Jésus-Christ Est Le Même Hier, Aujourd’hui Et Éternellement

Date: 58-0323 | La durée est de: 1 heure et 38 minutes | La traduction: Shp
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1          ...?... à vous ici pour communier avec nos différents dons et nos particularités alors que nous adorons Christ... J’ai confiance en Dieu que ça sera une merveilleuse et puissante réunion, et je crois que ça le sera. Ça peut l’être, Dieu veut qu’il en soit ainsi, si nous sommes disposés à fournir un effort pour qu’il en soit ainsi. Nous devons nous unir. Nous devons non seulement nous unir, mais unir aussi nos coeurs. Et nous devons adorer, prier, inviter nos voisins, amener les malades et les affligés ici, nous parler, tenir des réunions de prière dans des quartiers, et amener ici tout celui que nous pouvons. Ne soyez pas découragés. Nous vivons en une heure terrible, une heure terrible pour les incroyants, mais une heure merveilleuse pour les croyants, car nous sommes près du temps de la fin, où nous attendons la Venue de l’Adorable Seigneur. C’est pourquoi nous sommes ici, rachetant le temps, sachant qu’il ne nous en reste pas beaucoup.

2          Eh bien, ce soir, généralement, nous... Ceci est plutôt une soirée pour nous familiariser. Nous nous rencontrons, nous nous serrons la main, ou autre, généralement, et on sort. Nous disons: «Eh bien, nous allons...» Je ne vous avais jamais vus et, peut-être, vous ne m’avez jamais vu, beaucoup ici. Et c’est notre première rencontre, pour juste un peu nous familiariser. Nous avons donc une petite routine régulière que nous exécutons généralement la première soirée, pour un peu introduire la série de–de réunions. C’est ce que cela veut dire. Et la façon dont nous nous conduisons,... nos réunions. Et ainsi donc, vous saurez; vous aurez une idée de–de ce que sont nos particularités.

3          Eh bien, la première chose, nous ne sommes pas ici pour représenter une quelconque dénomination. Nous sommes ici pour représenter une cause; et cette cause, c’est Christ. Nous sommes ici pour sa gloire. Nous ne connaissons pas de barrières dénominationnelles. Nous n’en voulons aucune. Nous voulons représenter chaque église qui prend position pour le Seigneur Jésus. Nous aimons tout le monde.

            Et personnellement, j’étais... j’étais membre de l’Eglise missionnaire baptiste. Docteur Vayle ici, mon associé, est pasteur de la Première église baptiste d’ici dans l’Ohio, à Spencerville. Mais nous ne sommes pas baptistes, ni l’un ni l’autre. Nous sommes des baptistes pentecôtistes. Nous sommes des nazaréens, des pèlerins de la sainteté. Ce que votre église représente, tout ce qu’elle représente en Christ, c’est ce que nous représentons auprès de vous: des frères. Et nous sommes ici pour vous aider à rendre ceci, comme frère E. Howard Cadle le disait: «Une communauté dans laquelle il est plus facile de faire le bien, et plus difficile de faire le mal.» C’est pourquoi nous sommes ici.

            Il a été dit que la guérison divine, ou un guérisseur divin... Je ne suis pas un guérisseur divin. Je ne crois pas que cela existe. Je crois que le Guérisseur divin, c’est Dieu. Je crois que nous sommes les sujets de Son Royaume. Notre foi réunie fait descendre Ses bénédictions pour lesquelles Jésus-Christ, Son Fils, était mort, afin que nous puissions les avoir.

4          Je ne crois pas qu’il y ait sur terre un homme qui ait la puissance de guérir un autre. Je ne crois pas qu’il existe sur terre un médicament qui ait la vertu de guérir quelqu’un. Je ne crois pas qu’il y ait un médecin sincère qui pourrait jamais vous dire que son médicament vous guérirait. S’il le dit, il est certainement en erreur. Il n’y a qu’une seule guérison, c’est Dieu.

            Notre fondement, c’est la Bible. Nous croyons que la Bible est la Parole infaillible du Dieu vivant. Nous croyons que tout ce qui est fait doit provenir de la Bible. Chaque enseignement doit être fondé sur la Bible.

            Eh bien, dans l’Ancien Testament, ils avaient un moyen de savoir si un prophète ou quelqu’un qui avait un songe disait la vérité; c’était... Ils avaient l’Urim et le Thummim. Beaucoup parmi vous les ministres et vous les enseignants de l’école du dimanche le savent. Quand quelqu’un avait un songe, ou qu’un prophète prophétisait, on l’amenait au temple, et il y avait le pectoral qu’Aaron portait sur sa poitrine. Et là, il y avait des pierres de naissance de chaque chef de tribu de douze tribus d’Israël.

5          Quand ce prophète prophétisait, peu importe à quel point sa prophétie paraissait vraie, si la Lumière ne brillait pas là-dessus, une Lumière surnaturelle, pendant que le prophète prophétisait, on laissait tomber cela comme étant une fausseté, car c’était Dieu qui reconnaissait la prophétie du prophète.

            Et avez-vous remarqué que cela se faisait par le surnaturel? Dieu est toujours Surnaturel. Là où Dieu se trouve, il se passe des choses surnaturelles. Et puis, si Dieu a toujours été Surnaturel, Il sera toujours Surnaturel. Par conséquent, le surnaturel doit cependant être confirmé par Dieu. Nous savons qu’il y a toutes sortes de mysticismes. Il y a toutes sortes de diverses théories, des sensations, et tout dans le monde aujourd’hui. Mais malgré tout cela, il reste toujours un Dieu vivant et véritable.

            Quand bien même parfois les gens voient des choses qui paraissent, peut-être, floues, un peu obscures, mais rappelez-vous, tout ce que Satan a, ce n’est qu’une imitation de la chose réelle. Satan ne peut pas créer. Satan peut seulement pervertir ce que Dieu a créé. Il n’y a qu’un seul Créateur, c’est Dieu. Il n’y a qu’un seul Guérisseur, c’est Dieu.

6          Maintenant, quand l’ancien Urim et Thummim est passé, avec le sacerdoce d’Aaron, Dieu a eu un autre Urim et Thummim pour ce sacerdoce-ci. C’est Sa Bible. «Car les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera point», a dit Jésus. «Et celui qui ôtera Quelque Chose de ce Livre ou Y ajoutera quelque chose, sa part sera retranchée du Livre de la Vie.» Par conséquent, tout le plan de Dieu, c’est Ça. Et si un prophète prophétise, un prédicateur prêche, quelqu’un a un songe, un évangéliste parle, ou n’importe quoi de contraire à cette Parole, nous avons le droit de douter de cet homme. Mais tout doit absolument être conforme à l’AINSI DIT LE SEIGNEUR de la Bible.

            Eh bien, je ne suis pas ici pour vous dire que Dieu ne fait pas ce qui n’est pas écrit dans cette Bible. Il fait tout ce qu’Il veut. Il est Dieu. Mais pour moi, je ne veux rien de moins que ce qu’Il a dans cette Bible, et je ne veux pas y ajouter. Mais je veux tout ce qu’Il a écrit là-Dedans pour vous et pour moi.

7          Et chaque bénédiction de la rédemption nous appartient, à vous et moi. Tout ce qu’il y a, c’est avoir la foi pour recevoir cela. «Car Il a été blessé pour nos péchés; Il a été brisé pour notre iniquité; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.»

            Tout est au passé. C’est une oeuvre achevée. C’est quelque chose pour lequel nous regardons au Calvaire où le sacrifice suprême a été offert; et là, nous tirons les dividendes de Sa mort par notre foi dans Son oeuvre achevée. Il n’y a rien que je puisse faire, il n’y a rien que quelqu’un d’autre puisse faire, mais c’est ce que Dieu a déjà fait et ce que nous croyons qu’Il a déjà fait. Par conséquent, nous tirons cela de la Parole et nous reposons notre foi sur l’oeuvre achevée.

            Et maintenant, voici ce que je vais déclarer alors que je suis enregistré sur bandes: Une bonne attitude mentale envers n’importe laquelle des promesses divines de Dieu amènera celle-là à s’accomplir. Peu importe ce que c’est. Si vous pouvez afficher une bonne attitude vis-à-vis de cela, croire cela, Dieu fera s’accomplir chaque promesse qu’Il a faite. Exact.

8          Il se peut que je ne sois pas capable de manifester chaque promesse dans ma vie. Il se peut que je ne sois pas capable de la rendre manifeste dans la vie de quelqu’un d’autre. Mais je ne ferai jamais obstacle à quelqu’un qui peut le faire. Je serai pour lui. Je prierai pour lui.

            Il se peut que je ne sois pas capable de marcher là où Josué a marché, avec un cri qui a fait s’écrouler les murs de Jéricho, ni non plus de marcher comme Enoch, qui effectua une promenade un après-midi, un jour, avec Dieu et rentra avec Lui à la Maison. Il se peut que je ne sois pas capable d’avoir ce genre de foi, mais je combats pour cette foi-là, je crois cela de tout mon coeur, priant Dieu de m’accorder très vite ce genre de foi, car c’est ainsi que l’Eglise va rentrer à la Maison un jour, lors d’une petite promenade d’après-midi, et l’Enlèvement aura lieu et nous serons partis.

            Eh bien, que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à ce que nous faisons et à ce que nous disons, car c’est d’un coeur intègre que nous faisons ce qui est juste aux yeux de Dieu selon Sa Parole.

9          Maintenant, j’aimerais juste vous poser une question. Il y a quelques instants, j’ai fait une déclaration que le médicament ne guérissait pas. Eh bien, nous ne prétendons pas être venu ici pour–pour dire au médecin: «Vous n’êtes plus dans le jeu.» Absolument pas. Nous sommes venu ici prier pour votre patient, docteur. Je suis venu prier pour le patient du docteur, l’enfant de Dieu, mon ami. Je n’aimerais pas arracher un patient à un médecin. Le médecin a sa place, nous le tenons en haute estime. Et nous prions chaque jour pour les hommes de science, et les autres afin qu’ils trouvent des moyens médicaux par la chirurgie, ce qui pourra aider tous les malades et tous les nécessiteux.

            Jamais il n’y a eu un médicament qui ait donc guéri un homme, et jamais quelqu’un de mentalement sain n’a dit cela. Dieu dit dans Psaume 103.3: «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.» Si c’est faux, alors le reste de Cela est faux. Chaque Parole de Dieu est vraie. Il ne peut pas y avoir autre...

            Si Dieu est en erreur dans un passage, Il est en erreur dans chaque passage. S’Il est véridique, Il est véridique. Si Ceci est la Vérité, alors C’est la Vérité. Si ce n’est pas la vérité, alors ce n’est pas la vérité. Je préférerais donc ne rien avoir à faire avec ce qui n’est pas la vérité. Je ne voudrais pas être ici ce soir, à moins de savoir que c’est la vérité.

10        Permettez-moi de vous montrer juste une simple petite chose. Qu’arriverait-il si je me blessais à la main ce soir avec un couteau, ici à l’estrade, ou que ma main était blessée par un couteau? Eh bien, nous n’avons pas assez de médicaments au monde pour guérir cette blessure causée à la main par le couteau. Cela ne se fera simplement pas. Nous n’avons pas de médicament qui guérirait une blessure au couteau. Si j’avais un médicament qui guérirait une blessure à la main faite par un couteau, il guérirait une déchirure faite par un couteau à mon manteau. Il guérirait une entaille faite par un couteau à ce pavement ou à cette chaire. S’il guérit une blessure faite par le couteau, il guérira cela partout où il y a une entaille faite par le couteau.

11        Vous direz: «Monsieur Branham, le médicament n’a pas été fabriqué pour guérir votre manteau ou votre chaire. Il a été fabriqué pour guérir votre corps.» D’accord. Si j’avais à la main une blessure faite par le couteau, et que je tombais mort, que vous ameniez mon corps ici à la morgue, chez l’entrepreneur des pompes funèbres, il embaumerait mon corps avec un fluide qui me donnerait un air naturel pendant cinquante ans, et chaque jour, l’un de nos meilleurs médecins viendrait m’administrer une piqûre de pénicilline, il me donnera le sulfamide, il déversera le merthiolate, toutes sortes de pommades, et des liniments, tous les médicaments que nous avons; dans cinquante ans, cette blessure aura toujours le même aspect qu’elle avait à l’heure où je l’avais eue. Alors, si le médicament a été fabriqué pour guérir le corps humain, pourquoi ne guérit-il pas cela?

            Si j’allais ici faire démarrer mon véhicule à la manivelle et que je me fracturais le bras, et que cela–cela me tuait, et qu’on allait replacer mon bras, qu’on y plaçait la meilleure attelle, qu’on frottait toutes sortes de liniments et de produits sur mes bras, et que cela me donnait un air naturel pendant cinquante ans, ce bras resterait toujours fracturée tel qu’il était le jour de ma fracturation. Eh bien, si donc le médicament est ce qui guérit, pourquoi ne guérit-il pas le corps humain?

12        Vous me direz alors: «Eh bien, Frère Branham, eh bien, la raison pour laquelle ça ne se fait pas, c’est que la vie vous a quitté. C’est ça.» Donc, ce qui guérit, est-ce le médicament ou la vie? C’est la vie qui guérit. Ainsi donc, Dieu est la Vie. La vie opère la guérison. Le médicament ne forme pas de tissus. Le médicament ne développe pas les cellules. Le médicament assainit seulement pendant que Dieu développe les cellules, les fait croître, remet votre bras en état, guérit l’endroit blessé. Le médicament ne guérit donc pas. Le médicament assiste.

            Il n’y a pas longtemps, quelqu’un m’a dit, il a dit: «Qu’en est-il alors de la pneumonie? Si vous attrapez la pneumonie, le médecin vous donne la pénicilline. Que fait donc la pénicilline?» J’ai dit: «Si vous aviez une maison infestée de rats, et que ces rats ont creusé des trous dans les plâtres, partout sur le pavement, des rats, et que vous mettiez une mort-aux-rats, que vous tuiez tous les rats, cela peut tuer les rats, mais cela ne va pas combler les trous qu’ils ont formés en rongeant.»

            J’ai dit: «C’est ce qu’est la pénicilline. Elle tue le germe de la grippe, mais elle ne répare pas les cellules qui ont été détruites. C’est Dieu qui doit le faire.» Il est donc l’unique Guérisseur. Dieu est le Guérisseur. Ainsi donc, il s’agit de votre foi en Dieu. Et beaucoup de gens ont une foi inconsciente et ne le savent pas.

13        Eh bien, l’ordre de nos réunions... En Amérique, c’est difficile pour les gens de voir cela, les Américains. Mes réunions les plus glorieuses ont été tenues en Suisse, en Allemagne, en Afrique, en Inde où il y a eu cinq cent mille participants en une seule fois. Trente mille ont reçu à la fois Christ, vingt-cinq mille ont été guéris en un–en un instant, des cargaisons de béquilles et autres ont été emportées après une seule–une seule prière offerte pour les gens. Nous les Américains, nous sommes intellectuels. Nous voulons être divertis. Tout est intellectuel. Nous sommes bien nourris; nous sommes bien instruits, trop bien. Et puis, nous en arrivons à connaître plus que Dieu. Plus vous pouvez devenir simple, plus vous comprendrez Dieu.

14        Ce n’est pas que je cherche à me servir de cela pour soutenir ma propre ignorance et mon manque d’instruction. Ce n’est pas ce que je fais. Je cherche simplement à me faire comprendre en disant ceci: l’instruction est une bonne chose dans son domaine, mais l’instruction et la religion ne vont pas ensemble, pas de si près. L’instruction... la science a été le plus grand obstacle que l’Evangile ait jamais connu.

            Dans le jardin d’Eden, il y avait deux arbres; un était la science, l’autre était la foi. Quand l’homme a quitté l’Arbre de la Vie, la foi, et qu’il a pris une première bouchée de l’arbre de la connaissance, la science, il a brisé sa communion avec son Créateur. Chaque fois qu’il prend une bouchée de cet arbre, il continue à se séparer de Dieu.

            Vous ne connaissez donc pas Dieu par l’instruction. Vous ne Le connaissez pas par des recherches scientifiques. Vous connaissez Dieu par la simple foi d’enfant. C’est ainsi que vous connaissez Dieu, en oubliant votre instruction, en oubliant toutes les autres choses et en reconnaissant simplement que vous êtes une créature de Sa création. C’est par cela que vous connaissez Dieu, aussi simplement que ça.

15        Et quand vous essayez de limiter Dieu à une petite dénomination ou à une petite action, vous vous limitez vous-même. Dieu remplit tous les lieux, Il–Il est partout. Dieu est Tout-Puissant, omnipotent, omniprésent, omniscient, Il connaît toutes choses, Il peut être partout à tout moment, Il est Tout-Puissant. Si vous arrivez à savoir combien Il est grand, alors vous pouvez savoir quelque chose au sujet de Sa puissance. Considérez l’univers; regardez les étoiles; regardez les arbres, et vous pouvez voir qui est Dieu.

            Or, les Américains ont appris une vieille coutume juive: l’imposition des mains aux malades. Quelqu’un me disait souvent: «Frère Branham, Oral Roberts peut prier pour cinq cents personnes alors que vous, vous priez pour trois. Pendant que vous priez pour les trois, Oral Roberts aura prié pour cinq cents.»

16        Ce–c’est vrai. Mais, vous voyez, je ne peux pas être Oral Roberts, même s’il est mon ami intime et un merveilleux homme de Dieu. Cependant, je ne peux pas être Oral Roberts; Oral Roberts ne peut pas être William Branham. Nous avons tous deux un ministère. Oral Roberts fait ce que Dieu lui dit de faire. Moi, je fais ce que Dieu me dit de faire.

            Maintenant, nous avons appris une–une coutume: l’imposition des mains. «Imposez-moi les mains.» C’était une coutume juive. Si vous suivez dans les Ecritures, le Juif a dit: «Viens imposer les mains à ma fille, elle vivra.»

            Mais l’homme des nations a dit: «Je ne suis pas digne que Tu entres sous mon toit, des simplement un mot, et mon serviteur vivra.»

            Jésus n’a jamais dit à Jaïrus: «Ta foi est grande, Jaïrus.» Mais Il a dit à l’homme des nations: «Je n’ai jamais vu pareille foi en Israël.» C’est ce que nous amenons, difficilement, les Américains à faire: c’est recevoir Christ et ce qu’Il a dit.

17        Ainsi donc, dans mes réunions, il ne s’agit pas d’imposer les mains aux malades. C’est ce que je–je ne fais pas. Certes que je le fais, mais pas autant que monsieur Roberts, monsieur... le... monsieur Allen et beaucoup d’autres hommes... Mes réunions sont des réunions pour... et un don pour attirer la Présence de Christ de sorte que vous puissiez Le toucher, vous puissiez recevoir Sa bénédiction.

            Mes mains ne représentent rien. Je suis un homme. Mais une fois que Sa main est sur vous, quelque chose se passe. La mienne, ça peut être de la psychologie; la mienne, ça peut être de la sensation ou un sentiment. La Sienne, c’est la foi et la puissance. Des mains de qui avez-vous alors besoin, des miennes ou des Siennes? Vous avez besoin des Siennes. C’est pour cela que nous sommes ici, pour essayer de vous amener à reconnaître Son omniprésence.

            Eh bien, chaque soir, on distribue des cartes de prière. Et la raison pour laquelle nous distribuons des cartes de prière, c’est pour mettre des gens en ligne, de sorte que ça ne soit pas une arène. C’est pour être... entrer dans la ligne de prière en se respectant l’un l’autre, chaque homme occupant sa place. Pendant qu’il y en a un qui est guéri dans la ligne de prière, il y en a cinquante de guéris en dehors de la ligne de prière chaque fois.

18        Et alors, nous avions l’habitude, je... à mes tout débuts, dans des réunions, j’envoyais bien toutes les cartes aux ministres qui collaboraient, une centaine à chacun d’eux. Le premier homme faisait entrer son groupe, c’était pratiquement réglé si c’était une réunion de trois ou quatre soirées, car nous n’en prenions pas autant. Cela causait donc des ressentiments parmi les ministres.

            La chose suivante que j’ai faite donc, c’est d’envoyer un homme et de le laisser distribuer les cartes de prière, le tout donc, le premier jour, peut-être plusieurs centaines de cartes. Eh bien, alors, si vous n’étiez pas là le premier jour, vous n’entreriez jamais dans la ligne de prière. Il y a eu des plaintes à ce sujet.

            Ensuite, j’envoyais les gens et les laissais distribuer plusieurs cartes de prière chaque jour, et puis je commençais à appeler par le numéro un ou quelque chose comme cela, et puis la soirée suivante, passer au numéro deux, et la prochaine ligne des cartes; et la soirée suivante, je reprenais à partir de là où je m’étais arrêté. Croyez-le ou non, quand un homme distribuait, les cartes de prière, il pouvait... Si les gens ne recevaient pas un numéro qui était dans la tranche de dix ou quinze, ils ne voulaient certainement pas la recevoir. Ils la jetaient par terre.

19        Alors, j’ai dit: «Je ne peux donc pas m’y prendre comme cela, je vais donc distribuer les cartes de prière, je demanderai à un petit enfant de s’avancer et de se mettre à compter. Et là où il s’arrêtera, ou elle, c’est par là que je commencerai.» Croyez-le ou pas, maman demandait à Junior de s’arrêter exactement à sa carte. Nous traitons donc toujours avec des êtres humains. Cela n’a pas marché.

            Alors, une nuit, pendant la prière, le Seigneur m’a révélé d’aller simplement là chaque jour, de distribuer des cartes de prière, de commencer à partir de n’importe quel numéro qu’Il me mettra à coeur, à partir du moment où je monte à la chaire. Donc, personne ne savait si en donnant à une personne une carte de prière, cela la fera entrer dans la ligne de prière.

20        Une fois, j’avais un homme qui était dans le... distribuant les cartes de prière et je l’ai surpris, un autre homme l’a surpris en train de vendre une carte de prière, que cela garantirait à la femme d’un autre homme de monter à l’estrade. Il a été renvoyé ce soir-là.

            Je me faisais accompagné de mon frère. Je savais qu’il ne ferait pas cela. Quand mon frère s’est marié, j’ai fait venir mon fils. Il y a trois personnes qui distribuent les cartes de prière. Mon fils, s’il y a un petit groupe comme celui-ci. Si le groupe devient plus important, monsieur Mercier ici, mon associé, monsieur Goad. Ce sont des jeunes gens chargés des bandes, ils ont des bandes de réunions. Ils distribuent aussi les cartes de prière pour aider Billy.

21        Ainsi donc, nous, tout numéro que le Seigneur nous met à coeur, c’est à partir de là que nous commençons, juste là même. Ça peut être 1, demain soir, 50, et la soirée suivante, peut-être à 10; et l’autre soirée à 12; et l’autre soirée à 75. Personne ne sait jusqu’à notre arrivée là. Je pense que c’est aussi honorable que possible.

            Ainsi, tout le monde a une possibilité si sa carte de prière, la soirée ou... Et cela n’a rien à faire avec la chose. Cela amène seulement quelqu’un ici à l’estrade. Si l’onction du Saint-Esprit commence à entrer dans des réunions, et alors partout dans l’assistance, partout, le Seigneur Dieu commence à désigner les malades et les affligés.

22        Eh bien, avant d’avoir Sa Parole... Nous n’avons pas beaucoup de temps; nous aimerions vous laisser sortir chaque soir entre vingt-et-une heures et vingt-et-une heures trente. Cela vous donnera l’occasion de retourner chez vous, ceux qui habitent en dehors de la ville, pour revenir. Mettons-y nos coeurs maintenant. Je suis sûr que vous comprenez.

            Et s’il y a quelque chose qui vous échappe, quelque chose que vous ne comprenez pas, mon associé, frère Vayle ici, est tout le temps disponible pour expliquer tout ce qui vous semble mystérieux, frères ministres, ou où que vous soyez, ou n’importe quel membre laïque, n’importe quoi.

            S’il y a une question, si nous prêchions donc quelque chose, ou que nous faisions quelque chose qui n’est pas une promesse de Dieu dans cette Bible, vous avez le droit de venir vers nous et de nous demander en tant que frères. Et nous vous demandons de le faire. Nous vous demandons, en tant que nos frères et nos soeurs, de venir vers nous. Nous aimerions être des serviteurs de Christ. C’est ce que nous représentons à travers le monde.

23        Et voici ce que j’aimerais juste déclarer: Beaucoup me connaissent, et mes amis sont ici ce soir. Je venais de recevoir un télégramme ce matin de Durban, en Afrique du Sud. La vision de trois cent mille personnes qui vont s’assembler très bientôt pour une réunion qui va incessamment avoir lieu... Oh! J’en suis si reconnaissant. Docteur Vayle, je ne sais pas si vous... Oui, je pense vous l’avoir raconté dans le couloir il y a quelques instants, que nous sommes maintenant revenus. Je pense que nous allons... La lettre détaillée viendra bientôt.

            Inclinons la tête juste un instant maintenant avant d’ouvrir cette Parole sacrée. Tout homme, physiquement capable de tourner ses mains, peut ouvrir cette Bible. Mais nul ne peut En ouvrir la révélation, sinon Celui qui L’a écrite, le Saint-Esprit. Prions donc maintenant.

24        Eternel et Adorable Dieu, alors que nous nous tenons ce soir entre les vivants et les morts, il y a sans doute en jeu ce soir des âmes de pécheurs qui ne T’ont jamais reçu comme leur Sauveur personnel. Et nous savons, Seigneur, que s’ils devaient passer de cette vie à la Vie à venir, sans Te connaître, oh! ça serait une pensée trop misérable à concevoir.

            Ainsi, Seigneur, nous voudrions Te demander de sonder nos coeurs ce soir, et s’il y a un mal en nous, amène-nous au feu purificateur du Calvaire et là, purifie-nous de toute impiété, que nos lèvres soient purifiées comme celles du prophète au temple, quand il a vu les chérubins avec leurs ailes couvrant le visage, couvrant les pieds, pendant qu’ils criaient: «Saint, saint, saint est l’Eternel Dieu Tout-Puissant.»...

25        Accorde que les chérubins de Dieu volent dans cette salle ce soir, visitent chaque coeur et leur parlent de l’imminent jugement, et sans... pendant qu’on se tient dans la Présence de Celui qui est notre unique Médiateur, le Seigneur Jésus, qui prendra position pour nous en ce jour-là. Oh! Quelle chose horrible ça serait d’oser entreprendre de se tenir devant le Trône Blanc sans Christ!

            Nous Te demandons, Seigneur, d’accomplir et de Te manifester en présence de ces gens ce soir, la résurrection de Ton bien-aimé Fils, le Seigneur Jésus. Nous demandons que chaque coeur d’homme, Seigneur, soit fraîchement aspergé de saintes cendres du Calvaire, afin qu’ils voient Celui qui a donné la promesse et qu’ils sachent qu’Il est présent, et qu’en faisant cela, ils L’acceptent comme leur Sauveur personnel, et que les malades et les nécessiteux soient guéris.

26        Qu’il n’y ait aucune personne faible, Seigneur, qui entre dans cette salle cette semaine sans en sortir guérie. Accorde-le, Seigneur. Et qu’un pécheur ne franchisse pas le seuil de ce bâtiment sans en sortir en se réjouissant de la Présence du Seigneur Jésus comme son Sauveur.

            Nous Te demandons de bénir cette école, Seigneur, qui nous a permis d’avoir cet auditorium. Et nous consacrons maintenant cette salle pour la gloire de Dieu. Que les anges de Dieu servent jour après jour, soir après soir, jusqu’à ce que nous atteignions le niveau où nous sentirons que c’est un lieu sacré que nous foulons.

            Bénis chaque prédicateur, ceux qui collaborent, qui ont congédié leurs églises. Bénis ceux qui ont conduit sur de longues distances pour venir ici. Tous les résidents, accorde-leur, Seigneur, Tes richesses, nous prions, le salut et des bénédictions spirituelles, ainsi que des bénédictions physiques. Et que cette petite réunion déclenche un réveil à l’ancienne mode qui balayera d’un bout à l’autre, de cet Etat à un autre. Accorde-le, Père.

27        Parle au travers des lèvres, Seigneur. Bénis notre bien-aimé frère docteur Vayle, alors qu’il prêche aux réunions de l’après-midi pour susciter la pure foi dans des gens. Aide ton serviteur inutile ce soir, Seigneur, alors que je viens avec ce défi devant le monde, que Jésus reste le même hier, aujourd’hui et éternellement. Que Ta Parole infaillible et Ton soutien, venant de Ton Esprit, nous fassent agir puissamment.

            Pardonne-nous maintenant nos péchés; aide-nous, alors que nous commençons ce service, en lisant Ta Sainte Parole. Que l’on dise, à notre départ d’ici ce soir, comme ceux qui revenaient d’Emmaüs après qu’Il eut fait quelque chose d’une façon un peu mystérieuse, comme aucun autre homme ne pouvait le faire, Cléopas et ses amis ont dit: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous lorsqu’Il nous parlait en chemin?»

28        Car là, une fois, Il les a fait entrer dans la maison et les portes étaient fermées, Il a fait quelque chose comme Il avait fait avant Sa crucifixion, et ils ont reconnu qu’Il était ressuscité d’entre les morts. D’un coeur léger et d’un pas rapide, ils sont précipitamment retournés dire: «Certainement, Il est ressuscité d’entre les morts.» Accorde cette même bénédiction à Tes enfants qui attendent. Car nous attendons patiemment Ta Parole et Ton Esprit, au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen.

29        Je désire lire un petit passage habituel ce soir. Et avec un... ou plutôt un passage des Ecritures. Et notre thème de ce soir se trouve dans Hébreux 13. 8:

Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Je désire lire dans l’Evangile selon saint Jean, chapitre 12, une portion de Son passage, ou de ses Ecrits. Et nous croyons que la Parole est infaillible. Cela se trouve au chapitre 12, versets 20 et 21:

Quelques Grecs, du nombre de ceux qui étaient montés pour adorer pendant la fête,

S’adressèrent à Philippe, de Bethsaïda en Galilée, et lui dirent avec instance: Seigneur, nous voudrions voir Jésus.

            Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à Sa Parole. Cette Parole que je viens de lire, après qu’il n’y aura plus de monde, qu’il n’y aura plus de soleil, plus de lune, plus d’étoiles, cette Parole demeurera la même car Elle est la Parole du Dieu infini.

30        Et cette question a été bien posée par ces Grecs: «Messieurs, nous voudrions voir Jésus», et je me demande ce soir devant cette assistance où le Seigneur Dieu nous a envoyé ce soir, combien ici présents, je pourrais demander, poseraient la même question s’ils avaient vécu à cette époque-là. Si vous aviez entendu parler de Lui, combien Il était grand, et Sa grande et magnifique puissance, je me demande bien si vous et moi nous aurions posé la même simple question. Et si nous avions rencontré Philippe de Bethsaïda, je me demande si nous ne poserions pas cette même question.

            Eh bien, Philippe était un de Ses ministres. Philippe était celui qui les avait introduits auprès de Jésus. Et la question n’était pas: «Que nous puissions voir Sa puissance.» Pas: «Que nous puissions voir un glorieux miracle qu’Il accomplirait», quand bien même Il en accomplissait. La question était: «Messieurs, nous voudrions voir Jésus.»

31        Et alors, dans notre thème, nous trouvons qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Ainsi donc, à partir de ceci, nous aimerions demander s’il peut y avoir aujourd’hui un serviteur qui peut nous introduire auprès de cette Personne, qui a tellement attiré l’attention des gens.

            Eh bien, nous avons appris qu’Il n’était pas un puissant prédicateur. La Bible déclare que Sa voix ne se faisait pas entendre dans des rues et Il... ainsi de suite. Et... mais Ses Paroles étaient si parfaites que le Père honorait tout ce qu’Il disait.

            Il y avait beaucoup de grands hommes à l’époque. Dans de grandes églises, de grands sacrificateurs, des érudits, de saints hommes, apparemment de par leur connaissance, étaient de loin capables, pour autant que la connaissance soit ce que Dieu exige, de présenter ce grand Messie. Mais avez-vous remarqué? Il est allé auprès d’un pêcheur, juste un humble paysan comme homme. Et il a dit: «Nous voudrions Le voir.» Et tout homme, ou toute femme, jeune homme ou jeune fille, qui a déjà entendu parler de quelque chose au sujet de Jésus, éprouve ce désir dans son coeur. «Nous voudrions voir Jésus.»

32        Eh bien, s’Il est le même, et s’Il n’est pas mort, mais qu’Il est ressuscité d’entre les morts, serait-ce possible donc que nous puissions Le voir? Si tel est le cas, combien ici présents aimeraient Le voir? Levez la main. Dites simplement: «J’aimerais voir Jésus.» Que le Seigneur vous bénisse. Autant que j’ai pu voir, on dirait, cent pour cent. Eh bien, alors, voici la question que je pose: S’Il est si grand, pourquoi n’arrivons-nous pas à Le voir?

            Il y a quelque temps, sur le rivage de la rivière Ohio, où j’habite, un petit garçon avait un jour demandé à sa maman: «Maman, Dieu est si grand; un homme peut-il Le voir?»

            Elle a dit: «Pose la question à ta monitrice de l’école du dimanche.»

            Et la monitrice de l’école du dimanche n’a pas pu satisfaire ce petit garçon. Alors, elle a dit: «Demande au pasteur.»

            Il est donc allé auprès du pasteur, qui était le responsable de l’église, et a dit: «Monsieur, j’aimerais vous poser une question. J’ai entendu vos magnifiques sermons sur le Grand Dieu, je vous ai entendu Le décrire de telle manière que, pendant que j’étais sur mon siège, comme un enfant, on dirait qu’Il devrait être à ma droite. Pasteur, peut-on voir Dieu?»

            Il a dit: «Non, fiston. Personne ne peut donc voir Dieu.»

33        Alors, le petit garçon fut découragé. Et il allait à la rivière pêcher avec un vieux pêcheur. Et un jour, après un orage, ils descendaient la rivière, le vieux pêcheur, avec une barbe grisonnante, pagayait sa barque.

            Et après l’orage, l’arc-en-ciel était apparu à l’horizon à l’est, et le vieux pêcheur regardait cet arc-en-ciel, alors que le petit garçon, assis à la poupe de la barque, était attiré par des larmes qui coulaient sur les joues, au-dessus de la barbe grisonnante du vieux pêcheur, et lui tombaient sur les habits.

            Et cela–cela était si émouvant qu’il a bondi et a couru au milieu de la barque, il s’est agenouillé aux pieds du vieux pêcheur. Il a dit: «Je vais te poser une question à laquelle, apparemment, personne n’a pu répondre.» Il a dit: «Un homme peut-il voir Dieu?»

            Et le vieux pêcheur, captivé par l’enthousiasme de l’enfant, a fait rentrer les rames sur ses genoux, il a entouré le petit garçon de ses bras, et il a dit: «Que Dieu te bénisse, chéri. Tout ce que j’ai vu pendant les quarante dernières années, c’était Dieu.»

34        Qu’était-ce? Il y avait assez de Dieu à l’intérieur pour qu’il puisse Le voir dehors. L’unique moyen pour nous de voir correctement Dieu, c’est de L’avoir premièrement dans notre coeur. Ça a toujours été ainsi. Dieu s’est caché aux yeux des sages et des intelligents, et Il est plus disposé à se révéler aux enfants qui veulent apprendre, apprendre sur Lui, apprendre Sa voie. Ainsi donc, il n’y a qu’un seul moyen pour nous de pouvoir répondre correctement à cette question. Si je demandais, ici ce soir, aux différentes dénominations, peut-être, des baptistes et des presbytériens, peut-être quelques catholiques, des pentecôtistes, des pèlerins de la sainteté et les autres: «Croyez-vous qu’un homme peut voir Dieu?»

            Vous diriez: «Certainement.»

            Eh bien, je dirais: «Comment reconnaîtrions-nous si c’était Dieu ou pas? Comment pouvons-nous savoir que c’était Dieu?»

35        Il n’y a alors qu’un seul moyen de répondre à cette question. C’est de prendre Hébreux 13.8: Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Quelqu’un peut dire: «Je Le vois dans un chapelet quand je prie avec le chapelet.» Un autre dirait: «Je Le vois dans nos credos, de notre église.» Les autres diraient: «Je Le vois quand nous chantons la doxologie.» Un autre dirait: «Je Le vois alors que nous récitons les credos des apôtres, ou que nous les répétons plutôt.» Les autres diraient: «Je Le vois lorsque je vois les saints se réjouir.» Les autres diraient: «Je L’entends dans la musique.»

            En fait, toutes ces choses sont bonnes. Et je n’ai rien contre aucune d’elles. Et je suis reconnaissant que vous puissiez voir Dieu dans pareille chose. Mais mettons cela de côté juste une minute et prenons ce que les Ecritures déclarent. C’est une fois de plus l’Urim et le Thummim. Si Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il doit être le même en essence. Il doit être le même quant à la puissance. Il doit être le même dans l’attitude. Il doit être le même, à tout point de vue, qu’Il l’était.

36        Jamais on ne L’a connu en ce jour-là en récitant un rosaire. On L’a connu en ce jour-là par un, ce que nous appelons un credo des apôtres. Ce n’est pas dans les Ecritures, le credo des apôtres. Ce n’est pas... On ne L’a pas connu par la doxologie. Mais on Le connaît en tant que la Personne, Dieu manifesté dans la chair, par Ses miracles, Ses oeuvres, Sa manifestation. Nous devrions donc retourner pour voir ce qu’était Sa manifestation.

            Maintenant, n’écoutez pas avec des motifs égoïstes. Que votre objectif soit correct. Que vos motifs soient corrects, car tout ce qui est en dehors du motif correct et de l’objectif correct, Dieu ne peut pas s’en servir. Jésus a dit une fois: «Si vous dites à cet arbre, si vous dites à cela, à cette montagne plutôt: ‘ôte-toi de là’, et que vous ne doutiez pas, mais croyez que ce que vous avez dit va s’accomplir, vous pouvez avoir ce que vous avez dit.» Qu’est-ce qui peut déplacer une montagne?

37        Tenez, Il a dit à un homme mortel: «Dites à cette montagne et croyez que ça se fait.» Seule la Divinité peut déplacer une montagne. Dieu seul peut faire cela. Donc, s’Il a dit à l’homme qu’il peut–peut le faire, cela devrait être Dieu parlant par l’homme. Et l’unique moyen pour l’homme de savoir que c’était Dieu, c’est d’avoir un objectif correct ou... et le motif correct. Si votre objectif est correct et que vos motifs sont corrects, alors ce n’est plus vous qui parlez. C’est le Père qui habite en vous. «Ne vous préoccupez pas de ce que vous direz en cette heure-là; car ce n’est pas vous qui parlerez; c’est Mon Père qui habite en vous qui parlera.»

38        Vous voyez donc, Dieu n’est pas... n’est pas très loin. Il est ici même. C’est nous-mêmes qui faisons obstacle; c’est notre incrédulité. Ce sont nos superstitions. Ce sont les choses qui aveuglent les yeux. Ce n’est pas Dieu. Un homme s’avance et dit: «Je vais vous montrer que je peux déplacer la montagne: ‘Montagne, ôte-toi de là.’» Cela n’arrive pas. Certainement pas. Vos motifs ne sont pas corrects, et votre objectif non plus. Nous devons donc en arriver à cet unique point: Nos motifs et notre objectif sont-ils corrects devant Dieu? Alors ce n’est plus vous qui parlez.

39        Eh bien, voyons ce que Jésus était. Nous voyons qu’aussitôt après Son baptême, Il a été conduit au désert où Il a communié avec Dieu quarante jours. Il est sorti avant que Son ministère ait jamais pu être manifesté, le diable a dit: «Eh bien, si Tu es un grand faiseur des miracles, fais-nous-en voir un ici devant moi. Fais ici quelque chose que je vois de mes propres yeux. Alors, je croirai en Toi. Change ces pierres en pain.» Il pouvait le faire. Mais vous savez, le diable a toujours le même genre de motifs et d’objectifs. «Il y a là au coin un vieil homme qui est aveugle, ou qui est sourd, qui est sur un fauteuil roulant. Que ces guérisseurs divins descendent là et le guérissent. Alors, je croirai.»

            Lorsque vous voyez ou que vous entendez de telles choses se dire, rappelez-vous simplement que c’est le même diable qui avait bandé les yeux au Seigneur Jésus avec un lambeau et qui L’avait frappé à la tête avec un morceau de bois et avait dit: «Prophétiseur, dis-nous qui T’a frappé.» C’est le même qui a dit: «Si Tu es le Christ, descends de la croix. Détache simplement Tes mains. Change ces pierres en pain. Le spectaculaire, fais quelque chose, que je te voie le faire.» Ils ne verront jamais cela se faire. Il n’y a rien en eux pour voir. Ils sont aveugles.

40        Maintenant, voyons cette manifestation. Aussitôt qu’Il avait commencé Son ministère public... Et si nous pouvons suivre Son ministère public et voir ce qu’Il avait fait hier, Il sera le même aujourd’hui. Croirez-vous cela? Si nous pouvons trouver ce qu’Il avait fait hier pour se manifester en tant que Messie...

            Oh! Puis-je répéter cela? C’est là que réside la campagne; c’est là que réside la clé de voûte; c’est là que réside la chose qui secouera la nation; c’est là que réside la question qui déclenchera un réveil dans chaque église de l’Ohio dans les quelques prochains jours. C’est là que réside l’unique chose toute suffisante: Ce qu’Il était, Il l’est.

41        Et s’Il est le même, nous devrions alors tout vendre, tout Lui abandonner: nos motifs, nos objectifs, notre volonté, à Lui. Mais le monde ne fera jamais cela. Il a dit qu’ils ne le feraient pas. Des hommes prédestinés à cette condamnation. Mais Dieu est juste. Il doit accomplir cela. Il doit le faire pour demeurer Dieu. C’est Sa promesse: le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Quand Son ministère public a commencé... Citons maintenant le passage des Ecritures de Saint Jean, chapitre 1. Nous avons commencé par Saint Jean 12. Et vous qui prenez note, vous pouvez lire cela. Et nous allons utiliser juste certaines choses pendant les quelques instants qui vont suivre. Considérez-Le hier, et voyez s’Il est le même aujourd’hui.

            Aussitôt qu’Il avait commencé Son ministère public, il y eut quelqu’un, André, qui fut converti et qui alla chercher son frère Simon: Saint Jean 1. Et quand Simon est entré dans la Présence du Seigneur Jésus, Jésus a su qui il était. Et non seulement cela, mais Il lui a dit le nom de son père. Eh bien, voyez si c’est vrai. Sondez cela dans les Ecritures. Il a dit: «Tu es Simon, mais je vais t’appeler Pierre. Et tu es le fils de Jonas.» Cela a intrigué ce vieux pêcheur.

42        Eh bien, rappelez-vous qu’il n’était pas un érudit. C’était un pêcheur, et la Bible dit que c’était un homme du peuple sans instruction: Actes, chapitre 3. Pierre et Jean, les gens ont remarqué que c’étaient des hommes du peuple sans instruction. Nous avons appris que Pierre ne pouvait même pas signer de son propre nom. Et pourtant, à cause de son humilité, il lui a été donné les clés du Royaume. Et Jésus lui a donné un nom, une fois entré dans Sa Présence, Il lui a dit quel était son premier nom. «Tu es Simon, et ton père, c’est Jonas.» Là, c’était Jésus hier, se faisant connaître à Son Eglise. Il devra être le même aujourd’hui s’Il demeure le même.

43        Eh bien, il y avait alors quelqu’un du nom de Philippe dont on vient de parler ce soir. Après sa conversion, il était de la même ville que Pierre, il avait un bon ami, membre d’une dénomination bien connue. Mais c’était un homme juste, un homme de bien.

            Et si quelqu’un parmi vous ici a déjà été à la terre sainte, qu’il mesure la distance entre là où Jésus prêchait et là où Nathanaël se trouvait sous l’arbre, c’est environ trente miles [48 km]. Il a parcouru trente miles pour trouver un ami et l’amener dans la Présence de Jésus. Je me demande si nous parcourrions trente pas aujourd’hui. Mais il était convaincu que Jésus était le Christ et il voulait que son ami le sache.

            Alors, il a contourné la montagne et a trouvé Nathanaël sous un arbre. Et maintenant, suivez leur conversation. Il a dit: «Viens voir un Homme. Viens voir cet Homme. Nous L’avons trouvé. C’est Jésus de Nazareth, le fils de Joseph.»

            Et suivez ce croyant orthodoxe, ce bon membre d’église. Quand il s’est relevé et qu’il s’est épousseté, il a dit: «Eh bien, peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon? Ou: Peut-il venir d’un tel groupe de gens quelque chose de bon?»

44        Oh! Ne pouvez-vous pas voir que l’attitude du monde n’a pas changé? Celui qui avait préféré un meurtrier à Jésus, dans leur coeur, ils sont les mêmes ce soir. Le monde a dit ce que c’était. Il avait montré ce qu’il était en acceptant un meurtrier plutôt que l’Aimable Seigneur, à cause des traditions religieuses.

            Et quand cet homme qui observait très soigneusement les coutumes des anciens a dit: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»...

            Je pense que Philippe lui a donné la meilleure réponse qu’un homme puisse donner. Il a dit: «Viens, et vois.» Ne reste pas à la maison à critiquer. «Viens, et vois de toi-même.» Et en route vers l’autre côté, sans doute qu’il l’instruisait. Eh bien, il a dit: «J’ai vu... Te souviens-tu de ce vieux pêcheur là sur la rivière, ce vieil homme Simon?»

            «Oui, je me souviens de lui.»

            «Eh bien, quand il est entré dans la Présence de ce Messie, Celui-ci lui a dit qui il était et qui était son papa. Oh! Je peux dire que... ou avoir le pressentiment qu’un...»

45        Nathanaël a dit: «Eh bien, juste un instant. Eh bien, Philippe, sans doute que tu as perdu le nord. Tu–tu... juste... tu es tout embrouillé.» Eh bien, je peux l’entendre dire: «Ne sais-tu pas que les Ecritures déclarent que le Messie ne sera rien d’autre que Jéhovah?» Et Jéhovah connaît le coeur.

            Et aussitôt qu’il est entré dans la Présence de cet Homme... Eh bien, Jésus était juste un Homme ordinaire. Et quand il est entré dans Sa Présence, Jésus s’est retourné, c’était la première fois qu’Il le voyait, et Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Cela a tellement frappé cet homme qu’il a dit: «Rabbi, quand m’as-Tu connu?» Tous les hommes s’habillaient de la même façon. Il pouvait avoir été un Grec. Il pouvait avoir été un Arabe. Il a dit: «Quand m’as-Tu connu?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

46        Combien savent que c’est scripturaire? Levez la main. Regardez les lecteurs de la Bible. «Je t’ai vu.» Comment avait-Il pu le voir à trente miles [48 km] de l’autre côté de la montagne? «Je t’ai vu.»

            Rappelez-vous, Nathanaël, en prenant la parole, a parlé au nom de chaque croyant Juif qu’il y avait. Qu’a dit Nathanaël? Il a dit: «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu. Tu es le Roi d’Israël.»

            Si c’était là Jésus hier, Il doit être le même aujourd’hui pour demeurer le même. Et Il a dit: «Puisque Je t’ai dit cela, tu crois.» Il a dit: «Tu verras de plus grandes choses que cela.» Eh bien, qu’est-ce que le Juif orthodoxe, très empesé, a cru en voyant cela s’accomplir? Il a dit: «Cet Homme est possédé de mauvais esprit. Il est Béelzébul.» Combien savent que c’est la vérité? Il est Béelzébul, un diseur de bonne aventure. Et tout le monde sait que dire la bonne aventure, c’est du diable. «Il lit les pensées des gens.»

47        Et qu’a dit Jésus en retour? «Vous dites cela contre Moi, le Fils de l’homme, Je vous pardonnerai. Mais quand le Saint-Esprit sera venu accomplir la même chose, un seul mot contre Cela ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle, ni dans le siècle à venir.» Combien savent que c’est vrai? Dans le même chapitre. Cela ne vous sera jamais pardonné, un seul mot contre Cela. En quel jour vivons-nous donc?

            Nous n’avons pas le temps de prendre tous les personnages que j’allais mentionner. Mais un de plus, c’est qu’il y avait... Nous savons qu’il n’y a que trois races de gens. Ce sont les descendants de Cham, de Sem et de Japhet: les Juifs, les Gentils et les Samaritains. Combien savent que c’est vrai? Observez Pierre avec les clés devant les Juifs, à la Pentecôte; devant les Samaritains, là en Samarie. Pierre chez Corneille, les Gentils, Actes 10.49. A partir de là, c’était dans le monde entier.

48        Les trois races des gens... Suivez donc. Il s’est fait connaître au Juif comme cela, en lui disant où il était, ce qu’il avait fait, quel était son nom. Et Il s’est manifesté, et ils ont cru qu’Il était le Messie.

            Quand Il est monté en Samarie, une femme est venue, elle s’est mise au puits d’eau, elle a vu ce jeune Juif, qui paraissait avoir environ cinquante ans, dit la Bible, alors qu’Il en avait trente, assis contre le petit panorama du puits. Et suivez la conversation. Il a dit: «Femme, apporte-Moi à boire.»

            Elle a dit: «Le puits est profond. Tu n’as rien pour puiser. Et en plus, il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous parliez aux Samaritains. Nous avons une loi de ségrégation.»

49        Oh! Je L’aime. Ecoutez ce qu’Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire.» Il lui a fait savoir qu’il n’y avait pas de différence entre les races des gens, leurs couleurs. Et Il a dit: «Si tu connaissais Celui à qui tu parles.» Et la conversation a été engagée. Que faisait-Il? Il contactait son esprit. Aussitôt qu’Il eut trouvé son problème, Il a dit: «Va chercher ton mari, et viens ici.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Jésus a dit: «C’est vrai. Tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari. Tu as dit vrai.»

            Qu’a-t-elle dit? «Il est Béelzébul»? Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Suivez: «Nous (Qui? Les Samaritains), nous savons que quand le Messie viendra, Il nous annoncera ces choses. Mais Toi, qui es-Tu?»

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

50        Et elle est entrée dans la ville en courant et a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie même?» Si c’était ainsi que le Messie s’était fait connaître dans le passé, ça doit être identique aujourd’hui.

            Eh bien, à vous les ministres, et à vous les étudiants de la Bible, pas une seule fois Il n’a donc accompli ce signe-là devant les Gentils. Sondez les Ecritures. Pas une seule fois... Par contre, Il a même interdit à Ses disciples d’aller vers eux. Mais c’est ainsi qu’Il s’était manifesté comme Messie, et devant les Juifs et devant les Samaritains.

            Combien aimeraient dire que c’est la vérité, que vous connaissez les... que vous connaissez les Ecritures assez bien pour savoir que c’est la Vérité? Faites-le savoir par une main levée. C’est ce que déclarent les Ecritures. Sondez les Ecritures et voyez s’il y a un autre moyen par lequel Il s’est fait connaître. «Oh! Nos traditions...» Mais c’est ce que déclarent les Ecritures.

51        Suivez. Il parle aux Juifs. Il a parlé d’une autre époque. Et depuis ce temps-là jusqu’aujourd’hui, cela ne s’est pas fait connaître. Mais combien croient que ceci est la fin de l’âge des Gentils? Assurément que nous croyons. Donc, s’Il s’est fait connaître à eux de cette façon-là jadis, Il doit se faire connaître aujourd’hui aux Gentils, sinon Il est différent de ce qu’Il était jadis.

            Dieu doit agir de la même façon chaque fois. Quand une situation surgit, si Dieu est appelé en scène, l’acte qu’Il pose en ce moment-là, Il doit le poser chaque fois que la même situation surgit, sinon Il avait mal agi en agissant comme Il avait agi la première fois. Vous voyez, nous, nous devenons plus intelligents. Dieu ne devient pas plus intelligent. Il est parfait pour commencer. Il est infini pour commencer. Il n’a pas plus de connaissance maintenant qu’Il n’en avait jadis, car Il a la connaissance parfaite.

            Et la façon dont Il avait agi jadis, c’est ainsi qu’Il doit agir aujourd’hui. C’est pourquoi la Bible déclare qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Si Christ se manifestait aujourd’hui à vous les Gentils autrement qu’Il l’avait fait jadis, c’est qu’Il avait mal agi quand Il s’était fait connaître autrefois.

52        Il y a un passage des Ecritures... Même les disciples, quand Il était sur le point de partir, dans Saint Jean 17, les disciples ont dit: «Nous savons maintenant que Tu connais toutes choses et que Tu n’as pas besoin que quelqu’un T’enseigne.» Il accomplissait seulement des choses et les leur montrait. «Par ceci, nous croyons que Tu viens de Dieu.»

            Jésus a dit: «Vous croyez maintenant?»

            Eh bien, Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Un jour, il y eut une femme qui toucha Son vêtement, et elle... C’est aussi Saint Jean. Et alors, quand elle toucha Son vêtement, elle se disait en elle-même: «Si je peux Le toucher, peu m’importe ce que dit le rabbin et ce que disent les gens, je crois qu’Il est le Saint. Et si je peux Le toucher, je crois que je serai guérie.»

            Elle avait souffert de la perte de sang pendant des années et aucun médecin n’arrivait à l’aider. Elle a touché Son vêtement, elle s’en est allée, et elle s’est assise, ou elle s’est tenue debout, ou je ne sais quelle position elle avait prise dans la foule. Jésus s’est retourné et a dit: «Qui M’a touché?» Il ne le savait pas. Il n’était pas un hypocrite. Il ne le savait pas, sinon Il n’aurait pas posé la question.

53        Et Pierre l’a repris, disant: «Eux tous Te touchent.»

            Il a dit: «Mais J’ai connu que Je suis devenu faible. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... est sortie de Moi.» La vertu (c’est la force, la puissance) L’avait quitté. Il a dit: «Je suis devenu faible.» Et il a promené le regard jusqu’à repérer la femme, et Il lui a révélé sa maladie, Il a dit: «Ta foi t’a sauvée.»

            Ce même Jésus vit aujourd’hui. La Bible dit dans le Nouveau Testament, l’épître aux Hébreux, qu’Il est maintenant le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Croyez-vous tous cela? Comment ça donc? Touchez-Le, ne touchez pas le pasteur; ne touchez pas l’évangéliste; mais touchez Christ.

            Il doit agir de même qu’autrefois. Sinon alors, nous servons un autre Christ qui ressemble à Celui qui a existé. La Bible dit: «Il est le même Jésus, la même puissance.» Ce n’est donc pas la vertu émanant de mains d’un homme. C’est la vertu de votre propre foi dans le Christ ressuscité.

            Mes frères, je n’ai rien contre l’imposition des mains, contre le fait d’oindre les malades, tout ce que vous voulez faire. Mais la chose réelle, c’est–c’est croire en Lui, qu’Il est ressuscité d’entre les morts, et Il est présent pour se manifester et manifester chaque puissance qu’Il ait jamais manifestée. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Si Dieu fait cela et se manifeste de la même façon qu’Il s’était manifesté autrefois, combien croiront en Lui? Dites amen. [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.]

54        Les Ecritures déclarent donc cela. Jésus, à Son départ, Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde (le monde, kosmos, ce qui veut dire l’ordre du monde) ne Me verra plus. Les incroyants ne Me verront plus, mais vous, vous Me verrez.» Vous, c’est qui, vous? L’Eglise. «Car Je (je est un pronom personnel) serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.» Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            L’Eglise du Seigneur Jésus est divisée en dénominations. Elle est divisée en credos, en sectes, au point que Dieu ne peut pas entrer dans Son église. Votre dénomination ne fait pas de vous un chrétien. Je n’ai rien contre votre dénomination, rien contre votre credo, mais connaître Christ, c’est connaître la Personne de Christ.

55        La Bible déclare, Jésus dit: «Je suis le Cep, vous êtes les sarments. Ce n’est pas le cep qui porte les fruits, c’est le sarment qui porte les fruits.» Et le sarment portera les fruits du cep auquel il est attaché. Et je demande à tout érudit versé dans les Ecritures de me montrer là où Christ ait jamais organisé une église ou formé une organi... organisation, là où il ait jamais dit qu’un certain tas de credos ferait cela. Il a dit: «Si un homme ne naît de nouveau, Il ne peut même pas comprendre le Royaume de Dieu.»

            Si c’est un potiron, il produira des potirons. Si c’est une pastèque, il produira des pastèques. Si c’est une vigne, elle produira des raisins. Si nous sommes les sarments de Son Eglise, nous porterons les fruits du Seigneur Jésus. «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais.» Le même genre, pas un genre différent. «Les mêmes oeuvres que Je fais.» Que Dieu nous vienne en aide. Qu’Il nous pardonne notre incrédulité pendant que nous prions.

            Père céleste, la suite T’appartient. Nous sommes juste des hommes et des femmes qui T’aiment. Et, oh! ceci est un moment crucial. Un homme peut tout dire, mais si Tu n’es pas là pour soutenir cela, alors la parole de cet homme n’est pas vraie. Mais Tu as fait une promesse, et Ta promesse est vraie.

56        Ô Dieu, que Ton Eglise, dans toute cette salle, s’abandonne à Toi maintenant même. Et que le glorieux Saint-Esprit qui est la Personne du Seigneur Jésus, le Fils incarné de Dieu, entre dans notre être et nous mette en action. Et que les incroyants regardent et voient l’Esprit de Dieu en action dans la véritable Eglise et disent: «Certainement, Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement.»

            Accorde donc que notre coeur, selon notre prière du début, quand nous retournerons chez nous, soit en train de dire: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous lorsqu’Il se manifestait? Il a fait quelque chose.» Il a fait pour Cléopas et son ami, devant eux, exactement ce qu’Il avait fait avant Sa crucifixion.

            C’est pourquoi ils ont reconnu qu’aucun autre homme ne pouvait faire cela. Et ils ont su qu’Il était le Fils de Dieu ressuscité. Accorde la même chose ce soir, Seigneur. Que le coeur de Tes enfants devienne tendre et ouvert, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

            On a environ sept minutes de retard. Peut-être que nous nous dépêcherons. Nous allons former une ligne de prière. Je pense que Billy m’a dit avoir distribué la série T ou W; laquelle était-ce? T, la carte de prière série T. Eh bien, commençons ce soir et faisons se mettre debout juste quelques personnes ici et prions pour elles. J’aimerais que chacun de vous regarde sa carte juste...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

57        D’accord. Je veux dire... D’accord. Combien ici n’ont pas de carte de prière et aimeraient que Jésus les guérisse? Levez la main, ceux qui n’ont pas de cartes de prière. Eh bien, vous n’avez pas à être ici dans cette ligne de prière.

            Eh bien, si je vous ai dit la Vérité, Jésus-Christ agira dans Son Eglise, vous et moi, juste comme Il avait agi quand Il était ici sur terre dans un corps physique. Combien savent que Son corps physique est sur le Trône de Dieu? Et que Son Esprit est retourné sur terre pour vivre dans l’Eglise, Lui donner la Vie comme le cep donne aux sarments? Certainement. Donc, Il n’a d’autres mains que les miennes et les vôtres. Il n’a d’autres yeux que les miens et les vôtres.

58        Combien savent que les dons ministériels dans l’Eglise sont premièrement les apôtres, ensuite les prophètes, les docteurs, les pasteurs et les évangélistes? Combien savent que c’est vrai? Or, le mot apôtre signifie missionnaire. L’un, missionnaire. Pourquoi les missionnaires veulent-ils jamais être appelés missionnaires plutôt qu’apôtres? Je ne sais pas. Mais c’est le même mot; apôtre veut dire un envoyé. Missionnaire veut dire un envoyé. Ils devaient faire l’oeuvre missionnaire dans le monde.

            Les apôtres, les prophètes, les évangélistes, les pasteurs, les docteurs, cinq dons spirituels qui sont prédestinés par la prescience de Dieu, placés dans l’Eglise. C’est tout à fait vrai. Les dons et les appels sont sans repentir. Tous ces dons sont dans l’Eglise. Je ne suis pas un prédicateur, pas un fameux. Je suis juste un pneu de réserve, plus ou moins. Frère Vayle est prédicateur.

59        C’est un don que j’ai, que Dieu a donné depuis ma tendre enfance, à ma naissance. Nous n’avons pas de livres; on vous en parlera. Nous en sommes juste à cours maintenant, on en est à la quatrième ou cinquième édition. L’Histoire de ma vie. Tout cela peut être vérifié dans n’importe quel article, tant auprès de la police, tout ce que vous voulez vérifier, les actes de naissance, tout ce que vous voulez savoir, n’importe quel miracle, tout est authentique et c’est par écrit, les déclarations médicales et tout. Voyez?

            Eh bien, maintenant, dans les quelques instants qui vont suivre, tout ce que j’ai dit ce soir va être établi soit comme un mensonge, soit comme la vérité. C’est tout à fait vrai. Si quelqu’un désire prendre ma place, il est tout à fait le bienvenu à venir ici et faire cela.

60        Eh bien, il y a ici dans la ligne de prière des gens que je ne connais pas. Si je regardais ici et disais: «Il y a un homme ici dans un fauteuil roulant; il y a quelqu’un ici sur une civière, ils sont estropiés. Il y a un jeune homme assis là dans un fauteuil roulant, au bout de la ligne. Cet homme est estropié.» Assurément. Je dirais, je regarderais l’assistance et dirais: «Il y a un homme assis là en lunettes; il a mal aux yeux.» Assurément. Qu’est-ce qui ne va pas chez cette femme? Elle a bonne mine, forte et en bonne santé. Mais il y a quelque part quelque chose qui cloche. Eh bien, vous tous là dans l’assistance qui n’avez pas de cartes de prière, humiliez-vous simplement, regardez et dites: «Seigneur, je crois certainement cela.» Et voyez si Christ n’est pas le même, si votre foi ne Le touche pas. Je me retournerai directement dans l’auditoire vers chaque personne que je... ici et voyez si ce n’est pas la vérité. Lancez un défi à Dieu. Je...

61        Juste avant de commencer cette réunion, j’aimerais dire quelque chose. Je regarde ici à ma gauche. Je vois bien quelqu’un que je connais. A la réunion d’Hammond, un alcoolique à un stade pire, que les meilleurs médecins de Chicago... Combien savent qu’en médecine il n’y a pas de remède contre un alcoolique? Certainement qu’il n’y en a pas.

            La jeune fille était une misérable aux yeux de chauve-souris, une alcoolique toute faite, dans une condition horrible, elle avait essayé de... Et dans son manteau, il y avait une canette de whisky, de quoi vivre chaque jour. Elle était à la réunion et elle se trouvait au balcon, je pense, ou je ne sais où. Une partenaire de danse de Fred Astaire à l’époque était là, une toxicomane. Et cette jeune fille, Rosella Griffith, de Joliet, dans l’Illinois, et je pense que c’est elle. Est-ce vous, Rosella? Je n’en suis pas sûr.

62        Une misérable, une clocharde tout aussi pire alcoolique que n’importe quel... quartier des clochards peut en produire. Et le Saint-Esprit est descendu et Il lui a dit qui elle était, ce qu’elle avait fait, et Il l’a déclarée guérie. Et aujourd’hui, elle est missionnaire dans le quartier des clochards. Rosella, voudriez-vous vous lever, ma soeur? Une aimable belle jeune femme que Dieu a délivrée de l’alcoolisme; nous lui demanderons de témoigner plus tard dans des réunions.

            Et une partenaire de danse de Fred Astaire... Elle étudie maintenant pour devenir missionnaire, n’est-ce pas, Rosella...?... Une missionnaire aussi sur le champ de travail... Quand ils se sont offusqués pour ça, je pense que son père l’a été au début, mais elle a dit: «Oh! Non, papa, il a raison.» Le Saint-Esprit ne commet jamais de faute. Il est parfait, s’Il est le Saint-Esprit.

63        Maintenant, soyons respectueux. Et maintenant, j’aimerais que tout le monde, s’il vous plaît, pendant les quinze prochaines minutes, garde bien son siège; soyez respectueux, priez, regardez dans cette direction, et soyez vraiment respectueux, et priez.

            Et si Jésus se manifeste à cette église, à ce groupe de gens juste comme Il s’était manifesté, comme j’ai prêché à ce sujet ce soir, combien s’en iront en disant: «Par la grâce de Dieu, je croirai cela le reste de mes jours»? Levez la main vers Lui, pour dire: «Je croirai.» Maintenant, soyez tout aussi respectueux que possible. La prochaine étape maintenant dépend de Dieu. Si j’ai dit la vérité, Il est tenu à Sa Parole.

            Je suppose donc, madame, que nous sommes inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas? D’accord. Donc, Dieu vous connaît et me connaît. S’il y a quelque chose que... Si vous êtes... si vous êtes une–une croyante ou une incroyante, Lui le saura. Si vous êtes une critiqueuse, observez ce qui arrive. Si vous êtes une chrétienne, observez ce qui arrive. S’Il fait donc cela...

64        Maintenant, si je vous parlais, disant: «Madame, vous êtes malade. Je vais vous imposer les mains. Vous serez guérie», eh bien, c’est en ordre, mais je peux deviner cela. Mais s’Il vient après et vous dit quelque chose du genre de ce qu’Il avait fait quand Il l’avait fait pour les disciples et les gens de l’époque, vous saurez si c’est la vérité ou pas. S’Il connaît votre faute, juste comme Il avait fait pour la femme au puits, s’Il sait qui vous êtes, pourquoi vous êtes ici, juste comme Il avait fait pour la femme au puits, croirez-vous en Lui? De tout votre coeur?

            Eh bien, voici une parfaite scène biblique. Voici une femme que je n’ai jamais rencontrée de ma vie, et–et je ne lui jamais ai parlé, à ce que je sache. Elle a peut-être été dans des réunions quelque part. Avez-vous été dans l’une de mes réunions auparavant? Vous avez été dans des réunions; mais je ne vous connais pas. Si c’est vrai, levez la main, afin que les gens voient.

            Eh bien, un seul mot de Sa part représentera plus que ce que je peux dire dans un million de vies. Maintenant, si jamais je ne vous ai vue, et que ce beau tableau, ce soir, du Seigneur Jésus dans Sa résurrection, un homme et une femme se rencontrant pour la première fois de la vie... S’Il avait su le défaut de cette femme-là, qu’elle vivait avec un homme auquel elle n’était pas mariée, si donc Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, s’Il me dit où se trouve votre problème, vous devriez savoir si cela provient d’une puissance surnaturelle. Cette église aussi.

65        Mais maintenant, on peut taxer cela, comme les autres l’avaient fait en ce jour-là, et ils... les incroyants... «Nul ne peut venir à Moi si le Père ne l’attire», a dit Jésus. Mais cela... Il l’a fait de toute façon. Ainsi donc, au Jugement, cela sera connu.

            Eh bien, si l’assistance peut entendre ma voix, la femme semble s’éloigner de moi. Et la dame est ici pour que je prie pour une maladie physique, dans son corps. C’est vrai. Elle est une chrétienne. Elle est une croyante. Et vous souffrez des nerfs. Vous voulez que je prie pour cela. C’est vrai. Si c’est vrai, levez la main. Croyez-vous maintenant? Eh bien, regardez, plus je parle à cette femme... Eh bien, vous direz: «Frère Branham a peut-être deviné cela.» Juste un instant. En effet, il y a autre chose chez cette femme. Le Saint-Esprit s’est déplacé. Eh bien, s’Il fait quelque chose de différent, ce n’est pas deviné. Vérifiez cela. C’est parfait. Maintenant, je ne sais pas ce que j’ai dit à cette femme. L’unique moyen pour moi de le savoir, c’est par mes jeunes gens ici qui enregistrent des bandes.

66        Maintenant, la femme sait qu’il se passe quelque chose. Combien ont déjà vu la photo de l’Ange du Seigneur que nous avons ici? Faites voir les mains en les levant. Tenez, nous... Je pense qu’on en a quelques-unes ici. Elle se trouve ici même à Washington, D.C.

            Oui, je vois la femme saisir maladroitement quelque chose, c’est une assiette ou quelque chose comme cela. Elle est vraiment nerveuse. C’est son état. Elle prie aussi. Elle prie pour quelqu’un d’autre. Et c’est quelqu’un qui est dans un état très critique, qui a une tumeur. C’est une personne avancée en âge; c’est sa mère. Et elle souffre d’une hydropisie de coeur. C’est exact. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Croyez-vous, madame? Croyez-vous, auditoire? D’accord. Amenez avec vous le mouchoir que vous baignez de larmes. Dieu vous accordera ce que vous avez demandé. Amen.

67        Nous sommes inconnus l’un à l’autre, monsieur. C’est notre première rencontre, est-ce vrai, en personne? Vous–vous avez été dans mes réunions. Où était-ce, monsieur? Dans l’Indiana. Mais je ne vous connais pas. Jamais. C’est la première fois que nous sommes comme ceci ensemble.

            D’accord, le Jésus que quelqu’un était allé chercher, du nom de... je veux dire, Philippe est allé chercher Nathanaël. La dernière personne qui était ici, je pense, c’est une femme, comme l’Ecriture sur laquelle j’ai prêché ce soir, la femme au puits. Et voici une autre Ecriture que j’utilise, quelqu’un qui était allé chercher un autre et qui l’a amené, et Il lui a dit où il était, et son état. Il a cru.

68        Si, comme nous sommes inconnus vous et moi, si le Seigneur Jésus fait la même chose, croirez-vous cela de tout votre coeur? Vous savez que cela viendra par une certaine puissance. Votre mal se situe à la gorge. Vous souffrez de la bronchite, ça vous pousse à tousser et ça vous fait mal la nuit ...?... Vous vous relevez sur les coussins, vous vous endormez. Et autre chose, vous avez une infection de peau, et les médecins n’arrivent à rien faire à ce sujet. Et cette infection de peau, c’est la mycose. C’est exact.

            Croyez-vous que Dieu vous connaît, monsieur? Vous n’êtes pas de cette ville. Vous êtes venu du nord vers ici. Vous venez d’une ville appelée Hamilton, dans l’Ohio. Vous vous appelez George Burns, Barns, c’est ça George Barns. Rentrez chez vous, le Seigneur Jésus vous a guéri et Il vous rétablit. Amen. C’est votre foi qui a fait cela. Amen. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Ayez foi. Ne doutez pas. Soyez respectueux dans la réunion maintenant. Ne vous déplacez pas; Soyez vraiment respectueux. Continuez simplement à croire.

69        Bonsoir. Croyez-vous que le Seigneur Jésus, madame, est ici? Si je pouvais faire quelque chose pour vous... Vous avez probablement l’âge de ma mère. Et si je pouvais faire quelque chose pour vous, et que je ne le faisais pas, je–je serais une horrible personne. Mais je ne peux rien faire. J’ai expliqué cela, que c’est quelque chose que j’aimerais que vous croyiez, quelque chose qui a été fait pour vous. Priez simplement. Maintenant, continuez simplement. Ne doutez pas; continuez simplement à prier. Si le Seigneur Dieu me révèle votre maladie, croirez-vous que je suis Son serviteur et dans Sa Présence? Vous serez rétablie. Que le Seigneur soit bienveillant envers vous. Vous êtes dans un état critique. Les médecins vous ont abandonné à cause de cela il y a longtemps. Vous souffrez d’une infection; à part cela, je vous vois essayer d’appuyer sur votre tête ou quelque chose comme cela. Vous avez un bourdonnement à la tête.

70        Vous n’êtes pas de cette ville, vous venez d’une autre région où il y a... ou d’une ville, c’est une très grande ville. Et vous avez, euh, une espèce de bureau d’immigration au... C’est Detroit, à Michigan. Je vous vois assise au téléphone, vous parlez à quelqu’un. C’est moi. Vous m’avez téléphoné, et j’ai prié pour vous au téléphone. C’est tout à fait vrai. Maintenant, si vous croyez de tout votre coeur, vous pouvez retourner chez vous maintenant, guérie. Croyez-vous cela? Que Dieu vous bénisse donc. Poursuivez votre chemin au Nom du Seigneur Jésus et soyez...

            Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Madame assise ici au bout du siège, ici même, costaude. Oui. Vous avez aussi un besoin. Vous êtes en train de prier. Croyez-vous que Dieu exaucera la prière? Si le Seigneur Jésus me révèle ce que vous vouliez qu’Il guérisse chez vous, croirez-vous que je suis Son serviteur? D’accord, alors cette maladie des nerfs, ces maux de tête que vous avez... c’est exact. Faites signe de la main comme ceci si c’est vrai. Cela vous a maintenant quitté. Vous pouvez rentrer chez vous, bien portante.

            Vous avez touché Quelque Chose. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre, madame? Vous et moi, sommes-nous inconnus? Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je ne vous connais pas. Si c’est vrai, levez la main. D’accord. Ayez simplement foi maintenant. Ne doutez pas. Peut-être que vous pensez que...

71        Qu’en est-il de la dame à côté de vous là? Là... Croyez-vous de tout votre coeur, madame? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Si Dieu me révèle ce dont vous avez besoin, croirez-vous que je suis Son serviteur? D’accord. Si vous croyez cela de tout votre coeur, vous pouvez le recevoir. Et cette hypotension dont vous souffrez vous a quittée maintenant. Vous pouvez rentrer chez vous, bien portante. Croyez simplement. Ne doutez pas.

72        Voudriez-vous me faire une faveur? Cette main que vous agitez, posez-la sur la dame à côté de vous. Cette dame souffre du coeur, des palpitations cardiaques, surtout après que vous avez mangé et que vous vous êtes couchée. C’est vrai. Ce n’est pas exactement une maladie du coeur, c’est du gaz de votre estomac causé par la gastrite. Vous en avez souffert depuis longtemps. C’est vrai. Faites signe de la main, si c’est vrai. Maintenant, cela vous a quittée. Vous pouvez retourner chez vous, bien portante.    

            Je défie votre foi au Nom de Jésus. Qu’ont-ils donc touché? Pas moi, ils ont touché le Souverain Sacrificateur, le Christ.

            Nous sommes inconnus l’un à l’autre, je pense. Si c’est vrai, voudriez-vous lever la main? Si le Seigneur Dieu me révèle votre maladie, accepterez-vous cela? Je vois la dame dans un cabinet de médecin, une espèce de pièce. Ça peut être une chambre d’hôpital. Et elle est examinée, et sa blouse est enlevée... C’est–c’est sur votre poitrine, il y a des tumeurs. Et elles sont sur les deux seins. Et les médecins veulent les ôter. C’est tout à fait vrai. Il a dit que vous devriez faire cela tout de suite, tous les deux hommes, l’un mince et l’autre costaud, eux tous deux.

73        Maintenant, qui était dans le cabinet de médecin pour voir cela? Le Seigneur Jésus qui savait que Philippe était sous l’arbre, ou plutôt Nathanaël. Non seulement cela, mais il y a quelque chose qui cloche avec votre estomac. Je les vois tenir un staff médical, ils ne savaient pas ce que c’est. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Croyez-vous que je suis Son serviteur?

            Vous avez aussi quelqu’un ici présent, qui est dans un état critique. C’est votre mari. Il est assis là au balcon, et il est en train de prier. Si Dieu me révèle ce dont votre mari souffre ici, croirez-vous cela? Il souffre de l’arthrite au niveau de ses mains. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Allez donc et soyez guérie au Nom de Jésus. Que Dieu vous bénisse.

            Bonsoir, madame. Croyez-vous que je suis Son serviteur?

            Qu’en est-il de la dame assise ici même en train de s’essuyer les yeux? Croyez-vous que Dieu peut arrêter cette faiblesse dans la circulation et vous rétablir? C’est pour cela que vous priiez. C’est exact. Agitez ce mouchoir-là, si c’est vrai. Qui vous connaît à part Dieu qui connaît cela? Je ne vous connais pas, n’est-ce pas?

74        La femme à côté d’elle là, vous avez l’air frêle. Croyez-vous que je suis Son Serviteur? Eh bien, Pierre et Jean franchissaient la porte appelée La Belle. Ils ont dit: «Regarde-nous.» Cela veut dire: «Ecoute ce que je dis.» Vous souffrez du coeur. Croyez-vous que le Seigneur Jésus vous rétablira? Croyez-vous qu’Il vous guérira? Si vous croyez de tout votre coeur, vous pouvez recevoir cela. Croyez-vous que la mère se rétablira? Croyez-vous? Si vous... C’est pour cela que vous vous tenez ici. Eh bien, ce mouchoir que vous avez avec vous là, ce n’est pas à vous, mais prenez le mouchoir, envoyez-le-lui, croyez de tout votre coeur, et elle se rétablira. Poursuivez votre chemin, réjouissez-vous, dites: «Merci, Seigneur.»

            Nous sommes inconnus l’un à l’autre, je suppose. C’est notre première rencontre? Maintenant, soyez respectueux. Quelqu’un a fait quelque chose. Quelqu’un ici présent est en train de prier, il y a un enfant qui apparaît sans cesse. Quelqu’un est en train de prier quelque part ici pour un enfant. Maintenant, vous, qui que ce soit, continuez à prier. Oh! Que c’est merveilleux d’être dans Sa Présence. Comme David a dit: «Ma coupe déborde.» Pouvez-vous vous rendre compte que le Christ, le Fils de Dieu ressuscité est présent? Assurément que nos credos nous ont engourdi le coeur jusqu’à ce point. Nous ne reconnaissons pas Sa Présence. Que peut-Il faire de plus?

75        Je pense que c’est à vous que je m’adresse. Si le Seigneur Dieu me révèle votre problème, croirez-vous de tout votre coeur? Vous vous tenez ici pour quelqu’un d’autre. C’est exact. Et vous vous tenez ici, avec dans votre main un mouchoir pour lui. C’est une personne aveugle. Et c’est votre parente. C’est votre beau-frère. Et la raison pour laquelle il n’est pas ici, c’est qu’il est tombé et s’est fracturé.

            Si je vous dis quelle partie du corps a été fracturée, croirez-vous? Il s’est fracturé le dos quand il est tombé. C’est exact. Si c’est exact, levez ce mouchoir-là vers Dieu. Maintenant, allez poser cela sur lui et croyez de tout votre coeur. Il en sera tel que vous avez cru. Que Dieu vous bénisse maintenant.

76        Croyons. Tenez-vous là une minute, madame. Vous n’avez pas à venir dans cette direction. J’aimerais vous parler. Quand vous vous êtes levée il y a quelques instants et que vous vous êtes mise à traverser là, quand je vous ai parlé, quelque chose est arrivé. Vous vous êtes sentie différente. Eh bien, vous portez des lunettes; ça, on le voit et on sait qu’il s’agit de vos yeux, surtout votre oeil gauche.

            Mais croyez-vous qu’Il vous rétablira de cette arthrite aussi, vous guérira et vous rétablira? Croyez-vous de tout votre coeur? Allez donc, faites demi-tour, rentrez chez vous, en croyant de tout votre coeur; vous pouvez vous rétablir. Ou partez de ce côté si vous le voulez, vous n’avez plus cela. Soyez guérie.

            Avancez, madame. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre? Maintenant, je vais prendre quelqu’un qui pense que c’est de la télépathie. Eh bien, ne pensez pas que vous pouvez cacher votre vie maintenant. Vous ne le pouvez pas. Eh bien, arrêtez d’avoir de telles pensées; c’est un péché. Le péché, c’est quoi? L’incrédulité. «Celui qui ne croit pas est déjà condamné.» Tenez, venez ici, madame. Vous. Placez votre main sur la mienne pour établir un contact. Si le Seigneur Dieu me dit, par ce moyen-ci, votre maladie, croirez-vous que cela vous est révélé par le Fils de Dieu? Ça ne peut pas être de la télépathie.

77        Combien croiront cela de tout leur coeur? Levez la main. Que la dame en soit juge. Vous souffrez d’une maladie gynécologique, c’est une maladie de femme, et vous voulez que je prie pour vous. Si c’est vrai, levez la main en la détachant de la mienne. Vous êtes guérie maintenant. Vous pouvez poursuivre votre chemin. «Si tu peux croire, tout est possible.»

            Juste pour vous faire savoir qu’Il vous connaît, regardez ici juste une minute. Cette dame ici a souffert de la même chose, d’une maladie gynécologique. Et remarquez ici, vous voyez cette jeune dame assise là même? Jeune telle qu’elle apparaît, assise là même dans la deuxième rangée, avec les mains levées au niveau de la bouche, elle souffre de la même chose, d’une maladie de femme, une jeune femme. C’est vrai. Levez la main si c’est vrai, madame. Vous avez été guérie au même moment que cette femme-là. Maintenant, poursuivez votre chemin; soyez rétablie. S’Il connaît ce qui a été, ne connaît-Il pas ce que sera le futur? D’accord.

78        Madame, croyez-vous que les maux de dos vous ont quittée? Poursuivez votre chemin, réjouissez-vous et dites: «Merci, Seigneur Dieu.» Croyez.

            Vous êtes couverte de l’ombre de la mort, c’est le cancer. Mais si vous croyez de tout votre coeur que Dieu vous guérit... Croyez-vous cela? D’accord, poursuivez votre chemin, réjouissez-vous et dites: «Merci, Seigneur Dieu.»

            Et vous souffriez de la même chose. J’ai dit: «Vous souffriez de la même chose.» Vous n’en souffrez pas maintenant. Poursuivez votre chemin et dites: «Merci, Seigneur Dieu.» Croyez de tout votre coeur.

            Voudriez-vous aller prendre votre souper et c’est... croire que ce trouble d’estomac vous a quitté? Croyez-vous cela? Allez et prenez votre souper donc et soyez guéri au Nom de Jésus-Christ. «Si tu peux croire, tout est possible.» Madame, vous avez le tueur, c’est la maladie du coeur. Maintenant, croyez-vous que Dieu vous a guérie? Poursuivez votre chemin et réjouissez-vous.

79        Juste un instant. Une ombre noire a parcouru la salle, un esprit mauvais; exact. Ici même, une petite fille en train de jouer avec ses doigts. Mère, croyez-vous que Dieu guérira cet enfant-là de crises d’épilepsie? Si vous croyez cela de tout votre coeur, imposez-lui la main et demandez à Dieu, et ne doutez pas, elle s’en remettra, au Nom du Seigneur Jésus.

            Je défie votre foi de croire en Lui. Il est Omniprésent. Il est ici maintenant, le grand, non pas j’étais, JE SUIS, le glorieux Seigneur Jésus-Christ, le Fils du Dieu vivant. Croyez-vous cela? Qu’en est-il de vous ici dans ces fauteuils, civières et brancards? Croyez-vous? Qu’en est-il de cet homme couché ici? Il a la main levée, il est couché là sur le brancard. Croyez-vous, monsieur? D’accord, si vous croyez, relevez-le au Nom du Seigneur Jésus. Et si vous croyez de tout votre coeur, le cancer vous quittera et vous rentrerez chez vous guéri. Levez-vous. N’ayez pas peur. Levez-vous.

80        Disons: «Gloire au Seigneur», tout le monde. Jésus-Christ vit et règne. Je vous demande de croire cela. Croyez-vous cela? Imposez-vous les mains les uns aux autres. Imposez-vous les mains les uns aux autres. Maintenant, prions.

            Ô Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, Donateur de tout don excellent, envoie Ton Esprit, Seigneur, aux coeurs des gens et manifeste Ta grande puissance. Guéris-les, Seigneur. Tire gloire de cette réunion. Au Nom de Jésus-Christ, je le demande. Amen.

            Disons: «Merci, Seigneur», tout le monde. Le Seigneur Jésus-Christ, le Fils du Dieu vivant, est présent. Levez-vous juste un instant. Levez-vous et rendez-Lui louange et gloire. Levez les mains vers Lui. Rendez-Lui gloire, vous tous, car Son Sang peut ôter...

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