Que Dieu vous bénisse, jeune homme, et qu’Il vous accorde la même chose. Que Dieu soit avec vous. Que le Seigneur vous bénisse. Disons: «Grâces soient rendues à Dieu qui nous donne la victoire par Jésus-Christ, notre Seigneur.»

            Très bien. Venez donc en croyant. Croyez-vous qu’Il vous guérira, soeur? De tout votre coeur? Qu’Il vous rétablira de la–l’affliction et fera encore de vous une jeune fille bien portante? Allez-vous Le servir toute votre vie s’Il vous guérit?

            Notre Père céleste, j’implore la miséricorde et la bienveillance pour notre soeur. Et que le démon quitte, je prie, au Nom de Jésus-Christ, qu’il la quitte. Amen. Maintenant, vous êtes bien portante. Croyez-vous cela? M’entendez-vous très bien maintenant? Me comprenez-vous bien? Depuis combien de temps êtes-vous comme ça? Depuis la tendre enfance...?... Comprenez-vous très bien maintenant? D’accord, vous êtes guérie; cela vous a quittée. L’esprit de surdité vous a quittée; vous pouvez rentrer chez vous en vous réjouissant maintenant. Que Dieu vous bénisse. Disons: «Grâces soient rendues à Dieu.»

43        Viens, petite fille. Crois-tu de tout ton coeur? Et si le Seigneur Jésus te disait juste–juste ce qui cloche chez toi, croirais-tu frère Branham? Croirais-tu? Aimeras-tu aller à l’école du dimanche? Tu es une petite fille très douce, une jolie petite fille. Et je–je... Tu... A l’allure où les jeunes filles se conduisent aujourd’hui, ne veux-tu pas servir Jésus s’Il te guérit? Tu as souffert d’une affection rénale, chérie, tout, pendant des années et des années. Voyez? N’est-ce pas vrai? Que Dieu te bénisse. Viens ici juste une minute.

            Seigneur Jésus, cette chère petite créature, je Te prie de l’aider maintenant. Voyant cette condition, que l’esprit démoniaque quitte l’enfant. Et je bénis cette enfant pour sa guérison, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Eh bien, il a essayé durement, chérie, mais tu vas te rétablir maintenant. Maintenant, n’aie pas peur. Va directement de l’avant, aime Jésus et Dieu va te rétablir. Disons: «Grâces soient rendues au Seigneur, notre Seigneur.»

            Maintenant, soeur, croyez-vous pendant que vous êtes assise là dans le fauteuil? De tout votre coeur? Aimeriez-vous guérir de cette maladie gynécologique dont vous avez souffert avec ce... un... Très bien, allez simplement de l’avant et croyez au Seigneur Jésus maintenant même, et vous deviendrez par... Vous en guérirez. Que Dieu vous bénisse. Amen.

            Venez ici, j’aimerais vous toucher la main juste avant de passer. Ô Dieu, sois miséricordieux envers elle, je prie, au Nom de Jésus. Amen. Amen. Que le Seigneur vous bénisse, soeur. Disons: «Grâces soient rendues à notre Seigneur»...?...

44        Si vous croyez maintenant, ne doutez pas. Maintenant, venez, madame. Cela n’a-t-il pas paru une chose un peu étrange lorsque je lui ai dit: «Maladie gynécologique»? C’est la même chose avec vous. Voyez? Maintenant, allez de l’avant et louez simplement Dieu, dites: «Merci, Seigneur, pour ma guérison.» Disons: «Gloire au Seigneur Jésus!»

            Très bien. Voudriez-vous venir, petite dame? Que pensez-vous? Eh bien, ce–ce n’est pas pour vous faire du mal, soeur bien-aimée. C’est ce qui vous guérira. N’ayez pas peur. Voyez-vous? Ce n’est pas quelque chose qui vous fera mal. Regardez-moi ici, juste une minute. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu, soeur? De tout votre coeur? Je vois que vous êtes une chrétienne. Maintenant, j’aimerais vous poser une question. Vous avez une maladie horrible, la maladie numéro 3, qui tue dans le monde, la tuberculose. Savez-vous cela? C’est la tuberculose, c’est ce qui cloche chez vous. Maintenant, le Seigneur Jésus peut vous rétablir complètement. N’ayez pas peur, maman. Ça va s’arranger.

            Notre Père céleste, je prie pour cette jeune fille, ici même, dans son adolescence. J’implore la miséricorde. Que cette vilaine chose qui s’est cachée aux médecins... ils ont essayé, mais ça ne sert à rien. Mais il ne peut pas se cacher à Toi, ô Dieu. Tu sais exactement là où il est. Que cela sorte de cette jeune fille, au Nom de Jésus-Christ. Et je te bénis, ma soeur, pour ta guérison, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Ne doutez pas. Maintenant, allez en vous réjouissant, étant heureuse; vous allez vous rétablir. Voyez? Ayez foi.

45        Très bien. Maintenant, maman, la vôtre, c’est le tueur numéro 1, la maladie du coeur. Cela... Elle emporte généralement les gens très vite. C’est vrai, n’est-ce pas? C’est vrai. Ça vous étouffe le coeur, et quand vous vous couchez, c’est... ça s’empire. Et–et vous avez des crises de palpitations et d’évanouissement, et autres avec cela. Voyez? Votre vie ne peut pas être cachée. Vous avez connue beaucoup d’ennuis dans la vie; beaucoup de tristesse, des interventions chirurgicales et tout. N’est-ce pas vrai? Voyez? Je ne suis pas en train de lire votre pensée, mais je–je sais ce que–ce que cela... Est-ce la vérité? Maintenant, venez ici une minute.

            Seigneur Dieu, à cause de la foi de cette femme, alors que la force de Ton serviteur est en train de très vite dépérir, je Te prie, ô Dieu, d’être miséricordieux envers elle, et qu’elle parte d’ici ce soir, guérie, par le Nom de Jésus, je prie. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez, en étant heureuse, en vous réjouissant et en remerciant Dieu, et soyez rétablie. Oh! Comme c’est merveilleux! Oh! Nous pouvons... Si seulement vous croyez en Lui, ayez foi en Lui.

            Evidemment, c’est inutile pour moi de dire ce qui arrive en ce moment-ci. Il vous serait difficile de croire. A peine j’arrive à voir l’assistance là au fond, le... C’est tellement... quelque chose. C’est inutile pour moi d’essayer d’expliquer cela. Juste... vous donc... Soyez simplement respectueux.

46        Très bien, venez, monsieur, et ayez foi en Dieu. D’accord. Soyez tout aussi respectueux que possible maintenant. Bonsoir, monsieur. Croyez-vous, monsieur? De tout votre coeur? [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... mur.

            Là même. Vous êtes tous deux des prédicateurs. Est-ce vrai? Vous souffrez de l’estomac et lui souffre de la hernie. Est-ce vrai?

            Seigneur Dieu, bénis Ton serviteur. Qu’il rentre chez lui, bien portant, et que celui qui est assis là fasse de même, Seigneur. Je prie au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère. Allez manger ce que vous voulez maintenant. C’est une nervosité, cela vient juste de votre ministère et tout, c’est ce qui vous a secoué. Vous allez vous rétablir. Ne vous faites pas de soucis. L’ulcère gastroduodénal, c’est ce qui est à la base de cela. Ayez simplement foi et croyez en Dieu de tout votre coeur.

47        Qu’en est-il de vous, soeur? Croyez-vous aussi? Cette affection de vésicule biliaire et autres, ce que vous... Vous avez besoin de Lui, n’est-ce pas? N’est-ce pas là votre mari, assis à côté de vous? Est-ce vrai? Je me disais que c’était cela. Acceptez-vous votre guérison maintenant? Levez la main et dites: «Ô Christ, j’accepte cela.» Vous deux donc. Que Dieu vous bénisse.

            Juste en travers de sa main là est assise une dame qui souffre aussi d’une maladie gynécologique. Est-ce vrai, madame, la deuxième dans le...? Est-ce vrai? Levez-vous et acceptez votre guérison. Croyez-vous? Tenez-vous debout. Dites: «J’accepte ma guérison.» Que Dieu vous bénisse. Croyez-vous? Croyez-vous que Dieu vous rétablira?

            Il y a quelqu’un... Je ne peux pas dire... ici même, juste dans cette–cette section, de ce côté-ci, je vois un petit enfant qui souffre de rein, mais je n’arrive pas à repérer où il est. Que Dieu te bénisse. Oui, oui. Hein! Et il y a une petite fille à côté de lui qui a des convulsions. Est-ce la vôtre? Que Dieu vous bénisse. Imposez-lui la main et sur l’enfant, le petit garçon.

48        Levez-vous, monsieur, vous êtes guéri. Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur Ton peuple que voici ce soir, Seigneur. Guéris les gens ici dans cette assistance en ce moment-ci, par le Nom de Jésus-Christ.

            Je me demande, pendant que vous êtes debout, ou assis avec vos têtes inclinées, j’aimerais vous poser une question. J’aimerais que vous soyez sincères envers moi. Y a-t-il un pécheur ici ce soir qui dirait: «J’aimerais accepter Christ comme mon Sauveur, et je–je crois qu’Il est ressuscité d’entre les morts. Je voulais devenir chrétien depuis longtemps»? Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre qui lève la main pour dire: «Frère Branham, je...» Que Dieu vous bénisse, monsieur, debout au bout. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse. Là dans les allées, à ma gauche, que Dieu vous bénisse. Partout là, levez la main pour dire: «J’aimerais accepter Christ.» Voudriez-vous vous lever, vous qui voulez accepter Christ comme Sauveur personnel, maintenant même? Etes-vous convaincu qu’Il est ici? Et s’Il exauce ma prière pour révéler les choses que le Saint-Esprit m’a dites... J’allais appeler une autre personne assise ici même, la dame assise là, souffrant des yeux, assise là, elle vient d’être guérie. J’allais l’appeler, et le Saint-Esprit a dit: «Faites un appel à l’autel.» Je dois être obéissant.

49        Vous qui voulez accepter Christ comme Sauveur personnel et croire qu’Il exaucera ma prière maintenant même, tenez-vous debout. Partout dans la salle, partout, à chaque endroit, voudriez-vous vous lever, partout? Levez-vous. C’est maintenant même le temps de L’accepter. Y aurait-il quelqu’un d’autre qui se soucierait de se lever juste en ce temps-ci? Que Dieu vous bénisse, le jeune couple. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, soeur. Restez simplement debout, tout le monde. Voudriez-vous vous lever? Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Quelqu’un d’autre qui dirait: «Je veux accepter Christ maintenant même. Je crois qu’Il est ici.» Mon bien-aimé frère et ma bien-aimée soeur, devant Dieu, je ne mens pas: l’Ange de Dieu qui est ici, cette photo a été prise de... est ici même à cette estrade ce soir, ici même maintenant, Il me conduit à faire cet appel à l’autel. C’est peut-être la dernière chance pour quelqu’un. Je ne sais pas. Peut-être qu’on est sur le point... Quelque chose est sur le point d’arriver, mais Il m’a dit: «Fais cet appel à l’autel maintenant même.» Je n’ai jamais de ma vie fait cela auparavant, comme ceci.

            Voulez-vous vous lever? Tout celui qui est pécheur ici et qui aimerait accepter Christ comme Sauveur, voudriez-vous vous lever? Que Dieu vous bénisse. C’est bien, partout. Maintenant, restez simplement debout un instant.

            Père, je ne sais pas pourquoi Tu as fait ceci. Quelque chose d’étrange m’a frappé. Mais je Te prie, ô Dieu, de pardonner tous ceux qui sont debout maintenant. Que leurs péchés soient sous le Sang. Je crois que ceci est l’appel, c’est maintenant le moment.

            Que l’Ange du Seigneur étende Ses grandes ailes sur ce bâtiment maintenant même, et que les gouttes de rosée distillées de la grâce aspergent chaque âme. Accorde-le, Seigneur. Que le Saint-Esprit, dans Sa grande puissance de transformation, change les coeurs de ces gens, de doute à la foi, que leur témoignage soit puissant, et qu’ils reçoivent aussi le baptême du Saint-Esprit, au Nom de Jésus-Christ.

50        Maintenant, à vous qui êtes debout, qui croyez que Dieu vous pardonne vos péchés, levez la main et dites: «Je L’accepte maintenant comme mon Sauveur personnel.» Vous qui êtes debout... Croyez cela, soeur. Que Dieu vous bénisse. Laissez les petits enfants de part et d’autre dans l’allée. Combien veulent le baptême du Saint-Esprit maintenant même? Aimeriez-vous recevoir le baptême du Saint-Esprit? Vous qui n’avez jamais reçu cela, qui aimeriez le recevoir, tenez-vous debout.

            Maintenant, que ceux qui... vous tous qui voulez le Saint-Esprit, le baptême du Saint-Esprit... Si vous croyez de tout votre coeur... [Frère Branham marque une pause, car quelqu’un parle en langues, puis il continue à parler pendant que les langues continuent.–N.D.E.] Ceux qui cherchent, allez directement dans la tente maintenant même. Descendez directement dans la tente. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... Partez maintenant même. Allons dans la tente. Venez ici, révérend. Que le reste parmi vous incline la tête, juste un instant, dans la prière, s’il vous plaît. D’accord.

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