Jésus-Christ Est Le Même Hier, Aujourd’hui Et Eternellement

Date: 55-1113 | La durée est de: 1 heure et 46 minutes | La traduction: Shp
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1          Léo, Gene, où êtes-vous? Rassurez-vous de garder cette bande-là. A ma mort, si on chante cela, eh bien, ce sera merveilleux. Je pourrai passer de l’autre côté merveilleusement. Oh! la la!

            Le cantique, j’en connais très bien le compositeur, le poète, plutôt. C’est un très cher ami à moi qui l’a composé là dans un champ de maïs ; il était tellement pauvre qu’il avait un carton au fond de ses chaussures, frère Booth-Clibborn. Et je–je... C’est mon ami intime.

2          Et donc, je... Chaque fois que j’entends cela... Et–et aujourd’hui où on ose faire de Jésus juste un prophète, cela montre vraiment qu’Il était la Divinité. Et je–j’aime ça, pas vous? Certainement. Il était plus qu’un prophète. Il était le Fils de Dieu. C’est ce qu’Il était.

            Ainsi, nous sommes très reconnaissant pour de grands hommes, des poètes. Et je me dis donc que, quand tout sera terminé, quand nous les rencontrerons tous, ça sera un temps merveilleux, n’est-ce pas?

3          Nous sommes donc content d’être ici cet après-midi pour commencer nos services de guérison, ou je veux dire la prière pour les malades, plutôt. Et j’ai confiance en Dieu qu’il n’y aura pas quelqu’un de faible parmi nous à la fin du service. Que le Dieu du Ciel accorde cela, c’est ma prière.

            Et j’ai vu cela arriver si souvent, que notre Seigneur Jésus a complètement guéri tout le monde du coup. Je les vois entasser des civières, des béquilles, des fauteuils roulants, et ils prennent des camions et les emportent, et tout le monde s’en va bien portant. Si seulement ils peuvent afficher une attitude correcte.

            Et c’est la raison pour laquelle nous avons consacré ces quatre dernières soirées aux services d’instruction, à la prédication de l’Evangile, et à chercher à trouver grâce auprès de notre Seigneur.

4          Eh bien, en venant ici à Los Angeles, je pense que ceci en est une partie. Cela s’étend jusque là loin ; je contourne ces collines et on me dit: «Vous êtes toujours à Los Angeles.»

            Je–je frémis pratiquement à l’idée de commencer à prêcher sur la guérison divine, non pas à cause du Message, mais à cause de la manière dont cela a été maltraité, le Message de la guérison divine. Et vous–vous trouvez cela, certainement, chez les... tous les niveaux... de toutes les couches sociales. Ils–ils ont le pour et le contre. Et nous avons un... Il n’y a jamais eu un–un faux dollar au monde avant qu’il y ait eu un vrai à partir duquel le faux a été contrefait. Voyez-vous? Ainsi, cela devrait seulement mettre le vrai dollar en évidence, quand il y en a un faux.

            Eh bien, je pense que dans notre petite assistance de cet après-midi, il y a des méthodistes, des baptistes, des presbytériens, des catholiques, des luthériens, des pentecôtistes, des membres de l’Eglise de Dieu. Oh! c’est vraiment composé de toutes les différentes dénominations. Et c’est ainsi qu’il en sera au Ciel.

5          Et je–j’aimerais faire cette petite remarque ici afin que je puisse exprimer, sans m’adresser personnellement à qui que ce soit, à une certaine dénomination, ou à une phase... Mais quand on parle de la guérison divine, lorsqu’on vient ici à Los Angeles, surtout... Je me souviens de la première fois que j’étais venu. Il y avait un homme très remarquable ici à Los Angeles, un ministre très remarquable de l’église dénominationnelle d’où je suis sorti, l’Eglise baptiste. Je lui parlais au téléphone. Il a dit: «Frère Branham, ne parlez pas de la guérison divine à Los Angeles.» Il y a de cela huit ans.

            J’ai dit: «Pourquoi donc, monsieur?»

            Et il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, vous ne comprenez simplement pas dans quoi vous entrez.» Il a dit: «Tout est guérisseur à Los Angeles.» Il a dit: «Cela est simplement suspendu à chaque enseigne et partout.» Et il a dit: «Certaines des choses les plus horribles que vous ayez jamais entendues sont appelées la guérison divine.»

            «Eh bien, ai-je dit, c’est peut être vrai, mon frère, et j’apprécie votre sincérité, mais cependant, il y a un message de la guérison divine qui est la vérité.» Voyez? C’est vrai.

6          Et maintenant–maintenant, j’aimerais vraiment clarifier ceci, afin que tout le monde comprenne parfaitement que je crois que la guérison divine n’est pas quelque chose qu’un individu ici sur cette terre peut faire pour vous. Je crois que ce sont–ce sont les–les résultats de l’expiation du Sang de Jésus-Christ au Calvaire. C’est ce que...

            Je ne crois pas qu’une huile qui coule de mes mains puisse guérir quelqu’un. Je ne crois pas qu’elle ait quoi que ce soit à faire avec cela. Et je crois que si je le déclarais, ce serait absolument antichrist, ce serait ôter quelque chose de Christ. S’il y a une quelconque vertu dans cette huile qui coule de mes mains, ou des mains de n’importe qui, ou de n’importe quoi d’autre qui vient de moi, cela ôte quelque chose du Calvaire, et ça serait anti, contre Christ.

            Et je–je ne crois pas qu’il y ait une quelconque puissance dans un homme pour guérir les autres. Je crois que tout ce qu’un homme peut faire, de façon légitime... Eh bien, assurément, nous avons des gens qui croient qu’ils... de telles choses. Mais je ne vois pas comment vous les protestants, vous pouvez alors condamner les catholiques au sujet de la sainte eucharistie, si vous pouvez adopter de telles choses. Mais... Voyez? Mais là où il y a des ismes, souvenez-vous, amis, c’est seulement un signe d’une véritable guérison authentique de Dieu. Voyez?

7          Eh bien, j’ai eu beaucoup d’expériences dans ma vie, pour être pas plus vieux que je le suis. J’ai vu des sorciers guérisseurs dans le domaine de la guérison. J’ai vu des devins, des émotions mentales. J’ai... Et tout cela ensemble, tout cela est appelé la guérison divine.

            Eh bien, le fait d’être travaillé mentalement, ou par de l’émotion, ça existe, mais cela ne veut pas du tout dire la guérison. La guérison est réelle, du moment qu’elle vient directement de Dieu par votre propre foi ; c’est tout.

            Eh bien, je ne crois pas qu’il y ait quelqu’un sur la terre qui puisse vous pardonner vos péchés. Eh bien, si vous aviez péché contre moi et que vous me demandiez de vous pardonner ce que vous avez fait contre moi, ce serait en ordre, je pourrais vous pardonner cela. Mais il n’y a que Dieu seul qui peut vous pardonner les péchés que vous avez commis contre Lui, contre la Bible et contre la nature. Et c’est pareil pour la guérison.

            Eh bien, afin que vous, en abordant ce sujet... Et je n’ai pas eu beaucoup de temps aujourd’hui pour prier. On m’a fait parcourir la contrée jusqu’à une petite pièce privée où je dois être le reste de la semaine en prière pour des services de guérison.

8          Mais pour vous, mes chers frères, prédicateurs, j’aimerais que vous compreniez parfaitement qu’en abordant ce sujet de la guérison divine, j’attribue tout cela au Calvaire et aux oeuvres accomplies par notre Seigneur Jésus au Calvaire. Il ne s’agit pas d’une émotion mentale, ou d’un emballement, ni de la divination. Il s’agit effectivement de votre foi dans l’oeuvre accomplie au Calvaire.

            Je crois que tout salut... que chaque pécheur a été pardonné de ses péchés quand Jésus mourut au Calvaire. Chaque créature qui existerait jamais sur la terre a été parfaitement... Son–son salut a été acquis quand Jésus mourut au Calvaire. Eh bien, cela ne lui fera jamais du bien à moins que sa propre foi personnelle accepte cette oeuvre accomplie.

            Je crois que toute la guérison qui ait jamais été accomplie, ou qui sera jamais accomplie, a été accomplie au Calvaire. Il était blessé pour nos péchés ; et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été (au passé) déjà guéris au Calvaire. Eh bien, tout ce que je peux faire, moi ou n’importe quel autre ministre peut faire, c’est prêcher la Parole, ou faire quelque chose de telle manière que cela vous amènera à avoir la foi dans les oeuvres accomplies par le Seigneur Jésus au Calvaire, ce que votre foi a déjà acquis.

9          Eh bien, il y a dans la Bible une Ecriture sur–sur la façon dont l’antitype et les antitypes... les types et les antitypes, excusez-moi, sur Moïse et le serpent d’airain. Il l’a élevé, le serpent d’airain ne priait pour personne. Mais les gens regardaient à l’ombre de notre Seigneur Jésus, qui était le Serpent d’airain sur la perche, et ils étaient guéris, tous ceux qui regardaient, vivaient. Et s’ils ont pu être guéris en regardant au type, que pourriez-vous faire avec l’antitype, et la Présence du Saint-Esprit? Voyez?

            C’est... La guérison divine est une partie de l’Evangile. Et je crois que la guérison divine est un–est un attribut. Ou, je m’excuse, la guérison divine est le gage de notre résurrection.

            Eh bien, nous avons le gage de notre salut. Nous en sommes conscients maintenant. C’est le Saint-Esprit. Nous avons cela comme gage, ce qui nous donne de bonnes dispositions dans nos coeurs, après avoir reçu Christ dans nos coeurs. Nous–nous nous abstenons du péché, nous nous séparons du péché. Toute personne qui est donc née de nouveau de l’Esprit de Dieu (Je le crois vraiment de tout mon coeur) désire se séparer des choses du monde. Je le crois.

10        Et puis, je crois que cela est... Nous avons la joie, une joie dont débordent nos coeurs, de savoir que nous sommes passés de la mort à la Vie ; en effet, nous aimons les frères. Et notre esprit rend témoignage à l’Esprit de Dieu que nous sommes fils et filles de Dieu. Et quelle joie nous éprouvons en faisant cela! Et c’est le gage de notre victoire totale lorsque Jésus viendra, et que même la mort elle-même s’enfuira.

            Aussi, je crois que la guérison divine est le gage de notre résurrection. En d’autres termes, c’est l’acompte, la preuve de notre résurrection. Et sans aucune hésitation, je dis cela de tout mon coeur, en tant que chrétien, avec l’amour chrétien envers tous les hommes, que j’ai vu certaines des choses les plus extraordinaires que j’aie jamais entendues ou lues, s’accomplir par notre Seigneur Jésus. J’ai vu trois cas distincts qui ont été attestés par un médecin, des gens qui étaient morts, parfois pendant des heures, gisant là, et qui sont vivants aujourd’hui comme témoignage.

            La prière change des choses, lorsque vous priez. Eh bien, je crois dans la prière pour les malades, mais non pas la guérison des malades, et je ne leur reconnais aucune vertu pour être guéris, ni quoi que ce soit qui vient de vous qui guérirait les malades. Je crois dans la prière pour les malades.

11        Eh bien, j’ai vu des estropiés marcher, des aveugles, des sourds, des muets, et vous savez comment ça se passe. Et je sais que je dois me tenir dans la Présence de Dieu avec chaque personne ici présente aujourd’hui et rendre compte de ce que je dis. Et je dois peser mes mots. En effet, le Seigneur m’a aidé, alors que je suis une pauvre personne indigne et instr-... non instruite. Je n’ai même pas le niveau d’instruction de l’école primaire ; cependant Il m’a permis de prier pour des rois, des potentats et des monarques à travers le monde.

12        Il y a quelques jours, je parlais à ma femme... Tout le monde connaît l’histoire de ma vie, comment mon père buvait et tout. Et ce n’est pas... Je n’aime pas relater cela. Il s’agit de ma famille. Mais c’est la vérité. Vous savez, nous devons être véridiques au sujet des choses.

            Et je me souviens, il n’y a pas longtemps... quand j’étais un jeune homme, j’allais en ville, ma petite ville. C’était bien connu dans la contrée là, ce qui était arrivé. Quelqu’un pouvait être en train de me parler ; juste parce que quelqu’un d’autre s’approchait, on me marginalisait. Ils... Personne... on dirait que c’était une espèce de mépris.

13        Et l’autre jour, je disais à ma femme, qui est... Elle est assise présentement ici maintenant. Je disais: «Chérie, penses-y. Ça y est. Il me faut aller dans les montagnes passer un petit temps seul.» Je disais: «Qu’est-ce qui a fait cela alors que je n’avais pas d’ami?» Ce n’est pas à cause de quelque chose que j’ai fait, mais la réflexion.

            Je disais: «D’habitude, je n’avais pas... Personne ne semblait m’aimer. Et maintenant, j’ai des millions d’amis à travers le monde.» J’ai dit: «Qu’est-ce qui a fait cela, mon instruction? Je n’en ai aucune. Qu’est-ce qui a fait cela, ma personnalité? Je n’en ai aucune. Mon autorité? Je n’en ai aucune, mais Jésus-Christ, le Fils de Dieu, qui m’a sauvé. C’est par Sa grâce que j’ai ça.»

            Et j’ai toujours aimé les gens. Et j’aimerais aider les gens. Et si je vois un clochard, je pourrais–je pourrais mettre en gage ma veste... Je ne le dis pas pour le... Je serais un hypocrite si je faisais un tel commentaire, ici, du haut de cette chaire, si je ne suis pas sincère dans mon coeur, sachant que d’ici peu je vais affronter de mauvais esprits et autres. J’aurais peur de faire cela. Mais je–je–j’aime le Seigneur. Et j’aime les gens. Et j’aime aider les gens.

14        Et l’unique moyen pour moi de vous aider, c’est que vous me croyiez que je vous dis la vérité au sujet de Jésus-Christ, c’est l’unique moyen par lequel le secours peut venir.

            Si je n’étais pas un prédicateur, j’aurais bien voulu être un médecin, ou quelque chose comme cela ; ainsi, je pourrais aider quelqu’un, aider à accomplir quelque chose.

            Je... Un jeune homme nous a servi ce matin, alors que j’étais à court de carburant. C’est un étudiant en médecine. Et je lui ai dit qui j’étais. J’ai dit: «Monsieur, si mon fils ne devenait pas un prédicateur, j’aimerais qu’il devienne un médecin. J’aimerais que mes filles soient des infirmières ou quelque chose comme cela.»

            Vous ne savez pas la joie qu’on éprouve, pas de s’aider soi-même, mais d’aider les autres. Vous éprouvez donc vraiment de la joie lorsque vous pouvez aider quelqu’un. Et je–je sais que vous savez de quoi je parle.

            Et alors, aujourd’hui, sachez-le, ami, que j’aborde la guérison divine sur base du Sang versé du Seigneur Jésus, sur base de votre foi et de ma foi ensemble dans ce qu’Il a accompli pour nous au Calvaire. Est-ce que tout le monde comprend très bien? Dites: «Amen.» C’est...

15        Eh bien, souvenez-vous, c’est quelque chose. Eh bien, beaucoup de ministres, de très braves prédicateurs... Je ne suis pas tellement un prédicateur. Je me considère toujours comme un pneu de réserve. C’est quand on connaît une crevaison, vous savez, qu’on s’en sert. Ainsi, mais, beaucoup... leur...

            Dieu a placé dans l’Eglise les uns comme docteurs, les autres comme évangélistes, les autres comme prophètes, et les autres, les dons de guérison et–et tous les divers genres de dons, Dieu les a placés dans l’Eglise. Est-ce vrai? C’est Dieu qui les a placés dans l’Eglise. Et souvenez-vous-en.

            Or, chaque homme reconnaît son appel. Eh bien, un... Beaucoup de ministres... j’ai un petit ami, un jeune frère pentecôtiste, c’est un de mes convertis à la guérison divine, c’est le frère Tommy Osborn. Je ne sais pas si vous l’avez déjà connu ou pas. C’est un très brave frère, très aimable. Si jamais il vient dans cette région, faites passer vos bras autour de lui et embrassez-le de ma part, car c’est vraiment un jeune frère merveilleux. Et plusieurs autres sont aussi mes frères, eux tous le sont. Mais je veux dire, je parle simplement de Tommy.

            Quand il est venu vers moi, c’était un jeune homme très nerveux. Il a commencé... Il a contourné son véhicule deux ou trois fois en courant, juste après cette série de réunions de Portland là ; et il avait vu ce fou être terrassé par la puissance de Dieu. Alors, il a dit: «Oh! a-t-il dit, Frère Branham, pensez-vous que j’aie un don de guérison?»

            J’ai dit: «Tommy, chéri, ne pense pas à ça.» Voyez? J’ai dit: «Tu sais que tu es un prédicateur.»

            «Oui.»

            J’ai dit: «Tu sais quoi? Tu sais, la Parole de Dieu vaincra Satan partout, à n’importe quel lieu, n’importe quand, dans n’importe quelles conditions.» C’est vrai, la Parole de Dieu. C’est vrai.

16        J’ai dit: «Quand Jésus était ici sur terre, nous savons qu’Il était Emmanuel.» Nous le croyons tous. Il n’était pas simplement un Prophète. Il était Dieu, manifesté dans la chair. Alors, quand Il était ici sur terre, toutes les puissances que le Père Lui avait données, tout ce qui était en Lui... Il était Emmanuel, Dieu en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.

            Mais quand Il a rencontré Satan, Il ne s’est jamais servi d’une quelconque de Ses puissances. Il s’était servi de la Parole de Dieu. Il a dit... Satan a dit: «Si Tu es le Fils de Dieu, j’aimerais que Tu accomplisses un miracle ici, que je Te voie le faire.» Voyez? C’est toujours l’attitude de Satan. «Que je Te voie faire quelque chose. Fais marcher cet homme. Fais que...» Voyez? Voyez? «Que je Te voie accomplir un miracle et changer ces pierres en pains.»

            Jésus a dit: «Il est écrit: L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.»

17        Puis après, il L’a transporté sur le haut du temple. Et il a pu aussi citer les Ecritures, enduire les Ecritures plutôt, enduire. Il y a une différence entre enduire [coat] et citer [quote].

            Il a donc dit: «Il est écrit: Il donnera des ordres à Ses anges à Ton sujet, de peur que Ton pied ne heurte contre une pierre, et ils Te porteront. Jette-toi simplement du haut de ce temple. Juste avant que Tu atteignes le bas, eh bien, les anges Te porteront.» Et Il a dit... Il l’a réprimandé avec la Parole.

            Il L’a transporté sur une montagne, il L’a placé là. Il l’a encore réprimandé avec la Parole. Il a vaincu Satan avec la Parole de Dieu, montrant que le chrétien le plus faible peut vaincre Satan avec l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Il est écrit. Il est écrit.

18        Souvenez-vous-en, ami. Gardez... Eh bien, les frères peuvent passer avec les ministères de la guérison, ce qui est merveilleux. Je rends grâces à Dieu pour chacun d’eux. Mais... Ils peuvent passer, mais cela ne dépend pas de ce frère-là, car bientôt il quittera la contrée.

            Il peut être une grande personne de foi, il peut être à mesure de vous aider à croire. Mais un jour, il quittera. Mais si seulement vous placez votre foi dans la Parole et que vous croyez que c’est la Parole de Dieu, alors vous pouvez vaincre Satan n’importe où, n’importe quand. Qu’il n’y ait pas de prédicateur sur un rayon de mille kilomètres autour de vous, vous pouvez toujours vaincre Satan là, sur–sur base de la Parole de Dieu.

            Ainsi, tout ce que nous essayons de faire, cela doit provenir de la Parole, sinon pour moi, ce n’est pas vrai. Voyez? Cela doit En provenir. Ceci est la Vérité fondamentale de Dieu.

19        Et si jamais vous connaissez ou vous m’entendez prêcher quelque chose qui n’est pas soutenu par cette Bible, alors attirez mon attention là-dessus. En effet, ce n’est pas ça que je–j’aimerais faire. Ecrivez-moi simplement une petite lettre, et dites-le-moi, ou dites à l’un des huissiers que vous–que vous aimeriez me montrer là où j’ai été en erreur. Et mon cher frère, je serai certainement humble. Si je suis en erreur, je n’aimerais pas rester en erreur.

            Mais sachant, après que cela eut été examiné année après année, chaque nation sous différent... Chaque–chaque brasero de l’enfer a été lancé dessus. Et chaque fois, Dieu en sort victorieux, remporte la victoire et amène des milliers à venir à Christ.

            Eh bien, nous ne pouvons pas parler de tout ce que j’aimerais vous dire sur la guérison divine en un seul court après-midi et tenir un service de guérison. Mais j’aimerais lire un passage dans la Parole de Dieu, et ensuite vous expliquer ce que je crois de la Parole de Dieu. Et puis, nous formerons une ligne de prière.

            Chaque jour, nous distribuons des cartes de prière afin de garder les gens en ligne et passer en ligne. Nous appellerons à partir de n’importe où dans les lignes, dès lors que nous avons distribué les cartes de prière. Il se peut que nous ne suivions pas la routine normale ; nous pourrions simplement appeler à partir de n’importe où et faire monter les gens afin de prier pour eux.

20        Et puis, ce n’est jamais indispensable pour vous d’être à cette estrade pour être guéri. Il y a une personne de guérie à l’estrade contre des centaines de guéries là dans l’assistance. Ainsi, si seulement vous vous souvenez de cette unique chose, qu’il soit question de votre foi en Jésus-Christ pour croire cela et accepter cela. Ensuite, observez ce que Dieu accomplira pour vous. Vous serez guéri là même.

21        Hier au Chri-.... au petit-déjeuner des Hommes d’Affaires du Plein Evangile... J’étais à l’autre petit-déjeuner des Hommes d’Affaires du Plein Evangile, par ici à Glendale, l’autre matin. Et ensuite, chez les Hommes d’Affaires du Plein Evangile, un groupe de femmes et autres étaient là.

            Et je vous assure, cela a fait tressaillir mon coeur de joie. Quand je suis entré là, ils se sont mis à taper les mains et à crier. Et je–je me suis senti indigne de cela. Mais juste, vous savez, juste... Cela fait que vous vous sentez bien, quand les gens vous aiment. Ne–ne le croyez-vous pas?

            Une fois, je quittais l’estrade d’une église, et–et des frères se tenaient à la porte, ils ont dit: «Frère Branham, nous avons vraiment apprécié ce message.»

22        Et il y avait un autre frère qui se tenait là dehors. Il a dit: «Je ne laisserais pas les gens dire cela à mon sujet.» Il a dit: «Je ne... Je ne veux pas que quelqu’un me vante.»

            J’ai dit: «Eh bien, moi, si.» J’ai dit: «Je crois qu’il n’y a qu’une seule différence entre vous et moi ; je suis honnête là-dessus.» Et puis, je... Je pense, j’essaie de... J’aimerais savoir que je fais de tout mon mieux après tout.

            Et le fait pour vous de voir ces chères personnes... Et quand je sortais, ils ont failli m’arracher la veste et les chaussures pour se tirer d’affaire. Et les gens veulent simplement vous serrer la main. Ce–c’était là à South Gate, là où j’avais tenu des réunions parmi les gens.

            Je me rends compte que vous m’êtes tous inconnus par ici. Mais j’espère que quand les services seront complètement terminés, nous nous aimerons... Je sais que nous nous aimerons les uns les autres juste comme on le fait partout là.

23        Prions juste un instant maintenant. Notre Père céleste, nous fuyons vers Toi aujourd’hui avec toute la foi que nous avons dans nos coeurs, pour Te prier de bien vouloir dépecer chaque personne, tendrement et gentiment, alors qu’ils sont assis ici, et lui révéler Ton grand plan de la guérison divine pour son corps. Ils ont été si merveilleux cette semaine passée, en répondant à l’Evangile et en venant ; les pécheurs ont pleuré à l’autel, et des gens dont les foyers étaient brisés, et tout, sont revenus à Toi. Nous Te prions, ô Dieu, de garder chacun d’eux en parfaite paix maintenant. Que les foyers soient réunifiés, et–et les gens qui pèchent cessent de pécher et qu’ils commencent à T’aimer et à croire en Toi.

            Et maintenant, Père, le... cette semaine prochaine, nous Te prions de guérir chaque malade qui entrera sous le... ou sous des voûtes de ce terrain. Que chaque siège soit oint du Saint-Esprit. Que les anges de Dieu planent juste dessus, pour ainsi dire, l’assistance, jour après jour, soir après soir jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de malade ni de personne faible parmi nous.

            Maintenant, si je faillis, Seigneur, ce n’est pas intentionnellement. Et je Te prie de m’aider. Aide-moi à offrir une prière de la foi pour les malades et les nécessiteux. Aide-moi à expliquer Ta Parole de telle manière que les gens croiront en Ton Fils bien-aimé, qu’ils seront guéris et sauvés. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

24        Eh bien, au cours du service de cet après-midi, j’aimerais parler un petit instant ; en effet, je veux que vous regagniez vos églises ce soir et que vous ayez une bonne réunion, chacun de vous. Ô Dieu, sois avec mes frères partout et accorde-leur de grandes réunions ce soir, partout.

            Maintenant, dans la Parole... J’aimerais lire dans Jude, verset 1 ou plutôt 3, de l’Epître de Jude, juste pour une petite approche. Et je... Mon sujet sera tiré de l’Epître aux Hébreux, chapitre 13.8. Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Et ici, nous lisons ce que Jude a dit:

Bien aimés... je désirais vivement vous écrire au sujet de notre salut commun, je me suis senti obligé de vous envoyer cette lettre pour vous exhorter à combattre ardemment pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.

            Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à Sa Parole.

            Maintenant, veuillez m’accorder votre attention pendant quelques instants, et soyez en prière pour moi alors que j’essaie de parler de ce qui est sur mon coeur en rapport avec la Parole de Dieu...

25        Eh bien, ceci est le seul passage des Ecritures dans la Bible, à ma connaissance, où il nous est recommandé de combattre. Nous devons nous abstenir de disputes. Mais ici, il nous faut combattre pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. Or, chacun de nous aimerait croire que–que c’est notre église qui combat pour cette foi-là.

            Les méthodistes aimeraient croire cela: «C’est notre église qui combat pour la foi.» Les baptistes disent: «C’est nous qui croyons cela.» Les catholiques, et les pentecôtistes, tous aimeraient penser: «Notre... Eh bien, c’est notre église qui combat pour cette foi-là qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.» Et je crois que nous le faisons. Je le crois vraiment.

26        Mais maintenant, pour prêcher la guérison divine et nous rassurer d’être dans le vrai... Eh bien, pour moi, les dénominations sont devenues une chose très insignifiante. Je respecte chacune d’elles.

            Mais là sur le champ de bataille, là d’où je suis revenu il n’y a pas longtemps, là dans ces pays de païens, là où ... J’ai été récemment accueilli par dix-sept différentes religions un après-midi, dix-sept différentes religions qui reniaient que Jésus-Christ a existé. Alors que nous avons les deux tiers du monde qui n’ont jamais entendu parler de Lui, qu’avons-nous à faire en restant ici à discuter si nous sommes de la pentec-... pentecôte, ou des nazaréens, ou des pèlerins de la sainteté? C’est–c’est un péché que de faire pareille chose, ami. Ça l’est.

            Et de penser que les deux tiers du monde n’ont jamais entendu parler du Nom de notre Seigneur Jésus-Christ! Et là sur ce champ-là, vous ne faites jamais cas de ce que vous êtes baptiste, pentecôtiste, ou presbytérien. L’unique chose, c’est les arracher du paganisme pour les amener à croire au Seigneur. C’est–c’est...

            Et ici chez nous donc, évidemment, nous n’avons plus rien à faire que combattre, nous disputer et faire des histoires parmi nous.

27        Mais un jour, ça prendra fin, quand le communisme parcourra un peu par ici. Vous serez content de rencontrer votre frère, peu importe qu’il soit méthodiste, ou baptiste, ou je ne sais qui il est. Vous serez content de le rencontrer. C’est vrai. C’est une honte que Dieu ait à s’y prendre ainsi, mais... Eh bien, je pense que si nous ne voulons pas cela à Sa manière, alors Il doit nous contraindre à le faire. Ainsi donc, il en sera ainsi un jour. Ainsi, pendant qu’il fait encore jour et clair, considérons la chose dont nous parlons.

            Eh bien, je crois vraiment de tout mon coeur que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Or, s’il en est ainsi...

28        Je vais vous raconter une petite histoire qui m’a été racontée, juste avant d’aborder ceci. Et je ne prendrai pas beaucoup de temps.

            Mais il y avait une organisation merveilleuse dans ce monde. C’est une... Je n’aimerais en citer aucune... Eh bien, je vais le faire, car le frère m’a dit que je pouvais le faire. C’était docteur Reedhead, le président de Missions soudanaises, la plus grande au monde.

            Il est venu là chez moi il y a quelque temps. Et il m’a dit... Et peut-être qu’il est présent maintenant même, à ce que je sache. C’est un... Il est venu chez moi et il a dit: «Frère Branham, j’aimerais vous poser une question.» Il a dit: «Assurément, en tant que baptiste, vous êtes censé connaître la vérité.»

29        Et ce que... Assurément, ce que les baptistes appellent la vérité, c’est le message de grâce.

            Et j’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Et il a dit: «Traitez-vous beaucoup avec les pentecôtistes?»

            Et j’ai dit: «Assurément.»

            Il a dit: «Ont-ils réellement reçu quelque chose?»

            J’ai dit: «Oui, oui. C’est vrai.»

            Et il a dit: «Eh bien, je les ai vus entrer dans les salles où ils donnaient des coups de pied aux meubles et renversaient tout là-dedans.»

            J’ai dit: «Oui. C’est vrai: Des enfants. Mais, ai-je dit, ils ont reçu une bénédiction. Par–par tout cela, il y a quelque chose que nous les baptistes, nous n’avons jamais touché cependant, qui est là en eux.» Et j’ai dit: «Je dis cela avec respect.»

            Il a dit: «Voici ce pour quoi je viens vers vous. Je viens de loin.» Il avait amené avec lui un autre homme, qui était un ami intime à Hyman Appleman, et autres ; et Hyman cherche lui-même le Saint-Esprit.

30        Ainsi donc, alors qu’on était assis là dans ma pièce, dans mon... au salon à côté de la table basse, ils... il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, j’ai parlé à... j’ai abordé un jeune garçon indien venu de l’Inde, il avait été amené ici et il a été instruit en, oh! je pense en mécanique ou quelque chose de ce genre. Et de toute façon, il retournait en Inde, et il a dit... Je lui ai dit: ‘Maintenant que vous retournez en Inde, pourquoi n’abandonnez-vous pas carrément...’» Il était un musulman. «J’ai dit: ‘Pourquoi n’abandonnez-vous pas votre vieux prophète mort pour recevoir le Seigneur Jésus ressuscité? ‘»

            Alors, il a dit: «Le jeune garçon Indien m’a regardé avec autant de clairvoyance que d’intelligence. Il a dit: ‘Gentil monsieur, votre Jésus peut-Il faire pour moi quoi que ce soit de plus que ce que peut faire mon Mahomet?’

            «J’ai dit: ‘Certainement.’

            Il a dit: ‘Que peut-Il faire, monsieur?’»

            Eh bien, il a dit: «Il peut vous donner la vie.»

            Il a dit: «Nous avons la vie par Mahomet.»

            «Oh! a-t-il dit, vous voyez, notre... votre–votre prophète est mort et il est dans la tombe. Notre Jésus est ressuscité d’entre les morts.»

            Il a dit: «Est-Il ressuscité?»

            Il a dit: «Certainement, Il est ressuscité.»

            Il a dit: «Pouvez-vous le prouver?»

            Il a dit: «Assurément.»

            Il a dit: «Comment le pouvez-vous?»

            Il a dit: «Il vit dans mon coeur.»

            Il a dit: «Mahomet vit aussi dans le mien.»

            Il a dit: «Eh bien, vous voyez...» Docteur Reedhead a dit: «Eh bien, nous éprouvons de la joie.» Il a dit: «Nous avons simplement la paix et tout.»

31        Il a dit: «Gentil monsieur, l’Islam peut produire autant de psychologie que le christianisme.» C’est vrai. Il a dit: «Regardez, vous avez eu deux mille ans pour prouver que votre Seigneur est ressuscité d’entre les morts.» Et il a dit: «Il n’y a qu’un tiers du monde qui a jamais entendu parler de cela.» Il a dit: «Que notre prophète ressuscite d’entre les morts, comme il ressuscitera un jour, et le monde entier le saura en vingt-quatre heures.»

            C’est bien. C’est vrai. Voyez-vous? Le christianisme... non pas le christianisme, mais les prédicateurs du christianisme ont totalement failli. Le plus grand échec dans le monde incombe aux clergés du christianisme, les messagers du christianisme.

            Ainsi, il a dit–il a dit... Il a dit: «Frère Branham, je me suis rendu compte que je n’avais pas rencontré juste un parvenu.» En effet, il savait de quoi il parlait.

32        Et alors, docteur Reedhead du pre-... de Missions Soudanaises... Vous pouvez savoir... Il a dit: «Frère Branham, j’ai assez de doctorats, et des diplômes de licencié, et autres, avec lesquels pouvoir plâtrer vos murs. Mais, a-t-il dit, où est Jésus-Christ dans tout cela?» Il a dit: «Les enseignants ont-ils été en erreur?»

            J’ai dit: «Dans un certain sens du mot, oui.» J’ai dit: «Ce n’est pas que je condamne votre instruction ; elle est merveilleuse, monsieur.» Mais j’ai dit: «Mais maintenant, que les enseignants vous aient dit que c’est là que ça repose, dans l’instruction, ce n’est pas ça. C’est dans la nouvelle naissance.»

            Et il a dit: «Eh bien, ce jeune musulman...» Il a dit: «J’ai vu que j’avais quelque chose à ma charge.» Et il a dit: «Il s’est tourné vers moi, et il a dit: ‘Gentil monsieur, a-t-il dit, je ne condamne pas votre Seigneur Jésus, a-t-il dit, vous voyez. Votre Seigneur Jésus a écrit un Livre appelé la Bible.’ Et il a dit: ‘Vous Le lisez et vous Le croyez.’ Il a dit: ‘Mon prophète a écrit une bible appelée le Coran.’ Et il a dit: ‘Nous le lisons, et nous le croyons.’ Il a dit: ‘Tous deux ont promis la vie après la mort.’ Et il a dit: ‘Nous croyons tous cela. Qu’allez-vous dire?’».

            «C’est correct.»

            Il a dit: «Le mien est tout aussi valable que le vôtre.» Il a dit: «Mais il n’y a qu’une seule chose, Gentil monsieur...» Eh bien, voici pourquoi docteur Reedhead a dû me voir.

33        Il a dit: «Notre Mahomet a promis seulement la vie après la mort. Mais, a-t-il dit, votre Jésus a promis que vous les feriez aussi, les mêmes choses qu’Il avait faites.» Il a dit: «Eh bien, laissez-moi vous voir, vous les enseignants, faire cela, et nous les musulmans, nous croirons qu’Il est ressuscité d’entre les morts.» Vous y êtes. Oui, oui. Il a dit: «Laissez-moi vous voir, vous les enseignants...»

            Et docteur Reedhead a dit: «Oh! Je–je pense qu’un... Assurément, monsieur, a-t-il dit, vous avez lu la Bible?»

            Il a dit: «Oui, monsieur, je L’ai lue d’un bout à l’autre à plusieurs reprises. Je L’ai étudiée.»

            Il a dit: «Oh! Vous vous référez probablement à Marc 16?»

            Il a dit: «C’en est un, oui, comme passage.»

34        Il a dit: «Oh! Eh bien, a-t-il dit, vous voyez, a-t-il dit, les meilleurs érudits savent que ce Marc 16, à partir du verset 9, où il est dit: ‘Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru, a-t-il dit, nous les meilleurs érudits, nous avons appris que Cela n’est pas inspiré.»

            Il a dit: «Cela n’est pas inspiré?» Il a dit: «Quel genre de Livre lisez-vous?» Il a dit: «Tout le Coran est inspiré.» Vous y êtes.

            Il a dit: «Frère Branham, vous m’êtes venu à l’esprit.» Il a dit: «J’ai cogné mon pied au bureau et j’ai changé de sujet. J’ai dû le faire.» Il a dit: «Frère Branham, y a-t-il quelque chose en rapport avec le baptême du Saint-Esprit?»

            J’ai dit: «Oui, oui.»

            Il a dit: «Quand reçoit-on Cela?»

            J’ai dit: «Quand vous Le voulez.»

            Il a dit: «Je Le veux.» Et il L’a reçu là même. C’est là où Il se trouvait. Ainsi, c’était donc cela. Voyez? C’est ça.

            Et cet ami, Hyman Appleman, a dit: «Puis-je Le recevoir aussi?»

            J’ai dit: «Oui, oui. Si vous avez faim et soif, certainement que vous pouvez Le recevoir si vous croyez Cela.»

            Et là même... et... il... Ils ont tous deux reçu le baptême du Saint-Esprit. Eh bien, c’est là l’échec du christianisme, le fait que nous essayons de nous dérober, ou de contourner la vraie Parole du Dieu vivant au profit de nos traditions.

            Or, si Jésus est ressuscité d’entre les morts, alors Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et Il est le même en essence. Il est le même quant à la puissance. Il est exactement le même qu’Il était lorsqu’Il marchait en Galilée. Il doit être le même sous cette tente cet après-midi, sinon la Bible est fausse.

35        Eh bien, pour moi, c’est soit vrai, soit faux. Et si ce n’est pas vrai, je ne veux rien avoir à faire avec Cela ; je suis contre Cela. Mais si c’est vrai, je suis disposé à sceller le témoignage de ma vie avec mon sang, car je crois que c’est la pure vérité. C’est la Parole Eternelle de Dieu. Que j’aie assez de foi pour–pour rendre Cela réel ou pas, là, c’est une autre question. Mais je crois que Cela est, absolument, Parole sur Parole. Et chaque portion de Cela est inspirée. C’est vrai.

            Et Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Eh bien, c’est ce que je crois, et ce sera là mon thème continuel: Jésus est ressuscité d’entre les morts et Il est le même.

            Maintenant, tirons-en un contexte ici pendant quelques instants, et parlons de Jude. Trente-trois ans après la Pentecôte, Jude a écrit cette Epître, demandant à l’Eglise de combattre ardemment pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.

36        Eh bien, voici la raison pour laquelle je dis ceci, amis... Permettez-moi de vous montrer quelque chose. Eh bien, vous qui venez de l’Eglise baptiste, levez la main. N’ayez pas honte de cela. J’ai levé la mienne. Très bien. Voyez-vous ce que je veux dire? Vous qui venez de l’Eglise méthodiste, levez la main. Faites-nous voir la main. Vous y êtes. Les presbytériens? Voyez? Regardez bien tout autour. Les catholiques? Voyez? Voyez-vous ce que je veux dire? Voyez, je viens aussi d’une famille catholique. Très bien donc.

            Nous tous, de différentes églises, de différentes branches (Voyez-vous?), nous sommes un groupe hétérogène. Et chacun de nous aimerait penser que c’est son église qui combat ardemment pour la foi. Eh bien, je ne condamne aucune ; en effet, je suis membre de chacune d’elles. Voyez? Ainsi, je–je suis votre frère, je suis membre de l’Eglise du Dieu vivant par la nouvelle naissance.

37        Je suis dans la famille Branham ça fait quarante-six ans, et on ne m’a jamais demandé d’adhérer à la famille. J’y suis né, c’est ça la raison. Et c’est comme ça. Je crois dans l’adhésion à une église. Certainement, vous devriez le faire. Trouvez-vous une bonne église et adhérez-y. Mais vous êtes... Ce n’est qu’un corps terrestre de croyants auquel vous adhérez. Vous êtes né dans le Corps de Jésus-Christ par la nouvelle naissance. C’est vrai.

            Et nous croyons que les méthodistes, les baptistes, les presbytériens, et tous ceux qui sont nés de nouveau, nous sommes frères et soeurs en Jésus-Christ (C’est vrai), chacun de vous. Et vos églises, ça ne change rien.

            Mais maintenant, remontons dans le passé pour voir de quoi Jude parle trente-trois ans après la Pentecôte. A la fin du Nouveau Testament, il leur a été recommandé de combattre ardemment pour la foi. Eh bien, l’unique moyen de faire cela...

            Si je retraçais les origines de mon église aux baptistes et John Smith, eh bien, il me faudrait remonter à John Smith. Et si je retraçais les origines des méthodistes, il me faudrait remonter à John Wesley. Et si je retraçais les origines de l’église chrétienne, il me faudrait remonter à Alexandre Campbell.

            Mais si nous allons découvrir ce qu’est la foi pour laquelle nous combattons, il nous faut remonter au commencement, au tout début des saints, et voir quel genre de foi leur a été transmis au départ. Ainsi donc, c’est pour cette foi-là qu’il nous faut combattre ardemment. Est-ce là le contexte de cette Ecriture? Voyez? Nous devons découvrir la foi que les saints avaient au commencement, et puis, combattre ardemment pour cela jusqu’à ce que Jésus revienne, s’Il est le même.

38        Eh bien, la première chose... Jean-Baptiste était le premier de... Il s’est tenu entre la loi et la grâce. En réalité, il n’a accompli aucun miracle. Il est simplement arrivé, et il a présenté, comme il était le plus grand des prophètes, il a présenté le Seigneur Jésus-Christ au monde. Tous les autres prophètes ont parlé de Sa Venue, mais Jean L’a présenté: «Voici, l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde.» Son ministère était court, de six mois: Pas de doctrine, il parlait simplement de la Venue du Seigneur Jésus, disant aux gens: «Préparez-vous à Sa rencontre.»

            Mais quand Jésus est venu, Il était le Commencement de l’Eglise chrétienne. Croyez-vous cela? Il est le Commencement de l’Eglise chrétienne. Et Il a introduit dans le monde la foi chrétienne, la foi de Christ. Et puis, Ses apôtres qui Lui ont succédé ont exercé la même foi qu’Il avait introduite. Et si nous pouvons découvrir ce que c’était, alors, c’est pour cela qu’il nous faudra combattre ardemment. Ne le pensez-vous pas? N’est-ce pas noble pour chacun d’entre nous? Voyez-vous?

            Je ne veux pas dire là que vous quittiez vos églises. Je veux dire que vous restiez dans votre église en gardant simplement cette foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.

39        Eh bien, quand Jésus est venu sur la terre, nous voyons... Nous connaissons Son histoire de Noël. Et... Mais Son ministère a commencé à l’âge de trente ans, quand Jean-Baptiste L’a baptisé, et que le Saint-Esprit est descendu d’auprès de Dieu, et la Voix a retenti de Là, disant: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé en qui J’ai mis toute Mon affection...»

            Jésus alla dans le désert et jeûna quarante jours et quarante nuits. Et quand Il sortait, Satan essaya de Le tenter, parce qu’Il était un Législateur comme Moïse. Et quand Moïse sortait après avoir jeûné quarante jours sur la montagne, alors qu’il tenait deux tables de pierre, Satan l’a tenté à son point faible. C’était son tempérament colérique. Il a jeté les commandements par terre et les a brisés. Mais quand Satan a rencontré le Seigneur Jésus, il a reconnu que ce n’était pas Moïse. Il L’a attrapé à Son point faible: la faim. «Si Tu es le Fils de Dieu, ordonne que ces pierres deviennent des pains, et manges-en, car Tu as faim.» Mais il s’est rendu compte que ce n’était pas Moïse.

40        Remarquez donc. Alors, qu’est-ce qui s’est passé? Aussitôt donc, Jésus a commencé Son ministère. Et suivons-Le simplement pendant quelques bonds. Nous allons certainement reprendre cela demain soir, le lendemain soir, et par la suite. Suivons Son ministère juste quelques minutes pour voir ce qu’Il faisait.

41        Eh bien, nous voyons qu’Il... La première chose qu’Il s’est mis à faire, c’était prêcher l’Evangile et déclarer que le Royaume des Cieux était–était proche, et ainsi de suite. Puis, nous commençons à remarquer une chose qu’Il s’est mis à faire, c’était guérir les malades, former de longues lignes de prière et de guérison. Et voyons comment Il s’y prenait. Et la façon dont Il s’y prenait, ensuite... Ça y est. La façon dont Il s’y prenait en ce temps-là, si c’est Lui qui doit encore faire cela aujourd’hui, alors Il le fera aujourd’hui comme Il l’avait fait jadis, s’Il est le même. Est-ce vrai? Croirez-vous cela? Voyez? La façon dont Il a accompli cela à l’époque est la même dont Il le fera maintenant. Et... Car Il est le même. Il est ressuscité d’entre les morts.

            Maintenant, remarquez. Lorsqu’Il a commencé, Son ministère a commencé à se répandre, il y eut un homme du nom de Philippe qui vint et fut sauvé. Et aussitôt qu’il fut sauvé, il alla trouver un autre homme du nom de Nathanaël pour l’amener à être sauvé. Ça, c’était un bon signe qu’il était sauvé: il voulait trouver son ami et l’amener à être sauvé. Ainsi, il a laissé Jésus dans une certaine ville, il a fait un voyage vers l’autre côté des montagnes jusqu’à une certaine ville. Et il était à la recherche de son ami. Il l’a trouvé dehors sous un arbre en train de prier. Et il lui a dit: «Viens voir Qui j’ai trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»

42        Et alors, son ami qui était un vrai orthodoxe, honnête dans son coeur, s’est relevé et a dit: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?» Et je pense qu’il lui a donné la meilleure réponse que j’aie jamais entendue. Il a dit: «Viens, et vois.» Eh bien, c’est le meilleur moyen de découvrir. Ne critiquez pas. Ne vous tenez pas en spectateur, n’écoutez pas ce que quelqu’un d’autre dit ; venez, et voyez vous-même. C’est le meilleur moyen de découvrir.

            Nathanaël lui a demandé: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

            Philippe a dit: «Viens, et vois.»

            «Très bien.» Ils ont joint leurs bras.

            Eh bien, suivez, nous allons introduire le ministère de Jésus. Les voici venir, entrant dans la... là où était l’assistance, et autres. Jésus priait pour les malades, Il a levé les yeux.

43        Eh bien, souvenez-vous, nous commençons par Luc chapitre 1, juste avec Jésus, le début de Son ministère. Et quand Il a levé les yeux, çà et là... Il priait pour les malades au fur et à mesure que ces derniers passaient par... Il vit cet homme, Nathanaël, qui avait... Il ne savait pas. Il était quelque part là dans l’assistance. Et Jésus a levé les yeux et l’a vu. Il a dit: «Voici vraiment un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

            En d’autres termes, si je m’adressais à un homme cet après-midi, je dirais: «Vous êtes un vrai chrétien, un homme honnête.»

            Eh bien, cela l’a étonné. Il a dit: «Comment m’a-t-Il connu?» Il a dit: «Maître (ou plutôt Docteur, Révérend, je ne sais comment vous voulez appeler cela.), Maître, d’où m’as-Tu connu? Comment m’as-Tu connu? Eh bien, je n’ai jamais été à Tes côtés. Comment as-Tu su que je suis un vrai croyant orthodoxe, et que je n’use point de fraude? Comment as-Tu su cela?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous un arbre.»

            C’était là Jésus hier. S’Il est ressuscité d’entre les morts, c’est Jésus aujourd’hui. Ça sera Jésus éternellement. Est-ce vrai?

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

44        Comment a-t-Il pu le voir à plus de trente miles [48 km] alors qu’Il se tenait là? Mais Il l’a vu à trente miles sous l’arbre, en train de prier, quand Philippe s’avançait vers lui. Il a dit: «Quand tu étais sous l’arbre, avant que Philippe t’appelât, Je t’ai vu.»

            Eh bien, et si cela se passait à Los Angeles aujourd’hui? Je veux dire, devant les... Je veux dire, ce que nous appellerions les–les meilleurs gens de Los Angeles? Savez-vous ce qu’ils diraient: «Docteur, Monsieur. Révérend, Docteur en philosophie, Jones et les autres?»

            J’espère qu’il n’y a pas d’hommes ici qui portent ce nom-là. Que Dieu vous bénisse, frère. Je ne voulais pas dire cela, si je voulais... Mais je me fais seulement comprendre. Excusez-moi d’avoir dit cela au sujet de vous, frère Jones, si vous êtes ici. Je ne voulais pas le dire dans ce sens-là. Excusez-moi.

45        Mais que diraient-ils? Savez-vous ce qu’ils diraient? «Hum. De la télépathie mentale.» Ou: «C’est du diable. Vous êtes un diseur de bonne aventure. Vous êtes un sorcier.» Eh bien, ils ont dit la même chose au sujet de Jésus. Ils ont dit: «Il est Béelzébul.» Béelzébul était le chef des diseurs de bonne aventure, la grosse mouche qui gardait le–le prince des démons. On a donc dit: «Oh! C’est Béelzébul. C’est ainsi qu’Il accomplit cela ; Il a sur Lui la puissance démoniaque.»

            Et Jésus a dit que c’était le blasphème contre le Saint-Esprit. C’est vrai. Il a dit: «Maintenant que J’accomplis ceci, vous pouvez être pardonné pour ça. Mais quand le Saint-Esprit sera venu, après Ma mort, quand Il reviendra, celui qui parlera contre Cela ne sera jamais pardonné.» Est-ce vrai? C’est ce qu’Il a dit.

46        Ainsi, Philippe et Nathanaël... Qu’a dit Nathanaël, l’homme sur qui le miracle a été accompli? C’était un miracle, n’est-ce pas? C’était quelque chose au-delà du raisonnement. C’était un miracle. Et quand il L’a vu, qu’a-t-il dit? Il a dit: «D’où me connais-Tu, Rabbi?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre.»

            Il a dit: «Tu es le Fils de Dieu. Tu es le Roi d’Israël.» Il était disposé à L’accepter comme le Fils de Dieu, du fait qu’Il avait accompli cela.

            Et Jésus l’a regardé et a dit: «Parce que Je t’ai dit où tu étais, tu crois?»

            Il a dit: «Oui.»

            Il a dit: «Tu verras de plus grandes choses que celles-ci.»

            Il était alors préparé pour voir des choses. Vous ne pourrez jamais comprendre quelque chose si vous n’entrez pas dans l’esprit de cette chose-là, toujours. Vous ne pouvez jamais voir que le christianisme est vrai avant que le Saint-Esprit vous ait une fois sauvé. Alors, vous pouvez voir que c’est vrai. Vous dites bien: «Grâce étonnante, oh! quel doux son», vous savez. «Autrefois, j’étais aveugle, mais maintenant je vois.»

            C’est ce que vous devez faire pour la guérison divine. Il vous faut entrer dans l’Esprit de cela, le Saint-Esprit, et Le laisser vous montrer et se révéler à vous.

47        Eh bien, Jésus a continué à exercer Son ministère. Et la chose suivante, vous savez, un jour, il y eut une–une femme qui traversa la foule. Je touche juste les points essentiels maintenant, car notre temps nous fera défaut. Il nous reste encore probablement quinze minutes.

            Et alors, un jour, une femme est venue, elle se disait dans son coeur: «Si j’arrive à Le toucher, je serai guérie.» Elle a donc touché Son vêtement et elle est entrée dans l’assistance. Et Jésus s’est arrêté... Eh bien, souvenez-vous, le Fils de Dieu, Il s’est arrêté... Pensez-vous qu’Il pouvait dire un mensonge? Certainement pas. Il ne le pouvait pas. Il est infaillible. Il a dit: «Qui M’a touché?»

            Et... Eh bien, Pierre a dit: «Toute la foule Te touche. Eh bien, comment peux-Tu dire: ‘Qui M’a touché?’»

            Il a dit: «Mais J’ai connu que Je suis devenu faible. Faible.» «La force M’a quitté ; la vertu, elle est sortie de Moi.» Il a dit: «Quelqu’un M’a touché.» Et Il a promené le regard sur l’assistance, et Il a vu la petite femme, elle souffrait de la perte de sang. Il lui a dit: «Ta foi t’a guérie.»

48        Que s’est-il passé? Que s’est-il donc passé? Sa propre foi à elle en Lui, comme le Fils de Dieu, a tiré la puissance de Dieu au travers de Lui vers elle. Croyez-vous cela? Sa propre foi à elle... Jésus a dit: «Je n’ai rien à faire avec cela. Ta foi t’a guérie.»

            Or, si Jésus est ressuscité d’entre les morts et qu’Il est au milieu de nous aujourd’hui, le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il peut accomplir la même chose aujourd’hui. Si ce n’est pas le cas, ce n’est pas... Il n’est pas ressuscité d’entre les morts. Il est toujours dans la tombe. Il est comme Mahomet et les autres ; c’est faux. Mais Il a promis cela, et Il est fidèle à Sa promesse.

            Maintenant, juste un peu plus loin. Nous pouvons prendre beaucoup, beaucoup de passages. Il y eut une fois une femme ... Eh bien, j’aimerais que vous remarquiez que Jésus allait à Jéricho. Si jamais vous avez été en Orient, Jéricho est tout droit en dessous de Jérusalem. Mais c’était nécessaire.

            Eh bien, gardez cela à l’esprit, la raison pour laquelle Il est monté, monter par le chemin de Samarie ; je me demande pourquoi. Eh bien, c’était loin de l’itinéraire, là-haut dans la région montagneuse, là. Mais Il descendait à Jéricho ; cependant, Il est passé par la Samarie. En effet, Il devait passer par là. Je me demande pourquoi. D’ici peu, et nous allons y arriver.

49        De toute façon, c’était vers l’heure du dîner, Il a donc envoyé Ses disciples dans la ville pour acheter du pain, des vivres. Et pendant qu’ils étaient partis acheter ces vivres, Il s’est assis dos contre le puits. Si vous avez déjà été en Orient, vous voyez les ports de raisins et autres, et les treuils là, comment les femmes viennent et mettent les cruches tout autour, et elles tirent l’eau, et ainsi de suite, par ce treuil. Il s’est assis là dos contre ces vignes, pour ainsi dire, Il s’est assis dos contre le puits. Et c’était vers onze heures, pendant la journée. Et il y eut une femme de mauvaise réputation qui était sortie. Elle était une–une mauvaise femme, comme nous le croyons ici. Et elle est sortie...

50        Eh bien, peut-être qu’elle–elle avait passé toute la nuit dehors et qu’elle venait de se réveiller à cette heure-là de la journée. Ou il se pourrait que la femme, si vous voulez savoir la vraie vérité là-dessus... Elle ne pouvait pas s’associer aux autres femmes. Une mauvaise femme là-bas était marquée.

            Comme je vous ai prêché l’autre soir, la femme qui avait lavé les pieds de Jésus. Voyez?

            Remarquez, elle était marquée, elle devait donc attendre que toutes les vierges, les femmes de bonne réputation, soient sorties et aient puisé leur eau. Alors, elle pouvait sortir discrètement puiser son eau.

            Ainsi, elle est allée à ce puits vers onze heures ou douze heures, elle a fait descendre la cruche pour puiser de l’eau. Et Jésus, un jeune Homme dans la trentaine, assis dos contre le puits, la regardait. Il a dit: «Femme, apporte-Moi à boire.»

51        Eh bien, elle s’est retournée ; elle a dit: «Il n’est pas–il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous demandiez pareille chose aux Samaritains.» Eh bien, un Juif... Un Samaritain était on dirait un métis, entre les Juifs et les Gentils. Il y avait un conflit racial, comme le... comme il y en avait ici aux Etats-Unis entre les gens de couleur et les Blancs. Et on disait: «Il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous demandiez pareille chose aux Samaritains.»

            Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire, et Je t’aurais donné de l’eau que tu ne viendrais pas puiser ici.»

            Eh bien, la conversation s’est poursuivie. Eh bien, je vous dirai plus tard pourquoi, à mon avis, Il faisait cela. A mon avis... Je vais vous le dire maintenant. Il était en train de contacter son esprit. C’est exact. Il a poursuivi la conversation. Observez cela dans l’assistance. Observez cela avec les gens. Voyez si cela ne marche pas de la même façon. Voyez? Il conversait avec elle pour contacter son esprit.

            Il a dit: «C’est toi qui M’aurais demandé à boire, et Je t’aurais donné de l’eau que tu ne viendrais point puiser ici.»

            Elle a dit: «Le puits est profond, et tu n’as rien pour puiser.»

            Il a dit: «L’Eau que Je donnerai bouillonne dans ton âme.» Il a continué, et Il lui a parlé jusqu’à ce qu’Il ait découvert où était son problème.

            Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «C’est vrai, a-t-Il dit, tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.»

52        Regardez-la, une femme inconnue, et que Lui a-t-Il dit? Regardez-la. Elle s’est retournée vers Lui, et elle a dit: «Seigneur...» Maintenant, écoutez ceci. «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Je sais, et nous savons que quand le Messie sera venu...» Et qui est le Messie? Jésus, le Christ. «Nous savons que quand le Messie sera venu, Il accomplira ces choses.»

            De quoi cela est-il le signe? Le Messie, le signe du Messie. «Nous savons que quand le Messie sera venu, Il accomplira ces choses, Il nous dira toutes ces choses. Mais Toi, qui es-Tu? Tu dois être un Prophète.»

            Jésus a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            Elle a abandonné la cruche d’eau, elle est entrée dans la ville en courant, tout excitée, elle a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Christ même?»

            Remarquez. Or, Il ne lui a point dit tout ce qu’elle–tout ce qu’elle avait fait. Il lui a simplement dit une seule chose. Mais s’Il a pu lui dire cela, Il pouvait lui en dire plus. Elle a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie même?»

            Et les hommes sont sortis et ils ont persuadé Jésus d’entrer. Il n’a plus accompli d’autres miracles. Mais Il s’est mis à leur parler, et ils crurent en Lui. Pourquoi? Ce n’était pas le temps pour Jésus d’accomplir des miracles là. Il a laissé cela à Philippe pour les accomplir aussitôt après la Pentecôte. Ils ont eu le réveil. Mais Il les a préparés pour le temps où Philippe viendrait... En effet, ils L’avaient déjà entendu parler. Et ils savaient que ce miracle avait été accompli par la femme... à... sur la femme au puits.

53        Un autre petit commentaire. Eh bien, vous avez souvent entendu les gens dire ceci: si Jésus était ici, Il ferait telle et telle chose. Si Jésus était ici, Sa puissance serait limitée par votre foi, comme c’était à l’époque.

            Or, Jésus n’a jamais dit qu’Il était un Guérisseur. Il ne s’est jamais attribué le mérite. Bien au contraire. Eh bien, écoutez attentivement. Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, et... de plus grandes que celles-ci.»

            Je sais que la traduction, c’est: de plus grandes, mais prenez l’original, et voyez si ce n’est pas davantage. Voyez? C’est: davantage. Vous ne pouvez rien faire de plus grand en qualité–qualité, mais davantage en quantité, car Il sera dans Son Eglise partout dans le monde. Voyez? Il a dit: «Vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père.»

54        Jésus ne prétendait pas être un Guérisseur. Il a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres. C’est Mon Père qui habite en Moi. C’est Lui qui fait les oeuvres.» Est-ce vrai?

            Eh bien, Il a traversé une cité appelée Béthesda, quelques jours après que cette femme eut touché Son vêtement et eut été guérie. Il passait près de la piscine de Béthesda. Eh bien, ceci, c’est le dernier commentaire. Suivez attentivement ce dernier commentaire.

            Quand Jésus passait près de la piscine de Béthesda, la Bible déclare dans Saint Jean 5... Nous allons en citer un passage juste une minute, quitter Luc maintenant, puis retourner à Jean, à Saint Jean 5.

            Quand Il passait près de cette grande piscine, il y avait un grand nombre de gens couchés là. Des malades étaient couchés là ; en effet, Dieu envoyait un ange là, non pas juste une fois un soir, mais peut-être une fois tous les deux ou trois mois. De temps en temps, un ange descendait et agitait l’eau.

            Vous habitez ici tout près de l’océan, vous savez ce que c’est l’eau agitée. Il y a un courant qui va dans un sens, et les vagues déferlent dans le sens contraire. C’est une eau dangereuse, l’eau troublée.

            Et en grands nombres, non pas une multitude, mais des multitudes ; des milliers... de grands nombres de malades étaient couchés en ce–en ce lieu.

            Eh bien, remarquez quel genre de personnes étaient là: Des boiteux, des aveugles, des estropiés et des paralytiques attendaient le mouvement de l’eau. En effet, la première personne à y entrer après que l’ange a agité l’eau était guérie de n’importe quelle affliction dont elle souffrait, pourvu qu’elle ait la foi. Comprenez-vous cela?

55        Eh bien, Jésus.... Croyez-vous qu’Il avait la compassion? Eh bien, j’aimerais vous attraper à un petit piège ici ; soyez donc attentifs. Voyez? Jésus était plein d’amour. Et Il était plein de vertu. Croyez-vous cela? Mais Il n’avait de vertu que pour ceux qui croyaient qu’Il en avait.

            La femme qui toucha Son vêtement fut guérie, mais le Romain qui Lui cracha au visage ne sentit aucune vertu, ou celui qui Le frappa à la tête avec un bâton. Il avait enroulé un lambeau autour de Son visage et L’a frappé à la tête avec un bâton, et il a dit: «Eh bien, si Tu es Prophète, dis-nous qui T’a frappé.» Il ne sentit aucune vertu. Mais la femme qui croyait cela avait senti la vertu, car elle avait approché Dieu selon la bonne voie à laquelle il était pourvu. C’est ainsi qu’il vous faut aussi venir. Vous devez venir par Jésus-Christ.

            Et pendant qu’ils étaient couchés là en grand nombre, Jésus, le Fils de Dieu, plein d’amour, plein de compassion, plein de puissance, descendit parmi ce grand nombre de boiteux, d’infirmes, de paralytiques, d’aveugles, attendant le mouvement de l’eau, et Il ne toucha qu’un seul parmi eux.

            Eh bien, s’Il est plein d’amour, s’Il est plein de puissance, s’Il est plein de compassion, pourquoi n’a-t-Il donc pas exercé cela?

56        Tenez, présentons cela sous forme de saynète juste un instant. Voici une mère avec un enfant hydrocéphale, qui dit: «Oh! S’il te plaît, monsieur, que quelqu’un m’aide à faire entrer mon enfant le premier dans l’eau quand l’ange vient.»

            Les théologiens, au cours de l’histoire, nous rapportent qu’ils se poignardaient en cherchant à entrer le premier dans la piscine. Et voici venir Emmanuel, les habits pleins de vertu, marchant au milieu des gens. Voici un vieux papa debout là, souffrant de l’arthrite, aveugle, disant: «Que quelqu’un veuille bien m’aider à entrer.» Et Jésus est passé juste à côté de lui, plein d’amour, plein de vertu, plein de puissance.

57        Voici un homme là, estropié. Voici un autre là, paralytique, les bras atrophiés. Il avait guéri des gens aux bras atrophiés. Des paralytiques couchés là... Jésus, plein d’amour, plein de compassion, plein de puissance, plein de vertu, est passé juste à côté et n’a jamais dit un mot, Il a poursuivi Son chemin jusqu’à ce qu’Il ait trouvé un homme qui était couché sur un grabat (Nous appelons cela, au sud, un tas de couvertures matelassées posées par terre.) souffrant d’une maladie, et il n’était pas estropié, il n’était pas aveugle. Il n’était pas paralytique. Il n’était pas infirme, il pouvait marcher. Il a dit: «Veux-tu être guéri?» Il n’avait jamais parlé aux autres là-bas, Il s’est dirigé vers cet homme, Il a dit: «Veux-tu être guéri?»

            Il a dit: «Monsieur, je n’ai personne pour me jeter dans la piscine. En effet, pendant que j’avance, en descendant...» Quelqu’un d’autre le dépassait. «Quelqu’un d’autre me devance.»

            Il avait une indisposition, pas une affliction. Il avait une indisposition dont il avait souffert depuis trente-huit ans. Eh bien, disons que c’était la tuberculose, ou la prostatite. Cela avait duré. Cela n’allait pas le tuer. Il en avait souffert depuis trente-huit ans. Et il a dit: «Pendant que je descends, quelqu’un me devance.»

            Jésus a dit: «Prends ton lit et rentre chez toi.» Il n’a plus jamais posé de question. Il a ramassé son lit, l’a mis sur l’épaule, et il est parti.

58        Pourquoi Jésus, plein d’amour... Jésus a laissé ces milliers de gens couchés là, des paralytiques, des aveugles, des boiteux. Ce n’est pas comme ici cet après-midi, mais toute une foule de cela était mélangée: des boiteux, des aveugles, des paralytiques, pleurant, attendant... Et un aveugle a dit: «L’ange est-il encore dans la piscine? Oh! J’ai attendu pendant des jours, ça fait des semaines que je suis ici. Les gens de ma famille vont me ramener, et je ne serai pas guéri.» Et voici passer le Seigneur Jésus, marchant juste à côté de lui, le contournant, Il poursuivit carrément Son chemin. C’est étrange, n’est-ce pas? Mais vous ne savez pas ce qu’est la compassion. Vous savez cela uniquement du point de vue humain.

59        C’est comme je prêchais l’autre soir sur l’amour. Il y en a deux différentes sortes: agapao et phileo. L’amour agapao est d’En-Haut ; l’amour phileo est de la terre. Et ils sont opposés l’un à l’autre.

            Et c’est pareil pour la compassion. Nous aborderons cela plus tard au cours de la semaine, ces choses, ce qu’elles sont. Mais vous... La compassion humaine et la compassion de Dieu sont très opposées. Nous éprouvons–nous éprouvons tellement de la compassion à l’endroit de différentes personnes qui sont affligées, qui sont malades, et qui ont des problèmes. Et parfois, nous ne comprenons pas ce pour quoi nous éprouvons de la compassion.

            Observez-Le passer à côté de cette piscine. Pouvez-vous vous imaginer votre Sauveur passer près de cette piscine? Or, il doit y avoir une raison à cela. La Bible ne mâche pas les mots. Il doit y avoir une raison à cela.

60        Et si cet Homme est Celui qui introduit la foi au monde, voyons ce qu’Il a fait à ce sujet, et ce qu’Il a dit à ce sujet.

            Les Juifs ont découvert cet Homme. Allez de l’avant, vous... Ce soir, ou votre retour chez vous cet après-midi, avant d’aller à l’église ce soir, lisez Saint Jean 5, tout le chapitre. Et les Juifs l’ont trouvé transportant son lit le jour de sabbat, ce qui brisait leurs traditions, les affaires de leurs petites églises. Et–et ils...

            Jésus fut interrogé. Il serait interrogé ici même dans la vallée de San Fernando cet après-midi, s’Il faisait la même chose, par des gens qui ne comprennent pas ce que sont les véritables choses spirituelles. Il serait interrogé à Los Angeles. Il serait interrogé à Washington, D.C., ou à New York. «S’Il est un Guérisseur, que je Le voie guérir telle personne. Que je Le voie guérir celle-là.»

            S’il en était ainsi en ce... en ces jours-là... ce jour-ci plutôt, ce même Esprit remonte là. Dieu ne retire jamais Son Esprit ; Il retire simplement Ses hommes. Le diable ne retire jamais son esprit. Il retire ses hommes.

            Elie a été retiré, et une double portion est venue sur Elisée ; ensuite, Cela est venu sur Jean-Baptiste, et il a été prédit que Cela reviendrait dans les derniers jours. Voyez?

61        Dieu ne retire pas Son Esprit, Il retire simplement Ses hommes. Et l’Esprit va sur un autre homme. Le... Jésus était ici avec l’Esprit de Dieu sur Lui, puis Il est venu sur chacun de vous qui êtes nés de nouveau du Saint-Esprit.

            Et le diable, le sceptique était sur les membres du clergé en ces jours-là. Et c’est la même chose aujourd’hui. «Si tu l’es, fais ceci. Fais que je voie cela se produire. Accomplis un miracle.» Cela vient du diable dépourvu d’entendement, d’entendement spirituel des Ecritures. C’est ce qui fait qu’ils pensent ainsi.

            Et ensuite, certainement que nous avons un tas de fanatiques qui vont là-bas et font un tas d’histoires qui agitent cela. Mais cela n’ôte pas le véritable Evangile. Pour moi, cela Le fait briller. Oui.

            Le voici passer droit au milieu de cette foule. Sans doute que Simon et tous les autres, les pharisiens, disaient: «Regardez-Le. Ah! Plein de vertu, Il passe à côté et Il abandonne tous les autres.»

62        Suivez Saint Jean 5.19. Jésus répond. Pour gagner le temps, ou pour ne pas prendre trop de temps, nous allons commencer maintenant même. Jésus a dit ceci dans Saint Jean 5.19. Voici la question. Lorsqu’ils L’ont interrogé à ce sujet...

            Il a dit: «En vérité, en vérité...» Savez-vous ce que cela signifie? «Absolument, absolument.» «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père ; le Fils aussi le fait pareillement.»

            Quelqu’un a-t-il déjà lu cela auparavant? Faites voir les mains. Eh bien, regardez simplement ces mains. Jésus a-t-Il déclaré cela? Alors, Jésus a dit la vérité. Et Il a dit: «Je ne fais rien avant que le Père Me montre premièrement en vision quoi faire. En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.» Est-ce vrai?

            Et quand Il était ici sur terre, avant de quitter, Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez.» Est-ce vrai? «Vous Me verrez, car Je (pronom personnel, comme je l’ai dit l’autre soir) serai avec vous jusqu’à la fin du monde. Et vous ferez aussi les oeuvres que Je fais...» Saint Jean 14.7: «Les oeuvres que Je fais, vous en ferez même davantage, car Je m’en vais au Père. Je m’en vais, et Je reviendrai. Et Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» Jésus-Christ, ressuscité d’entre les morts, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Amen.

            Eh bien, Il a présenté cette foi aux saints. «Vous ferez aussi les choses que Je fais.»

63        Eh bien, rapidement, alors que nous terminons. Je pense que Pierre l’a bien exprimé dans Actes 2, où il a dit: «Hommes Israélites, vous aurez dû connaître ces choses. Jésus de Nazareth, cet Homme à qui Dieu a rendu témoignage devant vous par des signes, des prodiges et des miracles qu’Il a opérés par Lui au milieu de vous tous, et vous en êtes témoins...» Est-ce vrai?

            Eh bien, si... Aussi, je pense que Nicodème l’a bien exprimé pour l’Eglise orthodoxe. Ecoutez ceci. Nicodème vint auprès de Lui, de nuit. L’homme cultivé venant auprès d’un Homme sans diplôme. Un homme détenteur de toutes sortes de diplômes dans le domaine de la vie de l’église vint vers un Homme qui n’avait point de diplôme dans le domaine de la vie de l’église. C’était un homme avancé en âge qui venait auprès d’un Jeune, un aristocrate venant auprès d’un Indigent, Qui n’avait pas de place où reposer Sa tête.

            Ecoutez son témoignage depuis le... Il a rendu témoignage de ce que l’église pensait en fait de Lui, mais ils ne pouvaient pas accepter cela. Il a dit: «Rabbi (ou Docteur), nous savons que Tu es un Docteur venu de Dieu. Nous le savons. Nous les Juifs, les pharisiens, nous le savons. Car personne ne peut faire ces oeuvres que Tu fais si Dieu n’est avec lui.»

            Et quel genre d’oeuvres faisait-Il? Rien que ce que le Père Lui montrait. Est-ce vrai?

64        J’aimerais vous poser une question. Ce qui a été introduit à l’église, les apôtres tout au long des âges... Considérez Pierre sur le toit de la maison, la vision d’aller chez Corneille. Considérez le petit Paul là-bas, Pierre aussi, en prison. Les exécuteurs allaient le décapiter le lendemain matin. Et un Ange entra, une Lumière de feu entra, et l’en fit sortir.

            Paul, à bord d’un petit navire plein d’eau, quatorze jours et quatorze nuits, sans aucun espoir d’être jamais sauvé ; la lune et les étoiles ont manqué de briller. Il est descendu dans la cale de la barque, quelque part là. Elle était pleine d’eau et sur le point de couler. Ecoutez. Et en prière... Le voici sortir tout à coup, en courant, il secouait ses mains, ce petit Juif au nez crochu, il a dit: «Frères, ayez bon courage.»

            «Qu’est-il arrivé? Qu’est-il arrivé?»

            «Un Ange du Dieu, dont je suis serviteur, m’est apparu cette nuit, et m’a dit: ‘Paul, ne crains point ; il faut que tu comparaisses devant César, et voici, Dieu t’a donné tous ceux qui naviguent avec toi. Ils te sont donnés. Le navire va faire naufrag-... faire naufrage sur une certaine île.’»

65        Il avait eu une vision. Et il a dit: «C’est pourquoi, frères, j’ai cette confiance en Dieu qu’il en sera comme Il m’a montré. C’est ainsi qu’il en sera.»

            C’était la foi qui a été présentée aux saints. C’est la même foi pour laquelle je suis en train de combattre aujourd’hui, que Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts et qu’Il est vivant parmi nous aujourd’hui. Amen. S’Il est ressuscité d’entre les morts, Il est tenu de se présenter. Il est tenu d’accomplir les mêmes oeuvres qu’Il avait accomplies.

            Quand j’étais à Bombay, en Inde, il y a environ plus d’une année... Alors que dix-sept différents monarques de leur pays là, les différentes religions, étaient assis sur des oreillers en soie, et cinq cent mille personnes étaient entassées dans les rues...

            Et j’ai dit: «Messieurs, aujourd’hui, vous portez un plâtre sur la bouche pour ne pas avaler une mouche, ou un moustique ; vous pensez que c’est peut-être votre mère qui revient: la réincarnation... Beaucoup parmi vous adorent des vaches, des animaux et autres, le soleil, la lune, la créature plutôt que le Créateur...» J’ai dit: «Je vous le déclare, Dieu a ressuscité Son Fils Jésus-Christ d’entre les morts.» Et j’ai dit: «Assurément, vous ne pouvez pas accepter un sacrifice de sang si vous ne pouvez pas... ne voulez même pas tuer un moustique.» Certainement.

66        Et, oh! comme c’est superstitieux! Et ils venaient à l’estrade ; je ne pouvais même pas parler leur propre langue. Mais le Saint-Esprit pouvait leur dire qui ils étaient et d’où ils venaient, et au sujet de leur maladies, et ce qu’ils avaient fait, et ce que... l’église qu’ils fréquentaient, le genre de religion qu’ils avaient. Ils étaient assis là se posant des questions.

            Peu après, un aveugle est venu, totalement aveugle, il est passé. Dieu n’avait point montré quoi que ce soit à son sujet, Il lui a simplement dit ce qu’était sa maladie. Et le suivant est passé... Souvenez-vous, vous ne pouvez pas faire cela. Il faut que ça soit Dieu.

67        Le suivant qui est passé, c’était un homme d’environ... peut-être plus jeune que moi. Et il lui a été dit qu’il était un adorateur du soleil. Ses yeux étaient blancs comme ma chemise.

            Le maire de Bombay, les hommes, les célébrités... J’avais un billet d’avion en main, pour avoir une entrevue avec le Président de l’Inde ainsi que le Premier Ministre Nehru, qui allait cet automne... Il avait promis qu’un million de gens se rassembleraient à Delhi. Et puis, c’est à peine si je pouvais entrer et sortir du bâtiment.

            Et cet aveugle était là. J’ai dit: «Eh bien, je ne peux pas aider cet homme. Il n’y a rien que je puisse faire. Mais si Jésus, le Christ ressuscité, est ressuscité d’entre les morts, alors Il connaît cet homme. Il connaît tout à son sujet. Il peut me le dire, ai-je dit, comme Il l’a fait pour ces autres personnes. Mais vous êtes assis là avec une question à l’esprit: ‘Suis-je en train de lire les pensées des gens? Est-ce de la télépathie mentale?’»

            J’ai dit: «C’est le même démon qu’on avait là au commencement. Je ne peux pas m’attendre... Si ce n’était pas le cas, j’aurais moi-même eu peur.» Il vous faut avoir une opposition, alors vous savez que vous êtes sur le champ de bataille.

            Puis, quand l’homme s’est avancé là, j’ai regardé et, par la grâce de Dieu, une vision est apparue au-dessus de lui, d’un homme qui voyait. Alors, je leur ai lancé un défi, après avoir eu la vision. Je savais qu’il allait donc voir. C’est ce que Dieu avait déjà dit.

            J’ai dit: «Gentlemen des religions de ce monde...» Non pas mes frères. Ils ne le sont pas. J’ai dit: «Voici un homme. Le Saint-Esprit lui a dit qu’il était un homme marié, qu’il avait des enfants, et d’où il venait, comment il gagnait sa vie, et tout. Il lui a dit qu’il était un adorateur du soleil. Il était aveugle depuis vingt ans.» J’ai dit: «Y a-t-il un médecin qui aimerait l’examiner?»

68        Ça ne change rien, Dieu l’avait déjà dit. Le Père avait déjà parlé et cela devait s’accomplir. Observez cela au cours des réunions. Tous les cieux et la terre changeront, mais cela ne changera jamais. C’est vrai. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Ce n’est pas du non-sens. Ce ne sont pas des bêtises... C’est la Bible rendue manifeste.

            Et cet homme était là debout. J’ai dit: «Eh bien, est-ce vous... vous qui prétendez être... Vous avez dit aujourd’hui que votre bible a commencé avant la Genèse, et vos prophètes ont existé avant Moïse, ainsi de suite. Eh bien, je... si c’est un... humain...» Et j’ai dit: «C’est un homme, et vous direz qu’il a mal agi en adorant le soleil. Vous aimeriez qu’il vienne adorer une vache, ou qu’il pratique une autre religion, qu’il adore Bouddha, ou Mahomet, ou quelque chose de ce genre.» J’ai dit: «Nous avons la même chose en Amérique. Ce n’est rien d’autre au monde que de la psychologie humaine.»

69        J’ai dit: «Les méthodistes aimeraient faire de tous les baptistes des méthodistes. Les baptistes aimeraient faire de tous les méthodistes des baptistes. Les pentecôtistes aimeraient faire de tous les nazaréens et des pèlerins de la sainteté des pentecôtistes... et vice versa. Et les catholiques aimeraient faire de tous les protestants... et les protestants, vice versa. C’est ce qui se passe. C’est de la psychologie. Qu’est-ce que cela vous fait? Cela vous fait changer de conception.»

            J’ai dit: «Nous pouvons produire cela. Nous avons tout cela en Amérique, seulement, grâces soient rendues à Dieu, un seul Dieu.» Mais j’ai dit: «Eh bien, si Dieu est le Dieu des vivants, s’Il est le Dieu Créateur, assurément, si l’homme a été en erreur par ignorance, qu’il a fixé le regard sur le soleil jusqu’à ce qu’il soit devenu aveugle ; assurément, le Créateur peut faire quelque chose pour lui s’il veut bien se mettre en ordre.»

70        J’ai dit: «Eh bien, je vous défie de vous avancer à l’estrade et de produire quelque chose.» Et tout le monde était très calme. Assurément. J’ai dit: «Mais sachez-le, moi non plus, je ne le peux pas. Je ne suis qu’un homme. Mais j’ai eu une vision. J’ai vu cet homme en vision. Il va recouvrer la vue.»

            J’ai dit: «Je ne dirais rien du tout. Pourquoi n’ai-je pas dit cela aux autres aveugles qui étaient passés?» Ou... J’ai dit: «En effet, ce n’était pas Dieu. Dieu ne m’avait rien dit. Tout ce que je pouvais faire, c’est uniquement ce qu’Il m’avait dit. Il m’a dit ce qu’ils étaient, et ce qu’ils devaient faire, et tout comme cela, mais Il n’a jamais rien dit à ce sujet. Mais alors, Il m’a montré que cet homme allait recouvrer la vue.» J’ai dit: «Si cet aveugle recouvre la vue, combien parmi vous accepteront Jésus comme leur Sauveur personnel et abandonneront toutes leurs idoles et tout le reste?»

            Aussi loin que je pouvais voir, on dirait, eh bien, aussi loin que le projecteur pouvait éclairer, il y avait ces petites mains noires levées.

            Et j’ai fait passer l’homme là, et j’ai dit: «Bien-Aimé Seigneur Jésus, Tu sais...»

            On ne va pas interpréter votre prière, certainement pas. Alors, j’ai dit: «Je–je sais qu’il est impuissant. Et je sais que Ta Parole ne peut pas faillir. Voici d’abord Ta Parole, certainement. Et ceci est seulement secondaire. Mais Tu n’as pas parlé personnellement à cet homme, mais Tu l’as dit maintenant dans Ta Parole, par une vision. Et c’est Ton Saint-Esprit même qui a dit: ‘Je ne fais que ce que le Père Me montre...’ Et Tu es ressuscité d’entre les morts et Tu es ici.»

71        Et j’ai dit: «Je Te prie, pour la gloire de Dieu, afin que ces gens sachent qu’ils sont en erreur et dans les ténèbres, de restituer à cet aveugle la vue au Nom du Seigneur Jésus.»

            J’ai baissé mes mains, et il a lâché un cri ; il m’a saisi à la hanche. Il pouvait voir aussi bien que vous, que n’importe qui qui est assis ici. Il a couru sur l’estrade. Il a saisi le maire, il a pris son billet ici même dans ma poche, de–de Bombay, de Boham... ou c’était... Je pense qu’il était un musulman? Oui. Alors, il l’a saisi, et il s’est mis à l’étreindre. Et les gens criaient.

            C’était la dernière soirée où je pouvais tenir un service. Ils m’ont arraché mes chaussures. Ils ont déchiré ma veste. Eh bien, des légions de soldats essayaient de me ramener à...?... Hôtel, là-bas, cherchant à sortir. Qu’était-ce? C’est Jésus, ressuscité d’entre les morts.

            Je n’avais jamais eu quoi que ce soit à faire avec cela. C’est la foi de l’homme... Je lui ai demandé ; j’ai dit: «Si Jésus-Christ veut bien vous restituer la vue, promettrez-vous d’abandonner votre dieu soleil et tous les autres dieux, et de vivre pour Lui?»

            Il a dit: «Je ne servirai aucun autre dieu que Jésus-Christ, s’Il me restitue la vue.» Et Dieu l’a parfaitement guéri. Et il a témoigné devant le président, et tout, à travers l’Inde, ce qui provoquera une agitation.

72        Amérique, tu es en retard. Ce sont eux qui ont le réveil là-bas. Amen. Que Dieu vous bénisse. Je...

            L’homme n’avait rien à faire avec cela. Il n’y avait pas d’huile qui coulait ni rien d’autre. C’était la foi qui était venue en écoutant, en écoutant la Parole.

            Notre Père céleste, alors que nous avons nos têtes inclinées humblement dans Ta Présence, comme nous parlons de Toi devant cette aimable assistance, comme ceci, des gens au coeur affamé... Ils T’aiment, Seigneur. Nous T’aimons tous. Il se peut que nous sortions de temps en temps du chemin et qu’on devienne peut-être un peu discourtois. Je ne connais pas la vie des gens. Mais Tu nous connais tous. Nous Te prions de nous pardonner, Seigneur.

            Et de tout mon coeur, je crois que Tu es ressuscité d’entre les morts. Je sais que Tu es ressuscité, Seigneur. Et Tu as dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.»

            Maintenant, Père, que cette vallée ici soit sans excuse au jour du Jugement. Je Te prie de venir cet après-midi, sachant que je suis impuissant ici en tant que Ton serviteur... Mais... Et si je suis un peu sorti du chemin, que Tu me pardonnes. Si j’ai commis une faute, pardonne-moi, Seigneur. En effet, je suis conscient de ce qui m’attend.

            Et je Te prie d’être miséricordieux envers tout le monde. Et, Père, puissent-ils tous croire dans Ta résurrection aujourd’hui et accepter le Tendre Seigneur Jésus, qui est ici, comme leur Sauveur personnel. Et que chaque personne dans la Présence Divine soit guérie aujourd’hui. Car je le demande au Nom de Jésus, et pour Sa gloire. Amen.

73        Eh bien, je vais vous demander quelque chose juste pendant quelques instants maintenant, peut-être pendant vingt, trente minutes... Mon ministère ne consiste pas à toucher tout le monde. Vous pouvez me toucher, ou moi, je peux vous toucher ; je n’ai rien à faire avec cela. Il est question de Le toucher, Lui.

            Eh bien, combien croient qu’Il est ressuscité d’entre les morts? Faites voir les mains. Merci. Et croyez-vous, s’Il est ressuscité d’entre les morts, qu’Il est aujourd’hui le même qu’Il l’était hier, et qu’Il le sera éternellement? Levez la main si vous croyez cela. Je le crois de tout mon coeur.

            Eh bien, il y a des gens qui détiennent des cartes de prière ici dans l’assistance. Je vais... Je crois que nous allons simplement commencer. Qui a la carte de prière numéro 1? Levez la main. La carte de prière numéro 2, levez la main. Numéro 3, levez la main ; 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10. Alignons les dix premiers juste une minute et voyons comment nous allons évoluer.

74        Eh bien, pendant que leur... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] En disant à quelqu’un diverses choses, cela n’a rien à faire avec sa guérison ; cela relève sa... Mais dès que vous entendez Cela dire AINSI DIT LE SEIGNEUR, surveillez cela et notez-le. C’est ce qu’Il a déjà fait. Autrement, Il pourrait vous dire quelque chose, s’Il le voulait, mais quelque chose pour relever votre foi au point d’amener cela à croire, c’est tout.

            Eh bien, je pense que cette femme ici est la première dans la ligne. Est-ce vous? Est-ce la patiente? Très bien. Voudriez-vous venir, madame?

            Maintenant, que tout le monde se tienne tranquille. Et gardez vos enfants près de vous. Gardez simplement vos enfants très près de vous à cause des choses mauvaises.

            Ne pensez pas que je suis un fanatique. Je ne le suis pas, mes amis. Je suis très... Si je le suis, Dieu sait que je ne sais rien à ce sujet. Mais j’essaie d’être votre frère en Jésus-Christ. Et je crois que la Bible soutient cela.

75        Maintenant, un homme peut dire tout ce qu’il veut. Cela ne le confirme pas. Mais quand Dieu vient et dit: «C’est vrai», vous pécherez en doutant.

            Eh bien, je pense qu’on va changer de micro maintenant même, d’ici vers ici. Je ne sais pas si ça va marcher. Surveillez cela, car ceci est un autre monde ; c’est une autre dimension pour vous les hommes de science.

            Je ne connais pas cette femme. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Je ne sais pas ce pour quoi elle est ici ; elle le sait. Mais Dieu le sait. Et Il sait ce pour quoi chacun de vous est ici. Et vous n’avez pas à avoir une carte de prière pour être ici. Croyez simplement là dans l’assistance où vous êtes, vous qui n’avez pas de carte de prière, et voyez si le Saint-Esprit n’accomplit pas juste exactement ce qu’Il a accompli quand Il était ici sur terre à travers notre Seigneur Jésus ; car c’est de Lui qu’il s’agit.

76        Je... Fredonnons simplement juste un instant, s’il vous plaît: Crois seulement. Voulez-vous le faire, frère?

            Crois seulement, crois seulement,

            Tout est possible, crois seulement ;

            Crois seulement...

            Un matin, Jésus descendait, un homme avait amené un enfant qui était sérieusement tourmenté.

            Il a dit: «Peux-Tu l’aider?»

            Il a dit: «Si Tu peux croire. Tout est possible à ceux qui croient.»

            Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je réclame un respect total. Et surveillez tout ce qui est dit. Au Nom du Seigneur Jésus, obéissez à ce qu’Il dit de faire.

            Maintenant, madame, avancez. Y a-t-il... Là, très bien. Vous et moi, nous sommes inconnus l’un pour l’autre, nous ne nous connaissons pas. Mais c’est le même cas, juste comme quand notre Seigneur était ici. Il y eut une femme et un Homme dans la même situation. Est-ce vrai? Et notre... Comme nous sommes inconnus l’un à l’autre, vous et moi, nous ne nous sommes jamais rencontrés auparavant...

77        Sommes-nous inconnus et ne nous sommes-nous jamais rencontrés auparavant? Si c’est le cas, levez la main. Nous ne nous connaissons pas. Est-ce vrai? Nous ne nous connaissons pas? Mais Jésus sait pourquoi vous êtes ici. Vous êtes venue ici dans un but. Et je ne sais pas. Vous savez que je ne le sais pas. Mais Lui le sait.

            Eh bien, vous êtes consciente qu’il se passe quelque chose, mais vous ne savez pas... Il y a une espèce de sentiment vraiment humble. C’est une... Avez-vous déjà vu cette photo de l’Ange du Seigneur? C’est ce qui est... C’est Cela qui se tient entre vous et moi. Maintenant, voyez-vous Cela se mouvoir? C’est une Lumière.

78        Maintenant, Il connaît la raison de votre présence ici. Et s’Il me révèle ce pour quoi vous êtes ici, comme pour la femme qui était allée au puits avec son problème ; qu’Il aborde directement votre problème, L’accepterez-vous comme votre... peu importe ce que c’est, de l’argent, ou–ou quel... la maladie... ou l’état de votre âme?

            Souvenez-vous, vous ne pouvez pas Lui cacher votre vie. Il la connaît. Mais je sais que vous êtes une chrétienne, car votre esprit est le bienvenu. Maintenant, vous souffrez d’une maladie, et cette maladie est au dos. C’est au niveau des reins. Et cela est diagnostiqué comme étant le cancer. Et vous êtes... c’est... mourir de ce cancer. Mais vous êtes venue parce que vous croyez que Dieu vous rétablira. Est-ce vrai?

79        Eh bien, il y a Quelque Chose ici qui vous connaît. N’est-ce pas vrai? Et Il est capable de vous dire ce que c’est. Croyez-vous que c’est Lui? Alors, si nous prions... Jésus a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Est-ce vrai? Alors, venez ici juste un instant. Inclinons la tête.

            Notre Père céleste, cette ombre, cette obscurité, au-dessus de la femme, la mort... Mais Toi, Tu es la Vie et la Lumière. Et en tant que Ton serviteur, j’offre cette requête à... en sa faveur. Au Nom de Jésus, le Fils de Dieu, qui est présent maintenant, Tu la guérisses. Cependant, Seigneur, elle ne peut pas Te voir, mais en voyant les mêmes oeuvres que Tu avais accomplies... C’est ainsi qu’ils T’ont reconnu à Emmaüs. Tu avais fait quelque chose que nul autre, à part Toi, ne pouvait faire. Et ils ont reconnu que c’était Toi. Et elle reconnaît de même, Seigneur, que ce n’est pas son humble frère qui se tient ici, mais c’est Toi. Et en tant que Ton représentant, je maudis la maladie au Nom de Jésus, et je demande qu’elle soit rétablie. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Retournez, heureuse.

            Croyez-vous maintenant? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Ayez foi. Ne doutez pas. Croyez simplement de tout votre coeur.

80        Oh! Vous avez une foi merveilleuse... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Oh! après que l’onction eut frappé une fois, quelle condition!

            Maintenant, soeur, j’aimerais que vous regardiez ici juste un instant. Comme notre Maître a dit à une femme: «Apporte-moi à boire.» Et les apôtres ont dit à l’homme qui était à la porte appelée la Belle: «Regarde-moi. Regarde-nous», non pas que... non pas ce qu’ils étaient. Ils voulaient adorer les hommes un peu plus tard. Et il a dit... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Et maintenant, nous...?... probablement nés à des endroits distants de beaucoup de kilomètres... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] C’est la première fois que nous nous sommes rencontrés...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] le Saint-Esprit me révèle ce pour quoi vous êtes ici, croirez-vous que je vous ai dit la vérité au sujet de Sa résurrection, et L’accepterez-vous comme votre Guérisseur?

            En effet, vous êtes déjà une chrétienne. Votre esprit est le bienvenu. Voyez? Si c’était un incroyant, Il le saurait très rapidement. Mais vous avez un esprit qui est le bienvenu.

            Maintenant, sans vous connaître... Ce serait donc, absolument, un miracle parfait si Dieu me révélait ce pour quoi vous êtes–vous êtes ici. Est-ce vrai? L’un...

81        Maintenant, si l’assistance entend toujours ma voix, la femme semble s’éloigner de moi. Je la vois marcher dans sa chambre. Elle tient quelque chose en main. Elle laisse tomber cela. Oh! Elle est nerveuse. Elle souffre des nerfs. Je vois une chute terrible. Elle était tombée, et elle s’est fracturé le cou. Et elle a glissé...

            Les médecins ont dit qu’il y a trois vertèbres, ou les tampons entre les vertèbres qui se sont déboités. Et cela s’est coincé contre le... et ça pince... et ça fait mal, et cela la rend extrêmement nerveuse. Et il n’y a aucun espoir pour elle en dehors de Dieu le Créateur pour remettre les tampons en place.

            Et je vois qu’elle souffre d’une autre maladie. Il s’agit d’une tumeur. Et cette tumeur est au niveau des glandes femelles. Elle a une tumeur au niveau de glandes femelles. AINSI DIT LE SEIGNEUR.

            Ces choses sont vraies, n’est-ce pas? Je ne sais pas ce que j’ai dit. Ce n’était pas moi. C’était un autre–un autre. Tout cela était vrai, n’est-ce pas? Chaque parole, vraie. Alors, si Dieu confirme que j’ai dit la vérité, alors Jésus est ressuscité d’entre les morts, n’est-ce pas?

            Il a dit: «Tout ce que vous demanderez alors au Père en Mon Nom, Je le ferai.» S’Il est ressuscité d’entre les morts, et mille neuf cents ans confirment toujours qu’Il est ici, qu’Il est ressuscité d’entre les morts, Ses Paroles sont vraies, n’est-ce pas? «Demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé.» Croirez-vous cela, soeur? Alors, avancez.

82        Notre Bienveillant Père céleste, sous la conduite du Saint-Esprit, nous savons que nous sommes dans la Présence divine du Dieu Tout-Puissant qui a créé les cieux et la terre, et qui a habité ici sur terre dans un Corps appelé le Seigneur Jésus, quand Il a Lui-même témoigné: «Je ne fais rien à moins que le Père Me le montre. Et vous ferez aussi ces oeuvres que Je fais, même davantage, car Je m’en vais au Père. Je reviendrai, Je serai avec vous tous les jours, même jusqu’à la fin du monde.»

            Ainsi, je demande au Père, au Nom de Jésus, de condamner donc tout ce qui clochait chez ma soeur que voici. Et je la renvoie d’ici cet après-midi, au Nom de Jésus-Christ, bien portante. Amen.

            Poursuivez votre chemin en vous réjouissant, soeur. C’est terminé. Vous êtes guérie.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur!»–N.D.E.] Croyez-vous? Si vous pouvez croire (Très bien), vous pouvez recevoir. Maintenant, soyez respectueux, tout le monde.

            Oh! Quel–quel temps, mes amis! Quel temps glorieux! Souvenez-vous, nous sommes... L’assemblée a l’air affaibli. Dieu sait que je ne suis pas un fanatique. Je vous dis la vérité. Mais nous sommes dans la Présence de Celui qui est ressuscité d’entre les morts. Il est ici. Eh bien, laissez les musulmans douter.

83        Qu’en pensez-vous, petite dame en costume rouge, assise là? Vous souffrez du coeur, n’est-ce pas, des nerfs? Croyez-vous que le Seigneur Jésus vous rétablira? Si vous croyez de tout votre coeur... La Bible déclare: «Si tu peux croire, tu recevras.» Mais... Si vous pouvez croire, vous serez rétablie...

            Croyez-vous, madame? Sommes-nous inconnus l’un à l’autre? Nous sommes inconnus. Je ne vous ai jamais vue de ma vie.

84        Croyez-vous, soeur? Croyez-vous que Dieu vous guérira? Vous assise là en train de pleurer, vous aviez des ulcères, mais le Seigneur Jésus vous a rétablie tout à l’heure. C’est vrai, n’est-ce pas? Levez-vous. Cette dame assise ici même, en costume blanc, un Ange de Dieu était juste à côté de là où elle se trouvait. Et vous êtes guérie maintenant. Vos ulcères ne vous dérangeront plus.

            Voudriez-vous me faire une faveur? Il y a un cas de sinusite juste à côté de vous. Posez votre main là et priez aussi. Seigneur Jésus, je Te prie de le guérir aussi de cette sinusite, et qu’il soit guéri. Levez-vous, mon frère, et rendez gloire à Dieu. Votre foi vous guérit aussi. Vous êtes guéri. Alléluia!

            Jésus, le Fils de Dieu, est ressuscité d’entre les morts. Croyez-vous là derrière? Ayez simplement foi.

            Oh! comme c’est merveilleux! Il ne faillit jamais. Il est Jésus, le Fils de Dieu.

85        Maintenant, soeur, si vous croyez de tout votre coeur, que vous regardiez de ce côté-ci et que vous croyiez simplement... Je ne peux pas vous guérir. Si je pouvais vous guérir et que je ne le faisais pas, je serais une brute. S’il y a quelque chose que je pouvais faire pour vous aider et que je ne le faisais pas... et vous... si c’est la raison de votre présence ici. Je ne sais pas. C’est peut-être pour une autre maladie. Je ne peux le dire. Mais si je peux vous aider et que je ne le faisais pas, je serai une personne horrible, n’est-ce pas? Et je suis votre frère.

            Maintenant, vous êtes consciente qu’il se passe quelque chose, madame. Je vois quelque chose en rapport avec un rendez-vous que vous aviez pris. Et cela doit avoir lieu le mercredi. Vous avez été examinée par un médecin, et il y a quelque chose qui cloche avec votre sein. Et vous devez être opérée le mercredi prochain. C’est vrai. Et croyez-vous que Jésus-Christ va vous rétablir? Venez ici juste une minute donc.

            Notre Bien-Aimé Père céleste, je Te prie, au Nom de Jésus, d’ôter toute la maladie de notre soeur, qu’elle se rétablisse et qu’elle soit une personne bien portante. Je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, soeur. Retournez, heureuse, et réjouissez-vous maintenant, en croyant de tout votre coeur.

86        Maintenant, regardez, assistance, juste un instant ; ne vous déplacez pas, s’il vous plaît. Vous dérangez... Il y a quelqu’un qui est guéri de ce côté. Je n’arrive pas à voir où c’était. Voyez? Ne vous déplacez pas, s’il vous plaît. On va–on va me prendre juste dans un instant. Mais ne vous déplacez pas.

            Voyez, chacun de vous, c’est une âme ; votre esprit est ici. Vous êtes des chrétiens. Et nous travaillons dans une sphère spirituelle. La Bible dit d’être respectueux. «Tenez-vous tranquille, et sachez que Je suis Dieu», a-t-Il dit.

            Je suis désolé. Cela s’est passé ici même, mais je n’ai pas pu voir cela. Maintenant, soyez vraiment respectueux, et ayez foi.

            Bonsoir, madame. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je ne vous connais pas. Vous ne me connaissez pas. Et je ne vous ai jamais vue de ma vie. Et peut-être que vous ne m’avez jamais vu, à moins que cela ait été dans une réunion quelque part en passant... Vous–vous ne me connaissez pas? Cette semaine, c’est votre première fois de jamais me voir, n’est-ce pas? Alors, nous sommes de parfaits inconnus, n’est-ce pas? Je ne vous connais pas.

87        Maintenant, assistance, juste un instant. Voici une dame ; nous ne nous sommes jamais rencontrés. Elle m’a simplement vu quand elle est venue ici à la réunion. Nous ne nous sommes jamais rencontrés de notre vie. Elle se tient là, une femme qui me paraît en bonne santé.

            Il y a quelque chose qui cloche. Je ne sais pas ; Dieu le sait. Mais qu’elle en soit juge. Si Dieu me révèle ce qui cloche, croirez-vous la vérité, que Jésus est ressuscité d’entre les morts? Croirez-vous cela?

            Et souvenez-vous, Il est tout aussi disposé à vous guérir qu’Il l’est à la guérir. Cela ne fait aucune différence. Il est simplement le même. Vous voyez les gens ici... Vous là, dans l’assistance avec... c’est là dans l’assistance ; vous êtes guéri. Cela n’importe donc pas–pas à Dieu. Si vous restez assis et que vous priez, Dieu accordera cela.

88        Maintenant, soyez vraiment respectueux et voyez ce que le Saint-Esprit dira. Peut-être qu’Il ne dira aucun mot. Je ne peux pas vous le dire. Cela dépend de Lui.

            Maintenant, soeur, sans vous connaître et sachant que je... Vous aurez à admettre que si le Saint-Esprit me révèle quelque chose, que vous savez que je ne vous connais pas, je ne connais rien à votre sujet ; vous savez que Cela devra être une puissance surnaturelle.

            Ainsi donc, ça dépend de ce que vous décidez que cela est. Si vous décidez que cela est faux, alors vous ne recevrez rien. Mais si vous décidez que cela est vrai, vous recevrez ce que vous demandez.

            Mais vous, vous n’êtes pas ici pour vous-même. Vous êtes ici pour quelqu’un d’autre. Et c’est une femme. Et vous avez un mouchoir en main pour cette femme. Et cette femme, c’est votre soeur. Elle n’est pas en Californie. Elle est loin. Je... Elle vient d’une ville appelée Alabama. Elle souffre de l’hypertension et du coeur. Est-ce vrai? Croyez donc.

            Au Nom du Seigneur Jésus, je prie que cela soit accordé par les miséricordes et les mérites de notre Seigneur Jésus-Christ, à qui sont l’honneur et la gloire. Amen. Que Dieu vous bénisse.

            Ayez foi en Dieu. Vous pouvez recevoir ce que vous demandez si seulement vous croyez.

89        Maintenant, vous qui êtes ici même... A vous qui savez cela et qui avez vu la photo, voici l’Ange du Seigneur passer, une vision. Une femme avec la tête inclinée, elle est en prière. Elle prie que Dieu me parle. Elle est assise ici même dans la rangée de devant, et elle prie pour son mari ; en effet, elle veut qu’il ait une marche plus intime avec Dieu. AINSI DIT LE SEIGNEUR. Levez-vous, soeur, et acceptez cela au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Alléluia!

            Croyez-vous? Si vous arrivez à croire, vous recevrez ce que vous réclamez, car le Saint-Esprit est ici. Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts, et Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Croyez-vous cela? Ayez foi en Dieu.

90        Maintenant, la dame debout devant moi...Nous sommes inconnus, je suppose, l’un à l’autre, madame. Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Nous sommes inconnus, n’est-ce pas? Si nous le sommes, levez la main devant l’assistance. Je ne connais pas la dame. Je ne l’ai jamais vue.

            Mais vous voyez les effets des visions, regardez cela ici. Voyez? C’est comme si je suis en train de m’évanouir. Voyez? On entre dans un autre monde, là avec d’autres personnes. C’est une autre dimension. Daniel, le prophète, a eu une seule vision et il a eu la tête troublée pendant plusieurs jours.

            Je suis sûr que vous pouvez apprécier cela. Et cette assistance est simplement en train de tirer comme un grand aimant. Qu’est-ce? Ça ne vient pas de moi. C’est le Saint-Esprit ici. Il m’a envoyé.

            Ce n’est pas–pas de moi-même. C’est Christ. Il est ici pour vous prouver qu’Il est ressuscité d’entre les morts. Ce n’est pas moi ; Il est là même avec vous aussi. Voyez? Il est avec nous tous. Croyez simplement cela de tout votre coeur, et Il vous guérira. En effet, vous recevez ce que vous demandez, si vous pouvez croire. Mais il vous faut croire.

91        Maintenant, voici une parfaite inconnue. Mais la dame est une chrétienne. Et la dame, étant une chrétienne, est très consciente qu’il se passe quelque chose; en effet, c’est l’action du Saint-Esprit.

            Il se tenait au-dessus de cette dame assise ici même. Cela est rentré vers la femme qui est ici maintenant. Il y a un lien quelque part ; je ne sais pas.

            Mais la femme est–est ici parce qu’elle est extrêmement nerveuse. Et elle souffre du–du cou, et cela affecte l’épaule et le dos. Et je vois une intervention chirurgicale, une opération. Mais elle a eu lieu il y a quelque temps, il y a longtemps. Et ce sont les effets de cette intervention chirurgicale qui sont à la base de ces maladies. C’est vrai. Croyez-vous maintenant? Croyez-vous maintenant de tout votre coeur? Que la femme en soit témoin.

            Maintenant, vous voyez, plus on lui parle, plus il se produira des choses. Mais vous voyez, il nous faut épargner un peu de force pour l’assistance. Juste à cause de ceci, parlons à la femme juste un instant. Cela vous ferait-il croire davantage? Laissez-moi lui parler un instant si le Saint-Esprit voudrait bien montrer quoi que ce soit d’autre. Je ne sais pas. Je ne sais pas ce qu’Il lui a dit. Mais peu importe ce que c’était, c’était la vérité. Si c’est la vérité, levez la main. C’est la vérité, c’est toujours la vérité. Ça ne peut être autre chose.

92        Maintenant, je ne sais pas ce qu’était votre problème. Mais si le Saint-Esprit me révèle autre chose, allez-vous alors croire de tout votre coeur? Puisse-t-Il accorder cela.

            Je suis juste Son serviteur, Son prophète, ou... peut-être que je ne devrais pas dire cela: un prédicateur.

            Vous n’êtes pas de cette ville. Vous venez d’une autre ville. Dites donc, et vous êtes un prédicateur. Vous êtes venue ; vous avez une église indépendante où vous prêchez, dans une petite ville. C’est vrai, n’est-ce pas? Eh bien, madame, retournez chez vous. Vous êtes guérie. Jésus-Christ vous guérit.

            Une glorieuse Lumière est venue tout autour de la femme. Poursuivez votre chemin, ma soeur, réjouissez-vous et soyez heureuse, car Jésus vous guérit. Amen.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur!»–N.D.E.] Rendez-Lui gloire, vous tous, peuple.

93        Maintenant, soyez respectueux. S’il vous plaît, ne vous déplacez pas. Vous êtes–vous êtes–vous êtes en train de rendre cela dix fois pire pour moi. Le... Je vais partir d’ici juste quelques minutes, si vous promettez de vous tenir tranquille, juste une minute ou deux. Les gens sont en train d’être guéris.

            Je sais qu’il vous faut vous dépêcher, et je pense peut-être qu’il se fait tard. Oui. Mais les jeunes gens sont en train de me surveiller. C’est pour ça que cet homme est ici, par ici, mon jeune fils. Il est en train de me surveiller. Il sait bien jusqu’où je peux aller. Voyons si nous ne pouvons pas parler, peut-être le Saint-Esprit, à quelqu’un d’autre et voir ce qui arriverait.

94        Monsieur, croyez-vous? Venez ici juste une minute. Placez votre main sur la mienne. Maintenant, vous assis là, pensant que ceci, c’est de la télépathie mentale et que je suis en train de lire leurs pensées, je vais vous prouver qu’il n’en est pas question.

            Je vous suis inconnu. Le suis-je, monsieur? Je ne vous connais pas. Mais si Dieu peut me révéler ce qu’est votre problème, vous croirez, n’est-ce pas? Alors, retournez chez vous et prenez votre dîner ; le trouble d’estomac vous a quitté. Amen. Oh! Ayez foi en Dieu. Croyez simplement de tout votre coeur.

            Très bien. Voudriez-vous venir, madame? Croyez-vous? Le pouvez-vous? Croyez-vous? Alors, vous n’aurez plus besoin de votre intervention chirurgicale. Votre tumeur vous quittera tout simplement. Vous pouvez poursuivre votre chemin, réjouissez-vous et soyez rétablie.

            Disons: «Gloire à Dieu!» Très bien. Croyez-vous de tout votre coeur?

95        Soeur, regardez ici juste un instant. La dame assise ici même, en train de me regarder, juste à côté de cette petite fille. Vous êtes en train de prier, n’est-ce pas, soeur? En effet, vous souffrez d’une maladie gynécologique dont vous voulez guérir. C’est vrai. Vous avez prié juste il y a quelques minutes et vous avez dit: «Ô Dieu, si Tu l’amènes à me désigner, je croirai, et je serai guérie.» N’est-ce pas vrai, soeur?

            Vous là en veste grise, croyez-vous de tout votre coeur maintenant, vous assis là dans la rangée de devant, et croyez-vous que vous êtes... que Jésus-Christ vous rétablit? Si vous croyez, levez la main et dites: «Je l’accepte.» Très bien. Vous pouvez poursuivre votre chemin et être bien portant maintenant. Jésus vous a guéri.

            Vous êtes–vous êtes le patient. Je ne suis pas hors de moi-même, mais je... c’est... vous comprenez. Je ne vous connais pas. Mais je vous vois essayer de quitter le lit. Il s’agit d’une maladie qui raidit: C’est l’arthrite. Et croyez-vous qu’Il vous rétablit? Il le fait. Poursuivez simplement votre chemin, en vous réjouissant, soyez reconnaissant, et soyez heureux. Amen.

            La maladie du coeur n’est pas plus difficile à guérir pour Dieu que le fait de prendre un verre d’eau. Croyez-vous cela? Alors, allez en vous réjouissant, et soyez guéri, au Nom de Jésus. Amen.

            Croyez-vous? Ayez simplement foi. Ayez foi ; croyez. Ne...

96        Maintenant, juste un instant. Quelque chose est arrivé. J’ai vu une dame se déplacer. Oh! Je vois une ombre noire. Elle se suspend au-dessus d’une dame. Elle est assise là avec la main levée, en train de prier. Cela est au niveau de sa bouche. Un cancer, le cancer de la tête, vous êtes mourante. C’est vrai, madame.

            C’est votre mari qui est assis à côté de vous. Vous n’êtes pas de cette ville-ci. Je vois de très gros arbres, là d’où vous venez. Ce sont des arbres toujours verts, pareils aux pins. Vous venez d’une... vous venez d’une... soit de Portland... Non, vous venez de Washington, l’Etat de Washington. Votre mari est un prédicateur de l’Evangile. Son nom, c’est Jiggers, ou Jagger, ou Jaggers, ou quelque chose comme cela. J’ai entendu quelqu’un dire... Je pense que son initial, c’est U. S. Yeager. Placez votre main sur son frère, et qu’elle soit guérie au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Alléluia! Gloire soit rendue à notre Dieu!

            Dites donc, pendant que le Saint-Esprit est là, la personne assise juste à côté d’elle, elle a mal à la mâchoire. Ils sont en train de prier, et ils croient que Dieu les guérira. Que le Seigneur vous bénisse, mon frère, et qu’Il vous rétablisse.

97        Vous assis là, souffrant de l’hypertension, croyez-vous que Jésus vous rétablira? Levez-vous. Vous aussi, vous éprouvez une petite sensation étrange autour de votre coeur. Cela est parti. Jésus-Christ vous guérit et vous rétablit. Croyez-vous?

            Eh bien, Jésus-Christ peut guérir tout le monde dans cet aud-... dans la Présence maintenant même. Croyez-vous cela? Il est ici. Il est ressuscité d’entre les morts. Il doit être temps pour moi de partir. Quelqu’un est à côté de moi.

            Je vous demande, au Nom de Jésus-Christ, de vous imposer les mains les uns aux autres, et de croire de tout votre coeur, pendant que Sa Présence est ici.

            Allez, votre arthrite vous a quittée, soeur. Poursuivez votre chemin, en vous réjouissant. Vous avez été guérie de cette arthrite lorsque vous vous êtes levée là, vous assise dans le fauteuil. Martelez vos pieds de haut en bas comme ça. Voyez? Vous y êtes. Allez de l’avant, vous allez vous rétablir maintenant.

            Imposez-vous les mains les uns aux autres. Au Nom de Jésus-Christ, toi Satan, qui as fait du mal à cette assistance, je te condamne. Tu es un démon, et tu ne fais que séduire les gens. Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts. Il est vivant aujourd’hui, et tu es exposé. Toi, un animal insupportable, tu seras puni pour ce mal que tu causes aux enfants de Dieu. Je t’adjure par le Nom du Dieu vivant, le Seigneur Jésus-Christ, Son Fils, de sortir des gens et de quitter en ce jour même ; et que chaque personne ici présente soit guérie, par le Nom de Jésus-Christ...?...

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