Trois Témoins

Date: 51-0728 | La durée est de: 1 heure et 47 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, Frère Baxter. Bonsoir, mes amis. Je suis très content d’être ici ce soir pour représenter encore notre Bien-Aimé Seigneur Jésus. J’aimerais vous complimenter pour ce cantique-là, alors que j’arrivais, comme vous chantiez cela. Mon fils est arrivé au sommet des marches et il est redescendu, il a dit: «Entends-tu cela?» C’était un très beau chant. J’ai toujours dit: «J’aime beaucoup chanter. Quand vous arriverez donc au Ciel et qu’on sera en train de chanter... là où il y aura des chants, c’est là que je serai.» J’aime entendre cela.

            Je disais aux miens dans mon église, je disais, là au... Je crois que c’était pour moi une petite chose mystique, que je leur racontais, je disais: «La rivière de la Vie coule depuis le Trône de Dieu, et elle fait une courbe ici, disais-je. Et de ce côté-ci de la colline, il y a une grande chorale d’anges, de grands chanteurs de tous les âges chantent là jour et nuit.» Je disais: «De cet autre côté-ci, il y a un petit arbre, et je serai assis sous ce petit arbre-là en train d’écouter, si jamais vous voulez me trouver.» C’était pour moi simplement quelque chose que je disais à mon–mon église. Que cela soit ainsi ou pas, je ne sais pas, mais peu importe ce que ce sera, ça sera glorieux tant que Jésus sera là. Ce sera–ce sera glorieux.

2          Demain après midi, me disait le frère, j’étais censé parler à quatorze heures trente, je pense, demain après-midi. Et puis, demain soir, il y aura notre service de clôture. Nous espérons que ce sera quelque chose de glorieux pour vous tous, que Dieu vous aidera et vous bénira tous. Et je–je sais bien qu’Il le fera. Et je Lui fais simplement confiance. Rappelez-vous, celle-ci est l’une de mes dernières réunions en Amérique. Ainsi donc, je fais simplement confiance en Dieu que ce sera une chose glorieuse.

            Et c’est ma première fois donc de tenir un service ici en Pennsylvanie. J’ai rencontré ce matin des amis qui me parlaient de frère Roberts, un autre frère qui prie pour les malades. Je me rappelle qu’il était dans la rangée, la rangée de côté; il observait l’oeuvre. Il est venu vers moi, il a dit: «Frère Branham, pensez-vous que Dieu fera cela pour moi?»

            J’ai dit: «Que voulez-vous dire, Frère Roberts?»

            Il a dit: «Exaucer la prière.»

            J’ai dit: «Il le fera pour n’importe qui.» C’est vrai.

3          Et aussi, frère Osborn est ici. Beaucoup parmi vous connaissent frère Osborn, j’aime vraiment ce jeune homme. Il a assisté à ma réunion, cette soirée-là, je pense, à Portland, dans l’Oregon, quand ce fou courut à l’estrade, un homme de pratiquement trois cent livres environ [136 kg]; il venait de sortir de l’asile des fous. Il détestait vraiment les prédicateurs. Il avait cogné un homme la veille. Il était recherché par la police. Il lui avait cassé la clavicule, la mâchoire, et l’avait terrassé dans la rue. Et il évitait la police, et alors il était entré. Il y avait cinq mille... cinq cents là-bas cette nuit-là. Et je venais de monter à la chaire, je me tenais simplement là en train de parler sur la foi. Et tout d’un coup, quelqu’un est venu en courant à l’estrade, il a couru vers la chaire. Environ trois cents prédicateurs étaient assis là derrière et eux tous connaissaient cet homme. Il portait un costume gris, un homme colossal. Il est monté en courant et martelant simplement comme cela, très vite. Et j’ai pu détecter que quelque chose clochait. Mais jamais je...

            Vous savez, la Parole de Dieu vient en premier. Cela passe en premier. Quand cette Parole est proclamée, c’est là que tout devrait se passer avec respect. Et alors, il a couru à l’estrade. Il a dit: «Toi hypocrite, a-t-il dit, toi serpent dans l’herbe.» Il a dit: «Je vais te prouver à quel point tu es homme de Dieu, a-t-il dit. Je vais te briser chaque os du corps.»

4          Alors, je me suis retourné vers lui, j’ai vu qu’il était possédé des démons. Et je venais de conduire deux jeunes agents de police à Christ, c’était derrière dans la salle d’attente, dans le vestiaire. Et rapidement, ils se sont précipités à l’estrade, je leur ai fait signe. Ce n’était pas une affaire de la chair et du sang; c’était entre des puissances spirituelles. Je suis simplement allé de l’avant avec le... J’ai commencé le message, et ces prédicateurs, trois cents d’entre eux, ont commencé à reculer. Frère Baxter était présent, il est assis là. Je venais de faire sa connaissance. Beaucoup de prédicateurs, je pense que vous tous, vous connaissez. Et docteur Wyatt, vous souvenez-vous de lui? Il est... il était là. Et Booth, frère Booth-Clibborn, vous vous rappelez qu’il était là, et beaucoup de ceux qui sont là dans les environs de Portland, en Ore-... la région.

            Et, oh! quel homme c’était! Il s’est retourné et a dit: «Toi hypocrite, a-t-il dit, toi séducteur, a-t-il dit, tu te tiens ici à l’estrade et tu te fais passer pour un homme envoyé de Dieu, devant ces gens, tu te comportes comme ça.» Il a dit: «Je vais te prouver à quel point tu es envoyé, a-t-il dit, je vais te briser chaque os de ton corps frêle ce soir.»

5          Eh bien, sur le plan physique, il en était certainement capable. Et il pesait pratiquement trois cents livres [136 kg], je suppose; il mesurait environ six pieds et deux pouces [1,88 m] et il avait des bras à peu près comme ça. Et il avait les yeux fixes, les dents... ensemble tranchantes comme des ciseaux. J’ai simplement continué à parler. Et il s’est rué vers moi, a foncé vers moi, disant: «Je vais te briser chaque os du corps.»

            Alors, je me suis retourné, pour le regarder... Eh bien, vous feriez mieux d’être sûr, vous savez ce dont vous parlez en de tels moments. Il n’y a là aucune possibilité pour vous de–de vous tromper, vous feriez mieux de laisser Dieu s’y prendre à Sa façon. Alors, je... Il m’a dit... Il m’a promis, en m’envoyant, de prendre soin de moi. C’est donc à Lui de faire cela. Voyez-vous? Donc, je... Eh bien, je... Et Il le fera, dans chaque bataille.

            Alors, je me suis retourné vers lui. Je me suis tenu là juste quelques instants, juste une ou deux secondes, et il m’a encore traité de serpent dans l’herbe, d’hypocrite. Et je n’avais jamais dit quoi que ce soit, j’ai encore levé les yeux et il a dit: «Ce soir, je vais te briser chaque os du corps.» Et il a dit... [Frère Branham illustre le fait de cracher.–N.D.E.] Il m’a craché droit au visage, comme cela. Et j’allais dire quelque chose. Je ne ferais pas cela, amis, j’allais dire cela. Au lieu de cela, l’Ange du Seigneur est descendu en tourbillonnant et a dit: «Ce soir, tu tomberas sur mes pieds. Tu t’inclineras au Nom du Seigneur Jésus-Christ.»

6          Eh bien, ce n’était pas moi, c’était Dieu. Tous deux avaient donc prononcé leurs prophéties. Tous deux avaient lancé leurs défis, les deux esprits. Eh bien, la chose suivante, c’était: Qui avait raison? Il a dit: «Je vais te montrer comment je vais m’incliner à tes pieds.» Et il a foncé comme ça, il a tiré son gros poing vers l’arrière. Et tout le monde était resté bien fasciné. Evidemment, tous ces démons étaient là, c’était leur légion. Je suis sûr que je parle à des gens spirituels. C’étaient des légions. Tout était entré dans cet homme. Comme Goliath d’autrefois. Et il était... Oh! Il a lancé ce défi avec audace, il s’est précipité vers l’avant, il a dit: «Je vais voir sur les pieds de qui je vais tomber.» Et il a tiré son gros poing vers l’arrière comme ça.

            J’ai dit: «Satan, sors de cet homme.»

            Et alors il a fait... Il a lâché un cri très fort, il a levé les mains, ses yeux se sont écarquillés comme ça, il s’est écroulé au point que la police a dû le repousser pour le retirer de mes pieds, comme il me clouait au plancher.

            Ils ont demandé: «Est-ce que cet homme est mort?»

            J’ai dit: «Non.»

            «Eh bien, ont-ils demandé, est-il guéri?»

            J’ai dit: «Non. C’est seulement Dieu qui montre Sa puissance pour amener ce démon à s’incliner devant Lui.» C’était tout. Voyez? J’ai dit: «Il n’est pas mort.»

7          Combien ont lu cela dans le livre? Oh! Beaucoup parmi vous ont mon livre, le récit là-dessus. Et c’est... Concernant ces livres-là, j’aurais voulu en avoir beaucoup, mais nous n’en avons pas, passez simplement la commande au bureau, nous en aurons encore dix mille très bientôt.

            Et frère Osborn, sa femme était là cette nuit-là. Alors, frère Osborn a dit (Il a jeûné seul dans une chambre, la porte fermée), il a dit: «Seigneur, si Tu es toujours Dieu comme cela, Tu peux aussi m’aider», le jeune homme.

            Et puis, quelques semaines après cela, il a parqué chez nous à bord d’une voiture, sa femme et lui. Il a dit: «Frère Branham, pensez-vous que Dieu me bénirait si je priais pour les malades?»

            J’ai dit: «Il bénirait quiconque priera pour les malades.»

            Il a dit: «Eh bien, voici, je m’en vais.»

            J’ai dit: «Que Dieu soit avec vous, frère.»

8          Et il a certainement fait un grand travail pour notre Seigneur. C’est un frère très humble et doux, et je l’aime. Et j’ai appris qu’il est de nouveau aux Etats-Unis maintenant. Il va souvent outre-mer beaucoup plus avec le... là dans les îles, il a accompli un grand travail pour notre Seigneur. Et si jamais il est dans les parages, eh bien, vous... Je–je vous assure, c’est un bon frère; allez simplement écouter. Il est très bien. Il est très sincère, et c’est ce qu’il faut.

            Et je me rappelle que j’étais entré discrètement dans l’une de ses réunions une fois; il ne savait même pas que j’étais là. Il a dit: «Eh bien, vous qui passez dans la ligne de prière, a-t-il dit, je ne suis pas frère Branham.» Il a dit: «Ne me demandez pas ce qui cloche chez vous; je ne le sais pas, a-t-il dit, mais je sais que la Parole dit qu’Il vous guérira.» Et il ne savait même pas que j’étais là, et il n’a jamais su que j’étais là. J’avais juste pris un avion–pris un avion juste là et j’étais assis au fond de la salle, j’étais sorti cette nuit-là. Il n’a donc jamais su que j’étais là, mais... C’est ce que j’aime, la sincérité (Voyez?), la sincérité. Et à vous les frères ici présents, Dieu bénira chacun de vous dans vos églises. Vous n’avez pas à tenir des campagnes de guérison, mais Dieu vous bénira dans votre église, si vous priez pour les malades, chacun de vous, assurément.

9          Eh bien, en ce qui concerne le discernement spirituel, comme ça, il y a–il y a dans l’église neuf dons spirituels qui–qui peut-être peuvent être ce soir sur quelqu’un et sur un autre, mais il y a... Je dis ceci avec respect: les dons et les appels sont sans repentir. Cela va... Il y aura... Il y a un don de discernement dans l’église; c’est vrai. Voyez-vous? Mais, un don prophétique est ordonné à venir avant la fondation du monde. Cela n’arrivera jamais avant que je meure; il passera de moi à quelqu’un d’autre. Voyez-vous? Mais cela... Mais maintenant, cela n’enlève pas la–la valeur au Saint-Esprit qui est ici pour faire tout ce que vous voulez qu’Il fasse. C’est vrai. Et chaque frère dans le... chaque personne qui croit dans la prière pour les malades a le droit de prier pour les malades. C’est–c’est vrai.

            Maintenant, si vous remarquez bien dans les milieux des pentecôtistes et ceux de toutes les religions, il est censé y avoir dans le Corps de Christ neuf dons spirituels. Croyez-vous cela? Eh bien, c’est... Eh bien, si vous remarquez bien: «Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes, Dieu, dans ces derniers temps, nous a parlé par Son Fils, Jésus-Christ.»

10        Eh bien, il y a un Corps; et dans ce Corps, nous avons tous été baptisés dans le Saint-Esprit pour former ce Corps, et nous sommes devenus participants de Dieu et de la Vie Eternelle, par le don de Dieu, qui est un don gratuit de Dieu donné à «quiconque veut, qu’il vienne.»

            Maintenant, c’est cela qui nous place dans le Corps. Et quand nous sommes dans le Corps, neuf dons spirituels opèrent dans ce Corps. Voyez? Et cela viendra sur quelqu’un.

            Eh bien, tenez... Je ferais mieux de laisser ce sujet de côté. Voyons, je ne suis point venu ici pour enseigner. Je–je suis venu parler, prier pour les malades. Ça peut être un peu contraire à votre enseignement théologique, voyez-vous. Mais de toute façon, que Dieu soit avec vous, qu’Il vous aide, et qu’Il vous bénisse, c’est ma prière. Très bien.

11        Maintenant, L’aimez-vous? Il est tout aussi merveilleux. Oh! la la! Il vous aime vraiment, vous tous. Et je suis sûr que vous L’aimez. En effet, il y a une grande communion de l’Esprit ici ce soir. Et c’est vraiment dommage que nous ayons à quitter demain. J’aurais voulu que nous puissions rester un mois et voir ce qui arriverait, voyez-vous, jusqu’à ce que donc nous... D’abord, c’est tout nouveau. Et ensuite, cela s’établit simplement, on dirait qu’il faut deux ou trois soirées pour repousser les puissances de l’ennemi, vous savez...

            Les chrétiens arrivent parfois, et ils–ils se disent: «Eh bien, il me–il me faut simplement voir cela; c’est tout.» Et puis, la soirée suivante, ils se demandent: «Eh bien, comment cela peut-il se faire?» Et vers la troisième ou la quatrième soirée, ils sont prêts à dire: «Eh bien, Seigneur, me voici.» Eh bien... Et en ce moment-là, il est alors temps pour moi de partir. Mais à mon retour de l’Afrique, le Bon Seigneur voulant, je n’ai pas l’intention d’être encore dans la précipitation, sous pression, être poussé et prendre quelques chemises et attraper un avion. Je–je vais aller là où le Seigneur me montre et rester là même jusqu’à ce qu’Il me dise de quitter. S’il me faut rester dans les coins d’une rue ou emprunter un champ à un fermier, nous–nous resterons là même jusqu’à ce que le Seigneur dise qu’il est temps de quitter.

12        S’Il peut me montrer ce qui cloche dans la vie des gens, Il peut me montrer où aller, quoi faire, et combien de temps rester. Et j’ai en tout cas été trop pris. Je vais dans... Eh bien, premièrement, quand j’avais quitté l’Eglise baptiste pour devenir interdénominationnel, pour aider les frères à se rassembler, faire tout mon possible... Voyez? Je crois que nous sommes tous frères en Christ. Et je ne crois pas que nous devons être divisés. C’est bien d’avoir différentes églises, de petites croyances propres, mais cela fait... ce n’est pas la partie fondamentale. L’essentiel, c’est que nous sommes frères (Voyez?); nous sommes ensemble. Nous sommes tous entrés dans un seul Corps par la naissance.

            Eh bien, j’avais–j’avais... j’ai eu neuf frères, deux d’entre eux sont–sont morts. Et–et il n’y a aucun d’eux qui me ressemble, ou probablement qui agit comme moi, mais ce sont mes frères. Ainsi donc, sur le plan familial, nous sommes tous des Branham parce que nous sommes nés dans la famille Branham. Et nous sommes tous frères du moment que nous sommes entrés en Christ par la naissance. Et je crois que bientôt, eh bien, le Seigneur va me permettre d’avoir une issue grâce à laquelle je pourrai être libre. Frère Baxter et moi, nous en avions parlé.

13        Et j’avais commencé, et nous... j’avais monté un petit journal intitulé The Voice of Healing [La Voix de la Guérison.]. On l’a toujours ici. Eh bien, j’ai découvert après que cela exigeait beaucoup d’argent et autres. Alors, je me suis débarrassé de cette histoire il y a longtemps. Donc, The Voice of Healing n’est pas mon journal. Je n’ai rien à faire avec cela, rien du tout. Il appartient à frère Lindsay, de Shreveport, en Louisiane.

            Et j’ai fini par découvrir, quand j’étais entré dans cela, et je pensais sortir des organisations, et j’étais entré dans une. Alors, c’était toujours pratiquement organisé au point que chacun d’eux là, et alors, je... J’appartiens à mon... juste au Seigneur Jésus. Ainsi donc, je peux venir, aller n’importe où je veux. Et tout ce qu’Il me conduit à faire, je peux être libre.

            Frère Ro... Combien reçoivent ce Voice of Healing? Faites voir les mains. C’est un très bon petit journal. Combien reçoivent The Healing Waters [Eaux de la Guérison] de frère Roberts? C’est là un autre bon journal. Et je pense... N’est-ce pas que frère Osborn en a un appelé The Voice of Calvary [La Voix du Calvaire]? Ou, n’y a-t-il pas quelque chose comme cela, quelque chose du genre Voice of Calvary? Ou quelque... Il me l’a envoyé. Je pense qu’il l’imprime de temps en temps; c’est trimestriel, ou quelque chose comme cela. Ce sont de très bons journaux, et–et que Dieu les fasse prospérer. Je crois que les Ecritures déclarent qu’on doit publier Ses oeuvres, ou quelque chose comme cela. C’est donc bien. Pour ces hommes qui sont instruits, qui peuvent aller de l’avant et faire cela, eh bien, je–je suis... C’est bien. Mais, quant à moi, je ne suis pas capable de faire pareille chose. J’ai une piètre instruction du septième niveau de l’école primaire, en plus. Vous le savez sans que je vous le dise en tout cas.

14        Il n’y a pas longtemps, j’étais là à Fort Wayne, par ici, et je venais de terminer une réunion, et je suis passé derrière. Et il y avait là une petite fille qui avait été aveugle et qui était guérie. Combien reçoivent le... Combien ont vu ce We The People, le livre We The People? Y avez-vous vu l’article? C’est un livre de portée internationale, et ce–et ce sont des publications largement répandues; ça va dans le monde entier et c’est traduit dans diverses langues. Et un article se rapportant à moi y était publié dans la rubrique réservée à la religion. Et alors, il y avait...

            Combien reçoivent le journal de l’Assemblée de Dieu? C’est quoi? Pentecostal Herald. Est-ce que c’est ça ou...?... Evangel... Pentecostal Evangel? [Evangile pentecôtiste] Combien reçoivent cela? Y avez-vous vu l’article sur la petite fille de Fort Wayne? Eh bien, c’était juste après que cela était arrivé.

15        J’étais derrière les rideaux, et il y avait là derrière un homme, je pense, qui avait tellement d’instruction qu’il ne savait qu’en faire. Il m’a vraiment attaqué. Il a dit: «Frère Branham, quelle idée! Vous utilisez la grammaire la plus pauvre.»

            J’ai dit: «Je le sais.»

            Et il a dit, il a dit: «Eh bien, votre grammaire est horrible. Vous tenir devant des foules comme celle devant lesquelles vous vous tenez!» Et il a dit: «Votre grammaire est si horrible.»

            «Oui, monsieur, ai-je dit, je le sais.» J’ai dit: «Je suis né dans une famille pauvre, et j’ai dû travailler toute ma vie.» J’ai dit: «Je n’ai pas eu l’occasion...»

            Il a dit: «Oh! Cela n’est pas une excuse présentement; vous êtes un homme.»

            J’ai dit: «Eh bien, c’est vrai, frère.» Et j’ai dit: «Mais quand j’étais devenu un homme, ai-je dit, le Seigneur m’a appelé à telle oeuvre, et donc, je... Je dois passer toute ma vie à prier pour les malades», ai-je dit.

            Il a dit: «Oh! Il n’y a pas d’excuse pour ça.» Il a dit: «Oh! la la! Je vous suis, a-t-il dit; c’est une honte, le mot que vous utilisez.» Il a dit: «Corrigez-vous maintenant.» Il a dit: «Je vous ai entendu dire là-bas ce soir: ‘Vous tous qui passez par ce polpit’». Et il a dit: «Eh bien, c’est horrible, Frère Branham.»

            J’ai dit: «Oui, monsieur, je pense que c’est vrai.»

            Il a dit: «Or, ces gens vous apprécieraient davantage si vous disiez pulpit au lieu de polpit.» Il m’a bien asséné un coup un peu dur là, vous savez.

            Et j’ai dit: «Frère, écoutez, je vous aime, ai-je dit, je pense que vous êtes un merveilleux homme, mais ces gens-là dans l’assistance ne se préoccupent pas que je dise pulpit ou polpit. Ils veulent me voir mener le bon genre de vie et manifester ce dont je parle.» J’ai dit: «C’est–c’est ce que je suis...» Et j’ai dit: «Alors, ils...» [L’assistance applaudit.–N.D.E.] Merci, merci. Cela... Je crois que c’est vrai. Eh bien, je ne cherche pas à soutenir mon ignorance, mais c’est...

            Amis, il ne vous faut pas avoir une grande instruction pour connaître Dieu. Voyez? Franchement, l’instruction est l’un des pires obstacles que l’Evangile de Christ ait jamais connu. Je dis cela avec respect et révérence. C’est vrai. Le pire obstacle.

16        Dans le jardin d’Eden, il y avait deux arbres. L’un était la connaissance. Et l’autre, l’Arbre de la Vie. Et quand l’homme a quitté l’Arbre de la Vie et qu’il a pris la première bouchée de l’arbre de la connaissance, il s’est séparé de Dieu. Ainsi donc, il prend une bouchée de poudre à canon, il se détruit. Il a pris une bouchée d’électricité, il extrait le charbon de la terre, là où... sous cela, à huit mille miles [12.875 km], il y a un volcan qui brûle, et ces...

            Eh bien, il se tape une bouchée de l’automobile, il tue plus de gens que toutes les guerres. Il se tape la bombe à hydrogène présentement; je me demande ce qu’il va en faire. Il prend toujours une bouchée de cet arbre de la connaissance. Et chaque fois qu’il prend une bouchée, il se sépare simplement, il se détruit.

            Et on ne connaît pas Dieu par la connaissance, on connaît Dieu par la foi. Par la foi, vous croyez. Ne cherchez pas à comprendre cela, croyez simplement. Et c’est ainsi qu’on connaît Dieu. Que Dieu vous bénisse.

17        Maintenant, nous pouvons incliner la tête. Père céleste, rien que se tenir à cette chaire et prononcer ces quelques paroles sans... juste informelles, nous Te remercions vraiment pour cela, d’avoir eu une possibilité de dire, d’exprimer nos pensées aux gens et de les entendre réagir à cela. Cela réjouit mon coeur de savoir cela, Père, que ces bien-aimés assis ici sont Tes enfants et que nous nous sommes rassemblés au Nom de Ton Fils, qui a promis que «là où deux ou trois sont assemblés, Je serai au milieu d’eux.» Nous voici.

            Et juste dans quelques instants, nous allons devoir tourner les pages de ce précieux vieux Livre appelé la Bible. Je dois lire Cela, Seigneur, quelques extraits là-bas en rapport avec les jours passés. Et je Te prie, Père, de rendre cela manifeste pour nous ce soir. Et quand nous quitterons ce bâtiment ce soir et que nous nous engagerons dans les rues vers nos maisons respectives, que–que nous puissions dire dans nos coeurs: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous lorsque le Christ ressuscité était là avec nous?»

            Que beaucoup de ces malades... Nous sentons la grande pression juste en ce moment-ci, une traction provenant des mourants étendus là. Certains ne peuvent pas vivre très longtemps; ils souffrent du coeur, de cancer, de tuberculose, de beaucoup d’autres maladies qui leur ôteront rapidement la vie si Tu ne leur permets pas d’avoir assez de foi ce soir pour accepter la voie à laquelle Tu as pourvu pour eux. Ô Dieu, que les anges descendent ce soir et qu’ils se tiennent à côté de chaque patient dans la salle. Exauce-moi, Père.

18        Et si Ton humble serviteur a trouvé grâce à Tes yeux, alors exauce ma prière. Que celle-ci soit la soirée des soirées, Seigneur, ce samedi soir juste avant l’aube du sabbat. Ô Dieu, accorde-le maintenant, ce soir, que les anges, des légions d’entre eux descendent dans cette salle. Que toute méchante pensée, tout ce qui n’est pas la foi soit repoussé. Et qu’il y ait une telle réaction et un tel embrasement de la foi que les estropiés se lèveront des fauteuils, que chaque cas de cancer sera guéri, chaque cas de tuberculose, chaque cas de maladie du coeur. Et que la gloire de Dieu remplisse tellement la salle que ça sera comme dans les jours anciens, quand Salomon consacrait le temple et que le Saint-Esprit était entré, ou plutôt le feu, et s’était posé au-dessus de l’autel. Que le grand Ange de Dieu qui a guidé Ton serviteur déploie maintenant Ses ailes sur cette salle ici. Et que les gouttes de la rosée de grâce et les puissances de guérison de Dieu tombent sur chaque âme, au point que la foi ira, surpassera tous les doutes, s’introduira dans les sphères au-delà de ce...

            Ô Dieu, réveille-nous de ce rêve rattaché au sens dans lequel nous sommes. Puissions-nous aller au-delà de cette sphère, entrer dans ce... là où tout est possible, et là, nous emparer de la Vie Eternelle et de la guérison divine, et sortir d’ici ce soir victorieux en Jésus-Christ. Car nous le demandons en Son Nom. Amen.

19        Maintenant, alors que j’ouvre cette sainte vieille Parole, Elle représente vraiment beaucoup pour moi. Je souhaiterais lire divers passages sur notre Seigneur. J’aimerais premièrement lire là où notre Seigneur parle Lui-même, une confirmation, Dieu parlant de Son Fils. C’est dans Saint Jean, chapitre 4, à partir du verset 14. Jésus, lors de Sa conversation au puits:

            Mais celui qui boira des eaux que je lui donnerai n’aura jamais soif, et l’eau que je lui donnerai deviendra en lui... source d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle...ou la vie éternelle, (Pardonnez-moi.)

            La femme lui dit: Seigneur, donne-moi cette eau, afin que je n’aie plus soif, et que je ne vienne plus puiser ici.

            Va, lui dit Jésus, appelle ton mari, et viens ici.

            La femme répondit: Je n’ai point de mari. Jésus lui dit: Tu as eu raison de dire: Je n’ai point de mari.

            Car tu as eu cinq maris, et celui que tu as maintenant n’est pas ton mari. En cela tu as dit vrai.

            Seigneur, lui dit la femme, je vois que tu es prophète.

            Et dans l’Evangile selon Saint Jean, chapitre 1, à partir du verset 42, voici ce que nous lisons:

            Le lendemain, Jésus voulut se rendre en Galilée, et il rencontra Philippe. Il lui dit: Suis-moi.

            Philippe était de Bethsaïda, de la ville d’André et de Pierre.

            Philippe rencontra Nathanaël, et lui dit: Nous avons trouvé celui... qui Moïse a écrit dans la loi, et dont les prophètes ont parlé, Jésus de Nazareth, fils de Joseph.

            Nathanaël lui dit: Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon? Philippe lui répondit: Viens, et vois.

            Jésus, voyant venir à lui Nathanaël, dit de lui: Voici vraiment un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.

            D’où me connais-tu? Lui dit Nathanaël. Jésus lui répondit: Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous le figuier, je t’ai vu.

            Nathanaël répondit et–et lui dit: Rabbi, tu es le Fils de Dieu... le roi d’Israël.

            Et au chapitre 5, au verset 36, Dieu parle premièrement de Son Fils, Il confirme Ses déclarations. Le suivant, c’est Jean qui parlait de Lui. Maintenant, le Fils parle de Lui-même, le verset 36 du chapitre 5.

            Moi, j’ai un témoignage plus grand que celui de Jean; car les oeuvres que le Père m’a donné d’accomplir, ces oeuvres mêmes que je fais, témoignent de moi que c’est le Père qui m’a envoyé.

20        Il y a trois témoins: Jean parle, Dieu parle pour Lui, et Il parle pour Lui-même; trois témoignages qui établissent qu’Il a été envoyé de Dieu pour accomplir les oeuvres de Dieu. Et maintenant, Il est le même aujourd’hui. Et il est écrit qu’en ce jour-ci, les choses que nous voyons et entendons maintenant devaient être ici. Tout cela, c’est pour accomplir ce que le Seigneur avait dit. Toute Ecriture est inspirée. Et son accomplissement doit vite avoir lieu comme le temps approche.

            Qui aurait pensé, il y a quelques années, que votre arrière-grand-père avait rencontré son voisin et avait dit: «Vous savez, il est écrit dans la Bible qu’il arrivera un temps où des chars sans chevaux se précipiteront sur les places; ils se lanceront avec furie; ils courront comme des éclairs.»

            Eh bien, peut-être que son voisin critiqueur aurait dit: «Eh bien, Jean a un peu perdu la tête. Il a trop lu la Bible.»

            Mais ses arrière-petits-fils roulent à bord de l’un de ces engins aujourd’hui. Voyez, quand Dieu parle, c’est définitivement–c’est définitivement réglé au Ciel. Cela doit donc s’accomplir. Et alors, Jésus était venu, et Sa guérison, c’était pour accomplir le ministère d’Elie et de tous les prophètes depuis la fondation du monde. Il en était l’accomplissement. La loi et les prophètes ont subsisté jusqu’à Jean; depuis lors, c’est le Royaume des Cieux.

21        Maintenant, ce soir, le Saint-Esprit est dans Son Eglise pour accomplir ce que le Nouveau Testament avait dit devant s’accomplir dans les derniers jours. Et vous voyez dans la rue et partout les gens qui critiquent et disent: «Ces choses-là ne sont pas vraies.» Je suis simplement désolé pour eux. Car ce sont les gens... peut-être... Il doit y avoir quelqu’un de ce côté-là. Et, rappelez-vous, ils seront plus nombreux que vous, que nous. Voyez? Il y aura des moqueurs dans les derniers jours. Et la Bible déclare qu’ils viendront dans les derniers jours et seraient des religieux. Ils seront enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, intempérants, ennemis des gens de bien. Ils vous taxeront de saints exaltés, de tous les noms qu’ils peuvent, juste pour se moquer de vous. Saints exaltés, ennemis des gens de bien, ayant l’apparence de la piété, ils fréquentent l’église, l’école du dimanche, mais renient ce qui en fait la force. Eh bien, cela n’allait pas avoir lieu en ce jour-là. Cela doit se passer en ce jour-ci. L’Esprit dit expressément que dans les derniers jours, c’était la fin tel qu’Il... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

22        Voici ce qui se passe: L’esprit antichrist n’est pas l’esprit communiste. L’esprit antichrist est un esprit religieux. J’ai livré mon âme; c’est ce que Dieu voulait que je fasse, là même. Amen.

            Père, nous Te remercions. Maintenant, je–je suis Ton serviteur, et je crois de tout mon coeur, aussi certainement que je crois que je me tiens ici avec ma main sur Ta Parole, que c’est ce que Tu voulais que je dise. Et j’ai attendu, tournant tout autour en balbutiant, jusqu’à ce que Tu as prononcé la Parole. Maintenant, nous Te remercions, Seigneur. Et nous Te prions d’accorder aux hommes et aux femmes ici ce soir de faire attention, de marcher prudemment, car nous savons qu’il est écrit en ces jours-ci sur ce qui doit arriver. Et c’est vrai, cela vient de nouveau dans mon esprit maintenant, que là dans l’Evangile de Matthieu, Jésus a dit: «Les deux esprits seront si proches que cela séduirait même les élus si c’était possible.»

            Et, Père, nous savons que ces choses existent maintenant. Et nous Te remercions. Puissions-nous prendre cet avertissement à coeur pour veiller à tout ce que nous faisons. Nous Te remercions au Nom de Jésus-Christ. Amen.

23        Eh bien, hier soir (et frère Baxter m’a dit que ce soir il quitterait juste un peu tôt), je voulais donner un témoignage. Est-ce que je rends cela misérable pour vous en vous retenant ici assez longtemps pour donner un témoignage? Si c’est le cas, je–je regrette vraiment. Et je dois donc attendre un peu que mon assistance se détende un peu, et puis ça sera de loin plus glorieux quand nous nous mettrons à prier pour les malades. Et je m’attends simplement à ce que Dieu fasse quelque chose de merveilleux ce soir. Je–je le Lui ai demandé. Cet après-midi, je Lui ai demandé de bien vouloir faire cela. Et je Lui ai demandé de bien vouloir aider, et si encore une fois Il...

            Eh bien, hier soir, c’était l’unique soirée où j’ai vu qu’on en arrivait réellement à une vraie réunion. Mais il y a eu une explosion très spontanée de foi. La salle devant moi était illuminée. Et j’ai été inconscient pendant un petit moment jusqu’à ce qu’on m’a fait sortir dans la rue, et il pleuvait. Et mon petit garçon continuait à me parler, et je ne répondais pas. Alors, il a simplement ouvert la fenêtre et la pluie est tombée sur moi. Et cela m’a un peu fait revenir à moi-même.

24        J’ai connu des fois où je marchais pendant... On me faisait sortir dans la rue, on me faisait marcher pendant des heures. Voyez? Ce n’est pas quand vous êtes là en haut; ce n’est pas quand vous êtes ici en bas; c’est quand vous êtes entre les deux endroits, c’est ce qui fait ça. C’était un peu difficile pour moi à comprendre au début. Peut-être que je prends trop de temps. Il est déjà venu à l’estrade. Très bien. Je vais terminer ce témoignage, le Seigneur voulant, une partie de cela; et puis, demain soir, je vais essayer d’apporter plus de cela.

            Hier soir, je disais que j’ai été en Finlande, je veux dire en Angleterre, je pense, là où le...madame Florence Nightingale avait été guérie; n’est-ce pas là que j’étais arrivé? C’était lors de notre tournée en Europe. Nous sommes partis de là, et aussitôt que j’avais foulé le sol d’un autre pays, on dirait que l’Ange du Seigneur me quittait difficilement jour et nuit. C’était constamment...

25        Eh bien, monsieur Baxter ici et tous les autres le savent. Nous sommes allés en ville, nous étions assis là, j’ai dit: «Frère Baxter, quand on va remonter la route, deux femmes apparaîtront; elles sortiront du coin; elles seront habillées de telle manière et elles demanderont une certaine chose. Puis, nous effectuerons une courte distance, et un homme descendra de l’escalier; il va demander une certaine chose. Différentes choses se produiront.» Et demandez-le-lui simplement. Cela ne manque jamais d’arriver tel quel.

            Et aussi, ici récemment à Cleveland, dans l’Ohio. Je me demande s’il y a ici quelqu’un qui était à la réunion de Cleveland. Eh bien, c’est merveilleux. Eh bien, vous avez probablement entendu ceci, c’est juste une petite confirmation.

26        Dimanche... Maintenant, on est samedi soir. On doit donc aller à l’église le matin, c’est donc en ordre. Soyez à votre poste de devoir le matin. Et ayez de la considération pour tous les pasteurs, même s’ils ne collaborent pas dans cette série de réunions. Vous qui venez ici, exprimez-leur mon amour et mon estime. Allez-vous le faire? Et dites-leur que du fond de mon coeur, je les aime, et j’ai confiance que–que Dieu bénira bien leur ministère. Et puissent-ils prospérer, que votre église croisse et prospère vraiment. Et ramenez les bonnes nouvelles dans vos églises le matin, partout.

            Et vous les étrangers qui êtes ici, vous avez vu les pasteurs ici à l’estrade, et autres; allez dans leurs églises demain pour l’école du dimanche et passez un glorieux moment, c’est ma bénédiction pour vous.

27        Maintenant, ceci... A Cleveland, il y a eu un petit cas remarquable là-bas. Et souvent, cela arrive et des choses se passent. Je ne dis rien à ce sujet, et je vais simplement de l’avant et j’observe simplement ça. En effet, j’ai de fois l’impression que je dis trop de choses aux gens après tout. Et alors, pendant que nous étions assis au–au déjeuner, et peut-être que certains de ministres sont présents. Et on continuait à me demander: «Frère Branham, comment connaissez-vous ces choses?»

            J’ai dit: «Je les vois simplement comme je vous vois.»

            Alors, il y a... Et il y avait là un homme qui peut être assis ici ce soir. C’était un homme riche, il gère une fabrique des pare-chocs, là où on fabrique des pare-chocs des véhicules. Et il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, vous avez cette toute petite tente là-bas d’une capacité d’environ trois ou quatre mille personnes, et le premier groupe ou deux groupes l’entourent, les autres retournent à bord de leurs véhicules.» Il a dit: «Si vous veniez dans un auditorium, vous pouvez faire s’asseoir des gens...» Des centaines venaient chaque soir et ils ne pouvaient pas entrer. Quand ils terminaient le travail, ils prenaient leur dîner; eh bien, ils étaient là, mais ils ne pouvaient pas entrer. Il a dit: «Je vais vous dire quoi, je pense qu’il faut payer environ mille neuf cents par soirée à cet endroit. Il a dit: «Je paierai pour cela si seulement vous venez et que vous approuviez ça.»

            J’ai dit: «Frère, même si vous payiez pour une année, je ne pourrais pas aller avant que Dieu me dise d’aller.» Et alors, j’ai dit: «En plus, à part ce programme, je suis obligé vis-à-vis de ce frère, de par un contrat écrit, ai-je dit; avant la fin de cela, je suis tenu vis-à-vis d’eux.»

            Il a dit: «Eh bien, vous aurez deux ou trois jours de plus, a-t-il dit, revenez pour un autre jour.»

            J’ai dit: «Si le Seigneur pourvoit.»

28        Alors, ce matin-là, pendant qu’on était assis au petit-déjeuner, ils me posaient différentes questions. Je pense qu’un prédicateur ukrainien m’a demandé, disant: «Comment cela apparaît-il?»

            J’ai dit: «Eh bien, par exemple maintenant, je peux être debout en train de regarder», et j’ai dit: «Tenez...»

            Combien connaissent frère Bowen de là, frère Bowen? Il était présent. Et je ne sais pas qui était le frère qui était venu avec moi. Il avait une grosse Cadillac bleue. Et–et alors, je suis monté à bord de la voiture, nous sommes partis, et–et j’ai dit: «Eh bien, voici ce qui va arriver, afin que vous le sachiez», avec ces ministres qui sont là. J’ai dit: «Maintenant, sur notre chemin en remontant la rue, nous sommes... il y aura une dame qui traversera la rue avec deux fillettes en petites robes à carreaux, avec leurs petites coiffures (Comment appelez-vous cela? Ramassées, ou je ne sais quoi c’était), ça remonte comme ça par derrière, vous savez, et c’est rattaché au sommet.» Et certaines de ces coiffures bizarres, je ne peux rien dire, car je n’ai rien à faire. Alors, elles–elles avaient arrangé cela au bout. J’ai dit: «Il y aura deux fillettes, et on sera en train de les conduire.» Et alors ils... j’ai dit: «Alors, nous entrerons dans la voiture, au lieu de retourner à bord de la voiture bleue, nous allons monter à bord d’une voiture d’apparence rouge. Et puis, nous serons dans la rue, et nous allons dépasser trois jeunes filles en longs costumes. Et si cela a lieu, alors, j’ai le feu vert et la permission de Dieu de retourner pour le service.

29        Eh bien, frère Lindsay ici et nous tous, nous avancions, frère Bowen, plusieurs ministres parlaient, quand les fillettes ont traversé la rue à environ trois pâtés de maisons de l’endroit où nous prenions le petit-déjeuner. J’ai dit: «Les voyez-vous?»

            Et là, il a dit: «Oh! la la!»

            Et nous sommes allés là, je ne sais pas ce qui, je pense, ce qui était arrivé à la Cadillac, mais nous avons dû monter dans l’autre voiture. C’était la voiture de frère Bowen, et c’était une voiture d’apparence rouge. Et nous avions pris un virage. Et vous savez, on a une police montée là, et nous étions censés prendre le virage à gauche, en sortant du parking. Au lieu d’aller à gauche, frère Bowen qui a grandi dans cette ville-là a pris la droite, le mauvais sens sur une rue. Et un grand policier irlandais était là sur un cheval. Oh! la la! Il l’a pris. Et je veux dire, il lui a vraiment parlé. Nous étions tous assis là, et il a dit: «Eh bien, vous êtes de cette ville-ci, a-t-il dit, vous n’avez pas d’excuse.»

            Frère Bowen a dit: «C’est exact, monsieur. C’est exact», et il lui disait combien il regrettait. Il a dit: «Nous sommes des prédicateurs.» Il ne se souciait pas de ce que nous étions. Il le taillait simplement en pièces. Nous avons passé là environ trois minutes, et ce policier s’est simplement–simplement mis à le tailler en pièces.

30        Et juste à ce moment-là, les trois jeunes filles en costumes sont sorties du coin, elles ont traversé la rue. Il nous le fallait. Il devait nous retenir tout ce temps afin que cela s’accomplisse. Voyez? A ce moment-là, elles sont passées. J’ai donné un coup à frère Bowen, j’ai dit: «Regardez, frères, elles sont là.»

            Et tout le monde a dit: «Gloire au Seigneur! Gloire au Seigneur!»

            Et ce policier a dit: «Vous, fous, partez d’ici.» Ha! ha! ha!

            Alors... Eh bien, il pensait que nous étions fous, mais je crois que saint Paul parlait à Agrippa, disant: «Je sers le Dieu de mes pères selon la voie qu’ils appellent une secte.» Je suis content de me joindre à lui ce soir, pas vous? Mais ce policier ne savait pas ce qu’ils étaient... Ils se sont mis à crier, à parler en langues et tout. Je n’avais jamais entendu un tel groupe. En effet, les trois jeunes filles passaient là, les jeunes filles en ces longues tenues after supper, ou je ne sais quoi, une espèce de costume, vous savez. Ah! Le dîner, je pense que c’est ainsi que vous l’appelez par ici, excusez-moi.

31        Là dans le Sud, je n’arrive pas à me représenter cela. Quand j’arrive ici, on prend le dîner vers dix-sept heures. Là-bas, nous prenons le dîner à douze heures. Ceci, c’est le souper. On appelle cela... Je pense que j’ai raté un repas la journée si je... Donc, de toute façon, quoi que ce soit donc, c’est en ordre.

            Et elles passaient là vêtues de ces longues robes, et elles sont allées. Et j’ai dit: «Maintenant, nous allons retourner.» Et cette fois-là, quand nous sommes retournés là, il y avait à peu trois fois le nombre de ceux qui étaient dans la tente là-bas cette soirée-là. Voyez? Il avait simplement approuvé.

            Mais voyez comment Dieu peut agir, comment ce policier... Oh! Frère Bowen habitait cette ville là. Combien en ont entendu parler, ce témoignage sur la tente de cette soirée-là? Est-ce que vous...? Vous y êtes. Très bien. Est-ce que frère Bowen peut être ici? Cela... Il peut même être ici, certains de prédicateurs qui étaient là-bas. Si c’est le cas, eh bien, je ne sais pas. Et de toute façon, c’est... ces choses arrivent simplement chaque jour.

32        Eh bien, nous étions en Finlande, ou plutôt en Angleterre. Nous avons pris un vol direct jusqu’en Finlande pour commencer. A Helsinki, nous avons eu une merveilleuse assemblée. Les Finlandais sont très aimables et très doux. Et souvent, quand je pense combien les gens sont pauvres là-bas, et combien, nous les Américains, nous avons de la classe, nous devrions avoir honte de nous-mêmes. C’est–c’est vrai. Ces pauvres gens...

            Il y a une Finlandaise qui est montée à l’estrade l’autre soir. Et j’essayais de rester sous l’onction, mais quand elle est passée, elle a dit: «Jumalan rauhaa», ce qui veut dire: «Que la paix de Dieu repose sur vous.»

            Et je lui ai dit: «Kiitos», ce qui veut dire: Merci.

33        Ainsi donc, je... Nous sommes arrivés là, et ils–ils ne... Si vous, les femmes américaines, vous deviez vous habiller comme elles, avec de très amples jupes épaisses, et de gros bottillons! Et pour tout ce qu’ils ont, ils doivent se fier à Dieu pour ça. Ils sont juste là à la frontière. C’est un champ de bataille. Et que c’est dommage!

            Et j’ai vu l’autre jour (J’étais en Californie) une femme passer une commande, elle a payé huit dollars pour un plat d’une chose ou d’une autre, et des femmes, elles émiettaient juste pour goûter un peu. Elles abandonnaient cela là, après avoir payé huit dollars pour cela, et on jetait tout ça dans la poubelle. Je me suis dit: «Plus d’un petit enfant finlandais aujourd’hui se tord ses petites mains sales, avec ses petits yeux; il serait content d’avoir ce morceau de pain qu’on a jeté dans cette poubelle-là.»

34        Vous savez, nous ne méritons pas cela, peuple américain. Maintenant, je suis un Américain d’une génération, une génération. Il y a un... Quand je survolais la France il y a quelques semaines, j’ai juste regardé en bas. Je me suis dit: «Il y a plus d’un Américain mort là-bas, plus d’un Branham qui gît là-bas, mort pour la cause. Et si mon tour arrive, je suis prêt à partir comme eux.» C’est vrai.

            Mais, oh! frère, soeur, nous avons besoin d’une correction ici. C’est vrai. Ce n’est pas le rouge-gorge qui picore le ver... la pomme qui l’endommage, c’est le ver qui est dans le trognon qui tue la pomme. Ce n’est pas la Russie qui va nous faire du mal; c’est notre propre dépravation des moeurs, parmi nous, qui nous tue. Les termites ont rongé la fondation en dessous de notre civilisation.

35        Et je sais qu’il y en avait beaucoup qui étaient assemblés là à Messuhalli. Cela offrait plusieurs milliers de places assises, et j’ai une photo où ils étaient debout, je pense, sur environ quatre à six pâtés de maisons, une foule compacte, à quinze heures, attendant, cherchant à entrer à Messuhalli. Lorsqu’ils vidaient l’endroit, et puis d’autres entraient.

            Et de là, nous allions à Kuopio. Et pour insérer ce cas, ici, l’un d’eux me vient à l’esprit maintenant, qui était arrivé. Généralement, pendant que je suis en chambre, Dieu peut me montrer quelque chose qui va arriver. Je peux en parler aux gens. Ça peut être une ou deux semaines, ça peut être un mois, peut-être six mois avant que cela arrive, peut-être juste quelques heures. Et peut-être que je vais recevoir un appel téléphonique dans quelques minutes, et ça sera là même la chose même qu’Il m’avait montrée. Et peut-être qu’une femme est au téléphone. Je dirai: «Ne portez-vous pas une robe noire, ou quelque chose comme cela?»

            «Oui.»

            «Un certain–certain...»

            «Oui.»

            «Et vous habitez une maison juste à côté des murs, une certaine chose?» Je vois exactement cela après l’appel téléphonique, comme cela. Et je lui dis: «Le Seigneur vous a guérie.»

36        Et alors, j’étais... j’ai eu une vision à Miami, en Floride, et beaucoup parmi vous ici ce soir l’ont probablement écrite dans leur Bible. Et j’avais vu une région très montagneuse, et un petit garçon était tué dans un accident. Il avait environ huit ou dix ans; il avait une coiffure drôle, les yeux bruns, le visage dodu et il était très pauvrement habillé. Et on lui a roulé dessus, ou quelque chose comme cela. Il était tout défiguré. Et j’ai vu le Seigneur Jésus envoyer Son ange et restituer la vie à ce jeune garçon.

            Eh bien, j’étais à Miami, en Floride, et j’ai raconté la vision aux gens, et j’ai dit: «Maintenant, la chose à faire, c’est écrire cela dans votre Bible.» Combien se rappellent m’avoir entendu dire cela avant que cela s’accomplisse? Ai-je un témoin? Oui, regardez partout dans la salle; c’est bien. Et j’ai dit: «Ecrivez cela dans votre Bible, car, AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous verrez cela, et cela apparaîtra dans la Voix de la Guérison.» Vous rappelez-vous que j’avais dit cela? Cela apparaîtra dans la Voix de la Guérison, un petit garçon, et j’avais décrit son aspect.

37        Environ trois soirées, au cours du service, on a envoyé me chercher au fond, on disait: «Un petit garçon s’est noyé par ici, et le père a assisté à votre réunion; et il ne permet pas à l’entrepreneur des pompes funèbres d’amener son petit garçon avant que vous veniez voir si c’était son fils.»

            J’ai dit: «Je serai content d’y aller.»

            Je suis allé là derrière: le petit garçon avait environ cinq ans, il avait des cheveux très noirs, il était bien habillé. J’ai dit: «Non, ce n’est pas ce petit garçon.» J’ai dit: «Ce petit garçon-là ne s’était pas noyé. C’était dans un accident.» Et j’ai offert la prière pour consoler la famille et je suis rentré.

            J’ai parcouru l’ouest et j’ai parcouru le Canada et ailleurs, et dans chaque réunion je témoignais. Cela a été écrit dans des centaines et des centaines de Bibles. Je disais: «Maintenant, prenez votre crayon et écrivez ceci dans la Bible, que j’ai dit ceci, afin que quand cela s’accomplira, vous le reconnaissiez. C’est l’unique vision, disais-je, que j’ai eue, qui ne s’est pas accomplie, mais elle s’accomplira.» Je disais: «Où? Quand? Je ne sais pas, mais cela s’accomplira! AINSI DIT L’ESPRIT DE DIEU, car Il a montré cela, et cela ne peut pas faillir.» Et je disais: «Ce n’est pas une impression. C’était une vision, j’ai vu cela, et cela s’accomplira exactement ainsi.»

38        Et alors, nous... Je suis allé de l’avant et j’en témoignais, pendant longtemps, environ un an avant que cela s’accomplisse. Et nous sommes allés à Helsinki, de Helsinki à Kuopio; c’est un pays on dirait du soleil de minuit, près de là, et je sais... Au milieu de la nuit, il n’y avait rien de semblable à ces ténèbres. Et alors, en cette période de l’année, eh bien, cela, le soleil ne se couche pas du tout, il descend simplement et il se relève. Et les gens étaient cependant plus pauvres là-bas que ceux de Helsinki, mais seulement aimables au possible.

            Et à... Nous remontions à bord d’un train. Eh bien, si par hasard il y a un Finlandais dans cette salle, mon cher ami et compagnon chrétien, n’allez pas penser que je dénigre votre pays. Si nous les Américains, nous avions dans nos coeurs l’amour de Dieu que vous avez dans votre pays, avec les–les choses que nous avons, ça serait un... le millénium serait pratiquement ici. C’est vrai. Mais nous avons une grande abondance. Nous ne nous faisons simplement pas confiance. Nous laissons simplement cela aller, et nous sommes plutôt insouciants, nous ne voulons pas traverser la rue.

39        N’allez pas penser qu’en Finlande... Ils venaient par dizaines de milliers, pas de véhicules; ils marchaient. Ils faisaient de l’autostop. Les journaux publiaient cela, et avec des fardeaux sur le dos. Des estropiés, ils se poussaient les uns les autres, ils pouvaient arriver n’importe comment. Un homme a roulé un drôle de petit engin, qui avançait lentement comme cela, je pense sur quatre mille miles [6.400 km] pour arriver à la réunion. Et Dieu l’a guéri pendant qu’il était là. Dieu aura de la considération pour la foi partout où elle est.

            Et je... Certaines de ces choses me déchireraient en plein milieu, quand j’y pense. Et je me rappelle, nous remontions à bord de ce vieux train, ils nous offraient le meilleur qu’ils avaient. Et je–je remontais à bord de ce vieux train en première classe et, je vous assure, mes amis, vous les Américains, c’est comme le–le cheval de fer qu’on avait à l’époque. Ils n’avaient pas de charbon à brûler, ils mettaient du bois, le petit bois à brûler pour produire de la vapeur. Et frère Baxter disait que cela avait des roues carrées, il était très gros, et la façon dont cela roulait et le projetait pendant la nuit. Et ils allaient... Oh! C’était un petit peuple pauvre, et donc, ils... mais ils étaient juste... Ce qu’ils avaient, c’était à vous; ils étaient libres.

40        Et quand nous sommes descendus là, nous sommes entrés dans l’auditorium pour tenir la réunion. Oh! Quelles foules de gens s’étaient rassemblées! Oh! la la! Et je me rappelle, le deuxième jour, il y a eu quelques merveilleuses guérisons qui se sont produites, et le Saint-Esprit... Voici comment cela opérait. Eh bien, voyez, tout cela a dû être interprété. Madame Isaacson était notre interprète, et c’est la meilleure que j’aie jamais vue de ma vie. Frère Baxter, aussi rapide qu’il prêche, elle le suivait de très près dans son sermon en interprétant cela. La meilleure que j’ai jamais connue. Elle a interprété pour moi.

            Et je me tenais là, et l’Esprit venait sur moi, je disais: «Il y a une personne ici.» Eh bien, si vous remarquez bien, chaque fois que je parle aux gens, je ne les regarde jamais trop longtemps, car quand l’onction est là, cela amène directement la personne vers vous. Voyez-vous? Et je regarde toujours de part et d’autre. Je regarde une personne et je saisis comme cela, et je lui dis exactement où elle était, ce qu’elle avait fait, tout sur sa vie, ce qui clochait chez elle. Et je disais cela en anglais, et elle interprétait, et cette personne-là se levait et poussait des cris juste comme cela. Tout exact. Oh! Il est merveilleux.

41        Et je me rappelle, cette nuit-là en entrant, eh bien, j’étais monté sur une colline à–à Kuopio, et nous descendions. C’était un jour de jeûne; je jeûne beaucoup à cause des réunions qui continuent, au point que je deviens très faible, et après, je dois manger un peu. Mais à cause de ce genre qui sort uniquement par le jeûne et la prière. Et je ne sais quand ce genre-là va passer sur l’estrade.

            Ainsi donc, j’étais là et eux chantaient A Golgotha, c’est un chant russe. Et deux ou trois Russes étaient là. Et ces gens-là... Permettez-moi de glisser ceci: Ces Russes me suivaient et, à mon passage, ils s’arrêtaient, et des larmes leur coulaient simplement sur les joues, comme cela, alors que je passais à côté d’eux. Ils se tenaient au garde-à-vous, comme cela, et je passais derrière; ils regardaient et pleuraient simplement.

42        Ecoutez, frère, ce n’est pas le Fourth Term, ce ne sont pas les Big Four, c’est la réponse. Christ est la Réponse. Ils... J’étais un Américain; ils étaient des Russes, mais l’amour de Christ est dans nos coeurs et nous nous aimions les uns les autres. Il y avait là des ambassades avec des gardes, le rideau de fer et autres, et ces Finlandais et ces Russes s’en prenaient les uns les autres à la gorge. Mais les chrétiens avaient leurs bras les uns autour des autres, coeur à coeur.

            Pourquoi les gens ne peuvent-ils pas voir cela? Le dieu de ce monde leur a aveuglé les yeux. Ceci est le royaume du diable. C’est une grosse bouchée, n’est-ce pas? Mais c’est la vérité. Chaque royaume de ce monde est dirigé par le diable. Quand Jésus prendra le pouvoir, le roi... Lisez Apocalypse. Regardez, quand Jésus fut amené par l’Esprit... Je sais que vous ne compreniez pas cela, je ferais donc mieux de l’expliquer.

43        Quand Jésus fut transporté sur une montagne élevée par Satan, celui-ci L’a laissé regarder tout le cours du temps et Lui a montré le monde entier et ses royaumes, et il a dit: «Ça m’appartient.» Est-ce vrai? «Et je Te les donnerai si Tu Te prosternes et m’adores.» Est-ce vrai?

            Jésus savait qu’Il les hériterait après tout. Il a dit: «Retire-toi de Moi, Satan.» Et puis, dans Apocalypse, il est dit: «Réjouissez-vous, cieux, et vous les saints prophètes, car le royaume de ce monde est devenu les royaumes de notre Seigneur, et de son Christ.» Et tant qu’ils sont dirigés par Satan, il y a ces pensées et ces puissances sataniques, ils se battront jusqu’à la Venue de Jésus. Et un jour, une Pierre se détachera de la montagne sans le secours d’aucune main, Elle mettra ces royaumes du monde en pièces; il en sortira un Royaume. Alléluia! Je suis content ce soir d’être un candidat de ce Royaume-là. Oui, oui. Et alors, il n’y aura plus de guerre; il n’y aura plus de guerre après cela.

44        Et maintenant, ceux qui sont dans cette communauté de ce Royaume-là, il n’y a pas de guerre entre eux. Un aumônier me racontait que quand il était dans un camp de concentration au Japon, disait-il, il était là un jour, et il savait... il appartenait...C’était un frère de la sainteté. Et il disait qu’il savait que probablement il mourrait dans ce camp-là. Et il avait tellement faim et on ne le nourrissait pas, et–et un vieux morceau de pain moisi et tout. Alors, il a dit qu’il marchait là... On lui avait permis de sortir. Alors, il a levé les mains et a dit: «Alléluia! Alléluia! Alléluia!» Il s’est agenouillé et a dit: «Ô Dieu, je T’ai servi de tout mon coeur. Maintenant, si Tu veux que je retourne à la maison dans la Gloire à partir de ce lieu ici, en crevant de faim, a-t-il dit, je suis prêt à partir.»

            Et il s’est relevé, il lui est arrivé de constater un petit Japonais qui marchait comme ceci, il continuait à observer, marchant comme cela, une sentinelle, passant à côté, et il a dit que c’est comme s’il voulait le voir. Alors, il s’est simplement approché davantage. Quand il est passé à côté, il a demandé: «Es-tu chrétien?»

            Il a dit: «Oui.»

            Il a dit: «Moi aussi, chrétien.»

            Eh bien, ces frères ont détruit cette cage-là et ils se sont entourés de leurs bras, la guerre était terminée. Voyez-vous? Mais les royaumes de ce monde sont dominés par les royaumes, par les puissances de Satan (Voyez?); ils vont se battre. Mais un jour, nous tous, ce sera: «Moi aussi, chrétien.» Amen. Ça sera merveilleux. Ça sera la réponse pour tous.

45        Et de là-haut, je descendais de la tour de Kuopio, et alors, eux chantaient là-haut. Et un Anglais venu de l’Angleterre, un négociant, était là-haut, très ivre, et il a entendu ce chant là: A Golgotha. Tous leurs chants sont en mineur. Et quand il est descendu, eh bien, il pleurait. Et nous sommes allés auprès de lui et nous lui avons parlé. Il parlait anglais. Et nous l’avons conduit à Christ là sur la colline.

            Et frère Baxter et les autres ont dit: «Voyons donc», ou pas frère Baxter, frère Baxter n’était pas là; ce jour-là, frère Lindsay. Et il a dit: «Voyons donc; mangeons.» Il y avait environ trente ministres là-haut.

            Et j’ai dit: «Non, je ne peux pas manger. Je n’aimerais pas manger avant dix-huit heures.»

            Nous nous sommes assis. Je les ai entendus causer et tout, par l’interprète. Et j’ai dit à frère Lindsay et frère Moore pendant qu’on sortait, j’ai dit: «Quelque chose est sur le point d’arriver.» J’ai dit: «J’en ai bien un pressentiment que quelque chose va arriver.» Et j’ai dit: «Je ne sais quoi.»

46        Et nous sommes montés dans des taxis. Ils n’ont pas beaucoup de taxis en Finlande; la plupart d’eux sont tirés par des chevaux. Nous descendions donc à bord d’un véhicule. Et là au bas de la colline, un accident s’était produit. Et un véhicule, une Ford américaine Sedan, modèle 35, avait cogné deux petits écoliers. Elle roulait à soixante miles [96 km] à l’heure. Et les deux petits garçons traversaient la rue; il n’y a pas beaucoup de véhicules, alors ils étaient... Ils se sont engagés dans cette direction, et ils ont vu le véhicule venir, ils se sont mis à rebrousser chemin en courant; et l’un a couru dans cette direction et l’autre dans cette autre. Alors, l’aile... le chauffeur a dévié à droite, et alors, il a cogné le petit garçon au menton, de ce côté-ci, il l’a renversé et l’a écrasé à côté d’un arbre, et ça a commotionné sa petite tête, comme cela.

            Et l’autre petit garçon, il l’a projeté directement de l’avant alors qu’il tournait, il a roulé sur lui, il l’a écrasé sous les roues, et il a projeté son petit corps en l’air, quand les roues étaient... Il en avait perdu le contrôle. Et il avait appuyé sur l’accélérateur plutôt que sur le frein, et cela donc... Le corps du petit garçon a roulé simplement comme cela, il a été projeté en l’air, et une fois dans la rue, il est tombé comme cela. Oh! Le petit garçon était tout écrasé.

47        Nous étions loin en haut là sur la colline, là loin, et nous avons vu l’accident se produire. Et alors, les gens ont commencé à affluer de l’école, c’était à une courte distance, environ quinze minutes, jusqu’à ce que nous sommes descendus là où étaient les petits garçons.

            Et on avait déjà pris un petit garçon; je ne savais pas qu’il n’y en avait qu’un. Mais l’autre, on l’avait déjà mis dans un autre véhicule et on l’avait amené. Et il n’y avait plus de véhicules là. J’ai roulé, ou plutôt on a roulé jusque-là.

            Et frère Moore, quand il est sorti, il s’est mis à pleurer, il est revenu au véhicule en courant et il a dit: «Frère Branham...» Et frère Lindsay est arrivé; lui aussi avait un petit garçon; et moi, Billy Paul que je n’avais pas vu depuis longtemps.

            Et la mère de Billy, vous le savez, est morte, et j’ai été à la fois papa et maman pour lui. Je–je le portais, son biberon serré contre mon sein ici pour le réchauffer quand il faisait froid, il pleurait, et nous parcourions les rues. Vous avez lu l’histoire de ma vie, comme cela, je ne savais que faire. Et le petit enfant s’appuyait contre mon épaule. Il avait toujours peur chaque fois que je partais. Bien sûr, il est pratiquement un jeune garçon maintenant. Mais je pensais à lui: «Et si c’était lui?» Et si je recevais un télégramme venant d’outre-mer disant: «Billy Paul a été écrasé dans un accident de véhicule, et il est étendu mort, et on veut que vous retourniez à la maison»?

48        Et, oh! comme je me suis mis à penser comment cette pauvre mère, on était allé la chercher, et le petit garçon était étendu là, un manteau couvrant son visage. Ils m’ont dit: «Viens le regarder.»

            Je ne pouvais pas regarder cet enfant-là. Je suis resté simplement assis là et je tremblais, comme cela. Et frère Lindsay retenait son souffle comme cela et pleurait. Il avait aussi un petit garçon. Et alors, finalement, j’ai jeté un coup d’oeil au petit garçon. On allait le transporter. Nous devions l’emmener à un endroit.

            Eh bien, si je n’avais pas été très excité, j’aurais très vite saisi cela. Et aussitôt que j’étais sorti du véhicule, madame Isaacson a dit: «C’est terrible, n’est-ce pas?»

            Elle a dit... Ces gens disaient: «Voilà ce faiseur des miracles venu de l’Amérique, voyons ce qu’il fera dans ce cas-ci.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, ce sont simplement des gens qui n’ont pas compr-...»

49        Et l’autorité municipale, je pense, c’était plutôt comme le maire de la ville, il était là. Et alors, nous–nous sommes allés... je suis allé là-bas, on a regardé et, oh! la la! le pauvre petit garçon gisait là, la bouche ouverte comme cela, ses petits yeux écarquillés, ses petites mains comme ceci. Et il portait ce petit, je pense, ce petit ensemble chemise et pantalon rattaché et boutonné pour les jeunes garçons, comme on les appelle, vous savez; et il portait ces gros bas lourds à côtes. Et ses petits souliers étaient détachés de ses pieds, et l’un de ses petits pieds qui était tordu comme ceci sortait directement, son petit pied ressortait par son–son bas, au bout. Oh! Il était un... il était étendu là, dans un état horrible, les yeux écarquillés comme cela, couché. J’ai dit: «Pauvre petit garçon.» Et cela empirait simplement son état. Et je... On allait l’amener au véhicule.

            Et quand je me retournais, j’ai regardé devant ce petit garçon, j’ai senti Quelque Chose faire: «Whoush.» [Frère Branham souffle.–N.D.E.] J’ai dit: «C’est peut-être la compassion que j’ai pour le petit garçon.» J’allais effectuer un pas de plus, Quelque Chose a fait: «Whoush.» [Frère Branham souffle.–N.D.E.] J’ai attendu juste un instant. Je me suis retourné. J’ai dit: «Laissez-moi revoir ce petit garçon.» On a enlevé le–le manteau, dont on l’avait recouvert. J’ai dit: «J’ai vu ce petit garçon quelque part.» J’ai dit: «Cela... Demandez à ces prédicateurs s’il a été dans l’église, un membre de leur église.»

            «Non.»

            J’ai dit: «A-t-il jamais été dans la ligne de prière?»

            Frère Lindsay a dit: «Non.»

            J’ai dit: «Je l’ai vu quelque part, je ne sais où, mais on dirait...»

            J’ai regardé tout autour, j’ai vu ces grosses pierres entassées là, j’ai dit: «Gloire à Dieu, je sais où je l’avais vu.» J’ai dit: «Frère Moore, prends ta Bible. Frère Lindsay.»

            Ils ont dit: «Qu’y a-t-il, Frère Branham?»

            J’ai dit: «Regardez la feuille de garde de vos Bibles.» J’ai dit: «C’est le petit garçon qui va ressusciter d’entre les morts.»

            Et ils... Frère Moore a couru à la voiture, il a pris sa Bible et a dit: «Des cheveux châtains, des yeux bruns, environ huit ans, mal habillé, estropié, écrasé dans un accident, dans une contrée rocailleuse, a-t-il dit. Frère Branham, c’est lui!»

            J’ai dit: «C’est lui.»

            Oh! la la! Vous ne savez quel sentiment on éprouve. On sait alors où on est. Tous les démons de l’enfer, même si on alignait là tout ce qu’il y a en enfer, cela n’arrêterait jamais la chose. Elle est là. Ça doit arriver. Eh bien, tout cela, c’est juste une représentation.

            J’ai dit: «Maintenant, je me rappelle, je m’étais agenouillé de ce côté-ci, dans la vision, quand je priais.» Vous devez faire exactement comme vous l’avez vu. Et je me suis agenouillé. Ils s’étaient tous rassemblés tout autour. J’ai dit: «Maintenant, observez, AINSI DIT L’ESPRIT DE DIEU, la vie de ce petit garçon reviendra en lui.»

            Et il gisait là mort. On avait prélevé son pouls et tout; il était mort. Ainsi, il était tout écrasé, comme cela. Je me suis agenouillé et j’ai dit: «Père céleste, à plusieurs milliers de kilomètres de l’autre côté de la mer, dans ce beau pays d’où je viens, l’Amérique, ai-je dit, là, cette nuit-là, quand Tu es entré dans cette chambre-là, dans ce beau bâtiment, Tu m’as annoncé que ceci arriverait, j’ai rendu témoignage à cela, je me suis tenu là et j’ai dit que Tu feras s’accomplir cela. Et maintenant, Ton serviteur voit le jour où cela doit être accompli.» J’ai dit: «Je Te remercie, Père céleste, pour la puissance de la vision, et je Te remercie pour toute Ta bonté. Et maintenant, Eternel Dieu, Auteur de la Vie et Donateur de tous les dons excellents, je Te demande de bénir de Ta Présence cette scène.»

            Et quand l’Ange du Seigneur a commencé à descendre, j’ai dit: «Ô Toi, mort, qui retient l’esprit de ce petit garçon, conformément à la vision que Dieu avait déjà montrée que tu ne peux pas retenir cet enfant, par conséquent, je rappelle sa petite âme vers lui au Nom de Jésus-Christ.»

            Et aussitôt que j’avais dit cela, le petit garçon a sauté sur ses pieds tout aussi normal et bien portant que possible, tout aussi parfait, normal et guéri que possible. Cela a été diffusé partout en Finlande, partout; ça a été répandu à l’étranger aussi, je vous assure. C’était au temps du soir. L’autre petit garçon, j’aborderai cela demain soir.

50        Une autre petite chose, je vois que j’ai encore environ six minutes; je vais essayer d’aborder cela rapidement.

            Oh! Quand je suis arrivé à la réunion ce soir là, l’autre petit garçon était étendu là mourant, je ne le savais pas. Et sa mère ne faisait que crier et pleurer, cherchant à ce qu’on aille là auprès de ce petit garçon. On en parlait partout. Cela s’était répandu. Je ne sais comment cela s’était donc répandu, car on ne peut pas diffuser des nouvelles comme cela dans... ni rien en Finlande; c’est tout à fait absolument différent.

            Et puis, la chose suivante, vous savez, je suis entré dans le bâtiment... je me dirigeais vers l’église ce soir-là, et la–la renommée de notre Seigneur s’était tellement répandue qu’Il était au milieu des gens jusque là-bas, à trois pâtés de maisons vers le bas, là où se trouvait l’auditorium, les rues étaient simplement bondées, comme cela. Et on ne pouvait pas s’approcher. Et quelque...

            On avait placé la milice là, les soldats finlandais. Et certains d’entre eux, de tous petits garçons avaient l’air de ne s’être même jamais rasés de leur vie. Les pauvres petits garçons! Et ils avaient formé un petit groupe pour me faire passer jusqu’à la ligne. Et j’y allais, ils repoussaient les gens pour me laisser passer.

            Alors, quand je suis arrivé au bâtiment et que j’allais entrer là où se tenaient les services (Je n’oublierai jamais cela), de pauvres Finlandais se tenaient là, ils se sont simplement mis à pleurer; des soldats se tenaient au garde à vous. Et maintenant, juste un instant, je vais former la ligne de prière maintenant.

51        J’entrais dans l’auditorium et il y avait un dortoir pour dames, ou des toilettes, on dirait. Je... Ils avaient fermé les portes, les agents de police étaient derrière moi; il y en avait deux devant et deux derrière. Et je m’avançais pour entrer. Les portes étaient fermées. Et j’ai regardé, et une porte s’est ouverte vers les toilettes, et une petite fille finlandaise est sortie. Je n’oublierai jamais l’aspect de cette petite créature.

            Eh bien, j’aime vraiment les petits enfants. On me donnait de cet argent finlandais. Et après–après que tous étaient entrés dans l’auditorium, je descendais la rue, je trouvais ces petits Finlandais, des enfants, vous savez, je leur donnais cet–cet argent pour acheter des bonbons. J’avais une file de petits enfants sur deux pâtés de maisons, qui me suivaient pratiquement. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

52        Et elles portaient de petites... leurs petites jupes, ces petites filles finlandaises... Maintenant, à vous les jeunes filles américaines... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Elle ne contrôlait pas le soulier. Elle avait un–un appareil orthopédique de part et d’autre, qui remontait comme ceci, et puis au niveau de ses flancs et à l’orteil (Je vais représenter cela ici), au bout de son soulier on dirait, ici même, elle avait un fermoir. Et le fermoir allait jusqu’à ce pied droit; c’était sa jambe droite, ça montait ici, et ça passait par son épaule, et c’était rattaché ici derrière, au dos, à l’appareil orthopédique. L’appareil orthopédique contournait comme ceci, et descendait comme ici... Et elle avait deux béquilles. Et la façon dont elle marchait, elle faisait avancer les deux béquilles, et ensuite, elle oscillait son épaule, et cela avançait l’orteil et posait cet appareil orthopédique raide par terre, ce qui dégageait sa jambe dans l’appareil orthopédique; alors, elle pouvait effectuer des pas à l’aide des béquilles. C’est ainsi qu’elle marchait.

53        Et quand la petite créature est sortie de là, à peu près de cette taille-ci... Vous tous... beaucoup parmi vous savent et ont vu sa photo; elle est dans mon livre là-bas, je pense. Et quand elle est sortie, et elle–elle m’a regardé; et cette petite en lambeaux, les cheveux coupés, en petite jupe qui descendait bas, juste ses pans pendaient, en lambeaux. Et quand elle a regardé... Elle a ouvert la porte et elle a fait avancer ses béquilles, elle a regardé et elle m’a vu, elle a sursauté. Elle a incliné sa petite tête; les larmes lui coulaient des joues. Je savais que cette enfant-là voulait venir vers moi. Mais elle avait été avertie; ils ne devaient pas venir, vous savez. Alors, je me suis arrêté, ces soldats ont commencé à me pousser. J’ai secoué la tête: «Non.» Je n’y pouvais rien. J’ai fait signe à la jeune fille. Je sais qu’elle voulait venir là-bas, et je lui ai fait signe.

            Elle est venue là, elle a fait avancer ses petites béquilles et elle a fait faire un mouvement à sa petite jambe. Et quand elle s’est avancée, je me suis simplement tenu tranquille pour voir ce qu’elle allait faire. J’aime beaucoup les enfants. Elle s’est vraiment approchée de moi, elle m’a regardé. Elle a disposé ses petites béquilles de façon à s’appuyer dessus. Elle a regardé en bas; elle n’a pas levé la tête. Elle a tenu mon manteau, elle a soulevé cela, elle a baisé la poche, elle a laissé tomber cela comme cela. Elle a levé les yeux vers moi, ces petits yeux bleus d’enfants avec des larmes qui coulaient sur ses joues; elle a reculé comme ceci, elle a soulevé sa petite robe et a dit: «Kiitos.»

54        Et j’ai découvert que c’était une petite orpheline de guerre, son père et sa mère avaient été tués dans la guerre contre la Russie. Et pendant que je la regardais, j’ai dit: «Ô chérie, que Dieu bénisse ton petit coeur.» J’ai dit: «Tu es guérie.» Mais elle ne pouvait pas comprendre ce que je disais. Je savais que Dieu honorerait une telle foi. J’ai dit: «Tu es guérie, chérie.» Et alors, ces soldats ne cessaient de me pousser.

            Et je suis entré. Et ce soir-là, quand les oeuvres s’accomplissaient, les gens jetaient simplement leurs béquilles, ils repoussaient leurs fauteuils et tout. Vous avez vu les photos dans Voice Of Healing, juste des brassées de béquilles et des cannes, ils avaient... Et j’ai dit: «Faisons-en encore venir quelques-uns de plus.»

            Mon frère a dit: «Billy, rappelle-toi, longtemps, outre-mer, on doit partir d’ici.»

            Mais je n’étais pas encore complètement épuisé. Alors, j’ai dit: «Juste quelques-uns encore.» Et par la grande providence de Dieu, j’ai entendu un bruit, et elle était la personne suivante à monter à l’estrade. J’ai regardé là, et je vous assure, je n’avais jamais éprouvé pareil sentiment. Elle est venue là, elle pleurait encore. Et j’ai dit: «Soeur Isaacson, approchez-vous.» J’ai dit: «Rapportez mes paroles, répétez ma parole.» Et j’ait dit: «Que Dieu te bénisse, chérie. Tu es la petite fille qui était dehors dans le couloir il y a quelques instants quand j’entrais.» J’ai dit: «Jésus-Christ t’a déjà guérie, chérie. Quand tu iras là, et que tu auras... assieds-toi et demande à quelqu’un d’enlever ces appareils orthopédiques, et mets tes mains à ta petite hanche. Et pendant qu’on enlève ces souliers et cet appareil orthopédique, laisse tes mains descendre doucement à peu près à la même distance que ta jambe courte, alors, fais-moi voir.» J’ai dit: «Faites venir le prochain cas.»

55        Et certains frères finlandais sont allés là et ils enlevaient cela. Et l’autre dame se tenait là, les diagnostics, le discernement sur cette dame se faisait, vous savez, on exerçait le discernement. Et tout d’un coup, je l’ai entendue lâcher un cri et elle venait là, les béquilles et les appareils orthopédiques sur la tête, courant à toute vitesse, tout aussi normale et bien portante que n’importe qui. Et elle montait et descendait ces marches, encore et encore, merveilleusement guérie.

            Qu’est-ce, mes amis? «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Soyez humble. Soyez le plus petit de tous. Ne vous élevez jamais vous-même. Si vous le faites, vous allez être abaissé. Humiliez-vous, et Dieu vous élèvera. Ne vous dites pas que Dieu vous doit quoi que ce soit. Rappelez-vous, vous Lui devez tout. Et nous ne sommes pas tenus, ou Dieu n’est pas tenu vis-à-vis de nous. C’est nous qui sommes tenus vis-à-vis de Dieu. Et aimez-Le de tout votre coeur; croyez en Lui, et Dieu vous bénira, j’en suis sûr.

56        Pendant que nous avons nos têtes inclinées... Père, oh! quand je me souviens de cette scène-là que je viens de repasser en revue. Je me suis souvenu de cette pauvre petite créature qui sortait de cette pièce-là en se traînant, de son respect, son amour; Tu as dit: «Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de Mes enfants, c’est à Moi que vous les avez faites.» Elle a eu du respect, Seigneur, pour ce qui lui avait été dit, que Tu étais avec nous et que Tu guérissais les gens. Elle T’aimait, Seigneur, et l’unique moyen pour elle d’exprimer son amour, c’était de chercher à aimer Ton serviteur. Et, ô Dieu, accorde-moi ceci, le veux-Tu? Si j’ai le privilège de traverser la–la frontière ce jour-là, quand Tu appelleras les justes à entrer, et si j’ai trouvé grâce à Tes yeux en ce jour-là, que je puisse toucher Tes pieds, que je rampe depuis quelque part, Seigneur, accorde que je puisse me tenir avec cette petite fille-là. Je pourrais ne jamais la revoir au cours du pèlerinage de la vie.

            Et ce petit garçon-là, Tu sais tout à son sujet, Seigneur. Je peux bien voir la vision maintenant, quand Tu m’avais montré ce petit garçon, j’avais vu ses petites jambes nues étendues là, et comment il était tout fracturé. Je me rappelle la vision, je me rappelle avoir répété cela devant des dizaines de milliers de gens. Et je me tenais là ce jour-là quand le Saint-Esprit est descendu... Je suis vraiment illettré, Seigneur; je n’aurais jamais su cela. Je serais passé à côté de cela n’eût été Ta grâce souveraine qui m’avait alors parlé pour me le révéler: «C’est ça.» Après que Tu m’avais montré cela, j’étais trop stupide, Seigneur, trop ignorant pour savoir cela, si rattaché au sens. Ô Dieu, aie pitié de nous, pauvres mortels. Et aie pitié de moi, Seigneur.

57        Et je prie ce soir qu’il se passe ici ce soir quelque chose, d’une certaine manière. Maintenant, Tu as dit dans Ta Parole, Jésus, que tout ce que nous demanderions en priant, que nous croyions que nous l’avons reçu. Et Dieu bien-aimé, j’ai raté une de ces réunions, non pas parce que je le voulais, mais, Seigneur, Tu le sais, il y avait une raison à cela. Peut-être que si j’étais venu, quelque chose se serait passé. Tu as dû me retenir pour m’épargner d’un accident ou de quelque chose comme cela; je ne sais pas, c’est Toi qui conduis, Seigneur. Je Te prie d’aider ces gens.

            Et ce soir, je Te demande et je crois que Tu vas exaucer ma prière, et Tu vas répondre. Veux-Tu nous accorder une grande effusion de Tes bénédictions? Secoue simplement tout le monde, Seigneur. Et que quelque chose soit dit ou fait quelque part, qui amènera les gens à se débarrasser simplement de leurs cartes de prière et à Te recevoir comme leur Guérisseur.

58        Et que ces gens ici sur ces civières, ces brancards, ces fauteuils, et beaucoup parmi ceux qui sont ici mourant, qu’à partir de cette heure-ci, ils soient bien portants en acceptant Jésus-Christ. Qu’Il étende Ses saintes mains pour guérir ce soir, Seigneur. Envoie Ton Ange du Ciel, qu’Il oigne Ton serviteur avec cet Esprit de l’Etre prophétique, qui montre des choses qui ont été et des choses à venir, que je Te proclame devant les gens, disant: «Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement», le même Seigneur qui avait su où était Nathanaël, qu’il priait sous l’arbre, et que la femme au puits avait des maris, le poisson qui avait une pièce d’argent dans sa bouche, où se trouvaient les mulets à la jonction de deux chemins... Oh! Tu sais tout, Père. Je prie que ce même Esprit soit ici ce soir, qu’Il soit parmi nous, qu’il nous aide et nous bénisse.

            Augmente la foi de nous tous, encourage Tes prédicateurs, ô Dieu, afin que quand ils rentreront de cette réunion-ci, il y ait des services de guérison divine dans chacune de leurs églises. Et puissions-nous tous avoir un baptême frais de l’Esprit. Car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen.

59        Billy...?... Très bien, très bien. Merci, frère...?... Je pensais que vous étiez peut-être parti...?... Vous vous teniez ici. «H.» Mon fils a dit qu’il a distribué des cartes de prière H aujourd’hui, un à cinquante. Eh bien, je ne sais à partir d’où appeler. Appelons à partir de 20, de 10 à 30... de 20 à 35. Ça fera, combien? 20? 15, c’est en ordre. Très bien, 20 à 35. Qu’ils s’alignent suivant leurs numéros ici.

            Maintenant, si certains parmi vous qui êtes sur des civières, ou des brancards, ou n’importe où, ou qui ne peuvent pas se lever, ceux qui ont cette carte de prière, levez la main comme cela, quand le tour de votre numéro arrivera, alors un huissier vous amènera à l’estrade si vous êtes incapable ou trop faible pour vous lever. Attendez simplement que votre numéro... Nous commencerons à 20, et si vous êtes 25, attendez que quatre passent et puis le prochain, le cinquième, ça sera vous. Levez la main, et un huissier vous transportera à l’estrade.

60        Eh bien, voici ce que je déclare: que Dieu seul, Dieu est l’unique qui peut guérir. Nous le savons, n’est-ce pas? Il est l’unique qui guérit. Et je prie que Dieu guérisse chaque personne ici ce soir. Quand on amènera les gens à l’estrade, cela ne veut pas dire qu’ils sont guéris. Il y en a plusieurs qui passent à l’estrade et qui ne sont pas guéris. J’en connais deux ou trois, que je connais personnellement au début, qui–qui n’ont pas été guéris, qui étaient passés par l’estrade. Et je–je n’ai rien à faire avec cela. Tout ce que je peux faire, c’est leur parler. Ils doivent avoir la foi. Mais quand vous entendez l’Esprit du Seigneur les déclarer guéris, dites-leur ce qui va arriver, notez cela. Il en sera ainsi. En effet, je ne suis pas responsable de cela; c’est Lui qui est responsable, pas moi. Moi, je suis responsable de venir ici; c’est à Lui de s’occuper du reste.

            Eh bien, quand... Excusez-moi. Vous êtes prêts? D’accord. Excusez-moi un moment. J’avais un peu soif. Maintenant, vous qui êtes dans la ligne de prière, j’aimerais que vous regardiez dans cette direction-ci. Croyez-vous de tout votre coeur que ce qu’on vous a dit, que je vous ai dit au sujet de l’Ange du Seigneur, est la vérité? Voyez-vous, monsieur? Oh! Et vous sur l’estrade, madame, croyez-vous?

61        Sommes-nous inconnus? Nous... Sommes-nous tous inconnus...? S’il... Si nous le sommes, levez les mains, si vous pouvez lever vos... Nous sommes inconnus. Nous ne nous connaissons pas l’un l’autre. Nous ne nous connaissons pas l’un l’autre, nous sommes inconnus; Très bien. Très bien.

            Maintenant, combien là n’ont pas de cartes de prière? Faites-nous voir les mains. Oh! la la! C’est partout devant. Très bien. J’essaie de regarder, généralement, quand je me mets à parler aux gens, si je fixe mon regard droit sur eux quelques instants, alors je vois la vision se lever. Cela commence à partir de là, et ça commence simplement à se lever en l’air. Puis-je expliquer cela juste un instant?

            Quand je regarde quelqu’un, si je le fixe, et que j’entre en contact avec son esprit, eh bien alors, on dirait que je commence à voir quelque chose apparaître devant moi. Peut-être que je verrai une certaine chose, une intervention chirurgicale; peut-être que j’aurai à regarder cela quelques minutes. Et peut-... Si l’assistance se tient très calme, je peux dire de quoi les gens parlent. Combien étaient à Cleveland cette soirée-là quand une femme se tenait là et que je n’arrivais pas à faire partir cela d’elle? Elle était juste... Je lui ai dit qu’elle était un peu sceptique, et elle ne voulait guère accepter cela. Et quelques instants après, je lui ai dit que le... je me suis mis à répéter la prière qu’elle venait de faire avant de quitter la chambre. C’était... Vous rappelez-vous cela? Levez vos mains, si vous le pouvez. J’ai répété la même prière qu’elle avait offerte environ une heure auparavant avant de venir à la réunion, textuellement. J’ai dit: «Qui était dans la chambre pour écouter cette prière-là?» «Le Saint-Esprit.» Il connaît toutes choses, n’est-ce pas?

62        Eh bien alors, parfois, si les gens, s’il y a du bruit ou de l’excitation, ou quelque chose comme cela... Le Saint-Esprit est très timide, très timide. A la moindre petite chose qui l’attriste, Il s’en va.

            Vous rendez-vous compte maintenant? Laissez-moi vous montrer quelque chose de beaucoup plus grand que ce qui est arrivé du temps des apôtres. Du temps des apôtres, on amenait les gens à l’écart. Le saviez-vous? Et beaucoup de gens disent aujourd’hui, quand je leur demande d’incliner la tête, ils disent simplement: «C’est de la psychologie.» Eh bien, ils disent donc: «Vous regardez quelqu’un. Oui, vous lisez ses pensées.»

            Eh bien, je me demande si Paul lisait les pensées de cet homme là quand il a dit, quand il a fixé le regard sur lui comme cela et a dit: «Je vois que tu as la foi pour être guéri.» Je me demande si c’était de la psychologie. Je me demande si c’était de la psychologie quand Pierre et Jean, passant par la porte appelée la Belle, ont dit: «Regarde-nous.»

            Non, mes amis, les gens ont... ils se font juste une image ecclésiastique d’un séminaire théologique qui leur enseigne ça et ils pensent que cela doit être ainsi. Dieu n’est pas tenu vis-à-vis d’un séminaire théologique, Il n’est tenu qu’à Sa Parole. C’est vrai. Ils pensaient avoir compris comment Jésus viendrait, ce qu’Il devrait être, en tant que Maître. Mais quand Il est venu, c’était différent de ce qu’eux pensaient. Voyez? Eh bien, que tout le monde soit respectueux.

63        Maintenant, vous qui venez dans la ligne, par la grâce de Dieu, je pourrais peut-être vous dire ce qui cloche chez vous, ou autre. Je ne sais pas. Mais si je–si je ne sais pas, Il... S’Il ne me le montre pas, j’aurai simplement à dire: «Je ne sais pas ce qui cloche chez vous.» Peut-être que j’offrirai un mot de prière pour vous et je vous laisserai continuer. Mais s’Il me le montre et qu’Il puisse dire ce qui a été dans votre vie passée, c’est qu’Il sait ce qui arrivera dans votre vie à venir. Est-ce vrai?

            Maintenant, Il révèle parfois beaucoup de choses. Mais s’Il peut vous dire une seule chose, Il sait toutes choses. Regardez la femme au puits. Il avait seulement dit: «Va chercher ton mari», Il lui a parlé de son mari. Et elle a dit aux gens de la ville qu’Il lui avait dit tout ce qu’elle avait donc fait. Lui ne l’avait point fait. Il lui avait simplement dit une seule chose qu’elle avait faite. Mais elle a reconnu que s’Il avait su cette seule chose, Il connaissait toutes choses. Est-ce vrai? Mais c’était juste le Père qui Lui avait fait connaître cela.

64        Maintenant, je vous assure, peut-être que j’ai vraiment provoqué certains d’entre vous en prenant mon temps. Mais, amis, je... C’est à dessein. Voyez? Il n’y a que nous qui sommes pressés. Dieu n’est jamais pressé. Voyez? Il a laissé les enfants hébreux entrer droit dans la fournaise ardente. Si seulement nous Le laissions tranquille, Il fera pour nous quelque chose qui sera de loin plus que les trois cents que nous pourrons faire passer ici précipitamment ce soir. Voyez? Laissez-Le simplement s’y prendre à Sa manière. Attendez. Croyez, ayez foi, acceptez-Le comme votre Sauveur et votre Guérisseur.

            Mais je sais, frère, qu’il y a ici maintenant un chrétien. Car ce–c’est... Je sens un accueil chaleureux d’une étreinte d’un chrétien. Eh bien, monsieur, comme vous m’êtes inconnu, que je ne vous connais pas, et vous ne me connaissez pas; nous sommes juste ici comme deux hommes. Et il y a peut-être quelque chose qui cloche chez vous. Si c’est le cas, Dieu peut me le révéler. Et s’Il le révèle, eh bien, je serai reconnaissant et je sais que cela augmentera votre foi. Mais quant à votre guérison, évidemment, cela devra venir par le fait d’accepter Jésus-Christ au Calvaire: Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection.

65        Mais maintenant, après Sa mort et Sa résurrection, eh bien, Il est monté en haut, Il a donné des dons aux hommes. Mais Il est le Christ ressuscité. Il n’est pas mort. Il–Il–Il est ressuscité. Et Sa puissance, Il a promis d’être avec nous, même en nous, jusqu’à la fin du monde. C’est vrai.

            Maintenant, vous êtes conscient qu’il se passe quelque chose, monsieur. Maintenant, à l’assistance, cette Lumière que vous voyez sur la photo est très proche. Cet homme, aussi certainement qu’il se tient là, je ne l’ai jamais vu de ma vie, mais il sait qu’il se passe quelque chose. C’est sa foi et ma foi qui s’unissent par le Saint-Esprit qui est proche. Oui, oui, je vois que vous êtes une personne extrêmement nerveuse. N’est-ce pas vrai? Et cela est dû à une maladie physique, c’est la glande prostatique. Est-ce vrai? Vous avez souffert–vous avez souffert de l’arthrite... Non, vous avez connu une attaque d’apoplexie, n’est-ce pas? Vous avez connu une attaque d’apoplexie. C’est quelque chose qui vous a frappé, on dirait, un peu, cela n’a jamais fait de mal... Dites donc, vous êtes un prédicateur de l’Evangile aussi, n’est-ce pas? Je vous vois debout à la chaire. Eh bien, cela me quitte. Vous ai-je dit...? Etait-ce la vérité? Vous avez entendu ma voix, mais ce n’était pas moi qui parlais, mon frère. Est-ce que ce que j’ai dit est vrai? Venez ici.

            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie et Donateur de tous dons excellents, envoie Tes bénédictions sur cet homme que je bénis, en Ton Nom. Que celle-ci soit l’heure la plus douce de sa vie alors qu’il se tient ici, mûr pour l’éternité; ses cheveux sont décolorés pour demain. Ô Dieu, accorde-le, Seigneur, alors que cette vaillante âme s’avance vers Toi. Toi qui T’es tenu à côté de Paul et Silas, tiens-Toi à côté du frère maintenant. Alors que je le bénis en tant que Ton prophète, qu’il parte d’ici un homme bien portant le reste de ses jours. Au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère. Allez et soyez bien portant.

66        Très bien. Faites venir le... Frère Baxter, le... Eh bien, parfois, j’essaie de retrouver mon équilibre, mon appui (Voyez-vous?) avant que je... Si seulement vous saviez ce que cela vous fait! Cet homme pour qui on vient de prier il y a quelques instants, vous, si quelqu’un parmi vous le connaît, vous–vous, ses amis, ou les membres de sa famille, observez-le. Cet homme va connaître un grand changement dans quelques heures. Il est vaillant; il est âgé. On dirait qu’il... Combien connaissent cet homme-là? On dirait qu’il... Eh bien, oh! la la! Oh! Le pasteur de l’église italienne, eh bien, c’est merveilleux. Qu’est-ce qui a été–qu’est-ce qui a été discerné dans son cas? Etait-ce un ... A-t-il dit... [Quelqu’un dit: «L’attaque d’apoplexie.»–N.D.E.] Oh! Eh bien, gloire au Seigneur. C’est bien. Eh bien, disons: «Merci, Seigneur.» Je suis content, bien-aimé pasteur. Eh bien, Dieu sait que je–je... Il le connaît; pas moi. Voyez-vous? Il sait tout à son sujet. Mais je sais que l’homme avait une... on dirait une merveilleuse et vaillante foi qui s’est élancée là. Et je–je sais que Dieu va honorer une telle foi.

67        Très bien. Ceci est...?... Bonsoir, madame. Eh bien, c’est vous la patiente, et j’aimerais vous parler juste un tout petit peu, madame. Eh bien, vous et moi, nous sommes inconnus dans–dans–dans le pèlerinage. Mais, et vous... Maintenant, je n’ai aucun moyen de savoir quoi que ce soit à votre sujet, à moins que Dieu le révèle, si nous sommes inconnus. Est-ce vrai? Et puis, si Dieu me le révèle, alors vous saurez que c’est–c’est donc la vérité.» Vous savez que c’est vrai. Et maintenant, vous–vous êtes conscient qu’il se passe quelque chose, évidemment, comme je le dis, et j’ai demandé à l’assistance de surveiller l’expression sur la foi... le visage des patients. Mes paroles ne sont parfois pas exactes, quand cela se meut sur moi, mes lèvres et ma langue deviennent très engourdies, c’est Lui qui est sur le point de parler. Voyez-vous? Je sais qu’Il va parler, soit montrer une vision dans quelques instants. En effet, vous croyez, madame; vous avez beaucoup prié pour cela; vous avez attendu impatiemment ce moment, où vous pourrez vous tenir ici, n’est-ce pas? Quelle heure! Quel moment pour vous...

            Je vous vois. Oui, vous avez des ennuis à la tête, n’est-ce pas, soeur? Je vous vois vous tenir toujours. Je vais dire... Je peux... C’est une espèce de maux de tête, n’est-ce pas vrai? Et c’est–c’est depuis que vous étiez enfant. N’est-ce pas vrai? Et vous êtes... Dites donc, vous avez été–vous avez été une monitrice de l’école du dimanche, ou une espèce de ministre. En effet, je vous vois avec une Bible à la chaire. Est-ce vrai? Que Dieu vous bénisse. Quelque chose est donc arrivé, n’est-ce pas? C’est à ce moment-là que cela était arrivé. Que Dieu vous bénisse, vous pouvez partir maintenant et Il vous aidera. Que Dieu vous bénisse, soeur.

68        Que tout le monde dise: «Béni soit le Seigneur!» Rappelez-moi d’en parler, rappelez-moi de nouveau cela, ce cas-là.

            Bonsoir, soeur. Voici une femme qui est vraiment une bonne croyante. Elle n’en parle pas trop. Mais elle garde toutes ces choses pour elle-même. Je ne lis pas vos pensées, soeur. Oui, vous êtes une personne très sincère. Vous avez eu des ennuis, n’est-ce pas, soeur? Avez-vous des enfants? Oui. Un enfant, c’est alors que votre problème a commencé. N’est-ce pas vrai? Cela vous a causé une espèce d’infection, ou un ulcère, ou quelque chose comme cela dans ce flanc-là, n’est-ce pas? N’est-ce pas vrai? Très bien, rentrez chez vous et soyez bien portante, soeur. Que Dieu vous bénisse, soeur.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» Que Dieu vous bénisse. Que le Seigneur Jésus soit glorifié et béni dans Son peuple, béni dans nos coeurs alors que nous Le voyons dans Sa puissance. Très bien. Frère Baxter, voudriez-vous faire venir la dame?

69        Bonsoir, soeur. Oui, j’aimerais que l’assistance la regarde. Quelque chose arrive, n’est-ce pas, madame? Vous avez beaucoup souffert. Vous avez été nerveuse; et ce, depuis longtemps. Vous avez aussi souffert du coeur, n’est-ce pas? Et une affection de reins, n’est-ce pas vrai? Croyez-vous que je suis Son prophète? Venez ici. La Parole de Dieu dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Croyez-vous que je suis un croyant? «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Maintenant, rentrez chez vous bien portante, car vous l’êtes. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse.

            Disons: «Gloire au Seigneur!»

            Bonsoir, soeur. Je vois que vous êtes aussi une croyante. Vous n’avez pas joui d’une bonne santé depuis un temps, n’est-ce pas? Oui, vous êtes anémique. On ne le saurait pas en vous regardant, mais vous l’êtes. Et vous avez souffert d’une maladie gynécologique qui vous a aussi dérangée depuis longtemps. Cela vous a fait tomber malade souvent, ça vous a donné des maux de tête et autres. C’est vrai. Maintenant, vous pouvez quitter l’estrade, car vous avez reçu une transfusion ce soir, venant de Dieu. Vous allez vous rétablir, soeur. Que Dieu vous bénisse. Allez, et que Dieu vous bénisse.

            Disons: «Gloire à Dieu!»

70        Bonsoir, soeur. Croyez-vous? Je vois que vous portez des lunettes. Croyez-vous que Dieu m’a envoyé pour être Son prophète, pour vous aider à avoir foi en Son Fils Jésus? Satan n’est qu’un menteur, n’est-ce pas, madame? Il vous ment. Et beaucoup de gens ne sympathisent pas avec vous. Ils vous disent: «Ressaisissez-vous.» Mais vous n’y pouvez rien, car vous êtes nerveuse, n’est-ce pas? Vous n’y pouvez rien, car cela a stigmatisé vos yeux. Mais enlevez simplement vos lunettes et rentrez chez vous, car Christ vous a rétablie, soeur...?... Allez seulement...

            Maintenant, que tout le monde dise: «Gloire au Seigneur!»

            Que pensez-vous, maman? Croyez-vous de tout votre coeur? Juste un instant. C’est une Finlandaise; maintenant, juste une seconde. Inclinons la tête.

            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, aie pitié de cette pauvre bien-aimée femme. Je viens de parler de son peuple qui est outre-mer. Elle se tient ici ce soir, souffrant, je lui ai imposé les mains. Eternel Dieu, Auteur de la Vie, c’est Toi qui as ressuscité quelqu’un de sa race, ce petit garçon qui était ressuscité d’entre les morts, l’autre petit garçon, et la petite fille que Tu avais guérie. Tes bénédictions reposent encore sur la Finlande. Que Dieu bénisse cette femme, que ses lettres traversent la mer pour annoncer qu’elle a été guérie. Au Nom de Jésus-Christ, je le demande. Amen.

            Maintenant, Jumalan rauhaa. La maladie du coeur dont vous souffriez vous quitte. Allez et soyez bien portante. Au Nom de Jésus. Que Dieu vous bénisse.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» Dites donc, vous souffriez de la même chose, n’est-ce pas? La maladie du coeur. Passez directement à l’estrade, car Jésus vous a guérie pendant que vous veniez.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» Tout le monde. C’est ainsi qu’il faut recevoir cela. Croyez; ayez foi maintenant, tout le monde; ne doutez pas.

71        Très bien, madame, avancez. Qu’est-ce que je veux dire? J’observe; j’essaie de vous aider, je–je... De tout mon coeur, je–je vous aime. Cela vient du plus profond de mon coeur en tant qu’humain; oui. Et j’essaie simplement de vous aider, ne me jugez pas mal, s’il vous plaît. Maintenant, il y a ici quelqu’un qui sait pourquoi j’ai dit cela. Voyez-vous? Je sais ce que vous en pensez, alors–alors... Très bien, bien-aimée soeur.

            Nous sommes inconnus, n’est-ce pas, soeur? N’aimeriez-vous pas manger comme autrefois? Très bien, vous le pouvez à partir de maintenant. Vous pouvez aller manger tout ce que vous voulez. Que Dieu vous bénisse, soeur.

            Disons: «Gloire au Seigneur Jésus!»

            Ayez foi en Dieu. Vous tous là-bas dans l’assistance, priez. Je crois... Maintenant, je n’ai pas exactement vu une personne donnée être guérie, mais j’ai vu beaucoup de choses se passer là. On dirait que là derrière, dans cette section-ci, là derrière dans cette direction-ci, quelqu’un derrière moi cherche à croire, et il fait même que je me retourne de temps en temps. Ayez donc foi en Dieu. Très bien, soyez prêt à faire venir la personne.

72        Très bien. Bien-aimée soeur, croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que cet Esprit qui se meut maintenant à l’estrade, c’est l’Esprit de Dieu? Je crois cela. Vous croyez que... Voyez, je ne vous demande pas ceci pour que vous croyiez en moi, mais voici ce que l’Ange du Seigneur, la première chose qu’Il m’a dite: «Je suis envoyé de la Présence de Dieu, du Dieu Tout-Puissant, pour t’annoncer que ta naissance et ta vie particulières, c’est pour indiquer que tu dois apporter un don de guérison divine aux peuples du monde.» Et Il a dit: «Si tu es sincère et que tu amènes les gens à te croire, rien ne résistera à ta prière.»

            Maintenant, amener les gens à me croire, c’est la raison pour laquelle je–je vous demande, ou... Quand vous vous êtes approchée, j’ai senti un esprit accueillant montrant que vous êtes une chrétienne. Je sais que vous croyez donc en Dieu. Alors, la chose suivante, si je parle de moi-même, ce que je représente, alors, je sens cette réaction-là, si vous croyez réellement cela ou pas. Ce n’est qu’un test. Mais vous croyez que je suis Son prophète, n’est-ce pas? En effet, votre maladie du coeur vous a déjà quittée quand vous êtes arrivée ici, soeur. Vous pouvez quitter l’estrade, étant guérie. Que Dieu vous bénisse. Disons: «Gloire au Seigneur!»

73        Bonsoir, monsieur. Eh bien, ne laissez plus Satan vous tromper. Voyez? En effet, vous êtes bien portant. C’est juste ce trouble causé par l’accident qui vous a un peu ébranlé, mais vous allez surmonter cette nervosité. Venez ici.

            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie et Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur mon frère. Et que cette puissance qui cherche à le retenir maintenant, que cela le lâche. Satan, au Nom de Jésus-Christ, laisse aller cet homme; sors de lui. Partez d’ici en vous réjouissant et heureux. Ne pensez plus jamais à cela, frère, continuez. Très bien. Disons: «Gloire au Seigneur!»

            Bonsoir. Vous voulez guérir de l’asthme, n’est-ce pas? Allez simplement de l’avant et louez le Seigneur, dites-Lui que vous croyez de tout votre coeur, et vous aurez ce que vous avez demandé. Que Dieu vous bénisse. Amen.

            Dites: «Gloire au Seigneur!» L’insuline est une chose horrible, n’est-ce pas, pour le diabète? Mais une seule piqûre du Calvaire s’en occupera, soeur. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ...?... Gloire au Seigneur. L’arthrite l’a rendue estropiée, et elle a d’autres choses. Dieu l’a rétablie.

            Disons: «Gloire au Seigneur.» Béni soit Son Nom.

74        Venez, frère. Ayez foi, tout le monde. Disons: «Gloire à Dieu! Loué soit Son Nom.»

            Avancez. Oh! Ce sont les oreilles. Vous croyez de tout votre coeur? Vous croyez que Dieu vous accordera votre...?...

            Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, toi démon, quitte cet homme. Allez-vous très bien? Vous êtes guéri, mon frère, quittez l’estrade, entendant normalement. Voyez? Disons: «Gloire au Seigneur!»

            Croyez-vous? Je pense que c’est la fin de la ligne. Que l’assistance regarde maintenant dans cette direction. Combien là n’ont pas, dites-vous, de cartes de prière? Faites voir les mains partout, vous qui n’avez pas...? C’est bien, d’accord.

75        Maintenant, j’aimerais juste vous parler un peu avant de former une autre ligne. Voyons, peut-être que le Saint-Esprit nous parlera bien, là dans l’assistance, sans former une ligne. Ça serait mieux, peut-être. Très bien. Regardez dans cette direction; nous n’aurons pas besoin de ligne. Eh bien, j’aimerais juste–juste regarder. En effet, j’essaie d’être très sincère. Que le Saint-Esprit me tire où Il veut que j’aille. Voyez? Et nous ne cherchons pas à regarder l’assistance, ou à leur parler, comme je fais avec l’un après l’autre sur l’estrade, mais là où, semble-t-il, Il m’appelle.

            Petit garçon, qu’en penses-tu? Crois-tu de tout ton coeur? Tu essaies de me contacter pour une raison, n’est-ce pas? N’est-ce pas que tu cherchais à ce que je te parle? Il y a au moins une douzaine là qui me tirent. Tiens-toi simplement debout une minute. Oh! Oui, le petit garçon, là, papa, que je viens de voir en vision juste là à côté de lui. Je peux juste voir qui il est, et juste un instant. Je vais arriver à vous juste une seconde, frère, restez assis. Oh! Oui, c’est une hernie, une hernie, n’est-ce pas vrai? N’est-ce pas vrai? Très bien, rentre à la maison, petit garçon, crois de tout ton coeur, Jésus-Christ te rétablira...?...

            Croyez Dieu, que cette arthrite vous quitte; vous pouvez partir de là ce soir en marchant. Ayez simplement foi. Croyez-vous? Croyez-vous? Très bien. Qu’il vous soit fait selon votre foi.

76        Dites donc, juste un instant, vous, la maman assise là-bas en train de regarder dans cette direction, une dame à l’air très sainte. Je vois quelque chose de sombre suspendu au-dessus d’elle. C’est un... Oh! oui, cela a un cancer. N’est-ce pas vrai, madame? Levez-vous juste une minute. Il sait que son temps est arrivé. Croyez-vous que je suis Son prophète? Comme le prophète de Dieu? Croyez-vous cela? Rentrez chez vous et soyez guérie de ce cancer-là; ça vous quitte.

            J’ai vu un esprit sombre la quitter. Elle... sa prière... Vous étiez assise là en train de prier, n’est-ce pas, madame? Vous vouliez–vous vouliez être guérie. La dame assise juste à côté de vous, on dirait qu’elle s’intéresse beaucoup à quelque chose. Que pensez-vous, madame? Croyez-vous cela? Connaissez-vous la dame assise à côté de vous? Vous ne la connaissez pas. Vous êtes simplement très heureuse de savoir qu’elle a été guérie, n’est-ce pas? Oui, oui. Vous souffrez du coeur, n’est-ce pas? N’est-ce pas vrai? Très bien, levez-vous; recevez votre guérison de la part de Jésus-Christ, au Nom du Seigneur Jésus.

77        Maintenant, ceci est étrange pour elle, elle ne sait que faire à ce sujet. Quelque chose est arrivé juste... Attendez une minute, là même à côté d’elle, je vois qu’il y a autre chose. Je crois que la dame assise juste à côté... Avez-vous souffert aussi du coeur, un rhumatisme cardiaque aigu, ou quelque chose comme cela? Levez-vous, vous avez été aussi guérie, soeur. Frappée... vous a trompée, n’est-ce pas? Je vais vous dire quoi faire, ce que vous les femmes, vous faites. Allez à une église du plein Evangile et servez Dieu le reste de votre vie. Amen. Et recevez le baptême du Saint-Esprit. Amen. Que Dieu vous bénisse. Disons: «Gloire soit rendue à Dieu.»

            Qu’en est-il de vous avec le mouchoir au niveau du visage là, madame? Oui, vous aimeriez guérir de cette tumeur-là, n’est-ce pas? Est-ce vrai? Si vous croyez de tout votre coeur, vous pouvez vous lever et être guérie de cette tumeur-là. Au Nom du Seigneur Jésus.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» Il est ici pour guérir.

78        Dans les rangées, quelque part de ce côté-ci. Que quelqu’un regarde dans cette direction. Croyez de tout votre coeur. Juste un instant, j’examine ces cas ici présents; je vais arriver à vous. Et puis, j’aimerais aller dans l’assistance là où les choses... On voit que vous êtes estropié (Voyez-vous?), mais j’aimerais arriver à vous juste dans un instant.

            Là quelque part derrière, croyez. Où que le Saint-Esprit peut me conduire, que Son Esprit me conduise et me dirige maintenant. Evidemment, cela frappe parfois dans une rangée. Si je peux me mettre à parler à un certain...

            Madame, une femme on dirait d’âge moyen, vous venez de mettre la main à la bouche toute à l’heure. Vous souffrez, n’est-ce pas? N’est-ce pas que quelque chose cloche chez vous? Etes-vous ici comme une patiente? Peut-être qu’elle n’entend pas très bien. Je n’arrive pas à distinguer ce que... Oh! Oui, ça y est. Oui, oui. Elle n’entend pas. Vous écoutez juste un écho. Vous pouvez m’entendre très bien maintenant, n’est-ce pas? Oui, oui, quelque chose cloche chez vous. C’est la sinusite, ou quelque chose dans la tête. N’est-ce pas vrai? C’est vrai. Très bien, rentrez donc chez vous. Acceptez-vous votre guérison? Rentrez chez vous et soyez bien portante, au Nom du Seigneur Jésus. Amen.

79        La dame assise à côté de vous, en train de regarder dans cette direction. Votre maladie, c’est une maladie interne, n’est-ce pas, interne. Très bien, levez-vous et recevez vote guérison au Nom du Seigneur Jésus.

            Qui est celui qui a levé la main juste derrière vous là? Voyons quelle dame là-bas (Très bien), en robe rouge, assise là. Qu’en est-il de vous, madame? Croyez-vous de tout votre coeur? Oh! Oui, vous souffrez des varices, vous cherchez à en être débarrassée. N’est-ce pas vrai? Que le Seigneur Jésus envoie Ses bénédictions sur vous, qu’Il vous bénisse.

            Très bien. Juste une minute, laissez-moi regarder la rangée des estropiés ici. Vous sur les brancards, là-bas. Je ne peux pas vous guérir, madame. Et vous dans le fauteuil, assise ici, vous. Soyez respectueuse maintenant. J’aimerais simplement vous parler une minute, commencer de ce côté, descendre dans cette direction-ci.

80        Me croyez-vous en tant que prophète de Dieu? Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Nous sommes inconnus. Que pensez-vous de ces réunions? Croyez-vous qu’elles sont envoyées de Dieu? Vous croyez. Vous êtes juste un peu excitée. Vous pouvez être guérie si vous croyez. Ac-... vous... Croyez-vous cela? Je parle à la dame couchée, oui. Croyez-vous? M’acceptez-vous comme Son prophète? Vous acceptez. M’obéissez-vous comme Son prophète? Vous êtes liée par la tuberculose, n’est-ce pas, soeur? N’est-ce pas vrai? Levez-vous et soyez guérie.

            Qui est cette autre sur le brancard? Que pensez-vous, maman? Regardez dans cette direction, placez votre main sur l’homme, regardez dans cette direction. Ça va. Croyez, ici même, madame, avec ce garçon ici aussi, ici...?... qui est ici. Regardez dans cette direction, monsieur, j’aimerais juste voir ce qui cloche chez vous. Oh! Oui, vous mourez du cancer. Pourquoi n’acceptez-vous pas votre guérison, ne vous mettez-vous pas debout, pour être guéri au Nom de Jésus-Christ...?... Levez-vous. Même l’enfant...?... Très bien, madame...?... Père céleste, au Nom de Ton Fils Jésus-Christ, envoie Tes bénédictions sur ces gens et, Satan, sors, au Nom de Jésus-Christ, sors...?...

E-1 Thank you Brother Baxter. Good evening friends. Very happy to be here this evening to represent again our dear Lord Jesus. I want to compliment you on that song, as I was coming up, as you were singing it. My boy went up to the top of the steps and come back down, said, "Do you hear that?" That was very beautiful singing. I've always said, "I love singing so well, when you ever get to heaven, and when they're sing--where there's singing at, that's where I will be." I like to hear it.
I used to say in my church to my people, I would say, over at the... I believe I had a little mystic thing I was telling them, I said, "The river of Life is coming down from the throne of God, it makes a bend down here," I said, "over on this side of the hill the great angelic choir, great singers of all ages are singing there day and night." I said, "Over on this other side there's a little tree, and I'll be setting under that little tree listening when you want to find me." I was just, merely just something that I'd say to my--my church. Whether it'll be that way or not, I do not know, but whatever it'll be, it'll be glorious as long as Jesus is there; it'll be--it'll be glorious.

E-2 Tomorrow afternoon the brother was telling me, I was to speak at two-thirty, I believe tomorrow afternoon. And then tomorrow night is our closing service. We trust that it'll be a great thing to all of you, that God will help you and bless you each one. And I--I just know He will. I'm just trusting Him. Remember, this is one of my last American meetings. And so I'm just believing God, that it's going to be a great thing.
And the first time I ever had a service here in Pennsylvania, I met some friends this morning was telling me about Brother Roberts, another brother that prays for the sick. I remember him setting on the line, side line; he watched the work. He came to me, said, "Brother Branham, you think God will do that for me?"
I said, "What do you mean, Brother Roberts?"
He said, "Answer prayer."
I said, "He will for anybody." That's right.

E-3 And then Brother Osborn's been here. Many of you know Brother Osborn, just love that boy. He was in my meeting the night over in, I believe at--at Portland, Oregon, when that maniac run to the platform, about nearly three hundred pound man, just out of an insane institution. He just hated preachers. He'd hit a man the day before. They was after him, the law was. He broke his collar bone, his jaw, and knocked him out on the street. And he dodged the law, and then he come in. There's five thousand, five hundred there that night. And I just walked to the platform, and I was just standing there speaking on believe. And all at once somebody come running up through the platform, running up to the platform; there's was about three hundred ministers setting in the back and they all knew the man. And he had a gray suit on, a huge man. And he come running up, just stomping like that, real fast. And I could detect there was something wrong. But I never...
You know the first thing is the Word of God; that's first. That's where everything should be reverent, when that Word is going forth. And then he ran to the platform; he said, "You hypocrite," said, "you snake in the grass." He said, "I'll show how much man of God you are," said, "I'll break every bone in your body."

E-4 And I looked around to him, and I seen he was demon possessed. And I just led two little police to Christ, was back in the waiting room, the dressing room. And quickly, they rushed to the platform, I motioned to them. It wasn't a flesh and blood affair; it was between spirit power. And I just went ahead with the, started with the message, and these ministers, three hundred of them, started shrinking back. Brother Baxter was present, setting there. I had just had been made acquainted with him. Many ministers I guess, that you all would know. And Doctor Wyatt, you remember him? He's--he was there. And Booth, Brother Booth-Clibborn, you remember he was there, and many of them that's around the Portland, Ore--the area.
And oh, what a fellow that was. He turned around he said, "You hypocrite," said, "you deceiver," he said, "you stand up here and act like that before those people and pose yourself to be a man sent from God." Said, "I'll show you how much you're sent from," said, "I'll break every bone in your frail body tonight."

E-5 Well, physically speaking, he was certainly able to do it. And he weighted nearly three hundred pounds I suppose, about six foot two, and arms about like that. And his eyes was set, and his teeth scissored together. I just kept on speaking. And he rushed towards me, run over to me, said, "I'll break every bone in your body."
And I turned around to look at him... Now, you better be sure you know what you're talking about in them times. There's no chance there for you to, just to bluff yourself; you better just let God have His way. So I... He told me; He promised me when He sent me, that He'd take care of me; so it's up to Him to do it. You see? I just... Now, I... And He will do it, every battle.
So I turned around to him; I just stood there a few moments, just a second or two, and he called me a snake in the grass again, a hypocrite. And I never said nothing, and just looked up again, he said, "Tonight I'll break every bone in your body." And he said, [Brother Branham illustrates spitting.--Ed.] He spit right in my face, like that. And I started to say something. "I wouldn't do that friends," I was going to say that. Instead of that, the Angel of the Lord come whirling down and said, "Tonight you'll fall over my feet; you'll bow to the Name of the Lord Jesus Christ."

E-6 Now, that wasn't me, that was God. So both made their prophesies. Both made their challenges, both spirits. Now, who was right was the next thing. He said, "I'll show you how much your feet I bow to." And he run forward like that and drew back his big fist. And everybody was just spellbound. Course all those demons setting there, that was their legion. I'm sure I'm talking to spiritual people. That was legions; it all went into this fellow. Like Goliath in the day of old. And he was, oh, he made that bold challenge, and he rushed forward, said, "I'll see who's feet I fall over." And he drew back his big fist like that.
I said, "Satan, come out of the man."
And when he did he went... He made a great big scream, threw up his hands, his eyes went way out like that, and fell around till the police had to pull him off of my feet where he pinned me to the floor.
They said, "Is that man dead?"
I said, "No."
"Well," said, "is he healed?"
I said, "No. It's just God showing His power to make that demon bow to Him." That was all. See? I said, "He's not dead."

E-7 How many's read it in the book? Oh, many of you have my book, the account of it. And it's... In those books I wish we had some more, but we haven't, you just send in at the office, and we'll have ten thousand again right away.
And Brother Osborn, his wife was setting there that night. So Brother Osborn, he said, he fastened himself up in a room and nailed the door. He said, "Lord, if You're still God like that, You can help me too," the little fellow.
And then a few weeks after that he drove by, he and his wife down to our home; he said, "Brother Branham, you think God would bless me if I'd pray for the sick?"
I said, "He'd bless anybody who'll pray for the sick."
He said, "Well, here I go."
I said, "God be with you, brother."

E-8 And he's sure done a great work for our Lord. Very, humble, sweet brother, and I love him. And I understand that he's in the states again now. He's went overseas much with the--in the islands there and done a great work for our Lord. And if he's ever near, well, you--I--I tell you, he's a good brother; you just go here him; he's all right. He's very sincere, and that's what it takes.
And I remember slipping into one of his meetings one time; he didn't even know I was there. He said, "Now, you people coming in prayer line," said, "I'm not Brother Branham," said, "don't ask me what's wrong with you; I don't know," he said, "But I know the Word said He will heal you." And he didn't even know I was there, and he never did know I was there. I just flew--just flew in, and set in the back of the building, went out that night. So he never knew I was there, but...
That's what I like, is sincerity (See?), sincerity. And to brothers that's here, God will bless every one of you in your churches. You don't have to have healing campaigns, but God will bless you in your church, if you'll pray for the sick, everyone of you, sure.

E-9 Now, as far as just spiritual discernment like that; there's--there's nine spiritual gifts in the church that--that's just maybe on one tonight and one the other, but there's... I say this with reverence: gifts and callings are without repentance. This will... There'll be... There's a gift in the church of discernment; that's true. You see? But a prophetic gift is ordained before the foundation of the world to come forward. That'll never be until I die; it'll go from me to someone else. You see? But that... But now that doesn't take away the--the value, the Holy Spirit that's here to do anything that you want Him to do. That's right. And every brother in the.. Every person's got a right to pray for the sick that believes in praying for the sick. That's--that's true.
Now, if you'll notice in the Pentecostal realms, and in the realms of all religions, there's supposed to be in the body of Christ, nine spiritual gifts. Do you believe that? Now, that's... Now, if you'll notice, God in sundry times and divers places, and manners, spoke to the fathers by the prophets; in this last day by His Son, Christ Jesus.

E-10 Now, there's a Body; and in this Body we're baptized by the Holy Spirit into this Body and made partakers of God and of Eternal Life, through the gift of God, which is a free gift of God is given to "whosoever will, let him come." Now, that puts us in the Body. And when we're in the Body, in that Body is nine spiritual gifts operating. See? And it will come upon one.
Now here... I better leave this subject alone. Let's see, I never come here to teach; I--I come here to talk, to pray for the sick. It might be a little against your theological teaching. You see? But anyhow, God be with you, and help you, and bless you is my prayer. All right.

E-11 Now, do you love Him? He's just as wonderful. My, He just loves you everyone. And I'm sure you love Him. Because there's a great fellowship of the Spirit here tonight. And it's just too bad we have to leave tomorrow. I wish we could stay a month and see what would happen. You see? Till we just... The first, it's all new, and then it just settle, look like it takes two or three nights to get the--the powers of the enemy, you know...
Christians come in sometimes, and they--they think, "Well, I--I just have to see it; that's all." And then the next night they're wondering, "Well, how could it be done?" And about the third or fourth night they're ready to say, "Well, Lord, here I am." Well... And that time, then it's time for me to go. But when I come back from Africa, the good Lord willing, I don't aim to have any more of these rush, push, and shove, and a handful of shirts and grab a plane. I'm--I'm going to go where the Lord tells me and stay right there till He says leave. If I have to stay out on a street corners or get a field out from some farmer, we--we just stay right there till the Lord says it's time to go.

E-12 If He can show me what's wrong with people in their lives, He can show me where to go, and what to do, and how long to stay. And I've been so tied up though. I got into... Well, at first when I left the Baptist church to be interdenominational to help bring the brethren together, to do all that I could. See? I believe that we're all brethren in Christ. And I don't believe we should be separated. It's all right to have different churches, own little beliefs, but that does--that's isn't the fundamental part. The thing of it is: We are brethren (See?); we are together. We're all born into one Body.
Now, I've got... I've got, had nine brothers, two of them are--are gone. And--and there's none of them that looks like me, or probably acts like me, but they're my brothers. And so, family speaking, we're all Branhams, 'cause we were born in the Branham family. And we're all brothers when we're born into Christ. And I believe that soon, why, the Lord is going to let me have an out where I can be free. Brother Baxter and I have talked it over.

E-13 And I started in, and we, I organized a little paper called "The Voice of Healing." They still have it here. Well, I found out in that then that's there's lots of finances and things hooked up to it. And I washed my hands of that stuff a long time ago. So the "Voice of Healing" is not my paper; I have nothing to do with it, not at all. That belongs to Brother Lindsay, at Shreveport, Louisiana.
And come to find out, I got into that, and I thought I was getting out of organizations, and I got into one. So, it was still just almost organized down to everyone of them in there, and so I just... I belong to my--just the Lord Jesus. And then I can come, go anywhere I wish to. And whatever He leads me to do, I can be free.
Brother Ro... How many takes that "Voice of Healing," let's see your hands? It's a very lovely little paper. How many takes that "Healing Waters" of Brother Roberts; there's another fine paper. And I believe, isn't Brother Osborn got one called the "Voice of Calvary?" Or isn't that something like that, something of, "The Voice of Calvary"? Or some... He sent it to me. I think he just prints it every so often; he has a quarterly or something like that. They're very fine papers, and--and may God prosper them. I believe the Scripture said they're to publish His doings, or something; so that's fine. For those men who has education, and able to go ahead and do that, why, I--I'm... That's good. But for myself, I'm not eligible to do such. I have a very poor education: grammar school, seventh grade, at that. You know that without me telling you though.

E-14 Here not long ago I was over at Fort Wayne, over here, and I was just got through the service, and I walked back in the back. And there'd been a little girl that been healed there that was blind. How many takes the... How many seen this here "We The People," the book "We The People"? Did you see the article in it? It's a international book, and it--and it's a widely spread publications, and it goes all over the world, translated in many different languages. And my article was in there on the religious section. And then there was...
How many takes the Assembly of God paper that, what? "Pentecostal Herald," is that what it is or...? "Evangel, Pentecostal Evangel," how many takes that? Did you see the article in there, of the little girl from Fort Wayne? Well, it was just right after that what happened.

E-15 I was back behind the curtains, and there was a man back there, I believe, that had more education than he just knew what to do with. He sure was punching me hard. He said, "Brother Branham, the very idea, you use the poorest grammar."
I said, "I know it."
And he said; he said, "Why, you're grammar's terrible. To stand with the crowds like you do." And said, "Your grammar's so terrible."
"Yes, sir," I said, "I know that." I said, "I was borned in a poor family, and had to work all my life." I said, "I didn't get a chance..."
He said, "Oh, that's no excuse now; you're a man."
I said, "Well, that's right, brother." And I said, "But when I got to be a man," I said, "the Lord called me in this work, and I just... I've to spend all my time praying for the sick people," I said.
He said, "Oh, there's no excuse for that." He said, "My, I here you," said, "it's a shame a word that you use." Said, "Correct yourself now." Said, "I heard you say out there tonight, 'All you people passing by this polpit,'" And said, "Why, that's terrible, Brother Branham."
I said, "Yes, sir, I guess that's right."
He said, "Now, that people would appreciate you more if you'd say pulpit instead of polpit." He kinda punched me a little hard, you know.
And I said, "Brother, look, I love you," I said, "I think you're wonderful man, but those people out there don't care whether I say pulpit or polpit, they want me to live the right kind of life and produce what I'm talking about." I said, "That's--that's what I'm..." And I said, "Then they..." [Audience applauds.--Ed.] Thank you, thank you. That... I believe that's right. Now, I'm not trying to support my ignorance, but it's...
Friends, you don't have to have a great education to know God. See? Frankly, education's been one of the worst hindrances that the Gospel of Christ has ever had. I say that with respects and reverence. That's right, the worst hindrance.

E-16 In the garden of Eden there were two trees, one of them was the knowledge. And the other one the Tree of Life. And when man left the Tree of Life and took the first bite off the tree of knowledge, he separated himself from God. And now he bit off gunpowder, destroys himself. He bit off an electricity, pulling the coal from the earth, where un--beneath it, is eight thousand miles of burning volcano, and these...
Now, he's bit hisself off automobile, kills more people than all the wars. He's got hisself a hydrogen bomb now; I wonder what he's going to do with that. He's still biting from that tree of knowledge. And every time he bites, he just separates himself away, destroys himself.
And God is not known by knowledge, God's known by faith; by faith, you believe. Not try to figure it out, you just believe. And that's the way God is known. God bless you.

E-17 Now, can we bow our heads. Heavenly Father, just to stand at this platform and speak these few words just without, just informal, we just thank You for that, to get a chance to say, express our thoughts to the people and hear them respond back. It does my heart good to know that, Father. That these dear people setting here are Your children, and we've gathered together in the name of Your Son, which promised that "If two or three will gather, I'll be in their midst." We are here.
And just in a few moments now, we're to turn the pages of this dear old Book called the Bible. I'm to read from it, Lord, some excerpts there from days gone by. And I pray, Father, that You'll make it manifest to us tonight. And when we leave the building tonight and start down the streets to our different places, may--may we say within our hearts, "Did not our hearts burn within us, because the resurrected Christ was there with us."
May many of these sick, we feel the great pressure just at this time, pulling from the dying laying here. Some can't live very long; they have heart trouble and cancer, tubercular, many other diseases that will quickly take their life, if You do not let them have enough faith tonight to accept the provided way that You made for them. God, may the Angels come down tonight, stand by every patient in the building. Hear me, Father.

E-18 And if Your humble servant has found favor before You, then answer my prayer. And may this be a night of nights, Lord, this Saturday night just before the dawning of the Sabbath. God, grant that now, that tonight, that the angels, legions of them will come down into this building. May every unkind thought, everything that's not faith be pushed back. And may there be such a respond and a combustion of faith, until the cripples will raise up from the chairs, may every cancer be healed, every tubercular, every heart trouble. And may the glory of God so fill the building, that it'll be like the days of old, when Solomon dedicated the temple, and the Holy Ghost came in, or the fire and settled down over the altar. May the great Angel of God, Who has guided Thy servant, now spread forth His wings over this building here. And may the dew drops of the mercy and healing powers of God, drip upon each soul, until faith goes, surpasses all doubt, up into the realms beyond this...
God, wake us up from this sense bound dream that we're in; may we go beyond this sphere, up into this--the place where all things are possible, and there lay hold on Eternal Life and on Divine healing, and tonight walk out of here victorious in Christ Jesus. For we ask it in His Name. Amen.

E-19 Now, as I open this blessed old Word; it just means so much to me. I wish to read a quotations of different ones of our Lord. I wish first to read our Lord speaking of His, and a vindication, God speaking of His Son, found in Saint John the 4th chapter, beginning with the 14th verse. Jesus in His conversation at the well:
But whosoever drinketh of the waters that I shall give him shall never thirst; but the water that I shall give him shall be in him... well of water springing up into eternal life--or everlasting life... (Pardon me.)
The woman said unto Him, Sir, give me this water, that I thirst not, neither come hither to draw.
Jesus said unto her, Go, call thy husband, and come hither.
The woman answered and said, I have no husband. Jesus said unto her, Thou hast said well, I have no husband:
For thou hast had five husbands; and he whom thou now has is not thy husband: in... thou saidst truly.
The woman said unto Him, Sir, I perceive that Thou art a prophet.
And over in the book of Saint John the 1st chapter, beginning with the 42nd verse, we read this:
The day following Jesus would go forth into Galilee, and findeth Philip, and saith unto him, Follow me.
Philip was of Bethsaida, city of Andrew and Peter.
Philip findeth Nathanael, and said unto him, We have found him... whom Moses and the law, and the prophets, did write, Jesus of Nazareth, the son of Joseph.
Nathanael said unto him, Can there any good thing come out of Nazareth? Philip saith unto him, Come and see.
Jesus saw Nathanael coming to him, and said unto him, Behold an Israelite indeed, in whom is no guile!
Nathanael said unto him, Whence knowest thou me? Jesus answered and said unto him, Before Philip called thee, when thou was under the fig tree, I saw thee.
Nathanael answered and--and said unto him, Rabbi, thou art the Son of God... the King of Israel.
And in the 5th chapter and the 36th verse, God speaking of His Son first, vindicating His claims. The next was John speaking of Him. Now, the Son speaks for Himself, 36th verse of the 5th chapter:
But I have greater witness than that of John: for the works which the Father has given me to finish, the same works that I do, bear witness of me, that the Father hath sent me.

E-20 That's three witnesses, John speaking, God speaking for Him, and He speaking for Himself, three witnesses that He was sent of God to fulfill the works of God. And now, He is the same today. And it's written that in this day, the things that we now see and hear, were to be here. And it's all to fulfill what the Lord has said. All Scriptures is given by inspiration. And it's the fulfillment must come quickly as the time draws near.
Who would've thought, a few years ago, your great grandfather, when he met his neighbor, and he said, "You know, it's written in the Bible that there's going to be a time when the horseless carriages will jostle through the broadway; they'll rage; they'll run like lightning."
Why, maybe his critical neighbor said, "Well, John has just a little bit off at his mind. He's read too much in the Bible."
But his grandchildren are riding in one of those things tonight. See, when God speaks, it's forever--it's forever settled in heaven. Then that's got to come to pass. And now, Jesus came, and His healing was to fulfill the ministry of Elijah and all the prophets from the foundation of the world. He was the fulfillment of that. The law and prophets were until John, since then the Kingdom of heaven.

E-21 Now, tonight, the Holy Spirit is in His Church to fulfill what the New Testament said that would come to pass in the last days. And you see the people on the street and around who criticize and say, "Those things are not right." Just feel sorry for them. For that is the people... maybe... There's got to be somebody on that side. And remember, there'll be more than you are, than we are. See? In the last days scoffers will come. And the Bible said that they'd come in the last day and be religious people. They'd be high-minded, lovers of pleasure more than lovers of God, and incontinent, and despisers of those that are good. They'd call you holy-roller, anything they could just to make fun of you. Holy-roller, despisers of those that are good, having a form of godliness, they go to church, to Sunday school, but would deny the power thereof. Now, that wasn't to be in that day; that's to be in this day. The Spirit speaks expressly that in the latter times, that was the ending as He [Blank.spot.on.tape--Ed.]

E-22 Here's what it is, the antichrist spirit is not the communistic spirit. The antichrist spirit is a religious spirit. I have delivered my soul; that's what God was wanting me to, right there. Amen.
Father, we thank Thee. Now, I--I am Your servant, and I believe with all of my heart as sure as I believe I'm standing here with my hand on Your Word, that that's what You wanted me to say. And I waited, stumbling around, until You spoke the Word. Now, we thank You, Lord. And we pray that You'll let men and women here tonight, be careful, walk careful. For we know it's written in these days of what would come to pass. And true to my mind now, it comes afresh that over in the book of Matthew Jesus said, "The two spirits would be so close together it would deceive the very elect if possible."
And Father, we know that those things are now. And we thank Thee, and may we have this warning in our heart to watch everything that we do. In the Name of the Lord Jesus we thank Thee. Amen.

E-23 Now, last evening, and Mr. Baxter told me that tonight he was leaving just a little early, I wanted to give a testimony. Do I make it miserable for you to hold you here long enough to give a testimony? If I do, I'm--I'm awfully sorry. And I just got to wait just a little while, to kind of get my audience settled, and then it's so much greater when we go to pray for the sick. And I'm just looking for God to do something marvelous tonight. I--I've asked Him. This afternoon I asked Him if He would do it. And I asked Him if He would help, and if He would once more...
Now, last night was the only night that I had seen that was really coming down like a real meeting. But there was a real spontaneous flare of faith; the room before me lit up. And I was unconscious for quite a bit, till they got me out in the street, and it was raining. And my little boy kept talking to me, and I didn't talk back, so he just opened up the window, and the rain blew in on me, and I kinda come to myself.

E-24 I seen the time when I walked for... They'd get me out on the street, walk me for hours. See? It's not when you're up there; it's not when you're down here; it's between them places is what does it. It was kinda hard for me to understand that at first. Maybe I'm taking too much time; he's already come to the platform. All right, I'm going to finish this testimony, if the Lord willing, and a part of it, and then tomorrow evening I'll try to get some more of it.
I was speaking last evening of being over in Finland; I mean in England, I believe, where the--Mrs. Florence Nightingale was healed; wasn't that where I left off? Is on our European trip. And we went from there, and just as soon as I touched the soil of the other country, seemed like the Angel of the Lord hardly left me day and night. It would constantly...

E-25 Now, Mr. Baxter here and all of them knows. We'd go downtown; we'd be setting there; I'd say, "Brother Baxter, on the road up, there's going to be two woman come out; and they'll come from the corner; they'll be dressed this way; and they'll ask a certain thing. Then we will go a little farther, and there'd be a man come down from out of the stair; he's going to ask a certain thing. There'll be different things will happen. And you just ask him; it never fails to be just that way.
And then here recently at Cleveland, Ohio. I wonder if there's anybody here was at the Cleveland meeting? Well, wonderful, now you probably heard this, just a little vindication.

E-26 Sunday... Now, this is Saturday night; they just have to go to church in the morning, so that's all right. Attend your post of duty in the morning. And look, to all the pastors, if they don't even cooperate with the meeting, you been coming here; you give them my love and regards, will you do that? And tell them that from my heart I love them, and I trust that--that God will just bless their ministry. And maybe they grow, and your church just grow and prosper. And take good news to your churches in the morning everywhere.
And you strangers here, you seen the pastors here on the platform, so forth; go into their churches tomorrow for Sunday school and have a glorious time, is my blessing to you.

E-27 Now, this... In Cleveland it was a little remarkable case there. And many times, it happens and things takes place; I don't say nothing about it, and just go ahead, and just watch it. 'Cause I feel like sometimes I say too much to the people anyhow. And then, when we were setting at--at a luncheon, and maybe some of the ministers are present. And they kept asking me, "Brother Branham, how do you know those things?"
I said, "I see it just like I'm looking at you."
So, there's... And there's one man there; he may be setting here tonight. He was a rich man; he runs a bumper place where they make bumpers for cars. And he said, "Brother Branham," said, "you with that little bitty tent down there of about three or four thousand people, and the first ring or two comes around it, the rest of the people drive away." Said, "If you'd come up to the auditorium where you could seat the people..." Hundreds come by every night and they can't get in. When they get off from work and they have their dinner, why, they're down there, and they can't get in. He said, "I tell you," I think it costs around nineteen hundred for one night in the place. He said, "I'll pay for it if you'll just come and approve it."
I said, "Brother, if you'd pay for a year, I couldn't go until God tells me to go." And so, I said, "On this, outside of that itinerary, I'm under obligation to by brother, written contract," I said, "Until that runs out, I'm under obligation to them."
He said, "Well, you'll have extra, two or three days," said, "come back for one day."
I said, "If the Lord will provide."

E-28 And that morning setting there at the breakfast, they asked me different questions. I believe a Ukrainian minister asked me, said, "How is that seen?"
I said, "Well, for instance now, I'll be standing, looking," and I said, "here..."
How many knows Brother Bowen from down there, Brother Bowen, he was present. And I don't know who the brother was I come with; he had a big blue cadillac. And--and so I got in the car, and we drove down, and--and I said, "Now, here's what's going to happen: that you might know," with these ministers standing there. I said, "Now, on the road going up the street, we're... going to be a lady cross the street with two little children with little checkered dresses on, with their little hair (What is you call it? Sweeped up or ever what it was) up like that in the back, you know, and tied on top." And some of these funny hairdos, I can't say nothing, 'cause I haven't got any to do. So, they--they fixed it up at the top. I said, "Be two little girls, and they'll be leading those little girls." And so they, I said, "Then we're going to get in the car, instead of going back in a blue car; we're going to get in a red looking car. And then, we're going to be on the street, and we're going to pass three young ladies in long costumes. And that comes to pass, then I have the right a way and God's permission to return for the service."

E-29 Well, here Brother Lindsay and all of us, we're going along, Brother Bowen, several of the ministers talking, when the little girls crossed the street about three squares away from the place we were having breakfast, I said, "You see them?"
And there he said, "Oh, my."
And we went down there, and I don't know what, I believe, what happened to the cadillac, but we had to get in the other car. It was Brother Bowen's car, and it was a red looking car. And we turned out. And you know they have a mounted police there, and we were supposed to turn left coming out of the lot. Instead of going left, Brother Bowen, raised there in the city, turned right, the wrong way on a one way street. And a big Irish cop over there on a horse, oh, my. He caught him. And I mean, he really told him. We was all setting there, and he said, "Well, you're from the city here," said, "there's no excuse for you."
Brother Bowen said, "That's right, sir; that's right," and was telling him how sorry he was. He said, "We're ministers." He didn't care what we was; he was just tearing him up. And we set there about three minutes, and that cop just--just go to tear him up.

E-30 And just then, coming from around the corner, stepped across the street, come the three young ladies with the costumes on. We had to; he had to hold us that long to bring it to pass. See? When, they passed by. I punched Brother Bowen, I said, "Look, brethren, and there they are."
And everybody said, "Praise the Lord, Praise the Lord."
And that cop said, "You crazy people, get away from here." Ha-ha-ha.
So... Well, they thought we were crazy, but I believe Saint Paul told Agrippa, said, "In the way that's called heresy, so worship I the God of our fathers." I'm glad to join with him tonight, aren't you? But that cop didn't know what they were... They begin screaming, and speaking with tongues, and the going on; I never heard such a bunch. 'Cause there come the three ladies, young ladies with them long after supper, or ever, some kind of a costume, you know. Ah, "dinner," I believe you call it up here, excuse me.

E-31 Down south, I can't get this fixed up. When I come up here they have dinner about five o'clock. We have dinner at twelve o'clock down there; this is supper. They call that... I think I missed a meal through the day if I... So, anyhow, just whatever; it's all right.
And they passed by with those long gowns on, and there they went. And I said, "Now, we will return." And that time when we returned there was as many as three times what was in the tent there that night. See? He just approved.
But see how God will do, how that cop... How, Brother Bowen lived there in the city. How many's heard that, them testify of the tent that night? Do you...? There you are. All right. And is, would Brother Bowen happen to be here? That... He might even be here, some of them ministers there. If it is, why, I wouldn't know. And anyhow, that's, those things that just happen daily.

E-32 Now, we were in Finland, or England; we flew to Finland right away to start. At Helsinki we had a marvelous congregation. The Finnish people are so lovely and sweet. And many times when I think about how poor they are there, and how much that we ritzy Americans have, we should be ashamed of ourself. That's--that's right. Those poor people...
There's a Finnish woman come on the platform the other night. And I was trying to keep myself under anointing, but when she passed she said, "Jumalan rauhaa," that's "God's peace upon you."
And I said, "Kiitos," to her, it means "thank you."

E-33 And so I just, we went in there, and they--they don't... If you American women had to dress the way they dress, great big thick skirts on, great big boots, they wear. And everything they get they have to trust God for it. They're right there on that border line. That's the battlefield. And what a--a pity.
And I seen, the other day I was in California, and a woman was sending in, paid eight dollars for a plate of something or another, and some women, and they were mincing around, just taste a little bit. They left it set there and paid eight dollars for it, and they raked it all off in the garbage can. I thought, "A many a little Finnish child tonight, little dirty hands wringing, and its little eyes, would be happy to have that piece of bread that they raked off in that garbage can."

E-34 You know, we don't deserve that, American people. Now, I'm an American from generation, generation. There's a... When I was flying over France a few weeks ago, I just looked down; I thought, "There's a many American dead along there, a many a Branham laying along there that died for the cause. And if it comes my turn, I'm ready to go like they do." That's right.
But oh, brother, sister, we need some correction here. That's right. It isn't the robin that pecks on the worm--on the apple that hurts it, it's the worm at the core that kills the apple. It isn't Russia is going to hurt us; it's our own degrading of our morals among us, is what's killing us. The termites has eat the foundation out from under our civilization.

E-35 And I know there was many gathered there at the Messuhalli; it seated several thousand people, and I got a picture there where they was standing, I believe, for about four to six city blocks, many deep, at three o'clock in the afternoon waiting, trying to get in to the Messuhalli, when they'd empty up and then different ones come in.
And we was going to Kuopio from there. And to get this instance here, one of them comes on my mind now, that happened. God, usually, in the room He will show me something's going to happen; I'll tell the people. It may be a week or two weeks; it may be a month, maybe six months before it comes to pass, maybe just a few hours. And maybe I'll get a phone call in a few minutes, and there it'll be right there, the very thing He had showed me. And maybe the woman's setting at the phone; I'll say, "Don't you have on a dark dress, or something?"
"Yes."
"A certain, certain..."
"Yes."
And you live in a house, right along on the side of the walls a certain thing?" Just see it right from the phone call, like that. And tell them, "The Lord has healed you."

E-36 And so I was, had a vision in Miami, Florida, and many of you people here tonight probably have this wrote in your Bible. And I seen a real hilly country, and a little boy was killed by an accident. And he was about eight or ten years old; he had a funny cut hair, brown eyes, fat face, and very poorly dressed. And he was run over or something; he was all disfigured up. And I seen the Lord Jesus send His angel and bring the life back to that boy.
Well, I was in Miami, Florida, and I told the vision to the people, and I said, "Now, the thing to do is to write that out in your Bible. How many remember hearing me say that before it come to pass? Have I a witness? Yes, look all over the building; that's fine. And I said, "Write it in your Bible, for THUS SAITH THE LORD. You'll notice it, and it will appear in the 'Voice of Healing.'" You remember me saying that? "It will appear in the 'Voice of Healing,' a little boy," and I describes how he looked.

E-37 About three nights of the service, and they sent me back in the back, said, "A little boy got drowned out here, and the father has been in your service; and he will not permit the undertaker to move the little boy until you come and see if that was his son."
I said, "I'll be happy to go."
I went back there, the little fellow was about five years old, and he had real black hair, well dress--I said, "No, that's not the little lad." I said, "This little boy was not drowned; it was an accident." And I offered prayer for the consolation for the family and returned back.
I went out through the west and over through Canada, and down, and every meeting I testified. It was wrote in hundreds and hundreds of Bibles. I said, "Now, you take your pencil and write in the Bible this, that I said this, so when it comes to pass you'll know it. That's the only vision," I said, "I have that's not come to pass, but it will be." I said, "Where, when, I do not know, but it will be! THUS SAITH THE SPIRIT OF GOD, for He showed it and it can't fail." And I said, "It's not impression; it was a vision, I seen it; and it's going to be just that way."

E-38 And so we... I'd went ahead and testified of that, long time, about a year before it come to pass. And we went up to Helsinki, from Helsinki to Kuopio; it's a land kind of the midnight sun near up there, and I know... In the middle of the night, it was nothing like this dark. And then along up this time of year, why, it, sun doesn't go down at all, it just goes low and comes back again. And the people were still poorer up in there, than they were down around Helsinki, but just as lovely as they could be.
And at... We went up on a train. Now, if there peradventure would be a Finnish person in this building, my dear friend, and Christian fellow, don't think that I'm degrading your country; if we American people had in our hearts the love of God that you have from your country, with the--the things that we have, it'd be a--the millennium would be on almost here. That's right. But we got plenty; we just don't trust. We just let it go, and just kinda carefree, wouldn't walk across the street.

E-39 Don't you think in Finland... They came by the tens of thousands, no cars; they walked. They hitch-hiked. The papers carried it, with bundles on their back. Cripples, they'd wheel one another in, any way they could get in. A fellow rode a little old thing that chugged along like that, I believe, four thousand miles to get to the meeting. And God healed him while he was there. God will respect faith everywhere it's at.
And I... Some of those things just tear down in the middle of me, when I think of it. And I remember, we went up on that little old train, and they give us the best they had. And I--I went up on that little old train, first class, and I'm telling you friends, you American people, is like the--the iron pony that they had in the early days. They didn't have coal to burn; they put wood in the tinder to burn, to make their steam. And Brother Baxter said, "Had square wheels," he was so fat, and the way it would roll and toss him through the night. And they went... Oh, it was poor little people, and they just... But they was just... What they had was yours; they were free hearted.

E-40 And when we got off up there, went into the auditorium to have the service, oh, what a crowds of people gathered, my. And I remember, the second day, there had been some wonderful healings take place, and the Holy Spirit... Here's the way it would work. Now, see, it all had to be translated. Mrs. Isaacson was our translator, and the best that I ever seen in my life. Brother Baxter, as rapid as he preaches, she'd follow him right there with his sermon in translation with it. The best I ever knew of. And she would interpret for me.
And I'd be standing there, and the Spirit would come upon me, I'd say, "Here sets a person here." Now, if you notice, always in talking to people, I never look at them too long, because when the anointing's on it brings the person right to you. You see? And I always keep looking from side to side. I look at a person and catch like that, and would tell them just where they was at, and what they'd done, and all about their life, and what was wrong with them. And I'd be speaking in English, and she'd be interpreting, and that person would raise and scream right like that. Just exactly. Oh, He's wonderful.

E-41 And I remember, that one night coming in, well, I went up on the hill, at--at Kuopio, and we was coming down. It was a fast day; I fast much, because meetings going on, till I get real weak, and then I have to eat a little. But because this kind cometh out only by fast and prayer. And I don't know what time that kind's going to be on the platform.
So then, I was up there and they were singing, "On Golgotha," it's a Russian song. And two or three Russians was over there. And those people... Let me drop this: Those Russians would follow me, and when I come by they just stop and the tears would just run down their cheeks like that, when I'd pass by them. They'd stand attention like that, and I'd go behind; they look and just cry.

E-42 Look brother, it isn't the Fourth Term, it isn't the Big Four, is the answer; Christ is the Answer. They... I was an American; they was Russians; but the love of Christ is in our hearts and we loved one another. There was the embassies there with guards and the iron curtain and so forth, and them Finns and Russians right at one another's throat. But the Christians had their arms around one another, heart to heart.
Why can't people see that? The god of this world has blinded their eyes. This is the kingdom of the devil. Isn't that a big mouthful? But that's the truth. Every kingdom of the world's controlled by the devil. When Jesus takes over, the king... Read Revelations. Look, when Jesus was taken in the Spirit... I know you didn't get that, so I better explain it.

E-43 When Jesus was taken up on the high mountain by Satan, he let Him look down through the stream of time and showed Him all the world and the kingdoms thereof, and said, "They're mine." Is that right? "And I'll give them to You if You'll fall down and worship me." Is that right?
Jesus knowed He'd inherit them anyhow. He said, "Get thee hence, Satan." And then over in Revelation, said, "Rejoice, ye heavens, and you holy prophets, for the kingdom of this world has become the kingdoms of our Lord, and of His Christ." And as long as they're controlled by Satan, they got that satanic thoughts and powers, they'll fight until Jesus comes. And there'll be a Stone hewed out of the mountain someday without hands, that'll break these world kingdoms into pieces; and there'll come a Kingdom out of there. Hallelujah. I'm glad tonight I'm a candidate of that Kingdom. Yes, sir. And then there'll be no more war; there'll be no more war after that.

E-44 And now those who are in that fellowship of that Kingdom, there's no war between them. A chaplain told me when he was in a concentration camp in Japan, said he was out there one day, and he knew... he belonged--he was a holiness brother. And he said he knew probably he would die in that camp. And he was getting so hungry and they wouldn't feed him, and--and old mold bread and stuff. And said he walked out there...?... let him out. Then he raised up his hands and said, "Hallelujah, hallelujah, hallelujah." And knelt down and said, "Oh, God, I've served You with all my heart, now if You want me to go home to glory from this place starved," said, "I'm ready to go."
And he raised up, and he happened to notice that little Jap walking like this, and keep watching, and walking like that, the sentry walking by, and said he looked like he wanted to see him, so he just walked over close, when he passed by he said, "You Christian?"
He said, "Yes."
He said, "Me Christian too."
Now, them brothers would've tore that cage down and put their arms around one another, the war would been over. You see? But the kingdoms of this world are dominated by the kingdoms, by the powers of Satan (See?); they're going to fight. But someday, "Me Christian too," will be all of us. Amen. That'll be wonderful. There's the answer to all.

E-45 And up there, I come down off of the Kuopio tower, and when I did, they was singing up there. And an Englishman from England, a buyer, was up there, and he was so drunk, and he heard that song, "On Golgotha," and all their songs are in minor. And when he came down, why, he was weeping. And we went over to him and talked to him; he could speak English; and we led him to Christ there on the hill.
And Brother Baxter and them said, "Come on in now," or not Brother Baxter; Brother Baxter wasn't along that day--Brother Lindsay. And he said, "Now, come on; let's eat." There's about thirty ministers up there.
And I said, "No, I can't eat; I don't want to eat until after six o'clock."
We sat down; I listened to them talk and everything, through the interpreter. And I said to Brother Lindsay and Brother Moore coming out, I said, "Something's fixing to happen." I said, "I just feeled it, that something's going to happen." And I said, "I don't know what."

E-46 And we got in the cabs. And they don't have many cabs in Finland; the most of them are horse driven. So we was coming down in a car. And down at the bottom of the hill, there was an accident had happened. And a car, an American made '35 model Ford sedan had struck two school children, running at the speed of sixty miles an hour. And the two little boys were going across the street; there's not many cars, so they was... And they started this a way; and they seen the car coming; and they started to run back and one run this way and one this way. And the fender, the driver, swung to the right, and when he did it hit the little boy by the chin, over this way, and just turned him over and smashed him up aside of a tree and concussed his little head in, that way.
And the other little boy, it knocked him straight forward as he give a twist, and run over him, and mashed him under the wheels, and kicked his little body up in the air, when the wheels was, he'd lost control of it. And just threw down on his accelerator in the stead of his break, and it just... The little boy's body just rolled up like that, and flew up in the air, and when out in the street, and fell, like that. Oh, just mashed the little fellow.

E-47 And we were way up on the hill, way a way, and we seen the accident happen. And then people begin to run from the school, and was quite a little bit, about fifteen minutes, till we got down to where the little boys were.
And they'd done took one little boy; I didn't know but there was but one of them. But the other one, they'd done got him in another car and got him away. And there's no more cars there. And I drove up, or they drove up, rather.
And Brother Moore, when he got out, he started weeping, come running back to the car, said, "Brother Branham..." And Brother Lindsay, here he come; he had a little boy too; and my Billy Paul, I hadn't seen him for a long time.
And Billy's mother, you know, is dead, and I've been both mother and daddy both to him. And I--I packed him around with his bottle against my bosom here, to keep it warm in the cold weather, and crying, walking up-and-down the streets. You've read my life story, like that, and don't know what to do. And the little bitty fellow leaning on my shoulder. And he's always scared when I go away. 'Course he's almost a young man now, and--but I thought of him, "What if that would be him?" And what if I'd--a telegram would come across the sea and say, "Billy Paul was crushed in a car wreck, and he's laying dead, wanting you to come home."

E-48 And oh, how I begin to think, how that poor mother, they'd gone after her, and there the little fellow laid there with a coat over his face. They said, "Come, look at him."
I couldn't look at that child. I just set there, and I was just shaking, like that, and Brother Lindsay just a holding his breath like that, and crying. He's got a little boy too. And so, finally, I took a look at the little boy. They was going to pick him up; we had to take him to a place.
Now, if I hadn't been so excited, I'd have caught it right away. And as soon as I stepped out of the car, Mrs. Isaacson said, "Isn't that terrible?"
Said... Them people said, "There's that miracle worker from America, let's see what he will do on this case."
And I said, "Well, it's just people who didn't under..."

E-49 And the chief man of the city, I guess, it was kinda like a mayor of the city, he was near. And so we--we went... I went over there, and they looked, and oh, my, poor little fellow laying there, his mouth open like that, and his little eyes open, his little hands like this. And they wear those little, I guess, they used to call them little pantywaists for boys, you know; and he had that big heavy ribbed stockings. And his little shoes was knocked off of his feet, and one of his little feet that was twisted up like this, was run plumb through, his little foot run through his--his stocking at the bottom. Oh, he was a--just horrible laying there, had eyes open like that, setting. I said, "Poor little fellow." And that just made it worse. And I--They was going to put him to the car.
And as I started to turn around, I looked in front of the little boy; I felt something go, "Whew." [Brother Branham blows.--Ed.] I said, "Maybe that's just my sympathy for the little fellow." I started to make another step, something went, "Whew." [Brother Branham blows.--Ed.] I waited just a moment; I turned around; I said, "Let me see that boy again." And they pulled back the--the coat they had laying over him. I said, "I've seen that boy somewhere." I said, "That... Ask those ministers if he's been in the church, member of their church."
"No."
I said, "Has he ever been in the prayer line?"
Brother Lindsay said, "No."
I said, "I've seen him somewhere, and I don't know where, but it looks like..." And I looked around, and I seen them big rocks piled up laying there, I said, "Praise God, I know where I saw him." I said, "Brother Moore, get your Bible. Brother Lindsay."
Said, "What's the matter, Brother Branham?"
I said, "Look at the folder, the leaf in your Bible." I said, "That's the little boy that's going to be raised from the dead."
And they... Brother Moore run over to the car and got his Bible, he said, "Brown hair, brown eyes, about eight years old, poorly dressed, crippled, been mashed by a accident, a rocky land," said, "Brother Branham, that's it!"
I said, "That's him."
Oh, my, you don't know how that feels; you know where you're at then. All devils out of hell, if he'd line everything there was in hell up around, it'd never stop it. It's there; it's got to happen. Now, the only thing is just drama. I said, "Now, I remember, I knelt to this side in the vision when I prayed." You have to do just as you seen it. And I knelt down; they all gathered around. I said, "Now, watch, THUS SAITH THE SPIRIT OF GOD, this boy's life will return to him."
And there he'd been dead; they'd taken his pulse and everything; he was gone. So, and all mashed up like that. And I knelt down and I said, "Heavenly Father, many thousands of miles across the sea in that lovely nation where I come from, America," I said, "down there that night when You moved into that room in that lovely place and told me that this would be; and I testified of it and stood and said that You'd bring it to pass. And now, Thy servant sees the day that is to be fulfilled." I said, "I thank Thee, heavenly Father, for the power of vision, and I thank Thee for all Your goodness. And now, Eternal God, Author of life and Giver of all good gifts, I ask You to bless this scene with Your Presence."
And when the Angel of the Lord begin to move down, I said, "Oh, holder of this boy's spirit, death, according to a vision that God has already showed that you cannot hold this child; therefore, I call for his little soul to return to him in the Name of Jesus Christ."
And no more than I said that, the boy jumped to his feet just as normal and well as he could be, just as perfect and normal and whole as he could be. That's wrote throughout Finland, everywhere; its scattered abroad to I tell you. That was in the evening time; the other boy, I'll get it tomorrow night.

E-50 One more little thing, I see I've got about six minutes; I'll try to get it quickly.
Oh, when I went into the service that night, and the other little boy was laying, dying, I didn't know it. And the mother just screaming and crying, trying to get to go down there to that little boy. Everywhere they talked it. It went over; I don't know how it ever got, because you can't broadcast news like that in--or anything in Finland; it's just all strictly otherwise.
And then, the first thing you know, I went into the build--started to go to church that night, and the--the fame of our Lord had spread so, that He was in the midst of the people until way down, three city blocks below where the auditorium was, the streets were just packed like that. And you couldn't get near. And some...
They had the militia out, the Finnish soldiers. And some of them, little tiny boys didn't look like had never even shaved in their life. And the poor little fellows. And they formed a little group to take me down through the line. And I was going down, and they were pushing people along to let me get in.
So when I got to the place and started to go in where the services was, I'll never forget this. Poor Finnish people standing there, they would just start crying; soldiers stand at attention. And now just a moment, and I'm going to call the prayer line now.

E-51 I was going into the auditorium and the ladies dormitory, or rest room, such as it was. I... They'd closed the doors, the officers behind me; there was two in front and two in the back. And I was going, walking in. And the doors closed. And I looked, and a door opened over here at the rest room, and a little Finnish girl stepped out. And I'll never forget that look of that little thing.
Now, I just love little children; they used to give me some of that Finnish money, and after--after they'd all get in the auditorium, I'd go down the street, and find them little Finn children, you know, and I'd give them this--this money to buy candy with. And I'd have a string of kids two city blocks long following me nearly. [Blank.spot.on.tape--Ed.]

E-52 And they had little, their little skirts, the little Finn girls... Now to you American girls [Blank.spot.on.tape--Ed.]
She had no control of the shoe. And she had a--a brace on either side of her, come up like this, and then around her sideways, and in the toe, I'll get it here, in the toe of her shoe like right here, she had a snap. And the snap come up on this right foot; it was her right limb, and went up here, and went across her shoulder, and hooked back here in the back to the back of the brace. And the brace around like this and down like here... And she had two crutches. And the way she'd walk, she'd set the two crutches out, and then she'd swing her shoulder, and that would pull that toe out, and set that stiff brace down to where her limb was free in the brace, and she could make her steps then on crutches, and that's the way she walked.

E-53 And when the little thing come out of there, just about so high... You all, many of you know and seen her picture; it's in my book there, I believe. And when they come out, and she--she looked at--at me, and that little ragged cut hair, and her little skirt hanging down, just tags hanging from it, ragged. And when she looked... She opened the door and set her crutches out and looked and she seen me, she jumped. She bowed her little head down; tears dropped off of her cheeks. I knew that child wanted to come to me. But she'd been warned; they had not to come, you know. And I stopped, and them soldiers started to push me on; I shook my head, "No." I couldn't help it. I motioned for her; I know she wanted to come over there, and I just motioned for her.
And here she come, setting her little crutches out and giving her little leg a swing. And when she got up, I just stood still, and see what she was going to do. I love children so. She got up real close to me, and she looked at me. She set her little crutches so she could hold on them. And she looked down; she didn't raise her head. And she took hold of my coat, pulled it up, and kissed my pocket, and dropped it back down like that. And she looked up to me, and them little baby blue eyes with tears running off her cheek; she backed off like this, pulled her little dress out and said, "Kiitos."

E-54 And I found out she was a little war orphan, her father and mother was killed in the Russian war. And looking at her, I said, "Oh, sweetheart, God bless your little heart." I said, "You're healed." But she couldn't understand what I was saying. I knowed God would respect faith like that. I said, "You're healed, honey." And then them soldiers kept pushing me on.
And I went on in. And that night, the people when the things would happen they'd just throw away their crutches and wheel back their chairs and things. You've seen the pictures in the "Voice of Healing," just armloads of crutches and clubs, they'd... And I said, "Let's call just a few more."
My brother said, "Billy, you remember, long time overseas, got to get out of here."
But I wasn't completely gone yet, so, I said, "Just a few more." And by God's great providence, I heard a noise, and she was the next one to be on the platform. I looked there, and I tell you: I never had such a feeling. And here she come, and she was still crying. And I said, "Sister Isaacson, come near." I said, "Quote my words; repeat my word." And I said, "God bless you, honey. You're the little girl that was out in the hall awhile ago when I come in." I said, "Jesus Christ has already healed you, sweetheart. When you go over there and have--you set down, and have someone take those braces off, and you put your hands on your little hip, and when they move this shoe and brace off of you, let your hands slip just about the same distance that your leg is short, and then let me see you." I said, "Call the next case."

E-55 And some of the Finnish brethren got over there, was taking it off. And the other lady was standing there, the diagnoses, of the discernment of the lady was coming forth, you know, giving the discernment. And all at once I heard her scream and here she come, crutches and braces over her head and running just as hard as she could go, just as normal and well as anybody. Up-and-down them steps she went, and around and around, marvelously healed.
What is it, friends? "Jesus Christ the same yesterday, today, and forever." Be humble; let yourself be the lowest of all. Don't ever exalt yourself; if you do, you're going to become abased. Humble yourself, and God will lift you up. Don't figure that God owes you anything; remember, you owe Him all. And we're not under obligation, or God's not under obligation to us; we are under obligation to God. And love Him with all your heart; believe on Him and God will bless you, I'm sure.

E-56 While we bow our heads... Father, oh, when I think of that scene that I've just reviewed again. Thinking of that poor little thing come dragging out of that room, and her respects, her love; You said, "Insomuch as you've done unto the least of these My little ones, you've done it to Me." And she had respects, Lord, of what had been told her, that You were with us and was healing the people. And she loved You, Lord, and the only way she could express her love was to try to love Your servant. And O God, grant this to me, will You? If I am privileged to cross the--the border on that day when You call in the righteous, and if I found favor with You at that day, that I can touch Your feet, crawl off somewhere, Lord, grant that I can stand with that little girl. I may never see her again in life's journey.
And that little boy, You know all about it, Lord; I can just see the vision now when You showed me that little fellow, seeing his little bare legs laying there, and how he was all broke up. I remember the vision, remember quoting it before tens of thousands of people. And how standing there that day, when the Holy Spirit came down... I'm a very illiterate person, Lord; I would've never knowed that. I'd have passed on by it, if it hadn't been for Your sovereign grace to speak to me then and reveal it; "There it is." After You shown it to me, I were too dumb, Lord, too ignorant to know of it, so sense bound. God, have mercy upon us poor mortals. And have mercy on me, Lord.

E-57 And I pray tonight, that something will happen tonight here in some manner. Now, You said in Your Word, Jesus, "That what things we desired, when we pray to believe we received them." And dear God, I was one night missing in this meeting, not because I wanted to, but Lord, You know it, it was some reason. Maybe if I'd have come on something would've happened. You had to hold me back to save me from an accident or something; I don't know, You're leading, Lord. But I pray that You'll help these people.
And tonight I'm asking You, and I believe that You're going to hear my prayer, and You're going to answer. Will You give us a great outpouring of Your blessings? Just shake everyone, Lord. And may something be said or done somewhere, that would cause the people to just throw away their prayer cards and receive You as their Healer.

E-58 And the people here on these cots, and stretchers, and chairs, and many of those who are in dying conditions, may from this hour on, they be made well by accepting Jesus Christ. Stretch forth His holy hands to heal tonight, Lord. Send Your Angel from heaven, that He might anoint Your servant with that Spirit of the prophetic Being, that would show things which was and things to come, that I might declare You before the people, saying, "That You're the same yesterday, today, and forever," the same Lord Who know where Nathanael was, and how that he prayed under the tree, and that how that the woman at the well had the husbands, the fish that had the coin in his mouth, where some mules were standing where two ways met... Oh, You know all things, Father. Pray that that same Spirit will be here tonight and be in our midst and will help us and bless us.
Increase the faith of all of us, encourage Your ministers, God, that when they return from this meeting, that they'll have Divine healing services in every one of their churches. And may we all get a fresh baptizing of the Spirit. For we ask it in the Name of Jesus Thy Son. Amen.

E-59 Billy...?... All right, all right. Thank you, brother...?... I thought maybe you were gone...?... you were standing here. "H" My boy said he gave out prayer cards "H" today, 1 to 50. Well, I don't know where to call, let's call from 20, and 10's 30, from 20 to 35. That would be, how many? Twenty? Fifteen, that's all right. All right, 20 to 35. Let them line up in their numbers here.
Now, if any of you that's got on the cots, or stretchers, or anywhere, or can't get up, has got that prayer card, hold up your hand like that when your number comes, and a usher will bring you to the platform. If you're unable or too weak to raise up, you just wait till your number... We'll begin at 20, and if you're 25, you wait till four passes, and then the next fifth one is yours, raise up your hand, and a usher will pack you to the platform.

E-60 Now, I say this, that God alone, God is the only One Who can heal. We're aware of that, aren't we? He is the One Who heals. And I pray that God will heal every person in here tonight. When the people are brought to the platform, that doesn't mean that they're healed. There's several passes over the platform and doesn't get healed. I know of two or three that I know myself in the beginning, that--that has not been healed that passed the platform. And I--I have nothing to do with that. The only thing I can do is tell them; they have to have faith. But when you hear the Spirit of the Lord pronounce them healed, and tell them what's going to be, you mark that down; that'll be that way. Because I'm not responsible for it; He's responsible, not me. I'm responsible to come here; it's His business to take care of the rest.
Now, when... Beg your pardon. You're ready, all right. Excuse me a moment; I was a little thirsty. Now, you that's in the prayer line, I want you to look this a way. Do you believe with all your heart that what you've been told, and I told you about the Angel of the Lord, is the truth? Do you see, sir. Oh... And you on the platform, lady, you believe?

E-61 Are we strangers? We... Are we all strangers to...? If he... If we are, raise your hands if you're able to raise your... We're strangers; we don't know each other. We don't know each other, we're strangers. All right. All right.
Now, how many there has not prayer cards? Let's see your hands. Oh, my, the whole solid front. all right. I try to watch, usually, when I go to talking to people, if I keep my eye right on them a few moments, then I see the vision rise up; it just starts from there and just begins to raise into the air. Could I explain that just a moment?
A looking at the person, if I watch them, and as I contact their spirit, well, then it looks like I begin to see something coming before me. Maybe I'll see a certain thing, an operation; maybe I will have to watch it a few minutes. And may--if the audience will keep real quiet, I can tell what the people's talking about. How many was in Cleveland that night when that woman standing there, and I couldn't get this to leave her, and she was just... I told her she was a little skeptic, and she wouldn't hardly admit she was. In a few moments I told her the--begin to repeat the prayer that she'd just said before she left the room. Was--You remember that, hold your hands up if you will?. Repeated the same prayer that she said about a hour beforehand, before coming to the meeting, just word by word. I said, "Who was in the room to hear the prayer?"
"The Holy Spirit." He knows all things, doesn't He?

E-62 Well now, sometimes if the people, if there's noise or excitement, or something... The Holy Spirit's very timid, very timid, just the least little thing, grieve It away.
And do you realize now, let me show you something that's greater than it was in the days of the apostles. In the days of the apostles, they taken the people aside. Did you know that? And many people say today when I have them to bow their head, they just say, "It's psychology." Well, then they say, "You look at someone. Yeah, you're reading their mind."
Well, I wonder if Paul was reading that man's mind when he said, when he looked steadfast at him like that, and said, "I perceive you have faith to be healed." I wonder if that was psychology? I wonder if it was psychology when Peter and John passed through the gate called Beautiful, said, "Look on us."?
No, friends, people gets, they just get a ecclesiastical picture of some theological seminary, that teaches them so, and they think it has to be that way. God's under no obligation to no theological seminary, just to His Word. That's right. They thought they had it figured out the way Jesus was going to come, and what He ought to be, as the Master. But when He come, it was different than what they thought. See? Now, everyone reverent.

E-63 Now, you people coming in the line, by God's grace I will be able maybe to tell you what's wrong with you, or so forth. I do not know. But if I--if I don't know. He--if He don't show me, I'll just have to say, "I do not know what's wrong with you." Maybe have a word of prayer for you and let you go on. But if He shows me, and He's able to tell what was in your life, He knows what will be in your life. Is that right?
Now, sometimes He tells many things. But if He can tell you one thing, He knows all things. Look at the woman at the well; He just said, "Go get your husband," told her about her husband. And she told the people in the city that He told her all of the things she ever did. He never; He just told her one thing she did. But she knew if He knew that one thing, He knew all things. Is that right? But that was just as the Father let Him know.

E-64 Now, I tell you, maybe some of you get real provoked at me for taking my time. But, friends, I... That's for a purpose. See? We're the only one in a hurry; God's never in no hurry. See? He let the Hebrew children walk right on in the fiery furnace. If we'll just let Him alone, He will do something for us that'll be more than three hundred we could rush through here tonight. See? Just let Him have His way. You look on; believe, and have faith, and accept Him as your Saviour and Healer.
But I know, brother standing here now is a Christian man. For it--it's... I feel a warm welcome of an embrace of Christianity. Now, sir, you being a stranger to me, me, I knowing you not, and you knowing me not; we're just here as two men. And there's perhaps something wrong with you. If there is, God can reveal that to me. And if He does, why, I'll be thankful, and I know it would increase your faith. But your healing, of course, would have to come through your accepting of Jesus Christ at Calvary, His death, and burial, and resurrection.

E-65 But now, when He died and rose again, now, He ascended on high and give gifts to men. But He's the resurrected Christ; He isn't dead; He--He--He rose again. And His power, He promised to be with us, even in us, to the end of the world. That is right.
Now, you're conscious that something's going on, sir. Now, to the audience, that Light that you see in the picture is real near. The man, just as certain is standing there; I never seen him in my life, but he knows that something's taking place. It's his faith, and my faith, blending together by the Holy Spirit that's near. Yes, sir, I see you're an extremely nervous person. Isn't that right? And that's caused from a physical ailment which is prostate gland. Is that true? You've had--you've had arthrit--No, you've had a stroke, haven't you? You've had a stroke; it's something hit you kinda slightly, never hurt... Say, you're a minister of the Gospel too, aren't you? I see you standing on a platform. Now, it leaves me. Did I tell you...? Was that the truth? You heard my voice, but it wasn't me speaking, my brother. Is that true what I said? Come here.
Almighty God, the Author of Life and the Giver of all good gifts, send Thy blessings upon this man, who I bless, in Thy Name. And may this be the sweetest hour of his life as he's standing here eternity ripened; his hair is bleached for tomorrow. God, grant it, Lord, as this gallant soul moves towards You. Thou Who stood by Paul and Silas, stand by brother now. And as I bless him as Your prophet, may he go from here and be a well man the rest of his days. In the Name of Jesus Christ. Amen. God bless you, brother. Go and be made well.

E-66 All right, bring the, Brother Baxter. The... Now, sometimes I try to get my balance, my bearing (You see?) before I... If you just know what that does to you... That man that was just prayed for a few moments ago, you, if any of you know him, you--you friends of his, or his people, watch him. That man's going to be a big different in a few hours. He's gallant; he's aged. Seems like he... How many knows that man? Seemed like he, well, my. Oh, the pastor of the Italian church, well, that's wonderful. What was his--what was his discernment? Was it a... Said he... [Someone says, "Stroke."--Ed.] Oh... Well, praise the Lord; that's fine. Well let's say, "Thank the Lord." I'm glad dear pastor. Well, God knows I--I... He knows him; I don't. You see? He knows all about him. But I know the man had a, seemed like a wonderful, gallant, faith that reached out there. And I--I know God will honor faith like that.

E-67 All right, this is...?... How do you do, lady? Now, you're the patient, and I just want to talk to you just a little bit, lady. Now, you and I are strangers of--of the--of the journey. But, and you... Now, I have no way of knowing anything about you, except God will reveal it, if we're strangers. Is that right? And then, if God will reveal it to me, then you'll know that it's--it's the truth then; you know that's right. And now, you're--are aware that something is going on, of course, like I say, and I've asked the audience to watch the expression on the patients faith--face. My words sometime are not exactly, when that moves on me, my lips and tongue feel so numb, and it's Him fixing to speak. You see? I know He will either speak or show a vision in a few moments. Because you believe, lady; you prayed much for this; you looked forward for the time, that you could stand here, haven't you? What a hour; what a time that you...
I see you, yes, you suffer with something wrong about your head, isn't there, sister? I see you always holding yourself. I'm going to say... I may... It's headache of some sort, isn't that right? And that's--that has been since you was a child. Isn't that right? And you are... Say, you have been a--you've been a Sunday school teacher or minister of some sort, 'cause I see you with a Bible at the platform. Is that right? God bless you. Something happened then, didn't it? That's when it happened. God bless you; you may go now and He will help. God bless you, sister.

E-68 Everybody say, "Bless the Lord." Remind me to talk about that, bring that to my memory again, that case.
Good evening, sister. Here stands a woman who really is a good believer. She doesn't say too much about it. But she keeps all of her things to herself. I'm not reading your mind, sister. Yes, you're very sincere person. You've had trouble, haven't you, sister? You have children? Yes. A child, that's when your trouble started. Wasn't that right? It gave you some kind of a infection, or an ulcer, or something on that side, isn't it? Isn't that right? All right, go home and be well, sister. God bless you, sister.
Let's say, "Praise the Lord." God bless you. The Lord Jesus be magnified and blessed in His people, blessed in our hearts as we see Him in His power. All right, Brother Baxter will you bring the lady?

E-69 How do you do, sister? Yes, want the audience to look to her. Something's happening, isn't it, lady? You suffered so much. You've been nervous; that's been for a long time. Have heart trouble too, don't you? And a kidney trouble, isn't that right? You believe me as His prophet? Come here. The Word of God said, "These signs shall follow them that believe." Do you believe I'm a believer? "They shall lay their hands on the sick, and they shall recover." Now, go home and be well, for you are. God bless you, sister, God bless you.
Let's say, "Praise the Lord."
Good evening, sister. Perceive that you're a believer also. You haven't been enjoying good health for some time, have you? Yes, you're anemia. You wouldn't have noticed by looking at you, but you are. And you had a female trouble that's bothered you a long time, too. Cause you to be sick many times, have headaches and so forth. That's true. Now, you can go off the platform, for you have a transfusion tonight, coming from God. You're going to be well, sister. God bless you, go, and God bless you.
Let us say, "Praise be to God."

E-70 How do you do, sister? You believe? I see you're wearing glasses. Do you believe that God sent me to be His prophet, to help you to have faith in His Son Jesus? Satan's just a liar, isn't he, lady? He's been lying to you. And a lot of people don't sympathize with you; they tell you, "Get next to yourself." But you can't help it because you're nervous, can you? You can't help it because it's stigmatized your eyes. But just take off your glasses and go on home, because Christ has made you well, sister...?... only go...
Now, everybody say, "Praise the Lord."
What do you think, mother? You believe with all your heart? Just a moment; she's Finnish, now just a second. Let us bow our heads.
Almighty God, Author of Life, have mercy upon this poor, dear, woman. Just speaking of her people from across the sea. And here she stands here tonight, suffering, and I have my hands laid on her. Eternal God, Author of life, You Who raised one of her kind, that little boy from the dead, and the other little boy, and the little girl You healed her. Your blessings still rest in Finland. God bless this woman, and may her letters cross the sea telling of her being healed. In the Name of Jesus Christ I ask it. Amen.
Now, Jumalan rauhaa. The heart trouble that you had goes from you. You go and be well. In the Name of Jesus. God bless you.
Let's say, "Praise the Lord."
Say, didn't you have the same thing, didn't you? Heart trouble. Move right on across the platform, for Jesus healed you right as you come.
Let's say, "Praise the Lord," everybody. That's the way to receive it. Believe; have faith now, everyone; don't doubt.

E-71 All right, lady, you come ahead. What I mean? I'm watching; I'm trying to help you, I--I... With all my heart, I--I love you. That's from the depths of my human heart; I do. And I'm only trying to help you, and don't misjudge me, please. Now, there's someone in here knows why I said that. You see? I know what you're thinking about, so, so... All right, sister dear.
We be strangers, aren't we, sister? Wouldn't you like to eat like you used to? All right, you can from now on; you can go eat what you want. God bless you, sister.
Let's say, "Praise the Lord Jesus." Have faith in God. All of you out there, pray. I trust... Now, I haven't seen exactly no certain one healed, but I've seen many things happen along there. It seems like back in this section, back in this a way, somebody's trying to believe behind me, and even turns me around once in a while. So have faith in God. All right, get ready to bring the person.

E-72 All right, sister dear, do you believe with all your heart? Do you believe that this Spirit that's now moving on the platform, is the Spirit of God? I believe that. You believe that... See, I ask you this not to get you to believe me, but here's what the Angel of the Lord, the first thing He said to me, "I am sent from the Presence of God, of Almighty God, to tell you that your peculiar birth and life has been to indicate that you're to take this gift of Divine healing to the people's of the world." And said, "If you'll be sincere and get the people to believe you, nothing shall stand before your prayer."
Now, to get the people to believe me, and that's the reason I just, I ask you, or... When you come up, I feel the welcome spirit of being a Christian. I know you believe God then. Then the next thing, if I speak my own personal, what I represent, then I feel that reaction, whether you really believe that or not. It's only a test. But you believe me as His prophet, don't you? Because your heart trouble had already left you when you got here, sister; you can go off the platform and be healed. God bless you.
Let's say, "Praise the Lord."

E-73 Good evening, sir. Well, don't let Satan fool you any more (See?), 'cause you're all right. Just that trouble you had in the wreck shook you up a little, but you're going to get over that nervousness. Come here.
Almighty God, Author of Life and Giver of every good gift, send Thy blessings upon my brother. And may this power that's trying to hold him now, may it turn him loose. Satan, in the Name of Jesus Christ, let this man go; come out of him. Go off here rejoicing and happy. Never think about it no more, brother, go on. All right. Let's say, "Praise the Lord."
How do you do? Like get over the asthma, wouldn't you? Just go ahead, and praise the Lord, and tell Him that you believe with all your heart, and you shall have what you've asked for. God bless you. Amen.
Let's say, "Praise the Lord."
Insulin is an awful thing, isn't it for diabetes? But one shot from Calvary takes care of it, sister. In the Name of the Lord Jesus Christ...?...
Praise the Lord, crippled with arthritis and got other things. God has made her well.
Say, "Praise the Lord." Blessed be the Name.

E-74 Come brother. Have faith, everybody. Let's say, "Glory to God. Praise His Name."
Come forward. Oh, it's the ears. You believe with all your heart. You believe that God will give you your...?...
In the Name of the Lord Jesus Christ, thou demon come from the man. You all right? You're healed, my brother, go off the platform hearing normally. See? Let's say, "Praise the Lord."
Are you believing? I guess that's the end of the line. Let the audience look this a way now. How many there hasn't, you say, prayer cards, let's see your hands go up everywhere where you haven't...? That's right, all right.

E-75 Now, I just want to talk to you just a little, 'fore calling another line. Let's see, maybe the Holy Spirit will just speak to us out there without calling a line. That would be better, maybe. All right, you look this way, and we won't need any line. Now, I just--just want to watch, for I try to be just as sincere. Let the Holy Spirit draw me wherever He wants me to go to. See? And we're not trying to watch the audience, or talk to them as I do one by one on the platform, but where it seems like that He's calling me.
Little lad, what do you think about it? Believe with all your heart? Aren't you trying to contact me by some cause? Wasn't you trying for me to speak to you? There's at least a dozen in there pulling me. Stand up just a minute. Oh, yes, the little lad there dad, I've just seen a vision right beside of him. I can see just who he is, and just a moment. I'll get to you just a second, brother, be seated. Oh, yes, it's a rupture, hernia, isn't that right? isn't that right? All right, go home little boy, believe with all your heart, Jesus Christ will make you...?...
You believe God, that arthritis leave you; you can walk away from there tonight. Just have faith. You believe? You believe? All right. As you have believed, so be it.

E-76 Say, just a moment, you, the mother setting there, looking this way, very saintly looking woman. I see something dark hanging over her. It's a, oh, yes, it has a cancer. Isn't that right, lady? Stand up just a minute. He knows his time has come. You believe me as His prophet, as God's prophet? You do that? Go home and be well from that cancer; it leaves you.
I seen a dark spirit rise from her. She--her prayer... You've been setting there praying, haven't you, lady? Wanting--wanting to be healed. The lady setting right there next to you, seems like she's deeply interested in something. What do you think, lady? You believe that? You know the lady setting next to you? You don't know her. You're just so happy knowing that she got healed, is that right? Uh-huh. You suffer with a heart trouble, don't you? Isn't that right? All right, stand up on your feet; receive your healing from Jesus Christ, in the Name of the Lord Jesus.

E-77 Now, this is strange to her, she don't know what to do about it. Something happened right... Wait a minute, right there by her, I see there's something else. I believe the lady setting right next... Did you have a heart trouble too, a rheumatic heart or something like that? Stand up, you got healed also, sister. Struck... Fooled you, didn't it? I tell you what you women do. You go to Full Gospel church and serve God the rest of your life. Amen. And receive the baptism of the Holy Ghost. Amen. God bless you.
Let's say, "Praise be to God."
What about you with the handkerchief up to your face there, lady? Yes, you like to get over that tumor, wouldn't you? That right? If you believe with all your heart, you can stand up on your feet and be made well with that tumor. In the Name of the Lord Jesus.
Let's say, "Praise the Lord." He's here to heal.

E-78 In the sections this a way somewhere. Somebody look this way; believe with all your heart. Just a moment, I'm looking over these cases in here; I'll get to you; and then I want to get out in the audience where the things... They see you're crippled (See?), but I want to get to you just in a moment.
Back over in here somewhere, believe. Wherever the Holy Spirit may lead me; may His Spirit guide and direct me now. 'Course sometimes it hits in a section. If I can get talking to a certain...
Lady, kind of a middle-aged woman, put your hand to your mouth just then. Aren't you suffering? Don't you have something wrong with you? Are you here as a patient? Maybe she doesn't hear just well. I can't tell what... Oh, yes, it is. Uh-huh. It's not hearing; you're just hearing a rebound. You can hear me all right now don't you? Yes, yes, you have something wrong; it's sinus or something in the head. Isn't that right? That's right. All right, go home then. You accept your healing? Go home and be well, in the Name of the Lord Jesus. Amen.

E-79 The lady setting next to you looking this a way. Yours is inward trouble, isn't it, internal? All right, raise up and receive your healing in the Name of the Lord Jesus.
Who's that put their hand up just behind you there? Let's see what the lady there (All right), with the red dress on, setting there. What about you, lady? Do you believe with all your heart? Oh, yes, you have varicose veins you're trying to get rid of. Isn't that right? May the Lord Jesus send His blessings upon you, bless you.
All right. Just a minute, let me look down through this crippled line here. You on the stretcher there; I can't heal you, lady. And you in the chair setting here, you. Be reverent now. I just want to talk to you a minute, starting from that side coming down this a way.

E-80 Do you believe me as God's prophet? I've never seen you in my life; we're strangers. What do you think of these meetings? You believe they're sent from God? You do. You're just a little excited. You can be healed if you'll believe. Do you ac... You believe it? I'm speaking to the lady laying, yes. You do? You accept me as His prophet? You do. Would you obey me as His prophet? Tubercular has bound you, hasn't it, sister? Isn't that true? Rise up and be healed.
Who's this other one on the stretcher? What do you think, mother? You look this way, and lay your hand on the man, and look this a way. That's all right. Believe, right here, lady, with this boy here also, here...?... being here. Look this a way sir, I just want to see what's wrong with you. Oh, yes, you're dying with cancer. Why don't you accept your healing and stand up, be made well in the Name Jesus Christ...?... Stand on your feet. Even the child...?... All right, lady...?... Heavenly Father, in the Name of Thy Son Jesus Christ, send Thy blessings upon this people and Satan, you move out in the Name of Jesus Christ, come out...?...

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