Expectative

Date: 51-0714 | La durée est de: 1 heur et 4 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci. Ouais, je pense que c’est en ordre. Merci, Frère Baxter. Bonsoir, mes amis. Nous sommes très contents d’être encore ici ce soir pour exprimer l’amour et l’adoration qu’il y a dans notre coeur devant les adorateurs de Jésus-Christ. Et j’espère que ça sera une soirée glorieuse. Si c’était plus que la soirée dernière, je ne sais pas si nous pourrons supporter cela ou pas.

            De toute ma vie, en tant que prédicateur, je n’ai jamais vu une effusion de l’Esprit de Dieu plus rapide que ce que j’ai vu hier soir. J’étais devenu complètement engourdi, totalement parti. J’ai jeté un regard en bas, cela parcourait la salle, et cette Lumière se répandait dans toute la salle. J’ai essayé de dire quelque chose, je n’arrivais simplement plus à parler. Et la chose suivante dont je me suis rendu compte, c’est qu’il y avait quelques huissiers qui me parlaient quelque part, je ne sais plus, là où se trouve le parking.

2          Après l’arrivée de monsieur Baxter, j’ai commencé à me remettre un peu. Et il a dit: «Frère Branham, c’est la première fois de ma vie que je... j’ai été terrassé comme cela.» Et je... C’est simplement merveilleux la façon dont Dieu traitait avec nous. Je n’ai jamais été capable...

            Deux, trois soirées, j’essaie de faire ceci, je portais cela dans ma poche. J’aimerais exprimer mes remerciements pour la gentillesse, pour des cadeaux que certains m’ont envoyés. Et j’apprécie tout ce que quelqu’un fait.

            Tout au début quand je suis arrivé, il y avait un tas–un bouquet de fleurs, deux, placés sur la table, c’était envoyé par D-e-n-n-e-r-s, Denners, je suppose, de cette ville. Ils sont ici ce soir, peut-être pas. S’ils y sont, j’aimerais vous exprimer mes remerciements pour ces belles fleurs: Les Denners.

3          Et puis après, mon jeune garçon m’a remis une lettre contenant une offrande d’amour de cinq dollars, elle venait de frère S-a-n-d-r-e-s-k-y. Il a dit: «J’aimerais vous entourer de mes bras et vous étreindre.» Eh bien, frère, c’est un sentiment réciproque. J’aimerais certainement faire de même.

            Et aujourd’hui, quand mon jeune garçon–garçon est arrivé, il avait deux grands pots de miel et deux paquets de ces framboises rouges, je suppose que c’est ça. Eh bien, je pense que le... Vous ne savez combien j’apprécie cela. Je–j’aime certainement le miel. J’aime aussi les framboises. Je les mélange et je les consomme bien alors, n’est-ce pas?

4          L’une des petites choses les plus chouettes que j’ai jamais vue, c’était un jour lors d’une tournée de pêche dans des montagnes. J’aime vraiment pêcher et chasser. J’étais là-haut dans les montagnes en train de pêcher; j’avais dressé ma tente. Et c’était au début du printemps, je pêchais les truites, je cherchais juste à m’éloigner des foules pour un petit moment. Et je–j’aime les crêpes. Et je pense que j’ai beaucoup de concitoyens en la matière.

            Et alors, vous savez, j’étais... J’aime mettre du miel dessus. Et j’ai une théorie à laquelle je suis toujours attaché. Je suis baptiste. Je ne les asperge pas. J’en verse copieusement dessus. Je les avais donc tout couverts, les baptisant. J’emporte toujours un grand seau de miel, vous savez.

            Alors, un jour, en revenant, j’ai entendu du bruit. Il y avait une vieille mère ours avec ses deux oursons qui étaient entrés dans ma tente. Ils avaient simplement tout saccagé. Et je n’avais pas mon appareil photo. Le petit geste le plus mignon... L’un des petits a fui avec sa maman. Mais l’autre petit est resté là. Il a enlevé le couvercle du seau de miel. Il s’est servi de sa patte pour faire tomber cela, comme ça, et puis, il est monté et s’est simplement mis à se lécher les pattes. Et il était... Il était devenu du miel, de ses pattes à la tête. Juste comme... il a regardé tout autour, c’était partout dans ses yeux, vous savez. Et il m’a regardé, comme ça, vous savez. Pas de condamnation pour lui. Il a simplement remis sa patte dans le seau et en a encore pris.

5          Et je me disais que c’était juste comme à l’une des réunions du Saint-Esprit à l’ancienne mode. Vous ne vous souciez pas de qui se trouve à côté tant que vous avez votre main dans le miel. Est-ce vrai? Oui, oui. Lécher cela, il n’y a donc pas de condamnation pour ceux qui lèchent, vous savez. C’est en ordre.

            Mais ils passaient–ils passaient sûrement un grand moment. Eh bien, j’ai regardé l’autre petit. J’ai ri jusqu’à me faire mal aux côtes, je me suis simplement éloigné. Et j’étais toujours à distance du seau de miel, je l’ai laissé lécher.

            J’apprécie donc beaucoup cela. Et nous rendrons justice à ce miel ce matin. Ainsi, tous mes remerciements.

6          Et alors, les services... Il fait horriblement chaud ici. Et je dois suivre juste une portion de votre émission. Il y a... On est venu me prendre. Et cela avait certainement l’air aimable, des gens qui jouaient et chantaient, ces gens sur ce... cette chose ici, vous savez. Je ne suis pas tellement un musicien, mais... Et à l’orgue et à la trompette ou je ne sais pas ce qu’on jouait. C’était très bien: En avant soldats chrétiens, et toutes vos voix s’harmonisaient.

            J’ai eu à déverser un peu de larme aussi, car cela m’a tellement ravi, de penser qu’un jour, les saints de Dieu monteront dans la Gloire en marchant. Et de voir ce grand moment...

7          Frère Baxter m’a rencontré cet après-midi, il a dit: «Frère Branham, c’est à vous de prêcher demain.»

            Oh! la la! J’ai dit: «Frère Baxter, je ne peux pas prêcher.» Et il a dit... après qu’un tel homme eut prêché.

            Et il a dit... Puis, il m’a rencontré il y a juste quelques minutes, et il a dit: «Les gens aimeraient que vous leur racontiez l’histoire de votre vie demain.» Alors... Oh! Ça, je peux le faire, par la grâce de Dieu.

            Et j’aimerais être ici demain après-midi vers quatorze heures trente, je suppose. Et je m’attends à vous voir vous tous. Je serai tout aussi rapide que possible. Amenez demain les pécheurs et les–et les gens qui ne se sont pas repentis, afin que je... nous puissions faire un appel à l’autel, et peut-être que Dieu nous donnera beaucoup d’âmes pour Sa gloire.

8          Maintenant, juste pour un laps de temps, je–j’aimerais lire une portion de la Parole, et ensuite faire simplement quelques commentaires, et peut-être donner un témoignage, essayer de commencer la ligne de prière aussi vite que possible. Et... En effet, on m’a dit, quand on est arrivé ici ce soir (on est venu me prendre), que cet auditorium était plein à craquer depuis environ cinq heures. Et quelqu’un disait qu’il serait ici à six heures du matin pour voir s’il pouvait obtenir un siège de devant.

            Nous sommes donc désolés de n’avoir pas un moyen de prendre soin de beaucoup plus. La police anti-incendie autorise un certain nombre ici à l’intérieur. Mais pendant que nous sommes ensemble, je sais que vous avez passé un moment glorieux. S’il nous fallait dire amen et rentrer à la maison, ce serait merveilleux.

            Mais maintenant, vous et moi, demandons à Dieu, croyons que Dieu exaucera notre prière. Et demandons à Dieu de guérir ces rangées de gens par ici ce soir, chacun d’eux.

9          Je... Quand frère Baxter est arrivé, mon jeune garçon était plutôt en train de me parler. J’ai pu l’entendre à distance hier soir. Il continuait à s’approcher davantage. Je savais que je revenais à moi-même. Et il a dit: «Papa, vas-tu bien?»

            J’ai dit: «Oui.»

            Je n’oublierai jamais la première fois que le jeune garçon a vu l’Ange du Seigneur à Vandalia, dans l’Illinois. Je tenais une série de réunions, et j’avais lancé un défi aux gens, disant: «Amenez-moi n’importe qui que vous voulez et laissez-moi passer assez de temps avec lui. Il–il guérira.» Et on m’a amené un jeune aveugle, né aveugle. Alors, je suis resté avec ce jeune homme environ une heure quarante minutes. Il a quitté l’estrade, ayant recouvré la vue.

            Il est revenu, il a tenu ma cravate afin de dire... il a dit: «Maman, est-ce ce que vous... quelle couleur dites-vous que c’est?» Et le jeune garçon était né aveugle. Il était tellement ravi, et les gens criaient et faisaient un tas de choses.

10        Et quand je suis rentré là où je restais cette nuit-là, nous étions dans un hôtel. J’étais en prière, puis je me suis presque endormi. Je me suis réveillé, j’ai su qu’Il était dans la chambre. Je ne pouvais pas savoir d’où Il venait. Mais j’ai attendu quelques minutes, et j’ai su qu’Il venait de ce côté-ci, se dirigeant vers le lit.

            Je suis sorti du lit. Mon frère et mon jeune garçon étaient à côté de moi, dans un autre lit. Je L’ai senti venir, je suis sorti, et je me suis agenouillé par terre et je me suis mis à prier. Il s’est approché très près. Je n’avais point entendu de voix ni rien. J’ai attendu un peu. Il s’est approché davantage. J’ai continué à parler: «Qu’est-ce que le Seigneur veut que je sache?» Et une Voix s’est mise à parler dans la chambre, me disant de ne pas faire cela, de ne pas faire cela. Et juste... Ma commission était de prier pour les malades, pas de faire cela. Et puis, quand j’ai ouvert les yeux, Il était là, juste au-dessus du lit, en train de tourbillonner à plusieurs reprises.

            Et j’ai dit: «Est-ce que–est-ce que ça Te dérangerait que mon frère et mon jeune garçon Te voient?»

            Il ne m’a point répondu. Cela me quittait déjà, l’onction. J’ai vu Cela directement me quitter. J’ai gardé mon oeil sur Lui, Il ne m’a point répondu, j’ai pensé que peut-être ce ne Le dérangeait pas. J’ai pris un oreiller, je l’ai jeté sur le lit, et cela a réveillé mon frère. Il a dit: «Que veux-tu?»

            J’ai dit: «Réveille Billy.»

            Il a dit: «Billy, ton papa te cherche.»

            Et aussitôt qu’il a regardé, il a lâché un cri. Il avait vu Cela. Il s’est mis à crier. Et mon jeune garçon a sauté dans le lit à côté de moi, il s’est mis à m’étreindre au cou, disant: «Papa, papa, ne laisse pas Cela me prendre. Ne laisse pas Cela me prendre.»

            J’ai dit: «Eh bien, chéri, ce n’est pas ce que... ça ne te fera pas du mal.» J’ai dit: «C’est l’Ange du Seigneur qui guide papa.»

11        Billy est un orphelin. Sa maman est morte quand il avait environ dix-huit mois. Et c’est un petit enfant orphelin. J’ai été pour lui à la fois papa et maman. Et parfois, au moment de partir, le petit garçon se tenait à l’aéroport et criait continuellement. Il disait: «Papa, ne me quitte pas.» Il disait: «Qui d’autre ai-je sur terre à part toi?» Il disait: «Maman est partie et tout.» Et il disait: «Si–si quelque chose t’arrive, que va-t-il m’arriver?»

            Ce n’est donc pas facile de quitter vos enfants comme cela. Mais Jésus a dit: «Celui qui n’abandonne pas son... tout pour Me suivre, n’est pas digne d’être appelé Mon disciple.» Peu importe ce que nous faisons, nous ne serons jamais dignes d’être cela. Mais nous aimons faire notre part.

            Ainsi, après cette nuit-là, le jeune garçon a été donc consolé, quand il était parvenu à voir l’Ange du Seigneur pour la première fois. Il ne s’inquiétait plus quand je partais.

12        Maintenant, le passage des Ecritures, comme texte pour ce soir, se trouve au chapitre 2 de Saint Luc, vous qui aimeriez vous y référer et lire avec moi. Je...

            Vous savez, la Parole de Dieu ne peut pas faillir, Elle ne le peut pas. Ainsi donc, je vous assure, chers amis chrétiens, l’onction de l’Ange de Dieu est si forte que j’arrive à peine à regarder cette assistance. Eh bien, c’est vrai. Je n’aimerais pas que cela soit ainsi juste au début. J’aimerais parler juste un peu sur les Ecritures. Ce n’était pas mon but de faire cela, juste donner un témoignage. Mais je vais essayer de parler juste un peu. Suivez la lecture, à partir du verset 25.

            ... Voici, il y avait à Jérusalem un homme appelé Siméon. Cet homme était juste et pieux, il attendait la consolation d’Israël, et l’Esprit-Saint était sur lui.

            Il avait été divinement averti par le Saint-Esprit qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ du Seigneur.

            Il vint au temple, poussé par l’Esprit. Et, comme les parents apportaient le petit enfant Jésus pour accomplir à son égard ce qu’ordonnait la loi,

            Il le reçut dans ses bras, bénit Dieu, et dit:

            Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur

            S’en aller en paix, selon ta parole.

            Car mes yeux ont vu ton salut.

13        Inclinons la tête. Père, les heures s’écoulent. Aide-nous, Dieu Tout-Puissant, à connaître Ta volonté. Plusieurs sont assemblés ce soir. Il fait chaud dans la salle. Oh! Nous croyons que la moisson est mûre; les champs sont prêts. Jette Ta faucille ce soir, Seigneur; moissonne. Que le vin soit extrait de raisins ce soir, jusqu’à ce que chaque croyant devienne, pour ainsi dire, ivre de l’Esprit de Dieu, ne sachant rien d’autre que la Présence de Dieu, Sa puissance, Ses bénédictions rédemptrices sur nous pour nous racheter de nos maladies, de nos péchés. Accorde ces bénédictions, Seigneur.

            Et comme Ton serviteur est déterminé par Ta grâce, si possible, à dire quelques mots, aide-moi, Dieu bien-aimé. Et que le Saint-Esprit prenne la Parole de Dieu et La plante droit dans le coeur, à Sa place. Et qu’avant la fin du service il y ait des gens partout sur terre, partout. Que les gens quittent ces civières et ces brancards. Que les aveugles déposent leurs cannes. Que les estropiés déposent par terre leurs cannes et leurs béquilles et qu’ils sortent en marchant. Que ceux qui souffrent de coeur n’en souffrent plus, des cancers...

            Seigneur, nous Te remercions pour Ta visitation d’hier soir. Et maintenant, Seigneur, peut-être qu’un autre groupe est ici à l’intérieur ce soir. Je Te prie de les guérir, eux tous, et de manifester Cela pour eux par la puissance du Christ ressuscité, car nous le demandons au Nom de Jésus-Christ, le Bien-Aimé Fils de Dieu. Amen.

14        Maintenant, vite, toute votre attention. La foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la Parole. Si nous pouvons appeler cela un sujet, en fait, ça n’en sera pas un, je pourrais dire ce soir: Expectative.

            Vous savez, généralement, vous recevez ce à quoi vous vous attendez, n’est-ce pas? Ce que vous pensez que vous allez... Si vous êtes venu à la réunion, disant simplement: «Je pense que je vais y aller. Il y a quelque chose qui cloche dans ce genre de réunions. Je vais y aller. Je verrai ce qui cloche avec ça.» Vous allez le voir. Le diable va certainement vous faire voir cela.

            Mais si vous êtes venu voir ce qu’il y a de bien à ce sujet, Dieu vous fera voir ce qu’il y a de bien à ce sujet. Voyez? Si vous êtes venu en disant: «Eh bien, si je... je ne crois pas que je serai guéri. Je descendrai peut-être voir si je peux avoir une carte de prière. Mais si je n’en ai pas, eh bien, ils ne vont pas...» Non, c’est exactement ce que vous aurez, voyez donc... Et tout ce à quoi vous vous attendez. Ne croyez-vous pas cela?

            Quand vous venez, attendez-vous à ceci: «Attendons-nous à ceci ce soir, attendons-nous à une forte effusion une fois de plus. Je crois que si Dieu répétait de nouveau cela ce soir... Je ne sais pas s’Il le fera. Je Lui ai demandé deux fois. Je pense que frère Baxter vous a parlé de la chose surnaturelle d’hier soir, ce que je n’avais jamais su.

15        Alors, l’Ange du Seigneur m’a rencontré dans la pièce, je Lui ai demandé de faire quelque chose d’extraordinaire. Et il y a quelques soirées, je Lui ai demandé de bien vouloir faire quelque chose d’extraordinaire pour nous ce soir, et Il l’a fait. Il a guéri une–une femme qui était sourde depuis des années, et Il a fait sortir une femme du fauteuil roulant. Et j’oublie tout ce qu’Il a fait. Et maintenant, je demande encore ce soir qu’Il fasse quelque chose de spécial pour nous. Et hier soir, je le Lui ai demandé.

            J’espère que mon Père céleste ne se fâchera pas contre moi de ce que je demande ces bénédictions spéciales. Car il est écrit dans la Parole: «Si vous ne voyez pas des signes et des miracles, vous ne croyez pas.» Et nous n’aimerions pas être catégorisés parmi un tel groupe de gens. Eh bien, nous sommes des gens qui croient de toute façon. Voyez, nous croyons de toute façon, et nous voulons accepter cela.

16        Hier soir, je me demandais comment il pouvait rester dans la salle quelqu’un qui n’était pas guéri. Eh bien, cela peut ne pas être visible. Les anges de Dieu et les visions apparaissent aux gens, et parfois ce n’est pas pour tout le monde. Est-ce vrai? Considérez les mages. C’étaient eux seuls qui avaient vu cette Etoile-là. Elle est passée par-dessus chaque observatoire. Elle est passée par tous les astrologues, et tout, cela est passé directement par-dessus les gens spirituels, cela est passé par-dessus le temple; et aucun d’eux n’a vu Cela à part les mages. Cela leur était donné de le voir. Croyez-vous qu’ils avaient vu cela? Moi, je crois, car la Bible dit qu’ils avaient vu. Voyez? Et si c’est possible, que l’Ange de Dieu soit visible à certains et invisible aux autres.

17        Par exemple, un jour, pendant que je baptisais, il y avait environ dix mille personnes, je pense, sur le rivage. Il y a eu au moins sept mille personnes qui avaient vu l’Ange du Seigneur, et disons trois mille autres ne L’avaient point vu. Ils ont dit: «Eh bien, moi, je n’ai pas vu Cela. Je vous ai entendu crier, je vous ai vu lever la main, et tout le monde criait, mais je n’ai rien vu.» Voyez-vous?

            Et c’est ce qui s’était passé quand cette photo avait été prise. Des centaines et des centaines avaient vu Cela, tandis que d’autres n’avaient pas vu. Pour certains d’entre eux, du temps de la Bible, c’était pareil. C’est pareil aujourd’hui.

            Dieu se révélera à ceux qui s’attendent à Lui. Les mages s’attendaient à voir l’Etoile de Jacob se lever. Ils venaient de l’Orient, ils avaient entendu la prophétie de Balaam, selon laquelle une Etoile de Jacob se lèverait. Ils attendaient cela. Ils étaient dans l’expectative de cela. Et c’étaient eux qui avaient vu cela.

18        Combien ici présent ce soir s’attendent à être guéris aujourd’hui? Faites-nous voir les mains. Eh bien, vous n’allez donc pas être déçus. Si vous... vous ne pouvez simplement pas être déçus si vous vous attendez à cela. Si vous ne vous attendez pas à cela, et que vous dites: «Eh bien, je vais attendre peut-être demain après-midi. Je recevrai cela demain après-midi», eh bien, c’est alors que vous recevrez cela.

            Vous dites: «Eh bien, je ne sais pas. S’Il ne vient pas vers moi personnellement, je ne crois pas que j’aurai cela.» Eh bien, c’est...

            Jésus a dit: «Qu’il vous soit fait selon votre foi.» Est-ce vrai? Et il n’y a pas longtemps, une dame... je suis entré dans une maison prier pour un garçon qui souffrait de la méningite tuberculeuse. Il se mourait. Et quelqu’un a dit: «Oh! Frère Branham, a-t-il dit, oh! la la! a-t-il dit, vous allez contracter la méningite.» Elle a dit: «Je fais sortir mes enfants. Je les ai vaccinés.»

            J’ai dit: «Une telle foi leur ferait contracter la méningite.» C’est exact. Vous devez croire. Tout est possible à celui qui croit. Attendez-vous à ce que Dieu vous délivre, car Il l’a promis. Et aussitôt que votre foi peut saisir cela, c’est parti. Et c’est vrai. Maintenant, j’étais... Tout ce à quoi vous vous attendez, c’est ce que Dieu fera.

19        Je pensais à Siméon. A son époque, il était un vieil homme. Nous l’appellerions peut-être en ce jour un vieux sage. Il est juste... Essayez de vous le représenter avec une longue barbe. C’était un merveilleux vieux saint de Dieu. Eh bien, la Bible dit que le Saint-Esprit était sur lui. Croyez-vous cela? Oui, il–il... le Saint-Esprit était sur lui. Le...

            Eh bien, Dieu a toujours eu quelqu’un qui croyait Sa Parole. Quelqu’un va s’attendre à ce que Dieu accomplisse Sa Parole, pendant que les autres passent à côté de Cela. Eh bien, comme ce qui arriva à l’époque arrive de même aujourd’hui. L’église est devenue formaliste et elle s’est éloignée de Dieu. Et on pensait que Jésus, leur Christ, ne viendrait pas; peut-être, peut-être que comme beaucoup d’âges s’étaient écoulés. Mais juste au moment où ils s’attendaient à ce que ça soit loin, Il était bien proche.

20        Eh bien, considérons ce cas maintenant, de Siméon. Eh bien, c’était un vieil homme juste. Il croyait que Dieu lui ferait voir le Christ avant sa mort. Eh bien, disons qu’il avait une quatre-vingtaine d’années. Et puis, Il–Il avait un autre témoin là. Il y avait Anne la prophétesse au temple, Jean Baptiste, Joseph et Marie, et beaucoup d’entre eux: un reste.

            Dieu a toujours eu un reste quelque part. Et Il a un reste ce soir. Ne croyez-vous pas cela? Eh bien, ce soir, Son–Son reste est composé de Son Corps, Son Corps spirituel ici sur terre, des gens baptisés dans le Corps, que nous composons, le Corps de Christ.

            Maintenant, cela ne représente aucune église. Cela représente seulement tous ceux qui sont baptisés par Dieu dans un seul Corps. Ce n’est pas dans une seule église que nous avons tous été baptisés, mais dans un seul Esprit pour former un seul Corps, et nous sommes devenus membres du Corps de Christ.

21        Eh bien, je peux voir Siméon, à l’époque, un vieil homme, descendre la rue, disant: «Eh bien, je verrai le Christ avant ma mort.»

            Pouvez-vous vous représenter certains de ces érudits dire: «Ne faites pas attention à ce vieil homme. Je pense qu’il est simplement... Il est devenu donc vieux, et il a un peu perdu l’esprit. Et le pauvre vieil homme, c’est un bon vieil homme. Mais, vous savez, un vieil homme comme cela ne va pas... Eh bien, ça fait un siècle que nous L’avons attendu, et regardez l’état du monde aujourd’hui. Eh bien, nous savons qu’Il ne vient pas maintenant.»

            Mais Siméon avait une raison pour croire cela: Le Saint-Esprit le lui avait révélé. Voilà une chose. Dieu avait dit à Siméon qu’il ne mourrait pas sans avoir vu le Christ. Et il croyait que ce que le Saint-Esprit avait dit était la vérité.

            Eh bien, pouvez-vous faire cela? Eh bien, le même Saint-Esprit qui avait conduit Siméon est le même Saint-Esprit qui est ici ce soir. Il n’y a pas deux Saint-Esprit, n’est-ce pas? Il n’y a qu’un seul Saint-Esprit.

            Maintenant, regardez-le. Eh bien, il devait croire un peu plus que vous. Voyez? Les gens sont guéris chaque soir, chaque jour, à travers le monde, de grandes campagnes de guérison partout. Les gens sont guéris. Mais Jésus, ou le Christ n’était point venu sur terre. Mais il avait été prophétisé qu’Il viendrait, et Siméon avait la promesse du Saint-Esprit, qu’il Le verrait.

22        Eh bien, la Bible dit... Je pense que c’est David qui l’a dit: «Quand la profondeur appelle la profondeur...» Eh bien, s’il y a une–une profondeur qui appelle, il doit y avoir quelque part une profondeur pour répondre à cela. Croyez-vous cela? En d’autres termes, c’est comme ceci, comme je l’ai souvent dit: Avant qu’il y ait une nageoire sur le dos d’un poisson, il devait y avoir premièrement de l’eau où le poisson devait se servir de cette nageoire-là, sinon il n’aurait pas eu cette nageoire. Est-ce vrai? S’il y a un arbre pour pousser sur la terre, il doit y avoir premièrement la terre où il doit pousser, sinon il n’y aurait pas d’arbre.

            Et alors... Voyez, j’aime la nature, observer la nature et contempler le coucher du soleil et les montagnes. Il y a là quelque chose qui appelle simplement.

23        Il n’y a pas longtemps, j’étais assis sous la véranda. Ma femme et moi, nous étions dans une balançoire en train de nous balancer. Les foules venaient de se disperser. Et quelques grues du Canada survolaient par là, descendant à la rivière. Et elles appelaient. Et alors, le... une dame est passée, elle m’a remis une petite carte à peu près comme–comme ça, où il y avait un coucher du soleil, l’étoile du soir et un appel clair pour moi.

            J’ai regardé ces vieilles grues, et j’ai dit: «Regarde, Dieu les a nourries toute la journée dans les marécages. Elles descendent maintenant vers les chutes d’eau pour rester avec leurs compagnons et–et passer la nuit là.»

            Deux petits rouges-gorges, mes oiseaux favoris, se sont envolés là et sont entrés dans leur nid. Ils avaient nourri leurs petits toute la journée. Dieu avait pourvu pour eux. Et la nuit, Il avait pourvu à un moyen pour eux de percher en sûreté.

            Et j’ai dit: «Certainement, un jour, quand la vie sera terminée, et que le soleil de ma vie se sera couché, ainsi que celle de la vôtre, Dieu a un moyen quelque part.» Quelque chose nous dit qu’il y a quelque chose là-bas: la profondeur appelle la profondeur.

24        J’ai lu dans un journal, il n’y a pas longtemps, qu’un petit garçon mangeait les pédales d’une bicyclette, il mangeait les gommes des crayons. Les médecins ont dit ce qu’il y avait: Son petit corps avait besoin de soufre. Et il mangeait ce caoutchouc-là, parce qu’il y a du soufre dans le caoutchouc. Eh bien, avant qu’il puisse avoir... qu’il y ait un ardent désir du soufre, il a dû y avoir quelque chose ici à l’intérieur qui a eu besoin de cela, qui a créé ce désir-là. Et s’il y avait ici quelque chose qui crée ce désir-là, il doit y avoir quelque chose là dehors pour répondre à ce–à ce Créateur, à cette création.

            En d’autres termes, c’est comme ceci, comme je le disais, avant que vous puissiez avoir un désir, il doit y avoir un Créateur qui crée ce désir-là. Est-ce vrai? Avant qu’il y ait une création, il doit y avoir un Créateur.

25        Combien ici présents croient que la guérison divine existe? Faites-nous voir les mains. Très bien. Eh bien, si... Merci. Si vous croyez, et qu’il y a quelque chose en vous qui dit que la guérison existe quelque part, la guérison divine, il doit y avoir un Créateur qui crée ce désir-là. Et aussi vrai qu’il y a dans votre coeur un désir d’être guéri par la guérison divine, il y a une fontaine ouverte quelque part. C’est tout. Vous pourriez... Vous ne pouviez pas éprouver ce désir-là s’il n’y en avait pas.

            Et vous rappelez-vous, il y a longtemps, quand l’église était devenue formaliste et tout, les gens ont commencé à éprouver un ardent désir de plus de Dieu. Le baptême de l’Esprit est venu. Voyez, vous avez eu faim et soif de plus de Dieu. Et tant que vous avez soif de plus de Dieu, il doit y avoir plus de Dieu quelque part pour répondre à cela. S’il y a une profondeur qui appelle, il doit y avoir une profondeur pour répondre. Voyez-vous ce que je veux dire?

26        Eh bien, Siméon, c’était pareil pour lui. Il savait qu’il y avait une faim dans son coeur. Il savait qu’il avait une promesse du Saint-Esprit, qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur.

            Or, à l’époque, il n’y avait pas de presse ni de radio comme nous en avons aujourd’hui. Ainsi, Jésus, quand Il naquit à Bethléhem de Judée, eh bien, il y avait des bergers qui étaient venus, ils L’avaient adoré et ils avaient chanté. Et les mages étaient venus et ils avaient offert leurs présents et tout. Les nouvelles ne se répandaient pas comme ça se fait maintenant.

            Mais le huitième jour, selon la loi juive, la femme devait venir offrir la tourterelle pour son... et son offrande pour sa purification, sa purification.

27        Eh bien, considérons un matin, au temple. Voici un homme assis là, au fond d’une pièce réservée à la prière quelque part. C’était un matin chargé, peut-être que c’était un lundi matin, tout le monde faisait des va-et-vient, des milliers et des milliers.

            Eh bien, probablement que parmi ces trois ou quatre millions des Juifs qu’il y avait à Jérusalem et en Palestine en ce temps-là, il y aurait probablement cinquante à cent enfants qui naissaient chaque nuit, peut-être plus. Eh bien, chaque matin, il se formait une ligne de mamans là pour offrir leur sacrifice pour leur purification, et offrir une offrande selon la loi.

            Et maintenant, écoutez. Je vois Siméon au fond, dans le temple. Oh! la là! Je peux bien le voir assis là derrière, peut-être en train de lire les Ecritures. Il a donc eu la promesse. Et puis, dans une porte franchissait... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

28        Je suis si reconnaissant que mon nom figure dans Son Livre ce soir, écrit avec le Sang de Jésus-Christ là en travers: «Pardonné.» Oh! la la! Vous allez d’ici peu penser que je suis un saint exalté, bien assurément. Mais, frère, quand je pense au Sang de Christ qui a pardonné mon livre de péché, et qui l’a jeté dans la mer de l’oubli, cela me rend heureux et me réjouit. Je L’aime de tout mon coeur. Si la puissance de Dieu, de l’ancien temps, qui m’a sauvé et qui m’a gardé au cours de l’âge... je L’aime de tout mon coeur ce soir.

            Je prends position avec Paul d’autrefois: «Je sers le Dieu de nos pères selon la voie qu’ils appellent secte. Je n’ai point honte de l’Evangile de Jésus-Christ, car c’est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit.» Merveilleux, Il est merveilleux.

29        Et je vois par là, quand ce temps pour la purification de cette petite mère arriva, quoi qu’avec sa marque et tout, elle tenait dans ses bras (regardez-la), un Enfant emmailloté. C’est ce qu’on me dit, ce qu’on retire de derrière le joug d’un veau qui laboure. Il n’y avait là rien pour emmailloter le petit Enfant, le Roi de Gloire. Pourquoi vous faites-vous des soucis quant à combien vous êtes pauvres? Le Roi de Gloire a été emmailloté, on L’a enroulé dans ce... Et voici le Prince même du Ciel, emmailloté, dans les bras d’une petite fille.

            Là se tenaient des mamans riches. Elles ne voulaient pas s’approcher de ce groupe de gens. Ils avaient toujours ce sentiment-là. Ils n’aimeront pas s’approcher de ce groupe-là.

            Et Marie s’est tenue là, et l’une d’elles s’est éloignée, elle a dit: «Regardez-la.»

            Mais dans son coeur, elle savait qui elle était. Elle savait qu’elle avait les bénédictions de Dieu. Et là, elle L’avait dans ses bras.

            Regardez ça. C’est ce que le monde naturel pense. Il regarde tout autour et dit: «Oh! la la! Regardez ça. Cet Enfant n’est même pas bien habillé. Et regardez, une offrande de paysans: deux tourterelles.» Là se tenaient certaines d’entre elles avec des agneaux. C’étaient des riches. Mais l’offrande du paysan...

30        Puis, pendant qu’elle se tenait là, la petite mère gardait tout cela dans son coeur. Je peux voir le Saint-Esprit se mouvoir là dans une pièce sur ce vieil homme appelé Siméon, ce...?... «Siméon, je te donne la promesse: Tu as été fidèle à cela. Lève-toi et mets-toi à marcher maintenant.»

            Je peux le voir déposer le rouleau, sortir du bâtiment. Il ne savait pas où il allait. Il était conduit par le Saint-Esprit. Je peux le voir se faufiler parmi les gens, descendre jusqu’à atteindre cette rangée de femmes, descendre le long de la ligne. Il est allé directement là où se trouvait cette petite femme méprisée, qui se tenait là, il a pris cet Enfant emmailloté, les larmes dégoulinaient sur sa barbe, il a dit: «Seigneur, laisse Ton serviteur s’en aller en paix, selon Ta Parole, car mes yeux ont vu Ton salut.» Le Saint-Esprit l’avait conduit vers l’Enfant.

31        Au même moment, une vieille prophétesse aveugle assise là dans un coin, le Saint-Esprit lui a parlé. Et elle s’est faufilée au milieu des gens comme cela; aveugle. Elle est allée jusque là où Il était, elle a levé les mains et a béni Dieu: Conduite par le Saint-Esprit, la profondeur appelant la profondeur. Ils s’attendaient à Le voir, Il était là; le Saint-Esprit les conduisait vers Cela.

            Pendant des années, nous avons attendu que des dons soient dans l’église; nous avons attendu que la puissance soit dans l’église. Et n’est-ce pas étrange ce soir, vous qui croyez dans la guérison divine, que le Saint-Esprit vous ait conduits ici par le même canal, droit vers les bénédictions de Dieu qui sont suspendues sur le bâtiment, prêt à recevoir et à guérir tout celui qui est dans la Présence Divine, qui croira cela?

            Le même Dieu qui a vécu en ce temps-là, et le même Saint-Esprit qui avait conduit Siméon, Anne et les autres vers Christ, vous a conduit ici ce soir où nous sommes assemblés, en cet endroit, au Nom de Seigneur Jésus, pour voir Sa puissance se mouvoir sur Son peuple. Amen! Amen!

            Non, cela ne vous effrayera pas. Amen veut dire ainsi soit-il. Et–et c’est vrai. C’est la vérité. Oh! Que c’est merveilleux!

32        Croyez-vous dans la conduite de l’Esprit? Récemment, juste à titre de témoignage, nous tenions une série de réunions là à Fort Wayne. Je n’oublierai jamais cela. Beaucoup parmi vous ici étaient aux réunions de Fort Wayne, sans doute. Voyons les mains de ceux qui étaient aux réunions de Fort Wayne. Quel moment merveilleux! C’est là qu’un homme avait été guéri de sclérose en plaques. Combien étaient là cette nuit-là quand il avait été guéri? Faites voir les mains.

            Il y avait là un vieil homme étendu là, estropié (Ils peuvent être tous deux ici présents maintenant.), couché comme cela. Je ne savais pas. Ils cherchaient à déposer l’homme sur l’estrade. Il était en chemise blanche là. C’était un homme d’affaires, il était paralysé depuis la taille jusqu’aux pieds pendant dix ans, il était resté alité. Je ne le savais pas. Ils–ils... Certains de ses amis essayaient de l’amener là. Le pauvre homme cherchait à toucher la jambe de mon pantalon. Et on l’a retiré de l’estrade.

           

33        Je me tenais simplement là. J’ai continué de parler. Il m’est arrivé de regarder et j’ai vu cet homme en vision. Je savais qu’il allait être guéri. Je l’avais vu parcourir une espèce de maison. Je lui ai parlé, il... Et j’ai dit: «Tu veux que je vienne t’imposer les mains, n’est-ce pas?»

            Il a dit: «Oui, monsieur.»

            Je suis descendu. Au même moment, là, un drôle d’homme était étendu là, tellement estropié, cet homme lui avait écrit, il avait tendu la main et avait saisi mon manteau. Il a dit: «Frère Branham, posez simplement vos mains sur moi aussi pendant que vous êtes ici, et je serai guéri.»

            Et aussitôt que j’ai touché cet homme-là, il s’est tenu sur ses pieds. Et ces gens ont poussé un cri. Vous rappelez-vous cela?

34        Il y a quelques semaines, j’ai reçu une lettre de tous les deux. L’homme qui était si paralysé, et qui était si estropié, comme cela, labourait dans un champ avec son tracteur. L’autre homme qui souffrait de sclérose en plaques descendait la rue et il l’a vu. Il a sauté de son véhicule, et cet autre homme a sauté de son tracteur, et ils ont couru là dans le champ, ils se sont étreints, ils se sont soulevés comme cela. Qu’est-ce? Rien que le Sang de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Il est omnipotent par Sa puissance dans...?...

            Eh bien, Il est le même Christ, hier, aujourd’hui et éternellement. Ses puissances ne peuvent pas faillir, car Il est Dieu. L’ordre divin de Dieu sur la terre, le Saint-Esprit aujourd’hui est le même qu’Il l’a été. Rejeter Jéhovah, c’était passible d’une peine. Vous aviez... Rejeter Jésus, c’était passible d’une peine. Et rejeter Ceci, le Saint-Esprit, ce que les gens taxent du fanatisme, ce que les gens taxent du non-sens. Il a dit: «Prononcer un seul mot contre Cela ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.» C’est plus passible d’une peine que de rejeter le Saint-Esprit aujourd’hui par rapport à ce que cela était pour Jésus-Christ ou pour le Père. C’est vrai.

            N’ayez pas honte. Prenez position pour ce qui est juste. Je ne sais pas ce qui se passe avec moi ce soir. Je suis...?... maintenant. Très bien. Observez-le.

35        Là, dans la réunion, quand ces choses se passaient, je me rappelle, je restais à l’hôtel Indiana. On devait garder le lieu secret, là où on restait, vous savez, car toute la journée durant, lorsqu’on amène ces malades, cela fait descendre l’onction, et on peut à peine arriver à l’estrade le soir.

            Et je me rappelle une infirmière, une infirmière de chez les Mayo, l’un des premiers cas de guérison: Madame Margie Morgan. Le cancer s’était tellement répandu qu’elle ne pesait que quarante-sept livres [21 kg]. Monsieur Baxter et les autres lui parlaient l’autre soir. Elle pèse cent cinquante-cinq [70 kg]. Il y a de cela cinq ans.

            Les médecins disaient: «Oh! Elle va mourir. Elle est simplement excitée. Eh bien, elle est toujours excitée. Elle vit. Vous ferez donc mieux d’être excité, ainsi donc, cela–cela conservera votre vie ici pendant un petit moment. L’excitation, c’est la puissance du Dieu Tout-Puissant, pas l’excitation. Si ça l’est, ce serait bien pour les psychologues et les médecins de se mettre à enseigner l’excitation. L’excitation ne vous soigne pas. Vous savez que ça ne soigne pas.

36        Remarquez donc. Nous restions dans un hôtel. Et le petit garçon de chambre est monté et a dit: «Révérend Branham, je suis désolé de vous informer, mais vous ne pouvez même pas passer par cette porte ce matin.» Il a dit: «Cet auditorium est plein à craquer. Ils savent que vous êtes ici.»

            Nous avons attendu un moment. Il n’y avait pas moyen de sortir pour aller prendre le petit déjeuner. Alors peu après, un autre est monté, il a dit: «Je vais vous dire quoi, je peux vous faire passer par le sous-sol, si ça ne vous dérange pas, votre femme et les autres, ils monteront par dessus les cendres.»

            J’ai dit: «Ça ne me dérange pas.»

            Nous sommes descendus, nous avons traversé un grand tas de cendre, nous sommes sortis dans une allée. Nous avons commencé à descendre, nous dirigeant vers un petit restaurant appelé Toddle House. Vous rappelez-vous là où ça se trouve? C’est là où monsieur Eaton a été guéri, ce matin-là, des troubles d’estomac, quand il est venu là en vitesse pour payer pour mon petit déjeuner.

37        Et je me rappelle, je portais mon pardessus comme ceci, je descendais la rue portant ma fillette. Madame Morgan était d’un côté, et ma femme était de l’autre. Nous descendions la rue. Je me suis engagé pour traverser la rue vers Toddle House, là où nous prenions notre petit-déjeuner et nos repas. Et juste à ce moment-là, j’ai senti le Saint-Esprit. Croyez-vous donc dans le fait d’être conduit par le Saint-Esprit? D’accord. Suivez donc attentivement. Il a dit: «Tourne de ce côté-ci.»

            Et j’ai fait demi-tour. Madame Morgan a dit: «Où vas-tu?»

            Ma femme a vite regardé et a dit: «C’est l’Esprit qui conduit maintenant. Observe simplement. Suivons-le simplement.»

            Je descendais la rue. Je ne savais pas exactement où j’allais, mais peu après, je me suis arrêté et j’ai levé les yeux. Il était mentionné: Miller’s Cafeteria. Je suis entré là. (Ces gens peuvent être assis ici ce soir, à ce que je sache.) Je suis entré. J’ai commandé une tasse, je pense, de chocolat, ou quelque chose comme cela, je me suis assis pour prendre cela, madame Morgan, et elles toutes.

            Alors que nous eûmes demandé la bénédiction, j’ai relevé la tête. J’ai dit quelque chose à ma fillette. J’ai vu une femme se lever, elle a dit: «Que Dieu soit béni! Que Dieu soit béni!»

            Je me suis dit... Madame Morgan s’est retournée et a dit: «Tu es pris au piège ici maintenant.»

            J’ai dit: «Madame Morgan, ne dites pas cela.» Voyez? J’ai dit: «Ceci est le Saint-Esprit.»

38        Cette femme s’est avancée là, se tordant les mains. Elle a dit: «Frère Branham, je viens de Texas.» Elle a dit: «Mon frère se meurt de maladie du coeur.» Elle a dit: «Nous avons suivi. Ceci est la huitième ou la dixième réunion à laquelle nous assistons, et nous n’avons point été à mesure de recevoir une carte de prière qui a été appelée dans la ligne.» Et elle a dit: «Pour arriver ici cette fois-ci, nous avons vendu notre vache, a-t-elle dit, car mon... le médecin a dit que mon frère ne pouvait plus vivre que peu de temps encore.» Le coeur, quelque chose a causé des lésions au diaphragme. Elle a dit: «Il ne lui reste que quelques semaines à vivre. Et c’était notre dernière chance.» Elle a dit: «Nous...?... jusque hier soir. Nous ne pouvons même plus entrer pour avoir... sur le lieu.» Elle a dit: «J’ai prié toute la nuit.» Et elle a dit: «Ce matin, vers quatre heures du matin, a-t-elle dit, j’ai eu un songe. Et dans ce songe, il m’a été dit de venir ici et de trouver un restaurant appelé Miller’s Cafeteria, et d’être ici à neuf heures, et que mon frère serait guéri.» J’ai regardé ma montre, il était neuf heures pile. Vous savez ce qui s’est passé. Oui, oui. Et ce jeune garçon a été guéri.

39        Je me suis retourné et j’ai pris mon chapeau, je franchissais la porte, les gens se mettaient à crier. Ce cafeteria fut en effervescence pendant quelques minutes. Je franchissais la porte. J’ai dit quelque chose, j’ai prononcé une bénédiction sur eux, je franchissais la porte, alors une petite dame... Elle était à San Bernardino il y a quelques semaines pour me le témoigner. Elle revenait de Brésil, elle avait été voir sa fille qui est missionnaire.

            Elle est tombée par terre dans la rue et s’est saisie de mes jambes, comme ça. Elle a dit: «Oh! Dieu...»

            Je l’ai relevée et j’ai dit: «Qu’y a-t-il, soeur?»

            Meda, ma femme et les autres, se sont mis à la relever. J’ai dit: «Qu’y a-t-il?»

            Elle était très grosse, maligne. Et les frères Mayo l’avaient abandonnée. Son mari est propriétaire d’une fabrique de spaghettis ici à Chicago. C’était une petite femme. Et elle était, oh! tellement enflée. Elle a dit: «Frère Branham, a-t-elle dit, c’est ma dernière chance.» Elle a dit: «Oh! J’ai simplement prié et pleuré.» Elle a dit: «Les Mayo m’ont abandonnée, il n’y a rien qui puisse être fait à ce sujet ici. J’ai suivi le traitement au radium, j’ai suivi le traitement par les rayons X, et tout, et rien ne peut être fait.» Elle a dit: «Ce matin, vers l’aube, a-t-elle dit, j’ai été réveillée. J’ai regardé dehors. Je me suis rendormie.» Elle a dit: «J’ai eu un songe où je me tenais en face de Miller’s Cafeteria à neuf heures dix pour être guérie.» Oh! la la! Croyez-vous dans la conduite de l’Esprit? Oui, oui.

40        Je descendais la rue. Juste un peu plus longtemps (Vous de Fort Wayne et de l’autre côté de la frontière, vous les avez.) Je descendais la rue. Ma femme a dit: «Que... Es-tu prêt à entrer maintenant?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas.» Nous sommes arrivés là, j’ai vu quelques articles de pêche. Et je me retournais vers cela. Juste à ce moment-là, le Saint-Esprit est redescendu et s’est mis à se mouvoir là. Ceci est ma vie intérieure, que je vous raconte. Cela est arrivé ici même dans cette ville aujourd’hui. Et alors, Il se mouvait là. J’ai senti Cela. J’ai dit: «Oh! Cela est là de nouveau.» J’ai dit: «Maintenant, chérie, allez acheter le... au drugstore là-bas et achetez le petit livre de coloriage pour l’enfant.» On devait le garder dans une chambre toute la journée. J’ai dit: «Allez tous là. Je ne sais pas quand je pourrais... le Saint-Esprit me relâchera donc.»

41        Je suis allé au... je suis allé jusqu’au bout de la rue. Alors, je remontais là et j’ai commencé à regarder ces articles et tout. Je suis allé à l’écart, j’ai dit: «Père céleste, où veux-tu que Ton serviteur aille?» Je pensais que peut-être Il voulait que je me tienne ici un petit moment. Je me suis tenu un petit moment là; rien n’est arrivé. Je me suis dit: «Eh bien...» Je me dirigeais vers le coin.

            Il a dit: «Traverse l’autre coin.»

            Et le policier a fait retentir le coup de sifflet là. J’ai traversé de l’autre côté, je me suis tenu là un petit moment, environ dix minutes. Je ne savais pas pourquoi je me tenais là. Les gens passaient. Je me tenais simplement là. C’est tout ce que je savais. Quand vous êtes conduit par l’Esprit, Dieu veut que vous fassiez juste ce qu’Il vous ordonne de faire. C’est Lui qui opère à l’autre bout de la corde.

42        Je me suis simplement tenu là un petit moment. Et je me disais: «Oh! Qu’est-ce qui va arriver?»

            Et un gros policier Irlandais a sifflé encore là. Les piétons ont traversé. Et derrière venait une petite femme en robe à carreaux, portant un béret écossais à carreaux, on dirait une Canadienne. Elle portait un petit porte-monnaie sous le bras. Elle avait la tête inclinée. Elle est passée en marchant comme ceci, et elle...

            Le Saint-Esprit a dit: «Arrête-toi ici.»

            Et elle est passée près de moi, elle est simplement passée. Je me suis dit: «Pourquoi ça?» Elle a progressé un peu loin. Je me suis dit: «Eh bien, c’est étrange. Il m’a dit de me tenir ici à côté d’elle. Je me demande pourquoi. Peut-être qu’elle a simplement eu la bénédiction en passant comme cela.»

43        Quelques instants après, elle s’est retournée et a dit: «Oh! a-t-elle dit, Frère Branham...» Et elle est revenue. Elle a dit: «Je ne... Je suis hors de moi.»

            J’ai dit: «Je ne le pense pas, soeur. Qu’y a-t-il?»

            Elle a dit: «Je viens du Canada. Je n’avais que cent cinquante dollars d’allocation annuelle pour venir ici.» Elle a dit: «Je–j’ai dépensé tout mon argent.» Et elle a dit: «Je–je–j’étais dans un couloir d’hôtel, et j’avais cinq cents pour le café de ce matin.» Elle a dit: «Et j’étais sur mon chemin de retour pour faire l’autostop et retourner au Canada.» Elle a dit: «Je ne suis pas parvenue à entrer dans des lignes, et j’ai prié.» Elle a dit: «Quelque chose m’a fait faire demi-tour et m’a amenée à remonter à deux ou trois pâtés de maisons et à marcher de ce côté-ci.» Oh! la la! Il est là.

            Je l’ai vue se tenir la main. J’ai dit: «Est-ce votre bras, soeur?»

            Elle a dit: «Oui, j’étais tombée sur une pierre. Je faisais courir un chien quand j’étais une fillette, et j’étais tombée sur une pierre et je me suis fait mal à ce bras-ci comme ceci.» Et pendant qu’elle parlait, son bras s’est tendu comme cela. Elle s’est mise à crier à tue-tête.

            Et ce gros policier a dit: «Je sais qui vous êtes: Frère Branham.»

            Vous parlez d’une ligne de prière, nous en avons eue là tout le long de la rue pendant un moment, les gens étaient debout, s’avançant. Oh! Que c’était merveilleux!

44        Il n’y a pas longtemps, je revenais de Dallas, au Texas en printemps, et je pensais... je revenais en avion, et j’avais atterri à Memphis, là même où mon... on devait passer une soirée, le cinquième, à Memphis, dans le Tennessee. J’ai atterri là, et on m’a logé là dans ce, je pense, l’hôtel Peabody, c’est comme ça que ça s’appelle. C’est un très bel hôtel. Moi-même, je ne pouvais me permettre d’y entrer, mais la–la compagnie aérienne m’y avait envoyé. Et je me souviens ce matin-là, on m’a appelé et on a dit: «Maintenant, l’avion quittera à huit heures, Révérend Branham.» On a dit: «On vous amènera là.»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.» Et j’ai apprêté mes lettres et je suis descendu les expédier. Eh bien, suivez attentivement, je vais terminer dans une minute. Et je me suis dit: «Oh! la la! Je vais descendre poster ces lettres.» Et je suis sorti. Je descendais la rue, mettant... cherchant à trouver la poste. Et je descendais la rue en chantant ce petit chant de pentecôtistes, voyons:

            Racontant donc partout,

            Que Sa puissance est toujours la même,

            Je suis si heureux de dire que je suis l’un d’entre eux.

            Frère Ryan, vous vous rappelez, quand vous chantiez cela. Et dire: «Nous...» Et j’allais en chantant ce petit cantique. Et peu après, j’ai senti quelque chose faire: Whoooush. [Frère Branham illustre.–N.D.E.] s’approcher. Je me suis mis à l’écart, derrière une très grosse colonne là, et j’ai dit: «Père céleste, que veux-Tu que Ton serviteur fasse?» Cela a continué à faire: Whoooush. [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Je suis resté très calme une minute, j’ai entendu une Voix profonde me dire: «Fais demi-tour, rentre.»

45        Eh bien, j’ai fait demi-tour et j’ai commencé à rentrer, descendant la rue. Je marchais. J’ai dépassé l’hôtel, je parcourais le sud de Memphis, marchant sans cesse. Le soleil était bien là haut alors. Le soleil s’était levé, c’était un beau matin de printemps. Le parfum de fleurs dans le–dans l’air, parfumant l’air.

            Je me suis dit: «Que c’est beau!» Je passais là. Je me suis dit: «Seigneur, je ne sais pas. Tu as dit: ‘Marche.’ Me voici. Je marche.» J’ai simplement continué à marcher, marcher, marcher. J’ai marché presque tout près de l’autre côté de Memphis. Et je me rappelle qu’en descendant une petite colline vers une petite rivière, quelque chose traversait dans ce sens-ci, un petit affluent là à la rivière, d’un genre donné. J’ai simplement traversé là. Il y avait une vieille petite hutte blanchie à la chaux là. Beaucoup de gens de couleur habitaient de ce côté-là. Je descendais par là, chantant, fredonnant en moi-même:Crois seulement, crois seulement.

            Satan a dit: «Tu vas rater ton avion.»

            J’ai dit: «Je vais marcher.» Tout est possible.

            Ne le laissez pas vous dire un mensonge. C’est un menteur. Quand Dieu conduit, allez faire ce que Dieu ordonne. Oui, oui. Il vous dit que vous êtes guéri, croyez cela, et mettez-vous simplement à marcher sans cesse. Et j’ai continué simplement comme ça, chantant:Crois seulement...

46        J’ai vu un genre de tante Jemima typique appuyée au portail comme ceci, une femme de couleur très costaude, avec une chemise d’homme nouée à la tête. Elle était appuyée là. J’ai arrêté de chanter, de fredonner, quand je suis arrivé à la distance de ce mur-là, par rapport à elle. Je passais simplement.

            Et quand je suis arrivé là, elle m’a un peu regardé et a souri, dévoilant ces grosses dents blanches, et il y avait des traces de larmes sur son visage comme cela. Elle a dit: «Bonjour, parson.» Je me suis retourné. Eh bien, parson, ça veut dire: ministre, ou révérend, là dans le sud. Elle a dit: «Bonjour, parson.»

            Je me suis retourné, j’ai dit: «Bonjour, tantine.» J’ai dit: «Dites donc, comment avez-vous su que j’étais pasteur?» Elle a souri et elle s’est essuyé les yeux. Je me suis dit: «Ça y est. Quelque chose se passe.» Je pouvais sentir l’Esprit. Je me suis alors assez approché. Oh! la la! Quand je pense à cela, mon coeur tressaille.

47        Je me suis retourné, j’ai dit: «Comment avez-vous su que je suis pasteur?»

            Elle a dit: «Pasteur, avez-vous déjà lu dans la Bible au sujet de cette femme sunamite qui avait reçu un enfant par la promesse?»

            J’ai dit: «Oui, tantine. J’ai lu cela plus d’une fois. J’ai prêché là-dessus il n’y a pas longtemps.»

            Elle a dit: «Je suis ce genre de femme aussi. J’avais dit au Seigneur que s’Il me donnait un enfant, je l’élèverais pour Lui.» Elle a dit: «Pasteur, le Seigneur m’a donné un garçon, et je l’ai élevé jusqu’à ce qu’il était devenu adolescent.» Elle a dit: «Il a suivi une mauvaise voie, il a eu une mauvaise compagnie.» Elle a dit: «Il est couché là mourant maintenant. Il a attrapé une mauvaise maladie, et les médecins ne peuvent rien faire pour lui.» Elle a dit: «On lui a administré toutes sortes de piqûres mais, a-t-elle dit, il est récidiviste.» Elle a dit: «Il est couché là à l’intérieur, mourant.» Elle a dit: «Il est inconscient depuis avant-hier.» Et elle a dit: «Il ne reconnaît rien. Il pense qu’il est là sur une grande mer profonde quelque part, il fait froid.» Et elle a dit: «Pasteur, ça me brise vraiment le coeur de voir mon jeune garçon mourir comme cela.» Et elle a dit: «Je–j’aimerais qu’il soit sauvé.» Et elle a dit: «J’ai prié toute la nuit et j’ai dit: ‘Seigneur, Tu m’as donné cet enfant, mais–mais où est Elie?’» Elle a dit: «Maintenant, Seigneur, veux-Tu m’aider? Ne laisse pas mon enfant mourir comme ceci.» Et elle a dit: «Et le Seigneur m’a parlé ce matin...» Et elle a dit: «Je m’étais un peu endormie là sur mon fauteuil; et j’ai eu un songe où il m’a été dit que je devais sortir ici me tenir à ce portail et que je verrais un homme venir habiller comme vous l’êtes.» Oh! la la! Vous savez quel sentiment vous éprouvez!

48        J’ai dit: «Tantine, mon nom est Branham. Avez-vous déjà entendu parlé de moi auparavant?»

            Elle a dit: «Non, monsieur, je n’ai jamais entendu parler de vous.»

            Oh! la la! J’ai dit: «Tantine, je prie pour les malades.»

            Elle a dit: «C’est vrai?»

            J’ai dit–j’ai dit: «Puis-je entrer voir votre fils?»

            Elle a dit: «Oui, pasteur.» Et quand elle a repoussé cette vieille porte, il y avait une chaîne et un socle qui servait d’appui, qui faisait le contre-poids derrière cela... Je suis entré dans des palais des rois, je suis entré dans de très belles maisons, mais jamais je n’avais reçu un accueil aussi chaleureux que celui que j’avais reçu en franchissant cette petite porte ce matin-là, sous ce tréteau. Elle marchait toute heureuse. Elle savait que quelque chose devait arriver; Dieu était aux deux bouts de la ligne.

49        Je suis donc entré dans la pièce. La première chose, là au-dessus, il y avait une petite enseigne: «Que Dieu bénisse notre maison», un vieux four de bois, comme nous l’appelons dans le sud, placé là, un petit lit en fer. Il y avait un grand gaillard corpulent, d’environ cent quatre-vingt livres [81,6 kg], de dix-sept, dix huit ans à peu près, couché là, agrippant une couverture par la main, faisant: «Hmmm, hmmm», comme cela. Il disait: «Il fait très froid, maman, hmmm.»

            Elle l’a tapoté. Elle a dit: «Le bébé de maman.»

            J’ai pensé là sur-le-champ à l’amour maternel. Peu importe ce qu’il avait fait, peu importe la disgrâce; il était toujours le bébé de maman. Elle l’a embrassé sur le front.

            Je me suis dit: «Si l’amour d’une mère peut se manifester comme cela, que fera l’amour de Dieu? Quand Il a dit: ‘Une mère peut oublier son enfant qu’elle allaite, mais Je ne t’oublierai jamais.’» Je me suis dit: «Grâce étonnante, oh! quel doux son, qui sauva un vil comme moi!»

50        Alors, pendant qu’elle était là à côté de son fils, là, j’ai dit: «Tantine, prions.» Elle n’a rien dit au sujet de sa guérison, elle voulait qu’il soit sauvé. Et alors, avant qu’il parte, elle voulait avoir son témoignage qu’il était sauvé. Et cette vieille sainte s’est agenouillée là par terre. Je ne pouvais pas prier. L’entendre prier, oh! la la! elle a ouvert ce coeur-là, et les larmes coulaient sur ses joues, elle a dit: «Seigneur, si seulement Tu le laisses me dire qu’il va partir pour être avec–avec Jésus, a-t-elle dit, je serai contente», comme ça. Et je me suis simplement agenouillé là et j’ai incliné la tête et j’ai pleuré comme un enfant.

            Quelques instants après, elle s’est relevée, elle a dit: «Merci, Seigneur.» Elle est allée là, elle a dit: «Bébé de maman.» Elle l’a tapoté comme cela. J’ai touché ses pieds, c’était aussi froid que possible, la mort était sur le jeune garçon. Et il disait...

            J’ai dit: «Est-ce qu’il...?»

            Elle a dit: «Il ne reconnaît pas...»

            J’ai dit, j’ai parlé au jeune garçon, j’ai dit: «Comment te sens-tu maintenant, jeune homme?» Il continuait simplement à faire: «Hmmm.»

            Elle a dit: «Il ne sait pas où il est, pasteur; il est inconscient, ça fait maintenant deux jours.»

            Et j’ai dit: «Prions encore, soeur.»

51        Et nous nous sommes agenouillés par terre, j’ai dit: «Père céleste, d’une façon ou d’une autre hier soir une tempête a éclaté, et Tu as fait atterrir l’avion.» Vous croyez que toutes choses concourent au bien, n’est-ce pas? J’ai dit: «Je suis sur mon chemin de retour à la maison, allant aux réunions.» J’ai dit: «Tu as fait atterrir l’avion. Et ce matin, quand le soleil brillait, je sais que l’heure est passée, le temps maintenant pour qu’il décolle. Mais d’une façon ou d’une autre, Tu m’as conduit par ici; je ne comprends pas. Mais j’impose les mains à ce jeune garçon au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils, réclamant que sa vie soit épargnée.» Et à peine la prière a-t-elle été offerte que je l’ai entendu faire: «Hmmm.» Il a dit: «Oh! Maman.»

           

            Elle s’est relevée et a dit: «Que veut le bébé de maman?»

            Il a dit: «Maman, il fait clair dans la chambre, il fait clair dans la chambre.»

            Elle s’est mise à pleurer; j’ai levé les mains, je me suis mis à louer. Du lit s’est levé ce très grand gaillard en bonne santé, redevenu normal.

52        Quelques mois après cela, je passais à bord d’un train, je m’étais arrêté pour m’acheter quelque chose à manger; j’ai entendu quelqu’un crier: Pasteur Branham.» Il tirait l’une de ces petites charrettes-là comme ça, là à la station. Il a couru me serrer la main, il a dit: «Vous souvenez-vous de moi?»

            J’ai dit: «Non, je ne m’en souviens pas.»

            Il a dit: «C’est moi le jeune homme que vous étiez venu voir ce matin-là, le Seigneur vous avait conduit là-bas, quand maman priait.» Il a dit: «Pasteur Branham, je suis en parfaite santé maintenant, et je suis chrétien maintenant.»

            Chrétien, oh! frère, et vous savez quoi? L’avion n’avait point décollé, Quelque chose lui était arrivé. C’était environ une heure plus tard, je suis monté à bord de l’avion et je suis rentré chez moi à temps de toute façon.

            Laissez-moi vous dire quelque chose. «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Sa puissance est omnipotente, Il–Il ne peut pas faillir. Il est le même Dieu qui était à Memphis, dans le Tennessee, cette nuit-là, à Fort Wayne, dans l’Indiana, Il est ici ce soir. Croyez-vous cela? Il est le même, Il ne peut pas faillir.

53        Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir pour Ta puissance, oh! comme nous pouvons témoigner heure après heure de Tes bénédictions et de tout ce que Tu as accompli pour nous. Je pense à ce temps-là, là à Memphis, je pense à ce qui est arrivé ici à Fort Wayne et à divers endroits à travers le pays.

            Ô Dieu, maintenant, Tu es ici. Cela peut paraître particulier à certains, mais, Seigneur, ça ne l’est pas pour nous qui croyons en Toi comme étant le même hier, aujourd’hui et éternellement. Nous croyons que Tu es ici ce soir, et Tu es ici dans Ta puissance. Et de même que Siméon autrefois s’attendait à la promesse du Saint-Esprit, pour lui faire voir le Christ avant qu’il mourût... Ô Dieu, le même Saint-Esprit est ici, et nous Lui demandons ce soir au Nom du Maître, Jésus-Christ, le Fils de Dieu, de nous faire voir sa grande puissance. Non pas que nous ayons besoin de voir cela. En effet, nous Te prions de faire cela, Seigneur, pour fortifier la foi des autres, afin que les trois prochaines réunions qui se tiendront dans cet auditorium puissent être un réveil à l’ancienne mode qui amènera les églises à être remplies de Ta gloire.

54        Et, Seigneur, ces prédicateurs, Tes serviteurs, assis juste derrière moi ce soir dans la prière, ô Dieu, que chacun d’eux soit rempli de la puissance. Et que leurs églises soient multipliées et redoublées, Seigneur, des gens qui sont sauvés. Qu’il y ait des puissances de guérison à l’ancienne mode qui coulent dans leurs églises, avec de grands signes et de grands prodiges. Et qu’il arrive quelque chose qui amènera cette ville à en parler pendant longtemps. Accorde-le, Dieu bien-aimé.

            Maintenant, pendant que je parle ce soir, dans ce bâtiment où il fait chaud, je Te prie de cacher Ton serviteur derrière la croix, et que l’Ange de Dieu s’approche. Agis comme Tu l’as fait hier soir, ô Ange de Dieu. Descends dans cette salle, et je crois que si Tu nous accordes une autre chance après hier soir, démontrant Ta puissance si Tu nous donnes cette chance ce soir, je crois, Père céleste, si Tu L’envoies se manifester encore, que les malades et eux tous ici présents Le recevront d’un seul coeur et de commun accord. Il y aura des guérisons, Seigneur, dont on parlera pendant des mois et des années à venir. Accorde-le, Seigneur. Nous demandons ce genre de bénédictions et de grâces, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

55        Merci, monsieur...?... ici. Je sais que c’est très difficile (on s’en inquiète), chaud comme ceci; nous n’y pouvons rien. Je souhaite maintenant, par ce beau cantique: Reste avec moi. A l’heure de ma mort, quand la vie sera en train de me quitter, ou oh! la la! les anges de Dieu, j’espère, me porteront vers la gloire, je pense que c’est déjà réglé. Quand ils m’emmèneront, j’espère entendre ce cantique être chanté comme cela: Reste avec moi. Quand la mort m’étranglera la gorge, et que les vapeurs froides se lanceront contre mon âme, quand je m’engagerai dans cette longue vallée qu’on appelle la vallée de l’ombre de la mort, j’aimerais voir l’Etoile du matin apparaître, éclairer le chemin de la vallée de l’ombre de la mort. Et quand j’atteindrai le Jourdain, je m’attends à voir les deux ailes brillantes du Saint-Esprit s’étendre là et emporter nos âmes fatiguées vers un pays meilleur. En attendant ce temps-là, puissions-nous vivre fidèlement envers Lui, Lui qui est fidèle envers Sa Parole. Au Nom du Seigneur Jésus. Tous, ayez foi en Dieu; tous, croyez en Dieu. Que personne ne doute de Dieu, mais croyez seulement.

56        Très bien. Je ne sais que faire. Je demande à mes frères prédicateurs de bien vouloir rester ici où vous êtes. J’aimerais que vous m’aidiez ce soir. Allez-vous le faire? Ces hommes sont ordonnés de Dieu; ils se présentent en public devant la ville, comme ceci, pour s’exposer, qu’ils croient dans la guérison divine en Jésus-Christ. Ils sont ordonnés pour prier pour les malades autant que n’importe qui d’autre dans le monde. Votre pasteur a le même droit de prier. Même les membres laïques ont le droit de prier. Est-ce vrai? «Confessez vos fautes les uns aux autres et priez les uns pour les autres.» Tout le monde a le droit, celui qui croit dans la guérison divine, de prier pour les malades. L’unique chose, c’est juste votre foi qu’elle monte.

            Je ne sais pas ce que le Saint-Esprit... Je Lui ai demandé de nous bénir. Je crois qu’Il le fera. Allez-vous croire avec moi maintenant? Allez-vous vous attendre à ce qu’Il le fasse? Alors, que tout le monde soit respectueux, et formons une petite ligne de prière et commençons. Nous allons appeler quelques-uns, là quelque part dans la ligne, et puis nous allons... Puis, j’aimerais que certains parmi... les autres... Nous ne savons simplement pas ce que le Seigneur va faire pour nous ce soir.

57        Je vous assure, en venant ici ce soir, j’ai simplement dit: «Seigneur, je Te confie cela. Et quand je suis arrivé ici, tous ces pasteurs étaient ici à l’estrade.» Frère Baxter a dit: «Frère Branham, il n’y a aucun moyen au monde pour ces hommes de se tenir quelque part.» Il a dit: «Tout celui qui peut être debout est debout, on en a renvoyé depuis l’après-midi, ou le soir.» Et il a dit: «Il n’y a nulle part...»

            Et juste à ce moment-là, le Saint-Esprit m’a révélé quelque chose. J’ai dit: «Laissez les frères là même où ils sont.» Ce n’est pas que je ne veux pas que mes frères soient ici, mais ici, ce sont des croyants; vous êtes des croyants, et certains parmi eux ont aussi besoin de guérison. Et c’est vrai. Et quand cela se croise, de ce côté-ci, cela m’embrouille. Voyez-vous ce que je veux dire? Cela m’embrouille. Et quand je me retourne de côté, si je tourne le patient de ce côté-ci et qu’il n’y a pas un moyen précis de tourner le patient pour le mettre à l’écart... Avez-vous déjà allumé une radio sur environ trois ou quatre stations, essayant de suivre au même moment? C’est la même chose, quand je sens le mouvement.

58        Ce sont des puissances démoniaques ça, pas un démon dans votre âme, un démon dans votre corps. Frère Baxter vous a expliqué tout cela. Et quand ils butent à cela, je... ils ont peur, et si vous remarquez bien, quelqu’un sera guéri ici de quelque chose, et puis, un esprit apparenté, qui sympathise là dans l’assistance, va avoir peur et sortira de la personne. Avez-vous vu cela arriver? Assurément, ils savent quand ils sont fouettés. Vous ne pouvez pas les tromper.

            Quelqu’un... L’autre soir, j’étais à un endroit où on disait qu’on tenait une réunion de guérison, un homme se tenait là, martelant de ses pas, tapant l’estrade fortement en disant: «Démon, sors de cela, démon...»

            Eh bien, il lui importe peu combien vous chahutez... (Voyez?); cela ne va pas le déranger. Vous ne pouvez pas l’effrayer. Il n’y a qu’une seule chose qui l’ébranlera; c’est la vraie foi divine en Christ. Cela le fera partir immédiatement; il a peur de cela. C’est vrai. Quand vous avez vraiment le Sang de Christ derrière vous, soutenant votre foi, agissant comme cela, il va fuir. Il reconnaît cela. Très bien. Maintenant, que tout le monde soit respectueux.

59        Où est Billy? Très bien. As-tu distribué–distribué... Quelle carte de prière as-tu distribuée? Z, combien? 51 à 100. Prenons environ dix. Prenons de 90 à 100. Prenez de 90 à 100, de Z 90 à 100, alignez-vous ici selon vos cartes, tout de suite.

            Maintenant, combien ici n’ont pas de cartes de prière? Faites voir les mains. Oh! C’est bien, la ligne de devant ici; c’est comme ça. Je suis content que vous soyez ici. Maintenant, placez-vous comme ceci.

            Combien là dans l’assistance, ici, ont des cartes de prière? Très peu, juste çà et là. Très bien. Maintenant, que quelqu’un regarde aux cartes de prière et voie si on a–si on a ce 100 à... C’était quoi que je... Qu’est-ce que j’ai appelé, Frère Baxter? Oh! 90, 90 à 100, ouais, 90 à 100. Voyez, si c’est un sourd, il ne peut pas entendre. Regardez chez votre voisin et voyez s’il a la carte qui doit entrer directement en ligne.

            Je suis juste un peu en retard, mais je vais simplement essayer... Priez pour moi, car je suis... Priez pour moi, frères. C’est difficile...?... me garde, revenant dans–dans le ...

60        Oui, oui. Très bien...?... Excusez-moi, assistance, d’avoir parlé ce soir comme je l’ai fait; j’ai pris beaucoup de votre temps, mais je vous aime tellement que j’ai dû vous dire quelques mots sur l’Evangile avant de vous quitter. C’est un peu difficile quand on parle comme cela, et puis, changer directement pour entrer sous cette autre onction, on–on sent différemment et tout. Ce n’est pas comme parler, ou quelque chose comme cela, mais je prie que Dieu bénisse chacun de vous maintenant et qu’Il vous accorde...

            Combien vont croire de tout leur coeur maintenant? C’est bien. Combien parmi vous? Gardez simplement la main levée et dites-le, comme ceci: «Frère Branham, je m’accroche à Dieu pour qu’Il exauce votre prière ce soir.» Allez-vous le faire? Très bien. Faites-le, c’est pratiquement partout, je dirais cent pour cent. Quelque chose doit arriver.

            Frère, soeur, voici ce que j’ai dit, je vais dire ceci avant que l’onction descende fortement sur moi, ne faites pas attention à la manière dont j’agis ici, car c’est–c’est juste le... On n’est pas de ce monde en ce moment-là. Je sais où je suis, mais je ne sais pas ce que je dis ou ce que je fais la plupart de temps.

61        Ecoutez, l’Ange de Dieu m’a dit: «Si tu amènes les gens à te croire, et qu’ensuite tu es sincère quand tu pries, rien ne résistera à ta prière.»

            Et j’ai dit: «Seigneur, ils ne me croiront pas; je ne suis pas instruit.»

            Il a dit: «Il te sera donné deux signes.» Et Il m’a dit ce que seront les signes; vous comprenez. Il a dit: «Quand cela se fera, ils vont–ils vont alors croire.»

            Et puis après que ces signes auront été accomplis, ce qui est infaillible, est-ce la vérité? C’est la vérité. Très bien. Vous avez donc accepté cela. Maintenant, sur cette base-là, tout peut arriver. Ecoutez-moi: tout peut arriver. Ne faites pas attention à un quelconque sens; ne faites pas attention aux–aux doutes, ou–ou à des choses mécaniques. Ecoutez le Saint-Esprit ce soir. Et si vous faites cela, faites exactement ce que je vous dis de faire, vous verrez la gloire de Dieu. Maintenant, je le dis aussi à vous ici en bas. Et je le dis à chacun de vous: croyez et soyez en prière, et acceptez Jésus-Christ comme votre Guérisseur. Et dites à Dieu que vous allez... que vous croyez que vous allez être guéri. Dieu va vous rétablir ce soir et vous recevrez ce que vous avez demandé. Très bien. Tout est prêt. D’accord, faites venir–faites venir l’homme.

62        Bonsoir, monsieur. J’essaie simplement de tourner cela afin que les gens, que–que là dans l’assistance ils puissent entendre. Vous allez veiller à cela pour moi, des fois, Frère Baxter.

            Eh bien, mes frères, j’aimerais que vous tous là derrière, d’un commun accord, vous croyiez. Maintenant, vous n’avez pas à garder vos têtes inclinées à moins que je vous le demande. Mais je–j’aimerais que vous me croyiez; je suis ici pour représenter le même Evangile que vous avez prêché toutes ces années. Et vous les frères, certains d’entre vous qui êtes des hommes âgés par rapport à moi, vous, jadis, alors que j’étais un petit garçon, vous prêchiez cet Evangile et vous combattiez pour Cela. Et maintenant, je suis simplement en train de courir sur la route que vous, vous avez pavée; c’est tout. S’il y a un quelconque mérite, si Jésus venait ce soir, je serais heureux de reculer et de vous laisser vous tous entrer. Car je crois que vous le ferez avant moi, car je ne fais que courir sur la route que vous tous, vous avez pavée.

            Maintenant, priez pour moi. Et comme–comme les gens sont ici, j’essaie de... C’est ma première fois de faire donc ceci, la première ou la deuxième à peu près, au mieux de mes souvenirs, d’essayer d’avoir l’Esprit de discernement pendant que... vient. Vous me comprenez, vous les frères? Ça vient de deux côtés (Voyez-vous?) comme ça. Très bien. Maintenant, croyez de tout votre coeur, ici. Très bien.

63        D’accord. Venez, frère. Très bien. Oui, monsieur, c’est en ordre, afin que je puisse donc vous parler juste un peu. Et maintenant, je suppose que nous sommes... à ce que je sache, nous sommes inconnus dans la vie. Je ne... je... Oh! Vous avez assisté aux réunions de Fort Wayne, oui, mais vous n’étiez pas entré dans la–dans la rangée. Je vais juste vous parler un tout petit peu, car ce–c’est juste pour établir le contact (Voyez-vous?) avec votre esprit.

            Eh bien, c’était une série de réunions merveilleuses, n’est-ce pas? C’était merveilleux. C’est là l’unique fois, à ma connaissance, où le–où le, je pense, le... le journal intitulé We The People, ce célèbre livre, cela, cette réunion s’est tenue là, le soir où une petite fille aveugle a été guérie à l’estrade. Les membres des assemblées de Dieu, c’était dans votre journal, et–et tout, quand la... une petite fille aveugle était venue. Et alors, les journaux ont écrit là, qu’elle ne pouvait pas voir après qu’on avait prié pour elle; et son père est allé sur place, il a amené l’enfant, il a prouvé cela, et tout. Quand j’ai pris la petite fille de côté, l’esprit de cécité avait été chassé d’elle.

            Y a-t-il quelqu’un qui était là ce soir-là quand c’était arrivé? Oui, il y a des mains; il y a quelqu’un qui agite la main là derrière. C’est exact, partout. Ce fut un moment merveilleux. Une petite fille était... elle souffrait d’estomac et beaucoup de choses clochaient chez elle; cela a été publié. Combien de membres de l’assemblée de Dieu reçoivent cela? Quel est donc le nom de leur journal? Evangel. Combien ont lu cet article dans Evangel? Faites-nous voir les... Les pentecôtistes reçoivent le Pentecostal Evangel... Ouais, il y a plusieurs mains là qui montrent qu’ils ont lu cet article. C’était dans We The People, un journal international, de cette année.

64        Maintenant, à ce sujet... Si vous voulez, reculez de ce côté-ci juste un peu en arrière... si... non... Dans cette–dans cette réunion-là, des signes et des prodiges avaient été accomplis, n’est-ce pas? Et je crois, dans cette réunion-là, avoir témoigné, disant que j’étais... j’allais outre-mer, et qu’un garçon ressusciterait d’entre les morts quelque part, vous savez; j’en avais parlé. Vous vous en souvenez. C’était environ juste un an avant que cela arrive. Mais cela–cela arriva. Et Dieu fait toujours s’accomplir des choses telles qu’Il l’a dit.

            Monsieur, pendant que je me tiens ici, je vous vois revenir; vous êtes un prédicateur de l’Evangile. N’est-ce pas vrai? N’est-ce pas que vous êtes un ministre? Et vous souffrez d’une dépression nerveuse, n’est-ce pas vrai? N’est-ce pas vrai? Eh bien, venez ici et soyez guéri, mon frère.

            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie et Donateur de tout don excellent, Satan, ce démon vient en rougissant là; il savait que ce défi de la foi était contre lui. Au Nom de Jésus-Christ, sors de cet homme, laisse-le tranquille. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Vous soumettez vos nerfs à une dure épreuve, et votre âge aussi. Vous voyez, c’est juste le temps. Les hommes connaissent ce temps autant que les femmes. Vous allez être un homme bien portant. Quittez l’estrade; prêchez l’Evangile, allez de l’avant, soyez bien portant.

65        Disons: «Gloire au Seigneur.» Le ministre sera bien portant. Tout celui qui est de Fort Wayne là, observez-le. Il n’y a rien qui cloche chez lui. Satan s’est simplement emparé de lui, c’était tout, une peur. Beaucoup de gens disent: «Eh bien, ressaisissez-vous.» Comment le pouvez-vous alors qu’il y a quelque chose là pour vous effrayer? Et regardez ici, révérend, vous qui venez d’être guéri, regardez ici, sachez de quoi je parle. Il y a au moins soixante pour cent des gens assis ici ce soir, qui souffrent de la même chose. Ils souffrent de nerfs. Combien seront sincères pour dire qu’ils sont nerveux? Levez la main. Comment ça! Environ soixante pour cent, est-ce vrai? D’accord, cela montre que je suis... Dieu me révèle de quoi je parle. Est-ce vrai? Quand ce démon vous a quitté, il a secoué partout là comme ça. Cela m’a aveuglé pendant quelques minutes.

            Je pense que chacun de vous maintenant même, pendant que ce ministre a été guéri, celui qui était dérangé par la nervosité, peut être guéri maintenant même. Satan sait qu’il a perdu cette bataille. Assurément, il l’a perdue. Il sait qu’il l’a perdue... Oh! la la! Assurément. Ne serez-vous pas d’accord maintenant même? Les gens sont guéris. C’est vrai.

66        Cela ne peut pas durer longtemps, frères; c’est merveilleux. Très bien. Faites venir votre client, ou plutôt–ou plutôt patient. Oui, c’est exact. Cela... passe juste un peu derrière moi, s’il vous plaît, juste par là. Très bien.

            Oh! la la! Amis, s’il vous plaît, croyez-moi en tant que Son serviteur. Quelque chose est arrivé tout à l’heure. Soyez respectueux.

            Bonsoir, monsieur. Je crois que c’est notre première rencontre dans la vie. Je ne crois pas vous avoir déjà vu auparavant. Je ne vous ai jamais vu. Et je... Est-ce la première fois pour vous de me voir? Vous avez eu des photos. Je vois. Oui, oui. Et vous aimeriez faire cela. Prenez-vous des photos? Vous, ou prenez-vous des photos? Pas avec l’appareil caméra, vous ne faites pas de photos. Aimez-vous le Seigneur de tout votre coeur? Je le crois. Oui, oui. Dites donc, monsieur, vous souffrez d’une espèce de faiblesse, vous devenez très faible et aveugle, n’est-ce pas? Je vous vois parfois tomber. Est-ce vrai? Et vous êtes... Non, vous n’êtes pas un photographe; vous êtes un musicien. Est-ce vrai? C’est vrai. Et dites donc, vous avez... vous n’avez pas un... une espèce d’affection de vésicule biliaire, ou un... N’est-ce pas vrai? Venez ici et soyez guéri, frère.

            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie et Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur cet homme que je bénis en Ton Nom. Au Nom de Jésus-Christ, sors de l’homme, toi démon de l’affliction. Très bien, monsieur, mon frère, allez et soyez bien portant au Nom du Seigneur Jésus.

            Disons: «Gloire au Seigneur!»

67        Oh! Quelle soirée! Amis, Dieu est mon Juge. Je deviens tellement faible que j’arrive à peine à me tenir sur cette estrade. C’est vrai. Il se passe quelque chose dans cette assistance. Très bien. Que tout le monde soit aussi respectueux que possible; soyez respectueux. Que pensez-vous, soeur, assise là en bas? Croyez-vous de tout votre coeur? Si vous croyez, ayez foi, et Dieu vous permettra de vous lever de là et de marcher.

            Vous là-bas, mettez votre bras autour de la dame. Ne laissez pas cela vous étouffer, mais vous croyez aussi, n’est-ce pas? Croyez-vous qu’elle va se rétablir? Eh bien, dites-lui d’avoir foi. Ne pleurez pas, maman; ayez foi. Voulez-vous être rétablie? Voulez-vous accepter votre guérison? Très bien. Vous souffrez du cancer, n’est-ce pas? Ne voudriez-vous pas vous lever et être bien portante au Nom du Seigneur Jésus?

            Disons: «Gloire au Seigneur!»

            Elle sort de son fauteuil pour accepter cela. Disons: «Que le Seigneur soit béni.» Oui. Que Dieu soit béni.

68        Combien parmi vous n’ont pas de cartes de prière? Faites-nous voir les mains partout. Cette rangée, on dirait que personne parmi vous n’a de carte de prière. Qu’en est-il de vous, dame, vous, assise là? Croyez-vous? De tout votre coeur? Croyez-vous que Dieu m’a envoyé en tant que votre... en tant que Son serviteur? Croyez-vous que je suis Son prophète, ici? Vous acceptez cela. Très bien. Allez-vous... Si je vous dis quelque chose, allez-vous croire cela? Jésus-Christ vous a guérie de cette tumeur tout à l’heure. Levez-vous et soyez bien portante. Très bien. Rentrez chez-vous, et laissez passer cela maintenant. Au Nom du Seigneur Jésus.

            Vous assis à côté d’elle là (Oui, oui.), croyez-vous de tout votre coeur? Vous croyez. Et acceptez-vous que ceci, c’est le prophète de Dieu, ce... Acceptez-vous? Vous aimeriez guérir de ce rhume de foins, n’est-ce pas? Est-ce vrai? D’accord, levez-vous et guérissez-en. Au Nom du Seigneur Jésus, acceptez votre guérison. Amen.

69        Qu’en est-il de la dame assise à côté d’elle? Qu’en pensez-vous, soeur? Croyez-vous de tout votre coeur? Voyons si je peux vous voir. Me croyez-vous en tant que prophète de Dieu? Vous croyez. Très bien. Vous avez une faible circulation, cela vous a amenée à avoir une maladie de paralysie. Levez-vous et recevez votre guérison. Au Nom du Seigneur Jésus. Que quelqu’un l’aide. La voilà debout. Oh! Son bras se redresse.

            Disons: «Gloire au Seigneur.» C’est ainsi que cela se fait. Au Nom du Seigneur Jésus. Alléluia! C’est comme ça, soeur. Vous allez être une femme bien portante.

            Qu’en est-il de l’homme assis à côté d’elle? Avez-vous une carte de prière, monsieur? Croyez-vous? Regardez de ce côté-ci; êtes-vous malade? Oui. Je vois que vous l’êtes. Dites donc, regardez de ce côté-ci, jeune homme. Avez-vous été soldat? Oui. Vous avez une espèce de fièvre qu’on attrape dans la jungle ou quelque chose comme cela, une espèce de maladie comme ça que vous avez contractée outre-mer. Est-ce vrai? Levez-vous et soyez bien portant. Au Nom du Seigneur Jésus. Amen.

70        Qui est là à côté sans carte de prière? Qu’en est-il de vous, madame? Vous n’avez pas de carte de prière? Croyez-vous de tout votre coeur? Vous êtes anémique, n’est-ce pas? Très bien. Rentrez chez vous et soyez bien portante. Au Nom du Seigneur Jésus.

            Cet homme assis à côté de vous, il n’y a rien qui cloche chez lui, à part ses yeux. Levez-vous, frère. Soyez guéri. Enlevez vos lunettes au Nom de Jésus-Christ. Il est guéri là.

            Qu’en est-il de la femme à côté? Avez-vous une carte de prière? Non? Voyons, croyez-vous en Jésus? Très bien. Rentrez chez vous et mangez tout ce que vous voulez; vous souffriez d’estomac; vous êtes guérie. Levez-vous. Disons: «Gloire au Seigneur.» (Donnez-moi juste une minute.)

71        Très bien. Faites venir le patient. Tout le monde, soyez respectueux. Ayez foi en Dieu. Ne doutez de rien. Croyez au Seigneur Jésus et vous serez rétablis. Croyez-vous cela?

            Bonsoir, monsieur. Que pensez-vous de cette sensation qui vous envahit maintenant? Croyez-vous que cela vient de Dieu? Vous croyez. Il vous le faut. Vous êtes un prédicateur. Est-ce vrai? Vous avez arrêté le service depuis un temps à cause de l’arthrite. Vous priez et vous cherchez à reprendre, n’est-ce pas? Mais votre... mettez votre canne sur votre épaule, quittez l’estrade, et prêchez l’Evangile au Nom de Jésus-Christ. Disons: «Gloire au Seigneur!» Il est guéri.

            Qu’en est-il de vous, soeur? Vous souffriez d’estomac; croyez-vous de tout votre coeur, vous sur le brancard? Levez-vous et soyez guérie. Emportez votre brancard. Au Nom de Jésus-Christ. Enlevez le brancard.

            Très bien, prédicateurs, avancez ici. Voyons. Parcourez cette assistance en imposant les mains à ces gens, en passant par l’estrade. Combien aimeraient être guéris?

            Vous là souffrant de l’anémie, levez-vous. Jésus-Christ vous guérit. Amen. Enlevez les brancards. Qu’en est-il de cela, vous assis là dans le fauteuil roulant? Ayez foi maintenant. Croyez.

            Qu’en est-il du jeune homme avec de gros...?... Hydrocéphale? Posez les mains sur sa tête. Croyez de tout votre coeur. Ça y est. Alléluia!

            Prédicateurs, descendez dans l’assistance...?... vous-même, levez les mains, tout le lieu...

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