N’Ayez Pas Peur

Date: 60-0717 | La durée est de: 1 heure et 53 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, Frère...?... Merci beaucoup. Merci...?... Avec ça, je me sens doublement le bienvenu. J’apprécie certainement cela. Et j’ai... aux noms de frère Borders, de frère Mercier, de frère Goad, de Billy Paul, et de moi-même, nous voulons dire que ceci a été pour nous une merveilleuse série de réunions. Je ne me rappelle pas quand j’ai eu une réunion où le Saint-Esprit semblait donner la liberté presque à tout, et avec une grande liberté d’expression. Et les ministres savent ce que cela veut dire. Il y a une telle coopération derrière vous, devant vous...

            Et c’est vraiment dommage que nous n’ayons pas eu toute la ville ici pour qu’elle voie ce que le Seigneur a fait. Mais jamais Il ne... je... Le Saint-Esprit donnait si rapidement des visions partout dans la salle au point que, en toute honnêteté, je devais des fois tourner la tête jusqu’à ce que j’aie assez de force pour continuer encore un peu. Votre–votre foi pour croire, eh bien, ne la laissez jamais mourir.

2          Bon, nous voulons remercier l’école de nous avoir accordé cette salle. Nous voulons remercier le gardien d’ici, le concierge ainsi que tout le comité de gestion de l’école. Et nous prions certainement que Dieu fasse sortir de cette école beaucoup d’étudiants célèbres. Et tous ceux qui ont coopéré, ceux qui nous parrainent, et ceux qui ont coopéré, jusqu’aux laïques dans l’ensemble, pour nous avoir aidés à faire face à nos charges... Je pense que tout a été honoré. Et c’est tout ce qui est exigé, juste que les charges soient couvertes. C’est tout ce dont nous avons besoin. Et moi-même, je reçois un–un salaire.

            Je voudrais vous remercier pour les offrandes d’amour et l’offrande missionnaire que vous avez prélevées. Cela va tout droit à ces fonds. Je ne sais même pas, je ne m’occupe pas du tout de l’argent lors des réunions. C’est mon secrétaire qui s’en occupe. Tout est mis en banque et mis de côté, pour économiser jusqu’à ce que j’aie assez pour aller outre-mer.

            Et puis, quand je vais outre-mer, pour me rassurer que l’argent est bien utilisé, je prends cela moi-même. Et je sers avec le ministère qui a opéré juste ici parmi vous tous et partout dans le monde. Et un de ces jours, eh bien, ils seront des millions à s’assembler là-bas dans l’autre pays, à cause de votre coopération en m’aidant à aller dans d’autres pays... Je crois qu’il y aura des dizaines de milliers de païens qui n’auraient jamais connu Jésus-Christ si vous ne m’aviez pas aidé à y aller.

3          Eh bien, peut-être que vous, Dieu ne vous a jamais appelés à y aller. Mais vous avez sacrifié une partie de votre subsistance pour que je puisse y aller. Et je vais faire tout mon possible, et je vous le promets, par la grâce de Dieu, que chaque sou sera dépensé avec autant de crainte que possible. Même depuis les treize petits cents que nous a offerts ma petite chérie hier soir jusqu’à la plus grande somme d’argent, nous en prendrons soin et nous le dépenserons au mieux de notre connaissance.

            Maintenant, les administrateurs de notre église, l’un d’eux est ici présent maintenant même, M. Sothmann, là au fond. Et les autres sont de braves chrétiens, comme lui. Et ils veillent à ce que cet argent soit affecté exactement à ce pour quoi il a été envoyé. Il va dans les champs missionnaires à l’étranger pour contribuer à l’édification du Royaume de Dieu. Là-bas, quand je vais... Vous dites: «Eh bien, je suis membre des Assemblées.»

            L’autre dit: «Eh bien, je suis membre des Foursquare.»

4          Rappelez-vous, mon frère, ma soeur, que cet argent va tout droit dans votre église là-bas aussi, parce que je ne représente pas une quelconque dénomination. Les gens se réunissent tous comme ici. Vous voyez? Et–et quand les convertis viennent, eh bien, quelles que soient les églises qu’ils désirent fréquenter, cela nous importe peu. Ce qui importe donc c’est qu’ils soient des chrétiens du Plein Evangile nés de nouveau. Et c’est donc ainsi que nous–nous faisons tout ce que nous pouvons avec révérence, sachant que nous devrons répondre du plus petit don au plus grand, au jour du Jugement. Et je veux qu’on trouve ce jour-là que j’avais été un bon économe des affaires du Seigneur.

            Et nous remercions certainement chacun de vous sans exception pour tout ce que vous avez fait, pour votre foi... J’ai remarqué que la nuit... je commence à remarquer qu’en Amérique, et comme à beaucoup d’autres endroits, les gens se lèvent des fois... Vous allez à une réunion, et lorsqu’ils ne sont pas d’accord avec ce que vous dites, ils se lèvent et s’en vont, ils s’en vont délibérément. Je n’ai pas vu cela au cours de cette série de réunions. Et j’ai éprouvé votre patience en continuant jusqu’à vingt-deux heures, et les gens sont restés assis juste dans l’église, avec la chaleur, s’éventant; ils sont restés assis là même jusqu’à la dernière prière, jusqu’à ce que la dernière chose soit faite à la chaire. C’est loyal. Que Dieu vous bénisse.

5          Je ne sais pas. J’espère pouvoir vous revoir. Si ce n’est pas le cas, ce que je vous ai dit hier soir au sujet de cet endroit, que Dieu exauce ma prière et que nous puissions tous nous rencontrer là-bas. Je vous aime donc et vous m’aimez, mais nous ne savons pas ce que c’est jusqu’à ce que nous arrivions là. Et c’est juste.

            Je crois que s’il m’arrive de revenir, le nouveau ministère que j’essaie maintenant de mettre en oeuvre opérera parfaitement comme les autres à ce moment-là.

            Quelques-uns m’ont dit là dehors, cela fait quelques minutes, que le petit bébé pour lequel nous avons prié sur l’estrade dimanche après-midi dernier était ici. Si je ne me trompe pas, cette jeune mère blonde qui est ici... Est-ce que le bébé va mieux? J’en suis si heureux. C’est bien. On a dit qu’il allait bien maintenant, que ça se dessèche, qu’il se forme des croûtes. Eh bien, n’en sommes-nous pas reconnaissants? Les médecins ne pouvaient rien faire pour lui. Si seulement vous saviez que cette maladie se répand sur tout le visage et le ronge. Vous voyez? Mais maintenant, cela est en train de guérir et des croûtes se forment à cet endroit. Et cela guérit. Nous sommes reconnaissants.

6          Cela ne vous embarrassera pas. Il y avait... La petite dame s’est demandé pourquoi une chose a été dite sur l’estrade au sujet d’une ville d’où elle venait. Voyez-vous, le Saint-Esprit... Immédiatement après la réunion, je descendais la rue, et je–je les ai rencontrés; et on m’a posé la question.

            Eh bien, j’ai dit: «Certainement, c’est juste. Vous êtes de là, vous-même. Mais quand vous vous êtes mariée, vous avez emménagé ailleurs ou quoi que ce fût là».

            Alors elle a compris. Voyez-vous ce que le diable essaie de vous amener à faire? Voyez-vous? Ce bébé ne se serait pas rétabli si vous aviez continué à penser cela. Voyez-vous? Mais si vous croyez, si c’est suffisamment parfait pour dire des choses parfaitement, c’est–ce sera parfait aussi pour ce qui est de la guérison.

            Croyez simplement toutes choses, tout ce que Dieu a dit, croyez-le tout simplement, parce que ce n’est pas moi, mon ami. Souvenez-vous. Si je ne vous revois plus jamais, vous tous, la plupart d’entre vous, jusqu’au Jugement, ces visions, cette Colonne de Feu et la Lumière, c’est la vérité. C’est la vérité.

7          Eh bien, je suis un piètre serviteur du Seigneur. Je commets tellement d’erreurs que j’ai honte de moi. Je ne le fais pas délibérément. Mais je–je fais des choses que je ne devrais pas faire, par exemple, on peut me dire: «Venez, priez pour tel.»  «D’accord, je serai bien là et je prierai pour ça.» Un autre arrive, puis un autre, puis un autre. J’oublie la chose. Je ne le fais pas intentionnellement. Ce n’est pas mon intention d’être comme cela.

            Et puis, bien des fois, j’aurais souhaité pouvoir rester un peu plus longtemps dans la ligne quand le discernement s’exerce. Mais cela me tue tout simplement; je ne peux simplement pas le faire.

            Et l’autre matin, quand j’ai vu cette vision, j’ai regardé et j’ai pensé: «O Dieu, permets que quelqu’un me soutienne.» Puis je me suis mis à penser: «Oui, ils ont fait ça une fois, et pendant huit mois j’étais hors du champ missionnaire.» Voyez-vous, je ne pouvais pas savoir lorsque quelqu’un venait auprès de moi si c’était une vision ou pas. Donc vous–vous ne pouvez pas–vous–vous n’arriverez jamais à vous occuper de tout le monde. Nous le savons. Mais nous pouvons faire tout notre possible pour aider.

8          Donc, d’ici nous allons en Californie, à Lakespring... Lakeport, Lakeport, en Californie, pour la semaine prochaine. La semaine qui suivra nous serons ici à Yakima, à Washington, une soirée à Tacoma, en passant. Ensuite, nous continuons à Summer Shade, dans le Kentucky, et sans arrêt... Et dès que je le pourrai, j’irai en Allemagne, en Suisse, en Afrique, en Inde, et j’irai jusqu’en Australie, à Melbourne, et à Sydney, puis en Nouvelle-... et puis en Nouvelle-Zélande, à travers le monde.

            Priez pour moi. Je vais vous demander une faveur de plus. Allez-vous prier pour moi pendant que je serai parti (Voyez-vous?), jusqu’à ce que nous allons nous revoir? Allez-vous prier pour moi? Et je m’en souviendrai lors de grands défis devant les religieux de l’Inde, devant les sorciers d’Afrique, dans l’arrière-pays de l’Australie et dans les environs où ces païens et ces idolâtres sauvages viennent carrément pour vous défier. Et quand ils lanceront leur défi, je me souviendrai que là dans la vallée de Klamath Falls, il y a un groupe de gens qui prient pour moi. Et je–je saurai que Dieu écoute votre prière. J’ai besoin de vos prières. Les gens qui prient pour moi, voilà la chose qui me soutient.

9          Quand j’étais petit, je n’avais pas de famille, comme vous le savez pratiquement. Je ne veux pas dire cela pour déshonorer de quelque façon mon père et ma mère, mais vous avez lu l’histoire de ma vie. Personne... J’ai toujours aimé les gens; je voulais que les gens m’aiment. Mais personne ne voulait me parler. Je me tenais dans la rue comme un jeune homme; si quelqu’un arrivait, je lui parlais. S’il survenait quelqu’un d’autre à qui il pouvait parler, il s’en allait, à cause de la famille dont j’étais issu. Mon père buvait et fabriquait clandestinement l’alcool, et ainsi de suite.

            Je–je déteste donc dire cela, mais ce n’est–ce n’est pas... Je crois... Mon papa est mort dans mes bras en louant Dieu. Donc je–je–je crois que cela ne reflète rien. Mais, voyez-vous, la vérité... Même si ça ne m’honore pas, je vais le dire de toute façon, parce que c’est la vérité. Voyez-vous? Juste...

10        C’est–c’est la raison pour laquelle je crois la Bible. En fait, même si je n’ai lu cela qu’une fois, ou considéré cela qu’une fois, quand Elle a parlé de Lot qui avait vécu avec ses filles et ainsi de suite comme cela, Elle n’épargne personne, Elle dit la vérité. Voyez-vous? Eh bien, quand on dit que George Washington n’a jamais dit de mensonge, ça c’est de l’histoire. Je n’en sais rien. Mais quand on en arrive à Ceci, Elle dit la vérité. Que la chose soit bonne ou mauvaise, Elle dit quand même cela.

            C’est comme ça que nous devrions être. Si c’est mal, cela sera [déclaré] de toute façon d’un bout à l’autre du Ciel un jour. Donc nous pouvons tout autant confesser cela maintenant et dire que c’est–que c’était ainsi. Voyez-vous? Et puis, soyez honnêtes. Vous n’avez jamais... Vous ne pourrez jamais servir correctement Dieu à moins que vous n’ôtiez chaque petite chose du chemin au point où vous pourrez rester libres.

11        Comment pourrai-je sortir par cette porte si je ne comprends pas et que je ne sais pas exactement que je peux sortir par cette porte? C’est donc par la foi que je sors par la porte. Voyez-vous? C’est le seul moyen par lequel vous puissiez le faire. Si quelque chose constitue une entrave sur votre route, vous ne pourrez pas y arriver, parce que cette chose se dressera juste devant vous chaque fois. Voyez-vous?

            Et soyez donc honnête, sincère; servez Dieu de tout votre coeur, en mettant de côté tout péché qui vous enveloppe facilement, afin que vous puissiez courir avec persévérance dans la carrière qui vous est ouverte, ayant le regard sur le Chef et le Consommateur de notre foi, le Seigneur Jésus-Christ. C’est... Suivez: Il est notre Modèle.

12        Maintenant, si je place une pierre d’achoppement sur votre chemin, ne laissez pas cela être une entrave à votre salut par Christ. Si votre pasteur, lequel est un homme, s’il met une pierre d’achoppement, ne laissez pas cela être une entrave du tout. La chose que vous devez faire, c’est de garder votre foi en Dieu et de regarder à Jésus-Christ comme votre Modèle. Il est votre Modèle, et le parfait Modèle.

            Maintenant, je... à vous tous, merci encore. Et maintenant, nous–nous choisissons cette heure cet après-midi. Principalement, nous avons eu un appel à l’autel hier soir. Et je crois que chaque âme précieuse qui a trouvé le Seigneur Jésus au cours de ces réunions, deviendra membre de l’une de ces églises, parce qu’elles–elles croient à ceci. Elles ne me recevraient pas ici si elles ne croyaient pas à ce ministère.

13        Eh bien, mon ministère connaît maintenant une petite baisse, parce qu’en Amérique ça change d’un ministère à un autre. Et si vous l’avez bien observé, le premier c’était un signe que les gens regardaient. Le second c’était un signe que seul Dieu Lui-même pouvait accomplir. Maintenant, pour ce qui est de ce troisième ministère, cela est ramené encore droit entre les mains des gens. Voyez-vous? S’ils viennent avec sincérité, sans douter du tout. Regardez le Saint-Esprit opérer Lui-même... Il vient sur moi et leur dit exactement des choses. Il guérit là même. Voyez-vous? Mais les gens doivent venir, non pas avec une foi émotive, mais avec une foi solide pour croire que c’est la vérité (Voyez-vous?), car Dieu remet la chose immédiatement entre les mains des individus. En effet, il faut qu’il en soit ainsi, parce qu’il n’y a pas de puissance de guérison dans l’homme.

            Et ces choses dont je vous ai parlé concernant les écureuils, concernant la–la guérison de ces gens et ces choses, Dieu au Ciel sait que chaque parole de cela est vraie, autant que je sais l’exprimer. C’est juste. Et je sais donc que juste devant moi m’attend maintenant un ministère plus glorieux que celui que j’ai. Mais cela ne prendra qu’un peu de temps aux gens. Quand ils vont se mettre à placer leur foi là-dedans, c’est alors que cela entrera en action. Comment se fait-il que je voie des visions là au-dessus de l’auditoire? Comment? C’est vous qui provoquez cela. Ce n’est pas moi qui le fais. C’est vous.

14        Maintenant, je doute que l’un ou l’autre... qui que ce soit d’entre vous ait déjà vu une vraie vision, m’ait déjà vu avoir une vraie vision. Ma femme peut vous dire ce qui se passe. Des fois je reste couché pendant des heures sans le moindre souffle ou bien un médecin peut m’examiner sans trouver de pouls, et il peut frotter une allumette et la mettre aussi près de mon nez sans qu’il y ait de souffle pendant une heure ou plus... Mais ça c’est dans le cas d’une vraie vision. Ceci est une sorte de vision, mais c’est vous qui la provoquez. Laissez-moi... Je–je préfère ne pas le faire. Nous avons pris trop de temps. J’allais essayer de vous l’expliquer au mieux de ma connaissance. Est-ce en ordre? Voici...

            Personne ne peut jamais expliquer cela, parce que c’est inexplicable. Mais voici la chose au mieux de ma connaissance. Je vais prendre mon frère ministre qui est ici sur l’estrade. Très bien. Nous allons tous partir à un grand carnaval, ou plutôt je dirai à un cirque. C’est ainsi que j’avais dû le faire. Un cirque venait en ville, et nous devions jeter un coup d’oeil quelque part à travers un trou pour regarder, parce que nous ne pouvions pas y entrer.

15        Eh bien, disons que–que nous sommes tous à ce grand cirque, mais que nous ne pouvons pas entrer. Et il se fait que Dieu m’a fait un homme grand, de haute taille. Et Il a fait d’un autre frère un homme de petite taille, mais robuste. Maintenant, ce que nous sommes, nous n’y pouvons rien.

            Jésus a dit: «Qui d’entre vous, par le souci qu’il se donne, peut ajouter une coudée à sa taille?» Vous ne pouvez pas le faire. Dieu vous a fait juste ce que vous êtes. Et c’est là que je suis un peu en désaccord avec nos derniers frères ou plutôt nos frères de la pluie du dernier jour, qui essaient d’imposer les mains aux gens pour faire d’eux des prophètes et autres comme cela. C’est Dieu qui établit dans l’Eglise. Voyez-vous? Si c’est l’homme qui le fait, c’est juste comme élire un évêque ou élire quelqu’un d’autre. Cela marche rarement. Mais quand c’est Dieu qui établit cela, il s’agit–il s’agit de la prescience. Par Sa prescience, Il a vu à l’avance toute chose.

16        Croyez-vous tous que Dieu est infini? Eh bien, s’Il est infini, Il connaissait chaque puce qui serait sur terre, le nombre de fois qu’elle battrait les yeux et la quantité de suif qu’elle produirait. C’était avant que la fondation du monde n’ait eu lieu. Or, cela ne pourrait même pas exprimer à moitié l’infinité–l’infini. Il est si parfait qu’Il savait tout ce qui arriverait. Il connaissait chaque moment, la quantité, quelle serait la longueur de vos ongles, et combien de fois vous battriez les yeux, et combien de fois vous bougeriez le doigt, avant le commencement du monde. Chaque individu... C’est infini. Voyez-vous? Infini, il n’y a simplement aucune... Il n’y a aucune explication à cela. On ne peut donc pas expliquer ce mot.

            C’est juste comme sur votre–sur–sur–sur votre appareil photo, ou lorsque vous allez au-delà d’un certain champ, alors ça–ça continue tout simplement; c’est l’éternité. Eh bien, c’est ça Dieu. Il connaissait donc toutes choses.

17        Maintenant, nous allons voir qu’Il a établi certains ministères dans l’Eglise pour certains âges. Croyez cela. Certainement qu’Il l’a fait. Eh bien, nous sommes tous à un carnaval ou plutôt à un cirque. Nous ne pouvons pas entrer. Nous n’avons pas d’argent.

            Maintenant, je regarde, disons, frère Borders qui est ici, peut-être qu’il est de petite taille, mais robuste. Il est assez fort, il peut transporter l’eau pour abreuver les éléphants, peut-être y entrer lui-même. Eh bien, moi, je n’arriverais pas à le faire, parce que je suis plutôt un gringalet, mais je suis vraiment de grande taille et mince.

            Et nous nous glissons le long d’une grande clôture en bois, et–et nous disons tous deux que nous avons découvert un trou laissé par un noeud, et qu’il se trouve tout en haut à ce niveau. Eh bien, frère Borders ne pourrait jamais atteindre le niveau de ce trou. Mais moi, je le peux en sautant. Très bien, je fais un très grand bond et, de mes doigts, je m’agrippe au rebord de la clôture. Je m’étire, je regarde par le trou. Je redescends. Et on demande: «Qu’as-tu vu?»

            – L’éléphant.

            – Oh! C’est vrai?

            – Uh-huh, oui.

            – Quoi d’autre as-tu vu?

18        Eh bien, c’est là la vision que vous voyez ici à l’église. Voyez-vous, je me tiens là. C’est vous-mêmes qui faites opérer cela. C’est vous-mêmes qui provoquez cela. Quand vous êtes là dans l’auditoire et que vous croyez, c’est vous-mêmes qui provoquez cela.

            Jésus a dit à la femme: «Ta foi...» Pourquoi n’a-t-Il pas senti le toucher des autres? Ils n’avaient pas cette foi-là, excepté cette unique femme qui L’a touché. Voyez-vous? «Ta foi t’a sauvée.»

            Maintenant, premièrement, vous savez que vous... Eh bien, les gens se tiennent sur l’estrade, voici la personne. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Très bien, qu’est-ce que je fais? Je m’abandonne moi-même par un don. Et bien vite, je vois la femme. Elle a le cancer. «Vous souffrez du cancer.» Oh! la la! Quand je tombe d’ici, pour ainsi dire. (Voyez-vous?) Fiou! C’était dur.

            «Oui, j’ai le cancer.» Voyez-vous? Cela devrait alarmer tout l’auditoire, mais ce n’est pas le cas. Cela ne l’alarme même pas des fois.

            «Il a deviné cela.» Je peux le sentir immédiatement. Voyez-vous?

19        «Eh bien, quoi d’autre as-tu vu?» Oh! Nous voilà repartis, et je saute et m’agrippe à l’aide de mes doigts; en effet, je saisis à peine cela et je m’étire fort.

            – Quoi d’autre as-tu vu?

            – La girafe. (Voyez-vous?)

            – Qu’est-ce que j’ai en plus?

            – Eh bien, vous avez aussi une toux asthmatique.

            – Ouais, c’est juste.

            A ce moment-là, je suis presque mort. Voyez-vous? Maintenant, toute l’église se tient ici, chacun cherchant à savoir quelque chose à son sujet. Voyez-vous? Ce sont eux-mêmes qui provoquent cela.

20        Maintenant, voici que le–le–le géant passe, Monsieur Loyal. «Qu’est-ce que tu fais, fiston?

            «Je regardais à l’intérieur de la clôture au travers de ce trou de noeud et je rapportais à ces hommes.»

            Il a tendu la main et il m’a saisi de ses mains, il m’a soulevé ici. Il dit: «Tu vois ici? Tu vois cette chose-là qui a lieu. Cela vient ici. Les cavaliers de Garland passent par ici, vont là. Cela se passe par ici. Et cette femme saute ici, elle traverse ce cerceau de feu, puis elle sort.»

            – Oh! C’est comme ça.

            – Ouais.

            – Très bien, c’est comme ça, fiston.

            Maintenant, là c’est Dieu qui utilise Son don. Ici, c’est vous qui utilisez le don de Dieu. Là dans une vraie vision, c’est Dieu qui utilise Son don. Cela ne me dérange jamais. Cela ne me fait aucun mal du tout; en effet, je suis assis juste dans le creux de Sa main. Il me montre. C’est à ce moment-là que Dieu veut utiliser Son don. Et c’est à ce moment-là que vous utilisez le don de Dieu.

            Je ne peux pas l’utiliser. Ce n’est pas pour moi; c’est pour vous. Je ne peux rien voir pour moi-même. Voyez-vous? C’est entièrement pour vous. J’ai des milliers de choses dans mon coeur cet après-midi que j’aurais souhaité qu’Il me montre. Mais Il ne me montre pas ce que je dois faire, ce qui me concerne. C’est pour vous. Je ne suis qu’un agent de Dieu à votre service. Est-ce que vous comprenez maintenant?

21        Eh bien, vous dites: «Ça, ce n’est pas scripturaire, Frère Branham.» Si, si. Un instant, donc.

            Jésus vivait avec Marthe, Marie et Lazare. Vous souvenez-vous de cela? Et le Père a dit à Son Fils: «Je voudrais utiliser...» Croyez-vous que Dieu était en Christ? Certainement. Très bien. Le Père veut utiliser Son don sur la terre. Il dit alors à Jésus: «Quitte cette maison, car Lazare va mourir. Retire-toi pendant quatre jours. Après quatre jours, Lazare sera mort. Puis, retourne, rentre et ressuscite-le des morts.» Jamais cela... Il n’a jamais dit qu’une force L’avait quitté.

            Il est parti, et quatre jours après on L’a envoyé chercher. «Viens prier pour Lazare. Il est mourant.» Il a simplement continué Son chemin. Un autre messager a été envoyé, disant: «Viens prier pour Lazare, celui que Tu aimes. Il est mourant.» Il a simplement continué Son chemin.

            Puis un autre moment après, Il a dit: «Lazare dort.»

            «Oh, a-t-Il dit, s’il dort, il va bien.»

            Il a dit: «Il est mort. Et, à cause de vous, je me réjouis de ce que je n’étais pas là.» En effet, les gens cherchaient à Lui faire faire quelque chose qui était contraire à la volonté de Dieu.

22        Et, frère, soeur, si je ne vous revois plus jamais, sachez que c’est là l’une des plus grandes batailles que je livre. Je regarde juste dans l’auditoire et je vois quelqu’un dont je sais qu’il ne va pas se rétablir. Et alors, quelqu’un cherche à me faire faire quelque chose qui est contraire à la volonté de Dieu. Et je ne peux pas le dire à cette personne, parce que si je le fais, cela la blessera. Et vous y voilà; vous devez simplement retenir cela dans votre coeur et le garder, et continuer à avancer, en priant. Ça–ça vous tue. Et puis, bien vite alors, nous allons...

            Lazare... Lorsqu’Il est revenu, Il est allé à la tombe de Lazare... Ecoutez ce qu’Il a dit: «Père, je Te rends grâces de ce que Tu m’as déjà exaucé. (Voyez-vous, voyez-vous? Il le savait déjà.) Mais Je prie à cause de ces gens qui m’entourent.» Puis, Il a appelé Lazare de la tombe.

23        Eh bien, Il n’a jamais mentionné quelque chose au sujet de... Il s’agissait pourtant de la résurrection d’un homme qui était mort depuis quatre jours, et dont le corps était rongé par des bestioles. Et cet homme s’est relevé, et il est revenu à la vie, et un jour il est allé à un souper avec Jésus. Est-ce juste?

            Eh bien, c’était un miracle plus glorieux. Et quand cette petite femme s’est faufilée et a touché le bord de Son vêtement, Il a dit: «Je me suis affaibli. Une vertu est sortie de Moi.» Est-ce juste? D’un côté, c’était Dieu qui utilisait Son don; de l’autre, c’était cette femme qui utilisait le don de Dieu; en effet, elle s’était dit dans son coeur: «C’est un Saint Homme. Si je puis toucher Son vêtement, je serai guérie.» Vous souvenez-vous de cela?

24        Ainsi, voilà la vision. Eh bien, on va au-delà de cela maintenant. On en arrive à un point où les gens qui ont vu cela doivent avoir la confiance et la foi, puisqu’ils viendront ici devant moi et je me tiendrai là à leur parler. Et s’ils disent la chose qu’il faut avec le genre de foi qu’il faut, alors cette onction viendra sur moi, et alors, je demanderai que la chose soit faite pour eux juste là. Voyez-vous? Observez tout simplement.

            Et cette série de réunions a été glorieuse. Vous ne savez pas les témoignages que j’ai entassés là-bas sur mon pupitre et tout comme cela, ou plutôt sur le... dans mon bureau, venant des gens qui ont répondu et qui ont envoyé des témoignages, disant qu’ils étaient guéris. Des bébés atteints de leucémie et de toutes sortes de maladies et tout...

25        Cependant... Longtemps après mon départ, vous les ministres, en observant vos églises, vous verrez une femme dire: «Cette maladie gynécologique que j’avais ne me dérange plus, pasteur», ou «cette gastrite que j’avais...»

            «Les troubles cardiaques que j’avais sont complètement terminés.»

            Je ne saurais pas les appeler. Je ne saurais pas les appeler. Ils sont simplement partout dans l’auditoire, partout, juste dans une très grande giclée. On ne pourrait pas les voir tous. On ne pourrait pas leur parler. Mais c’est tout simplement partout. Ils ont obtenu cela.

            C’est exactement ce que j’ai dit au sujet de la petite Finlandaise hier soir. Vous... Elle s’en rendra compte peu après. Ainsi, ce–c’est tout. Et ainsi, c’est comme ça que je m’en vais cet après-midi avec l’assurance dans mon coeur que je sais que les choses que nous ignorons maintenant se sont déjà accomplies devant Dieu. Ainsi, de tout mon coeur, je prie que Dieu vous bénisse. Adressons maintenant un mot de prière à Dieu.

26        Notre Père céleste, après avoir remercié nos frères et soeurs pour toute leur coopération, et beaucoup ont prié et jeûné, et les églises ont soupiré et fait beaucoup d’effort; et les ministres sont passés par de fortes pressions... Mais nous Te remercions, Seigneur, du fait que dans tout cela, de grandes choses se sont accomplies. Comment saurais-je que des prédicateurs ne sortiront pas de cette série de réunions? Comment saurais-je que quelque chose n’est pas arrivé, qui va inspirer des hommes qui sont déjà ordonnés à prêcher? Nous Te remercions pour tout cela.

            Beaucoup sont guéris. Tu confirmeras la parole de Ton serviteur, et les frères dans le ministère ainsi que les voisins verront et sauront que mes paroles sont la vérité, qu’elles sont Tes Paroles que j’ai prononcées de Ta part; que beaucoup ici sont guéris et ils ne le savent pas encore.

27        Maintenant, Père, je Te prie de nous bénir à la clôture de cette série de réunions cet après-midi. Ô Dieu, que ces églises grandissent et prospèrent par un réveil jusqu’à ce que Jésus revienne. Accorde-le, Seigneur. Ecoute les prières de Ton peuple. Et nous Te remercions pour la révérence et le respect de ce peuple.

            Et il est écrit dans Ta Parole: «Toutes les fois que vous faites ces choses au plus petit (et ça pourrait être moi), au plus petit de Mes petits, c’est à Moi que vous les faites.»

            Et comme ils ont honoré la Parole que j’ai prêchée... Et cet aimable frère qui a fait cette déclaration il y a quelques instants, lorsqu’on me présentait... ô Dieu, je Te prie de le bénir abondamment. Et je comprends qu’Il a parlé au nom du peuple, car ils ont tous réagi en applaudissant. Et je prie que les richesses de Tes bénédictions soient sur eux, Seigneur. Accorde-le.

28        Je prie pour tous leurs ministres et pour leurs églises. Puissent-ils prospérer, construire, et–et s’étendre; que les auditoires deviennent plus grands, que tous les bancs soient remplis et les autels bondés, et–et que de grands miracles de guérison s’opèrent par leurs mains, pour montrer que Tu as été si près de nous, Seigneur, que cela nous encourage à reconnaître que Tu es toujours avec nous. Nous comprenons que ceci est un temps de secousse, le temps où l’Eglise deviendra minoritaire. Car il est écrit: «Ne crains point, petit troupeau; car votre Père a bien voulu vous donner le Royaume.»

            Et nous comprenons que cela doit en arriver à ce point où la paille et le blé doivent être séparés. Et nous savons que c’est un temps de séparation, où le monde continuera à empirer. Mais l’Eglise deviendra plus préoccupée, et Ton Esprit deviendra constamment plus glorieux et plus puissant dans l’Eglise jusqu’à ce que Christ et l’Eglise s’unissent ensemble.

29        Seigneur, aide-nous cet après-midi, afin qu’il n’y ait aucune personne faible parmi nous, lorsque nous quitterons. Maintenant, je remets ces gens entre Tes mains. Je me remets moi-même entre Tes mains. Seigneur, oeuvre par nous. Donne-nous quelque chose de plus cet après-midi à la fin de ce service, afin que nous puissions tous nous en souvenir aussi longtemps que nous serons en vie, pour les réunions qui vont suivre.

            Nous demandons cette bénédiction alors que nous lisons la Parole. Arrose-La, Seigneur. Tu as dit: «Ma Parole ne reviendra point à Moi à vide. Elle accomplira ce à quoi Elle a été destinée.»

            Et tous les malades qui sont ici cet après-midi, qu’il n’y ait aucune personne faible lorsque ce service sera terminé. Que Dieu devienne si réel pour eux que toutes les ténèbres du doute ou de la superstition seront ôtées de leurs coeurs et qu’ils verront parfaitement le Seigneur Jésus en action dans Son Eglise. Accorde-le, Seigneur. Et puis, qu’ils puissent saisir la foi de cela et sortir d’ici des hommes et des femmes, des garçons et des filles en bonne santé cet après-midi.

30        Nous Te remercions pour la guérison de ce petit bébé chéri. Et j’en suis si heureux. Cependant, j’ai dit à mon épouse dimanche dernier: «Je n’ai pas faim. N’allons pas manger.» Mais, gentille qu’elle est, elle m’a persuadé, si bien que finalement je suis allé avec eux. Et alors, dans la rue, j’ai rencontré cette petite mère. Et Satan pensait pouvoir ravir la guérison à ce précieux bébé, en faisant que sa mère doute juste un petit peu là, parce que Tu lui avais dit qu’elle-même venait d’une certaine ville. Et c’est exactement ce que Tu voulais dire. Puis, pendant que nous nous tenions à côté de la voiture, Ton Glorieux Esprit est revenu, et Il lui a révélé la chose, et la lui a dite. Maintenant, aujourd’hui... Alors elle a cru. Maintenant, aujourd’hui, son petit bébé se porte bien. Nous en sommes très reconnaissants, Père.

            Et tant d’autres, tous, beaucoup ont été guéris et nous T’en remercions. Des âmes ont été sauvées. Nous Te remercions pour cela. Et que toute chose soit pour Ton honneur et Ta gloire, car nous Te confions tout cela au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils. Amen.

31        Maintenant, nous allons ouvrir cet après-midi dans Matthieu pour le message de clôture. Et je–je vous assure, je dois confesser quelque chose. Matthieu, chapitre 14, verset 27.

            Et j’aimerais confesser quelque chose. Je pensais que j’allais prêcher juste un peu durement. Je suis un peu timide vis-à-vis des–vis-à-vis des ministres. Voyez-vous? Je suis un... Ce sont des bergers. Ils devraient être un peu méfiants, parce qu’ils paissent le troupeau de Dieu. Et le Saint-Esprit a fait d’eux des surveillants. Mais quand moi, avec ma vieille façon lente du Sud... Il y a longtemps je pensais que j’étais un prédicateur.

32        Je me souviens du moment où je... Mon père était un cavalier. Et il dressait des chevaux sauvages. Il était un vrai cavalier. Eh bien, je me souviens que lorsque je sortais, après que le vieux cheval de labour eut labouré le champ de maïs et tout, toute la journée, nous le faisions rentrer. Papa restait toujours au fond du champ, en train de labourer. Nous avions un vieil abreuvoir en bois. Vous souvenez-vous de ce genre d’abreuvoirs? Un vieux rondin dans lequel on avait fait un creux où les chevaux buvaient, vous savez, un vieux puits artésien?

            Et j’amenais le vieux cheval là et détachais le harnais. Et alors, nous... Je prenais la selle de papa, vous savez, et j’allais là. Et mes petits frères s’asseyaient tout autour sur la clôture. Et je me procurais une grosse poignée de graterons, et je tirais cela là, et je serrais la sangle puis je montais sur lui. Ce pauvre vieux cheval était tellement vieux et tellement fatigué, vous savez, qu’il n’arrivait même pas à soulever ses pattes. Il hennissait tout simplement, vous savez... Et j’agitais mon chapeau d’un côté et de l’autre. Je pensais que j’étais un cavalier.

            Je disais: «Oh! la la! Ils ont besoin de moi à l’Ouest pour dresser leurs chevaux.»

33        Et à l’âge de dix-huit ans environ, je me suis éclipsé et je suis allé en Arizona. Il s’est fait que je suis arrivé là à la saison du rodéo. Eh bien, j’ai porté des jambières. Je voulais toujours en avoir. Celles de papa étaient délabrées au point que... Il s’était blessé et avait donc dû abandonner l’équitation.

            Et je me disais que je me procurerais des jambières en cuir. Et je suis allé et j’en ai portées. J’étais de toute façon petit, vous savez. Et cela venait d’un de ces gens de l’Ouest aux longues jambes. Et il y avait suffisamment de cuir qui retombait sur le sol, de quoi faire presque une selle. Je ressemblais à l’un de ces petits coqs avec ses plumes, vous savez, vous voyez... Je n’arrivais pas à porter ces choses. Alors, je voulais ramener l’argent de la selle à la maison, vous savez, «monter la selle argentée». Vous savez de quoi je parle.

34        Je me suis donc procuré un Levis, et je suis allé jusqu’à–à l’enclos. Et on disait qu’on allait amener un cheval indomptable. Et ainsi, un célèbre cavalier allait le monter. Et je me suis assis là et je regardais tous ces vieux cow-boys défigurés, vous savez, assis sur cette clôture, en train d’observer. Je suis monté m’asseoir à côté d’eux. Je regardais... Je voyais leurs salopettes, vous savez, toutes lisses et usées. La mienne, comme je viens de le dire, était neuve; j’étais de toute façon un cavalier, vous savez.

            Je me suis dit: «Je vais leur montrer comment monter ces chevaux à l’Ouest. Je vais leur apprendre comment ça se fait.»

            J’étais assis là et je les voyais partout, vous savez... Et tout d’abord, et ce gars est sorti d’un box sur un cheval qui s’appelait Yellow Fever, il avait une grande marque sur sa hanche. A peu près trois ou quatre ruades, un roulement ou deux fois des épaules et le cheval est allé d’un côté, le cavalier de l’autre. Le personnel de ramassage a pris le cheval et l’ambulance a pris le cavalier.

            L’animateur est venu et a dit: «J’offre cent dollars à tout homme qui le montera pendant trente secondes.» Il est venu là et il s’est arrêté devant moi. Il a dit: «Es-tu un cavalier?»

            J’ai dit: «Non, non.»

            Cela m’a aussitôt dégonflé.

35        Quand j’étais un jeune prédicateur baptiste, je portais ma Bible sous le bras, vous savez, et je descendais en ville. Et je voyais différentes personnes. Elles disaient: «Bonjour, Révérend.» Oh! Quel sentiment de grandeur! Vous savez. Ça, oui.

            «Etes-vous prédicateur?»

            «Oh! bien sûr.»

            Un jour, il y eut une petite fille du nom de Betty Daugherty. Vous avez lu l’histoire. Dans mon ministère, elle fut guérie... La première personne qu’on m’a envoyée dans mon ministère, lorsque celui-ci m’a été confirmé là-bas. Et son père était un prédicateur pentecôtiste. Et je suis allé à la réunion. Oh! la la! dites donc, cet homme prêchait au point de... Il n’avait pas besoin de microphone. Il prêchait jusqu’à avoir le visage cyanosé, il ployait les genoux, et il touchait presque le sol et se redressait en reprenant son souffle. On pouvait l’entendre à environ trois ou quatre pâtés de maisons, toujours en train de prêcher.

            Alors, quand quelqu’un disait: «Etes-vous prédicateur?»

            Je disais: «Pas du tout. Je ne le suis pas. Pas du tout.»

36        Avec mes pauvres manières lentes du Sud, je ne peux pas penser cela aussi rapidement. C’est tout. Je prends en quelque sorte mon temps. Et je fais des manoeuvres et m’attend plutôt à l’Esprit. Et je suis simplement trop lent. C’est tout. Ces frères pentecôtistes prendraient simplement de l’avance et me laisseraient. Ainsi donc, il me faudrait beaucoup de courage pour me dire prédicateur sur cette estrade quand je sais qui sont assis derrière moi, vous savez. Ainsi, j’y vais doucement...

            Mais quand je les ai entendus dire qu’ils ont apprécié la prédication sur la sainteté, et certains de ces ministres me serraient la main et disaient: «Ça, c’est excellent, Frère Branham. Ça nous encourage à avancer.»

            Oh! J’ai arrêté de prêcher il y a deux, trois soirées et je me suis mis simplement à témoigner, parce que j’avais peur que je sois... que je devienne un peu dur là-dessus, vous savez. Alors je–j’ai simplement laissé aller la chose. Mais je... La prochaine fois que je reviendrai, je continuerai à prêcher, parce que je sais que vous supportez la vieille manière sassafras. Combien savent ce que c’est que sassafras? Dis donc, fiston...

37        Combien ont déjà dormi sur un matelas de paille? Combien viennent du Kentucky? Oh! la la! Ce–c’est vraiment... C’est ça le Kentuck-... Eh bien, je suis né sur un matelas de paille. C’est juste. J’ai dormi sur un oreiller en spathes presque toute ma vie. Nous n’avions jamais eu de lumière électrique jusque tout récemment.

            Et je me souviens que papa avait l’habitude de se raser, et il utilisait des spathes de maïs, vous savez. Il se fabriquait une brosse à raser, il allait au baquet de maman, il prenait le vieux savon de lessive qu’elle... Nous faisions bouillir cette vieille histoire pour fabriquer du savon de lessive. Et nous frottions comme cela, il se lavait la tête et tout avec ce même savon de lessive, il prenait sa vieille brosse et mettait un peu de mousse de savon sur son visage et se rasait. Oh! la la! J’aurais quand même souhaité le revoir; certainement.

38        Mais tenez fortement Christ; ou plutôt ceci: laissez Christ vous tenir fortement...?... C’est juste comme une fois, si seulement vous Le laissez vous tenir. Eh bien, nous ne sommes pas une grande église. C’est vrai. Mais je crois que Dieu nous tient.

            Ma fillette Rebecca qui est là, je raconte une petite histoire qui s’est passée une fois entre elle et Sara. Elles sont–elles sont toutes deux des fillettes à papa, vous savez. Et ainsi, je m’absentais pendant longtemps, vous savez, et je–j’aime mes enfants. Et je ne rentrais peut-être qu’après des semaines. Et je me souviens de Rebecca lorsque je...

            Sa naissance était un signe dans mon ministère. J’avais demandé au Seigneur de me permettre de rester à la maison jusqu’à la naissance du bébé. Et lorsque je... elle est née, je suis parti en voyage, puis je suis revenu, et elle a commencé à me connaître. Quand elle a eu environ six mois ou quelque chose comme ça, je suis allé tenir des réunions à Saint Louis et quelques réunions dans l’Arkansas, puis j’ai continué dans le Sud. Et ainsi, quand je suis parti, je ne suis pas revenu pendant presque un an. Quand je suis revenu par un jour froid... et nous n’avions que deux petites pièces où nous vivions, et on avait coincé un édredon dans la porte et on l’avait introduit de force. Il faisait environ moins dix-sept degrés celsius.

39        Et pour éviter que le bébé ne–ne m’oublie, la mère avait mis ma photo là, elle disait à Rebecca, elle disait: «Papa, papa.»

            Mais lorsque je suis revenu, j’avais perdu environ vingt-cinq livres [11,3 kg], et j’avais perdu presque tous mes cheveux. J’ai dit: «Bonjour, chérie.» Elle a eu peur; elle a pleuré. Elle avait peur de moi. Mon propre enfant avait peur de moi!

            Et la mère a essayé de dire: «Papa», en lui montrant la photo. Ça, c’était papa, pas cet homme. Cela a failli me tuer!

            Finalement, j’ai pris ses petites jambes, je les ai tirées de part et d’autre de mon ventre, et je l’ai fait asseoir, et je me suis mis à la tapoter et à lui dire que j’étais papa, et que j’étais parti servir le Seigneur. Et finalement, elle a posé sa petite tête sur ma poitrine. Elle est restée là pendant un moment, puis elle s’est relevée et a regardé la photo, puis elle m’a regardé de nouveau. Finalement, elle a réalisé que c’était moi, vous savez.

40        Quand sa petite soeur est née... Eh bien, Becky est un peu grande, mince, avec de longues jambes. Et ainsi, elles attendaient un soir que je rentre à la maison. Et je suis rentré un peu tard. Ainsi donc, quand je suis arrivé à la maison, eh bien, elles étaient déjà au lit.

            Et le lendemain matin, j’étais si fatigué et épuisé, j’avais eu beaucoup de visions et j’avais dormi fort en retard. Je n’arrivais pas à dormir; j’étais trop fatigué. Et quand je me suis réveillé, je suis allé au salon, eh bien, je me suis assis là. Tout d’abord, il s’est fait que Becky s’est réveillée la première. «Eh bien, il fait jour. C’est possible que papa soit là.» La voici venir, avec ce pyjama qui volait. Et quand elle a couru, elle...

            Voici venir Sara, sa toute petite soeur, toute petite, environ comme ceci, portant un ancien vêtement de Becky. Je pense que vos enfants le font aussi. Les pieds trop longs comme ça, à peu près, vous savez, et voici qu’elle jetait brutalement ses grands pieds qui ressortaient, avec ses petits yeux bruns.

            Mais Becky a sauté directement à califourchon sur mon genou, comme ceci, et elle m’a entouré de ses bras comme ceci et elle a dit: «Sara, ma soeur, je veux que tu saches que je suis arrivée ici la première. (C’est ce que certaines grandes églises dénominationnelles se disent, qu’elles étaient là les premières. Vous voyez? Vous voyez? Vous voyez?) Et je me suis emparée de papa tout entier.»

            Elle avait un bon équilibre, ses pieds étaient sur le plancher. Elle se balançait très bien, disant: «Je me suis emparée de papa tout entier, et il ne reste rien pour toi.»

41        Pauvre petite Sara! Elle a baissé brusquement sa petite tête, ces petits yeux bruns m’ont regardé, rougis des larmes, et se sont mis à tourner. Et Becky m’étreignait fort. J’ai fait signe du doigt à Sara comme ceci, et j’ai avancé mon autre genou. Et la voici venir avec ces grandes jambes de pyjama flottant. Elle a sauté aussitôt, elle s’est assise à califourchon sur mon genou comme cela. Et j’ai tendu les bras, et je l’ai attrapée avec mes deux bras, et je l’ai étreinte très fort.

            Elle est restée là un petit peu sur ma poitrine. Puis, elle a regardé Becky, et elle a dit: «Rebecca, ma soeur.» Elle a dit: «C’est peut-être vrai que tu t’es emparée de papa tout entier, mais je veux que tu saches que papa s’est emparé de moi toute entière.»

            C’est cela. Il se peut que nous n’ayons pas beaucoup de théologie; il se peut que nous ne sachions pas trop comment scinder une molécule, ou que nous ne soyons pas très âgés. Mais il y a une chose: Christ a pris donc possession de moi tout entier. C’est tout ce que je désire. Voyez-vous? Il est possible que je n’aie pas pris possession de Lui tout entier. Tant qu’Il a pris possession de moi tout entier, Il m’aidera et me donnera l’équilibre, jusqu’à ce que je devienne un peu plus grand, j’en suis sûr.

42        A présent, dans la vieille Parole bénie. Oh! J’aime la Parole. «La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole de Dieu. Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera point», a dit Jésus. Maintenant...

          Jésus leur dit aussitôt: Ne craignez rien; rassurez-vous, c’est Moi; n’ayez pas peur!

            C’était certainement à l’approche du coucher du soleil. Ça a dû être un grand jour plutôt chaud. Et le grand pêcheur, comme nous le savons, Simon, un homme grand et imposant, chauve, avec des épaules larges, poussait la barque pour la faire partir de la berge... Et il a finalement réussi à la... à pousser la poupe, puis il a sauté lui-même à bord, et l’a poussée au large, et il a longé la rangée des autres sièges et a pris place à côté de son frère André.

            Les gens qui étaient sur le rivage faisaient au revoir de la main, disant: «Que Dieu soit avec vous jusqu’à ce que nous allons nous revoir», et ils agitaient la main, et ils étaient si heureux à cause de la merveilleuse réunion de ce jour-là. Comme ils se mettaient à prendre leurs rames d’un commun accord pour ramer ensemble... C’est de cette manière qu’on fait avancer la barque, lorsqu’on donne le même coup de rame ensemble.

43        C’est pour cela que je me suis tenu sur la brèche avec les frères pentecôtistes; lorsque nous pouvons nous tenir chacun à côté de notre rame et ramer avec les autres, la barque avancera comme il faut. Notre petite barque traversera l’océan de la vie, puisque nous naviguons sur l’océan solennel de la vie maintenant. Et c’est ce dont nous avons besoin: la coopération, la coordination et ramer ensemble sans arrêt. Cela déplacera certainement la charge.

            Et alors qu’ils s’éloignaient, oh! après que le soleil fut déjà devenu rouge en se couchant, ils sont arrivés hors de portée de la dernière personne qui, de la main, leur disait: «Adieu.»

44        Et je crois que c’était certainement Jean le jeune (puisqu’il était le plus jeune de tout le groupe.) ... Jean le jeune a dû écarter de ses yeux sa chevelure ébouriffée, et il a dit: «Vous savez, c’est depuis cet après-midi que j’y pense. Et, oh! combien la Bible est réelle pour moi maintenant! L’avez-vous remarqué, frères, avec cette expression sur Son visage, lorsqu’Il a pris ces pains, qu’Il les a brisés, et qu’Il en a nourri cinq mille personnes? Pour moi, Il ressemblait à Jéhovah se tenant là. Et Il a brisé ces poissons et les a donnés et Son... Je me suis approché et j’ai regardé pour Le voir lorsqu’Il brisait ce poisson en deux et qu’Il le donnait. Et lorsqu’Il ramenait la main, il y avait un autre morceau de poisson cuit, là, au point que mille morceaux de poisson déjà cuits sont venus de ce morceau de poisson. Je L’ai vu lorsqu’Il brisait ce pain, qu’Il le donnait, et en ramenant la main, ce pain était de nouveau entier, et Il continuait simplement à en donner. Et je L’ai vu prendre tous ces paniers pleins de nourriture.

            «Vous savez, frère, je peux vous assurer, a-t-il certainement dit, que nous n’avons pas été séduits. Cet homme a un certain lien avec Jéhovah; en effet, ma mère, lorsque j’étais encore petit garçon, me lisait des histoires, comment Jéhovah faisait pleuvoir du ciel du pain pour nourrir notre peuple, nos ancêtres pendant qu’ils traversaient le désert. Pendant quarante ans dans le désert, Jéhovah Dieu les a nourris, en faisant pleuvoir du ciel le pain cuit qui tombait sur le sol avec du miel dessus. Eh bien, cet Homme fait des choses comme le faisait Jéhovah.» Amen. J’aime cela.

45        Jésus a dit: «Si vous ne pouvez pas Me croire, croyez les oeuvres que Je fais.»

            Les autres ont dit: «Ce que Tu–Tu dis est faux. Tu rends témoignage de Toi-même.»

            Il a dit: «Le témoignage est rendu par deux. Je suis un témoin, et Mon Père qui est avec Moi est l’autre Témoin. C’est Lui qui fait les oeuvres.» Il n’était donc pas seul. Le Père... Il a dit: «Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas. Mais si Je fais les oeuvres de Mon Père, alors si vous ne pouvez pas Me croire, croyez les oeuvres, parce que les oeuvres sont de Mon Père.»

46        Eh bien, nous pouvons dire la même chose. Si nous... Si vous ne pouvez pas nous croire comme serviteur de Christ, croyez le Saint-Esprit qui est avec nous, et qui accomplit les oeuvres de Christ. Croyez en Lui. Maintenant...

            Alors Il a dit: «Cela doit avoir un certain lien avec Jéhovah, parce que Jéhovah a accompli un miracle et Il a nourri le peuple avec du pain alors qu’ils avaient faim. Et notre Seigneur, cet après-midi, a nourri le peuple avec du pain et du poisson quand ils avaient faim. Il doit y avoir quelque chose, un certain lien entre Lui et Jéhovah. Et je suis convaincu, peu importe ce que notre église dit, peu importe ce que les pharisiens disent, ou les sadducéens, ou qui que ce soit. Je suis certain que nous ne sommes pas séduits par cet Homme; en effet, Il fait les oeuvres de Dieu. Le même genre d’oeuvres que Dieu a faites, Il les fait aussi.»

            Je peux entendre les frères en face de lui dans la barque dire: «Amen, Frère Jean. C’est tout à fait exact.»

47        Maintenant, ça doit certainement être l’apôtre Pierre qui était alors plutôt à la poupe de la barque, le pêcheur, comme nous l’appelons, ça doit être lui qui a dit: «Bien...»

            Il était assis à côté d’André, et il a déposé sa rame. Il a dit: «Eh bien, je vais te raconter ce qui m’avait convaincu avant ce qui est arrivé cet après-midi, Jean. André était allé Le voir le premier, et il est venu me parler d’un prophète galiléen; et j’ai dit: ‘Oh! Jean ne te laisse pas emporter par ce tas d’absurdités qui ont cours ce jour, car tu sais qu’il s’est élevé beaucoup d’anti-christs avant Sa Venue. Tu le savais. C’est ce que la Bible dit, qu’ils ont emporté un grand nombre.’ Mais, a-t-il dit, ce qui m’a convaincu, je me rappelle bien...»

            Et tous les frères ont lâché leurs rames; en effet, il y avait juste cette petite accalmie qu’il y a avant la nuit et la légère brume sur le flanc des montagnes, un beau temps; tous les oiseaux volaient pour regagner leurs nids. Dieu les avait nourris toute la journée, et ils allaient se rassembler dans les nids pour la nuit.

48        Oh! Et je suis si content du fait que Dieu rassemblera Son peuple au temps du soir, pas vous? C’est à ce moment-là que l’Epouse doit être appelée. Le savez-vous? Au temps du soir, c’est à ce moment-là que Rebecca et Isaac se sont rencontrés, au temps du soir.

            Et comme les oiseaux commençaient à se rassembler, les frères ont cessé de ramer. Et alors, Simon a dit: «André me disait constamment: ‘Voyons, Simon. Viens voir ce prophète galiléen. Il te fera croire en Dieu.’ ‘Oh! ai-je dit à André, André, tu dois être tombé dans l’extrémisme. Le prophète, cela n’existe pas de nos jours.’ ‘Mais si, a-t-il dit, il en existe. Tu devrais venir.’ Un jour, il m’a persuadé d’y aller. Alors, je suis finalement parti, et je me souviens de ce que mon père m’avait dit. Eh bien, mon père était un pharisien intransigeant, très intransigeant dans notre religion. Et il m’a bien enseigné la Bible.»

            «Et je me rappelle bien la leçon, un jour, lorsqu’on était assis sur une vieille bûche, ou plutôt au bout de la barque après avoir ramé toute la journée. Et il devenait vieux et grisonnait. Il m’a pris sur ses genoux. Et je n’étais qu’un petit garçon. Et il a dit: ‘Simon, mon fils, ton père t’a élevé pour croire en Dieu. J’ai essayé de vivre notre religion de manière intransigeante, en tant que pharisien. Et je veux que tu grandisses pour servir Dieu et que tu croies en Lui. J’ai attendu tous les jours de ma vie, Simon, mon fils, pour voir la Venue du Messie. Je sais à quoi Il va ressembler. Je sais ce qu’Il sera lorsqu’Il viendra. Et je vois... Je ne crois pas que je pourrai Le voir.’»

49        Et Simon a probablement marqué une pause ici et a dit: «Je vois mon vieux père écarter ses cheveux de ses yeux, alors que sa barbe et sa chevelure grisonnaient. Nous avons pêché ensemble ici sur cette mer de Galilée pendant toute notre vie. Et il a dit: ‘Simon, mon fils, il se peut que tu vives assez longtemps pour voir le Messie. Et lorsqu’Il viendra, Il sera rejeté. Oh! Il n’aura pas beaucoup de disciples derrière Lui. Mais Il appellera les élus de Dieu. Il le fera. Et, Simon, j’ai beaucoup prié pour élever un fils qui sera parmi les élus de Dieu. Eh bien, Simon, lorsque le Messie viendra, je veux que tu te souviennes qu’Il sera critiqué, qu’on se moquera de Lui. Mais voici le signe par lequel tu sauras qu’Il est le Messie: Il sera un Dieu-Prophète, car Moïse, le grand prophète que nous avons suivi, a dit: ‘L’Eternel notre Dieu suscitera un prophète comme moi.’ Eh bien, Il sera un prophète comme Moïse, mais de loin plus grand que Moïse. Tu vois? Il sera un Prophète, un Roi, un Sacrificateur, le Législateur. Il sera Dieu dans la chair. Mais Il accomplira le signe du prophète, et c’est ainsi que tu reconnaîtras qu’Il est le vrai.’» Voyez-vous?

50        Et il a dit: «Alors, lorsque je suis arrivé devant ce Jésus de Nazareth, je me suis dit: ‘Je vais aller voir si c’est quelqu’un de faux. Je ne crois pas ce qu’André me raconte. Je crois qu’Il a juste été saisi par une certaine émotion.’ Mais lorsque j’ai quitté ma barque, il m’a dit que ce Jésus était là sur la berge. Et je suis allé m’asseoir sur un morceau d’arbre, j’ai attendu pour écouter ce Galiléen parler. Et pendant qu’Il parlait, Il s’est retourné et m’a regardé. Et lorsqu’Il m’a regardé, j’ai su qu’Il était différent des autres hommes. Laissez-Le juste poser Son regard sur vous une fois. J’ai compris qu’il y avait quelque chose en Lui. Lorsque je L’ai entendu parler, Il ne parlait pas comme un homme ordinaire. Il ne parlait pas comme un pharisien. Il ne parlait pas comme un sacrificateur. Il parlait comme un homme qui savait de quoi Il parlait. Il était certainement convaincu de ce qu’Il disait. Et quand Il a terminé Son discours, je me suis levé et je L’ai regardé, émerveillé. Puis, Il s’est retourné et m’a regardé, et Il a dit, Il m’a appelé par mon nom. Il a dit: ‘Tu es Simon.’ Et pas seulement cela, mais Il connaissait le nom de mon vieux père, un homme pieux, qui est déjà mort. Il a dit: ‘Tu es le fils de Jonas.’»

51        Il a dit: «Frères, c’est ce qui m’a convaincu qu’Il était le Messie, un Prophète-Dieu, un Dieu-prophète. J’ai su que c’était le Messie, car Il n’avait aucun moyen de me connaître, et cependant, Il m’a appelé par mon nom; et mon père avait dit de veiller à cela. Pas seulement cela, mais Il m’a fait savoir qu’Il savait que mon père m’avait dit pareille chose. Je ne pourrai jamais oublier, frères, comment ces yeux me transperçaient pendant qu’Il me regardait. Et Il a dit: «Ton nom est Simon. Et le nom de ton père est Jonas.’» Il a dit: «C’est à ce moment-là que j’ai été convaincu qu’Il était le Messie de Dieu.»

            J’aurais souhaité que nous soyons aussi simples que ça cet après-midi. J’aurais souhaité que le monde reconnaisse cela. «J’ai su qu’Il était le Messie.»

52        C’est certainement Philippe qui, alors qu’il se tenait au milieu de la barque, a dit: «Frères, j’aimerais vous raconter l’histoire de frère Nathanaël qui est assis là près de l’autre rame. Lorsque je suis allé le voir, j’étais convaincu, et je L’avais entendu appeler Simon et Il savait que son nom était Simon, Il savait que le nom de son père était André, ou plutôt Il savait que le nom de son père était Jonas.» Et il a dit: «J’étais convaincu. Je voulais donc trouver ce frère Nathanaël que voici, parce que je savais qu’il était un brave homme. Et lorsque je suis allé lui dire de venir voir qui nous avons trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph, il a dit: ‘Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?’ Et j’ai dit: ‘Viens, et vois.’»Eh bien, c’était une bonne chose à faire: venir voir par soi-même. «Et quelque part en route, tu te rappelles que tu disais, frère Nathanaël... nous nous sommes entretenus et je t’ai parlé de la fois où tu avais acheté ce poisson chez ce vieux pêcheur qui ne savait même pas signer le reçu, qui ne savait pas signer son propre nom, tellement il était illettré.»Et cependant, c’est lui qui a été établi chef de l’Eglise, et on lui a donné les clés de l’enfer et du séjour des morts... non, c’étaient les clés du Royaume. (Excusez-moi.) Jésus est ressuscité avec les clés de l’enfer et du séjour des morts. Lui, il a reçu les clés du Royaume. Maintenant...

53        «Oui, a-t-il dit, je me souviens de lui. Eh bien, Il lui a dit que son nom était Simon et que le nom de son père était Jonas. Eh bien, tu es un homme versé dans les Ecritures. N’est-ce pas là le genre de Personne que doit être le Messie?»

            – Oui, oui. C’est juste.

            – Cela ne me surprendrait pas qu’Il te dise qui tu es avant que tu ne partes.

            – Il faut que je voie cela.

            – Et alors, quand frère Nathanaël est entré dans la Présence de notre Seigneur, le Seigneur lui a dit: ‘Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.’ Et cela l’a vraiment surpris.

            Et alors, Nathanaël a dit: «Oui, j’étais surpris. Je Lui ai dit: ‘Rabbi, quand m’as-Tu connu?’ Et Il a dit: ‘Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.’» Il a dit: «J’étais totalement convaincu que c’était le Messie. Je suis tombé sur ma face devant cet Homme et j’ai dit: ‘Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.’ J’ai été convaincu, mes frères.»

54        André, le frère de Pierre, a alors dit: «Mais, frères, nous tous, ce jour-là, vous savez, lorsqu’Il allait à Jéricho... On va tout droit à Jéricho en partant de Jérusalem, mais il fallait qu’Il passât par la Samarie, là-haut dans les montagnes. Il a dit que le Père L’avait envoyé à Samarie. Et quand nous sommes arrivés là, vous vous rappelez comment les pieds Lui faisaient mal? Il était fatigué et épuisé. Et Il ne pouvait même pas entrer dans la ville. Il s’est assis là, près du puits. Et quand nous nous sommes éclipsés, et les gens ne voulaient pas nous permettre d’avoir de la nourriture, vous vous rappelez. Alors, nous nous sommes éclipsés jusqu’au puits où Il se trouvait. Et lorsque nous sommes arrivés là, nous avons vu venir une femme. Et nous nous sommes dit que nous allions nous arrêter pour voir ce que cette femme ferait. Et nous savions qu’elle était marquée, que c’était une femme de mauvaise vie. Et pendant qu’elle laissait descendre sa cruche dans le puits, nous avons entendu leur conversation. Et nous avons vu notre Seigneur se tenir là devant cette femme, et nous avons vu les cheveux de celle-ci tomber sur son visage, effet de surprise lorsqu’Il lui a dit: ‘Va appeler ton mari et viens ici.’ Elle a dit: ‘Seigneur, je n’ai point de mari.’ Alors, nous nous sommes demandé: ‘Oh–oh! voici une gaffe. Il s’est passé quelque chose maintenant.’»

55        C’est peut-être ce que pensait notre jeune soeur qui était assise ici, il y a un moment, avec le bébé.

            «Voilà une gaffe. Il s’est donc passé quelque chose.» En effet, Il lui a dit d’aller chercher son mari, et elle a dit qu’elle n’avait point de mari. Et j’espère que la jeune fille écoute quelque part à distance. Très bien. Elle est... Cela doit avoir été une gaffe.

            Et ainsi il a dit: «Nous étions tous couchés là dans les buissons, et nous écoutions pour entendre ce qu’Il allait dire. Et elle a dit: ‘Eh bien, je n’ai point de mari.’ Il a dit: ‘Tu as eu raison de le dire, car tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.’ Combien cela l’a changée! Un instant, les cheveux sont tombés, ses grands et beaux yeux brillaient. Des larmes coulaient sur ses joues. Elle a dit: ‘Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Nous savons que le Messie viendra. Et lorsque le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses.’ Et nous étions surpris de voir que les Samaritains ignorants attendaient le signe du Messie, et ils connaissaient le véritable signe messianique. ‘Nous savons que lorsque le Messie viendra...’ Ces gens qui n’avaient pas voulu nous donner de la nourriture là-bas... Pensez que ces gens avaient été enseignés suffisamment bien pour savoir que lorsque le Messie viendra, Il présentera le signe messianique.»

56        «Oui, a-t-il dit, nous étions tous surpris, rappelez-vous.» «Et elle a dit: ‘Seigneur, je vois que Tu es Prophète.’ Et nous avons comparé ce que le prédicateur avait dit de Lui et ce que cette femme a dit de Lui, une femme de mauvaise vie, qui cependant en savait plus sur les Ecritures que certains de ces sacrificateurs. Ils n’avaient qu’un seul chemin à suivre. Cette femme avait appris la chose par une conception divine de l’Esprit.» Il a dit: «Comment a-t-elle pu connaître cela? Elle a dit: ‘Je sais que quand le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses. Mais Toi, qui es-Tu?’ Il a dit: ‘Je Le suis, Moi qui te parle.’ Eh bien, nous étions tous conscients, à ce moment-là, que c’était là le Messie. Nous en étions convaincus. Les Ecritures avaient rendu témoignage de Son ministère, qu’Il était le Messie.»

57        Frères, soeurs, ne voyez-vous pas le Saint-Esprit aujourd’hui? Le Saint-Esprit n’a jamais cessé de tomber, après qu’Il fut tombé à la Pentecôte. Ne laissez personne vous dire que le Saint-Esprit était simplement pour autrefois. Quelqu’un qui cherche à vous raconter toutes ces histoires que vous avez ici pendant cinquante ans... La Pentecôte a eu lieu, il y a cinquante ans. Il y a deux ans, j’ai prêché le–le sermon du jubilé à l’Angelus Temple sur la célébration de cinquante ans de la Pentecôte.

            Eh bien, cela fait cinquante ans. Vos mères avaient reçu le Saint-Esprit.

58        Et, écoutez. Comme l’a dit David duPlessis une fois, Dieu n’a pas de petits-fils. C’est juste. Nous faisons entrer trop de petits-fils dans la Pentecôte. C’est juste. Dieu n’a pas de petits-fils. Nulle part dans la Bible, il est dit que Dieu a un petit-fils. Dieu n’a que des fils et des filles, mais pas de petits-fils.

            Eh bien, ce qu’il y a, c’est que maintenant au premier réveil méthodiste, il y avait des fils et des filles de Dieu. Puis leur... Ensuite leur... Ils (les vétérans) ont fait entrer leurs enfants, ils les ont simplement fait entrer dans l’Eglise méthodiste. C’est exactement ce que les pentecôtistes ont fait.

            Je suis allé à l’une de grandes églises pentecôtistes il n’y a pas longtemps, franchement, il y a environ trois mois, et j’y étais invité. Et les gens savaient comment je prêche la sainteté. Et dans la salle chacune de leurs femmes, presque, portait de la manucure et leurs hommes avaient les cheveux coupés en brosse au sommet et en bas... Et dès que l’école du dimanche était terminée, chacune sortait de cette salle et s’en éloignait. Ils savaient que l’écorchage venait, alors ils ne sont pas restés. C’est tout. Ils ne voulaient pas rester pour subir cela. Cela n’a aidé personne, parce qu’ils vont devoir affronter cela au jour du Jugement. Vous ferez mieux de faire face à cela maintenant même et de vous en débarrasser pendant que la miséricorde est là. Mais là-bas, c’est là que la Pentecôte...

59        Quel est le problème? Les vétérans qui priaient toute la nuit, les vétérans qui avaient le véritable–véritable et authentique salut, ils sont venus à la Pentecôte. Ils ont eu le Saint-Esprit. Ils ont amené leurs enfants et ils les ont mis là dans des crèches. Et tout de suite, vous savez, nous avons fait entrer des petits-fils dans la Pentecôte. Mais Dieu n’a pas de petits-fils. Ils sont tous, eux tous, nés comme fils et filles de Dieu dans Son Royaume (Amen!), des fils et des filles. Pas de petits-fils, Dieu n’en a pas. Ils sont tous fils et filles.

            La raison pour laquelle le Message aveugle tant les gens aujourd’hui, c’est parce qu’ils ne sont pas habitués de voir le surnaturel. Nous avons besoin de la puissance de Dieu. Nous avons besoin de retourner à la véritable Pentecôte. Comme l’a dit récemment Billy Graham, vous ne pouvez pas ignorer l’Eglise pentecôtiste, parce que c’est l’église qui connaît la croissance la plus rapide dans le monde aujourd’hui.

60        Le Sunday Visitor de l’Eglise catholique a écrit l’année passée que l’Eglise pentecôtiste a enregistré un million cinq cent mille convertis en une année, alors que l’Eglise catholique elle-même n’a jamais enregistré la moitié de ce nombre. Vous ne pouvez ne pas ignorer cela avec tous les grands ministres qu’il y a à travers le pays. L’Eglise pentecôtiste continue à prendre le devant. Pourquoi? On ne peut pas l’arrêter. C’est juste. Dieu l’a pré ordonnée, et elle est partie. Mais lorsqu’elle en arrive à un point où elle fait entrer des petits-fils, qu’elle les adopte, et accepte les choses du monde, Dieu s’en éloignera immédiatement. Un autre groupe prendre la relève et continuera carrément. C’est juste.

            Aussi, retournez au champ de tir... frère. Restez sous l’onction. Ne laissez rien vous déranger. Maintenant, revenons à ces signes...

61        Aujourd’hui, alors que nous vivons dans le dernier jour, alors que nous voyons la pyramide être coiffée, la pierre qui avait été rejetée de la pyramide... On n’a jamais su pourquoi la–la pierre angulaire avait été rejetée au temple. Mais on ne peut pas trouver une pierre qui pourrait s’ajuster à cela.

            Mais maintenant, alors qu’elle commence à monter jusqu’au sommet, chacune de ces pierres venant de Luther, des méthodistes, de la Pentecôte, alors l’Eglise devra en arriver à un point tel que lorsque la véritable Pierre de Faîte viendra, elle s’ajustera joint pour joint avec cela, comme je l’ai dit hier soir au sujet de l’alliance.

            L’Eglise devra avoir tant l’Esprit de Dieu en elle que cet Esprit fera les mêmes oeuvres que Jésus-Christ a faites ici sur terre, le Saint-Esprit ayant le contrôle total avant que cette femme, l’Eglise, puisse s’unir avec son mari, l’Epouse. Les petits-fils ne verront jamais cela. Ils disent simplement: «Je suis pentecôtiste. C’est tout.» Et ainsi de suite.

62        La Pentecôte n’est pas une organisation; la Pentecôte est une expérience que n’importe qui peut avoir. C’est un groupe qui est appelé à sortir, une Eglise, un groupe élu, un petit nombre. Regardez aux jours de Sodome, comme nous l’avons prêché cette semaine. De grands prédicateurs sont entrés à Sodome, et ils ont commencé à prêcher. Ils ont prêché le message là-bas. Mais l’Un d’eux est resté derrière et a accompli les signes dans cette toute petite Eglise, une minorité. Observez le signe qu’Elle a accompli, et Jésus a dit que la même chose se répéterait chez les Gentils dans ce dernier jour. Et la voici.

            Eh bien, remarquez. Il se fait tard... Oh! Il commençait à faire sombre. Et ils ont continué à parler. Ils ont dit: «Nous ferions mieux de ramer, frères.»

63        Et il est arrivé que Satan ait regardé du sommet d’une certaine cheminée. Et il a regardé. Et il a remarqué que les disciples étaient partis sans Jésus. Il a dit: «Voici l’occasion ou jamais.»

            Frère, tout cela est comparable à ce jour. L’Eglise essaie de partir sans Jésus. Nous avons eu un temps de prospérité lorsque les hommes ont eu de gros salaires, des syndicats, et ainsi de suite comme cela, gagnant beaucoup d’argent; les pauvres ont obtenu cela. C’est entré au milieu des pentecôtistes, au point où il y a des millionnaires et tout chez les pentecôtistes; ce qui est une bonne chose. Nous... C’est pour... Ce n’est pas seulement pour les pauvres; c’est aussi pour les riches. Dieu est pour tout le monde, les riches ou les pauvres, tout le monde. Il y aura autant de gagne-petit en enfer que des millionnaires.

            Il s’agit de votre attitude envers ce que Dieu vous donne. Etes-vous disposé à utiliser votre argent pour le Royaume de Dieu? Si oui, Dieu vous bénira, que ça soit un centime, que ça soit... Comme ce que la petite fille m’a donné hier soir, ou–ou ce que donnerait un grand multimillionnaire valant plusieurs millions de dollars... C’est la même chose pour Dieu. Eh bien...

64        Nous avons eu un temps de prospérité. Nous avons eu de grands bâtiments, nous avons construit de grandes églises avec de beaux sièges, nous avons construit de grandes écoles et ainsi de suite, au point où j’ai peur que nous soyons partis sans Jésus. Le diable voit cela, et il les a vus sans Jésus.

            Ainsi, il a commencé à envoyer son souffle en faisant: «Whou!» [Frère Branham fait une illustration.–N.D.E.], en envoyant le vent. Il a dit: «C’est maintenant le moment de se débarrasser d’eux. Ils sont seuls là. Il n’est pas avec eux, nous allons donc simplement... Je vais simplement envoyer mon souffle sur eux, et cela fera l’affaire. Nous allons les noyer carrément là dans la mer, et nous allons nous débarrasser d’eux.

65        Et quand il s’est mis à envoyer son souffle empoisonné, la barque a commencé à ballotter. Les rames se sont brisées, les voiles sont tombées, et la petite barque a commencé à se remplir d’eau. Tout espoir d’être sauvé s’en était allé.

            C’est presque la situation aujourd’hui, mes amis. Regardez ici; regardez dans cette ville aujourd’hui; considérez les réveils; considérez les bâtiments. Pour tout, il nous faut beaucoup d’argent, nous devons prélever des millions de dollars et des milliers de dollars par semaine au point que nous devons faire tout ceci, cela, et ce genre de programme et tout. Nous avons programmé cela au point qu’il n’y a pas de temps pour la réunion de prière; vingt minutes de sermon, ou quelque chose comme ça, si bien que la chose en est arrivée à un point où tant de jeunes gens instruits viennent.

            C’est au point que tout récemment, je suis allé à une–une grande église pentecôtiste pour leur demander si je pouvais emprunter des sièges à amener à l’auditoire où j’étais, et le pasteur a dit: «Je ne permettrais pas à quiconque a cru à la guérison divine de s’asseoir sur mes sièges.» C’est vrai: c’était à Hot Springs, dans l’Arkansas.

66        Maintenant... Et puis, on en est arrivé comme cela à un point où, dans beaucoup de grandes églises qui essaient d’étouffer la chose en disant que nous mettons trop l’accent sur la guérison divine, sur ces autres choses, et que nous en faisons simplement un rite. Qu’est-ce? Vous y faites entrer des petits-fils; vous y faites entrer des érudits au lieu des hommes que Dieu a sauvés.

            Chaque homme qui vient à l’estrade doit être un petit homme beau du type Hollywood, avec des cheveux ondulés. Nous avons trop d’évangélisation à la Hollywood aujourd’hui; des prédicateurs qui se trouvent sur l’estrade, tandis que leurs femmes font des va-et-vient là comme si elles étaient moulées dans des jupes, avec les mains couvertes de bijoux, avec du rouge à lèvres, et des cheveux courts. Eh bien, c’est une disgrâce pour le monde, et vous appelez cela la Pentecôte. Il se peut que ça soit la pentecôte au point de vue dénomination; ce n’est pas la Pentecôte du point de vue expérience. C’est juste.

67        Nous avons une fois de plus besoin de la Pentecôte, du Saint-Esprit à l’ancienne mode. Le diable nous a vus nous lancer dans de grandes constructions, de grandes organisations, de grand ceci, de grand cela, en laissant Jésus hors de cela. Et le démon a commencé à envoyer son souffle empoisonné, nous faisant dire: «Eh bien, nous montons maintenant. Nous allons mieux maintenant, et nous avons un meilleur groupe de prédicateurs, d’intellectuels, d’hommes bien habillés, et toutes ces différentes choses.» J’aime chanter...

            Je suis allé tout récemment à un endroit où une chorale allait chanter juste avant que je ne prie pour les malades et que je ne prêche. Et cette grande chorale pentecôtiste, se tenant là derrière, et l’homme allait prélever une offrande et combien ils blasphémaient la chose, s’en moquaient, se racontant de sales plaisanteries les uns aux autres... Une bande de femmes ayant du rouge à lèvres, du rouge, avec tous ces sourcils comme un démon, complètement rasés à l’exception d’un petit trait comme une tige d’allumette sur leurs visages et des choses comme cela, se tenant là...

            Oh! Ils m’auraient vraiment jeté dehors. Je faisais les cent pas sur le plancher, disant: «Ô Dieu, fais que je garde la bouche fermée, je T’en prie, jusqu’à ce que je termine cette série de réunions.» Je me disais que je me présenterais là et dirais: «Vous n’êtes pas dignes de chanter dans une chorale pour le Royaume de Dieu.» Portant des robes [de cérémonie]...

68        C’est très bien. Les robes [de cérémonie] c’est bien. C’est très bien. Mais ce n’était pas ça l’important, mais c’est cet esprit là à l’intérieur. Elles se tenaient là et essayaient de chanter une sorte de... je...

            S’il y a quelque chose que j’aime, ce sont les bons cantiques pentecôtistes à l’ancienne mode, où même si un homme n’a même pas de voix pour appeler des cochons, il l’utilisera pour la gloire de Dieu et chantera dans l’Esprit. Je déteste vraiment une voix sur-exercée qui retient là une espèce de note jusqu’à ce que le visage devienne bleu: «Aaah...» Eux-mêmes, ils ne savent même pas ce qu’ils disent. Comment le Saint-Esprit peut-il entrer dans quelque chose comme cela? Je n’aime pas cela. J’aime la manière de chanter authentique du Saint-Esprit, là où on chante, on tape les mains et on loue Dieu.

            Que se passe-t-il? Le diable est en train d’envoyer son souffle empoisonné, disant: «Tu veux te comporter comme les autres?»

            [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

69        Jésus ne les avait pas abandonnés. Vous avez entendu mon sermon sur l’Agneau et la Colombe, lorsque la colombe prend son envol, lorsqu’elle s’éloigne du loup. Ce n’est pas un agneau.

            Eh bien, Jésus ne les avait pas abandonnés. Qu’avait-Il fait? Il avait gravi la montagne la plus élevée qu’il y avait, afin de pouvoir veiller sur eux pendant qu’ils traverseraient l’océan. Et lorsqu’Il les a vus dans les pétrins, Il est venu vers eux, marchant sur la mer.

            Il ne nous a pas abandonnés. Il le confirme maintenant, Il ne nous a pas abandonnés. Ce n’est point la montagne la plus élevée qu’Il a gravie; Il a gravi le Calvaire, et Il a continué de gravir jusqu’à ce qu’Il est entré dans la Présence de Dieu qui est assis sur le Trône dans la gloire. Il est monté si haut qu’Il peut voir l’univers à partir de Son Trône de gloire. Son oeil est sur le moineau, et je sais qu’Il veille sur moi. Il veille sur vous. Il veille sur cette réunion. Il veut voir ce qu’en seront les résultats. Il viendra pour parler, accomplir des miracles et des prodiges, et s’en ira le coeur brisé, parce que les gens Le rejettent.

70        Remarquez, Le voici venir à minuit alors que tout espoir s’en était allé. Les rames étaient brisées, la barque était remplie d’eau, ils s’agrippaient les uns aux autres et criaient. Qu’ont-ils vu? Ils L’ont vu venir, marchant sur la mer. Et alors, la seule chose qui pouvait les secourir, ils en ont eu peur. Ils ont dit: «C’est un fantôme. Il y a quelque chose de bizarre à ce sujet. C’est un fantôme.»

            Et la seule chose qui pouvait les secourir, ils ont pensé que c’était un revenant. Et il en est de même aujourd’hui du monde. Alors qu’en Russie les bombes atomiques et toutes sortes de missiles et autres sont suspendues dans des hangars, les Nations Unies sombrent et toutes les nations sont opposées les unes aux autres. Et tout ce que nous faisons, c’est d’essayer d’acheter la fraternité et l’amitié. Vous ne pouvez pas acheter la fraternité et l’amitié. Il faut qu’un don de Dieu fasse cela. Certainement. Par exemple, un mariage qui est bâti sur quelque chose comme cela ne tiendra jamais. Ecoutez, mes amis. Vous ne pouvez pas y arriver.

71        Et en cette heure sombre, la seule chose qui pouvait les secourir est venue vers eux, et ils en avaient peur. Il en est de même aujourd’hui. Aujourd’hui le Saint-Esprit vient parmi nous, dans nos églises, et le monde extérieur regarde tout autour et dit: «Oh! C’est de la télépathie mentale. Ce–c’est de la bonne aventure. C’est un...» La chose même et la seule chose qui peut les secourir, les gens en ont peur.

            Et Jésus (pour en venir à mon sujet) a dit: «N’ayez pas peur; c’est Moi. N’ayez pas peur; c’est Moi.»

            «Comment savez-vous que c’est Lui?» Parce que cela accomplit Ses oeuvres. Vous les reconnaîtrez à leur fruit, au fruit de l’Esprit, voyez ce qu’ils font, voyez les oeuvres que Jésus a faites.

            «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais.»

72        Maintenant, voici le problème: nous prenons une petite chose dans la Bible. Les méthodistes ont eu la sanctification. Ils s’en sont tenus juste à cela. Ils ne voudraient bouger pour rien au monde. Les luthériens ont eu la justification. Les pentecôtistes ont eu le Saint-Esprit, le parler en langues. C’est exactement ainsi qu’ils y vont.

            Or, rappelez-vous, la Bible est pleine de promesses divines. Les pharisiens avaient leur conception à ce propos. Mais lorsque Jésus est venu, ce n’était pas du tout en contradiction avec les Ecritures. Il est venu exactement tel que les Ecritures l’avaient annoncé, mais eux pensaient qu’Il viendrait d’une autre manière. Il fallait qu’Il vienne de la manière qu’eux le pensaient; c’est la même chose qui est arrivée aujourd’hui.

            Nous avons piqué des crises, nous voyons si nous pouvons avoir plus de monde dans notre dénomination, nous parlons en mal de l’autre, nous la mettons en pièces pour bâtir la nôtre en faisant des prosélytes. «Un million de plus en 44», comme le disaient les baptistes cette année-là. Et vous y êtes, qu’est-ce que vous obtenez, sinon des adhérents à l’église? Au même moment, ils devaient congédier l’église pour accorder quinze minutes à tout le monde et au pasteur afin qu’ils se tiennent dans la cour de derrière et fument la cigarette, avant de revenir. Ne me dites pas le contraire, je me trouvais justement dans l’Eglise baptiste lorsque cela se faisait.

73        Ainsi, vous y êtes. Quel bien cela fait-il? Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’un Evangile pur de la Pentecôte, avec la puissance du Saint-Esprit de nouveau dans l’Eglise. La Bible est pleine de promesses, mon frère. Il s’y trouve beaucoup de promesses pour vous.

            C’est comme tout récemment, il y avait une–une femme qui était tellement misérable que le... on a fait des enquêtes sur la vieille dame pour savoir quel était son problème, une organisation de bienfaisances l’a fait pour voir ce qu’on pouvait faire pour elle. Ils sont allés là et ils ont dit: «Quel âge avez-vous?»

            Et elle a répondu: «J’ai quatre-vingts ans.»

            Et ils ont dit: «Et vous êtes indulgente.»

            «Oui.» Elle n’avait même pas de nourriture, elle était sans nourriture. Elle avait vendu tous les meubles de la maison. Et elle était... Certains voisins ont rapporté cela. Elle avait un peu d’amour-propre, ainsi elle ne voulait pas–ne voulait pas écouter cela. Alors finalement, elle a compris qu’elle devait accepter cela. Alors, ils lui ont dit qu’une...

74        «Eh bien, madame, lui a dit l’enquêteur, avez-vous des enfants?»

            Elle a dit: «Oui, j’ai un fils.»

            Il a dit: «Où se trouve-t-il?»

            Elle a répondu: «Il est en Inde.»

            «En Inde?»

            «Oui.»

            Il a dit: «Que fait-il là-bas?»

            Elle a dit: «C’est un homme d’affaires.»

            «Eh bien, a-t-il dit, pourquoi ne le laissez-vous pas vous aider?»

            «Elle a dit: «Vous savez quoi? Mon fils m’est si cher et il est si tendre.» Elle a dit: «Il m’écrit les plus belles lettres que vous ayez jamais vues.» Et elle a ajouté ensuite: «Mais je n’ai pas le courage de lui demander. C’est la raison pour laquelle je ne pouvais pas vous le demander à vous tous. Je ne pouvais pas le demander à mon précieux fils. Il connaît ma situation. Et il sait que j’ai besoin d’argent. Et s’il avait de l’argent, il m’en aurait envoyé. Alors, je ne peux pas me mettre à supplier mon fils de faire cela.»

75        Et il a dit: «Il écrit... Il a dit: «Il vous écrit?»

            Elle a dit: «Il m’écrit au moins une fois par mois, de façon régulière, a-t-elle dit, et même deux fois.» Et elle a dit: «Je reçois de lui les plus belles images; il m’envoie toujours des images. Et je pense que ce sont les choses les plus jolies; je les apprécie toujours beaucoup.»

            Il a dit:» Quel genre d’images?»

            Elle a dit: «Oh! Je vais vous les montrer.»

            Il a dit: «En avez-vous?»

            Elle a dit: «Oui.»

            Il a dit: «Où sont-elles?»

            Elle a dit: «Elles sont dans ma Bible.»

            Puis, elle va prendre sa Bible et se met à les faire sortir. Vous savez ce que c’était? Des mandats postaux indiens. Elle possédait des dizaines de milliers de dollars en mandats postaux indiens, mais elle ne le savait pas, parce qu’ils étaient couverts de jolies images; et elle pensait que ce n’étaient que des images.

76        C’est ce qu’il en est aujourd’hui, mes amis. Cette vieille Bible est pleine de trésors, là, de bout en bout. Pourquoi devez-vous être malades ou indigents? Pourquoi devez-vous être froids et indifférents, alors que la Bible est pleine de promesses de Dieu? N’ayez pas peur; c’est le Seigneur Jésus. Croyez-vous cela? Inclinons la tête maintenant.

            Je ne suis pas arrivé là où je voulais, mais il se fait tard, et vous avez des réunions ce soir. Prions maintenant.

            Notre Père céleste, la Bible est vraiment pleine de promesses. Et chaque promesse est vraie. Chaque promesse nous appartient. Tu es mort afin que ces promesses soient accomplies en nous. Que les gens n’aient pas peur lorsqu’ils voient arriver cette chose dont Tu as parlé et qu’ils la voient se produire juste au milieu d’eux.

            Puissent-ils l’embrasser et dire: «Oui, Jésus, sois le bienvenu dans ma petite barque. Elle est ballottée. Le médecin m’a dit que j’ai le cancer. Le médecin m’a dit que j’ai une tumeur. Le médecin m’a dit que je vais devenir aveugle. Le médecin m’a dit que j’ai la tuberculose, toutes ces maladies. La petite barque est sur le point de sombrer alors qu’elle vogue sur l’océan solennel de la vie.»

77        Maintenant, que les gens n’aient pas peur cet après-midi, alors qu’ils Te voient venir, traversant les corridors de la Gloire, descendre jusqu’au milieu du peuple. Puissent-ils dire: «Oui, Seigneur, nous n’avons pas peur, mais nous sommes ici maintenant, croyant en Toi.»

            Et puissent-ils T’accueillir là-dedans comme l’ont fait les disciples. Et immédiatement, la tempête s’est arrêtée, et ils sont arrivés sur le rivage. Ô Dieu, accorde cet après-midi que beaucoup de gens ici Te voient marcher au milieu des gens aujourd’hui alors que nous prions pour eux. Puissent-ils prendre conscience et croire de tous leurs coeurs. Et puisses-Tu entrer dans leur coeur et puissent-ils faire place pour Toi et Te recevoir dans leur petite barque de la maladie ou du péché. Et tout sera réglé. Accorde-le, Père.

78        Maintenant, alors que nous avons la tête inclinée, y a-t-il ici quelqu’un qui ne connaît pas Jésus comme son Sauveur? Avant que quoi que ce soit arrive, dites: «Je veux L’accepter comme mon Sauveur personnel.» Levez la main si vous désirez trouver Christ comme votre Sauveur personnel. Voudriez-vous lever la main? Y en a-t-il même un? Je vous le demande; vous êtes le juge. Vous connaissez votre âme. Y en a-t-il un ici qui est rétrograde, et qui voudrait revenir à Christ? Quelqu’un qui veut avoir la Vie Eternelle et qui voudrait venir? La chaire est ici, l’autel est ouvert, et nous sommes ici juste pour mettre en premier la chose principale, le Royaume de Dieu. Nous sommes ici pour prier avec vous, jusqu’à ce que Dieu sanctifie votre âme et vous remplisse du Saint-Esprit. Si vous voulez bien lever la main et vous avancer maintenant, nous serons heureux de vous recevoir. Cela importe peu combien il fait chaud; si vous n’êtes pas en ordre avec Dieu, vous entrerez dans un endroit plus chaud que ça. Alors, venez maintenant et soyez prêt à recevoir le Seigneur Jésus. Si vous êtes ici, nous vous attendons.

            Pendant que nous attendons juste un moment, la tête inclinée, fredonnons le cantique. Alors que nous avons la tête inclinée, que tout le monde prie, et vous tous les chrétiens, priez. Il se peut qu’il y ait ici un pécheur qui est un peu timide. Maintenant, je vais traîner un petit peu, afin qu’au jour du Jugement, je ne sois pas responsable de sa condition de perdu. Pendant que nous fredonnons donc...

                 Presque persuadé de croire maintenant;

                 Presque persuadé d’accepter Christ;

                 C’est comme si maintenant un... [Frère Branham fredonne.–N.D.E.]

                 ... ton chemin;

                 Un autre jour plus opportun, je T’invoquerai.

            Encore une fois de plus, je vous prie.

                 ... moisson est passée!

                 Presque persuadé, le tragique destin vient enfin!

                 Presque... presque... ce n’est qu’échouer!

                 Triste, triste, cet... amère... (Je me tiens là, attendant. Le Saint-Esprit attend. Voulez-vous venir?)

                 Presque... mais perdu!

79        Père céleste, s’il y en a ici, Seigneur, qui sont peut-être séduits, peut-être que Satan leur dit qu’ils sont prêts alors qu’ils ne le sont pas. «Telle voie paraît droite à un homme.» Si cela... J’espère qu’il n’y en a pas, Père. Mais s’il y en a, je Te prie de les persuader, ô Père. Je demande qu’ils restent ici dans cette salle surchauffée cet après-midi pour m’écouter terminer ce message. Je Te prie, ô Père, de les sauver. Accorde-le. Que quelque chose soit fait un peu plus tard dans la réunion, qui fera qu’ils croient, par la guérison des malades ou des affligés, ou quelque chose... Accorde que quelque chose soit fait pour les persuader à venir à Toi. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

            Maintenant, d’après cette horloge, il est 16 h 20. Donc, nous devons sortir juste dans un instant. J’avais envoyé mon fils ainsi que les autres. Est-ce toi qui as distribué des cartes, ou Billy? Billy? Très bien, pour distribuer des cartes de prière... Qu’as-tu distribué? La série E? La série D? D de 1 à 100. Très bien.

80        La série D, de 1 à 100, nous l’avons dit à tout le monde hier soir, à tous ceux qui voulaient qu’on prie pour eux. Eh bien, dans cette ligne, dans cette ligne, nous allons prier pour les gens selon que le–le–le Saint-Esprit m’a donné de prier pour les gens.

            Maintenant, numéro 1, qui a la carte de prière numéro 1? Voulez-vous lever la main? Cette dame veut-elle se tenir juste ici? Pendant qu’elle arrive, numéro 2, voulez-vous le faire? Numéro 2, carte de prière D numéro 2. Très bien, madame. Numéro 3, voudriez-vous lever la main? Numéro 3? Voyez-vous, il y a certains qu’il nous faudra transporter. Très bien, numéro 3? Numéro 4, numéro 4, voudriez-vous lever la main? D, carte de prière série D comme Duncan. Voyez-vous? D numéro 4. Très bien, venez, madame.

            Numéro 5? Numéro 5? Rapidement, numéro 5? Vous n’avez pas de carte de prière, une fois de plus, n’est-ce pas, madame? Quelqu’un parmi vous tous là, a-t-il une carte de prière? La dame qui est dans–dans le fauteuil roulant, avez-vous une carte de prière? OK. Maintenant, numéro 5, 6, 7, 8, 9, 10. Je–je... C’est la seule réunion de ma vie, oh! où je ne peux pas amener les gens ayant une carte de prière à monter pour que l’on prie pour eux. Numéro... D’habitude, les gens se précipitent en se bousculant. Mais, on ne sait comment, cela ne–cela n’a pas marché ici. Nous avons eu ce...

81        Combien le savent? Nous avons eu cela soirée après soirée. Nous appelons les gens; ils ne veulent même pas venir. Très bien. D 5, 6, 7, 8, 9, 10. Qu’ils viennent. 10, 11, 12, 13, 14, 15. Qu’ils viennent. On en a un, deux sur ça? 15, 16, 17, 18, 19, 20. Quelqu’un reçoit une carte, puis il quitte la salle (Voyez-vous?), il s’en va et c’est ce qui se passe. 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34, 35.

            Maintenant... Voyez-vous? Les gens reçoivent des cartes, puis ils s’en vont. Ne... Vous ne devriez pas faire cela. Si vous recevez la carte, vous devez simplement rester. Vous devez rester dans–dans la salle. 35, 36, 37, 38, 39, 40. C’est bien. Maintenant, nous arriverons quelque part. 40, de 40 à 50, qu’ils se lèvent. Tous ceux qui ont une carte de prière de la série D, qu’ils se tiennent ici. Je pense que c’est tout ce qui a été distribué.

82        Y avait-il encore des cartes distribuées, Billy, en dehors de la série D? Série G? Série G? Seulement la série D, seulement la série D. Très bien. Que tout le monde soit donc très révérencieux. Maintenant, carte de prière numéro D, levez-vous. Ce sont là les cartes de prière. Très bien, tous ceux qui ont une carte de prière de la série D, même jusqu’à 100, levez-vous. Y a-t-il ici quelqu’un qui est malade et qui n’a pas de carte de prière, qui est arrivé trop tard pour en avoir une? Qu’il lève la main. 2, 3, 4, 5, 6, 7. Très bien, un instant. Nous allons d’abord prier pour ceux-ci, ensuite, vous... ensuite, nous allons–nous allons voir si nous pouvons aussi nous occuper d’eux.

            Très bien. Eh bien, quelque chose doit arriver maintenant, n’est-ce pas? Bien, combien croient donc, depuis que je vous ai parlé des différents ministères, que cette dernière phase du ministère sera plus glorieuse que les autres? Assurément. Ça va rester sur les gens, mais ce sera une réponse directe, positive. C’est ainsi que le Saint-Esprit peut révéler et dire différentes choses, mais cela ne guérira pas. Cela ne peut guérir.

            Laissez-les reculer un peu là, les amis. Ne les laissez pas se tenir dans... aller au soleil. Laissez-les–laissez-les simplement se tenir juste là, afin qu’ils puissent entrer directement dans la ligne de prière et venir directement. OK.

83        Vous êtes-vous demandé pourquoi, lorsque nous faisons passer les gens dans la ligne et prions pour eux, nous distribuons des cartes de prière? Combien voudraient savoir pourquoi? Le voulez-vous? C’est pour les empêcher de revenir encore une fois dans la ligne. Ils iront directement derrière. J’ai vu... j’ai vu des gens aller... venir cinq fois dans la ligne, faire sans cesse le tour. Et chaque fois que vous passez, cela vous affaiblit davantage, davantage, davantage. On leur donne simplement une carte de prière; par conséquent, quand ils arrivent sur l’estrade, ils doivent avoir leur carte de prière en main. Quelqu’un prend la carte de prière et les fait passer dans la ligne. Voyez-vous? Et c’est pour les empêcher de repasser encore une fois. C’est pour le bien des gens. Voyez-vous? Ils...

            Voyez-vous, vous devez vous rappeler que dans un homme, il n’y a rien qui puisse vous aider. Combien savent cela? Rien dans un homme... Nous avons de grands hommes dans le pays aujourd’hui. Nous avons frère Roberts, frère Tommy Osborn, frère Freeman, frère Allen, de grands hommes de l’Evangile. Mais cependant, il n’y a pas une seule chose dans n’importe lequel de ces hommes qui puisse vous guérir. Si quelqu’un dit cela, il est certainement en dehors de la ligne des Ecritures, car Jésus était blessé pour nos péchés; c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. Combien croient cela?

84        C’est la raison pour laquelle, il n’y a pas longtemps, j’étais en désaccord avec les frères. Et j’ai appris que vous avez tous cela, dans cette contrée; la chose est tombée sur ce cher frère Branham. Il s’est fait que ce n’est pas la personne qui a dit qu’on a écrit cela. C’était quelqu’un d’autre. C’est comme si cette personne avait su que je savais cela. Je sais qui a écrit la lettre. Je le savais, avant qu’elle ne soit écrite, qu’elle allait être écrite. Eh bien, Dieu sait cela. Je savais qu’elle allait être écrite, au sujet du sang dans la main comme étant l’évidence du Saint-Esprit.

            Prendre une femme indienne et l’amener dans... Elle est une...?... Nous en avons une chez nous. Elle est catholique, une prostituée, un pilier de bistro; tous les vingt-huit jours, elle a du sang dans les mains, du sang dans les pieds, du sang sur le front...

            Cet homme m’a dit, ce grand prédicateur m’a dit: «Mais, Frère Branham, chaque fois que le Saint-Esprit vient sur cette femme, eh bien, ceci arrive.»

            J’ai dit: «Oui, chaque fois que cette femme s’emballe, c’est ce qui arrive aussi.»

85        Si ce sang sauve les gens, qu’est devenu le Sang de Jésus? Cela est mis de côté; c’est l’antichrist. Ça n’existe pas. Ne faites pas une chose pareille. Ça, c’est l’antichrist. Et le fait que les gens croient dans de petites sensations, laissez-les aller de l’avant et croire cela. Mais lorsque vous venez en ôtant ou plutôt en amenant un esprit antichrist dans une Eglise pentecôtiste, c’est mon devoir de m’opposer à cela. C’est juste. Je ne suis contre personne, mais contre l’esprit qui y amène cela. C’est juste.

            Une femme ayant par exemple de l’huile coulant sur son dos; elle la met dans un petit récipient et l’envoie à des gens pour qu’ils soient guéris. Eh bien, si l’huile guérit les gens, qu’en est-il du Sang de Jésus qui est... Qu’est-il arriv-... qui est sorti de Lui? Comment le sang souillé provenant du cycle de vingt-huit jours d’une femme pourrait-il sauver des âmes, alors que le précieux Sang de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, né d’une vierge, a été versé au Calvaire? Je dois simplement m’opposer à cela. Je... Il y a quelque chose qui cloche là-dedans. Je dois simplement faire cela. Voyez-vous? C’est faux. C’est faux.

86        Eh bien, si vous voulez dire: «Le Saint-Esprit se tient sur ma tête», amen, allez de l’avant. Peu m’importe ce que vous avez.

            Vous dites: «J’ai une... J’ai vu une grande lumière.» Allez de l’avant et voyez la grande lumière. Amen. Si vous vivez la Vie, je crois que vous avez la chose.

            Vous dites: «Je L’ai reçu en parlant en langues.» Amen. Si vous vivez la Vie, je crois que vous L’avez. Si vous ne vivez pas la Vie, vous n’avez pas reçu la Chose. C’est tout. Voyez-vous?

            Il faut que la Vie s’en suive. «C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.» C’est juste. Je crois au parler en langues, je crois au fait de crier, et je crois à toutes les expériences de la Pentecôte. Oui. Mais si cela n’a pas... Mais si ce n’est pas associé à l’amour, cela ne marchera jamais. C’est l’amour qui fait réussir la chose.

87        Lorsque ce taureau allait me tuer ce jour-là, il a foncé droit sur moi. Lorsque ce fou... Oh! Il y a tellement de choses. Si cela...

            Je ne me suis pas fâché contre cet homme. Je me suis dit: «Le pauvre type. Il n’a pas l’intention de me faire du mal. C’est le diable qui est dans cet homme.» Combien étaient là lorsque cela est arrivé? Et j’ai dit: «Certainement.» J’ai dit: «Il y a...» Je ne l’ai pas méprisé. J’ai dit...

            Il a dit: «Ce soir, je vais t’assommer au milieu de cet auditoire.»

            Il était tout aussi capable de le faire. Il pesait environ deux ou trois cents livres [91 ou 136 kg], à peu près grand comme ça. Et moi, je pesais cent vingt-huit livres [58 kg]. Physiquement, il en était capable. Je n’ai pas voulu, je n’ai pas du tout parlé, j’ai attendu. J’ai laissé le Saint-Esprit parler. Alors, l’homme a dit ce qu’il allait faire.

            Et puis, le Saint-Esprit a rétorqué, disant: «Parce que tu as défié l’Esprit de Dieu, ce soir tu vas tomber à mes pieds.»

            Il a dit: «Je vais te montrer aux pieds de qui je vais tomber», et il a levé son grand bras.

            J’ai dit: «Sors de lui, Satan!»

            Et ses yeux ont fait saillie; il a enflé comme cela, puis il est tombé, et il a coincé mes pieds sur le plancher.

88        Cela montrait que le Dieu de David est toujours vivant. Certainement. Il peut vaincre Goliath sur n’importe quel terrain où Il l’affrontera. Mais vous feriez mieux de ne pas essayer ça vous-même. Vous feriez mieux de laisser le Saint-Esprit dire cela.

            En effet, voyez-vous, l’ensemble du ministère pendant toutes ces années a convergé vers ce nouveau ministère maintenant, répétant toujours: «Si tu peux croire. Je le peux si tu crois.» Voyez-vous? Oh! Ce sera merveilleux; j’en suis sûr. Très bien, si tu peux croire...

            Maintenant, combien dans cette salle n’ont jamais fait... assisté à mes réunions avant? Faites voir vos mains, tout le monde? Eh bien, oh! la la! il y a un groupe de ceux qui n’ont jamais assisté à l’une de mes réunions. Très bien. Tous ceux qui, dans cette salle, savent que lorsque j’ai commencé cela, la personne qui plaçait ses mains sur moi, c’était comme un discernement qui s’exerçait dans ma main, ma main enflait et de petites choses blanches la parcouraient, et j’étais capable de dire aux gens ce qui ne marchait pas, levez la main. Très bien.

89        Alors, je vous ai dit que l’Ange qui m’avait parlé avait dit qu’il arriverait que si j’étais sincère, je connaîtrais le secret même de leur coeur. Et de même que Moïse avait reçu deux dons pour confirmer son ministère afin de faire sortir les enfants d’Israël de l’esclavage, deux signes me seraient donnés. En ce temps-là, je ne pouvais pas dire, je ne savais pas. Alors, plus tard, qu’arriva-t-il? Eh bien, combien ont vu cela arriver à l’époque, qu’Il connaissait le secret même de leur coeur? Très bien, vous y êtes. Ces–ces ministères s’exercent encore aujourd’hui. Oui...

            Mais maintenant, le ministère suivant arrive: parle et il en sera ainsi. Mais, je ne peux pas parler à moins que l’onction me saisisse, et l’onction ne peut me saisir que si les gens croient cela. Voyez-vous? C’est de nouveau entre les mains de gens.

90        Tenez, cette dame-ci, est-ce la patiente? Madame, je vous suis inconnu. Nous ne nous connaissons pas. Est-ce juste? Eh bien, soyez révérencieux juste pour quelques instants. Soyez révérencieux. Maintenant, voici une femme, et nous ne nous sommes jamais rencontrés dans la vie. Je ne la connais pas, et elle ne me connaît pas. Dieu sait, à ma connaissance, que je n’ai jamais vu cette femme de ma vie. Elle m’a probablement vu dans l’auditoire, Mais, je–je l’ignore.

            Maintenant, voyons si le premier ministère... Eh bien, s’il a un genre d’affliction sans microbe... Eh bien, voyez-vous, si c’est une maladie microbienne, c’est un–un esprit de mort. Combien savent cela? Qu’est-ce qu’un cancer? Le cancer, ce nom vient du mot grec «crabe», qui signifie «plusieurs pattes», et c’est une petite cellule qui entre en vous et qui commence à multiplier des cellules, et qui développe une très grosse chose là-dedans, qui suce votre sang et vous tue. Vous savez, cela vous empoisonne.

91        Maintenant, vous êtes juste aussi une petite cellule. Au départ, vous êtes venu de votre père. Et la mère a produit l’ovule, et la petite cellule de sang s’y est faufilée et a commencé à se développer, et cela a fait de vous ce que vous êtes. Le chien, l’oiseau, tout selon son espèce... Mais ceci n’a pas de forme. C’est un démon. Jésus l’a appelé ainsi: «Lorsque l’esprit sourd-muet est sorti de cet homme, celui-ci a pu parler et entendre.» «En Mon Nom, ils chasseront les démons.»

            Eh bien, si cette femme est infirme, ou une chose comme le diabète sucré, c’est là une chose qui a trait à la chimie. Mais si c’est–si c’est une maladie microbienne, je vais... cela va se manifester sur ma main. Maintenant, venez ici, madame. Savez-vous–savez-vous ce qui ne va pas en vous? Ne me le dites pas, mais le savez-vous? Vous ne savez pas ce qui ne va pas. Très bien. Maintenant, posez votre main ici sur la mienne, en travers comme ceci. Voyez-vous? Certainement, elle a une maladie microbienne. Voulez-vous venir par ici afin que je puisse voir? Certainement.

92        Eh bien, je veux que l’auditoire voie ceci. Je veux que vous regardiez ma main. Elle ressemble juste à la main d’un homme ordinaire, n’est-ce pas? Maintenant, observez cette femme alors qu’elle pose sa main gauche, ou plutôt sa main droite sur ma main gauche. Tournez-vous comme ceci, soeur, afin que cela soit en travers de ma main. Maintenant, regardez cela. La voyez-vous enfler là? Voyez-vous ces petites choses blanches qui circulent dessus? Cela va dans ce sens, faisant: «Trrr, trrr, trrr, trrr.» [Frère Branham illustre cela.–N.D.E.] Maintenant, regardez ici. Regardez-la ôter cette main. Posez cette main dessus. Cela n’amène aucun changement du tout. Elle reste exactement telle quelle. Maintenant, ôtez cette main-ci. Maintenant, posez cette main-là. Ça y est, ça enfle de nouveau. Est-ce juste? Vous voyez bien la chose. Avez-vous déjà vu cela auparavant? Non, vous n’avez jamais vu cela.

            Bon, bon, voici comment je découvre ce qui ne va pas. Je pose simplement votre main ici un instant. C’est une maladie gynécologique, une maladie de femmes. Si c’est juste, levez la main. C’est une infection des glandes féminines. Elle a un abcès à l’ovaire. C’est exact... Elle éprouve des douleurs intenses. Eh bien, elle a aussi un problème d’écoulement. Maintenant, cela... Eh bien, madame, je ne peux donc pas ôter cela. Voyez-vous? Mais par l’Esprit de Dieu, je peux faire partir cet esprit de là. Et vous pouvez observer cela. Maintenant, j’aimerais que vous...

93        Avez-vous déjà assisté aux réunions, plusieurs fois et m’avez-vous entendu prêcher? Croyez-vous solennellement que ce que je dis à ce sujet est la vérité? Croyez-vous cette Colonne de Feu dont on a la photo? Croyez-vous de tout votre coeur que c’est l’Ange du Seigneur? Très bien, maintenant, soyez très révérencieuse. Maintenant, observez.

            J’aimerais que vous... Je vais poser ma main ici, si vous le désirez. Voyez-vous, il ne s’agit pas de la position que je donne à ma main. Voyez-vous? Peu importe la position, c’est la même chose, n’est-ce pas? Oui, la dame regarde bien. Pouvez-vous voir cela à partir de l’auditoire? Voyez-vous?

            Eh bien, observez. Enlevez la main. Observez. Voyez-vous? La voilà qui redevient normale. Maintenant, prenez cette main et posez-la ici. Vous êtes tout aussi une personne humaine dans cette main que dans l’autre. Maintenant, posez ma main là-dessus. Cela ne change pas du tout. Eh bien, posez cette main-là là-bas. Voilà la chose de nouveau. Voyez-vous?

94        Eh bien, cela montre évidemment que quelque chose ne va pas dans cette femme. Eh bien, l’onction du Saint-Esprit est sur moi, ce qui est la Vie. Elle est une chrétienne; en effet, son esprit est le bienvenu. Voyez-vous? Je sais qu’elle est une chrétienne. Mais il y a quelque chose en elle, qui essaie de lui ôter la vie. C’est le diable. Maintenant, n’est-ce pas merveilleux? Et puis, cela ne fait pas de moi quelque chose. Que cela se produise. Cela revient.

            Eh bien, observez ici, maintenant, afin que vous ayez une bonne vue. Maintenant, je veux que vous observiez vous-même la main. Maintenant, si cela disparaît, d’accord. Si cela ne disparaît pas, évidemment je–je ne peux pas... Eh bien, si vous croyez maintenant. Voyez-vous? C’est ce que je vous demande. Allez-vous croire, si ça part, que ça ne va pas revenir? Vous allez–vous allez garder la foi là-haut et continuer... Quand l’esprit impur sort d’une personne, il s’en va dans les lieux arides. Est-ce juste? Il revient... Dites donc, il s’est passé quelque chose.

95        Billy, je viens de retrouver ce qu’est... Léo, je viens de retrouver ma montre. Je... C’est une montre de trois cents dollars, qui m’a été offerte en Suisse. Et elle... Loïs, tu le sais, et Becky, vous le savez, elle n’a pas gardé l’heure exacte pendant ces quatre ou cinq derniers jours. Elle fonctionnait de façon anormale. Je viens de l’entendre s’arrêter encore juste à l’instant. La vibration de cette chose... Combien se souviennent comment la montre s’arrêtait au début? Combien se souviennent que cela arrêtait ma montre? Voilà juste maintenant, elle s’est de nouveau arrêtée. C’est ce que ça fait. Voyez-vous, l’aiguille de secondes est tout à fait immobile. Je viens de me rappeler que c’est ce qui a fait cela. C’est de nouveau ça.

            Maintenant, posez votre main ici. Et on ne voudrait pas croire à la sainteté. Qu’en est-il de toutes ces boucles d’oreilles et tout alors? De choses inutiles... Mais le Saint-Esprit arrête cela. Que ce soit pour cette pièce ou pas, je n’en sais rien. Mais la montre ne pourra pas marcher, ne pourra même pas fonctionner tant que... Et c’est une–une Vulcain Cricket, la meilleure marque que la Suisse fabrique. On me l’a offerte avec mon nom dessus.

96        Eh bien, soeur... Maintenant, combien, là-bas dans cet auditoire, croient solennellement et sont certains qu’il se passe quelque chose ici? Si vous pouviez voir cela! J’aurais souhaité avoir le temps pour que chacun de vous vienne. Y a-t-il quelqu’un à l’estrade qui n’a jamais vu cela? Vous avez tous déjà vu cela, je pense. Vous avez vu cela, vous, vous. Tu as vu cela, Roy? Viens ici.

            Roy est l’un de nos nouveaux associés. Maintenant, Frère Roy, regarde ma main. Elle paraît normale, je mets ma main dessus, elle paraît normale. Voyez-vous? Je pose sa main à elle, cette main dessus, elle paraît normale. Eh bien, mettez cette main ici au-dessus et observez ce qui se passe. Et voilà. Voyez-vous ce que je veux dire? Voyez-vous comment elle enfle et ces petites choses qui se manifestent sur moi? Eh bien, c’est la mort qui est en elle, qui vibre au contact de la vie et la vie la repousse.

            Eh bien, qu’est-ce qui est plus fort, la vie ou la mort? La vie. Qu’est-ce qui est plus fort, la lumière ou les ténèbres? Peu importe combien la lumière est petite, elle brillera dans les ténèbres. Ainsi donc, la puissance de Dieu est beaucoup plus puissante que la puissance de la mort, parce qu’Il est la Vie. Qu’est-ce qui était venu avant, la vie ou la mort? La vie. Qu’est-ce que la mort? La vie pervertie. Qu’est-ce que–qu’est-ce que l’injustice? Qu’est-ce que le péché? La justice pervertie.

97        Tenez, vous savez peut-être ceci. Vous vivez avec votre femme comme votre épouse. C’est légal, c’est bien; c’est tout à fait en ordre, c’est sacré. Et le lit n’est pas souillé. Si vous posez le même acte avec une autre femme, vous êtes destiné à l’enfer. Qu’est-ce? La justice pervertie. Voyez-vous?

            Maintenant, c’est la même chose que ceci. Maintenant, cette femme-ci a un esprit de vie en elle, étant une chrétienne. Elle a l’esprit de mort en elle sous forme de germe. Cela pourrait finalement former un cancer. Elle pourrait mourir. Cela lui ôterait la vie, et l’amènerait prématurément dans la tombe. Maintenant, si vous croyez de tout votre coeur... Viens ici, Roy. De toute façon, si vous voulez bien croire de tout votre coeur... Elle dit qu’elle va le faire. Cela va l’aider. Toi–toi, observe ma main, Roy. Observe ma main.

98        Et je souhaite que vous, spécialement vous les dames, vous incliniez la tête, parce que cette chose, lorsqu’elle va sortir, elle va aller ailleurs. Combien savent cela? La Bible le dit, elle ira ailleurs, si elle peut entrer ailleurs. Eh bien, je vais tenir ma main juste comme cela, Roy. Ne la bouge pas. Maintenant, voyez si cela va sortir. Que tout le monde soit maintenant révérencieux et soit en prière.

            Père céleste, je ne sais pas quand je pourrai encore revenir à Falls... Klamath Falls. J’espère que c’est pour très bientôt, Seigneur. Mais si je reviens dans un an, il y en aura beaucoup ici, si je suis en vie, qui ne seront plus de ce monde. Ils s’en seront allés. Et je veux que ceci soit un signe certain, que tout ce que je peux faire, c’est afin que les gens sachent que Dieu est Dieu. Et je prie pour cette femme et demande que cette mauvaise chose qui est sur le point de lui ôter la vie sorte et la quitte. Accorde-le, Père, au Nom de Jésus, Ton Fils.

            Maintenant, cela ne l’a pas quittée; en effet, cela se manifeste encore sur ma main. Je n’ai pas du tout ouvert mes yeux. Dieu le sait. Mais, Frère Roy, cela continue d’enfler et de circuler comme–comme avant. Soeur, avant que je n’ouvre mes yeux, cela continue d’enfler, n’est-ce pas? C’est exactement encore comme c’était avant. Cela n’est pas sorti.

99        Maintenant, afin que vous sachiez que la Parole de Dieu est vraie, eh bien, si cette femme... Je ne suis pas entré dans le discernement avec elle. Mais croyant qu’elle est une chrétienne et qu’elle a beaucoup prié... Eh bien–eh bien, Dieu nous donne non pas le pouvoir de guérir, mais le pouvoir de chasser les esprits. Maintenant, gardez vos yeux là-dessus et voyez si ça part. Eh bien, Roy, observe et vois, ou qui que ce soit d’entre vous, vous devez regarder pour voir si ma main bouge ou quoi que ce soit.

            Père céleste, afin que le monde sache que nous ne demandons pas des miracles; c’est ce que fait une génération méchante et adultère. Mais afin que le monde sache que Tu tiens toujours Ta Parole, j’ordonne à ce démon qui dérange ma soeur, au Nom de Jésus-Christ, de sortir d’elle.

            Maintenant, le voilà parti. Eh bien, avant que je n’ouvre les yeux, ma main qui était violâtre est redevenue blanche; les petites tâches blanches ont disparu. Est-ce juste? Ouvrez les yeux, tout le monde. Maintenant, je vais moi-même regarder. Et voilà! Maintenant, voulez-vous tous regarder cela, frères? Il s’est passé quelque chose, n’est-ce pas?

100      Maintenant, regardez ici. Je vais remettre cette main et la poser ici. Voyez-vous son aspect? Eh bien, je vais prendre cette main et la poser ici. Regardez ici, soeur. C’est exactement comme l’autre main. Pouvez-vous voir cela à partir de là? Eh bien, qu’est-il arrivé? Le démon a été chassé. La femme est libre. Elle peut continuer son chemin, en se réjouissant. C’est juste. Eh bien, elle a vu cela. Ces ministres ont vu cela. Et vous à partir de là, vous avez vu cela. Et vous avez compris ce que nous disons, que c’est la vérité, si seulement vous croyez.

            Venez, madame. Maintenant, que chacun soit révérencieux. Voyons cette femme-ci. Voyons un instant votre main, avant que nous ne commencions la ligne de prière. Voyons votre main. Tournez votre main comme ceci. Je ne vous connais pas, tout d’abord. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre? Nous sommes nés à des kilomètres de distance, à des années d’intervalle; vous êtes beaucoup plus jeune que moi. Mais c’est la première fois que nous nous rencontrons. Si, si. Elle a une–une maladie microbienne. Assurément. La gastrite, croyez-vous de tout votre coeur que le Seigneur Jésus peut vous guérir et vous rétablir? Vous le croyez.

101      Maintenant, je veux que vous observiez. Eh bien, ôtez votre main de la mienne. Maintenant, regardez comment ma main devient. Eh bien, que je prenne le mouchoir que vous vouliez que quelqu’un... avant que ma main ne change. Eh bien, regardez là. Elle est normale, n’est-ce pas? Eh bien, reprenez votre mouchoir ici. Maintenant, prenez cette main et retournez-la juste ici. Maintenant, regardez comment elle enfle. La voyez-vous? Voyez-vous ces petites choses blanches qui la parcourent? Eh bien, cela vient de la vibration provenant de l’ulcère qui–qui lui cause une hémorragie ou quelque chose d’autre. Voyez-vous?

            Bon, bon, je ne peux pas guérir cette femme, mais par un don de Dieu, je peux faire que le mal la quitte. Etes-vous une chrétienne? Avez-vous prié? Allez-vous louer Dieu? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Croyez-vous que ceci est la Vérité? Très bien. Maintenant, observez ma main. Que tout celui qui le veut, si vous voulez l’observer, ne vous gênez pas du tout.

102      Je veux que vous remarquiez que ce n’est pas la position de la main ou quoi que ce soit qui compte, c’est exactement telle qu’elle était. Maintenant, inclinons la tête. Eh bien, si vous êtes un peu allergique à la gastrite, ceci a été provoqué par la nervosité. Maintenant–maintenant, si vous voulez incliner la tête juste un instant.

            Notre Père céleste, ce n’est pas pour que ceci soit une démonstration publique, mais c’est afin que ces gens qui se tiennent dans cette ligne de prière puissent avoir la foi pour que l’on prie pour eux, et qu’ils soient guéris. Que l’on sache, Seigneur, que Tu es Dieu et que je suis Ton serviteur. Je Te prie de confirmer Ta Parole aujourd’hui en chassant les mauvais esprits. Seigneur, la fin est proche. Le temps vient. Et les gens doivent savoir avec certitude que nous les chrétiens, nous savons que notre espérance n’est pas bâtie sur une certaine chose mystique, mais strictement sur la Parole de Dieu et d’un Dieu qui peut faire que toutes choses concourent pour notre bien.

            Maintenant, Père, je T’ai demandé d’être avec moi et de m’aider, alors que je vais par la foi défier ce démon qui a fait du tort à ma soeur. Satan, je te somme par Jésus-Christ, le Fils de Dieu, par Sa résurrection et par Sa victoire sur toi; Il t’a dépouillé de tout pouvoir légal. Tu n’es qu’un bluffeur. Nous dénonçons ta main. Par un don que Dieu m’a donné, qui m’a été accordé par un Ange, je te somme au Nom de Jésus de sortir de cette femme. Quitte-la et laisse-la partir!

103      Maintenant, il est parti. Quand cela part, ma main cesse (je ne l’ai pas encore regardée), mais elle cesse de vibrer. Est-ce juste? Voilà. Voilà, voyez-vous, elle est redevenue normale. Maintenant, cela vous a quittée. Continuez votre chemin et réjouissez-vous, et dites: «Merci, Seigneur.» Et soyez guérie.

            «Si tu peux croire, tout est possible à celui qui...» Croyez-vous cela? Maintenant, ayez foi en Dieu.

            Combien là-bas... Eh bien, c’est là un don qui agit par cela. Maintenant, pour un autre don... Croyez-vous de tout votre coeur? Combien là sont malades ou ont un problème? Levez la main. C’est juste afin que vous soyez certains avant que nous priions pour les malades. Que Dieu me vienne en aide.

            Maintenant, soyez révérencieux. Restez tranquilles. Peu importe où vous êtes, au balcon, dans les rangées, peu importe... Cela–cela ne compte pas du tout; continuez simplement de croire. Soyez simplement révérencieux.

            Maintenant, ne–ne vous faites pas... Vous devenez nerveux. Calmez-vous. Dites: «Seigneur, je crois.» Dites: «Je suis un inconnu pour cet homme. Qu’il me parle et je croirai de tout mon coeur, s’il me laisse simplement dire...?... me dit.»

104      Soyez très révérencieux, tout le monde. Voyez-vous? Chaque fois que vous vous déplacez, votre esprit, voyez-vous, c’est... Je vois votre position, là où vous êtes, je sens votre vibration. Ainsi, lorsque le–lorsque vous vous déplacez, alors cela interrompt l’Esprit (voyez-vous?), et je ne saisis pas la chose.

            Voici–voici un homme assis au coin, juste ici. C’est comme si je reconnais son visage. Je ne me souviens pas de lui. Avez-vous levé la main il y a quelques instants? L’avez-vous fait? Savez-vous que j’ignore ce qui ne va pas en vous? Il m’est impossible de le savoir. Mais croyez-vous que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, peut me révéler ce qui ne va pas en vous, monsieur? Vous semblez être... Vous avez une grosseur. C’est juste. La grosseur se situe dans l’oreille. Croyez-vous de tout votre coeur maintenant qu’Il vous guérira? Très bien. Ayez la foi.

105      Cela vous a-t-il un peu secouée, madame? Qu’en est-il de ces varices? Pensez-vous que Dieu peut guérir ces varices? Oui? Le pensez-vous? Vous êtes sur le point de subir une opération de cela la semaine prochaine. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir? Si c’est juste, levez la main, madame. Très bien. Maintenant, j’aimerais vous demander quelque chose. Juste dès que j’ai parlé à cet homme, quelque chose vous a frappée. Etait-ce juste? Si c’est le cas, agitez la main.

            C’est parce que cette Lumière qui était au-dessus de cet homme l’a aussitôt quitté pour aller tout droit vers cette femme. Je ne connais aucun d’eux, mais je–j’ai vu cet homme quelque part. Je ne peux pas dire qui il est, mais j’ai déjà vu son visage; cependant je ne sais pas qui il est. Toutefois, Jésus-Christ le connaît. Il sait tout à son sujet. Il est le même Seigneur Jésus, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Croyez-vous cela de tout votre coeur?

106      Voici une dame assise ici, la tête inclinée. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Mais elle prie, disant: «Seigneur, que ça soit moi.» Cette femme, qui a les pieds malades, souffre des troubles cardiaques. Et elle prie pour elle-même, si elle ne manque pas cela. Cette dame... Oh! la la! Cette dame n’est pas d’ici; elle vient de la Californie. Elle s’appelle mademoiselle Goodwin. Croyez-vous maintenant? Levez-vous si c’est juste, si c’est l’entière vérité et si vous êtes assise là, priant pour cela; levez la main. Sommes-nous des inconnus l’un à l’autre? Agitez la main comme ceci. Très bien, rentrez chez vous. Jésus-Christ vous rétablit.

            S’ils ne veulent pas croire ceci, ils croiront cela. Ils doivent croire cela. Oh! Si seulement vous pouvez croire! Si... Oui...

107      Voilà une dame assise juste là derrière, en train de me regarder, et elle a–elle a une grosseur au sein gauche. Croyez-vous que Dieu va vous guérir, madame, et qu’Il va vous rétablir? Croyez-vous cela de tout votre coeur? Très bien.

            Voici une autre dame assise juste ici derrière. Non, c’est pour un homme qu’elle prie. C’est son beau-frère; il souffre d’un cancer à la gorge. Croyez-vous que Dieu va le rétablir? Répondez vite à cela si vous ne... Très bien. J’ai vu cet homme disparaître. Voyez-vous? Vous devez... Lorsqu’on vous appelle, répondez rapidement. Ne doutez pas. Croyez de tout votre coeur.

            L’homme assis là derrière, qui souffre de l’asthme et qui tousse, croyez-vous que Dieu va vous rétablir? Croyez-vous cela de tout votre coeur? Si vous pouvez croire cela, très bien, Monsieur Lowe, Dieu va vous rétablir si vous croyez cela. Pourquoi ai-je dû citer votre nom? Croyez-vous cela? Tous, ayez la foi. Ayez simplement foi en Dieu.

108      Vous voulez vous débarrasser de cette gastrite, monsieur, là derrière, qui souffrez de l’estomac? Si c’est oui, arrêtez de fumer ces cigarettes, et Dieu guérira votre estomac. Amen.

            Croyez-vous de tout votre coeur? Combien croient maintenant de tout leur coeur? Qu’ils disent: «Je crois que le Seigneur Jésus-Christ guérit les malades.» Que pensez-vous? Croyez-vous que ce mal de dos va vous quitter, que Dieu va vous rétablir et que vous allez rentrer chez vous en bonne santé? Très bien, continuez votre chemin et croyez de tout votre coeur. Très bien. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que ces troubles cardiaques vont être guéris? Croyez-vous que vous irez bien? Femme prédicateur que vous êtes le devrait de toute façon, si vous croyez de tout votre coeur. Continuez votre chemin.

109      Maintenant, écoutez. Je commence à sentir que je m’affaiblis maintenant même. Et j’ai trop de gens dans la ligne. Combien croient? Si le premier don agit, et que le second don agisse, le troisième don doit aussi agir. C’est Dieu. Maintenant, combien parmi vous qui êtes là dans cette ligne de prière ont fini de prier et croient que c’est Dieu qui va vous guérir? Levez la main.

            Madame, avez-vous prié comme il faut et croyez-vous que Dieu va vous guérir? Alors, je n’ai rien à faire, sinon chasser le démon et laisser la dame aller et être en bonne santé. Elle a déjà prié comme il faut, n’est-ce pas? Est-ce juste? Maintenant, combien parmi vous vont se joindre à moi dans la prière, afin que lorsque chacune de ces personnes passera par l’imposition des mains, qu’elle soit guérie. Croyez-vous cela? Très bien, vous tous qui passez, de tout votre coeur maintenant, avancez progressivement. Bien!

            Maintenant, un instant. Avant cela, j’essaie de recevoir cette onction. C’est si difficile de l’éloigner une fois qu’elle est là pour cela. Je vois un enfant qui apparaît sans cesse devant moi, ici. C’est comme si cet enfant a la hernie ou quelque chose de ce genre. C’est vous qui priez pour un bébé, là-bas. Je vous demande de croire Dieu. Je vous demande de croire en Lui. N’ayez pas peur; c’est Christ, le Fils de Dieu. N’ayez pas peur; crois seulement. Tout est possible.

110      Approchez maintenant, soeur. Au Nom de Jésus-Christ, que ce démon parte. Approchez, mon frère. Au Nom de Jésus-Christ, je chasse ce démon.

            Au Nom de Jésus-Christ, je chasse ce mal.

            Au Nom de Jésus-Christ, je chasse ce mal.

            Au Nom de Jésus-Christ, je chasse ce mal de cet enfant.

            Au Nom de Jésus-Christ, je chasse le mal.

            Au Nom de Jésus-Christ, je chasse le mal.

            Croyez-vous que ces gens seront guéris? Assurément. Croyez-vous cela? Vous qui êtes passés dans la ligne, allez-vous être guéris? Le croyez-vous? Ayez la foi maintenant. Je veux voir si quelque chose fait écho. Soyez en prière maintenant; que tout le monde soit en prière. Et lorsque vous passez ici, croyez, sinon cela ne vous fera pas le moindre bien. Très bien.

111      Je chasse le mal de mon frère au Nom de Jésus.

            Approchez, soeur. Ayez la foi maintenant. Je chasse le mal de ma soeur et la bénis au Nom de Jésus.

            Je chasse le mal et réclame les bénédictions de Dieu au Nom de Jésus.

            Je chasse le mal par l’imposition des mains. «En Mon Nom, ils chasseront le démon», a dit Jésus. Amen.

            Au Nom de Jésus-Christ, je chasse le mal de mon frère.

            Au Nom de Jésus-Christ, je chasse le mal de ces enfants et de ce petit.

            Que Dieu la bénisse. Cela n’a pas connu une très bonne croissance... Croyez-vous que cela va se redresser? Cela va bien croître si vous le voulez. Oui, oui, je sais. Voyez-vous, si je commence cela, cela continue et continue simplement et cela essaie de faire opérer un autre ministère. Et maintenant, écoutez. Si vous me croyez de tout votre coeur, vos enfants iront bien. Croyez-vous cela? Dieu vous a donné ce que vous avez demandé. Maintenant, partez simplement et croyez.

            Vous avez souffert de cela. Vous n’allez plus souffrir de cela maintenant, si vous le croyez simplement.

112      Au Nom de Jésus-Christ, je chasse le mal.

            Maintenant, ce qu’il y avait, c’est que la petite dame avait plutôt une faible foi. J’ai dû simplement lui parler des enfants, afin de l’amener à avoir la foi. C’est tout. Voyez-vous? Très bien.

            Seigneur, au Nom de Jésus, je prie pour ma soeur et chasse le mal au Nom de Jésus.

            Je chasse le mal de cette soeur au Nom de Jésus.

            Je chasse le mal de ma soeur au Nom de Jésus.

            Je chasse le mal de ma soeur au Nom de Jésus.

            Penses-tu toujours que tu as l’appel? Huh? Penses-tu que tu dois prêcher l’Evangile? Seigneur, viens en aide à ce jeune, je Te prie, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu te bénisse.

            Que Dieu bénisse son petit coeur. Elle a fait une requête pour son père. Que Dieu bénisse son petit coeur. Que Dieu vous bénisse, chérie. Dieu prendra soin de papa et le ramènera.

            Ô Dieu, au Nom de Jésus, guéris ma soeur.

            Guéris mon frère, ô Dieu, au Nom de Jésus.

            Au Nom de Jésus-Christ, guéris ma soeur.

            Au Nom de Jésus-Christ, guéris ma soeur.

            Ô Dieu, guéris ma soeur, au Nom de Jésus.

113      Guéris mon frère, au Nom de Jésus.

            Guéris ma soeur, au Nom de Jésus.

            Guéris mon frère, au Nom de Jésus-Christ.

            Guéris ma soeur, au Nom de Jésus-Christ.

            Guéris mon jeune frère que voici. Penses-tu que cela va te quitter? Au Nom de Jésus...

            Guéris ma soeur, ô Dieu, au Nom de Jésus.

            Guéris ma soeur que voici, au Nom de Jésus.

            Guéris ma soeur que voici, ô Père, au Nom de Jésus.

            Guéris ma soeur que voici; je chasse le mal d’elle, au Nom de Jésus.

            Au Nom de Jésus-Christ, je chasse le mal.

            Au Nom de Jésus-Christ, je chasse le mal.

            Au Nom de Jésus-Christ, je chasse le mal de mon frère.

            Au Nom de Jésus-Christ, je chasse le mal de mon frère. Amen.

114      Croyez-vous qu’ils ont été guéris? Est-ce ce que dit la Bible? Maintenant, prenons ceci juste pour un instant. Dieu peut-Il être en erreur? Dieu peut-Il mentir? Eh bien, c’est impossible, n’est-ce pas, mes amis? C’est absolument impossible que Dieu mente.

            Eh bien, s’agit-il de cette–cette dame-là avec l’enfant? Eh bien, pour vous qui venez de passer par cette ligne de prière, c’est ainsi que ce bébé est passé par la ligne de prière, cela fait aujourd’hui une semaine. Est-ce juste, soeur? Très bien. Avez-vous écouté mon sermon, comment j’ai parlé de quelque chose de ce genre? Maintenant, voilà le petit bébé en bonne santé, sur son chemin, complètement guéri? Maintenant, voyez simplement si la même chose ne s’accomplit pas avec vous.

            Maintenant, vous voyez, les amis, Dieu peut aller quelque... jusque là, mais vous devez Le rencontrer sur cette base-là. Croyez-vous cela? Qu’en pensez-vous? Vous?

115      Pensez-vous que l’estomac va aller bien, sera guéri? C’est votre femme qui est assise là, elle dort un peu comme si c’était une maladie ou quelque chose de ce genre. C’est juste. Vous souffrez de la gastrite, et vous êtes prédicateur. Vous croyez l’Evangile. Est-ce juste? Je ne vous ai jamais vu de ma vie. Nous sommes de parfaits inconnus. Est-ce vrai? Il y a une Lumière juste au-dessus de vous. Je L’observe. Maintenant, levez la main si c’est la vérité, tous deux. Posez votre main sur votre épouse. Madame, posez votre main sur lui.

            Satan, tu es dévoilé. Sors de ces serviteurs de Dieu. Je t’ordonne au Nom de Jésus-Christ de les quitter. Voilà. Maintenant, reposez-vous en paix.

            Voyez-vous là? Cet homme qui est assis là, je ne l’ai jamais vu de ma vie. Et là, l’Esprit l’a saisi, juste comme cela. Et j’ai vu cette Lumière briller au-dessus de la salle. J’ai regardé et je me suis dit: «Qu’était-ce? Un certain reflet là-bas?»

           

            Et j’ai regardé. Voici que cette Lumière est venue se poser juste au-dessus d’eux; puis une vision est apparue au-dessus d’eux. Je ne les ai jamais vus de ma vie. Ils n’étaient pas dans la ligne de prière. Vous–vous n’étiez pas dans la ligne de prière, n’est-ce pas, monsieur? Vous n’aviez pas de carte de prière ni rien. Non, en effet, il ne reste aucune carte de prière. Ainsi donc, toutes les cartes de prière sont passées. Voyez-vous? Alors, vous y êtes.

116      Voyez-vous? Il s’agit simplement de votre foi en Dieu. Qu’est-ce que Christ pourrait faire de plus? Il peut venir ici, déployer Ses mains et dire: «C’est Moi. N’aie pas peur, c’est Moi. Crois en Moi et sois guéri»

            Est-ce juste? Oh! Ne L’aimez-vous pas? N’est-Il pas merveilleux?

                 N’est-Il pas merveilleux, merveilleux, merveilleux?

                 Mon Seigneur Jésus, n’est-Il pas merveilleux?

                 Les yeux ont vu, les oreilles ont entendu ce que la Parole de Dieu a dit:

                 Mon Seigneur Jésus, n’est-Il pas merveilleux?

            (Chantons tous cela ensemble.)

                 N’est-Il pas merveilleux, merveilleux, merveilleux?

                 Mon Seigneur Jésus, n’est-Il pas merveilleux?

                 (Ecoutez maintenant ce qu’Il dit.)

                 Les yeux ont vu, les oreilles ont entendu ce que la Parole de Dieu a dit:

                 Mon Seigneur Jésus, n’est-Il pas merveilleux?

117      Oh! Levons simplement les mains et louons-Le. Oh! Seigneur, Toi la Rose de Saron, le Lys de la vallée, l’Etoile du matin, l’Alpha, l’Oméga, le Commencement et la Fin, Celui qui était, qui est et qui vient, le Rejeton et la Racine de David, le Conseiller, le Prince de la paix, le Dieu puissant, le Père éternel, merveilleux... Oh! Combien nous Te remercions et Te louons, notre Seigneur, pour Ta bonté et Ta miséricorde envers les enfants des hommes!

            Combien nous Te louons et T’exaltons, Toi le Juste et Véritable Fils de Dieu. Nous Te remercions pour ce que nos yeux ont vu, ce que nos oreilles ont entendu; nos yeux ont vu le Saint-Esprit.

            Comme l’a dit le poète: «Mes yeux ont vu la gloire de la Venue du Seigneur.»

            Sincèrement, Seigneur, mes oreilles ont entendu Ta voix parler, j’ai vu Cela agir et se manifester, puisque les démons Te sont soumis. Oh! Seigneur, les démons sont soumis à Ton Nom. Les démons sont soumis à Ton pouvoir, et les secrets des coeurs sont révélés. Les malades sont guéris. Les affligés se rétablissent. Les aveugles voient; les sourds entendent, les boiteux marchent, les morts sont ressuscités. La Venue du Seigneur est proche. Nous Te remercions, Seigneur!

118      Ô Dieu, bénis Klamath Falls, Seigneur. Déverse Ton Esprit sur ces ministres et ces pasteurs qui sont ici, ô Dieu, sur Ton Eglise, sur toutes les villes avoisinantes. Sauve chaque âme qui peut être sauvée, ô Dieu. Accorde-le. Je Te prie de l’accorder.

            Et puis, ô Père, ces mouchoirs qui se trouvent ici, représentent les malades. Quelqu’un, quelque part, est souffrant. Lorsque ces mouchoirs seront mis sur les gens, que le Saint-Esprit vienne sur eux et guérisse leurs maladies. Accorde-le, Seigneur. Nous Te remercions et Te louons pour tout ce que Tu as fait. Et s’il y en a un ici, Seigneur, qui n’a pas encore la foi après T’avoir vu, qu’il n’ait pas l’impression que c’est un spectre ou quelque chose de faux. Qu’il entende cette douce Voix dire: «N’aie pas peur; c’est Moi. Aie bon courage.»Et puis, qu’ils T’accueillent dans leur petite barque cet après-midi. Qu’ils rentrent chez eux en se réjouissant, louant Dieu et en disant: «Nous L’avons vu.» Comme ceux qui revenaient d’Emmaüs après qu’ils eurent marché et crié toute la journée et toute la nuit, savaient que Tu étais mort, que Tu avais été mis dans la tombe et enseveli. Puis, Tu as marché avec eux. Et ensuite, quand Tu t’es retrouvé avec eux seuls dans la pièce, Tu as fait quelque chose exactement comme Tu l’avais fait avant Ta crucifixion. Et ils savaient que c’est Toi seul qui avais fait cela, alors ils ont reconnu que c’était Toi. Tu as fait la même chose pour nous aujourd’hui.

119      Après deux mille ans, Te voici aujourd’hui dans la réunion, faisant la même chose que Tu avais faite avant Ta crucifixion. Assurément, Tu n’es pas mort, Seigneur. Tu es vivant à jamais. Tu es ressuscité des morts, Tu as triomphé de la mort. Tu as fait de tous Tes ennemis Ton marchepied, et Tu as donné Ta puissance à Ton Eglise et à Ton peuple que Tu as rencontrés ici, et Tu es monté au Ciel, et Tu as fait des dons aux hommes. Et nous voici au temps de la fin, et la Lumière du soir brille.

            «Vers le soir, a dit le poète, la lumière paraîtra. Vous trouverez certainement le sentier de la gloire.»

            Ô Dieu, que les gens trouvent ce sentier et y marchent. Nous Te remercions pour tous ceux qui l’ont trouvé; et nous Te louons pour cela. Guéris chaque malade qui se trouve dans cette ville, chaque personne qui se trouve ici dans l’église. Et s’il y en a un ici, au balcon, n’importe où, qui est malade ou qui souffre, que ma prière fasse son expiation, pendant que l’onction du Saint-Esprit est sur moi. Que l’Esprit de Dieu, qui est capable de discerner les pensées du coeur... Comme le dit la Bible: «La Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée à deux tranchants, pénétrante jusqu’à partager la moelle des os, et elle discerne les pensées du coeur.»

120      Or, qu’est-ce que la Parole de Dieu? «Au commencement était la Parole. La Parole était avec Dieu. Et la Parole était Dieu; et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous.»

            Le voici aujourd’hui dans la résurrection, habitant parmi nous; la Parole est prêchée par la puissance du Saint-Esprit, et Elle discerne les pensées du coeur. Alléluia! Béni soit le Nom du Seigneur! Que les gens voient cela, Seigneur, avant qu’il ne soit trop tard. Je Te les confie au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Croyez-vous? Croyez-vous de tout votre coeur? Pouvez-vous recevoir cela? Je vous confie à Jésus-Christ, l’Auteur et le Consommateur de notre foi, et au pasteur en tant que serviteur de Dieu. Que Dieu vous bénisse, jusqu’à ce que je vous revoie.

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