Les Signes scripturaires du temps

Date: 64-0410 | La durée est de: 1 hour and 18 minutes | La traduction: Shp
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1 Et ça va prendre environ trente ou trente-cinq minutes. Pouvons-nous nous lever alors que nous prenons Saint Matthieu 12, chapitre 12 de Saint Matthieu, à partir du verset 38, avec nos coeurs inclinés avec respect. Alors quelques-uns des scribes et des pharisiens prirent la parole, et dirent : Maître, nous voudrions te voir faire un miracle. Il leur répondit : Une génération méchante et adultère demande un miracle ; il ne lui sera donné d’autre miracle que celui du prophète Jonas. Car, de même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre d’un grand poisson, de même le Fils de l’homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre. …hommes de Ninive se lèveront, au jour du jugement, avec cette génératio… la condamneront, parce qu’ils se repentirent à la prédication de Jonas; et voici, il y a ici plus que Jonas. La reine du Midi se lèvera, au jour du jugement, avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et voici, il y a ici plus que Salomon. …voici, il y a ici plus que Salomon. Prions.

2 Seigneur, « Voici » signifie « regardez, prêtez attention. » Puissions-nous ce soir nous rappeler ces paroles, qu’il y a ici plus que tous, le Seigneur Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Nous demandons cette bénédiction, qu’Il prenne ces paroles et les oigne dans les coeurs des gens, de sorte qu’ils puissent avoir la foi, qu’ensuite Il se manifeste vivant comme Il l’a promis. « Voici, Je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde », ou la consommation. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

3 Nous allons juste parler pendant quelques instants sur Les Signes scripturaires du temps. Eh bien, ici, Jésus réprimandait cette génération pour n’avoir pas cru Son signe scripturaire. Observez ces pharisiens. Ils sont venus auprès de Lui et ont dit : « Maître, nous Te demandons un signe. » Regardez leur aveuglement. Un signe avait déjà été accompli, mais ils ne l’avaient pas reconnu.
Vous savez, je crois qu’un jour l’Enlèvement aura eu lieu, mais les gens n’en sauront rien. Jésus a dit dans Saint Matthieu, chapitre 11, quand Jean était venu à... ou plutôt les disciples de Jésus étaient allés voir Jean et, à leur retour, Jésus leur a demandé : « Qu’êtes-vous allés voir ? Un roseau agité par le vent ou un homme vêtu d’habits précieux ? Ou êtes-vous allés voir un prophète ? » Il a dit : « Oui, vous dis-Je, un prophète. Or, si vous pouvez le recevoir, eh bien, c’est celui qui a été annoncé par le–le prophète, disant : ‘J’enverrai Mon messager devant Ma face.’ »

4 Un jour, les disciples Lui ont posé la question, ils ont dit, alors qu’Il disait qu’Il était le Fils de l’homme, il a dit : « Pourquoi donc les scribes disent-ils qu’Elie doit venir premièrement ? » Eh bien, suivez. Dans Malachie chapitre 3, il est dit : « J’enverrai Mon messager devant Ma face. » Jésus s’est référé à cette Ecriture.
Là, ce n’est pas Malachie 4, c’est un autre temps, voyez ? Malachie 3, c’était un temps où : « J’envoie Mon messager devant Ma face. » Malachie 4, après Sa Venue, la terre va alors être brûlée et les justes fouleront aux pieds les cendres pendant le Millénium. Or, nous n’avons point fait cela, après la venue de Jean. Mais ça se fera après la venue du messager du dernier jour, qui ramènera les coeurs des gens à l’Evangile originel, à la foi des pères primitifs, le genre qu’on avait au... dans la nouvelle église, à Jérusalem. Et cela sera restauré dans les derniers jours par le… Ça sera dans un groupe minoritaire, mais ça sera exactement le même genre de personnage qu’Elie et Jean. Tous les deux aimaient la nature, détestaient les femmes, et aussi... et ils martelaient les dénominations. Ce sera exactement le même genre de personne, et ils auront la vérité, une vérité confirmée et identifiée. C’est ce qui est promis.

5 Eh bien, nous savons que Jésus s’est retourné et a dit : « Elie est déjà venu et vous n’avez pas reconnu cela. » Eh bien, ne serait-ce pas très triste qu’un de ces jours, nous retrouvions l’église pendant la période de tribulation ?
Eh bien, je ne suis pas ici pour prêcher la doctrine. Ce n’est pas ça. J’ai du respect pour mes frères. Mais, si vous me le permettez, laissez-moi juste insérer ceci, juste un instant. Je… pour moi personnellement, je crois certainement que l’église passera par la période de tribulation, mais pas l’Epouse. L’Epouse rentrera à la Maison. Voyez, Dieu fait sortir une Epouse d’une église, comme Il avait fait sortir une nation d’une nation, de l’Egypte. Voyez ? L’Epouse…
C’est le reste de la Semence de la femme. L’Elu, là, c’est l’affaire de Dieu, là où Il place le patron. Mais le reste, c’est ce qui est découpé en dehors du patron. La semence de la femme va dans les ténèbres de dehors. Exact. Mais pas–pas l’Eglise élue. Elle est–Elle est déjà jugée et purifiée, parce qu’Elle est en Christ. Elle n’aura pas à passer par autre chose. Les autres auront à passer par le jugement, parce qu’ils n’y étaient pas.

6 Eh bien, l’un de ces jours, cette petite minorité… « Ce qui arriva du temps de Noé (où huit âmes furent sauvées par l’eau), arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme ; du temps de Lot (où trois âmes furent sauvées du feu), arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme. » Les gens attendent un très grand événement universel, alors que cela ne figure même pas dans les Ecritures. Voyez ?
L’un de ces jours, ils diront : « Eh bien, je pensais que la Bible avait dit que l’église échapperait à tout ceci. » C’est l’Epouse qui y échappe. Et pensez-y bien. Après Noé (ce qui arriva du temps de Noé)… Noé entra dans l’arche et la porte fut fermée. Il y entra le 17 mai, et la porte fut fermée, et la pluie ne tomba point pendant sept jours après qu’il s’était trouvé dans l’arche. Et ils n’ont pas reconnu cela. Dieu ferma la porte.

7 Et, un jour, la porte de la miséricorde sera fermée et les gens continueront bien à penser qu’ils sont sauvés, ils continueront à prêcher et tout, alors que la miséricorde aura été rejetée pour la dernière fois sans qu’ils le sachent, jusqu’à ce qu’ils s’en aperçoivent. Rappelez-vous des centaines de gens qui disparaissent à travers le monde chaque jour et nous ne pouvons pas les retrouver ni nous en rendre compte. « Il y en aura dans un champ, J’en prendrai un. Un dans le... de deux qui seront dans un lit, J’en prendrai un. » C’est universel, il n’y en aura absolument pas beaucoup qui vont échapper, l’Epouse enlevée.
Rappelez-vous les signes. Israël s’est toujours confié à ses signes plutôt qu’à des discours intellectuels. Ils étaient censés… Dieu leur envoyait des prophètes. Les prophètes donnent des signes. Et les signes… Chaque fois qu’il y a un signe, un signe scripturaire, il doit y avoir une voix scripturaire qui suit ce signe scripturaire-là. Et le tout doit être une promesse scripturaire.
Voyez donc, vous tombez dans l’ornière comme Luther avec la justification. C’est ce qu’il savait, c’est tout. Ils en étaient satisfaits et ils sont allés jusqu’au bout de leur doctrine. Voici venir Wesley avec la sanctification : Il est du coup allé au-delà de ça. Puis, il s’est organisé. La Pentecôte a suivi avec la restauration des dons, et ils se sont organisés. Et Dieu continue bien d’avancer, tout droit, tout le temps (Voyez ?) pour chaque jour, chaque âge de l’église.

8 Ce soir, nous avons là une photo extraordinaire d’il y a trois ans; elle va être insérée dans ce livre-là. Oh ! comme le Seigneur m’a permis de dessiner cela au tableau noir pour montrer exactement comment les âges de l’église ont régressé et quand, comment elles ont connu des hauts et des bas. Et aussitôt cela terminé, ce glorieux Ange du Seigneur, cette Lumière, devant pratiquement autant de gens qu’il y en a assis ici, Il est directement allé au mur, s’est tenu là (Et les gens se sont évanouis), Il a aussitôt dessiné cela Lui-même au mur. Trois ans plus tard, la lune s’est assombrie, il y eut éclipse, juste la veille du voyage du pape, du premier pape à Rome. Et quand l’église et le conseil oecuménique étaient prêts… Oh ! frère, soeur, ne me laissez pas aborder cela. Nous sommes ici même à la fin, chaque signe, tout est bien là.

9 Dieu donne des signes, des signes scripturaires, des signes scripturaires ayant une voix. Rappelez-vous quand Moïse… Pourquoi donne-t-on un signe ? C’est pour attirer l’attention. Un signe, c’est pour attirer l’attention. Alors, si un signe n’a pas de voix, ce n’est donc pas un vrai signe. Et si un signe produit la même vieille voix ecclésiastique, ce signe-là ne vient pas de Dieu. Si cette voix ne produit pas un changement… Et ce changement doit être un signe scripturaire, doit être une voix scripturaire.
Disons, par exemple, qu’une voix dénominationnelle suive un certain signe. C’est que Dieu n’a jamais envoyé cela. Nous avons eu des dénominations toutes ces années. Ça doit être quelque chose de différent. Ça doit être AINSI DIT LE SEIGNEUR, selon les Ecritures. Dieu doit promettre cela dans la Parole. Et alors, un signe, c’est pour attirer l’attention des gens sur cela. Et puis, la voix suit le signe. Ça, c’est la doctrine qui accompagne cela.

10 Jésus était un Homme bien considéré : C’était le jeune Rabbi, le Prophète de Galilée. Il… Tant qu’Il guérissait les malades et autres, Il était un Grand Homme. Mais, un jour, Il s’est assis là, Il s’est mis à parler, disant : « Mon Père et Moi, nous sommes Un. » C’était là la voix qui suivait cela. Oh !non! Ils n’en voulaient pas. Ils étaient disposés pour le signe, mais la voix, ils n’en voulaient pas. « Quand vous verrez le Fils de l’homme monter d’où Il est venu…. » Ils ne pouvaient pas du tout comprendre cela. Voyez ? Mais quand la voix a commencé à suivre le signe, ils ne voulaient rien avoir à faire avec cela. Chaque fois, c’est un signe et une voix.

11 La raison pour laquelle Moïse a ôté ses souliers, c’est que le signe avait attiré son attention. Il a regardé là, il a vu cet–cet arbre en feu. Or, il était un chimiste. Il était un grand homme de science. Il avait été enseigné dans toute la sagesse des Egyptiens. Et ils faisaient des choses que nous ne pouvons pas faire aujourd’hui dans le domaine de la science : ils avaient construit une pyramide, un sphinx, ils avaient un liquide pour embaumer que nous n’avons pas, un colorant que nous n’avons pas. C’était une civilisation plus avancée et plus instruite que celle que nous avons aujourd’hui.
Et Moïse était leur maître. Et quand il a vu cet arbre enflammé sans se consumer, sans doute qu’il s’est dit : « Oh ! la la ! » Peut-être qu’il s’est dit dans son coeur  : « Je vais aller cueillir quelques-unes de ces feuilles et les amener au laboratoire pour voir quel produit chimique y a été aspergé. » S’il avait fait cela, la Voix ne lui aurait jamais parlé.

12 Vous ne pouvez pas comprendre Dieu. Il vous faut vous asseoir à Ses côtés et en parler. Ôtez vos souliers, pour ainsi dire. Déposez votre instruction par terre, regardez droit dans Sa Parole et dites : « Peu m’importe ce que quelqu’un d’autre dit, Tu as promis cela ici pour ce jour-ci, et c’est la vérité. »
Moïse a ôté ses souliers. Ecoutez la voix qui a suivi cela. Si ce n’était pas une voix scripturaire, Moïse ne l’aurait pas crue. Le signe a attiré l’attention. Et le signe, c’était pour attirer l’attention du prophète.
Un prophète est lui-même un signe. Chaque fois que Dieu envoie un prophète, faites attention ; le jugement suit cela. Ça a toujours été le cas, ça le sera toujours. Il n’y a pas d’échappatoire. Et cela–cela passe juste par-dessus la tête des gens et ils ne reconnaissent jamais cela, jusqu’à ce qu’il soit trop tard. Il n’est pas étonnant que Jésus ait dit : « Vous construisez les tombes des prophètes, vous les blanchissez, et c’est vous qui les y avez mis. Et ce que vos pères ont fait, vous le faites aussi. » Et c’est ce qu’ils ont fait.

13 Eh bien, nous voyons venir sur la scène maintenant, nous voyons Moïse se lever ici, il a vu ce buisson, il s’en est approché. Et une voix s’est fait entendre de là, disant : « Ôte tes souliers, car la terre sur laquelle tu te tiens est une terre sainte. » Il a ôté ses souliers et s’est agenouillé.
Et Il a dit : « Je suis le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob. » Voilà retentir une voix scripturaire. «Je me souviens de Ma promesse et Je vois la souffrance de Mon peuple. Je me souviens de Ma promesse et Je t’envoie là pour l’accomplir. Et Je fais de toi, comme qui dirait, Ma voix et Je te donnerai deux signes. L’un d’eux sera dans ta main. Tu tiendras un serpent et il se transformera en… ou plutôt une perche qui se transformera en serpent. » Et – et la chose suivante, c’est qu’il devait placer la main dans son sein : la guérison divine.
Il a dit : « S’ils ne croient pas la voix du premier signe, alors ils croiront la voix du deuxième signe. Et s’ils ne la croient pas, prends de l’eau de la rivière, répands-la sur la terre, et ça deviendra du sang. »
Et cela veut dire que c’est de leur sang que la terre est déjà trempée. C’en est fini pour l’Egypte. Nous avons eu le premier et nous avons le deuxième. Je me demande si le prochain n’est pas le fait de tremper du sang. Je me demande où nous nous tenons ce soir. Des voix et des signes, Dieu leur donnant des signes… Non. Pensez juste–juste aux choses que nous avons vues être accomplies, aux voix scripturaires, à l’interprétation.

14 Eh bien, dans cette grande lueur où les gens se trouvent, leurs yeux sont éblouis. « Je suis membre de ceci, je suis membre de cela. » Cela n’a rien à faire avec Dieu, pas plus que rien d’autre, pas du tout. Dans chaque génération, Dieu a envoyé Ses signes. Jésus a dit qu’avant Sa Venue, Il accomplirait des signes, avant Sa Venue. Les gens sont toujours… Rappelez-vous, pour croire que des signes sont scripturaires, ceux-ci doivent être identifiés comme signes scripturaires. Chaque fois, Dieu… Comme je l’ai dit hier soir, l’église embrouille des choses et va à la dérive. Alors, Dieu oint une seule personne. Chaque homme est différent de l’autre. Il oint un seul. Dieu est une seule Personne. Et–et ainsi, Il oint une personne. Il n’a jamais utilisé un groupe. Il utilise toujours une seule personne, c’est ce qu’Il a toujours fait. Il ne change jamais Sa ligne de conduite. Il utilise une seule personne. Et Il l’envoie, celle-ci prêche le Message. Cela est carrément rejeté. Mais tous ceux qui viendront proviendront de cette génération-là. La première veille, la deuxième, la troisième, la quatrième, la cinquième, la sixième et ensuite la septième, et alors, l’Epoux vient. Et nous sommes dans la septième.

15 Et nous voyons ces églises dénominationnelles se hâter. Et l’autre soir, j’avais honte de ces… de vous, les Hommes d’Affaires Chrétiens, pour avoir mentionné dans ce livre-là, le livre des Hommes d’Affaires : « Saint Père Untel. » Ne savez-vous pas, vous, les pentecôtistes, que nous ne sommes pas censés appeler un quelconque homme « père » sur cette terre ? Cela montre le genre de lueur qui vous a aveuglé les yeux. Oui. Et ne savez-vous pas, ces gens-là… La–la Bible dit que quand le... quand ce reste, cette vierge endormie, alla acheter de l’huile, elle n’en trouva pas. Il se peut qu’elle ait dansé en esprit, parlé en langues. Mais j’ai vu des démons faire de même. Cela n’a rien à faire avec la chose. Je parle du Saint-Esprit, le Saint-Esprit biblique.

16 Je les ai vus faire des histoires dans des champs missionnaires, chez les païens. J’ai fait sept fois le tour du monde, et chez toutes–toutes sortes de païens, avec des centaines de milliers, cent cinquante personnes, et... ou plutôt cinquante mille personnes réunies à la fois. Et on voit comment ces sorciers et tout vous défient sur ce point. Vous feriez mieux de savoir de quoi vous parlez. Vous feriez mieux de ne pas avoir juste un discours intellectuel. Vous feriez mieux d’être capable, par Dieu, de soutenir ce dont vous parlez, sinon, n’allez pas dans ce champ missionnaire-là. Ils vont vous embarrasser. Mais, rappelez-vous, notre Dieu est toujours le Dieu d’Elie. Il est toujours le Dieu qu’Il a toujours été. Il est toujours le même Dieu. Il agit de la même façon, en cycle. Il fait la même chose. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Je les ai vus se tenir là abasourdis, paralysés et être emportés loin du champ de travail. Dieu reste toujours Dieu.

17 Remarquez bien. Eh bien, Jésus nous a dit que ces choses arriveraient dans les derniers jours, et nous les voyons bien exactement, les signes de Sa Venue. Tout… Nous serons tous d’accord sur le fait que nous sommes à la fin du monde. Mais quand cela est donné, quand on en arrive à l’église et aux choses qu’Il est en train de faire pour l’Eglise, le Corps, l’Epouse, dans les derniers jours, alors nous levons le nez et nous nous éloignons. Voyez, c’est juste… Il doit en être ainsi. Le monde lève le nez devant cela. Ils cherchent à ignorer cela.

18 Regardez cette émission à la télévision pour… Beaucoup de pentecôtistes restent à la maison le mercredi soir pour suivre Nous aimons Suzy, (c’est) une scène immorale d’une femme mariée quatre ou cinq fois, ou d’un homme. Et ils aiment cela plus que vous, vous aimez votre Christ.
Il n’est pas étonnant que nous ne puissions pas avoir de réveil. Il n’est pas étonnant que cela n’existe pas. Quand l’amour du monde dépasse l’amour de Dieu dans votre coeur… Oh! nous pouvons nous avancer et prendre une décision, inscrire notre nom dans un registre, sortir et vivre avec le monde ; c’est ce que le monde veut. C’est ce que l’église veut. On veut garder sa confession, croire qu’on est chrétien et mener n’importe quel genre de vie qu’on veut. Ne vous en faites pas. C’est ce que vous irez faire au conseil oecuménique. Ils vous laisseront faire tout ce que vous voulez.

19 Mais, rappelez-vous, l’Epouse sera une…appelée à sortir, séparée, différente, remplie, née du Saint-Esprit, lavée dans le Sang de l’Agneau ; Elle s’abstiendra de toute souillure près de son Mari. Elle est une vierge chaste, pure par la Parole. La Parole et Elle sont la même Chose comme un homme et sa femme deviennent un par l’union. C’est pareil pour la véritable et authentique Eglise de Dieu. Quand Elle entrera en Christ, la Bible sera ponctuée d’un amen pour chaque promesse.
Ce que dit la dénomination ne change rien. L’âme du croyant ponctue cela, parce que c’est la Parole en lui qui s’exprime. La Parole est plus tranchante qu’une épée à double tranchant, Elle discerne les pensées et les intentions du coeur. C’est ce que dit la Bible. C’est ainsi qu’Elle est confirmée et reconnue.
Remarquez bien, mon frère. Remarquez. C’est vraiment dommage que nous ne voyions pas ces choses. Jésus en a parlé. Il était leur Signe scripturaire, mais ils ne L’ont pas reconnu. Il était exactement le Signe scripturaire. Il leur a dit qu’Il l’était. Il a dit : « Vous sondez les Ecritures, parce que vous pensez avoir en Elles la Vie Eternelle, et ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi. Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, ne croyez pas cela. »

20 Tout le monde a sa propre interprétation. Chaque dénomination a ces séminaires, elle éclot de la couveuse toute une bande de prédicateurs. J’ai toujours eu pitié pour des poulets de couveuse. Ils n’ont pas de mère. Peu importe combien ils gazouillent, ils n’ont pas reçu les soins d’une mère. C’est ainsi que ces machines produisent ces ecclésiastiques; parfois, ils ne connaissent pas plus au sujet de Dieu qu’un Hottentot n’en sait au sujet d’un chevalier égyptien, ou qu’un lapin n’en sait au sujet de porter des raquettes de neige.
Ce qu’il nous faut, c’est un prédicateur expérimenté qui a été derrière le désert, qui est resté à cet endroit sous Dieu, jusqu’à ce que la Colonne de Feu descendît devant lui comme ce fut le cas pour Moïse. Alors, personne ne peut le lui arracher. Il était là, quand cela est arrivé. Eh bien, c’est vrai. Retournez à Dieu, et retournez à Sa Bible.

21 Jésus a dit : « Si vous M’aviez connu, vous auriez connu Mon jour. » Tout le monde a sa propre interprétation. Les méthodistes ont la leur. Les baptistes, les presbytériens, les pentecôtistes, tous les autres ont la leur. Mais la Bible dit que la Parole de Dieu ne fait pas l’objet d’une interprétation particulière. Quelle En est alors l’interprétation ? C’est Lui qui donne Sa propre interprétation.
Il a dit : « Que la lumière soit », et la lumière fut. Cela n’a besoin d’aucune interprétation. Il a dit : « Une vierge concevra », et elle conçut. Cela n’a pas besoin d’interprétation. Il a dit que, dans les derniers jours, Il déverserait de Son Esprit sur toute chair, et Il l’a fait. Cela n’a besoin d’aucune interprétation. C’est déjà fait, juste en face des critiqueurs qui disaient que c’était impossible, Dieu l’a fait malgré tout, parce qu’Il interprète Sa Parole. Il l’a dit. « Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à la fin du temps, quand le Fils de l’homme sera révélé », et Il l’a fait. On n’a pas besoin d’une quelconque interprétation, ça s’interprète.
Toutes ces promesses qu’Il a faites, Il a dit : « Celui qui croit en Moi fera les oeuvres que Je fais, les choses que Je fais… Il les fera aussi. » Ça n’a besoin d’aucune interprétation. Il accomplit simplement cela ; c’est tout. Si… « Je suis le Cep, et vous êtes les sarments. » La même vie qui était dans le Cep est dans les sarments, le même sarment qui était sorti le jour de la Pentecôte.

22 L’autre jour, je me tenais là et j’ai vu quelque chose de mystérieux. Un ami intime à moi et à Jack Moore aussi, John Sharritt… Le Seigneur l’a béni au début du ministère. Il n’avait pas d’enfants. Il travaillait pour vingt-cinq cents par heure, cassant du béton dans la rue. Il est venu à la réunion, le Seigneur l’a béni : Il a eu cinq enfants. Maintenant, il est propriétaire de la moitié de Phoenix, il donne environ deux ou trois millions chaque année au Seigneur.
Il n’y a pas longtemps, j’étais dans sa ferme, dans l’une de ses fermes, là où il avait 1.500 Mexicains qui travaillaient d’arrache-pied, et tout un comté avec rien que du coton, des pommes de terre, comté après comté. C’est à lui seul. Et il y a quinze ans, il gagnait vingt-cinq cents par heure en cassant du béton. Il a fait confiance à Dieu.

23 Je regardais l’un de ses arbres, qui portait diverses espèces de fruits, beaucoup. Il avait de grands vergers d’agrumes. Alors, j’ai demandé : « Frère Sharritt, qu’en est-il de cet arbre-là ? »
Il a dit : « Frère Branham, il porte toutes sortes de fruits. »
J’ai dit : « Eh bien, il porte des citrons ; il porte… je vois des mandarines, des tangelos. » J’ai vu des citrons, des pamplemousses et des oranges. J’ai dit : « Quelle sorte d’arbre est-ce ? »
Il a dit : « C’est un oranger. »
J’ai dit : « Un oranger portant tout ça ? »
Il a dit : « Oui. Cela est greffé. Ça a poussé là. »
Et j’ai dit : « Oh! je vois! C’est ce que vous appelez la greffe. »
Il a dit : « Oui, Frère Branham. » Il a expliqué comment ils font cela un certain nombre de fois au cours de l’année, comment ils greffaient cette branche.
J’ai dit : « Là, l’année prochaine, il ne portera pas de mandarines, il ne portera pas de tangelos, il ne portera pas du tout de fruits, mais… il n’y aura que des oranges. »
Il a dit : « Oh! Non. Non, non. » Il a dit : « Une pamplemousse produira… une branche de pamplemoussier produira une branche de pamplemoussier, une pamplemousse ; celle du mandarinier produira des mandarines ; celle du citronnier produira des citrons. »
« Eh bien, ai-je dit, quelle sorte d’arbre est-ce ? »
Il a dit : « Un oranger. » Il a dit : « Mais, si jamais cet oranger produit une autre branche… »
J’ai dit : « Que produira-t-elle ? »
Il a dit : « Une orange. »
J’ai dit : « Je vois cela. » Oh! Oui. Pourquoi ? Ce sont tous des agrumes.

24 Nous déclarons tous être en Christ. Mais quand nous y entrons avec un credo dénominationnel, c’est de cela que nous vivons. C’est vrai. Mais si jamais cet arbre produit une autre branche, on écrira un autre Livre des Actes à la suite de cela. Elle sera semblable à la première branche qui avait été produite. Elle sera remplie du Saint-Esprit, inspirée par le Saint-Esprit… par le Saint-Esprit. Il n’y aura pas de credo là. Elle sera une Parole. Beaucoup parmi vous qui recevez mes bandes ont reçu le message sur L’Arbre-Epouse. Le fruit est juste au sommet pour que les lumières du soir le fassent mûrir maintenant. Et les lumières du soir font mûrir le fruit en ce temps-ci.

25 Eh bien, nous voyons… ils auraient dû Le reconnaître. Mais ils ne L’avaient pas reconnu. C’est pareil en notre temps. Ils ne Le reconnaissent pas. Ici, Jésus se référait (Rapidement maintenant afin que nous puissions aborder le message), Jésus se référait au passé. Il avait accompli des signes qui leur avaient montré qu’Il était le Messie, exactement ce que le Messie était censé faire, accomplir le signe messianique.
Eh bien, beaucoup parmi eux (nous l’avons vu hier soir) avaient cru cela. Nous avons vu que la–que la femme au puits n’était pas instruite, elle avait une mauvaise réputation, mais aussitôt qu’elle a vu ce signe-là, elle a dit : « Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Et je sais que quand le Messie viendra, c’est ce qu’Il fera. »
Il a dit : « Je Le suis, Moi qui te parle. »
Et quand elle est entrée dans la ville de Sychar, elle leur a raconté tout ce qu’Il avait fait, disant : « Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce pas le Messie même ? » Et la Bible dit… Il n’a plus fait cela, mais ils ont cru en Lui, à cause du témoignage d’une femme de mauvaise réputation. Eh bien, vous parlez de se lever au temps de Jonas et de condamner cette génération-ci !

26 Remarquez. Nous voyons aussi Nathanaël, Pierre et les autres qui avaient cru. Nous voyons l’aveugle Bartimée. Nous voyons le petit Zachée caché dans un arbre. « Jésus, a-t-il dit, ne me verra jamais ici en haut. »
Et Jésus s’est arrêté juste sous l’arbre, Il a levé les yeux et a dit : « Zachée, descends. »
Il était la Parole et la Parole discerne la pensée du coeur. Les pharisiens et les érudits de l’époque ont condamné cela, parce que cela n’avait pas une touche raffinée et du monde ecclésiastique. Ça n’avait pas le côté instructif que ça devait avoir. Ça n’avait pas de clinquant et–et les histoires que le clergé devrait avoir, et un énorme chaperon, un col retourné, l’une ou l’autre chose, avec un genre de–de mots qui passeraient par-dessus la tête des gens du peuple si on pouvait les prononcer. Mais la Bible dit : « Les gens du peuple L’écoutaient avec plaisir. » Il parlait un langage des gens du peuple. Il menait une vie des gens du peuple.

27 Puis, nous voyons qu’en faisant cela, nous voyons ce qui s’est passé. Eh bien, ils n’ont pas pu croire cela, alors ils ont dit : « Cet homme est Béelzébul. Il a un esprit impur. » Autrement dit  : « Il a soit de la télépathie mentale, soit–soit Il a… Il est une espèce de diseur de bonne aventure; et tout le monde sait que ça, c’est du diable et c’est de l’imitation. » Et alors, nous voyons aussi qu’ils L’ont condamné. Après, ils se sont tenus là et ont dit : « Maître, montre-nous un signe. »
Que leur a-t-Il répondu ? Il a dit : « Une génération méchante et adultère demande un signe. » Maintenant suivez. « Une génération méchante et adultère… » Il prophétisait. Il a dit : « Et ils le recevront », la génération méchante et adultère. Et si ce n’est pas là cette génération dans laquelle nous vivons, je ne sais pas quoi.

28 Rappelez-vous, chaque prophétie a une double application. Prenez Matthieu, chapitre 3, là où il est dit : « J’ai appelé Mon Fils hors de l’Egypte. » Parcourez les références en rapport avec cela, vous trouverez qu’Il parlait de Jacob, Son fils. Et aussi de Son plus Glorieux Fils, Jésus, qu’Il a appelé hors de l’Egypte.
Eh bien, c’est ce que nous voyons là : une génération méchante et adultère demande un signe, et ils le recevront. En effet, une génération méchante et adultère verra le signe de la résurrection. « De même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre du gros poisson, de même le Fils de l’homme doit être dans le sein de la terre. » Puis, Il ressuscitera. Ça fait deux mille ans, et nous avons une autre génération méchante et adultère. Et ils reçoivent un signe de Christ ressuscité vivant parmi nous après mille neuf cents ans. Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement.

29 Jonas, nous le connaissons. Nous savons que c’est un prophète. Beaucoup de gens le considèrent comme une espèce de–de fugitif. Il ne l’était pas. Le juste – les pas des justes sont ordonnés de l’Eternel. Je lisais un livre il n’y a pas longtemps. Il est allé à Tarsis, il a entrepris d’y aller, plutôt à Ninive. Mais tout cela était dans le plan de Dieu. Les pas des justes… En effet, parfois, il vous arrive un malheur ou quelque chose… Ce fut le cas pour Job. Il n’était pas… Job était le meilleur homme du pays à son époque, le meilleur que Dieu pouvait trouver. Et cependant, regardez ce qui lui est arrivé. Dieu n’était pas en train de le châtier; Il l’éprouvait. Il prouvait à Satan qu’Il avait quelqu’un qui pouvait croire en Lui malgré les difficultés.
C’était donc pareil pour Jonas. Nous le voyons en route vers Ninive, il a pris le bateau pour Tarsis, et il… Alors, la mer fut agitée, et lui était endormi. Il leur a dit : « Liez-moi les pieds et les mains et jetez-moi dehors, car c’est moi qui suis à la base de cela. » Et quand ils l’ont jeté dehors, un gros poisson qui nageait dans l’eau, rôdant, a englouti ce prophète.

30 Je me rappelle qu’il n’y a pas longtemps, à Louisville, dans le Kentucky, de l’autre côté de la rivière par rapport à l’Indiana où j’habitais, on avait une baleine là, sur un–sur un grand wagon plat. Un petit Ricky, qui avait trop d’intelligence pour savoir en avoir la maîtrise, a dit : « Eh bien, vous avez entendu cette vieille légende de la baleine qui avait englouti Jonas. » Il a pris une balle de base-ball, il l’a fait entrer dans l’oesophage de–de la baleine, il a dit : « Regardez ça. » Il a dit : « Une balle de base-ball n’arrive même pas à traverser cela. » Il a dit : « La vieille légende de–de Jonas avalé par la baleine, a-t-il dit, ce n’est qu’une légende… »
C’était insupportable pour moi. J’ai dit : « Juste un instant, monsieur. » Il se lançait dans des explications pour démontrer combien il était impossible pour un homme de passer par cette gorge-là. J’ai dit : « Vous n’avez pas lu les Ecritures, monsieur. Cela n’est pas une légende. C’est la vérité. »
Il m’a regardé et a dit : « Qui êtes-vous ? »
J’ai dit : « Je suis le révérend Branham, je viens de l’autre côté de la rivière. »
Il a dit : « Oh! je vois, un prédicateur qui croit cela. »
J’ai dit : « De tout mon coeur, de tout mon coeur. »
Et il a ajouté : « Eh bien, vous savez, a-t-il dit, regardez ça, monsieur. Je ne discute pas et je – j’apprécie votre prise de position et autres, mais, a-t-il dit, scientifiquement, a-t-il dit, vous pouvez à peine faire passer la main d’un homme, par sa gorge. »
J’ai dit : « Monsieur, vous ne lisez pas bien les Ecritures. La Bible dit que c’était un poisson spécial, préparé. Dieu a dit qu’Il avait préparé un poisson. Il est spécial. Je crois que ce que Dieu dit est la vérité. Ceci est spécial. » Il a relevé puis abaissé, à deux ou trois reprises, son nez qui portait des lunettes et a continué sa conférence, et tout le monde riait. Son poisson spécial, Dieu avait préparé un poisson pour engloutir Jonas. Oh ! la la! Je crois cela de tout mon coeur.

31 Eh bien, nous voyons que sur son… Il l’a englouti. Tout… Un poisson, après avoir mangé, descend droit au fond. Nourrissez vos petits poissons rouges, et voyez ce qui se passe. Ils descendent droit au fond de ce petit aquarium où vous les avez mis et reposent leurs petites nageoires au fond. Leur petit ventre est plein et alors ils sont là au fond, se reposant. Alors, quand ce gros poisson a englouti Jonas, il a dû descendre au fond pour se reposer, loin des vagues et de l’orage.
Il observait le réveil pour voir ce qu’il pouvait trouver, et il y avait un réveil sur la mer, vous savez; elle montait et descendait, les vents, alors il a trouvé ce prédicateur, l’a avalé et il est descendu au fond.

32 Voici maintenant Jonas là au fond, dans le ventre de ce grand poisson, les mains et les pieds liés, gisant dans les vomis de ce grand poisson. Eh bien, j’ai souvent entendu les gens dire : « On a prié pour moi hier soir et–et ma main ne va pas mieux. Elle est toujours infirme. J’ai toujours des maux d’estomac. Mes yeux, je ne vois toujours pas bien. » Oh ! la la ! Et puis, vous en prendre à Jonas ? Oh ! la la! Si quelqu’un a eu un cas avec des symptômes, ça devrait bien être lui. S’il regardait de ce côté-ci, il y avait le ventre du gros poisson ; de ce côté-là, il y avait le ventre du gros poisson. Partout où il regardait, il y avait le ventre de ce gros poisson. Et on lui avait lié les mains derrière.
Il était dans le ventre du gros poisson, au fond de la mer, probablement à une profondeur de quarante brasses [73,2 m], au fond de la mer. Eh bien, vous parlez des symptômes, et puis vous le taxez, lui, de rétrograde! Mais savez-vous ce qu’il a dit ? « Ce sont des vanités mensongères. Je ne les regarderai même pas. Mais je verrai encore Ton saint temple, Eternel. »

33 Eh bien, Jonas savait que, quand Salomon avait dédicacé le temple, il a dit dans sa prière : « Eternel, si Ton peuple se retrouve quelque part en difficulté et qu’il dirige son regard vers ce saint lieu, alors exauce-le du haut des cieux.» Et il avait une si grande confiance dans la prière d’un homme qui avait rétrogradé, qui avait offert une prière. A combien plus forte raison… Il n’y a personne parmi nous dans cette condition-là ce soir. Il n’y a personne parmi nous qui a ce genre de symptômes. Et alors, nous regardons nos symptômes.
Eh bien, eh bien, s’il a pu avoir une si grande confiance dans la prière d’un homme qui avait rétrogradé… Et il nous a été demandé de lever les yeux vers le Ciel où Jésus est assis à la droite de la Majesté divine, dans un temple qui n’est pas fait de main d’homme. Il attend là d’intercéder sur base de votre confession. A combien plus forte raison devrions-nous ignorer nos symptômes! Et : « Je considérerai encore Ta sainte promesse, ô Seigneur. » Oh ! la la ! Quand nous voyons Dieu sur la scène…

34 Eh bien, nous voyons que Jonas… Il est dit que ce gros poisson l’a transporté là pendant trois jours et trois nuits, il lui a fait faire un tour, il a fait marche arrière et il a traversé.
Et alors, les gens de Ninive étaient–étaient devenus comme le sont les gens dans le reste du monde aujourd’hui. Le grand monde commercial… Leur occupation, c’était la pêche ; tous les hommes faisaient la pêche. Et ils adoraient des idoles. Et le gros poisson était le dieu de la mer. Et, un jour, vers onze heures, pendant qu’ils étaient tous là en train de pêcher, voici venir leur dieu de la mer, il fit sortir sa langue et le prophète descendit cette passerelle-là. Il n’est pas étonnant qu’ils se soient repentis.
Voyez, cela était un signe. Cela était un signe. Quelle en était la voix ? Quelle en était la voix ? « Vous voyez, mes gars, que puis-je faire ? » Non. « Repentez-vous, sinon, dans quarante jours, Dieu détruira cette ville. » Le signe et la voix, la voix qui avait suivi le signe : « Repentez-vous », a-t-il dit. Et ces gens qui ne savaient pas distinguer la main droite de la main gauche s’étaient repentis à la prédication de Jonas, et il y a ici plus que Jonas. Voyez ?

35 Et Il a dit : « La reine du Midi se lèvera dans la... sa génér... avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et voici, il y a ici plus que Salomon. » Eh bien, quand… Pour terminer, je dis ceci : chaque fois que Dieu envoie un don sur la terre, un don-signe, et que les gens croient cela, ça devient l’un des âges les plus glorieux que les gens aient jamais vécu. Mais, chaque fois qu’Il envoie un signe et que cela est rejeté, cette génération entre dans le chaos. Ça a toujours été le cas. Qu’arriverait-il si les Américains recevaient ce soir le signe de Dieu dans ces derniers jours ?

36 Eh bien, nous parlons d’aller à Fort Knox, de déménager le gouvernement là et de creuser sous terre. Eh bien, ces bombes russes atteignent peut-être une profondeur de cent, deux cents yards [91,44 m ou 182,88 m] sous terre, font exploser cela sur une distance de cent cinquante miles [241,35 km]. Eh bien, la secousse va directement jusque dans la–jusque dans la larve. Vous n’êtes en sécurité nulle part sur cette terre. Il n’y a qu’une seule zone de sécurité, c’est dans les bras de Jésus-Christ. Il est notre Refuge.
Mais que serait-il arrivé si nous nous étions désavoués, en tant qu’Américains, et que nous avions tous fait confiance au don que Dieu nous donne, le Saint-Esprit, dans ces derniers jours ? Eh bien, toutes les nations nous craindraient comme ce fut le cas du temps de Salomon. Dieu avait donné à Salomon un don de tout connaître. Toute l’église, tout le monde, croyait cela. C’était un millénium pour les Juifs ; c’était le millénium de l’Ancien Testament, à l’époque de Salomon, une préfiguration du Millénium à venir. L’âge d’or des Juifs…
Remarquez. Personne n’a déclenché une guerre contre eux. On les craignait parce qu’on savait que leur Dieu était réel et qu’ils L’avaient parmi eux. Et les gens étaient tous d’un seul coeur et d’un commun accord. Eh bien, la renommée s’était répandue partout. Partout, on entendait dire : « Oh! quelle glorieuse chose, le Grand Dieu d’Israël, un Dieu vivant. » Et sa renommée s’était répandue jusqu’à Seba. Mesurez cela sur la carte et voyez combien c’est loin.

37 Il y avait là une petite reine, qui avait commencé à avoir faim de Dieu dans son coeur. Chaque fois qu’elle entendait quelqu’un (au passage de l’une des caravanes), elle demandait : « Avez-vous été en Palestine ? »
– Oui.
– Parlez-moi de ce grand réveil qu’ils ont là.
– Et tout le monde disait : « Oh! c’est merveilleux. »
– Avez-vous vu cela ?
– Oui.
– Comment est-ce ?
– Oh! ce Grand Dieu qu’ils servent est descendu et Il vit dans l’un de Ses serviteurs, et ils ont fait de celui-ci un roi. Eh bien, il peut discerner ; il connaît les pensées même du coeur. Et, vous savez, ils disent que Dieu est la Parole, et que la Parole est Dieu. Et la Parole discerne les pensées du coeur. Et la sagesse de cet homme dépasse tout ce que vous avez jamais entendu. Il peut discerner, en tout cas, même les pensées que vous avez à l’esprit. Oh! c’est un réveil merveilleux, ce qu’ils ont là-bas.

38 Et, vous savez, la foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole de Dieu, la promesse de Dieu. Et cette petite reine a commencé à avoir faim, et elle voulait aller à ce réveil. Eh bien, elle avait beaucoup à affronter. Eh bien, d’abord, c’était une païenne. Elle devait aller auprès de son prêtre demander l’autorisation de partir. Elle était une reine ; c’était une dignitaire et une célébrité.
Eh bien, sans doute qu’elle est allée auprès du grand-prêtre et elle a dit : « Très saint père, j’apprends qu’il y a un réveil là, en Israël, et qu’ils passent un moment béni là. Et leur Dieu est vivant. Et Il accomplit de grands signes et des prodiges, et nous n’avons jamais vu quelque chose de pareil, ni entendu quelque chose de pareil. Je me renseigne auprès de chaque caravane. Et les gens disent que c’est merveilleux. Puis-je obtenir de ma dénomination l’autorisation d’y aller en visite ? »
Je peux me représenter cela : « Nous ne collaborons pas à cette réunion-là. Vous feriez donc mieux de vous tenir loin de cela. » Voyez ? Vous savez, les hommes meurent, mais pas les esprits. Voyez ?
C’est ce que nous voyons donc : « Non, vous feriez mieux de vous tenir loin de cela. Nous ne collaborons pas à cela. »
« Eh bien, écoutez donc, saint père, j’ai appris… »
« Ecoute donc ça. Si quelque chose devait se passer, ça devrait être parmi nous. C’est notre église qui devrait avoir cela. » Oh ! la la ! Et c’est ici le lieu. Ce serait nous – nous qui devrions avoir cela ici même. »

39 Je peux entendre cette petite reine dire, se lever… J’apprécie son courage. Elle s’est levée et a dit : « Ça fait des années que je vois ces idoles ici. Je vous ai entendu, du haut de la chaire, prêcher au sujet d’un dieu qui a existé, d’un dieu qui a été. Mon arrière-arrière-grand-mère a entendu le même récit. Et à aucun moment il n’a bougé. On me raconte qu’eux ont un Dieu vivant qui vit parmi eux, quelque chose d’authentique. J’aimerais voir cela. »
« Ecoute donc. Si tu y vas, tu sais ce que tu vas faire ? Tu vas t’associer avec une bande de gens, tu sais–tu sais, qui ont toutes ces mers Rouge qui se sont ouvertes, toutes sortes d’histoires. Tu ferais mieux de ne pas y aller, parce que si tu y vas… »
« Eh bien, j’y vais de toute façon. »
« Nous allons immédiatement rayer ton nom du livre. »
« Eh bien, rayez-le du livre. »
Quand un homme commence à avoir faim et soif de Dieu, il n’y a aucun livre au monde qui puisse le retenir, car il est à la recherche d’un Livre.
« Rayez mon nom de là, si vous le voulez. J’y vais de toute façon. J’entends dire que c’est un Dieu vivant ; c’est une réalité. Je vais voir cela. Ainsi, vous pourrez tout aussi bien rayer mon nom de là. » Eh bien, elle avait beaucoup à affronter.

40 Eh bien, rappelez-vous, elle avait pris sa décision. Elle a pris tous les rouleaux pour lire sur ce qu’était Jéhovah. Eh bien, voilà une femme intelligente. N’y allez pas sur base de la présomption de quelqu’un d’autre ; allez uniquement sur base de ce que la Bible dit qu’Il est. Prenez ce qu’Il dit qu’Il est. Voyez ce qu’Il est, s’Il est vivant ou non. Non pas ce qu’un érudit a dit à ce sujet, mais ce qu’Il a Lui-même dit à Son sujet, ce qu’Il a promis. Alors elle s’est mise à lire. Eh bien, elle a eu une–une très bonne idée. Elle a dit : « Je vais emballer beaucoup de dons et je vais les emporter. Alors, si c’est la vérité, je vais soutenir cela. Si ce n’est pas la vérité, je pourrais ramener mon argent. »
Elle pourrait enseigner quelque chose aux pentecôtistes : « Vous soutenez des émissions radiophoniques où on se moque de la chose même que vous croyez, et pourtant vous soutenez cela. Que vos… Eh bien, je vais me tenir tranquille là-dessus. Vous en savez assez de toute façon. C’est l’affaire de votre prédicateur.» Remarquez. Mais c’est une honte. Elle a dit : « Si cela n’est pas vrai, je ramènerai mes dons. » Elle en a donc chargé un chameau.

41 Rappelez-vous, regardez ce à quoi elle s’était confrontée. Elle avait un long trajet à parcourir. Savez-vous quel temps ça prenait ? Elle devait se déplacer à dos de chameau. Savez-vous combien de temps ça prenait? Ça prenait quatre-vingt-dix jours, trois mois sur le dos d’un chameau, pas à bord d’une Cadillac climatisée. Non, non. Trois jours [mois – N.D.E.], et sur le dos d’un chameau ! Il n’est pas étonnant que Jésus ait dit : « Elle se lèvera au Jugement avec cette génération et la condamnera. » Il y a à Birmingham des gens qui ne veulent pas traverser la rue pour voir la même chose, avec des bus, des autocars, des avions et tout le reste en notre jour. Il n’est pas étonnant que, lorsqu’elle se lèvera, elle condamne cette génération. Oui, oui, car il y a ici plus que Salomon : le Saint-Esprit Lui-même.

42 Remarquez bien. Nous voyons aussi... Voilà une autre pensée. Suivez donc. Les enfants d’Ismaël étaient dans le désert et c’étaient des cavaliers rapides (Oh ! la la !) et des voleurs. Eh bien, elle avait tout cet argent-là. Qu’est-ce que son petit groupe d’eunuques, de gardes, de servantes ? On les taillarderait, on les hacherait du coup, on s’emparerait de ce trésor et on s’en irait comme si de rien n’était.
Mais, vous savez, il y a quelque chose quand votre coeur commence à éprouver la faim de voir la réalité de Dieu, il n’y a pas de danger en route. Vous ne voyez aucun danger. Vous ne voyez aucune faillite. Vous dites : « Eh bien, vais-je me rétablir ? » Vous n’avez pas de question à l’esprit. La foi authentique s’ancre. Il n’y a rien qui va l’ébranler. Elle subsiste là même. Elle n’a point pensé au danger qui était au devant.
Elle avait une seule chose, un seul–un seul objectif, une seule chose qu’elle voulait accomplir, et ses motifs étaient justes. Elle est donc allée pour atteindre cela, car son coeur avait faim et soif. « Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés. » C’est vrai.

43 Observez-la maintenant, alors qu’elle entreprend la traversée du désert; probablement qu’elle voyageait la nuit, elle se reposait la journée dans une oasis, lisant ces Ecritures. Finalement, elle est arrivée sous la véranda de Salomon. Et alors, dehors dans la–dans la cour, elle a déchargé ses chameaux et a dressé sa tente.
Eh bien, elle n’était pas venue comme le feraient certaines personnes– certaines personnes aujourd’hui. Elle n’est pas une… En voici la version de 1964 : « J’apprends qu’ils font les… On dit que le Seigneur fait telle chose. Je vais y aller, et au premier mot de dit contraire à ce que je crois, je franchirai directement la porte. » Voyez, voyez ?
Mais ce n’était pas le cas avec elle. Elle avait apporté la Parole et elle s’était assise. Elle allait rester là jusqu’à ce qu’elle soit effectivement convaincue. Elle n’allait pas vérifier ses propres pensées. Elle allait vérifier la Parole. Elle est donc entrée. Je m’imagine que le premier jour, elle s’est assise là au fin fond. Alors, les trompettes ont retenti, les cloches ont sonné et–et tous les–tous les chanteurs se sont mis à chanter, l’arche de l’alliance était là, en place; alors le pasteur Salomon est sorti, il s’est assis.
Elle a dit : « Maintenant, je vais voir si Dieu est dans cet homme ou pas. »
Alors elle a observé, et chaque cas a commencé à passer. Oh ! quelle merveilleuse chose ! Rien n’était caché. Elle avait donc reçu sa carte de prière, vous savez, et elle a attendu, pour ainsi dire, comme elle–comme elle s’est finalement avancée dans la ligne… Elle a attendu jour après jour. Au fur et à mesure que le réveil continuait, elle éprouvait tout le temps davantage d’intérêt. Oh ! la la! Son coeur avait faim. Peu après, elle s’est tenue devant Salomon. Et la Bible dit qu’il n’y avait rien que Salomon manquât de lui révéler : le discernement.

44 Et ici, Jésus se tenait là, le Dieu de Salomon : « Il y a ici plus que Salomon. » Voyez ? Et ils disaient : « Maître, montre-nous un signe. » Il y a ici plus que Salomon. « Et la reine du Midi vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon ; et voici, il y a ici plus que Salomon. » Et nous avons eu deux mille ans, oui, deux mille huit cents ans, de l’histoire de la Bible depuis lors. Et ce soir, il y a ici plus que Salomon avec la Parole promise pour ce jour-ci. Et néanmoins nous languissons tout du long. Il n’est pas étonnant qu’elle se tienne au jour du Jugement et condamne Birmingham, les Etats-Unis et tout le reste par son témoignage, car son coeur avait éprouvé la faim de voir Dieu, et elle était restée jusqu’à la fin.

45 Qu’a-t-elle donc dit après avoir vu la chose réelle s’accomplir ? Savez-vous ce qu’elle a dit ? Elle… Après que Salomon lui eut révélé ce qui était dans son coeur à elle, eh bien, elle a dit : « Tout ce que j’avais donc appris, et même plus que le… » Pourquoi ? Cette fois-là, c’était sur elle que cela avait été accompli. Elle avait vu ce que quelqu’un d’autre disait à ce sujet, mais cette fois-là, c’était son tour. Son–son secret lui avait été révélé, alors elle a dit : « C’est plus glorieux. » Et elle a dit : « Heureux sont même les hommes qui sont avec toi, qui voient ceci tout le temps. Les hommes qui se tiennent ici et voient ces choses tout le temps sont heureux. »
Et elle a vu le chemin qu’il empruntait pour monter à la maison de l’Eternel. Elle est devenue une croyante, et il est promis qu’elle se lèverait dans les derniers jours et condamnerait ces générations. Comme ce fut le cas du temps de Salomon, de Jonas et des autres, elle se lèvera en ce jour-ci et condamnera, à la résurrection, les gens qui ont vécu en ce jour-ci, car il y a ici plus que Salomon.

46 Le Saint-Esprit Lui-même est ici. Le Créateur des cieux et de la terre est ici, s’identifiant à Son peuple par le même genre de don. Exactement comme c’était en Christ, c’est Lui qui accomplissait cela, comme c’était en Salomon, c’est Lui qui accomplissait cela ; comme c’était dans les prophètes, et c’est Lui qui accomplissait cela ; c’est prophétisé de même pour les derniers jours. Nous n’avons pas eu cela depuis–depuis des centaines et des centaines d’années. Et comme ce fut le cas avant Sa Première Venue…
Ils n’avaient pas eu – ils n’avaient pas eu de discernement depuis des centaines d’années, et voilà cela apparaître sur la scène. Et quelqu’un avait présenté le Messie, … promis que la prochaine chose suivrait : « Il en sera dans les derniers jours comme autrefois. Nous voici dans les derniers jours. Les signes qu’Il avait promis qu’ils arriveraient : la condition du monde est exactement telle qu’elle est censée être, l’immoralité dans le monde, et tout ce que nous avons, juste en place, et le Saint-Esprit juste dans la position, accomplissant exact… Oh! c’est une chose merveilleuse de savoir que nous servons un Dieu réel.

47 J’ai envie de raconter quelque chose maintenant. Je l’ai déjà raconté, mais je pense que je me sens conduit à le raconter encore une fois. Comme tout le monde le sait, je chasse, pas tellement pour le gibier ; j’aime me retrouver dans les bois. Ma mère était métisse ; vous le savez. Ma mère était demi-Indienne Cherokee. Sa mère touchait une pension (Voyez ?) dans–dans le Tennessee. Ainsi donc, nous voyons que, sur ce point, j’aime chasser et ma conversion n’a jamais enlevé… En effet, je… Ma première Bible fut les bois. Je pouvais regarder une fleur, comment elle mourait. La petite semence gisait sous terre et pourrissait. Tout était fini. Mais l’année qui suivait… On ne pouvait rien trouver. On pouvait amener une poignée de poussière au laboratoire, aucun chimiste au monde ne pouvait y retrouver ce germe de vie. Mais cela revivait quand le soleil apparaissait. Cela revivait. Cela m’a appris qu’il y avait la vie, la mort, l’ensevelissement, la résurrection.

48 Je vois le soleil se lever. Le matin, c’est un petit nouveau-né. A 8h, il commence l’école. Vers–vers 10h, il sort alors de l’université. Et puis, à midi, il est dans sa vigueur. A 14h, il a cinquante-cinq ans. Et puis, vers 16h, il atteint quatre-vingts, quatre-vingt-cinq ans. C’en est fini de lui. Il a accompli le dessein de Dieu. Mais alors quoi ? S’il a accompli le dessein de Dieu, est-ce sa fin ? Non. Il se lèvera encore le lendemain matin pour témoigner qu’il y a la naissance, la vie, la mort, la résurrection. Mais pour commencer, une–une semence plantée sous terre, si elle n’a pas le germe de vie, elle ne se relèvera pas. Elle doit accomplir le dessein de Dieu pour se relever. Et c’est pareil pour nous. Nous sommes une semence porteuse de germe de vie, sous terre, et il nous faut accomplir le but de Dieu, sinon nous n’allons–nous n’allons jamais nous lever dans cette première résurrection. On viendra pour le Jugement lors de la dernière, juste comme le maïs hybride ; il se lève assez tard pour subir le jugement du soleil, mourir et retourner, et c’est tout pour lui. C’est tout à fait vrai. Mais la vraie semence s’en va, vit de nouveau et se reproduit.

49 Considérez la sève dans un arbre. Avant que la gelée tombe ou n’importe quoi d’autre, cet arbre-là, la… Une nature quelque part s’empare de cela et dit : « Descends très vite au fond de l’arbre. Descends sous terre, car la gelée arrive. » Et si elle ne le fait pas, cela tuera l’arbre. Et elle se cache là jusqu’à ce que toute la gelée soit passée, puis elle remonte. C’est une intelligence qui opère cela.
Savez-vous quelle intelligence est-ce ? Expliquez-moi cela, l’intelligence qui amène cet arbre à descendre, se cacher et remonter, et je vous dirai quelle Intelligence me révèle qui vous êtes, d’où vous venez, ce que vous avez fait, et où vous allez. C’est la même chose, car c’est le même Dieu. Assurément. Exact. C’est Dieu qui fait ces choses. Eh bien, souvenez-vous, mes amis.

50 Un jour, je chassais là où j’avais l’habitude de chasser, dans le North Woods. Et je chassais avec un ami, et j’aimais chasser avec lui. Il est aussi demi-Indien, on dirait. Et il avait… C’était Burt Caul, c’est un homme de bien. Et il est possible que cet homme soit assis ici maintenant, à ce que je sache. Il vient tout le temps ici dans le Sud. Et c’était un grand chasseur. On ne devait jamais s’inquiéter à son sujet ; il n’allait pas se perdre. Nous avions chassé ensemble, et nous nous connaissions. Mais c’était l’homme le plus cruel que j’aie jamais rencontré de ma vie. Il tirait sur les petits des faons rien que pour – rien que pour me faire du mal, parce que je ne voulais pas voir les petits animaux être tués.
C’est en ordre de tuer le petit d’un faon aujourd’hui si le gouvernement l’autorise. J’ai fait le garde-chasse pendant des années, et je suis toujours partisan de la conservation de la nature. Je–je crois dans la faune et je crois dans la conservation de la nature. Laissez-les juste–juste… Si on les laisse continuer… Ils sont placés ici pour être mangés. Si vous n’en mangez pas quelques-uns, alors ils attraperont une maladie et mourront, ou ils mourront de faim. Mais faites juste ce que la loi dit; ils savent comment s’en occuper. Laissez-les prendre soin de ça.
Mais Burt voulait les tuer, rien que pour faire le méchant, rien que pour me voir éprouver des regrets à ce sujet. Il avait l’habitude de dire, il disait : « Billy, tu es un bon prédicateur, ou plutôt–ou plutôt un bon chasseur, mais le problème, c’est que tu es trop prédicateur, tu es trop poule mouillée. »
Et je disais : « Burt, tu es vraiment cruel, c’est tout. » Et nous allions de l’avant.

51 Un jour, je suis allé là. C’est… Je devais travailler jusque tard, et c’était un peu, c’était la dernière partie de la saison. Et le carioca, je ne sais pas si vous en avez ici ou pas. Oh ! la la ! Vous dites que Houdini était un spécialiste en évasion, ils le dépassent. C’était donc la dernière partie de la saison. On leur avait tiré dessus à quelques reprises. Alors, un matin, nous avons commencé, il y avait environ six pouces [15,24 cm] de neige, et nous nous sommes mis à traverser le domaine présidentiel. Et nous avons pris quelques... nous emportions toujours du chocolat chaud et un sandwich. Et vers midi, si nous n’avions pas attrapé une biche, eh bien, nous nous séparions alors dans les montagnes et nous revenions, nous rentrions à une certaine heure, 9h ou 10h du soir. Si nous avions attrapé une biche, nous la suspendions. Nous savions où nous étions, et nous revenions la reprendre.
Ce matin-là donc, nous sommes allés. Et alors, avant que je quitte, il a dit : « Hé! Billy, j’ai quelque chose pour toi cette année. »
Et j’ai dit : « Qu’est-ce ? »
Il a mis la main dans sa poche, et il en a fait sortir un petit sifflet, quelque chose de cette dimension-ci. Et il a fait retentir cela, et cela a retenti comme le cri d’un faon réclamant sa maman, vous savez, le petit d’une biche réclamant sa maman.
J’ai dit : « Burt, tu ne seras pas cruel à ce point-là, n’est-ce pas ? »
Il a dit : « Oh ! vous, les prédicateurs poules mouillées, vous êtes tous pareils. »

52 Nous nous sommes alors mis à gravir la colline. Et vers onze heures, il… Il y avait une clairière de la largeur de cette salle, à peu près, peut-être un peu plus large. Et nous n’avions même pas vu des traces d’un animal. Il y avait le clair de la lune, et les animaux paissaient la nuit, et ils étaient juste… Et c’était difficile de les repérer. Ils restaient simplement cachés couchés... et alors, et sous les buissons, et au fin fond des bois. Et ils grattaient la terre à coups de pattes, broutaient la mousse et oubliaient ça. Ainsi, nous avions…
Je suis arrivé à cette petite clairière là et il s’est assis; je me suis dit qu’il était… Il y avait là un talus de neige, un amoncellement, je me suis dit qu’il mettait la main dans sa poche, comme ceci, pour en faire sortir ce petit thermos et boire un peu de son–son chocolat, et nous prendrions notre–notre dîner, et puis, nous nous séparerions. Et nous retournerions dans les champs. Il irait d’un côté et moi, de l’autre.

53 Mais quand il a fait cela, je tendais la main pour prendre mon sandwich, parce que je commençais à avoir un peu faim. J’ai déposé mon fusil par terre, contre un arbre, et j’ai tendu la main vers mon sand… Et je l’ai regardé. Il a levé les yeux vers moi. Et il avait en tout cas des yeux exactement comme un lézard, en tout cas, vous savez, comme les femmes se fardent les yeux aujourd’hui; vous savez cet air bizarre de chien qu’elles affichent, et puis, elles ont tout peint vers le haut comme ça. Eh bien, c’était ça l’aspect de ses yeux, semblable à ceux d’un lézard, un peu bridés. Il a levé les yeux vers moi. Alors je me suis demandé : « Qu’est-ce qu’il a à l’esprit ? » Il a enfoncé la main et il a fait sortir ce petit sifflet. Et je me suis dit, j’ai dit : « Burt, n’as-tu pas honte de toi-même ? » Et il l’a fait retentir. Et alors, à une distance d’environ trente yards [27,42 m], ou à peu près, une grande biche s’est levée.

54 Eh bien, une daine, c’est la maman biche. C’était son petit qui appelait. Elle… Il a sifflé. Elle a bondi. Or, elle n’aurait en aucun cas fait cela. Elle savait que nous étions là, mais son petit était en détresse. Et il m’a encore regardé de ses yeux de lézard. Je l’ai vu baisser la gâchette de son fusil 30-06. Il était un tireur d’élite. Oh ! il en était un bon! Et il a de nouveau sifflé, et cette vieille mère biche s’est avancée tout droit dans cette clairière.
Or, frère, c’est inhabituel. Elle ne le ferait pas. Premièrement, elle ne se redresserait pas. Si elle le faisait, elle irait de l’autre côté. Mais elle était là, elle s’est avancée tout droit dans la clairière. Et elle savait que nous étions là. Et aussitôt que la gâchette a fait le déclic sur ce fusil, elle s’est retournée et a regardé droit vers le chasseur. Plutôt que de fuir, elle s’est juste tenue là, ses grandes oreilles, ses yeux grand ouverts, ses oreilles redressées, et elle regardait çà et là.

55 Qu’était-ce ? Elle était une mère. Il s’agissait de son petit. Son petit était en détresse, le petit la... le petit sifflet émettait un son pareil à celui du petit faon. Elle n’était pas hypocrite. Elle ne faisait pas semblant. Elle était authentique. Elle était née mère. C’est ce qu’elle était, une mère. Et il abaissait ce fusil-là. Je me suis dit : « Comment peux-tu faire ça ? Burt, comment peux-tu… »
Je–je ne pouvais pas regarder cela. J’ai tourné le dos. J’ai pensé : « Seigneur Dieu, comment un homme peut-il être cruel à ce point, faire sauter ce coeur fidèle à cette mère en train de chercher son petit, et la persuader par là, la séduire, l’amener là et ensuite…? » Je savais qu’il était un trait... un si grand tireur d’élite qu’il lui ferait du coup sauter son coeur sacré. Et elle, une mère, elle est effectivement venue, parce qu’il s’agissait de son petit.

56 Et vous parlez d’un signe, c’en était un, celui de la loyauté, car il y avait quelque chose à l’intérieur. Elle était une mère. Et j’avais le dos tourné. J’ai dit : « Seigneur Dieu, comment un être humain peut-il être cruel à ce point, pour faire pareille chose ? » Et j’ai attendu, attendu, et le coup de fusil ne partait point. Je me disais que, d’un moment à l’autre, j’entendrais la détonation du fusil, et cela... je... cela… Un champignon de cent-quatre-vingts balles lui ferait exploser du coup le coeur.
Alors, je me suis dit : « Eh bien, pourquoi cela n’a-t-il pas détoné ? » Et je me tenais comme ceci, avec mes yeux fermés, priant. Et quand j’ai tourné la tête pour regarder, le canon du fusil allait comme ceci. Et j’ai regardé cela pendant quelques minutes. Il bougeait le canon de son fusil. Il s’est retourné et a regardé, et ses yeux de lézard… J’ai encore regardé. Les larmes lui coulaient sur les joues. Il jeta le fusil par terre et dit : « Billy, j’en ai marre. Conduis-moi vers ce Jésus dont tu parles. »
Qu’était-ce ? Là même sur ce talus de neige, j’ai conduit [à Christ]cet homme cruel. Il est diacre d’une église aujourd’hui. Qu’était-ce ? Il a vu quelque chose de réel, quelque chose d’authentique, quelque chose qui n’était pas une théologie ni quelque chose d’historique. Il a vu Dieu dans une réalité. C’est ce qui l’a amené. Oh ! Combien ici aimeraient être le genre de... être chrétiens autant que cette biche était mère ? Assurément, avec une réelle expérience en face de la mort, je veux dire. Inclinons la tête.

57 Père céleste, il se fait tard et les gens sont attentifs. Ils sont gentils et ils écoutent cette petite histoire. Maintenant, Seigneur, si je peux me rappeler ce jour froid de novembre, je me tenais là, les vents soufflaient un peu dans les montagnes. Je peux voir ces larmes étincelantes couler sur ses joues barbues, alors qu’il me tenait par la jambe et pleurait, disant : « Billy, tu m’as parlé de Quelqu’Un qui aime, et je – je vois une réalité ici. » Il y avait dans cette biche quelque chose qui l’a poussée à venir là, Seigneur. Il y a là une maternité réelle. C’était un vrai signe qu’il y avait un authentique amour dans la maternité.
Ô Dieu, que Ta Parole parle ce soir, l’authentique, l’authentique Saint-Esprit, non pas quelque chose d’émotionnel, d’enthousiaste, cela l’est aussi, mais quelque chose de réel, rendu manifeste par la Parole; la Parole est plus tranchante qu’une épée à double tranchant et Elle discerne les pensées du coeur, ce qui…

58 Tu as reconnu tous Tes prophètes quand Tu étais sur terre. Tu les as appelés des dieux. Tu as dit : « Vous appeliez dieux ceux à qui la Parole de Dieu était adressée. Comment donc pouvez-vous Me condamner quand Je dis que Je suis Fils de Dieu? »
Ô Seigneur, le monde reconnaît les siens. Il est aveugle toutes ces années. Je Te prie ce soir, Père, d’ouvrir les yeux des gens et de nous accorder ce soir de devenir de vrais chrétiens et de vrais croyants, car il y a ici plus que Salomon, il y a ici plus que tous les prophètes. Le Fils de Dieu Lui-même est ici sous forme du Saint-Esprit, promettant : « Encore un pe… Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus. Le mot cosmos, l’ordre du monde, ne Me verra plus ; mais vous, vous Me verrez, car Je serai en vous, même jusqu’à la fin du monde. » Et, Père, Tu dis que Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement, et nous savons que c’est la vérité. Oh! je Te prie, ô Dieu, d’être miséricordieux ce soir!

59 Et pendant que nous avons nos têtes inclinées, je me demande… Ce soir, avec nos têtes inclinées, y aurait-il quelqu’un qui… Soyez sincère envers Dieu maintenant, dans Sa Présence, avant que vous voyiez quoi que ce soit se passer, mais cependant vous savez dans votre coeur que vous n’êtes pas chrétien authentique autant que cette biche était mère. Et la raison pour laquelle elle était mère, c’est qu’elle était née mère. Elle ne pouvait pas s’en empêcher ; elle était née mère.
Et maintenant, si vous n’êtes pas né… Si vous n’avez pas ce même amour pour Christ, peu importe ce que quelqu’un dit, vous croyez en Lui. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement ; et vous aimeriez avoir ce genre d’amour chrétien comme cet amour maternel s’est manifesté pour elle. Voudriez-vous, avec vos têtes inclinées, tout le monde maintenant, tous les yeux fermés, lever la main pour dire : « Priez pour moi, Frère Branham » ? Je vais certainement le faire. Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse. Oh ! la la ! Regardez partout dans la salle, au balcon, partout… N’ayez pas honte. Si vous avez honte de Lui ici, Il a dit : « J’aurai honte de vous devant le Père et les saints anges. » Vous êtes maintenant dans Sa Présence. Il est ici. Il est absolument ici.

60 Le glorieux Saint-Esprit, cette Colonne de Feu qui était avec Moïse est ici même. Rappelez-vous, quand Il était ici sur terre, Il a dit : « Je viens de Dieu et Je vais à Dieu. » Et il est dit que Moïse avait abandonné le trésor de l’Egypte, considérant les trésors de Christ comme une richesse plus grande que tous… l’opprobre de Christ comme une richesse plus grande que tous les trésors de l’Egypte.
Il alla au désert avec Christ. Et tout lecteur de la Bible sait que cette Colonne de Feu était l’Ange de l’alliance, le Logos qui était sorti de Dieu, lequel était Jésus. Et puis, après Sa mort, Il est monté au Ciel. Et quand Il rencontra Saul sur le chemin de Damas, Il était déjà redevenu cette Colonne de Feu une fois de plus. Il a même abîmé les yeux de Paul par Son éclat. Maintenant, Il est ici ce soir, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Voudriez-vous vous identifier devant Lui ? Dites : « Seigneur Dieu, je n’ai pas ce genre d’expérience. J’aimerais en avoir. » Je ne vous demande pas de venir ici. Je vous demande simplement de lever la main vers Lui, si vous sentez comme cela. Y en avait-il ici qui n’avaient pas levé la main ? Qu’ils lèvent la main maintenant. Que Dieu vous bénisse.

61 Notre Père céleste, ils sont Tiens. La science dit… Selon la science, nous ne pouvons pas lever les mains ; la pesanteur les maintient baissées, mais il y a un esprit dans les hommes et les femmes. Et ils… Un autre Esprit est venu sur eux, le Saint-Esprit, et a dit : « Levez la main. » Et ils ont défié la loi de la pesanteur et ont levé les mains vers le Dieu qui les a créés : « Je veux être un vrai chrétien. » Père céleste, je Te prie de faire de chacun d’eux un vrai chrétien. Au Nom de Jésus-Christ, ils sont Tiens, Seigneur. Ce jour-là, je ne savais guère, alors que cette petite biche s’avançait là, dans ce champ, qu’elle serait à la base de… C’était un signe. Mais Tu connais toutes choses. Aussi, je Te prie, Père, de les recevoir maintenant. Ils sont les trophées de l’Evangile. Ils sont Tiens. Tu as dit : « Nul ne peut les arracher de Mon coeur... de Ma main. » Et Tu as dit là : « Tout ce qui est à Moi est à Mon Père. Et personne ne peut les ravir de Sa main. »
Jésus a dit dans Saint Jean 5.24 : « Celui qui écoute Ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. » Seigneur, c’est Ta Parole. Eh bien, non pas ceux qui font semblant de croire, mais ceux qui croient réellement ont la Vie Eternelle. Ils sont Tiens, Père. Je Te les confie maintenant. Au Nom de Jésus-Christ. Amen.

62 Maintenant, soyez vraiment respectueux, juste un instant. Maintenant, il est bien temps de terminer, mais attendez juste un instant. Avant que nous fassions cela, combien croient que Jésus-Christ a promis d’être avec nous là où deux ou trois sont assemblés en Son Nom ? Combien croient qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement ? Son... Il a été… S’Il était ici ce soir, Il serait exactement tel qu’Il était autrefois. Il ferait la même chose. La Bible dit qu’Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Est-ce vrai ? Le Nouveau Testament, Hébreux, chapitre 3 : « Un Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos interm... infirmités. » Maintenant, ayez foi en Dieu. Maintenant, croyez réellement, de tout votre coeur.

63 Et vous qui êtes là maintenant, qui êtes là, dans cet auditoire, qui ne… pas... qui êtes malades… Combien parmi vous sont malades ? Levez la main. Dites simplement : « Je suis malade. » Maintenant, très lentement, très doucement maintenant, tout le monde. Maintenant, priez, dites : « Seigneur Jésus, Frère Branham ne me connaît pas. Mais ce qu’il a dit ce soir : ‘Il y a ici plus que Salomon’, je sais qu’il a été prophétisé que cela reviendrait. Cela n’a pas eu lieu dans le monde pendant des centaines et des centaines et des milliers d’années, mais Tu as promis que cela reviendrait dans ces derniers jours, selon Malachie 4, et Tu l’as promis dans Saint Luc 17, ainsi que toutes ces autres promesses.»
« Tu as dit que ce serait là quand le Fils de l’homme se révélerait, parce que ça doit être la Parole. En effet, le... ‘Au commencement était la Parole, la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. La Parole a été faite chair et a habité parmi nous.’ Et la Parole discerne les pensées. »

64 C’était la Parole dans les prophètes ; c’était la Parole dans le Fils ; c’est la Parole en vous aujourd’hui. Voyez ? La Parole, Elle a été prophétisée, promise. Même si on voit beaucoup d’imitations, beaucoup de compétitions charnelles, mais cela ne le fait pas disparaître, la chose véritable. Il y a un réel Saint-Esprit, un Dieu réel.
Maintenant, croyez de tout votre coeur et regardez dans cette direction, vers moi, et croyez de tout votre coeur. Dites : « Seigneur Dieu, je vais prier. Et je Te prie de révéler à frère Branham; et accorde-moi de toucher Ton vêtement et que Tu Te retournes au travers de lui ; en effet, il ne me connaît pas, et que Tu me révèles mon problème. Et alors, je reconnaîtrai que Ta Présence est ici. »

65 Amis, connaissez-vous le problème des pentecôtistes ? Ils ont trop vu. Un jour, un vieux marin revenait de la mer et il a croisé un écrivain qui s’y rendait. Et le vieux marin a demandé à–à l’écrivain, disant : « Où allez-vous, mon bonhomme ? »
Ce dernier a dit : « A la mer. Oh ! j’aimerais renifler ses eaux salées, j’aimerais contempler les cieux bleus, les nuages blancs, les mouettes ! »
Il a dit : « Il y a de cela cinquante ans, j’y suis né ; je n’y vois rien d’attrayant. » C’est ça. Il en avait tellement vu que c’était devenu ordinaire. C’est ça notre problème à nous. Nous en avons vu trop de la part de Dieu. Cette église qui a été appelée hors des groupes dénominationnels, dans les derniers jours, en a tellement vu que c’est devenu tellement ordinaire que ça vous passe inaperçu. Ne laissez jamais Christ devenir ordinaire pour vous, ami. Ne faites jamais cela. Croyez vraiment de tout votre coeur et avec tout ce qu’il y a en vous. Maintenant, ayez foi en Dieu. Maintenant, priez simplement, et que le Seigneur Jésus accorde cela.

66 Maintenant, touchez simplement Son vêtement. Je ne sais pas… Touchez-Le. On peut Le toucher. [Frère Branham marque une pause. – N.D.E.] Eh bien, priez simplement maintenant. Je ne dis pas qu’Il le fera. Tout sera réglé en un instant. Vous… On dirait, juste–juste–juste…[Espace vide sur la bande – N.D.É.] Eh bien, c’est une Lumière. Que personne ne tire une photo, une photo avec flash. Soyez vraiment respectueux.
Maintenant, La voici. Elle est au-dessus d’une femme qui est assise ici en train de me regarder, juste ici au bout, ici même. Oui, oui. Croyez-vous que je suis Son serviteur, madame ? Je vous suis inconnu. Vous ne me connaissez pas. Je ne vous connais pas. Mais, si Dieu me le fait savoir, juste comme Il l’a fait pour la femme et lui a révélé sa perte de sang, ou–ou la femme qui avait cinq maris, si le Seigneur Jésus fournit ce renseignement-là au travers de moi, croirez-vous cela de tout votre coeur ? Vous reconnaîtrez si c’est la vérité ou non. Très bien. Il s’agit d’une affection de la vésicule biliaire. Si c’est vrai, levez la main. Oui, oui. Voyez ? Eh bien, c’est tout à fait vrai.
Tenez, vous qui êtes assis à côté d’elle, vous alliez l’aider. Vous l’avez touchée de la main. Eh bien, vous avez été gentil. Maintenant, croyez-vous que Dieu peut me révéler votre maladie ? Croyez-vous qu’Il peut le faire ? L’hypertension. Si c’est vrai, levez la main. Hum.

67 L’homme assis à côté d’elle, croyez-vous, monsieur ? Croyez-vous que Dieu peut me révéler votre maladie ? Vous saurez si c’est la vérité ou pas. La varice. Croyez-vous ? La petite dame assise là, on dirait en train de pleurer, votre maladie, c’est la nervosité. C’est tout à fait vrai. Vous êtes, on dirait, couverte de l’ombre, vous vous affaiblissez la journée. Vous pensez que vous allez perdre la tête. C’est le diable qui essaie de vous dire cela, mais vous n’êtes pas perdue. Tout est fini dès ce soir. Voyez, vous avez remporté une victoire. Cela vous a quittée. L’ombre noire qui était sur vous vous a quittée.
Vous pleuriez là, vous assise à côté d’elle, madame. Cela–cela vous fait frémir. Maintenant, croyez-vous que je suis Son prophète, ou Son serviteur ? Ça achoppe certaines personnes, voyez. Ainsi, vous… Je ne vous connais pas. Nous sommes inconnus. Croyez-vous que Dieu peut me révéler votre maladie ? Très bien. Vous avez une maladie de coeur, une maladie de rein, et vous avez l’anémie. Si c’est vrai, levez la main…?…

68 Cette petite dame assise ici, un peu corpulente, en robe rouge foncée avec rayures, elle est en train de prier. Elle veut être appelée dans cette ligne. Si c’est vrai, levez la main, madame. Croyez-vous que Dieu peut me révéler votre maladie ? Votre amie se portera très bien, le problème spirituel sera résolu. Et votre maladie de femme vous quittera, si vous croyez en Dieu de tout votre coeur. Maintenant, si c’est vrai, levez la main. Si c’est pour cela que vous priez, levez la main, afin que les gens voient ce que vous faites. D’accord ? Ayez simplement foi en Dieu.
Quelqu’un derrière. Vous n’avez pas à vous asseoir ici devant, là au fond, croyez de tout votre coeur. Il y a une femme là, au fin fond. Elle a une tumeur sur le flanc. Elle est en train de prier. Elle va manquer cela. Seigneur Dieu, viens-moi en aide, je Te prie. Madame Goodman, croyez-vous de tout votre coeur que Dieu ôtera cette tumeur de votre flanc ? Très bien. Levez la main, très haut, de telle manière que les gens voient. Je lui suis un parfait inconnu, je ne l’ai jamais vue. Là, elle… Ces choses sont-elles vraies ? Levez la main. Très bien.

69 Une dame assise là, vers le fond, là, elle souffre de la vésicule biliaire. Et elle a–elle a également le diabète, la maladie de coeur. Madame Otterville, croyez de tout votre coeur, madame, et vous pourrez être guérie là. S’il vous plaît, ne vous déplacez pas, amis. Je–je vous en supplie au Nom de Christ, ne le faites pas. Voyez, les maladies vont d’une personne à une autre. Voyez ? L’incrédulité est la chose la plus horrible qui existe au monde. Ayez simplement la foi. Voici une petite dame assise ici, en train de prier pour son mari. Il boit. C’est vrai. Vous priez qu’il cesse de boire. N’est-ce pas vrai ? Très bien. Je ne vous connais pas. Avez-vous une carte de prière ? Vous n’en avez pas ? Vous n’en avez pas besoin. Ayez simplement foi que vous avez–vous avez touché quelque chose. Vous êtes à vingt ou trente pieds [6,09 m ou 9,14 m] de moi. Vous avez touché le Souverain Sacrificateur.

70 La petite dame, là derrière, est aussi en train de prier pour son mari, qui est assis derrière elle. C’est vrai. Votre mari est un homme nerveux, il a une espèce de nervosité mentale. Il rate maintenant même. Si c’est vrai, levez la main. Vous avez quelque chose qui ne va pas à la main. Vous avez l’allergie, l’une ou l’autre chose du genre. Vous touchez des choses, ça fait mal aux mains. N’est-ce pas vrai ? Madame Patty, voilà votre nom. Croyez-vous de tout votre coeur ? Maintenant, si c’est vrai, levez la main. Amen. Voyez ? Je vous ai demandé de croire.
Qu’en est-il de cette femme assise ici ? Vous avez une tache au visage, on dirait un petit cancer de peau. Croyez-vous que je suis le serviteur de Dieu ? Croyez-vous ? Je ne vous connais pas. Vous m’êtes inconnue. Ce n’est pas exactement ce pour quoi vous priez. Vous priez pour votre maladie de coeur. C’est vrai. Est-ce vrai ? Cette dame assise ici, si vous croyez de tout votre coeur, vous pouvez avoir votre guérison. Votre mari a eu la sienne hier soir, pourquoi pas vous ? Vous êtes ex-femme prédicateur… Maintenant, croyez de tout votre coeur, et vous… Maintenant, vous voyez, c’est afin que vous le sachiez. Vous étiez un peu en train de vous poser des questions. Voyez ? Eh bien, vous êtes convaincue, n’est-ce pas, qu’Il le fait ? Très bien. Levez la main si c’est vrai. Ayez foi en Dieu.

71 Que pensez-vous de ce diabète, monsieur, vous assis là avec la main levée ? Croyez-vous que Dieu peut guérir ce diabète et vous rétablir ? Croyez-vous ? Très bien, monsieur, Dieu peut vous guérir. Vous m’êtes aussi inconnu. Si vous croyez de tout votre coeur…
Il y a un homme assis là; il souffre du coeur, il a quelque chose qui cloche au dos. Monsieur Easter, vous avez eu des lésions dans un accident de train, c’est ce qui est à la base de cela. Si c’est vrai, levez-vous. Jésus-Christ vous guérira et vous rétablira. Combien parmi vous croient ?
Il y a ici plus que Salomon. Croyez-vous cela ? Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement, a balayé d’un trait toute cette salle. Croyez-vous maintenant qu’Il est ici ? Il est ici même maintenant. C’est une réalité. C’est exactement ce qu’Il a dit qui arriverait. « Vous ferez aussi ces oeuvres que Je fais ; vous en ferez davantage, car Je M’en vais au Père. »
Une fois, une femme L’a touché, Il s’était tellement affaibli qu’Il a dit qu’une force était sortie de Lui. Et Il était le Fils de Dieu. Moi, je suis un pécheur sauvé par Sa grâce. « Vous en ferez davantage. » Je sais que King James dit : « De plus grandes », mais dans l’original il est dit : « Vous en ferez davantage, car Je M’en vais au Père. » Eh bien, croyez-vous cela ?

72 Croyez-vous que Sa Présence est ici ? Alors, pourquoi ne vous imposez-vous pas les mains les uns aux autres, vous les croyants, et prier pour celui qui est assis à côté de vous ? Chacun de vous, imposez-vous les mains les uns aux autres et croyez de tout votre coeur maintenant, alors que vous priez. Priez comme vous le faites à l’église. Croyez comme vous avez toujours cru. Maintenant, que cet Esprit de Dieu qui a fait de vous un chrétien soit aussi puissant et royal envers vous, alors que vous priez pour cette autre personne, comme ce fut le cas pour cette mère biche, d’être mère, cet Esprit loyal de Christ qui est ici maintenant, que le monde ne croit pas. Le monde Le hait. Le monde ne Le comprend pas. La Bible dit qu’ils ne Le comprendraient pas.
Le monde reconnaît les siens et Dieu reconnaît les Siens. Dieu l’a promis. C’est la vérité. Je ne mens pas, c’est la vérité. Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Priez maintenant.

73 Seigneur Jésus, il y a des mouchoirs placés ici, c’est pour les malades et les affligés. Je pose mes mains dessus, car nous avons appris dans la Bible qu’on retirait des mouchoirs et des linges qui avaient touché le corps de Paul, et des esprits impurs quittaient les gens et ils étaient guéris des maladies. Or, nous ne sommes pas saint Paul, mais Toi, Tu es toujours Jésus. Et je Te prie d’honorer ceci pour ces gens qui n’ont pas pu venir aux réunions. Puisse, une fois cela posé sur eux, puisse cela se faire. Comme l’a dit l’un des écrivains, quand la–quand la mer Rouge faisait obstacle aux enfants d’Israël, Dieu regarda vers le bas, au travers de la Colonne de Feu, avec des yeux courroucés, et la mer eut peur, parce qu’elle faisait obstacle aux croyants en plein accomplissement de leur devoir. Alors, la mer recula et les–les croyants traversèrent vers la Terre promise.
Seigneur Dieu, regarde ce soir, au travers du Sang de Ton Fils Jésus-Christ, ces mouchoirs, cet auditoire ici, avec leurs mains posées les uns sur les autres, en train de prier les uns pour les autres. Tu as dit : « Confessez vos fautes les uns aux autres, priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris, car la prière du juste a une grande efficace. »

74 Je prie, ô Dieu, alors que les–les chrétiens qui ont confessé ce soir sont en train de prier pour la personne sur laquelle ils ont leurs mains, puisse la puissance du Saint-Esprit venir sur cette personne-là. Puisse l’Esprit vivifier pour eux, Seigneur, cette réalité. Qu’ils ne ratent pas cela, Seigneur. Qu’ils ne soient pas comme ceux qui vont manquer cela, Père. Puisse Birmingham saisir maintenant sa vision de la Présence de Jésus-Christ ressuscité ! Plus que tous les prophètes, plus que tous les prédicateurs, plus que tous les papes, ou tous les potentats, ou que sais-je encore, c’est Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement, se manifestant dans ces derniers jours par Sa Parole promise. Accorde-le, Seigneur. J’offre cette foi, ou plutôt cette prière de foi pour eux, alors qu’ils prient les uns pour les autres. Nous Te présentons cela au Nom de Jésus-Christ.

75 Maintenant, chacun de vous, alors que vous avez vos mains sur quelqu’un d’autre... Maintenant, fermez simplement les yeux et, rappelez-vous, le Christ qui a promis ceci est venu ici et s’est manifesté. Oui, j’ai vu un homme être guéri là même de la tuberculose, il était assis là au fond, en face de moi. Maintenant, si seulement vous… Ça se passe partout, partout dans la salle.
Assurément, si Dieu… Un homme peut dire n’importe quoi. Cela ne le rend pas vrai. Mais quand Dieu descend et révèle cela, le manifeste et prouve que c’est la vérité, ne pas croire cela, c’est un péché impardonnable. Jésus a dit que cela ne sera jamais pardonné dans ce monde ni dans le monde à venir. Les Écritures promettent ceci, et le voici confirmé juste devant vous. Amis, au Nom de Jésus-Christ, recevez-Le pendant qu’Il est–pendant qu’Il est ici parmi nous ce soir, pendant que nous sommes avec Lui. Allez-vous croire cela ?
Et tous ceux qui croient réellement cela et L’acceptent comme leur Sauveur ou comme leur Guérisseur, voudriez-vous vous lever en guise de témoignage ? « Je vais me lever en guise de témoignage. Je crois réellement et j’accepte maintenant ma guérison, mon salut et tous mes besoins, dans la Présence de Christ. J’accepte maintenant cela. » Oh ! la la! Regardez dans la salle. C’est pratiquement toute l’assemblée qui est debout. Merveilleux. C’est beau. Maintenant, tout est fini, si vous croyez cela, si vous pouvez le croire.

76 Maintenant, fermons les yeux, levons les mains et chantons : Je L’aime, je L’aime, parce qu’Il m’aima le premier. Louons-Le, alors que nous Lui chantons maintenant, nous Lui chantons des louanges. Je L’aime, je L’aime
Parce qu’Il m’aima le premier,
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire. Levons les mains et disons : « Gloire au Seigneur ! [L’assemblée dit : Gloire au Seigneur ! – N.D.E.] Gloire au Seigneur ! [L’assemblée dit : Gloire au Seigneur ! – N.D.E.] Gloire au Seigneur [L’assemblée dit : Gloire au Seigneur ! – N.D.E.]. » Je L’aime (tout le monde) , je L’aime
Parce que… (Merci, Frère Urshan, qui sont ceux qui veulent être sauvés ? Je leur demanderai de venir devant.)
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire. Maintenant, inclinez la tête juste un instant. Le piano, l’organiste et le pianiste, allez directement de l’avant. Je me demande ce soir : Etes-vous toujours convaincus de croire ?

77 Je me demande si vous croyez que le Dieu qui peut me révéler le secret de coeur pour prouver que… Il n’est donc pas obligé de le faire, mais Il avait annoncé qu’Il le ferait. Quand Jésus est venu pour la première fois, Il n’était pas obligé de guérir, mais Il avait annoncé qu’Il le ferait. Il a fait cela afin que s’accomplisse ce qui avait été annoncé par le prophète. Et Il fait cela ce soir parce que les prophètes avaient annoncé qu’Il le ferait, et Jésus avait annoncé qu’Il le ferait aussi.
Maintenant, je me demande si vous qui voulez cet amour de Dieu dans votre coeur, comme la–comme la mère biche en avait pour son petit, vous voulez cet amour dans votre coeur pour Christ, et vous croyez qu’Il exaucera notre prière, voudriez-vous venir vous tenir ici, pendant que nous prions pour vous, pendant que nous chantons encore cela ? Avancez simplement ici. Faites donc une confession publique. Avancez simplement et tenez-vous ici; si vous croyez, cette prière, ma prière va vous aider. Avancez pendant que nous chantons encore ceci. Je (Maintenant, prouvez que vous L’aimez en venant.) L’aime, Je L’aime (Que Dieu vous bénisse)
Parce qu’Il m’aima le premier.
Et… (Descendez du balcon. Nous vous attendrons. Cela ne… Mon… Si vous être vraiment sincère, venez.) …lut
Sur le bois du Calvaire. Je… (Il y a des gens qui quittent le balcon et descendent. Tout le monde, chantez maintenant.) Je… (Entrez directement dans les allées, partout, venez directement.)
Parce qu’Il m’aima le premier. Souvenez-vous, le Dieu qui vous rencontrera au Jugement vous a rencontré ici, dans cette église ce soir. …mon salut
Sur …Calvaire.

78 Je me demande si tous les prédicateurs ici, ceux qui sont intéressés aux âmes perdues, qui ont encore une vision pour les nécessiteux, voudraient maintenant s’avancer parmi ces gens. Vous tous, les prédicateurs ici présent, chaque prédicateur qui croit que Dieu peut encore sauver un pécheur, vous pourrez voir maintenant même l’une des plus glorieuses choses que vous ayez jamais vues se passer. C’est ce que le Saint-Esprit veut. Je L’aime… Maintenant, prouvez-le, prouvez que vous êtes intéressés ; que vous L’aimez, vous L’aimez, vous aimez Ses enfants. … L’aime
Parce que… Maintenant, mêlez-vous juste à ces gens ici…?… Venez directement et entrez au milieu de ces gens, juste comme ceci, et mêlez-vous là, imposez-leur les mains. Venez directement ici. Maintenant, nous allons prier. Je crois que le Saint-Esprit va se déverser sur ces gens ce soir, ici même dans cet auditoire. …le bois du Calvaire.
Oh ! Combien j’aime Jésus…
(Tomber amoureux de Lui. Vous pouvez lire Sa Parole et…)
Oh ! Combien j’aime Jésus.
Oh ! Combien… Maintenant, enfermez le monde dehors, loin de vous, maintenant. Enfermez le monde entier dehors, loin de vous…?… Parce qu’Il m’aima le premier
Oh ! Combien j’aime (Merveilleux)
Oh ! Combien… Maintenant, prédicateurs, prenez quelqu’un ici…?… donc. Prédicateurs, passez directement ici. Entrez directement parmi les gens. Oh ! Combien j’aime Jésus,
Parce qu’Il… aima le premier. Maintenant, Il se tient ici. Il sait tout ce qu’il y a dans votre coeur. Ne pensez-vous pas qu’Il sait cela ? Ici même. Il n’y avait pas de secret. Il sait exactement ce dont vous parlez, ce dont vous avez besoin.

79 Maintenant, inclinons la tête, tout le monde, partout dans l’auditoire, vous qui ne pouvez même pas venir ici. Maintenant, prions. Chacun de vous, confessez simplement tous vos torts, confessez toute votre incrédulité. Dites : « Seigneur Jésus, peut-être que j’ai été autrefois membre d’église. J’ai fréquenté l’église, mais je n’ai jamais été satisfait. Il y avait l’une ou l’autre chose… Oh ! Il se peut que j’aie… Il se peut que j’aie crié ; il se peut que j’aie parlé en langues ; il se peut que je–j’aie adhéré à l’église. » Toutes ces choses-là sont bonnes. Je n’ai rien contre, mais ce n’est pas ce dont je parle.
Je parle de l’amour de Dieu qui est réel là au fond. C’est le Saint-Esprit. C’est ça. C’est ce qu’il vous faut, quelque chose de vraiment assaisonné, qui fera vraiment vivre la Parole de Dieu au travers de vous et agira au travers de vous, (Voyez ?), sans racines d’amertume dans le canal de… Le Saint-Esprit coule d’un trait en vous. C’est ce qu’il vous faut. Maintenant, inclinez simplement la tête et priez avec révérence, et vous les prédicateurs, imposez-leur les mains maintenant.

80 Notre Père céleste, nous T’apportons ce soir cet auditoire. Ils se tiennent ici, confessant, reconnaissant qu’ils ont été dans l’erreur. Probablement que leurs motifs et leurs objectifs ont été aussi faux. Mais ce soir, ils sont venus en croyant, croyant que Toi, Tu pardonneras chaque péché. Beaucoup d’entre eux ont fréquenté des églises pendant des années. Beaucoup d’entre eux ont–ont fait de grandes oeuvres de charité. Mais, Seigneur, ce soir, ils désirent une réalité ; ils désirent cette douceur, ce–ce Quelque Chose qui manque dans leur vie, ce Saint-Esprit de Dieu qui entre sous forme de la Parole. Et Tes serviteurs, les prédicateurs, Tes serviteurs leur ont imposé les mains.
Nous offrons cette prière pour eux, demandant, Seigneur, que ceci soit l’occasion où, pas autrement, mais au plus profond de leur coeur, ce sera réglé une fois pour toutes, dans Ta Présence, maintenant même. Puisse le Saint-Esprit entrer dans leur vie maintenant même et les adoucir, Seigneur, avec le–avec le glorieux miel du Ciel, et leur accorder une expérience qui sera une expérience perpétuelle; que cette glorieuse Présence du Dieu vivant puisse entrer avec hardiesse dans leur vie et leur donne ce dont ils ont besoin maintenant même.
Accorde-le, Eternel Dieu. Ils sont Tiens. Je Te les présente comme des offrandes d’amour, comme un sacrifice, alors que–alors qu’ils le font ici. Et puisse le Saint-Esprit rendre cela réel pour eux maintenant. Ô Dieu, accorde-le, au Nom de Jésus.
Votre pasteur va prier. [Le pasteur prie. – N.D.É.] Oui, Seigneur. Oui, Seigneur. Accorde-le.

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