Témoignage

Date: 51-0509 | La durée est de: 1 heure et 52 minutes | La traduction: Shp
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1          J’aimerais dire que je suis très content. J’aimerais commencer ceci ce soir, pour cet homme avancé en âge, de quatre-vingt et quelques années, environ quatre-vingt-quatre ans. Il n’est plus en mesure de travailler. Il a servi en son temps. Et s’il est enthousiasmé de diffuser le Message de Jésus-Christ, j’aimerais l’aider à le faire. Que Dieu bénisse mon frère. Très bien. Allez de l’avant, frère...?... Que Dieu bénisse tout le monde. Venez ici. [Frère Hall demande: «Avec quoi allez-vous commencer cela?»–N.D.E.] Je vais commencer cela... [Frère Hall demande: «De l’argent, hein?»–N.D.E.] De l’argent... [Très bien. Bon, je vais vous aider à commencer cela.] Très bien, monsieur ; c’est magnifique. Que Dieu vous bénisse.

2          J’aimerais bien qu’il dise un mot. D’accord. Venez ici, frère membre du Congrès.

            C’est l’ancien membre du Congrès des Etats-Unis d’Amérique. Il fut une fois l’un des hommes les plus importants de notre pays. Dieu... il était estropié pendant plusieurs, plusieurs années, soixante-six ans. Il a été guéri ici dans cette réunion. Et j’éprouve un grand honneur ce soir de me tenir devant un homme, ou avec un homme comme celui-ci. Ces béquilles l’ont soutenu pendant toutes ces années, depuis sa jeunesse, alors qu’on avait prié pour lui à plusieurs reprises pour qu’il soit guéri. Et à l’âge d’environ quatre-vingt-quatre ans, sénateur...

            [Le membre du Congrès Upshaw donne son témoignage: «J’ai juste quatre-vingt-quatre ans. Je suis jeune de quatre-vingt-quatre ans, je parle trois ou quatre fois par jour, je prêche l’Evangile de Christ qui m’a sauvé, qui s’est tenu à mes côtés sur le lit pendant sept ans et m’a rendu heureux. Et enfin, Il m’a débarrassé des béquilles que j’ai utilisées pendant cinquante-neuf ans. Et maintenant, gloire à Dieu, je marche.»–N.D.E.]

3          Gloire au Seigneur! Et savez-vous à quoi est destinée cette offrande? Il n’est pas en mesure d’envoyer ce témoignage à travers le pays. Il est... Il ne peut pas le faire. Il est âgé et il n’a pas de revenus. Cette offrande que voici, c’est pour l’aider à envoyer cela à tous les grands hommes, des chefs d’Etat et autres du pays. Que Dieu bénisse notre brave frère.

            Et j’aimerais lui réserver un... ce bon accueil ici, n’importe où dans le pays, ou dans le monde, où je tiens des réunions. Je serai très heureux de voir le membre du Congrès Upshaw venir et se tenir à mes côtés à l’estrade pendant les réunions.

            [Le membre du Congrès Upshaw fait un commentaire: «Souvenez-vous, j’envoie ce dépliant à chaque membre du Congrès, à chaque sénateur, au président et à sa femme, et maintenant cette semaine, je l’envoie au roi d’Angleterre pour qui il avait prié, et à Winston Churchill. Et je vais l’envoyer à Joseph Staline. Que Dieu ait pitié de son âme.»–N.D.E.]

            Amen. Amen. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

4          Bonsoir. Je suis content d’être de nouveau ici ce soir dans le Nom représentatif de notre Seigneur Jésus-Christ et Sa grande miséricorde envers nous. Et je regrette que ceci soit la dernière soirée. En effet, vous êtes si bons et si gentils envers moi que je–j’aurais bien voulu rester avec vous. Mais je... Cela... J’ai un besoin.

            Merci, soeur bien-aimée. Et cela... Il me faut aller ailleurs avec l’Evangile. Et j’espère que notre Seigneur a fait ici dans la–dans la série de réunions quelque chose qui vous a donné, à vous tous, assez de foi pour croire en Lui et L’aimer tous les jours de votre vie.

5          Je sais qu’il y en a ici beaucoup qui m’écoutent maintenant, que je ne reverrai probablement plus jamais sur cette terre. Ça sera notre... probablement notre dernière rencontre de ce côté-ci [Espace vide sur la bande–N.D.E.] de la Gloire. Et j’aimerais donner à chacun de vous ce rendez-vous, c’est que si vous me précédez, que... Je crois que ce que le Seigneur Jésus-Christ déclare dans la Bible est vrai. Je crois que tout ce que la Bible dit est vrai, qu’il y aura la résurrection des morts. Et que ceux qui... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ceux qui attendent seront changés et auront un corps semblable au Sien, et ils seront tous enlevés à Sa rencontre dans les airs pour être pour toujours avec le Seigneur dans les airs.

            J’espère, par la grâce de Dieu, vous rencontrer vous tous là-bas. Que Dieu accorde que nous puissions tous nous rencontrer et être là ensemble en ce grand et glorieux moment.

6          Je sais que notre Seigneur a été vraiment miséricordieux envers nous cette semaine et les semaines où nous L’avons servi ici. Il a été pour nous la joie, la paix, la santé et la force. Et je–je crois que Dieu accomplira de grandes choses pour nous ce soir ici, parmi Son peuple, et qu’Il en accomplira de grandes pour nous ce soir.

            J’aimerais dire qu’un jeune ministre, monsieur Caïn, je pense que c’est ça, si je ne me trompe pas, Paul Caïn, va continuer le réveil à partir de demain soir, à l’heure habituelle, je pense, à dix-neuf heures trente. Vous êtes tous, par conséquent, inv-... cordialement invités à la réunion de frère Caïn.

7          Et je ne sais pas exactement quand ce frère Freeman, William Freeman... Je ne connais pas frère Freeman. J’ai entendu parler de lui. J’éprouve de l’amour pour frère Freeman. Il tient une série de réunions sous tente ici dans la ville. Et je ne sais pas exactement quand il va terminer ces réunions.

            Et aussi, j’ai appris qu’on tient des réunions de prière pour les malades au temple, à Angelus Temple. Et à beaucoup d’autres petits endroits dans la ville, on organise des prières pour les malades. Et je–j’espère que Dieu accomplira de grands prodiges pour vous tous en mon absence, et surtout qu’Il sauvera tous les perdus, et... qu’ils trouvent la paix avec Dieu. Eh bien, Dieu nous accordera ces choses si nous avons foi et que nous croyons en Lui.

8          Eh bien, donc, le mardi prochain, nous commençons par Grants Pass, en Oregon. Et nous y passerons environ cinq ou six soirées. Ensuite, on passera après cela deux soirées à la réserve des Indiens Apaches. Evidemment, c’est exclusivement pour les Indiens là-bas. Je n’oublierai jamais, la dernière fois que j’ai été là-bas, la simple foi des gens.

            Et puis, nous reviendrons à Orange, entre... Je pense que j’ai une correction là-dessus. Quel est le... entre le... entre Santa Ana et Costa Mesa, le terrain de l’Institut biblique de Californie du Sud. Nous commencerons le quatre juin. Vous êtes donc tous invités.

            Ensuite, j’irai au nord, et de là en Afrique, en Inde, à Jérusalem. Et j’espère que par la grâce de Dieu, un glorieux jour, je pourrais revenir encore ici vous voir tous. Et tous mes remerciements. Et... Merci.

9          Et je–je prie que Dieu vous bénisse tous, qu’Il vous garde en bonne santé et forts jusqu’à ce que nous nous rencontrerons. Si certains parmi nous s’en vont, eh bien, souvenons-nous de notre Seigneur, de Lui et de Son Royaume... et croyons qu’Il nous rassemblera une fois de plus. Et alors, nous ne prierons plus pour les malades, car il n’y aura plus de malades là-bas. Ça sera–ça sera merveilleux. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... et je serai absent, je serai outre-mer, parmi les gens. Je sollicite certainement ce soir le bénéfice de votre prière, que vous priiez sincèrement pour moi, de tout votre coeur, jusqu’à la Venue de Jésus. Priez pour moi.

10        Et maintenant, j’aimerais dire à frère Kopp du tabernacle, et à soeur Kopp, que j’apprécie leur accueil à mon égard dans ce tabernacle cette fois-ci. Et ils m’ont invité à revenir. J’apprécie certainement cela de tout mon coeur. Et à tous les ministres qui collaborent, qui collaborent ici, vous qui êtes venus nous aider, nous vous sommes très reconnaissants. Et à ce brave groupe d’huissiers et autres, nous sommes simplement très reconnaissants envers vous aussi. Et à tous, et à chacun de vous qui m’avez offert de petits présents, j’ai vu tout cela, et je remercie Dieu pour chacun.

11        Récemment, un frère, alors que j’étais ici avant, ayant compris que j’aime chasser et que j’allais partir en Afrique, et le... Quand j’étais un petit garçon, je me demandais souvent si je pourrais même avoir un livre à lire sur ces endroits là-bas. Et maintenant, le Seigneur va m’y amener. Et après que toutes ces réunions seront terminées, ils vont m’amener chasser. Un frère ici m’a remis un fusil. Et je–je suis très reconnaissant. L’autre jour, il m’a remis une baguette de nettoyage et tout pour cela. Oh! Je prie simplement que Dieu le bénisse.

            L’autre jour, un frère m’a remis, pour aller là, un–un paquet de mouches pour la pêche et autres, car il avait appris qu’il y avait une bonne pêche là-bas. J’apprécie cela. Il les a fabriquées de sa propre main. Cela peut... Cela paraît vraiment réel. Quelqu’un m’a envoyé quelques paquets de bonbons. Un autre m’a envoyé ce fixe cravate l’autre jour. Et l’un d’eux m’a envoyé une dîme dans une enveloppe. Oh! Vous ne savez pas combien je... Je ne peux simplement pas vous atteindre personnellement pour dire: «Merci.»

12        Un frère ici m’a remis une montre au début de la réunion. Il a dit: «J’en ai deux, frère, et je n’ai pas besoin de deux. Je vais vous en donner une.» Ce–c’était donc très aimable. Et j’apprécie cela. Et j’ai dit simplement: «Merci.» C’est très peu, mais voici ce que je dis: «Que Dieu vous bénisse», et c’est beaucoup. Voyez-vous?

            Et je... Et, rappelez-vous, votre Père céleste sait juste ce que vous avez fait. Il a dit: «Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits (c’est moi), c’est à Moi que vous les avez faites.» Et je suis sûr que Dieu vous récompensera.

            Beaucoup parmi vous ont contribué avec une partie de leurs subsides ici pour aider à faire face aux dépenses que nous avons engagées et pour l’offrande d’amour de frère Hall et moi. Et nous apprécions cela de tout notre coeur. Et à ce propos, frère Hall est un homme marié, il a une église et une famille. Le mien... Tout ce que je n’ai pas à utiliser pour subvenir aux besoins, juste... (Je dois vivre), j’affecte directement cela à la mission, j’envoie cela ailleurs. Ainsi donc, cela ira pour la gloire de Dieu, de la sorte, quand ce jour-là arrivera, je pourrais... j’aimerais que mon rapport soit clair et net en ce jour-là, que j’ai été un bon économe de Ses biens et que j’ai fait au mieux de ma connaissance pour honorer Son peuple, par ce que j’ai eu à faire avec. Et que Dieu vous bénisse tous.

13        Et maintenant, comme la réunion commence, je–je pourrais ne pas avoir l’occasion de vous dire au revoir. Oh! Je–je ne... Ou, je dirais cela comme ceci: A bientôt, pas au revoir ; car nous serons ensemble éternellement. Il n’y a pas d’au revoir ; non, non.

            Je–j’aimerais donc vous dire: A bientôt. J’espère revenir auprès de vous. Et si je... l’onction devient forte et que je n’arrive pas à dire cela, j’aimerais que chacun de vous le sache.

            Certains parmi vous, je n’ai pas pu répondre à vos lettres jusqu’à présent, car il y en a eu des centaines. Envoyez vos lettres directement à la maison pour... n’importe quand pour des tissus oints, ou n’importe quoi. Envoyez simplement cela directement à Jeffersonville, Indiana, et je serai content de prier sur les tissus. Vous n’avez pas à envoyer les tissus. Je vais les donner et vous les renvoyer. Ce que j’aimerais voir, c’est que vous soyez bien portants, heureux, sauvés, et–et que vous serviez le Seigneur. C’est ce que je–j’aimerais que vous fassiez. Eh bien, que Dieu vous bénisse tous.

14        J’aimerais lire une portion des Ecritures ce soir, car je parlerai juste un peu, un tout petit peu sur la Parole. Et pendant... Je pense que notre Seigneur Jésus a déjà confirmé Sa Parole à maintes et maintes reprises.

            Et j’aimerais que vous soyez juges de ces choses. Si–si Dieu n’a pas confirmé que je vous ai dit la vérité, et je–je crois que vous le savez, que je vous ai dit la vérité, que Dieu a confirmé ces choses.

15        Maintenant, j’aimerais lire une portion dans l’Evangile de Matthieu, chapitre 9. J’ai été en prière pratiquement tout le temps, et je... L’onction de l’Esprit est forte sur moi. Je n’ai pas à L’attendre, car Il est déjà ici maintenant. Et je crois qu’Il va faire de grandes choses pour nous ce soir.

            Je priais il y a quelques instants que notre Père céleste accomplisse plus de signes devant les gens ce soir qu’en n’importe quelle autre soirée durant tout le service, que–que cela puisse laisser Californie dans un tel réveil de... un tel état qu’il y aura un réveil à l’ancienne mode qui ira d’une frontière à l’autre de–de cette contrée ici. Et je prie que cela continue sans cesse alors que frère Cain et les autres prédicateurs prêchent aux gens dans la contrée.

16        Maintenant, au chapitre 9 de Saint Matthieu, à partir du verset 27, j’aimerais lire environ trois passages des Ecritures, et puis donner un témoignage juste un moment. Et ensuite, nous aborderons directement la ligne de prière.

            Etant parti de là, Jésus fut suivi par deux aveugles, qui criaient: Aie pitié de nous, Fils de David!

            Lorsqu’il fut arrivé à la maison, les aveugles s’approchèrent de lui, et Jésus leur dit: Croyez-vous que je puisse faire cela? Oui, Seigneur, lui répondirent-ils.

            Alors il leur toucha les yeux, en disant: Qu’il vous soit fait selon votre foi.

            Et leurs yeux s’ouvrirent. Jésus leur fit cette recommandation sévère: Prenez garde que personne ne le sache.

            Mais, dès qu’ils furent sortis, ils répandirent sa renommée dans tout le pays.

            Comme ils s’en allaient, voici, on amena à Jésus un démoniaque muet.

            Le démon ayant été chassé, le muet parla. Et la foule étonnée disait: Jamais pareille chose ne s’est vue en Israël.

            (Voyez-vous ce que Jésus a dit que le muet était? C’était un démon. Ce n’était pas juste les cordes vocales inactives, mais c’était un démon qui avait fait cela.)

            Mais les pharisiens dirent: C’est par le prince des démons qu’il chasse les démons.

            Ils pensaient qu’Il lisait les pensées, ou qu’Il était un spirite, ou quelque chose comme cela. Mais Jésus avait la volonté du Père à accomplir. Le verset 35:

            Jésus parcourait toutes les villes et les villages, enseignant dans les synagogues, prêchant la bonne nouvelle du royaume, et guérissant toute maladie et toute infirmité.

            Maintenant, dans Saint Jean, chapitre 4, je souhaiterais lire quelques versets, à partir du verset 14:

            Mais celui qui boira de l’eau... boira de l’eau... (Si vous remarquez bien, il ne s’agissait pas juste de boire un verre d’eau, s’en aller et oublier cela, il s’agit de continuer à boire. C’est une action continue. Continuez à boire.) Mais celui qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura jamais soif ; et l’eau que je lui donnerai deviendra en lui... une source d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle. (Boire tout le temps. Ceci est la conversation avec la femme samaritaine.)

            La femme lui dit: Seigneur, donne-moi de cette eau, afin que je n’aie plus soif, et que je ne vienne plus puiser ici.

            Va, lui dit Jésus, appelle ton mari, et viens ici.

            La femme répondit: Je n’ai point de mari. Jésus lui dit: Tu as eu raison de dire: Je n’ai point de mari.

            Car tu as eu cinq maris, et celui que tu as maintenant n’est pas ton mari. En cela tu as dit vrai.

            Seigneur, lui dit la femme, je vois que tu es prophète.

            Chapitre 14 de Saint Jean verset 12:

            En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les oeuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m’en vais au Père.

17        Inclinons la tête juste un instant. Notre Sauveur, nous Te remercions ce soir pour ces Paroles, Elles sont la Vie pour nous. «Mes Paroles sont Vie», as-Tu dit. Elles donnent la Vie et la Lumière à ceux qui entendent et croient. Et quand nous croyons, nous recevons la Vie Eternelle, car ce sont Elles qui rendent témoignage de Toi.

            Et maintenant, Père, nous Te remercions de ce que Ta Parole a été rendue manifeste pour nous au travers du salut, de la guérison divine, et beaucoup d’autres attributs de Ta mort et de l’expiation au Calvaire à cause de notre chute en Eden.

18        Et maintenant, Dieu bien-aimé, nous Te remercions du fond de notre âme pour cette série de réunions, et pour tout ce que cela représentait pour–pour nous tous. Et nous Te prions, Père, de continuer dans cette réunion. Alors que Ton serviteur va s’en aller ailleurs dès ce soir pour prêcher à d’autres, comme Tu as dit: «Je dois prêcher l’Evangile à d’autres», je Te prie, Père, d’être avec frère Cain alors qu’il prêchera ici sur cette estrade. Aide-le, Dieu bien-aimé, à prêcher avec si une grande force et une si forte persuasion que les hommes et les femmes viendront et Te donneront leurs coeurs et naîtront de nouveau. Bénis-le. Que tout celui pour qui il priera soit guéri.

            Bénis le pasteur, frère Kopp. Accorde, Seigneur, que tout celui pour qui il priera soit guéri, et que celui à qui il parlera soit sauvé. Non seulement lui, Seigneur, mais tous les pasteurs et tous les évangélistes qui sont dans la salle ce soir, partout où ils prêcheront et où ils prieront, que Dieu exauce leur prière.

            Bénis frère Freeman ce soir dans sa réunion sous tente. Je prie, ô Seigneur, que de grands signes et de grands prodiges soient accomplis là-bas. Que sa prédication et sa prière aient des résultats qui amèneront plusieurs à venir au Seigneur Jésus, à être sauvés et à être guéris. Et que d’un bout à l’autre du pays, tous soient bénis.

19        Seigneur, nous Te demandons ce soir de bénir notre pays, le pays le plus puissant et le plus glorieux sur la terre, le Joseph avec les bénédictions de Jacob, qui a fortifié son arc et qui s’est confié dans la puissance de Dieu. Mais nous savons qu’il est temps que la vigne passe de nouveau au-dessus du mur maintenant.

            Et nous savons que nous sommes à la fin de l’âge. Et cette grande et merveilleuse nation a commencé, il y a quelques années, à abandonner Dieu, pareille à un cochon qui retourne à son bourbier et à un chien qui retourne à ses vomissures, elle a fait entrer du whisky, elle a placé cela dans des coins de rue, elle a placé nos jeunes filles et nos jeunes garçons dans des bars, amenant des choses vulgaires de Hollywood ici, le nid et des profondeurs du péché...

            Ô Eternel Dieu, à quoi d’autre pouvons-nous nous attendre sinon au jugement. Quand on foule la miséricorde aux pieds, alors le jugement doit frapper. Et, ô Dieu, je Te prie de rassembler Ton peuple, de les lier avec les cordes d’amour et d’unir leurs coeurs ensemble, de sorte que quand bientôt ce Gabriel parcourra les grandes rampes de l’escalier de l’Eternité et qu’Il fera retentir la trompette, annonçant la Venue de Christ, que Ton Eglise soit rassemblée pour monter dans les airs à Ta rencontre, avant que ces grands jugements ne frappent la terre avec des malédictions de Dieu. Oh! Aie pitié, Dieu bien-aimé.

20        Il y en a peut-être ici... Ceci peut être leur dernière soirée et la dernière chance. Accorde, Seigneur, qu’ils soient sauvés ce soir et qu’ils soient remplis de Ton Esprit. Que chaque malade ici présent soit guéri ce soir. Accorde-le, Seigneur. Qu’il s’élève un tel cri, Seigneur, que demain, la ville se réveillera avec de grands témoignages partout, que des hommes deviennent conscients de Dieu et s’éloignent de ces sens liés à la terre, qu’ils entrent dans le domaine du surnaturel pour croire au Seigneur Jésus-Christ. Accorde-le, Père. Oins Ton serviteur ce soir, ô Dieu.

            Si j’ai trouvé grâce à Tes yeux, Seigneur, je Te prie d’envoyer une double portion ce soir, de sorte que ça ne sera pas moi qui parlerai, mais que le Saint-Esprit parle, Celui dont je rends témoignage. Et qu’en parlant, qu’il y ait de grands signes et de grands prodiges, et que toute cette assistance aille à cette Eau de la Vie, qui jaillit comme le puits artésien de l’âme, Seigneur, dont Tu as parlé à cette femme samaritaine. Puissions-nous déposer à Tes pieds ce soir nos âmes fatiguées et épuisées et nous abreuver jusqu’à nous baigner de la beauté de Dieu, jusqu’à ce que nous oubliions tout au sujet de cette existence rattachée aux sens, et que nous alliions au-delà dans les sphères, au-delà des étoiles, là où nous pouvons trouver grâce aux yeux de Dieu, trouver la guérison pour nos corps, le repos de nos âmes. Ô Dieu, exauce ma prière alors que je plaide sincèrement de tout mon coeur. Au Nom de Ton Fils bien-aimé Jésus, nous le demandons. Amen.

21        Nous chantons ce cantique: Notre Seigneur revient bientôt sur terre. Je crois qu’Il revient bientôt sur terre. Et maintenant, que Dieu vous bénisse.

            Et juste pour quelques paroles. Je me suis abstenu des témoignages dans les réunions cette fois-ci à cause de l’autre fois ici. Je me disais que je risquais de répéter un témoignage.

            Mais il y a quelques instants, je pensais au témoignage à la réserve des Indiens. Je n’oublierai jamais cela. Il y avait plusieurs milliers d’Indiens Apaches rassemblés à San Carlos. Et quand j’ai commencé à parler par le canal d’un interprète, eh bien, on dirait qu’il n’y en avait pas beaucoup qui croyaient.

            Un Indien est quelqu’un de très étrange. Il croit seulement quand il est convaincu, et alors, il est convaincu pour toujours. Ainsi donc, je leur parlais, et beaucoup semblaient simplement écouter, mais ils n’accordaient pas beaucoup d’attention à ce qui se passait.

22        Puis, quand on a commencé la ligne de prière et que quelques-uns parmi eux étaient venus... La première femme qui était venue, c’était une femme qui souffrait d’une maladie vénérienne ; non pas parce qu’elle avait été immorale, mais à cause du mode de vie qu’elle avait adopté.

            Eh bien, je pense que s’il y a une seule chose que cette nation a faite... Eh bien, je suis un Américain. Dieu le sait. Il y a beaucoup de Branham... J’ai probablement survolé en avion leurs tombes en France et ailleurs, quatre frères lors de la dernière guerre, j’allais m’engager dans celle-ci, peut-être un fils aussi, bientôt. Et si on en arrivait à faire voir ses couleurs ce soir, je serai content de m’avancer et de donner gratuitement ma vie, comme mes frères l’ont fait, eux qui ont tacheté le sol des pays étrangers de leur sang pour cette liberté dont nous jouissons ce soir.

            Je... Mais s’il y a quelque chose dont je peux me souvenir, qui a tacheté notre drapeau, c’est la façon dont nous avions traité les Indiens. C’est vrai. Nous envoyons des milliards de dollars à la Russie pour qu’en retour ils nous tirent dessus. Nous en envoyons au Japon pour qu’ils préparent une guerre et qu’en retour ils nous tirent dessus. Et nos Amérindiens sont ici en train de crever de faim, ce n’est pas correct. Ce n’est pas correct.

23        Et je... Il n’y a rien que je puisse faire à ce sujet. J’aurais souhaité que nous ayons davantage d’hommes au Congrès, comme celui qui est assis ici. J’effectuerai un déplacement là-bas, et je verrai ce qu’il en est. Mais nous–nous... Je crains vraiment que cela ne marche pas maintenant.

            Mais je pense qu’ils ont certainement subi un mauvais traitement. Et après tout, ceci est leur pays. Nous sommes simplement entrés droit ici et nous les avons repoussés. Et ce qui nous a permis de venir ici et de les repousser, c’est qu’ils étaient désunis. Un groupe était dans... Ils se combattaient les uns les autres. Et maintenant même, écoutez, nous récoltons ce que nous avons semé. Nous sommes en train de nous désunir (Voyez?), réveillez-vous. Très bien. Cela peut prendre un long temps, mais cela arrivera chez nous. Ne vous en faites pas.

24        Eh bien, et à... Dans leur réserve ce soir là, quand il a été révélé à cette femme sa maladie, ce dont elle souffrait, elle m’a regardé de façon très étrange, quand l’interprète lui a dit ce que j’avais dit. Eh bien, elle se demandait comment j’avais su cela. Et il... Elle a essayé de lui en parler... de ce que le... c’était. Et la femme a été guérie.

            Et le suivant à passer, c’était un homme. Il souffrait du glaucome dans les yeux, ce qui est très courant parmi les Indiens. Et il a été guéri.

            Et la suivante à passer, c’était une petite fille. Et à ce moment-là, je n’avais pas de visions comme maintenant. C’était au début de mon ministère, il y a de cela quatre ans. J’ai tenu la petite fille par la main. Rien ne bougeait. Et je–j’ai dit: «Je ne sais pas ce qui cloche chez elle. Ce n’est pas une maladie causée par un germe, car cela ne–cela ne... je ne sens pas de réaction d’une... la présence d’un autre... un germe en dehors du germe de la vie.»

            Et alors, elle a demandé à la dame, et la dame lui a parlé, disant: «Elle est sourde-muette. (Voyez?) Une fièvre de plusieurs années l’a rendue ainsi.»

            Et alors, j’ai pris la petite créature dans mes bras, et j’ai prié: «Ô Dieu, fais-moi trouver grâce maintenant. Accomplis quelque chose qui fera que ces gens comprendront.»

25        Et quand j’ai fini, je–je savais qu’elle était guérie, et j’ai essayé de l’amener à dire quelque chose. Elle s’est mise à marmonner quelque chose. Et j’ai dit à l’interprète... Elle souriait. J’ai dit: «Oh! Elle parlera mieux.»

            Il a dit: «Sa locution s’améliore maintenant.» Alors... Et puis, ils ont commencé à être attentifs.

            Et le suivant à passer, c’était un petit garçon. Et vous savez comment...

            Eh bien, s’il y a un Indien assis ici, je ne dis pas ceci... Non, ma grand-mère elle-même vient de la réserve d’Oklahoma.

            Ainsi donc, je... leurs cheveux épais. Et j’ai dit: «Quel est son problème?» Je... Et elle l’a saisi par le sommet de la tête, fortement, vous savez. Elle a ramené sa petite tête en arrière, et ses drôles de petits yeux étaient placés juste là comme cela, louches. Et j’ai regardé le petit garçon, je l’ai pris dans mes bras, j’ai posé sa petite tête sur mon épaule, et je me suis mis à prier. Après que j’eus senti que le Saint-Esprit l’avait guéri, je leur ai demandé de relever la tête. Et je lui ai fait faire un tour, et ses petits yeux étaient tout aussi parfaits. Je lui ai demandé de rouler les yeux.

26        Et, oh! les gens se sont mis à crier. Et on dirait qu’une grande tempête de poussière a éclaté, comme une débandade. Ils ont placé leurs mains autour comme ceci, et j’ai alors formé une ligne de prière. Oh! la la! Et ils se tenaient simplement partout.

            Et vers moi est venu quelqu’un, une vieille femme qui se servait des béquilles en manches de balais. Et elle cherchait à arriver auprès de moi. Il y avait... de jeunes gens essayaient de la précéder. Et frère Moore et beaucoup d’autres essayaient de les repousser. Peu après, elle est arrivée là où j’étais. Et je l’ai laissée venir. Elle avait un visage très ridé, et ses cheveux pendaient bas, tressés en cuir. Et quand finalement elle est arrivée auprès de moi, c’était l’arthrite. Elle s’est tenue comme ça. Elle a levé les yeux vers moi, la pauvre vieille créature. Les larmes lui coulaient sur ses rides profondes comme cela. Elle m’a regardé avec un air tellement pitoyable. Elle a pris une béquille dans sa main, elle a pris l’autre, elle me les a remises. Elle s’est redressée, elle a quitté l’estrade en marchant. Simplement. Eh bien, c’est tout ce dont elle avait besoin. Une simple foi.

27        Et alors, oh! de grandes choses se sont produites. On était pratiquement à l’aube. Et c’est à peine que je tenais bon. Et ces Indiens passaient, mouillés jusqu’à la taille. Et j’ai demandé à l’interprète, j’ai dit: «Que se passe-t-il avec eux?»

            Elle a dit: «Au départ, ils pensaient que vous étiez un imposteur.» Elle a dit: «Ils voient ce qui arrive, ils courent dans le désert prendre leurs bien-aimés. Le gué est à vingt miles [32 km] vers le bas ici.» Elle a dit: «Ils traversent directement la rivière, passent de l’autre côté.» Et pendant qu’ils pataugent dans la rivière...

            Il y avait là un grand gaillard, très costaud. Ses lèvres étaient bleues, et il tremblotait. Il faisait froid au désert. Et–et il tremblotait simplement comme cela. Et c’est près des montagnes. Vous savez où se trouve San Carlos, peut-être. Et–et j’ai regardé, il tenait une planche. Eux n’avaient pas de brancards et autres que nous avons. Mais il tenait une planche sur laquelle était couché un vieil homme. Et il avait une traverse comme ceci, et une comme ceci. Il avait les mains et les pieds croisés. Et il tremblait de paralysie. C’était un vieil homme grisonnant.

28        Et j’ai parlé à ce gaillard, j’ai dit: «Parlez-vous anglais?»

            Il a dit: «Un peu.»

            Et j’ai dit: «N’avez-vous pas peur de contracter la pneumonie, ai-je dit, eh bien, en étant mouillé comme cela?»

            Il a dit: «Jésus-Christ prend soin de moi. J’amène mon papa.»

            J’ai dit: «Oh!» J’ai dit: «Croyez-vous que si je Lui demande, à Jésus, de guérir votre papa, Il le guérira?»

            «Ouais.»

            J’ai dit: «Faites-le passer.»

            Il est passé, et je lui ai simplement imposé la main. J’ai dit: «Que Dieu vous bénisse, mon frère, et qu’Il vous guérisse.» Il est directement passé, j’ai appelé un autre. Quelques instants après, je–j’ai entendu retentir un cri horrible. J’ai regardé, le vieil homme portait la planche sur sa propre épaule, en train de faire signe de la main à tout le monde, avançant comme ça, tout... Qu’était-ce? La simple foi d’enfant, pour croire.

29        Eh bien, voyez, nous... Nous sommes très méfiants. Nous allons essayer d’examiner là et voir si nous pouvons comprendre cela. C’est là que vous perdez. Vous ne pouvez pas comprendre Dieu. Vous devez croire en Lui. Voyez? Voyez? Celui qui croit, pas celui qui peut comprendre, celui qui croit. Voyez?

            Ainsi donc, quand ils ont vu que les signes de Dieu étaient opérés au milieu d’eux, de tout leur coeur... Non pas juste monter et dire: «Eh bien, je–je–je crois plutôt cela. Je vais...» De tout leur coeur, ils ont simplement ouvert leur coeur, et c’est ce qui s’est passé.

            Et, oh! la la! je leur ai dit que je... ils... Certains parmi eux ont compris que j’aime la chasse. Et leur réserve est à la frontière, vous savez. Mais, oh! la la! ils... certains parmi eux m’ont demandé, disant: «Etes-vous un chasseur?»

            J’ai dit: «J’aime chasser.»

            Et–et ils allaient seller leurs chevaux là même pour m’amener chasser, là où je pouvais pratiquement attraper des dindons avec mes mains. Ils–ils avaient... Et beaucoup parmi eux ont renoncé à leurs superstitions et autres, et–et ont été sauvés. Et nous avons passé un bon moment là-bas. Et je dois y retourner d’ici quelques soirées. Oh! Je me demande simplement ce qui arrivera quand j’y serai cette fois-ci.

            Et beaucoup de toxicomanes, des consommateurs de stupéfiants et autres, tout s’est bien passé dans la réunion. Et nous en sommes reconnaissants. Et maintenant, Il veut être la même chose ici en Californie.

30        Il n’y a pas longtemps... Beaucoup parmi vous connaissent sans doute le capitaine Al Ferrar, le responsable du département de la Jeunesse sur le... J. Edgar Hoover, en charge de la jeunesse. Il était récemment en France. Il a été à l’une de mes réunions. Il me disait, il m’a amené à l’écart, à un endroit, et il me disait combien il avait cherché Dieu. Et il prend maintenant sa retraite, dans plus d’un an, et il aimerait m’accompagner dans mes réunions et...

            Et il me parlait, disant: «J’ai entendu votre sermon l’autre soir, Frère Branham, à propos de la façon dont–dont parfois les gens cherchent à ce que leurs enfants acquièrent une grande instruction, qu’ils apprennent la claquette et autres. Ils se préoccupent de ces choses. Mais quant à connaître Dieu...»

            Et il m’a indiqué sur la carte des Etats-Unis que certains de nos pires criminels venaient des groupes de gens les plus cultivés de la société. Ils deviennent si intelligents qu’ils pensent qu’ils peuvent dépasser la police en intelligence. Voyez?

31        Maintenant, suivez. Je préférerais que mon fils là-bas connaisse Jésus-Christ et le pardon des péchés, même s’il était si stupide qu’il ne connaissait pas son ABC. C’est vrai. Je–je préférerais qu’il fasse cela. C’est exact.

            Eh bien, je ne cherche pas à dire que vos enfants devraient être stupides et ignorants, ou ainsi de suite. Ce n’est pas ça. Mais, frère, l’instruction est l’un des plus grands obstacles que l’Evangile de Jésus-Christ ait jamais connu. Dans les séminaires, c’est la lecture, l’écriture et l’arithmétique. Certains parmi eux ne connaissent pas Dieu, pas plus qu’un Hottentot ne connaît un chevalier égyptien. Cela... Vous savez que c’est vrai.

            Et c’est–c’est bien d’être instruit. Je n’aimerais pas que vous soyez illettrés. Mais le problème est que vous accordez trop d’importance à cela et pas assez à Jésus. Voyez-vous? C’est–c’est ça. C’est de Lui que vous devriez parler.

            Et puis, quand on devient très intelligent, on dit: «Oh! la la! Docteur Untel sait plus que ça.» Peut-être oui. Caïphe aurait dû aussi connaître Jésus, n’est-ce pas, et les sacrificateurs de l’époque aussi. Mais ils ne Le connaissaient pas. Et c’est pareil aujourd’hui.

32        Eh bien, Il est ici, et Il vous aime tous. Et j’aimerais que vous soyez tous guéris. J’aimerais que chaque personne ici présente soit guérie ce soir. Et tout le long des lignes ici, vous qui n’avez pas de cartes de prière... vous qui avez ou qui n’avez pas de cartes de prière, j’aimerais que vous croyiez de tout votre coeur que Jésus-Christ va vous rétablir. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Effrayés. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

33        Jésus disait toujours: «N’ayez pas peur.» N’ayez pas peur. N’ayez pas peur. Ne faites pas cela. Si vous le faites, alors Dieu ne peut pas vous utiliser. Et si vous croyez réellement, alors Dieu peut vous utiliser. N’est-ce pas vrai? Maintenant, ayez foi en Dieu. Je crois que c’est ce que Jésus a dit: «Ayez foi en Dieu.»

            Maintenant, combien ont cru de tout leur coeur? Faites voir les mains. Là loin maintenant, là en haut. Eh bien, combien... Merci.

            Maintenant, combien parmi vous n’ont jamais été dans nos réunions auparavant, l’une de mes réunions? Faites voir les mains par ici. Oh! la la! Chaque soir, il y a des centaines qui n’ont jamais été dans des réunions.

34        Eh bien, pour le... quelques soirées, nous essayons de tenir des réunions où nous faisons juste venir les gens et nous prions pour eux, comme les autres frères le font. Ce n’est pas exactement le–le–le don que Dieu m’a donné d’exercer. Il voulait que je prie pour les gens. Mais ces signes et prodiges devaient être accomplis devant les gens, afin qu’ils voient et qu’ils croient.

            Et maintenant, Jésus a dit dans les Ecritures ici... Eh bien, quand Il était ici sur terre, Il ne prétendait pas être un Guérisseur. Combien savent que c’est la vérité? Jésus n’était pas un Guérisseur divin. Et si Jésus n’a pas prétendu être un Guérisseur divin, à combien plus forte raison ne devrions-nous pas prétendre être un guérisseur divin? Jésus disait: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père qui demeure en Moi, c’est Lui qui fait les oeuvres.» Est-ce vrai? Maintenant, combien savent que c’est la vérité? Très bien. Saint Jean 14.

35        Très bien. Maintenant, Jésus... Tout ce qu’Il pouvait faire... Eh bien, dans Saint Jean 5.19, Il passait à côté d’une piscine où des centaines et des centaines de gens étaient couchées, des estropiés, des boiteux, des infirmes, des aveugles, des paralytiques, attendant que les eaux soient agitées. Est-ce vrai? Et Il est passé, Il a guéri un seul homme qui avait une affection (peut-être le diabète sucré, peut-être la tuberculose) depuis trente-huit ans. Et Il a dit: «Veux-tu être guéri?»

            Il a dit: «Je n’ai personne pour me jeter dans l’eau. Quand j’y vais, quelqu’un en meilleur état que moi me dépasse. Et je n’ai personne pour me jeter dans l’eau.»

            Voici ce qu’Il a dit, Il a dit: «Lève-toi, prends ton lit et marche.» Est-ce vrai?

36        Eh bien, les Juifs L’ont interrogé. Il a dit: «En vérité, en vérité...» Ecoutez attentivement maintenant. Accordez-moi votre attention: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père ; et tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement. Car ce que fait le Père, Il le montre au Fils.» Est-ce vrai? Saint Jean 5.19. Quelque chose de ce genre. Je ne sais pas si je le dis textuellement, mais c’est ce que cela voulait dire, que: «Ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement.»

            Eh bien, Jésus a alors clairement déclaré qu’Il ne pouvait rien faire de Lui-même, mais que premièrement Il voyait le Père Lui montrer ce que le Père avait fait. Est-ce vrai? Et ensuite, Il allait faire ce que le Père Lui avait montré de faire. Est-ce exact? Est-ce que j’ai rendu cela clair?

37        Maintenant, un homme est allé vers Lui, je paraphrase. Dans le texte que j’ai lu ce soir, ou le passage de l’Ecriture, Il était assis à côté du puits. Et avez-vous remarqué qu’Il était à une grande distance du chemin vers la Samarie? Il aurait pu contourner la montagne ici vers Jéricho. Mais il Lui fallait passer par la Samarie. Je me demande pourquoi. Avez-vous donc remarqué? Ça faisait des kilomètres pour monter là. Mais Il est passé par la Samarie.

            Et c’était vers midi, Il avait donc renvoyé Ses disciples acheter à manger. Croyez-vous qu’Il savait ce qui allait arriver? Certainement qu’Il le savait.

            Et une femme est sortie, et alors la femme... Il s’est mis à lui parler. Et Il a finalement parlé à la femme, Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Et Il... elle a dit: «Je n’en ai pas.»

            Et Il a dit: «Tu en as eu cinq, et celui que tu as maintenant n’est pas ton mari.» Est-ce vrai?

            Elle a dit: «Je vois que Tu es Prophète.»

38        Il a parlé à Nathanaël, disant: «Avant que Philippe t’appelât, tu étais sous l’arbre.»

            Et Nathanaël a dit: «Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël.»

            Il savait là où les deux mulets étaient attachés à la bifurcation des deux chemins (Est-ce vrai?), là où les deux voies se rencontraient...

            Il savait où se trouvait un homme qui portait une cruche, ou... dans la rue, celui qui avait apprêté la chambre haute pour le souper et tout.

            Il savait où se trouvait le poisson qui avait une pièce d’argent dans sa bouche. Est-ce vrai?

39        Maintenant, Saint Jean, chapitre 14, verset 12, quand Il partait, Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Vous en ferez de plus grandes, car Je m’en vais au Père.» Pas de plus grandes en qualité, mais de plus grandes en quantité. Car personne ne peut faire plus que ce qu’Il avait fait. Il avait arrêté le cours de la nature... Oh! Il a simplement tout fait. Et aucun homme ne pouvait même ressusciter son propre corps de la tombe, ou plutôt Dieu L’a ressuscité de la tombe, Il a accompli de grandes choses. Il a ressuscité les morts.

            Mais maintenant, Il a dit qu’une Eglise apparaîtra dans les derniers jours. Il y aura la pluie de la première et de l’arrière-saison qui tomberont ensemble dans les derniers jours. Je crois que nous vivons en ces jours-là.

40        Et je suis quelqu’un né hors saison pour vous, frères pentecôtistes. Je n’ai grandi dans aucune église, pas du tout. Quand j’étais un petit garçon, cet Ange, cette Lumière qui est venue au-dessus de moi... Et là, au cours de ma vie, je ne savais pas ce que Cela était jusqu’au moment où j’ai reçu le baptême du Saint-Esprit, Il m’a appelé à être l’un d’entre vous, à être avec vous. Et je remercie Dieu pour ce privilège, de–de m’avoir donné cette opportunité.

            Eh bien, je suis ici, et je ne sais pas quand... Peut-être que je ne serai jamais en mesure de revenir. Mais j’espère le faire. Mais je suis ici, cherchant à vous dire que Dieu a accompli ces choses pour confirmer que ce que je vous dis est la vérité.

            Maintenant, ce n’est pas parce que moi, je suis ici. Quand je serai parti d’ici, Jésus sera ici tout autant qu’Il est ici pendant que je suis ici, ou que n’importe qui d’autre sera ici. Il sera ici pour guérir les malades et faire exactement les mêmes choses qu’Il peut faire n’importe quand. Et s’Il se tenait ici ce soir, portant mon costume, mes souliers, Il ne pourrait pas faire plus pour vous que ce qu’Il fait maintenant même. Croyez-vous cela?

41        Eh bien, Il a dit: «J’ai un plus grand témoignage que celui de Jean, car Mon Père rend témoignage de Moi. Est-ce vrai? Eh bien, le Père rendait témoignage que–que le témoignage de Jésus était vrai. Eh bien, le Père rendra témoignage, et Il a rendu témoignage que je dis la vérité au sujet de Jésus. Croyez-vous cela?

            Eh bien, que Dieu vous bénisse. Maintenant, il se fait tard, et j’aimerais former la ligne de prière, et j’aimerais avoir toute votre attention.

            Notre Père céleste sait tout dans cette salle. Il connaît chacun de vous. Si jamais vous avez eu une bouchée à manger dans cette vie, c’est notre Père céleste qui vous l’a donnée. Si jamais vous avez respiré dans vos poumons, c’est notre Père céleste qui a produit cet air que vous respirez. Vous Lui devez tout. Et Il peut vous faire connaître ce que vous avez fait au cours de votre vie. Mais quant à vous guérir maintenant... Il peut faire cela par moi. Mais quant à vous guérir, Il ne peut le faire que par Christ, Son Fils.

42        Maintenant, je vais former une ligne de prière et commencer à appeler quelques-uns à la fois, prier pour autant de gens que possible ce soir. Et je vais vous demander de m’accorder une faveur. Je vais me mettre à prier dans quelques instants. Et pendant que je prie... J’ai parlé donc moi-même tout à l’heure, sous l’onction, il y a de cela quelques instants ; j’ai éprouvé de l’amour pour vous et une pression est venue de vous, alors que moi, je cherche à me détourner de vous, pour que je sois un peu plus oint par rapport à maintenant, quand je–quand je formerai la ligne. Et j’aimerais que vous, et vous qui êtes debout...

            Je suis désolé que vous soyez debout, et qu’il y en ait beaucoup dehors. Quand nous... je suis arrivé il y a quelques instants pour prendre mon jeune garçon, il y avait des gens qui quittaient l’église.

43        Eh bien, j’espère qu’après que j’aurai effectué ce voyage et que je serai revenu d’outre-mer, la prochaine fois que je viendrai dans ces villes, n’importe où, je ne viendrai pas simplement pour rester un ou deux jours. J’aimerais venir pour pouvoir rester jusqu’à ce que j’aurai fini, jusqu’à ce que Dieu aura fini, et–et alors... Merci. J’aimerais rester jusqu’à ce que ce sera terminé. Et alors, je n’aurai pas de voyage, je retournerai alors chez moi attendre que notre Père céleste m’indique un autre endroit où aller. Voyez?

            Et puis, il y en a beaucoup sur le champ de travail, beaucoup de frères qui prient pour les malades. Et je souhaite que de cette réunion il en sorte vingt-cinq qui prieront pour les malades partout. Laissez-les aller partout.

            Mais il y en a encore beaucoup dans ces réunions principales au point que nous nous faisons obstacle les uns les autres. Et je sens que je dois me replier et aller en Afrique, à des endroits comme cela, où il n’y en a pas un seul, là-bas. Et les gens m’aident à y aller.

44        Inclinons donc la tête maintenant pour la prière. Père, je–j’ai pratiquement essayé de gagner du temps ce soir, sachant que je redoute quitter ces gens. Ils ont été gentils envers moi, et je les aime. Je regarde là dans l’assistance et je vois de temps en temps qu’ils... pendant que je parle, qu’ils essuient les larmes de leurs yeux quand je dis que je ne sais pas si je pourrais encore revenir, et entendre dire: «Si je peux revenir», et je les entends applaudir, montrant qu’ils m’aiment... Et c’est difficile, Seigneur. Je–je sais ce que cela représentait pour Toi, et combien Tu as aimé les Tiens jusqu’à la fin.

            Ô Dieu, donne-nous à tous de l’amour les uns pour les autres jusqu’à la fin, que nous ayons de l’amour et de la confiance les uns envers les autres, et envers Toi, jusqu’à ce que Tu viennes nous prendre. Et alors, puissions-nous vivre comme des voisins, les uns à côté des autres au Ciel, là où nous pourrons simplement aller la dernière nuit du–du grand Souper, quand nous aurons terminé notre pèlerinage sur terre...

45        Et Tu as dit: «Je ne boirai plus du fruit de la vigne jusqu’à ce que J’en mange et que J’en boive de nouveau avec vous dans le Royaume de Mon Père.» Et quand nous arriverons là à ce grand Souper des Noces, nous nous regarderons par-dessus la table, ô Dieu, nous nous serrerons un peu, discrètement, la main pendant que les larmes de joie couleront sur nos joues. Le Roi sortira dans Sa beauté et essuiera alors toutes les larmes de nos yeux et dira: «Ne pleurez pas. Tout est terminé maintenant. Il n’y aura plus de campagnes de guérison ici ; il n’y aura plus de nuits agitées et fatigantes, il n’y aura plus de fauteuils roulants, plus de tombes, plus de maladies.» Oh! Pour ce grand jour! Et alors Tu diras: «Entrez dans les joies du Seigneur.» Oh! Je désire ardemment entendre cela en ce jour-là, Père.

            Et maintenant, pendant que nous sommes ici ensemble, nous tous, éprouvant le même ardent désir, fais de nous des intendants fidèles. Puissions-nous modeler nos vies, en nous contrôlant nous-mêmes, de telle manière que nous saurons, avec l’aide du Saint-Esprit, avoir pleinement confiance que Jésus dira en ce jour-là: «C’est bien, Mon bon et fidèle serviteur.».

46        Puissions-nous être justes, honnêtes et fidèles. Puissions-nous être le genre de chrétiens qui seraient crédibles dans n’importe quelle communauté. Accorde-le, Seigneur. Puissions-nous être des hommes et des femmes tels que Tu peux placer Tes mains dessus et dire: «Mon serviteur... Voici, celui-ci est Mon serviteur en qui Je prends plaisir. Je peux l’envoyer ; il ira. Il sait comment parler et quand parler. Je peux être avec lui.» Ô Père, accorde cette bénédiction à chacun de nous.

            Maintenant, comme Ton humble serviteur doit faire sa part maintenant en apportant l’évidence présente et vivante de Jésus-Christ ressuscité, qui est ressuscité il y a quelque mille neuf cents ans, Père, que l’Ange de Dieu, Celui qui était venu vers moi quand j’étais un petit garçon, et qui est avec moi toute ma vie, qu’il vienne ce soir oindre Ton serviteur d’une si grande puissance que cette assistance sera éclairée de Son grand et auguste Etre. Puisse Cela balayer la salle jusqu’à ce que les gens ne voient plus leurs maladies et qu’ils entrent dans des sphères où ils pourront voir Jésus et recevoir Sa Parole. Que tout le monde soit guéri. Accorde-le, Seigneur. Nous Te rendrons gloire et louange, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

47        Maintenant, j’ai demandé ce soir... La lumière est d’un vif éclat... Je–je priais, ô Dieu.

            Combien ont vu la photo de l’Ange du Seigneur là derrière? Levez simplement les mains. Je n’en ai pas ici une de visible. Je souhaiterais en avoir d’autres, mais nous n’en avons pas.

            Cela a été scientifiquement examiné. Je–je prie Dieu de Le rendre visible devant cette assistance ce soir. C’est pourquoi j’ai fait éteindre cette lampe-là. Par exemple, s’Il vient, vous verrez qu’il n’y a pas d’ombre. C’est Lui (Voyez-vous?), qu’Il est ici. Et j’aimerais tellement qu’Il fasse cela. Et si j’ai mal prié, que Dieu me pardonne, car Il fera selon Sa volonté.

48        Mais j’ai vu des fois où toute l’assistance, des milliers de gens, dix mille personnes à la fois, L’ont vu descendre directement à quatorze heures et se tenir au-dessus de là où j’étais, et les journaux ont publié cela partout.

            Et juste là à Houston, alors que mon critiqueur, cet homme se tenait là, se moquant, et tout (Il avait loué le service d’un homme pour venir lui prendre des photos, et il lui avait tiré six photos.), et alors, il pouvait montrer aux gens ce à quoi il ressemblait pendant qu’il tenait le débat avec mon organisateur. Oh! la la!

            A ce moment-là même, Dieu est descendu. Et quand il a tiré ma photo, tous les autres clichés de cet homme étaient vides, chacun d’eux. Et ici, quand celle-ci a été tirée, l’Ange de Dieu se tenait là.

            On l’a envoyée aux laboratoires à Washington, D.C., et on y a placé le droit d’auteur, et c’est passé par les tests les meilleurs qui puissent exister parmi les meilleurs... George J. Lacy, l’homme le plus expérimenté en matière de recherche, là, qu’on a en Amérique, il a gardé cela pendant des jours et il a fait sortir cela. Sa conclusion est là dans le rapport. La première fois dans toute l’histoire du monde qu’un Etre surnaturel ait jamais été photographié, cela est là.

49        Si jamais je ne reviens donc ici, le témoignage que j’ai donné a été confirmé dans l’Eglise, dans le monde scientifique, et j’ai dit la vérité au sujet du Dieu Tout-Puissant. C’est vrai. Que Dieu vous bénisse.

50        Fiston, où es-tu? Très bien. Quelle–quelle lettre était-ce, Z? J’aimerais simplement les aligner. On est terriblement bondé. Nous allons commencer dès le début Z-51 pour les cinq premiers. Ensuite, nous prendrons cinq autres, cinq autres, cinq autres, cinq autres, on ira continuellement ainsi. Z-51 à 55. Que ces cinq premiers se lèvent: ensuite, nous ferons venir cinq autres numéros, et puis un autre numéro, et on continuera comme cela.

            Eh bien, j’aimerais que vous tous, vous soyez respectueux. Et je demande que l’organiste veuille bien jouer l’un de mes cantiques favoris ce soir, si elle le veut. J’aimerais que vous le sachiez: J’aime l’orgue. Et j’aimerais qu’elle joue très bas Reste avec moi pendant que je prie. Et j’aimerais que vous tous, vous soyez dans l’Esprit de Dieu. Et j’espère que Dieu enverra Son Ange, de façon visible, ce soir, devant chacun de vous. Et quand vous Le verrez, et si vous Le voyez effectivement, j’espère que chacun de vous se lèvera et rendra gloire à Dieu.

51        Et vous m’avez vu. Je Le représente simplement, juste comme la piscine d’eau à Béthesda. Cette piscine-là n’était pas le don de Dieu. C’était juste quelque chose sur lequel l’Ange venait. Est-ce vrai? Ce n’était pas le don de Dieu ; moi non plus, je ne suis pas le don de Dieu. Ceci...

            Oui. Quelqu’un là a dit, il affirme qu’ils ont déjà vu Cela. Amen. Disons: «Gloire au Seigneur!» [Une soeur parle en langues.–N.D.E.] Ô Dieu. [Un frère donne l’interprétation.–N.D.E.] [Une soeur donne un témoignage–N.D.E.] Oui, madame. Que Dieu vous bénisse.

            Maintenant, amis, ce sont des témoignages non sollicités. Je n’ai rien... Je n’en sais rien. Je n’ai jamais dit cela. Et ceci, comme je le comprends bien, je suis nouveau parmi les pentecôtistes. Mais si je comprends cela, c’est le Saint-Esprit qui parle et qui interprète.

52        Maintenant, je vais être honnête. Je critiquais cela une fois. Je–je ne critiquais pas aux oreilles des gens. Mais dans mon coeur, je n’arrivais pas à croire cela. Et la première fois, après ma rencontre avec les pentecôtistes, j’étais à San Antonio, au Texas. Je traversais l’estrade, ma première soirée, et quelqu’un là au balcon a parlé en langues comme s’il faisait feu avec une mitraillette. Un autre en a donné l’interprétation par ici. Cet homme avait interprété disant exactement ce que l’Ange avait dit quand Il était venu vers moi douze ans auparavant, quand je me tenais dans la rivière Ohio. Et j’ai dit: «Me connaissez-vous, monsieur?»

            Il a dit: «Non, monsieur.»

            J’ai dit: «Connaissez-vous cet homme-là?»

            Il a dit: «Non, monsieur.» Cela m’a convaincu.

53        Et là au nord, à Santa Rosa, il n’y a pas longtemps (Ce prédicateur est peut-être présent maintenant), un samedi soir, on tenait une réunion dans une salle de théâtre. Nous avions beaucoup de monde, à peu près comme ici. Et on essayait de retirer un homme de la ligne de prière. Et il continuait à dire: «Je ne cherche pas à être dans la ligne de prière ; je cherche à voir ce ministre.»

            Et j’ai dit: «Laissez-le tranquille», comme ceci. «Que voulez-vous, monsieur?»

            Et il a dit: «Comment épelez-vous votre nom?»

            Et j’ai dit: «B-r-a-n-h-a-m.»

            Il a dit: «Maman, c’est ça. C’est ça.» Et une dame s’est avancée.

54        Ils avaient un vieux papier jauni. Ils étaient des évangélistes, membres des Assemblées de Dieu. Et vingt-deux ans, c’était environ... il y a de cela quatre ans, et cela fera environ vingt-six ans maintenant. Vingt-deux ans avant cela, ils ont dit que l’un avait un don de parler en langues, l’autre avait le don d’interprétation. Et quand ils étaient... Ils ont dit qu’ils étaient en prière, vingt-deux ans auparavant, et l’interprétation avait été donnée. Et c’était l’un de leurs messages qu’ils avaient écrit, disant: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, dans les derniers jours, avant la Venue du Seigneur, J’enverrai Mon serviteur, William Branham, sur la Côte Ouest avec...» Et cela était écrit sur un vieux papier.

            Et puis, un soir, je sortais de Seattle et un homme se tenait là. Il avait un livre sous le bras. Il continuait à me dire: «Frère Branham, vous êtes dans la mauvaise église.»

            Et je ne savais pas de quoi il parlait. Il a mis le livre sous mon bras. Cela était intitulé: La Parole de Dieu de Mormon. Je ne sais pas ce que c’était. C’était un... c’est l’un de leurs prophètes, Les Saints des derniers jours, un groupe d’entre eux, ils affirment voir les néophytes. Et–et jadis, une centaine et... long–long... depuis combien de temps c’était, cela... sur une page là... J’ai le livre dans ma bibliothèque. Il avait été prophétisé, par leur prophète, et il a dit que, dans les derniers jours, l’Allemagne aura un–un isme appelé nazis.» Et cela continuait, disant: «En ce jour-là, W-i-l-l-i-a-m, William Branham sera appelé et mis de côté dans l’humilité pour le service pour lequel Je l’ai appelé.» C’est vrai. Ecrit des années...

            Amis, je peux me tenir ici pendant des heures à raconter ce qu’Il a déjà fait. Et, s’il vous plaît, ne pensez pas que je cherche à dire...

55        Ceci... Voici ce que je suis... que Jésus-Christ est parmi nous maintenant. Il est ici pour guérir tout le monde. Et, s’il vous plaît, ceux-ci sont des pentecôtistes, vos propres membres qui témoignent ici et disent ces choses, ce par quoi vous avez reçu le Saint-Esprit. Ayez foi en Dieu. Ayez foi. C’est maintenant l’heure de votre guérison. Croyez maintenant de tout votre coeur.

            Z. Est-ce à 51 que vous vous êtes arrêté? Z-51 à 5..., 51, 52, 53, 54, 55. Très bien...?... Très bien. Bon. Eh bien, et puis, après cela, nous allons appeler un autre numéro quelque part. Et puis, nous allons simplement continuer jusqu’à ce que nous... Allez-vous rester avec moi juste un petit instant? Allez-vous le faire et prier? Et vous, aux murs...

56        Eh bien, voici ce que je vais vous demander: Si quelque chose arrive dans la ligne, et que cela–cela commence... Si–si un fou, ou un épileptique monte à l’estrade... Parfois, quand ils arrivent, ils se comportent horriblement. Si cela semble me quitter et que vous m’entendiez dire: «Inclinez la tête», faites-le aussitôt, car cela va d’une personne à une autre. C’est vrai. J’ai vu vingt personnes tomber du coup à la suite de cela. C’est... Cela–cela se fera.

            Vous rappelez-vous, dans la Bible, qu’un homme était allé là? Il pensait avoir un don de guérison, parce qu’il avait vu Paul chasser des démons. Actes 19. Et il a fait venir un homme qui piquait des crises d’épilepsie. Il a dit: «Je t’adjure, par Jésus que Paul prêche, sors.»

            Le démon a dit: «Je connais Jésus, et je connais Paul ; mais toi, qui es-tu?» Voyez? Et il s’est rué là, il est allé, et l’homme a sauté dessus. Il a déshabillé ces jeunes gens, et ils ont fui dans les rues, nus. C’est vrai, n’est-ce pas? Vous devez donc faire attention. Eh bien, ça va de...

57        Et une fois, Jésus chassa des démons d’un homme de Gadara, et ils sont entrés dans un troupeau de pourceaux. Est-ce vrai? Les démons sont impuissants tant qu’ils ne sont pas dans un corps. Ils ont donc imploré la miséricorde, même pour entrer dans les pourceaux. En effet, Jésus ne leur aurait pas permis d’aller dans un corps humain.

            Ainsi donc, si vous manquez de respect, que vous gardiez votre tête relevée, ou que vous soyez un critiqueur, rappelez-vous ceci, je n’en serai pas responsable. Mais si quelque chose arrive et que vous êtes respectueux, que vous gardez votre tête inclinée, j’en serai responsable. Vous pouvez venir ici, et je peux prendre... Dieu guérira cette personne-là. Mais si vous manquez de respect, vous pouvez venir et cela ne partira pas de toute façon. Voyez? Ainsi, vous donc...

            J’ai vu cela agir à plusieurs reprises. Combien ont été dans mes réunions et ont vu pareilles choses arriver? Faites voir les mains. Très bien, vous y êtes. Il y a... C’est pour que vous soyez donc absolument prudents.

            Maintenant, soyez donc respectueux et priez, et croyez que Dieu va guérir. Maintenant, j’aimerais qu’ils viennent un à la fois, jusqu’à ce que je serai très fatigué. Et alors, si je suis fatigué, peut-être que je me trouverai un fauteuil pour m’asseoir. Et maintenant, vous tous, soyez respectueux et dans la prière. Allez-vous me promettre cela maintenant? Vous me promettez maintenant que vous serez dans la prière et très respectueux? Très bien. Fiston, fais venir la dame.

58        Père, nous Te remercions pour Tes miséricordes, pour tout ce que Tu as fait pour nous. Nous T’aimons d’un amour sincère dans nos coeurs. Et maintenant, je pense à ce glorieux matin de la résurrection après qu’Il était allé de ce qui est mortel à l’immortalité. Il est ressuscité de la tombe. Ses pauvres petits disciples étaient dispersés comme des brebis sans berger... Près de la tombe se tenait Sa précieuse mère, en train de pleurer. Le jour se levait, les colombes voltigeaient en roucoulant. Il a dit: «Marie.» Elle L’a reconnu.

            Et, Père, Tu as élevé le Seigneur ressuscité parmi nous ce soir. Que les signes et les prodiges que Tu as promis soient accomplis ce soir. Et, s’il Te plaît, Père bien-aimé, cache Ton humble et pauvre serviteur maintenant même. Et s’il y a ici quelqu’un qui est juste un peu critiqueur, comme je sens qu’il y en a, je Te prie de pardonner cette personne-là, Seigneur. Que quelque chose soit fait qui l’amènera à s’abandonner à Toi maintenant même, au Nom de Ton Fils Jésus-Christ. Amen.

59        Très bien. Est-ce vous la dame pour qui on doit prier? Maintenant, je n’aimerais pas du tout être excité ce soir. J’aimerais être dans un état tel que l’onction descendra, et je serai en mesure de connaître et de parler à mon peuple.

            Et ma mère, vous êtes–vous êtes ici pour être guérie, et vous voulez être bien portante. Et vous avez besoin d’être encouragée dans votre foi, et que quelque chose vous aide. Et je vais essayer, si je le peux ce soir, de juste parler aux gens pour ne pas les toucher, jusqu’à ce que je voie cela en vision, ou autrement, car je vois quelque... Il y en a beaucoup qui prétendent avoir la puissance de guérir. Ils ont dit que la guérison était dans vos mains et tout. Vous savez, c’est–c’est faux.

60        Eh bien, j’aimerais simplement que vous vous détendiez, et que vous sentiez simplement que vous êtes près de notre Seigneur. Et je sens que je suis près de notre Seigneur, et je sais qu’Il est ici. Et quand Il s’approche, eh bien, Il va parler et–et dire ce qui–ce qui ne va pas, et tout à ce sujet. Et si... Croyez-vous maintenant de tout votre coeur? Et acceptez-vous que c’est la vérité? Vous acceptez. Soeur, il y a près de vous maintenant des ténèbres. Et vous souffrez du coeur. N’est-ce pas vrai? Et vous avez souffert d’une–d’une autre maladie ; vous êtes extrêmement nerveuse aussi, n’est-ce pas, soeur? Oui, vous l’êtes. Vous avez... Vous devenez vite faible, très vite, des crises d’affaiblissement, on dirait. Je le vois. Mais vous avez beaucoup prié pour ça, pour en être guérie. N’est-ce pas vrai?

            Qu’en pensez-vous maintenant? Eh bien, avez-vous entendu cette voix qui parlait? C’était ma voix. Mais ce n’était pas moi qui l’exprimais ; c’était Quelque Chose d’autre. J’ai entendu cela.

61        Eh bien, était-ce la vérité, ce que je vous ai dit? Est-ce la vérité? Il n’y a aucun moyen au monde pour moi de le savoir, si ce n’est par Dieu. Est-ce vrai? Maintenant, m’acceptez-vous comme Son serviteur? Très bien. Allez-vous ob–obéir et faire donc ce que je vous dis de faire par le Seigneur? S’Il me fait savoir ce qui a été, Il me fera savoir ce qui sera. Maintenant, rentrez chez vous, et ne faites même pas mention de ce que vous souffriez du coeur, et vous allez vous rétablir. Que Dieu vous bénisse, ma soeur. Maintenant, allez. Et que le Seigneur Jésus vous bénisse et vous rétablisse.

            Très bien. Tout le monde–tout le monde, soyez respectueux et croyez de tout votre coeur.

62        Oui, soeur, vous feriez tout aussi mieux de marcher. Vous êtes déjà guérie avant que vous...?... Que Dieu vous bénisse, soeur.

            C’est une vraie foi. C’est ainsi qu’il faut croire. Amen. Tout le monde, soyez aussi respectueux que possible maintenant. Maintenant, Il est près. Il est ici pour guérir, pour faire...

            Maintenant, regardez, que la dame... Faites-la venir. Voyez? Faites-la venir. Que pensez-vous, soeur? N’est-Il pas aimable et merveilleux? L’aimez-vous? Vous vous affaiblissez aussi, n’est-ce pas, soeur? Vous souffrez, la faiblesse. Vous avez un coeur palpitant qui vous a dérangé. N’est-ce pas vrai? Et je vais vous dire quelque chose que vous ne saviez peut-être pas, afin que vous voyiez si c’est vrai ou pas. Vous connaissez des moments où vous vous affaiblissiez beaucoup aussi, n’est-ce pas? Et tard l’après-midi, n’est-ce pas vrai? Et la nuit, vous êtes plutôt agité, n’est-ce pas vrai? C’est la tuberculose, soeur. Je ne savais pas si vous le saviez ou pas, mais c’est un...S’il y a un médecin près, il sait que ce sont les symptômes exacts de la tuberculose. Venez ici juste un instant.

63        Notre Père céleste, notre jeune soeur souffre. Elle est nerveuse et bouleversée. Mais Tu es ici, tendre, pour la bénir et la rétablir. Et je Te prie de le lui accorder, Bien-Aimé Père céleste. Guéris-la maintenant et rétablis-la, alors que je la bénis au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen.

            Maintenant, regardez ici, soeur. Est-ce que vous... Vous croyez, n’est-ce pas? Et vous croyez que... Vous savez que je vous ai dit la vérité. Est-ce vrai? Je n’avais pas... Je ne prends pas trop de temps, car j’en ai beaucoup qui doivent passer. Voyez-vous? Maintenant, voici ce que j’aimerais que vous fassiez: Partez et soyez heureuse. Essayez de vous reposer autant que possible, car vos nerfs travaillent beaucoup pour ça. Et vous allez vous rétablir. Vous allez en guérir. Que Dieu vous bénisse, soeur.

            Disons: «Gloire au Seigneur», tout le monde. Très bien. Elle, je ne pense pas qu’elle savait cela, mais c’est vrai. Très bien.

64        Faites venir la dame, venez. Maintenant, tout le monde, soyez aussi respectueux que possible maintenant. Notre soeur, vous... Croyez-vous que–que je suis véridique et sincère sur ces choses? Vous croyez. Oui, je vois que vous êtes une bonne croyante. Je dis cela afin de pouvoir entrer en contact ou avoir un entretien avec vous. Voyez? Juste vous parler. Et je ne vous connais pas. Si je ne vous ai jamais vue, c’est que je ne connais pas cela. Mais alors, j’essaie simplement de... assez jusqu’à ce que je voie ce qui cloche chez vous, et puis... et demander à Dieu de vous aider. Et avec cela, je dois simplement continuer de parler jusqu’à ce que Lui prenne la relève. Cela est proche.

            Maintenant, vous êtes conscient que Quelque Chose est près de vous maintenant. N’est-ce pas vrai? Et rien que durant les quelques derniers moments, ou quelques secondes, vous commencez à sentir une sensation de crainte sacrée. N’est-ce pas vrai? Eh bien, c’est votre foi. Cela est entré en contact avec l’Ange du Seigneur, cela Le tire sur moi. Voyez? Maintenant, me croyez-vous? Vous aimeriez vous débarrasser de cette tumeur-là, n’est-ce pas? Vous aimeriez cela, n’est-ce pas? Hein? Croyez-vous que si je le Lui demande, Il le fera? Venez, soeur.

            Notre Père céleste, je Te prie d’être miséricordieux envers notre soeur et de la bénir, qu’elle soit guérie ce soir au Nom de Jésus-Christ. Amen. Vous aviez aussi d’autres choses qui clochaient. Mais vous êtes maintenant rétablie, si vous voulez le savoir. Que Dieu vous bénisse.

65        Disons: «Gloire au Seigneur!» Maintenant, j’ai senti ce même esprit se mouvoir encore juste en ce moment-là. Eh bien, quelqu’un a été guéri d’une tumeur au même moment. Eh bien, juste un instant. Je–je–je...

            Amis, je ne suis pas un fanatique. Non, non. Eh bien, si je peux trouver où il est. Eh bien, tout le monde, soyez simplement respectueux, et laissez-moi juste observer l’assistance jusqu’à ce que je voie où cela était, là où le Saint-Esprit se meut. Et tout à l’heure, j’ai su que cela avait quitté, mais je... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Beaucoup tirent ce soir. J’ai confiance en Dieu que je... Il ne m’a jamais laissé commettre une faute là-dessus jusqu’à présent. Et si je...Il y en a beaucoup qui tirent. Et c’est un peu difficile quand mes patients viennent.

66        Et est-ce–est-ce que vous attendez votre prochain... Oh! Ce sont eux tous. Très bien. 50... C’était quoi? 55? Très bien. 56, 57, 58, 59 et 60 ; faites-les passer. Y-56... 55 à ou que... C’était Z. Pardonne-moi, fils. Je...

            Quand l’onction est là, je surveille vraiment chaque petit mouvement, car je ne sais pas exactement ce qui se passe. Je dois surveiller et être bien prêt quand cela arrive.

            Pendant que nous attendons, que quelqu’un ici dans l’assistance regarde et croie. Ayez foi en Dieu et vivez.

            Je vois une dame assise là, avec des mains comme ceci, en train de prier de toutes–de toutes les forces qu’elle a pour prier. Vous me croyez, mère? Croyez-vous que Dieu me révélera ici ce qui cloche chez vous et vos maladies? Je vais vous dire ce que j’aimerais que vous fassiez dans les quelques prochaines minutes, j’aimerais que vous vous teniez simplement là et que vous priiez en disant: «Bien-Aimé Jésus...» Peut-être que vous n’avez pas de carte de prière ni rien. Mais j’aimerais simplement que vous disiez: «Bien-Aimé Jésus, je crois de tout mon coeur que notre frère a dit la vérité. Et ce que je sens maintenant, c’est le Saint-Esprit qui se meut.» Allez-vous croire cela? Tenez-vous debout juste une minute jusqu’à ce que je puisse vous distinguer des autres.

67        Il y a une grande foi qui vient là. Elle est très malade. Eh bien, cette dame ici, vous voyez, elle n’a ni carte de prière ni rien. Là dehors, il se tient quelqu’un qui pense que c’est de la télépathie mentale. Vous n’avez pas... Nous n’avons pas de contact.

            Voulez-vous être guérie, soeur? M’acceptez-vous comme prophète de Dieu? De tout votre coeur? Votre maladie de coeur vous a quittée, soeur. Maintenant, vous pouvez rentrer chez vous à la maison et être bien portante. Que Dieu vous bénisse. Vous allez vous rétablir. C’est ce qui n’allait pas chez vous, n’est-ce pas? Allez de l’avant. Vous pouvez être bien portante, être rétablie.

            Vous dites quoi? D’accord. D’accord.

            Que pensez-vous, soeur, vous assise à côté d’elle? Vous êtes déçue, n’est-ce pas? En effet, vous n’avez pas reçu de carte de prière. N’est-ce pas vrai? Mais je vois qu’il y a quelque chose qui cloche chez vous. Vous êtes sur le point de subir une intervention chirurgicale, jeune fille. Vous le saviez, n’est-ce pas? Tenez-vous debout juste une minute. J’ai vu un homme se déplacer devant vous en manteau blanc. Regardez dans cette direction, vers moi. M’acceptez-vous comme prophète de Dieu? Vous souffriez d’une tumeur, n’est-ce pas? Vous n’avez pas besoin de cette intervention chirurgicale maintenant. Votre foi vous a sauvée...?...

68        Très bien, Billy. Faites venir la dame. Respectueux, tout le monde, soyez respectueux. Croyez de tout votre coeur. Oh! Ce qu’Il peut faire pour vous maintenant. Très bien. Que tout le monde soit aussi respectueux que possible maintenant.

            Bonsoir, madame. Venez directement dans cette direction, s’il vous plaît. J’aimerais juste être près de vous. Je cherche à rester conscient d’être près de ce microphone afin que, quand Il se mettra à parler (je ne sais à quel point ma voix portera haut), afin que je le sache. Voyez, vous avez un regard très direct, madame. Croyez-vous au Seigneur Jésus de tout votre coeur? Croyez-vous au Saint-Esprit? Me croyez-vous en tant que Son serviteur? Vous croyez. Je–je crois que vous me dites la vérité. Et là, je vois votre problème. Vous souffrez de l’estomac, n’est-ce pas? N’est-ce pas vrai? C’est une–une maladie de nerfs qui a fait que ce trouble d’estomac se manifeste. C’est un ulcère. C’est juste au fond de l’estomac. Vous avez des brûlures et cela rend votre estomac aigre et tout ; ça le rend un peu désagréable. N’est-ce pas vrai? Et parfois, ça étouffe, et en vous couchant, cela peut amener votre coeur à palpiter, car c’est... N’est-ce pas vrai? Parfois, vous vous demandez si ce n’était pas la maladie du coeur, mais ce n’est pas ça. Je ne suis pas en train de lire vos pensées. Je vous dis ce qu’est la vérité. Est-ce vrai? Je vous vois vous lever parfois du lit, vous savez, et... comme cela. Maintenant, croyez-vous que Dieu vous rétablira? Laissez-moi vous tenir la main.

            Notre Père céleste, Tu as dit: «Tout ce que vous délierez sur la terre sera délié au Ciel ; ce que vous lierez sur la terre sera lié au Ciel.» Je Te demande d’être miséricordieux envers notre soeur et de la délivrer de ce trouble d’estomac ce soir ; et puisse-t-elle s’en aller, rétablie. Je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            [La soeur parle.–N.D.E.] Voyez, en ce moment-ci, vous sentez... afin que vous le sachiez. Pendant que je regardais en vision, il y a beaucoup de choses qui semblent clocher chez vous, n’est-ce pas? Mais, soeur bien-aimée, ce–ce–ce n’est pas autant que vous le pensez. Cela se réduit à une seule chose, et c’est votre âge (Voyez-vous?), car la ménopause... prématurée. Allez de l’avant, vous allez vous rétablir maintenant. Allez de l’avant, mangez, agissez comme vous avez toujours agi. Rendez gloire à Dieu.

69        Disons: «Gloire à Dieu!», tout le monde. Ayez foi en Dieu. Croyez en Lui de tout votre coeur, de toute votre âme, de toute votre force. Très bien. Faites venir la–la personne. Maintenant, tout le monde, soyez bien respectueux.

            Combien sont passés dans la ligne? Pas trop... Oh! Eh bien, c’est en ordre. Maintenant, même si nous sommes juste un peu en retard, vous tous, soyez simplement respectueux. Je vais tenir compte de cette horloge. Voyez-vous? Maintenant, que tout le monde soit simplement respectueux.

70        Eh bien, bonsoir, monsieur. Croyez-vous de tout votre coeur que ma prière vous aidera à vous rétablir? Vous croyez cela. Et croyez-vous que ce que l’Ange de Dieu m’a dit est la vérité? Vous vous attendez à ce que je vous dise ce qui cloche chez vous. Et j’attends de savoir ce qui cloche chez vous. Oui, monsieur, c’est dans votre sang, votre circulation sanguine. Le diabète, je crois que c’est ce dont vous souffrez. Est-ce vrai? Oui, monsieur. Venez ici juste un instant.

            Je–je vous bénis, mon frère, au Nom de Jésus-Christ. Et, ô Dieu, pendant que l’onction du Saint-Esprit est sur Ton serviteur et que j’ai mes mains posées sur lui, que le diabète le quitte et ne retourne jamais, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, mon frère. Allez, et que le Seigneur soit avec vous et qu’Il vous aide.

71        Très bien. Faites venir le–le petit... l’homme. Maintenant, tout le monde, soyez très respectueux. Que pensez-vous, soeur? Vous croyez? De tout votre coeur?

            Très bien. Bien-aimé frère... Oh! la la! Vous cherchez à avoir foi, n’est-ce pas, monsieur? Voulez-vous m’obéir en tant que prophète de Dieu? Vous avez essayé ; vous avez prié depuis longtemps pour cette occasion de venir devant moi, n’est-ce pas? Et vous avez récemment dit à quelqu’un: «Si jamais je peux m’avancer devant frère Branham, je serai guéri.» Est-ce vrai? C’est quelqu’un aux cheveux un peu sombres. Votre arthrite vous quitte, mon frère. Vous pouvez rentrer chez vous maintenant. Vous allez vous rétablir. Votre foi vous a guéri. Que Dieu vous bénisse.

72        Maintenant, tout le monde, soyez respectueux. Soyez respectueux pendant que je...?... Très bien. Maintenant, tout le monde, soyez vraiment respectueux. Soyez vraiment respectueux de tout votre coeur et croyez.

            Maintenant, avant que je tourne la tête, cette femme souffre de la même chose. En effet, je sens cela bouger, c’est juste... C’était l’arthrite, n’est-ce pas, soeur? Vous en souffriez? Eh bien, allez et soyez rétablie. Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez et... Oui, oui, c’est vrai. Il vous a rétablie. Bougez vos mains de haut en bas comme ça. C’est vrai. Voyez? Maintenant, croyez de tout votre coeur. Vous y êtes.

            Sa main était–était... Elle a bougé la main, de part et d’autre, comme cela. Elle a dit: «Ma main.»

            J’ai dit: «Bougez-la.»

            Et la voilà s’y mettre, bougeant sa main de part et d’autre. Disons: «Gloire au Seigneur!», tout le monde.

73        Très bien, venez, soeur bien-aimée. Maintenant, que tout le monde soit vraiment respectueux. Eh bien, bonsoir, soeur. Il y a bien... Voudriez-vous bien aller... passer un peu ici à mes côtés? Merci, soeur. Et c’est simplement pour arriver à vous parler juste un instant. Vous souffrez, vous aimeriez guérir. Vous voulez une marche intime avec Dieu. N’est-ce pas vrai? Et être guérie de votre coeur et autres, de ce qui cloche chez vous. N’est-ce pas vrai? Allez-vous Lui promettre, s’Il vous rétablit ce soir... Et à part ça, votre–votre vue n’est pas comme elle devrait être. Vous êtes myope. Je vous vois avec un livre. Vous le tenez très près de votre... de vous quand vous lisez. Maintenant, ce désir-là de marcher avec Dieu, Dieu va vous l’accorder. Et allez et soyez rétabli au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Et Dieu...?... Disons: «Gloire au Seigneur!», tout le monde.

74        Très bien. Est-ce tout de ce groupe-là? Très bien. Prenons alors de... Où en étions-nous? Où en était la ligne? 60? Prenons 65, Z-61, 62, 63, 64, 65, et dites-leur de se tenir debout.

            Eh bien, tout le monde, soyez vraiment respectueux. Ayez foi en Dieu, et Dieu fera s’accomplir cela. Croyez-vous cela? Maintenant, juste un peu plus longtemps. Encore quelques minutes avant vingt-deux heures. Veuillez bien attendre, ceci est ma dernière soirée ici. S’il vous plaît, que tout le monde ...Quand vous vous déplacez ou vous vous agitez, cela me secoue donc maintenant. Je perds très vite l’onction. Je suis très... Le Saint-Esprit est très timide. Combien savent cela? Très timide... Veuillez simplement être respectueux juste un peu plus longtemps. Je–je vais congédier l’assistance si vous le voulez, car cela me secoue terriblement. Soyez vraiment respectueux, s’il vous plaît. Très bien. Que tout le monde soit respectueux. Et faites venir l’homme.

75        Bonsoir, monsieur. Que pensez-vous de tout ceci? C’est bien la vérité. Et vous aimeriez être guéri, n’est-ce pas? Vous avez désiré cela depuis longtemps. N’est-ce pas vrai? Et vous aimeriez savoir, vous vous demandez bien ce que je vais dire maintenant. Je ne suis pas en train de lire vos pensées, mais je peux sentir cela tirer comme ça. Très bien. Allez-vous accepter et croire ce que je vous dis? Si je sais... Vous savez que je ne sais rien à votre sujet, mon frère. Et si je peux... Si le Saint-Esprit, par Son serviteur, parle et vous révèle vos maladies ou autres, quoi que ce soit, vous accepterez donc cela de tout votre coeur, n’est-ce pas vrai? C’était la maladie du coeur. Est-ce vrai? Allez et soyez bien portant. Jésus-Christ vous guérit.

            Disons: «Gloire au Seigneur!», tout le monde maintenant. Croyez de tout votre coeur.

             Très bien. Faites venir la–la dame. Soeur, avant que je vous regarde, j’aimerais que vous veniez directement... Passez directement par ici derrière mon dos, comme ceci. Je–je demande parfois... j’aimerais que vous–j’aimerais que vous croyiez simplement de tout votre coeur, afin que... Quelqu’un sait cela... dit: «Regardez... Vous les regardez dans les yeux, Frère Branham.» Oh! Cela ne... Vous pensez que je ne sais pas que vous dites cela? Oh! Si, je le sais. Si, je le sais. Ce n’est pas moi ; c’est notre Père céleste. Il connaissait leurs pensées. Et c’est la raison pour laquelle nous couvrons complètement ceci.

76        Maintenant, soeur bien-aimée, vous... Je ne vous regarde pas dans les yeux ; mais j’aimerais que vous... vous demander quelque chose. Croyez-vous que ce que j’ai dit est la vérité? Très bien. Vous souffrez des nerfs, n’est-ce pas? Très bien. Allez et soyez rétablie. Jésus-Christ vous rétablit. Allez de l’avant et ne pensez plus à cela, réjouissez-vous simplement et soyez heureuse. C’est exact. Vous êtes nerveuse. C’est une maladie de nerfs grave. Et vous aimeriez mener une vie intime, et Satan vous dit que vous ne pouvez pas y arriver. Allez de l’avant et faites-le au Nom du Seigneur Jésus.

            Disons: «Gloire au Seigneur!», de tout notre coeur.

            Très bien. Faites venir votre frère. Très bien. Maintenant, mettez-vous à croire cela. Voyez? Ayez foi en Dieu.

77        Maintenant, il y a un–un frère de couleur debout à mes côtés. Pouvez-vous entendre ma voix, monsieur? Très bien. Maintenant, je ne vous connais pas, et vous ne me connaissez pas, à ce que je sache. Nous sommes-nous déjà rencontrés dans la vie? Non, nous ne nous sommes jamais rencontrés dans la vie. Il n’y a aucun moyen du tout pour moi de connaître vos maladies, à moins que Dieu me les montre quelque part ici. Est-ce vrai? D’accord. Je vais compter sur mon Père céleste, et votre Père céleste, et Lui demander de m’aider à vous aider à avoir plus de foi. Et vous me croyez, n’est-ce pas, monsieur? M’acceptez-vous comme prophète de Dieu? Vous m’acceptez. Je vous vois, monsieur, chercher à sortir du lit. Vous êtes raide, ou estropié... Non, vous souffrez de l’arthrite. Est-ce vrai, monsieur? Allez et soyez guéri au Nom de Jésus-Christ. Je vois cela. Amen.

            Disons: «Gloire au Seigneur!», tout le monde. Croyez-vous de tout votre coeur?

            Très bien. Fais venir le prochain patient, fils. Que tout le monde soit respectueux. J’ai vu l’homme. Il prend... Il–il est pratiquement devenu estropié ici, il n’y a pas longtemps. Il descendait, ou quelque chose comme cela, il s’est fait mal. Et je ne savais pas exactement ce que c’était. Et puis, je l’ai encore vu quand il a commencé à quitter le lit, et il s’est mis à se frotter comme ceci. J’ai reconnu que c’était l’arthrite.

78        Très bien. Maintenant, il y a ici, je pense, une patiente, elle se tient près de moi. Est-ce vrai, Frère Hall? D’accord. La dame est ici.

            Très bien. Madame, me croyez-vous en tant que serviteur de Dieu? Cette dame ici, me croyez-vous? Vous me croyez. Approchez un peu plus, s’il vous plaît, soeur, un peu plus dans ce sens-ci. Me croyez-vous en tant que serviteur de Dieu? Croyez-vous que Dieu peut me montrer ce qui cloche chez vous? Vous croyez. Eh bien, soeur bien-aimée, j’aimerais que vous m’acceptiez maintenant comme votre frère et comme serviteur de Dieu. Vous souffrez depuis quelques... Oui, vous souffrez d’une maladie de nerfs grave, cela est dû à la période de ménopause. Aussi à cause de cela, vous souffrez de reins et cela cause des brûlures dans les reins, c’est ce que vous avez. Et vous souffrez d’une maladie gynécologique hors du commun. Cela se transforme pratiquement en cancer. Vous souffrez de maladies gynécologiques. N’est-ce pas vrai, soeur? Vous... Est-ce vrai? Très bien. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu et que, si je Lui demande, vous vous rétablirez? Recevez votre guérison, ma soeur. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, allez et soyez rétablie. Très bien, tout le monde.

79        Très bien. Viens, chérie. Oh! Ta vue faiblit. Est-ce vrai? Depuis combien de temps es-tu dans cet état? Depuis longtemps. Veux-tu venir ici même et appuyer simplement ta tête contre frère Branham?

            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, touche cette enfant, Seigneur. Tu peux la guérir et la rétablir. Toi esprit qui as fait cette vilaine chose sur les yeux de cette enfant, je t’adjure de la quitter. Au Nom de Jésus-Christ, sors de l’enfant.

            Regarde ici, chérie. Regarde droit vers moi. Eh bien, regarde droit de ce côté-ci. Tes yeux sont normaux, dr-... Peux-tu bien me voir maintenant? Es-tu bien portante? Amen. Maintenant, vous pouvez la regarder, ses yeux sont aussi droits et normaux que possible. Elle est guérie et bien portante. Que Dieu te bénisse, chérie. Va et sois rétablie au Nom du Seigneur Jésus-Christ.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» Croyez-vous de tout votre coeur?

80        Eh bien, combien... Nous avons atteint une soixantaine, n’est-ce pas? Reposons-nous. Laissez-moi appeler juste quelqu’un dans l’assistance, juste l’un parmi les autres... Appelez simplement carte après carte. Nous n’aurons pas à les prendre par routine comme cela. 60? Faisons... Cela va jusqu’à 100, fils? Qui a la carte de prière 70? Voyons la carte de prière 70. Est-ce ici? Appelons 80 si... Où? Oh! Ça–ça vient. Oh! Je vous demande pardon.

            Me permettriez-vous de m’asseoir juste une minute? Je me sens très faible, s’il vous plaît. D’accord. Juste un instant, soeur, ce serait... Voyez, cela... Je dois attendre pendant qu’ils viennent. Soyez simplement dans la ligne, ainsi donc, je peux attendre. Apportez-moi un fauteuil, laissez la dame s’asseoir, s’il vous plaît. J’aimerais me reposer juste un tout petit peu maintenant. C’est en ordre, je me sens horriblement faible.

81        Bonsoir, soeur. Etes-vous croyante, soeur? D’accord. Maintenant, j’aimerais bien me reposer juste un peu. Je deviens très... J’attends de parler à l’assistance juste une minute.

            Assistance, ne–ne pensez à rien de mal. Je–je me sens simplement très faible, et mon–mon visage est si engourdi. Je sens comme si mes lèvres sont très épaisses. Et je–je ne peux simplement pas me tenir debout sous cela très longtemps. Voyez-vous? Et je–je dois m’asseoir une minute. Allez-vous tous m’excuser une minute?

            Eh bien, vous–vous pourrez ne pas comprendre cela, si seulement je peux parler un instant. Voyez, ce sont des visions, amis. Le prophète Daniel a eu une vision, et il a dit qu’il a eu mal à la tête pendant plusieurs jours. Est-ce vrai? Eh bien, considérez les visions qui arrivent maintenant. Et s’il–il–il faut juste...

82        Jésus, une femme toucha Son vêtement. Ces gens ont foi, ceux qui viennent ici. Et elle toucha Son vêtement, et Il dit: «J’ai connu que la vertu...» Eh bien, la vertu, c’est quoi? La vertu, c’est votre force. Est-ce vrai? La force était sortie de Lui. Une fois, je ne savais pas ce que c’était. Quelqu’un essayait de me parler. J’ai dit: «J’ai honte de moi-même, de ce que je m’affaiblis.»

            Il a dit: «Frère Branham, c’est la vertu.»

            Eh bien, mon instruction est pauvre. Je ne savais pas ce que vertu voulait dire. Je pensais que c’était quelque chose qui appartenait à Jésus, et je ne disais pas cela. Et puis, j’ai consulté cela, et il était dit: «Votre force.» Je–je–j’ai alors su que c’était effectivement ce que c’était, en fait. Ma force s’épuisait tellement que je pouvais à peine rester debout. Et mes lèvres, ma bouche paraissait très étrange, car ce n’est pas moi, c’est l’Ange du Seigneur qui parle.

83        Y a-t-il quelqu’un qui a cette photo ici tout près? Eh bien, cette photo de l’Ange du Seigneur... On pourrait juste... En voici une ici même. J’aimerais que l’assistance qui n’a jamais vu cela... Certains parmi vous qui avez votre photo, voudriez-vous juste la brandir derrière vous afin que ceux qui sont derrière vous voient cela? Et c’est... C’est Cela qui parle maintenant.

            Puis-je l’avoir, fiston? Ça y est. [Un frère explique à l’assistance.–N.D.E.]

            Je n’ai rien à faire avec cela, ami. Je suis un homme comme vous autres. Eh bien, ça y est. C’est celui dont–dont le gouvernement... La meilleure recherche aux Etats-Unis a examiné cette photo avant qu’elle soit publiée comme ceci. Et c’est la vérité. Voici la signature de George J. Lacy en dessous de cela, ça vient du–du meilleur qu’il y a dans le domaine de la recherche en–en Amérique. Merci. Et remettez Cela à son propriétaire.

            Eh bien, j’aimerais donc me reposer juste un instant. Et puis, nous allons parler à notre soeur. Et... (Oui, merci, frère.) Maintenant, ceci n’est pas du tout quelque... Le fait que je suis faible dans le corps, ce n’est pas ça. Je suis fort dans le corps. J’ai remporté le championnat de boxe du poids coq il y a quelques années. Je peux parcourir trente-cinq 35 miles [56 km] par jour, dans n’importe quelle région, me réveiller et refaire cela le jour suivant. On est simplement très faible. J’ai récemment passé un contrôle physique, un contrôle parfait chez les frères Mayo. Ce n’est pas ça. Mais une de ces visions me tire plus de force que le travail de dix heures au marteau de forgeron. C’est vrai.

84        Maintenant, cette femme ici, elle a juste une carte de prière. Nous allons appeler d’autres, si le Seigneur nous le permet. (Et vous avez le... Oui. Oui, oui.) Eh bien, soeur bien-aimée, je suis content que vous ayez la carte de prière. Et je–j’espère que–que quelque chose sera fait de sorte que notre Seigneur glorifiera Son Fils Jésus-Christ parmi nous. Non seulement pour vous, mais pour ceux qui sont là dans l’assistance, afin qu’ils voient et qu’ils soient aussi guéris.

            Eh bien, nous sommes de parfaits inconnus. Je–je ne vous connais pas. Et je–je ne pense pas que vous me connaissiez. Non, vous avez peut-être entendu parler de moi. Eh bien, ce que j’aimerais faire, c’est simplement contacter votre esprit. Et il y a là dans l’assistance beaucoup de gens qui tirent. Je ne pense pas qu’ils nous entendent. Je–je suis... Je ne pense pas qu’ils entendent ; en effet, il y a des interférences dans le... Peut-être qu’ils entendent maintenant. Voyez? Eh bien, je n’en suis pas sûr. Je ne peux pas dire s’ils entendent ou pas.

85        Mais j’aimerais simplement que vous me parliez. Et j’aimerais que vous me répondiez. Et maintenant, vous... Si jamais nous ne nous sommes rencontrés dans la vie, nous ne savons rien l’un au sujet de l’autre... Il vous a été remis une carte de prière, et–et–et vous avez reçu la carte, ou... Avez-vous eu cela? Ou avez-vous donné ça à quelqu’un là-bas, pour vous réserver une place ici dans la ligne afin que vous soyez appelée. Probablement que si vous n’avez pas eu ce numéro-là, vous n’auriez peut-être pas été appelée. Et aussi, vous pourriez avoir été appelée comme certains de ceux qui sont là sans cartes de prière et qui ont été appelés.

            Eh bien, vous–vous pouvez penser que je suis simplement en train de gagner du temps. Non. Je–j’essaie d’entrer dans l’Esprit de Dieu. Et vous êtes–vous êtes une croyante. Je vois maintenant que vous êtes une chrétienne. Et vous avez un problème sérieux, soeur. Vous–vous avez... Vous souffrez. Vous devez... Vous... Oui, c’est le cancer. Oui, madame. Et vous avez... Dites donc, vous êtes–vous êtes une étrangère ici. Vous venez de loin. Vous venez d’une vaste ville où pousse un bois dur. N’est-ce pas vrai? Là... N’y a-t-il pas là un–un lac ou... Disons Chicago. Etait-ce vrai? [La soeur dit: «...?... à Evanston.»–N.D.E.] Très bien, oui. Retournez à Chicago et oubliez que vous ayez jamais été malade. Vous allez rentrer chez vous une femme bien portante, ma soeur bien-aimée. [La soeur témoigne de sa guérison.–N.D.E.] Oui, madame. Oui. Oui, madame. Vous... Il... Que Dieu vous bénisse, ma soeur, et partez.

            Eh bien, elle est simplement un peu faible à cause de la vision qui a été forte sur nous.

86        Très bien. Voyons, où est-ce qu’on avait... Où... J’ai appelé un autre. Oh! J’ai appelé... Qu’est-ce que je... Ai-je appelé un autre? Oh! Oh! Eh bien, O.K., faites-la venir.

            Bonsoir, soeur. Croyez-vous? De tout votre coeur? Vous êtes une personne très gentille. Vous avez eu beaucoup d’ennuis, n’est-ce pas, soeur? Vous souffrez d’une maladie interne maintenant. N’est-ce pas vrai? Dites donc, vous avez récemment subi une intervention chirurgicale, n’est-ce pas? Deux médecins, je vois un homme mince, quelqu’un de très amical. Un homme qui semble avoir un peu de cheveux grisonnants, qu’il fait descendre. N’est-ce pas vrai? Je crois que c’était le... Je pense qu’il était dans son cabinet. Je vois beaucoup de petits instruments déposés à côté. Est-ce vrai? Et je pense que c’était une intervention chirurgicale pour un calcul biliaire ou quelque chose comme cela. C’est cela, n’est-ce pas? Ou quelque chose, la vésicule biliaire, ou quelque chose comme cela. Oui, c’est ça. Vous en avez subi une autre. Je vois cela. Cela doit avoir été une tumeur, ou quelque chose comme cela. N’est-ce pas vrai? La tumeur, c’est exact. Allez, soeur, votre maladie interne vous a quittée. Croyez, et vous allez vous rétablir. Que Dieu vous bénisse, ma soeur. Allez et soyez bien portante.

87        Faisons venir un autre. Faisons juste venir un autre. Appelez... Quel... était-ce... Quelle car-... 80. Appelez... Appelons 90. Appelons juste 90. Alors...?... la carte de prière...?... Et puis, nous allons–nous allons former une ligne.

            Bonsoir, monsieur. Il est aimable, n’est-ce pas? Oui, monsieur. Il est un très aimable Seigneur. Et une fois, quand Il était ici sur terre, Il était au... Il était Dieu manifesté dans la chair. Il allait partout faisant du bien, guérissant les gens. Et Il s’est assis sur une pierre une fois, à côté d’un puits, et s’est mis à parler à une femme. Il lui a révélé ce que–ce qu’étaient ses problèmes. Et Il n’avait aucun moyen de savoir cela, si ce n’est que ce que Son Père Lui révélait. Croyez-vous cela, monsieur?

            Et un soir, peut-être à un moment du soir comme celui-ci, Il était assis sur... peut-être comme le tableau le montre parfois, sur la terrasse d’une maison, comme c’était une habitude chez les Juifs, une habitude en Orient. Et Il parlait une nuit à un homme du nom de Nicodème. Il lui a dit: «Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut entrer dans le Royaume.» Est-ce vrai?

88        Eh bien, je prononce juste des paroles, frère, pour voir comment l’inspiration vient (Voyez-vous?), trouver ce que mon Père céleste voudra vous dire. Et vous êtes venu à moi ce soir, étant un parfait inconnu, mon frère. Je–je ne vous connais pas. Et vous ne me connaissez pas, à ce que je sache, à moins que ça soit pour avoir entendu parler de moi ou quelque chose comme cela. Et maintenant, je suis ici pour représenter notre Seigneur Jésus. Vous et moi, nous sommes juste des hommes, nous tenant ici. Il y a peut-être quelque chose qui cloche chez vous. Je ne sais pas exactement ce que c’est en ce moment-ci. Mais notre Seigneur Jésus a promis ce soir qu’Il nous enverrait ces choses en ce jour-ci, que nous serons... nous pourrons utiliser cela pour Sa gloire. Est-ce vrai?

            Mon frère, vous–vous savez que quelque chose se passe maintenant, n’est-ce pas? Il se passe quelque chose maintenant même. C’est merveilleux, n’est-ce pas, quand vous sentez ce contact-là? Eh bien, l’Esprit est en train de venir sur moi, et Il vient sur vous. Mais avant que nous soyons sous Cela, afin que l’assistance sache que je dis la vérité, levez la main, cela... à leur intention. N’est-ce pas vrai? Un sentiment de respect, n’est-ce pas vrai? Ce n’est pas que vous avez envie de crier, mais si quelque chose... vous aimeriez pleurer, c’est la révérence. L’onction de Ceci, c’est différent. Eh bien, j’ai bougé cela juste un peu. Eh bien, s’il y a quelque chose au monde que je sais sur vous, mon frère, cela devrait provenir de Dieu. Est-ce vrai?

89        Eh bien, bien-aimé frère, vous–vous souffrez. Et vous êtes très nerveux, horriblement nerveux. Et cette nervosité est causée par une prostatite dont vous souffrez. N’est-ce pas vrai? Vous éprouvez aussi de la faiblesse, à cause de reins. Est-ce la vérité? Et, frère, je vois un–un médecin devant vous. Vous venez d’être examiné, et je crois que vous êtes sur le point de subir une intervention chirurgicale. N’est-ce pas vrai? Vous envisagez une intervention chirurgicale très bientôt. Dites donc, je vois cependant que vous avez pris des dispositions pour autre chose. Vous venez aussi d’être sauvé, d’être converti. C’est récent, car vous portiez ce même costume. N’est-ce pas vrai? Eh bien, n’ayez pas peur de votre intervention chirurgicale, frère. Jésus-Christ, le Fils de Dieu, a pris des dispositions pour vous avec Ses bénédictions. Puisse-t-Il reposer sur vous, mon frère, tous les jours de...?... N’ayez pas peur, frère. Vous allez vous rétablir et être bien...

            Quoi? Hein? Juste un instant. Ne... Eh bien, faisons... Voyons quelqu’un ici qui n’a pas de carte de prière. Ayez foi. Croyez de tout votre coeur. Avez-vous cru au Seigneur Jésus? C’est jusque là que vous pouvez aller, là-dessus, croyez.

90        Je vois une dame assise là, juste ici. Elle souffre de l’anémie. N’est-ce pas vrai, madame? Au bout du siège là. Vous avez l’anémie, n’est-ce pas? Oui, madame. C’est vrai.

            Je vais essayer celle à côté d’elle. Que la jeune dame regarde dans cette direction, celle assise à côté d’elle. Croyez-vous, jeune dame, de tout votre coeur? Croyez-vous que Jésus-Christ va vous rétablir? Très bien. Vous êtes... Tenez-vous un peu debout, afin que je vous voie juste un peu. Levez... Oui, c’est vous là avec le... Croyez-vous maintenant? Oh! Oui, c’est une maladie de nerfs, n’est-ce pas, soeur? Et une maladie gynécologique [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Très bien. Allez et soyez guérie. Que le Seigneur Jésus vous rétablisse, de tout votre coeur, tout...

91        J’ai vu quelque chose bouger... [Espace vide la bande–N.D.E.] Eh bien, c’est la dame assise ici même. Vous souffriez aussi d’une tumeur, n’est-ce pas, soeur? Passez à l’estrade, recevez votre guérison. Que Dieu vous bénisse, soeur bien-aimée. Amen. Allez maintenant, de tout votre coeur, pour être bien portante.

            Disons: «Gloire...» [Un frère interrompt frère Branham: «Frère Branham, je surveille la carte ; tout se confirme parfaitement.–N.D.E.] Oh! Je ne... Ces cartes n’ont rien à faire avec cela. Je ne sais pas ce que les gens écrivent sur leurs cartes.

            Si vous croyez de tout votre coeur, vous pouvez être guéri sans une carte. Dieu vous dira ce qui cloche chez vous, que vous ayez une carte ou pas. Combien croient cela de tout leur coeur? Amen. Maintenant, soyez simplement respectueux partout. Vous devez être respectueux.

92        [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ...?... se mettre en ordre avec Dieu. C’est en ordre ici. N’est-ce pas que vous essayez, quelqu’un là, essaie d’abandonner une mauvaise habitude, ou quelque chose comme cela? Exact... Je vois une dame en vision, elle se tient devant moi. Je ne sais pas où elle est. Mais une dame qui cherche à abandonner une mauvaise habitude, qui cherche à... Elle fume la cigarette. N’est-ce pas vous, soeur? Tenez-vous debout. Dieu vous en a libérée maintenant. Que Dieu vous bénisse, soeur. Très bien. Vous aurez votre délivrance. Amen.

            Gloire soit rendue au Seigneur Jésus. Regardez dans cette direction. Quelqu’un ici en bas. Qu’en est-il de cette dame ici sur la civière, les brancards là en bas, quoi que ça soit.

            Toute la foule est voilée à mes yeux maintenant. Je cherche à parler, j’espère que vous me suivez.

93        Madame sur–sur la civière ou le brancard, ou sur n’importe quoi que vous êtes, regardez dans cette direction et croyez que je suis le prophète de Dieu. Me croyez-vous en tant que prophète de Dieu? Vous êtes... Je vois que vous n’avez pas de carte de prière et tout, et croyez-vous que Dieu peut me faire savoir ce qui cloche chez vous? Oui, vous souffrez de quelque chose au niveau de la gorge. N’est-ce pas vrai? N’est-ce pas que vous crachez du sang ou quelque chose comme cela? Je vous vois avec un–un plateau, quelque chose devant vous, avec du sang dessus. Est-ce vrai? Non seulement cela, vous refusez la nourriture. Vous souffrez aussi de l’estomac. N’est-ce pas vrai? Eh bien, pourquoi ne vous levez-vous pas? Et Jésus-Christ vous rétablira. Levez-vous. Amen.

94        Je–je me demande qui d’autre aimerait être guéri en ce moment-ci. Combien parmi vous aimeraient croire que je suis prophète de Dieu? Vous voulez que je... Je peux vous dire ce qui cloche chez vous. Qui aimerait être guéri et croire au Seigneur Jésus en ce moment-ci?

            Partout dans la salle. Oh! la la! Ça devient confus maintenant. J’ai vu un cancer bouger tout à l’heure. Je crois que c’est juste derrière... C’est soit cet homme ici, là... Non, je pense que c’est la dame en robe verte, là derrière. Ne souffriez-vous pas du cancer, soeur? Très bien. Vous pouvez rentrer chez vous maintenant. Que Dieu vous bénisse.

            Que tout–tout le monde soit respectueux, juste–juste une minute. Ayez foi. J’essaie de voir cette jeune fille ici pour quelque chose. Elle–elle a besoin de quelque chose, et je n’arrive pas à distinguer exactement ce que c’est à partir d’ici.

95        Combien aimeraient croire de tout leur coeur? Notre Seigneur Jésus est-Il présent pour guérir? Notre Seigneur Jésus est-Il ici pour rétablir tout le monde dans l’assistance? Allez-vous m’accepter en tant que Son prophète, Son serviteur, je veux dire, Son serviteur? Allez-vous me croire en tant que Son serviteur?

            Qu’en est-il de vous, madame? Jeune dame dans le fauteuil roulant, et là tout au long, allez-vous accepter ceci comme étant la vérité? Allez-vous maintenant faire ceci pour moi et pour votre propre bien? Allez-vous lever la main pour dire: «Seigneur, par Ta grâce maintenant même, je vais T’accepter comme mon Guérisseur. Et dès–dès ce jour, je ne témoignerai jamais de rien d’autre que de ma guérison.»? Allez-vous promettre cela?

            Combien le feront? Levez la main. «Je ne le ferai plus jamais, dès ce jour, je ne le ferai plus jamais, advienne que pourra, j’ai vu Ton esprit, et je–je crois que–que Tu es–que Tu es ici. Et je crois que–que–que si frère Branham demande à Dieu maintenant même, Tu vas–Tu vas accorder la guérison de mon corps. Promettez-vous cela?

            Avec une main sur votre coeur et l’autre main en l’air, j’aimerais que vous fassiez cette consécration en ce moment-ci, à l’intérieur tout comme à l’extérieur, envers notre Seigneur Jésus-Christ.

96        Maintenant, juste de commun accord. Etes-vous prêt à régler ceci une fois pour toutes? Je ne sais rien de plus que notre Maître peut faire. Si vous êtes prêt à régler cela pour toujours, alors, levez la main et répéter cette prière après moi. Tout le monde.

            Dieu Tout-Puissant, je crois en Toi comme Dieu le Père. Je crois en Jésus-Christ comme Ton Fils. Et je crois dans le Saint-Esprit. Je crois maintenant qu’Il est présent pour me guérir de ma maladie et de mon affliction. Maintenant, je viens, Seigneur Jésus. Je vais partir d’ici en témoignant de ma guérison et je vais Te glorifier pour cela. Je Te louerai pour la guérison jusqu’à ce je sois parfaitement délivré.

97        Dieu Tout-Puissant, exauce maintenant la prière de Ton serviteur. Ô Père, si nous avons trouvé grâce à Tes yeux, alors que, ce soir, je me tiens ici où de braves hommes se sont tenus, et cette assistance ici a été bénie, ils se sont maintenant consacrés à Toi. Et si j’ai trouvé grâce à Tes yeux, mon Père, exauce la prière de Ton humble serviteur. Ô Dieu, Tu connais mon coeur. Tu sais ce que je sens maintenant même. Donne-moi la foi, Seigneur Dieu, la foi, une foi prédominante. Accorde-le, Seigneur. Et cette assistance, puisses-Tu passer ici avec un grand tourbillon de bénédictions sur leur coeur maintenant même.

            Satan, toi qui as lié ces gens dans ces fauteuils, sur ces béquilles, des sourds, des muets, des cancers, des maladies du coeur, je t’adjure par Jésus, le Fils de Dieu, de sortir de ces gens. Sors et laisse-les partir. Au Nom de Jésus-Christ, laisse-les.

            Ô Dieu, nous Te louons maintenant même pour Ta puissance de guérison. Que l’assistance pousse un cri comme ils en avaient poussé aux portes de Jéricho, et que les murs s’écroulent. Que les estropiés se lèvent. Que les aveugles se tiennent sur leurs pieds, que tous les malades et les affligés soient guéris.

 

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