Les Investissements

Date: 63-1116B | La durée est de: 1 hour and 36 minutes | La traduction: Shp
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1 Merci beaucoup. Je considère certainement ceci comme l’un de grands moments de ma vie, être ici dans cette grande ville de New York pour parler à ce chapitre, ou plutôt à ces chapitres, avoir le temps de m’asseoir à l’estrade avec mes frères dans le ministère et parler de notre Seigneur Jésus-Christ aux hommes et aux femmes d’affaires de cette ville. Sans doute que beaucoup parmi vous Le connaissent, à voir votre comportement ce matin et à voir comment vous vous réjouissez et vous Le louez pour Sa bonté et Sa miséricorde.

2 Je me sens très petit ici, en me tenant ici avec ces orateurs de renom et d’avoir à me tenir ici pour parler à cet auditoire ; en effet, je ne suis pas un grand orateur, j’ai toujours dit que je suis un pneu de réserve. Vous savez, on utilise un pneu de réserve quand on a une crevaison ; mais nous n’avons pas de crevaison, cependant, on laisse simplement le pneu de réserve rouler quelques minutes, je suppose.

3 Je réfléchissais dans mon âme, dans mon esprit, il y a quelques minutes, au sujet de… au sujet de porter le fruit de l’Esprit, comme l’un des frères l’a dit : « Porter le fruit. » Vous savez, nous ne pouvons pas fabriquer le fruit. Nous devons porter le fruit. Voyez, un mouton ne fabrique pas de la laine ; mais comme il possède de la laine et qu’il la porte, il est un mouton. Voilà pourquoi il porte de la laine. C’est l’unique moyen pour nous d’être donc chrétiens, ce n’est pas parce que nous en portons le nom, ou nous essayons d’en venir à quelque chose, de fabriquer cela. Etant un mouton, vous ne faites que porter de la laine. Etant un chrétien, vous ne faites qu’en porter les fruits. Oui.

4 Et pendant que je suis assis ce matin, je sais que notre temps dans ces réunions est limité.

5 Une autre raison pour laquelle nous sommes à New York cette fois-ci… je suis désolé de n’avoir pas pu assister à cette convention. Un très cher ami à moi m’a mal compris, quand il a dit : « Allez-vous parler à la convention de New York ? » C’est monsieur Williams. J’habite Tucson, en Arizona ; lui habite Phoenix, en Arizona, juste à une distance d’environ cent vingt miles [193 km]. Et j’ai dit : « Oui, je–j’y serai en novembre, je serai content de le faire », de rencontrer frère Nelson, frère Sweet, ainsi que mes amis ici. Et j’ai fini par découvrir que c’était en octobre. Et en octobre, je devais être en Alaska, j’étais donc très loin de New York à ce moment-là.

6 Mais, nous avons eu ce privilège de venir ici avec frère Vick de Rock Church, et les ministres, et nous sommes ici à l’auditorium Marc, où nous passons un bon moment cette semaine, voyant le Royaume de Dieu parmi nous. Nous en sommes si heureux. Et aussi de venir cette fois-ci, ce matin-ci, ici où peut-être des hommes, des hommes et des femmes d’affaires de toutes les couches sociales sont assis, des méthodistes, baptistes, presbytériens, catholiques, et que sais-je encore.

7 Cela me rappelle, il y a des années, quand je travaillais dans une ferme d’élevage de bétail là, dans le Colorado. J’étais… Nous emmenions le bétail. L’Association Hereford faisait paître dans la–la vallée, et on appelait ça Troublesome River Hereford Association. Notre petite ferme d’élevage se trouvait là à la source de la rivière. Et nous avions le East and West Fork, et nous le faisions paître à East Fork. Et alors, en printemps, quand nous emmenions donc le bétail dans le pâturage, nous le placions dans la forêt Arapaho, où l’Association faisait paître.

8 Eh bien, c’est l’Association Hereford. Il y a là beaucoup de gens, là-bas dans cette Association, qui élèvent du bétail Hereford. Et si votre ferme d’élevage peut produire deux tonnes de foin, vous êtes autorisé, suivant la marque, à placer une vache dans le pâturage en été, pour permettre à votre foin de pousser là où on irrigue et nourrir le bétail en hiver.

9 Eh bien, lors du rassemblement de printemps, on amenait le bétail là dans le pâturage, il y avait une clôture démontable. Une clôture démontable empêche le bétail de retourner sur–sur un terrain privé, on les plaçait dans un domaine de l’Etat. Alors le garde forestier se tenait toujours à cette clôture démontable, surveillant le bétail à son passage. Eh bien, il y avait beaucoup de marques qui passaient par ce–ce portail, ou plutôt par cette petite clôture.

10 Et il y avait… eh bien, monsieur Grimes, l’un de grands propriétaires des fermes d’élevage, avait ce qu’on appelait le Diamond Bar. Il avait plusieurs milliers de têtes de bétail. Et le Turkey Track, et le Lazy K, et beaucoup d’autres là-bas. Ils passaient.

11 Je me suis souvent tenu debout, ou plutôt assis sur une selle avec une jambe sur le pommeau de la selle, et j’observais ce garde forestier pendant qu’il regardait ce bétail passer. Et ce qui étonnait, c’est qu’il ne faisait pas cas des marques sur le bétail. Pas du tout. Ils devaient tous être des Hereford, sinon ils n’y accédaient pas. Et tout ce qui l’intéressait, c’était de savoir si c’était un Hereford ou pas ; pas le genre de marque qu’ils portaient. Il y avait à l’oreille une étiquette de sang qui montrait que c’étaient des Hereford.

12 Et je me suis donc dit qu’il en sera ainsi lors–lors du grand rassemblement, à la grande entrée du Royaume de Dieu. Il ne fera pas cas de la marque, que nous soyons méthodistes, baptistes, presbytériens. Mais Il veillera sur l’Etiquette du Sang. C’est que nous devons tous porter l’Etiquette du Sang : « Car, quand Je verrai le Sang, Je passerai par-dessus vous. » L’homme a essayé d’instruire les gens pour les faire entrer en Jésus-Christ ; nous avons essayé de leur faire la morale pour les faire entrer. Mais Dieu a une voie, c’est sous le Sang, nous avons des choses en commun.

13 Il y a quelque temps, une famille était en voie de se séparer. Et un avocat leur a dit qu’ils feraient mieux de se mettre à se partager leurs biens avant que le divorce soit prononcé, parce qu’il ne resterait rien si les avocats s’en emparaient. Il s’est donc fait que cet avocat-là était leur ami personnel. Alors, ils sont entrés dans une pièce, le salon, le mari et la femme, et ils ont fait le partage, et ils se sont disputé sur ce qu’il y avait là. Et dans la pièce suivante, ils se sont encore disputés. Finalement, ils sont allés au grenier, une vieille mansarde, et ils ont trouvé là une malle, et ils se sont partagés les biens qui étaient là-dedans, l’un étendait la main et saisissait : « Et ça, c’est pour moi ! Et ça, c’est pour moi ! »

14 Et, finalement, ils ont soulevé quelques habits, et ils ont tous deux saisi quelque chose. Et alors, ils se sont attrapés par les mains. Et sous ces mains, il y avait une paire de petits chaussons de bébé, fruit de leur union, un petit enfant que Dieu avait rappelé à la Maison. Personne ne pouvait réclamer cela, parce que cela leur appartenait à tous deux. Ils avaient trouvé quelque chose qu’ils avaient en commun. Et là, ils se sont regardés en face, ils n’ont pas tardé à tomber l’un dans les bras de l’autre. Et le divorce n’a pas été prononcé, on a pu l’annuler, parce qu’ils avaient trouvé quelque chose qu’ils avaient en commun.

15 Je pense que c’est ce qu’il nous faudra trouver. Il y a une seule chose. Nous ne pourrions pas nous accorder de devenir tous méthodistes, ou baptistes, ou pentecôtistes, ou autres, mais il y a une seule chose que nous avons en commun : Jésus-Christ ; c’est Lui que nous avons en commun.

16 Il y a quelque temps, quelqu’un m’a posé une question, disant : « Pourquoi vous accrochez-vous à ces Hommes d’Affaires du Plein Evangile ? Vous êtes censé être un prédicateur. »
J’ai dit : « Eh bien, je suis un homme d’affaires. »
Il a dit : « Un homme d’affaires ? »
J’ai dit : « Oui, oui, je suis–je suis un homme d’affaires. »
Il a dit : « Quel genre d’affaires faites-vous ? »
J’ai dit : « Assurance Vie Eternelle. »

17 Je n’ai point dit : « Les assurances », j’ai dit : « L’assurance. » Si quelqu’un parmi vous s’intéresse à cette police d’assurance, j’aimerais certainement en parler avec vous immédiatement après la réunion.

18 Cela me rappelle, quand j’étais à l’école, encore petit garçon, nous avions là un copain, c’était un très bon ami ; il était un agent d’assurances. Et je ne sais trop comment, eh bien, je n’ai rien contre les assurances, mais je n’ai aucune police d’assurances sur cette terre. Alors, il y a quelque temps, ce jeune homme… Son frère est un prédicateur baptiste aussi, et il écrit des articles dans la Haute... pour La Chambre Haute. Et il est venu chez moi, il a dit : « Eh bien, Billy, je suis certainement content de te revoir. »
J’ai dit : « Assieds-toi, Wilmer. »

19 Nous nous sommes mis à causer. Et je savais pourquoi il était venu. J’ai un frère qui vend les assurances, mais je n’en ai jamais souscrit une, de toute façon. Alors, il a dit, après que nous avons causé un petit moment, il a dit : « Je comprends, Billy, que tu n’as pas d’assurances, a-t-il dit, et je me suis dit que, peut-être, je pourrais te parler d’une police d’assurances. Et… »

20 « Oh ! ai-je dit, merci, Wilmer, mais j’ai déjà souscrit une–une police d’assurances. »

21 Et il a dit : « Oh ! je suis désolé, a-t-il dit ; quel genre d’assurances as-tu, Billy ? » Et j’ai dit : « Vie Eternelle. »

22 Et que vous y croyez ou pas, le jeune homme a dit : « Je ne pense pas en connaître la société. » Il a dit : « Où se trouve son quartier général ? »
J’ai dit : « Dans la Gloire. »
Il a fait : «Oh ! »
J’ai dit: « C’est l’assurance bénie, Jésus est mien !
Oh ! quel avant goût de la Gloire divine !
Je suis héritier du salut, racheté par Dieu,
Je suis né de Son Esprit, et je suis lavé dans Son Sang. »

23 « Oh ! a-t-il dit, ça, c’est très bien, Billy, mais ça ne t’amènera pas là au cimetière. »

24 « Mais, ai-je dit, ça m’en fera sortir. » Je ne me soucie pas d’y entrer. Oui. Amen. Je ne me soucie pas d’y entrer. C’est d’en sortir.

25 Ainsi, je–je suis très content d’avoir cette assurance que je sortirai. En effet, c’est Lui qui a donné cette assurance que nous pouvons tous en sortir. J’ai reçu dans mon coeur cette assurance, que je suis passé de la mort à la Vie. Et je sais qu’un jour, Il me fera sortir.

26 Maintenant, juste avant que nous abordions la Parole, j’aimerais que nous inclinions la tête et que nous parlions à l’Auteur, juste un instant, si vous le voulez bien.

27 Et pendant que nous avons nos têtes inclinées, vos yeux fermés et, je l’espère, nos coeurs aussi inclinés dans Sa Présence, je me demande, à l’instant même, s’il y a ici quelqu’un qui n’a vraiment pas cette assurance pour la résurrection, cachée loin dans la boîte de sécurité de votre coeur ce matin, et qui voudrait qu’on se souvienne de lui dans la prière. Voudriez-vous bien, alors que personne ne regarde, lever juste la main pour dire : « Incluez-moi, frère. » Merci, merci. Que le Seigneur vous bénisse. Des douzaines de mains, pendant que nous prions.

28 Très Gracieux Dieu, Eternel, Père de notre Seigneur Jésus-Christ, Toi qui L’as ressuscité le troisième jour après Sa crucifixion pour notre justification, et qui nous L’as présenté sous la forme du Saint-Esprit qui vient maintenant bénir nos coeurs et nous accorder ces choses dont nous avons besoin dans le pèlerinage de cette vie.

29 Nous comprenons, en voyant ces mains se lever, Seigneur, qu’il y a un grand besoin parmi nous ce matin. Et je Te prie, ô Dieu, de ne laisser personne parmi ces gens sortir d’ici sans avoir cette assurance que ses péchés sont sous le Sang, qu’il est né de nouveau et scellé dans le Royaume de Dieu par le Saint-Esprit. Accorde-le, Père.

30 Bénis-nous aussi alors que nous écoutons Ta Parole. Nous savons que Ta Parole est la Vérité, et il n’y a pas d’autre Vérité en dehors d’Elle. Et nous prions, Père, que Ta Parole devienne une réalité pour nous, aujourd’hui. Car il est écrit : « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair et Elle a habité parmi nous. Le même hier, aujourd’hui et éternellement ! »

31 Et Il nous a dit que nous ferons aussi les oeuvres qu’Il faisait, parce que Sa Vie est en nous. Et nous prions, Père, que ceci soit clairement compris de nous tous ce matin. Et s’il nous fallait professer ce matin que Shakespeare vivait en nous, nous savons que nous réaliserions ses oeuvres, composer des poèmes. Si les oeuvres, ou plutôt la vie de Beethoven était en nous, nous serions un Beethoven, nous composerions des chansons. Mais comme nous confessons que la Vie de Jésus-Christ est en nous, la Vie Eternelle, alors la Vie Elle-même témoignera de ce que nous sommes. Et comme le frère parlait de–de « porter le fruit », nous savons que la Vie de Christ en nous prouvera qu’Il est là. Nous Te prions donc de nous accorder cette expérience, à chacun de nous, ce matin, alors que nous attendons.

32 Quant à ouvrir Ta Parole, nous ne le pouvons. Nous pouvons tourner les pages et lire, mais seul le Saint-Esprit peut prendre la Parole et L’apporter à nos coeurs selon nos besoins. Et nous Te louerons avec humilité, car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils bien-aimé. Amen.

33 J’aimerais que vous… si vous avez vos Bibles. Et bien des fois, les gens aiment assister au service et aussi suivre ce que le prédicateur lit. En effet, après tout, la Parole de Dieu est la Vérité. Il n’y a pas d’autre vérité qui puisse prendre Sa place. Elle est toute la Vérité. La Parole est Dieu, C’est Dieu sous forme de lettres.

34 Dieu va juger le monde un jour par Jésus-Christ. Nous le savons.

35 Il ne peut pas le juger par une église. Si c’était le cas, les catholiques romains diraient : « Il va le juger par notre église » ; qu’en serait-il alors des catholiques grecs ? Les méthodistes diraient : « Il le jugera par notre église » ; qu’en serait-il alors des baptistes ? Ainsi, voyez-vous, il y a trop de différences.

36 Il doit y avoir un étalon. Et si Jésus-Christ est la Parole, alors Il le jugera par la Parole. Ainsi, tout ce que Dieu a dit dans Sa Parole, c’est ce dont nous vivons : « L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu. »

37 Prenons Saint Marc, chapitre 10, lisons juste une portion des Ecritures.

38 Et pendant que vous prenez cela, j’aimerais vous inviter à l’auditorium. Mais, hier soir, j’ai vu une scène triste au moment même où je sortais du taxi, ou je descendais du taxi pour monter en chaire. Il y avait littéralement des centaines de gens qui marchaient dans la rue ; beaucoup parmi eux pleuraient parce qu’on leur avait refusé d’entrer dans l’auditorium. Il n’y avait pas de places. Nous regrettons de ne pas disposer d’un endroit plus spacieux. Mais nous espérons qu’un jour, si nous pouvons tous venir voir… sinon, nous vous verrons juste de l’autre côté de la frontière, juste de l’autre côté.

39 Maintenant, chapitre 10.17, à partir de 17, juste pour un petit texte, pour faire un… pour en tirer une conclusion d’un contexte que, nous l’espérons, Dieu nous accordera. Comme Jésus avait… se mettait en chemin, un homme accourut, et, s’agenouillant devant lui : Bon maître, lui demanda-t-il, que dois-je faire pour hériter la vie éternelle ? Jésus lui dit : Pourquoi m’appelles-tu bon ? Il n’y a de bon que–que Dieu seul. Tu connais les commandements : Tu ne commettras point d’adultère, tu ne tueras point ; tu ne déroberas point ; tu ne diras point de faux témoignage ; tu ne feras tort à personne ; honore ton père et ta mère. Il lui répondit : Maître, j’ai observé toutes ces choses dès ma jeunesse. Jésus, l’ayant regardé, l’aima, et lui dit : Il te manque une chose; va, vends tout ce que tu as, donne-le aux pauvres, et tu auras des trésors dans le ciel. Puis viens, prends ta croix et suis-moi. Mais affligé de cette parole, cet homme s’en alla tout triste; car il avait de grands biens.

40 J’aimerais que vous observiez bien ce jeune homme, il n’était pas un athée. Il était censé être un croyant. Il était membre d’église. Et ce matin, j’aimerais parler pendant les quelques prochaines minutes, je ne sais exactement combien de temps on y réserve, mais j’aimerais vous parler sur quelques passages des Ecritures que j’ai notés ici, sur ce sujet : Les Investissements.

41 Je crois que tout homme d’affaires devrait s’intéresser à un bon investissement. Et nous parlons, je présume, aux hommes d’affaires de cette grande ville célèbre, New York. Et tout homme qui peut faire un investissement qui lui sera bénéfique doit s’y intéresser. Eh bien, nous avons toutes sortes d’investissements. Mais l’investissement dont je parle ce matin… Peut-être que vous avez fait beaucoup de bons investissements, mais celui-ci est le meilleur que vous puissiez faire. Moi, comme je venais de le dire, je suis un agent de Vie Eternelle.

42 Ce n’est pas une bonne affaire que de jouer à l’argent, de tenter sa chance. Le… notre frère ici parlait, il y a quelques instants, sur… il allait dans des endroits jouer à l’argent. Ça, c’est tenter sa chance. Un homme d’affaires raisonnable ne fera pas cela. Il ne devrait pas le faire, de toute façon. Ça, c’est jouer à l’argent. Vous–vous pouvez du coup faire faillite, avec de telles choses.

43 Et puis, un bon homme d’affaires sain, ou plutôt un bon homme d’affaires raisonnable n’investirait jamais dans une histoire du genre « devenir riche en une soirée », dans une entreprise instable, y investir. Il–il ne le ferait point, un bon homme d’affaires raisonnable, comme vous, je pense, ainsi que vous les femmes d’affaires raisonnables.

44 Cette histoire du genre « devenir riche en une soirée. » J’avais autrefois un ami qui avait ses épargnes dans une banque, et il en retirait un petit intérêt, et quelqu’un est venu avec un raccourci. Vous savez, aujourd’hui, nous entendons tellement parler des raccourcis. Le monde en est plein : les publicités, la télévision, la radio, les journaux. Et le peuple américain se laisse prendre par de telles choses !

45 Il n’y a pas longtemps, je suivais une publicité sur une–une–une femme, ou on parlait à la–à la radio. J’étais dans ma voiture, allant quelque part, et on disait : « Utilisez cette bonne poudre à vaisselle », d’un certain genre, « vous n’aurez même pas à laver les assiettes. » Vous n’aurez qu’à les plonger là-dedans, vous déversez un peu de cette poudre et vous les secouez de haut en bas sans qu’il y ait question de nettoyer, rincer, sécher, ni rien d’autre. » Et c’était l’une des plus grandes choses que la science nous ait jamais offertes.

46 Et juste après, il y en a eu pour un autre produit, c’était : « N’utilisez pas ces nouveaux détergents. Regardez combien les mains de la maman sont belles. Ces nouveaux détergents vous brûlent les mains. Soyez… Ayez de belles mains comme la maman ; et n’utilisez pas ce nouveau détergent. »

47 Et il s’est fait qu’à l’époque j’habitais Jeffersonville, où se trouve la grande usine Colgate Palmolive Peet, et c’est la même compagnie qui fabriquait tous les deux produits. Voyez ? Voyez ? C’est un–c’est un truc. Et il y en a plein au monde, aujourd’hui !

48 Et je dis ceci avec révérence et respect, et j’espère que cela n’a pas l’air sacrilège, mais cette même chose est entrée dans le mouvement ecclésiastique. Dieu n’a pas de raccourcis. Vous en payez bien le prix. Venez suivre la voie à laquelle Dieu a pourvu pour nous.

49 Si vous investissez dans un « devenir riche en une soirée »... Alors la chose suivante, vous savez, cet ami avait perdu tout ce qu’il avait. Ça, c’est une mauvaise affaire, faire pareille chose. Cela montre qu’on n’a pas une bonne intelligence, ou un bon sens des affaires, se lancer dans une affaire non identifiée.

50 Et puis, ce n’est pas une bonne affaire que de garder ce que vous avez dans votre poche ; en effet, vous feriez mieux de faire tourner cela. Vous souvenez-vous de notre Seigneur parlant des talents ?

51 Je n’aurai pas le temps d’aborder cela dans tous les détails, mais j’espère que vous comprenez de quoi je–je parle, en faisant ce parallélisme-ci, pour faire comprendre ce que je veux vous faire comprendre.

52 Maintenant, nous voyons que si vous gardez votre argent en poche, les voleurs peuvent le dérober. Et nous ne voulons pas faire cela, parce que ce n’est pas une bonne ligne de conduite, garder son argent en poche. Vous pouvez le perdre, et vous pouvez… quelqu’un peut vous le dérober.

53 Et ne l’investissez pas dans une sottise. Mais investissez-le dans une société vraiment fiable qui a donné ses preuves et qui est parfaitement identifiée comme rentable. Eh bien, c’est ce que vous pensez, vous, les hommes et les femmes d’affaires. Si ce n’est pas rentable, alors vous en avez peur. Mais s’il est établi que c’est rentable, que c’est fiable, alors, investissez-y. Vous pouvez y placer tout ce que vous avez, parce que c’est établi, parfaitement établi, que c’est rentable.

54 Et, ce jeune homme riche, ou ce jeune homme d’affaires (je vais l’appeler ainsi), ce jeune homme d’affaires de la ville avait eu une occasion de faire un investissement dans l’une des activités identifiées les plus grandes du monde. Il avait eu l’occasion de contracter une–une assurance Vie Eternelle, comme nous le dirions. Mais une telle assurance ne l’intéressait pas, parce que son prix semblait l’éloigner des choses qu’il tenait à faire. Voilà un point.

55 Or, le jeune homme savait qu’il lui manquait quelque chose. Malgré que nous (il avait) comprenons parfaitement bien qu’il devait avoir un–un bon père, une bonne mère, une expérience d’église, qu’il était membre d’église, car Jésus lui a demandé : « Garde les commandements. Honore ton père et ta mère. Tu ne tueras point et tu ne commettras point adultère », et toute cette morale que l’église enseigne, mais pourtant, Jésus le lui a dit : « Il te manque une chose. »

56 Il n’était pas… il n’a pas demandé à Jésus : « Que puis-je faire pour adhérer à Ton église ? Que puis-je faire pour en devenir membre ? » Mais il a dit : « Que puis-je faire pour avoir la Vie Eternelle ? » Quoique membre d’un corps religieux, le jeune homme était néanmoins assez raisonnable pour savoir qu’il lui manquait la Vie Eternelle.

57 Et il n’y a qu’une seule forme de Vie Eternelle. Nous essayons d’obtenir cela. Et il lui a été donné l’occasion de La recevoir, sur sa demande ; en effet, il est écrit : « Demandez et vous recevrez. »

58 Et Cela lui a été présenté, mais cependant il a été assez insensé pour rejeter cela à cause du prix trop élevé. Et en tant que chrétien, et ayant voyagé à travers le monde, je trouve ce même désir dans les coeurs de beaucoup de gens aujourd’hui. Comme ma femme a l’habitude de dire : « On veut à la fois manger son gâteau et le garder. » Vous–vous ne le pouvez pas.

59 Vous ne pouvez pas à la fois conserver l’amour du monde et l’amour pour Dieu. « Car vous ne pouvez pas aimer Dieu et Mammon, ce qui veut dire le monde. Et si vous aimez le monde, ou les choses du monde, l’amour du Père n’est pas en vous. »

60 Mais beaucoup de gens aiment dire : « Je suis membre de tel. » Mais là n’est pas la question. Ce n’est pas de cette police d’assurances dont je parle ce matin.

61 Il s’agit de la Vie Eternelle, la Vie Eternelle ! Et tout ce qui est éternel n’a point de commencement; par conséquent, cela ne peut pas connaître de fin. Ce qui est éternel n’a point de commencement. Et alors, le seul moyen pour vous de pouvoir être éternel, c’est de recevoir la Vie Eternelle. Et il n’y a qu’une seule Chose qui est Eternelle, c’est Dieu. Ce n’est pas adhérer à une église, ni aux crédos, ou tourner une nouvelle page le jour de l’an, ou quoi que ce soit ; mais c’est recevoir Dieu, la Personne de Dieu, sous forme du Saint-Esprit dans votre vie. Et vous devenez une partie de Dieu et tout aussi éternel que Lui, parce que vous êtes une partie de Lui. Tout ce qui a un commencement a une fin. Le monde a eu un commencement, il aura une fin ; le ciel a eu un commencement, il aura une fin. Jésus a dit : « Les cieux et la terre passeront, mais Mes Paroles ne passeront point », parce que Lui est la Parole. Il est la Parole, et Elle est éternelle.

62 Et cette Parole en vous produit la Vie de Christ. Si je pouvais tirer la vie d’un pêcher pour la verser dans un poirier, elle ne porterait plus des pêches, cela porterait des poires, car la vie qui est dans l’arbre produit ce qu’il est. La vie qui est en vous démontre ce que vous êtes. Le témoignage de votre vie est tellement éloquent qu’on n’entend pas votre témoignage. On reconnait ce que vous êtes par la vie que vous menez et les choses que vous faites. Si la Vie de Christ est en vous, alors, par conséquent, vous menez la Vie de Christ et vous accomplissez Ses oeuvres, parce que c’est Sa Vie qui vit en vous. Vous n’êtes qu’un instrument pour continuer l’oeuvre de Dieu.

63 Quelle imprudence ce jeune homme a commise en ne se–s’intéressant pas à un tel investissement ! Il nous est dit qu’il avait de grandes richesses. Mais la richesse du monde doit périr. Quelle est la condition du jeune homme aujourd’hui ? Je me demande où il est. Il a rejeté l’opportunité qu’il avait. Pourtant, il était un croyant chrétien, ou un croyant, dirions-nous, pour être plus fondamentaliste. Il était un croyant, il marchait dans toute la lumière de la loi et, probablement, il était un membre loyal d’une grande assemblée, mais cependant, il savait qu’il lui manquait la Vie Eternelle.

64 Eh bien, il avait vu en Jésus quelque chose qu’il n’avait jamais vu dans d’autres hommes. Il voyait ses sacrificateurs, il voyait les membres de sa famille, il voyait des hommes bons, mais il y avait quelque chose de spécial en Jésus-Christ. Ils avaient vu, même les scribes et les soldats qui avaient été envoyés du temple pour L’arrêter, ils ont dit : « Jamais homme n’a parlé comme cet Homme. » Il ne parlait absolument pas comme un sacrificateur ou un–un laïque, mais Il–Il avait… Dieu confirmait ce qu’Il disait. Il était…

65 Il n’avait point écrit des livres. Nous n’avons rien que Jésus aurait écrit de Sa Vie. Tout ce que nous savons, c’est qu’Il avait une fois écrit par terre quand une–une petite femme de mauvaise vie avait été amenée devant Lui, puis Il a effacé cela. Pourquoi n’avait-Il pas écrit ? Il était la Parole. Il était la preuve vivante qu’il existait un Dieu vivant, Sa Vie même en Lui.

66 Il a dit : « Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas. Même si vous ne pouvez pas Me croire (comme Il était un homme), croyez cependant aux oeuvres. Vous sondez les Ecritures, car en Elles vous pensez avoir la Vie Eternelle, et ce sont Elles qui témoignent de Moi. Elles vous disent qui Je suis. » Ça, c’était un langage inconnu pour beaucoup de ces membres du clergé de l’époque.

67 C’est vraiment dommage, on dirait que ça se répète. Mais c’est… le monde demeure le même. Les esprits ne changent pas. Ils vont d’un groupe à un autre, d’un homme à un autre ; les mauvais esprits, le bon Esprit venant de Dieu aussi. Le Saint-Esprit demeure juste le même qu’Il était quand Il venait de descendre le jour de la Pentecôte, quand Dieu, dans cette glorieuse Colonne de Feu, s’est séparé parmi Son peuple.

68 Mais en ce Jésus, le jeune homme d’affaires avait vu quelque chose qu’aucun autre homme n’avait; il avait vu Dieu vivant dans un être humain.

69 Et alors, ce matin, en tant que personnes qui réfléchissent avec intelligence, si cette même Vie qui était en Christ est en vous, comment peut-Elle manquer de vivre la même chose, tout en étant la même ? Elle doit le faire. Nous pouvons donc être excités par des émotions, nous pouvons être bourrés de crédos ou de quelque chose d’autre, au point de penser que c’était ça. Mais quand nous lisons ce qu’Il était, c’est donc cela qu’Il est aujourd’hui. Ce que Dieu était en Christ, votre Frère Rédempteur, c’est ce qu’Il est en vous, en tant qu’enfant racheté.

70 Jésus a vu ce jeune homme, et Il l’a aimé. Eh bien, il y a une chose qui semble nous faire beaucoup défaut aujourd’hui : du fait que les gens ne nous aiment pas, on dirait que nous ne voulons pas les aimer. Depuis que je suis parmi les gens du Plein Evangile, et ça, c’est une chose que je vois, avant que j’aie rencontré ce groupe des Hommes d’Affaires, les organisations de foi pentecôtiste semblent s’isoler. Ce n’est pas ça exprimer la Vie de Jésus-Christ. Il aimait tout le monde, et Il a aimé ce jeune homme d’affaires. Bien qu’il L’ait rejeté, pourtant Jésus l’a aimé.

71 Et le jeune homme avait trouvé en Jésus quelque chose qu’il n’avait trouvé nulle part ailleurs, et il a été invité à recevoir ce qu’Il avait, mais le prix était trop élevé. Et encore qu’il avait vu que cet investissement qu’on lui demandait de faire lui coûtait tous ses biens mondains, car Jésus lui a dit : « Va vendre ce que tu as. »

72 Eh bien, hommes et femmes, ne–ne me comprenez pas mal. Je ne veux pas dire qu’il ne nous faut pas avoir de l’argent. Mais quand vous en faites votre Dieu, quand c’est sur ça que vous comptez, cela doit périr. Et aujourd’hui, il arrive bien des fois que les hommes et les femmes d’affaires cherchent à voir combien ils peuvent posséder, alors que nous devrions voir combien nous pouvons perdre. Combien c’est différent aujourd’hui, ce qui se passe parmi les chrétiens, les églises dénominationnelles et les autres, eux tous ! Combien c’est différent, on dirait, aujourd’hui, de ce qui se passait dans l’Eglise primitive de la Pentecôte ! Aujourd’hui, on dirait qu’on cherche à se vanter : « J’ai un parc de Cadillacs, donc je suis spirituel parce que je possède beaucoup de biens de ce monde. » Et nous voyons cela être trop exalté, même parmi nos frères. Les pentecôtistes du temps primitifs avaient vendu ce qu’ils avaient et l’avaient distribué aux pauvres et entre eux.

73 Il n’y a pas longtemps, un jeune homme, en Jamaïque, où nous avons été, aux champs de courses, j’étais avec les Hommes d’Affaires du Plein Evangile, j’avais fait une remarque sur quelque chose de pareil, un soir, à un rassemblement des hommes d’affaires venus de toutes les îles, de partout, de toutes–toutes les îles de là, alors, ce jeune chanteur est venu vers moi et a dit : « Frère Branham, la déclaration que vous avez faite ce soir n’était pas trop fameuse, ce que vous avez dit sur les pentecôtistes qui avaient vendu leurs biens. »

74 Je prêchais sur les critiqueurs des pentecôtistes, disant que c’est là l’unique chose qu’ils avaient le droit de critiquer. J’ai dit : « Vous les hommes d’affaires, vous êtes toujours là à montrer comment devenir riche. Ces hommes savent comment devenir riches. Ils sont déjà riches. Ce qu’il vous faut leur vendre, c’est Jésus-Christ, Quelque Chose qu’ils n’ont pas. »

75 Vous n’êtes pas capables d’amener l’Evangile là dans le monde. C’est le monde que nous amenons ici, absolument. Hollywood cherche les choses brillantes, un singe fait de même. Hollywood brille, mais l’Evangile luit. Il y a une grande différence entre briller et luire. Nous cherchons à entasser de grandes choses, et devenir un grand personnage. Ce n’est pas comme ça qu’on peut avoir ceux du dehors. Vivez la Vie, et laissez Christ vivre en vous, c’est ce qui donnera la faim et la soif à quelqu’un d’être comme vous. Devenez salé, il aura soif. Le seul moyen pour vous d’être salé, c’est de laisser la Vie de Christ être en vous, car c’est ce qu’Il est. Le sel ne préserve que quand il entre en contact.

76 Eh bien, nous voyons que ce jeune homme savait que cet Homme était plus qu’un homme ordinaire. Il savait qu’Il devait être Dieu, parce que la Vie de Dieu se reflétait au travers de Lui ; et Il était complètement confirmé par la Parole qu’Il était Dieu.

77 Maintenant, j’aimerais parler juste un moment à mes frères prédicateurs aussi. Nous formons ici une assemblée des ministres et des hommes d’affaires. J’ai un peu peur que le grand système de nos églises aujourd’hui en soit arrivé au même point, car la Bible déclare que nous y arriverons, dans les derniers jours, concernant l’âge de l’Eglise de Laodicée, qui est riche, qui s’est enrichi, et qui n’a besoin de rien. « Et tu ne sais pas que tu es misérable, pauvre, malheureux, aveugle, et tu ne le sais pas. » C’est ça qui est triste : « Tu ne le sais pas ! » Aveuglé !

78 Pourquoi ces pharisiens, ces érudits des séminaires, n’ont-ils pas reconnu Jésus-Christ alors qu’Il était complètement identifié par la Bible, quand Il a prouvé qu’Il était le Prophète que Moïse avait dit qu’il serait suscité ? Et ils n’avaient pas eu de prophètes pendant des centaines d’années. Et voici qu’Il était parmi eux, avec la Parole même de Dieu, mais la Bible dit qu’ils étaient des « pharisiens aveugles. » Et la Bible nous dit qu’ils devaient être aveugles. Quelle chose pitoyable !

79 Et la même Bible, qui dit qu’ils devaient être aveugles, dit que l’âge de l’église de Laodicée serait aveugle, misérable, malheureux, pauvre, nu et aveugle, et il ne le sait pas.

80 Si on trouvait un homme dans la rue, ou quelqu’un dans cette condition, ce serait une chose pitoyable, si on allait donc vers lui pour lui parler, lui ou elle. Et si vous regardez l’habillement de certaines de nos femmes modernes, vous verrez qu’elles sont à peu près comme ça dans le naturel. Mais si vous allez vers elles pour leur dire qu’elles sont dans l’erreur et si elles entendaient, comprenaient qu’elles sont nues, elles chercheraient à s’habiller. Mais : « Nu, et tu ne le sais pas. »

81 Eh bien, aujourd’hui, Dieu a de nouveau envoyé le Saint-Esprit. En fait, si Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, alors Il est toujours le même Messie. Et la Vie de Christ est dans Son Eglise, confirmant Sa Parole. C’est comme ça que Dieu était sur la terre, sous la forme de Jésus-Christ, comme la Parole, pour faire vivre la Parole. Et le Saint-Esprit est aujourd’hui dans la chair, vivifiant la Parole de Dieu pour chaque promesse et chaque prodige. Et tout ce qu’Il a promis se trouve là.

82 Et il a été donné aux églises l’occasion de recevoir cette police d’assurances Vie Eternelle, mais elles ont commis l’erreur fatale que le jeune homme riche avait commise. Elles sont allées dans des conseils s’unir, se soumettant toutes à une espèce de chef ecclésiastique qui a été prédit dans la Bible. Nous voyons cela dans les systèmes de nos organisations. Et ils sont dans Rome et autres aujourd’hui. Eh bien, nous n’avons pas d’intérêt personnels à servir, nous n’avons pas à mâcher les mots, nous disons simplement la Vérité, telle que C’est écrit. Dieu confirme toujours Sa Vérité. Et il a été offert à l’église dans cet état où elle est de souscrire la Police d’assurance.

83 Et sur la même base, que beaucoup parmi vous, hommes d’affaires ici présents ce matin, membres de ces églises... je ne dis pas : « Quittez-les », non, non, allez-y et soyez la Lumière, mais emportez la Lumière avec vous. Voyez ? Remarquez.

84 Sur la même base où le jeune homme riche a rejeté cette occasion, l’église rejette aujourd’hui cette occasion pour la Vie Eternelle. En effet, l’église elle-même, cela détruirait l’héritage de leurs pères, les grandes traditions que les pères soutenaient. Et alors, si le Saint-Esprit descendait dans un grand système ecclésiastique, eh bien, je crains que les responsables ne supportent pas cela. Ça sera être excommunié de cette organisation. Voyez ? Et c’est à peine s’ils peuvent se le permettre, il ne serait plus « docteur, saint père », ou je ne sais quoi, il serait juste un homme ordinaire parmi nous.

85 Il n’y a pas de grandes personnes dans la chrétienté. C’est le monde qui a ça. Nous sommes tous pareils, des fils et des filles de Dieu, et il n’y a pas de plus saint que toi. Nous sommes des enfants de Dieu, par la grâce de Dieu.

86 J’ai lu dans la Bible que Dieu avait parlé à Jean sur l’île de Patmos, disant qu’Il haïssait « les oeuvres des Nicolaïtes. » Nikao : Conquérir les laïques, conquérir les laïques et placer toute la sainteté sur certains hommes. La sainteté est pour tous. Le Saint-Esprit était descendu sur tout le groupe. Il n’y a pas de saint homme, après tout, il y a un Dieu Saint. Nous ne disons pas : « La sainte église, un peuple saint. » C’est « le Dieu Saint. » Nous ne sommes pas saints, mais c’est Lui qui est saint. Il n’y a pas un saint prédicateur ; c’est le Saint-Esprit, oeuvrant au travers d’un prédicateur. Il n’y a pas d’hommes saints ; aucun de nous n’est saint. Mais, apparemment, bien souvent, les gens rejettent cette même occasion.

87 Dans Apocalypse 3, nous lisons ceci, que l’Eglise de Laodicée… On nous décrit l’un des tableaux les plus tristes de toute la Bible, dans Apocalypse 3, à l’Eglise de Laodicée. Toutes les autres églises, jusqu’à l’âge de Luther, et les Sept Ages de l’Eglise, chacun d’eux, ça ne s’est pas fait, on parlait de Jésus à l’intérieur de l’église : « Celui qui est dans l’Eglise. » Mais dans Laodicée, Il était dehors, frappant à la porte, essayant de rentrer. Quelle chose pitoyable à laquelle penser, à savoir : « Le Fils de Dieu, frappant à la porte de Sa propre Eglise, essayant de rentrer. »

88 Mais les richesses de ce monde ont aveuglé leurs yeux. Non seulement la richesse en argent, mais la richesse en popularité, la richesse dans les choses du monde, les soucis de la vie, au point que vous vous êtes associées, et les hommes intellectuels sont entrés et ont ôté le Grain, cette–cette Perle de grand prix. Mais Dieu a prédestiné un peuple à être là ; quelqu’un sera là. Mais ils rejettent Cela. Ils ne le feront pas eux tous, d’autres recevront Cela. Aujourd’hui, ils L’ont exclu de leur amour, leur amour de Sa Parole. Le… Ils prennent un credo et l’adoptent, tout ce que vous prenez à la place de quelque chose d’autre.

89 Par exemple, vous étiez marié à une belle femme. Elle vous aimait et vous l’aimiez, disiez-vous. Peu après, vous prenez une autre femme ou vous prenez un autre homme, vous devez d’abord rejeter votre premier amour.

90 Et c’est l’unique moyen pour nous de pouvoir adopter un credo, c’est quand nous rejetons notre premier amour, la Parole. Vous ne pouvez pas croire à une erreur, à moins d’être d’abord sorti de la Vérité. Mais nous en sommes arrivés à nous serrer la main et à les inscrire dans l’église. Ils continuent à fumer, à boire, à avoir des fêtes.

91 Hier soir, je parlais, en descendant dans un ascenseur. Il y avait dans l’ascenseur une dame qui disait qu’elle allait à une fête d’église ; elle disait : « Ça sera au sous-sol de l’église. Nous allons jouer au jeu d’arnaque, et on y distribuera des dindons; c’est dans le but d’aider à payer le pasteur et les missions. » Voyez, vous adoptez autre chose. Ce n’est pas ça le programme de Dieu. Si jamais on en arrive à ce que je ne peux pas prêcher l’Evangile sans devoir m’adonner à des choses pareilles, je fermerai la Bible et rentrerai chez moi. C’est dommage. Mais on vit ça (Pourquoi ?), parce qu’on a rejeté la police d’assurance Vie Eternelle. C’est ce qui est à la base, ils ont perdu leur amour.

92 Je suis allé à un petit endroit, dans le hall d’un hôtel, avant-hier soir; j’allais prendre un sandwich et j’ai dit à une dame : « Apportez-moi un–un sandwich avec un verre de babeurre. »

93 Je ne suis pas sûr de le prononcer comme il faut, ou pas. Mais la petite dame semblait être atteinte de chancre, avec tout ce bleu sous les yeux et autres ; et–et elle ne portait pas assez d’habits, on pourrait les mettre dans une boîte d’aspirine. Elle a dit : « Voulez-vous du bourbon avec des glaçons ? »
J’ai dit : « Pardon? »
Elle a dit : « Bourbon avec quoi ? »
J’ai dit : « J’ai dit du babeurre. » Voyez ?
Elle a dit : « Eh bien, que voulez-vous boire ? »
J’ai dit : « Du babeurre. »
Elle a dit : « Eh bien, nous avons des cocktails ici. »
J’ai dit : « Madame, je suis un ministre de l’Evangile. »

94 Elle a dit : « Nos… Je suis catholique. » Et elle a dit : « Nos prêtres viennent boire. »

95 J’ai dit : « Moi, je ne suis pas un prêtre catholique. Je suis un ministre de l’Evangile. »
Elle a dit : « Ne voulez-vous pas prendre un cocktail ? »

96 J’ai dit : « Ne mélangez rien avec cela, apportez-moi simplement du babeurre pur. » Oui. Et elle ne le savait pas. Mais vous y êtes, voyez, vous y êtes.

97 La religion, c’est la même chose que le monde. La religion signifie une couverture. Si vous pouvez vous couvrir du monde, vous agirez comme le monde.

98 Mais si vous vous couvrez du Sang de Jésus-Christ, vous serez rattaché à Lui, vous ne vous souciez plus de ces choses. Vous ne voyez que le Sang. Et Dieu ne reconnaît que le Sang. « Quand Je verrai le Sang, Je passerai par-dessus vous. » Amen. Nous sommes reconnaissants à Dieu pour ces choses. Maintenant, nous parlons de cette police d’assurance Vie Eternelle.

99 Et, bien souvent, je suis parmi ces pentecôtistes, ils–ils peuvent bien prêcher très rapidement, et–et moi, je–je–je suis si lent. Je suis un–je suis un rebelle pour commencer, un homme du Sud ; je–je dois simplement prendre mon temps. C’est comme ici dans la rue, on a failli me renverser, et je–j’ai reculé dans un coin, et j’ai attendu que toute la foule passe. Et alors, c’est comme s’il n’y avait pas de fin là ; je suis donc un peu lent, on doit me supporter un petit peu.

100 Pensons à–à certains détenteurs de cette police d’assurance. Investissons ceci, ou plutôt examinons ce matin ces gens qui ont souscrit cette police d’assurance dans le temps, afin que nous puissions voir si cette assurance est fiable ou pas. Je parle de la Parole de Dieu, qui est Christ dans la chair. Quelqu’un qui a été un détenteur de cette assurance; nous allons commencer dans le passé et passer rapidement en revue quelques détenteurs.

101 Il y eut une fois un homme à qui on avait offert cette assurance. C’était un fermier. Et le Seigneur Dieu l’a rencontré avec Sa Parole et lui a dit : « Il y aura un–un déluge qui va détruire le monde entier. Tu vas donc agir de façon vraiment drôle si tu veux recevoir cette assurance, mais cela te sauvera la vie. Je voudrais que tu construises une arche. » C’était Noé. Et malgré que le reste du monde religieux de l’époque pensait que le vieil homme était fou et que cela n’était certainement pas conforme à l’ordre scientifique de l’époque…

102 En effet, Jésus a dit : « Ce qui arriva du temps de Noé (un monde semblable), arrivera de même à la Venue du Fils de l’Homme », où beaucoup de noms figurent dans cette police d’assurance, et où Il est là ce matin, rachetant tous ceux dont les noms figureront dans ce Livre. Eh bien, dans peu de temps, le dernier nom y passera et ce sera… ce sera la fin. Entrez maintenant, mes frères. N’attendez pas. Dans peu de temps, ça pourra être trop tard. Venez maintenant pendant que vous en avez l’occasion, pendant que vous … pendant que cela vous est offert.

103 Nous voyons que Noé a fait cet investissement, c’était un fermier très populaire, et probablement qu’il connaissait beaucoup de gens, et il avait beaucoup de biens. Mais il a peut-être vendu sa ferme pour acquérir le matériel de construction de l’arche. Les gens se sont moqués de lui ; c’est Satan qui était à la base de cela. Il a peut-être été taxé de saint exalté.

104 Comme quelqu’un l’a déclaré ce matin, il était devenu un saint qui se roule par terre quand il a vu son nom écrit dans le Sang du Seigneur Jésus, comme quoi il voulait être détenteur de cette assurance.

105 Et lui, Noé, a fait la même chose. Il s’est débarrassé de ce qu’il avait, et il a construit une arche. On s’est moqué de lui, il a été tenté par Satan, mais nous voyons que son assurance avait payé, en épargnant sa vie ; non seulement sa vie, mais celle de sa maison.

106 Et je crois que c’est vrai. Pas seulement vous, peut-être une–une femme, une femme d’affaires, un homme, un homme d’affaires.
Vous direz : « Qu’est-ce que cela a à faire avec ma famille ? »

107 Une fois, on a posé cette question à Paul et à Silas. Le geôlier philippien a demandé : « Que puis-je faire pour avoir la Vie Eternelle ? »

108 Il a dit : « Crois au Seigneur Jésus-Christ, toi et ta famille ! » Pourquoi ? S’il croyait réellement, pas faire semblant de croire, mais croire ! Jésus a dit : « Voici les miracles (Marc 16) qui accompagneront (pas peut-être), qui accompagneront ceux qui auront cru. » Et si vous avez assez de foi pour votre propre salut, vous pouvez aussi réclamer votre famille, par la foi. Si vous avez ce genre de foi, votre foi peut aider votre famille ; « toi et ta famille. »

109 Alors, la famille de Noé, voyant que le père, un homme bon, travaillait d’arrache-pied, ses fils, ses belles-filles et autres sont venus travailler d’arrache-pied avec lui, portant l’opprobre de la Parole. C’est ce qu’il vous faut toujours faire. Le Royaume de Dieu ne vient pas sans épreuves. Les hommes usent de violence pour Y entrer, entrer dans le Royaume de Dieu ; ce n’est pas en observant. Eh bien, cela a cependant porté des fruits : sa vie a été sauvée. Nous pouvons passer des heures sur Noé.

110 Mais passons à quelqu’un d’autre, du nom de Daniel. Comme il était prophète, il avait eu l’occasion de devenir le prophète de Dieu, et la Parole de Dieu vient seulement au prophète, pas par une autre voie. Elle vient toujours au prophète.

111 Shh, juste un instant. [Un frère parle dans une langue inconnue et un autre donne l’interprétation. – N.D.E.] Amen. Merci, Seigneur. Nous comprenons. A l’intention de ceux qui ne pourront peut-être pas comprendre, un homme d’affaires, je–je ne dirais rien de critique à ce sujet. Voyez, ça doit être une chose importante pour que le Saint-Esprit interrompe le message, pour faire pareille chose, donner un avertissement.

112 Maintenant, nous croyons dans le parler en langues comme un don. Autrefois, je pensais que c’était faux. Quand je venais d’abord d’entrer parmi les gens, je pensais que peut-être ces gens qui parlaient en langues, peut-être, ils ne faisaient que de la mascarade. Mais je ne disais rien, parce que, souvenez-vous, nous pouvons blasphémer contre le Saint-Esprit, c’est-à-dire parler en mal de la chose. Alors, j’ai découvert, quand je suis allé en Afrique et que j’ai voyagé à travers le monde, qu’il n’y avait pas un son sans signification. Chaque petit son et chaque petit mouvement avaient une certaine signification.

113 Donc, nous nous tenons bien tranquilles tant que le Saint-Esprit apporte Sa Parole. Et c’est peut-être la raison pour laquelle Il a interrompu le message, pour dire, comme je l’ai compris (j’espère avoir compris), ceci : « Ecoutez les Paroles du Seigneur, et obéissez aux Paroles du Seigneur. » Maintenant, souvenez-vous bien, ce n’était pas moi. C’étaient des hommes, les hommes qui ont des dons, le parler en d’autres langues. Et–et les hommes eux-mêmes ne diraient pas cela ; je ne le pense pas. Quand un message est donné, ils ne le proclameraient pas si ce n’était pas quelque chose que le Saint-Esprit voulait peut-être communiquer de toute urgence à une seule âme ici. Je ne sais pas. Voyez, je n’en sais rien, ça dépend de Dieu. Voyez ? Mais nous voulons toujours respecter et témoigner de la révérence pour tout ce que Dieu fait.

114 Maintenant, retournons à notre pensée sur les détenteurs de la police d’assurance même dont ces hommes sont remplis, pour apporter en plein message quelque chose, l’y insérer et dire : « Ceci est le Saint-Esprit », en d’autres termes, « qui vous parle. »

115 Daniel, c’est de lui que nous parlions… Il détenait une assurance. C’était un homme rempli de l’Esprit de Dieu. En effet, la Parole était en Daniel, Daniel était un prophète.

116 Et la Bible dit, dans Hébreux, chapitre 1 : « A plus… et de plusieurs manières et à divers endroits, Dieu a parlé aux pères par les prophètes. » Eh bien, le mot prophète est un mot composé qui signifie un révélateur des Ecritures, et quelqu’un qui prédit des événements à venir, pour montrer que Dieu ne change pas Son Message. Dans chaque âge, Dieu a toujours utilisé, non pas une organisation, ni un groupe ou un système, mais un homme.

117 Et le Dieu Immuable a frayé une voie dans le jardin d’Eden, par laquelle l’homme devrait être sauvé ; c’est par le Sang. Nous pouvons avoir des systèmes d’instruction et des systèmes de dénomination, mais Dieu rejette cela. C’est toujours le Sang. C’est l’unique voie.

118 Dieu utilise un individu. Deux hommes ne verront jamais une chose de la même manière ; ainsi, Dieu ne peut que prendre une seule personne dans Sa main ; c’est donc par là, par Moïse, Daniel et différents prophètes, par exemple. Et écoutez.

119 Vous direz : « Eh bien, qu’en est-il du Saint-Esprit ? » Le Saint-Esprit ne change pas cela.

120 Ecoutez, la Parole du Seigneur vient au prophète. Jean était le prophète de l’heure. Il se tenait dans l’eau, déclarant que le Messie était déjà quelque part au milieu d’eux. Il avait su cela par un signe. Et quand le Messie, qui était la Parole, est entré dans l’eau, vers le prophète ; la Parole venant au prophète !

121 Jésus a dit, pour ces jours-ci, Il a dit : « Lui (ce qui est un pronom personnel), Lui, le Saint-Esprit, quand Il viendra sur vous, Il viendra à vous, Il vous montrera ces choses que Je vous ai enseignées, et Il vous montrera les choses à venir. » C’est toujours la même chose, le Saint-Esprit est le Prophète parmi nous aujourd’hui. Le Saint-Esprit est le Prophète.

122 Daniel était un prophète. Les Paroles de Dieu, la Bible, étaient confiées à Daniel pour qu’il montre aux gens que Dieu était toujours vivant. Et Daniel résolut dans son coeur de ne pas souiller son investissement.

123 Oh ! si seulement l’église pouvait faire cela ! Si seulement l’église pouvait résoudre dans son coeur de ne pas souiller son investissement en s’associant aux choses qui vous introduisent dans un système qui vous éloigne de Lui !

124 Daniel prit une résolution dans son coeur. Et quel en fut le résultat ? Cela sauva sa vie des lions.

125 Les enfants hébreux avaient fait un investissement en Dieu, qu’ils ne briseraient pas Ses commandements, peu importe que la statue soit celle de leur saint frère Daniel. En effet, je crois que la statue était celle de Daniel, parce qu’il était le dieu de Belschatsar, et nous voyons qu’on avait fait une statue à l’image de ce saint homme. Peu importe combien saint était l’homme, ils ne devaient pas se prosterner devant une quelconque espèce de statue, peu importe à l’image de qui la statue était faite. Le monde des Gentils a commencé avec l’adoration d’une sainte statue, il va se terminer de la même façon, et vous voyez le système faire cela aujourd’hui. Donc, les enfants hébreux ne voulaient pas se prosterner devant une statue, et vous voyez que les dividendes tirés de leur investissement, c’était que leur vie avait été épargnée.

126 Maintenant, juste un instant, nous voyons un autre homme du nom de… C’est un homme d’affaires, un commerçant qui avait une activité commerciale. Il–il était un pêcheur. Il s’appelait Simon. Et son frère, c’était André. Son père s’appelait Jonas. Non, excusez-moi. Oui, c’était ça. Je pense que c’est ça.

127 Et nous voyons donc que le frère de ce pêcheur avait assisté au réveil d’un baptiste, Jean-Baptiste. Et il avait… cet homme qui baptisait a dit : « Ce n’est pas Moi qui ai cela, mais ça vient. »

128 Ce serait une bonne chose si notre organisation (et moi, j’ai été baptiste pendant un temps) faisait la même chose. Oui, Cela vient. Si vous… Cela devra venir d’En Haut. C’est une promesse.

129 Et un jour, ce baptiste, ou celui qui baptisait, a annoncé : « Le voilà, juste au milieu de vous. »

130 Cela a tellement ravi André qu’il est allé chercher son frère, le pêcheur.

131 Il était trop occupé à ses affaires ; finalement un matin, il a pu prendre part à un–un petit-déjeuner. Je ne sais pas à quoi il avait pris part, c’était là sur le rivage. Et alors, il est entré dans la Présence de cet Orateur, et l’Orateur a dit : « Tu t’appelles Simon, et tu es le père… ton père, c’est Jonas. »

132 Très vite, ce membre du sanhédrin, ce membre du grand corps ecclésiastique, qui avait lu sa Bible et qui savait que cet homme même, Moïse, dont ils étaient les disciples, leur avait dit que quand le Messie viendra, Il sera un Prophète… Il a écouté ce que la Parole avait à dire, sans tenir compte du système ecclésiastique dont il était membre.

133 Ne pouvons-nous pas aujourd’hui écouter le même Homme, Jésus-Christ, qui nous avait annoncé ce qui arriverait ici dans les derniers jours ?

134 Et quand il est venu devant cet Homme et que Celui-ci lui a dit qui il était, non seulement lui, mais son vieux père pieux qui était déjà parti, rapidement il a investi dans cette assurance Vie Eternelle, et il est devenu l’évêque de Rome, à l’église. Nathanaël, après…

135 Il y eut un homme du nom de Philippe qui avait vu cela et qui était très ravi ! Il a reconnu que c’était le Messie, parce qu’Il était un Prophète. Ils avaient eu toutes sortes de prophètes, mais ce n’était pas le bon genre de Prophète. Quand ils ont vu ce Prophète venir, Il était pleinement identifié par la Parole !

136 C’est comme ça que l’église est un prophète aujourd’hui, elle doit être pleinement identifiée par la Parole de Dieu, qui est un Prophète. Et si nous nous organisons et que nous formons des groupes, et que nous nous séparons les uns des autres, apparemment sans foi, comment allons-nous recevoir la Parole ? Voyez, nous ne le pouvons pas. Revenez à la Parole, Ceci est la Vie Eternelle : « Mes Paroles sont Vie. »

137 Maintenant, remarquez ce qui s’est passé. Nous voyons Philippe devenir si enthousiasmé qu’il contourna la montagne en courant. Si vous mesurez cela, ou jusque là donc, ça fait environ 15 miles [24 km]. Probablement qu’il est revenu le lendemain matin, amenant un homme, Nathanaël ; il avait trouvé son ami avec lequel ils avaient suivi une étude biblique. Et il était sous un olivier, priant ; en effet, il avait une plantation. Et, rapidement, il n’avait donc pas de temps à perdre, il était aussi détenteur d’une police d’assurance et il voulait la montrer aux autres. Quand vous recevez cette assurance, il y a quelque chose à ce sujet, vous en devenez très vite vendeur. Et il n’a point attendu ni parlé de l’évolution de sa plantation. Il a dit : « Viens voir Qui nous avons trouvé, Jésus, le Fils de Joseph, Jésus de Nazareth. »

138 Et, rapidement, ce Juif loyal issu de grandes cours du sanhédrin, de la synagogue, a dit : « Eh bien, peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon ? »

139 Voyez-vous comment Dieu rend les gens humbles, les humilie ? Quand ils se font quelque chose, Dieu suscite un petit rien qui ne connaît même pas son ABC, et Il humilie simplement la chose. Voyez, c’est ainsi que Dieu s’y prend. En effet, Dieu reste toujours Dieu, Il prend un rien pour en faire quelque chose. Et s’Il était venu vers Caïphe, les souverains sacrificateurs ainsi que le clergé qui avait été formé à exercer le ministère à l’époque où le Messie était venu ? Ils auraient eu de quoi se vanter.

140 Et puis-je dire ceci, non pas pour être rude (J’espère que ce n’est pas ainsi qu’on me comprend) : cela ne s’était-il pas, peut-être, répété avec ce que nous pensons donc : « C’est nous les méthodistes qui avons la chose ; c’est nous les baptistes qui avons la chose », et Dieu peut susciter un homme qui n’est jamais sorti d’une école ou un groupe de gens, qu’Il peut oindre de Son Esprit, qui ne connaît même pas son ABC. La Bible dit que Pierre était un homme du peuple sans instruction. Mais ce qu’il avait, ils ont remarqué ça, parce que c’était Dieu qui vivait en lui. « Ce que j’ai, je te le donne », voyez, au boiteux.

141 Nous voyons donc qu’en ce moment important, cet homme a dit : « Eh bien, attendez donc une minute ; peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon ? »

142 Eh bien, il a donné à l’homme une très bonne réponse; il a dit : « Viens, et vois. »

143 Ne restez pas à la maison pour critiquer, venez voir de vous-mêmes. Ne dites pas ou ne racontez pas ce que quelqu’un d’autre a dit. Venez voir de vous-mêmes.

144 En route, tout autour de la montagne, peut-être qu’ils ont parlé de l’époque où–où ils allaient acheter des poissons. Il a dit : « Te souviens-tu du vieux pêcheur qui ne pouvait même pas écrire son nom sur le reçu, le vieux pêcheur ? »
« Oui, je me souviens de lui. Simon. »

145 « Eh bien, aussitôt qu’il était entré dans la Présence de–de ce… [Espace vide sur la bande.–N.D.E.] détenteur de la Vie Eternelle, eh bien, Il lui a dit, alors qu’Il promenait le regard tout autour, Il a dit : ‘Tu t’appelles Simon, et tu es le fils de Jonas.’ » Voyez ? Et Philippe a dit : « Tu sais que notre conducteur qui nous a laissé cette Parole, nous a enseigné que dans les derniers jours, pour nous, ‘un Prophète viendra’, le Seigneur Le suscitera parmi nous. » « Oh ! a-t-il dit, c’est à peine si je peux croire cela. Il me faudra aller voir. »

146 Aussitôt qu’il est entré dans l’auditoire, pas en critiqueur… Eh bien, j’espère que c’est ainsi que vous êtes venu ce matin, pas en critiqueur, juste venir voir si c’est vrai ou pas. Il est entré dans l’auditoire, il s’est bien tenu là. Et aussitôt qu’il l’a fait, observez cette Source de la Vie Eternelle, et la seule Source. Il s’est retourné et l’a regardé, et Il a dit : « Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude. »

147 Il a dit : « Rabbi (sans ambages), quand m’as-Tu donc connu ? Je ne T’ai jamais vu et Tu ne m’as jamais vu. Comment sais-tu quelque chose à mon sujet ? »

148 « Eh bien, a-t-Il dit, avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu. » La veille, à 15 miles [24 km] de l’autre côté de la montagne!

149 Quoi ? Il a investi dans une assurance sur-le-champ. Il est tombé à Ses pieds, cet homme loyal, un membre d’église. Quelle différence entre lui et le jeune homme riche ! « Rabbi, Tu es le Fils de Dieu ! Tu es le Roi d’Israël ! » Il a vite souscrit une police d’assurance.

150 Qu’en est-il de la femme au puits ? Ceux-là étaient des Juifs ; allons chez les Samaritains.

151 Et aujourd’hui, nous sommes chez les Gentils. Les Juifs et les Samaritains attendaient un Messie ; pas les Gentils. Nous adorions des idoles. Les Romains et les Grecs, et je ne sais quoi nous étions, nous adorions des idoles. Mais les Juifs attendaient un Messie, les–les Samaritains aussi, et nous voyons que le Messie se révèle seulement à ceux qui L’attendent. Si vous êtes ici ce matin, L’attendant, Il se révèlera. Sinon, Il ne le fera pas. « Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. »

152 Donc, les Samaritains attendaient. Et Il allait à Jéricho, mais Il devait passer par la Samarie. Et pendant qu’Il était assis à la porte de la ville de Sychar, nous voyons que Ses disciples étaient allés acheter à manger. Et Il était resté seul.

153 Et une–une petite dame, une petite femme, une femme de mauvaise réputation, elle n’avait pas d’argent, elle n’était pas comme ce jeune homme riche. Elle est donc venue; tout ce que nous savons qu’elle avait, c’était une vieille cruche, et elle l’a posée par terre et s’est apprêtée à faire descendre le pouliot dans le puits pour puiser de l’eau.

154 Et elle a regardé à côté d’elle, un petit panorama, et il y avait un Homme assis là, un Juif, Il était, on disait, je pense… La Bible dit : « Toi, un Homme de pas plus de cinquante ans. » Je suppose qu’Il donnait l’air d’en avoir cinquante, mais Il n’en avait que trente et quelque. Et il n’était pas de coutume pour les Juifs et les Samaritains de communier, parce qu’il y avait une ségrégation. Alors, Il a dit : « Donne-moi à boire », contactant son esprit.

155 Elle a dit : « Eh bien, il n’est pas de coutume que vous, les Juifs, vous demandiez une telle chose à une Samaritaine. »

156 « Mais, a-t-Il dit, si tu savais à qui tu parles ! » Et alors, Il a saisi son esprit et Il a dit : « Va chercher ton mari et viens ici. »
Elle a dit : « Je n’en ai point. »

157 Il a dit : « Tu as dit vrai, car tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari. »
Cela l’a arrêtée. Qu’était-ce ? Elle a dit : « Seigneur ! »

158 Vous souvenez-vous des pharisiens, quelques jours auparavant ? Ils avaient vu Jésus manifester le signe messianique qui montrait qu’Il était le Prophète qui était censé venir, et ils avaient dit : « C’est un spirite. C’est Béelzébul, le prince des démons, une espèce de diseur de bonne aventure. » Ils devaient avoir une réponse à donner à leur assemblée, les oeuvres ayant été accomplies. Ils devaient avoir une tête haute devant leur assemblée. Les oeuvres ayant été accomplies, ils ne pouvaient pas renier cela. Ils ont dit : « C’est un mauvais esprit. »

159 Jésus a dit : « Je vous pardonne. » L’Agneau n’avait pas encore été immolé. « Mais quand le Saint-Esprit viendra faire la même chose, un mot contre Cela ne sera jamais pardonné. » Voyez, voyez, nous les voyons donc ici dans cette condition.

160 Mais cette petite femme n’avait rien. Elle se tenait probablement loin de l’église, elle y avait vu tant d’histoires. En effet, au fin fond de son coeur, il y avait une semence, la Vie Eternelle : « Tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi. » Et aussitôt que cette Lumière l’a frappée, elle n’a pas taxé cela du diable. Regardez la différence entre cette femme et le clergé. Elle a dit : « Seigneur, je vois que Tu es Prophète ! Nous savons que quand le Messie viendra, c’est ce qu’Il doit faire. Nous attendons un Messie. Nous n’avons pas eu de prophète depuis des centaines d’années. Mais notre conducteur, Moïse, nous a dit qu’un Prophète serait suscité dans les derniers jours et qu’Il serait le Messie », ce qui veut dire l’Oint, l’Oint.

161 Il était la Parole. Dieu est la Parole, et Il était en Christ. Et la Bible dit : « La Parole de Dieu, la Parole, est plus vivante, plus efficace, plus tranchante qu’une épée à deux tranchants (Hébreux 4), Elle perce jusqu’à séparer la moelle des os et Elle juge les sentiments et les pensées du coeur. » C’est pourquoi Il pouvait les regarder et savoir ce qu’ils pensaient, parce qu’Il était la Parole. Il était la Vie. Il est toujours la Parole et Il est toujours la Vie. Et Il le savait ! Il fait la même chose. Eh bien, nous voyons…

162 [Une soeur donne une exhortation dans l’assemblée. – N.D.E.] Amen. Béni soit le Nom du Seigneur, pour Son message là-dessus.

163 Oh ! cette police d’assurance Vie ! La Vie ! La Vie, la plus grande chose qui existe, c’est la Vie. Et il n’y a qu’une seule forme de Vie Eternelle, et c’est Dieu.

164 Maintenant, regardez cette petite femme, alors que la prophétie continuait, elle tenait une cruche en main. Mais elle en avait aussi une dans le coeur. Elle a dit : « Je vois que Tu es Prophète, et nous savons que quand le Messie viendra, Il fera ces choses. C’est ce qu’Il fera. Ça sera le signe de Sa confirmation. Il sera la Parole, perçante. Et Tu me dis exactement ce qu’il y a sur mon coeur. Qui es-Tu ? » Et Jésus a dit : « Je Le suis. »

165 Alors, ce pot est resté en place, mais cet autre a été rempli, et elle a souscrit cette police d’assurance Vie Eternelle. Il a dit : «Les Eaux que Je donne, c’est la Vie Eternelle ; Elle bouillonne et jaillit dans le coeur. »

166 Et alors, elle ne pouvait pas se tenir tranquille. Elle voulait que ses concitoyens aient aussi cette assurance, et elle est rentrée dans la ville. Franchement parlant, elle n’en avait pas le droit, c’était une femme de mauvaise réputation. Vous les hommes et les missionnaires ici, vous savez que dans l’Est, c’est toujours le… On ne l’écouterait pas. Mais, comment s’en abstenir ? Elle était pleine de Vie Eternelle. Ils devaient l’écouter. C’est comme une maison en feu par un jour venteux et sec, vous ne pouvez pas arrêter cela. Elle est partie ! Et non seulement cela, si elle n’avait pas été remplie, les hommes ne l’auraient pas écoutée. Mais elle avait quelque chose de sûr qu’elle savait. Et nous voyons qu’ils ont dit… « Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce pas le Messie même ? »

167 Et ils L’ont fait entrer dans la ville. Il n’a plus fait cela, mais les gens ont cru au témoignage de la femme. Et ils ont tous cru au Seigneur Jésus-Christ.

168 Rapidement maintenant, parce que je–je suis désolé de vous retenir comme cela. Mais si vous m’accordez seulement… Supportez-moi quelques instants encore, j’ai ici quelque chose que j’aimerais dire. Remarquez.

169 Nicodème était un grand homme, et il était un homme pieux. Il était un maître, un dirigeant parmi son peuple, un homme de renom.

170 C’est comme Siméon, le sacrificateur, à la naissance du Seigneur Jésus, le Saint-Esprit lui avait promis qu’il ne verrait pas la mort avant de voir le salut du Seigneur ; comment il était conduit par l’Esprit dans la pièce pour bénir l’Enfant !

171 Comment Anne, la prophétesse, aveugle, là dans un coin qu’elle ne quittait pas jour et nuit, mais au même moment (Personne ne lui en avait parlé), conduite par le Saint-Esprit, cette femme aveugle s’est frayée un chemin parmi les gens, elle s’est tenue à côté de Lui et a béni Dieu pour Lui. Si une femme physiquement aveugle, dans un mauvais état (et il y a ce matin à New York des gens qui sont plus aveugles que cette femme et qui voient des deux yeux), mais elle était conduite par l’Esprit, et l’Esprit de Vie l’a conduite à la Fontaine de Vie.

172 Puisque vous avez soif de Cela, il doit y avoir une Fontaine quelque part. David a dit : « Quand la profondeur appelle la profondeur, il doit y avoir une profondeur pour répondre à cet appel. » En d’autres termes, avant qu’il y ait une nageoire sur le dos d’un poisson, il devait d’abord y avoir de l’eau pour qu’il y nage, sinon il n’aurait jamais eu cette nageoire. Avant qu’il y ait un arbre qui pousse sur la terre, il devait d’abord y avoir une terre pour qu’il y pousse, sinon il n’y aurait pas eu d’arbre. Et vous voyez ce que j’essaye de dire, s’il devait y avoir… Puisque vous avez soif ce matin, puisque les gens ont soif, cela montre qu’il y a une Fontaine de Vie ouverte quelque part (voyez), pour que vous répondiez à Cela. Il doit y avoir une Profondeur d’abord pour répondre à cette profondeur qui appelle (voyez), sinon il n’y aurait pas eu d’appel là.

173 C’est pourquoi les gens vont adhérer à l’église et inscrivent tout bonnement leurs noms dans un registre, au lieu de naître de nouveau, de souscrire la police d’assurance Vie. Puis, ils sortent directement et cherchent à étouffer ces saints appels en fumant, en buvant et–et en jouant à l’argent, et en courant çà et là, l’immoralité. Voyez-vous là ? Comment osez-vous étouffer ce saint appel de Dieu, que Dieu a mis là pour qu’on ait soif de Lui ? Vous n’en avez pas le droit.

174 J’ai une chose pour vous ce matin, c’est la Vie. C’est ce que vous voulez. C’est la Vie.

175 Et celle-ci est une vie pervertie, c’est la mort. C’est ce que la Bible dit : « La femme qui vit dans le plaisir est morte quoi que vivante. » Voyez ? Vous ne pouvez donc pas vivre dans les plaisirs du monde et avoir la Vie Eternelle.

176 L’assurance est rentable, mes amis. Alors, Nicodème, il est venu faire l’investissement. Il est venu la nuit, et il a trouvé la banque toujours ouverte. Donc, peut-être que c’est tard, mais c’est toujours ouvert. C’est ouvert, Lui, toujours, la–la banque est ouverte pour faire les affaires. Et alors, il–il a trouvé la Vie Eternelle, en venant à Jésus.

177 Examinons une autre personne, ou deux. Prenons Luc 24.49. Les disciples avaient cru au Seigneur Jésus, et il était alors temps pour la promesse, c’était proche Et alors, Jésus a dit à Ses disciples, aux détenteurs de l’assurance, qu’ils allaient tirer des intérêts là-dessus, mais qu’ils devaient attendre dans la ville de Jérusalem jusqu’à ce qu’Il aille au quartier Général et qu’Il leur envoie Cela, jusqu’à ce que le chèque soit retourné. Il allait monter, Il l’avait signé de Son propre Sang, et Il montait pour leur envoyer les dividendes, mais ils devaient attendre leurs dividendes.

178 Eh bien, Il n’a pas dit : « Attendez cinq minutes, puis soyez découragés. » Si vous avez la foi en Celui qui vous parle, Dieu qui vous parle, Il a dit : « Restez jusqu’à ce que (Jusqu’à quand ? Une semaine, dix jours, cinq jours, je ne sais combien ?), jusqu’à ce que vous receviez cette rémunération, jusqu’à avoir les dividendes. Car voici, J’enverrai sur vous la promesse de Mon Père. Mais attendez dans la ville de Jérusalem jusqu’à ce que vous receviez Cela, jusqu’à ce que vous soyez–vous soyez revêtus des dividendes d’En Haut, en contrepartie de votre police d’assurance d’avoir cru en Moi. »

179 Oh ! vous les baptistes, vous les méthodistes, vous les presbytériens ! Je ne veux pas être excité, mais c’est assez pour exciter quelqu’un. Pourquoi n’attendez-vous pas là ? Vous êtes détenteur d’une assurance, et Ceci produit des dividendes.

180 Dans Actes 19, Paul a demandé à ces baptistes. (Je suis moi-même un baptiste, je suis un baptiste pentecôtiste.), Il a donc demandé : « Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru ? » Eh bien, on nous enseigne que nous recevons le Saint-Esprit quand nous croyons, mais lui a demandé : « Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru ? »

181 Ils ont dit : « Nous ne savons pas qu’il y ait un Saint-Esprit. »
Il a demandé : « Alors, comment avez-vous été baptisé ? »
Ils ont répondu : « Nous sommes déjà baptisés. »

182 Il a dit : « Cela ne vaut plus. » Et quand ils ont entendu cela… « Ils devaient croire en Jésus qui devait venir.» Et quand ils ont entendu cela, ils furent baptisés au Nom de Jésus-Christ. Paul leur imposa les mains, et le Saint-Esprit vint sur eux ; et ils parlèrent en langues et glorifièrent Dieu.

183 Paul a aussi dit, là dans un autre chapitre, il a dit : « Si–si un ange du Ciel prêche un Evangile autre que Celui que vous m’avez entendu prêcher, qu’il soit anathème ; qu’il soit un évêque, un cardinal, qui qu’il soit. » Oui ! « Si un ange du Ciel », ne parlons même pas d’un cardinal, ni d’un évêque, ni d’un prédicateur, « prêche autre chose que cette assurance Vie Eternelle par Jésus-Christ, qu’il soit anathème. »
Vous avez dit : « Frère Branham, vous vous égarez… »

184 Je sais exactement où je suis, voyez. Je ne suis pas perdu. Je sais exactement où je suis. Il se peut que je sois excité, mais comme je l’ai dit ici l’autre soir…
Quelqu’un a dit : « Vous devenez fou. »
J’ai dit : « Eh bien, laissez-moi tranquille, je me sens mieux comme ça que je ne me sentais autrement; je–j’ai donc la Vie. »

185 En effet, c’est la Vie ! C’est de la folie pour le monde, mais pour moi, c’est glorieux. Je suis sauvé, alors que je ne l’étais pas. J’ai maintenant la résurrection de Christ en moi. Et il y en a beaucoup d’autres ici, des frères, qui connaissent cette Vérité ; vous avez Cela en vous, la résurrection ! Oui.

186 Ils sont montés, ces détenteurs de l’assurance, pour tirer des dividendes. Oh ! la la ! Mes frères prédicateurs, faisons cela ce matin, tirons des dividendes maintenant. « La promesse, a dit Pierre le jour de la Pentecôte, la promesse est pour vous, et pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, les Gentils, (Ecoutez attentivement, frères.) en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. » Et c’est sûr qu’Il appellera tout celui qui a son nom dans le Livre de Vie de l’Agneau. Les dividendes, c’est pour tous, oui. « Pour vous, et pour vos enfants, pour ceux qui sont au loin. » Et les intérêts produits par l’assurance ont déjà été versés le jour de la Pentecôte.

187 Eh bien, le jeune riche, Paul, a rencontré la même Personne, car Il est demeuré le même après Sa mort. Il est toujours le même.

188 Saul de Tarse, un homme bien formé, un érudit, pardonnez-moi. Et il–il était un homme de bien. Il avait été enseigné par Gamaliel, le grand docteur hébreu. Ses parents étaient riches. Paul était plutôt un homme riche. Il parlait plusieurs langues. Il était instruit. Ses ambitions étaient de devenir un–un homme de loi ; un des hommes de loi, ou un sacrificateur, ou quelque chose comme ça dans la… ou plutôt un homme de loi, dans son église. Intelligent, il connaissait la Parole. Il était riche, et il avait des ambitions.

189 Quand il a entendu parler de ce tas d’histoires drôles, de bruits, de cris et de parlers en langues, et, eh bien, il s’est dit : « C’est une honte pour la communauté de Jérusalem. On devrait mettre fin à ça. » Il a donc reçu des lettres de la part du souverain sacrificateur. Il–il est allé ravager l’église. Il est donc parti chez le cardinal ou l’évêque, ou je ne sais comment vous voudriez l’appeler, le souverain sacrificateur, et il a reçu de lui une lettre qui lui a été remise, et il est descendu à Damas.

190 Mais, vous voyez, l’église semble avoir toute l’autorité, avec les clefs du Royaume, et tout, et ils avaient choisi Matthias pour remplacer Judas. Mais voyez quel choix insensé l’homme peut faire ! Il n’a jamais rien fait. Il se peut qu’il ait été un homme de bien. Sans doute qu’il était un homme de bien. Sans doute qu’il était un humble serviteur de Christ. Mais, vous voyez, cela ne représente pas toujours le choix de Dieu.

191 Dieu a choisi un petit critiqueur de l’église, un petit Juif au nez crochu, assez colérique pour combattre une scie circulaire, et il le pouvait. Il était là sur son chemin. Il allait là arrêter ces saints exaltés. Il allait pour les enchaîner. Il allait pour les lier. Il en avait reçu le pouvoir de son évêque. Il allait le faire.

192 Et un jour, vers 11h, il fut terrassé avec ses papiers en main. Il a levé les yeux et a vu une Colonne de Feu. Vous savez, il–il a dû reconnaître Cela. Paul était mieux avisé pour adorer les idoles ou les mauvais esprits. Mais étant Juif, il savait que cette Colonne de Feu était la même Colonne de Feu qui avait conduit Son peuple hors d’Egypte, et Elle était là.

193 Quand Jésus était sur terre, Il a dit : « Je viens de Dieu, Je vais à Dieu. » Après Sa mort, Son ensevelissement, Sa résurrection et Son ascension, Il était là, retourné de nouveau à Dieu, la Colonne de Feu.

194 Et Il a dit : « Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-tu ? Tu as des papiers en main. Tu es un grand homme. Tu viens de telle organisation, l’organisation la plus loyale et–et la plus honorée de la contrée. Tu as des papiers en main, mais tu agis mal. Pourquoi Me persécutes-tu ? »

195 Ecoutez ce Juif dire : « Seigneur ! » Il savait Qui C’était. Vous y êtes, la même Colonne de Feu qui avait conduit Moïse et qui parla ! Il n’avait jamais eu l’occasion de voir Jésus, alors il a dit : « Seigneur, Qui es-Tu, Toi que je persécute ? »
Et Il a dit : « Je suis Jésus. »

196 Et il était là sur son dos, vous savez, il–il a déchiré les papiers et a dit : « Que puis-je faire ? »

197 Il a dit : « J’ai un prophète là, du nom d’Ananias. Eh bien, descends la rue appelée La Droite, il te dira quoi faire. »

198 Le Seigneur parla alors à Ananias. Ce dernier vint et dit : « Frère Saul, le Seigneur Jésus t’ayant apparu en chemin et ayant voulu que tu souscrives cette assurance, je viens te la livrer en t’imposant les mains. » Il fut un homme changé. Observez la différence. Ce que le… Voyez ?

199 Après, Paul a vu cette confirmation claire, que ce n’était rien d’autre que la même Personne. Dieu et Christ, c’était la même Personne. Ce n’était pas de la folie parce qu’Il avait vu que la Parole était la Colonne de Feu, qu’Elle a été faite chair pour racheter ; et Elle était redevenue la Colonne de Feu, que Dieu et Christ, c’était la même Personne. Et Le voici, Il est revenu comme le Saint-Esprit, ainsi appelé aujourd’hui, parce qu’Il est sur un homme. Il a vu Cela clairement identifié, et–et confirmé : « Seigneur, que veux-Tu que je fasse ? Que dois-je faire ? » Eh bien, souvenez-vous, c’était un homme pieux, un homme d’affaires. « Que veux-Tu que je fasse ? »

200 Quelle différence là entre ce jeune homme d’affaires riche et cet autre jeune homme, Saul ! Pour l’un, le prix était trop élevé.
« Bien, direz-vous, Paul n’avait rien à abandonner. »

201 Il avait son église, ses frères. Il fut un fugitif loin de l’église après cela. Il a dû fuir. Et finalement, sa propre église lui a ôté la vie ; ils l’ont tué. Et nous le voyons persécuté de ville en ville, il fut lapidé et a failli mourir une fois, et tout ; ses propres frères. Et il a dit : « Je préférerais être anathème pour eux. » Il ne les méprisait pas. Quand il a reçu le Saint-Esprit, il les a aimés. Il voulait les sauver. Ne vous isolez pas ; allez vers ce genre là. Paul voulait être anathème ; en effet, c’était l’Esprit de Christ en lui, Il a été maudit et pendu sur un bois pour les Siens.

202 Et nous voyons la différence entre ce jeune homme, le chef riche, l’homme d’affaires, et Paul.

203 Paul a dû abandonner son instruction, toute sa théologie qu’il avait apprise au cours des années et des années de recherche et de formation. Il a dû oublier tout cela. Il a dit aux Corinthiens : « Je ne suis jamais venu vers vous avec intelligence et de grands mots de sagesse, de peur que votre foi ne puisse reposer sur la sagesse d’un homme. Mais je suis venu vers vous avec la puissance et la démonstration du Saint-Esprit. »

204 C’est ce dont nous avons besoin aujourd’hui, mes amis. C’est de cette police d’assurance dont je parle. Pas celle qui consiste à adhérer à une église, ou placer votre main sur cela ; je n’ai rien contre cela, c’est en ordre. Mais on est à une autre heure, c’est tout ce que j’essaye de vous vendre. Adhérer à une église… Je cherche à vous dire qu’il y a une police d’assurance et une Fontaine qui est ouverte pour le péché et l’impureté. Le péché, c’est quoi ? L’incrédulité. L’incrédulité à quoi ? A la Parole. « Celui qui ne croit pas est déjà condamné. » C’est vrai.

205 Voyez quelle décision irréfléchie ! Ce jeune homme est comme beaucoup de gens aujourd’hui, qui tiennent compte de l’opinion publique. Il est parti. Au lieu de prendre cela au sérieux, il a perdu son assurance. Nous terminons maintenant.

206 Il… Avait-il donc été frappé d’un malheur ? Non. Il a eu le bonheur. Nous le voyons à un autre endroit, il avait eu tellement d’argent qu’il a dû reconstruire ses granges. Et il a même dit : « Mon âme, repose-toi. »

207 Eh bien, nous voyons là qu’il n’était pas un homme mauvais. Quand on organisait une vente de charité ou une fête d’église, ou quelque chose du genre, le pauvre en esprit couchait à sa porte; quelqu’un qui était un détenteur d’une assurance que lui avait refusée ; il lui jetait des miettes et lui donnait une offrande missionnaire ou quelque chose comme cela. Il n’était pas un homme mauvais. Voyez, il laissait tomber des miettes à l’intention de ceux qui étaient persécutés. Il disait : « Oh ! j’ai assisté à l’une de leurs réunions, je pense que c’est une bonne chose. Il n’y a vraiment rien que je puisse dire contre eux. » Il laissait tomber des miettes, mais cela ne faisait pas l’affaire. Finalement, sa rétribution vint.

208 Et, souvenez-vous, mon ami, ma rétribution, votre rétribution arrivent. Elle arrive pour nous tous. J’aimerais que vous y pensiez sérieusement maintenant, pour terminer.

209 Sa rétribution arriva, certainement. On organisa un grand service funèbre en son bonheur, sans doute que des membres du clergé bien formés vinrent parler. Peu importe, je pense, il avait des hommes d’affaires chrétiens dans son cortège funèbre. Et il avait la célébrité de la contrée là, et peut-être un membre du gouvernement, on a mis le drapeau en berne pour lui. Tous les dignitaires étaient là. Et sans doute que le pasteur, ou un homme, le sacrificateur, je ne sais qui a prêché à ses funérailles, il a prêché un –un sermon si puissant que les gens ont été touchés, montrant combien cet homme était grand : « Il donnait même aux pauvres dans la rue. Oh ! notre frère est au Ciel aujourd’hui. »

210 Mais Jésus a dit : « Il a levé les yeux depuis l’enfer, et il vit le détenteur de la Vie Eternelle, loin dans le sein d’Abraham, celui qui avait pris le chemin avec les quelques méprisés du Seigneur. »

211 Comme Jésus l’a dit : « Heureux serez-vous quand on vous persécutera, » dans Matthieu, chapitre 5, « qu’on dira faussement de vous toute sorte de mal, à cause de Mon Nom. Heureux les pauvres en esprit, car le Royaume est à eux! Heureux les débonnaires, ils hériteront la terre. » Et vous êtes les détenteurs de l’assurance Vie Eternelle.

212 Cependant, il est resté membre d’église, voyez. Remarquez donc. Vous direz : « Est-ce vrai ? » Oui. « Comment pouvez-vous le prouver, prédicateur ? »

213 Le voici. Il a dit : « Père Abraham ! Père Abraham ! Je te prie d’envoyer ce détenteur de l’assurance ici, avec juste un peu d’eau. Ces flammes me tourmentent. »

214 Suivez Abraham : « Fils », un chrétien de nom, un croyant de nom, comme nous le dirions, voyez, « tu avais eu ton occasion. L’offre de la police d’assurance Vie Eternelle t’avait été faite, c’est ce qui t’aurait donné l’assurance de venir ici, mais tu–tu as rejeté Cela. Tu n’as pas voulu souscrire Cela. Et alors, ce pauvre homme a malgré tout accepté Cela. Maintenant, il est réconforté, et toi, tu es maintenant devenu un mendiant. »

215 Oh ! que ceci ne vous arrive pas, mes amis. Non, non. Ne commettez pas cette même er… [Espace vide sur la bande–N.D.E.]… la voie par laquelle l’assurance vient, c’est par Christ; l’assurance que vous êtes sauvé, que vous êtes détenteur de la police d’assurance. Eh bien, si vous ne l’avez pas, pourquoi ne pas la souscrire ?

216 Il se peut que vous pensiez, eh bien, comme ce jeune homme l’a dit ce matin : « Je–je suis allé à des endroits et eux tous… J’étais un grand homme d’affaires, on me faisait des courbettes, et des choses pareilles. » Ne considérez pas cela.

217 Tout récemment, un jeune musicien a effectué une tournée en Russie. C’était un chanteur. Et certainement qu’il a eu un–un grand succès chez les Russes. Et alors, tout le monde applaudissait et continuait comme cela, pendant que le jeune homme jouait sa musique. Et ils étaient si transportés, ils frappaient du pied et applaudissaient, mais le jeune homme ne faisait point cas de tous ces applaudissements. Et les gens se demandaient donc pourquoi. Ils se sont aussi dit : « Peut-être qu’il ne comprend pas. » Alors, ils ont de nouveau tous frappé très fort les mains, l’applaudissant. Ils… Il avait très bien exécuté sa musique. Mais ils ont encore remarqué qu’il–il–il ne faisait pas cas de leurs applaudissements. Et ils ont remarqué que son regard était tout le temps fixé sur le balcon ; ils ont fini par découvrir que c’était sur le maître qui l’avait formé. Il ne faisait pas cas de ce que les gens disaient ; il regardait ce que le maître en dirait.

218 Et je pense, aujourd’hui, mes amis, qu’au lieu de bomber le torse et dire : « Nous sommes membres d’église », levons les yeux et voyons ce que le Maître dit à ce sujet. Voyez ?

219 Inclinons la tête juste un moment. [Un frère parle en langue. Une soeur donne l’interprétation. – N.D.E.]

220 Avec nos têtes inclinées maintenant, nos coeurs aussi, je vais bien céder la place juste dans une minute ou deux. Je me demande ce matin, en toute sincérité donc, sans aucun dérangement, pensez-y juste un instant. Avez-vous reçu cette glorieuse Bénédiction ? Détenez-vous cette police d’assurance Vie, le témoignage du Saint-Esprit que votre vie est tournée vers Christ, et que Christ est en vous ?

221 Comme je l’ai dit dans le message, si Beethoven était en vous, vous feriez les oeuvres de Beethoven, vous mèneriez la vie de Beethoven. Vous ne pourriez rien faire d’autre. Vous ne feriez que composer des chansons. Et vous seriez un grand compositeur, Beethoven, parce qu’il serait en vous. C’est lui que vous seriez. Vous seriez un Beethoven réincarné.

222 Et si Christ est en vous, vous serez la Vie de Christ, un amoureux de la Parole. Rien ne pourrait résister à la Parole ni prendre Sa place, car Il est la Parole. Il ne peut pas renier Sa propre Parole et demeurer Dieu.

223 Et si vous n’avez pas reçu Christ dans votre coeur, vous êtes membre d’église. Eh bien, certainement que je n’ai rien contre l’église, ni contre les grandes institutions et organisations ainsi que les systèmes, mais je cherche à dire que ce n’est pas ça la réponse. Il est établi que ce n’est pas ça la réponse. C’est Christ qui est la réponse, la Personne de Christ. Et si vous ne L’avez pas reçu dans votre vie ce matin et que vous voulez que nous nous souvenions de vous dans la prière, je me demande si vous voudriez bien humblement le faire. Nous n’avons pas de place pour un appel à l’autel. Mais, vous savez, si vous… Je crois que si vous vous levez simplement, vous savez, et que vous dites : « Priez pour moi », juste pendant que vous êtes debout et que j’offre une prière, si vous croyez que Dieu va exaucer ma prière, je–je… et vous êtes sincère là-dessus, je crois qu’Il l’exaucera.

224 Et vous, dans les couloirs, et les foules autour des portes et tout, peu importe où vous êtes, aux balcons, sur les marches, veuillez simplement dire : « Je veux que Christ se souvienne de moi maintenant, je veux que Sa Vie soit dans la mienne. Je suis sûr que de par mon comportement, je–je suis sûr que de par ma façon de penser et les choses que je fais, que je veux être comme cela, mais je ne suis pas encore arrivé à ce niveau-là. Je–je veux vraiment avoir cette police d’assurance, Frère Branham. Vraiment, je veux Cela. Et demandez-Lui si je peux avoir Cela. Je suis prêt à recevoir Cela. »

225 Voulez-vous bien vous lever, et que je puisse alors prier pour vous ? Juste… Et que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. C’est bien, restez debout juste un instant. Restez simplement debout. Vous direz : « Ça me–m’intéresse, Frère Branham. Je–j’ai une âme, et je–j’aurai à mourir. Il se peut que ça m’arrive aujourd’hui, et quel bien cela me fera-t-il si je ne suis pas rempli de cette Vie ? » En effet, souvenez-vous, toute autre vie doit périr ; elle a un commencement.

226 Vous direz : « Bien, je suis membre de telle église depuis des années. » C’est très bien. J’apprécie ça. Mais ce n’est pas ce dont je parle en ce moment même. »

227 Etes-vous détenteur de la Vie Eternelle ? Voudriez-vous bien vous lever là aux balcons, devant, à droite et à gauche ? Que Dieu vous bénisse. Levez-vous.

228 Vous qui êtes déjà debout dans les couloirs, veuillez simplement lever la main ; en guise d’identification, quelque chose que vous pouvez faire, pour vous mettre en mouvement : « Je L’ai accepté moi-même, ce matin. » Que Dieu vous bénisse. Très bien.

229 Et sur les escaliers, où que vous soyez, levez simplement la main et dites : « Souvenez-vous de moi, Frère Branham. Je–je suis… J’ai vraiment besoin de la Vie Eternelle. »

230 Maintenant, pensez-y très sérieusement. Ce–c’est peut-être le temps où tout pourrait être réglé. Je vais–je vais être sincère, mes amis, ceci est la Vie pour moi. Et je–je–je sais que c’est vrai. C’est vrai.

231 Y en aurait-il d’autres ? On dirait qu’il y en avait plus que ceux qui ont levé la main il y a quelques instants. Eh bien, si vous n’êtes pas sûr, voudriez-vous juste faire ceci : vous lever seulement et dire : « Souvenez-vous de moi dans votre prière, Frère Branham, pendant que vous priez. » Très bien. Combien encore ? Levez-vous, peu importe qui vous êtes, levez-vous simplement et dites : « Priez pour moi, frère. » Que Dieu vous bénisse. Je vous vois, là aux balcons et aux alentours. Maintenant, êtes-vous sûrs que c’est tout ? Que Dieu vous bénisse. Un autre groupe s’est levé. Y en aurait-il d’autres maintenant ? Levez-vous simplement. Dites…

232 Eh bien, je sais que nous sommes en retard, et le Saint-Esprit nous a interrompus à quelques reprises. Bien, c’est merveilleux, nous aimons que le Saint-Esprit fasse cela, voyez, tant que c’est Lui qui apporte Sa Parole. Cela montre que ce n’est pas seulement ma parole, mais c’est Sa Parole aussi. Très bien.

233 Maintenant, levons-nous, voyez, tout celui qui n’est pas rempli du Saint-Esprit, qui sait qu’il n’y a aucune évidence dans sa vie de ce qu’il est rempli du Saint-Esprit, et qui veut Cela.

234 Maintenant, il se peut que vous soyez un bon et loyal membre d’église. Et cela, oh ! comme j’apprécie cela, certainement. Continuez simplement avec votre église. C’est bien. En effet, les vierges endormies viennent maintenant, vous voyez cela. Et, souvenez-vous, Jésus a dit que quand les vierges endormies… celles qui essayaient de mener une bonne vie d’elles-mêmes, c’étaient des vierges, mais elles n’avaient pas d’Huile. L’huile symbolise l’Esprit. C’est pourquoi nous oignons avec l’huile, voyez. L’huile symbolise l’Esprit. C’étaient de bonnes gens, des gens excellents, de bons membres d’églises méthodiste, baptiste, luthérienne, toutes sortes d’églises, mais ils n’avaient pas d’Huile.

235 Et elles sont venues à la dernière veille, le Septième Age de l’Eglise, pour acheter de l’Huile. Et pendant qu’elles achetaient de l’Huile, qu’est-il arrivé ? L’Epoux vint. Eh bien, cet éminent prédicateur ici venait de lire cela dans les Ecritures il y a quelques instants. Et ne voyez-vous pas, vous les pentecôtistes, qu’il n’y a jamais eu de temps au cours des âges, là au cours des âges, il n’y a jamais eu un temps où les méthodistes, les baptistes et les presbytériens ont réclamé le Saint-Esprit comme ils le font aujourd’hui? Voyez ? Et alors, c’est quoi ? Il est venu à ce moment-là même ! C’était l’heure de Sa Venue. Et juste pendant qu’ils… Tous ces frères et toutes ces églises ont faim, ça doit… Cette vierge se tiendra, vous savez, dans le dernier jour, au Jugement du Trône Blanc ; mais pas l’Epouse.

236 Eh bien, si vous n’avez pas d’Huile dans votre lampe, pendant que les portes de la miséricorde, je l’espère, sont encore ouvertes, ne voudriez-vous pas vous lever pour dire : « Souvenez-vous de moi, Frère Branham. » En faisant cela, pour Dieu, cela signifiera : « Je vais… je n’ai pas d’Huile dans ma lampe, Frère Branham, je–je crois en Christ. Certainement, je crois. Ça fait longtemps que je suis membre d’église. Mais quant à dire que ma vie est réellement remplie de cet aimable Saint-Esprit, que tout est différent, que je suis une nouvelle création, ce n’est pas ce que je suis, Frère Branham. Priez pour moi. » Que Dieu vous bénisse maintenant. Il y en a beaucoup, beaucoup, debout, aux balcons et partout.

237 Maintenant, je voudrais que vous, les frères prédicateurs ici, mes–mes précieux frères, chacun de vous, vous priiez avec moi maintenant, alors que nous prions.

238 Qu’est-ce qui a fait que vous vous leviez ? Voyez, vous êtes une vie. Il y a quelque chose en vous. S’il n’y avait pas de vie, vous ne vous lèveriez pas. Et selon la science, voyez, la pesanteur vous retiendrait en bas. Mais un–un esprit en vous vous a poussé à prendre une décision, à partir du témoignage d’un autre Esprit, une Vie qui dit : « Tu as besoin de Moi », et vous vous êtes levé. Vous avez défié les lois de la nature en vous levant en guise de témoignage. Jésus a dit : « Celui qui rendra témoignage de Moi, en d’autres termes, devant les hommes, Je rendrai témoignage de lui devant Mon Père et les saints anges. » Maintenant, vous avez besoin du Saint-Esprit.

239 Eh bien, si certains d’entre vous sont près de ces gens qui se sont levés, et que vous avez le baptême du Saint-Esprit, voudriez-vous… Je ne peux pas les atteindre tous, nous n’en avons pas le temps. Aux balcons, partout, voudriez-vous simplement lever la main et la leur imposer (voyez) à titre commémoratif ?

240 Vous savez, ils… quand Philippe est allé prêcher aux Samaritains, ces derniers n’avaient toujours pas reçu le Saint-Esprit, voyez. Philippe les a seulement baptisés au Nom de Jésus-Christ, mais le Saint-Esprit n’était pas descendu sur eux. Pierre et Philippe sont allés là, ou plutôt… Pierre et Jean sont allés prêcher, ils leur ont imposé les mains, et le Saint-Esprit est venu sur eux.

241 Maintenant, vous les croyants qui avez reçu le Saint-Esprit, regardez qui est debout, tout autour de vous, puis, imposez-lui les mains en commémoration que vous êtes croyant, touchez sa main ou quelque chose comme ça pendant que nous prions. Ne doutez pas. Croyez donc. Ce n’est pas une émotion, c’est la douceur du Saint-Esprit qui descend remplir chaque vie. Maintenant, ils sont entre vos mains. Vous avez établi un contact avec eux. Juste comme quand vous imposez les mains…

242 Le Juif posait sa main sur le sacrifice pour s’y connecter. Un jour, vous avez posé les mains sur Jésus et vous vous êtes connecté au Sacrifice. La Vie du Sacrifice est revenue sur vous. En fait, ce soir, je pouvais parler à l’église ce soir sur Le signe, et Il est sur vous maintenant.

243 Et vous vous êtes connectés à cet homme ou à cette femme qui veut croire. Levez-vous simplement maintenant et imposez les mains à ceux qui veulent recevoir Cela. C’est vrai. Que Dieu vous bénisse. Quel moment merveilleux ! Ne doutez donc pas. Ne soyez pas pressé. Souvenez-vous simplement, priez pour cette personne.

244 Et vous, priez aussi, dites : « Seigneur Jésus, mon pauvre coeur a faim. Je Te veux dans mon coeur. Je Te veux dans ma vie. Remplis-moi, Seigneur. Je suis ici, prêt. »

245 Notre Père céleste, beaucoup sont debout, ils disent par cela qu’ils veulent la Vie. Et la Vie vient seulement par l’obéissance à Christ. Il est la Vie. Il a une exigence qu’il nous faut remplir. Et en remplissant cette exigence… Comme nous nous souvenons d’Abraham, il avait cru en Dieu, et cela lui fut imputé à justice. Et après que cela lui fut imputé à justice, Dieu lui donna le sceau de la circoncision comme une confirmation qu’Il avait agréé sa foi. Beaucoup de ces gens professent avoir la foi, mais ils ne sont pas encore scellés par le Saint-Esprit. Et maintenant, ils sont debout, Seigneur, pour montrer qu’ils croient effectivement. Scelle-les maintenant, Seigneur, de Ton Saint-Esprit. Puisse-t-Il descendre sur eux et sceller chaque coeur ici même, maintenant. Que le Saint-Esprit descende dans cette salle de bal, en ce moment même.
Et, Satan, sors de leur vie, relâche-les.

246 Et que la puissance de Jésus-Christ ressuscité vienne sur ces gens en ce moment même, et puissent-ils être remplis de la puissance et de la résurrection de Jésus-Christ. Amen.

1 Thank you, very much. I certainly deem this one of the highlights of my life, to be here in this great city of New York, to speak to this chapter, or these chapters, rather, having this time to set on the platform with my ministering brethren, and to speak to the businessmen and women of this city about our Lord Jesus Christ. There's no doubt but many of you know Him, from your action this morning, and rejoicing and praising Him for His goodness and mercy.
I feel pretty small here, standing here with these renown speakers and have to stand here and speak to this audience, because I'm not much of a speaker: always said I was a spare tire. You know, you use a spare tire when you got a flat; but we haven't got any flat, but they just letting the spare tire roll along a few minutes, I suppose.

3 I was remarking about, in my soul, a few moments ago, and mind, about the--about bearing the fruit of the Spirit, as one of the brothers give that quotation, "bearing fruit." You know, we can't manufacture fruit. We have to bear fruit. See, a sheep doesn't manufacture wool; but because he has wool and bears wool, he's a sheep. That's the reason he bears wool. That's the only way we can ever be Christians, is not because that we have the name, or try to work up to something, to manufacture it. Being a sheep, you just bear wool. Being a Christian, you just bear the fruits of it. Yeah.
And setting this morning, I know our time's limited in these meetings.

5 Another reason we're in New York at this time, I was sorry that I did not get to attend that convention. A very dear friend of mine misunderstood me, when he said, "Would you speak at the convention in New York?" Mr. Williams... I live in Tucson, Arizona; he lives in Phoenix, Arizona, just about a hundred and twenty miles apart. And I said, "Yes, I'll--I'll be there in November, I'll be glad to do that," to meet with Brother Nelson, Brother Sweet, and my friends here. And come to find out, it was October. And October I was to be in Alaska, so I was quite a ways from New York at that time.

6 But finding this privilege of coming here with Brother Vick of the Rock Church, and the ministers, and we're down here in the Marc Auditorium, where we've been having a grand time this week, seeing the Kingdom of God among us. We're so happy for that. And then coming to this time this morning, where perhaps men, businessmen and women from all walks of life set here: Methodist, Baptist, Presbyterian, Catholic, and whatmore.
It reminds me of years ago, when I used to work on a cattle ranch up in Colorado. I was... We'd take the cattle off... The Hereford Association grazes the--the valley, and it's called the Troublesome River Hereford Association. Our little ranch was up at the head of the river. And we had the East and West Fork, and we grazed the East Fork. And then the spring of the year, when we take the cattle off of the pasture then, to put them on to the Arapaho Forest, where the Association grazes...
Now, it's a Hereford Association. There's many people on the--in the Association there that raises Hereford cattle. And if your ranch can produce two tons of hay, you're permitted, by the brand, to put a cow on the pasture for the summer, so that you're hay can grow up where they irrigate, and feed them out through the winter.

9 Now, when we'd have the spring roundup, and driving the cattle up on the pasture, there's a drift fence. Drift fence is where the cattle don't drift back on--on private property; it's on government property. And the ranger always stands at this drift fence, and he watches the cattle as they go by. Well, there's many brands that goes through that--that gap, or little fence.
And there is, well, Mr. Grimes is one of the big ranchers; he had what they call the Diamond Bar. He had several thousand head of cattle. And the Turkey Track, and the Lazy K, and many up-and-down there, they went through.

11 I stood a many a time, or set, rather, in the saddle with my leg up over the horn of the saddle, and watched that ranger as he looked at those cattle going by. And the amazing thing, he never did notice the brands on the cattle. He didn't. They all have to be Herefords or they can't get in there. And the only thing he was interested in, whether it was a Hereford or not; not what kind of brand they were wearing. There's a blood tag in the ear, that showed that they were Herefords.
And I just thought, that the way it'll be at--at the great roundup of the great entering in of the Kingdom of God. He will not notice the brand, whether we're Methodist, Baptist, Presbyterian. But He'll watch for the Blood tag. That's... We must all have the Blood tag, "For when I see the Blood, I'll pass over you." Men has tried to educate people into Jesus Christ; we've tried to lecture them in. But God has one way; that's under the Blood we have things in common.

13 Sometime ago, a family was separating. And the attorney told them they'd better go down and divide up their estate before the divorce was granted, because there wouldn't be nothing left if the attorneys got ahold of it. So he happened to be a personal friend to them. And they went into one room, the living room, the husband and wife, and they divided up, and fussed over what was in there. And the next room, they fussed again. Finally they went up in the attic, an old garret, and they found a trunk up there, and they were dividing the spoils that were in there: one reaching and grabbing. And that's mine. And this is mine."

14 And finally they raised up a piece of goods, and they both grabbed at something. And when they grabbed, they caught each other's hands. And beneath these hands was a pair of little baby shoes, which had been the results of their union, that God had called the little thing home. No one could claim it, 'cause it belonged to both of them. They'd found something they had in common. And there, looking each other in the face, it wasn't long till they were in each other's arms. The divorce wasn't granted, they could annul it, because they found something they had in common.
I think that's what we should find. There's one thing. We might not all agree to be Methodists, or Baptists, or Pentecostals, or so, but there's one thing we have in common: Jesus Christ. We have Him in common.

16 Someone asked me, sometime ago, said, "Why are you hanging around with these Full Gospel Business Men? You're supposed to be a preacher."
I said, "Well, I am a businessman."
Said, "A--a businessman?"
I said, "Yes, sir, I'm--I'm a businessman."
Said, "What kind of a business are you in?"
I said, "Eternal Life assurance." That's right.
I never said "insurance." I said, "assurance." If any of you is interested in the policy, I'd sure like to talk it over with you, immediately after the meeting.

18 Reminds me of when I was in school, as a boy, we had had a chum there, was a very fine friend, he was an insurance salesman. And somehow, nothing against insurance now, but I just don't have any this earthly insurance. So sometime ago this young fellow... His brother is a Baptist minister also, and he writes articles in the Upper--for the "Upper Room." And he came up to my house, and he said, "Well, Billy, I'm sure glad to get to see you again."
I said, "Set down, Wilmer."

19 We got to talking. And I knew what he was coming for. I got a brother that sells insurance, but I just never did take any somehow. So he said, after we talked awhile, he said, "I understand, Billy, that you haven't got any insurance," he said, "and I thought maybe I could talk to you about a policy. And..."
"Oh," I said, "thank you, Wilmer, but I've got a--a paid-up policy."
And he said, "Oh, I'm sorry," he said, "what kind of a policy do you have, Billy?"
And I said, "Eternal Life."
And believe it or not, the boy said, "I don't believe I'm acquainted with the Company." Says, "Where is its headquarters?"
I said, "Glory."
"Oh," he said.
I said,
It's blessed assurance, Jesus is mine!
Oh, what a foretaste of glory Divine!
I'm an heir of salvation, purchased by God,
Borned of His Spirit, and washed in His Blood.
"Oh," he said, "that's very nice, Billy, but that don't put you up here in the graveyard."
But I said, "It'll get me out." I'm not worried about getting into; I'm... I'm not worried about getting in. It's getting out.
So I--I'm so glad to have this assurance that I will come out. Because He Who made the policy, that we could all come out, I have received that assurance in my heart, that I've passed from death unto Life. And I know someday that He'll bring me out.

26 Now, just before we approach the Word, I'd like for us to bow our heads and speak to the Author just a moment, if you will.
And while we have our heads bowed and your eyes closed, and I trust our hearts are bowed too in His Presence, I wonder right now, if there's anyone in here that really doesn't hold such an assurance of the resurrection hid away in the safety box of your heart, this morning, and you'd like to be remembered in prayer? Would you just, without anyone looking, just raise up your hands, and say, "Include me, brother." Thank you, thank you. The Lord bless you. Dozens of hands, while we pray...

28 Most gracious God, eternal Father of our Lord Jesus Christ, Who raised Him up on the third day after His crucifixion for our justification, has presented Him to us in the form of the Holy Ghost that now comes blessing our hearts and ministering to us the things that we have need of in this life's journey.
Realizing and seeing these hands go up, Lord, there's a great need among us this morning. And I pray, God, that You will not let one of those people go out of here without having this assurance, that their sins are under the Blood, and they have been born again, and sealed into the Kingdom of God, by the Holy Ghost. Grant it, Father.

30 Bless us then as we listen to Thy Word. We know Thy Word is Truth, and there's no other Truth outside of That. And we pray, Father, that Thy Word will become a reality to us today. For it is written, "In the beginning was the Word, and the Word was with God, and the Word was God. And the Word was made flesh and dwelt among us. The same yesterday, today, and forever..."
And He has told us that the works that He did, we would do also, because His Life is in us. And we pray, Father, that this will be a clear understanding with all of us this morning. And if we should profess this morning that the Shakespeare lived in us, we know we would do his works, composing poems. If the works, or the life, rather, of Beethoven lived in us, we would be a Beethoven; we would compose songs. But when we confess that the Life of Jesus Christ is in us, Eternal Life, then the Life itself will testify what we are. And as the brother has spoke of--of the bearing of the fruit, we know Christ's Life in us will bear evidence that He's there. So we pray that You'll grant that experience to each of us, this morning, as we wait.
Opening Thy Word, we cannot open It. We can turn the page back and read, but only the Holy Spirit can take the Word and divide It to our hearts as we have need of. And we'll humbly praise Thee, for we ask it in Jesus' Name, Thy beloved Son. Amen.

33 I would like for you to, if you have your Bibles... And many times, people like to attend the service, and then listen to what the minister reads. Because after all, the Word of God is Truth. See? There's no other truth can take Its place. It's all Truth. The Word is God. It's God in letter form.
God is going to judge the world someday by Jesus Christ. We know that. He cannot judge it by a church. If it would, the Roman Catholic said, "He'd judge it by our church," then what about the Greek Catholic? The Methodist say, "Judge it by our church," then what about the Baptist? So you see there is too much difference. There's got to be some standard. And if Jesus Christ is the Word, then He'll judge it by the Word. So whatever God has said in His Word, that's what we live by. "Man shall not live by bread alone, but by every Word that proceedeth out of the mouth of God."

37 Let us turn to Saint Mark the 10th chapter, read just a portion of the Scripture.
And while you're turning, I would like to invite you to the auditorium. But I seen a saddened sight last evening, even when I got off the cab, or got out of the cab, rather, to go to the pulpit. There were literally hundreds walking down the street, many of them crying, because they were turned away from the auditorium. There was no room. We're sorry we couldn't find any place larger. But we hope someday, if we can all come to see... If we don't, we'll see you just across the border, just on the other side.

39 Now, 17th--or the 10th chapter, beginning with the 17th verse, just for a little text to make a--to draw from it a conclusion of a context, that we trust that God will give us.
And when he had... was gone forth into the way, there came one running, and kneeling down to him,... asking him, Good Master, what shall I do that I may inherit Eternal Life?
... Jesus said unto him, Why callest thou me good? there is none good but--but one, that is, God.
Thou knowest the commandments, Do not commit adultery, Do not kill, Do not steal, Do not bear false witness, Defraud not, Honour thy father and thy mother.
And he answered and said unto him, Master, all these have I observed from my youth.
Then Jesus beholding him loved him, and said unto him, One thing thou lackest: go thy way, sell whatsoever thou has, and give to the poor, and thou shalt have treasures in heaven: and come, take up the cross, and follow me.
And he was sad at this saying, and went away grieved: for he had great possessions.

40 I want you to notice this young man, that he was not an atheist. He was supposed to be a believer; he was a church member. And I'd like to speak this morning for the next few minutes, I don't know just how long this is lotted, but I would like to speak to you on a few Scriptures I have written down here upon the subject of "Investments."

41 I would believe that any businessman ought to be interested in some good investment. And we are talking, I presume, to businessmen of this great, famous city, New York. And any man that can make an investment that would help him, he should be interested in it. Now, we have all kinds of investments, but the investment I'm asking about this morning... You might've made many good ones, but this is the best one you could make. I, as I have just quoted, I am an agent for Eternal Life.

42 It's not a good business to gamble, take chances. The... Our brother here was just speaking a few moments ago on, he was going to the places and gambling. That--that's taking a chance. A good sound-thinking businessman won't do that. He shouldn't do it anyhow. It's a gamble; you--you could go broke at once with such a--a thing as that.
And then a good sound businessman, or a good sound-thinking businessman, would never invest in some "get rich overnight," some unestablished firm to make an investment. He--he would never do that, a good sound-thinking businessman, as I believe you are, and women...

44 This "get rich overnight." I had a friend once that had his life savings in a bank, drawing a small interest, and someone come by with a shortcut. You know, we hear today of so many, shortcuts the thing. The world's full of it; advertisements, and television, radio, newspapers. And if the American people fall for such as that...
Here long ago, I was listening at an advertisement of a--a woman, or talking on the--on the radio. I was in my car, going somewhere, and they said, "Use these fine dishwashing powders," of some sort, "you don't even have to wash the dishes. You just put them in there, and pour a little bit in, and shake it up-and-down, and it's no washing, no rinsing, no drying, no nothing." And it was one of the greatest things that science had ever given us.
And right back over, about the next commercial, was, "Don't use these new detergents. Look at mother's hands, how pretty they are. They burn your hands up. Be... Have pretty hands like mother, and don't use the new detergent."
And I happened to live in Jeffersonville, at that time, where Colgate Palmolive Peet big factory is, and the same company made both products. See, see? It's a--it's a gimmick. And there's so much of it in the world today.
And I say this with reverence and respects, and I hope it doesn't sound sacrilegious, but that same thing's got into the church move. God has no shortcuts. You just pay the price. You come and take the way that God provided for us.

49 A "get rich overnight," you invest in it, and, the first thing you know, this fellow lost everything he had. It's unsound business to do anything like that. It doesn't show good intelligence or good business thinking in some unidentified business.
And then it's not a good business to keep what you got in your pocket, because you better put it to work. You remember the Lord talking about the talents?
I won't have time to break this all down, but I'm su--hope you understand what I'm--I'm speaking, giving a parallel here to make the point that I wish to make to you.

52 Now, we find out that if you keep your money in your pocket, thieves can take it. And we don't want to do that, because that's not a good policy, to keep your money in your pocket. You can lose it, and you could... Somebody could take it from you.
And don't put it in some foolish investment. But invest it in some good reliable firm that has proven and been thoroughly identified that it'll pay off. Now, that's what you people think, you businessmen and women. If it doesn't pay off, then you're afraid of it. But if it's been proven that it does pay off, and it's reliable, then you make your investment there. You can put all you got into it, because it's been proven, thoroughly proven, that it pays off.

54 And this young ruler, or young businessman, I'm going to call him... This young businessman of the city had an opportunity to make an investment in one of the greatest identified things in the world. He had an opportunity to take out a--a policy, as it--we'd call it, of Eternal Life. But he wasn't interested in such a policy, because the price of it seemed to take away from the things that he wanted to do. There is a point.

55 Now, the young man knew that there was something that he was lacking. Though we... He's thoroughly understand that he must have had a--a good father, a good mother, and a church experience, that he belonged to the church, because Jesus asked him, "Keep the commandments. Honor the father and mother. Do not kill, commit adultery," and all these morals that the church teaches. But yet Jesus told him, "One thing yet thou lackest."
He wasn't--did not ask Jesus, "What can I do that I might join Your church? What that I might do, that I might become a--a member?" But he said, "What can I do to have Eternal Life?" Yet, being a member of a religious body, yet the young man was sensible enough to know that he lacked Eternal Life.

57 And there's only one form of Eternal Life. We strive for that. And he was given that opportunity to receive It, when he asked, because it's written, "Ask and you shall receive." And It was presented to him, but yet foolish enough to turn down because the price was too great.
And as a Christian, and traveling the world, I find that same desire in so many people's hearts today. As my wife used to say, "You want to eat your cake, and keep it too." You--you can't do that.
You can't hold to the love of the world, and to God, at the same time. "For you cannot love God and mammon," which means, "the world." And if you love the world, or the things of the world, the love of the Father isn't in you.

60 But so many people like to say, "I belong to so..." But that's not the question. That's not the policy that I'm talking about this morning.
It's Eternal Life, Everlasting Life. And anything that's eternal, never did begin; therefore, it cannot end. Eternal never begin. And then the only way that you can be eternal, is to receive Eternal Life. And there's only one thing eternal, and that's God. Not by joining a church, or creeds, or turning a new page on New Years, or whatever it is; but it's receiving God, the Person of God in the form of the Holy Spirit into your life. And you become part of God, and just as eternal as He is, because you're a part of Him. Everything has a beginning has an end. The world begin, it ends; heaven begins, it ends. Jesus said, "Heavens and earth will pass away, but My Word shall never," because He is the Word. He is the Word, and that is eternal.

62 And that Word in you produces the Life of Christ. If I could take the life out of a peach tree and put it in a pear, it wouldn't bear peaches no more; it would have pears on it because the life in the tree would produce what it is. The life that's in you shows what you are. Your life testifies so loud in you, until your testimony's not heard. They know what you are by the life you live and the things that you do. If the Life of Christ is in you then, therefore, the works and Life of Christ you live; because that's His Life living through you. You're just in a vessel to carry on the work of God.

63 What a rashal thing this young man did when he--he wasn't interested in such an investment. He had great wealth, we're told. But the wealth of the world has to perish. What about the young man's condition today, wonder where he is at? He turned down the opportunity he had. Yet, he was a Christian believer, or a believer, we would say, to be more fundamentally. He was a believer; he was walking in all the light that the law had, and probably a loyal member of some great congregation, but yet knew that he lacked Eternal Life.

64 Now, he had seen something in Jesus that he never saw in other men. He had saw his priests, seen his people, he'd seen good men, but there was something special about Jesus Christ. They seen, even the scribes and the soldiers that was sent, and from the temple, to arrest Him, they said, "Never a man spake like this." He not only spoke as a priest or a--a layman, but He--He had... God backed up what He said. He was...
He never wrote no books. We don't have anything that Jesus ever written in His life. Only thing we know, He wrote one time on the sand, when a--a little lady in ill fame was brought to Him, then He erased that back out. Why didn't He write? He was the Word. He was the living proof that there is a living God, His very Life within Him.
He said, "If I do not the works of My Father, then believe Me not. Though you cannot believe Me... ('cause Him being a man), yet believe the works. Search the Scriptures, for in Them you think you have Eternal Life, and They are that that testifies of Me. They tell you Who I am." That was a foreign language to many of those clergymen of that day.
It's too bad; it seems to be repeating again. But it's... The world remains the same. Spirits doesn't change, they leave from one group to another, one man to another; evil spirit, and good Spirit from God. The Holy Spirit remains just the same as It was when It fell afresh at the day of Pentecost, when God, in that great Pillar of Fire, separated Himself among His people.

68 But in this Jesus he saw something that no other man had, he saw God living in a human being.
And then, as intelligent thinkers this morning, if that same Life that was in Christ is in you, how can It keep from living the same thing, and being the same thing? It must do it. So we might get emotionally worked up; we might get so indocumated with some creed or something, that we would think that that was it. But when we read what He was, then that's what He is today. What God was in Christ, your Brother Redeemer, that's what He is in you as a redeemed child.

70 Jesus saw this young man, and He loved him. Now, there's one thing that we seem to lack a lot of today, because the people that doesn't love us, it seem like we don't want to love them. Since I've been amongst the Full Gospel people, and that's one thing that I find, until I met this Business Men's group, that the organizations of the Pentecostal beliefs seem to isolate themselves. That isn't expressing the Life of Jesus Christ. He loved all, and He loved this young businessman. Though he turned Him down, yet He loved him.
And the young man found something in Jesus that he didn't find nowhere else, and was invited to receive this that He had, but the price was too great. And though he had seen that the investment that he was asked to invest in, it cost him all of his worldly possessions, for Jesus told him, "Go sell what you have."

72 Now, men and women, don't--don't misunderstand me. I don't mean we don't have to have money. But when you make that your god, when that's what you're depending on, it's got to perish. And today too many times, that businessmen and women are trying to see how much they can get ahold of, where we ought to be seeing how much we can let loose of. What a difference it is today in the Christian realms, and in the denominational churches, and so forth, of all of them. How much difference it seems to be today, than the early Pentecostal church. Today they seem to try to brag on, "I got a fleet of Cadillacs, and I'm spiritual because I own so much of the goods of the world." And we see that too much exalted, even amongst our brethren. The Pentecost of the early days sold what they had and distribute to the poor, and among them.

73 A young fellow not long ago in Jamaica, where we was at the racetrack... I was with the Full Gospel Business Men. I made a remark something like that one night to a gathering of the businessmen that had gathered from all over the islands, down in all--all over the islands. And this young singer come to me, and he said, "Brother Branham, your statement wasn't too great tonight, upon what you said about the Pentecostals selling what they had."
I was preaching on critics of Pentecost, and saying that that's where they had a right to criticize that one thing. I said, "You businessmen are always telling how to get rich. Those men know how to get rich. They're already rich. The thing you want to sell them is Jesus Christ, something that they don't have."

75 You can't take the Gospel over into the world. We got to get the world over here. Hollywood reaches after shiny things, a monkey does the same thing. Hollywood shines, but the Gospel glows. There's a quite a difference between shining and glowing. We're trying to put on big things and be something big. That's no way to get the outsider. Live the Life, and let Christ live in you, that makes him hunger and thirst to be like you. You become salty; he'll get thirsty. The only way you can be salty is let the Life of Christ be in you, for He is that. Salt only saves as it contacts.

76 Now, we find, this young man knew that this Man was more than just a ordinary man. He knew he must be God, because the Life of God was reflecting through Him; and He was thoroughly vindicated by the Word, that He was God.
Now, I want to speak just a moment to my minister brethren, also. We're a congregation here of both ministers and businessmen. I'm just a little afraid that our great system of our churches today has come to that same place, for the Bible claims that we will come in the last days to the Laodicea church age, which is rich, increased in goods, has need of nothing. And knowest thou not that thou art miserable, poor, wretched, blind, and don't know it. There's the sad part, "Don't know it, blinded."

78 Why wouldn't those Pharisees and scholars of the seminaries know Jesus Christ when He was thoroughly identified by the Bible, when He proved that He was the prophet that Moses said would be raised up? And they hadn't had prophets for hundreds of years. And here He stood amongst them with the very Word of God, but the Bible said that they were blind Pharisees. And the Bible tells us that they must be blind. What a pitiful thing.
And the same Bible that said that they would be blinded, said the Laodicea church age would be blinded, miserable, wretched, poor, naked, and blind, and don't know it.
If we could find a Man on the street, or a person that was in that condition, it would be a pitiful thing; if you could go to him now, and talk to he or she... And if you looked at the dressing of some of our modern women, you'll find out they're just about that way in the natural. But if you go to them and tell them that they're wrong, and if they would listen, understand that they are naked, they would try to help themselves. But naked, and don't know it...

81 Now, in this day, God has sent back the Holy Spirit, which, if Jesus Christ is the same yesterday, today and forever, then He's still the same Messiah. And the Life of Christ is in His church, vindicating His Word. That's how God was in the earth in the form of Jesus Christ, being the Word, to make the Word live. And the Holy Spirit is today in flesh, making the Word of God live to every promise and every wonder. And everything that He promised, it's there.
And the churches has been given the opportunity to receive this policy of Eternal Life, but they made the rashal mistake that the rich young ruler made. They have went off to the councils, uniting together, all coming under a form of ecclesiastical head which is predicted by the Bible. We see that in our organizational systems. And they're in Rome, and so forth now, Now, we have no axes to grind, no punches to pull, just tell the truth. That's the way it's written. God always vindicates His truth. And the church in that kind of a condition, is offered to take the policy.

83 And upon the same basis, that many of you businessmen here this morning, belonging to those churches. I don't say, "Leave it." No, sir. You go there and be a light, but take Light with you. See? Notice.
The same basis that that rich young ruler turned down the opportunity, the same basis is that the church turns down the opportunity today for Eternal Life. Because the church itself, it would mar their inheritance of their fathers, the great traditions that the fathers stood for. And then if the Holy Spirit fell in some great ecclesiastical system, why, I'm afraid that the officials wouldn't put up with it. It'd be excommunicated from that organization. See? And they can't hardly afford to do it; he would no more be "doctor, holy father," whatever it was; he would be just a common man among us.
There's no big people in Christianity. That's the world does that. We are all the same size: sons and daughters of God, and not no "holier than thou art." We are children of God by the grace of God.

86 When we read in the Bible that God told John on the Isle of Patmos, that the deeds of the Nicolaitanes He hated. "Nikao," "conquer laity, to conquer the laity" and put all the holiness in some certain man. Holiness is to all. The Holy Spirit fell upon the whole group. There is no holy man anyhow; it's a holy God. See? We don't say" holy church, holy people." It's "holy God." We're not holy, but He's holy. Not a holy minister; it's the Holy Spirit, He ministers through the minister. It's not holy men; we're none of us holy. But they seemingly too many times, are turning down the same opportunity.

87 In Revelations 3 we read this, that the Laodicea church, we're pictured one of the most saddest pictures of all the Bible, Revelations 3, at the Laodicea church. All the rest of the churches, through the Lutheran age, and the seven church ages, each one it didn't, it said about Jesus being in the church, "He that's in the church." But in Laodicea he was on the outside, knocking, trying to get back in. What a pitiful thing to think that, the Son of God, knocking on His Own church, trying to get back in.
But the riches of this world has blinded their eyes. Not only rich in money, but rich in popularity, rich in the things of the world, the cares of life, until you've rubbed shoulders, and intellectual men has come in and taken away that Grain, that--that Pearl of great price. But God predestinated a people to be there; somebody's going to be there. But they turn It down. Not all of them will; some of them will receive It.

89 Now, they put him out of their love, their love of His Word. The... They pick up a creed and adopt the creed, anything you take instead of something.
For instance, you were married to a lovely woman; she loved you and you loved her, you said. After while, you take another woman, or you take another man, you have to turn your first love down.
And that's the only way we can adopt a creed is when we turn our first love down, the Word. You cannot believe a error, until first you step over the Truth. But we got to a place till we shake hands, and put them on the church. They still smoke, drink, have parties.

91 I was speaking of... last night, coming down on the elevator. There was a lady on the elevator, talking about she was going to a church party, said, "It's in the basement of the church. We're going to play bunco, and they had turkeys they was going to give away, and this was to help pay the pastor and the missions" See, you're adopting something. That isn't God's program. If it ever gets to a place that I cannot preach the Gospel until it's to indulge in things like that, I'd close the Bible and go home. It's too bad, but we have it. Why? Because its turned down the policy of Eternal Life. That's what does this: lost their love.

92 I went into a little place in the hotel lobby, night before last, and I was going to have a sandwich; I said to the lady, "Bring me a--a sandwich and a glass of buttermilk."
And I'm not sure if I say this right or not. But the little lady looked like she'd cankered, with all that blue under eyes and things; and--and about enough clothes on, you could put in an aspirin box. She said, "You want bourbon on rocks?"
I said, "I beg your pardon?"
She said, "Bourbon on what?"
I said, "I said, 'buttermilk.'" See?
She said, "Well, what do you want to drink?"
I said, "Buttermilk."
She said, "Well, we have some fine mixed drinks here."
I said, "Lady, I'm a minister of the Gospel."
She said, "Our... I'm Catholic." And she said, "Our priests come in and drink."
I said, "I--I'm not a Catholic priest. I'm a minister of the Gospel."
She said, "Wouldn't you have a mixed drink?"
I said, "Don't mix nothing with it, just bring me plain buttermilk." Yeah. And she didn't know. But there you are (See?); there you are.

97 Religion, just the same as the world. "Religion" means "a covering." If you can be covered by the world, you'll act like the world. But if you're covered by the Blood of Jesus Christ, you linked with Him; you don't care for those things no more. You see nothing but the Blood. And God only recognizes the Blood. "When I see the Blood, I will pass over you." Amen. We are grateful to God for these things.
Now, we're talking about this policy of--of Eternal Life.

99 And many times, being among those Pentecostal people, they--they can just preach so fast, and--and I--I--I am so slow. I'm a--I'm a rebel to begin with, a Southerner; I--I just have to take my time. Like out here on the street, they almost run over me, and I--I get back in the corner, and wait till all the crowd gets by. And then look like it don't end here, so I'm kind of slow; they have to bear with me a little bit.

100 Let's think of--of some of the holders of this policy. Let's invest--investigate, rather, this morning, some people who has taken out this policy before, so we can see if the policy is reliable or not. I'm talking about the Word of God, which is Christ in flesh. Someone who's held this policy... We will begin back and quickly go through a few holders.

101 There was a man, one time, who was offered this policy. He was a farmer. And the Lord God met him with His Word and said, "There's going to be a--a flood that's going to destroy the whole world. You're going to act very funny now if you want to receive this policy, but it'll save your life. I want you to build an ark." It was Noah. And although the rest of the religious world, in that day thought the old man was crazy, and it certainly didn't meet the scientific order of the day.
Because Jesus said, "As it was in the days of Noah (a world like that), so shall it be at the coming of the Son of man," when the policy has so many names wrote on it; and He's up there, redeeming, this morning all those who will have their name on that Book. Now, after while, the last name is going on, and that--that will finish it. Come in now, my brethren. Don't wait. After while, it might be too late. Come now while you have the opportunity, while you--while it's offered to you.

103 We find that Noah made this investment, was very popular farmer, and probably knowed many people, and had great things. But he sold out, maybe his farm, to get the material to build on the ark. People laughed at him; Satan caused that. He might've been called a holy-roller.
As one stated this morning, he become a holy-roller on the floor, when he found and signed his name in the Blood of the Lord Jesus, that he wanted to hold this policy.
And he, Noah, did the same thing. And got rid of what he had, and he built an ark. Laughed at, tried by Satan, but we find out that his policy paid off in saving his life; not only his life, but his house.
And I believe that that's true. Not only you; maybe the--the wife, a businesswoman, the man, a businessman...
You say, "What's that got to do with my family?"

107 It was asked one time, Paul and Silas. The Philippian jailer, he said, "What can I do to have Eternal Life?"
He said, "Believe on the Lord Jesus Christ, and thou and thy house..." Why? If he truly, not make-believe, but believe... Jesus said, "These signs (in Mark 16) shall follow (not maybe), shall follow those that believe." And if you've got faith enough for your own salvation, you can also claim your family by faith. If you've got that kind of faith, your faith can help your family, "thou and thy house."

109 And Noah's family, seeing that the father, a good man, was pounding away, his sons and his daughter-in-laws, and so forth, come pounding away with him, bearing the reproach of the Word. You always have to do that. The Kingdom of God doesn't come without trials. Men press into It, into the Kingdom of God; not observation. Now, but it paid off in saving his life. We could stay hours on Noah.

110 But let's go to another one by the name of Daniel. Being a prophet, the opportunity become God's prophet. And the Word of God comes only to a prophet. No other way. It always comes to a prophet.
Sh... [Tongues and interpretation--Ed.]...?... Amen. Praise God. Thank the Lord. We understand... Maybe to those who would not understand, a businessman, I--I wouldn't say nothing critical about that. See, it must be an important thing, that the Holy Spirit would break in upon the message to do such a thing, give a warning.
Now, we believe in unknown tongues as a gift. I used to think that it was wrong. When I was just first come among the people, I thought that maybe those people, speaking in tongues, maybe was just putting that on. But I wouldn't say nothing, because you remember, we can blaspheme the Holy Spirit, that's talk about wrong things. So I find out, when I went to Africa and traveled the world over, there isn't a sound without a significance of it. Every little cluck and move has a meaning of some sort.
Then we just keep still till the Holy Spirit speaks Its word back. And that's the reason, perhaps, He broke in on the Message, to say, as I understood it, I hope I did, that, "Hear the Words of the Lord, and to obey the Words of the Lord." Now, just remember, that wasn't me. That was men, gifted men, with speaking with other languages. And--and the men, themselves, would not do that, I don't think. When a message was going on, they wouldn't speak it, if it wasn't something that the Holy Spirit was urgently getting to maybe one soul here. I don't know. See, I don't know nothing about that; that's up to God. See? But we always want to respect and give reverence to anything that God would do.

114 Now, back to the thought of the policyholders, of the very policy that these men are also filled with, to do these works now, to bring in the midst of a message, something to inject in there and say, "This is the Holy Spirit," other words, "speaking to you."
Daniel, was the one that we was talking to. He was a policyholder. He was a man filled with God's Spirit. Because the Word was in Daniel; Daniel was a prophet.
And the Bible said in Hebrews the 1st chapter, "In di--times of old, God, in divers manners, many places, spoke to the fathers by the prophets." Now, the prophet is a compound word, which means "a revealer of the Scripture" and "a foreteller of things that is to come," to show that God doesn't change His Message. Every age, God has always used, not an organization, nor a group, or a system, but a man.
And the unchangeable God, He made one way in the garden of Eden, that man should be saved; that's by the Blood. We can have educational systems and denominational systems, but God turns it down. It still remains Blood. That's the only way.

118 God uses an individual. Two men will never see the thing alike, so God can only get one person in His hand; then through there, like Moses and through Daniel, and through the different prophets. And listen.
You say, "Well, what about the Holy Spirit?" The Holy Spirit doesn't change it.
Look, the Word of the Lord comes to the prophet. John was the prophet of the hour. He was standing in the water, declaring that the Messiah was already among them somewhere. He would know it by a sign. And when the Messiah, being the Word, He came into the water to the prophet, the Word coming to the prophet.
Jesus said, in these days, He said, "He (which is a personal pronoun), He the Holy Ghost, when He's come upon you, come to you, He will show you these things I've taught you, and will show you things to come." Remains the same thing, the Holy Spirit is the Prophet among us today. The Holy Spirit is the Prophet.

122 Daniel was a prophet. The words of God, the Bible, was invested to Daniel, to manifest to the people that God still lived. And Daniel purposed in his heart that he would not defile his investment.
Oh, if the church could only do that, if the church could only purpose in your heart that you won't defile your investment with any tie up with things that brings you into a system that'll take you away from Him.
Daniel purposed in his heart. And what did it do? It saved his life from the lions.

125 The Hebrew children made an investment in God, that they would not break His commandments no matter if they made an image of their holy brother, Daniel. Which, I believe the image was of Daniel, 'cause he was Belteshazzar's god, and we find out that he made an image to this holy man. No matter how holy the man was, they wasn't to bow down to any form of image, no matter what the image is. The Gentile world was issued in by worshipping a holy image; it's going out in the same way; and you see the system building it today. So the Hebrew children would not bow to any image, and you find out that their investment paid off by saving their life.

126 Now, just a few moments. We find another fellow by the name... He's a commercial businessman, a businessman that had a commercial job. He--he was a fisherman. He was called Simon. And his brother was Andrew. His father was called Jonas. No, I beg your pardon. Yes, it was. I believe that is right.
And so we find out that this fisherman's brother had been attending a Baptist revival, John the baptizer. And he had, this baptizer, said, "I haven't got It, but It's coming."
It'd be a good thing if our organization, and me being a Baptist for a while, would do the same thing. Yeah. It's coming. If you... It'll have to come from above. It's a promise.
And one day this Baptist, or baptizer, announced, "There It is, right among you."
It so elated Andrew until he went and got his brother, the fisherman. He was so busy in his business, till one morning he might've attended a--a breakfast. I don't know what he attended; it was down by the shore. And when he did, he walked up into the Presence of the Speaker, and the Speaker said, "Your name is Simon, and you are the father--or Jonas is your father."

132 Right quick, that member of the Sanhedrin, that member of a great ecclesiastical body, that had read his Bible and knowed that the very man, Moses, that they'd been following, had told them that when Messiah come, He would be a Prophet. He listened to what the Word had to say, regardless of what the ecclesiastical system was he belonged to.
Could not we, today, listen to the same Man, Jesus Christ, Who told us what would happen here in the last days?
And as he come to this Man, and He told him who he was; not only he, but his godly old father that was gone; quickly he invested in this policy, Eternal Life, and become the bishop at Rome at the church. Nathanael, after...

135 There's a man there named Philip had seen that, and so elated him. He knew that was the Messiah, because He was a Prophet. They'd had all kinds of prophets, but it wasn't the right kind of prophet. When they seen this Prophet come, fully identified by the Word...
That's the way the church is a prophet today, ought to be fully identified by the Word of God, which is the Prophet. And if we organize ourselves and get groups, and separate from one another, seemingly not having the faith, how we going to take the Word? See, we can't do it. Come back to the Word, This is Eternal Life, "My Words are Life."

137 Now, notice what happened. We find Philip becoming so enthused, till he run around the mountain. If you'll measure it, or ever over there, it's about fifteen miles. Probably come back the next day, bringing a man, Nathanael; who had found his friend, that they'd had Bible study together. And he was under an olive tree, praying, because he owned a grove. And, quickly, he never had any time now to fool; he was also a holder of the policy and was wanting to show others. When you get this policy, there's something about it, you become a salesman right quick. And he never waited or talked about how his grove was getting along. He said, "Come, see Who we found, Jesus the Son of Joseph, Jesus of Nazareth."
Quickly this staunch Hebrew from the great Sanhedrin courts, from the synagogue, said, "Now, could there be anything good come out of Nazareth?"

139 See how God just humbles men, humiliates them? When they got theirself built up to something, God raises up some little something don't even know his abc's, and just humiliates the thing. See, that's the way God does it. Because God's still God, He takes nothing to make something out of it. What if He'd have come to Caiaphas and the high priests, and the clergy that was trained to take the ministry of that day when the Messiah come? They'd have had something to brag about.

140 And may I say it, not being rude; I hope I'm not understood that way. Could it not it happened again? So what we think, "We Methodists has got it; We Baptists has got it," and God might raise up a man that never come from any sort of a school, or some bunch of people that He could anoint with His Spirit, that don't even know their abc's. The Bible said that Peter was an ignorant and unlearned man. But what he had, they taken notice to it, because it was God living through him. "Such as I have, give I thee," (See?) to the lame man.

141 We find then in this great time, that this man said, "Well, now wait a minute, could there be any good thing come out of Nazareth?"
Now, he gave the man a real good answer, he said, "Come, see." Don't sit home and criticize, come find out for yourself. Don't tell or say what somebody else has said. Come, see for yourself.
On his road around the mountain, they might've talked about the time that--that they were went to buy some fish. He said, "You remember the old fisherman that could not sign his name to the receipt, the old fisherman?"
"Yes, I remember him. Simon."
"Well, when he walked right up into the Presence of--of this...

145 [Blank.spot.on.tape--Ed.]... holder of Eternal Life, why, He said to him, as He looked around there and He said, 'Your name is Simon, and you're the son of Jonas.'" See? And he said, "You know that we're taught by our leader that left this word, that in this last days, for us, 'there will come a Prophet,' the Lord will rise among us."
"Oh," he said, "I can hardly believe that. I'll have to go see."
And as soon as he walked up into the audience; not a critic... Now, I hope that's the same way you come this morning; not a critic, just come to see if it's right or not.
Walked into the audience, just stood there. And as soon as he did, watch this Source of Eternal Life, and the only Source; He turned and looked upon him, and He said, "Behold, there's an Israelite in whom there is no guile."
He Said, "Rabbi (so many words of this), when did You ever know me? I never seen You, and You've never seen me. How do You know anything about me?"
"Why," He said, "before Philip called you, when you were under the tree, I saw you." The day before and fifteen miles around the mountains.
What? He invested in a policy right away. He fell at His feet; this staunch man, a member of the church. What a difference between that and the rich young businessman. "Rabbi, You are the Son of God. You're the King of Israel." Quickly he--he took out a policy.

150 How about the little woman at the well? Them were Jews; let's go to the Samaritans.
And now we're at the Gentiles. The Jews and Samaritans was looking for a Messiah, not the Gentiles. We worshipped idols. Romans and Greeks, and whatever we are; we worshipped idols. But the Jews were looking for a Messiah, and so were the--the Samaritans, and we find out that the Messiah only reveals Hisself to those who are looking for Him. If you're here this morning, looking for Him, He will reveal Hisself. If you don't, He won't. "He's the same yesterday, today, and forever."
So the Samaritans was looking. And He had--was going to Jericho, but He had need to go by Samaria. And while setting at gate of a city Sychar, we find out that His disciples went in to buy vittles. And He was left alone.

153 And a--a little lady, a little woman, a woman of ill fame, she didn't have any money. She wasn't like the rich young ruler. So she come, only one thing that we know that she had, she had an old water-pot; and she set it down and was fixing to let the windle down into the well to get the water.
And she looked over to her side, in a little panoramic, and there set a Man, a Jew, looked to be, I guess... The Bible said, "You're not a Man over fifty." I suppose He looked fifty, but He was only thirty-something. And it wasn't customary for Jews and Samaritans to have any fellowship, because there was a segregation.
So He said, "Bring Me a drink," contacting her spirit.
And she said, "Well, it's not customary for you Jews to ask a woman of Samaria such."
But said, "If you knew Who you were talking to..." And then He caught her spirit, and He said, "Go get your husband and come here."
She said, "I have none."
He said, "You've said well, for you've had five, and the one you're living with now is not your husband."
That stopped her. What was it? She said, "Sir..."

158 Remember the Pharisees, a few days before that? Seeing Jesus show that Messiahic sign, that He was the Prophet that was supposed to come, and they said, "He's a spiritualist. He's Beelzebub, the prince of the devils, some kind of a fortuneteller." They had to answer to their congregation; the works had been done. They had to hold their own face before the congregation. The works had been done; they couldn't deny it. They said, "It's an evil spirit."
Jesus said, "I forgive you," the Lamb had not been slain. "But when the Holy Ghost is come to do the same thing, a word against It will never be forgiven." See, see? So here we find them in this condition.

160 And this little woman had nothing. She probably kept away from church; she'd seen so much in it. Because down in her heart was laid a seed, Eternal Life: "All that the Father has given Me will come to Me." And as soon as that Light flashed upon her, she didn't call It a devil. Look at the difference between that woman and the clergy. She said, "Sir, I perceive that Thou art a Prophet. We know that when Messiah cometh, that's the things He's to do. We're looking for a Messiah. We haven't had a prophet for hundreds of years. But our leader, Moses, told us that there'd raise up a Prophet in the last days, and He would be Messiah," which means the anointed One, anointed.

161 He was the Word. God is the Word, and was in Christ. And the Bible said that "the Word of God, the Word, is quicker, more powerful, and sharper than a two-edged sword (Hebrews 4), piercing to the sunder of the marrow of the bone, and a Discerner of the thoughts and intents that's in the heart." That's the reason He could look upon them and perceive what they were thinking about, because He was the Word. He was Life. He's still the Word, and He's still Life. And in you, He does the same thing. Now, we find...

162 [Someone speaks in the congregation--Ed.] Amen. Blessed be the Name of the Lord for His message on this.
Oh, that Life policy. Life, Life, the greatest thing there is is Life. And there's only one form of Eternal Life, and that's God.
Now, look at the little woman, as the prophecy just went forth, that she had a water-pot in her hand. But she also had one in her heart. She said, "I perceive that You are a prophet, and we know when Messiah cometh, He's going to--to do these things. That's what He'll do. That'll be His a vindicated sign. He'll be the Word, perceiving. And You read my very heart to me. Who are You?"
And Jesus said, "I am He."
Then this water-pot set still, but this one was filled up, and she took out a policy of Eternal Life. He said, "The waters that I give is Life Eternal, bubbling up, and springing up in the heart."

166 And then she could not keep still; she wanted her fellow-men also have the policy, and down through the city she went. Honestly, she had no rights to do that, she was a woman of ill fame. You men and missionaries here know that in the east that's still the... They wouldn't listen to her, but they... How they going to keep from it? She was full of Eternal Life. They had to listen to her. Like a house on fire, on a dry windy day, you couldn't stop it. Away she went. And not only that, if she had not been filled up, the men wouldn't have listened to her. But she had something positive that she knew about. And we find out, they said... "Come, see a Man Who's told me the things I've done. Isn't that the very Messiah?"
And they brought Him into the city. He never done it anymore, but the people believed the woman's testimony. And they were all believed on the Lord Jesus.

168 Quickly now, 'cause I--I'm sorry to hold you like this. But if you'd just give me... Just bear a few more moments. I got something here I want to say. Notice.

169 Nicodemus was a great man, and he was a religious man. He was a master, a ruler among his people, a renown man, something like Simeon, the priest, at the birth of the Lord Jesus: promised by the Holy Ghost to not see death until he saw the Lord's salvation; how he was led by the Spirit into the room to bless the Child.
How Anna the prophetess, blind over in the corner, never parted day and night; but the same moment, nobody told them, led by the Holy Spirit, that blind woman winding her way through the people, and stood by the side of Him, and blessed God for Him. If a woman that is physically blind, she was in a bad shape; but there's people in New York, this morning, that's blinder than that woman and can see out of both eyes. But she was led by the Spirit, a Spirit of Life led her to the fountain of Life.

172 Because you thirst for That, there's got to be a Fountain somewhere. David said, "The deep, when it calls to the Deep, there's got to be a Deep to respond to that call." In other words, before there was a fin on a fish's back, there had to be a water first for him to swim in, or he'd have never had that fin. Before there's a tree to grow on the earth, there had to be an earth first for it to grow in, or there'd have never been a tree. And you see what I'm trying to say, if there has to be... Because you're hungering this morning, because that people are thirsting, it shows there is a fountain of Life open somewhere (See?) for you to respond to That. There has to be a Deep first to respond to the deep that's calling (See?), or that call wouldn't be there.

173 That's the reason people are--go join church and just put their name on the book, instead of being borned again, taking out the policy of Life. Then they go right out and try to hush that holy calls, by smoking, drinking, and--and gambling, and running out, immorally. See they're... How dare you to try to hush that holy call of God, that God put in there to thirst after Him. You have no right.
I have the thing for you this morning; it's Life. That's what you want. It's Life.
And that's perverted life. That's death. That's the place the Bible said, "She that liveth in pleasure is dead while she's alive." See? So you can't live in worldly pleasure and have Eternal Life.

176 The policy is right, friends. So Nicodemus, he came to make an investment He came by night, but he found the bank's always open. So it might be late, but it's still open. It's open, He always, the bank is open to do business. And so he--he found Eternal Life by coming to Jesus.
Let's investigate just another person or two. Let's take Luke 24:49. The disciples had believed on the Lord Jesus. And now, it was time of the promise was drawing nigh. And so Jesus told His disciples, policyholders, that they were going to draw a dividend on this, but they must wait at the city of Jerusalem until He went to Headquarters and sent It back to them, till the check returned. He was going up; He had signed it in His Own Blood, and He was ascending up to send back their dividends, but to wait for their dividend.

178 Now, didn't say, "Wait five minutes, and be discouraged." If You've got faith in Who's talking to you, God talking to you, He said, "Stay until," how long? A week, ten days, five days, whatever it was "until you receive this remuneration, until the dividend. For, behold, I'll send the promise of My Father upon you. But wait at the city of Jerusalem until you receive It, until you're--you're endued with the dividends from on high, for your policy of believing on Me."
Oh, you Baptists, you Methodists, you Presbyterians. I don't want to get excited, but this is enough to make somebody excited. Why don't you wait there? You're a policyholder, but there's dividends on this.

180 Paul said, in Acts 19, to those Baptist people. I'm Baptist myself; I'm a Pentecostal Baptist. So they said, "Have you received the Holy Ghost since you believed?" Now, we're taught we receive the Holy Ghost when we believe, but he said, "Have you received the Holy Ghost since you believed?"
They said, "We know not there be any Holy Ghost."
He said, "Then to what was you baptized?"
They said, "We already been baptized."
He said, "That won't hold up anymore." And when they heard this... They was to believe on Jesus that was to come. And when they heard this, they were baptized in the Name of Jesus Christ. Paul laid his hands upon them, and the Holy Ghost came upon them; and they spoke in tongues and magnified God.

183 Paul said also over in another chapter; he said, "If--if a angel from heaven preaches any other gospel than this that you heard me preach, let him be accursed, whether he's a bishop, cardinal, whatever it might be." Yes. "If an angel from heaven (let alone a cardinal, or a bishop, or a preacher,) that preach any other than this policy of Eternal Life through Jesus Christ, let him be accursed."
You said, "Brother Branham, you're getting beside..."
I know right where I am. See? I'm not lost. I know right where I am. I may be excited, but as I said here the other night...
Someone said, "You are going crazy."
I said, "Well, just let me alone; I feel better this way than I did the other way, so I--I have Life."
Because it's Life. It's foolishness to the world, but to me it's grand. I'm saved, where I wasn't saved. I now have the--the resurrection of Christ in me. And there's many other here, brethren, who know that truth; you have it in you, the resurrection. Yes.

186 They went up, these policyholders, to draw dividend. Oh, my, ministering brethren, let's do that this morning, let's draw dividends now. "The promise," Peter said on the day of Pentecost, "the promise is unto you, and to your children, and to them that's far off, the Gentiles (Listen closely, brethren.), even as many as the Lord our God shall call." And He's sure to call every one who has their name on the Lamb's Book of Life. The dividends, it's for all. Yes. "For you, and your children, to them that's far off." And the interest on the policy was paid off on the day of Pentecost.

187 Now, the rich young Paul met the same One, for He remained the same after His death. He's still the same.
Saul of Tarsus, a well-scholared man, scholarly man; pardon me. And he--he was a fine man. He'd been taught by Gamaliel, the great Hebrew teacher. His parents were rich. Paul was kind of a rich man. He could speak in many languages. He had an education. His ambition was to be a--a lawyer, one of the lawyers, or a priest, or something in the--or a lawyer, rather, in his church. Smart, he knew the Word. He was rich, and he had his ambitions.

189 When he heard that bunch of carrying-on, noise, and screaming, and speaking with tongues, and, why, he thought, "That's ridiculous, to the society of Jerusalem. That ought to be stopped." So he got letters from the high priest. He--he went around making havoc of the church. So he went into the cardinal or the bishop, or whatever you want to call him, the high priest, and got a letter from him, placed it within his possession and went down to Damascus.

190 But, you see, the church seems to have all the authority, with the keys to the Kingdom, and everything, and they had chosen Matthias to take Judas' place. But look what a foolish choice man can make. There's not a thing he ever done. He might've been a good man. No doubt he was a good man. No doubt he was a humble servant of Christ. But, you see, that don't always spell God's choosing.
God chose a little critic of the church, a little Jew, the hook-nose, and enough temper to fight a buzz saw, and he would, he... There he was, on his road down. He's going down and arrest them holy-rollers. He'll put them in chains. He'll bind them. He's got authorities from his bishop. He's going to do it.

192 And about eleven o'clock one day, he was stricken down, with a paper in his hand. And he looked up, and he saw a Pillar of Fire. You know, he--he had to recognize That. Paul knowed better than to worship idols or evil spirits. But being a Jew, he knowed that that Pillar of Fire was the same Pillar of Fire that led His people out of Egypt, and here It was.
When Jesus was on earth, He said, "I came from God; I go to God." After His death, burial, and resurrection, and ascension; here He was back to God again, the Pillar of Fire.
And He said, "Saul, Saul, why persecutest thou Me? You got a paper in your hand. You're a great man. You come from a certain organization, the most staunch organization and--and honored organization in the country. You got a paper in your hand, but you're doing wrong. Why you persecuting Me?"

195 Watch this Jew say, "Lord." He knowed Who It was. There you are, the same Pillar of Fire that led Moses and talked. He had never had the opportunity of ever seeing Jesus, so he said, "Lord, Who are You that I'm persecuting?"
And He said, "I'm Jesus."
And there on his back, you know, he--he tore up the paper, and he said, "What can I do?"
He said, "I got a prophet down there, and his name is Ananias. Now, you go down the street called Straight; he'll tell you what to do."
So the Lord spoke to Ananias. And come up, said, "Brother Saul, the Lord Jesus that appeared to you in the way and wanted you to take out this policy, I come to deliver it to you, by laying my hands upon you." He was a changed man. Watch the difference. What the... See?

199 After Paul had seen the clear vindication, that this wasn't no other person but the same Person. God and Christ was the same Person. It wasn't some foolishness, because He saw that the Word was the Pillar of Fire, had been made flesh to redeem; and here it was back, the Pillar of Fire again, that God and Christ was the same Person. And here He is, and back as the Holy Spirit, now called, because He'd been upon a man. He saw It clearly identified, and--and been a-vindicated. "Lord, what will You have me to do? What must I do?" Now, remember, that was a religious man and a businessman. "What will You have me to do?"
What a difference there was between the young businessman, rich, and this other young fellow, Saul. One, the price was too great.
"Well," you say, "Paul didn't have nothing to give up?"

201 He had his church, his brethren. He was a fugitive from the church after that. He had to run. And finally his own church took his life; they killed him. And we find out, persecuted from city to city, and was stoned, almost dead once, and so forth: his own brethren. And he said, "I would become a curse for them." He didn't despise them. When he received the Holy Spirit, he loved them. He wanted to save them. Don't isolate yourself; go to them kind. Paul would be made a curse himself; because it was the Spirit of Christ that was in him, that was cursed and hang on a tree for His Own.
And we find out what a difference between this young man, the rich ruler, the businessman, and Paul.

203 Paul had to give up his education, all of his theology that he had learned through years and years of research and teaching. He had to forget it all. He told the Corinthians, "I never come to you with smart, high words of wisdom, that your faith might be in the wisdom of men. But I come to you through the power and the demonstration of the Holy Ghost."
That's the thing we need today, friend. That's the policy I'm talking about. Not some join church, or put your hand on; nothing against it; that's all right. But this is another hour, that's all I'm trying to sell you. To join some church... I'm trying to tell you that there is a policy and a fountain that's open for sin and uncleanliness. What is sin? Unbelief. Unbelief in what? The Word. "He that believeth not is condemned already." Right.

205 Notice what a rashal decision. He's like many people of today of popular opinion, this young man was. He went away. Instead of taking it seriously, he lost his policy. Now, we're closing.
Did he... Then bad luck turn on him? No. Good luck turned to him. We find him, the next place; he had so much money till he had to rebuild his barns. And he even said, "Soul, take thy rest."
Now, we find out in there, he wasn't no bad fellow. When they had a bazaar or a church party, or something, the poor in spirit laid at the gate, that was a policyholder that he had turned down; he swept him a few crumbs, and give him some missionary offering, or something. He wasn't no bad fellow. See, he swept off the crumbs to them that were persecuted. He said, "Oh, I attended one of their meetings; I guess it's all right. There's really nothing I can say against them people." Sweep off a few crumbs, but that didn't work. Finally his payoff came.

208 And remember, friend, the payoff's coming to me and to you. It's coming to all of us. I want you to think real seriously now in closing.
His payoff came, certainly. He had a great funeral service, no doubt some well-trained clergymen come and spoke. No matter, I guess, he had the Christian Business Men for pallbearers. And he had the celebrity of the country out, and maybe a government official that they half-mast the flag for him. All the dignitaries was there. And the pastor, no doubt, or the man, priest, whatever preached his funeral, preached a--such a--a sermon that would touch the people with how great this man was, "Even to the poor in the street, he gave. Oh, our brother's in heaven today."
But Jesus said he lifted up his eyes in hell, and saw the policyholder of Eternal Life, far off in the bosoms of Abraham, that had took the way with the Lord's despised few.

211 As Jesus said, "Blessed are ye when men shall persecute you," in the 5th chapter of Matthew, "say all manner of evil against you falsely, for My Name's sake. Blessed are the poor in Spirit, for theirs is the Kingdom. Blessed are the meek, they shall inherit the earth. And you're the policyholder of Eternal Life."
Yet he remained a member of the church. See? Now, notice. You say, "Did he?" Yes. "How can you prove that, preacher?"
Here it is. He said, "Father Abraham... Father Abraham, I pray thee to send that policyholder down here with just a little water. These flames are tormenting."

214 Watch Abraham, "Son..." a professed Christian, professed believer, as we would call it (See?) "you had your opportunity. You was offered the opportunity of the policy of Eternal Life, which would give you the assurance of coming here, but you--you turned it away. You wouldn't take it. And now this man, poor, yet he accepted it. Now, he's comforted, and now you are the beggar."
Oh, don't let this happen to you, friends. Don't--don't--don't make that same mis... [Blank.spot.on.tape--Ed.]... way the assurance can come is by Christ, the assurance that you're saved, that you're a policyholder. Now, if you haven't got that, why not take it?

216 You might think, well, as this young fellow said this morning, "I--I walked into the places and they all... I was a great businessman, and bowed, and things like that." Don't look at that.
A young player just recently took a trip to Russia. He was a singer. And he certainly made a--a great hit with the Russians. And so all the people were clapping and going on like that, when the young man had played his music. And they were so elated, they stomped their feet and clapped, but the young man never paid any attention to all the applauding. And so they wondered why. So again they thought, "Maybe he doesn't understand," so they all clapped their hands again real loud and applauded him. They... He had done a wonderful work. But they noticed, he--he... Again he didn't notice their applauding. And they noticed he kept his eyes up in the balcony all the time; come to find out the master that had trained him... He wasn't caring what the people said; he was looking what the master had to say about it.
And I think today, friends, instead of sticking our chest out and say, "We belong to church." Let's take a look up and see what the Master says about it. See?

219 Let's bow our heads just a moment. [Tongues and interpretation are given--Ed.] In Jesus' Name... The Lord bless...?... Amen.
With our heads bowed now, our hearts bowed, just give place, just a moment or two. I wonder this morning, with all sincerity now, without any disturbance, think just a moment. Have you got this great blessing? Do you hold this policy of Life, the witness of the Holy Spirit that your life has turned in to Christ, and Christ is in you?
As I said in the message; if Beethoven was in you, you'd do the works of Beethoven, you'd live the life of Beethoven. You couldn't do nothing else. You could do nothing else but compose songs. And you'd be the great writer, Beethoven, 'cause he's in you. That's who you would be. You would be a reincarnate Beethoven.
And if Christ is in you, the Life of Christ you will be, the lover of the Word. Nothing can stand and take the place of the Word, 'cause He is the Word. He can't deny His Own Word and remain God.

223 And you have not received Christ in your heart. You belong to church. Now, certainly, I have nothing against church, and against the great institutions, and organizations, and the systems, but I'm trying to say that isn't the answer. It's been proven it isn't the answer. Christ is the Answer, the Person Christ. And if you have not received Him into your life, this morning, and you would like for us to remember you in prayer, I wonder if you would just humbly. We have no place for an altar call. But, you know, if you... I believe if you'd just stand up, you know, and say, "Pray for me," just as you stand up, and I'll offer prayer. If you believe that God will hear my prayer, I--I--and you are sincere in that, I believe that He will hear it.

224 And you in the halls, and crowded around the doors, and things, no matter where you're at, in the balconies, on the steps, if you'll just say, "I want Christ to remember me now, that I want His Life in mine. I'm sure by my action; I--I'm sure by the way I think and the things I do, that I want to be like that, but I haven't yet come to that place. I--I really want this policy, Brother Branham. Truly, I want it. And you--you ask Him if I can have it. I'm ready to receive it."
Would you just stand to your feet, and so I can pray with you? Just... And God bless you, God bless you. That's right. That's right, just remain standing just a moment. Just remain; stand up. You say, "I'm--I'm interested, Brother Branham. I--I've got a soul, and I--I've got to leave. I may leave yet today, and what is it going to do me any good if I am not filled with that Life?" 'Cause remember, any other life has to perish; it had a beginning.

226 You say, "Well, I been a member of a certain church for years." That's very good. I appreciate that. But that's not what I'm talking about right now.
Are you a holder of Eternal Life? Would you just stand, up in the balconies, around the front, and the right and left? God bless you. Stand up.
You that's already standing in the halls, if you'd just raise up your hands, so some identification, something that you can do, to throw yourself into a motion, "I've accepted it myself, that morning." God bless you. All right.
And around on the stairs and wherever you are, just raise your hand and say, "Remember me, Brother Branham. I--I'm... I truly want Eternal Life."

230 Now, think real close. This--this might be the time that it'll all be settled. I'll--I'll be sincere, friends, this is Life to me. And I--I--I know that it's right. It's right.
Would there be some more? Just seems like there was more than that held their hands awhile ago. Now, if you're not sure, would you just do that much, just stand up on your feet, and say, "Remember me in your prayer, Brother Branham, as you're praying." All right. How many more? Stand right up on your feet, no matter who you are, just stand up and say, "Pray for me, brother." God bless you. I see you through the balconies and around. Now, you sure that's all? God bless you. Another group raised up. Would there be some more now? Just raise to your feet. Say...

232 Now, I know we're late, and the Holy Spirit interrupted us a few times. Well, that's wonderful; we like for the Holy Spirit to do that (See?) as long as He is bringing His Word. That shows it's not only my word, but It's His too. All right.
Now, let's raise up (See?) everybody that hasn't been filled with the Holy Spirit, that you know there's no evidence in your life that you're filled with the Holy Spirit, and you want This.

234 Now, you might be a fine, loyal member of a church. And that, oh, how I appreciate that, certainly. You just continue right on in your church. That's right. Because the sleeping virgins is coming up now; you see that. And remember, Jesus said, when the sleeping virgin, the one that tried to live a good life within theirself, they was a virgin, but they didn't have any Oil. Oil symbolizes the Spirit. That's why we anoint in oil. See? The oil symbolizes the Spirit. They were good people, fine people, members of fine Methodist, Baptist, Lutheran, all kinds of churches, but they had no Oil.
And they come in the last watch, the seventh church age, to buy Oil. And while they were in process of buying Oil, what happened? The Bridegroom came. Now, that was just read in the Scripture awhile ago, by this notable minister here. And don't you see, was there ever a time down through the age, you Pentecostals? Down through the age, it's never been a time that the Methodist, Baptist, and Presbyterian has cried out for the Holy Spirit like they're doing now. See? And when they do, what is that? He come right then. That was the hour of His coming. And right while they, all of these brethren and churches are hungering, it's got... This virgin rises, you know, in the last day in the judgment, the white throne; but not the Bride.

236 Now, if you have no Oil in your lamp, while the doors of mercy, I trust, is still open, won't you rise, and say, "Remember me, Brother Branham." In doing that, it'll symbolize to God, "I'll... My Oil is--is not in my lamp, Brother Branham; I--I believe in Christ. Certainly, I do. I've been a member for a long time. But really to say my life is filled with that lovely Holy Spirit, and everything's different, and I'm a new creature, I'm not that way, Brother Branham. You pray for me." God bless you now. There's many, many standing, in the balconies and everywhere.

237 Now, I want you ministering brethren here, my--my precious brethren, to pray with me now as we pray, each one of you.
How did you stand up while you stood? See, you are a life. Something's in you. If there was no life, you could not stand up. And according to science (See?) gravitation would hold you down. But a--a spirit within you made a decision by the witness of another Spirit, a Life that says, "You need Me," and you stood up. You defied the laws of nature by standing up as a witness. Jesus said, "He that will witness Me, in otherwise, before men, him will I witness before My Father and the holy Angels." Now, you're needing the Holy Ghost.

239 Now, if some of you people are standing near these people that's standing, that you have the baptism of the Holy Spirit, would you... I can't reach them all; we haven't the time. On the balconies, in everywhere, would you just raise over and put your hands on them (See?) in a memorial.
You know, they... When Philip went down to preach to the Samaritans, they had not received the Holy Ghost as yet. See? Only Philip had baptized them in the Name of Jesus Christ, but the Holy Ghost had not come upon them. And Peter and Philip went down, or Peter and John went down and preached, and laid hands upon them, and the Holy Ghost came on them.

241 Now, you believers that's received the Holy Ghost, look who's standing up, all around you, then lay your hands over on them as a commemoration that you are a believer; touch their hand or something while we pray. Don't doubt. Believe now. It's not an emotion; it's the sweetness of the Holy Ghost that comes down and fills every life. Now, they're in your hands. You've made a contact with them. Just like when you put your hands...
The Jew put his hand upon the sacrifice to connect himself with the sacrifice... One day you laid your hands upon Jesus and connected yourself with the Sacrifice. The Life of the Sacrifice has come back on you. Which I may be speaking tonight at the church, "the Token," and it's upon you now.
And you've connected yourself with this man or woman who wants to believe. Just stand right up now and lay your hands on those who wish to receive It. That's right. God bless you. What a wonderful time. Now, don't doubt. Don't be in no hurry. Just remember, pray for this person.
And you pray too, say, "Lord Jesus, my poor heart's a hungering. I--I want You in my heart. I want you in my life. Fill me, Lord. I'm here, ready."

245 Our heavenly Father, as many are on their feet, they signify by this that they want Life. And Life comes only through obedience to Christ. He is Life. He has the condition that we must meet. And by meeting this condition... As we think of Abraham, he believed God, and it was imputed unto him for righteousness. And after it was imputed unto him for righteousness, God give him the seal of circumcision as a confirmation that He had received his faith. Many of these people profess to have faith, but they haven't been sealed yet by the Holy Ghost. And now, they're standing, Lord, as a commemoration that they do believe. Now, seal them, Lord, with the Holy Ghost. May It fall upon them and seal every heart here just now. May the Holy Ghost fall in this ballroom just at this time.
And, Satan, you get out of their life, turn them loose.
And may the power of the resurrected Jesus Christ come upon these people just now, and may they be filled with the power and resurrection of Jesus Christ. Amen.

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