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Eh bien, le roi Ozias était un jeune berger. C’était un jeune homme, fils d’un roi, il aimait la nature. Il aimait le bois, et c’était un berger. Et il aimait aussi les vignes, il aimait voir pousser des plantes. Alors, ce jeune homme avait grandi sous une très bonne influence. Amatsia, son père, avait été un grand homme ; il s’était un peu relâché vers la fin de sa vie, il avait pris des dieux d’un autre pays, et le Seigneur l’avait alors retiré de la terre. Mais ce jeune homme avait subi une bonne influence ; en effet, sa mère était une fille de Jérusalem, son père, un croyant, et par conséquent, le jeune homme avait grandi sous une bonne influence.

Et ça, c’est bien une bonne façon d’élever un enfant, dans la voie qu’il doit suivre. Et savez-vous quoi ? Vos enfants sont vos premiers observateurs. Ils observent ce que vous faites. Et tout ce que vous faites, ils vous imitent, parce que vous placez devant eux un modèle, ce que vous faites.

Cela me rappelle, il n’y a pas longtemps, j’étais à une réunion des Hommes d’Affaires du Plein Evangile, là à Los Angeles. Et frère Oral Roberts avait fait une déclaration sur quelque chose de ce genre, et on m’a demandé de me lever pour dire quelque chose à ce sujet, concernant l’influence.

Cela me rappelle une histoire que j’avais autrefois lue. Un homme était sorti la veille de la Noël, remettre des cadeaux, dans le voisinage, à ses collègues, aux voisins. Et chaque fois qu’il arrivait quelque part, il prenait un verre. Il allait à la maison suivante, et il prenait un verre. Et après qu’il eut distribué tous ses cadeaux, et qu’il en avait aussi reçus, sur le chemin de retour, il s’est dit qu’il prendrait un raccourci à travers le parc. Et il y avait une couche de neige d’environ quatre ou six pouces [10 ou 15 cm.]. Et il s’est rendu compte qu’il n’arrivait pas à marcher droit, il marchait en zigzags parce qu’il était sous l’influence de ces boissons.

Il a aperçu là, très loin derrière lui, son petit garçon de 7 ans, un tout petit, qui venait ; il n’arrivait pas à le rattraper. Il faisait de grands pas, il tombait et faisait des zigzags. Alors, il a attendu que le petit garçon le rattrape, et il lui a demandé : « Pourquoi marches-tu comme ça, fiston ? »
Il a répondu : « Papa, j’essaie de suivre tes pas. »

Eh bien, vous voyez que c’est plus qu’un exemple ; en effet, c’est la vérité, vous donnez le ton à vos enfants.

William Branham, Prédication «Influence»
https://branham.fr/sermons/bss-online/63-0803E

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