La Reine De Séba

Date: 61-0219 | La durée est de: 2 heures | La traduction: Shp
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1          Restons debout un instant pendant que nous prions. Inclinons la tête.

            Notre Bienveillant Père céleste, nous Te remercions pour ce grand privilège de nous approcher encore de Ton Trône de miséricorde ce soir, au Nom Tout-Suffisant de Ton Fils Jésus. Nous Te remercions de ce que nous avons la parfaite assurance que si nous demandons quelque chose en Son Nom, cela sera accordé. Il y en a donc beaucoup ici ce soir qui sont nécessiteux; ils sont malades dans le corps. D’autres sont malades dans l’âme. Et nous Te prions, Père, de pourvoir à tout ce dont ils ont besoin, au salut pour leur âme par-dessus toutes choses, et à la guérison pour les malades, la joie pour ceux qui sont tristes, l’espérance pour ceux qui sont désespérés. Accorde-le, Seigneur. Et quand le service sera terminé ce soir, et que nous retournerons à nos foyers respectifs, à nos demeures, puissions-nous dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs ce jour-là: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous lorsqu’Il nous parlait en chemin?» Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

2          C’est un grand privilège d’être de retour ici ce soir, une fois de plus, dans cet auditorium municipal de Long Beach. Ça fait plusieurs années depuis que j’étais ici vers 46 ou 47, vers ces années-là. Je crois que j’avais suivi le service d’un grand serviteur du Seigneur, le docteur Charles Fuller, il avait l’habitude de faire passer une émission, l’Heure du Réveil à l’ancienne mode, cela avait commencé et avait été créé ici, un grand serviteur du Seigneur. J’apprends maintenant qu’il ne tient plus ses services ici. J’ai toujours voulu rencontrer frère Fuller; je n’ai jamais eu ce grand privilège.

3          Je me rappelle quand je suis arrivé en Afrique du Sud, il y a de cela sept ou huit ans, il y avait une assistance d’environ deux cent cinquante mille personnes. Vous... Certains parmi vous de Long Beach, vous ne pourrez jamais deviner avec quoi ils m’ont accueilli quand je suis monté à l’estrade. Ils ont chanté cela dans environ quinze langues différentes, s’accordant toutes ensemble: Le Soleil céleste. Ils chantaient Le Soleil céleste; c’était l’indicatif du docteur Fuller, je pense. Et je m’étais toujours dit que si j’arrivais à le voir, j’aimerais lui en parler, que ses messages étaient arrivés là dans le... là loin en Afrique du Sud. Et ces précieuses personnes l’aimaient et le connaissaient. Comme j’étais un Américain, ils ont chanté Le Soleil céleste, ou Le Soleil, je ne sais comment ça se chante. Et ils chantaient cela dans quinze différentes langues tous ensemble. Or, jamais vous... mais tout s’accordait bien parfaitement, le Saint-Esprit... Quand les gens s’assemblent et que l’amour de Dieu commence à se déverser sur eux, il n’y a pas de friction. Ça forme tout un très grand corps qui évolue.

            Docteur F.F. Bosworth, qui est l’un des organisateurs, s’est donc levé, il a conduit la mélodie, il amenait le Dowie, un orchestre de soixante-quinze exécutants à Madison Square Garden, du temps de docteur Alexandre Dowie. Et il a dit qu’il avait entraîné la chorale. Et vous pouvez trouver quelqu’un avec quelques octaves élevés, ou je ne sais comment vous appelez cela, et un autre, trop bas. Mais il a dit, chez ces purs païens, ces véritables indigènes qui ne savaient pas distinguer la main droite de la main gauche, et qui étaient en guerre les uns contre les autres, on avait dû les séparer par tribu, cependant, ils n’avaient pas du tout une seule octave de travers, tous s’accordaient parfaitement ensemble dans un soleil céleste. Que celui qui connaît frère Fuller, le lui dise de ma part. Je ne pense pas que je vais... je pourrais jamais avoir l’occasion de le voir. C’est un homme occupé, je n’aimerais pas lui prendre du temps. Mais cela le ravira certainement.

4          L’Evangile, malgré sa simplicité, est la plus grande attraction que le monde ait jamais connue. Jésus, quand Il était ici sur terre, a dit: «Et Moi, quand j’aurai été élevé, j’attirerai tous les hommes à Moi.» Noir, blanc, jaune, brun, quelle que soit leur couleur ou leur race, l’Evangile constitue toujours un centre d’attraction pour chaque homme et chaque femme.

            Et je crois certes que nos églises devraient être juste un peu plus avancées dans l’Evangile par rapport au niveau où nous sommes. Je pense que nous contribuons à cela, moi aussi. Et si je suis en erreur, je prie que le Seigneur me pardonne. Je pense que nous cherchons trop à regarder en arrière pour voir ce que quelqu’un d’autre avait fait, ou avait dit, plutôt que de regarder en avant vers Christ. C’est Lui notre Conducteur.

            Il y a quelques centaines d’années, je peux me tromper sur ce temps, mais je dirais, il y a trois cents ans, je pense, un homme de science en France essayait de prendre une balle et de la faire tourner autour de la terre, l’une ou l’autre chose... Il y a peut-être cent cinquante ans... Il a fait tourner cela autour de la terre et... en vitesse, et il affirme que si jamais un véhicule roulait sur terre à la vitesse vertigineuse de trente miles [48 km] par heure, la grav-... la gravitation perdrait son emprise, il se détacherait directement de la terre. Or, c’était scientifiquement prouvé à cette époque-là. Pensez-vous que la science regarderait en arrière pour dire... à cela? Certainement pas. Je vois qu’on fait filer un avion actuellement, j’oublie, environ cinq mille miles [80,46 km] par heure parfois. Et ils ne s’arrêtent même pas à cela, ils continuent sans cesse d’avancer.

            Mais nous les chrétiens, ainsi que nous les membres du clergé et les prédicateurs, nous cherchons à regarder en arrière, à notre école, pour voir ce que monsieur Moody avait dit à ce sujet, ce que monsieur Sankey avait dit, ou–ou Finney, ou Knox, ou Calvin, ou l’un d’eux. Eh bien, c’étaient de grands hommes de leur époque. Mais, voyez, nous regardons toujours en arrière. Regardons en avant. Voyez? Nous avons des ressources inexploitées.

5          Et maintenant, la science peut simplement monter jusqu’à une certaine hauteur, puis ils doivent quitter, redescendre. L’arbre de la connaissance produit seulement une certaine quantité. Et cela a été placé devant nous dans le jardin d’Eden. Et un être humain est enclin à vivre de cet arbre de la connaissance. Mais cela n’a jamais été le plan de Dieu que nous vivions de cet arbre de la connaissance. La première fois que l’homme a pris une bouchée de l’arbre de la connaissance, il a brisé sa communion avec Dieu. Chaque fois qu’il prend une bouchée de cet arbre-là, il se détruit lui-même, continuellement. Il a pris une bouchée de la poudre à canon. Regardez ce que cela a fait: Il a tué son compagnon. Une bouchée des automobiles; cela tue plus que la poudre à canon. Maintenant, il a la bombe atomique et la bombe à hydrogène. Il continue à manger de cet arbre de la connaissance qui, finalement, le renverra à sa destination.

6          Mais l’Arbre de la Vie qu’il avait quitté délibérément pour manger de l’arbre de la connaissance, c’est là donc qu’il reste seul. Je crois que la science présentement... On m’a fait subir un test, avec l’un de ces appareils à test sur vos bras, au sujet de cette Lumière, l’Ange du Seigneur. La science en a pris une photo. Vous en avez ici même maintenant (Cela a été pris à divers endroits dans le monde.), la photo de la même Colonne de Feu qui suivait les enfants d’Israël, preuve scientifique à l’appui. George J. Lacy, le responsable du département de FBI, chargé des empreintes digitales et des documents douteux (Voyez?), a examiné cela pour voir si c’était vrai. Il a dit: «Ce n’est pas de la psychologie, a-t-il dit, l’oeil mécanique de l’appareil photo ne prendra pas de la psychologie.»

7          Maintenant, au lieu d’évoluer et de voir ce que Dieu a promis, nous regardons en arrière pour voir ce qu’un frère avant nous dit. Ne regardons pas en arrière, regardons en avant, continuons d’avancer sans cesse. Nous avons des ressources inexploitées. Dans Saint Marc 11.23, Jésus a dit: «Tout ce que... Eh bien, si vous dites à cette montagne: ‘Ôte-toi de là’ et si vous ne doutez pas en votre coeur, mais croyez que ce que vous avez dit arrive, vous le verrez s’accomplir.» ... Sans–sans conditions, c’est... ce n’est pas... c’est bien illimité. Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, vous le verrez s’accomplir. Tout, la guérison divine, la joie, la paix, tout.

            Maintenant, vous dites: «Frère Branham, et si nous demandions quelque chose que... pour que la vie de quelqu’un soit ôtée ou quelque chose de mauvais.» Eh bien, vous ne pourrez pas à vrai dire avoir la foi chrétienne pour pareille chose. Il faut un esprit chrétien pour demander des choses chrétiennes, pour recevoir des choses de la part de Christ. Vous devez avoir...

8          Je me rappelle toujours, oh! église. Les Paroles de Dieu sont vraies. Je crois qu’une bonne attitude mentale envers n’importe quelle promesse divine de Dieu la fera s’accomplir, si vous pouvez regarder cela de la bonne manière. Mais rappelez-vous, voici mon–mon Etalon dans la vie. J’ai essayé de faire ceci. La première chose, j’aime découvrir si c’est la volonté de Dieu ou pas. Cela... Je sais donc que c’est la volonté de Dieu. La chose suivante, c’est mon objectif par rapport à cela et mon motif en faisant cela. Si c’est donc la volonté de Dieu et que mon objectif est correct, ainsi que mon motif, j’ai la foi que cela se fera. En effet, premièrement, c’est la volonté de Dieu et j’ai... et mon objectif, c’est de Le glorifier, et mon motif, c’est de Lui donner toute la gloire. Voyez? Il n’y a donc pas de motifs égoïstes en cela. Si vous avez un motif égoïste, cela ne marchera pas. Si votre objectif, c’est de faire de l’argent pour vous-même ou quelque chose comme cela, eh bien, vous n’aurez jamais de succès. Et alors, essayer de faire quelque chose en dehors de la volonté du Seigneur, cela ne marchera donc pas pour commencer.

            Il y a donc une foi authentique, mais vous devez suivre le bon canal de Dieu pour avoir cette foi authentique. Il y a une foi humaine, il y a aussi la foi de Dieu. Et vous devez avoir la foi divine pour croire. Maintenant, pour avoir donc la foi divine, il vous faut avoir la pensée de Christ en vous. C’est ainsi que Dieu vous donnera des visions, des révélations et toutes ces choses qui viennent par la pensée de Christ en vous. Comprenez-vous cela? «Que la pensée qui était en Christ soit en vous.»

9          Eh bien, cela me réjouit encore ce soir de dire... de revenir ici à Long Beach après plusieurs années. Je me rappelle la première fois que j’étais venu ici, il y avait beaucoup de doutes sur le ministère. J’étais pratiquement l’unique sur le champ de travail en ce moment-là à tenir des campagnes de guérison. Je me rappelle combien cela avait été beaucoup critiqué. Je me rappelle la nuit où je quittais ici, je suivais un message émouvant du docteur Fuller. J’étais assis juste là dehors cet après-midi-là et je suivais son puissant et émouvant message d’enseignement. J’ai vu partir son assistance, de braves gens, intelligents, des gens propres et beaux à voir, je les ai vus quitter le bâtiment. C’était son auditoire. Eh bien, voici venir mon auditoire: des gens en camisoles de force, sur des fauteuils roulants et... Je me suis dit: «Voilà bien une petite chose différente de...?... la foi (Voyez-vous?), il nous faut connaître.» Mais c’était un défi à la Parole de Dieu, Dieu avait promis que c’était vrai et qu’Il soutiendrait cela. J’ai parcouru le monde avec ce Message, et jamais une seule fois Dieu m’a fait défaut.

            Et après environ quatorze ans depuis que j’étais ici, je me tiens ce soir à Long Beach avec le même Message, que celui que j’avais quand j’étais venu ici: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Voyez? Il n’a point diminué, pas d’un grain. Il ne m’a jamais fait défaut. Je me suis tenu devant des sorciers et des démons, et des buveurs de sang dans un crâne humain, des gens qui invoquaient le diable et qui vous défiaient là même. Et je n’ai jamais vu une seule fois un défi être lancé sans que Dieu l’ait relevé sur place en accomplissant une grande chose. Je–je défie votre foi ce soir de croire le Seigneur Jésus.

10        Nous avons passé une glorieuse semaine, ou deux, avec frère Buntane de l’église Assemblée de Dieu ici dans la ville. J’ai appris à aimer frère Buntane comme seul un frère peut aimer un autre. Je ne le connaissais guère en arrivant ici. J’avais entendu parler de son vaillant père au Canada, qui est un grand homme, un serviteur de Christ. Et puis, j’ai rencontré son frère, j’avais eu ce privilège-là. J’ai rencontré d’autres frères là et j’ai communié avec eux. De bons chants, de bons prédicateurs... La petite dame qui venait de chanter, madame Piper, je pense que c’est ça son nom, une très belle voix. Cela devrait continuer tout le temps pour Christ, partout. Toutes ces choses devraient être à l’oeuvre comme il est un peu plus tard que vous ne le pensez. Je crois que nous sommes près de...

11        Est-ce que je me tiens trop près du microphone? M’entendez-vous mieux si je recule comme ceci? Est-ce mieux? Je ne... J’aimerais que vous entendiez ce que je dis, mais je n’aimerais pas que ma voix fasse écho. Maintenant, l’acoustique ici est généralement très bonne, elle l’était la dernière fois que nous étions ici.

            J’aimerais revenir à un moment ou à un autre, si cela plaît à Dieu, si c’est la volonté de Dieu, et si cela plaît aux gens, et peut-être, nous en arrivons à une telle situation. Au lieu d’avoir juste une église qui parraine, obtenez qu’elles toutes parrainent cela. Et alors, nous pouvons venir ici pour une série de longues réunions. Je prierai à cette fin si vous priez aussi. Et puis–puis, peut-être, nous pourrons repousser cela bien avant le temps jusqu’à ce que le... Nous pourrons demander aux précieux administrateurs ou je ne sais qui, les surveillants de cet auditoire maintenant, comme ils en construisent un plus large ici, que nous puissions utiliser cela à un moment ou à un autre pour une série de réunions de dix jours, ou quelque chose comme cela. Je crois que ça serait merveilleux de venir. Tout ce qui est agréable, ou pour faire quelque chose pour Dieu.

12        Et maintenant, quand j’ai mentionné, il y a quelques instants, les assemblées de Dieu, eh bien, c’est juste une église dénominationnelle. Nous ne... Pour ma part, comme tout le monde le sait, j’ai été ordonné à l’âge d’environ vingt et un ans–et ça fait environ trente et un ans–dans l’Eglise missionnaire baptiste. Je n’ai rien de mal à dire contre l’Eglise missionnaire baptiste, ni contre n’importe quelle autre dénomination. J’ai pris ma position, que si...

            L’Eglise catholique, un catholique, un catholique romain, ou un orthodoxe, ou je ne sais qui il peut être, s’il compte sur l’Eglise catholique pour le salut, cette personne est perdue. Si le baptiste compte sur l’Eglise baptiste pour le salut, il est perdu. Si le pentecôtiste compte sur l’Eglise pentecôtiste pour le salut, il est perdu.

            Mais si le catholique, le pentecôtiste, ou le baptiste, le presbytérien ou je ne sais qui, s’il compte solennellement sur Jésus-Christ, il est sauvé. En effet, c’est par la foi que vous êtes sauvé, et cela au moyen de la grâce. Voyez? Les catholiques peuvent être sauvés. Les baptistes peuvent être sauvés. Les pentecôtistes sont sauvés, car nous acceptons tous ce que Christ a fait pour nous. C’est vrai. C’est notre propre foi personnelle dans une oeuvre achevée que Christ a accomplie pour nous. Et par conséquent, je n’ai jamais tracé une frontière dénominationnelle ni mis une barrière. J’ai essayé de tendre la main, de prendre chacun d’eux dans mes bras et de leur désigner donc la croix. Et c’est...

            Cher Agneau mourant,

            Ton Sang précieux ne perdra jamais sa puissance,

            Jusqu’à ce que toute l’église rachetée de Dieu

            Soit sauvée pour ne plus pécher.

            Depuis que par la foi j’ai vu ce ruisseau

            Que Tes blessures saignantes alimentent,

            L’amour rédempteur a été mon thème,

            Et il le sera jusqu’à ma mort.

            C’est mon–c’est mon slogan, je peux dire. Et puis, l’autre, c’est Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

13        Merci à tous de toute votre gentillesse et votre miséricorde ainsi que de vos généreuses mains qui ont serré les miennes, aussi–aussi des actes de gentillesse que vous avez posés, ainsi que de vos lettres. Et nous y répondrons aussi vite que possible. Et les petits tissus sur lesquels j’ai prié, beaucoup d’entre eux je ne les ai pas encore envoyés. Et si vous en voulez un, c’est absolument gratuit. Ecrivez-moi simplement à Jeffersonville, Indiana, et je vous en enverrai un. Juste si vous... Boîte postale 325. Mais si vous ne pouvez pas vous en souvenir, juste Jeffersonville, Indiana. C’est une petite ville d’environ trente-cinq mille habitants. Et notre courrier est considérable.

14        Eh bien, je ne cherche pas à avoir votre adresse, car–car je n’ai pas d’émission du tout. Je n’ai rien. Pas d’émission. Nous avons des livres, mais ces livres, nous les achetons à quelqu’un d’autre pour les apporter à la réunion. Je n’ai pas de chaîne de radio ni de télévision, ni rien d’autre. Je n’ai d’obligation envers rien ni envers personne à part Dieu. En effet, je peux aller à une église, petite ou grande. Il ne me faut pas avoir un certain montant d’argent. Il n’y a rien de planifié. J’ai cinquante et un ans, je prêche depuis trente et un ans et je n’ai jamais prélevé l’offrande de ma vie. C’est vrai. Je–je... L’argent n’y est pas du tout rattaché. Les gens me donnent de petites choses afin que je puisse en vivre; cela aide à soutenir le ministère, ce qui est apprécié. Cela est affecté à une fondation, à mon église. Moi-même, je gagne cent dollars par semaine pour subvenir à mes besoins. Et en dehors de cela, eh bien, c’est tout ce que j’ai. Et ce–c’est tout ce dont j’ai besoin.

            Et je–je ne crois pas que l’Evangile de Christ soit jamais un objet à commercialiser. Je crois que cela ne doit pas se faire. Et je ne crois pas que–que les serviteurs de Christ devraient chercher à être des hommes de spectacle. Je crois qu’ils sont censés être humbles, prendre la place de Christ, Qui... nous... Sa Vie en nous, Le représenter devant le public.

15        Maintenant, nous voyons qu’Il a dit: «Les renards ont des tanières et des abris, les oiseaux ont des nids; mais le Fils de Dieu n’a pas de place où reposer Sa tête.» Il n’était pas obligé d’être ainsi. Je pense que le Mot le plus doux dans la Bible, l’un d’eux: «Père, Je me sanctifie Moi-même pour eux.» Il avait le droit d’avoir une femme. Il avait le droit d’avoir une maison. Il avait le droit de se livrer aux–aux plaisirs de la vie comme nous, le confort de la vie au moins. Mais Il s’est sanctifié Lui-même parce qu’Il formait douze hommes qui remueraient le monde avec l’Evangile. Et s’Il a pu faire cela, à combien plus forte raison devrions-nous nous sanctifier? Voyez? Maintenant, adressons-Lui... juste encore un mot avant d’aborder la Parole de l’Auteur. Approchons-nous de Lui encore une fois dans la prière.

16        Seigneur, c’est Ta Parole, nous Te prions de nous La rendre réelle ce soir. Maintenant, nous savons qu’il est écrit: «L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.» Et quand nous lisons Ta Parole, nous savons qu’Elle ne faillira pas. Nos paroles failliront parce que nous sommes des mortels et nous sommes limités. Mais Toi, Tu es infini et le Dieu immortel et éternel. Et alors que j’aborde Ta Parole, je L’aborde avec ce genre de foi, que Tes Paroles ne peuvent pas faillir. Et si je lis cette Parole, qu’ensuite les gens qui se sont assemblés ici ce soir rentrent chez eux, ils peuvent au moins dire qu’ils ont entendu quelque chose d’éternel, car C’était Ta Parole.

            Alors, Père, si l’Evangile n’est pas venu seulement par l’écoute de la Parole, la foi est venue par cela, mais l’Evangile, c’était de manifester ou de montrer la puissance du Saint-Esprit qui est dans la Parole. Car «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et a habité parmi nous.» Aussi, l’Epître aux Hébreux nous apprend que la Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, qu’Elle pénètre jusqu’à séparer la moelle de l’os. Et la Parole de Dieu discerne les pensées du coeur. Les intentions du coeur et de l’esprit, la Parole de Dieu peut les révéler. En effet, le Christ vivant, qui est la Parole vivante, entre dans nos âmes vivantes, révèle le secret du coeur, car Il est la Parole. Que la Parole parle, Père, et que la méditation de nos coeurs Te soient agréables, ô Eternel. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

17        Dans l’Evangile de saint Matthieu, chapitre 12, verset 42, voici la portion... le texte que nous lisons:

          La reine du Midi se lèvera, au jour du jugement, avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et voici, il y a ici plus que Salomon.

            Jésus, dans les passages qui précèdent celui-ci... J’espère que quand vous rentrerez chez vous, vous lirez tout ce glorieux chapitre. Et Jésus était en train de les réprimander et de les reprendre parce qu’ils n’avaient pas cru en Lui. Il était venu, a-t-Il dit, au Nom de Son Père et ils ne L’ont pas reçu. Il a dit: «Un autre viendra en son propre nom, et alors, vous le recevrez.» Et c’est vrai. Nous venons, nous formons nos églises, nous avons nos dénominations, et ils sont... vous êtes prêts à dire: «Oui. Je–je–je–je suis membre chez les baptistes, les presbytériens.» Vous recevez cela facilement. Mais quant à recevoir Jésus, hein, hein, ils ne veulent pas de Lui.

18        Maintenant, Il a dit: «Je suis venu.» Et quand Il était venu, les gens ne L’avaient pas reconnu. Il était venu exactement comme les Ecritures avaient dit qu’Il viendrait. Il était venu, Il était le Messie des Juifs. Et non seulement le Messie des Juifs, Il était la Postérité d’Abraham qui avait été promise, que nous avons tant examinée au courant de la semaine d’étude, et là à l’église. Il est venu chez les Siens, et les Siens ne L’ont pas reçu. Et Il s’était présenté aux Siens. Il est allé vers Israël, qui était la–l’Eglise de Dieu, le peuple de Dieu, et la nation de Dieu. «Il est venu chez les Siens, et les Siens ne L’ont point reçu. Mais à tous ceux qui L’ont reçu, Il a donné le pouvoir de devenir fils de Dieu, à ceux qui ont cru en Son Nom.»

19        Maintenant, nous voyons qu’il y a trois catégories de gens. Nous descendons de trois fils de Noé: Cham, Sem et Japhet. Et il y avait... C’étaient les Juifs, les Gentils et les Samaritains. Si vous remarquez bien, Pierre, par la révélation, il lui avait été donné les clés du Royaume, car Dieu savait qu’il avait la révélation des Ecritures. En effet, il avait demandé à Ses disciples dans l’ensemble: «Qui dit-on que Je suis, Moi le Fils de l’homme?»

            Et les uns disaient: «Tu es Elie.» Et les autres disaient: «Tu es le Prophète.» Et les autres encore disaient: «Moïse.»

            Il a demandé: «Mais Je vous demande à vous: Qui dites-vous que Je suis?»

            Et Pierre a dit: «Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.»

            Et Jésus a dit: «Tu es heureux, fils de Jonas, car ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais c’est Mon Père qui est dans les cieux. (Voyez, c’était une révélation.) Et sur cette pierre, Je bâtirai Mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle.» Voyez? C’était une révélation directe qui avait été portée à la connaissance de l’apôtre, qu’Il était le Fils de Dieu.

            Maintenant, si l’Eglise de Dieu existe toujours, alors ceux qui sont dans l’Eglise y sont entrés par la révélation spirituelle, car c’est ainsi que nous entrons dans l’Eglise. Mais beaucoup parmi nous essaient d’y entrer par une théologie doctrinale, et par ceci et cela, et c’est en ordre. Je ne dis rien contre cela. Mais j’essaie de différencier la pure vérité de la vérité partielle. La révélation que Dieu vous donne, que C’est Son Fils qui est mort à votre place, c’est donc ça la révélation, Qui Il est.

20        Eh bien, Jésus était venu, et Il avait prouvé aux gens par tous les moyens ce que les Ecritures avaient dit, qu’Il était le Messie qui était... dont ils attendaient la Venue. Or, beaucoup parmi eux s’étaient fait une fausse conception de Sa Venue, et c’est la raison pour laquelle Il avait été mal compris. Permettez-moi de le dire, mais c’est la raison pour laquelle ce soir Il est mal compris. Ils se sont fait une fausse conception de ce qu’Il est.

            Maintenant, je pense, pendant que je me tenais ici, avoir entendu mon associé ici lire un passage des Ecritures; en fait, le thème des campagnes, c’est toujours: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Et il a lu cela dans Hébreux 13.8, que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Eh bien, quand Il était venu, les gens... le–le grand groupe d’Israël avait certainement les yeux grandement ouverts, attendant un Messie, mais ils L’attendaient de la façon dont ils avaient été enseignés qu’Il viendrait. Eh bien alors, chaque personne bien, spirituelle, ou même une personne intellectuelle, reconnaîtrait qu’Il n’était pas venu contrairement aux Ecritures. Il était venu contrairement à l’entendement des Ecritures qu’eux avaient, pas contrairement aux Ecritures.

            Mais ils avaient été ainsi enseignés par les enseignants, car les enseignants avaient–avaient une fausse conception de Lui. Et puissé-je ne pas blesser en disant ceci, mais peut-être cela pourrait être encore ainsi. Vous savez, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il viendra probablement un peu différemment de la façon dont nous attendons Sa venue. Ce n’est qu’une façon logique, raisonnable, d’aborder une telle pensée, je pense, en ce jour-ci.

21        Maintenant, nous verrons ensuite que quand Il est venu, ce que le Messie était censé être, d’après le prophète Moïse, qui était en fait celui qui avait prédit Sa Venue, et il avait dit: «L’Eternel ton Dieu te suscitera un prophète comme moi.» Eh bien, tout bon théologien aurait dû savoir que ce Messie devait être un Prophète, ou Ses–ou Ses attributs qui Le suivaient devaient être prophétiques, car Israël, il lui a toujours été recommandé de croire ses prophètes. Ils l’ont toujours fait.

            Mais nous devons aussi prendre ceci en considération, que tous ne peuvent pas venir à Christ. En effet, Il a dit: «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire premièrement. Et tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi.» Regardez des millions qui avaient reçu... qui ne L’avaient pas reçu en ce jour-là et la minorité qui L’avait reçu effectivement. Maintenant, appliquons cela à aujourd’hui et regardons cela sans détour tel que ça devrait être.

22        Maintenant, nous voyons qu’à Sa Venue, qu’Il a effectivement accompli le signe du Messie. Et comme souvent au cours de la semaine nous avons essayé de manifester cela et de montrer cela à plusieurs reprises encore. De la Genèse à l’Apocalypse, nous avons vu cela. Est-ce vrai, classe, cette semaine? Ce que le Messie serait... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Il était oint, le prophète a toujours la Parole du Seigneur, un vrai prophète. Voyez? Le prophète a dit que: «Ils ont des yeux et ils ne peuvent pas voir.» Ils ne peuvent pas voir les miracles. Ils ont des oreilles et ils ne peuvent pas entendre.» Voyez? Esaïe l’a dit. Ainsi, nous savons donc que–qu’ils devaient en être ainsi. Non pas que Dieu ait déterminé cela à être ainsi, mais par Sa prescience Il savait qu’il en serait ainsi, car Il est infini.

            Si donc Il est infini, Il connaissait la fin depuis le commencement. Et c’est la raison pour laquelle Il pouvait prédire la fin depuis le commencement. Il savait, parce qu’Il était Dieu. Et s’Il n’est pas infini, alors Il n’est pas Dieu. Mais nous savons qu’Il est infini et que nous, nous sommes limités. Nous avons tellement embrouillé et figé les choses que nous avons raison, alors Dieu par Son Esprit infini, passe juste très loin au-dessus de cela. «Autant Mes pensées sont élevées au-dessus de vos pensées», dit Dieu; autant Ses voies sont au-dessus de nos voies. Nous devons donc nous soumettre à Sa Voie.

23        Maintenant, nous avons entendu parler de toutes sortes de choses qui sont arrivées. Nous avons entendu parler des Elies, nous avons entendu parler de vierges Maries partout dans le pays. Nous avons entendu parler de toutes sortes de sensations et tout comme cela. En fait, je–je ne suis pas ici pour parler contre cela. Je suis ici pour dire que tout ange de Dieu, ou tout messager de Dieu doit s’en tenir strictement à la Parole de Dieu.

            Autrefois, dans la Bible, ils avaient un moyen de découvrir si c’était la vérité ou pas. Ils avaient selon leurs lois, de Moïse, ils avaient ce qu’on appelait le sacerdoce d’Aaron, et puis le sacerdoce lévitique plutôt, et Aaron était le souverain sacrificateur qui portait la poitrine... sur sa poitrine les pierres de naissance de chaque patriarche. On suspendait ce pectoral. Et alors, c’était appelé l’Urim et le Thummim. Et quand un prophète prophétisait, s’il allait devant l’Urim et le Thummim, et qu’il racontait sa prophétie, ou racontait son songe, et que ces lumières surnaturelles ne donnaient pas un reflet dans un conglomérat de lumières, alors, peu importe combien cela paraissait bon, c’était faux. On rejetait cela. Tous les bons docteurs savent cela, qu’on–qu’on rejetait cela. Cela devait se confirmer par l’Urim et le Thummim. Et aujourd’hui, évidemment, après que ce sacerdoce a pris fin, il y a donc eu un autre sacerdoce qui a commencé selon l’ordre de Melchisédek.

            Maintenant, maintenant aujourd’hui, nous n’avons pas de pierres de naissance des patriarches, mais nous avons l’Urim et le Thummim. Et C’est la Bible de Dieu. Jésus a dit: «Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera point.» Et dans le Livre d’Apocalypse, qui est la révélation de Jésus-Christ, il est dit: «Celui qui ajoutera ou qui retranchera de Cela, sa part sera retranchée du Livre de la Vie.» Ceci est l’Urim et le Thummim.

            Joseph Smith avait rencontré un ange; ce n’était pas scripturaire. Eh bien, si un ange ou n’importe quoi de contraire à la Parole de Dieu, ceci est la complète révélation de Jésus-Christ. Accrochez-vous-Y donc.

24        Alors, Jésus s’est fait connaître à Ses frères en parlant à Simon et en lui disant qui il était et qui était son père. Simon a aussitôt reconnu qu’Il était le Messie. Croyez-vous que Dieu, avant la fondation du monde, savait que cela arriverait comme cela? Jésus l’a dit. Il savait cela avant la fondation du monde. Alors... Et Dieu les a appelés.

            Maintenant, quand Nathanaël est venu, il était lui aussi, comme j’ai entendu le frère ici dire il y a quelques instants, c’était prouvé; Nathanaël était un homme versé dans les Ecritures, il savait que c’était le Messie, ce que le Messie ferait. La femme au puits, comme Il s’y est référé. Que des fois encore? Zachée en haut, dans l’arbre, se cachait à Lui. Il s’est tenu juste en dessous de l’arbre et a dit: «Zachée, descends. Je vais avec toi chez toi pour le dîner.» L’aveugle Bartimée descendant dans la foule... alors qu’il y en avait qui Lui lançaient des histoires, criaient et se moquaient de Lui, mais sa foi L’arrêta, et non seulement elle L’arrêta, mais elle guérit l’homme. Une femme toucha le bord de Son vêtement, elle s’en alla et s’assit, Il dit: «Quelqu’un M’a touché.» Et l’apôtre L’a repris pour avoir dit un tel mot. Il promena le regard sur l’assistance jusqu’à repérer la femme et Il lui parla de sa–de sa perte de sang et lui dit que sa foi l’avait sauvée. Voyez? C’était parfait, le signe du Messie, et ils ont refusé de reconnaître cela.

25        Maintenant, voici ce que je soutiens, c’est sur base des Ecritures, qu’Il–qu’Il a accompli ces signes tant devant les Juifs que les Samaritains, mais pas devant les Gentils, pas une seule fois, parce que les Gentils n’attendaient pas le Messie. Mais sommes-nous, parmi les Gentils ce soir, des chrétiens qui attendent le Messie? Il nous a promis dans Luc; Il a dit que quand nous verrions le signe de Sodome, c’est ainsi que ça sera à la Venue du Fils de l’homme. Vous rappelez-vous cela? Comment Lot là-bas, le croyant frontalier là à Sodome, un petit membre d’église, tout embrouillé avec le monde et sa théologie toute embrouillée; mais il y avait un Billy Graham moderne qui descendit là-bas, il prêcha l’Evangile et fit sortir Lot et les autres.

26        Mais Abraham était déjà dehors. Le mot église veut dire appelé à sortir, le groupe appelé à sortir. En d’autres termes, Dieu exige la séparation. Aujourd’hui, le monde réclame les mélangeurs. Beaucoup de gens quand ils choisissent leur pasteur, ils veulent avoir quelqu’un qui mélangera, quelqu’un qui descendra et qui ira se baigner sur la plage, ou qui prendra un petit verre amical avec vous, ou–ou qui dira une petite plaisanterie grossière ou quelque chose comme cela. C’est plein chez les protestants aujourd’hui. Mais les gens aiment un mélangeur, mais Dieu réclame des séparateurs. Séparez-vous de cela. Ne vous mettez pas sous le joug de l’incrédulité. C’est ainsi que Dieu procède. Le monde a une autre conception.

27        Or, quand nous examinons davantage la Parole, nous voyons que l’Eglise appelée à sortir, l’Elue, un Ange leur avait parlé et leur avait donné un signe. Et il y avait un Homme étrange, qui demeurait dans la chair, qu’Abraham plus tard appela Elohim, le Dieu Tout-Puissant. Ainsi donc, il a vu cet Homme assis, Son dos tourné à la tente. Et juste le–le chapitre qui précède celui-ci, Dieu avait rencontré Abraham et avait changé son nom d’Abram en Abraham, de Saraï, à Sara, la princesse. Il s’est adressé à tous deux par leur nom sacerdotal, ou leur nom donné par Dieu. Elohim. H-a-m, recevant une partie de Son Nom, Abraham. D’Abram, ham, une partie du Nom de Dieu. En effet, il devait aussi devenir père par la postérité pour beaucoup de nations, le père des nations.

            Maintenant, remarquez ce qui est arrivé là. Eh bien, l’Ange, avec Son dos tourné à la tente, a dit: «Où est Sara, ta femme?» Comment avait-Il su que son nom était Sara? Comment avait-Il su qu’il était marié? Et comment avait-Il su toutes ces choses?

            Il a répondu: «Elle est dans la tente derrière Toi.»

            Et Il a dit: «Je vais te visiter à cette même époque.» Et Sara a ri en elle-même. Et alors, l’Ange a dit: «Pourquoi a-t-elle ri dans son coeur, disant: ‘Je ne pourrais pas faire cela, et je suis trop vieille’, et ainsi de suite?» Comment avait-Il su cela?

28        Maintenant, Jésus, clairement... Maintenant, écoutez attentivement. Ne manquez pas ça. Et soyez aussi respectueux que possible. Remarquez. Cette promesse a été faite, pour qu’elle se répète à la Venue du Seigneur. Voyez-vous cela? Maintenant, Jésus étant mal compris, qu’est-ce que le... ils ont dit quand ils L’ont vu accomplir Ses signes du Messie? Ils ont dit: «Il est Béelzébul.» Eh bien, alors, nous savons que Béelzébul était un démon. Il était le chef des démons. Et en d’autres termes, ils ont taxé Jésus, du fait qu’Il connaissait les pensées de leurs coeurs, d’un–un diseur de bonne aventure, ou de quelqu’un qui lisait les pensées, ou quelque chose comme cela. En fait, nous savons que cela est du diable, certainement. Et c’est–c’est une perversion, quelque chose de réel qui est perverti.

            Le diable ne peut pas créer. Le diable ne fait que pervertir ce que Dieu a créé. Il n’y a qu’un seul Créateur, c’est Dieu. Qu’est-ce qu’un mensonge? C’est une vérité mal présentée. Qu’est-ce qu’une–une mauvaise femme? C’est une bonne femme qui est pervertie. Voyez? Tout ce qui est perverti vient du diable. Tout ce qui est dans l’état originel, c’est de Dieu. Voyez? Dieu est l’unique Créateur. Et le diable ne peut pas créer. Il ne fait que pervertir ce que Dieu a créé. Gardez cela à l’esprit.

            Maintenant, ils ont taxé l’Esprit de Dieu, qui accomplissait ces grandes oeuvres pour prouver qu’Il était le Messie, ils ont taxé Cela d’un mauvais esprit. Et Jésus a dit: «Je vais vous pardonner pour ça; mais quand le Saint-Esprit sera venu (faire la même chose), un seul mot contre Cela ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.» Observez comment cela subsiste.

29        Maintenant, avant que le jugement puisse frapper, la miséricorde vient en premier lieu. Puis, après la miséricorde, il n’y a donc pas.... Si vous rejetez la miséricorde, il ne reste qu’une seule chose, c’est le jugement. Le jugement suit la miséricorde, après que celle-ci a été rejetée. Ils ont rejeté Christ, le jugement a suivi. Ils avaient rejeté les prophètes, le jugement avait suivi. Et malgré que cela me fasse mal, en tant que citoyen américain, je dois le dire, cette nation a rejeté la miséricorde. Aussi est-elle prête pour le jugement divin de Dieu. Regardez ce qui s’est passé dans cette nation, toutes sortes de choses, de grands hommes comme je venais d’en parler il y a quelques instants, Charles Fuller, Billy Graham, Jack Shuler, Oral Roberts, Tommy Hicks, T.L. Osborn; de grands hommes ont parcouru cette nation, la secouant; et elle ne cesse de patauger dans le péché, continuant à avancer aveuglement. Certains d’entre eux peuvent être influencés par le–le ministère de ces grands hommes, ils peuvent entrer et adhérer à l’église et sortir directement pour vivre comme ils avaient toujours vécu. Quand vous confessez le Nom de Jésus-Christ, abstenez-vous de tout péché. «Que tout homme qui cite le Nom de Jésus-Christ, déclarent les Ecritures, s’éloigne du péché.» Mais que faisons-nous?

30        Le péché, c’est quoi? L’incrédulité. Il n’y a qu’un seul péché: L’incrédulité. Vous commettez l’adultère, vous fumez la cigarette, vous injuriez, vous buvez, parce que vous êtes un incrédule. Si vous étiez un croyant, vous ne feriez pas cela. Ces choses sont des attributs de l’incrédulité. Un vrai croyant se repose solidement sur Christ, et rien ne l’ébranlera. Mais comme vous errez, basculant d’un côté, c’est pourquoi vous avez ces choses qui vous arrivent dans votre vie. Une véritable foi sans mélange vous gardera sainement face à la croix. Elle le fera.

31        Eh bien, Il les a réprimandés, Il leur a parlé, parce qu’ils avaient fait cela, Il s’est mis à dire (Et je descends vers mon texte maintenant.) que la reine du Midi se lèvera et condamnera cette génération. Ils Lui avaient dit qu’Il était Béelzébul, juste quelques versets avant cela. Et Il les avait réprimandés pour leur incrédulité. Il leur avait dit que c’était leur jour, mais qu’ils avaient rejeté cela. Il a encore dit: «Jérusalem, Jérusalem, combien de fois ai-je voulu te couver comme une poule couve sa couvée, mais tu ne l’as pas voulu.» Maintenant, tu es abandonnée.

            Et je crois que le glorieux Saint-Esprit dans les coeurs des hommes et des femmes en Amérique, qui sont des chrétiens, peut sentir Cela crier: «Glorieuse Amérique, Amérique, combien de fois ai-je voulu te donner un réveil, combien de fois ai-je voulu te rassembler, mais tu n’a pas voulu. Tu aimes les choses du monde plus que les choses de Dieu, t’y voilà donc.» Il ne reste donc que le jugement divin qui doit tomber, la séparation d’avec Dieu.

32        Maintenant, nous voyons qu’au cours de toutes les générations, Dieu a eu des dons. Chaque génération dans la Bible, comme j’ai ici beaucoup de passages des Ecritures auxquels je pourrais me référer pour montrer qu’au cours de différents âges, Dieu a eu des dons divins. Et maintenant, j’aimerais dire ceci aux membres du clergé. J’aimerais que vous me disiez, ou que vous me montriez dans l’histoire une seule fois chez un historien, ou n’importe quel temps où Dieu ait jamais déversé Ses bénédictions et ait eu un réveil sans qu’il y ait des signes surnaturels qui ont suivi ce réveil-là: chaque réveil. Ils avaient eu des guérisons, des parlers en langues et des démonstrations de l’Esprit lors de chaque réveil. Ce sont les signes de Dieu. Dieu, là où Dieu se trouve, il y a des signes parce que Dieu est un Dieu qui opère des signes. Jésus n’a jamais dit: «M’avez-vous cru parce que J’avais l’enseignement de Mon Père?» Il a dit: «Si Je ne donne pas l’enseignement de Mon Père, ne Me croyez pas.» Il a dit: «Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père. Ne Me croyez pas si Je ne fais pas les oeuvres.»

33        Nous sommes allés, nous avons construit des écoles, des écoles bibliques, et–et des séminaires, nous avons construit de beaux bâtiments, mais cela n’était certainement pas la commission. Ces choses sont bonnes, je ne peux rien dire de mal contre cela, elles ont joué leur rôle. Mais ce n’était pas là la commission. La commission était: «Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle.» Prêcher la Bonne Nouvelle, c’était faire la démonstration de la puissance. Absolument. Qu’est-ce que le verset suivant dit? «Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Les manifestations sont... Les démonstrations sont les oeuvres de la Parole rendue manifeste. Quand la Parole est prêchée, les signes de la Parole confirment que la Parole est vraie. Sinon, cela ne vient pas du coeur qui a la foi. Cela ne s’ancre pas dans le coeur qui a la foi.

            Jésus n’a-t-Il pas dit que quelqu’un avait semé des semences et qu’alors une partie est tombée le long de la route et les oiseaux l’ont ramassée? Une partie tomba sur un terrain pierreux et les richesses du monde ont étouffé cela, du genre ronces et autres. N’a-t-Il pas dit qu’une partie est tombée et s’est reproduite au centuple? Voyez, vous devez premièrement laisser la Parole tomber dans un bon genre de foi. Et alors, cette foi-là reproduit ce que la Parole a dit, car la Parole est une Semence. La Parole de Dieu, ici même, est une Semence qu’un semeur sème. Et chaque semence se reproduira selon son espèce, si cela est placé dans de bonnes atmosphères et dans une bonne condition.

34        Vous ne pouvez pas cacher cela. Vous ne pouvez pas cacher une vie authentique. Prenez la vie naturelle, la vie végétale. Que le soleil devienne chaud. Eh bien, comme dans ma région, de petites semences tombent de ces fleurs; elles meurent. On tient un cortège funèbre. Les–les cieux pleurent abondamment en octobre, versant de très grosses larmes et les ensevelissent sous terre. La semence éclate. La pulpe en sort. Ce n’est pas la fin de cette fleur. Laissez simplement que le soleil, le s-o-l-e-i-l, qui a le contrôle de toute la vie végétale, et quand il se met alors à briller sur la terre et amène celle-ci à une certaine température; aucune autre température ne fera cela. Rien d’autre ne mettra cette couleur là si ce n’est le soleil. Laissez donc cela atteindre la température qu’il faut, l’atmosphère correcte, et ce petit germe de vie caché quelque part sous la terre repoussera. Avez-vous déjà coulé une allée en béton? Remarquez au printemps, où y a-t-il le plus d’herbes? Juste à la bordure de l’allée. Qu’est-ce? C’est cette semence qui a été ensevelie sous l’allée. Et quand la température est bonne, la saison est appropriée, vous ne pouvez pas cacher la vie. Cela se frayera la voie directement, et cela dressera sa petite tête et louera Dieu. En effet, c’est la vie. Vous ne pouvez pas cacher cela une fois que le s-o-l-e-i-l brille.

            Tout aussi sûrement que le s-o-l-e-i-l fait reproduire la vie végétale, le F-i-l-s fait reproduire la Vie Eternelle. Et vous ne pouvez pas cacher cela. Cela brillera. Il y a quelque chose qui doit arriver. Jésus a dit: «S’ils se taisent, ces pierres crieront aussitôt.» Quelque chose se passe. Quand Dieu, le Dieu éternel, se met à faire briller Son Esprit, ceux qui sont ordonnés à la Vie reconnaîtront cela. Ils viendront et marcheront dans la Lumière, ils vivront dans la Lumière.

35        Et Il a dit: «En vérité, Je vous le dis, encore un peu de temps et le monde (cosmos, ce qui veut dire l’ordre du monde) ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez, car Je (Je est un pronom personnel là) Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du siècle», jusqu’à la fin. «Allez par tout le monde.» Non pas juste à cette génération-ci, «par tout le monde.» Vous qui dites que le... qui aimez dire que les signes des apôtres, qu’ils étaient les seuls à avoir reçu le Saint-Esprit, qu’eux seuls pouvaient accomplir des miracles, comment pouvez-vous lire l’histoire de l’église et dire pareille chose? Qu’en est-il de Polycarpe? Qu’en est-il d’Irénée? Qu’en est-il de saint Martin? Qu’allez-vous faire de ces hommes-là? Colomba? Colombie? Tous ces gens-là, qu’allez-vous faire d’eux? Des centaines d’années plus tard, ils guérissaient toujours les malades, ressuscitaient les morts, parlaient en langues, ils chassaient les démons. Comment allez-vous cacher cela? Tant que ce Fils, F-i-l-s, du Saint-Esprit de Dieu brille sur l’église, des signes et des prodiges apparaîtront. On ne peut pas cacher cela. Cela est là.

            Lisez ceci avec moi, Marc 16. «Allez par tout le monde.» Cela n’a point atteint le monde entier jusque là. «Prêcher la Bonne Nouvelle», démontrer la puissance. A qui? «A toute la création.» Voyez? «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Jusqu’où? Par tout le monde. A toute la création. Vous ne pouvez simplement pas cacher cela. Il n’a jamais dit: «Allez enseigner la Parole.» «Allez prêcher la Bonne Nouvelle.» Démontrez la puissance du Saint-Esprit.

36        Or, si vous ne connaissez pas la Parole, comment allez-vous connaître le signe? «Voici les miracles...» Vous devez connaître la Parole, savoir de quoi vous parlez. Si vous prenez cela selon une conception d’un homme, alors vous n’avez point reçu cela comme Pierre l’avait reçu. Vous vous ferez donc votre propre idée à ce sujet. Mais Jésus a dit à Pierre: «Ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais c’est Mon Père qui est dans les cieux. Et sur cette pierre, Je bâtirai Mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle.»

            Maintenant, pour voir si c’est vrai ou pas, retournez prendre les pères Pré-nicéens, ou le Conseil Nicéen, et les–les historiens de l’âge, et voyez si chaque fois que les gens avaient cru cette Parole-là Elle n’avait pas produit exactement ce qu’Elle avait dit qu’Elle produirait.

37        J’ai vu, il n’y a pas longtemps, qu’on est allé dans des greniers de l’Egypte et on a trouvé du blé qui avait été mis là il y a environ deux mille cinq cents ans, oui, plus que cela, environ trois mille ans, ça a été mis là par Joseph. Une quantité de ce blé est là depuis toutes ces années, on en a plantés et ça s’est reproduit. Peu importe pendant combien de temps cet Evangile reste ici, deux mille ans, nous avons eu des moqueurs et des railleurs, et ils ont dit que les jours des miracles sont passés, mais placez cette Parole dans un bon genre de coeur, Elle reproduira exactement ce qu’Elle avait produit au commencement, car c’est la Parole de Dieu. Elle doit passer par un canal de la foi. Tant que cela restait dans le grenier, cela ne servait à rien, cela restait simplement là comme un mémorial.

38        J’ai été surpris à Rome. On a dix-neuf clous authentiques qui avaient été utilisés pour clouer la main de Jésus. Tout le monde disait: «Nous avons cela.» «C’est notre église qui a cela.» «C’est nous qui avons cela.» Dix-neuf clous, ils peuvent le prouver, alors qu’il n’y en avait que trois. Voyez? Tout le monde veut un clou. Il n’y a pas longtemps, un grand... Vous comprenez ce que je veux dire, un grand homme s’est présenté avec un morceau... «Voici un morceau de la croix originelle.» Qu’est-ce que ça change? Peu m’importe combien de clous vous avez, combien de morceaux de croix vous avez. Il nous faut reproduire cette Parole. Placez Cela non pas sur une croix, sur un clou, mais dans une atmosphère vivante du Saint-Esprit. Cela produit des résultats. La Parole de Dieu dans une bonne atmosphère reproduira exactement ce qu’il est dit qu’Elle produirait. Elle doit cependant être dans une bonne atmosphère. Vous ne pouvez pas mettre Cela dans un séminaire ou dans une école biblique qui ne croit pas dans les signes et les prodiges. Jamais Cela n’arri-... Cela n’éclora jamais, Ça ne viendra pas à la Vie là. L’atmosphère est mauvaise. Mais vous devez placer Cela dans une bonne atmosphère. Quel genre d’atmosphère? Une atmosphère d’abandon. Restez là jusqu’à ce que Cela croisse et prenne vie. C’est ça.

39        Il n’a jamais dit: «Si Je donne les enseignements de Mon Père...» Il a dit: «Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père.» Ce... l’enseignement, tout le monde peut enseigner cela, mais qu’on voie les oeuvres s’accomplir. Vous pouvez dire: «Oh! Il est un grand Dieu.» Assurément. Nous fréquentons des écoles bibliques, non pas que je les condamne, mais j’essaie de... j’espère que vous ne me comprenez pas mal. Je ne condamne pas les écoles bibliques. Mais je condamne cela, ce que vous dites que vous–vous enseignez ces choses, et puis, vous ôtez tout le fondement, disant que c’était pour un autre âge. C’est juste comme donner à votre canari des vitamines pour qu’il ait de bonnes ailes fortes et vous le mettez dans une cage. A quoi sert-il de faire cela? Pourquoi consolider ses ailes si vous allez l’enfermer dans une cage? Ce dont l’église a besoin aujourd’hui, c’est de faire sauter ces barrières qui les retiennent et que certaines vitamines du Saint-Esprit, de la Pentecôte, soient déversées dans l’église, alors cela changera l’atmosphère. C’est vrai. Ils écloront. Cela produira des aigles plutôt que des poulets.

40        Poulet...?... C’est un oiseau, mais c’est un demi-frère, il ne connaît pas les lieux célestes. Il ne sait pas ce que ça représente que d’être là-haut. L’un des spectacles le plus pitoyable que j’aie jamais vu, c’était... Je suis allé devant une cage une fois. Ma petite Sara et moi, nous nous promenions par là. Il y avait un... J’ai entendu un bruit, et un gros aigle, quelqu’un l’avait attrapé, et il s’était dépouillé de toutes ses plumes à force de cogner sa tête ainsi que les bouts de ses ailes. Il retombait dans la cage, il venait en battant des ailes, il cognait sa tête contre, ses ailes et ses plumes s’envolaient, il retombait. Je l’ai vu couché là et ces gros yeux gris regardaient tout autour. Pourquoi? Il était un oiseau céleste. Il plane dans les cieux. C’est là que se trouve son coeur. Mais par la malignité d’un homme, il s’est fait attraper et il a été mis dans cette cage-ci. Et il cherchait à en sortir en cognant de sa propre force, il cognait juste contre la paroi. Je me suis dit: «C’est pitoyable.» Je me suis éloigné de là en pleurant pratiquement. Je me suis dit: «Je souhaiterais qu’ils me le vendent.» Je déteste voir quelque chose être enfermé dans une cage.

            J’ai horreur de voir l’église être enfermée dans une cage. Oui. Juste vous cogner à mort, et tout le reste, avec toutes sortes de soupers de bienfaisance, des dîners, et il y a des classes sociales et des choses semblables. Oh! la la! Vous n’êtes pas né pour être comme cela. Non, non.

41        Et j’ai observé le drôle d’oiseau, je me suis dit: «Si je pouvais avoir...» Je me suis dit: «Eh bien, c’est un spectacle pitoyable.»

            Sara a dit: «Papa, ce pauvre oiseau!»

            J’ai dit: «Oui, chérie.»

            Elle a dit: «Qu’est-ce qu’il cogne sa tête et...»

            J’ai dit: «Il cherche à sortir de ces barreaux.»

            Elle a dit: «Qu’est-ce qui l’amène à vouloir chercher... pourquoi ne se contente-t-il pas de rester assis et en être satisfait?»

            J’ai dit: «Il ne le peut pas. Tu vois, chérie, sa nature, c’est d’être là en haut. C’est là qu’il devrait être. Ces grandes ailes lui ont été données pour se maintenir là-haut dans les airs, pour regarder en bas, voler haut.»

            Et je me suis écarté de là; je me suis dit: «C’est une chose pitoyable, mais je connais quelque chose de plus pitoyable, voir une église qui se dit l’Eglise de Dieu, l’Eglise de Jésus-Christ, enfermée dans une cage. Alors qu’ils peuvent en fait lire la Bible et voir qu’ils sont nés non pas pour être des poulets enfermés dans la basse-cour. Ils sont censés être des aigles qui peuvent disposer leurs ailes au vent impétueux qui descend. Ils n’ont pas à les battre, ils savent simplement comment disposer leurs ailes et s’éloigner en volant, là où tout est possible, en un lieu qui les fait sortir de ces cages, dans des lieux où nous sommes établis. «Les jours des miracles sont passés, la guérison divine n’existe pas, le Saint-Esprit n’existe pas.» Oh! C’est pitoyable! Que pouvez-vous faire?

42        Eh bien, Jésus leur a parlé. Il leur a donné quelques signes. Et comme mon temps est pratiquement terminé, j’aimerais me référer à certains de ces signes. Observez ici, Il a dit juste quelques versets avant cela: «Comme le jour... Ce qui arriva du temps de Jonas, le prophète...» Dieu, dans toutes les générations, a eu des signes et des prodiges. Il a eu des serviteurs avec qui Il a traité. Parfois, juste un seul. Saviez-vous cela? Cela s’était réduit, du temps de Noé, à un seul. Il–Il prend un type, c’est ce qui est aussi dit de la Venue du Fils de l’homme, et tout. Il en est arrivé à avoir toujours eu Son serviteur. Eh bien, écoutez attentivement pendant les quelques minutes qui vont suivre maintenant. Je pense que j’ai exactement quinze minutes pour être à l’heure.

43        Remarquez, chaque fois que Dieu a envoyé Ses serviteurs et qu’Il a envoyé Ses dons à Ses serviteurs, si ce peuple-là croyait ces dons-là, ça devenait un jubilé d’or pour eux. Mais s’ils rejetaient ces signes et ces dons qu’Il leur avait donnés, ça se terminait toujours dans le chaos. Eh bien, demandez à n’importe quel membre du clergé à qui vous voulez demander ou n’importe quel historien. En fait, je sais qu’il y en a assis devant nous, certains de meilleurs historiens que je connaisse. Je viens de leur parler. Et c’est vrai. Ils tombent toujours en décadence quand ils manquent de reconnaître Dieu et Ses dons, Son signe. Dieu a toujours... Là où Dieu va, il y a toujours des signes et des prodiges. Tout... Il l’a promis: «Voici les miracles qui...» Non pas qui peut-être vont. Certainement. Eh bien, cela a toujours été, il a été prédit qu’il en serait ainsi.

44        Maintenant, remarquez. Si... Il leur a parlé du temps de Jonas. Il les réprimandait pour avoir manqué de voir Son signe de Messie. Mais la femme au puits avait reconnu cela, n’est-ce pas? Elle a dit... Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’en ai point.»

            Il a dit: «C’est vrai. Tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.»

            Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Or, nous savons que quand le Messie sera venu, ça sera là le signe du Messie. Nous savons que ceci est... c’est ce que fera le Messie. Mais Toi, qui es-Tu?»

            Jésus a dit: «Je Le suis.»

            Elle est entrée dans la ville en courant et a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie même? N’est-ce pas là ce que le Messie est censé être?» Et les hommes de la ville ont cru en Jésus à partir de la déclaration de la femme. Voyez-vous cela?

45        Eh bien, Jésus était là, accomplissant ces choses et eux L’avaient rejeté. Alors, Il a dit: «Ce qui arriva du temps de Jonas–Jonas.» Tout le monde s’est toujours moqué de Jonas. Je vais prendre position pour Jonas. Jonas méritait beaucoup plus que les gens ne lui reconnaissent. Beaucoup d’entre eux disent: «Eh bien, c’est un vieux rétrograde.» Non, il ne l’était pas. «Les pas des justes sont ordonnés de l’Eternel.» Et Jonas était un prophète. Dieu avait fait cela à dessein. Il l’a laissé prendre ce bateau vers Tarsis plutôt que celui de Ninive. J’ai toujours eu pitié de lui alors qu’il était dans le ventre du grand poisson. Vous savez, certaines personnes considèrent toujours leurs symptômes. Ils disent: «Regardez ma main. On a prié pour moi, ça ne va pas mieux.» Cela n’ira jamais mieux, à cette allure-là. Ne regardez pas votre main. Regardez une promesse. Voyez?

46        J’ai prié pour un ba-... un jeune garçon ici il y a quelques années. Le vieux papa et la vieille maman étaient venus me prendre afin de prier pour lui. Il souffrait de la diphtérie noire dans le coeur. Le coeur était devenu si faible que le cardiogramme montrait que c’était simplement fini. Et ils m’ont habillé en Ku Klux Klan, on dirait, c’est le docteur qui avait fait ça, pour me faire entrer là-dedans. Le médecin était catholique, et il ne voulait pas me laisser entrer, parce que je suis marié et que j’ai des enfants. Et j’ai dit: «Docteur, feriez-vous entrer le prêtre pour lui administrer le dernier sacrement?»

            Il a dit: «Oui, mais vous n’êtes pas un prêtre.» Il a dit: «Le prêtre n’aurait pas d’enfants à qui transmettre.»

            J’ai dit: «Mais il s’assoit dans le box de confession.»

            Il a dit: «Allez de l’avant.» Et il m’a laissé aller. Je suis donc entré là, et le vieux papa et la vieille mère se sont tenus d’un côté, ils ont dit: «Frère Branham, tout ce que nous voulons que vous fassiez, c’est dire un mot.» Je suis entré là, j’ai prié, j’ai imposé les mains à l’enfant, je... ou plutôt au jeune garçon. Il avait environ douze ans. J’ai dit: «Père céleste, ceci est une promesse. Ceci est ce que Tu as promis. J’impose les mains à ce jeune garçon maintenant, et je réclame sa vie parce que Tu l’as promis. Ces gens croient cela, ils ont envoyé me chercher pour que je vienne ici. C’est tout ce que je sais faire, lui imposer les mains, car Tu as dit: «’Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.’ Je lui ai imposé les mains, je suis directement sorti de là: «Maintenant, que le Seigneur vous bénisse.»

47        Alors, le père a saisi la mère et a dit: «Ô! chérie, n’est-ce pas merveilleux?» Le jeune garçon n’avait manifesté aucun changement, jamais. Et la petite infirmière s’en est prise au père et à la mère de ce qu’ils s’étaient simplement mis à crier, à s’étreindre, l’un l’autre, se réjouissant parce que le jeune garçon était bien portant. Voyez? Mais l’état du jeune garçon n’avait pas du tout changé. Et cette petite infirmière a dit–a dit: «Eh bien, monsieur, vous rendez-vous compte de ce que c’est?» Elle a dit: «Comment pouvez-vous agir comme cela alors que votre enfant se meurt?»

            Il a dit: «Mon enfant ne se meurt pas. Mon enfant vit. Il va vivre.»

            Elle a dit: «Eh bien, a-t-elle dit, monsieur, j’aimerais vous dire quelque chose.» Elle a dit: «Voyez-vous ce cardiogramme électrique?» Il a dit... Je ne comprends pas ce qu’elle disait, mais elle a dit: «Quand cette aiguille (Je ne sais quoi c’était) a effectué tout le tour ici, on n’a jamais enregistré, dans l’histoire de la médecine, que cela soit donc revenu.» Elle a dit: «Le jeune garçon se meurt.» Elle a dit: «Il a maintenant autant de battements de coeur à la minute, a-t-elle dit, il ne s’en sortira plus jamais. Et en plus, la maladie l’a amené dans un état, et c’est–c’est si avancé qu’il n’y a rien qui puisse être fait. Le jeune homme se meurt.»

            Et je n’oublierai jamais ce vieux et vaillant père. Il a pris cette petite infirmière, il l’a entourée de son bras, elle n’était qu’une enfant, et il a dit: «Ecoute, madame, a-t-il dit, je ne te condamne pas, tu es–tu es... tu as appris à interpréter ce tableau.» Il a dit: «C’est tout.... C’est ce que tu sais. Tu as étudié et on t’a dit selon l’histoire et selon vos médecins et tout, que...» Il a dit: «Tu regardes ce tableau. C’est tout ce que tu sais.» Mais il a dit: «Je regarde à une promesse.» Connaissez-vous qui est ce jeune garçon? C’est Bob Bosworth, il est en Afrique du Sud ce soir en train de prêcher l’Evangile, un homme marié avec une famille. C’est vrai. Pourquoi? Ça dépend de ce à quoi vous regardez. Voyez? Regardez à Dieu, regardez à Sa promesse.

48        Maintenant, j’ai toujours pensé que s’il y a eu quelqu’un qui avait un cas de symptômes et qui avait un droit, c’était Jonas. Eh bien, il était dans le ventre d’un grand poisson sur une mer houleuse, les mains et les pieds liés derrière lui, il était couché là dans le ventre d’un grand poisson, plein de matière visqueuse. Eh bien, il regardait de ce côté-ci, c’était le ventre du grand poisson. De ce côté-là, c’était le ventre du gros poisson. De ce côté ici, c’était le ventre du grand poisson. Partout où il regardait, c’était le ventre du grand poisson. Eh bien, je ne pense pas qu’il y ait ici quelqu’un qui soit dans une situation aussi mauvaise présentement. Voyez? Ils sont–ils sont juste dans un... Ce–c’était une situation terrible dans laquelle se retrouver.

            Mais savez-vous ce qu’il a dit? Il a dit: «Ce sont des vanités mensongères. Je ne regarderai pas à ça.» Mais, a-t-il dit, encore une fois, je verrai Ton saint temple.» Quand Salomon consacrait le temple, il avait prié, quand cette Colonne de Feu était entrée, la fumée avait suivi Cela, et Cela était descendu derrière le lieu saint, il a consacré le temple et a dit: «Seigneur, si Tes enfants se retrouvent en difficulté quelque part et qu’ils regardent ce saint temple et prient, exauce alors du haut des cieux.» Et il croyait que cela était valable, car Salomon était un serviteur de Dieu. Et il avait prié, et qu’est-ce que Dieu avait fait? Eh bien, je ne pourrais pas vous expliquer cela scientifiquement, Il avait peut-être placé une tente à oxygène là. Je ne sais pas ce qu’Il avait fait. Mais Il avait gardé ce prophète-là en vie pendant trois jours et trois nuits dans le ventre de ce grand poisson.» Est-ce vrai?

49        Eh bien alors, s’Il fait cela dans ces circonstances-là, par une foi dans un–un homme qui finalement avait rétrogradé... Salomon avait rétrogradé, ses femmes l’avaient éloigné de Dieu. S’il a eu une grande confiance dans la prière de Salomon, dans ce genre de condition, dans ces circonstances, à combien plus forte raison devrions-nous en avoir ce soir dans ces circonstances pour détourner nos regards de nos symptômes et regarder à la droite de Dieu, où Jésus se tient avec Son propre Sang, intercédant sur base de notre confession? «Encore une fois, Seigneur, je verrai Ton saint temple, là où le Fils de Dieu vivant et ressuscité se tient avec Ses propres habits ensanglantés devant Dieu pour intercéder, implorer pour nous, en tant que Souverain Sacrificateur, sur base de ce que nous confessons qu’Il a fait.» Oh! la la! Regardez ce que Dieu a fait.

50        Je lisais une petite histoire il n’y a pas longtemps. Je peux l’insérer ici si ça ne vous dérange pas. Remarquez, vous savez, tous les habitants de Ninive, c’était une grande ville, pratiquement de la taille de Saint Louis par ici. Très bien. Nous savons qu’ils descendaient là, et ils étaient... ils s’étaient tous éloignés de Dieu, et c’étaient des païens. Ils adoraient des idoles. Et leur occupation là à côté de la mer, évidemment, ils étaient des pêcheurs. Tous les hommes sortaient tôt le matin, il y avait des milliers de barques sur l’eau, ils pêchaient des poissons. Il y avait une grande importation. Et ils exportaient du poisson et autres pour gagner la vie.

            Et maintenant, le dieu de la mer était le grand poisson. Et pensez donc à tous les hommes là-bas sur–sur... là dans leurs barques de pêche, là en train de pêcher, et toutes les femmes et tous les enfants se tenaient sur le rivage attendant l’arrivée de leurs maris pour apporter du poisson, ce qu’ils avaient attrapé et tout. Et tout d’un coup, vous savez, le dieu de la mer s’élève, le grand poisson, il vient vite sur le rivage, fait sortir la langue comme une passerelle, et le prophète sort directement de sa bouche en marchant. Certainement. Il n’est pas étonnant qu’ils se soient repentis. Oui, oui. Assurément. Ils s’étaient repentis parce que le dieu avait produit un prophète. Et ils ont écouté ses paroles parce qu’il était venu là de façon surnaturelle.

51        Et remarquez, Jésus a dit qu’une génération méchante et adultère cherchait des signes. A-t-Il dit cela? C’est ici même, lisez ce verset: «Une génération méchante et adultère demande des signes. Et elle ne recevra aucun autre signe si ce n’est celui du prophète Jonas qui fut dans le ventre du grand poisson trois jours et trois nuits. Le Fils de l’homme doit être trois jours et trois nuits dans le sein de la terre.» Maintenant, quel était le signe que la génération méchante et adultère recevrait? Le signe de la résurrection.

            Eh bien, maintenant, dites-moi, quand avons-nous jamais connu une génération plus méchante et plus adultère, où il y a une recrudescence de la perversion ici en Californie de l’ordre de vingt à trente pour cent chaque année? Quand dans notre propre gouvernement, affirme-t-on, il y a trente-cinq ou quarante pour cent d’homosexuels. «Ce qui arriva à Sodome...» Dites-moi quand nous avons jamais eu plus de méchants... Eh bien, les gens font des choses que les anciens ne penseraient pas faire. Ce serait passible d’un châtiment cruel. Méchant, incroyant, irrégénéré, toutes les pensées du coeur de l’homme sont mauvaises comme au temps de Noé, c’est la génération dont Il parlait. Une génération méchante et adultère recevra quel genre de signe? Le signe de Jésus ressuscité, le signe de la résurrection. C’est ce qu’ils recevront. Eh bien, Il dit cela ici même dans les Ecritures.

52        Eh bien, Il aborde ensuite le dernier texte. «Ce qui arriva du temps de Salomon arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme. Car du temps de Salomon, la reine du Midi vint des extrémités du monde connu pour entendre la sagesse de Salomon.»

            Maintenant, considérons Salomon à son époque, juste pendant un moment. Salomon était un grand homme de Dieu à qui Dieu avait donné un don. Son don, c’était le discernement. Combien savent cela? Certainement, c’était ça. Très bien. Et considérez tout Israël. Combien d’enseignants de la Bible ici savent que c’était là l’âge d’or d’Israël? Assurément, c’en était un. Ils ont construit le temple. Ils ont accompli de plus grandes oeuvres. Ils n’ont pas connu de guerre ni rien. Eh bien assurément, pourquoi? Ils étaient tous d’un commun accord, rendant louange pour ce que Dieu avait fait pour eux. Tous soutenaient ce grand don-là. Et Israël était en paix avec les autres nations.

53        Permettez-moi de m’arrêter ici une minute. Si l’Amérique s’était servie de sa science et qu’elle avait essayé de faire des recherches pour guérir le cancer, ou quelque chose qui aiderait quelqu’un plutôt que de chercher à... Ou ici, je vais changer cela. Si l’Amérique s’était tournée vers son don que Dieu lui avait donné, et qu’elle avait reçu le don de Dieu qui est dans le pays présentement, on n’aurait pas eu à construire des abris antiaériens et autres pour se protéger. Le monde entier aurait eu peur de cette nation-ci. Il n’y a qu’une seule arme contre le communisme, et c’est Christ. Christ est ce dont le communisme a peur.

54        J’étais là en Russie, ou pas en Russie, mais en Finlande, quand le petit garçon... Vous avez lu cela dans les magazines et tout, quand ce petit garçon fut ressuscité d’entre les morts. Et là, quand on est en Russie, quand on s’éloigne à quarante miles [64 km] du lieu de sa naissance, on doit avoir un visa pour justifier d’une activité que l’on exerce pour s’éloigner à quarante miles [64 km] du lieu de sa naissance. Et quand cela fut diffusé par la radio ce jour-là, que ce petit garçon était ressuscité d’entre les morts, alors qu’il gisait là... Beaucoup parmi vous qui êtes assis ici même, vous aviez écrit cela dans votre Bible, deux ans avant que cela arrive, quand je vous avais dit...

            Combien y en a-t-il ici qui me diraient qu’ils avaient entendu et que je–je vous avais dit d’écrire dans vos Bibles qu’il y aurait la résurrection d’un petit garçon, que je parcourrais l’ouest et tout ça? Combien y en a-t-il ici qui se souviennent de cette histoire? Levez la main. Regardez là. Voyez? Partout dans la salle. Deux ans avant que cela arrivât. Le petit garçon là... N’était-ce pas exactement tel que cela avait été annoncé que ça arriverait? Assurément. Dieu, à chaque coup, fait cela bien correctement. Maintenant, juste comme Il dit que cela se fera, c’est ainsi que ça se fera. C’est la raison pour laquelle Sa Parole, Son temps, et tout va être juste exactement comme Il l’a dit. Peu importe qui ne croit pas cela, cela va être exactement ainsi malgré tout. Voyez?

55        Alors, quand je suis allé à–à Messuhalli ce soir-là, on faisait entrer environ trente mille personnes là, ensuite on les faisait sortir et on faisait entrer trente mille autres pour que je leur parle. Et alors, quand je descendais la rue, il y avait ces jeunes soldats finlandais qui ne s’étaient point encore rasés; c’étaient juste des jeunes gens, environ six, sept devant, et six, sept derrière. Et là se tenaient ces communistes, des soldats russes, ils se tenaient là exécutant le salut russe à mon passage, les larmes leur coulant sur les joues. Ils ont saisi ces soldats finlandais et les ont étreints. Tout ce qui peut amener un Finlandais à étreindre un Russe et un Russe à étreindre un Finlandais changera les guerres et y mettra fin pour toujours. Ils ont dit: «Nous recevrons un tel Dieu, un Dieu qui a la puissance, un Dieu qui peut se manifester comme Dieu.»

            Ce qu’il y a, c’est que nos églises ont tout simplement réduit cela à une loge. C’est plus qu’une loge. C’est le baptême pour entrer dans le–le Corps de Jésus-Christ vivant et ressuscité, avec puissance, des signes et des prodiges. C’est l’Evangile. C’est Christ. C’est Dieu.

56        Remarquez-le. Assurément, Salomon, tout le monde l’a soutenu. Tout le monde disait: «Oh!...» Tout le monde, d’un commun accord, disait: «Oh! Venez voir le grand don que notre Dieu a donné. Venez voir le grand don que notre Dieu a donné.» Quand Dieu nous donne le don du Saint-Esprit, c’est notre don, le Saint-Esprit. Dieu nous a envoyé le Saint-Esprit. Que faisons-nous? Nous En rions. Nous les taxons de saints exaltés. Nous les repoussons au coin. Nous leur disons qu’ils sont fous, qu’ils ont perdu la tête, qu’ils ne sortent pas de nos écoles, qu’ils ne sont qu’une bande de gens de langues. C’est la raison pour laquelle nous recevons le jugement.

            Qu’ont-ils fait le jour de la Pentecôte? Qu’ont fait ces Juifs? Ils en avaient ri et s’en étaient moqué. Qu’avaient-ils fait quelques années plus tard? Titus avait assiégé les portes et les avait massacrés juste là à l’intérieur au point que le sang avait coulé sous des portes et il avait bouleversé la ville, il a détruit le temple; ils ont été dispersés depuis lors. C’est exact. Nous aurons la même chose. Vous avez rejeté le don de Dieu, le Saint-Esprit. Vous Lui avez substitué une poignée de main ou une lettre d’une autre église. Le Saint-Esprit n’est pas une poignée de main; ni non plus une lettre. C’est un don de Dieu avec la puissance venant d’En Haut pour faire la démonstration aux gens... C’est l’Esprit de Dieu qui vit en nous, qui fait cela, qui montre cela, qui prouve aux gens par des signes et des prodiges que C’est Dieu. Alléluia!

            Je sais que vous allez me taxer de saint exalté après ceci, mais... Peut-être que j’en suis un...?... Je me sens très religieux maintenant même de toute façon.

            Remarquez. Dieu, des démonstrations, des puissances, Il se manifeste comme Dieu. C’est scripturaire. Vous ne pouvez pas renier que c’est la vérité. Les dons de discernement... Maintenant, tout...

57        Pensez-y donc, les gens passaient, ils disaient: «Oh! Vous devriez venir dans notre pays voir notre très Puissant Dieu. Eh bien, Il–Il opère parmi notre peuple. Il–Il accomplit de grands signes et de grands prodiges. Nous avons un roi du nom de Salomon. Vous devriez voir le puissant discernement que cet homme a. Eh bien, cela–cela dépasse l’entendement.»Eh bien, vous savez, la foi vient de ce qu’on entend (N’est-ce pas?), ce qu’on entend la Parole de Dieu. Les nouvelles se sont donc répandues dans le monde entier, partout on en entendait parler. Et ils ont tous commencé à craindre, parce que... non pas craindre Salomon, mais craindre Dieu, parce que le Dieu vivant se manifestait.

            Finalement, les nouvelles sont parvenues jusqu’à Séba, là loin, à environ des centaines de miles là, environ trois cents miles [480.000 km] vers le sud, là loin, de l’autre côté du désert de Sahara. Mesurez cela sur votre carte et voyez la distance que cela représentait. Eh bien, ils n’avaient pas de télévision à l’époque, ni de radio, ni de journaux, ni de téléphones. Elles se répandaient de–de bouche à oreille, les caravanes passaient par là et ramenaient des nouvelles. Et tout celui qui arrivait à Séba disait à la petite reine: «Dites donc, vous devriez monter en–monter en Palestine. Vous savez, ils ont là un Dieu qui a beaucoup béni ces gens, ils sont tous d’un commun accord. Il n’y a pas de friction parmi eux, pas du tout. Et ils ont un frère là, qu’ils appellent Salomon; ils ont fait de lui roi. Et on me dit que Dieu se sert bien de lui pour tout ce qu’ils ont, ce dont ils ont besoin, Il est bien capable de le leur dire.»

58        Vous savez, et la foi vient de quoi? De ce qu’on entend la Parole. «Et heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés.» Alors, la petite reine a commencé à avoir faim. Elle s’est dit: «Vous savez, il me faudra aller voir cela.» Eh bien, rappelez-vous, elle jouissait d’un grand prestige, vous savez, parce qu’elle était une reine. Je suppose donc qu’elle s’est dit: «Avant que je fasse ceci donc, je ferais mieux d’aller demander à notre pasteur si je peux aller ou pas (Voyez?), car, il me faut avoir la permission de ma dénomination, comme cela est une autre dénomination. Voyez? Je ferais donc mieux d’aller demander à mon pasteur si je peux aller, j’en suis quitte.»

            Je peux donc la voir s’avancer, accompagnée d’une petite garde; elle a dit: «Saint père, puis-je avoir votre autorisation, l’autorisation de cette grande sainte église que nous avons ici à Séba, puis-je avoir votre autorisation? Il y a un réveil qui se tient là en Palestine. Pourrais-je assister à ce réveil-là?»

            «Du non-sens, ma fille. Maintenant, si une telle chose existait, j’ai aussi entendu parler de ce non-sens-là. Il n’y a rien à cela. Ce n’est qu’une bande de saints exaltés, il–il n’y a rien à cela. Mais regardez, s’il y avait une quelconque puissance d’un quelconque Dieu, cela devrait être chez notre dieu ici même. Cela viendrait à notre organisation, ça serait nous, s’il y a quoi que ce soit à cela.» Voyez?

59        Ô frère, vous savez, le diable retire son homme, mais jamais son esprit. C’est vrai. Dieu retire aussi le Sien, mais jamais Son Esprit. Il a retiré Elie, mais son Esprit est venu sur Elisée, ensuite Il est venu sur Jean-Baptiste. Et Il a retiré Son Fils Jésus, mais le Saint-Esprit est revenu dans l’Eglise pour accomplir les mêmes oeuvres. «Le... Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais.» Voyez, cela continue jusqu’à la fin. Et le diable retire son homme, mais jamais son esprit. Ces deux esprits se combattent toujours l’un l’autre, jusqu’au bout.

60        «Eh bien, a-t-il dit, non, tu ne peux pas aller.»

            «Eh bien, a-t-elle dit, écoutez, vous savez, il y a quelque chose au fond de mon coeur.» Vous savez qu’il y a quelque chose à ce sujet, quand Dieu s’empare du coeur d’un homme, il... il fait des choses drôles. Oui. Elle a dit: «Mais vous savez quoi, j’ai eu, saint père, j’ai... ou–ou cher évêque, surveillant général, j’ai eu un profond désir d’y aller. J’ai toujours entendu parler de ces réunions-là et j’aimerais y aller.»

            «Maintenant, écoute, mon enfant, nous t’excommunierons carrément et effacerons ton nom des livres.» Voyez?

            «Nous allons simplement t’enlever, enlever carrément ton nom de cette organisation si tu y vas.»

            «Eh bien, a-t-elle dit, mais regardez, j’aimerais dire... Je ne ferai pas du mal, je reviendrai directement ici, évidemment, aussitôt le réveil terminé, aussitôt que je serai montée.»

            «Mais tu ne peux pas aller. J’ai déjà fait cette déclaration, et c’est ce que les autres disent, et nous devons nous en tenir à cela. Eh bien, s’il y a quelque chose de pareil qui se passe, cela se passerait ici même chez nous.»

61        Je peux voir cette petite reine, Dieu se mouvait dans son coeur, elle s’est mise en position de combat et elle a dit: «J’aimerais vous dire quelque chose.» Nous en avons besoin davantage. «Ça fait des années et des années que je suis dans cette histoire. Ma mère y était. Ma grand-mère était là. Et tout ce que j’ai vu, c’est un tas de papiers, un tas d’écrits et on parle d’un Dieu, mais je n’ai pas vu une quelconque action, pas du tout, de cela. Je ne veux pas de ces choses mortes. On me dit qu’il y en a Un de vivant là, Il vit dans Son peuple, et c’est ce que j’aimerais voir.» Amen. Que Dieu nous donne davantage de reines de Séba à Long Beach. Voyez? «J’aimerais voir quelque chose qui a la vie. J’aimerais voir quelque chose. Et j’ai lu tous les rouleaux d’anciens... de leurs livres là-bas, et on me dit que Dieu est un Dieu qui connaît les secrets du coeur. Et on me dit que cet homme, Salomon, là-bas, le pasteur, est bien capable de faire ces choses et c’est merveilleux. Et je vais voir cela.»

            «Si tu y vas, je te radierai directement du registre.»

            «Eh bien, vous feriez tout aussi mieux de me radier maintenant même, car j’y vais.» J’aime ça. «J’y vais de toute façon.»

62        Eh bien, maintenant, remarquez, quand elle a eu... ce que cela lui coûtait. Vous savez, ce n’est pas une mince affaire que de venir à Christ. C’est ça le problème avec vous, peuple américain aujourd’hui, nous, peuple américain; tout est très facile, pas de souffrance, ni rien. Nous n’avons pas connu des guerres, ainsi nous pouvons agir tout aussi vilainement que nous le voulons.

            Je suis allé en Suisse, et vous pouvez les entendre faire retentir des cloches, vous penserez que le Millénium était en cours. C’est vrai. Mais que font-ils? Ils ne croient même pas que Jésus était né d’une vierge. Ils ont la vieille doctrine de Zwingli, ils croient qu’Il était le Fils de Joseph. Mais ils font retentir ces cloches au point que je–je–je pensais que le Millénium avait commencé. Cela m’a réveillé un dimanche matin, et je ne savais pas ce qui se passait, pendant environ une heure et demie. Et là, vinrent de l’Allemagne environ quatre-vingts ou quatre-vingt-dix bus avec le dessus en verre. Vous savez, la Suisse n’a pas connu de guerre. Ils n’ont pas à s’inquiéter de quoi que ce soit et ils sont tout aussi déplaisants et indépendants que les Américains. Et vous passez juste par là et, la première chose, vous savez, vous arrivez en–en Allemagne, vous y allez. Et quand nous sommes allés à la réunion ce soir-là, frère Arganbright assis ici était là même. Comment est-ce que le Saint-Esprit a-t-Il qualifié cela? Tout le monde était Allemand, on a laissé les Suisses assis là même, avec toutes leurs cloches et autres. Voyez? Il faut la souffrance. Il vous faut creuser.

63        Oh! la la! Si seulement vous saviez! Ce n’est pas facile. Tout ce qui vous est offert sur un plateau, vous ne l’appréciez pas. Certainement pas. Vous ne pouvez pas apprécier ce qui vous est donné. Dieu a parlé à Moïse et a dit: «Je vous donne la Palestine. J’ai balayé toutes les maisons et j’ai accroché les rideaux. Vous tous, montez donc y habiter.» S’il en était ainsi, ils n’auraient jamais apprécié cela. Il a dit: «Je vais vous le donner. C’est plein de géants. Vous aurez à combattre pour chaque pouce du chemin. Mais chaque lieu que foulera la plante de vos pieds, c’est votre possession. Allez vous en emparer; certainement, Je serai avec vous.»

            C’est pareil avec la guérison divine. C’est pareil avec le Saint-Esprit. Tout ce que vous pouvez suivre, ce sont les empreintes des pas, c’est la possession, continuez à marcher. Continuez à avancer. C’est comme ça. Bougez simplement votre doigt, vous ne pouvez pas du tout bouger cela, bougez-le beaucoup aujourd’hui; bougez-le beaucoup demain, et davantage le jour suivant. Continuez simplement à bouger, bouger, bouger, bouger. Les empreintes de pas, c’est la possession.

64        Remarquez, rapidement maintenant. Cette jeune fille avait beaucoup à affronter. Qu’avait-elle à faire donc? Elle a dit: «Vous savez...» Elle avait une bonne chose raisonnable. Elle a dit: «Vous savez ce que je vais faire?» Elle a dit: «Je vais amener de l’argent avec moi. Si c’est–si c’est la vérité, si cela l’est, je vais soutenir cela. Mais si ça ne l’est pas, je ramènerai directement cela.»

            Ô frère, cela ne peut-il pas enseigner quelque chose aux Américains? Oui, oui. Soutenir des choses qui raillent et se moquent de vous... C’est vrai. Des émissions qui se moquent de vous et vous taxent de saints exaltés, et pourtant vous soutenez cela avec votre argent, pendant que vos propres missionnaires sont là vivant avec deux petits plats de riz par semaine, sans chaussures aux pieds. Honte à vous! Investissez votre argent dans quelque chose où Dieu se trouve et faites prospérer cela. Non pas parce que tout est fleuri et qu’il y a des bâtiments de six millions de dollars derrière cela et des choses semblables, avec la théologie, et ils amènent leurs missionnaires là-bas et leur font suffisamment voir de leurs facultés mentales pour devenir un missionnaire. C’est Dieu qui juge cela par le Saint-Esprit. Assurément. Nous n’avons pas besoin de cette histoire-là. Nous avons besoin de Dieu. Remarquez donc à quel point les gens peuvent... nous nous éloignons simplement.

65        Eh bien, la petite reine, elle a dit: «Je vais... Si cela n’est pas vrai, je ramènerai l’argent.» Elle a donc chargé de toutes sortes de pierres précieuses et de l’encens et tout. Maintenant, regardez, autre chose; et si elle avait pensé... Avec tout cet argent qu’elle avait pour traverser le désert de Sahara. Et vous savez, les enfants d’Ismaël étaient là, et ils étaient tous des voleurs. Et s’ils s’étaient abattus sur sa petite caravane, de juste quelques eunuques et quelques jeunes filles qui l’accompagnaient, que serait-ce arrivé? Eh bien, ils lui auraient volé en une minute et ils auraient pris tout l’argent. Mais vous savez, si–si Dieu frappe à votre coeur, vous ne connaissez pas du tout de peur. Vous continuez simplement d’aller. Vous n’avez pas à vous inquiéter de ce que quelqu’un d’autre dit, ou n’importe quoi d’autre, vous continuez d’avancer quand vous avez faim et soif de la justice.

            Rappelez-vous aussi, il n’est pas étonnant que Jésus ait dit qu’elle se lèvera dans les derniers jours et condamnera cette génération. Savez-vous le temps qu’il lui fallait pour traverser là? Ça prend trois mois, quatre-vingt-dix jours. Et elle n’était pas dans une Cadillac climatisée non plus. Non, non. Elle a traversé sur le dos d’un chameau pour entendre la sagesse de Salomon. Et Jésus a dit: «Il y a ici plus que Salomon.» Et la même chose ici: Le Saint-Esprit est ici, et les gens ne veulent même pas traverser la rue pour L’entendre. C’est vrai. «Il y a ici plus que Salomon.»

66        Elle est arrivée sur le lieu. Observez quand elle a traversé, elle est arrivée là, et elle est montée dans la cour de Salomon. Maintenant, je m’imagine... Pouvez-vous vous imaginer, je vais faire d’elle une citoyenne américaine. Elle est entrée: «Je vais aller m’asseoir là, et puis entendre ce saint exalté juste quelques minutes; en effet, le voisin par ici, ma servante m’a dit que je devrais aller. S’il ne dit pas la chose correcte, juste exactement, je vais directement me lever et sortir.» Oh! la la! «Soit il dira ce que je crois qu’il doit dire, soit je ne l’écouterai pas du tout.»

            C’est là que nous en sommes aujourd’hui. C’est vrai. «S’il dit une chose dont mon pasteur a dit que c’était faux, je vais directement me lever et sortir.» Voyez? Maintenant, vous vous tiendrez aussi avec elle au jour du Jugement, et alors, vous serez jugés ensemble. Voyez? «Car il y a ici plus que Salomon.» Le Saint-Esprit est ici. Voyez?

            Et elle a fait quatre-vingt-dix jours sur le dos d’un chameau, traversant du sable chaud et brûlant pour entendre la sagesse de Salomon. Elle n’est pas allée juste pour aller et dire: «Je vais y arriver et je découvrirai; si alors je n’apprécie pas cela juste comme il faut, je me lèverai et sortirai.» Non, elle s’est fait construire son campement juste là dehors, dans la cour. Elle s’est dit: «Je vais rester jusqu’à être convaincue. Je vais prendre les Ecritures et je vais examiner.» Elle les avait déjà examinées d’un bout à l’autre, ce que Dieu était censé être. «Et je vais voir si c’est vrai.»

67        Je m’imagine donc le lendemain matin, elle a fait sa toilette, ses petites servantes aussi, et elle est allée à l’église, elle s’est trouvé un siège et s’est assise. Peu après, les trompettes ont retenti, on a chanté des cantiques, et le pasteur Salomon est apparu, il s’est présenté, et la chose suivante, vous savez, peut-être qu’on a commencé à faire passer la ligne. Peut-être qu’on avait un numéro, une carte. Je ne sais comment ils s’y prenaient. Le premier est monté, la petite reine dit: «Maintenant, je vais donc voir. Je vais juste regarder pour voir si c’est vrai ou pas, voir si c’est vraiment le discernement.»

            Quelqu’un monte là, peut-être que c’était un homme. Et la chose suivante, vous savez, elle a vu que Salomon était juste un homme. Elle s’est donc dit: «Maintenant, je vais voir où est ce Dieu. Je vois qu’il y a un homme, mais j’aimerais savoir où est ce Dieu surnaturel.» Elle a donc observé cet homme-là. «Oui, il marche comme un homme, il parle comme un homme, il a l’air d’un homme; c’est un homme. C’est tout. Mais maintenant, d’où vient ce surnaturel?» Alors, pendant que cet homme se tenait donc là, tout à coup, vous savez, l’esprit de discernement est venu sur Salomon, il lui a révélé les secrets de son coeur. Je m’imagine que le coeur de la petite reine s’est mis à battre. Le suivant, la même chose; le suivant, la même chose; le suivant, la même chose.

68        Elle est rentrée à la maison cette nuit-là, peut-être, elle a prié là dans sa tente. Le lendemain, elle est retournée, elle s’est encore assise. Elle a dit: «Je pense que je vais prendre une carte de prière.» Alors, elle... ou quelque chose comme cela, peu importe ce que c’était. «Je monterai là.» Ainsi donc, ils ont... Finalement, son–son numéro est passé. Eh bien, nous pourrions rester longtemps là-dessus, mais pour gagner du temps, nous sommes sur le point de terminer. En effet, son tour était arrivé. Et quand finalement elle s’est présentée devant Salomon, la Bible dit qu’elle voulait savoir et qu’il n’y eut rien qui fut caché à Salomon sur ce qu’elle voulait savoir. Dieu avait simplement déversé cela sur Salomon et il lui a révélé chaque secret qu’elle voulait savoir. N’est-ce pas merveilleux? Savez-vous ce qu’elle a dit? Elle s’est levée. Eh bien, elle n’est pas rentrée pour dire: «Je crois que c’est de la télépathie mentale. Je–je crois que c’est...» Non, non. Elle s’est levée et a dit: «Tout ce que j’avais entendu dire était merveilleux. Mais c’est plus glorieux que ce que je pensais. C’est plus glorieux parce que cela a été accompli sur moi.» Amen.

            Jésus a dit: «Elle se lèvera dans les derniers jours avec cette génération et la condamnera, car elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon.» Qu’était-ce? Elle avait vu quelque chose de réel. Le monde vit aujourd’hui pour quelque chose de réel. Ne le pensez-vous pas? Ils veulent quelque chose qui a un fondement.

69        Il n’y a pas longtemps, je suis... et je vais terminer avec cette petite histoire que je suis sur le point de vous raconter maintenant. J’avais l’habitude de chasser dans les bois du nord. Oh! Comme j’aime chasser! Et je chassais avec un homme du nom de Cau, un très brave homme. Mais c’était l’homme le plus méchant que j’aie jamais vu quant à être méchant. Il tirait sur les petits faons rien que pour me faire du mal. Et je disais: «Ne fais pas cela, mon gars, ne fais pas cela.»

            Il disait: «Ô prédicateur, ressaisis-toi, tu es une poule mouillée. C’est ça le problème avec vous les prédicateurs.»

            Je disais: «Non, disais-je, je ne pense pas que ça soit mauvais de tirer sur un faon si...» J’ai été garde-chasse pendant des années. Je disais: «Si la loi t’autorise de tirer sur un faon, tu le peux. Mais ne le fais pas simplement pour faire le méchant. Abraham a tué une vache, un veau et il en a nourri Dieu. C’est en ordre de tuer un faon, si la loi l’autorise, mais pas juste en tuer huit ou dix d’entre eux rien que pour faire mal à quelqu’un, me faire mal.»

70        Et il avait des yeux comme un lézard, après tout, il... et il... chaque fois, il... Je ne voulais pas le dire comme cela. Il était bien d’un genre drôle d’homme, et–et il avait l’habitude de me faire très mal, alors il me disait... Un jour, il était là. Je suis allé chasser avec lui. Il avait un petit sifflet. Il exerçait ce petit sifflet, il pouvait le faire retentir et cela résonnait comme un petit faon réclamant sa maman. Vous savez ce qu’un petit faon est, un petit animal. Et cela réclamait sa maman. J’ai dit: «Burt, tu ne devras pas faire pareille chose, n’est-ce pas?»

            Il a dit: «Ô Billy, a-t-il dit, ressaisis-toi. C’est comme ça avec vous les prédicateurs; vous êtes trop poules mouillées.»

            J’ai dit: «Non, non, Burt. Ce–ce n’est–est pas correct, ai-je dit, ne fais pas ça.»

71        Mais c’était un bon chasseur. Vous n’avez jamais à le rechercher. Il savait où il était. Et alors, nous sommes allés là, et nous avons passé des moments glorieux ensemble. Il était un brave, oh! un tireur d’élite. Ainsi donc, nous–nous avons chassé un matin. Nous emportions toujours là du chocolat chaud dans le thermos, et on avait environ six pouces [15 cm] de neige par terre, et c’était un bon temps pour repérer des pistes des animaux. Et nous avons traversé par le Notch et nous sommes allés dans la ferme présidentielle. On était vers onze heures de la journée et la saison était fort avancée. Et quand cette biche à la queue blanche, vous parlez de Houdini qui est expert de l’évasion, vous devriez en voir une d’elles. Alors, elles–elles peuvent vraiment s’échapper. Ainsi donc, la brousse est épaisse, et elles peuvent passer en dessous d’un tas de broussailles et tout, se cacher la journée, et puis brouter la nuit. Ainsi donc, elles ne sortent pas, à moins que vous les fassiez fuir.

            Alors, Burt s’est arrêté à une petite clairière, à peu près, oh! peut-être aussi vaste que la salle principale de cet auditorium. Il s’est arrêté vers onze heures, il s’est mis à plonger sa main dans son manteau, et je me suis dit: «Eh bien, c’est le temps pour nous de prendre un sandwich, et nous nous séparerons, lui ira d’un côté et moi de l’autre.» Nous avions marché environ trois ou quatre heures là à gravir la montagne. Ensuite, il descendrait de l’autre côté et moi, je descendrais de l’autre et nous nous rencontrerions à un moment donné cette nuit-là à notre–à notre camp habituel qui était dressé.

72        Je l’ai donc vu ramener sa main, et je pensais qu’il cherchait son chocolat chaud. Et quand il l’a fait sortir, il tenait ce sifflet. Et j’ai dit: «Burt, tu ne feras pas retentir cette histoire-là.» Il a dit... il m’a regardé avec ces yeux de lézard, il a dit... Il a mis ça à la bouche, comme ceci, il l’a fait retentir. Cela sonnait exactement comme un petit faon réclamant sa maman. Et jamais je... Je ne pensais pas que ça marcherait. Alors, juste à ce moment-là, juste de l’autre côté de la clairière, une très grosse mère biche s’est levée. C’était une belle créature. Elle était assez proche pour que je voie ses gros yeux bruns. Et–et j’ai regardé Burt. Il a levé les yeux vers moi et il a esquissé on dirait un sourire. J’ai dit: «Burt, tu ne tueras pas cette mère-là, n’est-ce pas?» Et il m’a regardé comme cela. Et il s’est abaissé et a fait retentir encore cela.

            Or, généralement, c’est inhabituel pour une biche de faire cela. Et quand il a fait encore retentir cela, cette mère s’est directement avancée dans cette clairière-là. Eh bien, c’est étrange; elle ne ferait pas cela, à n’importe quel moment, à peine, surtout pendant la saison de la chasse, après que les fusils eurent fait feu et tout. Mais elle s’est avancée dans cette clairière-là. Qu’était-ce? Elle n’était pas une hypocrite. Elle était une mère. Il y avait quelque chose d’authentique en elle. C’était une mère. Un petit était en difficulté. Et elle voulait savoir où était le petit. Ça lui importait peu combien c’était dangereux. Le danger ne la dérangeait même pas.

73        Je peux voir ces grosses oreilles maintenant, bien dressées juste comme cela, cette bouche mâchant comme cela, ces gros yeux bruns regardant partout. Il a levé les yeux vers moi, comme ça, il a tiré un... Nous n’emportions jamais nos fusils chargés. Et alors, il a tiré, il a baissé ce levier sur ce fusil 30.06, une balle de cent quatre-vingts grains, un champignon. Il a braqué comme cela, et je me suis dit: «Oh! la la!» Je me suis dit: «Burt, comment peux-tu faire cela?» J’ai dit: «Cette précieuse mère cherche son petit...» Et je... Il–il a on dirait ricané et a braqué: c’était donc un tireur d’élite. Je savais, mon vieux, qu’en une seconde ou deux, il lui ferait sauter ce précieux coeur loyal, car c’était un tireur d’élite. Et je me suis dit: «Comment peut-il être si méchant?» Alors que cette mère faisait une démonstration du véritable amour maternel. Son petit était en difficulté. Elle ne s’en souciait pas.

            Et quand la culasse mobile est descendue et que le fusil s’est levé, la biche a vu le chasseur. Elle a regardé, et elle a sursauté. Oh! Spook veut dire, sursauter, vous savez, juste une minute. Et elle a regardé le chasseur. Mais elle avait entendu son petit. Elle savait que la mort était juste là sur elle. Mais a-t-elle fui? Non, absolument pas. Elle regardait pour voir où était d’abord son petit. «Oh! ai-je dit, quelle loyauté! Si loyale... Et ce précieux coeur loyal, Burt, vas-tu le faire sauter à cette mère comme cela?»

74        Et je l’ai vu braquer comme ceci. Et je me suis dit: «Je–je ne peux simplement–simplement pas regarder cela.» J’ai tourné le dos, et je me suis dit.... J’ai pensé: «Père céleste, comment peut-il être si méchant et pourtant être dans un sens un brave homme, et être si cruel dans son coeur pour faire sauter d’elle directement ce précieux coeur de cette mère, et ce coeur loyal qui bat là pour ce petit? Oh! Eh bien, pourquoi–pourquoi peut-il faire pareille chose?»

            Et j’ai remarqué, le fusil ne faisait pas feu. Alors, j’ai attendu, et j’ai attendu. Je me suis dit: «Pourquoi n’a-t-il pas fait feu? J’ai regardé tout autour et le canon du fusil allait comme ceci. Et il m’a regardé, et ces yeux avaient changé, de très grosses larmes lui coulaient sur les–les joues. Il a jeté le fusil par terre, il m’a saisi par les jambes du pantalon et a dit: «Billy, j’en ai marre.» Il a dit: «Conduis-moi à ce Jésus dont tu parles.»

75        Qu’était-ce? Il avait vu quelque chose de réel. Il avait vu quelque chose qui n’était pas un montage. Il avait vu le véritable amour maternel qui peut faire face à la mort. Ce n’était pas un sermon que j’avais prêché. Ce n’était pas une chanson qui avait été chantée. C’était la manifestation de quelque chose de si réel qu’il avait vu, quelque chose de réel. Et la loyauté de cette mère avait conduit cet homme. Il est diacre de l’Eglise baptiste là aujourd’hui. L’amour maternel si réel....

            Ô ami pécheur, ou membre tiède d’église, n’aimeriez-vous pas avoir l’amour de Jésus-Christ à démontrer au monde, être aussi loyal à Christ que cette mère l’était à son petit? Voudriez-vous lever la main pour dire: «Priez pour moi, Frère Branham, afin que je devienne ce genre de chrétien»? Levez la main, partout. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. «Je veux quelque chose de réel, Frère Branham. Je veux quelque chose de durable. Je veux être chrétien autant que cette biche était mère.» Levez vos mains très haut maintenant afin que je puisse prier. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Inclinons la tête.

76        Père céleste, il y a eu tellement de mains que je n’ai pas pu les compter. Elles étaient partout, partout, là en haut dans les balcons, devant, derrière, sur les côtés, et tout, partout, partout dans la salle principale. Ils ont levé la main, Seigneur, parce qu’ils–ils croient en Toi. Ils veulent quelque chose de réel. Ils–ils veulent quelque chose qui n’est pas un montage, quelque chose de–de vraiment réel. Je Te prie de le leur donner, Père. Donne-leur le véritable Saint-Esprit. Puissent-ils retourner à leur église, heureux et en se réjouissant.

            Eh bien, il est écrit dans la Parole, Saint Jean 5.24: «Celui qui écoute Mes Paroles (c’est là-dessus que j’ai prêché), et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Maintenant, Père, je tiens Cela, c’est Ta Parole. Je tiens Cela devant Toi, et Toi qui es omnipotent, omniscient, et Tu connais chaque main qui s’est levée... Pourquoi ont-ils levé la main? C’est parce qu’il y a un esprit en eux, et il y a un Esprit à côté d’eux qui a dit: «Tu es en erreur; il te faudra être ce genre de chrétien. Lève la main maintenant et Je te sauverai.» Et ils ont levé la main. Ils ont pris une décision. Cette décision, c’est qu’ils désirent mener une vie différente. Et Tu as dit: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Tu as aussi dit: «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire. Et tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi. Je leur donnerai la Vie Eternelle et Je les ressusciterai au dernier jour.» Maintenant, Père, c’est Ta Parole. Et en tant que Ton serviteur, ce soir, je–je réclame toutes leurs âmes pour Toi. Je les réclame, chacun d’eux. Je prie, ô Dieu, qu’ils viennent maintenant à Toi, à cette Fontaine remplie du Sang. Qu’ils soient sauvés, en sécurité, et qu’ils partent d’ici ce soir, qu’ils cherchent et trouvent le baptême du Saint-Esprit qui les scellera loin des choses du monde. Accorde-le.

77        Pendant que nous avons nos têtes inclinées, il n’y a pas de place pour faire un appel à l’autel ici, mais je me demande simplement si vous tous qui avez levé la main, vous aimeriez bien vous tenir debout. Le reste d’entre vous, gardez vos têtes inclinées. Tenez-vous simplement debout juste une minute. Je crois que vous étiez sincères. Levez-vous, tous ceux qui avaient levé... s’ils avaient levé la main, qu’ils se tiennent debout juste une minute, tous ceux qui avaient levé la main, partout. C’est bien. Levez-vous partout. Restez simplement debout juste une minute pour la prière. Tous ceux qui avaient levé la main, tenez-vous debout... Très bien. Est-ce tout là? Tout le monde? Très bien.

            Dans la Présence de cette Gloire de la Shekinah, du Saint-Esprit, que vous avez cru maintenant sur base de la prédication de la Parole et de la manifestation de Son Esprit, je ne crois pas, je crois chacun de vous de tout mon coeur. Je ne crois pas que vous ayez juste levé la main pour le plaisir de la lever. Je crois que vous l’avez levée parce que vous étiez sincère. Vous avez cru que vous étiez en erreur. Et si vous êtes disposé à confesser vos torts et à vous tenir comme vous vous tenez maintenant, alors je crois que Dieu, selon Sa Parole, qui tient chaque Parole qu’Il a promise, vous a pardonné vos péchés. Non pas parce que vous vous sentez comme cela, non pas parce que vous méritez cela, mais parce qu’Il l’a promis; cela est dans Sa Parole. Et vous êtes disposé et vous savez que vous étiez en erreur, mais vous croyez réellement qu’Il était mort, et qu’avec ces gros nuages sombres qui étaient suspendus autour de la croix ce jour-là, Il endurait votre jugement. Et sans rien d’autre du tout, vous acceptez réellement cela comme votre pardon. Si c’est cela que vous faites, que vous acceptez Sa grâce pour votre pardon, voudriez-vous simplement lever la main vers Lui, tout celui qui est debout? Levez la main, c’est tout ce que je vous demande de faire, juste dans votre coeur. Que Dieu vous bénisse. C’est cent pour cent, tout le monde.

78        Maintenant, j’aimerais que vous qui êtes chrétiens, vous redressiez la tête, vous vous retourniez, vous serriez la main à chacun d’eux qui se tient debout et que vous disiez: «Soyez le bienvenu dans le Royaume, précieux pèlerin.» Serrez la main à un nouveau chrétien. Dites-lui que vous–vous êtes reconnaissant à Dieu. Chacun de vous, dites: «Oui, je suis reconnaissant.» Invitez-le à venir donc à votre église. Dites-lui: «Venez à mon église. Venez chez nous. Et vous pourrez recevoir le baptême chrétien, afin que vous receviez le Saint-Esprit.» C’est bien. Oh! N’est-Il pas merveilleux? Maintenant, remercions donc simplement le Seigneur.

79        Père céleste, nous Te remercions pour ces âmes. Je peux ne plus jamais leur serrer la main ici sur terre, ne jamais avoir l’occasion peut-être; j’espère en avoir. Mais si je n’en ai pas, en ce jour-là, quand le brouillard sera bas, que le vieux bateau de Sion sifflotera, quand nous serons sur le point d’embarquer, je les rencontrerai. Je les verrai là, Seigneur, avec leurs tickets en main, disant: «J’étais à Long Beach, Frère Branham, ce dimanche soir-là.» Ô Dieu, combien je serai heureux de savoir que je les rencontrerai là. Les jeunes deviendront vieux, les jeunes deviendront... les vieux deviendront jeunes là-bas pour toujours, il n’y aura plus de maladie, ni de tristesse, ni de mort. Quel merveilleux moment ça sera! Je Te remercie pour cela, Père. Ils sont à Toi et je Te les présente comme des trophées de Jésus-Christ, Son Esprit et Sa Présence ici ce soir. Je Te les confie, Père, au Nom de Jésus-Christ, car ils sont les offrandes d’amour pour Christ. Amen.

80        Maintenant, vous pouvez vous asseoir, et que Dieu vous bénisse. Maintenant, avant que nous changions de position dans la réunion pour une ligne de prière, chantons juste une fois, s’il vous plaît, tous ensemble, avant que nous puissions former la ligne de prière: «Je L’aime, je L’aime, parce qu’Il m’aima le premier.» Très bien, pouvons-nous chanter?

            Je L’aime, je L’aime,

            Parce qu’Il m’aima le premier

            Et acquit mon salut,

            Sur le bois du Calvaire.

            Oh! Cela ne sonne-t-il pas beau, frères? J’aurais bien voulu que vous soyez ici à l’estrade et que vous suiviez cela, n’est-ce pas beau? Eh bien, j’aimerais que vous incliniez la tête et que vous chantiez cela, doucement et tendrement, vous en ténor ou en basse, n’importe avec quelle voix vous chantez. Chantez-le simplement selon le style de la campagne, l’ancienne mode, maintenant.

            Je L’aime, je L’aime,

            Parce qu’Il m’aima le premier

            Et acquit mon salut,

            Sur le bois du Calvaire.

81        Oh! N’est-Il pas beau? Oh! Ne L’aimons-nous pas simplement? Merveilleux. Maintenant, amis, je sais que je–je vous ai gardés un peu plus longtemps, mais on est dimanche soir, on a environ quinze minutes de plus ou vingt. Nous allons former une ligne de prière.

            Maintenant, combien croient que les Ecritures enseignent que Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement? Combien savent que la Bible dit qu’Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités? S’Il est le même hier... Et combien croient que nous sommes le... nous sommes à la fin de l’âge des Gentils? Combien de lecteurs de la Bible, avec vos mains levées, feront signe de la main comme ceci et pro-... et croiront qu’Il a promis qu’Il ferait à la fin les mêmes oeuvres pour les Gentils, que ce qu’Il avait fait chez les Juifs?

            Voyez, voilà ce que c’est. Si jamais Dieu est appelé sur la scène pour prendre une décision, la façon dont Il la prend, Il est éternel, ça doit rester le même chaque fois qu’Il est appelé de nouveau. Ainsi, quand Il a été appelé sur la terre, à venir sur la terre, à se manifester comme Messie, pour terminer l’âge des Juifs et des Samaritains, Il doit faire la même chose quand Il vient après... Les Juifs ont eu quatre mille ans. Nous avons eu deux mille ans, à la fin de l’âge, pour qu’Il vienne sur la scène faire la même chose. Est-ce vrai?

82        Eh bien, maintenant, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il doit être le même en essence, le même quant à la puissance, le même dans la manifestation. L’unique chose, c’est le Corps corporel. Son Corps est à la droite de Dieu le Père dans le Ciel, placé sur le Trône. Croyez-vous cela? Un Souverain Sacrificateur. Et maintenant, Son Saint-Esprit est ici, c’est l’Esprit qui était sur Christ, qui est Dieu, dans la chair humaine, votre chair, ma chair, comme le Sang nous purifie. Il prêche l’Evangile par le prédicateur, prophétise par le prophète, révèle le secret des coeurs, Il parle en langues, interprète les langues, et tout est en ordre. Croyez-vous cela? Très bien.

83        Très bien, maintenant, formons la ligne de prière. Eh bien, maintenant, il m’a dit qu’il avait distribué des cartes de prière, mais je dis que je ne sais pas laquelle et où. Oh! Billy, tu es si petit que je te rate toujours. Très bien, 1 à 100, J. Très bien. Numéro 1? Commençons. Qui a J comme Jésus. J, regardez la... Cela porte la lettre J et un numéro. J numéro 1, qui l’a? Levez la main. Est-ce bien vous? Très bien. Venez par ici, madame. Numéro 2, qui a J numéro 2? Voudriez-vous lever la...

84        [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... ma vie. Et elle m’est inconnue; en effet, nous venons de lever nos mains pour montrer que nous étions inconnus l’un à l’autre. Eh bien, je ne la connais pas, elle non plus ne me connaît pas. Mais maintenant, elle est ici dans un but. Qu’est-ce? Est-elle malade? Peut-être oui. Peut-être qu’elle est ici pour quelqu’un d’autre. Peut-être qu’il s’agit d’un problème au foyer. Peut-être qu’il s’agit–il s’agit d’un problème d’argent. Peut-être qu’il s’agit de quelque chose d’autre. Je ne sais pas. Voyez? Je–je ne sais pas. Dieu le sait certes.

            Maintenant, si elle était venue ici, comme d’ordinaire, dans les services de guérison, je lui aurais imposé les mains et j’aurais dit: «Ô Dieu, guéris la femme. Je suis un croyant. Je demande que ça se fasse ainsi. Amen.» Eh bien, la femme aurait le droit de s’en aller et de croire. Si elle croyait cela, c’est la Parole de Dieu, l’imposition des mains aux malades. Est-ce vrai? Elle aurait le droit de croire cela. Mais maintenant, et si le Saint-Esprit vient lui révéler quelque chose qui est au fond de sa vie, lui dire ce qui a été? Et s’Il peut lui dire avec précision ce qui a été, certainement qu’elle peut croire que cela arrivera par la suite. Est-ce vrai? Maintenant, combien savent que c’est ce que Jésus a fait? Levez la main. C’est ce qu’Il a promis. C’est exact.

85        Maintenant, s’Il est ici... Maintenant, Il est ici sous la forme du Saint-Esprit. Maintenant, c’est un panorama, juste comme le puits, dans Saint Jean 4: un beau tableau une fois de plus, un homme et une femme, leur première rencontre dans la vie. Cette femme et moi, en effet, c’est notre première rencontre dans la vie. Et maintenant, c’est ici même, nous ne nous étions jamais rencontrés auparavant. Maintenant, si Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement... Maintenant, Quelque Chose devrait révéler ce pour quoi elle est ici. Et elle reconnaîtrait que c’est vrai. Est-ce vrai, madame? Quelqu’un devrait révéler cela. Quelque chose devrait venir accomplir cela. N’est-ce pas vrai? Eh bien alors, si cela vient...

            Or, elle peut dire: «C’est du diable.» Ça dépend donc d’elle. Voyez? Si elle disait que c’était Christ, il n’y aurait... cela devrait venir d’une puissance spirituelle. Si elle dit que c’est du diable, alors, elle recevra une récompense du diable. Si elle dit que c’est Christ, elle recevra une récompense de Christ. Mais si elle disait que c’est le diable et que c’était Christ, qu’a-t-elle donc fait? Elle s’est pour toujours scellée hors du Royaume de Dieu. Est-ce ce que Jésus a dit? Quand le Saint-Esprit sera venu, dire un seul mot contre Cela ne sera jamais pardonné, peu importe qui vous êtes. Vous dites: «Mais je prêche l’Evangile, Frère Branham.» Les sacrificateurs aussi prêchaient. Ils descendaient des générations de sacrificateurs, ils avaient prêché l’Evangile et Jésus le leur a carrément dit. Et ils avaient perdu leur vie. C’est vrai. Il n’y a qu’une seule voie vers Dieu, c’est tout. C’est la voie de la Vérité et de la Lumière.

86        Maintenant, veuillez vous tenir juste ici. Vous n’avez pas à vous tenir... tenez-vous juste là derrière comme ceci afin que les gens vous voient et me voient. Maintenant, étant...

            Maintenant, voici, c’est comme la femme au puits. Maintenant, je... Elle n’est pas cette femme-là, et je ne suis pas le Seigneur Jésus. Mais Son Esprit est ici. Et Il savait, Il peut lui dire... Or, s’il pouvait... Maintenant, si nous disions: «Frère Branham, qu’est-ce que Jésus avait fait là?» Eh bien, la Bible dit qu’il Lui fallait passer par la Samarie. Je ne sais pourquoi. Le Père L’avait envoyé là-haut parce qu’Il a dit dans Saint Jean 5–Saint Jean 5.19: «En vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père.» Combien connaissent cette Ecriture? Jésus n’a jamais accompli une seule chose avant que Dieu Lui ait montré en vision quoi faire. Est-ce vrai? Saint Jean 5.19: «En vérité, en vérité (absolument, absolument), Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.»

87        Maintenant, si donc cette femme avec la main levée pour montrer qu’elle m’est inconnue, et que moi, je lui suis inconnu, si donc le Saint-Esprit, par Sa promesse, c’est ce que je vous ai enseigné, vient ici et fait la même chose qu’Il avait faite jadis, révèle le secret du coeur de la femme, un... ou fait ce qu’il y a, lui dit ce que... quelque chose à son sujet; qu’elle soit juge si cela est vrai ou pas, combien ici présents croiront au Seigneur Jésus-Christ pour leur guérison? Maintenant, partout, levez la main si vous allez le croire. Il y a au moins quatre vingt-quinze pour cent. Evidemment, d’autres ne croiraient pas cela peu importe ce qu’Il a fait. Ce n’est pas pour les incroyants. C’est juste pour les croyants. Il y en avait dans Sa foule qui ne croyaient pas. Cela ne fera pas de mal au croyant. Non, ils ont fait... ils savent que c’est vrai.

88        Je n’ai aucune idée de ce pour quoi vous êtes ici, pas plus–pas plus–pas plus que rien. Mais Dieu sait certainement ce pour quoi vous êtes ici. S’Il me le révèle, alors vous saurez si c’est la vérité ou pas, quoi qu’Il fasse. Maintenant, oui, si l’assistance peut encore entendre ma voix, la Lumière que vous voyez sur cette photo se tient entre la femme et moi. Elle s’éloigne de moi. On dirait une Lumière qui tressaille et qui luit... Oui, je vois, elle... ses examens montrent qu’elle a un estomac qui enfle, un estomac, elle a un estomac en mauvais état, qui enfle. Si c’est vrai, levez la main. Croyez-vous?

            Maintenant, vous avez dit que vous croiriez s’Il révélait cela. Croyez-vous maintenant? Alors, son... c’est... Maintenant, je ne sais pas ce que je lui ai dit, car, ce n’était pas moi qui lui avais parlé. Il est juste question de s’abandonner à l’Esprit. Eh bien, je continue à percevoir cela dans chaque réunion. Quelqu’un dit: «Il a deviné cela, il a deviné cela.» On ne devine pas ces choses. Très bien. Voyons si ça a été deviné.

89        On dirait que vous êtes une personne gentille. Vous êtes une chrétienne. Je peux percevoir votre esprit (Voyez?), vous êtes la bienvenue. C’est la même chose que Jésus a dite à Nathanaël, un Israélite. Maintenant, voyons si jamais ce que... Oui, je vois cela revenir. C’est une affection d’estomac. L’estomac qui enfle, a-t-Il dit, c’est vrai. C’est ce que le médecin a dit, l’estomac enfle. Et puis, voici autre chose, vous souffrez d’une espèce d’affection du rectum. C’est vrai. Et vous–vous pensez que c’est un genre d’allergie, on dirait, ou une espèce de chatouillement. C’est vrai. Et il n’y a pas de médicament contre cela. C’est vrai. Mais il y en a en Christ. Si Dieu me révèle ce que je vois, votre nom sur ce papier là, il a ça devant moi, je le vois se tenir là, allez-vous me croire que je suis Son prophète? Mademoiselle Martin, vous allez vous rétablir maintenant. C’est terminé maintenant. Vous pouvez rentrer chez vous et être bien portante.

            Maintenant, critiqueur, qu’en est-il de cela? Maintenant, vous les croyants là dans l’assistance, croyez de tout votre coeur maintenant. Ayez simplement foi. Ne doutez pas. Croyez de tout votre coeur. Maintenant, gardez vraiment... gardez bien votre position. Restez tranquille.

            Je n’ai jamais vu cette femme. Voyez, ce n’est point moi qui l’ai guérie. C’est Dieu qui l’a guérie. Comment l’a-t-Il guérie? C’est sa propre foi qui a fait cela. La guérison a déjà été accomplie au Calvaire. Votre salut a été accompli au Calvaire. Comment savez-vous cela? Est-ce vrai? Tout ce qu’il vous faut faire, c’est accepter cela.

90        Maintenant, voici une autre dame. Et nous étions... notre première fois ... nous sommes inconnus l’un à l’autre. Dieu nous connaît cependant tous deux, n’est-ce pas? Eh bien alors, si le Seigneur Jésus me révèle quelque chose que–que je... Evidemment, vous me voyez devenir... regarder comme cela. C’est juste parce que cela m’a... m’affaiblit, la vision. Voyez, l’assistance sait cela, tout le monde le sait. Jésus, une femme toucha Son vêtement, et Il a dit, Il a... la vertu est sortie; la vertu, c’est la force, vous le savez. Et Daniel a eu une seule vision, il a eu la tête troublée pendant plusieurs jours. Eh bien alors, si–si Jésus, le Fils de Dieu, si une seule femme L’a touché, eh bien, qu’en serait-il de moi (Voyez?), moi, un pécheur sauvé par grâce? En effet, Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez davantage.» La version King James dit de plus grandes, mais prenez la bonne traduction, elle dit: davantage. Voyez? Vous pouvez faire davantage à ce...?...

91        Maintenant, si le Saint-Esprit me révèle ce qu’est votre problème, ou quelque chose comme Il l’a fait pour les autres qui sont passés, croirez-vous de tout votre coeur? Cela amènera-t-il l’assistance à croire de tout son coeur? Voyez, Dieu ne fait pas cela pour faire du spectacle. Il fait cela parce qu’Il a promis de le faire, et pour Sa gloire. Voyez? Et je vous assure, ce n’est pas moi. Je ne connais rien. Je lève ma main ici devant Dieu et devant cette Bible ici. Cette femme m’est inconnue. Vous tous, vous m’êtes inconnus, à ce que je sache. Mais si Dieu me révèle par le Saint-Esprit... Maintenant, la Bible dit: «La Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, Elle discerne même les pensées du coeur.»

            Maintenant, Jésus, quand Il était ici sur terre, Il était la Parole, n’est-ce pas? C’est pourquoi Il pouvait discerner les pensées, les connaître, et tout. Il était–Il était Dieu Prophète. C’est la raison pour laquelle les prophètes... Comment arrivaient-ils à discerner? Parce qu’ils étaient la Parole de Dieu. La Parole de Dieu venait aux prophètes. Est-ce vrai, assistance? Voyez? Maintenant, si la Parole de Dieu vient encore, alors la Parole de Dieu peut... Hébreux dit: «La Parole de Dieu discerne les pensées.» Sa Parole, Sa promesse est entrée dans la chair humaine, cela fait qu’Elle discerne les pensées du coeur.

92        Eh bien, vous n’êtes pas ici pour vous-même, vous représentez quelqu’un d’autre ici: votre mari. C’est vrai, n’est-ce pas? Il est à l’article de la mort. Croyez-vous que Dieu peut me dire ce qu’est son problème? Le cancer de vessie. Si c’est vrai, levez la main. Allez-vous croire que Dieu le guérira? Je prierai pour la même chose. Laissez-moi vous imposer les mains tandis que vous le représentez. Seigneur Jésus, épargne cet homme. Fais que cela s’accomplisse, Père. Je le demande humblement en tant que Ton serviteur, au Nom de Jésus. Amen!

            Que Dieu vous bénisse, soeur. Maintenant, ne doutez pas. Croyez-vous cela maintenant? Jésus a dit: «Qu’il vous soit fait selon votre foi.» Ayez foi.

            Personne ne saura jamais ce que cela vous fait. Voyez? Maintenant, l’assistance semble m’être cachée. Maintenant, ayez simplement foi maintenant et c’est...

93        Etes-vous le suivant? Vous et moi, nous sommes inconnus, je suppose, l’un à l’autre. Oh! Vous avez été dans la ligne de guérison, ét-... dans une ligne de guérison auparavant quelque part ailleurs. Dans une autre ville, ou... à Lake Street, en Californie, dans.... Oh! Oh! J’avais prié pour vous auparavant à Lake Street. C’est depuis combien de temps que cela a eu lieu? Oh! Ça fait plusieurs années. Donc, nous ne nous reconnaîtrions pas l’un l’autre? Non. Mais Dieu nous connaît certes tous deux. Et vous croyez que Dieu peut me faire savoir l’une ou l’autre chose... Etait-Il venu... Evidemment, Il était venu de même...?... Vous êtes donc ici pour quelque chose d’autre. Eh bien, vous devriez donc avoir la foi, n’est-ce pas? Vous avez foi. Très bien, si le Seigneur révèle cela... Très bien, j’ai confiance qu’Il le fera.

            Vous n’êtes pas ici pour vous-même cette fois-ci. Vous êtes ici pour quelqu’un d’autre: un frère, très–très malade, à l’article de la mort. Et je vais vous dire quelque chose que vous savez, afin que vous puissiez croire que je suis Son prophète, ou Son serviteur, excusez-moi. Ce mot prophète achoppe les gens (Voyez-vous?), c’est la raison pour laquelle je... Mais... c’est sa femme. Elle est dans un état critique. Elle est sur le point de connaître une dépression nerveuse, à force de l’attendre. Vous éprouvez une sensation très étrange sur vous maintenant, n’est-ce pas? Prenez ce mouchoir qui est dans votre main pendant que cette sensation est sur vous, et déposez-le sur lui. Il se rétablira. Ne doutez pas. Amen. Que Dieu vous bénisse.

            Croyez-vous encore de tout votre coeur? Ne doutez pas. Ayez foi en Dieu.

94        Vous assis là même, souffrant de l’hypotension, une dame qui me regarde. Avez-vous une carte de prière? Non. D’accord, c’est en ordre, Il vous a déjà appelée. C’est Son tour. Il vous faut subir des transfusions. C’est vrai. Mais quand je parlais à cette femme-là, quelque chose vous est arrivé, une sensation très étrange vous a envahie. Si c’est vrai, levez la main, cette petite dame assise ici même devant. Très bien. Et vous vous êtes dit dans votre coeur: «Seigneur, fais que ça soit moi ce soir.» Maintenant, levez-vous si ces choses sont vraies. Tenez-vous debout. Vos ennuis sont finis maintenant. Jésus-Christ vous guérit.

            J’aimerais poser une question à l’assistance: Qu’est-ce que cette femme-là a touché? Je ne la connais pas. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Si nous sommes inconnus, faites signe de la main à l’un... comme ceci, soeur, faites signe de la main comme ceci, afin que les gens sachent que nous sommes inconnus. Je ne vous connais pas. Qu’a-t-elle touché? Le Souverain Sacrificateur. Elle est à vingt yards [18 m] de moi. Elle ne m’a jamais touché, n’est-ce pas? Mais elle a touché Quelque Chose qui a parlé par moi et qui lui a fait savoir ce qu’elle demandait dans la prière, ce qu’elle disait et comment elle se sentait. Est-ce vrai? Croyez-vous maintenant, de tout votre coeur?

95        Maintenant, ne vous déplacez pas, s’il vous plaît, non. Voyez, si vous faites cela, s’il vous plaît... Voyez-vous ces hommes ici debout? Ils surveillent chaque geste que je fais. Et aussitôt qu’ils voient que j’en ai assez, ils vont me retirer de l’estrade. Ainsi, se déplacer, ça dérange... Voyez, je suis en contact avec votre esprit. C’est ce que je–j’essaie de faire. Je suis ici pour essayer de vous aider. Si vous êtes... Rien n’ira de travers. Vous attraperez votre bus. Restez simplement tranquille. Attendez donc, juste deux ou trois de plus, ou quelque chose comme cela, que cela...

96        Bonsoir. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je ne vous connais pas. Mais Dieu vous connaît certes. Si... Combien sont passés? Est-ce assez comme confirmation? Deux? Juste... Je pensais avoir... une douzaine était passée. Je... Eh bien, j’en ai beaucoup perçu peut-être, c’est juste moi. Très bien. Vous, soeur, Dieu connaît votre coeur. Il connaît mon coeur. Mais s’Il veut bien, sans l’ombre d’un doute, étant donné que nous sommes inconnus l’un à l’autre, se révéler à nous, est-ce que cela vous fera-t-il croire? Cela fera-t-il croire, assistance? Combien savent que je... il m’est totalement impossible de connaître cela? Faites-nous voir les mains. Voyez? Voyez?

            Maintenant, avec vos mains baissées, combien acceptent que cela est Jésus-Christ selon Sa promesse et Sa Parole? Levez la main. C’est vrai, mon frère, ma soeur. Je vous dis la vérité (Voyez?), ceci est Son...?... peut-être un peu étrange par rapport à ce que vous avez déjà vu, mais c’est Sa promesse. Il a promis de le faire.

97        Je n’ai aucune idée de ce pour quoi vous êtes ici. Je ne vous ai jamais vu. Par conséquent donc, cela pourrait... je–je n’ai aucune idée de ce pour quoi vous êtes ici. Mais Dieu sait certes ce pour quoi vous êtes ici. Il vous connaît. Il me connaît. Il–Il nous connaît tous. Est-ce vrai? Mais s’Il me révèle quelque chose sur vous, que moi je ne sais pas, alors vous saurez que cela vient de Lui. Vous avez eu quelque chose comme une apoplexie qui vous dérange. C’est vrai. Vous êtes Suédois, n’est-ce pas?...?... Je peux voir cette eau qui coule, et je peux voir d’où vous venez. Vous avez connu un accident et cela vous a assommé. Et vous aviez été là pour quelque temps, plusieurs jours. Et puis, vous êtes... Vous ressentez toujours de mauvais effets à la suite de cela. Vous n’en aurez plus. C’est devenu clair autour de vous. Jésus vous a guéri maintenant. Poursuivez votre chemin et soyez bien portant.

98        Croyez-vous de tout votre coeur? Maintenant, vous dites: «Vous regardez droit ces gens, Frère Branham. Vous lisez leur pensée.» Non, ce n’est pas ce que je fais. Tenez, venez ici, madame. Touchez ma main. Si Dieu me révèle pendant que je regarde de ce côté-ci ce qu’est votre maladie, vous allez accepter cela, n’est-ce pas? Alors, votre maladie du coeur vous a quittée. Poursuivez simplement votre chemin et réjouissez-vous.

            Croyez-vous cela de tout votre coeur? Tenez. La Bible dit que l’Ange qui était là, c’était un Homme qui était oint, Il s’appelait Elohim, Il avait Son dos tourné à la tente. Est-ce vrai? Qu’en est-il si je tourne le dos et que vous priiez. Je vois une...

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