Où Est-Il, Le Roi Des Juifs?

Date: 58-1221M | La durée est de: 1 heure et 50 minutes | La traduction: Shp
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1          Et j’apprécie certainement cela. C’est mon premier cadeau de Noël, je suis donc très reconnaissant. Et, bien, si seulement je peux arriver à prêcher maintenant sans chercher à l’ouvrir... Je suis juste comme un enfant qui est dans la fièvre de Noël, attendant de recevoir quelque chose, vous savez; vous sentez tout simplement qu’il y a une petite surprise et vous devez tout simplement y entrer. Et, vous savez, quand... Même quand nous devenons vieux, je ne pense pas que nous perdons tout de notre enfance. Le pensez-vous? [L’assemblée dit: «Non.»–N.D.E.] Nous sommes tout simplement des enfants qui ont grandi; c’est à peu près ça.

2          Bien, que le Seigneur soit loué! Nous sommes heureux d’être de nouveau ici en cette belle matinée de Noël, nous attendant à ce que les bénédictions du Seigneur continuent à se déverser sur nous, tandis que nous continuons avec la série des réunions, comme je suis sûr qu’Il nous en a accordé.

3          Et je crois que ce matin ils ont des cadeaux pour les enfants, ou–ou c’est... [Frère Neville dit: «On s’en est déjà occupé.»–N.D.E.]... On s’en est déjà occupé, les cadeaux des enfants. Bien, c’est une très bonne chose.

4          A présent j’aimerais donner juste un bref et petit rapport sur notre dernière réunion, si c’est en ordre, en–en ce moment. [Frère Neville dit: «Amen.»–N.D.E.] C’est vous qui priez et vous accrochez à Dieu pour que j’aille dans ces services. Et j’aimerais simplement donner un petit résumé de–de la dernière réunion uniquement.

5          Un des événements remarquables de la dernière réunion s’est produit à Shawano, dans le Wisconcin. C’était dans l’amphithéâtre de l’école secondaire, l’amphithéâtre de la nouvelle école secondaire, quand nous étions sur le point de prier pour les malades. Je venais de faire l’appel à l’autel, et plusieurs avaient levé leurs mains pour accepter Christ comme leur Sauveur personnel. Et alors, il s’est fait que j’ai vu quelque chose se passer; c’était juste dans l’assistance, non loin de moi. Et c’était un homme d’environ soixante-dix ou soixante-quinze ans. Il est tombé mort de suite d’une crise cardiaque. L’écume sortait de sa bouche, et l’eau a mouillé ses vêtements. Et–et son épouse lui frottait le visage très frénétiquement.

6          Et–et je savais que c’était une ruse de l’ennemi. Il fait ces choses juste pour bouleverser les gens (Voyez-vous?), et quand il fait donc cela, cela produit un affolement. Cela est arrivé plusieurs fois dans les réunions. Tout récemment en Nouvelle-Angleterre, cela s’est produit encore de la même manière, juste avant l’appel à l’autel.

7          Et donc, pour éviter que les gens soient agités, je... Dans ce genre de circonstances vous devez garder votre sang-froid pour voir ce que le Saint-Esprit dira. Car les Ecritures nous enseignent que tout concourt au bien de ceux qui aiment Dieu.

8          Et il y avait beaucoup d’enfants de Dieu qui L’aiment. Et j’ai gardé les yeux sur l’homme, et j’ai vu qu’il avait de l’écume à la bouche. Et–et comme nous le savons tous, quand la mort frappe une personne, d’habitude de l’eau sort. Voyez-vous? Et les gens... Et sa femme lui frottait donc le visage, et elle continuait simplement comme cela. Eh bien, pour éviter que les gens fassent attention à elle, j’ai dit: «Voudriez-vous que quelqu’un apporte de l’eau à boire à votre mari?» Et j’ai attiré son attention.

9          Et elle a dit: «Frère Branham, je remets seulement toute la situation entre vos mains.» Et elle appartenait à une dénomination luthérienne.

10        Et alors, je me suis dit que j’appellerais la ligne de prière, et que je ferais monter les gens afin de prier pour eux. Mais au lieu de faire cela, le Saint-Esprit s’est mis à se mouvoir dans la réunion, sur les gens, juste pour les appeler. Et Cela est passé au-dessus du vieil homme à deux reprises. Et alors tout à coup j’ai dit: «Nous allons simplement prier.»

11        Et quand je me suis mis à prier, je–je me suis entendu moi-même prier, et j’ai dit à cette mort: «Lâche-le.» Et aussitôt cela dit, l’homme revint à la vie et se tint debout. Et toute la ville en fut comme affolée, à cause de ce que le Seigneur avait fait.

12        Et alors, bien sûr, il y a eu les autres réunions. Et un petit cas que j’aimerais tout simplement mentionner, ce n’est pas pour prendre trop de votre temps, mais c’était tout récemment à Los Angeles. Je restais avec frère Arganbright.

13        Et beaucoup d’entre vous savent comment sont ces endroits, les gens appellent. Ce sont des gens qui sont dans le besoin. Nous ne condamnons pas les gens du fait qu’ils appellent et ont besoin de la prière. C’est notre devoir de prier pour ces gens. Et c’était vraiment terrible là, parce que le Seigneur a opéré pour nous beaucoup de grandes choses. Et l’une d’elles, il y avait un paralytique, il était paralysé depuis une vingtaine d’années, il était couché dans son lit de camp, et le Seigneur Dieu l’a guéri, et il a quitté la réunion en marchant. Et cela a produit une petite agitation parmi les églises.

14        Et puis, un matin, j’ai entendu le–le téléphone sonner. Et frère Arganbright avec qui je restais n’était pas là alors pour décrocher le téléphone. Et j’ai décroché le téléphone, et j’ai répondu, et c’était un–un petit missionnaire mexicain. Et il a dit: «Je ne savais pas que–que vous étiez dans la ville, Frère Branham.» Il a dit: «Je–je–je sais que vous allez tenir une réunion ce soir, quelque part, vers le Cow Palace.» Et il a dit: «J’ai un petit garçon qui n’a pas encore cinq mois.» Et il a dit: «Il se meurt du cancer.» Et il a dit: «Je sais qu’il n’est pas de coutume que l’on fasse ceci, mais pourrais-je trouver grâce pour que vous veniez prier pour le petit garçon?» Imaginez-vous, et si c’était votre bébé?

15        Et je–j’ai dit: «Je vais demander à monsieur Arganbright de venir au téléphone, et dites-le-lui; permettez... Indiquez-lui le lieu de l’hôpital, parce que je ne connais pas très bien la ville.» C’est une ville de quatre cents miles carrés [644 km²], je ne pourrais jamais trouver l’hôpital.

            Monsieur Arganbright est venu; il a dit: «Frère Branham, je... Vous...»

            J’ai dit: «Je sens absolument que c’est la conduite du Saint-Esprit.»

16        Nous sommes donc allés en ville, là-bas à l’hôpital. Et c’était un frère mexicain, bien qu’il n’était pas sombre, il n’était pas plus sombre que moi, un homme d’environ mon âge, avec son épouse, une Finlandaise, une petite blonde, une très charmante dame. Et c’était un gentleman. Et nous sommes entrés dans l’hôpital.

17        Et, oh! je vois un tas de spectacles, nous en voyons tous, qui nous troublent et qui nous émeuvent, mais c’était là un de pires spectacles que j’aie jamais vus. Ils ont dû amener le petit garçon au–près de la salle des infirmières, il avait une infirmière spécialement pour lui. Et quand j’ai regardé, le cancer avait envahi sa petite mâchoire au point que l’on avait dû nouer un linge autour de sa tête, pour empêcher que sa tête n’éclate. Et dans cette petite mâchoire, là où le médecin avait tenté d’enlever le cancer, il avait fait de profondes entailles çà et là comme ceci, tout autour de sa petite gorge. Et cela avait tout simplement aggravé le cancer, si je peux le dire ainsi; en fait, cela l’avait répandu, c’est ça le mot exact. Et le cancer avait atteint sa petite langue, et la bouche d’un petit bébé qui n’est pas plus large que ça, la petite langue avait gonflé et était ressortie jusqu’à ce niveau, et avait noirci, et en fait cela l’empêchait de respirer par les narines.

18        Et ce papa s’est avancé tout près du petit bébé, il a dit: «Bonjour, Ricky, a-t-il dit, le petit garçon de papa. Papa a amené frère Branham pour qu’il prie pour toi, Ricky.» Et le petit bébé a reconnu son père.

19        Et–et il ne respirait pas ici au-dessus, on avait donc dû faire un trou dans sa gorge. Il y avait un petit... Il y avait dans sa petite gorge comme un petit sifflet rond que l’on utilisait il y a des années. Et il respirait au travers de ce sifflet. Et une infirmière devait rester là constamment, parce que l’écoulement provoqué par le cancer ferait–boucherait ce petit trou. Et elle devait évacuer cela comme cela, l’écoulement provenant du cancer. Et ses petits bras étaient dans des attelles pour l’empêcher de saisir et d’arracher cela avec ses mains quand cela l’étouffait. Et il y avait là une infirmière en permanence qui, lorsque cela commençait à l’étouffer, étendait le bras pour prendre cette chose et évacuer les écoulements cancéreux de ce petit sifflet, là où ça passait à travers la gorge.

20        Et il avait les mains tendues comme ceci vers son papa, sa petite tête penchée en arrière. Et ses petites... Eh bien, nous sommes des frères et des soeurs. Sa petite couche n’était pas... Le petit bébé tout entier n’était pas aussi grand que ça. Il n’avait pas encore cinq mois, et ce petit a reconnu son papa. Et son papa a dit: «Ricky, le petit garçon de papa...» Oh! cela ferait tout simplement fondre le coeur de l’homme le plus insensible. Et il essayait de jouer avec lui ou plutôt de le caresser comme ceci.

21        Et j’étais debout là, je me suis dit: «Seigneur Jésus, si Tu es la Fontaine de toute sympathie, et que toute miséricorde est en Toi, cela ferait-il Ta joie de voir ce petit chouchou couché ici, mourant comme cela? Je ne peux simplement pas le croire, et je ne croirai jamais que c’est le–que c’est la volonté du Dieu Tout-Puissant de voir une telle chose.» Je me suis dit: «Tu es la Fontaine de miséricorde. Et si Tu es la Fontaine de miséricorde, alors comment pourrais-Tu–peux-Tu être un Dieu miséricordieux et Te plaire à voir quelque chose comme cela?» Je me suis dit: «Que ferais-Tu si Tu te tenais ici?»

22        Bien, j’espère que mon petit groupe qui est ici me connaît assez bien pour savoir que si je suis un fanatique, je n’en suis pas conscient. S’il est une chose que je désire être, c’est être honnête. Quand je dois rencontrer Dieu, je désire Le rencontrer avec un coeur honnête. Et j’ai fait de mon mieux.

23        Mais Quelque Chose m’a parlé quand j’ai dit: «Seigneur, que ferais-Tu si Tu te tenais ici?».

            Quelque Chose m’a répondu, disant: «J’attends de voir ce que tu vas faire.»

24        Et tandis que je regardais ce petit, j’ai pris sa petite main de bébé, qui n’était pas plus large que ça, et je l’ai mise entre mes doigts comme ceci, et je l’ai tenue. Et j’ai dit: «Par la foi en Dieu, je place le Sang du Seigneur Jésus-Christ entre ce cancer et le bébé», et je me suis tourné et je suis sorti. Le père m’a raccompagné. Je ne pouvais rien dire de plus.

25        Et je suis arrivé à la voiture, et il a dit: «Frère Branham, voici une petite dîme que j’ai mise de côté pour vous.»

26        J’ai dit: «Oh! bienveillant frère, ne fais pas cela.» J’ai dit: «Non, je ne prends pas l’argent.»

27        Il a dit: «Mais ceci, c’est la dîme qui revient au ministère.» Il a dit: «J’avais mis cela de côté, me disant que je vous verrais un jour.»

28        J’ai dit: «Affectez cela là à la petite facture de Ricky.» J’ai dit: «Il–il en aura besoin.» Et alors je suis rentré à la maison.

29        Et deux heures après ce moment-là, les petites mâchoires étaient redevenues normales, la langue était rentrée dans sa bouche. L’amour miséricordieux d’un Père aimable et bienveillant avait jugé bon de guérir le bébé. Le lendemain matin le bébé devait être renvoyé à la maison, comme un bébé bien portant.

30        Et comme je me préparais à quitter... Evidemment, la nouvelle s’est répandue sur la côte ouest. Et voilà qu’un médecin réputé a envoyé son petit-fils depuis loin au-delà de Pasadena, et on a dressé un barrage routier là pour que l’on prie pour cet enfant; en fait, il avait administré à l’enfant une injection de pénicilline qui a fait qu’un cancer se forme dans son côté, un tout petit bébé d’environ deux ans.

31        Et alors, ce petit missionnaire mexicain a téléphoné, il a dit: «Je–je dois voir frère Branham avant qu’il parte.» Mon épouse et moi étions déjà dans la voiture.

32        Et j’avais attrapé un poisson quelques années auparavant, à la rivière de Non-Retour, quand j’étais en compagnie des Hommes d’Affaires Chrétiens. Et Walt Disney, ce groupe qui est là-bas, avait envoyé cela chez le taxidermiste [spécialiste qui prépare un animal mort pour qu’il garde l’apparence de la vie–N.D.T.], parce que c’est une truite arc-en-ciel qui décroche le record mondial. Et je l’arrangeais dans la voiture.

33        Et une–une petite station wagon se gara derrière, et ce petit mexicain en descendit. Et les larmes coulaient sur ses joues comme il accourait en agitant son chapeau; et il était en compagnie de sa petite femme finlandaise. Et il a dit: «Frère Branham, voici cette dîme que le Seigneur vous a envoyée.»

            «Oh! ai-je dit, frère...»

            Il a dit: «Vous savez, Ricky rentre à la maison aujourd’hui.»

34        J’ai dit: «J’en suis reconnaissant.» Il a dit... J’ai dit: «Mais je vous ai dit de prendre la–la dîme et–et de l’affecter à la facture de Ricky.»

35        Il a dit: «C’est tout justement ce que je devais vous dire, Frère Branham.» Il a dit: «Quand je suis allé payer le médecin ce matin, je lui ai tendu ces–cet argent. J’ai dit: ‘Docteur, je voudrais vous remettre une somme d’argent pour la facture.’ Il a dit: ‘Monsieur, ne me parlez même pas de cela. Vous ne me devez rien.’ Il a dit: ‘C’est la chose la plus glorieuse que j’aie jamais vue se faire dans toute ma vie.’ Il a dit: ‘C’est le miracle des miracles.’ Il a dit: ‘Vous ne me devez pas un seul sou.’» Cela montre tout simplement que le Dieu vivant vit toujours.

36        Et maintenant, avant que nous ouvrions Sa... Oh! il y a bien d’autres choses qui se sont produites. J’aurais souhaité avoir le temps pour vous les raconter, mais le temps ne le permettra pas.

37        Et maintenant, directement après le premier de l’an, je... janvier, je quitte de nouveau pour l’étranger, pour le... Je serai à Kingston, en Jamaïque, au–au champ de courses pour... en janvier, et de là je me rendrai à Porto Rico et ailleurs.

38        Inclinons donc nos têtes juste un instant pour un mot de prière à notre Grand et Aimable Christ.

39        Ô Seigneur, Tu as été notre refuge dans chaque génération. Tu es un secours qui ne manque jamais dans la détresse. Et de savoir que Ta Présence bienveillante ne faillit jamais, elle va au-devant de nous et il nous est enseigné que les Anges de Dieu campent autour de ceux qui Le craignent.

40        Amène sur nous aujourd’hui, Seigneur, cette crainte pieuse afin que nous sachions que nous sommes les sujets de Ta main, et que nous comparaîtrons un jour devant Ton tribunal divin. Nous ne connaissons qu’un seul remède, et c’est ce qu’enseigne Ta Parole. C’est le Sang de Ton Fils Jésus, lequel intercède pour nous ce matin dans la Présence du Tout-Puissant, nous réconciliant avec Lui au travers de Ses mérites. Et cela nous est donc offert, une grâce imméritée, et nous L’aimons à cause de ceci. Et comme nous...

41        Des centaines de grandes choses que Tu as faites sont gravées dans notre esprit. Et la plus glorieuse de toutes dont nous pouvons nous souvenir, c’est quand Tu nous as sauvés de la vie de la mort, où la mort demeurait en nous à cause du péché et des transgressions. Mais en acceptant Son pardon, conformément à Sa Parole... Car il est écrit: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle.» Et nous le croyons, et nous l’avons accepté, et nous témoignons de la Présence du Saint-Esprit.

42        Et maintenant dans ces dernières heures mauvaises, les dernières heures de l’histoire de ce monde, nous Te sommes reconnaissants, ô Dieu, de savoir qu’alors qu’il y a tant de confusion dans l’esprit des gens et que ces derniers courent çà et là, comme Tu l’as annoncé au travers des saints prophètes, qu’en ce jour viendrait le temps où les hommes viendraient de l’est, de l’ouest, du nord et du sud, cherchant à entendre la véritable Parole de Dieu... Et nous vivons pour voir ce temps-là.

43        Et Tu as prédit qu’un temps viendrait entre Ta crucifixion et Ta Venue, un jour qui ne serait ni jour ni nuit, un jour qui serait un temps sombre, obscur, où il y aurait juste assez de lumière pour pouvoir se déplacer. Mais Tu as dit: «Vers le soir la lumière paraîtra.» Le même Fils, le même Christ qui s’est levé et est entré en scène à l’est... Et géographiquement parlant, le soleil traverse l’horizon de la terre, et maintenant il se couche à l’ouest, mais c’est le même soleil qui s’était levé à l’est. Ainsi le même Fils de Dieu envoie Son Esprit dans ces derniers jours pour montrer que ces Ecritures ne peuvent pas être brisées; chacune d’Elles doit être accomplie.

44        A la veille de cette grande Noël, alors que nous ne savons pas si ceci pourrait être la dernière où nous pourrons nous réunir... et nous demandons que le Fils du Dieu vivant veuille demeurer parmi nous ce matin, et nous parle selon Sa bienveillance et Sa miséricorde, et nous accorder le pardon de nos péchés.

45        Et nous ne voudrions pas oublier, Seigneur, les affligés et les nécessiteux qui ont besoin de Ton toucher qui guérit; ce même Dieu qui a laissé vivre le petit Ricky, qui a ramené le mort comme Tu avais promis que Tu le ferais dans les derniers jours... Et Tes Paroles sont la Vérité. Nous croyons que Tu es ici ce matin, omniprésent, et que Tu es plus que disposé à faire infiniment au-delà de tout ce que nous pourrions demander ou penser. Nous nous attendons à Toi, Père, au Nom du Seigneur Jésus, Ton Fils. Amen.

46        Bon, ce soir, si c’est la volonté du Seigneur, je souhaite tenir un service évangélique. Je ne sais pas encore avec précision sur quoi va porter mon message, étant donné que notre très bienveillant et bien-aimé pasteur m’a demandé de tenir les deux services d’aujourd’hui. Et je vais essayer de le faire par la grâce de Dieu. Et j’aimerais parler du Messie qui vient, ou de quelque chose en rapport avec ce sujet-là ce soir, ou plutôt de cet ordre-là.

47        Ce matin, comme c’était Noë-... le dimanche juste avant Noël, j’aimerais parler de quelque chose qui, je pense, pourrait être compris des tout petits qui viennent d’être congédiés et qui ont pris place dans l’église, donc de ce que nous pourrions appeler un petit texte de Noël.

48        Et vous qui désirez ouvrir les Saintes Ecritures, si vous voulez bien prendre avec moi l’Evangile de Matthieu, au chapitre 2, alors que nous lisons Sa Parole.

49        Et n’oubliez pas, les réunions commenceront à dix-neuf heures trente, à... C’est juste, n’est-ce pas, frère? [Frère Neville dit: «C’est juste. Oui.»–N.D.E.] Exactement à dix-neuf heures trente, ce soir et nous aurons environ une heure de service, de service de prédication.

50        Et maintenant, vous qui avez ouvert vos Bibles, j’aimerais lire un verset ou deux de ceci comme texte, et je prie Dieu de nous accorder le contexte.

Jésus étant né à Bethléhem en Judée, au... du roi... au temps du roi Hérode, voici des mages d’Orient arrivèrent à Jérusalem, et dirent: Où le roi des Juifs qui vient de naître? car nous avons vu son étoile en Orient, et nous sommes venus pour l’adorer.

51        Ils devaient être terriblement fatigués. Vous voyez, le–l’ordre était urgent. Et c’était l’ordre du roi; par conséquent cela devait être exécuté. Et cela semble étrange que dans une telle grande scène que nous considérons comme la première Noël, un tel ordre soit donné à ce moment-là. Mais, vous savez, le Dieu du Ciel a tout prédestiné en Jésus-Christ et tout doit se passer exactement en conformité avec Sa grande volonté. Et alors qu’ils se tenaient là, juste du côté ouest de Bethléhem...

52        En venant de la Judée, vous gravissez une montagne et un désert rocailleux, une contrée désolée. Et en suivant l’une des rues principales de Bethléhem, il y a un petit–un sentier qui grimpe la montagne (et c’est ce qu’on appelle une route, et ce n’est pas plus qu’une sorte de petit chemin comme on en trouve ici) et qu’empruntaient les animaux. En effet, c’était un chemin qu’empruntaient les ânes; c’était par là que passaient les ânes et les chameaux en descendant en Judée depuis Bethléhem.

53        Et quand vous parvenez au sommet, sur la route qui mène de la Judée à Bethléhem, vous atteignez le sommet de la colline, un grand rocher se trouve là, un rocher qui a à peu près le tiers de la dimension de ce bâtiment. Et ça doit être là quelque part qu’ils se sont arrêtés après avoir gravi la colline pour laisser la petite mule se reposer. Et Joseph était très fatigué parce qu’il avait été fortement pressé ce jour-là pour arriver à Bethléhem. En effet, Hérode et César Auguste avaient publié un édit selon lequel chaque personne devait rentrer dans sa ville natale, pour payer l’impôt. Et les impôts ont toujours été à la base de la ruine de toutes les nations. Chaque nation qui soit jamais tombée est tombée à cause de ses impôts. Et ils avaient été soumis au recensement.

54        Et, oh! il faut être impitoyable pour obliger une femme dans cet état-là de quitter sa maison, d’effectuer un long déplacement dans cet état-là, car, voyez-vous, à ce moment-là elle était enceinte.

55        Et elle n’était qu’une jeune fille, on croit qu’elle avait environ dix-huit, dix-neuf ans. Elle était assise sur le petit âne.

56        Et pendant que le petit âne haletait après qu’ils s’étaient arrêtés pour un petit moment de repos, Joseph s’est approché du bord de l’endroit où ils se tenaient, et il a regardé en bas vers Bethléhem, le monde ne savait pas que ce soir-là l’événement qui se produirait serait chanté par la bouche des peuples tout au long des âges qui suivraient. Et Joseph, tandis qu’il regardait et contemplait la ville, avec les murmures des gens, certains opposés au... étant obligés de payer leur impôt, je peux l’entendre dire quelque chose comme ceci: «Chérie, tu sais, je doute que nous trouvions une place à l’hôtel pour toi ce soir. J’aperçois les gens couchés dans les rues et partout où ils peuvent trouver un espace pour se coucher. La ville est pleine de monde. Et toutes les régions des alentours sont venues pour ce recensement.»

57        Mais c’est étrange, dans son étonnement, comme il se retourne pour regarder, sa petite femme ne semblait pas être en mesure de répondre. Et comme il tourne la tête pour voir ce qui est arrivé à celle-ci, il constate qu’il y a sur son visage un éclat tel qu’il n’en avait jamais vu auparavant. Et sous son joli front, ses yeux semblaient dirigés en haut, regardant vers le ciel, c’est comme s’il y avait sur son visage un reflet céleste. Et il se tourne et la touche par la main.

58        Et finalement, elle le regarde et dit: «Joseph, as-tu remarqué cette Etoile qui est suspendue là-bas? Elle semble être la plus belle Etoile que j’aie jamais vue dans toute ma vie. Elle semble illuminer tout le village de Bethléhem.» Et je peux l’entendre dire: «Depuis que le soleil s’est couché, j’observe cette Etoile, Elle semble nous avoir suivis.»

59        Je peux entendre Joseph dire quelque chose comme ceci: «Oui, chérie, je–je vois réellement quelque chose de particulier, car Elle semble être l’Etoile la plus brillante de tous les cieux.» Et c’est réellement exact. Il est le Lys de la vallée, l’Etoile du matin (comme l’a dit le poète), le plus beau d’entre dix mille pour mon âme.

60        Et comme il place tendrement les mains sous les jambes et à la taille de sa petite chérie, sa femme, il la soulève de l’âne, la transporte et la fait asseoir sur le rocher, pour que la petite bête de somme puisse se reposer.

61        Et pendant qu’elle place tendrement les bras autour de ses épaules, je peux l’entendre dire quelque chose comme ceci: «Joseph, nous sommes tous deux conscients que tout ceci est mystérieux. Nous ne pouvons tout simplement pas le comprendre. Mais étant tous deux des croyants, nous savons que Jéhovah a quelque chose en réserve, et qu’Il nous a choisis; et Il m’a choisie parmi toutes les femmes du monde aujourd’hui pour cacher ce Message dans mon coeur.» Vous voyez, le monde pensait que c’était un enfant illégitime qui allait naître; mais Marie connaissait la vérité.

62        Et aujourd’hui beaucoup de gens pensent la même chose, à savoir que ces gens qui ont reçu ce Christ sont une espèce de lunatiques ou de personnes de mauvaise réputation. Mais ceux qui gardent précieusement cet Esprit et cette foi dans leur coeur savent où ils se tiennent; rien ne dérange cela.

63        Il y a quelques jours un brave ami à moi m’a téléphoné, et il parlait à quelqu’un qui étudie la psychologie et–et le–l’esprit. Et cette personne avait lu mon livre, et elle a dit: «Si c’est un homme spirituel, savez-vous qu’il n’y a qu’un cheveu qui sépare les gens très spirituels de la folie?» Et la personne était quelque peu alarmée.

64        J’ai dit: «Ne trouvez pas cela étrange. Notre Seigneur fut traité de fou, tous Ses disciples furent traités de fous; et tous ceux qui L’adoraient furent traités de fous. Le grand Paul a déclaré: ‘J’adore le Dieu de mes pères selon la voie qu’ils appellent une secte.’» Ils ne sont pas fous. Mais le monde... la prédication de l’Evangile est folie pour ceux qui périssent; mais il a plu à Dieu de sauver par cette folie ceux qui veulent croire.

65        Et pendant qu’ils... que ce petit couple était assis là et regardait dans cette vallée, et qu’il voyait cette grande Etoile briller à l’est, au loin, à des centaines de kilomètres de là, de l’autre côté des montagnes et des mers, en Inde, des mages étaient aussi en train de l’observer.

66        Eh bien, ces sages dont nous parlons étaient appelés... En fait, ce sont des mages, c’est-à-dire des astronomes qui observent les étoiles; à l’époque on les appelait des sages. Et il en existe encore aujourd’hui. Plusieurs fois je me suis entretenu avec eux. Et ils sont toujours à trois, parce que les trois doivent être en accord. Et trois, c’est une confirmation. Et récemment en Inde, je les ai vus assis dans les rues, blottis les uns contre les autres, habillés très exactement comme ces premiers mages. Ils ne changent pas.

67        Et ils adoraient un seul vrai Dieu. Ce sont des enfants d’Abraham, par une autre femme. Et ils croient qu’il y a un seul vrai Dieu. Bien des fois j’ai vu des prêtres mahométans frapper sur le grand gong comme cela et crier: «Il n’y a qu’un seul vrai Dieu vivant, et Mahomet est Son prophète.»

68        Nous, nous disons: «Il n’y a qu’un seul vrai Dieu vivant, et Jésus est Son Fils.»

69        Et eux disent: «Loin de Dieu l’idée d’avoir un Fils.»

            J’ai eu le privilège de voir près de cent mille personnes venir à Christ en une seule fois à cause de Sa Présence et de ce qu’Il a fait en Inde.

70        Or, les Indiens, que nous appelons les sages, dans la Bible ils étaient d’abord présentés comme les Mèdes et les Perses. Vous trouverez cela dans Daniel, chapitre 2. Ce–c’est la raison pour laquelle le missionnaire dit: «Il est très difficile de détourner un mahométan de sa foi pour le convertir au christianisme», parce qu’ils descendent des anciens Mèdes et Perses, dont les lois ne changent ni ne se brisent. Beaucoup d’entre vous lecteurs de la Bible savent cela, les Mèdes et les Perses, ils ne changent pas leurs lois. Quand quelque chose, une proclamation était faite, elle demeurait éternellement. C’est pourquoi quand un mahométan fait une rupture en se tournant vers le christianisme, tout est mort pour lui, parce qu’il a brisé leurs lois.

71        Et ces hommes, ils s’attendaient à l’unique et vrai Dieu, et ils L’adoraient à la lumière d’un feu sacré. Et ils se mettaient autour de ce feu et s’attendaient à l’Eternel. Beaucoup d’entre eux pouvaient... avaient–avaient des observatoires, quelque chose comme ce qu’on a aujourd’hui, et ils se rendaient à ces endroits très élevés dans les montagnes, et ils observaient chaque mouvement des étoiles. Ils déclarent qu’avant que Dieu ne fasse quoi que ce soit sur la terre, Il le montre toujours premièrement dans le ciel. Et ils ont raison.

72        Dieu le montre toujours d’abord par des signes célestes. Depuis quand a-t-Il déjà fait quelque chose sans avoir montré premièrement un signe céleste? Pensez-y, dans n’importe quel âge que vous voulez, Dieu montre toujours des signes d’abord dans les cieux, avant de faire quoi que ce soit sur la terre. Cela vient du surnaturel, et cela entre dans le naturel et est rendu manifeste: dans chaque âge, tout le temps.

73        Et ainsi, cette fois-ci ce n’était pas différent. Les mages observaient ces corps célestes qui étaient visibles, les étoiles, les lunes, tout ce qu’ils pouvaient voir avec leurs yeux. Et ils connaissaient chaque position, là où se situait très exactement chaque étoile. Ils connaissaient ce calendrier astronomique tout autant que nous connaissons les Ecritures. Et quand une petite chose était de travers, ils le savaient, parce que c’est un signe. Et ils observaient ces signes de près, à chaque heure de la nuit ils observaient cela. Il n’est pas étonnant qu’un étranger qui apparaissait dans le ciel puisse les rendre tout perplexes. Il n’est pas étonnant que le visiteur les ait secoués un peu. En effet, ils connaissaient chacune de ces étoiles, et ils les étudiaient scientifiquement à partir de chaque mouvement.

74        Et ils se rassemblaient autour de ce feu. Ils l’allumaient avec des huiles sacrées, et ça brûlait. Et ils observaient là-dedans, parce qu’ils croyaient que Dieu était un Feu dévorant. Et Il l’est.

75        Vous voyez, dans Actes, chapitre 10, verset 35, les Ecritures déclarent que Dieu ne fait acception de personne et qu’Il reçoit tout peuple qui Le craint et qui L’honore, peu importe ce qu’il est. Il s’agit de vous méthodistes, baptistes, presbytériens, luthériens ou–ou catholiques, ou quoi que vous soyez. Si vous êtes sincère dans votre coeur, Dieu vous accordera une chance pour vous faire entrer dans la Lumière divine de Sa miséricorde. Il est Dieu, et Il est tenu à Sa promesse. Alors cela dépend de vous, de ce que vous faites après avoir reçu cela; alors vous pouvez passer par le jugement. Mais en attendant, vous n’êtes pas responsable; vous marchez d’après tout ce que vous connaissez.

76        Ainsi ces mages montaient, après avoir adoré autour de l’autel sacré du feu, tandis que ce feu brûlait, et ils observaient au travers des flammes sacrées de l’autel, et ils se demandaient si l’inspiration de ce Dieu qui est un Feu dévorant... Dans Sa Présence le monde périra. Quand ils regardaient là-dedans, alors ils recevaient Son inspiration. Alors ils montaient dans la tour, et ils regardaient tout autour pour voir si quelque chose s’était déplacé. Et ils faisaient cela année après année, jour après jour, heure après heure, millénaire après millénaire. Ils observaient les étoiles, les corps célestes. Et ils faisaient sortir les rouleaux et les lisaient.

77        Et ça devait être en cette certaine nuit où ils avaient discuté au sujet de la–la chute de l’empire et de l’effondrement des royaumes, et comment le monde s’était élevé à un certain point et s’était de nouveau effondré et tout; en effet, on avait fait sortir un rouleau. Et ça doit avoir été le Livre de Daniel. Et ils discutaient là de quelque chose que Daniel avait dit: «Une pierre se détachera de la montagne sans le secours d’aucune main.»

78        Et ça devait être pendant qu’ils méditaient sur ceci, et que les feux sacrés étaient en train de brûler, qu’ils remarquèrent qu’il y avait un étranger parmi eux, quelque chose qu’ils ne pouvaient pas expliquer. Aucun de leurs rouleaux n’en parlait. Aucun de leurs écrits ne disait quelque chose à ce sujet, mais la chose était bien là. Ils ne pouvaient pas nier cela. Ils observaient les corps célestes, et ils savaient que quelque chose de surnaturel s’était produit.

79        Oh! Il est si bon. Il attirera l’attention de toute personne qui a été prédestinée à la Vie, peut-être à travers sa propre manière d’adorer. Mais Il est Dieu, Il connaît les coeurs des hommes, et Il les observe, Il les protège, Il les amène à l’endroit qu’il faut. Quand la profondeur appelle la profondeur, il doit y avoir une profondeur pour répondre à cet appel. Quand un homme a soif de quelque chose, cela montre qu’il y a quelque chose là-bas pour répondre et étancher cette soif.

80        Comme je l’ai souvent dit, avant qu’il n’y ait une nageoire sur le dos d’un poisson, il devait d’abord y avoir de l’eau pour qu’il y nage, sinon il n’aurait pas eu de nageoires pour nager avec. Avant qu’il puisse y avoir un arbre pour pousser sur la terre, il devait premièrement y avoir une terre, sinon il n’y aurait pas d’arbre.

81        Il y a quelques années pendant que j’étudiais cela, j’ai vu dans une coupure de journal qu’un petit garçon mangeait les gommes des crayons à l’école. Et un jour, sa maman l’a trouvé sur le porche de derrière en train de manger la pédale de sa bicyclette. Et elle se demandait ce qui ne marchait pas chez le petit garçon. Elle l’a amené à la clinique pour un examen. En examinant son petit corps, les médecins ont découvert qu’il avait besoin de soufre. Et le soufre est dans le caoutchouc. Par conséquent, avant qu’il puisse y avoir un grand besoin de soufre dans son système, il devait y avoir du soufre pour répondre à ce grand besoin, sinon il n’aurait jamais eu ce besoin-là.

82        Et avant qu’il ne puisse y avoir une création, il doit y avoir un Créateur pour créer cette création-là.

83        Quel est cet homme ou cette femme ici aujourd’hui, garçon ou jeune fille qui n’a pas un ardent désir pour la vie? Montrez-moi ce mortel aujourd’hui qui ne soupire pas pour la vie, pour vivre éternellement, et je vous montrerai un insensé qui s’ignore, car il n’y a rien de plus grand que la vie.

84        Que donneriez-vous aujourd’hui... Si vous possédiez le monde et tous ses biens, vous donneriez tout cela avec plaisir pour vivre éternellement en étant un pauvre. La vie... Combien parmi vous, les personnes âgées, donneraient tout ce qu’ils possèdent pour redevenir un jeune homme ou une jeune femme? Tout homme cherche cela. Pourquoi? Cela se trouve quelque part, sinon vous n’en éprouveriez jamais ce grand désir. Pourquoi vous malades, êtes-vous ici aujourd’hui? Si vous l’êtes, que cherchez-vous? Qu’est-ce qui fait que vous veniez pour que l’on prie pour vous? C’est parce qu’il y a quelque chose en vous. Peu importe l’église dont vous êtes membre, la marque que vous portez, cela n’a rien à faire avec la chose. Vous êtes un être humain. Vous êtes une créature de Dieu. Il y a en vous quelque chose qui vous pousse quelque part. Et aussi sûr qu’il y a quelque chose qui tire dans votre coeur, après que le médecin vous a peut-être abandonné, il y a toujours un espoir, il doit y avoir une Fontaine des richesses de la puissance de guérison de Dieu, ouverte quelque part, sinon vous n’en éprouveriez jamais ce grand désir, ça doit exister quelque part.

85        Si vous avez un ardent désir de voir ce Jésus, si quelque chose vous donne l’ardent désir de voir Jéhovah, Il est quelque part, sinon vous n’éprouveriez jamais ce désir. Et Dieu est tout aussi bon envers vous qu’Il l’est envers les mages ou quiconque d’autre. Si vous avez un grand désir pour Lui, «heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront amenés à cette Fontaine où ils pourront boire la portion qui satisfait».

86        Il est possible qu’il y ait des personnes mourantes ici. Vous ne voulez pas mourir; vous sentez qu’il vous reste encore une chose. C’est pour cette raison que vous êtes ici. Vous pouvez être névrosé au point que vous ne pouvez même pas avoir les idées en place; mais au fond de vous quelque chose vous dit: «Il y a quelque chose qui peut me rétablir directement.» Il pourrait y avoir des prostituées qui ont couru la rue de manière honteuse; il pourrait y avoir des femmes qui ont été infidèles envers leurs maris et qui ont brisé les voeux de leur mariage; il pourrait y avoir des hommes qui sont des ivrognes, qui ont fait tout ce qu’il y a dans le registre du péché; mais quelque chose vous dit qu’il y a une Fontaine quelque part.

87        Vous pourriez être catholique, vous pourriez être Juif, vous pourriez être tout ce que vous êtes, mais vous êtes un être humain qui a été créé à l’image de Dieu. Et Il vous tire, Il vous appelle, et vous êtes conduit exactement comme l’étaient ces mages.

88        Et tandis qu’ils étudiaient, ils ont regardé là-bas et ils ont vu cette lumière, ils n’ont pas pu comprendre ce que c’était. Et imaginons-nous qu’ils... Le lendemain ils se sont couchés pour se reposer. Ils étaient intrigués et observaient sans cesse cela. Et l’un d’eux, Bildad, doit avoir fait un songe, disons qu’il a fait un songe. Et il a rêvé qu’une prophétie disait: «De Jacob sortira une Etoile. Et quelque part, parmi les Juifs, un Bébé Roi doit naître. Et cette Lumière que vous voyez maintenant vous conduira à cette Lumière parfaite qui éclairera chaque homme qui cherche la Lumière, chaque homme qui vient au monde.»

89        Vous voyez, peu importe à quelle religion ils appartenaient, s’ils craignaient réellement Dieu, Dieu était obligé de les amener à cette Lumière. Il les amène selon leur propre façon à eux.

90        Parfois Il amène les gens par des afflictions. Parfois Il les amène... Vous savez, Il a prophétisé que dans ces derniers jours les gens viendraient par des afflictions. Il a offert un souper, et alors comme personne ne venait, Il a alors dit: «Allez dans les chemins et dans les sentiers, et prenez les infirmes, les estropiés, les aveugles, les affligés, afin que Ma table soit comble.»

91        Il les cherche dans toutes les couches, dans tous les milieux, partout, en mouvant dans l’Esprit en ces derniers jours, rassemblant les gens. Toutes les dénominations et tous ceux qui–qui ont un grand désir de la vie ont le droit de recevoir cela pour marcher dans la Présence de Son glorieux Etre, car Il est le Fils du Dieu vivant, Il est toujours l’Etoile du matin qui brille parmi nous, comme Il a toujours brillé.

92        Cette même Lumière qui terrassa Paul sur le chemin de Damas... Il était sincère dans son coeur et essayait de persécuter un groupe de gens qui faisait trop de bruit en criant, qui faisait trop de tapage; il est descendu là pour les frapper, et il pensait qu’il était dans le vrai. Et voilà que cette Colonne de Feu se tenait sur son chemin, Elle l’a jeté à terre et Elle a crié: «Saul, pourquoi me persécutes-tu?»

            Il a dit: «Qui es-Tu, Seigneur?»

            Il a dit: «Je suis Jésus», le Jéhovah pour Lequel il se montrait zélé.

93        Il était zélé pour Jéhovah. Il ne savait rien de Jésus, sinon qu’Il était un–un malfaiteur. Mais Dieu l’a envoyé, et alors il devint le plus grand missionnaire que le monde ait jamais connu. Pourquoi? Il était sincère; il a cru et Dieu l’a conduit par la Lumière.

94        Que pensez-vous que cela nous procure comme sentiment aujourd’hui en tant que chrétiens de voir même Sa photo? Et maintenant, j’en ai une qui dépasse cela des centaines de fois. Mais ce même Jéhovah Dieu a envoyé Sa Lumière, avant la venue de Son Fils une seconde fois pour nous conduire, pour nous consoler, et pour nous amener à cette Fontaine, afin que nous puissions être lavés de nos péchés et être purs dans la justice de Son Fils, le Seigneur Jésus, et devenir des fils et des filles de Dieu, nés de nouveau par l’Esprit de Dieu qui change.

95        Une naissance, ça signifie que nous avons été changés par rapport à notre façon de penser, changés par rapport à nos attitudes, changés par quelque chose qui s’est produit à l’intérieur. Il n’y a pas une religion au monde, il n’y a pas assez d’eau, il n’y a pas assez de cérémonies ni de sermons qui puissent vous changer. Il faut le Sang du Fils de Dieu, Jésus-Christ. Vous ne pouvez pas vous purifier en adhérant à l’église, pas plus qu’un léopard ne peut ôter ses taches à force de les lécher. Plus il les lèche, plus elles deviennent brillantes. Il les rend tout simplement plus visibles. En adhérant à des églises et en essayant d’avoir vos propres mérites, vous manifestez tout simplement un manque de soif à l’intérieur, cela montre que quelque chose n’a pas encore été comblé. Cessez d’essayer; recevez-Le tout simplement, Il vous conduit à la Lumière.

96        Et quand ces gens eurent ces songes montrant qu’ils devaient adorer ce Bébé, il leur fallait partir. Et c’étaient des hommes riches. Ils ont rassemblé leurs richesses et ont pris des trésors tels que l’encens, l’or et la myrrhe. Trois constituent un témoignage. Et ils ont sellé leurs chameaux et ils se sont mis en route, suivant l’Etoile. Ils ont dû gravir la montagne, descendre et traverser le fleuve Tigre à gué, et ils sont descendus jusque dans la vallée de Schinear. Et l’Etoile les conduisait vers Jérusalem. En effet, Jérusalem a toujours été la capitale religieuse du monde, car le Grand Roi y a vécu.

97        C’est dans cette même ville qu’un Roi avait rencontré Abraham lorsqu’il revenait du massacre des rois, et ce Roi s’appelait Melchisédek. Il n’avait ni père ni mère, ni commencement de jours ni fin de vie. Même le patriarche, Abraham, Lui a payé la dîme, Lui a payé la dîme. Il n’avait ni père ni mère; ni commencement ni fin, c’était le Grand Roi qui était venu de Salem, c’est-à-dire Jérusalem.

98        Et cette Etoile conduisit ces mages droit jusqu’à la capitale religieuse du monde; mais ce qui était dommage, c’est que lorsqu’ils sont arrivés là, les gens ne savaient rien à ce sujet. Et ces mages ont sillonné les rues. Et aussitôt qu’ils arrivèrent à Bethléhem–aussitôt qu’ils arrivèrent à Jérusalem, l’Etoile disparut, Elle ne les guidait donc plus. Que faisait Dieu? Il montrait tout simplement le... ce que les gens peuvent devenir.

99        Malgré toute notre théologie, nos grandes églises et–et autres qu’on a aujourd’hui, quand la grande Lumière de Dieu commence à briller, l’église n’en sait rien. Qu’est-ce que le Vatican sait au sujet de ces choses? Qu’est-ce que les organisations ecclésiastiques savent? Rien du tout. Nous sommes à une autre Noël.

100      Ces hommes savaient qu’ils avaient vu quelque chose. Ils savaient que quelque chose s’était produit. En effet, ils étudiaient les corps célestes, et voici qu’il y eut un corps étranger, et ils avaient été conduits de façon étrange par Lui. Et maintenant, dans cette ville ils sillonnaient chaque petite rue en criant: «Où est le Roi des Juifs qui vient de naître? Nous avons vu Son Etoile en Orient.»

101      Eh bien, ils étaient en Orient; ils avaient vu Son Etoile à l’ouest. Et ils ont dit: «Quand nous étions en Orient...», à des centaines de kilomètres. Voyez-vous, le voyage leur prit deux ans.

102      Je sais que ça terrasse certains de vos enseignements, mais c’est la vérité. Le voyage leur prit deux ans. Ils ne sont pas du tout venus comme ces soi-disant chrétiens d’aujourd’hui, eux ils ont leur petit bébé couché là dans une crèche, et les mages arrivent. C’est un non-sens qu’on trouve chez les chrétiens. Ils ne sont jamais venus voir un bébé dans la mangeoire. Aucune Ecriture ne dit cela. Ils vinrent voir un jeune enfant de deux ans. Il n’était pas dans une crèche. Il était dans une maison. Lisez le reste de cette Ecriture. Mais les traditions chrétiennes, oh! ils ont embrouillé le monde entier avec leurs enseignements.

103      Pourquoi alors Hérode a-t-il tué les enfants de deux ans, s’Il n’était qu’un nouveau-né? Les Ecritures disent qu’ils vinrent voir un jeune enfant, pas un nouveau-né, un jeune enfant de deux ans. Et Hérode s’est mis à tuer les enfants de deux ans pour essayer de L’avoir; s’Il était un nouveau-né, il n’aurait pas dû prendre deux ans, mais seulement les nouveaux-nés.

104      Ils ne Le trouvèrent pas du tout dans une crèche; ils Le trouvèrent dans une maison. «Et quand ils arrivèrent à la maison, ils trouvèrent l’Enfant et Marie.» Mais voyez comment ils tordent la chose.

105      Ce n’est pas étonnant. Il y a quelques soirées, je prêchais ce que Jésus avait dit à ces pharisiens: «Vous avez pris vos traditions, et vous avez rendu sans effet les Commandements de Dieu.» Et puis les gens crient: «Où est Dieu?» Comment pouvez-vous croire en Dieu quand vous ne voulez pas croire Sa Parole? Et puis les gens disent: «Où est ce Dieu de la Bible?» Retournez à Lui, à ce qu’Il est; c’est la seule façon dont vous Le connaîtrez. Voilà la manière.

107      Ils sillonnaient les rues en criant: «Où est-Il? Où est le Roi des Juifs qui vient de naître? Car nous avons vu Son Etoile lorsque nous étions en Orient, et nous sommes venus L’adorer.»

108      Oh! je peux voir certains prêtres dire: «Dites donc, messieurs, vous avez certainement écouté une bande de fanatiques quelque part. Vous avez certainement écouté une piètre théologie de quelqu’un.»

109      Ces hommes pouvaient dire: «Pas du tout. Nous avons vu cela opérer. Nous savons que c’est réel. Et cela nous a conduits jusqu’ici. Mais nous n’arrivons plus à retrouver cela, et c’est ici la ville du Roi.»

110      N’est-ce pas étrange? La plus grande église du monde, le plus grand peuple, cependant ils ignoraient complètement la chose. Et si ce n’est pas la même condition des gens sur terre en cette Noël, la même condition. Personne n’avait la réponse. Les gens ne pouvaient pas trouver la réponse.

111      Et finalement, les choses devinrent si pitoyables que... C’étaient des hommes riches, vous pouviez le savoir à la façon dont leurs chameaux étaient harnachés. Et ils n’ont pas omis une seule rue; ils sont passés dans chaque allée en criant: «Où est-Il? Où est-Il? Où est-Il?»

112      Et aujourd’hui, alors que les bombes atomiques sont suspendues là-bas dans des hangars, aujourd’hui que le monde est au bord d’un anéantissement complet, et que cette génération de gens peut périr en une seconde, si on appuie une seule fois sur une manette, beaucoup de petites nations peuvent faire sombrer la terre.

113      L’autre jour que les hommes de science tenaient une réunion, on a dit que les gens étaient dans la consternation. Eh bien, comparée à ce qu’ils ont maintenant, la bombe atomique est un pistolet à amorce. Et d’autres nations ont cela. Si jamais le Pentagone larguait ce qu’ils ont, il n’y aurait plus l’esprit de la Noël; les gens, pris de panique, se mettraient à courir dans les rues, à hurler et à crier. Et vous ne pourriez pas vous cacher. Il n’y a pas moyen de se cacher.

114      C’est maintenant la fin. Nous sommes à la fin, les signes et les prodiges apparaissent, le Messie se manifeste dans l’Esprit.

115      Cet Esprit, descendant tout au long de l’âge, se manifestant de plus en plus et, finalement, Il naquit dans cet Homme parfait.

116      Eh bien, au travers des âges des méthodistes, des baptistes, des presbytériens, des pentecôtistes, et ainsi de suite jusqu’à la fin, maintenant voici que c’est manifesté juste avant qu’Il revienne dans un corps physique, cette Personne parfaite, rassemblant Son Eglise, les faisant sortir de chaque dénomination, de tout, les amenant à Lui, car Il apparaîtra bientôt. Et les églises n’ont pas la réponse.

117      C’est pourquoi la cour du sanhédrin fut convoquée par Hérode le Tétrarque, et la cour a siégé. Ils ont fait venir les prêtres et les rabbins. Ils ont dit: «Lisez les Ecritures. Où le Messie doit-Il naître?», a demandé le roi.

118      Et chose étrange, savez-vous où ils L’ont trouvé? Dans la prophétie de Michée: «Toi, Bethléhem de Judée, n’es-tu pas le plus petit parmi les princes de Juda? N’es-tu pas le saint exalté? N’es-tu pas le–le–le plus petit d’entre eux tous? Mais de toi sortira le Chef de Mon peuple.» C’est là qu’ils ont trouvé cela.

119      Et ainsi, quand les mages ont entendu cela, ils sont sortis. Et aussitôt qu’ils ont quitté ce vieil endroit froid, rétrograde et formaliste, l’Etoile était de nouveau suspendue là. L’Etoile était là. Et la Bible dit: «Ils furent saisis d’une très grande joie.» Oh! je pourrais dire qu’ils ont crié un petit peu quand ils ont retrouvé ce surnaturel béni qu’ils avaient vu; quand ils sont sortis de ces vieilles voies froides et formalistes, cela est réapparu.

120      Elle était là. Et Elle les a conduits à Bethléhem où ils ont trouvé Celui-là, où Celui qui était Emmanuel était élevé dans l’atelier d’un charpentier, d’un homme pauvre. Et ils ont déchargé tout ce qu’ils avaient et ont déposé cela à Ses pieds. Et ils L’ont adoré parce qu’Ils savaient que la Lumière était venue, et le Sauveur du monde était–était né. Ils ont donné–ils ont donné tout ce qu’ils avaient, parce que Dieu avait donné.

121      «Dieu a tant aimé le monde (mon ami, c’est vous et moi) qu’Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque (méthodiste, baptiste, presbytérien, infidèle, quoi que vous soyez), quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la Vie Eternelle (Ce que vous recherchez), qu’il ait la Vie.»

122      Et dans les heures où nous vivons maintenant, et où le retour de Son Etre sur la terre est proche...

123      Si vous remarquez les Ecritures, considérez qui était Joseph; considérez l’Esprit de Christ en Joseph: il était haï de ses frères parce qu’il était spirituel; il avait des visions, mais il était aimé de son père. N’était-ce pas là Jésus? Il fut vendu pour trente pièces d’argent par ses frères, comme l’a été Jésus. Il fut livré comme l’a été Jésus; il fut jeté dans une fosse et passait pour mort; comme l’a été Jésus; il fut relevé et devint le bras droit de Pharaon; nul homme ne pouvait venir à Pharaon, sinon par Joseph. Et quand Joseph passait de–passait, venant de la droite de Pharaon, on criait: «Fléchissez les genoux, car Joseph vient!»

124      La Bible dit que lorsqu’Il viendra, pareil à l’éclair qui brille de l’orient et va jusqu’en occident, tout genou fléchira et toute langue confessera qu’Il est le Fils de Dieu. Toutes les nations se lamenteront et trembleront à ce moment-là.

125      Qu’était-ce? C’était une manifestation plus rapprochée; cela apparut en la personne du roi David. En effet, il était à la fois prophète, sacrificateur et roi; et quand David fut détrôné et rejeté à Jérusalem comme Jésus plus tard, David s’est assis sur la montagne, un roi rejeté par son propre peuple, et il a pleuré sur Jérusalem.

126      Et le Fils de David vint, Il s’est assis sur la montagne, le Roi rejeté dans Sa propre ville, Il pleura sur Jérusalem en disant: «Combien de fois ai-Je voulu vous rassembler comme une poule rassemble ses poussins, mais vous ne l’avez pas voulu!»

            De quoi L’ont-ils traité? De Béelzébul, de diseur de bonne aventure, de mauvais esprit.

127      Quand Il débuta Son ministère, il Lui a été amené un vieux pêcheur qui ne savait même pas écrire son propre nom. Et Il a regardé ce vieux pêcheur, et Il lui a dit son nom. Et Il lui a dit quel était le nom de son père. Ce vieux pêcheur crut en Lui de tout son coeur.

128      Et quelqu’un d’autre qui se tenait là s’est converti, il répondait au nom de Philippe. Et il a contourné la montagne, une distance de trente miles [42,3 km], et il est allé trouvé quelqu’un du nom de Nathanaël sous un arbre, en train de prier; il a dit: «Viens voir Qui nous avons trouvé. Je sais que tu es un fervent croyant en Jéhovah. Je sais que tu l’es. Mais Jéhovah a promis un Messie, et nous L’avons trouvé. C’est juste un Homme ordinaire, qui n’a rien de grandiose. Il n’est pas du tout distingué et instruit. C’est un charpentier.» C’était–c’était un charpentier, aussi bien de la matière que de l’âme de l’homme.

129      Et Nathanaël l’a regardé, il a dit: «Eh bien, un instant, peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?» Vous voyez, ils s’attendaient à ce que cela vienne de Jérusalem.

130      C’est là que beaucoup d’entre vous regardent aujourd’hui. Ne regardez pas là-bas. Le diable utilise toujours la tête et les yeux de l’homme. Dieu utilise son coeur. Vous regardez et vous dites: «Oh! c’est tout simplement impossible. C’est vraiment dépourvu de sens. Vous voyez, c’est bien visible; je peux voir cela.» C’est là que se trouve le diable. Le diable utilise les yeux de l’homme. C’est ce qu’il a fait avec Ève au commencement, et c’est ce qu’il fait depuis lors.

131      Mais Dieu dit à l’homme qu’Il vit dans son coeur, et c’est votre coeur qui vous fait croire des choses que vous ne voyez pas. En effet, la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.

132      Certainement, cette grande église, avec tous ses membres distingués, tous ses millions à travers le monde, contrôle les puissances du monde, ça doit être grand. Ne regardez pas à cela. Ce qui compte c’est l’Esprit, l’Esprit.

            Nathanaël a dit: «Peut-il venir quelque chose de bon?»

            L’autre a dit: «Viens, et vois.»

133      Et quand Jésus l’a vu venir, Il l’a regardé et Il allait accomplir le signe messianique sur lui. Il a dit: «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.»

134      Il a dit: «Quand m’as-Tu connu, Rabbi?» Cela l’a étonné: «Quand m’as-Tu connu?»

135      Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Comment a-t-Il pu le voir à trente miles de l’autre côté de la montagne la veille?

136      La personne sur qui le miracle fut accompli L’a regardé et a dit: «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.»

137      Jésus a dit: «Parce que J’ai fait ceci devant toi, tu as cru cela, tu verras de plus grandes choses que celles-ci; car le temps vient où vous verrez les anges du ciel descendre.»

138      Pourtant, là à côté se tenaient ceux qui sont intelligents. Ils étaient membres de la grande église; ils–ils ne pouvaient pas se détruire eux-mêmes. Ils ont dit: «Cet Homme est un diseur de bonne aventure. Il est Béelzébul. Il est fou. C’est un Samaritain qui a un mauvais esprit sur lui. Il est toqué», ils Le déclarèrent fou publiquement.

139      Et Jésus a dit: «Parce que vous dites cela de Moi, Je vous le pardonne. Mais le temps viendra où le Saint-Esprit sera sur terre et fera la même chose que Je fais, et un seul mot contre Lui ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.» Pensez-y. Un seul mot contre Lui et c’est tout, cela vous scelle pour toujours.

140      Où en sommes-nous? Nous en sommes de nouveau à la Noël. Je me demande si notre religion nous a rapprochés suffisamment de Dieu au point où nous pouvons être conduits autant que les Mages pouvaient l’être? 141  Or, souvenez-vous, il n’existe que trois races de gens sur terre, de toute façon: la lignée de Cham, la lignée Sem, et la lignée de Japhet. C’est-à-dire les Juifs, les Gentils et les Samaritains.

142      Or, les Juifs et les Samaritains attendaient Sa Venue, pas nous les Gentils. Nous étions des païens, nous étions éloignés en ce temps-là, avec des idoles muettes, avec un bâton sur le dos, une massue, tuant et mangeant ce que nous pouvions: des Gentils, des chiens muets.

143      Mais eux attendaient un Messie, et ils ont manqué de Le voir, parce qu’ils n’ont pas reconnu Son signe.

144      C’est pour cette raison que Jérusalem n’avait pas la réponse. C’est pour cette raison qu’aujourd’hui ils n’ont pas la réponse. Dieu seul a la réponse.

145      Considérez ces choses juste un moment. Tandis qu’ils étaient... Il y avait une autre race des gens qui L’attendaient, ça se trouve dans Jean 4: ce sont les Samaritains. Ils croyaient qu’un Messie devait venir.

146      Souvenez-vous donc, Il n’avait jamais accompli ce signe une seule fois devant les Gentils, c’est uniquement devant les Samaritains et devant les–et devant les Juifs qui attendaient Sa Venue. Et ils n’ont pas cru en Lui à cause de cela; certains ont cru, d’autres pas.

147      Et quand Il est allé vers les Samaritains, Il a envoyé les gens, Ses disciples, dans la ville. Il a attendu. En effet, Il leur avait dit: «Allez chercher quelque chose à manger.» Je pense que c’était vers cette heure-ci de la journée.

148      Tandis qu’ils étaient partis, une–une ravissante femme s’est amenée au puits pour puiser de l’eau. Oh! nous l’appelons une prostituée. Peut-être qu’elle l’était. Voyez-vous? Mais disons que c’était une–une belle femme. Elle est sortie puiser de l’eau à ce puits. Elle a entendu une voix dire: «Femme, apporte-Moi à boire.»

149      Elle s’est retournée, et un Juif était assis là. Or, à l’époque il y avait une ségrégation; ils n’avaient pas de relations. Elle Lui a dit, elle a dit: «Comment Toi un Juif, Tu demandes quelque chose à moi, une Samaritaine? Nous n’avons pas de relations les uns avec les autres. Il n’est pas juste que Tu me demandes cela.»

150      Il a dit: «Mais, femme, si tu savais à qui tu parles, tu M’aurais toi-même demandé de l’eau.»

151      Elle a dit: «Où est le... Où pourrais-Tu puiser de l’eau, a-t-elle dit, Tu n’as rien avec quoi puiser», et ainsi de suite.

152      Et Il a poursuivi la conversation; et au cours de la conversation Il–Il lui a finalement parlé, disant... Il a saisi ce qu’était son problème, Il a dit: «Femme, va chercher ton mari, et viens ici.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «C’est juste. Tu as été mariée cinq fois, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.»

153      Observez ce qu’elle a dit. Ils attendaient un Messie, vous savez. Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Oui, oui. Vous y êtes. «Je vois que Tu es Prophète. Nous savons que lorsque le Messie viendra, Il nous annoncera ces choses. Le signe du Messie, nous savons que le Messie fera ceci quand Il viendra. Mais Tu es juste un... Tu as des callosités aux mains. Tu es un charpentier et un Juif. Mais Tu dois être un Prophète, sinon Tu ne serais pas en mesure de faire ceci. Et quand le Messie viendra... Nous L’attendons ici. Quand Il viendra, Il fera ceci.»

154      Jésus a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.» Oh! la la!

155      Elle a laissé tomber sa cruche. Elle est entrée dans la ville, en disant: «Venez voir un homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie?» Et toute la ville est sortie et a cru en Lui, oui, à cause de ce signe qui était accompli. Les églises n’avaient pas la réponse, mais les humbles regardaient à Dieu.

156      Je me demande aujourd’hui si notre religion nous a amenés à cet entendement pour comprendre que ce n’est pas une théologie parfumée et fabriquée par l’homme que nous essayons d’enseigner, mais qu’il s’agit de la puissance et de la résurrection de Jésus-Christ, et du Saint-Esprit aujourd’hui dans le pays. Frère, soeur, en cette dernière heure, alors qu’on arrive à la fin du temps, sondez votre âme, voyez dans quelle position vous êtes vis-à-vis de Dieu.

157      C’est Noël. Toutes les guirlandes qu’il y a partout dans les rues en rapport avec le père Noël, une fiction allemande, un dogme catholique... Il n’y a pas la moindre vérité là-dedans. Et cela prend la place de Jésus-Christ dans le coeur de tant d’Américains. Noël ne veut pas dire le père Noël. Noël veut dire Christ. Ce n’est pas un homme avec une pipe à la bouche, qui descend une cheminée. Quand vous enseignez une telle chose à vos enfants, qu’attendez-vous qu’ils soient quand ils auront grandi? Dites-leur la vérité, pas une certaine fiction, une histoire qui relève de la fiction. Dites-leur qu’il y a un Dieu du Ciel qui a envoyé Son Fils et que c’est ce que signifie Noël. Et Son retour est proche.

158      Et tandis que la pression vient sur la terre, que le diable a fait sortir ses histoires à lui, que l’on peut voir avec les yeux, des guirlandes et tout le reste, Dieu a fait sortir Ses choses à Lui, c’est-à-dire l’Esprit, que vous ne pouvez pas voir, mais que vous croyez.

159      Jérusalem n’avait pas la réponse. Jeffersonville n’a pas la réponse; Louisville ne l’a pas; l’Amérique ne l’a pas, le monde non plus. C’est Dieu qui a la réponse, et Il a promis qu’Il la donnerait.

160      Et je vous déclare que ce même Jésus qui est né il y a mille neuf cents ans vit aujourd’hui au travers de la résurrection, et Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

161      Inclinons la tête. Croyez-vous solennellement ceci de tout votre coeur? Si vous croyez réellement cela... Et peut-être que vous n’avez jamais accepté cela auparavant, mais avant qu’Il ne fasse une seule chose pour se manifester, voulez-vous lever la main? En levant vos mains, alors que tout le monde a la tête inclinée, voulez-vous bien lever la main et dire: «Frère Branham, priez pour moi. Je crois que c’est la vérité. Et je crois que d’une manière ou d’une autre, de façon mystérieuse, j’ai été conduit à ce petit endroit ici au coin ce matin. Et je crois que l’Esprit du Dieu vivant est ici maintenant? Je veux L’adorer. Je vais lever la main.» Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Oh! la la! Vingt ou trente personnes dans la salle.

162      Dieu bien-aimé, Tu vois ces mains et Tu connais chacun d’eux. Et ils sont dans le besoin. Ils n’auraient jamais levé la main à moins que Quelque Chose à côté d’eux, qui est plus grand qu’eux... Ils auraient suivi leur propre voie. Mais ils ont cru cela en écoutant la Parole. Les Ecritures nous disent, Seigneur, Tes Saintes Ecritures, que la foi vient de ce qu’on entend et de ce qu’on entend la Parole de Dieu. Et de cette façon rude et pourtant simple, la–la seule manière que nous avons pour présenter la chose aux gens, ils ont cru cela. Et beaucoup, beaucoup de mains se sont levées. Je ne connais aucun d’eux. Tu les connais tous. Mais je sais qu’au-dedans d’eux ils sont dirigés et contrôlés par un esprit, et cet esprit qui est en eux a dit: «Tu as tort.»

163      Et il y a un autre Esprit qui se tient à côté d’eux, qui dit: «Accepte-Moi; Je suis ton Sauveur.» Et ils ont brisé toutes les lois scientifiques en levant leurs mains. C’est parce qu’il y a un Dieu là à l’intérieur, qui a fait les lois scientifiques, et leurs mains se sont levées, pour montrer qu’ils veulent lever le bras par la foi pour s’emparer du Sauveur et L’accepter comme leur Sauveur. C’est ce qu’ils ont fait ce matin, Seigneur.

164      Et reçois-les dans Ton Royaume maintenant même. Ils sont les trophées du message. Je Te prie de les recevoir dans Ta Présence, dans Ton Royaume. Et puissent-ils vivre une vie heureuse ici, attendant la Venue du Seigneur Jésus à tout moment, d’autant plus qu’ils voient le jour approcher, des signes et des prodiges, parce qu’Il s’approche de plus en plus. Il est en route.

165      Comme Rebecca monta à califourchon sur le chameau et fit route pour aller à la rencontre de son bien-aimé, Isaac... Et Isaac avait déjà quitté le–le camp et il était dehors dans les champs au temps du soir, quand il la vit venir. Ce fut le coup de foudre. D’un bond elle descendit du chameau et courut à sa rencontre. Elle fut amenée dans la tente d’Abraham, et là, elle devint héritière et hérita de toutes choses.

166      Ô Dieu, nous réalisons que c’est maintenant le temps du soir. Tu as dit que la Lumière paraîtrait, que le Saint-Esprit serait ici sur terre et se manifesterait dans un petit troupeau que Tu as choisi par Ta grâce. Je Te prie maintenant de Te–Te manifester puissamment à chacun d’eux. Et qu’ils soient sauvés de leurs péchés.

167      Et puissent-ils aller quelque part à une–une fontaine, une fontaine terrestre, après qu’ils sont venus à la Fontaine céleste, et qu’ils se fassent baptiser au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus, lavant leurs péchés, invoquant le Nom du Seigneur. Puissent-ils recevoir le Saint-Esprit et être placés dans une position où ils pourront jouer leur rôle dans ce grand drame qui est sur le point de se dérouler.

168      Nous croyons que notre rassemblement de ce matin, Père, s’inscrivait dans Ta sage providence. Il n’y a rien d’insensé chez Toi. Tout, tout ce que Tu prévois est parfait. Des hommes et des femmes qui sont venus des différents coins du pays sont assis ici. Tu les as amenés par Ton Esprit d’une manière mystérieuse. Ils ont cru en Toi. Reçois-les maintenant. Au Nom de Jésus-Christ, je Te les présente.

169      Maintenant, Seigneur, que Ton Saint-Esprit vienne guérir les malades, afin que ces personnes nouvellement converties à Toi puissent se rendre compte que nous ne parlons pas simplement de la Bible comme une histoire. Elle est vivante, au temps présent, maintenant même. Il est le même Seigneur Jésus.

170      Eh bien, permets qu’Il vienne, Seigneur, et s’empare de notre chair, de nos corps, alors que nous ouvrons nos coeurs. Ôte tous les doutes et tout ce qui est du monde, et que le Saint-Esprit seul se meuve au travers de nous, afin que Tu puisses accomplir Ta volonté parmi nous en tant que des vases pures; pas parce que nous sommes purs par notre propre justice, mais parce que nous avons cru en Celui qui nous a purifiés, le Seigneur Jésus. Et Il a accompli et fait les–les choses que Tu as faites quand Tu étais ici sur terre, afin que ces nouveaux convertis puissent voir que Tu es toujours le Seigneur Jésus. Tu n’es pas mort. Mais Tu es ressuscité, il y a mille neuf cents ans, et Tu es vivant aujourd’hui, accomplissant chaque promesse que Tu as faite. Amen.

171      Je sais que ce n’est pas un cantique de Noël, mais c’est un cantique qui vient de nos coeurs, que nous aimons; maintenant si le message est terminé, c’était plutôt tranchant et tout, c’est la seule façon de s’y prendre.

172      Ce dont nos chaires ont besoin aujourd’hui, ce n’est pas de cette religion parfumée; c’est de la Vérité qu’elles ont besoin. La Vérité, prêchez-La en vous basant sur la Bible. Ne donnez pas différentes interprétations, dites simplement la chose, ce que dit la Bible. Dieu est tenu à Sa Parole. S’Il ne confirme pas Sa Parole, alors soit Il n’est pas Dieu, soit ce n’est pas Sa Parole; c’est l’un ou l’autre. Mais Il prend soin de Sa Parole.

173      Maintenant, juste avant que nous ne priions pour les malades, chantons ce bon vieux cantique. Vous tous ensemble, vous tous.

Je vais Le louer, Je vais Le louer,
Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs;
Rendez-Lui tous gloire,
Car Son Sang a ôté chaque tache.

174      Voulez-vous bien nous donner l’accord, soeur? Tous ensemble maintenant, tout le monde.

Je vais Le louer, je vais Le louer,
Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs;
Rendez-Lui tous gloire,
Car Son Sang a ôté chaque tache.

175      Je me pose des questions. Ce n’est pas sacrilège. C’est juste une façon de s’exprimer. Enfants, nous sommes des enfants. Quand vous vous mettez à penser que vous avez grandi en Dieu, cela montre que vous n’êtes nulle part. Soyez toujours un enfant, Il peut vous conduire. Mais quand vous en savez plus que Lui, vous essayez de Le conduire. Voyez-vous? Laissez-Le conduire.

176      Fermons simplement les yeux, levons la main, inclinons la tête et chantons cela une fois de plus.

Je vais Le louer, je vais Le louer,
Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs;
Rendez-Lui tous gloire,
Car Son Sang a ôté chaque tache.

De la crèche de Bethléhem vint un Etranger,
Sur terre je désire ardemment être comme Lui;
Tout au long du voyage de ma vie de la terre à la Gloire
Je demande seulement à être comme Lui.

Etre simplement comme Jésus, être simplement comme Jésus,
Sur terre je désire ardemment être comme Lui,
Tout au long du voyage de la vie de la terre à la Gloire,
Je demande seulement à être comme Lui.

177      «Vous ferez aussi les choses que Je fais.» N’auriez-vous pas aimé vous tenir là quand Il a dit à la femme qui souffrait d’une perte de sang... Elle s’est faufilée au travers de la foule; elle a touché Son vêtement, car elle se disait en elle: «C’est le Fils de Dieu, et si seulement je peux toucher Son vêtement...»

178      Eh bien, le vêtement palestinien est ample; Il avait un vêtement en dessous. Elle... Il n’a pas senti le toucher, car Il l’a prouvé. Elle a touché Son vêtement et elle s’est vite retirée dans l’assistance.

179      Jésus s’est arrêté et a dit: «Qui M’a touché? Qui M’a touché?»

180      Pierre L’a repris, disant: «Seigneur, c’est tout le monde qui Te touche, qui Te serre la main, Te tapote dans le dos et tout. C’est tout le monde qui T’a touché, alors pourquoi dis-Tu une telle chose?»

181      Il a dit: «Mais Je me suis affaibli. Une force est sortie de Moi. Quelqu’un M’a touché.»

182      Il s’est retourné et a cherché des yeux dans l’assistance, et Il l’a trouvée. Et Il lui a dit qu’elle souffrait donc de la perte de sang et que sa foi l’avait guérie.

183      N’aimeriez-vous pas qu’il en soit ainsi de vous? On ne pourrait penser à quelque chose de plus glorieux.

184      Un homme s’est approché de Lui. Il a dit: «Ton nom est Simon. Le nom de ton père est Jonas.» Oh...

Je demande seulement à être comme Lui.

            Est-ce possible? Il a dit: «Les choses que Je fais... Encore un peu de temps et le monde...» (Or, là le monde en grec c’est le mot cosmos, qui signifie l’ordre du monde, pas la terre, l’ordre du monde.) «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez (c’est-à-dire les croyants), car Je (je, c’est un pronom personnel), Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père.» Les promesses bénies et sacrées ne peuvent être brisées. Jésus a dit: «Aucune Ecriture ne peut être brisée.»

Ainsi être comme Jésus (Est-Il ici?), Jésus (Soyez simplement dans une attitude d’adoration maintenant.)
Sur terre je désire ardemment être comme Lui;
Tout au long du voyage de la vie de la terre à la Gloire
Je demande seulement à être comme Lui.

185      Pourriez-vous L’imaginer en train de marcher en Galilée? Là, ces pharisiens disaient dans leurs coeurs: «Il est Béelzébul.» Ils n’ont jamais dit cela tout haut, mais Il connaissait leurs pensées. Les Ecritures déclarent-Elles cela? Il connaissait leurs pensées.

186      Il a dit: «Si vous dites cela contre Moi, Je vous pardonnerai. Mais le temps viendra où le Saint-Esprit fera ces mêmes choses. Ne parlez pas contre Cela.»

187      Etre simplement comme Jésus. Combien dans cette petite assistance ce matin croient qu’Il est ressuscité des morts, qu’Il est vivant aujourd’hui, et qu’Il est le même qui tient chaque promesse? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Merci. Cela amène Sa Présence.

188      Beaucoup d’entre vous connaissent la photo de l’Ange du Seigneur, au-dessus de l’endroit où je me tiens. Nous les avons eues en Allemagne, en Suisse, on les a prises partout. On en a pris une l’autre jour, et c’est la chose la plus remarquable que j’aie jamais vue. Je vais l’amener à l’église la fois prochaine que je reviendrai. C’est maintenant chez les–les autorités nationales pour examiner si c’est une double exposition, et soumettre cela aux rayons ultraviolets et ainsi de suite pour voir. L’Ange de... La plus grande consolation que j’ai eue depuis que Je L’ai rencontré, sachant que nous sommes au temps de la fin.

189      Je suis un homme, et il n’y a rien de bon dans un homme. Mais quand un homme peut ouvrir son coeur et laisser Dieu le purifier, alors ce n’est pas... Les seules mains que Dieu a, ce sont vos mains et mes mains; Ses yeux, ce sont les miens et les vôtres, parce qu’Il est Esprit. Mais Il peut oeuvrer au travers de nous pour manifester et accomplir Sa volonté.

190      Je comptais vous appeler ici à l’estrade dans une ligne de prière. J’ai changé d’avis. Je crois que la Présence du Seigneur Dieu est ici. Et je crois qu’Il peut faire exactement la même chose qu’Il faisait quand Il était ici auparavant, sinon Il n’est pas Dieu. Combien de gens...

191      Il y a plusieurs visages ici que je ne connais pas. Je ne reste pas ici; et même plusieurs d’entre vous, vous pourriez venir ici à l’église, mais je ne vous connais pas. Mais combien ici sont nécessiteux et savent que je ne les connais pas, levez la main, tous ceux qui, dans la salle, savent... particulièrement ici devant, presque tout le monde ici devant m’est totalement inconnu.

192      Si donc Jésus vit et qu’Il reste le même hier, aujourd’hui et éternellement, et si vous avez un–un besoin quelconque, les Ecritures déclarent... Maintenant, pas l’Ancien Testament, le Nouveau Testament... Le Nouveau Testament, le Livre des Hébreux dit: «Jésus-Christ est le Souverain Sacrificateur maintenant même.» Tout le monde sait-il ce que c’est qu’un souverain sacrificateur? «Un Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités.» Un souverain sacrificateur doit intercéder dans la Présence de Dieu. Jésus se tient en tant que Souverain Sacrificateur pour faire intercession et peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Eh bien, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et si lorsqu’une femme L’a touché là autrefois Il s’est tourné et lui a parlé, et l’aveugle Bartimée se tenant à la porte, à trois cents yards de là où Il se trouvait, criant: «Aie pitié de moi...»

193      Et les gens se moquaient de Lui tandis qu’Il passait, qu’Il se dirigeait vers le Calvaire, qu’Il montait à Jérusalem pour être offert. Et ces sacrificateurs disaient: «Dis donc, Tu as ressuscité les morts, nous en avons un cimetière plein par ici, viens en ressusciter. Nous Te croirons.» Le même groupe qui disait: «Descends de la croix, si Tu es le Fils de Dieu et nous Te croirons.»

194      Voyez-vous ces critiqueurs? Il y en a toujours eu. Ne classez pas–ne vous associez pas à ce genre de personnes. Dieu vous en garde. Faites entrer Dieu dans votre coeur afin que vous puisiez Le voir et Le reconnaître.

195      Mais ce pauvre vieil aveugle se tenait là, il a dit: «Fils de David, aie pitié de moi.» Et sa foi a arrêté Jésus qui s’est tourné et l’a cherché du regard jusqu’à ce qu’Il l’a trouvé, et Il lui a dit qu’il allait recouvrer la vue.

196      Ce même Jésus est vivant. Si... A quoi bon un Dieu de l’histoire s’Il–s’Il n’est pas le même Dieu aujourd’hui?

197      Quel bien cela fait-il d’essayer d’amener un homme à se réchauffer en lui montrant la peinture d’un feu? La peinture d’un feu ne le fera pas. C’est un feu historique. Vous direz: «Ce n’est pas la peinture d’un feu, Frère Branham; c’est l’image d’un feu qui a réellement eu lieu.» Vous ne pouvez pas vous réchauffer à une peinture. C’est quelque chose qui a été. Qu’en est-il d’aujourd’hui?

198      Il est le même hier, sinon Il... et aujourd’hui, sinon Il est... Il n’est pas le même Dieu. Ne croyez-vous pas cela?

199      Maintenant, que chacun de vous soit très respectueux. S’il doit se faire que je parle, il m’est impossible de vous connaître: Dieu connaît mon coeur. Mais si Jésus vient et s’empare de ma chair et s’empare... Peu importe à quel point Il s’empare de la mienne, s’Il ne s’empare pas aussi de vous... Vous devez croire cela. Car, souvenez-vous, c’est tout simplement selon votre foi. Si le Seigneur Jésus vient et fait cela et que vous touchiez Son vêtement en disant: «Seigneur, je suis dans le besoin, laisse-moi Te toucher, Seigneur.»...

200      Si donc vous Le touchez et s’Il est le même Souverain Sacrificateur, Il agira de la même façon qu’Il avait agi quand Il était ici sur terre. Est-ce exact? S’Il agit autrement, alors la chose est fausse, vous avez touché la fausse chose. Cela doit être la même chose, Il doit agir de la même façon. Si donc vous touchez Son vêtement, comme le fit la femme qui toucha Son vêtement, ne ferait-il pas la même chose?

201      S’il arrive que je... Si certains d’entre vous qui fréquentez cette église... afin que vous le sachiez, je–je ne vous dirai rien à moins que cela doive être votre foi, car ceci est–ceci est... Je suis... J’ai besoin des inconnus. J’y arriverai peu après, le Seigneur voulant. J’ai besoin... Je vais vous faire monter ici à l’estrade, prie pour vous.

202      Je désire avoir des inconnus qui ne sont pas de cette ville. Et vous qui n’êtes pas de cette ville, vous êtes ici dans des hôtels et dans des motels et tout, et vous attendez. Certainement, vous venez du monde entier, comme cela. Ils aiment le Seigneur. Ils croient en Lui. Et ils–ils lisent dans la Bible qu’Il est censé faire ceci dans les derniers jours.

203      «Et nul ne peut venir à moi si le Père ne l’attire», a dit Jésus. Vous ne pouvez pas venir; il est inutile d’essayer de faire quoi que ce soit à moins que Dieu vous attire. Quand Dieu vous attire, alors vous viendrez. «Et Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à Moi.»

204      Maintenant, ayez simplement la foi et croyez maintenant. Et soyez très respectueux, restez tranquillement assis juste un instant. Accordez votre attention à Dieu. Priez en disant: «Seigneur Dieu, laisse-moi toucher Ton vêtement. Je suis malade. Je suis dans le besoin. J’ai un besoin. Frère Branham ne me connaît pas; c’est la première fois que je voie cet homme. Mais je désire prouver à moi-même que Tu es toujours Jéhovah, que Tu es toujours le Jésus dont il parle. Et je crois dans cette Lumière mystérieuse dont le monde parle aujourd’hui; je crois que c’est Toi. Et Tu es le même qui m’a conduit ici. Maintenant, que vais-je trouver? Laisse-moi Le trouver, Seigneur, le même Jésus qu’ils ont trouvé. Et laisse-moi Le trouver.» Maintenant, observez et regardez.

205      Je n’ai aucun moyen du tout de le savoir jusqu’à ce que Dieu me le révèle. Et quand Dieu le révèle effectivement, alors à ce moment-là, c’est Dieu qui le fait, pas moi. Combien croiront s’Il le fait? Je m’attends à Lui. Levez les mains, dites: «Je le crois. Oui, monsieur. Je vais croire de tout mon coeur.» Très bien.

206      Maintenant, levez vos têtes, pendant que vous regardez et priez. Maintenant, très doucement, ce cantique; voici le vieux piano qui le jouait la première fois que je l’ai entendu.

Crois seulement...

207      Jésus descendait la montagne, Ses disciples essayaient de guérir un cas d’épilepsie. Ils n’y arrivaient pas, bien qu’ils avaient la puissance. Le cas a été amené à Jésus. Il a dit: «Je le peux si tu crois, car tout est possible. Crois seulement.»

208      Que tout le monde soit aussi respectueux que possible. Regardez simplement par ici, comme Pierre et Jean ont dit: «Regarde-nous», non pas regarder à eux en vue d’obtenir quelque chose, mais accorder l’attention. Il a dit: «Je n’ai ni argent ni or.»

209      Puisse le Dieu du Ciel l’accorder. Voyez-vous, Sa Parole est en jeu, pas la mienne. Je ne suis responsable que de prêcher la Parole.

210      C’est difficile; ceci c’est la ville où j’ai grandi. Vous savez, il est dit de Jésus, quand Il est allé dans Sa ville natale, qu’Il ne pouvait pas accomplir beaucoup de prodiges. Vous le savez tous. Et alors, Jésus s’est tenu là et a dit: «Un prophète n’est pas sans récompense, si ce n’est dans sa ville natale, parmi les siens.» Cela est encore valable aujourd’hui.

211      Mais il y en a beaucoup ici qui ne sont pas de la ville où j’ai grandi [Frère Branham marque une pause.–N.D.E.]

212      Là, juste au bout de la rangée, monsieur qui me regardez et qui portez des lunettes, je suppose que nous sommes des inconnus l’un à l’autre. Dieu nous connaît tous deux. Mais vous êtes conscient que quelque chose de mystérieux est en train de se passer. Si vous pouviez voir ce que je vois, cette Lumière se tient juste au-dessus de vous. Si Dieu me révèle... Maintenant, vous êtes en contact avec Lui. Il doit utiliser ma voix et mes yeux. Mais vous avez besoin de quelque chose. Je ne vous connais pas. Vous savez que je ne sais rien à votre sujet. Si c’est juste, levez la main, monsieur.

213      Mais vous réalisez que c’est comme si vous ressentez quelque chose, une sensation très douce, pour ainsi dire, très humble (N’est-ce pas juste?) à l’instant même. C’est l’Ange du Seigneur. Il est juste au-dessus de vous. Si Dieu me révèle votre problème, exactement comme Il le fit au travers de Son Fils, le Seigneur Jésus... Et Il est venu pour sanctifier mon coeur afin qu’Il puisse vivre ici pour vous répondre; allez-vous croire que c’est le même Souverain Sacrificateur que vous avez touché? Vous êtes en contact avec Quelque Chose. C’est Lui.

214      Votre problème, c’est aux poumons. Si c’est juste, levez la main; c’est si grave que vous ne pouvez pas travailler. Si c’est juste, levez la main. Je ne vous connais pas.

215      Combien croient maintenant? Regardez ici. Vous pensez que j’ai deviné cela. L’Esprit est toujours au-dessus de cet homme.

216      Croyez-vous que le Dieu du Ciel vous connaît? Le servez-vous? Je déclare que vous Le servez. Absolument, vous êtes un chrétien. Vous êtes venu ici dans le but d’être guéri. Vous allez rentrer chez vous bien portant. Votre nom est monsieur Raney. C’est l’exacte vérité. Levez la main, si c’est vrai. Vous pouvez rentrer chez vous. Vous êtes guéri, monsieur. Votre foi vous a guéri. Que Dieu vous bénisse.

217      Je n’ai jamais vu cet homme de ma vie; voici mes mains, peut-être c’est la première fois que nous nous rencontrons. C’est Dieu. Maintenant, restez tranquille; que tout le monde soit en prière. Vous savez qu’il y a Quelque Chose ici qui fait cela.

218      Maintenant, les pharisiens ont dit: «Il est le diable.» Ensuite ils ont reçu leur récompense. Philippe a dit: «C’est le Fils de Dieu.» Il a reçu sa récompense. Tout ce que vous pouvez penser à ce sujet, cela vous regarde.

219      Vous qui êtes en train de pleurer là, vous étiez conscient que Quelque Chose vous a frappé, n’est-ce pas? Si c’est juste, levez la main. L’homme qui est en train de pleurer, qui est assis juste ici, nous sommes des inconnus l’un à l’autre. C’est juste. Je ne vous connais pas. Mais Dieu vous connaît. Si Dieu me révèle votre problème, allez-vous croire de tout votre coeur? Si vous allez croire, agitez la main. Très bien.

220      Vous souffrez d’un trouble de l’estomac. C’est juste. Croyez-vous que Dieu va vous guérir? Très bien, vous le croyez? Croyez-vous que Dieu sait qui vous êtes? S’Il me dit qui vous êtes, cela va-t-il vous fortifier? Si c’est le cas, gardez la main levée; agitez-la. Très bien, cela va-t-il vous fortifier? Monsieur Fred Moore. C’est tout à fait exact. Rentrez chez vous, monsieur, cet ulcère duodénal de l’estomac vous a quitté. C’est la nervosité qui a causé cela, mais Jésus-Christ vous a guéri quand Il vous a touché là.

221      La dame assise à côté de vous là, oh! je la connais. Je connais cette femme, son nom est... Je ne me trompe pas; je crois que c’est madame Greene, n’est-ce pas? Je ne peux pas vous appeler, Soeur Greene, car je vous connais. Mais tenez, une minute. Non, ce n’est pas pour vous. Vous priez pour quelqu’un d’autre. C’est juste. Et cette personne est dans un grand pays, loin d’ici où il neige beaucoup. C’est le Nebraska. C’est pour une dame qui souffre du cancer que vous priez. Si c’est juste, levez la main. C’est pour une personne qui souffre du cancer que vous priez et qui est dans le Nebraska. Très bien. Que Dieu vous bénisse.

222      Ayez la foi. Croyez. La dame assise là, qui essuie les larmes de ses yeux, elle m’est inconnue. Je ne connais pas cette dame. C’est son mari qui est assis à côté d’elle, l’homme de forte corpulence. Etant des inconnus...

223      Croyez-vous que Dieu entend la prière? Croyez-vous que ceci est l’Esprit de Dieu, madame? Vous êtes couverte par l’ombre de la mort, n’est-ce pas? C’est un cancer. Nous sommes des inconnus. Si c’est juste, agitez la main. C’est juste. Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Vous n’êtes pas de cette ville; vous venez de quelque part de l’autre côté de la rivière. C’est juste. Madame Sanders est votre nom. C’est juste. Votre prénom c’est Hilda. C’est tout à fait juste. Tenez-vous debout, madame, acceptez votre guérison de la part de Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse. Vous voyez?

224      Ayez foi en Dieu, ne doutez pas. Certains d’entre vous ici dans ces rangées, croyez au Seigneur Jésus et vous serez guéris.

225      Maintenant, c’est Lui. Croyez-vous que c’est Lui? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Voyez-vous, je ne vous connais pas. «Si tu peux croire...» Ça dépend de vous.

226      Vous semblez être en prière, monsieur assis juste ici. Croyez-vous que je suis Son prophète? Croyez-vous que c’est Lui? Je vous suis inconnu; vous m’êtes inconnu; c’est notre première rencontre. Mais Dieu nous connaît tous deux. Croyez-vous cela? Si ces choses sont vraies, levez la main. Croyez-vous que vous rentrez chez vous sans le mal de dos dont vous souffrez, que Dieu va vous guérir? Vous le croyez? Alors que vous rentrez dans l’Ohio, à Hamilton. C’est juste. Vous vous appelez monsieur Burkhart. C’est vrai. Jésus-Christ vous a guéri maintenant, et vous pouvez rentrer chez vous et être bien portant. Amen. Que quelqu’un d’autre croie.

227      Oh! êtes-vous conscient de Sa Présence? Réalisez-vous que ça doit être Quelque Chose qui fait cela? C’est exactement ce que la Bible dit qu’Il a fait premièrement, et Il a promis... Il a fait cela devant les Juifs, devant les Samaritains, et Il a promis de le faire devant les Gentils. C’est ici l’heure. Pas un Dieu historique, mais un Dieu qui tient Sa promesse, qui est vivant maintenant même, le Seigneur Jésus, le même qui guérit les malades, de la même façon qu’Il le fit, la même méthode, et Il l’a promis pour les derniers jours. C’est de nouveau la Noël, Sa Lumière qui conduit. «Que regardez-vous, Frère Branham?» C’est Lui que je regarde. C’est un autre monde; c’est une autre dimension, si vous voulez l’appeler ainsi. C’est dans le monde spirituel.

228      Je vois un homme, il a vraiment le coeur gros, mais je le connais; Frère Funk, je ne le savais pas jusqu’à cet instant même; vous avez des ennuis: je vois une ombre très sombre au-dessus de votre mère. Et vous savez que je l’ignore; je viens de rentrer. Mais votre mère a subi une opération pour un cancer malin. Et vous vous inquiétez à son sujet, et vous priez. Le Dieu qui a rétabli votre père et l’a ramené à son bon sens, qui lui a rendu la bonne santé, peut restaurer votre mère. Ne craignez point. «Si tu peux croire, tout est possible à celui qui croit.»

229      Le voilà au-dessus d’une autre personne, mais je la connais. Cependant elle prie pour quelqu’un d’autre. Madame Arganbright, si vous croyez que ce cancer va être guéri... C’est pour une autre personne. Croyez.

230      Qu’en est-il de vous? Croyez-vous, madame, que je suis Son prophète, Son serviteur? Vous avez la même maladie que l’autre femme: une perte de sang. C’est exact. Vous n’êtes pas de cette ville. Vous venez aussi de l’Ohio. Vous aviez été guérie vous-même de quelque chose à l’une de mes réunions. Vous aviez le cancer; vous étiez couverte par l’ombre de la mort, et maintenant cela a disparu. C’est juste. Afin que vous sachiez que je suis Son serviteur, la perte de sang est due à votre âge. Mais vous souffrez aussi du rhumatisme, ou de quelque chose comme l’arthrite, c’est cela quand vous vous levez. Vous êtes raide le matin. Vous avez aussi des ennuis avec la gorge. Croyez-vous que je suis Son serviteur?

231      Vous avez sur le coeur quelqu’un d’autre pour qui vous priez. C’est votre belle-fille. Elle souffre des varices. Elle est mère d’une ribambelle d’enfants, n’est-ce pas? C’est tout à fait exact. Vous vous appelez madame Alice Thompson. C’est tout à fait exact. Rentrez, recevez ce que vous avez demandé. Elle sera donc guérie parce que vous avez cru au Seigneur Jésus. Maintenant, si nous sommes des inconnus l’un à l’autre, agitez–agitez la main comme ceci. Je ne vous connais pas, je ne sais rien à votre sujet.

232      Je mets votre foi au défi. Je lance un défi à toute personne ici au Nom de Jésus-Christ et je lui demande de croire en Sa Présence qui est ici. Peu m’importe ce qui ne va pas en vous, si vous croyez cela...

233      Souvenez-vous, ceci c’est la dernière chose qu’Il fera avant Sa Venue. Souvenez-vous de ce qu’Il a dit: «Ce qui arriva du temps de Sodome et Gomorrhe arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.» Qu’était le message?

234      Trois Anges descendirent. Deux d’entre eux, un Billy Graham et un Jach Shuler, se rendirent à Sodome et prêchèrent au peuple juste le message de l’Evangile de la délivr-... de la délivrance. Mais un Ange est resté en arrière avec l’élu, Abraham et son groupe.

235      Et l’Ange avait le dos tourné à la tente. Et Sara a ri à l’intérieur de la tente. Et l’Ange a dit: «Pourquoi Sara a-t-elle ri?» Comment a-t-Il su qu’elle a ri dans la tente derrière Lui?

236      C’était le dernier message que Sodome a reçu avant la destruction. Et voici le dernier signe que Dieu montre avant l’anéantissement. Recevez-le; croyez cela et soyez sauvés. Inclinez la tête juste un instant.

237      Etes-vous conscient de Sa Présence? Avez-vous besoin de Lui maintenant, après qu’Il–après que vous avez... Je vous ai prêché l’Evangile, et vous avez entendu Son message. Ensuite, vous Le voyez descendre et parler, Lui-même. Un homme peut dire n’importe quoi; mais cela est inutile, à moins que Dieu parle et confirme la chose. Mais quand Dieu vient et rende réel le message, et Le rend encore vivant, alors c’est Dieu. Voulez-vous L’accepter maintenant en abandonnant entièrement votre vie? Voulez-vous lever vos mains juste un instant, dire: «Je lève mes mains; je Lui abandonne tout mon être entier, tout mon être»? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse.

238      Tous ceux qui ont besoin de la prière pour la guérison, je crois que chacun de vous sera guéri. Prions pour les malades.

239      Seigneur, afin que personne ne soit omis, afin que tous reçoivent... Nous sommes conscients, Seigneur, alors que je me tiens ici, faible et tremblant, que Tu es ici. Il n’y a pas le moindre doute à ce sujet. Les gens sont saisis de crainte maintenant dans la sainte Présence de Dieu, une autre Noël, la même Lumière surnaturelle qui brille. Elle a conduit plusieurs personnes ici issus de différents milieux. Ils ont entendu la lecture et la prédication de Ta Parole, et maintenant ils Te voient venir et confirmer la Parole.

240      La Bible dit: «Les disciples retournèrent et prêchèrent partout la Parole, le Seigneur travaillait avec eux, confirmant la Parole par des signes qui L’accompagnaient», les dernières choses qui étaient écrites dans les Ecritures, en dehors de l’Apocalypse. Maintenant nous voyons de nouveau cela. La Venue est proche, Seigneur. Sois miséricordieux. Guéris tous les malades qui sont ici ce matin. Ton Esprit a raison; Il est puissant et Il est ici.

241      Et il y en a beaucoup ici, Seigneur, les membres du Tabernacle qui viennent ici. Tu as été miséricordieux envers eux en les appelant.

242      Et cependant, Seigneur, maintenant même cela est sur tout l’auditoire. La grande gloire de la Shekinah, la glorieuse puissance de Christ ressuscité, l’Arc-en-ciel à plusieurs couleurs, l’Alpha et l’Oméga, le Commencement et la Fin, l’Etoile du matin, la Rose de Saron, est présente. Guéris, Seigneur. Nous les déclarons guéris par Ta grâce. Accorde-leur la foi pour le croire, Seigneur, et l’accepter maintenant même, pour la gloire de Dieu. Que chaque personne malade soit guérie.

243      Et chaque personne qui est dans l’erreur, qui a été infidèle envers son conjoint, qu’il lui soit pardonné. Chaque personne qui fume ou boit, qu’il lui soit pardonné. Que leur péché soit plongé dans le Sang, par le Dieu omniprésent qui est ici maintenant, alors que probablement ils auront été le plus près de Lui pour toute leur vie. Accorde maintenant que ceci soit reçu.

244      Ecoute-nous, Seigneur, ô Dieu, notre Grand Roi, alors que nous invoquons Ton Nom en cette période de la veille de Noël, pas un saint Nicolas, mais un Jésus qui est ressuscité des morts et qui est vivant, qui se manifeste parmi Son peuple. Ô Seigneur, Tu es Dieu et le seul Dieu, et il n’y en a point d’autre en dehors de Toi. Et nous Te remercions du privilège que nous avons de nous tenir en Sa Présence, en cet humble petit endroit. Il s’est humilié et Il est venu parmi nous. Nous en sommes très reconnaissants. Que Son saint Nom soit béni. Nous Lui rendons gloire du matin au soir, et tout au travers des soirées de cette saison, nos coeurs chantent les cantiques et les louanges de Jéhovah. Grâces Lui soient rendues à jamais et à jamais.

245      Prends Tes enfants que voici, Seigneur, sous Tes ailes, rassemble-les comme une poule rassemble sa couvée. Conduis-les dans une vie plus profonde et dans une vie plus heureuse, et à une vie plus riche; accorde-leur le baptême du Saint-Esprit. Régénère leurs âmes, Seigneur, et qu’ils deviennent de nouvelles créatures en Christ, afin que Tu puisses vivre et habiter en eux, oeuvrer au travers d’eux, en tant que Tes disciples. Accorde-le, Seigneur. Car nous croyons que bientôt les cieux s’ouvriront et notre Seigneur Jésus viendra et nous Le verrons, Lui que nous aimons. Nous Te remercions pour ceci, au travers de Jésus notre Seigneur.

            Maintenant, pendant que nos têtes sont inclinées, je remets le service au pasteur.

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