Le Son Confus

Autres traductions de ce sermon: Le son incertain - MS
Date: 60-1218 | La durée est de: 2 heures et 57 minutes | La traduction: Shp
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1          Bonjour, mes amis. Je suis très content d’être de retour à l’église ce matin, encore, après une–une semaine passée à renvoyer à tout moment au diable mon rhume. Vous savez, chaque fois qu’il voulait me le transmettre, je le lui renvoyais. Et on est encore en pleine bataille. Je suis donc déterminé à ce qu’il le garde. Voyez, chaque fois qu’il me le transmet, je le lui rends. Vous voyez? Il me le transmet, et je le lui rends. Ainsi–ainsi, il–il sait de toutes les façons s’y prendre pour le rendre, vous savez. Il sait certainement comment s’y prendre. Mais nous finirons par l’épuiser, ou plutôt l’amener à bout de patience, comme je le disais l’autre soir.

2          Une fois, quelqu’un a dit, après qu’on eut prié pour lui, il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, le diable m’a dit que je n’étais pas guéri.» Et Il a dit: «J’ai baissé les yeux, a-t-il dit, tous mes symptômes persistaient comme au début.» Et il a ajouté: «Eh bien, ai-je dit, Satan, ce–ce–c’est vrai, je ne vois aucune différence. Mais tu sais quoi? Je vais simplement me mettre à témoigner de toutes mes forces pour la gloire de Dieu jusqu’à ce qu’ils me quittent. Ainsi donc, si tu veux rester là à m’écouter, restes-y donc pour ça.»

3          Voilà une vraie foi. Témoigner à la gloire de Dieu! En effet, la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. Voyez? On ne voit pas la foi. On croit seulement, la foi.

4          Et cette semaine, j’ai été très occupé à la maison. Il y a eu... Evidemment, le premier jour, je pense, il y en avait environ une trentaine là. C’était sur... Et puis, toutes mes entrevues et autres ont eu lieu. Ça a été une semaine très chargée.

5          Et j’ai appris des choses cette semaine. Je suis allé... Et j’ai un ami ici en ville, c’est un très brave homme. Il est médecin. Nous fréquentions l’école ensemble, docteur Sam Adair. Et c’est un homme tout simplement chic. Et je ne l’avais donc plus vu depuis environ quatre ans. Alors, cette semaine, j’ai eu un entretien d’environ trois ou quatre heures avec lui. Nous sommes allés à son bureau, et on a carrément verrouillé la porte, on est entré, et on a causé.

6          Et je lui racontais des choses que j’avais découvertes, dans le spirituel, sur les puissances démoniaques, et comment elles s’introduisent. Et lui me montrait l’aspect médical, ou le–le diagnostic de cela en termes médicaux. Et ce qui est surprenant, c’est de voir comment ça s’accordait parfaitement. Voyez?

7          Ainsi, il me parlait d’un certain mucus qui pénètre dans l’être humain, qui fait que l’homme n’a pas, on dirait, à développer le rhume, ni rien. Il a dit qu’on est donc... C’est juste un mucus qui pénètre là, et ensuite, le germe pénètre dans un certain mucus, ou plutôt ce mucus développe le germe.

8          J’ai dit: «Eh bien, si le mucus développe le germe, j’aimerais alors savoir l’origine de la vie du germe.» Voyez?

9          «Eh bien, bien sûr, ça, a-t-il dit, nous l’ignorons.» Il a dit: « On n’arrive tout simplement pas à l’expliquer.»

10        On attrape le froid, l’une ou l’autre chose, et ce germe-là prend différentes formes. Et cela a un moyen de se multiplier, et des germes sont sans cesse produits à partir de ce mucus, je pense. Un médecin ou quelqu’un, ici, ou une infirmière, comprendrait mieux cela.

11        Mais ce qui m’intéressait, et l’objet de mes réflexions, c’était ce germe lui-même, la vie à l’intérieur de cela; à l’intérieur de ce petit bouchon, semblable à–semblable à une petite capsule, ce germe, si petit que l’oeil humain ne peut le voir. Mais à l’intérieur de cette chose minuscule que seul un très puissant microscope peut voir, à l’intérieur de cela se trouve une vie. Qu’est-ce qui fait que cette vie s’empare tellement de ce mucus, s’en revêt et forme cette capsule (Voyez?), ou plutôt ce germe? C’est le diable. C’est une puissance spirituelle. Cela... Ils ne le pourront jamais. Ils ont même atteint la particule plus infime qu’une molécule, de sorte qu’ils arrivent à détecter cette petite cellule de germe, et autres, et la toute petite muqueuse de la membrane perceptible uniquement avec un puissant microscope. Et puis... Néanmoins, ils n’arrivent pas à voir au-delà de cela, car il n’y a aucune–il n’y a aucune–il n’y a aucune substance naturelle à saisir. Or, avant que je–je...

12        Il y a des gens debout là, Charlie. Je déteste vous voir là, David et Rodney, et vous tous. Vous prenez tellement bien soin de moi quand je vais chez vous, et tout, et je ne peux pas vous offrir un siège dans la maison de Dieu. Mais je vais vous dire ce que je vais faire. Veuillez venir ici même, ceci, c’est le mien. Montez carrément ici, et sentez-vous chez vous. Si l’un d’entre vous veut venir ici même prendre ce siège, qu’il monte jusqu’ici. Voyez? Vous serez plus que les bienvenus.

13        Et c’est un–c’est un bon siège. En fait, ce n’est pas à moi, c’est à M. Wilson, le directeur de l’école. Je l’ai depuis 1937; c’est donc le plus vieux.

14        Eh bien, il était ici il n’y a pas longtemps, il m’a dit: «Hé, tu as encore mes chaises?»

            J’ai dit: «Je m’y assois chaque soir avant de prêcher.»

            Et il a repris: «Eh bien, elles sont donc entre de bonnes mains, ne t’en fais pas.»

15        Maintenant, vous êtes les bienvenus. Il y a un siège ici. Et puis, si vous voulez venir ici où sont assis les petits enfants, eh bien, que cela ne vous embarrasse pas qu’on pense que vous êtes un petit enfant; en effet, vous ne l’êtes pas. Mais vous aimeriez le redevenir, mais... Et voici un autre siège ici, placé ici. Et il y en a un autre par ici. Ainsi donc, vous le pouvez, surtout certaines de ces dames-là qui sont on dirait debout là comme ça. Merci. Nous serions content si vous montiez carrément ici vous asseoir. Ce serait très bien. Faire passer simplement votre bras juste autour, vous pencher, alors que nous parlons.

16        Et, euh, Charlie, je pensais que tu montais de ce côté-ci. Je–je le taquinais tout le temps. Je lui ai dit: «Viens à l’église.» J’essayais de le faire venir ici pour me voir. Et puis, je lui disais: «Une fois que tu seras arrivé à l’église, je vais annoncer: ‘Ce matin, le docteur Charlie Cox va apporter le message’, et je me retire.»

17        Il a dit: «Je vais m’évanouir.» [Frère Branham rit. — N.D.E.] Avant que je l’ai donc appelé, il s’est sauvé dans la pièce arrière. Voyez?

18        Avant que nous commencions notre leçon, j’aimerais donc... Je me disais la semaine passée que le Seigneur nous a bénis. Avez-vous aimé le–le... [L’assemblée dit: «Amen.» — N.D.E.] Oh! la la! Cela est allé partout, au point que ce Message est même allé jusqu’en Californie. Hier soir, on téléphonait depuis la Californie, à ce sujet. Et–et maintenant, ils veulent faire des préparatifs pour avoir la même chose en Californie, au mois de janvier prochain. Voyez-vous?

19        Le Saint-Esprit semblait bien frapper du coup là même à Shreveport. Et ça va de lieu en lieu, comme cela. C’est juste un temps de révélation.

20        Ainsi donc, nous sommes très contents et confiants, voyant notre–notre propre groupe ici, ici au tabernacle, prospérer tellement grâce à cela, voyant la manifestation de Dieu parmi nous ici. Nous en sommes très heureux, et nous croyons que nous sommes à cette heure glorieuse où l’Eglise est appelée à sortir et où Elle est mise en ordre. Ainsi, on...

21        J’apprenais quelque chose que je... pendant que je parlais à mon bon ami, Dr Adair, pendant qu’on était assis dans son bureau. Alors, il a dit... il parlait de différentes choses concernant les rayons X, et il parlait de rhumes et de différents germes; il tendait le bras, prenait ses livres et m’y montrait ce qu’on avait découvert. Il a dit: «Je vais te dire quoi, Billy, a-t-il dit; contre un rhume, et contre bien des malades de ce genre, a-t-il dit, on n’a rien contre le rhume, a-t-il dit.»

22        J’ai dit: «Eh bien, j’ai toujours pensé que si on a la gorge irritée, on devrait utiliser quelque chose pour se gargariser.» J’ai dit: «Eh bien, après une prédication, ai-je-dit, quand je rentre à la maison, le soir, un peu enroué, ai-je dit, je–je me verse du Lavoris, et–et je me gargarise.» J’ai dit: «On utilise cela, ce bain de bouche, depuis des années et des années à la maison.»

23        Il a dit: «Une eau fraîche ferait tout aussi bien l’affaire.» Il a dit: «Bien entendu, ne crois jamais que tout ce avec quoi tu peux te gargariser peut donc–donc te faire du bien, car tout ce que cela peut faire, c’est te débarrasser des germes qui sont dans ta gorge. Ça n’atteindrait pas le système sanguin. Si c’est le cas, ça te ferait éclater la gorge et tu aurais une hémorragie. Tu vois? Et, a-t-il dit, non, ça ne peut pas t’aider.»

24        Ainsi, vous savez, le vieux dicton vaut encore: «Le médicament est fait pour être vendu, pas pour être consommé.» [Frère Branham rit. — N.D.E.]

25        Et, après tout... je vois ça même dans des livres sur la médecine, que j’ai à la maison. La médecine me–m’intéresse. Certainement. Tout ce qui peut aider le peuple de Dieu, aider les êtres humains, m’intéresse. Qu’il s’agisse de la paix, étudier les termes en rapport avec la paix, ça m’intéresse. Je suis intéressé par une–une communauté où il fait beau vivre. Je suis intéressé par de meilleures écoles où envoyer nos enfants. Je suis intéressé par tout ce qui est bon, sain et droit.

26        Et la médecine a réalisé de grandes choses. Je crois que Dieu s’en est servi dans bien des situations. Je pense, si nous étions plus sincères et plus consacrés à Dieu, qu’on aurait déjà des remèdes contre les cancers et tout le reste. Si seulement nous... Dieu a le remède, si seulement nous le Lui demandions. Voyez? Maintenant donc, je crois que la raison pour laquelle le vaccin Salk a été découvert, c’est juste parce que de petits enfants souffrent comme ils le font. Et Satan, cette méchante créature là, rendait ces petits enfants paralysés et tout. Et Dieu a donc permis qu’il soit découvert, pour être inoculé. Cela a rendu un grand service, et nous en sommes reconnaissants au Dieu Tout-Puissant. Nous sommes donc très reconnaissants de ce que Dieu nous a donc bénis par la...

27        Frère, où... Il ne rentre pas chez lui, n’est-ce pas, soeur Nash? Il–il... [Soeur Nash dit: «Non, non. Il va chercher quelques chaises. — N.D.E.] Oh! C’est bon. C’est bien. Oui, oui. Très bien.

28        Eh bien, pendant qu’on étudiait donc, après, je suis rentré chez moi, je me suis assis là dans une pièce et j’ai étudié longuement. «Qu’en est-il de tout ça?» Je vais vous dire une petite chose que j’étudie, afin que vous étudiiez avec moi. Et le Seigneur... quand nous étions dans la pièce. Je considère que c’était bien Lui, car j’ai eu de grandes expériences avec Lui.

29        Mais saviez-vous qu’après que le docteur m’eut dit cela et qu’il me l’eut montré dans des livres de la médecine les plus documentés et les plus récents... En fait, je sais qu’ils ont fait des découvertes récentes. Il y a un médecin assis ici, de toute façon, en train de m’écouter. Or, ceci, ils n’ont pas de médicament contre le rhume parmi les meilleurs et derniers produits. Ils condamnent la consommation de l’aspirine et autres; ça ne fait que calmer la douleur, c’est le... et tout, que provoque le rhume, ou la peine, mais ça n’a aucun effet contre le rhume. Ça vous aide toutefois à vous reposer. Et le meilleur médicament contre un rhume, c’est se coucher et dormir, se détendre; se coucher sur un lit, c’est pratiquement le meilleur traitement qu’on peut utiliser.

30        Eh bien alors, il me faut étudier. J’ai dit: «Docteur Sam, ce qu’il y a donc, le meilleur traitement contre un gros rhume, c’est se reposer?»

            Il a dit: «C’est le meilleur traitement contre tout.»

31        J’ai dit: «Eh bien, merci, docteur; c’est très bien.» Puis, nous avons parlé un peu plus longtemps. Et puis, je suis rentré chez moi. Et je lui ai dit... Il aime les lapins, les écureuils et autres; il n’a plus l’occasion de sortir. On avait l’habitude de beaucoup chasser ensemble quand on était jeunes, chasser et pêcher, ou surtout pêcher.

32        Ainsi donc, une fois rentré chez moi, je me suis mis à réfléchir! «Quoi?» Vous savez, je l’ai constaté. Observez les animaux. Prenez un chien quand il tombe malade, il va boire un peu d’eau, puis il va se coucher quelque part, il va se coucher. Eh bien, après, le lendemain matin, alors que j’étais allongé au lit, attendant les enfants (Ils se lèvent aux environs de six heures trente; ainsi donc, moi, je me lève vers quatre heures trente ou cinq heures), j’étais couché là, réfléchissant; une pensée m’est venue à l’esprit. Souvent, Dieu révèle des choses.

33        Vous savez, je n’enseigne donc pas ceci, mais saviez-vous que l’homme, au commencement, quand Dieu l’a créé, Il ne l’a pas créé pour qu’il reçoive un traitement médical? Il avait en lui de quoi se guérir. Il était équipé. Il était–il était lui-même sa–sa propre unité de soins. Voyez? Donc, la guérison ne provient d’aucune source extérieure; elle provient absolument de l’intérieur. Eh bien, nous pouvons recevoir une assistance extérieure, par exemple pour tuer les germes ou tout ce qu’il y a en nous. Ou nous pouvons nous couper les mains les uns les autres, faire l’ablation d’un–un organe, ou de quelque chose comme l’appendice, ou l’extraction d’une mauvaise dent, ou quelque chose comme cela, et l’arracher. Mais la guérison ne provient de rien de ce que l’on applique. La guérison ne vient que par la–la puissance qui est en vous, même qui reconstitue les–les tissus affectés à l’endroit d’où cela a été arraché. Ainsi donc, la guérison est en vous. Maintenant, écoutez attentivement, et réfléchissez-y bien maintenant avant de faire vos commentaires sur ceci.

34        L’homme, au commencement, quand il a été créé... Un homme est un dieu. Il est absolument un dieu, car il a été créé à l’image de Dieu, étant un fils de Dieu, et il est donc un héritier de tout ce que Dieu est. Et il lui a été donné un domaine, et ce domaine était la terre. Vous avez l’autorité sur les poissons, sur les oiseaux du ciel, et sur tout. Il pouvait juste parler, et tout lui obéissait, parce qu’il était en lui-même un–un dieu; pas le Dieu de l’univers, mais je veux dire le Dieu des cieux et de la terre; mais il régnait ou... sur son domaine. Il était un roi, un roi qui règne. C’était là l’homme. Et même en ce moment, dans son actuel état déchu, il a encore l’apparence...

35        Eh bien, il n’y a pas longtemps, on essayait de faire des croisements, et tout, pour conclure que l’homme est descendu des animaux inférieurs et–et que, par l’évolution, il s’est développé. Eh bien, vous voyez, ils en sont arrivés à démontrer la fausseté de leur propre théorie à force de tripoter avec la science.

36        Il n’y a rien que l’on puisse croiser pour l’amener à un stade plus élevé; cela rejoindra directement la case du départ. C’est impossible. Du maïs hybride, ou n’importe quoi, ça ne peut pas se reproduire. Ou comme je le disais l’autre jour, c’est le mu-... le–le–l’âne et la jument peuvent être accouplés et ils donneront un mulet, mais ce mulet ne pourra pas mettre bas un autre mulet. Cela doit directement retrouver ses origines. En effet, Dieu a dit: «Que chaque semence produise selon son espèce.»

37        Or, quand nous avons été créés, si... quand nous avons été créés... Récemment, ils ont découvert que votre corps est plein de lumière. La radiographie le prouve. La radiographie ne se fait pas à l’aide de sa propre lumière. C’est votre lumière qu’elle utilise. A votre naissance, vous avez quatre rayons lumineux. Peu après, disons, à vingt, vingt-cinq ans, un rayon disparaît; et à trente-cinq, un autre rayon disparaît, ou à quarante ans, un autre disparaît; et finalement, quand vous dépassez les soixante-cinq ans, environ, vous vivez de votre dernier rayon. Et chaque fois qu’on vous fait une radiographie, ces rayons sont détruits. C’est pourquoi on n’a plus... et vous mettez les pieds de ces enfants dans ces machines, car ça ne faisait que détruire les rayons lumineux de leurs petits corps. Et c’est de la lumière cosmique qui est en vous, dont vous êtes constitué, c’est plein de cellules de lumière. Eh bien, ça, c’est de la lumière cosmique.

38        Mais Dieu, C’est une Lumière différente. Mais cependant, Il est Lumière. Eh bien, je pense à la photo, il y a une grande preuve de ce que je suis sur le point de dire, que Dieu est Lumière. Et quand nous marchions dans la Lumière de Dieu, en tant que fils de Dieu... Dieu n’est pas de la lumière cosmique, mais la Lumière de Dieu a opéré à travers la lumière cosmique de nos corps, de nos cellules. Et nous devenons... A un moment donné, nous étions absolument de réels et authentiques fils de Dieu. Mais par après, quand il y a eu la chute...

39        Et puis, alors que le fruit de l’Esprit aujourd’hui, c’est l’amour, la joie, la foi, la longanimité, la douceur, la gentillesse, la patience; tout, surnaturel, on en est arrivé à ce que tout le corps, très graduellement...

40        C’est comme les algues que l’on trouve au fond de la mer. Il arrive souvent que les plongeurs se retrouvent sous ces algues, et avant de s’en rendre compte, ils y sont tellement enveloppés qu’ils ne peuvent plus s’en défaire.

41        Eh bien, c’est ce que le péché a fait à l’être humain. C’est ce que la froideur a fait à l’église. C’est ce que les communistes ont fait à la nation. C’est si perfide. Et puis, ça nous a enveloppés, dans le corps humain, et ça a fait sortir cette Lumière de Dieu, par les dénominations et le reniement de la foi, et tout; cela a fait sortir tous les rayons lumineux de la grande puissance de foi de Dieu (Voyez?) qui est en nous (qui devrait être en nous). Il a fait sortir tous ces rayons au point que l’on est devenu une loge. Et–et alors, maintenant, l’église se retrouve plus bas qu’une loge. La raison est toute simple: Les ténèbres font pression sur elle. Et on l’entendra même dire ça: «Ça ne se produit pas», niant ainsi que cela puisse se produire, les miracles de Dieu. Vous voyez?

42        Et pourtant, l’homme, quelque part au fond de lui, quelque part en lui, si seulement il pouvait laisser cette petite... tel que je l’ai illustré, pareil à un bouton. Quand un homme est sauvé, cette portion de lui est Dieu. C’est la petite Lumière qui entre pour vous faire cesser le mal. Eh bien, si vous arrivez à ôter toute la malice, l’envie, les querelles et l’incrédulité, cette petite lumière semblable à un bouton et la puissance de Dieu continueront à grandir, grandir, grandir, grandir, chassant l’incrédulité. Et ce n’est pas par des exhortations sur–sur l’exercice corporel que vous le faites. C’est par une vie sanctifiée, consacrée, que le Saint-Esprit exerce à travers vous, que vous le faites. J’En ai une portion, au point qu’il n’y a pas longtemps...

43        Combien se rappellent donc quand Elijah Perry a été ressuscité des morts ce matin-là? Y en a-t-il parmi vous par ici? Vous avez souvent vu cela dans le journal. J’ai vu soeur Wilson et d’autres lever leurs mains. Je me tenais là quand cet homme mourut. Il habite juste par ici maintenant; il vient à l’église de temps à autre et en témoigne.

44        Il est resté mort pendant plusieurs heures. Il était mort d’hémorragies pulmonaires, et il baignait complètement dans le sang. Et je me suis éloigné; je n’étais qu’un jeune prédicateur à l’époque. Et soeur Jackson était alors membre de l’église ici. Et–et la femme d’un prédicateur méthodiste (J’oublie le nom de son mari maintenant), Shafiner, frère Shafiner et soeur Shafiner, ils avaient un lien de parenté avec les Wiseheart. Et ils... Et elle était à son chevet. Alors, je m’en allais. Et il était tout couvert de sang au possible, quand il est mort. Ses yeux étaient révulsés, et sa gorge était enflée. Et on lui a couvert la tête d’un drap. Sa femme était là. Ils pleuraient, et on tentait de trouver des coordonnées pour appeler les proches.

45        Alors, je m’éloignais du lit, j’ai senti Quelqu’Un poser Sa main sur moi. Je pensais que c’était soeur Shafiner. Et quand je me suis retourné, il n’y avait personne près de moi. Et alors, j’ai commencé... Cela m’a quitté quand je me suis retourné.

46        Et frère Elij’ était étendu là, mort. On avait été de très bons copains; on pêchait ensemble à la rivière. Vous savez des tas de choses qu’on a faites ensemble. Et il avait eu des lésions là sur une voie ferrée, pendant qu’il conduisait un engin des terrassiers. Eh bien, ça lui a écrasé les poumons. Il saignait; il saignait et cela avait dégénéré en tuberculose, et il est mort.

47        Je m’en allais de ce côté-ci, et alors j’ai encore senti cette main. Je me suis retourné, elle ne s’est pas retirée de moi.

48        Et avant de me rendre compte de ce que je faisais, j’étais étendu sur l’homme, mes lèvres contre ses lèvres. J’étais tout aussi ensanglanté que lui, étendu là sur cet homme, implorant Dieu. Et j’ai senti quelque chose près de mon oreille; c’était sa main.

49        Et vous l’avez entendu ici même en témoigner. Voyez? Comment il... qu’il est revenu à la vie. Et il y a de cela environ vingt-cinq ans, ou peut-être trente, aujourd’hui, il habite là, au virage. Il est venu en témoigner ici à l’église il n’y a pas longtemps.

50        Eh bien, c’est quand on avait téléphoné de Canada et qu’on voulait une fois savoir. J’en avais témoigné au Canada aux tout débuts de mes réunions. Ils ont téléphoné à monsieur Coots, l’entrepreneur des pompes funèbres, demandant si un homme qui était mort était ressuscité à l’entreprise de pompes funèbres. J’ai encore des coupures de journaux. Il a dit, monsieur Coots a dit: «Nous avons entendu parler de plusieurs miracles qui se sont accomplis.» Et il a ajouté: «Monsieur Branham est un ami personnel, et toutes sortes de choses se sont produites. Mais nous n’avons enregistré aucun cas d’une personne qui serait ressuscitée des morts, en particulier à l’entreprise de pompes funèbres.»

51        Les Canadiens avaient mal compris cela. Alors, le lendemain, le... Oh! la la! De journaux avaient publié cela. Il y était dit: «Des centaines de personnes ont appelé de partout.» Et frère Perry lui-même, à propos, témoignait de la résurrection de son corps, là, contestant ce qui était publié dans le journal. Ainsi donc, on avait compris que ce n’était pas là. Cela s’était passé chez lui, et c’est là qu’il était étendu, mort. On ne l’avait pas encore transféré à l’entreprise de pompes funèbres.

52        Puis, l’autre soir, je lisais sur Irénée, je pense que c’était lui, ou saint Martin, qui s’était étendu sur le corps de son ami, après la pendaison de ce dernier. Là, c’est de l’histoire. Il s’était étendu sur lui durant une heure, et l’homme était revenu à la vie.

53        Et je vois dans la Bible là où Élie s’est étendu sur le corps d’un enfant mort, et celui-ci est revenu à la vie.

54        Je pense au petit garçon, là en Finlande, alors qu’il était étendu là, mort, au bord de la route.

55        Là, aussi, il y a environ deux mois, je pense, Gene, c’est paru dans le NewsWeek, ils ont lâché les guérisseurs divins, comme ils les appellent, à Londres. Ils les ont laissés aller prier pour les malades. Et il y a eu plus de guérisons qu’il y en avait par la médecine, environ quatre-vingts pour cent. Cette prière pour les malades...

56        Le Reader’s Digest a publié cela. Et ici en Amérique, ils... nous avons ça par écrit, ici dans–dans le Reader’s Digest, là où on avait mis la guérison divine en examen. Ils ont pris un frère qui priait pour les malades, et on a amené un malade, et on lui a demandé de prier pour le malade. Et puis, ils ont placé une feuille de plomb (Nous savons tous que la feuille de plomb réfléchit ce rayon.) sur... entre le malade et la main de l’homme qui priait, le frère, et on l’a placée comme ceci, et on en a pris une radiographie. Et de la main de l’homme émanait visiblement un reflet d’un rayon, de sa main, et cela allait vers l’autre homme. Vous voyez, c’est exact.

57        Dieu sait ce qu’Il voulait dire en disant: «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.»

58        L’imposition des mains de cet homme à un malade, et le rayon-X mécanique (Ô Dieu!) montrait la Lumière qui émanait de la main de l’homme. Comment les gens peuvent-ils être si stupides pour dire que la guérison divine n’existe pas? Voyez? Eh bien, même les appareils mécaniques (Ce sont des machines que–que la science a fabriquées.) sont–sont... Que serait-ce? Une réprimande contre leurs propres conceptions de ces églises qui disent: «La guérison divine et la puissance de Dieu n’existent pas.»

59        Qu’en est-il de l’homme de Chicago (On peut continuer sans cesse à en raconter.), comment il m’a placé devant ce compteur, là, et cette chose, comment cette aiguille indiquait cela, pareil à un détecteur de mensonge? Voyez?

60        Et cette autre femme, couchée, mourante, on lui en a fait subir le test. Ça a même fait tourner brusquement cette aiguille, avec suffisamment de puissance pour envoyer un message radio autour du monde, quarante fois, et démolir l’appareil. Cette sainte, mourante, qui faisait sa confession. On a branché cela sur un homme méchant qui se mourait; et alors cela a ramené l’aiguille dans le sens opposé de cet autre côté, assez pour démolir l’appareil. Cet–cet infidèle a dit: «S’il existe un Dieu et qu’Il est plein de bonté, digne de louange, qu’Il peut envoyer assez de puissance à cette machine pour faire tourner cela, il y a Quelque Chose dans cette femme, qui produisait cette puissance. Et si, sur un homme méchant, ça l’a projeté dans l’autre sens, a-t-il dit, que Dieu soit miséricordieux envers moi, un pécheur.» Et il a donné son coeur à Christ. C’est exact. Eh bien, la science le sait.

61        Et un jour, vous allez découvrir que Dieu est en vous (Voyez?), Dieu Lui-même dans l’être humain. Dieu en nous. Oh! Comme je remercie Dieu pour ces choses; si merveilleux!

62        Maintenant, avant d’aborder Sa Parole, et alors, prenons donc notre temps, car ce matin, nous allons prier pour les malades. Et je–je l’avais annoncé.

63        Et alors, quelqu’un demandait si nous serions ici dimanche prochain. Eh bien, nous... pour le moment, je ne sais pas. Je... ils... C’est à peine si  je–je peux le savoir à moins que le Seigneur le révèle. Si le Seigneur le permet, peut-être le dimanche soir prochain au... Je tire tous ces sermons du matin de mon précieux frère ici. [Frère Neville dit: «Amen. C’est très bien, frère.» — N.D.E.] Dimanche soir prochain, peut-être, si je suis là, le Seigneur voulant; en fait, je suis d’habitude là, à moins que j’aie un appel de l’extérieur. J’aimerais parler sur Nous avons vu Son étoile en orient et nous sommes venus pour L’adorer. Voyez, juste un message, un message de Noël.

64        Et maintenant, avant de nous approcher de Lui, ou de Sa Parole, approchons-nous de Lui par la prière. Tous ceux qui peuvent se lever, levons-nous juste un instant.

65        Notre Père céleste, nous sommes le peuple le plus heureux. En effet, nous devenons si heureux que nos–nos âmes humaines ne peuvent contenir cela. Il nous faut par moment pousser des cris et donner libre cours à la joie qui est dans nos coeurs par Jésus-Christ; de savoir qu’à l’heure où nous vivons, où tout est–est en état d’agitation; il y a cependant une Fondation sûre.

66        Et de voir des hommes intelligents qui s’étaient levés, dans les jours passés, et qui ont essayé de nier l’existence même de Dieu, grâce à leurs propres appareils mécaniques, il y a eu revirement, pour témoigner de la gloire de Dieu. En effet, Judas a lui-même été obligé de dire qu’il avait trahi le Sang innocent. Le centenier romain a dit: «Assurément, c’était le Fils de Dieu.» Ses propres ennemis ont eu à témoigner. Et nous avons vécu pour voir un âge scientifique toucher à son terme. Ils ne peuvent aller plus loin. Ils vont, à un moment donné, se réduire réciproquement en poussière. Et, toutefois, nous voyons que les appareils scientifiques même qu’ils ont inventés pour essayer de Te réfuter témoignent en revanche de Ta gloire. Comme nous T’en remercions, Seigneur! Accorde-nous aujourd’hui de nous souvenir que la Parole de Dieu ne faillira jamais.

67        Accorde-nous la foi, Seigneur. Comme je l’ai exprimé de manière très simple tout à l’heure, à propos de la puissance de Dieu qui est en nous et de toutes nos fibres qui sont Lumière de Dieu, et que les ténèbres et le péché ont obstrué en nous les petits pores de notre âme, accorde que le Saint-Esprit, ce matin, se répande dans notre être, imprimant la foi dans notre être intérieur, de sorte que tous nos corps et nos vies seront tellement saturés de la puissance de Dieu que les gens verront que Jésus-Christ vit dans Son Eglise. Accorde-le, Père.

68        Nous Te confions tout cela à présent et Te demandons de bénir ces quelques paroles que nous allons prononcer maintenant, pour essayer de commenter sur ce qui a déjà été écrit par l’un de Tes apôtres, le grand saint Paul. Et je prie, Père, que le Saint-Esprit prenne Ceci et qu’Il le laisse croître dans les coeurs des gens, pour leur donner la foi pour le prochain service de guérison. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen! (Vous pouvez vous asseoir.)

69        [Une soeur parle en langues, puis il y a un espace vide sur la bande. Un frère parle en langues, puis suit l’interprétation. — N.D.E.] Grâces soient rendues au Seigneur! Amen! Gloire à Dieu!

70        Dieu bien-aimé, nous Te remercions pour Ta bonté et Ta miséricorde. Nous Te remercions pour la manifestation de Ton amour et de Ta puissance, pour tout ce que Tu as fait pour nous. Nous sommes indignes des bénédictions que Tu nous donnes. Certes, je... A entendre ce message, c’était absolument le même message qui a été proclamé, et qui semblait inviter les pécheurs à–à Te chercher, car l’heure de la destruction est proche. Et, Père Divin, nous prions que s’il y a ici ce matin une telle personne ou de telles personnes, qu’elles comprennent que nous ne savons rien de ces choses, que c’est vraiment le Saint-Esprit qui parle par des lèvres humaines pour en donner l’interprétation; pour appeler les gens qui ont été ordonnés avant la fondation du monde à être des fils et des filles de Dieu, et qui ont peut-être longtemps fui ceci. Puissent-ils venir aujourd’hui, Seigneur, afin de Te connaître et de trouver ce refuge, car l’heure est proche. Accorde-le, Père, tandis que nous nous attendons davantage à Toi pour le message. Au Nom de Jésus-Christ. Amen.

71        Maintenant, s’il y en a qui ne comprennent pas peut-être exactement comment les messages sont proclamés de cette façon, deux d’entre eux, il est possible que l’un ait omis de dire une chose que l’autre a saisie; en effet, remarquez, l’autre a été bref, en peu de mots par rapport à l’autre, juste quelques mots peut-être que l’autre n’a pas dits. Et quand cela fut interprété, tout cela s’est fait sur la même lancée (Vous voyez?), cela a exprimé le message, un appel aux pécheurs que...

72        Il se fait donc que ces gens ne savent pas sur quoi j’allais parler. Personne ne le sait, nul au monde ne le sait jusqu’en ce moment, mais c’est la chose même dont je vais parler. Voyez? C’est vrai. Maintenant, prenez avec moi 1 Corinthiens, chapitre 14. C’est bon de–de vous dépouiller simplement–simplement de toute l’incrédulité, pour que le Saint-Esprit puisse entrer et suivre Sa voie, vous savez, et passer directement dans vos fibres et–et contrôler, et–et contrôler votre vie.

73        Maintenant, vous qui notez les Ecritures... J’ai remarqué l’autre jour que ce genre d’enseignement aide beaucoup. Ainsi, j’ai ici trois ou quatre pages sur les Ecritures et autres, sur quoi je vais parler ce matin, que vous pourrez noter, et identifier les références. Je les ai notés ici, afin que je ne les oublie pas.

74        Maintenant, au chapitre 14 de 1 Corinthiens, les versets 1 à 8. Ecoutez attentivement maintenant:

          Recherchez la charité. Aspirez aussi aux dons spirituels, mais surtout à celui de prophétie.

          En effet, celui qui parle en langues ne parle pas aux hommes, mais à Dieu, car personne ne le comprend, et, l’esprit... c’est en esprit qu’il dit des mystères.

          Celui qui prophétise, au contraire, parle aux hommes, les édifie, les exhorte, les console.

          Celui qui parle en langues s’édifie lui-même; celui qui prophétise édifie l’Eglise.

          Je désire que vous parliez tous en langues, ... encore plus que vous prophétisiez. Celui qui prophétise est plus grand que celui qui parle en langues, à moins que ce dernier n’interprète, pour que l’Eglise en reçoive de l’édification.

          Et maintenant, frères, de quelle utilité vous serais-je, si je venais à vous parlant en langues, et si je ne vous parlais pas par révélation, ou par connaissance, ou par prophétie, ou par doctrine?

          Si les objets inanimés qui rendent un son, comme une flûte ou une harpe, ne rendent pas des sons distincts, comment reconnaîtra-t-on ce qui est joué sur la flûte ou sur la harpe?

          Et si la trompette rend un son confus, qui se préparera au combat?

75        Maintenant, j’aimerais, une fois à la maison, que vous continuiez à lire le chapitre entier là, car il y a plusieurs versets là-dessus, quarante versets dans ce chapitre. Et j’aimerais que vous les lisiez une fois rentrés à la maison. Ils expliquent les dons.

76        Maintenant, si je devrais intituler ce matin mon... ce que j’aimerais dire, c’est: Le Son confus

77        Eh bien, Paul, ici, parlait du–du parler en langues. S’il n’y avait pas d’interprète, qui aurait su ce que ces personnes disaient tout à l’heure? Personne ne l’aurait su. Mais il parle uniquement à Dieu. Bien sûr l’esprit de la personne proclame–proclame la Parole et c’est glorieux pour lui, il en est béni. Il est dit: «Il s’édifie lui-même.» En effet, il se réconforte du fait que Dieu parle par lui. Mais si un interprète rend cela (Voyez?), si un interprète suit après cela, alors ça n’édifie pas seulement la personne, ça édifie toute l’église, ça apporte à tout le monde la–la Parole du Seigneur, grâce à cela.

78        Eh bien, il est dit: «S’il y a un prophète, alors, le prophète parle de sorte que toute l’assemblée...» En fait, un–un prophète, c’est quoi? Un révélateur divin de la Parole divine, celui qui a la révélation de la Parole à donner aux gens. Alors, cela édifie tout le monde. Vous voyez?

79        Eh bien, l’homme qui parle en langues peut parler en langues. Et il est aussi interdit qu’une personne parle en langues à l’église, à moins qu’il y ait un interprète. C’est donc la raison pour laquelle il nous est permis ici de parler en langues, car nous avons maintenant trois ou quatre interprètes dans l’église, maintenant même dans cette église, des interprètes des langues inconnues. Par conséquent, s’il n’y avait pas d’interprète, nous ne leur permettrions donc pas de parler dans l’église. Toutefois, ils le peuvent à la maison quand ils prient, parce qu’ils s’édifient eux-mêmes, parce que l’Esprit est sur eux, jusqu’à ce qu’ils essaient... Les gens pensent en fait qu’ils disent ce qu’on peut comprendre; mais ils ne savent pas ce qu’ils sont en train de dire. Ils se lèvent simplement par exemple et se mettent à dire quelque chose, et ils ne peuvent donc pas arrêter cela, ça continue simplement–ça continue simplement à couler. Et ils pensent que vous comprenez ce qu’ils disent; c’est un–un état subconscient.

80        C’est juste comme quand on est sur l’estrade, comme aujourd’hui, vous allez le remarquer quand les discernements s’exercent. Il y a plusieurs personnes ici que je n’ai jamais vues de ma vie. Surveillez le Saint-Esprit quand Il descendra, Il commencera à parcourir l’assemblée et à dire à ces gens qui ils sont, ou d’où ils viennent, ce qui est arrivé, et leur maladie. Tout cela (Voyez?), qu’est-ce? «C’est la Parole de Dieu, plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu’à atteindre la moelle de l’os, et discernant même les pensées et les intentions du coeur et de l’esprit». Vous voyez? Vous voyez? C’est la Parole de Dieu.

81        Or, Paul a dit: «Si vous tous, vous parlez en langues, et qu’il n’y ait pas d’interprète, et que survienne un homme du peuple, ne dira-t-il pas que vous êtes fous, insensés?» Le mot insensé signifie fou. Et alors, il dira: «Ils sont insensés. Mais s’il en est un qui peut prophétiser et révéler les secrets des coeurs, alors tous tomberont sur leur face et diront que Dieu est au milieu de vous.»

82        Maintenant, s’il y a un interprète... Une interprétation d’une langue inconnue est une prophétie. Voyez, c’est en soi une prophétie, car c’est le Saint-Esprit qui parle et donne l’interprétation. Cela annonce à certaines personnes certaines choses à faire, et–et tout. Et chacun sait que lorsque ça vous saisit, vous savez à qui Il s’adresse.

83        Ainsi donc, c’est–c’est bien de voir que ce n’est pas seulement... Ce ne sont pas des êtres humains, c’est Dieu dans les êtres humains qui–qui accomplit Son oeuvre. Nous remercions certainement beaucoup le Seigneur pour ces choses.

84        Et je commence à remarquer que ça a commencé à se répandre dans  d’autres endroits, d’autres églises. Charles Fuller. Combien ont déjà suivi l’émission The Old Fashioned Revival Hour [L’heure du Réveil à l’Ancienne Mode]? Un grand homme. Il a dit, il n’y a pas longtemps, il a dit: «Nous avons le parler en langues, l’interprétation, ici même.» Là même à Long Beach. Et c’est vrai. J’ai prêché là même avec lui, à plusieurs reprises. Donc, ils ont l’interprétation, et cela fait que chacun reste bien tranquille.

85        Voyez, le problème en est que nous n’honorons pas ces dons. Et puis, des fois, si un don opère de travers et qu’il vous faille corriger... Non pas–non pas...Voyez, c’est–c’est Satan qui cherche à les déchaîner. S’il ne peut pas vous cacher une vérité, il prendra cette même vérité et vous amènera à vous déchaîner avec. Voyez? C’est exact. Il en fera du fanatisme. Voyez?

86        Eh bien, nous essayons de garder cela dans l’ordre ici. Ça–ça s’est mis à se manifester de nouveau dans notre église, pour la première fois depuis des années. Donc, nous gardons cela dans l’ordre pour leur faire savoir que... Quand donc, souvent, comme en ce moment même, il y a peut-être quelqu’un qui sent venir un parler en langues, voyez, en ce moment même, mais il est censé garder le silence. Voyez, je suis... C’est moi qui ai maintenant la Parole. Voyez? Voyez? Voyez? Et ensuite, après tout ceci, à la fin de ceci, l’appel à l’autel ou quoi que ce soit, après que ceci est terminé ici, alors un message peut être donné. Vous voyez? L’orateur peut parler après qu’il a terminé, ou avant ce temps.

87        Eh bien, si cela continue, que les dons opèrent, alors nous disposerons d’un temps particulier pour qu’ils se rencontrent. Et ils se rencontreront, des heures avant donc le début du service, et ils s’assiéront ensemble, prophétiseront et parleront en langues; puis ces messages seront mis par écrit et déposés ici même à la chaire.

88        Quand le pasteur viendra, il s’avancera directement et dira: «AINSI DIT LE SEIGNEUR: Il arrivera, dans deux jours, que frère Jones, qui habite ici près de la voie ferrée, déménagera, car un wagon déraillera et détruira sa maison.» «AINSI DIT LE SEIGNEUR: Il y aura une femme ici, ce matin, du nom d’Unetelle. Elle vient de tel endroit. Elle avait volé quelque chose quand elle était une jeune fille. Frère Branham ou frère Neville, ou quelqu’un d’autre, lui imposera les mains, après qu’elle aura confessé sa faute et réparé cette chose, elle sera guérie. Son nom est Unetelle.» Vous voyez? Et le pasteur, avant que le service commence, lira tout ça. C’est exact. Vous voyez?

89        Eh bien, cela est parmi nous maintenant, à ses faibles commencements. Voyez? C’est à ses faibles commencements. Alors, vous voyez, il n’y a rien qui pourra se glisser. Voyez? Vous voyez, le diable s’infiltrera et commencera simplement par la chair; alors, s’il y parvient, il mettra en pièces l’église entière comme cela, voyez; déverser tout bonnement dans le fanatisme et être tout le temps emballé. Vous voyez? Mais l’Eglise reste dans l’ordre. Voyez?

90        Ainsi donc–ainsi donc, si une–si une personne qui a un don est, par après, corrigée par l’Ecriture, et–et  qu’elle s’emporte à cause de cela, cela montre que ce n’était pas un don de Dieu. En effet, tout don de Dieu respectera la Parole...?...

91        C’est pourquoi la guérison divine est telle qu’elle est. Voyez? Et le Saint-Esprit respecte la Parole, le Saint-Esprit, le baptême dans le Nom de Jésus-Christ. Le Saint-Esprit en vous respectera cette Parole, car c’est Lui qui L’a écrite, Lui-même (Voyez?), et Il est en vous. C’est cette Lumière de Dieu qui est en vous, qui honorera la Parole, où que ce soit. Cela va–cela va... L’esprit des prophètes (ceux qui prophétisent, les dons) est soumis au prophète (Vous voyez?), qui est le révélateur divin de la Parole. Eh bien, ne sommes-nous pas heureux de voir ces choses à notre époque? [L’assemblée dit: «Amen.» — N.D.E.]

92        Aujourd’hui, c’est un jour d’incertitude. Il est dit ici: «Si la trompette rend un son confus, qui se préparera au combat?» Ici, évidemment, Paul, en parlant, s’adressait à ces Corinthiens. Et beaucoup d’entre eux étaient des soldats, en ces jours-là, dans l’armée romaine. Eh bien, «si donc la trompette rend un son confus, qui se préparera?» Il vous faut avoir la certitude en tout. Nous devons savoir si c’est correct ou non.

93        Et aujourd’hui, nous vivons en un jour de grande incertitude. Nous en sommes tous conscients. Un jour d’incertitude, et un temps d’incertitude. Je ne pense pas qu’il y ait déjà eu un temps... Depuis le commencement du temps dans le jardin d’Eden, quand le péché est intervenu, le cours de l’éternité a cédé au temps. Je ne pense pas qu’il y ait jamais eu un temps d’une incertitude aussi grande qu’aujourd’hui. En effet, il ne reste même pas un seul espoir dans le monde naturel aujourd’hui.

94        Eh bien, vous dites: «Bon, j’ai vu des périodes, et j’ai lu dans l’histoire quand les guerres étaient partout sur la terre.» C’est vrai.

95        Mais jamais à aucun temps la terre entière ne s’est retrouvée dans un état où elle peut voler en éclats en une seconde (Voyez?), une destruction d’une telle ampleur. Il aurait fallu des semaines et des heures, et tout; aujourd’hui, il faut une minute, et peut-être pas autant. Il suffit d’appuyer sur un bouton, et elle est détruite. C’est tout. Et ils n’ont pas... Cuba seul peut le faire. Il n’a pas à le faire, un tout petit peu... Haïti peut le faire. N’importe quelle petite nation, qui le veut, peut embraser complètement le monde et le faire sortir de son orbite, n’importe quand ils voudront. Vous voyez? Un seul fanatique suffit pour le faire, alors qu’il y en a des millions et des millions autour du monde pour faire cela.

96        Observez un cas de suicide qui s’est produit là récemment, et ça a eu lieu là, tellement il était possédé par le diable, juste là où se trouvent ces grands silos; il suffit d’appuyer sur un bouton, et c’est parti. Et aussitôt qu’il... que cela part, ça apparaît dans les écrans-radars des autres, et ils appuient sur le leur. Et nous y sommes (Vous voyez?); c’est tout. En effet, ils ont donc chacun son écran exposé, surveillant; dans les mers, des sous-marins; sur les îles, partout, c’est installé çà et là; là-haut au pôle Nord, en bas, au pôle Sud, partout, avec ces grands écrans. Que quelqu’un appuie sur le bouton, c’est tout ce qu’il leur faut; et ici, leur bouton est appuyé pour tous les autres aussi, c’est appuyé, et appuyé, et appuyé. Et qu’arrivera-t-il? Mais, oh! le... Pensez-y, cela pourrait arriver avant la fin du service de ce matin.

97        Mais, rappelez-vous, avant que cela se produise, Dieu a promis de venir pour Son Eglise. Il a promis de venir, nous ne savons donc pas à quel moment Il pourra venir. Que c’est glorieux! Et Il apparaîtra à tous ceux qui aiment Son avènement. Ne vous... N’aimeriez-vous pas Le voir ce matin? [L’assemblée dit: «Amen.» — N.D.E.] C’est comme ce petit cantique que nous chantons: «Je désire Le voir, contempler Sa face, là, chanter pour toujours Sa grâce qui sauve.» Quand ce sera terminé pour toute vie, et que les troubles et les peines se seront envolés pour la dernière fois, alors nous Le verrons. Et nous nous tiendrons là, jeunes, immortels, pour toujours dans Sa Présence; là, il n’y aura plus jamais de péché, ni de maladie, ni de chagrin, ni de peine. Quand tout le temps se sera fondu dans l’éternité, que–que c’est merveilleux!

98        Et alors, que vous fait faire cela? J’aimerais travailler maintenant pour amener tout le monde dans cette position autant que possible pour l’Enlèvement. J’aimerais...

99        Je me suis reconsacré moi-même, et j’ai–j’ai promis à Dieu que je tâcherai de le faire dans une double portion. Je–j’ai fait tout ce que je sais faire. Et je souhaiterais seulement redevenir–redevenir un jeune homme de dix-huit, vingt ans, et connaître ce que je connais; je pourrais rester debout peut-être un peu plus longtemps, ou organiser un peu plus de visites, ou quelque chose comme cela, pour le Royaume de Dieu.

100      Vous jeunes gens, ce matin, vous qui êtes jeunes, qui avez encore beaucoup de vigueur de la jeunesse en vous, et qui n’avez pas de liens de famille et autres, puisse Dieu vous accorder d’avoir la vision...?... de voir l’heure dans laquelle nous vivons.

101      L’incertitude. Examinons maintenant quelques-unes des choses incertaines en ce temps d’incertitude. Il y a de l’incertitude en ce qui concerne... Comme nous parlions de la guerre, il y a de l’incertitude dans la voix des seigneurs de guerre. «Nous ne pouvons pas comprendre.» Ils ne savent pas. Vous allez, et ils tiendront de grandes réunions, et tout, et ils n’arrivent simplement pas à s’unir. Il y a de l’incertitude. Ils ne savent pas. Ils–ils ne savent pas ce qui va se passer. Tous les grands stratèges et autres, qui étudient la guerre, et les chances de succès, et comment ceci se terminerait, ils n’ont pas de réponse ce matin. Il n’y a personne qui en a. Ils ne peuvent simplement pas vous le dire.

102      Eh bien, la science, après toutes les grandes inventions qu’ils ont pu concevoir, toutes les grandes stratégies qu’ils ont pu mettre en oeuvre, toutes les manoeuvres scientifiques, et les interrupteurs qu’ils ont pu actionner, sur leurs appareils scientifiques, et–et avec leurs grands cerveaux, et les maîtres à penser, et quand ils se sont réunis en cette heure, ils ont déclaré une seule chose: «Il est minuit moins trois.» C’est ça leur réponse.

103      Ou: «Pourrions-nous survivre à cela? Pourrions-nous creuser, passer par-dessus, aller assez profondément sous terre pour échapper à ces bombes, et survivre en tant que nation?» On ne le peut certainement pas. Son explosion creusera dans la terre un trou d’un–d’un mile [1,608 km]. Et si on était à dix miles [16 km] sous la terre? Si c’était possible, on serait dans la lave. Mais, et si vous... Si vous arriviez à descendre à cette profondeur, la secousse vous briserait tous les os du corps.

104      Il n’y a pas de sortie, par le bas. La sortie est par le haut. Oh! Je suis si heureux d’avoir la solution. Pas vous? Un Son qui est certain...

105      Cette trompette qui dit de creuser et d’aller dans des cavernes... Eh bien, j’ai appris qu’on déplace tout le gouvernement et tout ici près de Fort Knox, et là près de Mammoth Cave, et il y a là un endroit qu’on aménage, de sorte que quand le... s’il survient quelque chose du genre une petite dispute aboutissant à une guerre ou quelque chose comme cela, ils vont amener le gouvernement à l’intérieur de ces cavernes. La Bible ne dit-Elle pas clairement qu’ils se cacheraient dans les cavernes et tout, et qu’ils feraient cela? Exactement. Voyez, ils n’ont pas de solution. Donc, notre grand régime de force militaire n’a pas de solution.

106      Eh bien, autrefois, nos hommes de science disaient: «Nous pouvons fabriquer un engin performant. Nous avons de meilleures armes que l’Allemagne. Nous avons des–des–des gens très courageux et très forts, de ce dynamisme des Yankees, qui jouent des tambours, soufflent dans des clairons, et les drapeaux flottent, et crient de petits hourras, et tout comme cela. Oh! Nous pouvons aller là-bas. Et nous avons du courage pour le faire.» Vous n’avez pas à aller là-bas. Cette fois-ci, on va l’avoir chez nous. Voyez?

107      Il suffit qu’un seul homme enfonce le bouton, c’est tout ce qu’il faut. Un seul homme, il ne faut pas un millier de soldats bien entraînés, il suffit qu’un seul homme insensé, possédé du diable, enfonce ce bouton. Et c’est suffisant. Voyez.

108      Ils n’ont donc pas de solution; aussi, à quelle conclusion ont-ils finalement abouti? «Eh bien, il est minuit moins trois minutes.»

109      J’ai–j’ai un film là-dessus. Il a été prêté à un ami médecin pour l’instant, Minuit moins trois. Eh bien, ce film a été réalisé il y a environ cinq ans, quand les Juifs ont commencé à rentrer en Palestine. Et ce film les montre marchant, ramenant des vieux infirmes sur leur dos. Et on allait çà et là, les interviewant. Et alors, quand on les a interrogés, disant: «Retournez-vous dans votre patrie pour–pour y mourir?»

110      Ils ont répondu: «Nous revenons pour voir le Messie.»

111      Et qu’a promis le prophète? Plusieurs d’entre vous ont lu le magazine Look, Life et les autres. On y a publié la photo de ces avions qui les ramenaient de différents endroits; de là en Iran, et de ces endroits où ils étaient. Et alors, ils refusaient d’embarquer dans ces avions. Jamais ils... Voyez, ils labouraient encore avec de vieilles charrues de bois comme ils le faisaient il y a deux mille cinq cents ans, lors de leur dispersion par l’Empire romain. Et ils–ils refusaient d’embarquer dans ces avions.

112      Mais un vieux... leur vieux sacrificateur s’est avancé là, un de leurs vieux rabbins, leurs maîtres, il s’est avancé là et a dit: «Dieu ne nous a-t-Il pas dit qu’un jour nous rentrerions dans notre patrie sur les ailes d’un aigle?» Ils ont abandonné leurs charrues, ils sont montés à bord de l’avion et sont retournés dans leur patrie, sur des ailes... E–Esaïe avait vu cela, mais ils ne savaient pas ce que c’était. Cela avait juste l’air d’un oiseau qui volait. Il avait vu Israël revenir, agité de part et d’autre. Et vous qui voyagez par avion, vous savez ce que c’est. On est agités, de part et d’autre, juste comme un oiseau qui vole, sur leur chemin de retour à la maison.

113      Ils ont débarqué là et ont dit: «Eh bien, où est le Messie?» Ils voulaient Le voir. Et je vous assure, quand vous voyez les Juifs revenir comme cela, c’est l’horloge de Dieu. Nous sommes à la fin.

114      Eh bien, c’est tout récemment qu’ils sont devenus une nation, qu’ils sont devenus tout ce qu’ils sont. Et ils ont leur propre monnaie, leur propre armée, et tout; ils ont tout ce qui leur est propre. Ils sont de nouveau une nation. Voyez? Oh! Quelle belle pensée! J’ai un passage des Ecritures en rapport avec cela un peu plus loin, oui, là-dessus.

115      Eh bien, la guerre, c’est incertain, on ne sait à quel moment. Ecoutez la radio. Vous les entendez dire à la radio: «Amassez beaucoup de vivres dans votre sous-sol. Faites une provision suffisante d’eau, à cause des retombées radioactives. Ayez avec vous une radio là-dedans, et ne vous en faites plus.» Je vois dans des magazines des annonces sur de petites constructions où entrer, pour s’installer au sous-sol ou dans la cour, ou quelque chose comme cela. Si les–les bombes commencent à tomber et que vous surviviez à cela, les retombées radioactives vous atteindront de toute façon; vous n’avez donc pas à vous en faire. S’ils larguent une bombe sur la Nouvelle-Orléans, les retombées radioactives vont vous atteindre ici. Cela importe donc peu; vous mourrez de toute façon. «Abritez-vous y donc, et vous vivrez un peu plus longtemps», ou quelque chose comme ça. Oh! la la! Je ne crois même pas ça. Je crois que c’est du non-sens même que d’essayer. C’est exact.

116      Mais l’Eglise n’a pas à s’en faire. Vous ne serez pas ici à ce moment-là, de toute façon. Ça, c’est une chose sûre. Vous n’y serez pas. En effet, la certitude de la Parole de Dieu nous l’a promis.

117      Eh bien, prenons donc quelque chose d’autre d’incertain, il y en a beaucoup. Les emplois sont incertains. Vous ne savez pas à quel moment. Aujourd’hui, vous travaillez, et demain, vous ne savez pas. C’est simplement une incertitude. Vous serez... avez un bon emploi, pensez-vous; et le lendemain, le patron vient vous remplacer par un autre, et il vous jette à la porte et met un autre à votre place. Il y a donc de l’incertitude pour l’emploi.

118      Considérons aussi la vie de foyer, c’est incertain. Je vous assure, je ne sais pas ce qui est arrivé à la force morale de nos femmes. Le divorce est en recrudescence. Eh bien, c’est vraiment terrible. Et vous voyez, les tribunaux de divorce sont pleins de monde, les filles et les garçons se marient et vivent ensemble, et ils ont deux ou trois enfants, ou quelque chose comme cela. Puis, ils se séparent et partent épouser un autre, et épouser un autre, et épouser un autre, et épouser un autre, et épouser un autre. Et leurs foyers...

119      J’étais dans un foyer pauvre, vraiment pauvre, l’autre soir. L’homme disait: «Je vais te dire quoi, je–je ne sais pas du tout, a-t-il dit, je ne sais pas du tout comment faire pour nouer les deux bouts.»

120      J’ai regardé tout autour. Il travaillait. Il avait là une brave petite femme tout aussi loyale, et quatre ou cinq petits enfants au visage sale qui étaient dans la pièce. Alors, j’ai dit: «Dis donc, vous êtes un millionnaire.»

121      Et il a dit: «Hein? Eh bien, Frère Branham, je ne voudrais pas vous contrarier.» Il a dit: « Frère, je n’ai pas une pièce de dix cents.»

122      Et j’ai dit: «Mais vous avez quelque chose que l’argent ne peut pas acheter.» J’ai dit: «Vous avez une brave petite femme, ici, qui ne possède peut-être pas deux robes à elle.» Et–et si elle en avait, c’est que quelqu’un les lui avait données. En effet, cet homme ne travaillait qu’une journée de temps en temps. Et j’ai dit: «Regardez ça, mais elle est tout aussi loyale que possible.» J’ai dit: «Il y a plus d’un millionnaire, ce soir, qui donneraient chaque sou qu’ils ont pour trouver à la maison, à leur retour, une femme comme elle.» Exact. J’ai dit: «Sa femme est sortie avec un groupe d’hommes quelque part, ou dans un bar quelque part, jurant, chantant, fumant, rôdant la nuit, et tout comme cela. Et pourtant, il l’aime, mais regardez ce qu’il a. Toute sa vie est rattachée à cette femme, et voyez sa conduite.»

123      Et vice versa, une femme vis-à-vis d’un homme. Voyez, il–il n’y a pas de différence. Le temps est maintenant arrivé où tout, tout n’est plus que–qu’une agglomération de péchés. Une petite femme, chez elle, essayant de prendre soin de ses enfants, et son mari, quelque part dehors, buvant et faisant des histoires, courant avec d’autres femmes. Que donnerait-elle, si elle avait des millions de dollars, pour voir ce mari-là devenir un vrai homme? Il n’y a qu’un moyen par lequel cela puisse jamais se faire: Jésus-Christ est la Solution. Il n’y a rien qui puisse faire du bien. C’est à la fin des temps. C’est Christ, et Lui seul.

124      Eh bien, puis j’ai dit: «Combien de petits pères, qui se promènent aujourd’hui avec des millions de dollars, donneraient tout ce qu’ils ont pour voir leur petit enfant handicapé moteur être tout aussi en bonne santé que l’est le vôtre ici ce soir?» Voyez? Il s’est mis à me regarder.

125      Et j’ai dit: «Ecoutez. Vous avez dit que vous aviez de la saucisse, des haricots et du pain, que vous avez retiré votre argent cet après-midi, et que vous avez du pain et des haricots pour nourrir vos enfants ce soir.» J’ai dit: «Ils ont tous de bons estomacs et peuvent en manger. Et vous aussi. Combien de mul-...»

126      «Que dirait John D. Rockefeller? Il donnerait sans broncher un million de dollars pour pouvoir manger un plat de chou.» Et j’ai ajouté: «Vous avez dit que vous étiez près de la fenêtre ce matin, et qu’un vent froid entrait. Lui, il est assis dans un palais quelque part. (Voyez?) Mais cependant, s’il avait eu à s’asseoir là et manger un plat de chou, par ce vent froid qui souffle, fourrer un morceau de papier dans la fissure, ai-je dit, John D. Rockefeller aurait donné un million de dollars pour pouvoir manger une fois comme vous pouvez manger à tout moment.»

127      «Combien d’aveugles, avec une canne à la main, mendiant dans la rue, donneraient chaque sou qu’ils ont pour avoir vos yeux?» Voyez, on ne peut pas comparer les choses qui sont de vraies richesses avec les choses qu’on appelle la richesse.

128      Maintenant, pardonnez-moi, membres d’église. C’est pourquoi nous essayons de dire, ce matin, que vous ne pouvez pas comparer votre grosse église et vos hauts clochers, et autres à l’amour de Dieu qui est dans notre coeur, par le Saint-Esprit qu’Il vous donne. Ça n’a pas de commune mesure. Ces choses viennent de façon surnaturelle. Vous pouvez penser peut-être que nous sommes drôles, car vous les entendez parler en langues et interpréter, et les gens pleurent, hurlent et poussent des cris. Je préférerais avoir ça plutôt que tout... Je préférerais être un pasteur d’une vieille petite église délabrée comme celle-ci, où la puissance de Dieu se mêle aux gens, où l’Eglise se rassemble avec ces choses comme cela, que d’avoir la plus grande cathédrale qui soit dans le monde entier pour y prêcher, avec une bande de soi-disant chrétiens tièdes, froids, de nom, qui surveillent tous les mots que vous prononcez. Et vous ne pouvez pas prêcher par inspiration; il vous faut y aller comme ça, veiller sur chaque juge, chaque docteur et tout ce qui s’y trouve, pour éviter de dire des choses qui les blesseraient, parce que ce sont eux qui apportent une grande contribution à l’église. Je prendrai le chemin avec les quelques méprisés qui suivent le Seigneur. Voyez? Vous ne pouvez pas évaluer cela. Il n’y a pas moyen de le faire.

129      Par conséquent, aujourd’hui, l’homme riche, c’est celui qui est en Christ. Eh bien, disons que vous avez une bonne vue, une bonne santé, beaucoup d’argent et tout le reste, mais cependant, vous n’avez pas–n’avez pas Christ, vous êtes perdu. Vous êtes malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu, et vous ne le savez pas. Voyez? C’est ce qu’était l’âge de l’Eglise de Laodicée. Vous pourriez être membre de la plus grande Eglise de la nation, vous pourriez être membre de plus grandes dénominations, mais être néanmoins perdu au possible. Voyez? Donc, l’homme riche, c’est celui qui est en Christ. C’est exact.

130      Donc, l’incertitude de la vie au foyer, l’incertitude de l’emploi, l’incertitude de la guerre, l’incertitude des églises.

131      Etant donné que l’on a touché à cela, parlons-en quelques minutes, de l’incertitude de la vie d’église. Ils... Vous–vous–vous, simplement, c’est à peine que vous pouvez l’évaluer; en effet, il n’y a pas moyen de comparer une expérience du Saint-Esprit avec une affiliation à une église. Voyez? C’est impossible. Il n’y a aucun–il n’y a aucun moyen d’acheter ce Saint-Esprit. Il vient comme un don gratuit de Dieu. Il vient à quiconque veut. Vous–vous dites: «Va-t-Il venir uniquement aux pentecôtes?»

132      La Pentecôte n’est pas une dénomination. C’est ce qu’ils ont essayé d’en faire, mais vous ne pouvez pas faire de Dieu une dénomination. La Pentecôte est une expérience que tout croyant peut avoir. Voyez? C’est pour les baptistes, les catholiques; les Juifs, les Noirs, les Blancs, les Bruns, les Jaunes, les Rouges; pour toute couleur, tout credo, tout; que vous soyez riche ou pauvre, que vous n’ayez rien, que vous ayez beaucoup; que vous soyez du niveau moyen ou qui que vous soyez. Vous, c’est pour vous.

133      Et c’est pour vous une mesure de l’amour et de la miséricorde de Dieu que d’accepter cela. Ça ne vous coûte rien. Tout ce que cela vous coûte, c’est juste Lui abandonner votre vie et recevoir Cela. Comme c’est simple! Prenez simplement tout... Oubliez simplement tout ce que vous ayez jamais connu, et abandonnez-vous simplement à Lui. Et c’est comme ça qu’Il vient, c’est juste recevoir, en Le recevant de cette manière.

134      Les dénominations, ça ne peut pas simplement être Cela. La dénomination émet un son confus. Eh bien, permettez-moi juste–juste–juste de vous démontrer que ce–c’est un son confus. Vous allez à telle dénomination, ils disent: «C’est nous qui L’avons; les autres ne L’ont pas.» Très bien, vous allez à telle autre dénomination. Vous allez à l’autre: «C’est nous qui L’avons, eux ne L’ont pas.» Voyez, chaque dénomination... Il y a neuf cents différentes églises dénominationnelles. Neuf cent soixante-neuf, je pense, pour être précis, selon les statistiques. Neuf cent soixante-neuf différentes églises dénominationnelles, et chacune déclare que l’autre est dans l’erreur et que c’est elle qui a la chose. Donc, comme son, c’est certainement très confus. Voyez, neuf cent...

135      Mais quel son Ceci produit-il? «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Il n’y a pas d’incertitude en Cela, n’est-ce pas? Voilà comment évaluer cela. Voilà comment découvrir où se trouve la Vérité. Voyez?

136      Vous dites: «Nous les méthodistes, nous l’avons. Nous les baptistes, nous l’avons. Nous les catholiques, nous l’avons. Nous les presbytériens, nous l’avons.»

137      Eh bien, c’est Jésus qui l’a, car Il a dit: «JE SUIS la Lumière, la Vérité, le Chemin.» Donc, c’est Christ en vous.

138      Donc, ces différentes grandes dénominations divergent certainement entre elles et rendent un–un son très douteux. Et tout ce qui est incertain comme cela est aussi douteux. Tout ce qui est confus est douteux. Vous ne pouvez pas compter sur le seul fait d’adhérer à une église et dire que c’est ça la chose. En effet, chacune émet un son différent, et où allez-vous? Cela vous met dans la confusion. Si jamais il y a un endroit... J’ai souvent déclaré ceci, et je le répète ce matin: Le pays qui a le plus besoin de missionnaires, à ma connaissance, ce sont les Etats-Unis. Qu’est-ce qu’un païen? Un païen, c’est un incroyant.

139      Et maintenant, on a en Afrique et en... là en Thaïlande, et en différentes parties du monde, on a le–le païen natif qui adore une idole. Et on l’appelle un païen parce qu’il adore l’idole. Il ne sait pas distinguer sa main droite de sa main gauche, il ne connaît pas son ABC. Lui, tout ce qu’il connaît, c’est un dieu dont un sorcier guérisseur lui a parlé; et c’est là que se trouve Dieu, là-dedans. Et tout ce qu’il sait donc, c’est se trouver de quoi manger, et–et manger cela, peu importe comment il peut le trouver. Eh bien, c’est ce que nous appelons un païen. Mais maintenant, il n’est pas si difficile de traiter avec cet homme quand vous lui apportez la Vérité.

140      Mais l’homme le plus difficile avec qui traiter, c’est ce païen instruit (Voyez?), ce païen d’ici aux Etats-Unis, qui a quatre diplômes d’université et qui se tient derrière la chaire: un incroyant.

141      Vous dites: «Eh bien, on a tenu un service l’autre jour, et le Seigneur a guéri une–une dame là-bas.»

142      «Humgh!» C’est un païen. Il n’est qu’un païen instruit. Un païen, c’est un incroyant.

143      Avant-hier, alors que j’étais assis quelque part, il y avait un groupe de gens, dont certains sont ici en ce moment. Une dame est arrivée en voiture dans la cour de devant. Il y avait à bord cinq ou six personnes, et une dame s’est avancée, dans la cour de devant, à bord d’un camping car. Un homme est venu à la porte et a dit: «Frère Branham, je déteste passer outre cette indication, là, mais, a-t-il dit, nous sommes juste de passage et nous voulions vous dire...»

            J’ai dit: «Entrez.» Et–et j’ai dit...

144      «Non, a-t-il dit, ma femme veut simplement témoigner, vous raconter quelque chose qui est arrivé.» Eh bien, il s’est fait qu’elle était une chère amie de soeur Mercier; frère Léo, ici, un de nos frères de l’église ici, l’un des hommes chargés de bandes, sa mère.

145      Et il y a environ huit ou dix ans, j’étais quelque part dans l’est, et une femme était venue sur l’estrade pour qu’on prie pour elle. Le Saint-Esprit a dit: «Vous êtes Madame Unetelle, et vous venez de telle ville. Vous souffrez de telle et telle chose.»

            Oui, c’était l’exacte vérité.

146      Ensuite, Il a dit: «Eh bien, vous avez une amie qui habite la Californie; elle est l’une de vos très précieuses amies. Et cette femme se meurt d’un cancer de reins.»

            Elle a dit: «C’est tout à fait vrai, Frère Branham.»

147      C’est le Saint-Esprit qui révèle les secrets du coeur. Vous voyez? Cela devrait amener le peuple américain à tomber sur leur face et dire: «Ô Dieu...» Voyez, cela devrait le faire.

148      Mais, oh! ce sont des païens instruits. C’est le genre avec lequel il est difficile de traiter. Voyez, il est très intelligent, il en sait plus que Dieu. C’est donc la raison pour laquelle il hybride son maïs, il hybride ses animaux et tout. Voyez-vous ce qu’il a fait de lui-même? Il dégénère carrément, faisant de lui-même, euh, tout simplement, euh–euh, eh bien, un rejeton (c’est vrai), en agissant ainsi. Avec toute l’hybridation de sa pensée, de son esprit, il s’écarte carrément de la chose.

149      Maintenant, nous voyons que cette femme a dit: «Oui, c’est exact. J’ai effectivement une amie en Californie, qui se meurt d’un cancer de reins.»

            J’ai dit: «Ecrivez-lui et dites-lui: AINSI DIT LE SEIGNEUR, elle ne va pas mourir, mais elle vivra.» Et c’était la femme qui était dehors.

            Et elle a dit: «Cela fait peut-être dix, environ douze ans.» Et elle a dit: «Je me suis rétablie, je suis en forme et bien portante, il n’y a aucun défaut sur ce rein.» En effet, elle était guérie. Elle a dit: «A peu près cinq ans après cela, j’ai attrapé une tumeur, et cette tumeur a tellement grandi qu’elle mesurait, je pense, a-t-elle dit, dix-sept, ou vingt-sept pouces [45 ou 56 cm].» Et cela était si gros qu’elle n’arrivait pas à se lever, à cause de cette tumeur. Quand elle essayait de se lever, elle n’arrivait pas à se maintenir en équilibre.

150      Et ils l’ont emmenée à cette église, et l’ont fait asseoir juste là. Ils l’ont emmenée la nuit qui avait suivi le service de guérison du matin. Les frères lui ont annoncé que nous n’allions pas prier pour les malades ce soir-là, parce que nous comptions... j’avais prié pour les malades ce matin-là. Et ils ne voulaient pas trop me surcharger du coup. Ainsi, après le service, av-... après le service, j’étais là, parlant à quelques personnes. Et quelques hommes l’ont prise et l’ont transportée de la salle et l’ont fait asseoir là sur la marche là vers la sortie. Elle était assise là; les hommes la portant...

151      Et frère Taylor, l’un de nos précieux frères de l’église ici, se trouvait là même où... quand cela s’est produit; et je pense qu’il a aidé à porter la femme. Etes-vous ici, Frère Taylor? Où êtes-vous? Derrière, oui, derrière par là. Il était présent, et il a aidé à l’amener ici derrière.

152      Et la tumeur, qui ressortait comme ceci... Et ainsi–et ainsi donc, a-t-elle dit, quand j’ai franchi la porte arrière, j’ai baissé les yeux et je l’ai regardée, j’ai dit: «Femme, le Seigneur Jésus qui vous avait guérie de ce cancer de reins il y a plusieurs années vous guérira aussi de cette tumeur. AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Je ne l’ai point touchée, ni rien. Je suis simplement sorti et je suis monté à bord de la voiture, et je m’en suis allé. Je suis parti.

            Elle... Il a demandé: «Voudriez-vous sortir la voir?»

            J’ai dit: «Oui, certainement. Dites-lui d’entrer.»

            Il a répondu: «Non, nous n’avons pas le temps. Il nous faut simplement partir.»

153      Je suis sorti là. Et une petite femme est sortie d’un bond de la voiture, ayant un ventre aussi plat que le mien. Elle–elle passait un temps glorieux là dehors sur la route, parcourant la route, parlant en langues, et criant à tue-tête, en face de la maison du pasteur presbytérien, passant un temps glorieux.

154      Eh bien, certains voisins ont peut-être regardé dehors et se sont dit: «Ça alors, ça doit être quelqu’un sorti de l’institution psychiatrique qui est venu voir frère Branham pour la prière.» Cette femme n’était pas sortie d’une institution psychiatrique. Son âme revenait de la Gloire (Voyez?), passant un–un temps merveilleux.

155      Elle a dit: «Regardez ici, Frère Branham.» Elle a ouvert son manteau, et son ventre était aussi plat que possible. Elle a dit: «Eh bien, les premiers deux ou trois mois après que vous m’avez dit cela, a-t-elle dit, j’étais dans un très mauvais état.» Elle a dit: «Le médecin a dit qu’il n’allait rien tenter de plus si je ne lui permettais pas d’essayer d’extraire cette tumeur de là.» Elle a dit: «Cela devait peser plus de...»

156      Combien a-t-elle dit que ça pesait, Frère–Frère Taylor? Près de 30 livres [14 kg]? [Frère Taylor dit: «Oui.» — N.D.E.] Ils ont estimé le poids de la tumeur à environ 30 livres [14 kg].

157      Et elle a dit: «Tout à coup, ça a commencé à faire: ‘Shuu, shuu, shuu, sh’.» Oh! Il tient Sa Parole. Tout à fait.

158      Maintenant, si vous aimeriez écrire à la femme, nous avons son adresse et tout. Elle a chargé Léo de saluer sa mère de sa part, et tout.

159      Et il s’est fait que son frère à elle a épousé une–une amie à moi, ici, à Utica. La fille était là. Son nom, c’est Clyde Raines. Il est juste sur... Beaucoup de... Il y a beaucoup de... On l’appelle Chisel. Je jouais avec lui quand il était jeune. Il habite ici à Utica Pike; il est actuellement une sorte de fonctionnaire là-bas.

160      Et sa soeur était assise dans la voiture. Et ils fréquentent, je pense, l’église campbellite. Je me demande bien quel effet cela a eu sur elle! Elle a dit: «Billy, c’est extraordinaire.» Je connaissais personnellement la fille. Je suis sorti avec elle à plusieurs reprises, quand nous étions jeunes, quand nous habitions ici sur la route. Et–et une très bonne fille, elle était aussi gentille que possible. Elle a presque mon âge donc. Ainsi donc, elle était simplement assise là, écoutant ce témoignage. Et c’était la soeur de son mari qui avait été guérie.

161      Oh! Je vous assure, frère, il n’y a pas d’incertitude à ce sujet. C’est la vérité. C’est la Parole de Dieu. Ça se confirme. Ainsi, le...

162      Tout ce qui est incertain n’est pas digne de confiance. Ainsi, en ce jour-ci, quand les gens ne sont pas certains que Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement, laissez la chose de côté.

163      Vous pouvez être certain. Vous pouvez en être sûr, qu’Il l’est, même s’Il n’accomplit aucun autre miracle sur vous que le grand miracle, de vous pardonner le péché. C’est le plus grand miracle que Dieu ait jamais accompli; c’est pardonner à l’être humain son péché.

164      Prenez un homme et obtenez qu’il soit converti, qu’il renonce aux choses, voyez, que son être intérieur soit changé après avoir renoncé aux choses. Autrefois, il buvait, jouait à l’argent et faisait de mauvaises choses et tout comme cela. Et, tout d’un coup, il fait demi-tour et revient à l’amour, rentre à la maison vers sa femme et dit: «Chérie, je suis désolé de t’avoir ainsi traitée.» Il prend ses petits enfants et les serre dans les bras: «Papa dépensait tout son argent dans le whisky, et papa a fait ceci. Et–et maman sortait toute la soirée et vous abandonnait, vous les enfants. Je ne le referai plus jamais. Que Dieu me pardonne.» Et, oh! ce témoignage est l’un des plus grands témoignages qu’il y ait. Tous les Alcooliques Anonymes, et tout comme cela, ne peuvent jamais changer comme cela. Ils ne peuvent jamais le faire pour la personne.

165      Considérez la petite Rosella Griffith, ici, elle était assise là, après que tous les Alcooliques Anonymes de Chicago, quatre de grands hôpitaux, leur personnel médical l’avait abandonnée. En un instant, sur l’estrade, Cela a changé cette misérable aux yeux vitreux qui se tenait là, en manteau déchiré comme ceci, un manteau de vison que sa mère lui avait acheté. C’était une jeune fille intelligente. Elle transportait ses bouteilles de whisky là dans ce manteau. Elle craignait de tomber dans la rue et de geler à mort avant que quelqu’un ne la retrouve. Elle était debout, là, après que tous les Alcooliques Anonymes et tous les autres l’eurent abandonnée... Elle est en train d’écrire un livre là-dessus. Elle s’est avancée là à l’estrade. Le Saint-Esprit lui a dit: «Votre nom est Rosella Griffith.» Il n’y avait rien d’incertain là-dessus. «Vous êtes une alcoolique. Vous êtes allée chez les Alcooliques Anonymes, et tout. Mais, AINSI DIT LE SEIGNEUR, c’est terminé maintenant.»

166      «Et cette dame est assise là au balcon, et c’est une partenaire de danse de Fred Astaire.» Elle s’est levée d’un bond. «C’est exact. Elle aussi est une alcoolique et une toxicomane. Elle est recherchée par la police en ce moment.» Et son père s’est levé et a dit: «Je n’aime pas ça du tout!»

            Elle a dit: «Attends un instant, papa. Cet homme a raison.»

167      Il n’y a pas d’incertitude en cela. «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous êtes guérie. Livrez-vous.» Elle est maintenant sur le champ missionnaire avec son mari, prêchant l’Evangile. Oh! la la!

168      Qu’est-ce? Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement. En ces jours où la dénomination émet une incertitude là-dessus, pourquoi écouterions-nous une église dénominationnelle, alors que Christ demeure le même? Il n’y a pas d’incertitude là-dessus, c’est toujours certain.

169      Maintenant, la Bible, nous savons que la Bible déclare ici que si... Tout ce qui est mort rend un son. Une chose morte, des églises mortes, ou que sais-je encore, peuvent émettre des sons. Mais s’il n’y a pas un son clair, s’il n’y a pas pour nous un moyen d’être certain... Eh bien, nous le savons ici.

170      J’ai noté ici des Ecritures concernant les soldats. Oui. Les soldats peuvent... Lors de leur entraînement, ils sont exercés à différencier ces clairons. Certains sonnent la retraite, ou les appellent à ce qu’ils doivent faire, et tout.

171      Ils sont formés au son du clairon. Et si–s’ils ne reconnaissaient pas le son, comment vont-ils se préparer? C’est exact. Mais ils sont formés à distinguer les sons. Et ils savent que lorsque ce son retentit, cela veut dire une certaine chose.

172      Quand Titus a assiégé les murs de Jérusalem, quand il l’a investie par des armées, tous ces soldats bien entraînés, ces disciples... C’est ce qu’ont écrit les historiens.

173      Jésus, pendant qu’Il était  assis sur la montagne, ce jour-là, a dit: «Quand vous verrez Jérusalem investie par des armées, que celui qui est dans le champ ne retourne pas à la maison prendre son manteau; que celui qui est dans la maison ne monte pas sur le toit, ou n’en descende pas, a-t-Il dit, mais fuyez dans les montagnes, car il y aura un temps de détresse.»

174      Maintenant, considérez ce que toutes les grandes églises dénominationnelles ont dit quand elles ont vu Titus s’avancer: «Eh bien, allons à la maison du Seigneur, offrir la prière.» C’était trop tard.

175      C’était un son confus pour le sacrificateur. C’était un son confus pour l’église. Mais pour ceux qui avaient été entraînés à la Voix de Jésus, ils se sont enfuis dans les montagnes aussi vite que possible. Et ce sont les seuls qui avaient survécu. Le son confus... «Fuyez la ville.» Là, si Jésus ne leur en avait pas parlé ni donné cette formation, ce son de formation, comment auraient-ils su qu’il fallait s’enfuir?

176      Eh bien, Josèphe, le grand historien, a dit: «Les seuls à avoir survécu à cela, c’étaient les disciples du–du Christ, qui étaient des cannibales.» Un des historiens a dit qu’ils étaient des cannibales. Il a dit: «Ils prirent un Homme appelé Jésus de Nazareth, que Pilate avait crucifié, et ils ont volé Son corps du sépulcre, et s’en sont allés; et ils en découpaient un morceau et en mangeaient.»

177      Ce qu’ils faisaient, c’est qu’ils prenaient la communion, «le corps du Seigneur», vous savez, comme nous le faisons ici. Voyez?

178      Et il a dit: «Ils ont été les seuls à survivre à cela, parce qu’ils étaient sortis de la ville.» Ils connaissaient le son.

179      Ô frère, puisse le Saint-Esprit entrer dans nos coeurs ce matin, nous donner le son par le battement du Saint-Esprit et de Sa puissance. Il n’y a que cela qui sera en mesure de survivre: Ce son de la trompette de Dieu, et nos coeurs préparés pour cette heure pour savoir ce qu’il faut faire.

180      «Nous qui sommes vivants et qui serons restés, nous ne devancerons pas ou ne ferons pas obstacle à ceux qui sont morts, car la trompette sonnera.» Tous ces soldats qui reposent là, endormis dans la mort, tout au long des âges, mais quand la trompette sonnera... Bien qu’ils soient endormis dans la mort, cela ne leur fera pas obstacle, car la trompette retentira et les réveillera. Ils sont préparés.

181      Ceux qui ne sont pas préparés ne connaissent pas le son. Quand ce–quand ce Son de la Venue du Seigneur retentira, il secouera le Ciel et l’enfer quand il retentira. Mais ceux qui sont en enfer, ceux qui sont perdus, ne connaissent pas ce Son. Ils ne savent que faire. Mais les autres, bien qu’endormis en Christ, ils connaissent ce Son certain.

182                  Oh! La trompette du Seigneur sonnera,

            Et le temps ne sera plus,

            Et ce sera un matin éternel et resplendissant de beauté,

            Quand les sauvés de la terre s’assembleront

            Dans leur maison au-delà du Ciel,

            Et quand l’appel retentira là haut,

            J’aimerais être là.

183      Inscrivez aujourd’hui votre nom dans le Livre de Vie de l’Agneau, par le Sang du Seigneur Jésus, et il n’y aura pas de son confus.

184      Eh bien, nous entendons le son qui annonce des troubles: des bombes atomiques suspendues partout, la détresse parmi les nations, le temps de perplexité. Pourquoi nous inquiéter de notre emploi? Pourquoi nous inquiéter de nos maisons? Pourquoi nous inquiéter de toute autre chose?

185      Jésus ne nous a jamais dit de nous inquiéter, mais Il a dit: «Quand vous verrez ces choses commencer à arriver, levez votre tête et réjouissez-vous, car votre rédemption est proche.» C’est là le son certain de l’Evangile.

186      Quand nous voyons le Saint-Esprit entrer dans l’église, commencer à discerner les pensées des coeurs, accomplir ces grands signes, le retour de l’Esprit au temps du soir, quand les Lumières brillent, nous Le voyons venir faire la chose même qu’Il avait faite là à Sodome, avant que ça ne brûle; voir cet Ange-là, le dos tourné, dire: «Pourquoi Sara a-t-elle ri?», derrière Lui. Jésus a dit: «Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.» Qu’est-ce? C’est le son qui annonce la Venue du Seigneur Jésus.

187      «Voici, Je vous enverrai Elie, le prophète, avant que ce jour grand et redoutable ne détruise le monde. Il ramènera les coeurs des enfants à la foi originelle, à l’Evangile, à la puissance de Dieu, au vrai Saint-Esprit, de nouveau à Christ, avant que ce grand jour ne vienne.»

188      Nous entendons le son de la trompette. Oh! la la! Qu’est-ce?

            Réveillez-vous, saints du Seigneur:

            Pourquoi sommeiller alors que la fin est si proche;

            Soyons prêts pour cet appel final.

            S’il rend un son confus, qui se préparera au combat, si c’est confus? Mais ce n’est pas confus.

189      Les gens disent: «C’est quoi cette histoire dont ils parlent, le Saint-Esprit qui lit les pensées mêmes des gens, et les choses qu’Il fait?» C’est le son certain de l’Evangile. Christ a dit qu’il en serait ainsi.

190      «Eh bien, pourquoi toutes ces grandes églises ont-elles pu être là?» Christ a dit qu’il en serait ainsi. Ce n’est pas incertain. C’est la certitude de cela. Nous venons de passer huit jours d’affilée, de réunions là-dessus, pour savoir que la Bible déclare strictement que cette chose sera comme cela. De grandes dénominations se lèveront, elles se constitueront une confédération d’églises (Nous avons cela.), formant une image à la bête, la hiérarchie catholique. Nous ferions une image à la bête. Nous l’avons là, la confédération, chaque dénomination est dedans. Ce n’est pas un son incertain. Cela émet un son très clair. C’est un son certain.

191      «Nous avons placé une grande confiance en notre ONU, les Nations Unies.» Eh bien, ça ne vaut pas plus que l’ancienne Ligue des Nations; c’est pareil. Nous avions eu une Ligue des Nations après la Première Guerre mondiale. Elle allait faire la police du monde entier. Ça n’a pas marché. En fait, le discours des Nations Unies est si confus; ils ne savent que faire. Là-bas, quand Khrouchtchev a ôté son soulier et a tapé sur le pupitre, à quoi cela sert-il? Et tous les divergents. Il y a de la confusion aux Nations Unies. Ah! Les–les Nations Unies, c’est très bien au niveau où elles sont arrivées, mais c’est trop tard. C’est trop tard pour quoi que ce soit comme cela.

192      Il n’y a qu’un seul son certain, c’est l’Evangile. Préparez-vous au combat. Quel combat? La Venue du Seigneur. Préparez-vous maintenant au combat contre le mal, alors que le mal assaille les gens de toute part, et que tout cloche, que la vie de foyer cloche, que les Nations Unies tombent, que les nations se disloquent, que les bombes atomiques, ici et là, que les foyers se brisent, que la maternité se dégrade, qu’il y a l’immoralité parmi les gens, et–et qu’on ne se fait plus confiance, et que toutes les dénominations se font des histoires et sont dans tous leurs états. Que voulez-vous faire? Soyez certain, préparez-vous au combat.

193      Quand la télévision devient corrompue, ainsi que la radio et les journaux, toutes les annonces publicitaires, le tout, c’est donc constamment cigarette, tabac, whisky, boisson, femmes habillées de façon immorale, sales blagues, plaisantins dans des émissions télévisées, et que les Américains s’y laissent prendre comme un grand...?... comme la maison du roi Nebucadnetsar s’était laissée prendre par les amusements, ce soir-là lorsqu’il y eut une folle ruée. Et il y avait une–une grande soirée dansante, où le vin coulait, et leur télévision, si elle avait existé en ce jour-là, leurs plaisantins se présentaient là, et là apparut une écriture sur la muraille.

194      Et, aujourd’hui, alors que nous nous pensions jouir d’une parfaite sécurité, avoir les meilleurs scientifiques du monde, avoir les meilleurs du monde, nous avons fini par découvrir que nous sommes en très grand retard dans la course aux missiles. Oui, oui. Et ensuite, qu’est-il arrivé aux Etats-Unis? Pas seulement une écriture sur la muraille, mais les–les balistiques des missiles écrivent dans le ciel, que nous sommes loin en arrière, des années en arrière. Qu’y a-t-il? L’écriture est sur la muraille.

195      Et, en ce jour-là, cela fut écrit dans une langue inconnue, l’écriture sur la muraille. Et il n’y eut qu’un seul homme dans tout le royaume qui pouvait l’interpréter. Et il avait le don d’interprétation. Et il a interprété, disant: «Tu as été pesé dans la balance, et tu as été trouvé léger.» Dieu a envoyé parmi vous une nation de gens que vous qualifiez de saints exaltés. Vous êtes allés là et vous les avez déshonorés, mis à mort, vous les avez réprimés; et vous avez pris vos dieux, vos idoles et autres, et c’est par ces choses que vous avez adoré, et vous avez vécu dans les délices. Et maintenant, vous êtes allés prendre les vases mêmes du temple de leur Dieu, vous êtes venus ici et vous avez fait des blagues sur eux, vous moquant du saint exalté, du prédicateur chauve, et tout comme cela. Et Dieu en a marre. «Et l’heure de votre ruine est proche.» La nation même qui allait les prendre attendait à leur porte en ce moment-là même. Peu après, ils furent tués, leurs femmes abattues. Leurs gardes, leur armée, et tout, furent investis. «Pesés dans la balance, et trouvés légers.»

196      Et nous sommes si épris de la radio et de la télévision, avec des blagues, de la saleté, de la souillure, de la malhonnêteté, de la méchanceté et tout, que Dieu en a marre. Quand l’Evangile, le véritable Evangile de l’Eglise du Saint-Esprit, est prêché çà et là à travers la nation, démontrant la certitude de Jésus-Christ et de Sa Venue, au point que le temps est venu où Dieu écrit dans nos cieux: «Pesés dans la balance, et trouvés légers.» Amen. Nous sommes dans une situation terrible. Ecoutez le Son certain, pas les Nations Unies incertaines. Oui, oui.

197      Même l’autre jour, lors des élections, ils ont dit, il n’y a pas longtemps, que lorsqu’on comptait les votes, en politique, ils disaient... Puis, ils ont annoncé: «On a maintenant une machine, tout doit être transparent, car vous tirez juste un petit levier et le vote est effectué pour votre candidat. Vous le retirez, ça fait un petit clic, et ça inscrit votre candidat.» Hein! On a découvert que c’est incertain.

198      M. Edgar Hoover l’a dénoncé, il a dénoncé le Parti Démocrate l’autre jour. Quand ils ont truqué les machines, de sorte que chaque fois qu’on votait pour M. Nixon, on votait forcément aussi pour M. Kennedy. Et pourquoi ne font-ils donc pas quelque chose à ce sujet, s’ils ont découvert qu’il en est ainsi? Pourquoi? Eh bien, il n’y a pas de certitude là-dedans. Oui. Vous savez ce qui est arrivé à M. Hoover. Voyez, exact (Voyez?), tout est incertain. Vous ne pouvez pas savoir qui a été élu, si c’est Kennedy ou si... Kennedy a été proclamé élu, mais je ne sais pas s’il a été élu ou pas. Là, je ne suis pas un politicien; je n’en sais rien. Néanmoins, je sais distinguer le vrai du faux. J’ai suffisamment de bon sens pour savoir que...?... Alors que cela est juste devant nous, le–l’homme a prouvé, par le F.B.I., qu’on avait truqué les machines pour faire cela... Ce n’est pas l’autre parti qui l’a fait, c’est le–le–le parti de Kennedy qui l’a fait. Pourquoi? Ça doit être ainsi.

199      Rien dans ce monde ne peut subsister, en dehors du Royaume de Dieu, car tout royaume est pesé dans la balance, et trouvé léger, notre nation. Pourquoi ça?

200      Ici, il y a quelques années, j’avais un vieux grand arbre, par ici sous lequel j’allais m’asseoir. Et je me disais: «Cet arbre. Quand je serai devenu vieux, si je suis en vie, je viendrai m’asseoir sous cet arbre.» Ce n’est plus qu’un chicot maintenant. Là où j’habitais, je voyais mon papa surgir là, sortir avec ses petits bras courts. Il était (Oh!) un homme du Kentucky, et il était bûcheron et tout. Un petit homme, d’environ cent quarante-cinq ou cent cinquante livres [65 ou 70 kg], mais fort. Oh! la la! M. Coots, d’ici, m’a dit l’avoir vu charger un rondin de 950 livres [430 kg], tout seul. C’était un–un homme vraiment fort. Je le voyais retrousser les manches pour se laver, là dehors, devant un morceau de miroir cassé fixé à un pommier.

201      Et certains parmi vous, les gens de l’Indiana peuvent ne pas savoir comment il nous fallait vivre là-bas autrefois. On avait une vieille bassine pour se laver là dehors près de la pompe. Et maman avait là un vieux sac, un sac à farine, transformée en serviette. Elle l’avait tant soit peu décoré, elle avait tiré quelques fils et avait décorée les extrémités. Un gros... Elle me frottait, puis m’essuyait avec cette serviette. Ce vieux sac à farine rugueux m’arrachait pratiquement la peau. Elle me lavait et m’essuyait avec cette vieille serviette.

202      Eh bien, je voyais papa là debout, de retour, vous savez, et il retroussait ces vieilles manches et faisait sa toilette. Et, oh! la la! voir ces muscles! Je me disais: «Vous savez, il vivra sûrement cinq cents ans, il est si fort!» Mais vous savez quoi? Il est mort à cinquante-deux ans. Pourquoi? «Nous n’avons point ici-bas de cité permanente.»

203      Je me suis tenu là à Rome, là où–où les grands Césars s’étaient tenus, eux qui parcouraient les rues, au milieu de leurs grandes foules, et–et avec pompe et gloire, et tout ce qu’ils avaient. Et savez-vous où l’on retrouve leur royaume? A vingt pieds [6 m] sous terre. Deux mille ans l’ont englouti.

204      Je me suis tenu au Caire, en Egypte, là où le–le grand pharaon s’est tenu un jour, celui qui avait persécuté le peuple de Dieu, qui les avait chassés et qui avait fait d’eux des esclaves. Les ruines de leurs demeures gisent à vingt ou trente pieds [6 ou 7 m] sous terre.

205      Je me suis tenu là à Londres, en Angleterre, là où toutes les grandes hiérarchies d’archevêques et autres s’étaient tenues, et tout cela. Et j’ai vu, ça s’est enfoncé sous la terre. Qu’est-ce? «Nous n’avons point ici-bas de cité permanente, mais nous en cherchons une à venir.»

206      Pourquoi tous ces royaumes? C’est seulement pour vous faire savoir, ça parle d’un Royaume éternel. Pourquoi l’arbre est-il beau? Il attend, il attend les pleines manifestations des fils de Dieu, quand cet arbre pourra vivre à jamais. Il y a un Royaume qui va venir. Et la–la Bible déclare: «Nous n’avons point ici-bas de cité permanente, mais nous cherchons celle qui est à venir.» Et là, Dieu nous a donné un Royaume qui ne peut être ébranlé.

207      Tout sur terre est chancelant et ébranlable; ça s’effondre. Tout est en déclin. Nous vivons dans un monde qui se meurt. Tout se meurt. Les arbres se meurent. Les herbes se meurent. Les fleurs se meurent. Les villes se meurent. Le monde se meurt. Vous êtes en train de mourir. Tout se meurt. Je me meurs. Tout se meurt. Certains rayons d’acides et tout dans l’air, ces–ces éléments chimiques dans l’air...

208      De même, considérez ce grand pont, ici, quand je l’avais vu vingt-deux ans avant qu’il ne soit construit là-bas, j’avais vu des hommes perdre leur vie sur ce pont. Quand on construisait le pont là, j’en avais parlé. Ma mère avait voulu m’emmener chez le médecin, pensant que je souffrais des crises de nerfs. Et je lui avais raconté, disant: «J’ai vu un pont être jeté, et j’ai compté ces hommes.» Vingt-deux ans plus tard, le pont a été jeté, et le même nombre d’hommes a perdu la vie. Je pense qu’ils étaient seize, exactement.

209      Or, je me disais, quand on fixait ces grosses poutres là-bas: «Ce pont-là durera toujours.» Oh! Ils l’ont repeint trois ou quatre fois, et c’est rongé par la rouille maintenant même. Qu’est-ce? Les rayons de l’air l’ont consumé.

210      Nous voyons une belle jeune fille de seize ans, assise dans une église, faisant éclater son chewing-gum, coupant en morceaux et faisant des histoires; une fois dehors, elle remonte ses vêtements jusqu’à un petit endroit pour avoir l’air sexy, se tortiller. Et il ne faudra que quelques couchers du soleil, et elle sera vieille et ridée, et sa chair sera flasque. Et ce petit corps qu’elle tortillait, ayant laissé un esprit vivre là, qui la contrôlait, cela a jeté sa moralité aux chiens, elle aura à répondre d’adultère au jour du Jugement. «Quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis adultère avec elle.» Elle ne réalise pas qu’elle n’est que poussière, et qu’elle retournera à la poussière, car: «Tu es poussière, et tu retourneras à la poussière». Qu’est-ce? Si seulement elle pouvait s’en rendre compte et s’arrêter, c’est un son confus.

211      «Eh bien, maintenant Untel à la télévision, Untel à l’école», essayant d’imiter certaines minables personnalités à l’école... Ne permettez jamais que ce soit là votre modèle. Regardez à Dieu.

212      Oh! Des sons confus. Les élections... Oh! Que le temps est à présent arrivé, de l’incertitude!

213      Si nous avions du temps... Abordons donc cela. Je vois là toutes les soeurs noter les Ecritures. Maintenant, dans 2 Timothée 2, lisons juste quelques minutes. 2 Timothée, chapitre 2, à partir du chap-... 3... 2 Timothée, chapitre 3, lisons. Ecoutez ceci:

          Sache que... (Maintenant, ceci est Esprit.)

          Sache que, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles.

214      Eh bien, c’est le Saint-Esprit que vous entendez dans l’église ce matin, Il parle depuis tout là-bas, il y a deux mille  ans, en l’an 66 de notre ère.

          Car les hommes seront égoïstes... fanfarons, hautains, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, irréligieux,

215      Considérez ce jour-là aujourd’hui. Vous parlez de saint, ils vous taxent de saints exaltés. Voyez les enfants, ce qu’ils font. On parle de la délinquance juvénile. Eh bien, je vais être en désaccord avec vous les parents. Ce n’est pas la délinquance juvénile, c’est la délinquance parentale. Vous voyez, c’est ce que c’est.

216      Certains d’entre vous qualifient ces vieilles mamans du Kentucky, par ici, d’illettrées du Kentucky. Ces vieilles mamans, là en vieille capeline comme cela, on dit qu’elles sont très illettrées et qu’elles ne connaissent pas leur ABC. Elles ne sont peut-être pas très chic, mais je vais vous dire quoi: Qu’une de leurs filles rentre à la maison comme l’une des vôtres un soir, toute débraillée, du rouge à lèvres plein le visage, et la chevelure tout débroussaillée. Elle ne lui dira pas: «As-tu passé de bons moments, ma chérie?» Elle détachera une planchette de quelque part et elle–elle saurait que c’est la dernière fois qu’elle sortait. Et vous appelez ça de l’illettrisme! Oui. C’est ça.

          ...ingrats, irréligieux, insensibles, déloyaux, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien (Ils détestent les gens qui essaient de vivre correctement. Voyez?), traîtres, emportés, enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu...

217      Oh! la la! Ils dépenseront des millions de dollars pour aller à un jeu de balle, ou quelque chose du genre, ou là où une vedette de cinéma va faire une certaine chose ou l’autre comme cela, exactement comme dans les anciens cirques romains d’il y a plusieurs années. Mais quand on en arrive à traverser la rue pour aller à une réunion du Saint-Esprit, ils resteront assis sur leur véranda et riront de ça.

218      Eh bien, vous dites: «Eh bien, Frère Branham, ceux-là sont des communistes.» D’accord, voyons ce qu’en dit le verset 5:

          ... ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force.

219      Reniant la puissance de quoi? La puissance de Dieu. Ayant l’apparence de Dieu, mais reniant la puissance de Dieu. Allant à l’église et appartenant à une dénomination, mais reniant l’existence même du Saint-Esprit qui est dans l’Eglise, qui fait agir cela et Lui fait faire les mêmes choses qu’Il avait faites au commencement. Oh! la la! Voyez-vous ce qu’est la malédiction dénominationnelle? Hum! J’espère que vous ne m’en voudrez pas; mais j’espère que vous le recevez sous l’angle où j’essaie de le dire. Voyez? Maintenant, remarquez ceci.

          Ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force. Eloigne-toi... (Que dit-Il à l’Eglise?) ... de ces hommes-là. (Eloignez-vous de ça! Sortez de cela!)

220      C’est exact. En effet, écoutez, lisons encore un verset ou deux. Ecoutez donc, car... voyons combien certains sont ces genres de personnes. Voyez si c’est incertain.

          Il en est parmi eux qui s’introduisent dans les maisons, et qui captivent des femmes d’un esprit faible et borné, chargées de péchés, agitées par des passions de toute espèce, apprenant toujours et ne pouvant jamais arriver à la connaissance de la vérité.

221      Qu’est-ce que la Vérité! Jésus-Christ est la Vérité. Il a dit: «Je suis la Vérité.»

            Pilate a dit: «Qu’est-ce que la Vérité!»

            «Je suis le Chemin, la Vérité, la Vie.»

222      Les femmes, avec toutes sortes de–de–de–d’associations de dames, elles fabriquent des couvertures, elles se réunissent et font des plaisanteries, elles organisent des soupers, des soupers à la soupe pour payer le pasteur, et ainsi de suite comme cela, et qui ne peuvent jamais arriver à la connaissance que Jésus-Christ existe aujourd’hui dans la puissance de Sa résurrection et du Saint-Esprit. Voyez, jamais! «Des femmes d’un esprit faible et borné.»

223      Bon, ce n’est pas à vous qu’il s’adressait, soeurs. Il a dit: «Des femmes d’un esprit faible et borné (C’est ça), agitées par des passions de toute espèce.» Vous en savez mieux que ça; je suis donc fier de vous, mes soeurs...?...

224      Ne pouvant jamais. Combien incertain alors est le son de cette dénomination formaliste! Combien incertain est le son de l’église d’aujourd’hui! Qui sait quoi faire? Permettez-moi de vous donner un aperçu de l’église d’aujourd’hui. Il plane partout un nuage de guerre, des problèmes partout, et les gens se précipitent vers leur église et ne peuvent trouver de réponse. Je vais prêcher là-dessus la soirée de Noël: Pas de réponse en rapport avec l’étoile à l’Est. Maintenant, remarquez. Oh! la la! C’est suspendu là, et ils n’ont pas de réponse. Ils ne savent quoi dire. Pourquoi? Tout ce à quoi ils peuvent se référer, c’est: «Nous avons appris ceci à l’institut supérieur.»

225      L’Eglise ne dépend pas de ce qu’ils ont fait à l’institut supérieur. Mais il s’agit du Saint-Esprit vivant dans l’Eglise, qui la conduit et la guide, et qui lui montre d’avance les choses à venir, comme Il l’a fait du temps de Titus, les avertissant des choses à venir, pour fuir la colère à venir. Oh! la la! «Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux églises.»

226      Eh bien, y a-t-il alors quelque chose? demanderais-je. Je n’aimerais pas vous garder trop longtemps ce matin. Mais y a-t-il quelque chose de certain? Puisque je vous ai parlé de tant de choses qui sont incertaines, y a-t-il quelque chose de certain? Y a-t-il une certitude au sujet de quelque chose du tout? Eh bien, certainement, je suis si reconnaissant qu’il y en ait. Y a-t-il quelque chose de certain?

227      Je vais vous montrer ce qui est certain, c’est l’Evangile de Jésus-Christ. Eh bien, si vous voulez le noter, nous n’allons pas l’aborder, mais vous le pouvez si vous le voulez, c’est dans Matthieu 24.35, Jésus y parle de ces jours et de ce qui arriverait. Matthieu 24.35, Il a dit: «Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera point.» Et cela est certain, n’est-ce pas? C’est l’unique chose qui est certaine, c’est Sa Parole; donc, il y a une seule chose. Nous voyons que nous ne pouvons pas bâtir sur notre église, nous ne pouvons pas bâtir sur notre nation; nous... ce–c’est trop incertain. Mais il y a une seule chose qui est certaine; c’est la Parole de Dieu qui est certaine. Vous aurez certainement à le faire.

228      Quelqu’un disait: «Une chose certaine, c’étaient les impôts.» Oh! Non, les impôts ne sont pas si certains. Le Seigneur peut venir. On peut alors en être exemptes; tout est alors réglé.

229      Ils ont dit: «La mort est certaine.» Non, non, la mort n’est pas certaine, assurément pas. Il pourrait y avoir un Enlèvement, il n’y aura alors pas de mort. La mort n’est pas aussi certaine. Non, non, pas en ce jour. Elle l’était il y a plusieurs années, mais elle ne l’est plus maintenant. La mort n’est pas aussi certaine.

230      Et, de toute façon, je connais un homme qui, une fois, a marché avec Dieu, comme exemple à donner. Et un jour, il s’était fatigué de marcher; aussi, il est devenu très léger et a commencé à monter, et il est rentré à la maison avec Dieu. Voyez? Y a-t-il quelqu’un qui sait de qui il s’agit? [L’assemblée dit: «Enoch.» — N.D.E.] Enoch. Et qui représentait-il? Il était un type de l’Eglise de ce jour.

231      Et Noé, lui, est un type, comme nous l’avons vu la semaine der–dernière dans notre leçon. Noé, le type d’Israël qui est transporté, qui sera là sur le mont de la Transfiguration, là-bas, en–en Europe, là en Palestine, en train d’observer. Et quand ils... Quand Noé a vu qu’Enoch n’était plus, il s’est dit: «Qu’est-il arrivé à Enoch? Qu’est-il advenu d’Enoch? Où est-il?» Il était le petit-fils, Noé était le petit-fils d’Enoch. Et il a dit: «Où est-il? Qu’est-il advenu de lui? On ne peut plus le trouver.» Noé s’est mis à construire l’arche. Il savait que le temps était proche, en ce moment-là même.

232      Et maintenant, quand l’Eglise sera enlevée, et que les gens diront: «Eh bien, je–je–j’ai appelé la police. Je–j’ai lancé des avis de recherche. Elle était assise juste à table, et elle a disparu. Je–je ne sais pas du tout ce qui est advenu d’elle.» Eh bien, ce n’est pas seulement ça. Eh bien, la police dira: «Ce matin, nous avons–nous avons reçu cinq cents appels du même genre.» Que s’est-il passé? Ce sera alors terminé pour vous les Gentils. C’est exact. Veillant...

233      La Parole de Dieu est certaine. «Les cieux et la terre passeront (Matthieu 24.35), mais les promesses de Dieu ne failliront point.» Jésus a dit: «Tous les cieux et la terre passeront.»

            Vous dites: «Les cieux?» Oui.

234      Dans Apocalypse 21, Jean a dit: «J’ai vu un nouveau ciel et une nouvelle terre, car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n’était plus. Et moi, Jean, j’ai vu descendre du Ciel la ville sainte, la nouvelle Jérusalem, préparée comme une épouse (C’est ce que c’était) qui s’est parée pour son époux.» Oh! C’est là que j’aimerais être. Ô Dieu, aide-moi à y être en ce jour-là! Exact. Les promesses de Dieu sont certaines, nous comprenons cela.

235      Maintenant, prenons une petite–une petite Ecriture, ou plutôt faisons un petit voyage, retournons en arrière pour découvrir quelque chose, ceux qui croyaient dans les jours passés; ils s’en sont sortis, en croyant que la Parole de Dieu était un son certain. Maintenant, retournons au début de la Bible, juste pour deux ou trois personnages. Et nous serons prêts pour la ligne de prière dans les quinze prochaines minutes ou quelque chose comme cela.

236      Maintenant, venons-en au premier, et prenons frère Noé, au commencement. Noé, dans la Genèse. Nous voyons qu’il y avait deux ou trois sons, plusieurs sons qui étaient rendus du temps de Noé. L’un d’entre eux, Noé a entendu la Voix de Dieu, qui disait: «Il va pleuvoir.» Eh bien, Dieu...

237      Ecoutez. D’habitude, Dieu vous dit quelque chose d’absolument très bizarre, vis-à-vis des choses du monde, que cela donc... Il le fait pour confondre le monde. Ils sont simplement confondus dans leurs pensées. Ils disent: «Une bande de saints exaltés. Ô bonté divine! Ne me dites pas ça, que Dieu, le Dieu saint, vivrait dans une bande de gens comme ça!»

238      C’est la même chose que Balak avait dite et que Balaam avait dite, quand il baissa le regard et vit Israël. Il a dit: «Eh bien, tout ce qu’il y avait de mauvais à faire, ils l’ont fait.» Mais il a manqué de voir ce Rocher frappé et ce serpent d’airain, et de voir ces signes et ces miracles de guérison et autres dans le camp. Fondamentalement parlant, ils n’étaient pas différents. Mais Dieu fait quelque chose de si radical. Dieu est radical. Eh bien, ça paraît étrange, mais Il l’est. Eh bien, nous allons donc le découvrir avec quelques-uns de personnages.

239      Considérez Noé. Eh bien, la Bible déclare que du temps de Noé, il n’avait jamais plu, depuis le ciel. Dieu arrosait la terre, de par la terre. Il n’avait jamais plu. Et voici un fanatique là-bas en train de construire une espèce de gros bateau, long d’environ deux pâtés de maisons; un bateau qui flotterait, alors qu’il n’y avait rien où le faire flotter. Il n’y avait pas d’eau. Il n’y avait même aucun... Tout ce qu’il y avait sur terre, ce qu’il y avait de plus grand, c’était un ruisseau. «Eh bien, pourquoi le construisait-il et l’enduisait-il au dedans et au dehors et des choses comme cela? Eh bien, disaient-ils, d’où viendra cette eau, Noé?»

            «De là-haut.»

240      «Eh bien, Je suis un homme de science. Et je–je–je peux prouver que cet air... que–qu’il n’y a pas–n’y a pas d’eau là-haut. S’il y en avait, elle tomberait directement maintenant. Il n’y en a pas là-haut. Je peux te prouver scientifiquement qu’il n’y en a pas là-haut.»

241      «Eh bien, a répondu Noé, mais vous savez, Dieu est capable d’en mettre là-haut.» Vous voyez? Vous voyez? C’est ça. «Dieu a dit que ça serait là. Et ça sera là.»

            «Eh bien, que construis-tu, Noé?»

            « Je–je me prépare pour ça. Voyez? Je me prépare.»

242      Eh bien, là, la science émettait un son. La science disait: «Cette bande de saints exaltés là, sur cette colline-là, ils sont vraiment fous. Eh bien, ils ont–ils ont perdu la tête. Eh bien, ils sont–ils sont–ils sont en train de se tailler un gros bateau là. Eh bien, quoi au monde vont-ils faire avec ça? Eh bien, si on prenait toutes les sources d’eau du monde, toutes pleines d’eau, elles ne suffiraient même pas pour mouiller la coque. Et voici qu’ils disent: ‘Ça va flotter. Et cette eau va tomber d’en haut.’»

243      Mais Noé, peu importe combien la science disait que c’était de la folie, il écoutait un son certain. Dieu avait dit: «Je vais détruire le monde par l’eau»; il n’y avait rien de confus en cela. A l’époque, cela semblait incertain. Mais C’était la Parole de Dieu, peu importe combien ridicule cela paraissait.

244      Dieu a dit: «Je suis l’Eternel qui te guérit.» Il n’y a rien de confus en cela. Croyez cela.

245      Dieu a dit: «Je donnerai le Saint-Esprit à quiconque veut venir.» Il n’y a rien de confus en cela.

            Vous dites: «Je suis un soulard. Je suis une prostituée. Je suis...»

246      Ce que vous êtes m’importe peu. «Que celui qui veut vienne.» Rien de confus.

247      Je préférerais qu’Il dise cela plutôt que ceci: «Quand William Branham viendra en 1960, Je lui donnerai les fontaines d’Eau de Vie.» Eh bien, cela aurait été vraiment bien, on dirait que c’est moi. Mais il peut y avoir deux William Branham, alors, je ne saurais pas qui de deux serait moi.

248      Mais quand Il a dit: «Que celui», je sais qu’il s’agissait de moi de toute façon, car j’étais–j’étais l’un de ceux qui voulaient venir. Voyez? Donc, vous voyez, la Parole de Dieu est certaine.

249      Maintenant, pour le monde extérieur, le monde scientifique, cela paraît vraiment confus. Voyez? Parce qu’ils ont dit: «Eh bien, qui jamais penserait... Eh bien, regardez. La nuit, il y a la lune. Il y a les étoiles. Il y a l’atmosphère.» Et, vous savez, en ce temps-là, ils en savaient plus qu’aujourd’hui.

250      C’est à cette époque-là qu’ils ont érigé le sphinx. Pourrions-nous le bâtir de nos jours? Pour une seule oeuvre, cela prendrait seize wagons plats pour la placer là-dessus; et c’est un demi-pâté de maisons qui se dresserait là en l’air. Pourrions-nous bâtir cela?

251      C’est à cette époque-là qu’ils ont construit la pyramide. Une seule de ces grosses pierres qui est là-dedans pesait des centaines de milliers de tonnes. Eh bien, on n’a rien au monde qui puisse construire ça. On n’a aucune source énergétique, ni cette essence ni rien d’autre, qui pourrait soulever cela à cette hauteur. On ne pourrait avoir de machine suffisamment puissante. Comme c’est si grand! Et c’est si parfait qu’on ne s’est pas servi de ciment, mais ils ont taillé cela au sol et les ont placées là-haut de telle manière qu’on ne peut pas prendre une lame de rasoir et la glisser entre elles, comme cela; elles sont tellement serrées les unes contre les autres. Plus intelligents que nous aujourd’hui. Et cette même intelligence...

252      On utilisait la teinture en ce temps-là. On pouvait faire une momie en ce temps-là. Nous ne pourrons pas en faire de nos jours. Nous ne pouvons plus momifier un corps humain; nous ignorons ce qu’il faudrait mettre dedans pour leur donner l’air naturel. Ils avaient–ils avaient une teinture dont ils teintaient les vêtements à l’époque, que l’on n’a pas aujourd’hui. On ne peut rien produire de pareil. On avait en ce temps-là beaucoup de choses qu’on n’a pas aujourd’hui.

253      Il n’y a pas longtemps, ils ont déterré une–une station hydraulique moderne, ici même au Mexique, qui avait été engloutie durant la période antédiluvienne. Une station hydraulique moderne; ils étaient plus intelligents que nous aujourd’hui. Voyez?

254      «Ce qui arriva du temps de Noé», des gens intelligents comme cela, «arrivera de même à l’avènement du Fils de l’homme», une autre génération de gens intelligents.

255      Combien ces gens étaient intelligents, avec une science probablement plus développée, au point qu’ils pouvaient mesurer la distance d’une étoile à l’autre. Ils étaient si intelligents qu’ils ont pu ériger cette grande–grande pyramide au bon emplacement du point de vue géographique et elle est si bien centrée sur la terre que, peu importe la position du soleil, on ne trouve jamais–jamais d’ombre tout autour d’elle; matin, soir, midi, nulle part il n’y a d’ombre. Voyez? J’y ai été.

256      Maintenant, considérez tous ces ouvrages qu’ils ont faits, et les sources énergétiques qu’ils avaient... Et pouvez-vous vous imaginer, il n’avait jamais plu, et il n’y avait rien dans les cieux pour faire pleuvoir. Comment diantre cet homme a-t-il jamais pu faire passer ce message? Il ne l’a pas pu. C’était cela.

257      Mais de même que Noé se tenait à la porte de l’arche et avertissait les gens d’une destruction imminente, de même le prédicateur de l’Evangile né de nouveau, aujourd’hui, se tient à la Porte, Jésus-Christ, enveloppé du Saint-Esprit, avertissant les gens d’une destruction imminente. Bien sûr, ce qui arriva du temps de Noé, nous voici dans ce jour.

258      Eh bien, comment la science pouvait-elle dire: «La pluie viendra de là»? Mais, vous voyez, Dieu savait comment faire venir la pluie de là. Il avait soit provoqué un tremblement de terre, soit quelqu’un avait la puissance atomique, il l’a larguée et a fait éclater une partie de la terre. Et cela a basculé la terre vers l’arrière, lui a fait quitter son orbite, et maintenant elle penche en arrière. Et alors, la chaleur de la terre et le froid de la terre, venant du soleil et de l’éloignement du soleil, ont formé des nuages. Il est Jéhovah-Jiré. Il peut pourvoir Lui-même à tout ce qu’a dit Sa Parole.

259      Maintenant, Il peut se pourvoir d’une Eglise. Il n’a pas à m’avoir, moi. Il n’a pas à vous avoir, vous. Non. Il n’a pas besoin de cela. Il n’a pas à avoir... Il peut pourvoir. Quelqu’un d’autre peut prendre votre place. Prenez garde à ce que personne ne prenne votre couronne. Il n’a pas à–à nous avoir, mais il nous faut L’avoir. Si jamais vous vivez, vous devrez L’avoir. En effet, Il est le seul, comme l’a dit Pierre quand Il a dit: «Ne voulez-vous pas tous vous en aller?»

260      C’est donc quand Il s’est mis à leur annoncer la Vérité. Il était un grand Homme quand Il guérissait tous leurs malades. Oh! Quand les signes et les miracles Le suivaient, Il était un grand Homme. Mais quand Il s’est mis à leur annoncer la Vérité, qu’est-il alors arrivé? Là, on L’a pris pour un fanatique; ils se sont éloignés de Lui. Il s’est tourné vers les disciples. Rappelez-vous, Il était très indépendant, parce qu’Il était Dieu. Il s’est retourné et Il a dit: «Ne voulez-vous pas aussi vous en aller?»

261      Pierre a dit: «Seigneur, à qui irions-nous? Où irions-nous? Car Tu es Celui qui a les Paroles de la Vie Eternelle, et nous en sommes certains.» Vous voyez, il n’y a pas d’incertitude en Cela. «Nous sommes certains que c’est Toi qui La possèdes. Nous ne sommes pas ballottés à tout vent de doctrine. Nous savons que Tu as les Paroles de la Vie Eternelle, parce que personne ne peut faire les choses que Tu fais si Dieu n’est pas en lui (C’est exact), n’est pas avec lui.» Nicodème a fait la même remarque.

262      Eh bien, disons ceci alors, Noé... Est-ce que le son qu’écoutait Noé était confus? Non, non, il était clair. On a eu la destruction antédiluvienne, ça a détruit le monde entier, et Dieu a fait pleuvoir comme Il l’avait dit. Pourquoi? C’est la Parole de Dieu qui l’a dit. Le monde scientifique a été noyé et a été détruit.

263      Tenez, la chose même qui a sauvé Noé a tué ses critiqueurs. Saviez-vous cela? L’eau même... S’il n’y avait pas eu d’eau, Noé n’aurait pas pu être sauvé. Seule l’arche avait flotté. Donc, la chose même qui a fait flotter l’arche a noyé les critiqueurs.

264      Et aujourd’hui, ce même Saint-Esprit, dont les gens se moquent, sauvera l’Eglise et condamnera les critiqueurs, cette chose même, voyez, cette chose même. Ce qui sauve tue le... ce qui sauve le croyant condamne l’incroyant. C’est exact. Ainsi, vous voyez, ayez foi en la Parole de Dieu. C’est la seule chose sur laquelle on peut se tenir et être sûr que c’est certain. Ce que dit Dieu est certain. Croyez simplement cela.

265      Prenons maintenant un autre personnage, du temps de Moïse. Eh bien, Moïse avait tenté par des programmes éducatifs; il avait tenté, par des programmes militaires, de délivrer Israël. En effet, il savait qu’il était né dans ce but. C’était pour lui le moment de le faire. Mais il s’y est pris à sa manière, par sa formation, et en formant sa grande société, ou quelque chose d’autre, faisant de ça une proposition militaire. Avec sa propre éthique, il a failli. Maintenant, écoutez attentivement.

266      Mais un jour, Dieu s’est emparé de lui, près d’un buisson ardent. Et voyez à quel–quel point Dieu a rendu cet homme déraisonnable. Eh bien, Dieu l’a attiré au buisson ardent et lui a parlé. Eh bien, Dieu ne lui avait jamais parlé auparavant; il n’avait appris cela que dans un livre. Donc, Dieu lui a parlé.

267      C’est la raison pour laquelle Noé savait de quoi il parlait. Dieu lui avait parlé. C’est comme ça qu’il le savait. Il l’avait entendu de Dieu. Voyez?

268      Et alors, un jour, quand Moïse, entraîné, cultivé... Oh! la la! Il était instruit. Oh! la la! Et il était un militaire. Alors, il s’est dit: «Avec toute mon instruction (J’ai un doctorat en philosophie, un D.D.D., un L.L.D. en droit, un doctorat en droit», et tous les doctorats en divinité auxquels on peut penser), mais là, je vais à coup sûr savoir m’y prendre, parce que je suis le–je suis le cerveau de l’Égypte.»

269      Ça m’est égal, ce dont vous êtes le cerveau; ça ne vaut rien. Aux yeux de Dieu, c’est de la folie. Votre cerveau est de la folie pour Dieu. Voyez? «Car Mes voies sont élevées au-dessus de vos voies, et Mes pensées au-dessus de vos pensées», dit Dieu. Voyez? Donc, vos meilleurs cerveaux...

270      C’est comme Paul a dit: «Je ne suis pas venu à vous, vous prêchant par des discours persuasifs, comme le fait la sagesse, parce que si je l’avais fait, vos espoirs auraient été bâtis...» Eh bien, Paul pouvait le faire, parce qu’il était un homme intelligent. Il a dit: «Je pouvais le faire. Mais que serait-ce? Vous reposeriez sur la philosophie de l’homme. Mais je suis venu à vous dans la puissance et la résurrection, avec le Saint-Esprit, pour que votre foi soit en Dieu.» Vous y êtes. En effet, l’autre chose est un son incertain. Mais ceci est certain et vrai.

271      Eh bien, alors Noé avait... ou plutôt (Pardonnez-moi) Moïse avait essayé avec un son confus, avec son éthique. Son instruction, c’était incertain. Mais un jour, il a entendu un Son certain. Oh! Je me sens religieux maintenant. Oui, il a entendu un Son certain, car il a vu une–une Lumière suspendue dans un buisson. «Ôte tes souliers, là où tu te tiens, c’est une terre sainte.» Il a dit: «J’ai entendu les cris de Mon peuple, et Je me suis souvenu de Ma Parole.» Amen. Il n’y a rien d’incertain à cela. «Je me souviens de ce que J’ai dit à Isaac, Jacob et Abraham, et tous les autres. Je me souviens de Mes promesses. Je ne les oublie pas. J’ai vu les cris de ces gens, et l’heure est venue. Je vais t’envoyer, Moïse.»

            Moïse a dit: «Comment pourrais-je jamais y retourner?»

272      Ecoutez. «Je serai certainement avec toi.» Rien d’incertain à cela.

273      «Je serai avec toi, comme J’ai été avec Moïse. (Voyez?) Comme... Je serai avec toi.» Il n’y a rien d’incertain à cela. «Je serai avec toi.»

274      Des années plus tard, Il a dit à Josué: «Je serai avec toi comme J’ai été avec Moïse.»

            «Comment vais-je m’emparer de ces grandes villes fortifiées?»

            «Je... Ce n’est pas à toi de comprendre. Je serai avec toi comme J’ai été avec Moïse. Et tout lieu que foulera la plante de tes pieds sera ta possession. Continue seulement d’avancer. Voyez? Nul ne tiendra devant toi tant que tu vivras.» Rien d’incertain à cela. «Je serai avec toi. Je serai certainement avec toi», a dit Dieu à Moïse.

275      Maintenant, j’aimerais que vous remarquiez. Dès qu’un homme entend la Voix de Dieu, entend personnellement la Parole de Dieu... Bon, vous pouvez l’entendre. Vous dites: «Eh bien, Dieu doit venir me rencontrer.» Oui, oui, je pourrais rester ici et prêcher jusqu’à–jusqu’à ce que je tombe mort à la chaire, et d’ici dix, vingt, trente, cinquante ans, vous n’entendriez jamais cela à moins que Dieu vous révèle la Parole. Vous pouvez rester assis juste à votre place. Vous n’avez pas à être près d’un buisson ardent. Vous êtes peut-être plus près que vous ne le pensez. Restez simplement assis là et laissez Dieu vous parler, par la Parole.

276      «Je dois abandonner ce genre de vie que je mène. Je dois être en règle.» C’est Dieu, Dieu dans Sa Parole, se faisant connaître à vous. «Il me faut mettre ma vie en ordre avec Dieu.» C’est Dieu. C’est Dieu. C’est certain. «Je devrai mourir un jour.» Certainement, vous allez mourir un jour. «Je devrai en répondre au Jugement.» Certainement, vous allez en répondre au Jugement.

277      Alors, où est votre Jugement, là-bas au Trône, où vous n’aurez aucune miséricorde, ou au Trône ici, où vous pouvez obtenir miséricorde? Maintenant, c’est à vous de choisir. C’est l’arbre, comme dans le jardin d’Eden: L’un, de la Vie, et l’autre, de la mort. Si vous le reportez à plus tard, vous mourrez; acceptez cela maintenant et vivez. Maintenant, vous en êtes juge (Voyez?), c’est vous qui devez... Vous êtes le juge maintenant, mais Il sera le Juge en ce moment-là. C’est vous qui êtes juge maintenant, que vous le vouliez ou non. Il sera le Juge en ce moment-là, que vous receviez cela ou non. Il vous faudra donc vous décider de ce que vous voulez faire; mais ça vous regarde. Devant tout homme, comme pour Adam et Ève, le bien et le mal sont placés devant chaque personne, et c’est à vous de décider.

            «Je serai certainement avec toi.»

278      «Comment pourrais-je retourner dire à mon patron que je suis sauvé et rempli du Saint-Esprit?»

            «Je serai certainement avec toi.»

279      «Comment vais-je donc dire à mon mari que je vais arrêter ma méchanceté? Comment pourrai-je jamais faire cela?»

            «Je serai certainement avec toi.

280      «Comment puis-je dire à ma femme que je–j’ai vécu une mauvaise vie et que j’ai fait des choses vilaines? Comment pourrais-je jamais faire ça? Comment puis-je jamais me tenir de nouveau devant ma famille? Comment me croiront-ils encore, alors–alors qu’ils savent que j’ai blasphémé, que je me suis mal conduit, et que j’ai fait ces choses que j’ai faites, puis retourner leur dire que je suis un chrétien?»

            «Je serai certainement avec toi», a dit Dieu.

281      Ça vous fera faire des choses auxquelles vous n’auriez pas pensé. Regardez Moïse; combien cela l’a fait agir d’une façon radicale. Qu’a-t-il fait, cet homme âgé de quatre-vingts ans...

282      Vous direz: «Eh bien, Frère Branham, je serai bientôt un homme d’âge mûr, un vieil homme.» Oh! Votre âge m’importe peu, ça n’a rien à faire. Le jour où Dieu peut obtenir que vous soyez assez calme pour qu’Il vous parle, et que vous entendrez Sa Parole, c’est le jour où Il vous parle, peu importe votre âge. «Comment puis-je jamais faire cela, Frère Branham?»

283      Considérez Moïse, à quatre-vingts ans. L’Egypte avait conquis le monde entier, ils détenaient chaque... tous les secrets militaires et tout sous leur contrôle. Et Moïse plaça à califourchon sa femme sur une petite mule, mit Guerschom sur sa hanche à elle, et le voici s’en aller le lendemain matin, un bâton crochu en main, sa barbe blanche pendante comme ceci, et sa tête chauve reluisait probablement comme cela, et cette vieille mule traversait là. Tirant sa vieille mule, il criait: «Gloire à Dieu! Gloire à l’Eternel!»

            Quelqu’un lui a demandé: «Où vas-tu, Moïse?»

284      «Je m’en vais en Egypte faire la conquête.» Combien c’était ridicule!

285      Mais une fois qu’un homme parle à Dieu, et qu’il a la Voix de Dieu en lui, et la Parole de Dieu en lui... «Si vous demeurez en Moi (Jean 15), si vous demeurez en Moi et que Mes Paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé.» Voyez, il n’y a rien d’incertain, cela sera fait. C’est exact, rien de confus.

286      Moïse, vous... Mo–Moïse a peut-être dit avoir dit à Dieu: «Comment vais-je faire cela, faire l’invasion par un seul homme? Comment moi, un vieil homme de près de quatre-vingts ans, je peux... comment vais-je descendre là et combattre cette grande armée d’un million d’hommes et la conquérir?»

            «Je serai certainement avec toi.»

287      C’est tout ce qu’il lui fallait savoir. Le voilà partir. Le voilà partir. Il y va. Et il a aussi conquis. Pourquoi? Il était certain que le Son qu’il avait entendu était vrai.

288      Et le Son que vous entendez ce matin est vrai, parce que C’est la Parole de Dieu.

289      Les enfants hébreux à la fournaise ardente, comment savaient-ils qu’ils seraient délivrés? Ils ont dit: «Notre Dieu est capable de nous délivrer.» Il ne l’avait jamais fait auparavant. «Il est capable de nous délivrer de cette fournaise ardente. Mais, néanmoins, nous sommes certains qu’Il le peut.» Pas d’incertitude à ce sujet. «Nous connaissons Sa volonté, mais cependant, nous ne nous inclinerons pas devant votre statue.»

290      «Nous n’allons pas participer à ce festin. Nous n’allons pas fumer cette cigarette. Nous n’allons pas prendre ces boissons alcoolisées. Nous n’allons pas dire ces mensonges. Nous n’allons pas commettre adultère. Nous n’allons plus abandonner nos femmes, nos maris. Nous sommes certains que Dieu peut nous en délivrer.»

291      «Eh bien, si c’est le cas, ils vous excluront des jeux d’arnaque. Ils vous excluront des parties de cartes et de l’assistance aux femmes.»

            «Peu m’importe ce qu’ils me font. Dieu est capable de me délivrer.»

292      «Savez-vous ce qu’ils vont faire? Ils vous qualifieront de vieux jeu, si vous laissez pousser vos cheveux, si vous faites cela, qu’ensuite vous portez ces longs habits et agissez comme une dame. Savez-vous ce qu’ils vont faire? Ils vous qualifieront de vieux jeu.

293      «Peu m’importe ce qu’ils font. Mais Dieu est capable de me délivrer, et c’est ce que je poursuis aujourd’hui. Dieu est capable de me délivrer. C’est tout.»

294      «Eh bien, si vous ne portez pas des shorts ce prochain été, que dira Suzie?»

295      «Peu m’importe ce que Suzie dit. Je veux savoir ce que Dieu dit.» En effet, le son que rend Suzie est incertain. Mais Celui de Dieu est vrai. C’est un Son certain.» Il les a donc délivrés.

296      Combien Abraham était certain, après vingt-cinq ans d’attente, d’avoir cet enfant que Dieu lui avait promis? Pouvez-vous imaginer Abraham, un vieil homme, jouissant d’une bonne réputation parmi le peuple? Et un jour, Dieu lui a parlé, disant: «Abraham, Je vais faire de toi un père des nations, Je vais changer maintenant ton nom et t’appeler Abraham; d’Abram à Abraham. Et Je vais l’appeler S-a-r-a, S-a-r-a (princesse), plutôt que Saraï, et Je vais changer son nom. Et maintenant, vous êtes tous deux... Voyons, Abraham; tu as soixante-quinze ans et elle en a soixante-cinq. Tu vis avec elle depuis qu’elle avait environ seize ans, dix-sept ans; en effet, elle est ta demi-soeur. Et tu vis avec elle depuis tout ce temps; tu l’as épousée alors qu’elle n’était qu’une jeune fille. Et pourtant, tu n’as pas eu d’enfants, mais Je–Je vais le faire. Je vais te donner un–un enfant. Me crois-tu, Abraham?»

            «Oui, Seigneur, je Te crois.»

            «Eh bien, maintenant, ils vont–ils vont te taxer de fou.»

            «Oh! C’est en ordre, Seigneur! C’est bien.»

            «Dis-leur que tu auras un enfant.»

297      Eh bien, il s’est retourné, a empoigné Sara et lui a dit: «Ma chérie, tu sais quoi, nous allons avoir un enfant.»

            «Quoi, un enfant?»

            «Oui.»

            «Comment le sais-tu?»

            «Dieu l’a dit.»

298      «Amen. C’est vrai alors, chéri; nous allons l’avoir. Eh bien, maintenant, sais-tu ce que je vais faire? Donne-moi un peu d’argent; je vais aller acheter des chaussons, et je vais me procurer des couches et des épingles. Et nous allons nous préparer pour ce bébé (Voyez?), car il vient d’ici peu.» Oui, oui. Elle est donc descendue au magasin.

299      Je les entends descendre chez le médecin et dire: «Docteur, vous savez quoi? Nous aimerions que vous apprêtiez tout à l’hôpital; nous allons avoir un enfant.»

300      «Ah! Ah! Ah! Ah! Ah! Hem! Ah! Vous avez dit que votre nom, c’est quoi?»

            «Abraham.»

301      «Hem, oui. Oui, monsieur, vous allez devoir m’excuser, je suis pressé aujourd’hui.» Vous voyez?

302      Il se retire et dit: «Hé, vous feriez mieux d’envoyer chercher les autorités, de faire examiner la tête de ce vieil homme. Eh bien, il a soixante-quinze ans, et cette vieille assise là avec un châle sur son épaule, comme une petite grand-mère, elle dit qu’elle va avoir un bébé. Eh bien, n’est-ce pas–n’est-ce pas là le fils de Térach, qui est venu de Schinear pour s’installer là à la tour? C’est–c’est–c’est bien son fils, n’est-ce pas?»

            «Oui.»

303      «Eh bien, le pauvre vieil homme a pris trop de soleil. Il a attrapé une insolation. Il est un peu fou. (Voyez?) Ouais.» Mais c’est là un son confus.

304      Mais Abraham, lui, avait un Son certain: «Dieu l’a dit.»

305      «Eh bien, ont dit les autorités, c’est un vieil homme loyal. Je sais que, bien des fois, il a aidé les veuves. Il vient en aide. Ils–ils... Et elle est très gentille. Je ne veux pas les emprisonner ni rien. Ne les enchaînons pas à l’arbre et tout comme cela; ils deviendraient pires. Je vous assure, nous les tiendrons simplement à l’oeil, vous savez.» Et ils ont continué à les surveiller. «Oui, oui. Oui, oui.» Quel son confus!

306      Mais Abraham savait que ce Son-là était certain. Le premier mois passa. Alors, il a dit: «Comment te sens-tu, chérie? Y a-t-il un changement?» Maintenant, rappelez-vous, vous les dames, il y avait belle lurette qu’elle n’avait plus ses vingt-huit jours, quarante ans environ. Et ici elle en avait soixante-cinq. «Comment te sens-tu, chérie?»

            «Eh bien, chéri, il n’y a aucun changement.»

            «Gloire à Dieu, nous allons l’avoir, de toute façon. (Rien d’incertain.) Certainement. Je suis positif. Oui, oui. Je suis sûr que nous allons l’avoir.»

            «Comment sais-tu, Abraham, que tu vas l’avoir?»

            «Dieu l’a dit. Je vais l’avoir, de toute façon.»

307      Bon, le deuxième mois, le troisième mois, la première année. «Sens-tu un changement, chérie?»

            «Non.»

            «Rien n’est encore arrivé?»

            «Non, non.»

            «Eh bien, gloire à Dieu! Nous allons l’avoir quand même.»

308      «Hé, Abraham, j’ai appris ce que tu racontes, que vous allez avoir un bébé. Hee-hee-hee-hee!» C’est là un son confus. Voyez?

309      Mais Abraham avait déjà entendu un autre Son qui avait étouffé tous les autres. «Gloire à Dieu! Peu m’importe combien de temps nous attendons, nous allons l’avoir, de toute façon.»

            «Comment le sais-tu, Abraham?»

            «Dieu l’a dit.»

            «Eh bien, Il... Est-ce que Dieu est descendu te dire?»

            «Oui.»

            «Comment le sais-tu? Puis-je L’entendre?»

310      «C’est à moi qu’Il a parlé, pas à toi. Continue donc, a-t-il dit, continue, vieil incroyant! Tu ne crois pas, de toute façon. Je crois en Lui. (Voyez?) Continue donc à aller de l’avant. C’est ça. Nous allons avoir l’enfant, de toute façon.» Vingt-cinq ans passèrent.

311      Mais avant que n’arrive ce temps, ils ricanaient et se moquaient. Dieu a dit: «Tu sais quoi? Je vais simplement t’éloigner d’eux. Fais tes bagages, et autres, apprête-toi. Sors et sépare-toi de ce groupe d’incroyants. Je te donnerai une petite église, par ici, des gens qui te croiront. Eloigne-toi de ces vieilles dénominations froides et formalistes. Sors d’ici, marche avec Moi seul!» Dieu ne l’a jamais béni avant qu’il l’ait fait totalement. Il s’est séparé de toute incrédulité.

312      Et Il ne vous bénira jamais avant que vous fassiez la même chose. Débarrassez-vous de toutes ces vieilles superstitions, et de ce «peut-être que c’est ça, et peut-être que ce n’est pas ça.» Si vous êtes venu pour qu’on prie pour vous ce matin, venez avec une véritable foi. «Dieu l’a dit, et ça règle tout.» Et c’est ça, Dieu l’a dit. C’est tout ce qu’il y a à ce sujet. Dieu l’a dit. Il l’a dit, et ça–ça règle la question. Vous n’avez plus à discuter, à réfléchir. Très bien.

313      Bon, après vingt-cinq ans. Et Abraham était devenu à présent un vieil homme; il avait cent ans. Et Sara avait quatre-vingt-dix ans. Pensez-y donc: Une petite grand-mère, avec un petit châle sur son épaule, un petit chapeau contre la poussière. Et le grand-père, vous savez, comme ceci, il dit: «Comment vas-tu, chérie?»

            «Aucun changement.»

            «Nous l’aurons de toute façon. Gloire à Dieu!»

314      Un beau jour, comme il levait les yeux pour regarder, voici que venaient trois Hommes. Ils se sont arrêtés. Deux d’entre eux se sont dirigés vers Sodome pour y prêcher.

315      Il a dit: «Abraham, où est ta femme, Sara?» Oh! la la! Fiou! Maintenant, rappelez-vous, Jésus a dit que ça aurait de nouveau lieu, vous savez, ce même Ange. Il a reconnu que c’étaient des anges. Voyez? Il avait déjà entendu ce Son. Et quand il a entendu cet Homme parler, il y avait quelque chose à ce sujet, qui a fait qu’il a reconnu que C’était la même Voix. Voyez! Il a su que C’était la même Personne.

316      Il a dit: «Sara?» Il est entré discrètement dans la tente, il a dit: «Chérie, va très vite là dehors nettoyer l’âtre, très vite, fais sortir du... pétris de la pâte, ou–ou prends le morceau et mets-le dans le vieux tamis.» Vous vous rappelez cela. «Tamise un peu de farine.»

317      Combien d’entre vous, du Kentucky, se rappellent cela? Eh bien, oh! la la! vous devriez vous rappeler. J’ai vu maman prendre cette vieille histoire, la battre: Boum, boum, boum, et la travailler, et la travailler: Boum, boum, boum, en secouant cette farine, pour nous faire des gâteaux. Et puis, bouillir ces vieilles peaux de viande dans une poêle, vous savez, ou plutôt  dans un plateau de pain, et y verser de l’huile. Et des doliques et des navets verts; c’est très bon à manger. Ainsi donc, je... alors quand le cidre surissait, et qu’il tournait au vinaigre, vous savez, on prenait toute la moisissure qui était dessus, et on mettait un peu de vinaigre dessus. C’est bon. Puis, alors–alors...

318      Je vois Sara faire cuire ces gâteaux dans ce... juste comme... Et Abraham est sorti voir où il pourrait trouver un veau gras; et il l’a tué, il l’a amené et il l’a préparé.

319      Il est sorti, il a dit: «Il y a quelque chose de particulier dans cet Homme! J’ai déjà entendu cette Voix-là. Je vois que Ses vêtements sont pleins de poussière et autres. Il est assis là, se frotte le visage, et regarde tout autour comme cela. Mais, je vous assure, je reconnais cette Voix-là, car Elle n’est pas un son incertain. En effet, je L’ai entendue il y a vingt-cinq ans, et, chérie, nous avons cru Cela tout ce temps, donc tu vas... Il y a quelque chose de spécial chez cet Homme. Je ne sais pas pourquoi, mais il y a quelque chose à Son sujet, que je crois.»

320      Très bien. Quand donc il est sorti, il a pris un chasse-mouches et il a chassé toutes les mouches, vous savez, assis là pendant qu’Ils mangeaient. Donc, après un bout de temps, deux d’entre eux se sont mis à regarder vers Sodome, et ils y sont descendus. Un prédicateur moderne est allé là leur prêcher l’Evangile.

321      Donc Abraham était assis là avec cet Homme. Et Son dos était tourné à la tente. Il a dit: «Abraham, où est ta femme Sara?»

            Il a répondu: «Elle est dans la tente, derrière Toi.»

322      Il a dit: «A cette même époque, Je vais te visiter, selon la promesse que Je t’ai faite.» Il a alors su que ce Son-là était certain.

323      Qu’arriva-t-il? Immédiatement, après le départ de l’Ange, Sara devint une jeune femme, belle, rajeunie aussitôt, montrant ce qu’Il va faire à chaque Semence d’Abraham. Cette vieille grand-mère devint une jeune femme. Et Abraham, la bosse disparut de son dos, ainsi que sa barbe blanche; il était redevenu un jeune homme.

324      Et ils ont entrepris un petit voyage de trois cents miles [480 km] jusqu’à Guérar. Et une fois arrivés là-bas, Abimélec, le roi des Philistins là-bas, cherchait une épouse. Il voyait bien ces jolies femmes philistines autour de lui; en effet, elles étaient belles. Il avait donc regardé là autour et il avait vu toutes ces femmes philistines, et il avait dit: «Je ne peux simplement pas m’en choisir une, d’une manière ou d’une autre. Je...» Un jour, il a vu passer la petite Sara, alors âgée de cent ans, une petite mémé. Il a dit: «C’est celle que j’attendais. La voilà, c’est elle.» Donc, il l’a prise et allait l’épouser.

325      Et Dieu lui est apparu en songe et a dit: «Tu la prends?» Il a dit: «C’est la femme de Mon prophète, a-t-Il dit, tu es un homme mort.»

            Il a dit: «Seigneur, Tu connais mon intégrité.»

326      Il n’y avait pas d’incertitude là-dessus. «L’intégrité; Tu la lui rends, sinon Je n’exaucerai aucune prière que tu M’adresseras. Je n’écouterai rien à ce sujet, parce que c’est un prophète. Restitue-la, rends-la. En effet, Je... Il a besoin d’un peu d’argent; c’est pourquoi tout ceci est arrivé. Donc, il a besoin d’argent. Sors donc là et rends-lui sa femme. Sans quoi tu es un homme mort.» Il n’y avait rien d’incertain en cela, parce que Dieu avait rendu stérile le sein de tout ce qu’il avait. C’est tout à fait vrai.

327      Il est sorti et a dit: «Abraham, pourquoi as-tu fait cela?»

328      Il a répondu: «Eh bien, elle est ma soeur, comme je te l’ai dit, mais a-t-il dit, elle est devenue ma femme.» Et puis, il a continué.

329      Maintenant, qu’était-il? Puis, quand cet enfant est né, après toutes ces années, quand ils sont revenus, un jour Dieu a dit: «Amène-le sur la montagne, tranche-lui la gorge.» Oh! la la!

330      Genèse 22; il a amené cet enfant là-haut. Il a pris le petit Isaac, oh! il n’était plus un bébé; il avait environ quatorze ans; il a renvoyé en arrière ses petits cheveux bouclés, comme cela, il a fait sortir le couteau, la vieille main de ce vieux père tremblait; sans doute qu’il a ravalé difficilement la salive, la gorge serrée, vous savez. «Mon unique fils que j’ai attendu pendant toutes ces années. Oh! la la! Je n’ai jamais eu de garçon. Regardez-le! Regardez-le! Voici, c’est mon unique fils, un pauvre petit gars. Mais, ô Dieu, Tu m’as demandé de le faire. Je sais me confier en Ta Parole. Je ne sais comment Tu vas T’y prendre. Mais, Seigneur, Tu me l’as donné, comme venant des morts.»

331      Eh bien, si vous voulez noter cela, c’est dans Hébreux 11.17-19. Lisons cela, et alors, nous comprendrons cela. Hébreux 11.7 à 19. Nous sommes sur le point de terminer juste dans une minute: Hébreux 11.17. Très bien:

          C’est par la foi qu’Abraham offrit Isaac, lorsqu’il fut mis à l’épreuve, et qu’il offrit–offrit son fils unique, lui qui... reçu la promesse... avait reçu la promesse,

          Et à qui il avait été dit: En Isaac sera nommée pour toi une postérité.

          Il pensait... (verset 19) Il pensait que Dieu est puissant, même pour ressusciter les morts; aussi le recouvra-t-il par une sorte de résurrection.

332      Abraham a dit: «Seigneur, si Tu as... Autrefois, quand j’étais stérile, je n’avais rien. J’étais un pécheur. Et Tu as fait de moi quelqu’un; Tu m’as fait une promesse. Et la voici, Tu m’as donné ce garçon. Et je l’ai attendu pendant  vingt-cinq ans. Et maintenant, quatorze ans plus tard, eh bien, voici qu’il est devenu un jeune homme, juste la fierté du coeur de sa mère. Je l’ai fait sortir discrètement de la maison, garder... La mère ne comprendrait pas cela. Mais je Te comprends, Seigneur, je sais que Ta Voix est la Vérité. Maintenant, Tu me demandes de l’offrir, de le tuer. Et Tu m’as dit que par moi... que moi, je deviendrais le père d’une multitude de nations par ce garçon, que Tu prendrais ce garçon, et que par lui... Quand Tu m’as fait la promesse, que Tu as divisé ces morceaux de viande ce jour-là, et que cette petite Lumière blanche est passée entre les morceaux, Tu m’as fait une promesse, en rapport avec ce fils-ci, que Tu susciterais Ton propre Fils. Amen. Tu susciterais Ton propre Fils, et qu’à travers la semence de mon fils Tu susciterais Ton Fils, et Il sauverait toutes les nations. Je ne sais comment Tu vas le faire, Seigneur, ce n’est pas mon affaire. Mais j’en connais la certitude. Je connais la certitude de Ta promesse, et je suis persuadé que je l’ai reçu comme provenant des morts. Et je suis pleinement persuadé que Tu es capable de le ressusciter des morts. Et, par la foi, Tu pourrais le ressusciter de nouveau. Je Te prendrai au Mot, Seigneur.»

333      Il a tiré le couteau, Il a dit: «Au revoir, Isaac», après l’avoir embrassé. Il a retiré et...

334      Dieu a dit: «Attends une minute, Abraham. Attends une minute. Je sais que tu crois en Moi. Je sais que tu M’aimes. Retiens ta main.»

335      A cet instant, il a entendu du bruit derrière lui, il a regardé, et un bélier se trouvait là, pris dans un buisson. D’où venait ce bélier? D’où venait-il? Il était à cent miles [160 km] de toute civilisation, là dans le désert, où il y a des lions, des loups, des chacals, et toutes les bêtes du même genre, qui tuent les moutons. Et puis, il se trouvait tout au sommet de la montagne, où il n’y a pas d’eau ni rien d’autre là-haut qui puisse permettre à un mouton d’y vivre. Et une minute avant, il n’était pas. Et une minute après, il s’est retourné pour voir, il était là. Jéhovah-Jiré, Dieu peut...

336      Abraham a levé les yeux et a dit: «Tu es Jéhovah-Jiré.» Que signifie Jéhovah-Jiré? «Tu peux pourvoir à tout ce que Tu dis. Si Tu le dis, cela s’accomplit. Tu es capable de le faire.»

337      Il... Qu’a-t-Il fait? Il avait dû entendre le même son que Noé avait entendu: «Comment va-t-Il pouvoir tirer de l’eau du ciel?»

338      «Je ne sais pas. Mais Il est Jéhovah-Jiré, Il peut pourvoir de l’eau là-haut.»

339      Comment va-t-Il soulever un homme de cette terre et l’emmener dans la Gloire? Je ne peux vous le dire. Nous pesons. «Je pèse 150 livres [68 kg].» Je pèse 200 livres [90 kg].» Peu importe votre poids, Il est Jéhovah-Jiré. Comment le transport va-t-il se faire? Je ne peux pas vous le dire, mais Il aura un transport là. Et c’est de là que ça vient.

340      Je dis ceci pour mes frères de couleur qui sont assis ici ce matin. Là dans le Sud, il y avait un vieil homme de couleur qui transportait une Bible partout. Il a dit... Et son patron se moquait de lui parce qu’il disait qu’il avait une religion qui touche le coeur.

            Il a dit: «Une religion qui touche le coeur, ça n’existe pas.»

341      Il a dit: «Patron, il vous manque une seule chose.» Il a dit: «Une religion qui touche le coeur n’existe pas, à votre connaissance.» Voyez? Mais il en savait plus que ça.

            Il a dit: «Que vas-tu faire de cette Bible? a-t-il dit. Tu ne sais pas lire.»

342      Il a répondu: «J’y crois, a-t-il dit, j’y crois d’une couverture à l’autre; et je crois aussi la couverture, a-t-il dit, car il y est mentionné Sainte Bible.

            Il a dit: «Je présume que tu crois toutes les histoires qu’on y raconte?»

            Il a répondu: «Oui, monsieur, a-t-il dit, je crois tout ce que Dieu a dit. Et tout ce que Dieu me dit, je le crois.»

343      Il a dit: «Eh bien, eh bien, Sambo, écoute, tu ne peux pas agir comme cela.» Il a dit: «Et si Dieu te demandait de passer au travers du mur de pierre qui est là, le ferais-tu?»

            Il a dit: «Oui, monsieur, je foncerais droit dans le mur de pierre.»

344      Il a dit: «Comment vas-tu passer à travers ce mur de pierre, sans ouverture dedans?»

            Il a dit: «Si Dieu me demande de passer à travers ce mur, Il y percerait un trou quand j’y arriverais.» C’est donc ça. C’est ça.

345      Dieu tiendra Sa Parole. Il n’y a pas d’incertitude là-dessus. Quand la trompette de Dieu sonne à vos oreilles, la trompette de l’Evangile, c’est certain. Amen. Accrochez-vous à tout cela. Oh! Oh! C’est certain!

346      Pourquoi tous ces gens maintenant... Nous dépassons l’heure, juste un commentaire de plus, ou plutôt deux Ecritures ici, que je pense avoir notées. Pourquoi tous ces gens ont-ils tous agi de la sorte? C’est parce qu’ils avaient entendu la Voix de Dieu. Eh bien, très rapidement maintenant, pour terminer pratiquement dans trois ou quatre minutes.

347      Jésus, quand Il était ici-bas, Il a dit: «J’ai le pouvoir de donner Ma Vie, J’ai le pouvoir de La reprendre à nouveau.» Eh bien, il n’y avait rien d’incertain à ce sujet. «J’ai.»; pas «J’aurai», mais: «J’ai maintenant.» «J’ai le pouvoir de donner Ma Vie, J’ai le pouvoir de la reprendre.» Très bien.

348      Marthe, après avoir perdu son frère Lazare, elle L’avait entendu dire: «J’irai le ré-... réveiller.» Il a dit: «Où l’avez-vous enterré?» Or, Il...

349      Elle avait envoyé Lui dire: «Jésus, viens guérir mon frère, il est malade.» Jésus n’a point prêté attention à cela; et Il a continué Son chemin. Elle L’a encore envoyé chercher, elle et Marie. Il a continué Son chemin, Il n’a point prêté attention à cela.

350      Ensuite, peu après, Lazare est mort, on l’a mis dans la tombe. Il sentait déjà, c’était depuis quatre jours qu’il était là. Son nez s’était affaissé, les vers grouillaient en lui, et tout, il était enveloppé dans ces linges et autres. On avait placé une pierre à l’entrée de sa tombe. En Orient, quand on enterre le mort, on creuse simplement un trou, et puis on place une pierre dessus, à l’entrée de celle-ci. Et c’était là la tombe.

351      On a donc dit, tout à coup, vous savez, on a dit: «Jésus vient.» Marthe s’est donc couverte de son petit châle, puis elle est descendue dans la rue, cette belle jeune fille. Elle est descendue en courant. Elle a dit: «Seigneur!» Considérez cette approche. Elle avait entendu un Son, un jour, et il était certain. Elle savait qu’il y avait quelque chose en Lui. Elle a dit...

352      Eh bien, que serait-il arrivé si elle était allée pour dire: «Nous avons quitté notre dénomination parce que Tu as prêché contre elle. Et nous avons fait tout ceci parce que Tu as fait ceci et cela. Et nous avions la foi en Toi. Eh bien, nous sommes le–nous sommes le sujet de conversation de la ville. Tout le monde dit: ‘Où est votre Saint Exalté de Pasteur maintenant? Voyez? Il y a un besoin de quelque chose. Où est-Il? Il s’est sauvé. Vous voyez? Où est-Il? Où sont ces guérisseurs divins?»

353      Frère Wright, te rappelles-tu que les prédicateurs de l’Eglise de Christ et les autres t’avaient dit cela là-bas? Oui, monsieur.

354      «Où sont-ils? Où? C’est quoi tout ça? Qu’est-ce donc que tout cela?» Vous voyez?

355      Donc, après un bout de temps, il semble qu’elle aurait eu le droit de Lui faire des reproches et de Lui dire un mot du genre: «Pourquoi n’es-Tu pas venu quand je T’ai appelé?» Mais, voyez, ce n’est pas la manière d’approcher Dieu.

356      Ne posez pas des questions. Sachez que le Son est certain. Avancez-vous carrément, dites: «Oui, Seigneur.»

357      «Seigneur, si–s’ils m’imposent les mains, comment vais-je savoir que je vais me rétablir?» Ce n’est pas votre affaire. Voyez?

358      Tout ce que vous faites, c’est reconnaître ce Son certain, que Dieu l’a dit, et laissez cela et continuez votre chemin. Dieu l’a dit. Voyez? Oui, oui, C’est la Parole de Dieu.

359      Eh bien, alors, tout à coup, vous savez, la petite Marthe a couru là et a dit: «Seigneur!» Oh! J’aime cela. Voyez, elle L’a appelé par Son titre. Il était son... «Seigneur, si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort.» Voyez? Elle a dit: «Maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» Rien d’incertain là-dessus. Non. Voyez? Voyez?

360      C’est quand deux positifs se rencontrent. Voyez? C’est quand deux omnipotents se rencontrent. Voyez? Quand l’omnipotence qu’elle avait, elle avait une foi parfaite et omnipotente en Christ; et Christ était omnipotent. Voyez? Elle avait une foi parfaite et sans limite en Christ, qu’Il était le Seigneur, et savait que tout ce qu’Il demanderait à Dieu, Dieu le Lui accorderait. En d’autres termes, elle a dit: «Prononce simplement la Parole, c’est tout ce que Tu as à faire. Tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» C’est sur... C’est–c’est de l’omnipotence, de la toute-puissance. En effet, «Il l’a simplement prononcé.» Voyez? Très bien. Et Il était Tout-Puissant. C’est lorsque deux puissances, deux puissances omnipotentes se rencontrent, cela établit donc un contact.

361      Quand une ligne ici possède un courant de 150 volts, et que cette autre possède 150 volts, une fois qu’elles sont reliées, vous avez 150 volts dans les deux sens. Voyez?

362      Et quand vous avez la puissance suprême... Quand Jésus a dit: «Imposez les mains aux malades, et les malades seront guéris», et que vous avez la foi suprême dans cela, que c’est la vérité, vous avez alors besoin d’un Dieu suprême qui a fait une promesse suprême, et il se produira un résultat suprême. Amen. C’est ça. Voyez?

363      Maintenant, observez-la. Elle est venue; elle a dit: «Seigneur, si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»

            Il a dit: «Ton frère ressuscitera.»

364      Elle a dit: «Il est vrai, Seigneur, qu’il ressuscitera à la fin, dans les derniers jours.» Pourquoi? Elle avait entendu cette Parole. Elle savait que c’était un Son certain. «Assurément, Seigneur, il ressuscitera, dans les derniers jours. C’était un bon garçon. Il ressuscitera à la résurrection générale, dans les derniers jours.»

365      Jésus a dit: «Je suis...» (Rien d’incertain en cela.) Je suis la Résurrection et la Vie.» Fiou! «Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort. Quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais.» Rien d’incertain en cela. «Crois-tu cela?»

366      Elle a dit: «Oui, Seigneur, je crois que Tu es exactement ce que Tu as dit être. Tu es le Fils de Dieu qui est venu dans le monde, pour nous sauver. Et je crois que tout ce que Tu fais ou dis est simplement parfait. Il n’y a pas du tout d’incertitude à Ton sujet.»

            «Où l’avez-vous mis? Je vais aller le réveiller.»

367      Eh bien, pas–pas: «Je vais voir si Je peux. Je vais essayer. Je vais voir ce que Je peux faire à ce sujet.» Non, rien d’incertain. «Je vais le réveiller.»

368      Pourquoi? Le Père Lui avait parlé, et Il avait la promesse de Dieu, laquelle était véridique. Il avait la promesse de Dieu. En effet, Il a dit dans Jean 5.19 que «le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.» Il avait déjà eu la vision de ce que Dieu allait faire, ainsi Il en était sûr. Pas d’incer-...

369      «Je ne vais pas essayer. Je vais faire cela.» Amen, amen, amen! Oh! Je souhaiterais pouvoir prendre cela comme on prend un tire-bouchon, et le visser dans chacun. Voyez, pas: «Je vais essayer, Je vais voir si Je le peux.» «Je le peux. Je vais le réveiller. Je n’irai pas essayer. Je vais le faire. Je vais le réveiller», et Il l’a fait. Oh! la la! Rien d’incertain. Non, non. «Je ne vais pas essayer. J’en ai la promesse.»

370      Et–et–et quand Il est donc parti, Il ne nous a pas abandonnés, vous dites: «Eh bien, maintenant, je vais vous dire quoi, allez par tout le monde et faites de grandes organisations. Et, oh! vous en aurez des centaines, mais ça sera bien.» Eh bien, cela aurait été incertain. C’est ce que l’homme a fait.

371      Mais voici ce qu’Il a dit avant de partir, pour être certain que nous ne serions pas séduits. Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus. (Ce sont là les incroyants, ceux qui sont bloqués par l’incrédulité). Ils ne Me verront plus. Mais vous, vous Me verrez, car Je–Je–Je  serai avec vous, et même en vous, jusqu’à la fin du monde.»

372      Dans Jean 14.12, Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, et vous en ferez de plus grandes (davantage).» Le mot qui est là, absolument, consultez en grec, il est dit: «Vous en ferez davantage.» Pourquoi? Il était... Dieu était dans un seul Homme; maintenant, Dieu est dans Son Eglise entière. Vous voyez? Dieu était alors dans un seul Homme; et maintenant, Il est dans tous les hommes qui croient en Lui. «Vous ferez davantage que celles-ci, car Je m’en vais au Père. Je vais retourner à la Lumière que J’étais, qui conduisait les enfants d’Israël dans le désert. C’est à Cela que Je vais retourner. Et alors, encore un peu de temps, et Je reviendrai.» Voyez, Jean 14.12: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais», et Il a donc dit: «Et davantage que celles-ci.»

373      Dans Marc 16, alors qu’Il s’en allait, Il a dit: «Allez par tout le monde, et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné. Voici les miracles qui accompagneront.» Peut-être? Non. «Qui accompagneront...» Ils sont certains.

374      «Eh bien, vous savez, nous croyons ça, mais, bien sûr, nous vivons en un autre jour», disent les dénominations. C’est incertain.

375      Mais Jésus a dit: «Ils vont... Ils vont assurément accompagner ceux qui auront cru.» Que feront-ils? «Ils chasseront les démons, ils parleront de nouvelles langues, ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Ô frère!

376      Non pas: «Ils... Ils vont peut-être faire ceci. Ils–ils pourraient changer ça et en faire une dénomination.» Non, non. «Voici les miracles; eh bien, ce sera toujours les croyants.» Oh! Non, non, non.

377      «Voici les miracles qui vont certainement les accompagner.» Il est toujours le même Dieu. Il n’est pas mort. Comment le code chrétien peut-il déclarer qu’Il est ressuscité des morts, et puis nier qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement?

378      Dans Matthieu 17, maintenant, vous tous qui aimeriez noter ça. Maintenant, 17, Matthieu 17.2, vous y trouvez la transfiguration. Eh bien, si vous prenez, si vous avez le lexique grec, examinez cela là. En rapport avec la transfiguration, il est dit: «Et Il fut transformé.» Je crois que c’est... Laissez-moi voir si j’ai ça maintenant même. Matthieu 17. J’ai tout ça ici.

          Six jours après, Jésus prit avec lui Pierre, Jacques, et Jean, son frère, et Il les conduisit... sur une haute montagne.

          Il fut transfiguré devant eux...

379      Or, savez-vous ce que le véritable grec dit qu’Il a fait? En étant transfiguré devant eux, Il changea Son apparence.

380      Oh! Combien de temps avons-nous? [Frère Neville dit: «Toute la journée.» L’assemblée dit: «Amen.» — N.D.E.] Supportez-moi juste–juste encore un petit–petit–petit peu, je dois juste faire entrer ceci. Quelque chose vient de me saisir si fortement, que je dois à tout prix le dire. Pardonnez-moi. Eh bien, le–le dîner, les haricots ne vont pas brûler. Allons simplement–simplement de l’avant. Très bien.

381      Il est toujours le même. Il n’a jamais changé. Il est toujours le même. Hébreux 13.12 et 13 dit: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Maintenant, suivez. Si nous croyons qu’Il est ressuscité, s’Il n’est pas mort, alors, Il n’est pas dans la tombe, Il est vivant, Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Vous croyez cela, n’est-ce pas? [L’assemblée dit: «Amen.» — N.D.E.]

382      Eh bien, qu’a-t-Il fait ici quand Il fut transfiguré? En grec, c’est dit: «Il a changé Son apparence.» Oh! Considérez–considérez l’ordre de la résurrection. C’est ce qui m’a saisi tout à l’heure. Remarquez. Qu’est-ce qui est apparu en premier?

383      Ici, dans le chapitre qui suit, le chapitre 16, Il leur a dit: «Quelques-uns de ceux qui sont ici ne mourront point qu’ils n’aient vu le Royaume de Dieu venir en puissance.» Ce qu’ils feraient, en d’autres termes, ils verraient un avant-goût du Royaume de Dieu, ils connaîtraient l’ordre de la résurrection et la Venue de Dieu. Voyez? C’est au chapitre 16.

384      Eh bien, Il monte là-haut, et Il... Que s’est-il passé? Son apparence a été changée. En d’autres termes, Il s’est révélé sous un autre aspect. Me suivez-vous? [L’assemblée dit: «Amen.» — N.D.E.]

385      Qu’avons-nous vu qu’était une révélation, l’autre soir, selon l’Apocalypse, la signification de l’Apocalypse? Un sculpteur, ça a été fait ici, il a fait quelque chose, et puis, ce qu’il fait, c’est qu’il ôte tout simplement le voile et dit: «Le voici.»

386      Que refaisait-Il ici? Il se révélait sous une autre apparence. Sous quelle apparence était-Il? Dans une forme glorifiée, transfigurée, Sa Venue, la façon dont Il revient; un Christ glorifié, transformé. Son vêtement resplendit comme le soleil. Oh! la la! Il était dans la Nuée; et Il vient sur les nuées de Gloire, couvert d’une Nuée. Non pas un petit cumulo-nimbus blanc là-bas, mais la nuée sur laquelle Il revient est une Nuée de Gloire, tous ces anges avec Lui. Alléluia! Oh! la la! C’est comme ça qu’Il revient, Il revient sur une Nuée de Gloire.

387      Maintenant, remarquez, quand ils Le virent se tenir là. Avant cela, Moïse et Elie Lui sont apparus. Observez cela.

388      Que représentait Moïse? Moïse, c’était... représentait ceux qui étaient morts et qui reposaient dans la tombe. En effet, Moïse est mort et a été enterré, personne ne sait où il a été enterré. Mais il représentait ceux qui dorment, quand Il reviendra.

389      Et Elie représentait ceux qui sont enlevés, ceux qui n’ont pas eu à mourir. Voyez? Vous y êtes.

390      Et Pierre, Jacques et Jean représentaient ce reste d’Israël qui est là et qui dit: «Voici, c’est notre Dieu, en qui nous avons cru.» Ce sont là vos cent quarante-quatre mille (Où êtes-vous, Frère Wood? C’est ça). Voyez? Vous y êtes: Pierre, Jacques et Jean. Trois, un témoignage à donner quand Il reviendra.

391      Quelle était la première chose? La résurrection, Moïse et (conjonction) Elie Lui sont apparus. Voyez, la résurrection des morts, et ceux qui n’ont pas à mourir ont été changés et ils se sont tenus là dans Sa Présence. Oh! la la!

            Et voici qu’Il se tenait là, glorifié.

392      Et là étaient Pierre, Jacques et Jean, le reste des Juifs, qui regardaient, disant: «C’est Lui. C’est Lui.» C’est l’ordre de la Venue du Seigneur. Voyez-vous cela? C’est là, la résurrection. Ils étaient là. Oh! N’est-ce pas merveilleux!

393      Maintenant, remarquez, tout ce qu’Il a fait, c’est qu’Il a enlevé Son masque d’humanité et a pris l’état glorifié. Voyez, Il a changé Son apparence.

394      Eh bien, non pas–non pas trois personnes, comme aujourd’hui les dénominations essaient de nous le dire. Ô frère! Non pas trois Personnes, non pas trois... changement... Non pas trois Personnes, mais trois changements de la même Personne. Oh! la la! Bonté divine! Une fois, Il est apparu comme un Père. Il a ôté le masque, Il était un Fils. Maintenant, Il ôte le masque de chair, et Il est le Saint-Esprit. Pas trois Dieux, mais trois changements du même Dieu. Oh! Béni soit le Nom du Seigneur! Trois changements de la même Personne. Voyez?

395      Maintenant, quand Il était sur la terre, Il était la Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël. Est-ce vrai? Ensuite, Il a été fait chair, dans le Fils de Dieu, afin de goûter la mort pour la race humaine entière, de faire l’expiation. Croyez-vous cela? Eh bien, qu’est-Il aujourd’hui? Le même Jésus. Le même (Quoi?) hier dans la dispensation de Père, le même dans la dispensation de Fils, le même ici sous la forme du Saint-Esprit; la même Lumière.

396      Paul, sur le chemin de Damas, a été terrassé par une Lumière, et il a dit: «Qui es-Tu, Seigneur?»

            Il a dit: «Je suis Jésus.» Oui, oui.

397      C’est vrai. Qu’est-ce? Il a ôté trois fois Son masque.

398      Il a ôté Son masque de la Colonne de Feu, et Il est devenu (Quoi?) un Homme, pour ôter le péché.

399      Ensuite, Il a enlevé Son masque, en tant qu’Homme, et Il est redevenu l’Esprit, appelé le Saint-Esprit; l’Esprit d’un Homme, pour revenir et être sur vous, et en vous, et les mêmes oeuvres... Mmm. Voyez-vous cela, église? Il n’y a rien d’incertain en cela. «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin de la consommation, la fin du monde, la fin des temps, la fin de toutes choses. Je serai juste avec vous, faisant les mêmes oeuvres.» Eh bien, il n’y a aucune incertitude là-dessus.

400      Mais vous avez entendu quelques-uns d’entre eux dire: «Eh bien, vous devez être un presbytérien. Vous devez être un méthodiste. Vous... C’est nous les baptistes qui avons la chose. C’est nous les pentecôtistes qui avons la chose.» Tout cela est faux. Ce sont des mensonges. C’est incertain. Comment les pentecôtistes peuvent-ils avoir cela, la dénomination pentecôtiste, alors que parmi eux il y a environ trente différentes organisations? Laquelle serait la vraie? Comment les méthodistes peuvent-ils avoir cela, alors qu’on a les Primitifs, les Méthodistes libres, et beaucoup d’autres méthodistes? Et soixante et quelques organisations différentes de baptistes, je pense, et autant d’organisations différentes des catholiques, et ainsi de suite; où sont-elles toutes? Laquelle serait la vraie? Ce sont des sons confus.

401      Mais quand vous L’entendez dire: «Je suis le même hier, aujourd’hui et éternellement», là, c’est un Son certain.

402      Alors, qui saura comment se préparer si la trompette rend un son confus? Qu’est-ce? Où peuvent... Comment peut-on se préparer? Comment peut-on le faire alors qu’il y a neuf cents organisations différentes? Très bien, on ne le peut pas.

403      Quand Il a dit, dans Actes 2.38: «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés», il n’y a pas d’incertitude là-dessus. «Vous recevrez le don du Saint-Esprit.» Non pas: «Vous recevrez peut-être, vous devriez peut-être», mais: «Vous recevrez.» Quand? Quand vous vous serez repentis. Eh bien, si vous pouvez y entrer sans vous repentir, vous ne Le recevrez pas. Mais quand vous vous repentez à fond et que vous croyez au Seigneur Jésus-Christ, vous allez Le recevoir. Il n’y a rien d’incertain. «Vous recevrez le don du Saint-Esprit.» Est-ce vrai?

404      Quand Il a dit: «S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris. Tout ce que vous demanderez en Mon Nom, Je le ferai», il n’y a rien d’incertain. C’est certain, ces signes. «Je serai avec vous.»

405      Maintenant, vous dites: «Eh bien, notre église ne croit pas en ce genre de choses.» Eh bien, c’est vraiment un son confus.

406      La Bible déclare qu’Il a Lui-même dit: «Je serai avec vous. Et les oeuvres que J’ai faites autrefois, Je les ferai toujours en vous, et Je serai avec vous, jusqu’à la fin du monde. Et ceux qui croient en Moi, quand ils leur imposeront les mains, s’ils sont malades, ils seront guéris. Ils le seront.» Pas: «Peut-être qu’ils le seront.»

407      «Jones l’a été, mais pas Johnson.» Ça n’a rien à voir. Si Johnson avait cru comme Jones, il aurait aussi été guéri. Est-ce vrai?

408      Rien d’incertain, rien d’incertain.

            «Je ne rejetterai pas celui qui vient à Moi.» Il n’y a rien d’incertain.

409      «Eh bien, maintenant, Il pourrait ne pas me recevoir.» Oh! Vous, pauvre personne, qui vous faites des illusions!

410      Ecoutez, laissez-moi vous dire, en tant que Son serviteur, qu’il n’y a personne qui peut venir à Lui sans qu’Il ne le reçoive. «Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige.» Il n’y a rien d’incertain. «J’en pardonnerai une partie; vous avez peut-être fait ceci et cela, et Je vous en voudrai»?

            «Ils deviendront blancs comme la neige!»

411      «Eh bien, Il ne me pardonnera pas ce que j’ai fait à mon mari, ce que j’ai fait à ma femme, ce que j’ai fait à ma soeur, ce que j’ai fait à mon frère, ce que j’ai fait.»

412      Peu m’importe ce que vous avez fait. Il n’y a rien d’incertain. Il pardonnera tout. «S’ils sont rouges comme la pourpre, ils seront blancs comme la laine.» Il n’y a rien d’incertain.

413      «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin... (Maintenant, écoutez donc, écoutez, vous trinitaires ex–extrémistes), en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» Cette même prescription marchera pour toutes les généra-...

414      Pas: «Il se pourrait. Ça va–ça va changer, après un bout de temps, en Père, Fils, et Saint-Esprit.» Vous, pauvre enseignant avec des illusions!

415      Dieu ne peut changer. Il est infini. La prescription marche toujours, pourvu que vous l’appliquiez correctement. Oui, oui. «Eh bien, repentez-vous, et soyez baptisés au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit.» Car, c’est quoi? Cette prescription, ce baptême, ce genre de baptême, ce Saint-Esprit, cette même puissance. Pas une simple poignée de main en disant: «Je vais tourner une nouvelle page et faire mieux.» Non, non. «Vous recevrez le don du Saint-Esprit; et la puissance de Dieu viendra sur vous, changera vos voies, vous parlerez en langues, vous imposerez les mains aux malades, vous chasserez les démons, vous ferez ce qu’ils ont fait.»

            Pour combien de personnes, combien de temps?

416      «Jusqu’à la fin des disciples.» Vous êtes un faux prophète si vous dites ça. Vous êtes un faux docteur si vous le dites.

417      Car Jésus-Christ, nous enseigne la Bible, est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et ici, les apôtres ont dit ici que «la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi... (Dites-le avec moi) [Frère Branham et l’assemblée terminent de citer Actes 2.39, à l’unisson. — N.D.E.] ... en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» Combien? Pour chaque âge, chaque génération, chaque couleur, chaque credo, tout ce que vous voudrez, en aussi grand nombre que Dieu appellera. Et si Dieu vous appelle, Il vous ordonne de vous faire baptiser au Nom de Jésus-Christ et de recevoir le Saint-Esprit. Ensuite, Christ Lui-même vit en vous, et il n’y a pas de son confus, il n’y a pas d’incertitude à cela. Vous avez la Bible. Oh! Restez avec Elle. Vous pouvez En vivre. Vous pouvez mourir avec Elle. Vous ressusciterez avec Elle. Gloire! C’est la Parole de Dieu. Fiou! Oh! la la!

418      Comme Rebecca, qui a abreuvé le chameau, le chameau même qu’elle a abreuvé est celui sur lequel elle a chevauché pour aller à la rencontre de son époux. Le Dieu même que nous prêchons, la Parole même qui est Dieu, le Dieu même qui est dans la Parole, nous ressuscitera un jour par le baptême du Saint-Esprit. Et nos critiqueurs seront détruits par la même puissance qui vous enlève dans la Gloire.

            Voyez? Oh! la la! Levez-vous et chevauchez là-dessus.

            Vous qui êtes malades, ne doutez pas de Dieu.

419      Est-ce que Léo et les autres... Je ne sais pas s’ils l’ont fait. Ont-ils distribué des cartes de prière? Y en a-t-il de distribuées? Billy n’est pas venu ce matin; il–il a attrapé un rhume hier. Et il–il... Très bien. Bon, alors, on n’en aura pas besoin. On n’en aura pas besoin. Ecoutez.

420      Ce que j’ai prêché, croyez-vous que c’est la vérité? Le croyez-vous de tout votre coeur? Est-ce un Son confus pour vous?

421      Quel son cela rend? La première commission que Jésus a donnée à Son Eglise, dans Matthieu 10: «Allez, et–et ces...» Oui, je ne le lis pas, je le cite simplement, Matthieu 10. Je peux avoir ça ici. Il rassembla Ses douze apôtres et leur donna le pouvoir contre les esprits impurs, de chasser les mauvais esprits, de guérir les malades et de ressusciter les morts, de chasser les démons, et de guérir les lépreux. Est-ce vrai? En amenant les gens à y croire, puis en leur imposant les mains. En amenant les gens à y croire, puis en leur imposant les mains. En amenant les gens à y croire, et en leur imposant les mains. Etait-ce là Sa première commission, quand Il a envoyé les soixante-dix?

422      Quelle était la dernière commission qu’Il a donnée? Marc 16, les dernières Paroles qui sont sorties de la bouche de notre Seigneur, quand Il a commissionné Son Eglise: «Allez par tout le monde, prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, celui qui ne croira pas sera condamné.»

423      Maintenant, rappelez-vous: «Il pourrait être condamné, il pourrait avoir une chance?» Il n’aura pas la moindre chance. Il n’y a pas de son confus là-dessus. S’il ne croit pas, il sera condamné.

424      Bon, quel genre de miracles vont les accompagner? Voici les miracles... «Eh bien, ils vont accompagner quelques-uns d’entre eux; c’est possible qu’ils accompagnent; ils vont peut-être accompagner.» «Voici les miracles qui les accompagneront: Ils croiront en la guérison. Ils croiront au fait de chasser les démons. Ils croiront au parler en langues. Oh! Ils croiront dans toutes les oeuvres surnaturelles de Dieu, le Jésus ressuscité agissant parmi eux.» N’est-ce pas là la vérité? N’est-ce pas là la dernière Parole de Dieu? Alors, maudit soit celui qui essaie d’ajouter à cela ou d’en retrancher. C’est comme ça. C’est comme ça.

425      L’église pentecôtiste n’était-elle pas une église bruyante, quand le Saint-Esprit est descendu pour la première fois au tout début? La vierge Marie, comme si elle avait été ivre, titubait sous la puissance de Dieu, et tous les autres pareillement. Et les gens disaient: «Ils sont pleins de vin doux.» C’est comme ça que l’Eglise a été ordonnée. C’est ainsi que chaque église a été ordonnée. Chaque fois que Dieu aura une Eglise, ce sera le même genre d’Eglise. En effet, elle n’a aucun son confus.

            «Bien, bien, notre évêque dit...»

426      Ce que l’évêque dit m’importe peu, c’est ce que la Parole dit qui compte. L’évêque a un son confus. Si son son émet la même chose que ceci, il a raison. Et donc, si l’église n’agit pas comme elle avait agi autrefois, comme cela, il a tort. Si vous dites L’avoir reçu et que vous n’agissez pas en conséquence, alors il y a quelque chose qui cloche chez vous. En effet, c’est exactement ce qui est dit... «Chacun.» Suivez, sur... Après, il est allé à la maison...

427      Philippe est allé prêcher aux Samaritains. Il leur a imposé les mains, Paul est venu, ou plutôt Pierre est venu leur imposer les mains. Ils ont reçu le Saint-Esprit, ils ont fait la même chose que les gens avaient faite au commencement.

428      Il est allé chez Corneille, et il y avait là tous les Gentils, les Grecs et autres, il leur a imposé les mains, ils ont reçu le Saint-Esprit comme au commencement.

429      Permettez-moi de vous dire quelque chose. Je suis un missionnaire, vous savez, comme... Eh bien, je crois qu’un missionnaire est quelqu’un qui va et revient. C’est ça un missionnaire. Si vous y allez pour rester, on appelle ça un missionnaire; mais, ça, c’est un colon, ayant simplement changé de résidence. Voyez? Ce n’est pas là un missionnaire. Un missionnaire, il... Paul était un missionnaire. Il ne s’établissait pas, il faisait sans cesse des va-et-vient: Un missionnaire; il ne change pas de résidence, il continue simplement à aller, un missionnaire.

430      Eh bien, dans le champ missionnaire, je vais vous dire quoi, dans les–les régions les plus reculées d’Afrique, là chez les petits bochiman... Et ils ne savaient même pas s’ils étaient des être humains ou pas pendant une longue période. Le gouvernement britannique, quand ils ont envahi l’Afrique du Sud; quand on entrait dans une petite jungle, il y avait... Vous voyez les buissons... [Frère Branham produit un bruit de mouvement: Brrrr. — N.D.E.] remuer comme une bande de singes; et regardez autour, il n’y a rien. S’il vous arrive de regarder, vous voyez une petite tête noire surgir hors du sable et regarder tout autour. Voyez, il s’est enterré dans le sable, sort en courant et s’enfouit dans le sable, très rapidement. Ils ne pensaient pas qu’ils étaient des ani-... Pendant longtemps, ils ont cru qu’ils étaient des animaux. Mais savez-vous comment ils ont découvert qu’ils étaient–étaient des humains? Ils avaient des chiens. Et un chien ne vivra qu’avec un être humain, voyez, et ils ont découvert qu’ils étaient des humains.

431      Considérez un de ces petits gars, et considérez un des–des Sothos ou les Songhaïs, les Xhosas, l’une de ces tribus, ils ne savent pas distinguer leur main droite de leur main gauche; et ils sont toujours en train de marmonner: blaw, blaw, blu, vous savez, et parler comme ça. Et ils sont tous nus, femmes, hommes et tous... Et je vais vous dire quoi faire; laissez simplement que le Saint-Esprit descende sur lui, il fera la même chose que vous faites ici même quand le Saint-Esprit descend sur vous. Il n’y a pas de son confus à ce sujet. De sa vie, il n’avait jamais entendu parler d’une telle chose que le parler en langues, et regardez, voici il est en train de vous parler en langues.

432      Mais l’interprète est ici, ce type se tient là et dit: «Blaw?» (Voulez-vous être sauvé?)

            «Blaw-ah.» (Oui.)

            «Y a-t-il quelqu’un là haut qui...» (Uh-blaw, blaw, blaw.)

            «Levez vos mains et recevez-Le!» (Uh-blaw.)

433      Oh! Oh! Oh! Oh! la la! Et le voici qui se met à parler en langues; il n’avait jamais entendu parler de cela, n’en avait pas la moindre idée. Il n’y a pas d’incertitude en cela, C’est Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il rejoindra directement la tribu et se mettra à prier pour les malades. Vous n’avez pas à le lui dire.

434      Nous les femmes américaines et vous les membres d’église, ce n’est pas tellement à vous ici que je m’adresse ainsi; c’est enregistré, vous savez. Vous, membres d’église là dehors, qui portez des shorts et qui vous comportez comme vous le faites. Vous en enlevez un petit peu plus chaque année. Et alors, vous avez des shorts, ensuite de plus petits shorts, ensuite de plus petits shorts encore, et ainsi de suite. Eh bien, vous, pauvres membres d’église naïfs, vous êtes pires qu’ils le sont en Afrique; ces femmes se sont présentées juste là ce jour-là où trente mille ont reçu Christ comme leur Sauveur personnel, du coup. Vous chantez dans les chorales, et vous portez des shorts dans la cour pour tondre votre gazon, et au centre ville! Vous êtes pires qu’elles. Vous allez... Elles se lèveront au jour du Jugement et vous aurez honte de vous-même.

435      Et j’ai vu des femmes nues, n’ayant rien d’autre qu’un petit morceau de tissu devant elles, comme cela, au-dessus sur les parties ici, sur leur –leur buste, rien du tout. Une simple petite bande, d’environ 4 ou 6 pouces [10 ou 15 cm] autour de leur taille, suspendue devant elles. Et les hommes aussi étaient là complètement nus, ils ne distinguaient pas leur main droite de leur main gauche. Et dès que la puissance du Saint-Esprit est venue, ces femmes ont croisé les bras, n’ayant rien pour couvrir leur poitrine, elles ont croisé les bras de honte et se sont éloignées. Et le lendemain, elles étaient habillées. Alléluia! Il n’y a pas–il n’y a pas–il n’y a pas d’incertitude en cela.

436      Le Saint-Esprit vous amène à vous habiller. Oui, Il vous fait agir décemment. Il n’y a rien de confus en cela. N’avez-vous pas besoin de Lui? N’aimeriez-vous pas servir Quelqu’Un comme Lui, le Seigneur Jésus-Christ? Eloignez-vous de ces sons confus.

437      Oh! Vous êtes une petite créature populaire, oui, toute maquillée, et tout. Vous pensez que vous êtes populaire. Mais, ma chérie, vous êtes en train de mourir. Vous pensez être en train de vivre, mais vous êtes en train de mourir. La Bible dit: «La femme qui vit dans le plaisir est morte, quoique vivante.» C’est ce que dit la Bible. Ce n’est pas un son confus. Elle dit: «Elle est morte.» C’est exact. Il n’y a pas de son confus en cela. C’est de la certitude, frère.

438      Dieu est un Dieu saint. Et quand un homme naît du Saint-Esprit, il est –il est un candidat. Non seulement ça, mais il est aussi un roi, il est un prince. Il est d’une autre nation. Son Royaume est d’En Haut. Il est rempli de la puissance de Dieu, de la Présence de Dieu. La femme qui fait cela porte des vêtements. L’homme vit décemment et est fidèle envers sa femme. La femme vit décemment et est fidèle envers son mari. Ils ne désirent rien du monde. Ils s’affectionnent aux choses d’En Haut. Ils ont mis fin aux choses du monde. Ils sont de nouvelles créatures en Christ. Et ils sont saints, ils vivent ainsi. Ce n’est pas eux qui sont saints, mais c’est le Saint-Esprit qui les gouverne. Ils n’ont plus leurs propres pensées; c’est le Saint-Esprit qui agit en eux. C’est pourquoi ils agissent comme des fous aux yeux du monde, parce qu’ils sont poussés par le–l’Esprit d’un autre Royaume.

439      Oh! Je sais que c’est ça, ami. Autrefois, j’étais perdu, mais maintenant je suis retrouvé. J’étais aveugle à ces choses, mais maintenant je vois. C’est la grâce qui m’a appris à craindre, et c’est la grâce qui a ôté mes peurs. Combien précieuse parut cette grâce le jour où j’ai cru, quand je suis venu à Christ.

440      Maintenant, pour terminer. En ce qui concerne le salut et la guérison, permettez-moi de dire ces paroles pendant une minute.

441      Paul Rader était un de mes amis. Je l’ai connu juste pendant une courte durée, je n’étais qu’un garçon à l’époque, je m’assoyais à ses pieds. C’était un grand ministre, il est mort ici il n’y a pas longtemps, en Californie. Et quand il se mourait... Il était atteint du cancer et se mourait là-bas, en Californie. Le tabernacle qu’a maintenant O. L. Jaggers, c’est lui qui l’avait auparavant, le vieux... J’oublie donc comment on l’appelait en ce temps-là, mais c’est maintenant The World Church. Le vieux tabernacle de Paul Rader se trouvait à côté de la rue Alvarado; en se dirigeant vers cela; en traversant du côté du temple de McPherson, juste en face du chemin du parc. Eh bien, et quand Paul Rader en était le pasteur, on le fréquentait, et quand il était...

442      Avant sa mort, il a posé ses mains sur l’épaule d’un frère, que je connais très bien, un ami d’Ern Baxter, et il a dit: «Si j’avais pris mon message de grâce et l’avais vendu aux ardents pentecôtistes plutôt que de chercher à perdre mon temps avec vous, bande de baptistes, je serais vivant aujourd’hui. Mais, a-t-il dit, vous m’avez inquiété, et j’ai été tellement tendu et dans le pétrin que maintenant je me meurs.»

443      Donc, alors qu’il était couché là dans la chambre, on avait les–les –les stores et tout baissés, et ils étaient là chantant Mon Dieu plus près de Toi. Et il avait un sens d’humour. Il a dit: «Qui se meurt, moi ou vous? Vous me paraissez bien plus mourants que je le suis», a-t-il dit. Il a dit: «Ne chantez pas ça. Chantez-moi plutôt de véritables chants de l’Evangile pleins d’entrain.» Et le petit quatuor de l’Institut Biblique Moody s’est mis à chanter A la croix où mourut mon Sauveur. Il a dit: «C’est mieux. Gloire à Dieu!»

444      Il a dit: «Où est Luc?» Et Luc et Paul étaient restés ensemble, comme Billy, mon fils, et moi. Ils étaient frères, et ils étaient restés ensemble. Il a dit: «Où est Luc?» Et Luc ne voulait pas voir son frère mourir; il était là dans la pièce voisine, à l’hôpital. Il a dit: «Allez le chercher, et dites-lui de venir.»

445      Et quand il s’est approché de là où était Paul, Paul a tendu la main et a pris sa main. Et Luc a tenté de tourner la tête. Il a dit: «Luc, on a mené ensemble plusieurs durs combats; pas vrai, mon frère?»

446      Il a répondu: «Oui, c’est vrai. Durant ces années, on a travaillé dur, mon frère. C’est vrai, on a mené plusieurs durs combats.»

447      Mais, a-t-il repris, Luc, penses-y. Dans cinq minutes, je serai dans la Présence de Jésus-Christ, revêtu de Sa justice.» Il a serré les mains de son frère, et il est mort. Il n’y a rien d’incertain en cela. Il savait là où il allait. Il le savait. Il avait le baptême du Saint-Esprit, la puissance de Dieu dans sa vie.

448      Il était bûcheron et il abattait des arbres et autres. Et il a dit...

449      Il était aussi un missionnaire, comme quand je vais outre-mer. Et lui et Luc, et les autres, alors qu’ils étaient dans les îles, ils ont contracté la fièvre bilieuse hémoglobinurique. Si quelqu’un sait ce que c’est, c’est mortel et c’est très grave. Donc, il a contracté la fièvre bilieuse hémoglobinurique. C’était là au fond dans la jungle, où il n’y a rien. Lui et sa tendre petite femme étaient là.

            Et vous savez ce qu’il a dit, je vous ai raconté l’histoire, ce qu’il a dit: «La dernière fois, il y avait un sentiment de sorte que quand elle l’a embrassé en guise d’au revoir...» Ils  étaient donc là. Il faisait de plus en plus sombre dans la pièce, il a dit qu’il savait qu’il s’en allait, ou plutôt il pensait qu’il s’en allait.

450      Il a dit à sa femme, il a dit: «Chérie, il fait très sombre ici, disait-il, je suis mourant.»

451      Elle lui a dit: «Oh! Paul! Paul!» Et elle est tombée sur son visage et s’est mise à implorer.

452      Il a dit: «Chérie, continue simplement d’implorer. Laisse-moi... Continue d’implorer Dieu, et que j’entende ta voix. Que quelqu’un prie. Moi, je ne peux plus prier, a-t-il dit, pendant que je suis mourant, je veux entendre ça.»

453      Et elle a continué d’implorer Dieu: «Ô Dieu, ne le laisse pas mourir. Il n’a pas encore fini son travail.» Elle a continué d’implorer: «Ô Dieu, s’il Te plaît, ne laisse pas Paul mourir.» Elle était couchée en travers de lui, comme cela.

454      Il faisait de plus en plus sombre. Il a dit: «Chérie, il fait de plus en plus sombre, de plus en plus sombre.»

455      Et finalement, il a perdu connaissance. Il a dit: «Quand j’ai perdu connaissance, j’ai rêvé que j’étais de nouveau un jeune homme.» Il a dit: «Je me suis retrouvé dans la forêt», là dans l’Oregon, d’où il était originaire. Il a dit: «J’avais abattu un arbre. Le patron m’avait dit: ‘Monte là sur la colline, Paul, et je veux que tu abattes un certain arbre et tel nombre d’arbres, et puis, il nous faut débiter du bois de construction.’»

456      Il a dit qu’il avait répondu: «Très bien, patron.» Il a dit qu’il pouvait humer leur fraîcheur, et qu’il se sentait vraiment bien. Il a dit qu’il courait dans la forêt comme ça. Il a empoigné sa hache, et il a dit qu’il pouvait sentir cette vieille hache pénétrer dans ce pin tendre, vous savez, ce pin d’Oregon. Et il a dit, quand cela est tombé là... Dans le Sud, vous savez, ils ont ce même arbre, il est très dur. Quand vous allez au Nord, plus il fait froid, plus le bois devient mou. Il a dit qu’il pouvait le sentir. Finalement, il a dit qu’il a pris sa hache et en a fait passer dessus la double lame et il a élagué toutes les branches de l’arbre. Il a dit qu’il a planté sa hache dedans et s’est dit: «Eh bien, je vais directement descendre la colline avec ça.»

457      Il l’a empoigné, et il a dit qu’il n’arrivait simplement pas à le soulever. Il n’arrivait tout simplement pas à le soulever. Il a dit qu’il a essayé et réessayé. Il a dit qu’il s’est souvenu que les muscles les plus forts d’un homme sont les muscles de son dos. Alors, il a dit qu’il a joint ses genoux ensemble, pour ne pas se faire une hernie, et il s’est penché et l’a empoigné. Il a joint ses genoux, il a contracté les muscles de derrière de ses jambes, ici, le mollet de la jambe, de ses bras, de son dos, il a mobilisé tous ses muscles pour le soulever. Et il a dit qu’il avait tiré et tiré sans pouvoir y parvenir. Il a dit qu’il avait travaillé dur au point qu’il avait essayé et essayé. Il s’est dit: «Il faut que je descende ce rondin là. Il le faut. Le patron a ordonné qu’il soit là en bas, il me faut l’amener là. Eh bien, a-t-il dit, généralement... Je ne sais où sont parties toutes mes forces. J’aurais  donc pu mettre cette chose sur mon épaule et marcher avec cela, a-t-il dit, mais je ne peux même pas le soulever.» Et il a essayé, et essayé, et essayé. Il a dit qu’il n’arrivait tout simplement pas à le faire. Il s’est épuisé.

458      Il a dit qu’il s’est effondré contre cet arbre et s’est dit [Frère Branham halète. — N.D.E.]: «J’ai peiné, peiné, peiné, peiné, au point que je ne pouvais simplement pas aller plus loin. Il faut bien que je–je descende ce rondin, mais je ne sais comment je peux m’y prendre. Je n’arrive pas à le soulever.» Il était assis là, et il a dit qu’il s’est dit: «Je ne sais vraiment quoi faire.»

459      Et il a dit qu’il a entendu Sa Voix, la voix de Son Patron, dire: «Paul.» Et il a dit que c’était la Voix la plus douce qu’il eût jamais entendue.

460      Et il a dit: «Quand je me suis retourné pour regarder, ce n’était pas mon patron, mais c’était Mon véritable Patron, a-t-il dit; c’était Jésus.»

461      Il a dit: «Pourquoi peines-tu là-dessus, Paul?» Il a dit: «Tu vois ce ruisseau qui coule là?» Il a dit: «Ce ruisseau coule droit jusqu’au camp.» Il a dit: «Pourquoi ne le pousses-tu pas dans l’eau et ne le chevauches-tu pas pour descendre là?»

462      Alors, il a dit qu’il a pris le rondin et l’a roulé dans l’eau, et il est monté dessus; et il est passé par-dessus les ondulations, en braillant et en criant, il disait: «Je le chevauche. Je le chevauche.»

463      Et il a dit, quand il est revenu à lui-même, que sa femme était étendue sur lui, dans la chambre, et priait. Il a sursauté, il s’est retrouvé au milieu de la pièce, en criant: «Je le chevauche. Je le chevauche.»

464      Frère, laissez-moi vous dire quelque chose, ce matin. Ne peinez pas là-dessus. Je ne vais pas chercher à peiner là-dessus. Cela vous épuisera d’un bout à l’autre. Et: «Je suis méthodiste», ou: «Je suis baptiste», et: «Je suis ceci.» J’ai simplement reçu Jésus. J’ai accepté Sa promesse. Par la grâce, Il est venu à moi, et je chevauche là-dessus. Advienne que pourra, ou combien de fois nous sommes taxés de fous ou de fanatiques.

465      Sur votre guérison, ce matin, quand on a prié pour nous... On n’aura pas le temps maintenant pour une ligne de discernement (Il est environ treize heures). Nous allons prier pour les malades et avoir... et–et prier pour tous ceux qui sont ici. Jésus a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Est-ce vrai? «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Est-ce vrai? C’est là-dessus que je chevauche. Êtes-vous prêts à chevaucher là-dessus?

            Inclinons la tête juste un moment.

466      Ô Dieu miséricordieux, oh! en ces derniers jours, où les heures s’assombrissent, l’église a contourné la Parole, et ils ont serpenté parmi les dénominations. Et ils savent que ce n’est pas correct, Seigneur. Puissent-ils donc cesser de tordre la Parole. Il y a probablement des gens ici, ce matin, qui sont allés d’une église à l’autre; une fois ils étaient dans l’Eglise méthodiste, et puis dans l’Eglise baptiste, et puis dans l’Eglise pentecôtiste, ensuite dans l’Eglise de Dieu, ensuite dans l’Eglise nazaréenne. Ô Dieu, puissent-ils simplement arrêter d’agir ainsi.

467      Puissent-ils donc venir, chevaucher la promesse ce matin, Seigneur; se relaxer simplement, prendre Dieu à Sa promesse, quand Il a dit: «Si vous vous repentez et que vous vous faites baptiser au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, vous recevrez le don du Saint-Esprit.» Ô Dieu, accorde-leur de pouvoir chevaucher simplement sur cette promesse, ce matin, juste tomber droit dans l’océan de Sa bonté, les jets de la Vie Eternelle, l’Eau de l’Esprit. Accorde-le, Seigneur.

468      Que le Saint-Esprit coule fraichement en cascades, juste à côté de leur porte cette fois. Puissent-ils se jeter dans le Ruisseau, chevauchant la promesse de Dieu, et dire: «Seigneur, je chevauche là-dessus. Me voici. Je chevauche là-dessus.»

469      Puissent les malades et les affligés, ceux qui sont malades et qui ne savent pas quoi faire... Les médecins les ont abandonnés. Ils ont lutté d’un hôpital à l’autre, d’une porte à l’autre, d’un lieu à l’autre. Ils ne savent quoi faire, Seigneur. Mais le Ruisseau de la Vie coule maintenant juste à côté d’eux, ce matin. Puissent-ils prendre cette Ecriture, Marc 16: «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Les croyants seront guéris, quand on leur imposera les mains.

470      Seigneur, puissent-ils donc considérer cela, ce matin, monter là-dessus et dire: «Seigneur, me voici. Je ne sais comment je vais y aller, mais je chevauche dessus. Je vais directement descendre les Ruisseaux, me réjouissant, plongeant mes mains dans les Eaux de la Vie en les éclaboussant, les jetant sur mon âme et sur ma tête, et me baignant dans Ta bonté, et me réjouissant, alors que j’avance, chevauchant Ta promesse qui dit: «Ils seront guéris.» Accorde-le, Père.

471      Maintenant, avec vos têtes inclinées; je me demande s’il y a dans cette salle, ce matin... Combien dans cette salle ce matin ne connaissent pas Christ comme leur Sauveur, et vous croyez que le Ruisseau de la Vie est venu jusqu’à vous? Vous avez eu toutes sortes de sons confus, vous avez bâti votre maison sur des choses qui sont du sable mouvant. Vous vous rendez compte qu’un jour vous allez mourir, vous allez quitter ce monde. Et vous voulez, vous voulez vraiment entendre un Son certain, et vous croyez L’avoir entendu ce matin, que Christ vous aime toujours. Peu m’importe à quel point vous êtes pécheur, Il vous aime toujours. Et vous voudriez que je me souvienne de vous dans la prière?

472      Et là même où vous êtes... On ne peut vous appeler ici à l’autel. Il n’y a pas d’autel, parce que c’est plein d’enfants, et tout. Mais vous aimeriez... vous croyez que vous aimeriez accepter Christ en ce moment même comme votre Sauveur personnel, et vous aimeriez que je me souvienne de vous dans un mot de prière, voudriez-vous lever la main, pour dire: «Maintenant, je...» Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, vous tout au fond, tout au fond. Que Dieu vous bénisse, ici au milieu. Là de ce côté, que Dieu vous bénisse. «J’accepte maintenant Christ comme mon Sauveur personnel. Je veux qu’Il soit bienveillant envers moi.» Que Dieu vous bénisse, là tout au fond. Tout au bout de l’allée, je vous vois là derrière. Que Dieu vous bénisse. Y a-t-il un autre? Levez votre main, peu importe où vous êtes. Les têtes inclinées. Que Dieu vous bénisse, jeune dame. Que Dieu vous bénisse, là derrière, soeur. Que Dieu vous bénisse là derrière, soeur. Je ne...

473      Vous n’avez pas levé la main. Mais je suis allé voir votre mari hier soir, il était là à l’hôpital; il était en très mauvais état, vous êtes de là, de l’église du frère. Ne vous en faites pas, il ira très bien. Le Seigneur l’a touché là même hier soir. J’ai vu ce qui clochait chez lui. Les médecins ont tenté durant quatre jours de découvrir cela, mais ils n’ont rien pu voir par la radiographie. Mais le Saint-Esprit va plus profondément que la radiographie. Il est donc Dieu. Ça va. Il rentrera donc à la maison. Peut-être qu’il rentrera aujourd’hui.

474      Très bien, quelqu’un d’autre? Dieu... Tout au fond. Que Dieu vous bénisse. «Je veux accepter Christ comme mon Sauveur personnel. Je veux être prêt. Je connais l’incertitude de mon foyer. Je connais l’incertitude de mon emploi. Je connais l’incertitude de ma vie. Je ne connais pas à  quel moment je mourrai. Il se peut cependant que je meure aujourd’hui. Je ne sais pas. C’est incertain. Mais je veux un Son certain. Je crois l’avoir entendu aujourd’hui à travers l’Evangile, que Jésus-Christ m’aime. Et je veux L’accepter comme mon Sauveur personnel.» Y a-t-il quelqu’un qui n’a pas levé la main et qui voudrait le faire? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Très bien. Que quelqu’un d’autre lève la main, quelqu’un qui ne l’avait pas levée avant. Levez la main et dites: «Souvenez-vous de moi, Frère Branham, dans la prière.» Que Dieu vous bénisse. D’accord.

475      Père céleste, il y a eu un Son certain que ces gens ont entendu. Il y en a beaucoup ici, vraiment beaucoup qui T’ont accepté ce matin comme leur Sauveur personnel. Maintenant, Père, je sais que c’est une tradition de faire venir les gens à l’autel pour prier; mais ce n’est pas scripturaire, parce que l’Ecriture dit: «Tous ceux qui crurent en Lui furent baptisés.» Aussi, je prie, Père, que ceux qui ont cru en Toi, à qui Tu t’es révélé, par ce Son certain d’une Voix, sachent que c’est Toi. Et ils Te veulent comme leur Sauveur. Ils ont levé leur main pour que je me souvienne d’eux dans un mot de prière.

476      Ô mon Dieu, sachant que le temps s’arrête, que les lumières s’éteignent maintenant... La lumière de la civilisation s’éteint. La lumière de l’Amérique s’éteint. La lumière des–des nations s’éteint, car la Lumière du monde entre. Je Te prie, ô Dieu, de leur permettre de recevoir cette grande Lumière. Nous nous rendons compte que les ténèbres ne peuvent exister dans la présence de la Lumière. La Lumière est beaucoup plus intense que les ténèbres.

477      Et fais qu’ils sachent qu’il y a quin-... dix heures à peine, cette salle était sombre au possible, aucun siège ne pouvait être vu. C’étaient les ténèbres de minuit dans cette salle, il y a dix heures. Mais le soleil s’est levé, et où est passée l’obscurité? Trouvez-la-moi. On ne peut la retrouver. Où est–où est sa chimie? Que lui est-il arrivé? On ne peut la retrouver. Elle n’est plus.

478      Il en est ainsi de leurs péchés maintenant, alors qu’il y a vingt minutes, les ténèbres recouvraient leur âme, mais ils T’ont accepté comme leur Sauveur maintenant, et les ténèbres ont été complètement chassées. «Vos péchés, qui étaient nombreux, ont été lavés, et ils sont maintenant aussi blancs que la neige.» Vous ne pouvez plus les retrouver. Ils sont effacés du Livre. Ils ne sont plus enregistrés. Le Sang de Jésus-Christ leur pardonne les péchés. Puissent-ils en retour se lever et être baptisés ce soir au Nom de Jésus-Christ, en invoquant le Nom du Seigneur, et recevoir le Saint-Esprit. Accorde-le, Père. Je Te les remets comme les trophées du Message de ce matin, au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils. Amen.

479      Maintenant, avec vos têtes inclinées, vous tous qui avez levé la main, si vous n’êtes pas encore baptisés au Nom de Jésus-Christ, l’église va être... tenir des services ce soir. Apprêtez-vous donc, que le pasteur enregistre votre nom maintenant ce matin. Votre baptême, ce n’est pas ce matin, n’est-ce pas, frère? [Frère Neville dit: «Il y a aussi baptême ce matin.» — N.D.E.] Oui, il y a baptême ce matin, immédiatement après ce service, il y a baptême. Venez directement, nous avons des habits apprêtés pour que vous soyez baptisés au Nom de Jésus-Christ.

480      Vous êtes maintenant chrétien. La Lumière de Dieu est venue dans votre coeur. Souvenez-vous combien c’est bon. Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire.»Pourquoi avez-vous levé la main? C’est parce que Quelque Chose vous a dit de le faire. La même Personne qui vous a dit de le faire a fait la promesse: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle.» Il n’y a pas d’incertitude en cela. Vous avez la Vie Eternelle maintenant. Si vous–si vous croyez de tout votre coeur, vous êtes maintenant  passé de la mort à la Vie. Vous vivez éternellement.

481      Maintenant, recevez Son Saint-Esprit, la puissance de Dieu pour agir dans votre vie, et pour vous faire travailler pour Lui. Puissiez-vous recevoir Cela ce matin, alors qu’on vous baptise au Nom de Jésus-Christ.

482      Pour ceux qui sont malades et qui aimeraient qu’on prie pour eux, j’aimerais voir le nombre, afin que je voie si nous... Levez la main. Voir combien, s’il faut avoir une ligne de discernement. Il y en a beaucoup. Il nous faudra juste prier pour eux. Il y en a beaucoup. Il y a cent cinquante, deux cents personnes pour qui on doit prier. Très bien.

483      Combien ont déjà vu le discernement? Levez la main. Très bien, vous tous. C’est vrai, vous savez donc ce que c’est. Eh bien, croyez-vous ce matin, que vous avez entendu la Voix de Dieu?

484      Maintenant, je vais demander à frère Wood, à frère Fred Sothmann, à certains des administrateurs de venir ici juste un moment. Certains d’entre vous frères administrateurs, ou des diacres, ou que sais-je encore, venez ici juste un instant. Eh bien, ça va être plutôt bondé ici, et j’aimerais vous aider. Maintenant, à vous, vous les gens qui êtes de ce... à ma droite, pour qui on va prier, j’aimerais que vous veniez de ce côté-ci. Frère, Frère Collins, tenez-vous debout juste là, s’il vous plaît. Venez directement ici, ainsi ils peuvent passer pour qu’on prie pour eux.

485      Je vais vous demander, à vous les petits enfants qui êtes de ce côté de l’autel, de bien vouloir aller de ce côté-là juste quelques instants pour frère Branham; non pas pour moi, mais pour le Seigneur Jésus.

486      Eh bien, vous frères, tenez-vous debout ici pour que les gens puissent passer, et puis–puis nous allons les prendre tous de cet autre côté. Eh bien, à partir de cette première rangée ici même. Frère Charlie, je me demande si vous frères, David et vous, si vous voudriez bien venir ici, ou reculer un peu vers l’arrière. Très bien. Maintenant, les premières personnes ici dans cette rangée, levez-vous simplement comme cela; quittez simplement ce côté-là, vous qui êtes là contre le mur, alors que nous prions maintenant, pendant que nous nous apprêtons à commencer. Pas encore maintenant. Et puis, lorsque ce côté-ci sera terminé, nous vous ferons tous retourner de ce côté-ci; et alors, sortez donc de ce côté, et puis descendez. Eh bien, les administrateurs et les autres vous placeront dans la bonne position.

487      Eh bien, si cette dame est infirme et qu’elle ne peut pas se lever, comme la petite jeune fille ici dans la chaise... Maintenant, asseyez-vous juste là où vous êtes. Je viendrai carrément vers vous. Voyez? Et je connais la petite Edith, elle est là derrière, et nous allons la faire venir ici même. Ceux qui ne peuvent pas se lever, je viendrai vers vous.

488      Eh bien, je... A quoi cela nous servirait-il de nous tenir ici et de parler, et à quoi cela nous servirait-il de prêcher cette Parole de Dieu, si vous n’écoutez pas cela? Voyez? «Celui qui écoute et qui croit.» «Celui qui écoute.» Etes-vous prêt; chacun de vous est-il prêt à se confier en Dieu et à dire: «C’est la Parole de Dieu. Et peu m’importe ce que sera mon état après qu’on aura prié pour moi, je suis guéri de toute façon»? Allez-vous croire cela?

489      Maintenant, beaucoup de gens cherchent quelque chose, vous savez. Par exemple, qu’en serait-il si... Et si... Cette femme, quand j’ai prié pour elle là sur les marches de derrière là derrière, je l’ai regardée, et puis cela a eu lieu. Et si elle avait dit: «Eh bien, le premier mois s’est écoulé, je suis simplement... je deviens plus grosse tout le temps»? Voyez? Non, non, pas elle. Elle a entendu une Voix, et cette Voix lui a parlé. Et elle a cru cela de tout son coeur. Et la tumeur, quelque temps après, cela a carrément diminué. Et maintenant, elle est normale, et bien portante.

490      Léo, où êtes-vous? Est-il ici quelque part? Je–je–j’oublie le nom de cette femme. Probablement quelqu’un devrait la connaître. J’ai son adresse, je vais l’amener à l’église. Vous... Quoi, vous souvenez-vous de son nom? [Frère Léo dit: «Pearl, Pearl...» — N.D.E.] Est-ce Red... Redford ou Redfern? Nous avons son nom et son adresse, si vous voudriez écrire.

491      Elle était guérie ici même d’une tumeur qui pesait plus de 30 livres [13,6 kg]. Elle n’avait aucune égratignure due à un bistouri. Voilà sa photo, quand elle avait la tumeur; la voici maintenant sans aucune cicatrice nulle part, Dieu l’a guérie et l’a ôtée d’elle. Voilà les déclarations du médecin, aux termes desquelles il l’a abandonnée pour mourir du cancer qui avait rongé ses reins. Et maintenant, elle est normale et bien portante, sans aucune affection rénale du tout.

492      Elle est un cas parmi des milliers. Qu’est-ce? Ce n’est pas un son confus. Mais ce qu’il en est, ami, pouvez-vous entendre cela?

493      Eh bien, si la trompette rend un son confus, disant: «Eh bien, certains sont guéris et d’autres, pas», ça, c’est incertain. Voyez, ne croyez pas cela.

494      Jésus a dit: «Quiconque.» C’est certain. «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils leur imposeront les mains, et les malades seront guéris.» Croyez-vous cela maintenant? De tout votre coeur, vous croyez cela.

495      Et je vais demander au pasteur, maintenant, nous allons simplement... Maintenant, nous avons un service de baptêmes qui suit ceci. Ainsi, vous voyez, nous n’allons donc pas prendre trop de temps.

496      Mais je vais prier pour l’assemblée, pour chaque malade ici présent. Et quand je passerai, je vais... Croyez-vous que je suis Son serviteur? Si vous croyez cela, alors l’onction du Saint-Esprit entrera directement en vous. Voyez? Forcément, mon ami. Ce n’est pas moi qui le dis, il n’y a rien en moi, je suis simplement... je suis votre frère.

497      Je suis le moindre parmi vous, mais c’est ce que je dois être. «Que celui qui est le moindre parmi vous, que–que–que–que...» Laissez-moi être serviteur de vous tous. Voyez? Eh bien, c’est ce que j’aimerais être. Je suis votre serviteur. Vous êtes enfant de Dieu. Je–je suis simplement Son serviteur. J’essaie simplement de vous servir. Voyez-vous? Je suis le moindre. Il n’y a rien en moi, mais (Voyez?), il faut que quelqu’un vous impose les mains. Et puis, s’Il me laisse apporter la Parole, et que vous croyez que la Parole est venue à moi... Beaucoup d’entre vous me considèrent comme un croyant, et puis la Parole vient à moi, jugez vous-même si c’est vrai ou pas. Voyez. Que Dieu exerce le jugement par Sa Parole. Eh bien, si c’est vrai, alors, chaque promesse est vraie. Forcément. Voyez?

498      Noé, il a simplement continué à construire l’arche. On disait: «C’est un fanatique. Il n’y a rien là-haut. Comment allez-vous avoir cela?»

499      «Ça ne change rien. Dieu peut mettre cela là-haut», et il a simplement continué à travailler d’arrache-pied. Comment–comment...

500      De qui d’autre ai-je parlé? Moïse, comment Moïse descendait là pour envahir cette armée? Comment allait-il envahir toute l’Egypte? Comment pouvait-il le faire? Un vieil homme de quatre-vingts ans, accompagné de sa femme et d’un enfant? Comment allait-il le faire? «Ce n’est pas mon affaire. Dieu a dit: ‘Va t’en emparer’, et je descends.»

501      «Comment vas-tu les délivrer de la main de Pharaon?»

            «Je serai certainement avec toi.» Il n’y a rien d’incertain.

502      «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Il n’y a rien d’incertain. Si vous croyez cela et qu’on vous impose les mains, vous devez être guéri. Croyez-vous cela de tout votre coeur?

503      Maintenant, j’aimerais que chaque personne ici présente qui peut prier, j’aimerais que vous incliniez la tête, et j’aimerais que vous priiez silencieusement. Je vais prier pour ces tissus qui sont posés ici; en effet, je sens la Présence du Saint-Esprit.

504      Père céleste, nous sommes sur le point de terminer un service et d’en commencer un autre. Beaucoup T’ont reçu, Seigneur, ce matin; beaucoup de mains se sont levées. Ils sont passés de la mort à la vie, en ce petit instant qui s’est écoulé lentement, une petite Lumière est passée à côté d’eux. Leur conscience a été un peu étouffée; qu’était-ce? Ils étaient mourants, puis ils sont passés de la mort à la Vie.

505      Pareil à un grain de blé qui tombe en terre, la première chose, il étouffe, il meurt, il pourrit. Puis, un petit brin de vie en sort, et cela produit un autre grain de blé.

506      Maintenant, Seigneur, ce matin, un petit brouillard épais de la mort est passé sur eux. Et alors, ils se sont réveillés, et quelques instants après, lorsqu’ils ont levé la main, ils se sont sentis étouffés, par la Parole de Dieu, Quelque Chose disant: «Tu es condamné, tu es un pécheur. Tu mourras et tu iras en enfer. Tu périras. Tu ne ressusciteras jamais de nouveau», la mort venant sur eux. Finalement, ils sont morts à ce point-là, jusqu’à ce qu’ils ont entendu une Voix dire: «Mais Je suis votre Sauveur. Venez à Moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés.»

507      Et ils ont levé la main: «J’aimerais L’accepter comme mon Sauveur personnel», et puis, un brin de Vie est entré dans leur âme. Cela a jailli une fois de plus pour produire un autre chrétien.

508      Ô Dieu, puissent-ils aller dans l’eau maintenant, devant l’assemblée, et être baptisés au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de leur péché; que les gens voient qu’ils ont complètement abandonné les–les choses du monde, et qu’ils vont désormais servir Christ. En effet, ils sont morts et enterrés avec Lui dans le baptême pour ressusciter en nouveauté de vie, pour marcher dans une vie nouvelle.

509      Il y a ici beaucoup de mouchoirs que je tiens dans mes mains, Seigneur. Ils représentent les malades.

510      Eh bien, dans la Bible, une fois, comme je l’ai souvent cité, lorsqu’Israël était sur le chemin du devoir, allant vers la Terre promise, la mer Rouge leur faisait obstacle. Dieu a baissé le regard à travers ces nuages, avec des yeux courroucés, à travers la Colonne de Feu. Et cette mer Rouge eut peur, car Dieu avait fait la promesse. Il n’y avait pas de son incertain. La mer savait que la Parole de Dieu n’était pas  dou–douteuse. Ils savaient que c’était certain. Israël était en route vers cette Terre promise. Rien ne pouvait leur faire obstacle, car Dieu l’avait dit. Ainsi, la mer eut peur, elle recula, et un chemin fut frayé juste au milieu. Et ils ont traversé à sec.

511      Maintenant, il y a beaucoup de chrétiens qui sont malades, Seigneur. Voici leurs mouchoirs. Il est dit dans la Bible qu’on appliquait sur les malades des linges ou des mouchoirs qui avaient touché le corps de Paul. Nous savons que nous ne sommes pas saint Paul. Mais nous savons que Tu es toujours le même Dieu, avec la même Parole et la même promesse. Quand j’enverrai ces mouchoirs à ces malades et affligés, que ce démon qui les a liés ait peur et qu’il se retire. Que les enfants de Dieu se mettent en marche vers la–la promesse de la bonne santé. Accorde-le, Seigneur.

512      Maintenant, beaucoup d’entre eux sont dans cette salle. Voici Ton pasteur ce matin, mon frère Neville. Voici Tes diacres et Tes administrateurs qui se tiennent ici, des hommes ordonnés de cette église, que Tu bénis très gracieusement, bien que nous soyons indignes, Seigneur. Mais nous voyons Ton Esprit agir parmi nous, et nous en sommes très heureux; il semble qu’un réveil est en train de se produire pour la dernière fois. Ô Dieu, nous avons abandonné l’Egypte, nous sommes maintenant en route vers la Terre promise. Encore quelques jours de voyage maintenant et nous traverserons le Jourdain.

513      Maintenant, Père divin, nous Te prions d’ôter chaque obstacle sur notre chemin. Beaucoup parmi ces gens ne sont pas en état de marcher; ils sont ici parce qu’ils sont malades et affligés. Comment cette maladie peut-elle retenir ces gens? Comment ces afflictions peuvent-elles les garder infirmes, dans une chaise roulante, alors qu’ils sont en marche vers la Terre promise? Alléluia!  Ô Dieu, lorsque nous appliquerons nos mains sur leurs corps, que le démon ait peur et qu’il se retire. Puissent-ils être en état de marcher.

514      Je Te remercie pour cette femme dont j’ai parlé toute la matinée. Je n’arrive pas à l’ôter de mon esprit. Voir cette femme qui ne pouvait même pas se lever, avec cette grosse tumeur; les médecins se moquaient d’elle. Mais elle a entendu une Voix, Celle-ci n’était pas incertaine. C’était un Son certain, et elle a cru cela.

515      Maintenant, Seigneur, puisse chaque malade ici présent voir Cela, entendre ce même Son ce matin, et être en état de marcher pour quitter, Seigneur, pour le voyage. Accorde-le, Seigneur. Nous avons fait tous les bagages maintenant. Oh! Nous sommes prêts pour la marche, Seigneur. Nous sommes prêts pour le désert, et pour traverser le Jourdain là-bas. Encore quelques jours de voyage et nous serons là. Ô Dieu, laisse-nous entrer dans la puissance du Saint-Esprit. Puissions-nous donc être présent quand nous verrons cette Lumière briller là-bas, Seigneur, nous conduisant sur le chemin, ce Christ ressuscité brillant en ce jour parfait. Accorde-le, Père.

516      Maintenant, comme nous... Oins nos mains, oins-nous, que le Saint-Esprit qui est en nous maintenant brille, la lumière cosmique, la... ces... de l’au-delà, que la Lumière de Dieu brille parmi ces malades, dans ces corps faibles, et que chacun d’eux soit guéri.

517      Nous nous avançons, Seigneur, pour affronter le diable. Nous nous avançons pour affronter la mer Rouge. En effet, c’est comme si c’était la mer Rouge, c’est la mer de la maladie qui empêche ces gens de marcher. Nous nous avançons avec le Saint-Esprit brillant devant nous pour affronter le diable, au Nom de Jésus-Christ. Cette maladie devra reculer, car Tu regardes à travers la puissance de Ta Parole. Et ils doivent se rétablir. Nous venons au Nom de Jésus pour affronter l’ennemi. Amen!

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