La Porte Du Coeur

Date: 58-0112E | La durée est de: 1 heure et 24 minutes | La traduction: Shp
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1          Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie Eternelle, Donateur de tout don excellent et parfait, nous venons à Toi au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus. Et humblement, nous Te rendons grâces, Seigneur, pour les bénédictions que Tu nous as accordées. Et je Te prie de toucher la soeur qui est maintenant malade quelque part dans cet auditoire. Nous, en tant qu’Eglise du Dieu vivant, nous demandons maintenant que le mauvais esprit qui voulait faire du mal à notre soeur la quitte, afin qu’elle puisse se réjouir des services ce soir dans la Présence de l’Agneau de Dieu.

            Nous Te demandons, Père, de bénir frère Joseph Boze alors qu’il part pour l’Afrique prêcher dans ces régions du monde. Que Ta main de miséricorde le guide, Seigneur. Protège-le. Accorde-lui la santé et la force. Puisse-t-il nous revenir encore, se réjouissant, apportant de précieuses gerbes. Accorde-le.

            Pardonne-nous nos péchés, comme nous pardonnons à ceux qui ont péché contre nous. Et nous prions maintenant que le Saint-Esprit prenne complètement la réunion sous Son contrôle et qu’Il en tire la gloire pour Dieu notre Père. Car nous le demandons en Son Nom. Amen. Asseyez-vous.

2          Les–les mots me manquent pour dire combien j’apprécie ce grand Chicago et sa collaboration pendant ces huit soirées passées à la réunion. A toutes les églises et à tout le monde, c’est si hautement apprécié. Et j’apprécie cet auditorium de l’école secondaire Lane Tech. Le concierge et tous ceux qui sont attachés à cette école ont été si gentils envers nous en nous permettant de l’avoir. Et j’aimerais particulièrement remercier pour la bonne musique et les chanteurs. Le petit quatuor qui a chanté il y a quelques instants, The Youth For Christ, [Jeunesse pour Christ] de Wisconsin, nous les remercions. Et à nos précieux amis de couleur, j’entrais tout à l’heure dans la pièce là pendant qu’ils chantaient ce cantique qui devrait faire tomber à genoux avec secousse chaque pécheur. «Oh! L’amour de Dieu, combien riche et pur.»

3          Je pensais, après ce film émouvant d’hier soir, que notre frère Osborn a projeté ici sur leurs gens là-bas en Afrique, couchés malades et... Oh! Nous avons honte de nous-mêmes de ne leur avoir pas apporté l’Evangile plus tôt que ça. Mais par la grâce de Dieu, nous ferons... Je ferai tout mon possible pour eux comme j’y retourne.

            Et à frère Johnson, le–le chanteur, oh! comme il a très bien chanté pour nous! Et nous l’apprécions. Et au pianiste et à tous, les ministres, leur collaboration... Et à notre précieux jeune frère Joseph. Il est maintenant parti, je pense.

            Mais Joseph a été un vrai ami pour moi. J’aime ce petit homme. Et nous nous sommes tenus l’un à côté de l’autre. Je dis le petit homme. Je sais qu’il est plus grand que moi, mais il y a juste quelque chose en lui que... Oh! Donc il... Je l’aime vraiment, un si merveilleux petit homme. Je l’aime parce qu’il aime notre Seigneur. Et j’ai vu Joseph dans plusieurs situations difficiles, mais jamais je ne l’ai vu afficher un comportement inférieur à celui d’un chrétien dans tout ce qu’il faisait. Contre vents et marées, nous nous sommes tenus l’un à côté de l’autre. Et puisse Dieu bénir notre amour mutuel alors que nous continuons.

4          Et à vous, les autres frères ministres, qui avez été dans cette série de réunions, un jour, quand tout sera terminé... Et pensez-y donc, quand toutes ces grandes chorales se rassembleront, ça sera merveilleux, n’est-ce pas?

            Vous pourrez dire: «Frère Branham, croyez-vous qu’ils auront toujours leur talent?» Certainement. Assurément. Cela leur a été donné pour toujours.

            Si vous remarquez bien, quand la sorcière d’Endor a invoqué l’esprit de Samuel, celui-ci était toujours un prophète. Donc, la mort ne fait que changer notre demeure. Celle-ci est pour un petit temps, et l’autre est éternelle. Ainsi, nous attendons ce jour-là. J’ai entendu frère Joseph annoncer les réunions. Nous serons contents de vous avoir. Et ces chorales et tout, venez à ces réunions. J’apprécierais certainement cela. Et je suis sûr que les gens apprécieraient aussi cela. Il n’y a rien de comparable aux bons chants, n’est-ce pas? Oh! C’est merveilleux!

            Eh bien, ce soir étant la soirée de clôture... Et, bien sûr, je suis toujours un peu fatigué et enroué. Je–je n’ai pas de directeur officiel des campagnes pour le moment, depuis que notre cher et précieux frère Ern Baxter a dû retourner à son église. Elle le réclamait. Son église a pratiquement la grandeur de cet auditorium. Comme il errait avec moi à travers le pays, son église ne supportait plus cela davantage. Il a dû les rejoindre de peur de perdre probablement son église. Une âme merveilleuse, un merveilleux homme de Dieu, et je l’aime. Mais il a dû retourner, et depuis lors, je n’ai pas eu un directeur de campagnes. Ainsi, je dois essayer de parler moi-même. J’en suis donc incapable; en effet, je ne suis pas instruit. Et je ne peux pas prêcher. Nous le savons. Comme frère Osborn l’a dit à l’estrade hier soir, au sujet... Il a dit que personne ne connaît mieux que lui sa raison d’être ici.

            Ainsi... Mais, supportez-nous juste un petit instant. Mais j’aime dire ce que je connais à Son sujet, car je L’aime.

5          Ce soir, j’aimerais lire une portion de l’Ecriture. Et nous ne vous garderons pas très longtemps. Puis, nous allons prier pour les malades. Et, oh! comme mon coeur brûlait hier soir quand j’ai vu cette grande masse de gens affluer dans les allées pour accepter leur guérison sur base de la Parole Eternelle de Dieu! Cela a ravi mon coeur. Cela a augmenté ma foi en vous, en vous voyant disposés à croire juste sur base de la Parole.

            Frère Osborn a un grand ministère de la prédication de la Parole. Et la Parole vaincra le diable n’importe où, n’importe quand, dans toutes les circonstances. Jésus l’a prouvé, quand Il a vaincu Satan sans utiliser Sa puissance, mais uniquement sur base de la Parole du Père. «Il est écrit. Il est écrit.» Et Il l’a vaincu.

6          Dans le Livre de Révélations de Jésus-Christ. Et le–le chapitre 3, verset 20, j’aimerais lire cette portion:

Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi.

            C’est le passage le plus frappant des Ecritures. Il y a là quelque chose qui fait que chaque fois que je le lis, cela ne fait que ravir mon coeur. C’est un tableau du Seigneur frappant à la porte.

            Je n’arrive pas à me rappeler pour le moment le tableau ou l’artiste qui a peint ce tableau relatif à cet évènement. Mais tous les tableaux célèbres, avant de pouvoir être donc placés au musée, doivent d’abord passer par les critiques. Et après être passés par les critiques, alors ils peuvent être placés au musée.

7          C’est pareil avec l’Eglise. Dieu peint un tableau de la belle et sainte Eglise. Et avant qu’Elle soit donc enlevée de la terre pour le musée, au Palais de Dieu, Elle doit d’abord franchir l’étape des critiques.

            «Tous ceux qui vivent pieusement en Jésus-Christ seront persécutés. Heureux serez-vous lorsqu’on dira faussement de vous toute sorte de mal à cause de Mon Nom.»

            Et cet artiste a peint ce tableau de Jésus frappant à la porte. Quand ce tableau est passé par les critiques, l’un d’eux s’est levé et a dit: «Monsieur, une seule chose que je peux trouver contre le tableau, c’est que vous n’avez pas prévu de loquet à la porte.»

            Et l’artiste a dit: «Oh! Non, c’est comme ça que je l’ai peint.» Il a dit: «Cette porte est la porte du coeur. Et le loquet se trouve à l’intérieur. C’est à vous d’ouvrir la porte.»

8          Et nous nous posons des questions quand on frappe à la porte. Pourquoi un homme frappe-t-il à la porte? Il cherche à entrer. Il veut entrer. C’est pourquoi il frappe.

            Beaucoup de grands hommes, dans ce très vaste monde et au cours des siècles de son existence, ont frappé aux portes. Et je pense maintenant: Que serait-il arrivé si le grand César se présentait à la porte d’un paysan et y frappait? Et en ouvrant la porte, le paysan, voyant qui c’était, qui frappait, se prosternerait probablement par terre et dirait: «Bienvenu, grand César. Entrez simplement dans ma maison, et c’est pour moi un honneur que vous entriez dans ma modeste demeure. Et tout ce que vous trouvez par ici, que votre coeur désire, prenez-le, car c’est à vous.»

            Que serait-il arrivé si feu Adolphe Hitler se présentait à la porte de l’un de ses soldats, et qu’il y frappait, et que ce soldat, regardant dehors, voyait que c’était le grand führer de l’Allemagne? Le soldat ouvrirait largement la porte, il se tiendrait au garde-à-vous et saluerait le grand führer allemand et lui prierait d’entrer. «Et tout ce que vous voudrez dans ma maison, prenez-le. C’est à vous.» Si Hitler disait: «Je prendrai cette horloge en or qui est suspendue là au mur comme souvenir.» Peu importe sa valeur, ce serait pour le soldat un honneur que de donner une telle chose au führer allemand.

9          Vous savez, la raison, c’est l’importance de la personne à votre porte. Quand une personne importante vient vous visiter... Il n’y a pas de bon démocrate dans tout Chicago ce soir qui ne se sentirait pas hautement honoré si le président Dwight Eisenhower frappait à sa porte. Quand bien même il serait en désaccord avec lui sur la politique, néanmoins il est le président des Etats-Unis d’Amérique. C’est un homme important. Et tout bon démocrate apprécierait cela, l’honneur pour lui de voir le président des Etats-Unis, le président Dwight Eisenhower, frapper à sa porte. Il dirait: «Entrez, monsieur. Et tout ce que je peux faire pour vous mettre à l’aise pendant que vous êtes ici... Entrez.» Son coeur se réjouirait de savoir que le président des Etats-Unis a frappé à sa porte. En effet, il reconnaîtrait que le président a une mission pour lui, ou à... quelque chose à lui dire, sinon il ne frapperait pas à la porte.

10        Tout récemment, la reine d’Angleterre a visité notre beau pays; c’est la fille du feu roi George, pour qui j’ai eu le privilège, par la grâce de Dieu, de prier, quand il fut guéri de la sclérose en plaques. Et pendant son séjour ici aux Etats-Unis, si elle se présentait à l’une de nos portes et y frappait, nous serions hautement honorés de voir la reine d’Angleterre frapper à notre porte, même si nous ne sommes pas ses sujets. Cependant, elle est très importante. C’est pourquoi nous nous sentirions honorés, qu’elle ait frappé à notre porte. Elle est une femme importante. Elle est la plus grande reine de la terre, sur le plan national. Et nous serions honorés du fait qu’elle est venue.

            Mais, oh! qui est plus important que Jésus? Et qui est plus rejeté que Jésus? Qui est plus grand que Lui? Et pourtant, Il se tient chaque jour et frappe, et nous Le rejetons. Il veut entrer dans notre coeur afin de pouvoir nous bénir et faire pour nous ce qu’aucun roi, aucun potentat, ou aucune autre personne importante ne pourrait faire. Et pourtant, nous Le rejetons. Chaque jour, des milliers de fois, des milliers Le chassent de la porte du coeur des gens. Le plus grand honneur qu’un homme ou une femme ou un enfant puisse jamais avoir, c’est de voir le Seigneur Jésus frapper à la porte de son coeur. Le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs, et pourtant, Il est rejeté plus que le journaliste, ou le vendeur des livres, ou la société des balais, ou le... une autre personne qui vient vous dépouiller plutôt que vous donner. Et il n’y a personne d’autre qui puisse frapper à votre porte avec un don comparable à celui qu’Il a pour vous, car Il a pour vous la Vie Eternelle. Il vous apporte la guérison de votre corps. Il vous apporte la joie quand vous êtes triste. Il vous apporte la paix quand votre esprit est troublé. Il vous apporte l’espérance quand vous êtes assailli par les doutes, la foi quand vous êtes en proie aux frayeurs, l’incorruptibilité face à votre corruption, la vie face à votre mort, et pourtant, nous Le rejetons toujours.

11        Mais vous pourrez me dire: «Frère Branham, j’ai déjà fait cela. Quand Jésus a frappé à ma porte, je L’ai laissé entrer.» Bon, c’est bien. Mais quand Il est entré dans votre coeur, L’avez-vous accueilli dans tout votre être?

            Il y a beaucoup de gens qui veulent accueillir Jésus en tant que Sauveur; mais peut-Il devenir votre Seigneur? Seigneur veut dire le propriétaire. Le Seigneur a un contrôle total. Vous L’accueilleriez à bras ouverts pour qu’Il vous préserve de l’enfer et des tourments. Vous L’accueilleriez comme votre Sauveur; mais êtes-vous disposés à L’accueillir comme votre Seigneur pour qu’Il exerce un plein contrôle?

            Dans le coeur, il y a de petites portes, comme dans votre maison. Si je viens chez vous vous rendre visite, et que vous m’accueillez en disant: «Frère Branham, je vous donne cette maison et tout ce qu’il y a à l’intérieur,» mais qu’après vous me prenez par la main et vous dites: «Voyez-vous cette prote-ci? Je ne voudrais pas que vous entriez par là. Et voyez-vous cet endroit-ci? Eh bien, n’y entrez pas. Et cet endroit-ci, n’y entrez pas», je serai alors partiellement accueilli. Et c’est comme ça que les gens accueillent généralement le Seigneur Jésus, un accueil partiel. Mais Il veut entrer et être le Bienvenu.

12        Maintenant, examinons quelques-unes de ces portes. L’une d’elles, c’est la petite porte du moi. Vous savez, c’est une petite porte importante. Vous direz: «Oh! oui, Jésus, je Te recevrai comme mon Sauveur; mais alors, ne Te mêle pas de mes affaires.» C’est là l’attitude de beaucoup de chrétiens, des soi-disant. «Eh bien, j’aimerais vivre ma propre vie. Mais je ne veux pas que Tu... Je veux que Tu me préserves de l’enfer. Mais ne Te mêle pas de mes affaires.» Eh bien alors, Jésus ne peut pas avoir la prééminence. Jésus ne peut pas être votre Seigneur, parce que vous voulez être votre propre chef. Mais Lui veut diriger à votre place. Mais tant que vous gardez la porte fermée, quand bien même vous L’avez accepté comme votre Sauveur personnel, cependant vous ne Lui avez pas pleinement donné la prééminence dans votre–votre vie. Et, oh! églises, n’est-ce pas là une vérité partout dans le monde? Ils ne veulent pas Lui reconnaître la souveraineté.

13        Et puis, il y a une autre petite porte. Elle est appelée la porte de l’égoïsme. Oh! Combien nous aimons garder cette petite porte fermée au cadenas! «J’y irai s’il y a là quelque chose pour moi ou si c’est pour moi, et pour mon église, ou pour moi et pour ma dénomination. Je serai disposé à aller si j’en tire quelque chose.» C’est de l’égoïsme. Vous devez ouvrir cette porte et laisser Jésus entrer. Oh! C’est une porte importante.

            Eh bien, je n’ai pas l’intention d’être discourtois, mais je veux seulement être sincère. Et puis, il y a une petite porte qui se trouve dans le coeur tant des hommes que des femmes; c’est la petite porte de l’orgueil. Et avec ça, vous direz: «Entrez, Seigneur. Je vais adhérer à votre église, et je vais–je vais payer mes dîmes. Je vais aider la veuve à avoir du charbon, je vais acheter de la nourriture ou des habits pour les orphelins, mais je ne veux simplement pas abandonner mon orgueil. Je pense que je suis un peu mieux qu’Untel.» Jésus ne peut donc pas être votre Chef.

14        «Je fréquenterais telle église. C’est une petite mission. J’entends dire qu’ils ont un réveil. Mais je ne pourrais pas laisser mes compagnons savoir que je me mêle à ce groupe de gens. Des fois, des démons même ont dit qu’ils étaient des saints qui se roulaient par terre sous l’effet de l’Esprit.» Oh! comme cela blesse, votre orgueil! «Je ne pourrais simplement pas ouvrir cette porte-là, Seigneur.» Alors, Il ne peut pas être Chef et Seigneur si vous gardez votre porte fermée.

            Et parfois, j’ai été coupable d’avoir dit aux dames qu’en été, elles ne s’habillent pas bien, en portant leurs petits habits immoraux. Je sais que vous dites que c’est ce qu’on–on vend. Oui, et on vend aussi de l’arsenic.

            Oh! Vous voulez ressembler aux voisins. Vous voulez agir comme votre voisin. Mais Dieu veut que vous agissiez comme Son enfant et que vous vous débarrassiez de cet orgueil. La porte de l’orgueil, quelle chose horrible est-ce, de savoir que vous professez être chrétien et puis, vous gardez la porte fermée devant Lui!

15        Une petite histoire, peut-être que je vous l’ai déjà racontée. Mais au début de l’esclavagisme dans le Sud, il y avait... On allait acheter ces gens et on en faisait des esclaves. Et ces derniers étaient tristes, parce qu’ils étaient loin de chez eux, et ils ne pourraient plus bien se sentir. Ils ne rentreraient plus jamais chez eux. Et on les fouettait et frappait au point qu’ils étaient tout abattus. Un jour, un négociant d’esclaves est venu, et il achetait des esclaves dans une plantation.

16        Oh! Il a remarqué un de ces hommes, un jeune homme qui se tenait droit, la tête haute, et on n’avait jamais à le fouetter. Il était bien à la tâche. Alors, le négociant des esclaves a dit: «Laissez-moi acheter le... cet esclave-là. Je vous verserai le prix pour lui.»

            Et le propriétaire a dit: «Mais il n’est pas à vendre.»

            Il a dit: «Qu’est-ce qui le rend si différent des autres esclaves? Est-il un chef?» Il a dit: «Non, il n’est qu’un esclave.» Il a dit: «Le nourrissez-vous différemment des autres esclaves?»Il a dit: «Non, il mange à la cuisine avec les autres esclaves.»Il a dit: «Alors, peut-être, peut-être qu’il est un peu mieux traité.»«Non, il est juste traité comme les autres esclaves.»Il a dit: «Qu’est-ce qui le rend donc si différent des autres esclaves?»

            Il a dit: «Je me suis moi-même posé cette question pendant longtemps. Mais un jour, j’ai découvert que là, dans son pays d’origine, son père est le roi d’une tribu. Et bien qu’étranger, loin de chez lui, il reconnaît toujours qu’il est le fils d’un roi, et il se conduit comme tel.

17        Oh! Nous les chrétiens, bien qu’étrangers dans ce monde, nous sommes les sujets du Seigneur Jésus, en route vers le Ciel; nous devrions nous conduire comme des fils et des filles de Dieu. L’orgueil nous empêche de faire cela. Nous redoutons que quelqu’un dise quelque chose contre nous. Quand l’Esprit bénit, beaucoup ont honte de dire amen. Il y en a beaucoup qui, à leur bureau, le Seigneur Jésus ayant pu les guérir des maladies, ont peur de témoigner pour la gloire de Dieu par orgueil. Beaucoup ont peur de se lever pour dire: «J’ai reçu Christ comme mon Sauveur personnel et j’ai été rempli du Saint-Esprit.» Ils ont honte. Oh! J’aime cet ancien petit cantique que nous chantions il y a des années, là dans cette région montagneuse: «Je prendrai le chemin avec les quelques méprisés qui suivent le Seigneur. J’ai commencé avec Jésus et j’irai jusqu’au bout, sans avoir honte de l’Evangile.» Paul a dit: «C’est la puissance de Dieu.» L’orgueil. Oh! quelle grande chose est-ce!

18        Puis, il y a une autre petite porte dans votre coeur. Oh! Il y en a beaucoup. Mais je voudrais simplement aborder les quelques principales portes. Une autre petite porte dans le coeur, quand Jésus entre, c’est la porte de la foi. Oh! Beaucoup diront: «Je vais L’accepter comme mon Sauveur personnel, mais je ne crois pas que toute la Parole est inspirée.» Alors, vous gardez votre porte fermée. Il ne peut pas du tout vous bénir.

            Et vous direz: «Oh! Je crois qu’Il me sauve du péché. Mais je ne peux simplement pas croire que les jours des miracles sont là aujourd’hui comme autrefois.» Alors, vous gardez votre porte fermée. Il ne peut rien faire pour vous.

            Oh! Ce soir, dans ce service de guérison, si seulement nous pouvons ouvrir cette porte et dire: «Seigneur Dieu, Jéhovah, je crois que chaque Parole que Tu as prononcée est la Vérité. Et Elle est écrite, scellée du Sang du Seigneur Jésus, une déclaration et une promesse pour moi. Et c’est ma propriété, et je possède cela.» Oh! quelle réunion il y aurait ici ce soir! «C’est pour moi. Jésus est mort afin que j’aie cette foi.»

            «Celui qui s’approche de Dieu doit croire que Dieu existe, et qu’Il est le rémunérateur de ceux qui Le cherchent de tout leur coeur.»

19        Oh! Ouvrez cette porte de la foi et laissez le Roi de gloire y entrer, alors vous serez en mesure de voir de grandes choses et de croire de tout votre coeur que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. La manifestation de Son amour et de Son Esprit, par Lui, se déversera sur vous.

            Je souhaiterais aborder une autre porte juste un instant, et c’est la porte de vos yeux. La Bible dit que nous devrions acheter le collyre auprès du Seigneur.

            Vous savez, je suis quelqu’un du Sud, et je... Là, dans la contrée où nous vivons, là au fond, dans la région montagneuse du Kentucky, les enfants avaient mal aux yeux. Et mon grand-père était chasseur. Il chassait les ratons laveurs. Et il prenait ces ratons laveurs et en extrayait de la graisse. Et quand certains enfants avaient mal aux yeux... En général, c’est pendant qu’on dort qu’on attrape le mal des yeux.

20        C’est alors que les chrétiens aussi attrapent le mal des yeux, quand ils s’endorment dans les choses du monde, ils ont mal aux yeux. Vous regardez trop la télévision, peut-être. De toute façon, cela fera mal aux yeux.

            Et nous prenions cette graisse de raton laveur, et nous frottions, massions les yeux avec cela jusqu’à ce qu’ils s’ouvrent.

            Oh! Mais, dans le spirituel, Dieu a l’Huile sainte, le Saint-Esprit, et Il masse le coeur avec la puissance de Sa résurrection jusqu’à ce que les yeux spirituels s’ouvrent et voient la gloire du Seigneur. Oh! combien nous avons besoin d’un massage des yeux, afin que les yeux de notre entendement puissent s’ouvrir!

21        Puis, autre chose, quand vos yeux s’ouvrent, vous voyez. Vous pouvez entendre. Mais que vos yeux s’ouvrent, vous voyez. Et alors, quand nos yeux sont ouverts, nous pouvons voir la bonté du Seigneur. Bien souvent, Dieu a marché avec vous. Il vous a préservé d’un accident. Il vous a fait sortir de l’hôpital, et vous continuez comme si vous étiez un cochon sous un pommier. C’est une expression du Sud.

            Vous savez, un vieux cochon peut être sous un pommier. Et les pommes vont lui tomber sur la tête toute la journée. Et il va simplement s’en emparer et les manger sans jamais lever les yeux là d’où elles viennent.

            C’est pareil avec beaucoup de chrétiens. Les bénédictions du Seigneur tombent tout autour d’eux, et ils ne s’agenouillent jamais pour reconnaître que cela vient de Dieu. Que c’est pitié!

22        Nos yeux ont besoin de s’ouvrir. Et une autre raison pour laquelle nos yeux doivent être ouverts, c’est que quand nous entrons dans la maison du Seigneur et que nous voyons Son Esprit commencer à se mouvoir et à accomplir des choses juste comme Il a dit que ça se ferait, nous restons assis, les yeux fermés. Eh bien, je sais que c’est vrai. Ils restent assis, les yeux fermés, et ils disent: «Eh bien, je ne sais pas. C’est peut-être de la télépathie mentale. Et c’est peut-être un diseur de bonne aventure.» Mais si vos yeux étaient ouverts, Jésus entrerait et dirait: «C’est Moi, dans Ma Parole.» Mais il vous faut avoir les yeux ouverts et, alors, vous verrez Sa bonté et vous pourrez apprécier tout ce qu’Il fait pour vous.

            Il y a quelque temps, là loin, dans les contrées du Sud, il y avait un ministre de l’Evangile. Et il avait un homme qui travaillait pour lui, un homme de couleur. Et son nom... on l’appelait Gabe. Son vrai nom était Gabriel. Mais on l’appelait Gabe, comme diminutif. Et Gabe était un bon vieil homme, mais il n’arrivait simplement pas à se mettre en ordre avec le Seigneur. Peu importe ce qu’on faisait, il restait bien hors de la ligne. Il aimait jouer aux dés et aux cartes, prendre un peu de whisky, et il n’arrivait simplement pas à rester sur la ligne. Et Gabe aimait vraiment chasser, mais il n’arrivait à rien toucher.

23        Et le pasteur de cette église-là aimait aussi chasser. Alors, un jour, ils étaient à la chasse, ils ont tiré tellement de gibiers qu’ils avaient des lapins, des oiseaux suspendus tout autour d’eux, et c’était tard le soir. Et ils remontaient un petit sentier familier. Personne n’avait rien dit pendant quelques minutes. Et le vieux Gabe, surchargé de gibier, marchait à petits pas chancelants le long du sentier. Et un instant après, il a tapoté le ministre sur l’épaule. Ce dernier s’est retourné et, à sa surprise, les larmes coulaient sur les joues du vieux Gabe. Et il a dit: «Pasteur, savez-vous ce que je vais faire?»

            Il a dit: «Non, Gabe, qu’allez-vous faire?»

            Il a dit: «Je viendrai droit dans votre église le dimanche matin. Je vais me trouver une position, une place, juste là, au banc des pénitents. Et je vais entrer et communier dans l’église. Je vais rester fidèle à Dieu jusqu’à ma mort.»

24        Et le pasteur, plutôt bouleversé par cette décision rapide de Gabe, après des années passées à essayer de persuader le vieil homme à devenir chrétien, il a dit: «Gabe, tu ne sais pas combien j’apprécie cela. Combien je suis heureux de t’entendre prononcer ces paroles au sujet de notre Seigneur, et pour votre décision. Mais il y a une chose qui me préoccupe, Gabe. Après toutes mes prédications, je vous ai ramassé dans la rue et je vous ai amené chez vous, auprès de votre femme, alors que vous étiez ivre, pour éviter que vous soyez arrêté, et tout ce que j’ai fait; et pourtant, je n’ai pas pu vous amener à adhérer à l’église et à être sauvé. Qu’est-ce qui est à la base de ce changement brusque, Gabe?»

            Il a dit: «Patron, vous savez que je suis un piètre tireur. Je n’arrive pas à atteindre un lapin.» Et il a dit: «Regardez ça, les lapins et les gibiers qu’Il m’a donnés. Certainement qu’Il doit m’aimer, sinon Il ne me les aurait pas donnés.»

            Oh! C’est simple. Mais si seulement vous saviez que les bénédictions que vous possédez proviennent de la main de Dieu: les habits que vous portez, la nourriture que vous mangez!

            Si vous faites une fois l’oeuvre missionnaire dans ces champs de travail et que vous voyiez ces petits bébés avec leurs petits ventres tout bedonnants, couchés dans la rue, mourant de faim (Vous jetez dans la poubelle assez de nourriture qui pouvait les nourrir), vous vous agenouilleriez et diriez: «Ô Dieu, j’ai été si cruel», vous rendant compte de la bonté de Dieu.

            Combien de gens sont en enfer ce soir, ceux qui étaient assis sur ces sièges où vous êtes assis, donneraient n’importe quoi s’ils pouvaient reprendre leurs sièges ce soir et avoir l’opportunité de venir?

25        La bonté de Dieu, nous la considérons simplement comme acquise. Il est si bon en venant vers nous en ces derniers jours où les dénominations et les grands mouvements sont contre Dieu, et toutes sortes de dispositifs mécaniques, et tout pour le loisir, pour que ça prenne la place de l’église. Toutes sortes de divertissements, et pourtant, ils tournent le dos à Christ. Et cependant, Il vient vers nous dans Sa bonté pour se révéler à nous comme étant Le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’est au-delà de tout. Comme ces bien-aimés ont chanté il y a quelques instants, ça va au-delà de la plus haute étoile et ça atteint le plus bas enfer, connaître Sa bonté. Il frappe, cherchant à entrer. Pensez-y juste un instant alors que nous inclinons la tête pour la prière.

26        Etes-vous coupables d’avoir mangé une bonne nourriture, d’avoir joui d’une bonne vue, d’avoir porté de bons vêtements, d’avoir conduit une belle voiture, de vivre dans un grand pays, de fréquenter une–une bonne école, et toutes ces bénédictions dont nous nous réjouissons, sans jamais lever les yeux pour voir d’où elles viennent? En êtes-vous coupables?

            Ne voulez-vous pas, ce soir, pendant qu’Il frappe à votre porte, lever juste la main droite pour dire: «Seigneur, j’ouvre maintenant la porte? Entre, ô Roi de gloire, sauve-moi et ouvre les portes de mon coeur. J’ouvre la porte de ma foi, la porte de mon orgueil, la porte de mon indifférence, la porte de mon égoïsme. Toutes les portes de mon coeur, je Te les ouvre largement, ô Seigneur Jésus, Toi qui es présent maintenant.» Voulez-vous le faire juste en levant la main pendant que tout le monde prie? Que Dieu vous bénisse, partout dans l’église. Il y a beaucoup de mains. Je ne peux pas les compter toutes. Mais Dieu voit chacune.

27        Et là-haut au balcon? Vous savez quoi, selon la situation géographique, vous êtes un peu plus près du Ciel que ceux qui sont ici en bas. C’est vrai. Levez les mains pour dire: «Ô Dieu, je veux reconnaître ce soir que c’est Jésus, le Fils de Dieu, qui me donne tout ce que je mange, tous mes vêtements, et mon... Pour tout ce qu’Il me donne, Seigneur, je Te remercie. Et je veux ouvrir mon coeur, la porte de ma foi; je veux que Tu entres et que Tu prennes possession. Et je veux que Tu m’ouvres les yeux. Ô Seigneur, je me suis assis dans les réunions. J’ai entendu frère Branham et beaucoup de prédicateurs dire que Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et je me suis efforcé de croire cela. Et j’ai vraiment vu Ta puissance venir et dévoiler les secrets du coeur. Je T’ai vu parler par Ton serviteur à des gens totalement inconnus, et il savait qui ils étaient, les péchés qu’ils avaient commis, la maladie qui était dans leur corps. Et je T’ai vu les guérir de toute cécité, de la maladie, de la folie, et les libérer. Et d’une façon ou d’une autre, j’ai gardé la petite porte de ma propre foi fermée. Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi ce soir.» Et dites: «Et ouvre la porte de ma foi.»Y aurait-il des gens qui aimeraient lever la main vers Dieu? «Ouvre ma porte, Seigneur.» Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Que Dieu vous bénisse. «Ouvre la porte de ma foi, Seigneur. Je Te l’ouvre. Entre. Sois le Seigneur. Sois le Conducteur. Prends-moi tel que je suis. Je ne suis pas bon.»

            Vous feriez tout aussi mieux de confesser cela. «Qu’est-ce que l’homme, pour que Tu Te souviennes de lui?» Je n’ai pas l’intention d’être discourtois. Je vous aime. Et Dieu vous aime. Mais sans Dieu, vous n’êtes pas de toute façon bon. Vous êtes juste six pieds [1,82 m] de poussière, là où vous allez, et c’est ça, avec une âme vers l’enfer. Mais si vous êtes né de nouveau, vous êtes un enfant de Dieu. Ouvrez votre porte et laissez-Le être le Seigneur de votre être.

28        Regardez-Le, ce qu’Il fait, pendant que vous Lui parlez maintenant. Regardez Pierre quand il est venu. Jésus a su qui il était. Il a dit: «Tu es Simon. Et après ça, tu seras appelé Pierre. Et le nom de ton père, c’est Jonas.» Il a dit à Philippe là où Nathanaël l’avait trouvé, ou plutôt à Nathanaël là où Philippe l’avait trouvé. Et Il a aussi su le secret du coeur de la femme samaritaine. Celle qui avait touché Son vêtement, Il s’est retourné et Il a regardé. Il a connu les pensées des gens qui disaient qu’Il était Béelzébul. Il est toujours le même ce soir. Il a dit: «Vous ferez aussi ces oeuvres que Je fais.»

29        [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... et afin que Tu entres dans leur coeur comme Seigneur et Sauveur. Bénis ceux qui ont levé la main, ceux qui T’ont déjà accepté, mais qui n’avaient pas totalement ouvert chaque porte de leur coeur. Accorde, Seigneur, que chaque porte soit ouverte maintenant afin que le Fils de gloire entre. Et oins leurs yeux afin qu’ils voient Sa gloire et Sa Présence. Reçois-en Toi-même la gloire, Seigneur. Car moi, en tant que Ton Serviteur, je Te les présente comme les trophées du Message, au Nom du Seigneur Jésus. Amen.

             [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... tous ceux qui croyaient étaient ajoutés à l’église. Ils avaient cru et accepté Christ. Mais j’aime vraiment voir l’autel et les gens, là, se repentant. Peu importe à quel point vous avez pleuré, vous avez supplié, si votre foi ne regarde pas là et ne L’accepte pas comme votre Sauveur personnel, cela ne vous fera aucun bien de prier ou de pleurer.

            Pierre a dit: «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants (et pour ceux qui sont à Chicago), en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» Et si vous avez levé la main, c’est qu’Il appelle toujours. Croyez en Lui maintenant.

30        Je me demande, avant que nous commencions la réunion, si je pourrais dire ceci: Allez dans une bonne église maintenant, et faites-vous baptiser, invoquant le Nom du Seigneur, et Il vous accordera le baptême du Saint-Esprit. Eh bien, faites cela pour moi, le voulez-vous? Peu importe de quelle église vous êtes membre, aussitôt que vous recevez le Saint-Esprit, l’affaire est classée. Vous êtes un fils, une fille de Dieu.

            J’ai oublié quelque chose que le Seigneur m’a rappelé. On m’a dit qu’on avait prélevé une offrande d’amour pour moi il y a quelques instants. Ce n’était pas nécessaire... Je n’ai jamais prélevé une offrande de ma vie. D’habitude, les frères viennent et me donnent de quoi vivre. Merci pour cela.

            Je n’avais pas l’intention d’être discourtois. Je suis désolé. Pardonnez-moi d’avoir oublié de dire cette chose capitale que vous avez faite. J’apprécie ça. Que le Seigneur vous bénisse. Cela sera affecté, au mieux de ma connaissance, au Royaume du Seigneur. C’est l’unique moyen de subsistance pour moi et ma famille, c’est par ce que vous me donnez, dans ce but. Tout le surplus est directement affecté aux missions. Quand je répondrai donc en ce jour-là, je voudrais qu’Il dise ceci: «C’est bien, Mon bon et fidèle serviteur.» Ce sont les paroles que je désire ardemment entendre: «C’est bien.»

31        Eh bien, y a-t-il ici des gens qui n’ont jamais été à l’une de nos réunions auparavant? Voudriez-vous juste lever la main, que c’est votre première fois? Oh! c’est très bien. Que le Seigneur vous bénisse richement. Environ deux cents ou trois cents personnes, je pense, qui n’ont jamais assisté aux réunions.

            Maintenant, j’aimerais prendre juste ce laps de temps, c’est encore tôt, pour vous expliquer ce que je pense de la guérison divine. Eh bien, vous savez, avec ce genre de ministère, vous attrapez toutes sortes de noms. Et certains d’entre eux ne sont vraiment pas agréables. Mais, de toute façon, cela ne change rien pour Dieu.

            Il était Béelzébul pour les gens de ce jour-là, qui ne croyaient pas en Lui. «Et s’ils ont taxé le Maître de la maison de Béelzébul, de quels noms taxeront-ils ceux de la maison?»

            Mais malgré tout, l’Evangile va directement de l’avant. Et il n’y a aucun moyen d’arrêter Cela. C’est juste comme une maison en feu lors d’un vent fort. Cela ira de l’avant. Personne ne va arrêter l’Evangile. Il s’enracinera dans les coeurs, peu importe combien ils persécutent amèrement. Quelqu’un... de ces pierres Dieu est capable de susciter des enfants à Abraham.

32        Et maintenant, en ce jour, je sais que c’est une–une très bonne chose de faire attention à ce que vous entendez. En effet, quant à moi, je crois que Dieu peut faire beaucoup de choses qu’Il n’a pas écrites dans Sa Parole. Je sais qu’Il est Dieu. Il fait tout ce qu’Il veut. Mais, quant à moi, j’aimerais que cela vienne de la Parole, alors je suis convaincu.

            Dans l’Ancien Testament, ils avaient un moyen de vérifier si un prophète était véridique ou pas. C’était l’Urim et le Thummim. Et vous les lecteurs de la Bible, vous savez ce que c’était. C’était une Lumière surnaturelle qui se formait sur le pectoral d’Aaron, reflétant diverses couleurs. Et si celui qui avait fait un songe ou un prophète parlait, peu importe combien cela semblait vrai, si l’Urim et le Thummim ne reflétaient pas cette Lumière surnaturelle, ce n’était pas vrai.

            Et avec ce sacerdoce-là, l’Urim et le Thummim ont été ôtés. Mais avec ce sacerdoce-ci du Seigneur, nous avons un autre Urim et Thummim. C’est Sa Parole. Si cela n’a pas de reflet sur la Parole, je serai un peu sceptique là-dessus.

33        «Car celui qui retranchera, ou ajoutera à Ce qui est écrit dans ce Livre...» Vous connaissez la menace de l’Ange dans Apocalypse. Je ne veux pas plus que ce qui est là Dedans, et je ne veux rien de moins que ce qu’il y a là Dedans. Je veux juste ce qu’Il a promis.

            Et je ne suis pas venu vers vous pour vous séduire. Je suis venu comme votre frère. Et, assurément, après toutes ces années que j’ai passées ici, Dieu vous a permis de voir d’une façon ou d’une autre que je–je vous aime et que je suis votre frère.

            Et moi-même, je crois ce soir que si l’Enlèvement avait lieu et que les gens y allaient suivant leur mérite, je serais peut-être le dernier à y aller. Je ne dis pas cela pour faire l’humble. Je dis cela parce que je suis né hors saison pour vous gens de ce glorieux Message.

            Il y a des hommes et des femmes assis ici qui sont grisonnants et qui prêchaient l’Evangile avant ma naissance. Certainement, ils sont dignes. Ils étaient là-bas. Vous avez simplement préparé le terrain pour ceci. Et vous l’avez impatiemment attendu. Et la chose est là, croyons donc cela.

34        Eh bien, quand le Seigneur Jésus était ici... Je vais aborder le thème de ma campagne à l’intention de nouveaux venus, et que vous tous qui avez assisté aux réunions auparavant, veuillez me supporter une minute.

            La guérison divine n’est pas quelque chose qu’un homme peut faire pour vous. C’est quelque chose que Quelqu’Un a déjà fait pour vous. Jésus-Christ est mort pour vous au Calvaire. «Et Il était blessé pour vos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que vous avez été guéris.» C’est la Parole. Alors, tout ce qu’Il peut faire, c’est se manifester d’une certaine façon par la prédication de la Parole. Eh bien, avez-vous constaté que frère Osborn est un prédicateur? Il a pu présenter la Parole là de telle façon que les gens L’ont acceptée. Je ne suis pas capable de le faire. Mais le Seigneur m’a donné un autre moyen de L’apporter.

            C’est juste comme l’oeil ou la bouche. Vous ne vous serviriez pas tellement de votre oeil si vous n’aviez pas la bouche. Que vous prêchiez ou que vous voyiez, tous deux sont des dons importants pour le corps, si le corps se maintient.

35        Eh bien, quand Jésus s’est manifesté aux Juifs... Eh bien, je vous demande à quel moment dans la Bible... Jésus se manifeste aux Juifs. Si ce n’est pas là la façon dont Il s’y était pris!

            Nathanaël, ou plutôt Philippe a été converti par le Seigneur Jésus. Il L’avait vu accomplir de grands signes et des miracles. Il est allé trouver un ami à plusieurs kilomètres, c’est ce qui nous est rapporté, de l’autre côté de la montagne. Son nom était Nathanaël. C’était un membre d’église vraiment bon et un homme honnête. Et Nathanaël était sous un arbre, en train de prier, quand Philippe est venu. Et il a dit: «Viens, et vois Qui nous avons trouvé: Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»

            Il a dit: «Eh bien, peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon, de cette bande là-bas?» C’est pire que les saints qui se roulent par terre sous l’effet de l’Esprit, je suppose. «Peut-il venir de là quelque chose de bon?»

36        Et je pense qu’il lui a donné la meilleure réponse qu’un homme puisse donner. Il a dit: «Viens, et vois toi-même.» Et en route, il s’est mis à lui raconter les oeuvres que Jésus accomplissait, comme je vous le raconte maintenant. Il le préparait en vue de ce qui pouvait arriver. Eh bien, je peux entendre Philippe dire: «Nathanaël, tu sais quoi? Quand Pierre est allé vers Lui, Il ne l’avait jamais vu. Et Il lui a dit quel était son nom, et qui était son papa, où il habitait. Eh bien, il a même connu leurs pensées. Les gens pensaient en mal de Lui, ils disaient qu’Il était un–un mauvais esprit, quand Il accomplissait les oeuvres. Et en revanche, Il a dit: ‘Vous dites cela contre le Fils de l’homme, cela vous sera pardonné. Mais quand le Saint-Esprit sera venu faire ceci, un seul mot contre Lui ne vous sera jamais pardonné.’» C’est aujourd’hui. Jésus l’a dit.

37        Eh bien, quand Nathanaël et son ami, Philippe, sont entrés dans l’auditoire, volontiers, là où il y avait de grandes foules, Jésus prêchait ou tenait un service pour eux, Jésus a fixé le regard sur... Voici venir un de Ses disciples avec un inconnu. Jésus l’a regardé, et Il était revêtu de la puissance de l’Esprit. Et il y avait un Juif honnête. Et Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.» Eh bien, Il ne l’aurait jamais reconnu par son habillement, car tous les hommes s’habillaient de la même manière.

            Cela a frappé ce petit Juif. Et il a dit: «Rabbi, quand m’as-Tu connu?» En d’autres termes: «Tu ne m’as jamais vu, et je ne T’ai jamais vu.» Mais Jésus se manifestait. Il a dit: «Tu ne m’as jamais vu. Je ne T’ai jamais vu, comment as-Tu su que j’étais un homme juste et honnête?»

            Eh bien, Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

38        [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... désire avoir ces bandes, du service de ce soir, écrivez simplement à Léo Mercier, Jeffersonville, Indiana. Comment épelez-vous votre nom, Léo, votre nom de famille? M-e-r-c-i-e-r. Le prix des bandes, c’est pratiquement leur coût. Trois dollars et quelques, je pense: trois dollars même. C’est Léo Mercier, Jeffersonville, Indiana. Il est... ainsi que Gene Goad ici, ce sont les jeunes gens qui s’occupent des bandes, des jeunes gens officiellement chargés de la campagne. Et ils ont occupé cette position afin de pouvoir aller çà et là dans des réunions.

            Ce sont mes frères et mes amis dans l’Evangile. Monsieur Goad ici vient juste de votre ville, ou d’une ville proche de celle-ci. Monsieur Mercier est un ancien catholique, il vient de quelque part ici dans le Michigan, je pense. Ils avaient formé leur petite équipe de FBI et étaient venus découvrir si ce don était vrai ou pas. Ils ont découvert cela, comme le Seigneur le fait toujours. Et maintenant, ils sont avec moi depuis un temps. C’est depuis combien de temps vous êtes là, Frère Mercier? Quatre ans. Je les ai trouvés des jeunes gens très honnêtes, corrects à point nommé. Ainsi donc, écrivez-leur simplement pour les–pour les bandes, si vous en voulez pour votre enregistreur. Très bien. 1, 2, 3, 4. Qui a la carte de prière numéro 5? C’était quel numéro encore? D, D numéro 5. Que celui qui l’a lève la main. Madame. Numéro 6, qui a D numéro 6? Ce gentleman. Numéro 7? Rapidement donc, si nous pouvons voir votre main afin que... 7, 8? [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Je n’ai jamais vu cette femme de ma vie, à ce que je sache. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas, madame? Nous le sommes. Juste afin que l’auditoire là le sache alors que nous nous tenons ici, levez simplement la main, peut-être qu’ils ne vous voient pas bouger la tête, que nous–nous ne nous sommes jamais vus auparavant. Et nous nous tenons ici, un homme et une femme. Merci, madame.

39        Maintenant, je vais lui parler juste un instant comme notre Adorable Seigneur l’a fait avec la femme au–au puits, à Samarie. Et maintenant, si le Seigneur Jésus veut se manifester aux gens des nations, Il accomplira donc le même acte qu’Il avait accompli jadis. Est-ce vrai? S’Il est le même, Il doit être le même en essence, le même en Parole, le même en action. L’unique aspect sous lequel Il n’est pas le même, c’est Son corps physique. En effet, Il est dans votre corps. «Je suis le Cep, a-t-Il dit, vous êtes les sarments.» Il est redevenu la Lumière, d’où Il était venu. La Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël, c’est ce qu’Il est redevenu. Combien croient cela? Eh bien, Il l’a dit.

            L’a-t-Il prouvé? Quand Paul L’a rencontré sur le chemin de... là-bas, Il était une Lumière. Et quand Pierre était en prison, Il était une Lumière. Il est la Lumière éternelle.

40        Eh bien, si notre soeur que voici, celle qui se tient ici... Je n’ai aucune idée de ce pour quoi vous êtes ici. Je ne vous ai jamais vue. Je–je ne sais rien sur vous. Mais maintenant, ça dépendra de son approche. Combien parmi vous dans la ligne de prière et vous là-bas dans l’assistance savent que c’est votre approche vers le don qui compte? Combien savent cela? Si vous vous en approchez avec révérence, vous obtiendrez ce que vous demandez. Sinon, rien.

            [Quelqu’un dit: «Nous apprécierons que vous ne preniez pas de photos pendant que le Révérend Branham prie pour les malades. S’il vous plaît.–N.D.E.] Oui. Je vous remercie.

41        L’Ange du Seigneur est une Lumière. Combien ont déjà vu Sa photo? Faites voir les mains. Certainement. Il est ici. Voyez, on En a là derrière. Cela se trouve à Washington, D.C.; l’unique Etre surnaturel qui ait jamais été prouvé par, que cela... Et, voyez, et alors, quand la Lumière de l’Ange descend, c’est juste une grande Lumière, une Lumière un peu jaune verdâtre. Et j’observe cette Lumière. Et Elle peut se déplacer et aller dans l’auditoire. Je dois surveiller Cela, parce que la vision va avec la Lumière. Et alors, quand vous prenez une photo avec un appareil photo, quelquefois cela me dérange. Ainsi donc, j’apprécie cela.

            Si vous voulez prendre une photo maintenant même, le frère qui en prenait ou je ne sais qui c’était, libre à vous maintenant même. Mais dès que C’est... Quand nous commençons le discernement (Vous voyez?) pour voir si le Seigneur fera cela...

42        Maintenant, si le Seigneur accomplit ici le même acte qu’Il avait accompli devant la femme au puits, combien, dirai-je, croiront solennellement en Lui de tout leur coeur?

            Maintenant, Père, Tu vois ça. Maintenant, que Ton Esprit vienne donc manifester le Message, et confirmer cela. Accorde-le, Père, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

            Si l’Adorable Seigneur me révèle maintenant ce pour quoi vous êtes ici, ou quelque chose du genre de ce qu’Il avait fait dans la Bible, comme ce qu’Il avait fait devant Philippe ou comme ce qu’Il avait fait aux autres, la femme au puits, ou l’une de Ses oeuvres...

            Or, vous savez donc que si nous ne nous connaissons pas, il faudra qu’il y ait une puissance surnaturelle qui fasse ça. Mais alors, ça dépendra de ce que vous pensez que cela est. Si vous pensez que c’est un mauvais esprit, alors vous recevrez une récompense d’un mauvais esprit. Si vous pensez que c’est l’Esprit de Dieu, alors vous aurez la récompense de Dieu. C’est vrai. Maintenant, puisse-t-Il accorder cela, c’est ma sincère prière.

43        Maintenant, nous parlons de l’approche d’un don. Cette petite femme qui avait touché Son vêtement, elle croyait qu’Il était le Fils de Dieu. Elle a bien reçu ce qu’elle demandait. Mais le soldat romain qui avait placé un–un lambeau sur Ses yeux et L’avait frappé sur la tête et avait dit: «Eh bien, si Tu es Prophète, dis-nous qui T’a frappé», il n’a jamais reçu autre chose qu’un voyage dans les régions des perdus pour ne plus jamais revenir. C’est l’approche qui compte.

44        Eh bien, si le Seigneur Jésus va... Si je disais: «Femme, vous êtes malade, et Dieu vous guérira», eh bien, vous–vous pourrez douter de cela. Il vous faudra me croire sur parole. Mais si l’Ange du Seigneur remonte dans votre vie passée et–et révèle quelque chose que vous avez fait dans votre vie, comme Il avait fait pour la femme au puits ou quelque chose comme cela, alors, vous saurez si c’est la vérité ou pas. Vous reconnaîtrez cela. Alors, vous... S’Il est ici même, Il est juste partout. Alors, vous croirez. S’Il a su ce qui est arrivé, certainement qu’Il saura ce qui arrivera.

            Eh bien, je ne sais pas si l’auditoire entend ou non ma voix maintenant. Mais entre moi et la femme, il y a la Lumière Eternelle de Dieu. La femme est consciente que quelque chose se passe. Elle souffre. Elle a quelque chose qui cloche. Elle continue à tenir sa tête. Elle a des maux de tête. Et elle a quelque chose qui cloche dans son sang, c’est le diabète. C’est vrai. Croyez-vous? Eh bien, observez, plus on lui parlera, plus il en sera dit.

            Etant donné que c’est la dernière soirée, parlons un instant à la femme, juste un instant, afin que, s’il y a quelqu’un qui pense que cela a peut-être été juste deviné, non, avec nos mains levées vers Dieu, ça n’a pas été deviné. C’était ma voix, mais ce n’était pas moi qui parlais. Eh bien, ce qu’Il vous a dit, je ne le sais pas. Je le saurai en jouant la bande. Eh bien, quoi que ce fût, c’était la vérité.

45        Et je vois que c’était quelque chose qui est... Oui, c’est le sucre dans le sang: le diabète. Et cela cause des vertiges, des maux de tête et tout. Et puis, je vois quelqu’un apparaître, c’est un–un garçon. C’est votre fils. Et vous priez pour lui. Il est rétrograde, il s’éloigne de Dieu. Ensuite, il y a quelqu’un d’autre, c’est une femme avancée en âge qui est avec vous maintenant, ici. C’est votre mère. Si, par le Saint-Esprit, je peux vous dire ce que votre mère veut, pensez-vous qu’elle acceptera cela? C’est sa jambe. C’est vrai. C’est la vérité. Vous n’êtes pas de cette ville. Vous venez d’une ville comme Rochelle, dans l’Illinois. Madame Fred Granear, c’est votre nom. Rentrez chez vous; recevez ce que vous avez demandé. C’est votre foi qui l’a fait. Que Dieu vous bénisse.

            «Si tu peux croire, tout est possible.» Maintenant, ne vous déplacez pas. Voyez, chacun de vous est un esprit. Et quand vous vous déplacez... Votre esprit est soumis au Saint-Esprit maintenant et, en vous déplaçant, ça fait quelque chose.

46        Rappelez-vous que Jésus a fait sortir tout le monde de la maison pendant qu’Il ressuscitait la petite fille ... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Vous savez, un ennemi vous effrayerait, vous ferait fuir et tout. Mais C’est doux. On dirait que vous voulez simplement adorer Cela. Entre vous et moi, il y a cette Lumière, qui éclaire les hommes; Elle vient dans le monde. Et si le Seigneur Jésus, selon Sa volonté bénie, me permet de savoir ce pour quoi vous êtes ici, croirez-vous de tout votre coeur?

            Vous avez quelque chose qui cloche à la gorge: une maladie. Et vous avez quelque chose qui cloche à la poitrine. C’est vrai. Croyez-vous que le même Dieu qui parlait aux disciples et qui les connaissait, vit toujours aujourd’hui? Vous habitez sur une rue appelée Adam Street. Votre numéro, c’est le 3239, West Adam Street. Vous vous appelez Myrtle Bradford. Rentrez chez vous; Jésus vous a... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

47        Là, dans l’auditoire, avec la main sur votre petit garçon... Oui, vous. Oui, monsieur. Vous étiez en prière en ce moment. Et quelque chose se meut sur vous. Vous le savez, car vous avez touché quelque chose. Vous ne m’avez point touché. Vous L’avez touché, Lui. Et vous priiez avec la main sur votre enfant, car ce petit enfant souffre de nerfs, cela le dérange beaucoup à l’école. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Eh bien, pendant que l’Esprit est sur vous, imposez-lui la main.

            Ô Seigneur Dieu, je réprimande le démon qui dérange cet enfant. Qu’il le quitte au Nom de Jésus. Amen. Vous recevrez ce que vous avez demandé. Ne vous lassez pas. L’homme est à trente yards [27 m] de moi. Qu’a-t-il touché? Dieu dit dans Sa Parole qu’Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Croyez en Lui.

48        Croyez-vous, madame? Merci. Si le Saint-Esprit me fait savoir ce que vous voulez, juste comme Il l’a fait à cet homme là-bas... Vous avez une carte de prière. Vous voici à l’estrade. Cet homme est assis juste là dans l’auditoire. Croirez-vous?

            Vous n’êtes pas ici pour vous-même. Vous souffrez d’une maladie gynécologique, mais qui ne vous dérange pas tellement. Mais vous–vous êtes ici pour votre mari. Et il n’est pas ici, il n’est ni dans cette ville ni dans cet Etat. Il est dans un Etat où il y a beaucoup de lacs: Wisconsin. Il souffre d’une sclérose en plaques. Et il n’est pas sauvé. Et vous vous préoccupez plus de son âme que de sa guérison. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Maintenant, le mouchoir avec lequel vous allez essuyer ces larmes, posez-le sur lui et ne doutez pas. Vous pouvez avoir ce que vous demandez. Amen. Que le Seigneur vous bénisse, madame.

            Bonsoir. Je suppose que c’est notre première rencontre. C’est vrai.

49        Croyez-vous que Dieu guérit l’épilepsie, monsieur, assis au dernier siège, là derrière? Vous croyez qu’Il vous rétablira. Si vous croyez de tout votre coeur et que vous acceptez cela, vous pouvez obtenir votre guérison. Il se fait que vous avez manqué cela.

            Qu’en pensez-vous, vous assis là en train de me regarder, en lunettes, vous qui souffrez de l’asthme? Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Alors, recevez cela. Oui, oui. Amen.

            Je vous demande de faire autre chose. Très bien, madame, vous, très heureuse, assise là, souffrant du coeur, Il vous a aussi guérie. Très bien. Amen.

            Croyez simplement au Seigneur Jésus. Il est le plus beau d’entre dix mille, la Rose de Saron, le Lys de la vallée, l’Etoile du matin.

50        Je n’ai pas l’intention de vous garder là, madame. Je dois simplement Le suivre tel qu’Il se déplace. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre? Si le Saint-Esprit, par la résurrection du Seigneur, me révèle ce pour quoi vous priez, pendant que vous êtes debout là, les yeux fermés, allez-vous croire de tout votre coeur? Ce n’est pas visible, mais vous avez un goitre interne. Et vous êtes extrêmement nerveuse, vous priez pour ça. Ne vous en faites pas. Ça quitte. Vous n’êtes pas de cette ville, ni de cet Etat, ni de cette nation. Vous êtes une Canadienne. Vous êtes de l’Ontario, une grande contrée pour les cèdres, il n’y en a même pas ici, un arbre à feuilles persistantes.

51        Vous priez aussi pour quelqu’un d’autre là: un membre de famille, une femme. Et elle souffre du cancer, et c’est sur la glande thyroïde. Posez votre mouchoir sur elle et elle sera aussi rétablie, si seulement vous croyez. Dieu Tout-Puissant, accorde les bénédictions qui ont été demandées. Amen. Que Dieu vous bénisse maintenant. Ne doutez pas. Croyez simplement.

            Ne vous déplacez pas, s’il vous plaît. Si seulement vous pouvez attendre quelques minutes de plus, nous allons–nous allons... restez simplement... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Oh! Que le bon Seigneur du Ciel accorde cela! C’était quelque part. Attendez. Nous allons commencer avec cette personne-ci. Eh bien, si seulement vous m’accordez environ cinq, dix minutes.

52        Je pense que je suis inconnu à cette dame. Est-ce vrai, madame? Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Le Seigneur Jésus vous connaît. Croyez-vous qu’Il peut me révéler votre problème? Vous êtes ici pour votre dos. Vous souffrez de dos, cela a été causé par une expérience dans un hôpital, suite à une intervention chirurgicale. C’est vrai. Croyez-vous qu’Il vous rétablira? On vous appelle Ann Roblee. Vous venez d’une banlieue de cette ville. C’est votre fille qui se tient là même. Vous souffrez du cancer de peau. Remettez votre carte et rentrez à votre siège. Votre mari a des vertiges. Dites-lui de croire simplement, et tous trois vous serez guéris, au Nom du Seigneur. Maintenant, partez en croyant; ayez foi. Ne doutez pas.

53        Juste un instant. La petite dame assise ici, la tête inclinée, juste derrière ce gentleman, a une tumeur. Croyez-vous que Dieu vous a guérie pendant que vous priiez? Croyez-vous? Faites signe de la main si vous acceptez cela. Très bien, vous pouvez avoir cela.

            Etant donné qu’Il est si près de vous, la dame à côté de vous là souffre des yeux. Croyez-vous que Dieu vous guérira, la dame de couleur? Oui, madame. Très bien. Croyez-vous cela? Qu’en pensez-vous, vous assis à côté d’elle, souffrant de l’arthrite? Croyez-vous que Dieu vous guérira? Levez la main et acceptez cela. Très bien, vous pouvez donc être guéri.

54        Oh! Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. L’homme à côté de moi ici. Je–je ne vous connais pas, monsieur. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Eh bien, si vous pouvez croire, tout est possible à ceux qui croient. Quelque chose s’est passé. Il s’agissait d’un homme. Le gentleman assis là, regardant dans cette direction-ci, juste là derrière avec quelque chose, en chemise blanche à carreaux, il était... Eh bien, il souffre du coeur. S’il croit de tout son coeur, le Seigneur Jésus le rétablira. Croyez cela.

            Le suivant, c’est une hernie. Croyez-vous que Dieu vous guérira et vous rétablira? Croyez-vous cela? Alors, vous pouvez avoir cela. Très bien, ayez foi. Ne doutez pas.

            L’homme assis à côté de vous souffre de l’estomac, il veut que le Seigneur le guérisse, un petit homme mince aux cheveux ramenés vers l’arrière comme cela, en noeud papillon. Il souffre de l’estomac, monsieur. Croyez-vous que le Seigneur Jésus vous a guéri? Il vous a guéri. Vos péchés sont partis. Soyez simplement reconnaissant.

            Oh! Comment pouvez-vous douter du précieux Agneau de Dieu? Combien croient qu’Il est ressuscité des morts, qu’Il est ici, que le Message est vrai, qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement?

55        Que reste-t-il? Qu’est-ce qui peut être fait? Dissiper le peu d’obscurité de votre visage et de vos yeux, et que ceux-ci soient oints avec le collyre de Dieu. Puis, recevez-Le simplement. Croyez en Lui. Quoi de plus peut-Il faire? Que vous ayez des cartes, que vous n’en ayez pas, cela importe peu. La petite dame assise juste devant moi, au balcon, souffrant d’une maladie gynécologique, assise là, croyez-vous que Dieu vous rétablira? Si vous croyez (Oui, madame), vous pouvez avoir ce que vous avez demandé. Que Dieu vous bénisse. Il vous a guérie.

56        Vous, monsieur, eh bien, croyez de tout votre coeur. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je ne vous ai jamais vu de ma vie. Je vais vous dire maintenant, c’est donc votre première fois de me voir. Vous n’avez jamais été à l’une de mes réunions auparavant. C’est votre première fois. C’est vrai. Et vous êtes ici souffrant de quelque chose à la gorge. Et vous souffrez de l’estomac. C’est vrai. Il y a du gaz dans votre estomac. Vous êtes nerveux. Vous exécutiez un travail dont vous avez honte maintenant. Vous travailliez dans un nightclub. Vous étiez un artiste de cabaret dans un nightclub. C’est vrai. Votre nom, c’est Edge. R.H. Edge, c’est votre nom. Votre femme est ici avec vous. Elle est dans la réunion. Si Dieu me révèle ce qui cloche chez votre femme, allez-vous aussi accepter sa guérison? C’est son pied. C’est vrai. Exact. Vous n’êtes pas de cette ville. Vous êtes d’une ville... Vous êtes au sud d’une grande ville, au sud d’une grande ville, à environ vingt-cinq miles [15,5 km], Springfield, dans l’Illinois. Maintenant, rentrez chez vous, recevez votre guérison et soyez rétabli au Nom du Seigneur Jésus. Que Dieu vous bénisse, monsieur.

            Ayez foi en Dieu. Croyez-vous? Pensez-vous que Dieu guérira cette arthrite? Si vous pouvez croire cela.

57        Qu’en pensez-vous, vous assise là, madame? Venez ici une minute; tenez-vous juste là, une minute. Venez ici, madame. Pensez-vous que Dieu guérira ce diabète et vous rétablira? Croyez-vous cela? Très bien, si vous pouvez croire cela, vous pouvez avoir ce que vous demandez. Très bien.

            Qu’en pensez-vous, madame? Venez ici une minute. Vous semblez en bonne santé, mais vous êtes anémique. Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Vous croyez.

            Combien là dans l’assistance souffrent du diabète? Levez-vous juste une minute. Vous verrez la gloire de Dieu. Combien là dans l’assistance souffrent de l’arthrite? Veuillez vous lever. Combien là dans l’assistance sont anémiques? Levez-vous. Partout, où que vous soyez... Chaque démon devra obéir à Dieu. Certainement, Il le devra. Très bien.

            Madame, ici, venez, celle-ci ici, juste une minute. Je dois vous désigner du milieu de ces femmes. Croyez-vous que Dieu guérira cette tumeur et vous rétablira? Croyez-vous cela? Combien sont sur le point de... à cause d’une tumeur maintenant? Levez-vous.

           

58        Le diable est vaincu. Ça ne demande pas tout un groupe. Il faut simplement la sincérité. Il vous faut simplement croire et avoir la foi.

            Madame, levez-vous. Avancez ici. Vous tous qui souffrez du dos telle que cette dame, levez-vous. Croyez de tout votre coeur.

            Voyez-vous ce que je veux dire? Combien souffrent de nervosité? Levez-vous. C’est partout dans la salle. Certainement, je peux... senti cela. Je sais cela.

59        Le cancer, levez-vous. Croyez-vous? Tout celui qui a quelque chose qui cloche en lui, qu’il se lève.

            Oh! C’est ça. Le jour de la Pentecôte, Pierre a dit: «C’est ici ce qui.» C’est pourquoi vous vous êtes levés. Vous vous tenez maintenant dans la Présence de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Croyez-vous solennellement que Sa Présence est ici? Levez les mains. Priez avec moi. La prière de la foi sauvera les malades, et Dieu les relèvera. Chaque démon est vaincu. Ne voyez-vous pas? Il est exposé. Il doit vous quitter. Il quittera si vous le laissez quitter maintenant même. Christ le chasse de vous.

            Ô Dieu, au Nom de Jésus, je réprimande chaque démon qui retient ces gens.

            Sors d’eux, Satan, afin qu’ils soient rétablis, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Levez les mains maintenant et louez-Le. Et soyez libres, dans le Saint Nom de Jésus-Christ.

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