Jésus Se Tenant Sur L’autorité De La Parole

Date: 54-0217 | La durée est de: 1 heure et 25 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, Frère Brewer. Vous pouvez vous asseoir. C’est vraiment un grand privilège d’être ici ce soir, au service du Seigneur, afin de prier pour les malades et les affligés, et servir au Nom de notre Cher Seigneur Jésus-Christ qui nous a aimés, qui a donné Sa Vie pour que nous, des êtres indignes, puissions être rendus participants de Sa grâce et de Sa communion dans les âges à venir. Et que Ses bénédictions et Son auguste Présence oignent maintenant chacun de nous de Son Etre, et que cela ne quitte personne jusqu’à ce que nous quitterons cette salle, pour qu’Il en reçoive la gloire.

            Nous sommes toujours... Les services de guérison me rendent peut-être souvent un peu nerveux, pas exactement nerveux tel que vous pourriez le penser. C’est–c’est la manière dont cela agit sur moi, lorsque je m’occupe des malades.

2          Et très souvent, les gens spirituels sont considérés comme des gens bizarres ou étranges. Nous pourrions penser, par exemple, aux grands poètes du–que le monde a produits, tel que Stephen Foster. On le prenait pour un névrosé. Il a donné à l’Amérique certains de ses meilleurs chants populaires: Old Folks of Home [Les anciens de chez nous–N.D.T.], Suwannee River [La rivière Suwannee]. Et quand l’inspiration le quittait, il allait–il sortait et se soûlait. Et puis, finalement il appela un serviteur, prit un rasoir et se suicida. Et puis, il y a eu William Cowper qui composa ce bon vieux cantique:

Il y a une fontaine remplie de Sang
Tiré des veines d’Emmanuel;
Les pécheurs plongés dans ce flot
Perdent toutes les taches de leur culpabilité.

            Cet homme célèbre, William Cowper, je me suis tenu à sa tombe tout récemment, à Londres. Et après qu’il eut reçu l’inspiration pour composer ce cantique, lorsqu’il en sortit, il essaya de trouver une rivière pour se suicider.

3          Ce n’est pas mal lorsque vous êtes là-haut (c’est merveilleux!), ou lorsque vous êtes ici en bas. Mais le problème, c’est entre les deux moments. Vous ignorez où vous vous trouvez. Vous direz: «Eh bien, ça c’était les compositeurs.» Bien, les prophètes, Jonas, comme nous le disions à son sujet hier soir, Dieu lui donna un message pour aller dire à une ville de la taille de St Louis par ici, de se repentir. Et le prophète, après qu’il eut apporté son message, en parcourant les rues, à un million d’illettrés dont certains ne savaient pas distinguer leur main droite de leur main gauche, les gens se repentirent au point qu’ils mirent des sacs sur leurs animaux.

            Ensuite, il s’assit sous un petit ricin. Et après que l’inspiration l’eut quitté, il pria Dieu de lui ôter la vie. Il ne savait plus où il se trouvait. Il ne comprenait pas.

4          Elie, ce grand prophète d’autrefois, un grand témoin de Jéhovah, lorsqu’il se rendit au mont Carmel, il convoqua Israël à venir devant Baal, pour voir qui était Dieu, il a dit: «Si Baal est dieu, servez-le. Si l’Eternel est Dieu, servez-Le.»

            Lorsque Dieu l’oignit de l’inspiration, lui donna une vision et lui dit comment faire les choses... Et il alla là-bas, appela tous les prophètes de Baal et les laissa offrir un sacrifice. Ceux-ci crièrent et se firent des incisions: pas de dieu. Mais Elie égorgea un taureau, le plaça sur le rocher, l’autel, et dit: «Eternel, que l’on sache que Tu es Dieu et que je suis Ton serviteur.» Et il a dit: «J’ai fait tout ceci sur Ton ordre», montrant par là que l’Eternel lui avait montré ce qu’il fallait faire.

            Et lorsqu’il eut accompli la vision que l’Eternel lui avait montrée, le Feu de Dieu descendit des cieux et consuma le sacrifice. Il n’avait pas plu depuis trois ans et six mois. Il avait fermé les cieux, parce que l’Eternel lui avait dit de le faire. Et il avait dit au roi que ni pluie ni même la rosée ne tomberait, sinon à sa parole. Puis, il partit, s’assit et pria de nouveau, et une–une pluie abondante tomba. Elle arrosa tout le pays.

            Et aussitôt que l’inspiration l’eut quitté, à cause de la menace d’une femme, il s’enfuit dans le désert et erra pendant quarante jours et quarante nuits. Et lorsque Dieu le trouva errant là-bas, se demandant s’il était hors de lui, il s’était retiré dans une grotte quelque part en se traînant, Dieu l’appela.

5          Voyez-vous ce que je veux dire? Nous pourrions parler des autres. Mais la manière dont les gens vivent le christianisme aujourd’hui est si superficielle. Ce n’est pas étonnant que l’incroyant ait du mal à croire au christianisme. C’est parce que ce n’est pas plus qu’un–un formalisme. Mais le christianisme est réel par sa puissance. Et si ce n’est qu’un cérémonial, n’importe quelle autre–n’importe quelle autre cérémonie pourrait le remplacer.

            Je n’ai rien contre les loges, mais la franc-maçonnerie, les Odd Fellows [Une organisation sociale et bénévole qui a commencé au XVIIIe siècle en Angleterre–N.D.T.], ou n’importe quelle loge serait tout aussi bonne s’il ne s’agissait que de la cérémonie. Elles ont leurs bons côtés et leurs mauvais côtés, juste comme l’église. Mais le Christianisme, c’est un Etre vivant dans des hommes, ce qui est la preuve de la résurrection du–du Fils de Dieu, qui était Dieu avec nous.

6          Maintenant, nous allons lire juste une portion de ses Ecritures et ensuite  vous parler juste pendant quelques instants. Et nous passerons donc directement à la prière pour les malades. Des fois je ne sais pas me mettre à prêcher dans ces réunions.

            Je vais essayer, le Seigneur voulant, vendredi soir, de tenir un rassemblement missionnaire. Mon coeur est passionné pour les missions. J’aimerais vous dire comment j’ai vu trente mille purs païens gagnés à Jésus-Christ en cinq minutes, quand ils brisaient leurs idoles au sol, se sont avancés et ont accepté Jésus comme leur Sauveur personnel: des mahométans, des hindous...

            Je brûle vraiment d’envie d’aller à Jérusalem. Frère Pethrus de l’église de Stockholm en Suède, l’église de Philadelphie qui est la plus grande église en Suède... Ils ramenaient des Juifs de l’Iran et d’ailleurs. Vous avez tous vu les photos dans le journal. C’est un très beau signe de la fin de l’âge des Gentils. Dieu va retourner maintenant chez les Juifs. L’Eglise des Gentils va être scellée, achevée, elle va partir.

7          Ces Juifs n’ont jamais su ni même appris que Jésus était sur terre. Et ils ont pris le Nouveau Testament et se sont mis à le lire pour voir qui Il était, comment lorsqu’Il était ici sur terre, Il a accompli des miracles. Il ne prétendait pas être un grand personnage. Il ne prétendait pas être un guérisseur. Il a simplement dit: «Je ne fais rien à moins que Mon Père Me le montre.» Il a dit: «Lorsque le père Me montre une vision, Je–Je fais ce qu’Il Me dit de faire.»

            Ils ont dit: «Il est ressuscité des morts, disent les chrétiens, et Il a promis que les choses qu’Il a faites, les chrétiens les feraient aussi.»

            Les Juifs ont dit: «Que nous voyons cela se produire, alors nous croirons cela. Que nous Le voyions accomplir le signe du prophète, alors nous L’accepterons comme le Messie.»

8          «Les Juifs cherchent des miracles et les Grecs la sagesse.» Vous connaissez cette Ecriture. Bien, j’aimerais rassembler plusieurs milliers de gens tel qu’ils sont rassemblés maintenant (ou vont se rassembler en Palestine) pour des réunions. Je crois que par le même moyen de Ses Ecritures, il fut montré autrefois au Juif que Jéhovah Dieu était manifesté en chair. Il ne s’agit pas de trois dieux; c’est le même Dieu manifesté dans la chair, trois dispensations. C’est ce qui l’achoppe. Et quand il verra que c’est une réalité, il acceptera cela.

9          Il n’y a pas longtemps, lorsque John Rhyn qui avait été aveugle pendant vingt ans, un catholique romain, s’asseyait dans les rues mendiant, vendant des crayons, ou plutôt (excusez-moi) des journaux, près de Fort Wayne, dans l’Indiana. Et lorsqu’il fut guéri, j’ai été interrogé par un rabbin.

            Il m’a dit: «Comment avez-vous ouvert les yeux de John Rhyn?

            J’ai dit: «Ce n’est pas moi qui les ai ouverts.» J’ai dit: «C’est Jésus-Christ, le Fils de Dieu, qui lui a ouvert les yeux.»

            Et il a dit: «C’est ridicule. Il n’était pas le Fils de Dieu. Et Il n’était pas le Christ.»

            Et j’ai dit: «Pourquoi pensez-vous ainsi, Rabbi?»

            Il a dit: «Eh bien...» Il a donné ses raisons. Il a dit: «Il n’était pas... ce Messie-là vient avec puissance.»

            J’ai dit: «Vous considérez Sa Seconde Venue, monsieur. La même Ecriture a parlé de Sa Première Venue, l’aveuglement des Juifs jusqu’à ce que les temps soient accomplis.»

            Il a dit: «Vous les Gentils, vous ne pouvez pas couper Dieu en trois morceaux et Le vendre à un Juif.»

            J’ai dit: «C’est une erreur qui n’a pas été corrigée pendant la Réforme. Dieu n’a pas été coupé en trois morceaux.»

            Il a dit: «Tout ce que vous dites n’a même pas de sens. Vous dites: ‘Dieu le Père’ et ‘Dieu le Fils’ et ‘notre Dieu.’ Alors, lequel d’entre eux est votre Dieu?»

            J’ai dit: «Il n’y en a qu’un Seul là.»

            Il a dit: «Mais comment est-ce possible? Si Dieu le Père est une personne, Dieu le Fils l’autre personne, puis Dieu le Saint-Esprit. Vous devriez donc dire ‘nos Dieux’. Ce qui fait de vous des païens.»

            J’ai dit: «Ce serait le cas, monsieur. Mais il n’en est pas ainsi.» J’ai dit: «Jéhovah Dieu était dans la Colonne de Feu qui conduisit les enfants d’Israël, Il fut manifesté ici dans la chair afin d’ôter le péché, et Il revint sous la forme du Saint-Esprit. Il s’agit de trois dispensations. C’est la raison pour laquelle ils furent baptisés dans «Père, Fils, Saint-Esprit», ai-je dit, pour les trois dispensations de Dieu, du même Dieu. Nous avons un seul Dieu.»

            Des larmes commencèrent à couler sur sa barbe, il se retourna et s’éloigna.

            J’ai dit: «Un instant! Vous m’avez dit quelque chose il y a quelques minutes.»

            Il a dit: «Je vous écouterai une autre fois.»

            J’ai dit: «J’aimerais vous entendre maintenant, parce que je sais que vous croyez qu’Il était le Messie.» Et il n’a pas voulu répondre, il se retourna et continua. Mais leur temps est proche.

10        J’aimerais lire ici dans les Ecritures. Saint Luc, chapitre 7:

Après avoir achevé tous ces discours devant le peuple qui l’écoutait, Jésus entra dans Capernaüm.

Un centenier avait un serviteur auquel il était très attaché, et qui se trouvait malade, sur le point de mourir. Ayant entendu dire que Jésus... lui envoya quelques anciens des Juifs, pour le prier de venir guérir son serviteur. Ils arrivèrent auprès de Jésus, et lui adressèrent d’instantes supplications, disant: Il mérite que tu lui accordes cela;car il aime notre nation, et c’est... qui a bâti notre synagogue.

Jésus, étant allé avec eux, n’était guère éloigné de la maison, quand le centenier envoya des amis pour lui dire: Seigneur, ne prends pas tant de peine; car je ne suis pas digne que tu entres sous mon toit.

C’est aussi pour cela que je ne me suis pas cru digne d’aller en personne vers toi. Mais dis un mot, et mon serviteur sera guéri.

Car, moi qui suis... à des supérieurs, j’ai des soldats sous mes ordres; ... je dis à l’un: Va! et il va; à l’autre: Viens! et il vient; et à mon serviteur: Fais...! et il le fait.

Lorsque Jésus entendit ces paroles, il admira le centenier, et, se tournant vers la foule qui le suivait, il dit: Je vous le dis, même en Israël je n’ai pas trouvé une aussi grande foi.

De retour à la maison, les gens envoyés par le centenier trouvèrent guéri le serviteur qui avait été malade.

11        Inclinons la tête et parlons à l’Auteur de cette Parole. Notre très Bienveillant Père céleste, nous Te remercions pour nous avoir envoyé Jésus-Christ, Ton Fils bien-aimé, pendant que nous étions éloignés de Dieu, des Gentils retranchés dans le monde, sans miséricorde, sans Dieu. Et au temps marqué, Christ est mort pour nous tous, réunissant toutes les nations, les gens que Dieu a créés, comme une unité.

            Et aujourd’hui, il n’y a ni esclave ni libre, ni homme ni femme, mais tous nous sommes un en Jésus-Christ. Et ce qui sera à la fin n’a pas encore été manifesté, mais nous savons que nous aurons un corps comme le Sien, car nous Le verrons tel qu’Il est. Et nous T’en remercions.

12        Et maintenant, Tendre Père, je Te prie de nous bénir encore par Ta Présence ce soir. Je Te prie de venir parmi les gens, et que toute personne dont le coeur est assombri soit débarrassé du doute et de l’incrédulité. Et que le Saint-Esprit puisse avoir la priorité et la prééminence dans chaque vie et chaque coeur ici ce soir, afin que nous puissions dire lorsque nous partirons, que nos coeurs brûlaient au-dedans de nous à cause de Sa Présence. Accorde-le, Seigneur.

            S’il y a des incrédules, des gens qui ne sont pas sauvés, sauve-les ce soir, Seigneur. Accorde-le. Que quelque chose soit fait de telle manière que les gens reconnaîtront que Tu es ici. Circoncis les lèvres qui parlent, les coeurs qui écoutent. Et guéris les malades ce soir, Père.

13        Et nous lisons que lorsque Tu étais ici sur terre, ce que Tu faisais, Tu en rendais toute la gloire au Père. Et nous Te remercions. Tu as dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père qui demeure en Moi.» Et ce soir, nous sommes des fils de Dieu par adoption. Et ce n’est pas nous qui faisons les oeuvres, mais c’est le Père qui demeure en nous; c’est Lui qui fait les oeuvres. Il nous sauve du péché, ce n’est pas nous-mêmes. Il nous guérit, ce n’est pas nous-mêmes. Mais Il nous guérit par Sa grâce. Nous T’en remercions. Et nous Te prions maintenant de parler; et puissions-nous écouter. Car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils bien-aimé. Amen.

14        J’aimerais aborder Jésus se tenant sur l’autorité de la Parole, juste pour quelques instants, si vous voulez bien m’accorder votre attention. Et j’aimerais parler juste un petit moment, alors qu’il n’y a pas encore beaucoup de gens. Et quand la salle commencera à se remplir, vous pourrez alors le dire à quelqu’un d’autre. Soyez toujours révérencieux pendant le service, particulièrement durant le service de guérison. Ayez un coeur ouvert, un esprit ouvert. Dites simplement–simplement: «Maintenant Seigneur, je suis ici pour apprendre, viens m’enseigner.» Voyez-vous? Et le Saint-Esprit vous enseignera.

            Si vous venez avec une sorte de critique moqueuse, tout ce que vous vous attendrez à voir, c’est ce que vous verrez et rien d’autre. Si vous venez vous, attendant simplement à être déçu, c’est ce que... Vous aurez toujours ce à quoi vous vous attendez. Si vous venez pour recevoir, vous vous attendrez à recevoir, et vous recevrez juste ce que vous vous attendez à recevoir. Dieu fait toujours cela. Il–Il a–Il a juré par Sa Parole.

            Et maintenant, il se peut que quelque chose soit dit qui serait un petit peu différent de vos enseignements religieux. Vous pourriez être catholique, ou vous pourriez être autre chose, d’une autre forme de religion, ou un protestant qui ne croit pas à la guérison divine. Quoi que ce soit, considérez la chose juste telle qu’elle est. Voyez cela du point de vue de la Parole de Dieu.

15        Maintenant, nous allons parler juste quelques instants sur L’autorité de la Parole de Dieu. Eh bien, chaque Parole de Dieu est une autorité écrite, qui est sous serment. C’est le–c’est le droit absolu du croyant d’accepter ceci comme étant la vérité infaillible, parce que c’est la Parole de Dieu. «Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera jamais», dit le Seigneur. Cela doit s’accomplir en son temps.

            Bien, maintenant, souvent cela... Les chrétiens et, quelques fois, même les frères qui sont dans le ministère sont souvent un peu embrouillés là-dessus. Et qui suis-je pour dire qui était dans l’erreur? Car je suis comme vous autres, je devrais être assis, écoutant le clergé, et–au lieu de me tenir devant eux.

16        Mais, mes frères, la Parole de Dieu... Quelques fois les gens deviennent–disent: «Bien, maintenant, la Parole a dit ceci. Prenons cela très exactement tel qu’Elle le dit.» C’est... Bien, cela–c’est vrai. Mais cette Parole doit tomber dans une certaine terre, sinon Elle ne produira pas de fruits. Voyez-vous?

            J’ai entendu des gens dire aussitôt qu’ils étaient sauvés: «Je suis chrétien maintenant. Le Seigneur a dit que tout ce que je demanderai en Son Nom, je l’obtiendrai. Amen. Je vais demander ceci.» Eh bien, ça ce n’est peut-être pas encore la bonne terre. Voyez-vous? Vous ne pouvez pas prendre un cactus et le faire pousser dans un sol argileux. Si vous plantez le cactus dans un sol très riche, il mourra. Le cactus pousse dans le sable. Et si vous prenez un–un pin et le plantez dans ce sable d’Arizona, là où pousse le cactus, il mourra, parce qu’il n’y a pas suffisamment d’humidité. Pourtant tous les deux sont plantés dans le sol. Il faut que ce soit la bonne Parole au bon endroit, et la chose va arriver.

            Eh bien, j’ai prié pour des milliers de gens, c’est juste une routine de prier pour les gens. Mais pourtant, j’ignore ce qui va arriver jusqu’à ce qu’Il me montre cela. A ce moment-là j’ai l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. A ce moment-là le Seigneur confirme Sa Parole, alors je sais très exactement ce qu’Il va faire. Quand Il me révèle ce qu’Il va faire, cela produit alors une foi parfaite.

17        Si vous remarquez, Jésus n’utilisait ces choses que lorsque Dieu le Lui permettait. Vous souvenez-vous de la leçon d’hier soir? Il a dit: «Le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père. Tout ce que le Père fait, Il le montre au Fils. Et le Père agit, Moi aussi, J’agis jusqu’à présent.» En d’autres termes, la Parole de Dieu qui était manifestée en Christ, c’était ce que Dieu Lui avait montré de faire.

            Pour tout prophète, pour tout homme spirituel de n’importe quel âge, de n’importe quelle époque, c’était toujours exactement la même chose. Alors vous ne pouvez pas trop vite tirer des conclusions, en disant: «La–la Parole dit ceci, je vais l’accepter et faire ceci.» Vous ne pouvez pas faire cela. Cela n’est pas encore tombé juste. Mais lorsque le Saint-Esprit vient matérialiser cela et vous montre quoi faire, alors vous pouvez le faire, parce que ce n’est pas vous qui le faites. Ceci c’est la Parole écrite de Dieu, le plan du salut. Mais nous devons être prudents quant à la manière dont nous manipulons cela.

18        Par exemple, souvent il y a des gens qui viennent dans la ligne de prière et je prie pour eux. Je ne sais jamais ce qui va se produire. Je prie simplement pour eux. Et il y a une puissance dans la prière. La prière peut même changer la Parole de Dieu. (C’est frappant, n’est-ce pas?) Mais c’est la vérité. La Parole de l’Eternel... Ne voulez-vous pas croire les prophètes?

            La Parole de l’Eternel est venue à Esaïe et il est allé dire à Ezéchias qu’il n’allait pas descendre de son lit, qu’il allait mourir. Et Ezéchias tourna son visage contre le mur, pleura amèrement et dit: «Ô Eternel, j’ai marché devant Ta face avec intégrité de coeur.» Et il désirait avoir quinze années supplémentaires de vie, et le prophète n’était pas encore parti que la Parole de l’Eternel vint de nouveau à lui. Il a dit: «Va lui dire que j’ai entendu sa prière, et qu’il va descendre du lit dans trois jours.» La prière change les circonstances.

19        Bien des fois je vois des gens qui–qui sont malades et qui vont mourir, une ombre se forme autour d’eux alors qu’ils se tiennent là. Je sais que c’est la sentence de mort. Je ne sais pourquoi, mais c’est tout; je sais alors comment leur parler. Je prie simplement pour eux, je passe et je dis: «Que le Seigneur vous bénisse.» Ou bien: «Peut-être le Seigneur Jésus vous a guéri.»

            A Durban, en Afrique du Sud, une femme est venue sur l’estrade, elle paraissait en aussi bonne santé que la femme qui avait la meilleure santé dans la salle. Cent mille personnes étaient assemblées là. Et cette femme est venue, étant normale et en bonne santé. Elle s’est tenue là et j’ai dit... je l’ai regardée; j’ai dit: «Je vois que vous êtes une chrétienne.»

            Elle a dit: «Je le suis.»

            Et au... Puis, j’ai encore regardé, je l’ai vue aller à l’église, et elle était en compagnie d’un groupe de gens.

            J’ai dit: «Vous êtes membre de telle église.»

            Et elle a dit: «C’est ça.»

            J’ai encore regardé et je l’ai vue, l’ombre devenait très sombre autour d’elle. Et j’ai commencé à dire: «Bien, la seule chose qu’elle a, c’est un kyste à l’ovaire.» Elle a été chez le médecin. J’ai dit: «Votre mari porte un complet gris, et il a une moustache noire. Il y a quelques jours il attendait dans la salle pendant que vous étiez examinée par un médecin, un homme aux cheveux gris qui porte des lunettes.»

            Elle a dit: «C’est vrai.»

            Et j’ai dit: «Il a dit que vous aviez un kyste à l’ovaire.»

            Elle a dit: «C’est vrai.»

            J’ai dit: «Il a dit que cela devrait être ôté.»

            Elle a dit: «C’est vrai.»

            J’ai dit: «Il voulait brûler cela au radium.»

            Elle a dit: «C’est vrai.» L’ombre devenait de plus en plus sombre autour d’elle. J’ai commencé à dire: «Maintenant, que le Seigneur Jésus vous bénisse et vous guérisse ma soeur, faites-la descendre de l’estrade.» Puis, j’ai vu passer une procession funèbre qui l’emportait. Je savais que je pouvais tout aussi bien le lui dire. C’était donc fini.

            J’ai dit: «Madame, vous avez l’air d’une femme forte, vous n’avez qu’un tout petit problème. Mais préparez-vous à mourir, car vous n’allez vivre que peu de temps.»

            Elle a dit: «Monsieur!»

            J’ai dit: «C’est vrai, soeur. Préparez-vous simplement pour Dieu. Soyez prête.»

            Elle descendit de l’estrade, elle s’assit, regarda son mari et dit: «Que penses-tu de cela?» Et elle tomba morte juste là. On l’emporta. Parce que rien ne pouvait être fait. J’avais vu la procession funèbre. Et ce que Dieu dit est la Vérité.

20        Maintenant, ceci c’est la Vérité de Dieu. C’est la Vérité. Tout ce qui est contraire à cela n’est pas la vérité. Mais ça, c’est le plan du salut pour les nations, pour les gens. Mais alors, parfois pour les individus, après que Dieu a envoyé Sa Parole de cette manière et que les ministres ont prêché cela... Il a envoyé à l’Eglise des apôtres, des prophètes, des dons de langues, l’interprétation des langues; tout cela pour édifier ou garder l’Eglise pure, en rassemblant l’Eglise, en la mettant à part.

            Tout récemment, à l’Eglise méthodiste de New Albany (cette personne pourrait être assise ici maintenant), avant d’aller en Afrique... Je venais de rentrer d’un de mes voyages en Californie. C’est juste afin que vous puissiez voir. Des milliers de gens étaient entrés dans la salle où nous tenions des services ce soir-là en Californie.

21        Et il y avait environ vingt ou trente fauteuils roulants installés là et des lits de camp, des civières et autres dans les gradins et sur... Et, mon frère, comme vous le comprenez, pendant ces réunions, je dois me tenir loin des gens. En effet, avec une telle onction, dès que vous parlez à une personne, vous contactez immédiatement son esprit. Voyez? Et quand vous faites cela, vous comprenez.

            Alors je restais dans une salle; deux hommes se tenaient à la porte tout le temps. Et ils vinrent me prendre ce soir-là. Je suis allé à la salle, et je me souviens que c’était juste en entrant. Je me tenais juste à côté de l’escalier, le manager, l’un des managers, M. Baxter, a commencé à chanter Crois seulement et je me suis présenté devant l’auditoire. Et je regardais de ce côté et j’avais passé plusieurs soirées, et je suis... devenais très faible. Les réunions devenaient sans cesse de plus en plus puissantes. Bien entendu, vous entrez davantage dans l’Esprit.

22        Et je regardais comme cela, et je vis un petit garçon qui jouait sur une meule de foin, juste devant moi. Et il tomba de la meule de foin et se heurta le... contre un gros support grossier... Son dos heurta cela. Je vis un homme le prendre. Je me suis simplement mis à parler. C’était juste devant moi, comme vous le voyez se faire chaque soir. Et cela a juste dit ce qui était en train de se passer.

            Je vis un médecin le soigner, et je vis quel genre de médecin c’était. J’ai dit: «Je le vois faire des trous dans le plancher et fixer son lit. Il ne peut même pas supporter la vibration due aux pas des gens sur le plancher. Et alors on le met dans un lit. On le fait pivoter et on le met dans ce lit. Mais il devient un grand homme.» J’ai dit: «Maintenant, il devient même un homme beaucoup plus important. Il est assis près des gradins ou quelque chose comme cela. Ils ont placé une–une chaise là... on l’a déjà installé. Et–et les gens applaudissent ses discours.» Et la vision me quitta.

23        J’ai regardé. Et les voilà qui entrent, ils venaient de descendre d’un avion. Et voilà venir un fauteuil roulant. Ils venaient juste d’entrer dans la salle et cela a commencé à venir... Cela fut amené jusque-là où il y avait les autres fauteuils roulants. J’ai dit: «Il s’agit du vieux monsieur maintenant.» C’était à une distance correspondant à environ deux fois la longueur de cette salle. J’ai dit: «Il s’agit du vieil homme maintenant.»

            Et il était en train de pleurer, j’ai continué et j’ai dit à mon frère d’appeler la ligne de prière. Et nous nous sommes donc mis à aligner les gens, et alors, la chose suivante qui se produisit, eh bien, on avait installé ici un micro baladeur, et M. Baxter a dit: «Frère Branham,» a-t-il dit–a-t-il dit: «Ce vieil homme à qui vous parliez est un membre du Congrès des Etats-Unis. C’est William D. Upshaw.»

            J’ai dit: «J’ignore qui c’était.»

            Il a dit: «Il désire vous parler par ce micro.»

            Et il a dit: «Mon fils, comment avez-vous su que j’étais tombé et me suis fait mal lorsque j’étais petit?»

            J’ai dit: «Je ne peux pas vous le dire, monsieur. Je n’ai jamais entendu parler de vous de ma vie. Je suis désolé.»

            Et il a dit: «Eh bien, j’étais le président de la Convention Baptiste du Sud.» Il a dit: «C’est le Docteur Davis, la personne qui vous a ordonné dans l’Eglise baptiste, qui m’a envoyé ici vous voir.»

            J’ai dit: «Je connais bien le docteur Davis.»

            Il a dit: «On avait prié pour moi.» Il a dit: «Je suis un infirme et je suis resté dans ce fauteuil roulant pendant soixante-six ans.»

            Et il a dit: «J’ai maintenant quatre-vingt-six ans.» Et il a dit: «J’ai fait confiance à Dieu depuis que j’avais dix-sept ans, quand j’ai été blessé, qu’Il me guérirait.» Il a dit: «Pensez-vous que je serai guéri?»

            J’ai dit: «Je ne saurais vous le dire, monsieur.» J’ai dit: «Je ne peux dire que ce que je vois.»

            Il a dit: «Que Dieu vous bénisse, mon garçon.»

            Et j’ai dit: «Merci, gentil monsieur.» Et je me suis tourné de ce côté et alors, mon frère, qui était le huissier en chef dans la réunion, était en train d’aligner les gens là.

24        Et j’ai regardé de ce côté, et j’ai vu un jeune médecin portant une de ces blouses de médecin avec le col comme ceci. Il portait un objet ici sur son front, une torche qui réfléchit la lumière (j’oublie le nom de cet instrument). Il avait les bras croisés, et il portait des lunettes en écailles de tortue, et il secouait la tête.

            Alors que la vision se précisait davantage, j’ai regardé en dessous de lui. Il y avait une fillette de couleur, d’environ six ou sept ans. Et il lui avait enlevé les amygdales. Cela n’avait pas réussi, et elle en est sortie paralysée.

            Et comme je relatais la vision qui apparaissait devant moi, loin à distance... Oh! la salle avait plusieurs fois la longueur de celle-ci. J’ai entendu une Tante Jemima typique [une grosse femme de couleur–N.D.T.] pousser un très grand cri, et elle s’élança là, une femme très corpulente. Et elle bousculait simplement les huissiers à droite et à gauche avec le... en tirant un brancard derrière elle. Elle a dit: «Seigneur, aie pitié. C’était mon enfant.»

25        Et ils devaient donc aligner un groupe de gens, parce qu’on n’est pas censé monter sur l’estrade sans carte de prière. En effet, c’est le moyen légitime que nous avons pour le faire. C’est le seul moyen par lequel nous pouvons le faire. Alors les huissiers devaient la faire partir de la ligne. Et ils ont dû frayer une voie là. Et elle criait et faisait des histoires.

            Elle a dit: «Pasteur, c’était mon enfant.» Elle a dit: «Va-t-elle se rétablir?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas, Tantine. La seule chose que je peux dire, c’est ce que je vois.» Voyez-vous? «Mais cela...»

            Elle a dit: «C’était exactement la description du médecin. Et ça fait à peu près deux ans.»

            J’ai dit: «C’est la même fillette.» On avait retiré d’elle la couverture. J’ai dit: «C’est la même fillette.»

            Elle a dit: «Eh bien, est-elle guérie?»

            J’ai dit: «Tantine, je ne saurais vous le dire. La seule chose que je sais, c’est juste ce que je regarde et vois.» J’ai dit: «C’est seulement par vision.»

            Et elle a dit: «J’ai prié, prié et prié pour cela.»

            Et j’ai dit: «Bien; je ne sais pas, Tantine.»

            J’ai dit: «Howard, es-tu prêt pour que la première personne vienne?»

            Il a dit: «Oui.»

26        Une dame a commencé à monter. Je me suis retourné pour regarder encore l’auditoire afin de leur demander d’être révérencieux. J’ai vu juste comme une traînée noire se déplacer. Et cela continuait à venir comme cela. Et en fait, c’était comme une rue, ou quelque chose comme ça, ou une route. Et cette fillette de couleur descendait la route avec une poupée dans les bras, la berçant comme ceci. La chose était là.

            Eh bien, c’est la Parole du Seigneur rendue manifeste. Voyez-vous? Maintenant, peu importe ce qui pouvait arriver, toutes les forces de l’enfer ne pourraient pas faire face à cela. Cette femme n’avait même pas besoin d’avoir la foi. Elle n’avait pas besoin d’avoir quoi que ce soit, parce que Dieu l’avait dit. C’était la Parole de Dieu matérialisée. J’avais alors l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.

            J’ai dit: «Tantine, comme vous avez été aussi respectueuse, Dieu vous a récompensée. Et votre enfant est guérie.» Elle s’est mise à crier et à embrasser son enfant.

            Elle a dit: «Oh! pasteur, quand mon enfant va-t-elle se rétablir? Quand...?»

            J’ai dit: «Elle est guérie maintenant, Tantine.» J’ai dit...

            Elle a dit: «Peut...?» Et l’enfant...

            Elle a dit: «Regarde ici, maman.» Et elle s’est levée comme cela. Et la pauvre est tombée à la renverse comme cela et s’est mise à crier, et les femmes ont commencé à s’évanouir et à s’écrouler.

27        Et on les a relevées, et il y a eu un vacarme pendant un petit moment. Et lorsqu’on a relevé la fille et sa mère, elles se tenaient par la main, elles ont marché là devant ces milliers de gens, la mère et la fille.

            L’homme qui conduisait l’ambulance se tenait là, avec une mine accusant une grande fatigue. Et il a récupéré le brancard. J’ai dit: «Voyez-vous ce que le Seigneur Jésus peut faire?»

28        Et comme je regardais, j’ai vu ce vieux sénateur comme une ombre en train de marcher comme cela. Et il était assis là, portant un costume bleu et une cravate rouge. Seulement dans la vision il portait un costume brun, un costume plutôt de couleur brune rayé de blanc.

            Et j’ai dit: «Monsieur le sénateur, avez-vous un costume brun rayé de blanc?»

            Il a dit: «Mon fils, j’en ai acheté un, tout juste hier.»

            J’ai dit: «Vous avez été un homme très respectueux et cela–vous avez honoré Dieu toutes ces années. Et comme vous avez honoré et eu foi en Dieu, Dieu a... vous récompense maintenant, en vous donnant de derniers jours heureux. Vous pouvez marcher, monsieur le sénateur. Le Seigneur Jésus-Christ vous a guéri, AINSI DIT LE SEIGNEUR.»

            Il a dit: «Quand serai-je en mesure de marcher, mon garçon?»

            Et j’ai dit: «Maintenant même, Monsieur le Sénateur.» Et il quitta d’un bond ce fauteuil, il mit de côté... Il avait de grandes béquilles qui passaient au-dessus de ses épaules, lorsqu’il se tenait debout avec; c’était comme soeur Roosevelt, je... comme cela dans son dos.

29        Et un homme, alors que normalement Dieu aurait dû le guérir lorsqu’il était jeune (dix-sept ans) et non pas attendre qu’il ait soixante-six ou–ou plutôt quatre-vingt-six ans. Et son dos, tous ses os étaient fragiles. Mais cet homme, pour la première fois, à quatre-vingt-six ans, depuis qu’il était infirme pendant soixante-six ans, s’est levé.

            Oh! bien sûr, Satan disait: «Tu vas lui briser le dos s’il se lève de là.» Mais ça c’est ce que Satan disait, mais Dieu l’avait dit. Voyez? Dieu l’avait dit. Ensuite la Parole fut manifestée. Voyez-vous? Et l’homme marchait normalement et bien. Il a parcouru les Etats-Unis, la Grande Bretagne, partout dans le monde connu, et il a même envoyé une lettre à Joseph Staline sur cela. C’est un ami intime de Churchill. Beaucoup parmi vous ont vu le sénateur Upshaw, je pense, après sa guérison. Combien? Levez la main ceux qui savent cela. Voyez...?...

30        Et maintenant, qu’est-ce? C’est la Parole rendue manifeste. Si ce n’est pas trop, si cela ne prend pas trop de temps, j’aimerais terminer ce témoignage dans quelques minutes. Sur mon chemin du retour... En rentrant à la maison, je suis entré et ma femme m’a dit, elle a dit: «Chéri, ton vieil ami est mourant.»

            J’ai dit: «Qui ça?»

            Elle a dit: «M. Hall.»

            Lorsque la petite Georgie Carter était restée couchée dans le lit pendant neuf ans et huit mois, là à trente-cinq miles [56 km–N.D.T.] au sud de... Je n’avais jamais de ma vie entendu parler de cette ville, c’était un petit endroit. Le Seigneur me donna une vision. Je me rendis là, et elle fut guérie. Elle quitta le lit après être restée couchée là pendant neuf ans et huit mois; et elle pesait trente-cinq livres [15,8 kg]. Si vous désirez lui écrire, vous pouvez avoir–lui écrire. Mlle Georgie Carter, Milltown, Indiana. Elle est maintenant ma pianiste à l’Eglise baptiste de Milltown.

31        Et puis, M. Hall a été converti. En effet, il était un homme très très déplaisant. Et il fut converti au cours de la même réunion. Et c’est lui qui est le pasteur là-bas maintenant.

            Et alors, elle a dit: «M. Hall a été déclaré atteint d’un cancer du foie.» Et elle a dit: «Il est couché dans la maison de sa soeur, et sa soeur est mariée au frère du juge de la ville, et il est chez lui. On l’a amené ici. Il est mourant. Il t’appelle.»

           

            Et j’ai dit: «Bien, allons le voir.» Et je suis allé voir frère Hall. Et il était jaune comme tout. Le cancer dans le foie avait commencé par une sclérose du foie, et c’est devenu un cancer. J’ai dit: «Qui est votre médecin, Frère Hall?»

            Il a dit: «Le docteur Dillman.» Le docteur Dillman est un ami intime.

            J’ai dit: «De quoi s’agit-il, Frère Hall?»

            Il a dit: «Eh bien, Frère Branham, je pense que c’est juste la fin de la route pour moi.» Il a dit: «Je pense que c’est tout ce qui peut être fait, à moins que le Seigneur fasse quelque chose pour moi.»

            J’ai dit: «Bien, je vais prier, Frère Hall.» Et nous avons prié. Et le jour suivant, je suis retourné; son état avait empiré. Le deuxième jour, son état devenait toujours pire. Il semblait qu’il allait mourir. Mme Hall est sortie et a dit: «Frère Branham, est-ce que vous savez quelque chose?»

            J’ai dit: «Soeur Hall, j’ai vraiment imploré Dieu, de tout mon coeur.» La Parole de Dieu reste toujours la Parole de Dieu. Mais Elle n’était pas encore venue à ce moment-là. Voyez-vous? Elle ne m’avait pas été donnée. Elle ne lui avait pas été donnée. Mais c’est toujours la Parole de Dieu, Elle n’était pas bien ancrée.

32        Alors nous sommes retournés. Mme Hall a dit: «Frère Branham, y a-t-il quelque chose que vous puissiez faire pour lui?»

            J’ai dit: «Eh bien...»

            Elle a dit: «Connaissez-vous un autre médecin?»

            J’ai dit: «Les médecins sont juste comme tout le reste, vous devez avoir foi en eux.» J’ai dit: «Le docteur Sam Adair, qui est ici dans la ville, c’est notre médecin.» C’est un homme très bien, j’ai étudié avec lui. Nous avons pêché ensemble, chassé ensemble, joué ensemble; et maintenant nous travaillons ensemble. Et il envoie ses patients qu’ils ne peuvent pas soigner par la médecine; il leur dit: «Allez voir frère Branham et voyez...» Et vous devriez voir ce qui a été fait pour lui. Nous verrons cela un peu plus tard, à un moment donné.

33        Mais écrivez-lui et demandez-lui à ce sujet. C’est un spécialiste. J’ai appelé le docteur Adair et je lui ai demandé s’il pouvait aller voir M. Hall.

            Il a dit: «Je vais aller voir les clichés de la radiographie à l’hôpital.» Il est parti. Il m’a rappelé et a dit: «Oui, Billy. Il a le cancer.»

            J’ai dit: «Je vous en prie, y a-t-il un endroit où vous pouvez l’envoyer?»

            Il a dit: «Vous pouvez l’envoyer à la clinique Able, à Louisville, pour que le cas soit examiné.» On a pris une–une ambulance, et on l’a emmené là-bas. Il était alors à l’article de la mort. On l’a emmené là-bas, et ils n’ont pas voulu leur remettre le diagnostic. Ils ont rappelé le docteur Adair. Et il m’a appelé; il a dit: «Billy!»

            J’ai dit: «Oui.»

            Il a dit: «Votre ami prédicateur va passer par-dessus bord dans quatre jours.»

            J’ai dit: «Il va mourir, docteur?»

            Il a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Oh! la la! il n’y a rien que vous puissiez faire?»

            Il a dit: «Billy, on ne peut pas lui enlever le foie sans qu’il meure.»

            Il a dit: «Il n’y a rien que l’on puisse faire. Cet homme est mourant.» Il a dit: «C’est un prédicateur. Il devrait être prêt.»

            J’ai dit: «Oh! il est prêt. Mais c’est un jeune homme.» J’ai dit: «Il n’a pas plus de cinquante-cinq ans. Il peut faire encore beaucoup pour le Seigneur.» J’ai dit: «J’ignore la raison pour laquelle Dieu le reprend.»

            Il a dit: «Bien, Bill, c’est difficile à comprendre pour quiconque. Nous devons simplement accepter cela.»

            J’ai dit: «C’est vrai.» C’était donc dur d’aller le dire à ma soeur Hall.

34        Mais je suis descendu ce soir-là, et j’ai dit: «Soeur Hall, le médecin a dit que dans quatre jours M. Hall sera parti. Il va mourir dans quatre jours.» Et elle se mit à pleurer.

            J’ai dit: «Maintenant, Soeur Hall, vous ne devez pas oublier que c’est un chrétien. Il est prêt pour partir. Et si cette tente terrestre est détruite, nous en avons déjà une qui attend.» Voyez?

            J’ai dit: «Il serait bien mieux. Bien sûr, vous resterez seule. A votre âge donc sans enfant.» J’ai dit: «Vous resterez seule, bien sûr. Mais vous n’oubliez pas, Dieu sait ce qu’il y a de mieux et fait tout concourir pour le mieux.»

            Elle a dit: «Frère Branham, Dieu vous a-t-Il déjà dit un mot à ce sujet?»

            J’ai dit: «Soeur Hall, Il ne m’a rien dit.» J’ai dit: «J’ai prié de tout mon coeur. Peut-être qu’Il va juste le laisser mourir.»

            Elle a dit: «Pensez-vous qu’il va mourir?»

            J’ai dit: «Oui, je le crois. Je crois qu’il va mourir. Parce que de toute évidence, tout est contre lui, Soeur Hall.»

            Et j’ai dit: «Tout... Et à ce que je sache, il n’y a rien qui puisse être fait. Ça doit être la volonté du Seigneur.» J’ai dit: «Je ne saurais le dire.»

            Alors elle s’est mise à pleurer, la pauvre créature. Et c’est à peine s’il vivait. Il pouvait saisir de temps à autre. Il était inconscient la plupart du temps.

35        Le jour suivant, j’avais un jour de congé. Et je–j’aime chasser l’écureuil. Mais alors, j’avais là un vieux petit calibre 22. Je comptais aller chasser l’écureuil dans les bois afin de me reposer un peu. D’habitude je pars m’asseoir sous un arbre et je m’endors, et je dors le reste de la journée. Parce que je suis–je m’éloigne simplement des foules pour un petit moment; en effet, vous savez ce qui se passe là-bas à la maison.

            Le lendemain matin, de bonne heure, nous avons terminé avec la foule qu’il y avait à la maison vers minuit ou une heure. Et j’ai réglé le réveil à trois heures. Je me suis réveillé de bonne heure, et j’ai pris mon vieux petit fusil pour chasser l’écureuil et mon vieux chapeau, et je commençai à sortir pour aller  chasser l’écureuil. J’ai regardé dehors sur la route. Il n’y avait personne là-dehors, alors je... Et lorsque j’ai traversé la chambre... Et lorsque je suis entré dans le vestibule, il y avait, suspendue là dans la pièce, une toute petite vieille pomme d’à peu près cette grosseur; elle était verte, noueuse, rongée par les vers. Et je me suis dit: «Pourquoi ma femme a-t-elle accroché ça au mur?» C’était la chose à l’apparence la plus horrible. Vous avez déjà vu ces vieilles petites pommes, comme celles d’un arbre qui n’a pas été traité, vous savez, qui sont vraiment noueuses et vilaines.

            Et alors j’ai dit: «Pourquoi a-t-elle accroché cela au mur?» Et je me suis mis à passer, et j’ai regardé encore. Et elle n’était pas accrochée au mur; elle était simplement suspendue en l’air. Et j’ai compris que cela signifiait quelque chose. Je me suis agenouillé. J’ai dit: «Qu’est-ce que Mon Père céleste veut faire connaître à Son serviteur?»

36        Et j’ai regardé et voici qu’une autre pomme était suspendue à côté de celle-là. Et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il y en avait cinq suspendues là, à peu près juste... elles formaient comme une grappe, cinq de ces petites pommes noueuses. Puis est descendue une très grosse pomme avec des rayures rouges et jaunes. Et elle a juste englouti cela très bruyamment comme cela, et a continué: «Chom, chom, chom, chom», et a dévoré toutes les cinq.

            Et ensuite la pomme disparut, et cette Lumière (qui se trouve sur la photo que vous avez tous vue ici) était suspendue juste au-dessus de cela, faisant «Whewww.» J’ai dit: «Qu’est-ce que mon Seigneur veut faire connaître à Son serviteur?»

            Il a dit: «Lève-toi.» Et je me suis levé. Il a dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, va dire à M. Hall qu’il ne mourra pas, mais qu’il vivra.» Et c’était bien cela. Plus question d’aller chasser l’écureuil ce jour-là. Je suis rentré en courant, j’ai réveillé ma femme et je lui en ai parlé.

            Elle a dit: «Oh! puis-je aller avec toi?»

            J’ai dit: «Oui.» Et nous nous sommes apprêtés à l’aube. Nous nous sommes rendus là. M. Hall était... On l’avait étendu sur le dos, et on lui frictionnait les mains et tout. Et–et je suis entré. Et je–j’ai dit: «Il n’est pas parti?»

            Il a dit–dit: «Non, il n’est pas parti, Frère Branham, mais il est en train de partir.» Il a dit: «Il se débat.» Et ses yeux étaient révulsés.

            J’ai dit: «Soeur Hall!»

            Elle a dit: «Pourquoi avez-vous une mine si heureuse?»

            J’ai dit: «J’ai l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Oh! personne ne sait jamais ce que cela signifie alors.

            Elle a dit: «Est-ce une bonne nouvelle?»

            J’ai dit: «Oui.»

            Elle a dit: «Oh! laquelle?»

            Et j’ai dit: «Entrons simplement maintenant. Rassemblez tout le monde autour du lit.» Nous nous sommes rassemblés autour du lit.

            Les yeux de M. Hall étaient révulsés comme cela, et il était tout jaune. Et il ne cessait de crier: «Que quelqu’un me frictionne les mains.»

            J’ai dit: «Frère Hall, m’entendez-vous?»

            Il a dit: «Qui est-ce?»

            Et j’ai dit: «C’est frère Bill.»

            Il a dit: «Oh! je ne suis pas encore parti, Frère Bill?»

            J’ai dit: «Vous n’allez plus partir maintenant, Frère Hall. J’ai l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. J’ai eu une vision ce matin, il y a environ deux heures», et je lui ai raconté ce que c’était. Et j’ai dit: «Frère Hall, vous allez vivre.»

37        Je suis sorti de la salle, je suis rentré à la maison, et j’ai appelé le docteur Adair et j’ai dit: «Docteur Adair!» J’ai dit: «Vous connaissez l’homme qui devait passer par-dessus bord dans quatre jours?»

            Il a dit: «Oui. Est-il mort?»

            Et j’ai dit: «Non, il ne va pas mourir.»

            Il a dit: «Que voulez-vous dire?» J’ai dit... Il a dit: «Comment va-t-il vivre avec ce cancer en lui?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas, mais il va vivre.» J’ai dit: «Parce que le Seigneur l’a dit.» Ça, c’est la Parole de Dieu, c’est certain. Voyez-vous? Voilà. C’était sur une bonne terre là, alors...

            Alors il a dit: «Eh bien, Billy, a-t-il dit, je n’ai jamais voulu douter de vous.» Et il a dit: «J’ai vu bien des choses être accomplies. Je n’ai jamais douté de vous de ma vie, mais il faudra que le vieux médecin voie cela.»

            J’ai dit: «Bien, vous ne mourrez pas de vieillesse parce que–jusqu’à ce que vous voyiez cela.» Et j’ai dit: «Vous–vous verrez.» Et je me suis rendu à Erie, en Pennsylvanie, et par là, et j’ai effectué un voyage de six semaines, je suis rentré pour un jour. Je devais me rendre en Afrique après cela.

38        Nous avions le gymnase d’une école secondaire là-bas. Il avait une capacité d’à peu près cinq mille cinq cents personnes. Et certains d’entre vous étaient probablement là ce soir-là, à ce que je sache. Il se peut qu’il y ait des gens qui étaient présents. Nous avons eu une seule soirée dans le gymnase qui... Il y avait tellement de gens là-bas, il y avait à peu près le même nombre de gens à l’extérieur, et la police était là-dehors, essayant de maintenir l’ordre, et–pour cette seule soirée. Et quand je suis entré, les gens étaient simplement entassés au point que vous ne pouviez pas voir jusqu’où cela s’étendait; il y en avait simplement partout.

            Et j’ai regardé comme par hasard, le docteur Balden, un grand ami à moi, était assis devant moi. Je... Sa femme avait été guérie de l’asthme chez moi à la maison. J’ai dit: «Je suis content de vous voir, Docteur Balden.»

            Il a dit: «Merci, Billy.» Il s’est mis debout.

            J’ai regardé là, le docteur Dillman de Corydon était assis là dans les gradins.

            J’ai dit: «Bonsoir, docteur. Je suis heureux de vous voir ici ce soir.»

            J’ai regardé comme par hasard, et voilà que le docteur Sam Adair se tenait à la porte. Il ne pouvait pas entrer. J’ai dit: «Bonsoir Docteur Adair.» J’ai dit: «Je suis désolé que nous n’ayons pas un siège pour vous; mais, ai-je dit, puisse le Seigneur vous bénir.» Oui. Et j’ai regardé comme par hasard, et voilà que frère Hall était assis là derrière, tout au fond. Il me fit signe de la main comme ceci, vous savez.

39        J’ai dit: «Docteur Dillman, vous souvenez-vous d’un patient que vous aviez il n’y a pas longtemps, du nom de William Hall?» J’ai dit: «Docteur Adair, connaissez-vous celui dont vous aviez dit qu’il devait passer par-dessus bord dans quatre jours, et qu’il fallait que le vieux docteur voie cela?»

            Evidemment, il a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Voulez-vous témoigner, Frère Hall?»

            Il a dit: «Gloire au Seigneur! dois-je témoigner?» Et il s’est levé et il a donné un témoignage là. Ils l’ont emmené et l’ont examiné ce même soir-là, ils n’ont pu trouver aucune trace de cela nulle part. Il pèse cent quatre-vingt-cinq livres [83,9 kg–N.D.T.], il est en parfaite santé. Le révérend William Hall, de Milltown dans l’Indiana, si vous voulez lui écrire.

40        Il nous reste six minutes maintenant avant que nous ne commencions la ligne de prière. Peut-être encore un petit incident de plus. «La prière de la foi sauvera le malade, Dieu le relèvera.» Vous ne pouvez pas baser votre foi sur une espérance. Vous devez... La foi est certaine. Toute personne qui a une vue normale et qui regardera ma chemise dira qu’elle est blanche. L’un des sens déclare et dit qu’elle est blanche.

            Eh bien, si vous avez la foi qui dit que vous allez être guéri, de façon tout aussi réelle et certaine que votre vue déclare que c’est blanc, alors vous avez la foi. Cela va arriver. Mais cela doit être réel... une certaine déclaration pour le prouver.

41        Nous sommes tout près du Missouri, c’est l’état du «Prouve-le moi». Ils disent: «Voir c’est croire.» Vous avez entendu cela, n’est-ce pas? Vous... Combien ont déjà entendu ce vieux dicton? Voyez-vous? Voyons simplement combien cela est déraisonnable.

            Venez ici, Frère Brewer. Merci. Un homme aux cheveux noirs se tient devant moi, il porte une cravate rayée et un costume gris, je déclare que c’est une couleur entre le gris et le brun. Combien croient que c’est la vérité? Tout celui qui peut le voir croit cela. Eh bien, il n’y a qu’un seul moyen par lequel je sais que cet homme se tient là, c’est par la vue. C’est voir.

42        Maintenant, l’homme se tient là, mais je ne le vois pas. Il n’y a pas moyen du tout pour moi de le voir, pourtant je sais qu’il est là. Je sais qu’il est là, tout aussi réel que si je le regardais. Voulez-vous discuter avec moi, pour dire qu’il n’est pas là? Maintenant voir ce n’est pas croire, n’est-ce pas? Je possède un autre sens, et c’est le toucher. Je peux sentir qu’il est là. Il est tout aussi réel que s’il est–je le regardais. Voir ce n’est pas croire, maintenant toucher c’est croire.

            Maintenant, il m’est impossible de le toucher. Je ne suis plus du tout en contact avec lui. Pourtant, je crois qu’il est là, parce que je le vois. Retournez-vous, jouez une ou deux notes (Merci, Frère Brewer) sur ce piano. Combien ont entendu cela? Combien ont vu cette musique? Je pensais que voir c’est croire. Voir ce n’est pas croire; là, entendre c’est croire. Est-ce vrai? Avez-vous vu cela? Non. Avez-vous touché cela? Avez-vous goûté cela? Avez-vous senti l’odeur de cela? Non. Vous avez entendu cela.

            Maintenant, la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles que vous ne voyez pas, que vous ne goûtez pas, ne touchez pas, ne sentez pas ni n’entendez. Voyez? C’est juste un fait réel, vous êtes certain de cela. Voyez-vous? Et cela doit avoir un fondement quelque part, non pas juste sur un mythe. Cela doit avoir pour fondement l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Vous savez donc où cela se trouve. Donc c’est–c’est vrai. Cela est rendu réel.

43        M. Le révérend Johnson, à ce que je sache, il pourrait se trouver ici maintenant. J’étais un prédicateur baptiste, il était un méthodiste, et nous avions l’habitude de tenir des réveils. Nous sommes tous deux originaires du même coin du Kentucky. Il a emménagé dans l’Indiana, il était pasteur de l’Eglise méthodiste de Main Street, une très belle église de New Albany. Moi j’avais un petit tabernacle à Jeffersonville.

            Après que le Seigneur a commencé à bénir les réunions, il a commencé à venir, il a dit: «Billy, vous devriez venir m’accorder une seule soirée.»

            J’ai dit: «Pas pour prier pour les malades, Frère Johnson. Je suis à la maison pour me reposer.»

            Il a dit: «Bien, venez simplement prêcher pour moi une seule soirée.» Eh bien, j’y suis allé. Il a dit: «Je vous promets que nous n’allons pas vous demander de prier pour les malades.»

            J’ai dit: «Ce n’est pas que je ne veuille pas, mais le problème est que je–je ne... même pas... Nous... J’habite ma maison depuis cinq ans, et pas une seule fois nous n’avons mangé dans notre maison sans que les stores de la fenêtre de la cuisine soient baissés.» Les gens sont... C’est comme cela... C’est juste comme lorsque je rentre à la maison. Chez-moi ce n’est pas chez-moi. Mais aussi longtemps que vous pouvez aider quelqu’un, c’est en ordre. Voyez?

44        Ainsi, lorsque ça devient insupportable, je quitte alors et je pars quelque part dans les montagnes, et je me repose une semaine ou deux, puis je reviens. Ainsi donc, lorsque... En allant à l’église ce soir-là, ils n’ont pas pu... Ils me firent entrer par une fenêtre de derrière. (Deux hommes se sont baissés, m’ont soulevé et m’ont fait entrer.) Il m’a dit de descendre au bas de l’escalier, il a dit: «Je vous avais dit, Billy, que vous ne prieriez pour personne, je ne voudrais pas vous demander de le faire.» Mais il a dit: «Nous avons une monitrice de l’école du dimanche ici, une jeune fille aimable, une femme, une jeune mariée.» Il a dit: «Elle est complètement fichue, presque.» Il a dit: «C’est une névrosée.» Il a dit: «Si vous pouvez juste lui imposer les mains, a-t-il dit, je pense que cela la satisferait.»

            Il a dit: «Elle a été partout, on a prié pour elle.»

            J’ai dit: «D’accord, frère Johnson.»

            Et je suis descendu; je pensais que j’allais voir une femme en camisole de force; une charmante petite femme se tenait là: elle semblait avoir à peu près trente ans, une douce petite femme dans son bon sens. Elle a dit: «Bonsoir, Frère Branham.»

            J’ai dit: «Est-ce vous la patiente?»

            Elle a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Je m’attendais à vous voir en camisole de force.»

            J’ai dit: «Quel est votre problème, soeur?»

            Et elle a dit: «Je ne sais pas, Frère Branham.»

            J’ai dit: «Depuis quand souffrez-vous de cela?»

            Elle a dit: «A peu près huit ans.» Et elle a dit: «J’ai tout fait.» Et elle a dit: «Je–je sais que j’ai perdu la raison.»

            J’ai dit: «Je ne pense pas que ce soit le cas.» J’ai dit: «Croyez-vous au Seigneur Jésus?»

            Elle a dit: «Oh! absolument.» Elle a dit: «J’ai une belle classe de l’école du dimanche de jeunes filles. A la mission de la 18e rue, je tiens là un service le dimanche après-midi et ainsi de suite, et j’enseigne un grand nombre d’enfants.» J’ai prié pour elle, je suis sorti. Et deux ou trois jours plus tard, je l’ai rencontrée dans la rue (ma femme et moi).

45        Alors lorsque nous l’avons rencontrée, eh bien, elle est entrée au Fair Store, ou je crois que c’était au White House. J’ai dit: «Voilà la dame en question.»

            Et je–j’ai dit: «Comment vous sentez-vous?» Elle était en compagnie de deux femmes.

            Elle a dit: «Oh! Frère Branham, mon état s’est plutôt aggravé.» Elle a dit: «Je–je ne sais simplement pas ce que je vais faire.» Elle a dit: «Je–je crois que je ne peux pas vivre une semaine de plus.» Et ainsi, elle était dans un état terrible. Et je suis entré là et j’ai prié pour elle à l’écart, aussi respectueusement que possible. Et j’ai dit: «Continuez votre route, maintenant, croyez.» Et nous sommes partis, je suis parti pour un long moment avant de revenir. Et elle ne cessait d’appeler mon épouse au téléphone.

            Elle disait: «Quand frère Branham tiendra une réunion pendant laquelle, il sera sous cette onction, disait-elle, c’est là la chose qu’il faut pour chasser ce démon de moi.»

            Elle disait: «Quelque chose doit faire cela.»

            Elle disait: «Je n’y arrive simplement pas. Partout dans le pays, des hommes [de Dieu] ont prié pour moi.» Et elle disait: «Et je... juste... Les médecins ne peuvent rien faire.» Elle dépensait dix dollars chaque semaine, depuis des années, pour se rendre chez ce fameux psychiatre de Louisville. Rien ne pouvait l’aider.

46        Alors un matin, lorsque cette vision que j’ai écrite juste ici m’a été donnée, la Parole du Seigneur, qui va s’accomplir en Afrique et en Inde... Je vais vous la raconter afin que vous puissiez l’écrire. Voyez si cela n’arrive pas textuellement tel qu’Il l’a dit. Ce matin-là, Il est venu dans la pièce où je me trouvais.

            Et lorsque ma femme est sortie là, elle a dit: «Billy, laisse-moi appeler d’abord cette jeune femme, s’il te plaît.»

            Elle a dit: «La pauvre petite créature.» Elle a dit: «Elle est en si mauvais état.»

            J’ai dit: «Très bien. Tu peux l’appeler.»

            Alors avant qu’elle n’arrive là, il y avait là d’autres personnes. Et, il y avait un homme qui venait de– de l’Eglise baptiste de Walnut Street, à Louisville, il était atteint d’un cancer du foie. Il est... Il y a trois–deux ans de cela, ça va faire trois ans. Et il est maintenant un membre de mon église là-bas, le petit tabernacle. Il vient tout le temps. Alors le Seigneur lui a dit ce qu’il avait fait. Il était un joueur de baseball, et le Seigneur lui a dit quelque chose qu’il avait fait et qu’il devait mettre en ordre. Et il l’a fait. Il a survécu.

47        Alors, lorsque la petite femme est entrée, elle s’est assise. J’ai demandé à mon épouse de la conduire dans mon bureau. J’ai dit: «Je veux que nous soyons seuls.» Et nous nous sommes installés; je me suis simplement mis à lui parler, juste comme je le fais ici à l’estrade. Et elle a dit... J’ai dit: «Quel est votre problème, soeur?»

            Elle a dit: «Frère Branham, je ne sais pas.» Elle a dit: «Je... On dirait que tout a simplement disparu, et je sens comme si je marchais sur la terre, que s’il m’arrivait de la secouer, elle va... Je sais qu’elle est suspendue dans l’espace, a-t-elle dit, elle va–elle va s’affaisser.»

            J’ai dit: «Oh! la la! vous n’avez pas ce poids-là.» Cela a donc continué juste comme cela.

            Et elle a dit: «Bien, j’ignore simplement ce qui ne va pas.» Elle a dit: «Je sais que je suis folle. Je–je sais que je le suis vraiment.» Elle a dit: «Je suis folle.» Et elle a dit: «On va m’envoyer dans un asile d’aliénés.» Et lorsque vous vous mettiez à lui parler, vous pouviez voir qu’il y avait donc un problème.

            Alors j’ai dit: «Bien, parlons simplement vous et moi, vous savez, par exemple, au sujet d’une Ecriture ou quelque chose comme ça.»

            Et elle a dit: «Très bien.» Elle ne cessait de se tordre les mains, et elle prenait son gant, et le roulait comme cela.

            Et j’ai dit: «Maintenant, je voudrais juste que vous déposiez vos gants, soeur, et que vous soyez simplement–simplement détendue.»

            Elle a dit: «Oh! je n’y arrive pas, Frère Branham.» Elle a dit: «J’aurais aimé pouvoir le faire.» Elle a dit: «Mais je n’y arrive pas.»

            J’ai dit: «Etes-vous–êtes-vous une chrétienne?»

            «Oui, tout à fait.»

            J’ai dit: «Frère Johnson m’a dit que vous étiez une de ses membres les plus remarquables, et il a dit, les plus fidèles.» Et il...

            Elle a dit: «Bien, je suis reconnaissante pour cela.» Et elle a dit: «J’essaie de l’être.» Et j’ai continué à l’observer. Et il m’arriva de voir droit en face de nous, voilà venir une petite voiture noire. Et je l’ai vue entrer dans l’ombre.

            J’ai dit: «Avez-vous déjà connu un accident d’auto?»

            Elle a dit: «Pas du tout. Non, je n’ai jamais connu un accident d’auto.»

48        [Espace vide sur la bande–N.D.E.] «... par litre. On peut vous oindre chaque jour. Tout le monde pourra se tenir autour de vous et crier, taper du pied, hurler, brailler.» J’ai dit: «Ce démon restera juste là, parce qu’il a le droit légal d’y rester.» J’ai dit: «Maintenant, voilà votre problème, si...» Elle... J’ai dit...

            Elle a dit: «Que dois-je faire?»

            J’ai dit: «Allez le dire à votre mari. Mettez cela en ordre.»

            Elle a dit: «Oh! je... Frère Branham, j’ai deux enfants, a-t-elle dit, cela briserait notre foyer.»

            J’ai dit: «Eh bien, c’est tout ce que je sais, soeur.» J’ai dit: «Eh bien, tous les psychiatres du monde ne peuvent pas vous débarrasser de cela. Personne ne le sait à part vous, cet homme-là et moi. Et le Seigneur le savait. C’est pourquoi Il l’a révélé.»

            Et elle a dit: «Bien, je–je ne peux simplement pas le faire. Je ne peux pas le faire.»

            J’ai dit: «Bien, maintenant...» Bien sûr, cela... voyez? Je suis sorti.

            Et elle a dit: «Non, non. Un instant, Frère Branham.» Elle a dit: «Ne partez pas. Ne partez pas. Un instant.» Et elle pleurait. La pauvre petite, j’ai eu pitié d’elle! Mais il n’y a qu’une... C’est une chose d’avoir pitié de quelqu’un, mais alors voilà le problème: vous devez être sincère avec les gens. C’est ça le problème aujourd’hui. Nous usons trop de la sympathie vaine. C’est vrai, vous devez dire la vérité et Dieu honorera la vérité.

49        Alors elle est sortie, ou plutôt je suis sorti, et elle m’a suivi, et–et je me suis retourné pour la regarder, et là dans la pièce se tenait juste à ses côtés un homme de grande taille aux cheveux noirs, ondulés, ramenés de côté.

            J’ai dit: «Votre mari est-il un homme de grande taille aux cheveux noirs et ondulés?»

            Elle a dit: «Oui, monsieur.» Et juste à ce moment-là, il me tourna le dos. Et alors, il avait une Chevrolet portant des écrits à l’arrière.

            J’ai dit: «Travaille-t-il pour la compagnie Chevrolet?»

            Elle a dit: «Oui.» Elle a dit: «Vous le connaissez?»

            J’ai dit: «Non, madame.» Mais j’ai dit: «Il–il a la même chose à vous confesser. Lorsqu’il est arrivé dans un autre pays, là où il était parti», et j’ai dit: «Ça fait moins de trois jours, votre mari se trouvait dans une voiture verte de marque Chevrolet avec une femme qui travaillait au bureau, elle portait un... une femme aux cheveux noirs avec une robe rose, et il vous a été infidèle.»

            Elle a dit: «Pas mon mari!»

            J’ai dit: «Si.»

            Elle a dit: «C’est un diacre à l’église.»

            J’ai dit: «Peu m’importe ce qu’il est», j’ai dit: «Ce n’est pas étonnant que frère Johnson passe des moments difficiles là-bas, ai-je dit, avec de telles choses.»

50        Ce sont des choses qui constituent le problème dans la moitié des églises aujourd’hui. Si les gens se mettaient en ordre, on aurait des choses...

            Et j’ai dit: «Maintenant, nous avons quatre téléphones par ici.» J’ai dit: «Appelez votre mari, et mettez cela en ordre. Et ensuite, nous parlerons au Seigneur. Mais aussi longtemps que la chose est là, c’est inutile de chercher à faire quoi que ce soit.»

           

51        Et je suis sorti, et elle... Meda s’est mise à lui parler. Elle est allée et a appelé son mari. Là... Une femme l’accompagnait, elle était assise dans la voiture. Elles sont allées et ils se sont croisés. Quelques minutes après, il est monté avec elle dans la voiture (il l’a rencontrée sur la route). Elle a dit qu’elle avait une confession à faire. Alors elle lui a parlé de son cas. Et elle a dit: «Je veux que tu me pardonnes.»

            Il a dit: «Je le ferai.» Et elle a dit: «Eh bien, cela ne fait pas deux jours , a-t-elle dit, n’étais-tu pas avec cette...» Elle connaissait la femme en question.

            Et il a dit: «Bien, euh... Où étais-tu?» Et elle... Il a dit...

            Elle a dit: «Est-ce la vérité?»

            Il a dit: «Qui te l’a dit?»

            Elle a dit: «Frère Branham.»

            Il a dit: «Chéri, c’est la vérité.» Et il a dit: «Si tu me pardonnes, je te pardonnerai. Et nous serons un... nous allons retourner à l’église et demander à Dieu de nous pardonner tous deux. Et nous allons vivre comme des chrétiens doivent vivre. Et nous élèverons nos enfants dans la bonne voie.»

52        Ma femme a dit: «Penses-tu qu’ils vont revenir?»

            J’ai dit: «Oui.» Les gens venaient. Après un moment elle est venue. Elle a dit: «Bill, viens.» Je me trouvais dans la pièce avec d’autres personnes. Et les voilà qui gravissaient les marches, ils avaient passé leurs bras l’un autour de l’autre, les larmes coulant sur leurs joues. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

53        Ô Eternel Dieu, Toi le Grand Jéhovah qui tonna du haut du mont Sinaï et écrivis les commandements, Toi qui tonna du haut du Calvaire et qui dis: «Tout est accompli.» La Parole de Dieu... Qu’est-ce qui était accompli? «Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités, le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris.» Tout est accompli.

            Oh! regardons au Calvaire ce soir, là où tout a été accompli et acceptons cela. Car nous sommes sauvés par Sa grâce au moyen de la foi, reconnaissant que c’est Ton appel et Ton élection. «Nul ne peut venir», as-Tu dit, à moins que Tu ne l’appelles. «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire.»

54        Nous voyons Abraham là-bas, qui ne valait pas plus que tout autre homme, quitter le pays de Chaldée, la ville d’Ur, aller dans la vallée de Schinear; il venait peut-être de Babylone, un idolâtre, mais Dieu, par une élection souveraine, l’avait choisi. «Abraham, Je t’ai sauvé toi et ta postérité après toi.» Ô Dieu, Tu lui as dit de regarder la poussière de la terre et de compter cela, le sable de la mer, et ensuite les étoiles des cieux; c’était innombrable. Sa postérité sortirait de la poussière et irait jusqu’aux étoiles.

            Ton Saint-Esprit ce soir... Nous qui sommes morts en Christ nous devenons la postérité d’Abraham et nous sommes héritiers selon la promesse. Combien je suis reconnaissant d’être assis avec les élus ce soir. Et ils m’appellent leur frère. Nous T’appelons notre Père. Et nous sommes reconnaissants.

55        Maintenant, manifeste Ton amour et Ta Présence aux gens. Et lorsque Toi, ici sur terre, lorsque Tu as parlé à la femme au puits, Tu as connu son péché. Tu as parlé à Nathanaël, un homme juste, Tu lui as dit ce qu’il faisait avant qu’il ne vienne à la réunion. Et Tu es Jésus, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et Tu es ressuscité des morts, et maintenant Tu vis éternellement.

            Viens, Seigneur Jésus, et oins ce pauvre serviteur inutile, et utilise-le ce soir comme un canal pour apporter Ta Parole à qui Tu veux. Au Nom de Jésus, je le demande. Amen. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

56        Les Ecritures déclarent qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement: Hébreux 13.8. Et puis, Jésus-Christ a dit: «Les choses que Je fais, vous les ferez aussi. Et encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» Est-ce juste?

            Maintenant, c’est... Si c’est ça l’Evangile et si c’est la vérité, alors Jésus-Christ va se manifester. Si ce n’est pas la vérité, Il n’était pas le Christ et c’est complètement faux. Nous ne pouvons que confirmer ou infirmer cela. Et si Jésus, lorsqu’Il était ici sur terre, les mêmes oeuvres qu’Il a faites ici sur terre devront se répéter, sinon Il n’a pas... [Espace vide sur la bande]

57        Un Juif bien connu du nom de Nathanaël vint vers Lui, après que Philippe l’eut trouvé et lui eut dit qu’il avait trouvé le Messie. Il... «C’est absurde.» Il ne pouvait croire cela.

            Il a dit: «Eh bien, alors...» Pourquoi ne pouvait-il pas croire cela? Lorsqu’Il vint et vit Qui c’était...

            Jésus lui a dit, Il a dit: «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.» En d’autres termes, un homme honnête, droit et pieux.

            Il a dit: «Rabbi (autrement dit Maître, Docteur, Révérend), Rabbi, quand m’as-Tu connu? Je ne Te connais pas.»

            Il a dit: «Avant que Philippe ne t’appelât, quand tu étais sous l’arbre.» Immédiatement, il a dit: «Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.» Il L’a reconnu. Son nom est immortel ce soir.

58        Aujourd’hui, il aurait probablement dit: «C’est de la télépathie. C’est un sorcier.» Les Juifs en ces jours-là taxèrent Jésus, parce qu’Il faisait cela, ils dirent qu’Il était Béelzébul. Béelzébul, c’est le chef des diseurs de bonne aventure, le pire de tous les démons. Mais Il ne l’était pas. Il était le Seigneur Jésus, le même Jésus, le même Dieu qui était sur les prophètes.

59        Maintenant, chantons Crois seulement pendant quelques minutes, s’il vous plaît. Tout le monde à l’unisson. Il se fait un peu tard. Je suis désolé, je... Vous êtes un auditoire si aimable. Je n’arrête pas de parler, et je ne devrais pas faire cela. Parce que c’est...

            Maintenant, vous réalisez... Combien ont vu hier soir la photo de la... C’est la... été prise... La même Colonne de Feu qui conduisit les enfants d’Israël à travers le désert, a été prise maintenant, et Elle est accrochée à Washington DC, la même Colonne de Feu. Qu’est-ce? C’est le même Dieu.

60        Elle fut manifestée dans un Homme appelé Jésus-Christ. Elle est manifestée aujourd’hui dans Son Eglise, le même Dieu (voyez?), la même Colonne de Feu. Et Le voici, nous avons la preuve de l’Ancien Testament au moyen de la photo. Et vous allez La voir. Regardez de ce côté. Des millions de gens à travers le monde L’ont vue. Sincèrement, Elle se trouve à moins de dix pieds [3 m–N.D.T.] de l’endroit où je me tiens maintenant même.

            Et puis, les signes du Messie. Maintenant, puisse le Seigneur accorder cela. Je vais juste regarder dans la ligne. A ce que je sache, aussi loin que je puisse voir, il n’y a personne ici que je connaisse, à part mon propre fils qui se tient ici avec les huissiers et monsieur le révérend Brewer qui est assis ici. Dieu, qui est mon Juge, sait cela. Je ne vois personne d’autre que je connaisse. Vous m’êtes tous inconnus.

61        Si je devais regarder ce petit bébé assis ici et dire qu’il est hydrocéphale, eh bien, ça ne serait pas un mystère. Vous diriez: «Bien sûr, je vois cela.» Mais la personne qui paraît bien portante, c’est celle qu’il faut. Maintenant, combien là-bas n’ont pas de cartes de prière et veulent être guéris? Faites voir votre main, partout. Levez votre main, partout, ceux qui veulent... Juste pour que je... Maintenant, je vais vous demander... Maintenant, quatre-vingt-dix pour cent d’entre vous n’ont pas de cartes de prière, parce qu’il n’y a qu’un certain nombre de cartes de prière qui ont été distribuées. En effet, nous ne pouvons pas en prendre plus que cela.

            Mais suivez, mes amis, si vous voulez bien regarder de ce côté et croire de tout votre coeur. Ayez simplement foi, voyez si Dieu ne va pas se manifester directement dans l’assistance comme Il le fit en Jésus-Christ, pour dire la même chose. Jésus connaissait leurs pensées là-bas, Il leur disait ce qui n’allait pas et quoi faire. C’est la même chose ce soir; c’est le Seigneur Jésus.

62        Eh bien, Sa Présence étant ici maintenant... Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je prends tout esprit dans cette salle sous mon autorité. (Maintenant, qui conduit...) Maintenant, nous devons être respectueux. Et maintenant, je–je dois parler à cet homme juste pendant un instant, pour voir ce que le Seigneur dira.

            Eh bien, Jésus, quand Il est arrivé à... Il devait passer par la Samarie et–avant d’aller à Jéricho. Ça, c’est bien loin du chemin. Mais le Père L’envoyait là-bas. L’Esprit qui était en Lui L’envoyait là-bas. Et Il envoya les disciples acheter du pain, de la viande. Et une Samaritaine sortit puiser de l’eau.

            Et Il a dit: «Apporte-Moi à boire.»

            Elle a dit: «Il n’est pas de coutume qu’un... vous les Juifs demandiez pareille chose aux Samaritains, car on n’a pas de relations.»

            Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui Me demanderais à boire. Et Je te donnerais une eau que tu ne viens pas puiser ici.»

            Eh bien, elle était surprise. Elle a dit: «Tu n’as rien pour puiser de l’eau.»

            Alors Il lui parla pendant quelques minutes, puis Il dit... Il toucha directement son problème, Il dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «C’est juste. Tu en as eu cinq.»

            Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Et elle entra dans la ville en courant et dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait.»

            Il ne lui a pas dit tout ce qu’Il–elle avait fait, mais Il lui a dit où se situait son problème. Et s’Il a pu faire cela, Dieu était capable de tout Lui dévoiler.

63        Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Crois-tu cela, jeune homme? Tu crois. Je te suis parfaitement inconnu. Je ne te connais pas. Je ne t’ai jamais vu de ma vie, je ne sais rien à ton sujet. Mais Dieu te connaît, et Il me connaît. Et Il nous a formés tous deux. Il nous a donné la vie. Et tout ce que nous avons reçu de bon vient de Dieu. Crois-tu cela? Alors tu es conscient que quelque chose est en train de se passer. Il y a... ce qui est autour de toi. En effet, je peux voir cela tournoyer, partant de moi vers toi. Tu es un croyant, un chrétien. Eh bien, était-ce exactement là ce que Jésus a dit à Nathanaël?

64        [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... assis là malgré tout. Vous êtes un chrétien. Et nous sommes frères, des esprits apparentés. Et vous êtes un homme, je suis un autre homme. Nous sommes tous deux enfants de Dieu. Il se peut qu’il y ait un problème dont vous ne savez rien. Il se peut qu’il y ait un problème dont vous savez quelque chose. Dieu vous aime. Il m’a envoyé, Il peut donc parler à travers moi si je suis Son voyant, et Il sait où se situe votre problème et ce qu’il faut faire. Il pourrait ne pas me le montrer, je ne sais pas. Mais je–je sais que nous sommes tous deux oints maintenant. Et je sais que le même Ange du Seigneur, cette Colonne de Feu, se déplace entre nous deux maintenant.

            Votre problème, c’est dans les yeux. Est-ce la vérité? Pourtant, vos yeux paraissent brillants et bons, mais ce n’est pas le cas. Ils s’affaiblissent et la vue baisse. Les nerfs de vos yeux meurent. C’est une maladie des nerfs qui a causé ceci. Autre chose, je vois que vous avez–vous avez eu un accident. Et cet accident a paralysé un côté ou quelque chose comme ça, n’est-ce pas juste? Et cela n’est pas encore rétabli. Cela vous cause des ennuis. Est-ce la vérité? Vous êtes... Si c’est la vérité... Eh bien, vous avez entendu ce qui a été dit, mais ce n’était pas moi. C’était ma voix, mais c’était Lui qui l’utilisait. Et c’était absolument la vérité. Oui...?... Approchez.

            Père miséricordieux, qui ressuscita notre Seigneur Jésus d’entre les morts et qui a manifesté Sa gloire à nous tous, et nous vivons ici à la fin des temps, à la clôture de ce grand âge... La bombe atomique est simplement prête à exploser à tout moment pour anéantir le monde entier. Je Te prie de faire d’eux des croyants et de guérir les malades, Seigneur, comme un témoignage de Ton amour envers eux.

            Et maintenant, j’impose les mains à mon frère et je demande sa délivrance. Au Nom du Bien-aimé Fils de Dieu, Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère. Allez, en vous réjouissant, étant heureux... très bien.

65        Maintenant, soyez respectueux. Ayez la foi. Croyez. Vous là-bas, priez et ayez simplement la foi.

            Très bien, monsieur. Etes-vous le patient, monsieur? C’est vous. Je suppose que vous et moi sommes inconnus l’un de l’autre. Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vu de ma vie. Dieu vous connaît.

66        Etes-vous la personne pour laquelle je venais de prier, monsieur? J’aimerais que vous me regardiez. Je voulais dire par là, comme Elie avait dit à Achab, il a dit: «Si ce n’était par égard pour Josaphat, je ne t’aurais même pas regardé.» Mais, il l’a regardé. Si nous ne nous connaissons pas, qu’il n’y a aucun contact entre nous deux, Dieu devra établir le contact, n’est-ce pas? Si Dieu me fait connaître quelque chose à votre sujet, qui vous aiderait, allez-vous alors accepter Jésus comme votre Guérisseur? Ou bien, si c’est... Si c’est de la guérison que vous avez besoin. Et c’est cela.

            C’est de la guérison que vous avez besoin, parce que c’est un trouble gastrique qui vous dérange. N’est-ce pas juste? Si c’est juste, levez la main. C’est un... de l’estomac. C’est dû à la nervosité. Cela a provoqué un ulcère, une maladie de l’estomac. Vous avez eu des ennuis avec cela. Et vous avez... Vous n’êtes pas de cette ville. Vous–vous avez roulé pour venir ici. Vous venez de–de loin, vraiment d’une longue distance. Je vois cela... Je pourrais dire une distance comprise entre cinquante [80 km–N.D.T.] et cent miles [160 km]. Quelque chose comme cela. Vous êtes venu. Vous–vous êtes...

            Il y a simplement quelque chose d’étrange à votre sujet. Un instant. C’est un... Vous avez un ami, et cet ami souffre d’un trouble cardiaque. Et cela–cela... Je crois que l’homme en question est un Juif. Et il–il est un petit... ne sait rien au sujet de Jésus. Il n’est pas converti au christianisme, pourtant il voudrait avoir un... Cet homme est ici dans cette salle. Le voici même assis juste ici, il est assis juste par ici, à côté d’une dame, juste là. Mon ami, Jésus est le Messie, le Fils du Dieu vivant, acceptez-Le maintenant comme votre Sauveur et votre trouble cardiaque va vous quitter. Si tu peux croire, tout est possible. Votre trouble gastrique vous a quitté. Rentrez chez vous et mangez tout ce que vous voulez maintenant. Que Dieu vous bénisse.

            Voici votre heure, mon ami Juif. Le Messie de Dieu qui connaissait Philippe vous connaît vous et votre compagnon. Et voici l’heure de prendre votre décision.

67        Croyez-vous? De tout votre coeur? Croyez-vous que je suis un serviteur de Dieu? Vous souffrez d’un cancer et d’un trouble de la vésicule biliaire. Vous craignez que cela soit aussi un cancer, ce qui est bien le cas. Croyez-vous que le Fils de Dieu, que Son Esprit est ici pour vous rétablir? Croyez-vous que c’est Lui qui est en train de parler, ce n’est pas moi? Et Il est en train de parler à travers ceci. Alors si c’est Sa voix qui parle à travers moi, donc Sa Présence est ici. Il a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.» Croyez-vous ceci? Approchez.

            Ô Dieu, Toi qui créas les cieux et la terre, Toi qui créas tout par Jésus-Christ, le Fils de Dieu, j’impose les mains à cette femme qui est mourante et je Te demande de lui accorder la vie. Epargne-lui la vie, Seigneur, et que la puissance de l’ennemi la quitte maintenant. Je réprimande cela au Nom de Jésus-Christ, que cela sorte...?...

            Que Dieu vous bénisse, ma soeur. Allez maintenant, réjouissez-vous, soyez heureuse. Réjouissez-vous réellement, et remerciez le Seigneur pour Sa bonté.

68        Vous pouvez venir, madame. Si notre Maître se tenait ici à l’estrade dans une chair humaine, comme moi, portant ce costume qu’Il m’a donné, si c’est la guérison que vous attendez avec impatience, Il vous montrerait le sacrifice qu’Il a accompli au Calvaire. Il ne pourrait pas le faire une seconde fois; Il l’a déjà fait. Vous devez accepter cela. Alors, je réalise qu’entre vous et moi... sachant que vous êtes une chrétienne, une croyante, je peux donc dire que vous êtes ma soeur. Alors, dans Sa bonté, notre Père céleste a envoyé à l’Eglise des prédicateurs pour prêcher la Bible, des docteurs pour enseigner cela, des prophètes pour saisir la prescience de Dieu, des dons de parler en langues et d’interprétation des langues, afin de manifester des oeuvres dans l’Eglise. Il est plein d’amour.

            Alors, par la grâce de Dieu, puis-je être en mesure de vous transmettre l’amour de Dieu, au Nom de Son Fils Jésus. Vous devez croire à la guérison divine. Que Dieu vous bénisse, madame. Vous avez été guérie une fois auparavant. Vous avez été guérie d’un cancer de l’estomac. Est-ce vrai? Et vous aviez l’arthrite et d’autres petites choses dont vous avez été guérie. N’est-ce pas vrai?

69        Et vous-même, vous priez pour les malades. Oui, oui. Vous allez partout prier pour les malades. Vous avez donc développé une sorte de rhume, cela–cela vous dérange. Et vous avez passé une radiographie. Et on vous a dit que vous avez une tache aux poumons. Alors au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je condamne cette tache, que cela vous quitte! Et puissiez-vous être rétablie au Nom de Jésus-Christ. Je condamne ce démon qui voulait ôter la vie à cette femme. Ce dont vous vous inquiétez, ce sont les ténèbres. Voyez?...?.. les ténèbres vous ont quittée. Que Dieu vous bénisse, soeur. Partez en remerciant Dieu et en vous réjouissant, étant heureuse.

            Pouvez-vous croire? Tout est possible, si vous pouvez croire.

70        Bonsoir. Nous sommes des inconnus l’un à l’autre, je suppose. Nous ne–ne nous connaissons pas. Dieu seul nous connaît. Mais pour ce qui est de vous guérir, je ne peux pas. Mais votre vie ou bien... ne peut être cachée. Dieu Se tient ici. Il peut se manifester. Vous souffrez de l’arthrite. Je vous vois essayant de vous déplacer à l’intérieur de la maison quelques fois, et vous devenez raide. Et vous... Je vois un... Vous allez à un endroit. C’est un–c’est un hôpital ou quelque chose comme ça. C’est une–c’est une opération. C’est sur votre côté. On–on–on a enlevé un–un cancer de votre côté. Je vous vois... un cancer. Je vois cela écrit sur une petite liste que tient le médecin. Un homme plutôt court. Il a écrit cela sur une liste, le cancer. Et ce n’est pas... ce n’est pas encore guéri. Ce n’est pas réglé. Cela vous cause encore des ennuis.

            Mais Jésus-Christ est ici afin de guérir cela. Le croyez-vous? Approchez. Bienveillant Père céleste, que Ta miséricorde vienne sur notre soeur. Et nous condamnons l’ennemi maintenant, et au Nom de Jésus que cela s’en aille, que cela soit guéri. Amen. Que Dieu vous bénisse, ma soeur. Il L’a envoyé...

71        Bonsoir. Maintenant, vous dites: «Imposer les mains?» Oui. C’est ce que le Seigneur a dit. «Pourquoi imposer les mains?» C’est ce qu’Il a ordonné. Oh! cela me fait tellement de peine que l’église ne soit pas du tout à la hauteur. Vous ne réalisez pas... Je me repose juste un instant. Les visions m’affaiblissent. Vous vivez dans deux mondes. Vous êtes ici et ensuite, vous êtes dans un autre monde. Vous n’y pouvez rien. C’est juste comme si vous faisiez un rêve les yeux ouverts. C’est Dieu qui fait cela dans Sa grâce souveraine. Ce n’est pas parce que vous l’avez demandé. Vous ne pouvez pas le demander. Dieu fait cela Lui-même.

            Avant que vous ne soyez né, ceci a été établi par Dieu. C’est votre subconscient, scientifiquement parlant. C’est comme lorsque vous faites un rêve. Cette conscience est inactive et celle-ci devient active. Ensuite, lorsque vous vous réveillez... Lorsque vous êtes endormi, vous rêvez des choses que vous avez faites ici. Alors, lorsque vous vous réveillez, celle-ci est inactive, et l’autre ici est active. Et puis, vous vous rappelez des choses que vous aviez rêvées il y a des années. Une partie de vous se trouvait quelque part.

            Certaines personnes ne rêvent pas. Leur subconscient est très éloigné là au fond. Un homme qui rêve ne dort pas profondément. Et puis, il ne peut pas s’empêcher de rêver. Et un voyant, son subconscient n’est pas là au fond, ni ici. C’est juste ici. Il ne va pas dormir. Il passe carrément d’un monde à l’autre, du naturel au surnaturel.

            Le grand prophète Daniel a eu une seule vision, il en eut la tête troublée pendant plusieurs jours. Cela l’a affaibli.

72        Croyez-vous? Si Dieu me révèle là où se trouve votre problème, cela sera-t-il suffisant pour vous? Vous souffrez de l’asthme. Est-ce vrai? Maintenant, partez. Portez-vous bien. Au nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu.

73        Venez, ma petite dame, comme ça nous pourrons...?... Maintenant, si seulement vous croyez et avez la foi et ne doutez pas, juste une minute, là, madame. Est-ce qu’on venait de prier pour vous? Venez-vous d’être guérie alors que vous vous teniez ici? Venez-vous d’être guérie? Etes-vous la dame qui se trouvait ici, pour laquelle on a prié juste tout à l’heure? Absolument. J’ai vu cette Colonne de Feu qui était suspendue là, et je... Non, Elle est suspendue au-dessus de quelqu’un d’autre. C’est une–une autre femme. Elle porte des lunettes. Et la femme en question a une maladie de la peau. Aie pitié! Et que Dieu vous bénisse et vous rétablisse maintenant. Croyez de tout votre coeur, vous pouvez recevoir cela.

74        Croyez-vous, vous la dame assise là? Vous avez aussi le diabète. Alors ayez simplement foi en Dieu. Dieu va vous rétablir. Vous étreignez votre petit ami là qui souffre d’un ulcère du foie. Croyez-vous que–que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, va vous guérir, qu’il va vous rétablir? Si vous croyez...

            Juste comme vous vous tenez là avec ce trouble gastrique. Vous n’avez pas... Vous l’aviez lorsque vous êtes montée ici, mais vous n’en avez plus maintenant. Alors vous pouvez vous en aller et être rétablie.

75        Ayez simplement la foi. Croyez, c’est tout ce que je vous demande de faire. Croyez simplement que le Seigneur Jésus-Christ existe et qu’Il est le Rémunérateur de ceux qui Le cherchent.

            Voulez-vous guérir de cette arthrite? Acceptez votre guérison. Dites: «Je crois en Dieu de tout mon coeur.» Maintenant, allez et ne dites plus jamais que vous avez cela. Cela vous quitte. Ayez la foi.

            Juste une minute, madame. Quelque chose vient de se produire juste là, tout à l’heure. Oh! je vois, c’est l’homme qui est assis là; il souffre de l’asthme. Croyez-vous que Jésus va vous rétablir, monsieur? Tenez-vous debout alors, acceptez votre guérison. Arrêtez de tousser. Je condamne cela au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Ayez seulement la foi, c’est tout ce que je vous demande de faire.

76        Vous avez le diabète, n’est-ce pas? Voulez-vous guérir de cela? Acceptez-vous Jésus comme votre Guérisseur? Alors partez et les jours de l’insuline seront finis pour vous. Au Nom du Seigneur Jésus, puissiez-vous recevoir cela. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas.

77        Oh! Dieu s’approche de vous. Vous étiez très nerveux, n’est-ce pas? Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Absolument. On pensait parfois que vous souffriez d’un trouble cardiaque, n’est-ce pas? C’est une dépression nerveuse, une sorte de tremblement... Un... Oui. J’ai vu lorsque le médecin vous a parlé de votre trouble cardiaque, cela vous a secoué. Si vous acceptez Jésus comme votre Sauveur maintenant, ce qu’était votre désir depuis longtemps... Vous êtes un pécheur et vous avez besoin de Jésus-Christ comme votre Sauveur. L’acceptez-vous comme votre Sauveur maintenant? Partez, vous êtes guéri, frère, et vos péchés vous sont pardonnés. Que Dieu vous bénisse.

            Croyez-vous ceci? L’Ange du Seigneur est tout près pour guérir. Venez.

            Pauvre vieille mère qui êtes assise là, souffrant de cette névrite, voulez-vous que Dieu vous guérisse? Croyez-vous qu’Il va le faire? Si vous le croyez de tout votre coeur, vous pouvez l’avoir. Tenez-vous debout, et acceptez alors cela. C’est juste. Cela vous a quittée, mère.

78        Monsieur, vous qui vous frottez le visage là-bas, réalisez-vous que vous êtes sur le point de mourir de la leucémie, n’est-ce pas juste? Tenez-vous debout juste une minute. Que Dieu soit miséricordieux envers vous. Père, je réclame la vie de cet homme au Nom de Jésus, qu’Il vive et ne meure pas. Amen. Ô Dieu, accorde-le.

            Que Dieu vous bénisse, frère. Votre ami qui pleure là, celui qui est assis juste à côté de vous, il souffre très sérieusement de l’asthme, il désire aussi être guéri. Voulez-vous vous tenir debout, monsieur, et accepter votre guérison de l’asthme? Que Dieu vous bénisse.

            Voulez-vous guérir de ce trouble gynécologique, madame? Partez simplement en vous réjouissant et en remerciant Dieu. Et soyez guérie.

79        Venez, ma petite dame, continuez simplement à marcher, cet asthme vous a quittée lorsqu’elle a quitté cet homme là-bas. Continuez simplement la marche et dites: «Grâces soient rendues à Dieu.»

            Combien veulent être guéris? Le Saint-Esprit est ici. Si vous avez besoin de guérison, c’est maintenant l’heure de la recevoir. Croyez-vous que je suis un serviteur de Dieu? Qu’est-ce que Jésus-Christ devrait faire de plus pour prouver qu’Il est le Fils de Dieu ici au milieu de vous?

            Votre foyer va être dans la joie, monsieur.

80        J’aimerais que vous fassiez ceci pour moi. Si vous croyez que je suis Son serviteur, imposez-vous les mains les uns aux autres, et vous verrez le Royaume de Dieu entrer en vous. Imposez-vous les mains les uns aux autres.

            Au Nom de Jésus-Christ le Fils de Dieu, je condamne chaque maladie dans cette salle.

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