L’Appel d’Abraham

Date: 55-1116 | La durée est de: 1 heure et 21 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, mon cher frère. C’est simplement merveilleux. Gloire au Seigneur! Que tous ceux qui ont apprécié cela disent : «Amen.» [L’assemblée dit : «Amen.»–N.D.E.] Quels–quels merveilleux chants ces frères ont exécuté pour nous, ici au–notre réveil! Et nous apprécions certainement ces frères ; et que Dieu les bénisse.

            Aujourd’hui, j’ai entendu quelques bons compliments à leur sujet. Et je suis tellement reconnaissant d’entendre cela, parce que je connais ces deux frères, et je sais que ce sont de véritables chrétiens. Et nous sommes reconnaissants pour tout.

            Ainsi nous sommes heureux d’être de nouveau ici ce soir, ce mercredi soir, pour une soirée de réunion de prière ordinaire, une réunion de prière du milieu de la semaine avec les églises. Et–et notre prière est que Dieu vous bénisse richement, vous qui avez congédié vos assemblées pour venir, et qu’Il nous accorde une–une réunion de prière ici ce soir. Et ceux qui n’ont pas pu le faire, qui tiennent leurs propres services, notre prière est que Dieu leur accorde de glorieuses réunions de prière.

2          Hier soir, je pensais être sûr de sortir à vingt et une heures trente, mais, une fois encore, je n’ai pas pu. Alors je–je suis–alors je vais de nouveau essayer si je le pourrais.

            Maintenant, on m’a remis quelques mouchoirs ici sur lesquels on doit prier. J’en ai remarqué un pour lequel on a dit : «Frère Branham, s’il vous plaît, oignez-le.» Eh bien, c’est très bien. Eh bien, je sais que beaucoup de frères oignent les mouchoirs, ce qui n’est pas mal. Et je... Dieu, tout ce que Dieu bénit, je soutiens certainement cela, pas vous? C’est...

            Mais maintenant, moi je ne les oins jamais, j’utilise en quelque sorte les Ecritures pour cela. Or, dans les Ecritures je ne crois pas qu’on oignait les mouchoirs, mais la Bible dit, le passage d’où vous tirez les Ecritures pour cela, c’est Actes chapitre 19, où on prenait des linges et des mouchoirs qui avaient touché le corps de Paul. Il n’était nullement question de les oindre. Mais, bien sûr, il n’y a pas de mal si les gens oignent cela, mais moi, je n’utilise pas une huile d’onction.

3          Eh bien, je crois au fait d’oindre les malades d’huile, certainement. La Bible en parle. Les mouchoirs, ce que j’en fais, je prie simplement dessus. Et, oh! cela a connu un très grand succès. Nous avons connu des moments vraiment merveilleux en priant pour les mouchoirs. Et le–le Seigneur a béni d’une manière vraiment merveilleuse.

            Bon, il n’y a pas longtemps, juste un petit témoignage que j’aimerais donner au sujet de la prière sur les mouchoirs. Je les envoie. J’en ai envoyé (Oh! je crains de dire le nombre.) des milliers et des milliers, multiplié par des milliers, partout au monde. Et j’ai reçu une douce petite lettre d’un traducteur allemand. J’ai de petits bureaux temporaires, oh! dans huit ou dix pays différents. Et–et ils reçoivent les lettres et les traduisent, et ensuite ils me les envoient et disent ce que les gens désirent, et je le leur envoie. Alors, il y avait un... C’était vraiment doux.

            Une petite Allemande était depuis plusieurs années dans un fauteuil roulant à cause de l’arthrite. Et ils avaient traduit mon livre en allemand. Je crois que cet homme est juste ici dans cette réunion, celui qui a fait la traduction de cela, ou bien il était au petit-déjeuner des Hommes d’Affaires Chrétiens l’autre matin. Merci, monsieur. Et là au–au petit-déjeuner des Hommes d’Affaires Chrétiens, hier matin...

4          Et elle avait donc lu ce livre. Elle m’avait écrit pour demander un mouchoir. Evidemment, ces mouchoirs coûtent environ dix, quinze cents la pièce, et pour en envoyer des milliers par semaine, je n’ai pas les moyens pour les acheter, parce que je n’ai pas de fonds avec lesquels travailler ; alors j’achète tout simplement des rouleaux de tissus. Et cela me rappelle une chose, je dois essayer d’en trouver un peu pendant que je suis ici à Los Angeles. Nous sommes simplement dans notre contrée, nous avons tout acheté pour une certaine quantité. Et parfois ce sont des centaines de mètres de rubans ; je m’assieds tout simplement et je prie sur cela, je les découpe et je les envoie aux gens.

            Et cette petite Allemande, après avoir reçu cela, elle a pris... dans les instructions que nous envoyons, et nous avons un groupe de gens qui restent en prière partout dans le monde. Les gens se lèvent parfois à deux heures, trois heures du matin, pour se joindre à ce groupe de gens en prière et se mettre à prier. Et ainsi, elle a épinglé ce mouchoir à son sous-vêtement, ou plutôt ce petit tissu, et elle a placé sa main sur son coeur, elle a dit : «Maintenant, toi vieux démon, sors d’ici!» Elle s’est levée de son fauteuil roulant, et elle a vaqué à ses occupations. C’était vraiment doux. Quand on entend cela, c’est le sentiment que cela nous donne, mais la foi est très simple.

5          Vous savez, mes amis chrétiens, c’est ce qu’il en est. C’est si simple que les gens n’y–n’y croient pas, c’est tout. Ce n’est rien, tout ce que vous avez à faire c’est juste de tendre la main et de tirer, ou quelque chose comme cela. C’est–c’est tout aussi simple que–que ça.

            Bon, je vais–je vais poser ceux-ci ici, et puis vous pourrez les récupérer après. Eh bien, nous sommes toujours heureux de prier dessus. Et chaque soirée, je le ferai. Merci. Allez-vous reconnaître ce mouchoir, allez-vous le reconnaître? Très bien.

            Et maintenant, chaque soir, si vous désirez que l’on prie dessus, les mouchoirs... Et puis, s’il arrive que vous n’ayez pas un mouchoir, que vous n’en ayez pas ici, envoyez tout simplement une demande au bureau, écrivez-moi à Jeffersonville. Je ne vous dis pas... Eh bien, je suis... Je n’aurais pas dû dire cela, je pense, parce que la plupart du temps les gens disent : «Ecrivez-moi.» Eh bien, très bien, soeur. Je... «Ecrivez-moi.» Eh bien, ce qu’ils veulent donc, ils essaient d’obtenir votre adresse pour commencer. Mais moi, je n’ai pas d’émissions de radio, je n’ai rien à supporter, alors je vais–je vais répondre à votre lettre, ce sera tout, et je vous renverrai un mouchoir. Mais maintenant, et puis, si donc vous en désirez un, envoyez votre demande et recevez cela, et gardez cela dans votre Bible, si vous ne devez pas l’utiliser maintenant. Et notre Seigneur, c’est juste un petit...

6          Je pense, frère Oral Roberts, vous connaissez tous... Presque tout le monde a déjà entendu parler de frère Oral Roberts, un très précieux frère, une personne aimable. Lui, son thème principal, c’est comme le mien, c’est Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’est cela son point de contact. Et je pense, juste un petit tissu, ou quelque chose comme cela, juste un point de contact, vous savez, juste quelque chose, oh! pour stimuler un peu votre foi... Ainsi maintenant, inclinons la tête un instant pour la prière.

            Maintenant, notre Père céleste, nous venons à Toi ce soir d’abord pour T’offrir nos remerciements pour tout ce que Tu as fait pour nous, en nous bénissant et en nous accordant des bénédictions que nous ne méritons pas.

            Et, Père, oui, nous ne méritons rien. Mais c’est par la justice de Ta grâce que Tu nous bénis. Et nous en sommes si reconnaissants. Nous Te prions de venir à notre rencontre ici dans la Parole, et que nous puissions avoir une grande communion autour de la Parole. Et puis, pendant le service de prière pour les malades, que le Saint-Esprit agisse au-delà de toute mesure ce soir, de façon à stimuler la foi et à bénir beaucoup de gens. Nous Te remercions tout simplement pour tout ce que Tu as fait.

            En regardant partout dans la salle ici ce soir, et voyant qu’il y a quelques soirées, il y avait trois ou quatre lits de camp et des fauteuils roulants, et qu’il n’en reste plus qu’une seule. Père, ce soir, que ce soit le tour de cette personne-là d’être guérie. Tu les as tous délivrés. Et maintenant, ce soir, que ce soit cette femme. Nous Te prions donc de lui accorder cela.

            Et maintenant, beaucoup de Tes aimables enfants sont malades, et ils ont des bien-aimés partout dans le pays qui sont malades, et ils m’ont apporté des mouchoirs pour qu’on les bénisse. Père, je Te remercie d’abord pour Jésus-Christ, le Fils de Dieu, qui rend ces choses possibles, et pour la confiance que les gens ont dans Ton serviteur inutile.

7          La Bible nous apprend qu’on prenait des linges et des mouchoirs qui avaient touché le corps de saint Paul. Or, Père, nous sommes conscient que nous ne sommes pas saint Paul, mais Tu es toujours le même Seigneur Jésus pour guérir les maladies des gens.

            Une fois, Israël était complètement coincé par la mer Rouge, les montagnes et le désert. L’armée de Pharaon les acculait. Et la Bible–un écrivain a dit que Dieu a baissé le regard à travers cette Colonne de Feu avec des yeux courroucés. La mer Rouge était juste là, leur barrant la route. Et la mer Rouge prit peur et s’ouvrit. Et un chemin l’a traversée, et Israël a traversé à pied sec, en route vers la Terre promise, parce que Dieu l’avait promis. Et, Père, lorsque ces mouchoirs seront posés sur les corps des malades et des affligés, que Dieu baisse de nouveau le regard avec des yeux courroucés, à travers le Sang du Seigneur Jésus, sur les maladies qui ont lié ces gens, que représentent ces mouchoirs, et que Satan prenne peur, qu’il se retire. Et que les victimes de la maladie avancent vers la promesse de Dieu de la bonne santé. Accorde-le, Père. Car nous les envoyons au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils. Amen.

            Maintenant, vous pourrez récupérer ceci immédiatement après le...

8          Maintenant, je vais essayer d’aller aussi vite que possible, alors que je commence maintenant. Et je me disais que ce soir nous allons peut-être aborder une petite série de sermons sur–sur ce sujet-ci, en parlant de l’Ancien Testament.

            La semaine passée nous avons donc parlé du Nouveau Testament pendant huit soirées, et ce soir, je me suis dit que nous allions aller dans l’Ancien Testament et parler un peu. J’aime l’Ancien Testament. Pas vous? Je suis pour ainsi dire un typologue. Et je... L’Ancien Testament est simplement–simplement plein de pépites qui y sont enfouies. Et j’aime faire la prospection (Pas vous?) et déterrer ces pépites et les polir. Et vous savez quoi? Vous verrez que chacune d’elles indique Jésus-Christ. Tout dans l’Ancien Testament était une ombre du Nouveau Testament. Et ce que Dieu était pour Israël à l’époque, à traves la loi, c’est ce qu’Il est pour nous aujourd’hui, par le Seigneur Jésus-Christ. Et quelle belle, quelle belle image!

            Je me souviens que j’ai pris un Livre, dans mon... lorsque j’étais le pasteur du tabernacle dans ma ville, et j’ai passé une année et six mois sur un seul Livre, Job, une année et six mois. Et je sais que j’avais passé environ cinq semaines à parler de Job assis sur ce tas de cendres. Et l’assemblée était très gentille pour me supporter tout ce temps. Mais une dame avait perdu patience. Elle m’a écrit une lettre et a dit : «Frère Branham, quand allez-vous relever Job de ce tas de cendres?»

            Et alors, elle a dit : «Nous apprécions cela, mais, oh! la la! vous l’avez gardé là si longtemps.» Mais c’était juste... pour moi, c’était le point culminant du Livre tout entier, c’était le point culminant lorsqu’il... Elihu lui parlait, et alors l’Esprit de Dieu est descendu sur lui, les tonnerres ont grondé, les éclairs ont jailli. Job s’est levé et a dit : «Je sais que mon Rédempteur est vivant. Et je... là, et je... aux derniers jours, Il se lèvera sur la terre. Et même si les vers détruisent ce corps, cependant, dans ma chair, je verrai Dieu.» Combien c’est merveilleux! Et le point culminant de cela c’était–c’était qu’il n’y avait plus de pécheurs dans l’église. Le Seigneur Jésus les avait tous sauvés.

9          Maintenant, nous allons commencer ce soir dans le Livre de la Genèse. Et je–j’aime aussi ce Livre. Et nous voulons commencer avec le prophète Abraham, et parler un peu. Et maintenant, dans Genèse 12, nous allons lire juste une portion de la Parole, et ensuite, nous allons prendre Abraham pendant les deux prochaines soirées, le Seigneur voulant. Et je vais surveiller l’heure afin de ne pas prendre trop de temps. Ensuite nous allons l’amener au point culminant, quand il a offert un sacrifice, ou plutôt quand il est allé offrir son propre fils en sacrifice. Et ce lieu fut appelé Jéhovah-Jiré : «Le Seigneur se pourvoira d’un sacrifice.»

10        Ce soir, nous aimerions prendre l’appel d’Abraham dans–dans Genèse 12. Nous allons lire les trois premiers versets.

L’Eternel dit à Abram : Va-t-en de ton pays, de ta patrie,... de la maison de ton père, dans le pays que je te montrerai.

Je ferai de toi une grande nation, et je te bénirai ; je te rendrai–rendrai ton nom grand, et tu seras une source de bénédiction.

Je bénirai ceux qui te béniront... maudirai ceux qui te maudiront ; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi.

            Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole.

11        Maintenant, rapidement, ensuite nous passerons directement au service de guérison, parce que je pense que c’est pratiquement la même petite assistance chaque soir. Et il y a quelques soirs, les gens se précipitaient pour entrer, je crois qu’il y avait un groupe de fauteuils roulants et de lits de camp, et–et il n’en reste plus qu’un seul. Gloire à Dieu! Je loue... Je remercie Dieu ce soir. Je vais prendre ces enregistrements un peu plus tard, lorsque les jeunes gens, Léo et Gene, ainsi que les autres, mes partenaires, qui sont ici en train d’enregistrer... Je vois aussi un autre groupe ici. Et si vous désirez savoir ce qui vous a été dit, on est à moitié conscient (Voyez-vous?), et vous ne comprenez pas ce que vous, ou plutôt je ne sais pas ce que je dis. Alors prenez simplement la bande, et vous pouvez voir très exactement ce que je vous ai dit. Et, souvenez-vous toujours, suivez simplement ce que cela a dit. N’ayez pas peur.

12        Oh! j’ai juste–juste un autre petit témoignage tout au fond de mon coeur. Je–j’étais à... Je me sens pratiquement obligé de le dire. Un soir, alors que les gens passaient dans la ligne de prière, il y avait une petite dame qui souffrait de l’estomac. Et elle... Le Saint-Esprit lui a dit tout ce qui la concernait, et qui elle était. Et quelqu’un a mis en doute le fait de dire aux gens qui ils sont. Il a dit : «Ça, ce n’est pas scripturaire.» Oh! si, ça l’est. Si, ça l’est.

            Lorsque Pierre est venu vers Jésus, Celui-ci a dit : «Tu es le fils de Jonas, mais désormais tu seras appelé Pierre», ce qui signifiait une petite pierre. Jésus le connaissait, Il connaissait son nom, et Il lui a dit quel était son nom.

            Alors d’une manière ou d’une autre, cette femme, Cela lui a parlé, alors lorsque le... Tout lui a été révélé, ensuite il fut prononcé «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous êtes guérie.» Parce que c’était devenu clair, et j’ai vu la femme guérie, sinon je n’aurais jamais dit cela. A ce moment-là ce n’est pas moi qui parle : c’est Lui.

            Et ainsi elle est rentrée chez elle. Elle a dit : «Bien, si je suis guérie, a-t-elle dit, je ferais tout aussi bien de rentrer chez moi pour manger.»

            Alors une de ses amies, tout en bas dans le voisinage avait une grosseur au cou. Et le Saint-Esprit lui a dit la même chose, le Saint-Esprit lui a dit qu’elle était guérie. Alors elle est sortie en tâtant la grosseur qu’elle avait. Elle a dit : «Eh bien, c’est toujours là, mais on m’a informé que si cela parlait, que c’est le Seigneur qui parlait, eh bien, cela doit disparaître.» Alors elles se sont mises d’accord qu’elles rentraient chez elles, et elles se disaient qu’elles allaient avancer et faire comme si de rien n’était. Ainsi elles étaient guéries.

13        Alors cette petite dame a essayé de manger. Et oh! la la! elle se sentit très malade. Et alors, pendant quelques jours, cela ne cessait d’empirer. Alors elle continuait tout simplement à dire à sa famille et à tout le monde : «Je remercie le Seigneur, je suis guérie.» Elle s’en est tenue à cela. Environ six semaines sont passées, il n’y avait aucun changement, son état était toujours le même.

            Eh bien, certains voisins ont dit : «Eh bien, soeur, vous amenez l’opprobre sur la cause.» Ils ont dit : «Vous ne devriez pas dire ces choses à moins qu’elles soient réelles.»

            Elle a dit : «Mais d’une manière ou d’une autre, a-t-elle dit, je–je ne semble pas aller mieux,» mais elle a dit : «Il y a quelque chose dans mon coeur, si un–si un Esprit a pu se tenir là et dire à quelqu’un qui j’étais et tout ce qui concerne ma vie, et me dire où je–ce qui est arrivé et a causé cela, et ensuite me dire au Nom de Jésus-Christ que je suis guérie, a-t-elle dit : «Je–je ne peux pas m’en débarrasser.» Elle a dit : «Je le crois tout simplement de toute façon.» Elle a donc simplement continué à tenir bon.

            Et un matin, les enfants étaient allés à l’école, et elle faisait la vaisselle, et–et elle a eu très faim. Elle a senti une sensation très étrange la parcourir, et elle a eu faim. Il se pourrait que cette femme soit assise ici en ce moment même, à ce que je sache. Alors elle... Et elle a eu faim. Elle est allée là et elle a essayé de manger un petit morceau de pain grillé. Et cela... très bon. Alors elle s’est dit : «Eh bien...» D’habitude ce pain grillé beurré la rendait malade, elle avait un ulcère à l’estomac. Et elle a dit : «Eh bien, c’était très bon.» Alors, eh bien, elle avait encore faim, alors elle s’est dit qu’elle prendrait encore un peu d’avoine, vous savez, que les enfants avaient laissé là. Ils n’avaient donc pas mangé toute leur avoine, alors elle s’est simplement assise et elle a fini l’avoine des gosses. Eh bien, elle se sentait très bien. Elle s’est vraiment offert un jubilé gastronomique. Alors elle a donc frit quelques oeufs, et elle a pris une tasse de café. Eh bien, elle a dit : «Il ne s’est rien produit.» Elle se sentait tout simplement très bien. D’habitude elle se sentait malade, avait des maux de tête et elle se mettait à vomir. Il ne s’est rien produit.

14        Elle a attendu aussi longtemps que possible, environ trente ou quarante minutes. Elle ne pouvait plus garder cela. Elle a descendu la rue et est allée en parler à sa voisine. Oh! la la! Elle est entrée dans la maison en courant, et la voisine criait à tue-tête. Elle a dit : «Dites, mon esto-... Oh! a-t-elle dit, cette grosseur, je–je ne m’en suis pas du tout rendu compte. Je... Elle se trouvait là hier, mais–mais tout à l’heure je suis allée me laver, a-t-elle dit, la grosseur a disparu. C’est–j’ai senti une sensation très drôle, a-t-elle dit : «Cela a complètement–cela m’a quittée.»

            Et ces deux petites femmes se sont mises ensemble, et environ une semaine plus tard elles sont venues, à des milliers de kilomètres pour témoigner aux autres que ce que le Saint-Esprit disait était vrai, et leur dire de tenir bon.

            Maintenant, que s’était-il passé? Voici ce que c’était. Eh bien, ne soyez pas quelque peu embrouillé, mes amis. Quand Dieu dit une chose, cela doit arriver. Quand Dieu déclare cela... Maintenant, bien sûr, c’est de Sa Bible que nous parlons. Ses Ecritures disent : «Si tu peux croire, alors tout est possible.»

15        Maintenant, ce qu’Il pourrait dire par Ses serviteurs est secondaire. Mais si c’est vraiment la Parole de Dieu, cela doit arriver. Et étant donné que c’est depuis mon enfance que j’ai des visions, et Dieu est mon juge, devant Qui je me tiens ce soir, je n’ai jamais vu Cela faillir une seule fois, pas une seule fois. C’est toujours parfait, parce que c’est Dieu.

            Maintenant, qu’est-il arrivé? Vous pensez que Dieu doit agir sur l’impulsion du moment, mais vous vous trompez. Voyez? Non, non. Une fois, Daniel qui était un–un serviteur de l’Eternel, un Ange l’a suivi, qui a été envoyé pour le suivre. Vous souvenez-vous de l’histoire? Et une fois, il était en train de prier, l’Ange, après qu’Il fut parvenu auprès de lui, c’était je crois au bout d’environ vingt et un jours, ou quelque chose comme cela, avant que l’ange puisse parvenir auprès de lui. Vous souvenez-vous de cette histoire?

16        Eh bien maintenant, lorsque l’Ange de l’Eternel a prononcé cette bénédiction, qu’était-ce? L’Ange de l’Eternel passait dans le voisinage où Il avait prononcé la bénédiction, pour accomplir l’oeuvre. C’était tout ce qu’il y avait. Il manifestait simplement ce qu’Il avait fait. C’est pourquoi quand Dieu a dit une chose, croyez-le toujours de tout votre coeur.

17        Eh bien, ça c’est la toile de fond, c’est une bonne toile de fond pour ce que nous allons dire pendant un moment sur Abraham. Or, au commencement, au jardin d’Eden, Dieu avait fait une alliance entre Lui et Adam. Et Adam a brisé Son alliance. Eh bien, l’homme brise toujours son alliance avec Dieu, mais Dieu ne brise jamais Son alliance avec l’homme.

            Alors Dieu ayant vu ce qui allait arriver, Il a donc fait cette alliance. Après que le monde eut commencé à se multiplier, et qu’il fut plein de méchanceté et tout. Et les gens sont allés à Babylone, et–et la première fois qu’on a commencé à parler de l’adoration des idoles, c’était à Babylone. Dieu cherchait dans tous les pays, pour essayer de trouver quelqu’un qui allait–qui était sincère, quelqu’un qu’Il pouvait bénir, parmi tous les hommes qu’il y avait dans le pays, Dieu, par une élection souveraine a choisi Abraham.

            Combien de chrétiens y a-t-il ici ce soir? Faites voir votre main. Eh bien, je crois que c’est presque cent pour cent. C’est bien. Cent pour cent de chrétiens, alors j’aimerais vous dire quelque chose. Ce n’est pas très facile de le dire devant les pécheurs. Savez-vous pourquoi vous êtes un chrétien? C’est parce que Dieu vous a appelé. Vous n’avez jamais cherché Dieu à quelque moment que ce soit. Non, non. C’est Dieu qui vous a cherché. Nul homme, à aucun moment, n’a cherché Dieu. C’est Dieu qui a cherché l’homme.

            «Nul ne peut venir à Moi, a dit Jésus, si Mon Père ne l’attire premièrement.» C’est la tendance même depuis le jardin d’Eden, au lieu que le pécheur déchu essaie de trouver Dieu, c’est Dieu qui essaie de trouver le pécheur déchu, et depuis cela a toujours été ainsi.

18        Dieu par élection et, souvenez-vous, vous avez commencé avant que le monde ne commence, spirituellement parlant. Lorsqu’Il a créé l’homme, mâle et femelle, à Sa propre image, en fait Il était un Esprit, Il savait à quel moment vous viendriez à l’existence.

            Maintenant, par élection. Eh bien, si vous remarquez... Oh! nous allons prendre beaucoup de temps, mais nous n’en avons pas pour aborder cela. Nous pourrions donner le contexte de ceci, comment les–les patriarches... Abraham, par exemple. Abraham c’est l’élection. N’oubliez aucunement ceci. Abraham c’est l’élection de Dieu ; Isaac, la justification ; Jacob, la grâce. Tout le monde sait que je crois dans la grâce : Regardez ce que Dieu a fait pour Jacob. Et Joseph, c’est la perfection. Puis c’est tout. Dieu montrant Son élection dans Abraham, Sa justification en Isaac, Sa grâce en Jacob, et Sa perfection en Joseph.

19        Ainsi Dieu a appelé Abraham, non pas parce qu’il était meilleur que n’importe qui d’autre, mais Dieu a appelé Abraham parce qu’Il l’avait élu. Et Il l’a appelé et lui a donné Son alliance sans condition, et Il lui a dit qu’Il allait le sauver, et Il lui a dit ce qu’allait être sa destinée : Il s’était révélé à lui alors qu’il avait un âge avancé. Il l’avait déjà fait, Dieu était décidé de sauver l’homme. L’homme, il n’y a rien qu’il puisse faire, et il–il est un échec, au départ. Ainsi Dieu par élection a appelé Abraham et l’a sauvé.

            Vous direz : «Oh! frère. Si seulement j’avais pu être Abraham.» Eh bien, attendez. Pas seulement Abraham, mais Il a aussi appelé et élu sa postérité après lui. Amen.

            Maintenant, mes frères, j’aimerais, peut-être... On pourrait ne pas être tout à fait d’accord, mais attendez quelques minutes et observez. Dieu a appelé Abraham par l’élection souveraine, ce n’est pas que ce dernier ait fait quoi que ce soit. Il était venu de la Tour de Babel avec son père, et sa mère, et sa femme Sara. Il est allé habiter au pays de Schinear, il menait une très bonne vie, à ce que je sache. Et il sortait probablement le matin, et il mangeait des baies, et il allait dans les bois et tuait un animal pour avoir des protéines, et puis il cueillait des fraises et tout. Et il vivait là à Schinear dans la ville d’Ur, au pays de Chaldée, et Dieu par élection a appelé Abraham. Et Il a dit : «Je...» Pas : «Si tu fais telle chose», mais : «Je l’ai déjà fait.» Dieu était décidé de sauver l’homme, même contre la propre volonté de ce dernier, malgré sa nature.

            L’homme, de par sa nature, est absolument opposé à la volonté de Dieu. Il est un pécheur, il est né un pécheur, il est né dans le péché, il a été conçu dans l’iniquité, il est venu au monde en proférant des mensonges, il est perdu dès sa naissance, il n’y peut rien.

20        Pouvez-vous vous imaginer sortir ici et parler à un cochon, lui dire : «Eh bien, écoute ceci, monsieur le cochon, je vais te dire que tu as tort.» Oh! vous pouvez le laver et lui mettre un smoking, si vous voulez. Cela ne servira à rien : il retournera droit dans la flaque de boue pour s’y vautrer de nouveau. C’est sa nature. Il est un cochon au départ. Et tout homme, toute personne qui n’est pas régénéré, peu importe combien vous essayez d’être bon, combien vous pensez être bon, vous êtes un pécheur par nature, jusqu’à ce que Dieu change votre nature. Amen.

            Eh bien, c’est juste. Nous n’aimons pas dire cela. «Oh! direz-vous, je porte les plus beaux vêtements dans le quartier. J’ai la meilleure voiture. J’ai la meilleure...» Cela n’a rien à voir avec la chose. Si la nature n’est pas... «Je n’ai jamais menti. Je n’ai jamais...» Cela n’a toujours rien à voir avec la chose. Il ne s’agit pas de vos propres mérites, mais il s’agit de l’élection sans condition et de l’appel de Dieu. Et le salut c’est le mérite de Jésus-Christ, et ce n’est nullement ce qu’un individu peut faire. Dieu a sauvé l’homme par Son amour. Ce n’est pas ce qu’un homme peut faire, il n’y a rien que vous puissiez faire à ce sujet. Vous ne pouvez même pas avoir une nature qui a soif de Dieu, parce que vous êtes un pécheur. Donc aucun homme n’a cherché Dieu à aucun moment. Mais c’est Dieu qui a cherché l’homme.

            «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire premièrement. Tous ceux qui viendront auront la Vie Eternelle. Je les ressusciterai au dernier jour. Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a (pas aura), a (au temps présent, maintenant même) éternelle, la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Parce que vous avez cru, pas intellectuellement, mais du fond de votre coeur.

21        Oh! bien des gens disent : «Oh! je crois.» Et ils essaient de procéder à une réforme. Notre travail n’est pas de réformer : c’est de prêcher l’Evangile. Nous ne sommes pas des réformateurs. Nous devons être des prédicateurs de l’Evangile. Abraham, dès que Dieu l’a appelé, Il l’a appelé à se séparer. C’est étrange, n’est-ce pas? Dieu, dès qu’Il appelle un homme, Il exige une totale séparation. Vous savez que le monde veut des hommes sociables, aujourd’hui. Lorsque les gens choisissent leur pasteur, ils veulent quelqu’un qui prendra un petit verre amical, qui portera les plus beaux vêtements du pays, et qui racontera quelques sales plaisanteries grossières, et continuera ainsi, et qui sera sociable avec les jeunes, et tout. Mais Dieu a dit : «Mettez-Moi à part Paul et Barnabas.» Le Saint-Esprit exige une totale séparation (Amen.), une séparation.

            Il a dit : «Abraham, sépare-toi de ta patrie.» C’est une grande chose à faire, n’est-ce pas? «Je veux que tu séjournes dans un pays étranger. Tu n’as jamais marché dans cette voie auparavant, mais Je veux que tu te sépares afin que tu marches avec Moi, parmi un peuple étranger, qui parle une langue étrangère. Et tu dois être un pèlerin, un étranger.» Et le voici. Tout homme qui est né de Christ se sépare immédiatement du péché. Le Saint-Esprit vous appelle carrément à sortir, c’est une nature différente.

22        Voici un agneau qui mange de la luzerne. Voici un cochon qui mange dans des eaux sales, dans la porcherie. Faites sortir la nature de l’agneau et mettez-la dans le cochon qui est dans la porcherie, il ne mangera plus dans ces eaux sales, mais il se mettra à manger de la luzerne. Mais vous pouvez le réformer et le polir, il retournera directement dans la porcherie. C’est ce que dit la Bible : «La truie retourne à son bourbier.» Voyez-vous? C’est juste. Ça doit être quelque chose que Dieu fait pour l’homme, pas ce que l’homme fait, mais ce que Dieu fait. Nous avons trop de réformes humaines aujourd’hui : «Signez votre nom. Inscrivez votre nom sur le registre de l’église. Adhérez à une église. Amenez votre lettre d’affiliation.» Oh! je n’ai rien contre cela, si l’autre a déjà été fait. Si vous êtes né de nouveau, c’est très bien. Vous ne vous souciez pas de l’endroit où se trouve votre lettre, de toute façon, elle se trouve au Ciel, ce n’est pas écrit sur une feuille de papier, mais sur un–la peau d’un Agneau, c’est écrit avec le Sang de l’Agneau. Alléluia!

            Remarquez : «Sépare-toi de toute ta patrie, et va dans un pays étranger.» Certainement. Vous avez coutume de courir les boîtes de nuit, et les endroits que vous fréquentiez, peut-être tous les lieux où vous ne devriez pas aller. Et alors, lorsque Dieu vous a appelé, Il vous a appelé à vous séparer de ce genre de vie et à mener une vie différente.

            Vous souvenez-vous avoir chanté ce vieux cantique : «Je suivrai le chemin avec le reste des méprisés qui servent le Seigneur. J’ai commencé avec Jésus, maintenant, Seigneur, amène-moi jusqu’au bout.»

23        Je me souviens, lorsque je venais d’être sauvé, ma mère a dit : «Billy, tu as absolument perdu le peu de bon sens que tu avais.» Eh bien, c’était le cas, c’est vrai, pour ce qui était du monde. Mais j’ai trouvé quelque chose de meilleur, une nouvelle vie. Eh bien, cela m’a amené... même mon père à me dire que je ne pouvais plus rester à la maison aussi longtemps que je me comporterais comme cela. Mais Dieu m’a donné des pères partout dans le monde, et des mères partout dans le monde, des amis partout ; cela sera rétribué des millions de fois dans cette vie et par la Vie Eternelle dans le monde à venir : la séparation.

            Donc c’est sur base de cela qu’Il a donné une promesse à Abraham. Abraham avait–avait soixante-quinze ans lorsque Dieu l’a appelé. Et Sara, sa femme, avait soixante-cinq ans, ce qui faisait environ quarante, cinquante, soixante, environ quarante ans depuis qu’elle avait dépassé la ménopause. Et il l’avait épousé selon l’histoire théologique qui, ou plutôt selon l’histoire théologique, Il l’avait appelé lorsque, ou plutôt il l’avait épousée lorsqu’elle avait environ dix-sept ans. Et il avait vécu avec elle comme sa femme durant toutes ces années, et à ce moment, elle avait soixante-cinq ans, et Dieu a dit : «Je vais faire quelque chose, et Je t’ai choisi, ce n’est pas toi qui M’as choisi, mais Je t’ai choisi pour que tu fasses ceci. Et tu auras un bébé par Sara ta femme, après qu’elle eut totalisé soixante-cinq ans.»

            La Bible dit qu’Abraham ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu ; mais il fut fortifié, donnant gloire à Dieu.

24        Maintenant, souvenez-vous, ils n’ont pas eu le bébé pendant vingt-cinq ans après cela. Abraham avait cent ans et Sara en avait quatre-vingt-dix. Mais je peux m’imaginer, dès que Dieu leur a dit qu’ils allaient avoir le bébé, j’imagine qu’ils sont allés acheter toutes les épingles, et tout ce qu’ils étaient censés avoir en ce temps-là, et ils se sont préparés pour cela. Amen. Dieu l’avait dit, et c’était réglé.

            Pouvez-vous imaginer Abraham en ce jour-là avec une femme de soixante-cinq ans, et lui qui en avait soixante-quinze, tout tremblant, s’appuyant sur son bâton, aller au centre ville, dire : «Eh bien, docteur, j’aimerai prendre des dispositions pour que vous veniez chez moi maintenant. Nous allons avoir un bébé, et ma femme a soixante-cinq ans»?

            Eh bien, il dirait : «Abraham, vous êtes simplement un petit peu dérangé mentalement.» Et chaque personne... Tenez, saisissez cela. Chaque personne qui suit Dieu fidèlement, le monde la considère comme un peu mentalement dérangée. C’est vrai. Amen. Oui.

25        Eh bien, pouvez-vous imaginer aujourd’hui un homme de soixante-quinze ans, avec une femme de soixante-cinq ans, et qui a vécu avec elle depuis qu’elle avait dix-sept ans, et ils n’ont pas eu d’enfants, elle était parfaitement stérile, et lui aussi était stérile, et ensuite sortir là et dire qu’ils vont avoir un bébé, et apprêter les vêtements du bébé?

            Pourquoi? Peu importe de quoi cela avait l’air dans le naturel, Dieu l’avait dit. Maintenant, excusez ceci, vous jeunes femmes et vous jeunes gens. Je suis votre frère. Et remarquez, à la fin du mois, ou les premiers jours du mois, je... Peut-être, on entend Abraham dire : «Sara, comment te sens-tu?»

            «Aucun changement.»

            «Bien, gloire à Dieu, nous allons l’avoir de toute façon.»

            Le premier mois passa. «Alors qu’en est-il, Sara?»

            «Aucun changement.»

            «Gloire à Dieu! nous allons l’avoir de toute façon.»

            La première année passa. «Qu’en est-il alors, Sara?»

            «Aucun changement.»

            «Eh bien, gloire à Dieu! nous allons l’avoir de toute façon.»

26        Et au lieu de faiblir comme vous et moi... Si Dieu ne répond pas juste dans la minute qui suit : «Eh bien, j’ai manqué d’obtenir cela.» Mais Abraham se fortifiait tout le temps, sachant que plus cela durait, la naissance du bébé, plus le miracle allait être glorieux.

            Et si vous êtes enfants d’Abraham, vous possédez le même genre de foi. Alléluia! N’ayez pas peur de cela. Alléluia! signifie gloire à notre Dieu.

            Remarquez. Abraham se fortifiait au fur et à mesure que les jours passaient, il devenait plus fort, il croyait, lui et Sara. Eh bien, si Dieu avait appelé Abraham, et qu’Abraham avait ce genre de foi parce que Dieu l’avait appelé, les enfants d’Abraham ont le même genre de foi. Maintenant, la seule raison pour laquelle Abraham avait cette foi, c’est parce que Dieu avait vu en lui la qualité, et Il l’avait appelé, et lui avait parlé face à face. Et chaque personne que Dieu a élue, entre et reçoit la foi d’Abraham, après qu’elle a parlé face à face avec Dieu.

            Maintenant, qu’est-ce que la postérité d’Abraham? Découvrons cela une minute. Eh bien, la postérité d’Abraham c’était Isaac. Isaac, par Isaac vint Christ. Nous sommes... La Bible dit : «Nous, qui sommes morts en Christ nous devenons la postérité d’Abraham et sommes héritiers selon la promesse.» La même promesse qu’Il a donnée à Abraham, c’est la promesse qu’Il nous donne. Si nous sommes morts en Christ, nous devenons la postérité d’Abraham, et sommes héritiers selon la même promesse. Et puis, la même foi qui était en Abraham habite dans ses enfants, qui appellent des choses qui ne sont pas comme si elles étaient, parce que Dieu l’a dit.

            Frère, si je peux seulement vous voir acquérir ce genre de foi ce soir, il n’y aura pas une seule personne faible parmi nous dans les cinq prochaines minutes.

27        Abraham appelait ces choses qui n’étaient pas comme si elles étaient, parce que Dieu l’avait dit : «Comment le sais-tu, Abraham?»

            «Dieu l’a dit.»

            «Comment peux-tu le prouver?»

            «Dieu l’a dit.»

            «Oh! c’est contraire à toute la nature.»

            «Mais Dieu l’a dit.»

            Le médecin dit : «Vous ne pouvez pas guérir.»

            «Mais Dieu l’a dit.» Voyez?

            Il dit : «Vous ne marcherez plus jamais.»

            «Mais Dieu l’a dit.» Amen.

28        Les Mayo m’avaient dit qu’il me restait trois minutes à vivre, mais Dieu avait dit que j’allais vivre longtemps. Me voici. J’étais pratiquement aveugle, ils avaient dit que je n’allais plus recouvrer la vue. Mais me voici. Dieu l’a dit.

29        Voilà ce qu’il faut faire. Lorsque Dieu le dit. Voyez? Un chrétien ne fait pas des estimations, ni ne regarde aux choses qu’il voit. Vous ne voyez pas avec vos yeux de toute façon. Pas du tout. Vous ne voyez certainement pas avec vos yeux. Vous regardez avec vos yeux. Vous voyez avec votre coeur. Voir ne signifie pas regarder. Voir signifie comprendre.

            Jésus a dit à Nicodème : «Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le Royaume de Dieu.» La traduction correcte de voir, c’est «il ne peut pas comprendre le Royaume de Dieu». Quelqu’un peut faire quelque chose, et vous montrer cela. «Je ne le vois pas.» Vous regardez cela, mais vous ne le comprenez pas. Et vous ne saurez jamais ce que c’est le Royaume de Dieu jusqu’à ce que vous naissiez de nouveau, c’est à ce moment-là que vous comprendrez ce que c’est. Vous saurez ce qui rend les gens heureux, ce qui fait qu’ils tiennent ferme au milieu des difficultés, et disent : «C’est ainsi», sans jamais broncher. Ils comprennent. Dieu l’a dit.

            Maintenant, je–je vous ai parlé l’autre soir. Vous devez avoir la foi, mais vous devez savoir comment utiliser cette foi pour être guéri, pour tirer la joie de la vie. Si vous êtes né de nouveau, tout ce dont vous avez besoin est juste là en vous lorsque vous naissez de nouveau, parce que le Saint-Esprit vient là, et c’est tout ce qu’il vous faut. C’est le Saint-Esprit ; Cela produit le reste.

            Maintenant, remarquez Abraham, ou plutôt les chrétiens que nous avons, la postérité d’Abraham. Peu importe ce que quelqu’un d’autre dit, ils croient cela de toute façon.

30        Il y a quelque temps, je parlais à un très bon docteur, qui était membre de la même église que moi. Et il a dit : «Billy, vous savez quoi? J’ai assisté à vos réunions.»

            Il a dit : «J’apprécie tout ce qui s’est fait.» Mais il a dit : «Laissez-moi vous demander une chose, Billy.» Il a dit : «Avant longtemps vous deviendrez un saint exalté.»

            Et j’ai dit : «Eh bien, que voulez-vous dire, docteur?»

            Il a dit : «Parce que ces gens sont tout simplement émotifs.»

            «Eh bien, ai-je dit, selon la science, tout ce qui n’a pas d’émotion est mort. Dans ce cas si votre religion n’a pas un peu d’émotion, vous feriez mieux de l’enterrer.» Et il a dit... J’ai dit : «Elle est morte.»

            Et il a dit : «Ça alors, Billy!»

            J’ai dit : «J’aimerais vous demander quelque chose. Je...»

            Il a dit : «Ne savez-vous pas que ces gens-là deviennent simplement excités?» Il a dit : «Lorsque vous vous mettez à prêcher, ils deviennent excités. C’est ce qui les fait crier ‘amen’, et pleurer.»

31        J’ai dit : «Maintenant, docteur, j’aimerais vous demander quelque chose. Vous savez, il n’y a rien qui puisse les exciter ; en étant assis là normalement, ils ne peuvent... Il doit y avoir quelque chose qui excite ces nerfs.» Vous ne pouvez tout simplement pas descendre cette allée et... si vous n’avez pas peur, vous n’avez pas peur. Et si vous avez peur, il y a quelque chose qui vous excite. Certainement.

            Et j’ai dit : «Bien sûr, dans un sens ils sont excités, mais qu’est-ce qui suscite cette émotion?»

            J’ai dit : «C’est comme lorsque vous avez peur, il doit y avoir quelque chose qui vous effraie. Et quelque chose doit exciter ces gens. Ce dont il s’agit, c’est le Saint-Esprit qui est à côté d’eux, qui prend la Parole de Dieu et leur donne la Vie Eternelle, et Cela les excite.» Certainement.

            Remarquez. Les chrétiens ne peuvent pas être des chrétiens et ne pas avoir la foi. «Et la foi est la ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.»

            Vous ne voyez pas votre salut. Vous ne voyez pas Jésus, mais cependant, vous croyez en Lui. Et nous appelons ces choses qui ne sont pas comme si nous étions–elles étaient. Et les chrétiens regardent à l’invisible, pas à ce qu’ils voient, à ce qu’ils ne voient pas.

32        Il n’y a pas longtemps j’étais au Canada dans une grande campagne à laquelle environ dix ou quinze mille personnes prenaient part, à Montréal. Nous y tenions une grande réunion. Et je regardais, alors qu’on descendait la rue, monsieur Baxter et moi, il y avait là une télévision qui était allumée. Et elle montrait un homme qui était loin quelque part en Amérique, qui grattait de la guitare, un de ces cowboys qu’on a par ici, vous savez. Alors il grattait de la guitare...

            Et un homme s’est approché, il a dit : «Bonjour!»

            Et j’ai dit : «Bonjour, monsieur.»

            Il a dit : «Je vais vous vendre ce poste téléviseur.»

            J’ai dit : «Non, merci. Je suis juste de passage par ici.»

            «Oh!» Il a dit : «Eh bien, a-t-il dit, je peux affranchir cela de toute taxe, si vous voulez la ramener avec vous aux Etats-Unis.»

            J’ai dit : «Non, non, merci.» J’ai dit : «J’étais juste en train de regarder cela.» J’ai dit : «C’est bien. D’où cela est-il diffusé?»

            Il a dit : «De là quelque part aux Etats-Unis, de Detroit où quelque part là-bas.»

            J’ai dit : «Oui, oui.» J’ai dit : «C’est très bien.» Et j’ai dit...

            Il a dit : «Vous êtes juste de passage?»

            J’ai dit : «Non, non, je suis ici pour quelques jours.»

            Il a dit : «Oh!»

            J’ai dit : «Oui, monsieur.» J’ai dit : «Je suis ici pour une–une série de réunions.»

33        «Oh! a-t-il dit, vous êtes avec cette équipe de Branham par ici, n’est-ce pas?»

            Et j’ai dit : «Oui, monsieur.»

            Et il a dit : «Oh! a-t-il dit, que pensez-vous de ce gars-là?»

            J’ai dit : «Eh bien, je ne sais pas.»

            Et il a dit : «Bien, a-t-il dit, je vais vous dire.» Il a dit : «Je pense que c’est le plus grand hypocrite que j’aie jamais vu.»

            J’ai dit : «Vraiment?»

            Il a dit : «Oui, monsieur. C’est ce que je pense.» Il a dit : «Tout d’abord, tout ce qu’il a, c’est de la psychologie.»

            J’ai dit : «Etiez-vous là hier soir?»

            Il a dit : «Oui.»

            J’ai dit : «Que pensez-vous de ce soldat qu’on a fait monter là sur l’estrade, qui était complètement infirme?»

            «Oh! a-t-il dit, ce soldat aurait pu marcher de toute façon, si seulement il avait essayé de le faire.» Hum!

            J’ai dit : «Etes-vous un chrétien?»

            Il a dit : «Oh! non.» Il a dit : «Je ne crois rien de ces affaires-là.»

            J’ai dit, j’ai dit : «Oh!»

            Il a dit : «Je suis un homme de science.» Il a dit : «Si une chose ne peut pas être prouvée scientifiquement, c’est absolument une erreur.»

            «Oh! ai-je dit, oui, oui.» J’ai dit : «Je déteste soutenir le contraire.» Mais j’ai dit : «Je vais vous dire que les choses réelles sont des choses qui ne peuvent pas être prouvées scientifiquement.»

            «Oh! a-t-il dit, vous vous trompez.»

            J’ai dit : «Très bien. J’aimerais...»

            Il a dit : «Si une chose ne peut pas être prouvée scientifiquement, elle n’est pas réelle.»

34        J’ai dit : «Eh bien, mon partenaire, je crois que les choses qui sont–qui sont réelles ne peuvent pas être prouvées scientifiquement. Et tout ce qui est prouvé scientifiquement n’est pas réel, c’est périssable.»

            Et il a dit : «Oh! a-t-il dit, je pense que vous vous trompez.»

            J’ai dit : «J’aimerais vous poser une question. Etes-vous marié?»

            Il a dit : «Certainement.»

            «Avez-vous des enfants?»

            «Oui.»

            J’ai dit : «Aimez-vous votre femme?»

            Il a dit : «Oui, monsieur.»

            J’ai dit : «Qu’est-ce que l’amour?» J’ai dit : «Scientifiquement parlant, montrez-moi ce qu’est l’amour. Quelle différence y a-t-il entre cette femme là et n’importe quelle autre femme? Quelle différence y a-t-il entre ces enfants et n’importe quel autre enfant? L’amour... et scientifiquement vous ne saurez pas prouver l’amour, s’il le fallait.» J’ai dit : «Je... Vous ne pouvez pas me prouver scientifiquement que vous avez un esprit.»

            C’est vrai. Vous n’y arriverez pas.

35        J’ai dit : «Les choses véritables ne sont pas scientifiques. Elles sont une ferme assurance des choses qu’on espère : la foi.» Eh bien, j’ai dit : «Regardez cette image-là.» J’ai dit : «Cette image traverse directement cette salle.» J’ai dit : «C’est comme avec la télévision.» J’ai dit : «C’est de cette manière que les gens ont ces visions.» J’ai dit : «C’est–c’est quelque chose qui apparaît.» Et j’ai dit : «Pourquoi cette radio ne peut pas réceptionner cette vision-là?»

            Il a dit : «Eh bien, elle n’a pas été conçue pour cela.»

            J’ai dit : «Voyez-vous? Dieu établit dans l’Eglise certains comme des prophètes, d’autres comme des docteurs, d’autres comme des évangélistes.»

            Il a dit : «Oh! c’est un non-sens. On a une station émettrice pour émettre ceci.»

            J’ai dit : «Nous aussi.» Amen.

            Il a dit : «Et vous croyez que cet homme-là a raison?»

36        J’ai dit : «Oui, monsieur. Je suis cet homme là.» Et j’ai dit : «C’est moi.»

            Il a dit : «Vous n’êtes pas le révérend Branham?»

            J’ai dit : «Si, si.»

            Il a dit : «Et je vous ai traité d’hypocrite en face!»

            J’ai dit : «C’est ce qu’il faut faire, toujours. Dites-le-moi en face, pas derrière mon dos.» C’est vrai.

37        Mais c’est ça, mes amis. Voyez? Nous avons une station émettrice : elle se trouve au Ciel. Nous avons une station réceptrice, c’est votre coeur. Et lorsque vous acceptez réellement la Parole de Dieu dans votre coeur, cela devient réel. Peu importe ce que les autres voient, vous voyez cela de toute façon. Et Abraham a cru en Dieu, et cela lui a été imputé à justice.

            Et tandis que les années passaient, elle continuait de croire. Abraham croyait. (Notre temps s’épuise.)

            Au chapitre 17, nous allons prendre cela pendant juste un moment. Au chapitre 17, après qu’il fut devenu très vieux, il avait alors quatre-vingt-dix ans, Dieu lui était apparu sous différents noms. Mais Il lui est apparu au chapitre 17 comme le Dieu Tout-Puissant, Il a dit : «Je suis le Dieu Tout-Puissant.» Eh bien, en fait le mot hébreu pour cela c’est El Shaddaï, qui signifie la poitrine, ou le sein, comme celui d’une femme.

            Il a dit : «Abraham, tu es vieux. Tu as presque cent ans. Mais Ma promesse est toujours valable. Et Je suis le Dieu qui porte des seins.» C’est comme une mère avec son bébé, lorsque le bébé est malade et qu’il s’agite, la mère prend le bébé, peu importe à quel point il est malade, elle le pose sur son sein, et le petit bébé tire la force de la mère en tétant. Et le bébé est rétabli par la force de la mère.

            Et Il a dit : «Abraham, tu es vieux, tu es un homme très vieux, tu as quatre-vingt-dix ans. Sara maintenant a quatre-vingts ans, mais Je suis le Dieu qui porte des seins. Tiens ferme, et continue à téter Ma promesse, et Je vais l’accomplir.» Alléluia! Il est encore le Dieu Tout-Puissant ce soir, El-Shaddaï, Celui qui porte des seins. «Il était blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris.» Une double raison, Celui qui porte des seins.

38        Ensuite Il a invité Abraham à aller dehors pour lui donner la confirmation de cette alliance. Abraham a dit : «Tu vois que je suis encore sans enfant, et le seul héritier de ma maison, c’est Eliézer de Damas...» Il a dit : «Je m’en vais sans enfant, c’est lui qui sera mon héritier. Et le seul enfant que j’ai, c’est Ismaël, celui que j’ai eu de la servante, Agar.»

            Il a dit : «Eh bien, sors par ici, Je vais te faire comprendre cela, Abraham, ce que Je vais faire pour toi et pour ta postérité après toi.»

            Maintenant, enfants d’Abraham, restez tranquillement assis et écoutez, rapidement, et nous irons tout droit au but.

            Il a amené Abraham dehors, et Abraham a offert un sacrifice à l’Eternel. Et il a tué une petite génisse, et une chèvre, tous de trois ans, et un bélier. Et il a pris un pigeon et une tourterelle, il a divisé en deux la génisse, le bélier et la chèvre, il a mis les morceaux ensemble. Mais la tourterelle et le–le pigeon, il ne les a pas divisés en deux. Oh! j’aurais souhaité que nous ayons le temps pour aborder... Nous aborderons peut-être cela demain soir (Voyez?) pourquoi il n’a pas divisé en deux ce pigeon et cette tourterelle.

            Voici la raison. Une tourterelle, ou un pigeon, cela représentait, ou bien cela faisait l’expiation pour la guérison. Dieu a changé Son alliance, passant de la loi à la grâce, mais Il n’a jamais changé la guérison. Elle est restée toujours la même.

            Et il ne les a pas divisés. Et lorsqu’il les a mis ensemble, il en a éloigné les oiseaux jusqu’au coucher du soleil... Maintenant, écoutez attentivement. Voici comment on faisait l’alliance. Voici pourquoi aujourd’hui Jésus est ressuscité des morts. Voici pourquoi aujourd’hui Il fait les choses mêmes que vous Le voyez faire.

39        Maintenant, Il–Il montre à Abraham en symbole ce qu’Il allait faire pour toute sa postérité après lui ; en effet, d’Abraham viendrait Isaac, et d’Isaac viendrait Christ ; cela montrait quel genre de sacrifice Il allait accomplir par Christ. Lorsqu’Abraham en a donné une préfiguration, quand il est allé à la montagne pour offrir Isaac, Dieu a épargné Isaac, mais Il n’a pas épargné Son propre Fils, parce qu’Isaac, qui portait le bois, ainsi que tout le reste juste là sur la même colline, était seulement une ombre de Christ, comme nous allons le voir plus tard dans notre leçon pendant une soirée ou deux.

            Bien, remarquez. Qu’a-t-il... Oh! c’est merveilleux. Il en a éloigné les oiseaux jusqu’au coucher du soleil. Remarquez. Ensuite un profond sommeil est tombé sur Abraham. «Tout d’abord, Abraham, Je vais t’écarter de la scène pour te montrer que tu ne peux rien faire là-dedans. Ceci c’est Mon alliance.»

            Et il n’y avait rien, frère, que vous pourriez faire là-dedans. Il n’y a pas une seule chose, soeur, que vous avez faite là-dedans. C’est ce que Dieu a fait pour vous en Christ. Ce n’est pas parce que vous étiez bon, ce n’est pas parce qu’une mère était bonne. Mais quoi? Christ a été bon, et c’est ce que Christ a fait en vous appelant.

40        Il l’a endormi. Eh bien, il n’a rien à voir là-dedans. Alors, après qu’il se fut endormi, alors il y eut une obscurité très profonde et effroyable. Qu’est-ce que cela représentait? L’enfer, la séparation, c’est ce que mérite chaque pécheur, la séparation. Et ensuite, plus loin il y avait une fournaise ardente, la mort : la séparation, l’enfer après la mort pour chaque pécheur. Mais ensuite, au-delà de cela une petite Lumière blanche est passée. J’espère que désormais vous n’allez plus jamais douter. Abraham était endormi, et dans une vision, cela montre que chaque homme doit arriver à cette obscurité effroyable de la séparation, la mort. Chaque homme mérite d’aller en enfer, parce qu’il est un pécheur, il est tombé. Il est le rejeton d’un pécheur. Et puis, au-delà de cela, la petite Lumière blanche est passée, en d’autres termes, la même Colonne de Feu qui accompagnait Israël, le même Saint-Esprit qui est ici ce soir. Et Elle est passée juste entre chacun de ces sacrifices, Dieu confirmait par Sa grâce ce qu’Il allait faire en Jésus-Christ un jour.

            Maintenant, pour ce qui est du serment, Dieu a fait un serment là-dessus. Il a fait un serment ce soir, Il a juré par Lui-même, comme il n’y avait personne de plus grand par qui jurer, Il jura par Lui-même, qu’Il tiendrait Sa Parole. Amen. Il tiendra Sa promesse. Il n’a pas seulement dit cela, mais Il a juré cela, qu’Il le ferait.

41        «Qu’essayez-vous de faire, Frère Branham?» De vous amener à un point où vous pourrez voir ce que Dieu a fait pour vous. C’est la raison pour laquelle ces choses se produisent. Dieu a promis de le faire, et Il doit le faire. Pour être Dieu, Il doit tenir Sa promesse, frères.

            Remarquez. Dans l’Ancien... On conclut des alliances de plusieurs manières différentes. Ici, en Amérique, lorsque nous faisons une alliance, eh bien, nous sortons et nous concluons un accord, nous tendons la main et nous nous serrons la main, et nous disons : «C’est ça, mon gars. C’est conclu! Nous y sommes. Très bien.» Nous nous serrons la main pour cela. C’est de cette manière que nous faisons une alliance.

            Là, au Japon, ils ont une drôle de manière de faire une alliance. Ils sortent et ils concluent leur accord ; ensuite ils prennent un peu de sel et se jettent cela l’un sur l’autre. C’est de cette manière qu’ils font une alliance, en jetant du sel l’un sur l’autre.

            Mais au temps d’Abraham, la manière dont les gens faisaient une alliance, la manière dont Dieu faisait une alliance, les gens prenaient un animal et le coupaient en deux, ils prenaient un morceau de papier et écrivaient sur ce morceau de papier tout ce qu’ils étaient–ce qu’était leur accord. Ils déchiraient ce morceau de papier en deux, et l’un prenait une partie, et l’autre homme prenait l’autre partie. Et ils faisaient un serment sur le cadavre de ce sacrifice, selon lequel si l’un d’eux brisait cette alliance, que son–qu’il soit comme cet animal mort qui gisait à leurs pieds. Et lorsqu’ils se retrouvaient pour accomplir cette alliance, ces deux morceaux de papier devaient s’ajuster correctement mot à mot, car c’était le même papier.

42        Maintenant, voici ce que Dieu a fait pour nous en Christ. Dieu s’est manifesté en chair, Il a amené Son propre Fils là-haut au Calvaire, et là, Il a tué Son propre Fils sur la croix du Calvaire pour faire une alliance avec la race humaine. Et alors, Il L’a cloué à la croix, le sacrifice mort, c’était cela, et Il a retiré de Lui le Saint-Esprit. «Je remets Mon Esprit entre Tes mains.» Le Sang coulait de Son côté, de Ses mains et de Ses pieds. Et Dieu a retiré de Lui l’Esprit, et Il a placé le corps là dans la tombe, Il L’a ressuscité le troisième jour, et Il L’a fait asseoir à Sa droite, et Il a envoyé l’autre partie de l’alliance à l’Eglise, et c’est le même Saint-Esprit qui était sur Christ, qui est venu sur l’Eglise. Et le seul moyen au monde pour que nous puissions nous en tirer au jour du Jugement est que ce même Saint-Esprit qui était sur Jésus-Christ doit s’ajuster en tant que Sa femme au travers du Corps. Amen. C’est l’alliance que Dieu a écrite pour l’Eglise. Il a déchiré Christ en deux, l’âme et le corps.

            Il a dit à cette femme-là : «Pouvez-vous être baptisée du baptême dont Je dois être baptisé?»

            Elle a dit : «Oui.»

            Il a dit : «Et vous le serez.»

            Le même Saint-Esprit qui était sur Jésus-Christ a été retiré de Son corps pour en retirer la Vie, pour verser le Sang pour la rémission des péchés, et Dieu a ressuscité Son corps et l’a placé sur Son propre Trône, à Sa droite, et Il a envoyé sur terre le même Saint-Esprit qui était sur Christ pour qu’Il soit sur l’Eglise dans une double portion.

43        Mes amis, si vous avez reçu le Saint-Esprit, vous êtes des fils et des filles de Dieu. Vous êtes la postérité d’Abraham et cohéritiers avec Lui dans le Royaume. Et la même foi qui était en Abraham est dans chaque croyant ce soir. Alléluia!

            Dieu, par Sa grâce étonnante, vous a appelé à sortir des eaux sales du monde qui sont pleines des ordures, et Il vous donne le Saint-Esprit, et ce n’est pas parce que vous le méritez, mais c’est parce qu’Il vous y a appelé sans condition. Ce n’est pas parce que vous étiez bon, car vous ne l’étiez pas. Ce n’est pas parce que votre mère était sauvée. Cela est très bien. Mais vous êtes un individu à part. C’est juste. Dieu vous a appelé par élection.

            Et ami pécheur, si vous êtes ici, ou vous membre d’église tiède, ces choses que vous voyez arriver ici dans la tente le soir, c’est le Saint-Esprit manifestant la résurrection de Jésus. C’est l’alliance que Dieu a dite et qu’Il a déversée par Christ. «Vous ferez aussi les mêmes choses que Je fais. Vous en ferez même davantage, car Je m’en vais au Père. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus ; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.»

            Je ne suis pas excité. Je me sens bien. Je me sens très religieux. Pourquoi? Parce que le Saint-Esprit n’est pas une supposition, Il n’est pas une éventualité ; Il n’est pas une probabilité ; ce n’est pas quelque chose que je suppose. Mais je sais que Jésus-Christ vit et règne ce soir, et Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Son Saint-Esprit est ici dans la salle ce soir pour faire les mêmes choses qu’Il a faites sur terre, s’Il peut trouver exactement la même foi. Amen. Nous allons commencer ici, demain soir. Prions.

44        Notre Père céleste, nous Te remercions pour Jésus. Oh! l’alliance inconditionnelle... Moi-même, je suis né pécheur, étranger, privé du droit de cité en Dieu ; par la grâce étonnante, par l’élection de Dieu, Il a parlé à mon pauvre petit coeur irlandais un jour et m’a appelé. Oh! je suis très heureux d’avoir entendu cela, Seigneur. Je chéris cela plus que tout, sachant qu’un jour ce corps d’humiliation dans lequel nous sommes maintenant sera gâté par la mort. Toutes ses caractéristiques et toutes ses facultés mentales s’abîmeront et retourneront avec les cellules cérébrales. Mais là à l’intérieur vit le Saint-Esprit qui reviendra un jour, qui produira ce corps ressuscité, dont celui-ci est le négatif : un corps fort, en bonne santé, jeune. Et aujourd’hui nous avons le gage de cela quand nous Te voyons guérir les malades et les affligés. Ton Saint-Esprit est ici, prouvant sans l’ombre d’un doute que Tu es toujours Jésus. Dieu L’a ressuscité des morts, a fait asseoir Son corps à Sa droite, comme le Souverain Sacrificateur qui fait intercession, qui guérit les infirmités des gens, qui se présente devant Dieu chaque jour avec Son Sang, en disant : «C’est dans ce but que Je suis mort.» Le Saint-Esprit qui était sur Lui est ici sur terre maintenant, travaillant à travers des coeurs soumis, accomplissant la même chose.

            Ô Dieu, tous les doutes ont disparu. Abraham s’est levé et a cru en Dieu. Père, s’il y en a ici qui sont sans Toi, qui Te sont étrangers, qu’ils se lèvent ce soir et croient en Dieu, et disent : «C’est fini pour moi. Ceci règle la question. J’ai vu la Bible, j’ai entendu cela être lu. J’ai regardé cela : le Saint-Esprit a confirmé cela. Je suis maintenant un croyant. Désormais, j’abandonne tout péché. Je m’accroche à Christ et à Lui seul. Avec Son aide et Sa grâce, je ferai ceci.»

45        Pendant que nous avons la tête inclinée, y a-t-il quelqu’un qui aimerait lever la main vers Dieu et dire : «Ô Dieu, voici ma main. Ce soir je suis un croyant. Je promets à partir de ce soir, désormais, de Te servir le reste de mes jours.» Allez-vous L’accepter? Il verra votre main si vous la levez tout simplement.

            Que Dieu vous bénisse, frère, pour vous être tenu debout, pour accepter le Seigneur Jésus comme votre Sauveur. Y a-t-il quelqu’un d’autre, pendant que l’église prie, voulez-vous simplement vous tenir debout? C’est bon. J’apprécie la manière dont vous le faites. Tenez-vous simplement debout, montrez à Dieu que vous acceptez maintenant le Seigneur Jésus comme votre Sauveur personnel.

            «Et celui qui écoute Ma Parole (Pas celui qui se joint à Mon église), mais celui qui écoute Ma Parole, et qui croit à Celui qui m’a envoyé (Aura-t-il? Non.) a (maintenant même) la Vie Eternelle (Ce n’est pas d’un point de vue mental, là, c’est du fond de votre coeur), a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement (ou en condamnation), mais il est passé de la mort à la Vie.»

            Allez-vous croire? Je vous persuade en tant que votre frère chrétien, sachant que ceci pourrait être mon dernier voyage en Californie. Mon travail m’appelle à aller rapidement outre-mer, où nous avons des dizaines de milliers de gens qui sont sauvés par semaine, peut-être qu’on en a quatre ou cinq ici en–en une soirée en Californie, ou dans d’autres coins du pays. Je crois que notre temps est presque fini. L’Ecriture est sur la muraille. Les gens sont tellement indifférents.

            Si vous êtes ici n’ayant pas Christ, voulez-vous juste vous tenir debout un instant? Peut-être que vous êtes tous des chrétiens nés de nouveau ; j’espère que vous l’êtes.

46        Maintenant, Père céleste, pour ceux qui se sont tenus debout ou–et qui ont levé leurs mains, je Te prie humblement de guérir leur esprit ce soir. Accorde-le. Qu’une véritable foi s’installe, qu’il n’y ait plus de doute. Ôte simplement cela par le Sang du Seigneur Jésus, et fais d’eux Tes serviteurs qui T’aiment. Je T’en prie, Père.

            Et ceux, peut-être, qui ne se sont pas tenus debout, qui auraient souhaité avoir assez de courage pour se tenir debout, ô Dieu, nous vivons dans un jour horrible, un jour où les gens sont très instruits, comme c’était le cas avant le jour de Noé, un grand jour scientifique, un grand jour de constructions, un grand jour du travail de matières. Tu as dit : «Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même avant Ton jour.» Et nous y sommes. Mais il y eut un Message qui fut proclamé au temps de Noé. Et Ton Message est proclamé aujourd’hui, appelant les gens à la croix.

            Maintenant, guéris les malades ce soir, Père, car nous remettons ces choses entre Tes mains, au Nom de Jésus. Amen.

            Que le Seigneur vous bénisse donc, alors que nous commençons à appeler quelques malades à monter. Et maintenant, il ne me reste en fait que dix minutes, mais nous allons prendre un peu plus de temps que ça. Voyons.

47        As-tu distribué...?... C’est toujours la série F? Tu as encore distribué la série F, les cartes de prière de la série F.

            Maintenant, ces cartes de prière, lorsque vous les recevez, ceci... Lorsque vous... On les distribue de nouveau chaque jour. Et pour les recevoir, vous devez venir ici pour les avoir. Vous ne pouvez pas en recevoir une et la donner à quelqu’un d’autre qui n’a jamais entendu le Message, ou qui ne sait pas comment... Ne le faites pas, parce que Cela va vous bloquer. Venez vous-même chercher votre propre carte de prière. Vous pouvez en recevoir une, et alors venez.

            Maintenant, voyons, quel sera... Appelons... Rapidement, appelons à partir de–voyons, à partir de 80, 85. Appelons à partir de 85. Que celui qui a la carte de prière F-85 lève la main, rapidement, voyez si je suis dans le bon. La carte de prière F-85, levez la main, juste... Par ici. Très bien, 86, 87, 88, 89, 90, jusqu’à 100, tenez-vous debout juste ici, s’il vous plaît, juste par ici. Alignez-vous rapidement, si vous le pouvez.

            Regardez tous autour de vous. Si quelqu’un est assis près de vous, jetez un coup d’oeil sur sa carte de prière. Peut-être qu’il en a une, et–et qu’il ne–n’entend pas ou quelque chose comme cela. Et peut-être qu’il ne peut pas se tenir debout.

            Et maintenant, pendant qu’on aligne ces gens, F-80... A partir de quel numéro ai-je appelé? A partir de quel numéro ai-je appelé? Voyons, 85. 85 oui, 85, cartes de prière de 85 jusqu’à 100, de la série F. Regardez sur la toute petite carte, elle porte un numéro au verso, et la lettre F. Et alignez-vous par ici, s’il vous plaît, aussi vite que possible. Nous allons immédiatement commencer la ligne de prière.

            Maintenant, est-ce que vous L’aimez? Oh! n’est-Il pas merveilleux? Chantons : Le Grand Médecin, si vous voulez bien nous donner l’accord.

48        Jésus de Nazareth, lorsqu’Il marchait sur le chemin où il y avait les malades et les nécessiteux, Dieu Lui parlait et Lui montrait des gens dans l’assistance qui croyaient, Il se retournait et leur disait : «Ta foi t’a guérie de cette perte de sang. Je te connais, Je sais qui tu es, tu viens de tel endroit.»

            «Oui.»

            «Et comment m’as-Tu connu?»

            «Je t’ai vu lorsque tu étais sous l’arbre.»

            Il a dit : «Va là-bas et jette ton hameçon dans la rivière, et le premier poisson que tu attraperas a une pièce de monnaie dans sa bouche, va payer le–la dîme et l’impôt.» Et, oh! Il est toujours Jésus, n’est-ce pas?

            Très bien, chantons un couplet : Le Grand Médecin, maintenant. Tous ensemble, pendant qu’on est en train de les aligner.

Le Grand Médecin est proche maintenant,

Le Compatissant Jésus,

Il parle au... (Que dites-vous?)

            [Un homme dit : «87.»–N.D.E.] 87... Il y a une carte de prière qui manque, le numéro 87. Si quelqu’un a la carte de prière 87, c’est peut-être quelqu’un qui ne peut pas se tenir debout. Vérifiez. Que quelqu’un jette un coup d’oeil chez cette dame assise ici. Je ne sais pas. On dirait qu’elle ne peut pas se tenir debout, juste ici. Voyez si elle a une carte de prière. Très bien. Jetez un coup d’oeil sur la carte de votre voisin. Celui qui a la carte de prière F-87, voulez-vous lever la main, 87, F-87? Vérifiez autour de vous. Très bien.

49        Maintenant, si vous êtes ici, et qu’ils ne... Eh bien, vous ne verrez pas, demain soir, vous avez ce soir la chance d’entrer dans la ligne de prière, alors vous ne devrez plus demander une autre carte de prière demain, si vous en avez eu la chance ce soir. Maintenant, venez, et entrez dans la ligne de prière, tout celui qui vient. Très bien. Pendant que les jeunes gens sont en train d’examiner ces cartes de prière, disons un mot de prière, s’il vous plaît.

            Père céleste, maintenant, nous sommes ici pour nous servir l’un et l’autre en tant que des frères dans le ministère. Et je Te prie, Dieu bien-aimé, d’accorder que Ta bienveillante miséricorde repose sur chacun. Aide-moi ce soir, Dieu bien-aimé, à prier pour Tes enfants malades qui sont nécessiteux. Accorde-le. Que chaque personne qui est dans Ta divine Présence, qui est malade, soit guérie. Accorde-le, Seigneur, car nous le demandons au Nom du Seigneur Jésus, et à cause de Lui. Amen. Très bien.

50        Maintenant, je vais vous demander quelque chose. Et, frère, soyez attentif. Ne me laissez pas rester debout trop longtemps. Je sais que vous devez vous dépêcher pour rentrer chez vous, mais commençons tout simplement la réunion. Personne n’a répondu. Très bien. Très bien. Très–très bien. Il se peut que la personne soit sortie. Elle est peut-être dehors quelque part. S’il entre, eh bien, un huissier verra quelqu’un, si quelqu’un entre, peut-être portant cette carte-là, nous allons l’introduire dans la ligne de toute façon, parce qu’il a le droit de venir. Très bien.

            Maintenant, j’aimerais vous poser une question. Je–je ne connais personne, à ce que je sache, dans cette salle en ce moment même, à part l’homme qui est derrière moi, juste le groupe local qui est avec moi, ces deux jeunes gens. Et ma femme est ici quelque part, mais je ne l’ai pas encore vue ici à l’intérieur ce soir. Mais elle est ici quelque part ainsi que ma petite fille, mon fils qui est ici, et c’est tout. Mais Dieu vous connaît tous, ne le croyez-vous pas?

            Maintenant, si tu peux croire... Ayez simplement la foi. Combien ici veulent être guéris, mais n’ont pas de carte de prière? Vous ne serez pas ici au-dessus sur l’estrade, levez simplement la main. Je peux juste me faire une idée générale de l’endroit où vous êtes assis. Très bien. C’est bien. Il semble que c’est tout le monde, partout.

            Maintenant, cette personne-ci, cette femme, ou plutôt cette jeune fille, elle m’est parfaitement inconnue. Je ne l’ai jamais vue. Mais Dieu la connaît. Et Dieu sait tout ce qui la concerne. Maintenant, si je pouvais la guérir, si elle est malade... Je ne sais pas si elle est malade. Mais si je pouvais la guérir et que je ne le fasse pas, je serais–je serais une personne cruelle. Mais je–je ne peux pas la guérir. Et–et si Jésus se tenait juste ici où je me tiens maintenant, Lui non plus ne pourrait pas la guérir. Il l’a déjà fait. Il essaierait de l’amener à croire cela, mais... Est-ce juste? C’est juste. Voyez-vous, parce que le Sang a déjà été versé, l’expiation a été faite. Il ne peut pas oeuvrer contre Lui-même. Voyez? Il ne peut pas faire cela. Il l’a déjà fait. Et vous ne le pouvez pas non plus, après qu’Il l’a déjà fait. Il a établi un programme. «J’ai versé Mon Sang pour rendre cela possible.» La question du péché a déjà été réglée, la question de la guérison a déjà été réglée. Maintenant, si vous pouvez croire, c’est ça, c’est tout ce qui peut être fait.

            Et puis, pour cette raison, Il envoie des prédicateurs et Il envoie des prophètes, Il envoie différents ministères et Il les établit dans l’Eglise pour Sa gloire, afin que les gens puissent voir et croire.

51        Maintenant, cette jeune fille, vous êtes... Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, n’est-ce pas, madame? Je ne vous ai jamais vue de ma vie, je ne... Vous ne m’avez jamais vu. Nous sommes de parfaits inconnus. Très bien. Si le Seigneur Jésus me révélait pourquoi cette jeune fille est ici, vous autres ici, allez-vous croire de tout votre coeur que c’est... Souvenez-vous, Jésus Lui-même a dit... Et au cours de ces soirées, s’il y a un inconnu ici... C’est exactement ce qu’a dit Jésus.

            «En vérité, en vérité, Je vous le dis, Je ne peux rien faire, sinon ce que le Père Me montre premièrement.» Est-ce juste? «Je ne peux rien faire de Moi-même. Je ne fais que ce que le Père Me montre.» Et lorsqu’Il est parti, Il a dit : «Maintenant, la même chose que J’ai faite, vous la ferez aussi, car Je serai toujours avec vous, jusqu’à la fin du monde. Vous ferez la même chose que J’ai faite, jusqu’à la fin du monde.» Donc c’est Lui.

            Et Il... La Bible dit : «Il est ressuscité des morts.» Alors s’Il est ressuscité des morts et s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il doit faire la même chose, n’est-ce pas? Alors comme vous devriez le savoir, après avoir entendu Sa Parole, après avoir cru en Lui, après L’avoir accepté comme votre Sauveur personnel, et Il est ici accomplissant la même chose, alors il n’y a point de supposition à ce sujet. C’est entièrement la vérité, n’est-ce pas?

52        Maintenant, cette jeune dame, et comme ce soir on commence encore avec une femme. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Et maintenant, soeur, vous savez que c’est vrai. Nous ne nous connaissons pas. Mais maintenant, vous savez que j’ignore le motif de votre présence ici. Je–je n’ai aucune idée. Vous êtes juste une–une jeune dame qui est montée ici sur l’estrade et c’est tout. Et vous n’étiez pas nécessairement obligée de monter ici ; vous auriez pu rester assise là et avoir la foi. Mais comme vous êtes ici près de moi (Vous voyez?) je peux vous parler. Et si je peux vous amener à avoir la foi, alors votre propre foi produira la vision pour vous. Vous voyez? C’est Dieu qui vous montre qu’Il vous aime. Ce n’est pas moi. Je ne sais rien à votre sujet, mais Lui si. Et–et si vous ne croyez pas, eh bien, alors rien ne pourrait être fait. Vous pourriez vous tenir là toute la soirée, mais si vous ne croyez pas, eh bien, jamais cela ne–jamais cela ne marchera (Vous voyez?) parce que c’est votre foi qui actionne cela, pas la mienne. C’est la vôtre. Le don de Dieu, mais je–je ne suis pas le don. Je suis juste le–le canal. Vous voyez?

            Cette ampoule n’est pas la lumière ; ce fil n’est pas la lumière ; c’est le courant dans le fil qui produit la lumière. Ce n’est que le conducteur. Dans ce cas-ci, je suis le conducteur. Vous voyez? Et il faut que ce soit Sa lumière, et quelqu’un doit appuyer sur le bouton. Et vous êtes la personne qui devez appuyer sur le bouton. Dieu allume la lumière, et Il l’éteint, vous saurez si c’est vrai ou pas.

53        Maintenant, alors que nous parlons, pendant que je suis en train de te parler, c’est certainement pour contacter ton esprit ; c’est juste. Et–et vous... Il est ici tout près, le Saint-Esprit, vous en êtes consciente, qu’il y a Quelque Chose tout près. Moi également, mais Cela ne nous a pas encore oints, c’est juste, pour montrer ce dont il s’agit. Mais je vois cette dame maintenant alors qu’elle commence à disparaître de devant moi. Je la vois. Elle souffre de la–la nervosité. Elle est très dérangée. Ça fait un certain temps qu’elle est dans cet état. Elle souffre aussi d’une–une maladie de femme ; c’est dans les glandes féminines. Elle a un problème des glandes féminines. Ces choses sont vraies, n’est-ce pas, madame?

            Et je... Vous n’êtes–n’êtes pas d’ici. Vous venez de quelque part ailleurs, d’une autre ville. Je vous vois vous déplacer, venir dans cette direction. Quelqu’un vous a dit quelque chose, c’était au sujet de la réunion, et vous êtes venue afin que l’on prie pour vous. Et je vois le numéro de la maison d’où vous êtes venue, c’est–c’est–c’est le 8614, le numéro de votre rue. Et quelqu’un vous appelle : «Betty.» Et votre nom de famille c’est Moore. C’est juste. Juste... Eh bien, vous pouvez rentrer chez vous ; vous êtes guérie. C’est votre foi qui a fait cela, soeur. Que le Seigneur vous bénisse, ma soeur.

            Ayez foi en Dieu. Croyez de tout votre coeur.

            Notre Seigneur... Nous sommes la postérité d’Abraham. Jésus-Christ était la postérité d’Abraham, c’est de Lui que nous venons. C’est Dieu qui nous a créés. Ayez simplement la foi. Ne doutez pas. Croyez de tout votre coeur, et vous recevrez très exactement... C’est très bien. Mais elle sort à peine de sous Cela. Elle est restée longtemps sous cette onction ; c’est de cela qu’il s’agissait. Elle a complètement perdu conscience ; c’est tout. Tout va bien. Elle est guérie maintenant. Voyez? Elle est rétablie. Elle est simplement épuisée. Elle est...?...

54        Maintenant, cet homme qui se tient ici, monsieur. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Nous ne nous connaissons pas. Dieu seul nous connaît tous les deux. Est-ce juste, monsieur? Gentil monsieur, vous étiez en train de pleurer là, parce que vous étiez très excité. Vous en pardessus, ce petit problème du coeur vous dérangeait. C’est fini maintenant. Ayez simplement la foi. C’est bien.

            Dites, la dame assise là à côté de vous, elle aussi a un–un problème des poumons. C’est vrai, n’est-ce pas, madame? Maintenant, levez aussi la main, soeur. Maintenant, posez votre main sur elle, monsieur. C’est ça. Père céleste, leur foi est suffisamment proche pour tirer la vertu du Saint-Esprit et produire une vision. Je prie pour que, si cette foi est suffisamment forte maintenant, qu’ils soient guéris tous les deux, au Nom de Jésus. Amen.

            Qu’en pensez-vous, monsieur? N’est-Il pas merveilleux? Certainement. Vous ne cessez de regarder dans cette direction parce que vous êtes préoccupé pour quelqu’un, n’est-ce pas? C’est votre femme. C’est vrai. Vous avez un problème de la gorge. Oui, oui. C’est la dernière soirée où vous pouvez rester, n’est-ce pas? Vous devez rentrer chez vous. Vous allez être guéri. Vous avez aussi une petite habitude que vous désirez abandonner. Allez-vous cesser de faire cela? Jetez cette chose et ne la reprenez jamais, et partez servir Dieu pour le reste de votre vie. Imposez les mains à votre femme qui est là ; elle va aussi être guérie. Que Dieu vous bénisse. Continuez votre chemin en vous réjouissant au Nom du Seigneur Jésus. Amen.

            Disons : «Grâces soient rendues au Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle.»

55        Approchez, soeur. Croyez. «Si tu peux croire, tu peux recevoir.»

            Je ne... Madame, vous qui avez la pochette et qui avez posé la main dessus, vous avez des ennuis avec votre côté. C’est ça, vous qui êtes assise là, oui, c’est juste. Très bien. C’est fini maintenant. Votre foi vous a guérie. Amen. Que Dieu vous bénisse.

            Il est merveilleux, n’est-ce pas? Cette autre dame assise juste là avec sa pochette dans la main, qui souffrez de l’hypertension, mais Jésus-Christ peut vous guérir, n’est- ce pas, soeur? Croyez-vous cela? Très bien, vous pouvez être guérie. C’est merveilleux, ne l’est-Il pas?

            Vous qui vous êtes retourné près de ce poteau, qui me regardez, vos yeux vous dérangent, n’est-ce pas, monsieur? Oui, oui. C’est sûr, c’est ce dont vous souffrez. L’homme à côté de vous aussi. Très bien. Tenez-vous debout tous les deux, et recouvrez la vue au Nom du Seigneur Jésus, et soyez guéris.

            Avez-vous la foi? «Si tu peux croire.» Cela dépend de vous.

            Est-ce que vous croyez, soeur? De tout votre coeur? Vous êtes une femme très malade. Vous souffrez d’un problème du coeur, ça c’est une chose. Et vous–vous avez un problème de la gorge. Et vous êtes dérangée par la sinusite, une sorte de complication. Votre âge est contre vous pour bien des choses que vous pensez. Mais Dieu est avec vous. J’aimerais vous dire quelque chose, afin que vous sachiez. Vous avez quelqu’un pour qui vous êtes très préoccupée, n’est-ce pas? Cette personne a connu une attaque d’apoplexie ou quelque chose comme cela. Cela fait neuf ans qu’elle est alitée. Pas vrai? Maintenant, continuez simplement votre chemin, en recevant et en croyant de tout votre coeur. Dieu confirmera cela.

            Disons : «Grâces soient rendues à Dieu!» Si tu peux croire...

            Bonsoir, madame. Parlez-vous anglais? Oh! très bien. Je vous suis inconnu. Vous ne me connaissez pas. Je ne vous connais pas. Vous avez votre bébé. C’est ce qui vous préoccupe. Si Jésus me révélait quelque chose, la raison de votre présence ici, allez-vous croire en Lui de tout votre coeur?

            Soeur, votre bébé est très malade. Les médecins ignorent ce qui ne va pas chez lui, parce que c’est un problème qui se trouve dans son cou. C’est un problème des glandes, un gonflement. C’est juste. Vous devriez amener ce bébé chez le médecin, à l’hôpital, c’était hier. Mais vous remettiez cela à plus tard. C’est une très grande foi pour une pécheresse. Vous étiez catholique autrefois, n’est-ce pas? Et vous avez quitté l’Eglise catholique. C’est vrai. Et ensuite vous avez commencé à fréquenter une Eglise pentecôtiste, mais vous n’y avez pas adhéré. Vous n’êtes plus retournée dans cette église-là depuis presque une année. Vous ne savez que faire. Cela est venu sur votre bébé pour que vous serviez le Seigneur. Maintenant, partez, et naissez de nouveau de Son Esprit. Je vais bénir le bébé.

            Un instant. J’ai vu quelqu’un d’autre tenir un rosaire ou... Ce sont des femmes qui sont à côté. Les voilà. Il y a une jeune dame assise là en train de me regarder, la dame assise à côté d’elle est sa grand-mère. Elle souffre de l’estomac. C’est vrai, n’est-ce pas? Et vous souffrez des maux de tête, vous avez des ennuis. Pas vrai? Vous êtes catholiques toutes les deux. Croyez-vous que le Seigneur Jésus vous sauvera et vous guérira maintenant même, et qu’Il vous rétablira toutes les deux? Allez-vous le croire? Levez les mains si vous allez le croire. Très bien. Maintenant, posez votre main sur votre grand-mère là.

56        Dieu notre Père, Créateur des cieux et de la terre, tout est possible à ceux qui croient. Pardonne chaque péché, Seigneur, je prie. Et que Tu guérisses ce précieux petit bébé ici, et j’ôte de lui cette malédiction. Il est trop jeune pour avoir la foi. Que ce bébé vive. Satan a compté ses jours, mais la mère est venue vers Toi, Seigneur Jésus, maintenant même. Et maintenant, je maudis cette maladie, afin qu’elle n’ôte pas la vie au bébé, que Jésus-Christ le Fils de Dieu sauve l’enfant. Et bénis aussi ceux qui sont en bas et qui n’ont pas levé les mains, au Nom de Jésus. Amen.

            Maintenant, c’est fini, soeur. J’aimerais vous demander une chose. Vous n’avez jamais senti ce que vous ressentez maintenant. Pas vrai? Tous vos péchés vous sont aussi pardonnés, et votre–et votre bébé vivra. N’ayez pas peur. Poursuivez votre chemin. Dites à votre mère ou plutôt grand-mère de manger tout ce qu’elle désire. Vos maux de tête ont cessé, soeur. Ce problème gynécologique est terminé. Maintenant, ayez simplement la foi et croyez de tout votre coeur. Alléluia!

            Cette dame, une dame espagnole est assise juste là, elle a un problème au niveau de la poitrine, n’est-ce pas, soeur? Vous qui êtes assise juste là, la–la tête baissée, en train de pleurer parce que Dieu nous a parlé. Il a aussi exaucé vos prières, soeur. Que Dieu vous bénisse. Vous êtes aussi guérie. Votre foi vous a sauvée.

            Nous avons quelques Espagnols ici, ils ont la foi. Qu’est-ce qui ne va pas chez vous pentecôtistes? Regardez ces catholiques qui viennent en ayant la foi. On leur a enseigné de croire que ce que leur prêtre dit est vrai. Il vous suffit d’avoir une personne correctement en ligne pour que l’on voie le Saint-Esprit opérer, elle croira tout ce qui a été dit.

57        Qu’en pensez-vous, madame, qui êtes aussi une Espagnole? Le croyez-vous? Très bien. Savez-vous ce qui est arrivé? Votre trouble gynécologique vous a quittée. Cela... Vous êtes guérie. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant, et soyez guérie au Nom de Jésus. Alléluia.

            Maintenant...?... Soeur? Allez-vous croire que Dieu peut guérir les troubles cardiaques et vous rétablir? Eh bien, continuez carrément votre chemin en vous réjouissant, parce qu’Il est Jéhovah-Jiré qui pourvoit à tout ce dont nous avons besoin.

            Est-ce que vous L’aimez? Oh! la la! C’est de cette manière qu’il faut avoir la foi. Eh bien, Cela commence à s’établir partout.

58        Lorsque je me suis adressé à cette dame, quelque chose est arrivé, n’est-ce pas? Eh bien, poursuivez simplement votre chemin en vous réjouissant, en remerciant Dieu, et soyez guérie au Nom de Jésus. Ne doutez pas du tout, croyez simplement de tout votre coeur.

            Approchez, monsieur. Maintenant, j’aimerais vous poser une question. Croyez-vous que ce trouble de l’estomac a disparu? Alors continuez simplement votre chemin en vous réjouissant, parce qu’Il vous a guéri.

            Disons : «Gloire à Dieu!»

            Croyez-vous, soeur? Aimeriez-vous aller manger un hamburger gros comme ça avec des oignons dessus? Alors allez le manger, et soyez guérie, au Nom du Seigneur. Cet ulcère de l’estomac qui–qui est...

            Mon Seigneur peut guérir l’arthrite très facilement. Ne le croyez-vous pas? Eh bien, partez simplement en vous réjouissant et en remerciant Dieu pour–pour ce qu’Il a fait pour vous.

            Bien, vous souffrez d’un problème gynécologique, vous êtes nerveuse et vous avez l’arthrite. Mais descendez simplement de l’estrade en vous réjouissant, en disant : «Merci, Seigneur.»

            Disons : «Gloire au Seigneur!» [L’assemblée dit : «Gloire au Seigneur!»–N.D.E.] Croyez-vous tous? Maintenant, retournez-vous pour recevoir cela maintenant même. «Si tu crois.»

59        Je crois maintenant même que le Saint-Esprit désire vous guérir tous. Qu’en est-il de cela, madame? Qu’en est-il de cela, soeur? Croyez-vous cela?

            Maintenant même pendant que j’ai la force et que je suis conscient pour savoir ce qui est en train de se passer, voulez-vous croire maintenant même? Prions. Père céleste, je Te prie, au Nom de Jésus, de condamner chaque démon qui a lié ces gens et de faire de ceci une glorieuse soirée, un grand succès. Pendant que Ton Esprit est ici se mouvant sur les gens, que le Saint-Esprit baptise chaque croyant maintenant même, et leur révèle qu’ils sont la postérité d’Abraham et qu’ils sont héritiers de la promesse ; et que la promesse de la guérison leur appartient.

            Et maintenant je condamne Satan, ce démon de doute, qui essaie de retenir les gens, mais qui n’a aucun droit légal. Satan, Jésus-Christ t’a dépouillé de toute la puissance que tu possédais, et de tout le pouvoir du péché que tu avais, au Calvaire, lorsque le Sang du Fils de Dieu s’est répandu, et qu’il a jailli de Son côté. Et le Saint-Esprit a été retiré de Son corps, et Il a été envoyé à l’Eglise pour te dévoiler et t’exposer, après deux mille ans. Et te voici exposé. Tu es un perdant. Sors de ces gens! Je t’adjure, par Jésus-Christ le Fils du Dieu vivant qui...?...

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