Pourquoi?

Date: 61-0413 | La durée est de: 2 heures et 1 minute | La traduction: Shp
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1          C’est un... Je considère ceci comme un autre grand privilège d’être ici dans le–cet amphithéâtre ce soir pour–au service du Seigneur.

            Et demain soir, ce sera donc une soirée spéciale, consacrée à la prière pour les malades, pour les... Je crois que c’est réservé principalement aux gens qui sont... Les gens vont–vont venir des hôpitaux et tout.

            D’habitude, quand on organise cela lors des réunions, nous avons une–une salle d’urgence où, quand on tient une grande réunion pendant laquelle les gens... où les gens peuvent entrer pour qu’on prie pour eux chaque fois qu’ils arrivent, ceux qui ne peuvent pas entrer dans la ligne de prière. Nous avons une salle qui... Peut-être que ce sont des gens qui sont venus pour–qui sont venus par avion, ou par un autre moyen sur une distance de centaines de kilomètres et qui doivent être là cette seule soirée-là et retourner. Nous essayons donc toujours de nous occuper d’eux tous. Mais quand nous tenons ce genre de service, je–je sens qu’on a prié pour tout le monde dans la salle chaque soir, voyez-vous, parce que comme j’essaie de l’expliquer, voyez-vous, que–que s’il y avait...

2          Je–je vois un... comme cet homme qui est assis ici dans un fauteuil roulant. Si je savais qu’il y... Si je pouvais prendre une pièce de vingt-cinq cents et la pousser avec mon nez à travers cette ville afin que cet homme se lève de ce fauteuil et qu’il soit rétabli, je le ferais. Assurément, je le ferais certainement. Et alors, peut-être qu’il mènera une vie ordinaire en étant assis dans ce fauteuil. Mais peut-être qu’il y a un homme assis là quelque part, qui souffre du coeur, et qui va mourir dans quelques heures, à moins que quelque chose ne lui vienne en aide. Il est dans une situation plus critique que cet homme qui est assis dans le fauteuil. Je pousserais donc certainement la pièce de vingt-cinq cents à travers la ville avec mon nez, ce qui me prendrait des jours pour y parvenir, si... Mais... Et je n’aurais probablement plus de nez quand j’aurai fini de pousser cette pièce à travers la ville. Mais je le ferais afin de voir ce pauvre mortel guéri.

            Je–je ne peux donc guérir personne. Je n’ai jamais guéri personne, mais j’ai vu des dizaines de milliers de gens guéris. Et ainsi, je... c’est... La seule chose que j’essaie de faire, c’est de les amener à avoir la foi dans ce qui a déjà été acquis pour eux. Ainsi quand vous voyez... Pensez-y tout simplement. Si Jésus venait ici ce soir et qu’Il portait ce complet qu’Il m’a donné, et que vous vous avanciez vers Lui et Lui disiez: «Seigneur, veux-Tu bien me guérir?» Peut-être qu’Il vous regarderait avec étonnement. Il dirait: «Crois-tu en Moi? Ne lis-tu pas les Ecritures?»

            «Si, Seigneur.»

            «Eh bien, n’as-tu pas lu là où il est dit que J’ai acquis ta guérison au Calvaire? Vois-tu, Je l’ai déjà fait, Mon...» Si vous...

3          Voici ce qu’il en est. Si vous voyiez donc quelque chose dans une boutique de prêteur sur gages et que vous alliez alors racheter cela de cette boutique de prêteur sur gages, vous ne pouvez pas racheter cela une seconde fois. La chose a déjà été rachetée. Si quelqu’un vous remet un reçu montrant que le prix a été payé, et que cet article a été racheté, il est racheté. Vous n’avez pas à payer pour cela une seconde fois.

            C’est là que Moïse a commis son péché, en frappant le rocher la seconde fois, au lieu de parler à celui-ci. Voyez-vous? Il l’a frappé la première fois. Qu’est-ce que cela symbolisait? La faiblesse du Sang de Jésus-Christ, comme quoi Il devrait être frappé pour chaque individu. Christ fut frappé pour notre guérison. Nous parlons donc tout simplement au Rocher maintenant, et Il donne Sa guérison.

4          Mais voyez-vous, nous avons été mal enseignés sur toutes ces choses-ci, notamment l’imposition des mains, les sensations, et... Ne fondez jamais l’espoir de votre–votre salut sur une sensation, car vous pouvez avoir toutes sortes de sensations. Mais fondez plutôt cela sur la Parole de Dieu. C’est comme cela que vous pouvez battre Satan à tout moment, en vous tenant sur la Parole. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.

            Je me souviens qu’un soir... Ce n’est pas mon intention de vous garder ici. Je ne vais rien dire ce soir. J’étais... Il y a tellement de choses que si je pouvais rester ici pendant un mois, je ne pourrais en dire la moitié–ce ne serait pas assez pour en dire la moitié... Si je pouvais écrire des livres sur ce que j’ai vu le Seigneur faire, cela constituerait pratiquement une bibliothèque en soi. Des centaines de livres ne contiendraient pas les choses que j’ai vues, juste–juste ce que je sais qu’Il a accompli pendant les quelques trente-cinq ou trente et un ans (c’est ça) que je suis à Son service; les choses que je l’ai vu faire dans les réunions que j’ai tenues à travers le monde. Et ce sont des choses glorieuses. C’était étonnant.

            Eh bien, j’espère que vous vous en souvenez et que vous y pensez. Mais nous n’écrivons pas ces choses, nous les laissons passer, car parfois Jésus disait: «Prenez garde de ne rien dire à personne.» Voyez-vous? Après tout, Jésus est mort pour un peuple dont Dieu savait d’avance qu’il serait sauvé. Voyez-vous? Eh bien, c’est vrai. Il est venu pour sauver ceux qui étaient perdus, mais par Sa prescience Il savait qui serait sauvé.

            Or, la guérison est certainement pour tout celui qui a assez de foi pour la recevoir. Le salut est pour tout celui qui a assez de foi pour le recevoir.

5          Au cours d’une réunion, si je ne me trompe pas, c’était juste ici dans l’Illinois. N’y a-t-il pas un petit endroit par ici appelé Vandalia, ou quelque chose comme ça? Vande-... Van. Je pense que c’était là-bas, Vandalia, ou–ou juste de l’autre côté de la rivière Missouri. C’était quelque part ici à...?... dans l’Illinois; un soir, une dame est venue dans la ligne de prière. Et alors...

            Vous devez faire attention à ce qu’Il dit. Or, dans ces visions que vous voyez se produire ici à l’estrade, ce n’est pas moi qui les provoque. Savez-vous qui fait cela? C’est vous qui les provoquez. Vous ne le savez pas, mais c’est vous qui les provoquez. Vous direz: «Frère Branham...» C’est tout à fait exact, ma classe. C’est vous-mêmes qui provoquez cela. C’est simplement... J’aurais souhaité être capable d’expliquer cela, mais il n’y a pas moyen de le faire. C’est juste comme faire passer votre voiture d’une vitesse à une autre. Voyez-vous? Et c’est juste comme le Saint-Esprit, c’est juste un don par lequel vous savez vous mettre à l’écart, pour Le laisser parler. Voyez-vous? Vous vous mettez à l’écart, alors ce n’est plus vous qui parlez, c’est Lui. Et c’est vous qui provoquez cela.

6          Pour essayer d’en donner une petite explication (J’ai dit «explication») je dirais ceci: Supposons que nous soyons tous dans... que nous nous rendions tous à un carnaval. Il y a ce carnaval qui aura lieu dans la ville, un cirque. Et nous tous qui nous trouvons ici, nous les ministres, supposons que nous soyons–nous soyons des jeunes gens et que nous voulions entrer pour voir cela. Il se fait donc que moi, je suis une personne très élancée et mince; ce frère-ci est trapu. Eh bien, il pourrait avoir plus de chance de... Il est plus fort que moi. Eh bien, maintenant, il pourrait transporter de l’eau. Il est robuste et fort. Et il pourrait faire des choses que moi, je ne saurais pas du tout faire. Eh bien, je ne peux rien au fait que je sois élancé et mince; il ne peut rien au fait qu’il soit de petite taille et fort. Voyez-vous?

            «Qui, par ses inquiétudes, peut ajouter une coudée à la durée de sa vie?», a dit Jésus. Nous sommes ce que nous sommes.

            Et s’il y a une chose qui a causé du tort à notre mouvement pentecôtiste et aux autres mouvements, c’est de voir quelqu’un qui cherche à être quelque chose qu’il n’est pas. Les gens cherchent à imiter quelqu’un d’autre. Vous ne pouvez pas y arriver. Vous n’êtes que ce que vous êtes; c’est tout. Et quand vous faites ça, Dieu ne vous utilisera que selon ce que vous êtes. Et vous êtes tout aussi important que n’importe qui d’autre.

            Comme je l’ai dit l’autre soir, la minuscule spirale qu’il y a dans cette montre est aussi important que le ressort moteur, car il faut toutes ces parties mises ensemble pour indiquer l’heure. Et cela... Lorsque nous prenons conscience de notre position en Christ et qu’alors nous y demeurons, même s’il s’agit d’une petite ménagère, restez juste dans cette position. C’est ce que Dieu veut que vous fassiez. Voyez-vous? Soyez juste ce que vous êtes.

7          Et beaucoup d’entre vous se souviennent de la guérison du membre du congrès Upshaw qui avait passé soixante-six ans dans un fauteuil roulant, et qui a servi pendant dix-sept ans dans le gouvernement des Etats-Unis en tant qu’un–en tant qu’un membre du congrès américain et ainsi de suite. Je ne l’avais jamais vu de ma vie... Et le docteur Roy E. Davis de l’Eglise Baptiste Missionnaire qui m’a baptisé dans la foi baptiste était un... ou plutôt nous appelons cela la Communion baptiste. Nous croyons que l’Eglise baptiste, que le Saint-Esprit vous baptise dans le Corps, mais nous sommes baptisés... Si vous aviez été un campbellite, que vous aviez été immergé comme vous voulez, et que vous aviez été à l’Eglise baptiste, vous deviez vous refaire baptiser dans cette communion-là. C’est pourquoi nous appelions cela se faire baptiser dans la communion de l’Eglise baptiste.

            Ce fut lui qui envoya là-bas le membre du congrès américain Upshaw qui était... Et il était... Je ne l’avais jamais vu, je suis tout simplement entré là dans cette salle, à Los Angeles, où il y avait partout des milliers et des milliers de personnes dans des fauteuils roulants. Et je l’ai vu dans une vision et je me suis mis à parler. Et il fut guéri ce soir-là. Pour la première fois il a quitté ce fauteuil sans béquilles et tout, depuis soixante-cinq ans: le membre du congrès américain William D. Upshaw. C’est un brave ami de Churchill et de tous les autres.

            Et comme vous le savez, quand je suis allé là et que j’ai prié pour le roi George qui souffrait de la sclérose en plaques et qu’il fut guéri instantanément, le jour suivant il a joué au golf sur un parcours à 18 trous, alors qu’auparavant il ne pouvait même pas se tenir debout pendant quelques minutes.

8          Et j’ai été chez Gustave. Et le frère de Gustave est un pentecôtiste. Et pourquoi certains d’entre vous lambinent-ils dans le pentecôtisme? C’est parce que vous vivez ici dans une petite ville et que vous ne connaissez pas le reste du monde. Quarante pour cent de membres de notre gouvernement sont pentecôtistes; c’est juste, ou sont sous une influence pentecôtiste. Billy Graham a dit: «Vous ne pouvez plus cacher l’Eglise pentecôtiste. C’est l’église qui connaît la plus forte croissance dans le monde.» Qu’est-ce qui a... Dans notre Visiteur du dimanche, l’Eglise catholique a déclaré que les pentecôtistes à eux seuls ont enregistré un million cinq cent mille convertis juste pour l’année passée, plus que toutes les autres églises réunies. Nous ne sommes pas une bande de racailles. Nous avons quitté le petit sentier; nous sommes sur l’avenue La Gloire. Nous... L’Eglise pentecôtiste, et les officiels du gouvernement, et tous nous avons pris un déjeuner.

            Juste là à Washington DC, monsieur Nixon s’est entretenu pendant quelques jours avec certains sénateurs de l’Etat. Chez moi (Demandez à mon secrétaire), ces entretiens privés comme ceux que nous avons eus ce matin, et ce que nous avons le matin quand les gens viennent pour savoir ce que le Seigneur a à dire, ils restent là. Nous attendons là jusqu’à ce que le Seigneur parle, pas comme dans ces petites visions que vous voyez ici; je veux dire que c’est vous qui provoquez cela. Mais les médecins, les hommes d’Etat, les membres du congrès américain, les potentats venus du monde entier...

9          Je parlais à mon secrétaire. C’est sa mère, son beau-père et sa belle-mère qui sont assis juste là maintenant. L’autre jour je... Une liste de gens attend, des gens venant du monde entier, six cents personnes qui attendent maintenant, venant de partout dans le monde, et ils viennent pour se tenir devant le Seigneur, et nous prions jusqu’à ce qu’Il descende et leur dise ce qu’ils doivent faire: des médecins, des hommes d’Etat, des hommes de loi, des membres du congrès américain et tout le reste, venant de tous les coins de la nation. J’ai même reçu des médecins de la clinique des frères Mayo. Il ne s’agit pas simplement d’un on-dit, mes amis; il s’agit de Dieu. Voilà donc ce qu’il en est des visions.

            Or, au cours de ces réunions, au cours de ces réunions évangéliques, vous n’en voyez pas le dixième. Posez la question aux frères qui m’accompagnent. Voyez-vous? Ce sont juste de petites... C’est quelque chose que vous provoquez vous-mêmes.

10        Bon, tenez, je vais en revenir à mon sujet. Excusez-moi de m’en être écarté. Mais nous nous rendons à un carnaval. Et il y a un très grand–ou plutôt un cirque entouré d’une grande clôture en planches. Et nous–nous ne savons pas comment la franchir. Nous voulons donc voir ce qui se passe à l’intérieur.

            Et il n’existe point d’homme au monde qui ne désire savoir d’où il vient, ce qu’il est, et où il va. Il n’existe qu’un seul Livre qui puisse vous le révéler, et c’est Celui-ci; ce que vous êtes, qui vous êtes, d’où vous venez, et où vous allez. Mais tout être humain désire regarder de l’autre côté du rideau pour voir ce qu’il y a de l’autre côté. Mais nous allons le faire maintenant sous forme de parabole.

            Et maintenant, nous continuons, et je regarde ce frère. Et je suis plus fort... il est un homme grand et fort, et moi, je suis un petit homme mince. Eh bien, je pense que peut-être il peut jouer son rôle pour parvenir à voir le–le–le spectacle, ce qui se passe à l’intérieur. Eh bien, comment je vais m’y prendre?

11        Bien vite, il se fait que j’aperçois un trou tout en haut. Eh bien, lui ne peut pas arriver à cette hauteur-là (Voyez-vous?), mais moi, je le peux. Cependant pour le faire donc, je dois m’abaisser et sauter très haut, et alors je peux m’accrocher avec mes doigts, me hisser et regarder par ce trou, ce qui me tue presque. Ensuite je retombe. «Qu’avez-vous vu, Frère Branham?»–Une girafe. –Oh ! c’est vrai? Qu’as-tu vu d’autre? (C’est tout ce que j’ai eu le temps d’apercevoir. Et cela me tue presque.) –Jette un coup d’oeil pour voir si tu peux apercevoir quelque chose d’autre.

            Eh bien, vous ne vous en rendez pas compte, mais il s’agit de vous qui êtes à l’estrade et de vous qui êtes assis là. C’est vous qui faites sortir la force de moi. Hier soir, quelqu’un qui venait... faillis tomber quatre ou cinq fois pendant que je sortais. Et vous ne... Les gens ne se rendent pas compte de ça. Si vous lisez la Bible...

12        Savez-vous que les poètes, ou les prophètes et les autres, quand l’inspiration les saisit, parfois ils ne savent plus où ils en sont. Avez-vous déjà lu ce que Stephen Foster a écrit? Ma vieille patrie du Kentucky, Tout là-bas sur la rivière Swanee; il a donné à l’Amérique ses meilleurs chants folkloriques. Il était considéré comme un névrosé. Chaque fois qu’il écrivait une chanson sous l’inspiration, ensuite il allait s’enivrer. Une fois, quand il a fini d’écrire, il est sorti, il est tout simplement sorti, et alors, il a pris un rasoir et il a appelé un serviteur, et il s’est suicidé, il s’est coupé la gorge.

            Avez-vous déjà entendu parler de William Cowper? Certainement. Tout récemment je me suis tenu près de sa tombe et j’ai pleuré. En Angleterre il–il était considéré comme un–un idiot, un fou. La science déclare que toute personne qui est vraiment spirituelle est juste à un pas de la folie pour le monde. C’est donc l’esprit humain qui essaie de s’accorder avec cet esprit-là (Voyez-vous?), vous ne le réalisez pas. Personne ne saura jamais de ce côté-ci de l’éternité ce que cela représente.

13        Ainsi donc William Cowper, finalement le jour... Vous souvenez-vous qu’un jour il a même essayé de prendre un taxi pour aller se suicider? Il est rentré, il a pris une corde et il a essayé de se pendre, puis–puis il est descendu et il a essayé de se noyer dans la rivière et alors il a écrit ce cantique célèbre:

            Il y a une Fontaine remplie de sang,

            Tiré des veines d’Emmanuel,

            Les pécheurs une fois plongés dans ce flot,

            Perdent toute tache de leur culpabilité.

14        Considérez le prophète Jonas. Aussitôt qu’il est sorti du ventre de la baleine et qu’il est allé donner sa prophétie, aussi longtemps qu’il–que l’inspiration était sur lui et qu’il donnait sa prophétie, les choses allaient bien pour lui. Mais quand l’inspiration l’a quitté, il s’est assis au sommet de la montagne et il a prié Dieu de lui ôter la vie.

            Le prophète Elie sous l’impact d’une–une vision du Seigneur, il a arrangé les choses et il a appelé le feu du ciel, il a appelé la pluie du ciel, c’est pareil, et lui-même il a tué quatre cents prêtres. Et ensuite, quand l’inspiration l’a quitté, il a fui à la menace d’une femme et il a passé quarante jours et quarante nuits dans le désert, sans savoir où il en était, en train d’errer. Et Dieu l’a trouvé alors qu’il s’était retiré dans une caverne. Eh bien, n’est-ce pas l’Ecriture?

15        Voyez-vous, les gens ne s’en rendent pas compte. Vous ne vous rendez pas compte de ce que ces... Vous direz: «Eh bien, si j’avais un ministère comme celui-là...» Vous voudriez vous en débarrasser aussitôt. Vous ne réalisez pas ce que cela vous fait. Cela vous tue. Mais cela–cela... Dieu vous l’a donné. Les critiqueurs rient, se moquent et tout. Pendant que je me tiens juste ici, je sais ce qu’ils pensent. Certainement. Autrefois, je les dénonçais et disais tout. Mais quand je le faisais, je me rendais compte que cela causait du tort. Jésus a dit de laisser tous les deux croître; de ne pas arracher l’ivraie; c’est à la fin, au temps de Dieu, qu’on arrachera l’ivraie (Voyez-vous?), à la fin, lors de la moisson. Laissez-les tranquilles. Voyez-vous? Allez de l’avant, je dois exercer le ministère et ainsi... Je dois servir et je dois faire de mon mieux et puis aller de l’avant.

16        Eh bien, maintenant, quand vous venez à l’estrade, c’est vous qui provoquez cela, c’est comme la femme qui toucha Son vêtement. C’est votre propre foi qui fait cela. Je n’ai rien à voir là-dedans. Pour ce qui me concerne, je–je ne peux rien faire... J’ai demandé moi-même à Dieu quelque chose plusieurs fois durant les cinq dernières années, et Il ne veut même pas me dire un seul mot à ce sujet. Ma propre mère était étendue là mourante et disait: «Mon fils, quelle sera ma fin?» Et ma douce vieille mère, je ne pouvais pas lui dire quoi que ce soit tant que Dieu ne m’avait rien dit. Voyez-vous? Je... Il faut que Lui parle. Ce n’est pas moi qui parle; c’est Lui. Et ce n’est pas moi qui produis ces visions ici à l’estrade.

            Demandez à mes frères qui m’accompagnent. Cette semaine je n’ai rien mangé si ce n’est des biscuits salés et du lait. C’est vrai. Je jeûne, j’attends, j’observe dans quelle direction l’Esprit me conduira... Les garçons à la porte ont dit: «Il y a un grand buffet à la scandinave par ici, Frère Branham. Combien vous aimez aller à un buff-...»

17        J’ai dit: «J’aime ça, mais pas pendant les services de guérison.» Et je m’attends au Seigneur. Cela ne vient que par le jeûne et la prière. Demain soir, des estropiés, des malades hospitalisés, des personnes mourantes seront ici. Soyez prêts pour cela. Vous aimez les gens. Et si vous ne les aimez pas, vous feriez mieux d’abandonner le ministère; c’est tout. En effet, si votre coeur ne brûle pas pour eux... Je préférerais que vous disiez quelque chose de bien au sujet de mon fils plutôt qu’à mon sujet, parce que c’est mon fils.

            Et si nous ne pouvons pas nous aimer les uns les autres, comment allons-nous aimer Dieu que nous ne voyons pas? Voyez-vous? Nous devons trouver le filon. Nous devons nous aimer les uns les autres. Quoique nous soyons différents, vous devez vous aimer de toute façon. Vous ne pouvez pas simuler cela. Vous devez réellement le faire. Vous êtes tenu de le faire. Et c’est la plus grande puissance que l’on trouve pour la guérison, c’est l’amour, quand vous avez de la sympathie et de l’amour pour les gens, et que vous essayez de les aider.

18        Parfois je réprimande, puis–puis je rentre chez moi et je commence à penser: «Seigneur, pourquoi ai-je fait cela?» Mais, c’est parce que je les aime. Si je dois réprimander mon petit garçon parce qu’il court sur la rue... Il se fera tuer si je ne le retire pas de cette rue. Parfois je dois le fouetter, le corriger, en disant: «Fiston, tiens-toi loin de la rue.» Ce n’est pas parce que je n’aime pas cet enfant; c’est parce que je l’aime réellement. C’est ce que Dieu doit faire avec nous, Il doit nous réprimander, nous secouer, faire de nous de vrais et authentiques... Celui qui laisse son enfant faire n’importe quoi n’est pas un bon parent. C’est juste. On trouve beaucoup cela en Amérique aujourd’hui, et nous avons besoin des mères à l’ancienne mode.

19        Eh bien, quelqu’un viendra à l’estrade, une dame. Me voici; je me détends. Et elle monte, qui est-elle? Je ne l’ai jamais vue, je ne la connais pas. Qui est-elle? Je ne sais pas. «Ô Dieu, je compte sur Toi maintenant.» Je prie pendant toute la journée. «Qu’est-ce, Seigneur? Traverse cette Bible que voici. Ô Dieu, voilà Ta Parole; Tu as fait la promesse, Ta Parole est entre moi et cette femme. Ton Esprit est quelque part ici. Ô Dieu, peut-être une chose qui pourrait enflammer toute cette salle. Peut-être que le Saint-Esprit est venu pour chasser toute l’incrédulité ce soir. Tout le monde ici va me croire, tout le monde va croire parce que je l’ai prêché de la manière la plus simple que je pouvais. Et ils ont lu la Bible, et ils savent que c’est la vérité, et que c’est une promesse pour ce jour-ci. Ils croiront certainement, Seigneur.»

20        Alors, pendant que j’essaie de me détendre, je parle. Premièrement, qu’est-ce que je fais? Je monte, je monte, et je découvre quel genre de foi a cette femme. Finalement, je découvre qu’elle a la foi. Qu’est-ce que cela fait? Cela touche. Alors entre elle et moi, je vois la chose. Alors, où cela va-t-il? Ici plus haut, plus haut, plus haut, et cela saisit la chose.–Vous avez une tumeur. –Oui, monsieur. Vous vous tournez vers l’auditoire. Quelqu’un dit: «Il a deviné cela.» Voyez-vous? «Eh bien, c’est de la télépathie mentale. Le docteur Jones a dit que c’était ceci cela. Oh ! c’est la lecture des pensées.» Voyez-vous, ça y est encore. Eh bien, que pouvez-vous dire? Vous regardez là, celui-ci est assis ici, celui-là par ici, et là-bas. Voilà que c’est revenu ici. «Ô Dieu, qu’est-ce que je peux... Eh bien, Seigneur, Tu as dû passer par la même chose.»

21        Maintenant, quoi d’autre... Qu’a-t-elle encore? Vous voilà reparti. Et déjà à ce moment-là, les doigts, pour ainsi dire, commencent à vous faire mal, tandis que vous êtes suspendu là. Eh bien, votre coeur commence à faire mal. Voyez-vous? Ensuite vous remontez encore. «Et en plus, vous avez la tuberculose, et vous étiez chez le médecin l’autre jour. Il vous a dit... C’était un homme élancé.»

            «Il lit leurs pensées.» N’est-ce pas étrange?

            Même les chrétiens disent: «Eh bien, je pense que c’est en ordre.» Voyez-vous?

            Eh bien, au bout d’un moment, cette personne passe. En voilà une autre. A ce moment-là, vous êtes sur le point de lâcher. Voyez-vous? En voici une autre. Eh bien, il y en a là toute une ligne. Si vous ne prenez pas chacun d’eux, mon gars, si vous ne priez pas pour eux, on pense qu’il y a quelque chose qui cloche.

            Vous voyez–vous voyez, j’essaie d’utiliser un don prophétique dans un service évangélique. C’est la raison pour laquelle cela ne marche pas très bien. Ça marche en Afrique, ça marche partout ailleurs, sauf aux Etats-Unis, partout ailleurs, sauf ici. Ici, ça ne marche pas. Les gens ne reçoivent simplement pas cela. Je ne sais pas pourquoi, mais ils ne reçoivent pas cela.

22        Cette seule chose, si ça pouvait se produire en Afrique, des millions de gens allaient se ruer à l’autel, en criant, en pleurant, en quittant leurs fauteuils roulant d’un bond, même s’il leur faut ramper par-dessus tout le reste. Ils croient en Dieu; c’est tout; ils saisissent la chose. Mais nous, nous n’avons pas... Vous voyez, ils ne sont pas endoctrinés avec tant de différents ismes et tant de différentes choses, où quelqu’un dit que c’est ceci, et quelqu’un d’autre dit que c’est cela. «Il est membre d’une autre église; il n’est pas–il n’est pas des nôtres.» «C’est un saint exalté.» «Il–il–il pourrait être un médium; il pourrait être un démon», voyez-vous, et tout cela, ça attriste le... Et puis quelqu’un dira: «Je vais sortir d’ici dans l’immédiat. Oh !» Voyez-vous?

            Eh bien, comment pourriez-vous tenir une réunion dans de telles conditions? Permettez-moi de vous poser une question. Que cette assistance soit une fois d’un même accord et d’une même foi. Que je me tourne vers vous au Nom du Seigneur, il ne restera pas ici un seul fauteuil roulant dont l’occupant ne marche. Essayez seulement une fois et voyez. Moi, j’ai vu cela. Vingt-cinq mille personnes qui étaient dans des fauteuils roulants, dans des civières et tout le reste ont marché.

23        Mais, en tant que ministre, vous devez servir de toute façon. C’est cette nation qui a l’argent pour m’envoyer là-bas; eux, ils n’ont pas d’argent pour m’inviter là. Moi, je n’ai pas un grand soutien. Ce que je dois faire, c’est compter sur Dieu, et vous, si vous êtes miséricordieux, faites quelque chose. «J’irai partout où Tu me conduiras.» Et c’est ce que je fais. Voyez-vous? Eh bien, peut-être, il est possible que monsieur Loyal vienne donc et dise: «Que regardez-vous, les garçons?»–Nous regardons à l’intérieur, monsieur.–Oh ! eh bien, venez ici. (C’est un grand homme, costaud. Il s’abaisse, il me prend dans ses mains.) Il dit: «Je vais vous dire comment les choses se déroulent, Frère Branham. Voyez-vous ce spectacle là-bas?»–Oui.

24        –Eh bien, c’est là que commence la promenade des guirlandes, là. Ils sortent ici et font le tour comme ceci; ils traversent ici, et ils font ceci. Et ils font ceci, ceci et cela.

            – Oh ! oui, monsieur. (A ce moment-là, je suis dans la paume de sa main.)

            – Et ça, c’est ceci; et ça, c’est ceci. (Il m’a mis là sur la grande tribune, vous savez, et Il m’a montré tout ce qui allait arriver.)

            – Oh ! dis-je, merci, monsieur. Merci beaucoup.– Eh bien, sois un bon garçon.–Merci, monsieur.– Que s’est-il passé? Qu’as-tu vu?– Oh ! Dieu soit béni. Vous voyez–vous voyez, je ne suis pas fatigué. Voyez-vous? Il m’a simplement élevé et montré la chose. Maintenant, c’est vous qui utilisez le don de Dieu, ou plutôt c’est Dieu qui utilise Son propre don. Voyez-vous? Maintenant, vous direz: «Est-ce scripturaire?» Oui, frère.

25        Une fois, une femme a touché Son vêtement, et Il a dit: «Je suis devenu faible.» Est-ce juste? Mais un jour, quand Il était chez Marthe, Marie et les autres, Il... le... Dieu Lui a montré. Il a dit qu’Il ne faisait rien jusqu’à ce que le Père le Lui montre. Et Dieu Lui a montré que Lazare allait mourir. Alors Il a dit: «Eloigne-Toi, et il y a un petit...?... rentre...» Je vais prouver cela. Il a dit: «Eloigne-Toi, et après quatre jours il va mourir. Et ensuite retourne, et Tu vas le réveiller, Tu iras à la tombe et Tu le réveilleras et ainsi de suite.» En effet, Il avait dû faire cela, sinon Il avait dit quelque chose de faux. Ainsi Il est allé...

26        Et on L’a envoyé chercher. Est-Il rentré? «Ton ami Lazare est malade et il est sur le point de mourir.» Il savait ce que le Père Lui avait dit, Il a donc tout simplement continué Son chemin. On L’a encore envoyé chercher: «Lazare est malade. Viens vite le voir, il va mourir.» Il a tout simplement continué Son chemin.

            Si vous aviez envoyé chercher votre pasteur et qu’il ne soit pas venu, vous seriez allé vous joindre à l’église voisine. Voyez-vous? C’est la raison pour laquelle vous n’arrivez nulle part. Vous devez croire le serviteur que Dieu vous envoie. Voyez-vous? S’il est conduit par l’Esprit, laissez-le tranquille.

            Ensuite, quatre jours après, Jésus a fait demi-tour, parce que c’est ce que le Père Lui avait sans doute dit de faire; car Il a dit qu’Il ne faisait rien avant que le Père ne le Lui ait montré. Il a fait demi-tour et Il a dit à Ses disciples... Il savait que le moment était venu, Il a dit: «Notre ami Lazare dort.»– Oh ! ont-ils dit, il est guéri. Il a dit...Alors Il leur a dit dans leur propre langage: «Il est mort. Et, à cause de vous, Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là.» Alors Il a dit: «Mais Je vais le réveiller.»

            Et quand Il est arrivé à la tombe, écoutez ce qu’Il a dit: «Je Te rends grâces, Père, de ce que Tu M’as déjà (Voyez-vous?) exaucé. Mais Je dis juste ces–ceci à cause de la foule qui M’entoure. Je l’ai dit à cause d’eux.» Voyez-vous? Alors Il a dit: «Lazare, sors !» Lazare est sorti.

27        Il n’a pas dit du tout qu’Il était devenu faible, n’est-ce pas? C’était Dieu qui utilisait Son don. Dans l’autre cas, c’était une femme qui utilisait le don de Dieu. Voyez-vous la différence? Comprenez-vous maintenant? C’est ce qui... C’est vous qui faites cela.

            Eh bien, lors des entretiens et tout, des fois le Saint-Esprit... C’est comme ce matin, alors que je me tenais devant un jeune couple, Il est allé au fond de leur vie, cela a saisi la chose et l’a fait ressortir.

            Oh ! la la ! Tout récemment un médecin réputé était assis dans la pièce et il m’a posé des questions sur une certaine chose. J’ai dit: «Voulez-vous prier avec moi?»

            Il a dit: «Oui, monsieur.»

            Nous nous sommes agenouillés et nous avons prié. J’ai dit: «Maintenant, vous étudiez un projet pour la construction d’une clinique. Et il y a une certaine chose qui est sur le point d’arriver. Et vous avez considéré un certain endroit pour y bâtir cette clinique. Vous avez dit que ces gens ne pourraient pas toucher à ma demande avant vingt-cinq ans.» Mais j’ai dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, docteur.»

            Il a dit: «Croyez-vous que la ville a besoin d’une clinique?»

            J’ai dit: «Absolument; elle a besoin d’une clinique. Je crois que vous êtes un excellent docteur, c’est pourquoi allez...»

            Il a dit: «Cependant ça ne peut pas être ainsi. Elle ne peut pas être à cet endroit-là.» Il a dit: «J’ai déjà livré bataille pour cela au tribunal, a-t-il dit, on ne peut pas la construire à cet endroit-là.»

            J’ai dit: «Elle sera construite avec des briques rouges; elle aura un toit léger; elle aura pratiquement la longueur d’un pâté de maisons; et elle se tiendra là. Et votre nom figurera sur la façade. J’ai vu cela. AINSI DIT LE SEIGNEUR.»

            Il a dit: «Je voudrais bien croire cela, monsieur.»

            J’ai dit: «Vous souvenez-vous quand vous m’avez envoyé cet homme, il n’y a pas longtemps, qui n’avait même plus de foie, la moitié de son foie avait été rongée, ce ministre-là? Ce matin-là j’ai vu ces cinq pommes descendre et une grosse pomme saine a dévoré les pommes en mauvais état, et je vous avais dit ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, il vivrait’, et vous avez dit: ‘Comment pourrait-il vivre sans le foie?’» J’ai dit: «Il prêche. Il m’a remplacé à l’Eglise baptiste de Milltown.» J’ai dit: «Il est toujours là.»

            Il a dit: «Oh ! je me souviens du Révérend William Hall, de l’Eglise baptiste de Milltown.»

            J’ai dit: «Il est toujours là. Il y a environ cinq ans depuis que cela s’est passé.» J’ai dit: «Votre clinique se tiendra là.»

            Il a dit: «J’espère que vous avez raison.»

            Et j’ai dit: «Vous espérez?» J’ai dit: «Lui, Il a toujours raison.»

28        Et alors le lendemain matin il m’a téléphoné, il a dit: «Frère Branham...» J’ai dit... Il a dit: «Je meurs de froid.» Et c’était en juillet. Et j’ai dit: «Vous mourez de froid?»

            Il a dit: «Je suis envahi par des frissons.» Il a dit: «Ils ont tenu une réunion hier soir à Boston avec toutes les offres qui avaient été faites pour cet endroit. Ils m’ont choisi. Cela ne se fera pas dans vingt-cinq ans; c’est déjà réglé. J’ai déjà acheté l’endroit ce matin.»

            La clinique se dresse juste là ce soir. Tout récemment, à Saint Louis, lors d’une grande réunion médicale, il a prononcé un discours et il a raconté cela. Il y a une enseigne là-dessus affichée à sa porte, gravée en cuivre. Il a dit: «Si quelqu’un a des doutes, un médecin, demandez-lui de me faire un appel à frais virés.» C’est juste. Oh ! vous voyez, les amis, vous voyez, ce n’est rien... Le problème est que vous n’arrivez pas à vous réveiller vous-même. C’est tout. Vous n’arrivez pas à vous réveiller vous-même à la réalité de ce que c’est.

            Et vous les enfants et vous qui êtes ici dans ces fauteuils roulants, vous savez que si je pouvais vous aider, je viendrais le faire. Vous le savez. Que Dieu bénisse leurs coeurs. Je le ferais certainement. Mais vous n’êtes pas plus... Guérir une personne en fauteuil roulant ce n’est pas plus que guérir quelqu’un qui souffre d’un trouble cardiaque. Et la chose la plus glorieuse qu’Il ait jamais faite, c’était de sauver l’âme d’un homme pour changer toute sa nature et tout. En effet, vous pensez que vous êtes condamné à cela pour toujours. Vous ne l’êtes pas. Pas du tout. J’ai vu des dizaines de milliers de gens qui étaient dans les fauteuils roulants en être guéris (Voyez-vous?), et je le sais. Et c’est vrai, quelqu’un dit que ma grammaire est médiocre.

29        Je me souviens, il n’y a pas longtemps, à Fort Wayne, je prêchais chez B.E. Rediger, là où sa fille avait été guérie de la folie quelques jours avant. Oh ! me voilà reparti, il y a tant de choses à dire. Une jeune fille qui était folle, et qui était à la porte de la morgue. Et l’école catholique ne voulait même pas me laisser entrer. Et j’y suis allé en tant que visiteur, j’ai parlé à la jeune fille pendant quelques minutes. J’ai dit... Je l’ai dit à son père, j’avais l’habitude de fréquenter la mère de la jeune fille. J’ai dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, elle a son bon sens.» Et sa mère m’a saisi par la taille, et elle a dit, elle a regardé son mari, elle a dit: «Il ne s’est jamais trompé.»

            J’ai dit: «Eh bien, elle ne voulait pas dire moi; elle voulait dire l’Esprit du Seigneur.»

30        Et environ deux heures après cela, le père m’a appelé au téléphone, en pleurant; il a dit: «Frère Branham, je ne sais quoi dire.» Sa fille n’avait que dix-huit ans, elle enseignait la musique. Et elle jouait des ouvertures et ainsi de suite, elle avait fait les mêmes études que fait ma fille. Il a dit: «Je ne sais quoi dire.» Il a dit: «Cette fille est revenue à elle-même instantanément, et ces médecins sont en train de tenir un conseil maintenant même.» Il a dit: «Elle rentre à la maison avec nous cet après-midi.» C’est juste. Voyez-vous? C’est juste. J’ai dit... Il a dit: «Oh ! je vais proclamer cela à travers le pays.»

            J’ai dit: «Chut, n’en parlez à personne. Allez de l’avant, remerciez tout simplement Dieu et continuez votre chemin. Voyez-vous? Continuez tout simplement votre chemin.»

            Il est merveilleux si seulement vous croyez en Lui. Encore une petite chose pour vous. Juste du fait que vous êtes ici dans la réunion, et que vous acceptez votre guérison, si cela ne se produit pas immédiatement, ne prêtez pas attention à cela. La chose arrivera si vous avez assez de foi pour croire que cela arrivera.

31        Un soir, une femme est venue à la réunion; elle est passée. Elle souffrait de l’estomac. Le Saint-Esprit lui a dit: «Vous êtes madame Untel, vous venez de tel endroit.» Il a dit: «Vous souffrez de l’estomac.» Il a dit: «Il s’agit d’un ulcère duodénal.» Il a dit: «C’est très dangereux, et le médecin déclare que cela pourrait vous causer une hémorragie à un moment donné. Ainsi, ils veulent opérer.» J’ai dit: «Mais vous avez peur de l’opération; et par conséquent, vous n’arrivez pas à manger quoi que ce soit, si ce n’est que des bouillons, et...?... comme un bouillon et ainsi de suite.»

            Elle a dit: «C’est juste.» Et elle a dit: «Le médecin a-t-il raison, Frère Branham?»

            J’ai dit: «Votre médecin a certainement raison.» Et j’ai dit: «La cause, cela a été causé par la tension. Vous êtes tout le temps sous une grande tension.»

            Elle a dit: «J’étais une enfant nerveuse.»

32        Je l’ai regardée. Et je l’ai vue assise, avec devant elle un bon et gros steak, en train de manger, vous savez, et en train de manger un morceau de tarte aux pommes. C’est ce que j’ai vu dans la vision. J’ai dit: «Mais c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.»

            Observez ce que Cela a dit. Voyez-vous? C’est vous qui Lui faites dire cela, mais voyez ce que Cela dit après. C’est ça la chose. Voyez-vous? Vous direz: «Vous avez un cancer», et vous le savez. Mais considérez ce qu’Il dit au sujet de ce cancer. Voyez-vous? C’est à ce moment-là que vous faites attention à cela. Ainsi alors–alors... Elle... Ça lui a parlé. Alors elle a dit: «Je pars manger.» Elle est donc allée manger.

            Et peu après cela est venue une dame qui avait une grosseur à la gorge. Et le Saint-Esprit lui a dit: «Cette grosseur te quittera, AINSI DIT LE SEIGNEUR.»

33        Il se faisait donc qu’elles étaient des voisines. Et alors, le jour suivant elle a essayé de manger, et oh ! la la ! elle a failli mourir. Et alors, elle a essayé pendant deux ou trois jours, et elle vomissait tout simplement et elle avait la nausée, et le sang sortait de sa bouche et tout. Et sa... Après environ une semaine, son mari, étant un chrétien, a cependant dit: «Chérie, a-t-il dit, tu jettes l’opprobre sur la cause.» Il a dit: «Tu ne dois pas dire de telles choses.»

34        Elle a commencé à pleurer. Elle a dit: «Ecoute, mon mari, a-t-elle dit, cet homme ne m’avait jamais vue de sa vie; et par une sorte de puissance que je crois être le Saint-Esprit, selon ce que j’ai lu dans la Bible, il m’a dit quel était mon problème, et qui j’étais, exactement à la lettre, et il m’a dit qu’AINSI DIT LE SEIGNEUR je serais guérie.» Elle a dit: «En attendant, je vais me comporter comme si j’étais guérie.» C’est bien.

            Alors il a dit: «Va de l’avant, fais éclater ton ulcère et alors tu vas saigner à mort.» Elle a tout simplement continué. Bien sûr, il–il n’avait pas... Voyez-vous, cela ne lui était pas arrivé; c’est à elle que c’était arrivé. Il n’était pas question de sa foi à lui; il était question de sa foi à elle.

35        Eh bien, environ deux mois passèrent, rien n’arrivait. Un matin, les enfants étaient partis à l’école, et elle faisait la vaisselle. Et elle chantait. Et au bout d’un moment, elle dit qu’elle éprouva la sensation la plus étrange. Elle est venue et a témoigné de cela. Elle a donc dit qu’elle a éprouvé la sensation la plus étrange. Elle eut très faim à...?... Et elle a dit... Eh bien, les enfants avaient laissé de l’avoine dans le plat, vous savez. Je pense que les mamans font ça. Et alors, elle a pris un petit peu d’avoine et elle a mangé cela, et elle s’est dit... D’habitude elle vomissait cela. Elle a donc pris un peu d’avoine et elle a mangé cela; et ce pain grillé paraissait si délicieux qu’elle prenait une bouchée de ce que les enfants avaient laissé.

            Elle a donc continué quelques instants, elle avait toujours faim, cela ne l’a pas dérangée. Elle s’en est donc versé une bonne quantité dans le plat, elle a agité cela, elle a pris un morceau de pain grillé, elle a continué à faire la vaisselle, elle s’est tout simplement bien sentie en faisant le ménage de sa maison. Elle eut encore très faim, elle est donc allée se frire deux omelettes, et du lard, et elle a pris une tasse de café et elle s’est tapé un jubilé gastronomique. Et ainsi elle–elle était vraiment prête pour cela. Et alors elle a mangé tout ce qu’elle a pu, elle a attendu jusque vers 10 heures, rien ne se passait. Elle commençait encore à avoir faim.

36        Alors elle s’est dit: «Oh ! gloire à Dieu !» Elle a dit: «Je vais aller le dire à ma voisine.» Et quand elle est arrivée là, elle a entendu quelqu’un crier et pleurer. Elle a donc couru jusqu’à la porte et a secoué la porte, et personne ne répondait. Elle s’est dit que peut-être quelqu’un était mort. Elle est donc entrée dans la maison en courant très vite, et voilà que cette femme avait un drap à la main, le secouant comme cela, et criant à tue-tête. Et elle a dit: «Qu’y a-t-il?»

            L’autre a dit: «Tu sais quoi?» Elle a dit: «Hier soir, je me tenais devant le miroir, regardant cette grosseur qui était à mon cou. Maintenant, regarde, elle a disparu.» Elle a dit: «J’ai secoué chaque drap, tout le reste, essayant de mon mieux de la retrouver, et je me suis réveillée ce matin et...»

            Eh bien, j’ai leurs noms et leurs adresses (Voyez-vous?), des déclarations accompagnées de pièces justificatives. Et voyez-vous ce que c’était, quand cet Ange de Dieu... Eh bien, tout étudiant de la Bible sait que parfois Dieu ne vient pas directement sur la scène quand Il–quand Il devrait venir, au moment où nous nous pensons qu’Il devrait venir.

37        Souvenez-vous, Daniel a prié. Ç’a fait vingt et un jours avant que l’Ange puisse arriver auprès de lui. Est-ce juste? Très bien, combien savent cela? Que s’est-il passé? L’Ange même de Dieu qui a fait la promesse... Ce n’est donc pas moi. Je n’avais rien à voir là-dedans. Je ne les connaissais. Mais Il a dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Cela Lui a pris près de deux mois, mais Il est passé dans le voisinage, confirmant cette Parole qu’Il avait prononcée. Gloire à Dieu ! Si ce n’est pas le même Dieu de la Bible, je ne connais pas ma Bible. Cela s’est produit des centaines et des centaines de fois, les amis.

            Pourquoi donc dis-je cela? C’est afin d’édifier votre foi pour le service de guérison de demain soir. Je voudrais que vous... Si cela... Eh bien, ne bluffez pas à ce sujet. Le bluff là-dessus ne marchera pas. Vous ne pouvez pas bluffer le diable. Souvenez-vous que lorsque Jésus a donné à Son Eglise comme... Dans Matthieu, chapitre 10, Il a donné à Son Eglise la puissance de chasser les démons, de guérir les malades et–et les lépreux, et de ressusciter les morts. Est-ce juste? Eh bien, je voudrais que quelqu’un qui ne croit pas dans la guérison divine me montre par les Ecritures là où Il a retiré cette puissance de l’Eglise. J’ai besoin du chapitre, du Livre et du verset. Là où Il a donné cette puissance à Son Eglise, je peux vous donner le chapitre, le Livre et le verset, là où Il a dit que ce serait pour toutes les races, en tout lieu, par tout le monde. Alors vous, dites-moi là où Il a dit: «J’avais commis une erreur. Je dois retirer cela.» Qu’un critiqueur me montre cela. Il n’y a rien de tel dans la Parole de Dieu.

38        Maintenant, voyez-vous, ce n’est pas... Mon ami qui critiquez, c’est à ceci que vous regardez: vous regardez à la faiblesse; vous regardez à ce que les gens font en rapport avec cela. Mais ne regardez pas à cela. Regardez à ce que Dieu a dit à ce sujet. Voyez-vous? C’est ça. Vous regardez à cela de la mauvaise façon; vous louchez. Voyez-vous? Et l’homme qui louche ne sait pas dans quelle direction il va. Voyez-vous? Alors vous... Regardez uniquement à Dieu, à ce que Dieu a dit, pas à ce que les gens font en rapport avec cela, à ce que le séminaire a dit, mais à ce que Dieu a dit. Et si ceci n’est pas la Parole de Dieu, alors allez chercher quelque chose qui est la Parole de Dieu.

39        Il n’est pas étonnant que le prêtre ait... le prêtre catholique soit si intelligent. Il a six cents livres qu’il doit apprendre, qui sont pour lui aussi sacrés que cette Bible. Six cents autres livres comme la Bible, que d’autres hommes ont écrits et qu’il doit apprendre. Ils sont intelligents; il est impossible de se mesurer à eux, de discuter avec eux, pour ce qui est de l’intellectualisme. Mais Dieu n’utilise pas du tout cela. C’est de la folie à Ses yeux. Dieu honore l’humilité qui consiste à croire en Jésus-Christ. Il a fait en sorte que même l’insensé ne puisse pas s’y perdre. Eh bien...

            A présent, écoutez ceci. Dans Matthieu 10, Jésus leur a donné la puissance de guérir les malades. Ils sont partis et ils ont chassé les démons; ils sont revenus en se réjouissant et tout. Et dix jours plus tard, ils étaient complètement vaincus devant un cas d’épilepsie. C’est juste. Je peux m’imaginer entendre André dire: «Reculez, les amis.»– Vous n’y arrivez certainement pas. –Laissez-moi vous montrer comment je m’y étais pris à Capernaüm. ...?... Grrrrr. AINSI DIT LE SEIGNEUR, sors de lui, démon ! sors de lui, démon ! Alléluia. Sors de lui, démon !

            Le garçon a simplement continué à faire des convulsions.

40        Et je peux entendre Pierre dire: «Oh ! souvenez-vous, vous tous, vous ne le savez pas. Laissez-moi vous montrer comment je m’y étais pris là à Joppé. Viens ici. Amenez-le-moi. Poussez par-là, a-t-il dit, voici comment il faut faire.» Ils furent tous vaincus. Ce n’était pas parce qu’ils manquaient la puissance. Maintenant, suivez.

            Au bout d’un moment, écoutez, je Le vois descendre là de la montagne, marchant calmement. La Bible dit qu’Il n’avait pas de beauté pour attirer nos regards, peut-être que c’était un petit gars voûté. Oh ! et Il vint là, s’approchant de là où il était...?... Ce père a accouru et a dit: «Seigneur, j’ai amené mon fils à Tes disciples, mais ils n’ont rien pu faire pour lui.» Il a dit: «Veux-Tu bien lui venir en aide?»

            Et Il a dit: «Je le peux si tu crois, car tout est possible à celui qui croit. Vois-tu?»

            Il a dit: «Seigneur, je crois. Viens au secours de mon incrédulité.»

            Et frère, quand ce démon s’est retrouvé en face de Lui, il a compris qu’il Le rencontrait à un niveau différent de celui de ces disciples. Il a dit: «Sors de lui !»

            Et le garçon est tombé, il a piqué la pire crise qu’il n’eût jamais eue. Ensuite il est devenu raide. Il a dit... Alors les gens ont dit: «Il est mort.»–Il n’est pas mort. Relevez-le.

41        Les disciples sont venus et ont dit (Maintenant écoutez, voici ce qu’il en est de ce jour moderne): «Eh bien, Seigneur, je pense que Tu nous as retiré toute notre puissance. L’Eglise n’a plus de puissance.»–Non. –Pourquoi alors n’arrivions-nous pas à le chasser? Il a dit: «C’est à cause de votre incrédulité.» Est-ce exact?

            L’Eglise a encore la puissance. Vous méthodistes qui êtes ici, vous avez cette puissance, vous les baptistes, les presbytériens, les nazaréens, les pèlerins de la sainteté, mais vous avez peur de l’utiliser. Voilà tout. A quoi me servirait-il d’avoir un bon fusil de chasse et de le déposer contre le mur, et d’avoir peur de tirer avec. Je n’aurais jamais de gibier; j’en suis sûr. Eh bien, je pourrais faire beaucoup de ratés, et un peu de pétarades, et ne pas très bien procéder au chargement manuel, Frère Gene, mais de toute façon je tire. C’est tout. Je fais vraiment de mon mieux. Absolument, c’est donc ce que vous ferez. Ayons la foi et soyons sûrs que si nous croyons la chose... Amen. Inclinons maintenant la tête.

42        Seigneur Jésus, parfois nous parlons comme des enfants. Et nous sommes heureux d’être comme cela, car si nous connaissons tant de choses, Tu ne peux plus nous conduire. Mais aussi longtemps que nous sommes des enfants, Tu nous pardonnes notre ignorance, et–et nous faisons tout simplement confiance en Ta main. Parfois nous crions et nous hurlons, et nous faisons des histoires, c’est simplement parce que, Père, nous sommes des enfants. Nous–nous–nous ne comptons pas sur nos propres capacités. Nous sommes tout simplement heureux de ce que nous sommes–d’avoir un Père qui veille sur nous. Nous en sommes si heureux.

            Seigneur, il y a des gens ici qui sont malades, affligés, certains d’entre eux sont sauvés; d’autres ne le sont pas, d’autres croient qu’ils sont sauvés et ne le sont pas, d’autres sont... Il–il y en a de toutes sortes, Père. C’est un groupe hétérogène. Veux-Tu bien nous aider ce soir afin que demain nous puissions avoir une–une guérison massive et prodigieuse? Accorde-le, Seigneur. Qu’il y ait une telle effusion de Ton Esprit. Seigneur, je Te prie de l’accorder au point qu’il ne restera dans cette salle aucune personne faible. Accorde-le.

43        A présent, nous allons encore ouvrir les pages de la Parole. Or, je ne peux pas ouvrir ce Livre, personne ne le peut; je ne peux le faire que physiquement avec mes mains. Que le Saint-Esprit puisse L’ouvrir et nous interpréter quelques Paroles qui édifieront notre foi de telle manière que toute incrédulité nous quitte, et que nous soyons parfaitement satisfaits par une foi pure et sans mélange en Dieu, à savoir qu’Il guérit les malades et sauve les perdus. Et s’il y a un péché au milieu de nous, Seigneur, je Te prie de l’ôter, Seigneur. Et puissions-nous nous sanctifier ce soir par la foi dans le Sang de Ton Fils, Jésus-Christ, notre Seigneur. Nous le demandons en Son Nom. Amen.

44        Eh bien, juste en vous parlant un peu, et voilà qu’il est temps de terminer. J’ai un bon nombre d’Ecritures que j’ai notées ici auxquelles j’aimerais me référer. Il se pourrait que je ne puisse pas aborder une seule d’entre elles. Mais c’est pour que ça nous serve de contexte. Maintenant, je ne serai pas trop long. En toute sincérité, j’espère ne pas l’être. Mais je suis juste...

            Je désire lire dans le Livre de Jérémie, au chapitre 8, le verset 22. Il s’agit d’une question de trois lettres, que je vais poser ce soir à l’assistance.

          N’y a-t-il point de baume en Galaad? N’y a-t-il point de médecin? Pourquoi donc la guérison de la fille de mon peuple ne s’opère-t-elle pas?

45        Eh bien, je vais vous poser la question comme Dieu l’a fait: «Pourquoi? P-o-u-r-q-u-o-i? [W-h-y, en anglais–N.D.T.]» «Pourquoi la guérison de la fille de mon peuple ne s’opère-t-elle pas?» [Frère Branham s’éclaircit la voix.–N.D.E.] Excusez-moi. Eh bien, comme déclaration, ç’en est vraiment une. Mais je crois que quand Dieu fraie une voie pour quelque chose, qu’Il fraie une voie pour échapper, qu’Il fraie une voix pour cela, et que les gens ne l’acceptent pas et ne marchent pas là-dedans, alors Il a le droit de demander pourquoi.

46        Si vous alliez acheter une voiture pour votre fils... Vous diriez alors: «Junior, je–je ne veux pas que tu ailles dans une salle de billard. Moi ton père et ta mère, nous sommes une famille chrétienne. Je ne veux pas que tu fumes des cigarettes. Je ne veux pas que tu ailles aux bals dansants avec–à ces bals dansants modernes où les gens boivent et tout. Ici nous–nous sommes des chrétiens, Junior, et tu–tu jetteras l’opprobre sur notre famille et sur la cause que nous soutenons. Et je serai très bon envers toi, Junior. Je suis... Papa travaille durement. Je vais donc trimer pour arriver à économiser assez d’argent pour t’acheter une petite voiture; en fait, elle vous servira pour aller à l’école, toi et ta soeur, et–et vous, soyez tout simplement sages. Et je vais vous procurer de beaux habits.» Et ensuite vous découvrez que Junior fume, bois et qu’il fréquente ces endroits. Vous avez alors le droit de demander à ce garçon: «Pourquoi?», parce que vous avez fait tout ce qui est possible pour lui faire plaisir, pour qu’il ait sa petite voiture, pour qu’il aille à la pêche et–et ainsi de suite, et qu’il aille se promener en voiture. Et vous aurez alors le droit en tant que père de lui demander: «Pourquoi, pourquoi as-tu fait cela?» N’est-ce pas vrai, frères?

47        Si donc Dieu a frayé une voie pour Son peuple afin que celui-ci se sauve et échappe à la colère qui est sur le point de tomber, et que les gens ne reçoivent pas cela, alors Il a le droit de demander pourquoi ils n’ont pas fait cela.

            Il y a quelque temps, j’ai débarqué à Bombay en Inde. J’ai lu un article dans le journal. Je l’ai encore, ou plutôt... Excusez-moi. Tommy Nickels l’a présentement; cela a paru dans La Voix des Hommes d’Affaires Chrétiens. Et il était dit: «Le tremblement de terre doit être terminé.» Eh bien, l’Inde n’a pas une population riche comme on en a en Amérique. Eh bien, les étrangers pensent réellement que du moment que vous êtes un Américain, vous êtes riche. Eh bien, c’est exact par rapport à eux. Mais c’est par rapport à leur niveau de vie. Et ils–ils érigent leurs clôtures en ramassant des pierres comme nous le faisions dans les premières années de l’Amérique, pour faire leurs clôtures. Leurs... Toutes leurs maisons sont faites en pierre et en boue.

48        Mais un jour quelque chose d’étrange s’est produit. Tous les petits oiseaux qui vivaient dans ces pierres, le long des clôtures et dans les grandes tours ont quitté leurs nids et les ont abandonnés, ils ont tout simplement déserté leurs nids. Et le bétail et les moutons qui... Quand la journée devient chaude... Ils se nourrissent tôt le matin et tard le soir. Mais au lieu de... Et alors pendant la chaleur du jour, ils venaient se tenir à l’ombre de ces clôtures pour se garder au frais. Mais au lieu de faire cela, ils sont vite allés au milieu des champs et se sont appuyés les uns contre les autres: le bétail, les moutons, les animaux.

            Et les gens se demandaient: «Quel comportement étrange !» Cela s’est produit deux jours durant. Tout à coup, un tremblement de terre a ébranlé le pays; ces murs se sont effondrés. Le tremblement de terre a frappé à quatre ou cinq reprises différentes pendant peut-être deux jours. Ils ont connu tremblement de terre sur tremblement de terre. Finalement, les petits oiseaux ont commencé à regagner leurs nids, leurs lieux qu’ils avaient quittés; le bétail est retourné près des murs qu’ils avaient quittés. Qu’était-ce? Le même Dieu qui avait prévenu les oiseaux et les animaux d’entrer dans l’arche, en lieu sûr, montre qu’Il est le même Dieu aujourd’hui. Voyez-vous? Il a prévenu Ses animaux pour fuir et se tenir loin de ces grands murs qui étaient sur le point de s’effondrer.

49        Eh bien, si Dieu peut faire cela chez l’animal par l’instinct, à combien plus forte raison devrions-nous, nous qui déclarons être Ses enfants remplis du Saint-Esprit, être prévenus par le Saint-Esprit de fuir ces choses du monde et de nous en éloigner ! Elles sont sur le point de s’effondrer. Allez vers l’Arche de sécurité, qui est Christ. Allez vite, aussi vite que vous pouvez entrer en Lui. N’attendez pas une minute, car l’heure vient où la porte sera fermée et où il n’y aura plus de miséricorde. Si donc Dieu a frayé une voie, alors au Jugement Il posera cette question: «Pourquoi?»Je connais un cantique que nous avions l’habitude de chanter.

            Quand le dernier livre sera ouvert, qu’arrivera-t-il alors?

            Quand le prédicateur aura prêché sa dernière prière, ou plutôt aura fait sa dernière prière... C’était quelque chose comme ça.

            La Bible sera fermée sur la chaire, les armes seront toutes entassées,

            La sonnerie de l’extinction des feux aura retenti pour la dernière fois sur les collines,

            La retraite aura été faite, le soleil se couchera pour la dernière fois,

            Le–l’acteur aura joué son dernier acte,

            Et ç’en sera fait pour Hollywood, qu’arrivera-t-il alors?

            Il vous sera demandé de donner la raison pour laquelle vous n’étiez pas venu, alors qu’arrivera-t-il à ce moment-là? Quelle réponse donnerez-vous? Comment allez-vous échapper à cela?

50        Maintenant, nous voulons réfléchir sur ces choses sérieusement pendant environ trente minutes durant lesquelles je vais tâcher de me référer à quelques Ecritures ici. Maintenant, il sera demandé à chacun de vous: «Pourquoi?» Quand les choses en arrivent à un point où Dieu a pris toutes les dispositions, qu’Il a envoyé le Saint-Esprit, qu’Il a révélé et montré juste devant vous tout ce qu’Il avait promis dans la Bible, qu’allez-vous faire alors?

            Vous savez, c’est comme quelque chose qui est arrivé l’autre jour à Louisville, dans le Kentucky; une femme avait un petit enfant. Elle l’amenait d’un endroit à un autre, et elle était dans un bazar. Et elle disait: «Regarde, chéri. Regarde, chéri. Regarde, chéri.» Et–et elle est devenue hystérique. Et au bout d’un moment elle a dit... Oh ! elle a tout simplement poussé un cri. Et les gens, les clients qui étaient dans la–la salle ont commencé à remarquer le comportement drôle de cette femme. Et elle s’est tout simplement effondrée en travers du comptoir et a dit... s’est mise à pleurer. Et quand... Les gens se demandaient ce qui n’allait pas chez elle. Ils l’ont approchée.

            Elle a dit: «Mon petit garçon que voici a deux ans, a-t-elle dit, et il y a environ six mois, il reste tout simplement assis, le regard fixe.» Et elle a dit: «Je l’ai amené chez le médecin. Rien de ce qui devrait attirer l’attention d’un petit garçon comme lui ne l’attire.» Elle a dit: «Il reste tout simplement assis et a l’air absent.» Et elle a dit: «Et j’agite ces petites babioles et tout ce qui devrait attirer son attention, mais il a l’air absent. Il y a quelque chose qui ne va pas en lui.»

51        Eh bien, veuillez me pardonner, si je... Je n’ai pas l’intention de blesser vos sentiments. Mais, souvenez-vous, c’est ici que se situe la correction. Ceci c’est le jugement. C’est à bien des égards comme l’église aujourd’hui. Dieu a agité toutes sortes de dons spirituels devant les gens, et ils restent toujours assis comme s’ils regardaient dans le vide. Ils ne veulent pas de cela. Vous pouvez parler contre des femmes qui portent des cheveux courts; elles continuent bonnement avec cela; au sujet du port–et des vêtements immoraux. Les gens continuent bonnement avec cela, et au sujet des disputes dans les dénominations: celle-là est meilleure que celle-ci, et celle-ci est ceci, et celle-ci est ceci. Ils continuent bonnement avec cela; ils continuent carrément à se disputer malgré tout. Je me demande ce que nous allons faire au jour du jugement quand Dieu demandera: «Pourquoi?»

52        Il a envoyé un Oral Roberts, un Tommy Hicks, le parler en langues et l’interprétation des langues, des messages ont été donnés, Il a envoyé des prophètes et tout le reste qu’Il avait promis dans la Bible, Il a agité chaque bénédiction devant l’église; et les gens continuent sans cesse à patauger dans l’incrédulité. Alors Dieu demandera: «Pourquoi?» Quelle réponse allez-vous donner alors?

            Eh bien, ne–ne pensez pas que je cherche à blesser les gens, mais regardez ces gens qui sont assis là dans ces fauteuils roulants. Regardez les maladies par ici. Tant de fois il y a eu des gens comme Oral Roberts et plusieurs grands ministres ayant des dons de guérison, des Jack Coes et les autres, qui ont une foi inébranlable et qui tiennent fermement la chose. Et vous avez vu des choses qui ont été accomplies. Ensuite Il est venu avec un don prophétique, Il se manifeste, Il exerce le discernement et Il donne des preuves infaillibles partout dans le monde. Et puis, les gens se tiennent là et disent: «Eh bien, je me demande si quelque chose pourrait arriver.» Dieu va vous demander: «Pourquoi?» Et vous devrez répondre. Eh bien, c’est vrai.

53        Eh bien, il y eut une fois un roi qui répondait au nom d’Achazia. C’était le fils de Jézabel et–et d’Achab. Et il a remplacé son père à Samarie quand Achab fut tué conformément à ce qu’avaient dit les prophètes; et les chiens ont léché son sang, très exactement ce que le prophète avait annoncé. Et Achazia l’a remplacé. Et il était un renégat, exactement comme son père et sa mère.

            Et un jour, il traversait les treillis de sa maison, peut-être, les mêmes treillis que la–que la reine de Séba ou certains des... qu’à son époque on... quand ils ont bâti le temple de Salomon. Et il–il est tombé à travers ces treillis et s’est blessé, et il en fut malade. Et il a envoyé des gens à Ekron, chez Béelzébul, un démon; il a envoyé deux hommes là-bas ou plutôt un groupe d’hommes, il leur a dit: «Allez consulter Béelzébul, le dieu de–d’Ekron, pour savoir si oui ou non je vais guérir.»

54        Et Dieu a envoyé un Ange vers le vieil Elie qui était assis là, à l’entrée d’une petite caverne. Il lui dit: «Monte à leur rencontre.» Dieu sait quand envoyer et quand ne pas le faire. Il a dit: «Monte à leur rencontre et dis-leur AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Et le vieil Elie est monté là, l’air sévère, et il s’est tenu sur le chemin. Quand il les a vus venir, il a dit: «Vous vous rendez au–à–à Ekron là-bas pour rencontrer le–pour rencontrer Béelzébul, pour rencontrer leurs prophètes, pour les consulter afin de savoir si Achazia va guérir ou pas.» Il a dit: «Rentrez lui dire: ‘Pourquoi as-tu fait cela? Est-ce parce qu’il n’y a point de Dieu en Israël? Est-ce parce qu’il n’y a point de prophète là-bas? Pourquoi alors es-tu allé vers une telle chose?’ Allez lui dire: AINSI DIT LE SEIGNEUR, il ne descendra pas de ce lit.» Oh ! la la ! C’est Dieu.

55        Qu’est-ce qui fait que nous changions nos papiers, passant des méthodistes aux baptistes, aux presbytériens, et à toutes les différentes dénominations et que sais-je encore, courant çà et là? Pourquoi faisons-nous ces choses? Pourquoi allons-nous... Pourquoi restons-nous à la maison le mercredi soir pour regarder Nous aimons Susie ou l’une de ces pièces, les programmes de télévision et des choses semblables? Est-ce parce qu’il n’y a point de Dieu dans la Pentecôte? Est-ce parce qu’il n’y a point de joie dans la maison du Seigneur? Est-ce parce qu’il n’y a point de prophète là-bas? Est-ce que parce que ces choses ne sont pas vraies?

            «N’y a-t-il point de médecin là-bas, n’y a-t-il point de baume en Galaad?» Le baume guérit. «Pourquoi alors la fille de mon peuple est-elle toujours malade?» Il demande pourquoi. Pourquoi faisons-nous ces choses? Pourquoi nous comportons-nous comme le monde? Pourquoi nos femmes continuent-elles à s’habiller comme le monde? Pourquoi nos pasteurs laissent-ils entrer et exercer dans le conseil des diacres ayant deux ou trois différentes femmes? Pourquoi avons-nous de telles choses, pourquoi marchons-nous comme le monde, et commençons-nous à agir comme le monde et à parler comme le monde, et–et... Pourquoi faisons-nous cela? C’est parce que...

56        Pourquoi devons-nous bâtir de grands temples d’une valeur de plusieurs millions de dollars, pendant que nous prêchons que Jésus vient dans les tout prochains jours? Pendant que des missionnaires dans le champ des missions n’ont pas de souliers aux pieds, vivent d’un seul repas par jour, pourquoi devrions-nous gaspiller de l’argent pour de telles histoires, alors que des missionnaires que je connais n’ont pas de souliers à mettre aux pieds? Les hommes de Dieu auront à répondre pour cela un jour. Dieu va dire: «Pourquoi?» C’est vrai. Une mère essaie de vous confier son petit bébé au ventre ballonné comme ceci, mourant de faim. Et nous, nous essayons et voulons nous mesurer aux voisins. Dieu nous demandera: «Pourquoi?»

            Eh bien, là-bas de grandes organisations construisent des bâtiments d’une valeur de dizaines de millions de dollars et des choses semblables, tout en prêchant que Jésus vient bientôt. Notre propre témoignage nous frappe au visage avec la Parole, car nous savons que nous ne croyons pas à ce que nous disons. Cela est juste devenu une routine où on tourne sans cesse en rond. «Le Père l’a dit; nous aussi nous le disons.» Si vous le croyez réellement, agissez en conséquence.

57        Si vous croyez dans la guérison divine, acceptez-Le. Si vous croyez que le Saint-Esprit est une réalité, restez là, pas pendant dix minutes, mais jusqu’à ce qu’Il vienne. Ne prenez pas un substitut. Restez là jusqu’à ce que la véritable chose soit là, jusqu’à ce que vous serez passé de la mort à la Vie. Et, frère, les oiseaux chanteront différemment, tout le monde, tous ceux que vous haïssiez, vous les aimerez, et tout deviendra différent quand vous y passerez. Pourquoi prenons-nous un substitut au lieu de la vraie chose? Dieu demandera: «Pourquoi?» Nous aurons alors à répondre.

            Eh bien, c’est juste, frère. Croyez cela. Faites-le tous, les amis. Maintenant, c’est–c’est là que nous nous tenons. Nous devrions être une église en feu par la foi, frère, flambante. Oh ! la la ! oh ! la la ! au lieu de cela nous ressemblons à une meute de petits coyotes qui battent en retraite dans un coin. «Eh bien, je–je quitte...» Non, non, vous battez en retraite. Tenez-vous debout pour ne pas lâcher la chose d’un pouce. Si nous sommes des pentecôtistes, soyons des pentecôtistes.

58        Si nous ne le sommes pas, pourquoi ne démolissons-nous pas carrément la chose pour nous unir avec certaines de nos dénominations, nos frères méthodistes ici, nos frères baptistes, nos... pente-... presbytériens ou... Pourquoi ne rentrez-vous pas tous pour être des catholiques? C’est la plus ancienne de l’ensemble. Voyez-vous, rentrez et devenez des catholiques. Mais si nous sommes pentecôtistes, soyons des pentecôtistes par expérience. Levez-vous, secouez-vous. Oui. Il a dit: «Allez lui dire: Qu’est-ce qui ne va pas?» Pourquoi les pentecôtistes...

            L’autre jour une jeune fille m’a posé une question, elle a dit: «Frère Branham, elles commencent maintenant à porter une jupe scandale.»

            J’ai dit: «C’est quoi encore?»

            «Oh ! a-t-elle dit, les jeunes filles portent des jupes qui ont une fente comme ceci, laissant voir le jupon. Pensez-vous que ce soit mal pour une jeune fille de porter cela?»

            J’ai dit: «Soeur, pourquoi donc une jeune fille pentecôtiste remplie du Saint-Esprit voudrait-elle montrer son jupon?» J’aimerais le demander à l’une d’elles. Si elle était en ordre avec Dieu, elle n’aurait pas dû poser une telle question.

59        J’avais une petite Bible quand j’en étais à mes débuts, j’ai écrit un petit livre; ça traitait des questions du genre: «Est-ce mal de fumer, est-ce mal de boire, est-ce mal de faire ceci cela?» Des questions semblables.

            Je disais: «Ne me posez pas des questions insensées. Prenez votre décision. Si vous aimez le Seigneur de tout votre coeur, vous ne fumerez pas, vous ne chiquerez pas, ni ne boirez de l’alcool.» Et c’est... Je soutiens toujours cela. Quand l’amour de Dieu est dans votre coeur, vous n’avez pas de temps pour autre chose. Vous vous êtes complètement abandonné. La Bible dit: «Si vous aimez le monde ou les choses du monde, c’est parce que l’amour de Dieu n’est même pas en vous.» Et votre propre vie le déclare. J’espère que c’est assez clair, je ne saurai pas être plus clair. Voyez-vous? Mais c’est vrai. «Vous les reconnaîtrez à leurs fruits.»

            C’est pourquoi secouez-vous. Soyons des pentecôtistes ou–ou soyons autre chose. Si nous ne sommes pas de la pentecôte, cessons de dire que nous le sommes (Voyez-vous?) jusqu’à ce que nous retournions à la véritable expérience de la Pentecôte, que nous retournions à la foi, à la foi audacieuse. Ces disciples ont scellé de leur mort leur foi. Oh ! la foi de nos pères est toujours vivante en dépit des cachots, des flammes ou de l’épée. C’est ce qu’il nous faut, la foi véritable et authentique.

60        Vous, les méthodistes, vous avez besoin de cela; vous, les baptistes, vous avez besoin de cela; vous, les pentecôtistes, vous avez besoin de cela; nous avons tous besoin de cela. Dieu va dire: «Pourquoi? N’y a-t-il point de baume en Galaad? N’y a-t-il point de médecin là, pourquoi alors? N’ y a-t-il point de–n’y a-t-il point de prophète en Israël, n’y a-t-il point de Dieu là?» Les pentecôtistes ont-ils perdu leur Dieu? N’y a-t-il plus de dons parmi les pentecôtistes? N’ont-ils plus de prophètes, de dons de prophétie, de prophètes, de prédicateurs, de pasteurs, d’évangélistes, plus personne d’autre pour parler en langues et donner des messages? Une chose, vous ne respectez pas assez ces dons. Autre chose, tout d’abord vous ne les éprouvez pas. Et puis, vous avez là-dedans toutes sortes d’esprits qui parlent. Quand vous avez cet esprit-là qui ne dit pas quelque chose de juste, faites-le sortir de là. Vous n’avez pas besoin d’un substitut. Dieu a quelque chose de réel pour vous.

61        Quand un homme parle en langues, alors qu’il... C’est un message adressé à l’église; que tout le monde reste tranquille; c’est Dieu qui parle. Ecoutez et voyez, si ce n’est pas adressé à l’église, alors la chose est charnelle. Voyez-vous? Si c’est quelque chose qui est adressé à l’église et que cela ne s’accomplit pas, alors c’est un mauvais esprit, un esprit impur, parce que Dieu ne ment pas. Alors votre église se tiendra en ordre. Voyez-vous?

            Mais telles que sont les choses, on laisse tout simplement cela aller dans n’importe quel sens et quelqu’un se mettra à mâcher du chewing-gum, et un autre à manger du pop-corn, un autre à parler, et un autre à chuchoter quelque chose à quelqu’un, et les gens essaient de parler en langues, trois ou quatre à la fois, et–et ceci, essayant... Oh ! la la ! Cela devient de nouveau une affaire corinthienne. Vous devriez remettre la chose en ordre, la ramener au Saint-Esprit. Testez ce don. Vous direz: «Oh ! Frère Branham, nous testons aussi cela.» Eh bien, frère, cela doit d’abord être testé juste ici, n’est-ce pas? C’est juste. N’ayez pas peur. Si c’est Dieu, c’est vrai, à cent pour cent vrai. Mais... [Espace non enregistré sur la bande–N.D.E.]... par-dessus cela... [Espace non enregistré sur la bande] de cela.

62        Je parlais à cet homme, un éditeur, Bob, comment s’appelle cet homme qui publie La Vie chrétienne [Christian Life]? Et il a fait cela... Sho-... Pas Bob Shuler, c’est le frère méthodiste. Je le connais très bien, mais son nom m’échappe, celui qui publie La Vie chrétienne... Walker. Il est venu à Indianapolis. Et il a dit: «Frère Branham, qu’en est-il des pentecôtistes?» Il a dit: «Ils font ceci et ils font cela.»

63        J’ai dit: «Et qu’en est-il des autres? Ils font la même chose. Mais bien des fois il est parlé de leurs membres dans les journaux; ils sont là... Les éditeurs du journal et les autres, on n’entend pas parler de cela.» Mais j’ai dit: «Ils font des choses tout aussi mauvaises.» Mais j’ai dit: «Parfois quelqu’un ira à l’extrême, et alors, que faites-vous tous? Vous sautez carrément sur la véritable chose et vous vous rabattez sur cela. Et de ce côté-ci, c’est le feu sauvage, on déverse cela sur le vieux formaliste froid.» J’ai dit: «C’est juste au milieu de la route que marche le Véritable Saint-Esprit, l’Eglise. Gloire ! Ces vieilles et froides églises formalistes sont d’un côté, et les radicaux sont de l’autre. Elles sont toutes fausses et sont loin de la vraie chose.»

            Esaïe a dit au chapitre 35: «Il y aura une grande route.» Vous les nazaréens, vous appelez cela «la grande route de la sainteté». Vous êtes en erreur. Je ne remets pas en question votre expression, mais il est dit: «Il y aura une grande route et (‘et’ c’est une conjonction)... Il y aura une grande route et un chemin, et ce chemin sera appelé (pas la grande route mais) le chemin de la sainteté.» Le milieu de la route.

64        Le Docteur Weed, je sais que, vous les frères des assemblées, vous le connaissez. C’est un précieux frère, un cher ami à moi. Une fois j’ai prêché là-dessus. Le docteur Weed s’est levé et a dit: «Vous savez quoi?»

            Frère Vibbert, je pense que vous connaissez tous frère Vibbert. C’est mon cousin, il a une grande assemblée à–à Evansville dans l’Indiana. Il avait une réunion pour hommes là-bas, le dimanche.

            Il a dit, il a dit: «Frère Branham a parlé du ‘milieu de la route’.» Il a dit: «Cela est contraire au code de la route.»

            Il se faisait donc que je me tenais derrière lui; il ne le savait pas. J’ai dit: «Voyez-vous, Frère Weed, à quel point vous pouvez être si liés à la terre, vous les frères des Assemblées?» C’est un précieux frère. Et les Assemblées sont parmi mes grands sponsors. J’ai donc dit: «Voyez-vous, vous pensez tellement aux choses terrestres, et vous êtes tellement embrouillés que tout ce à quoi vous pouvez penser, ce sont les choses de la terre.» J’ai dit: «Certainement, s’il s’agit de conduire sur terre, c’est un mauvais code de la route, mais cette route dont je parle, on ne roule pas dans le sens opposé, c’est juste le sens unique. Vous ne pouvez pas...» Et alors, nous avons tout simplement ri. Combien connaissent Roy Weed? C’est l’un des hommes les plus merveilleux que vous puissiez rencontrer. C’est pour moi un véritable frère. Et donc voilà !

65        Mais Dieu va nous demander: «Pourquoi?» Il a demandé au roi: «Pourquoi?» Eh bien, ce n’était pas parce qu’ils n’avaient pas un prophète à consulter. Non, non. Pas du tout. Il aurait pu aller consulter le prophète de Dieu. Ce n’est pas parce qu’il n’y avait pas de Dieu en Israël, certainement pas. Le Dieu d’Israël aurait parlé au prophète au sujet du roi. Mais c’était le propre entêtement du roi.

            Et c’est là le problème qu’ont les nations du monde aujourd’hui. Ce n’est pas parce que nous n’avons pas un Dieu, mais la science cherche à L’exclure de la scène, et les gens sont trop entêtés pour se tenir sur les principes de la Parole de Dieu. C’est tout à fait juste.

66        Les gens disent: «Oh ! c’est une bande de saints exaltés.» Peu importe tout ce que ça peut être. J’étais... J’ai fait plusieurs fois le tour du monde; je n’ai pas encore vu de saints exaltés; j’ai cherché. Il y a neuf cent soixante-neuf différentes organisations et églises enregistrées à Washington, et pas une seule d’entre elles ne porte le nom de saints exaltés. C’est un nom odieux que le diable a collé à l’Eglise. Ça n’existe pas, les saints exaltés. Il n’existe point d’organisation qui porte le nom de saints exaltés. Les gens traitent de saints exaltés tous ceux qui croient dans la sainteté. Et si... «Sans la sainteté, personne ne verra Dieu.» Vous voyez donc d’où en provient l’essence. Oui.

67        Très bien, le roi, il–il était tout simplement têtu. Il ne voulait pas écouter le prophète. Ils avaient un prophète. Ils avaient Dieu, mais ils–le roi était trop entêté. Il en est de même aujourd’hui; les gens sont trop égoïstes. Ils parlent de la guérison divine. Ils préféreraient s’étendre là et mourir, plutôt que d’admettre même qu’ils ont cru dans la guérison divine. Les gens préfèrent...

            C’est exactement comme un homme qui meurt au seuil du cabinet du médecin parce qu’il ne veut pas prendre le médicament que le médecin lui a donné. Le médecin a la toxine contre la maladie dont il souffre. Mais l’homme restera assis au seuil du cabinet, alors que le médecin a de la toxine en abondance, mais le malade ne veut pas prendre cela, il est simplement trop entêté pour entrer et prendre cela. Il mourra. Sans faute. Ainsi alors... Si vous ressentez cela. Ce n’est pas parce que le médecin... Ne vous en prenez pas au médecin. Si le médecin a la toxine qu’il est disposé à donner, mais que le patient reste assis sur le seuil du cabinet puisque trop entêté pour aller prendre cela, ne vous en prenez pas au médecin. Ce n’est pas la faute du médecin, ni celle de la toxine. C’est la faute du patient qui refuse de prendre cela.

68        C’est la même chose dans l’Eglise. Nous avons beaucoup de baume en Galaad, et nous avons ici des médecins. Mais les gens meurent dans le péché, étant sur les bancs sans le Saint-Esprit, parce qu’ils sont trop entêtés pour venir prendre cela; et ils ont peur que cela nuise à leur prestige social; cela va les démolir, cela peut leur coûter un peu leurs parties de cartes et tout; ils ont peur que cela leur porte un petit coup et qu’il puisse se comporter d’une façon incontrôlée. Non, ne condamnez pas le médecin; ne condamnez pas le remède; condamnez tout simplement le patient pour n’avoir pas pris le remède. C’est là que se situe le problème. Nous avons la toxine; nous en avons en abondance.

            Le monde est plein du Saint-Esprit; Il est tout simplement partout. Nous avons des médecins, frère, qui savent administrer le médicament, mais les–les gens ne veulent pas en prendre. «Oh ! disent-ils, je suis presbytérien.» Ça ne veut rien dire de plus que de dire qu’un cochon serait capable de porter une selle de dame dans une étable de cheval de course. Cela n’a rien à voir avec la chose, cela n’a rien à voir avec la chose. L’organisation presbytérienne, l’organisation méthodiste, l’organisation baptiste ou l’organisation pentecôtiste, ou tout le reste ne représente même pas ça aux yeux de Dieu. [Frère Branham claque ses doigts une fois pour illustrer.–N.D.E.] Vous devez naître de nouveau. Ils meurent sur les bancs de l’église, pas parce qu’il n’y a pas de toxine, il y a de la toxine en abondance, mais c’est parce que les gens refusent de prendre cela.

            Eh bien, vous savez quoi? Si vous refusez de prendre le médicament du médecin, c’est dangereux. Vous pourriez mourir, si vous ne prenez pas la toxine du médecin. Vous pourriez mourir, et c’est dangereux de ne pas prendre cela. C’est comme le vaccin de Salk, c’est comme... contre la variole.

69        Quand je vais outre-mer, je–je... Les gens croient... Ils–ils me donnent tant d’injections que j’ai l’air d’un cobaye pour aller aux endroits où ils... les injections–les injections contre la fièvre jaune et–et des injections de toutes sortes de toxines. Ils disent que cela vous préserve de contracter ces choses. Je ne voulais pas recevoir cela, mais vous êtes obligé de recevoir cela de toute façon. Il n’y a donc pas de problème.

            Vous direz: «Frère Branham, croyez-vous dans les médicaments?» Eh bien, certainement, absolument. Ce sont des choses que Dieu a données; nous le croyons. Mais ce n’est pas ce qui vous guérit. Qu’arriverait-il si nous n’avions pas de soins de santé et l’hygiène, qu’aurions-nous? La façon dont les gens se sont accumulés sur terre aujourd’hui et tant de choses. Si les hôpitaux ne sont pas de Dieu, alors détruisez-les; c’est antichrist. Voyez-vous? Certainement, mais c’est de Dieu... Mais ils ne guérissent pas. Ce sont juste des endroits pour vous garder à l’écart et vous apporter de l’aide, pour essayer de vous maintenir propre pendant que vous... Quand vous êtes guéri, c’est Dieu qui vous a guéri.

            Un médecin célèbre dont je tais le nom m’a dit... Il a dit: «Billy, vous êtes venu ici et aussitôt, a-t-il dit, un médecin qui soigne les chevaux doit avoir plus de bon sens que nous.» Il a dit: «Il doit chercher à savoir ce dont souffre le cheval.» Il a dit: «Vous, vous venez et vous dites: ‘De quoi vous souffrez?’»

            Il dit: «Vous, dites-moi ce qui ne va pas.»

            Il dit: «Je suis pressé; je vais vous établir une petite ordonnance.»

            L’autre dit: «Avez-vous remarqué le nom de la personne qui est mentionné dessus? Du pharmacien qui a payé cela.» Il a dit: «Je vais vous taxer dix dollars. Allez et faites remplir cela, il va retourner remplir cela et il vous fera payer trois dollars pour quelque chose qu’il a acheté à vingt cents.» Il dit: «Prenez cela pendant deux ou trois jours, dit-il, si le Seigneur ne vous a pas guéri pendant ce temps-là, revenez à mon cabinet; je vous ferai payer cinq dollars de plus, dit-il, allez et répétez cela.» Voyez-vous, vous y êtes. C’est Dieu qui guérit.

            Maintenant, je ne condamne pas un bon médecin. Et Dieu sait cela. Et je vais dire cette seule chose. Permettez-moi de m’arrêter une minute. J’ai vu plus de médecins qui croient à la guérison divine que des prédicateurs. C’est juste. Et je suis allé d’hôpitaux en hôpitaux.

70        Un médecin célèbre m’a demandé d’aller voir un vieil homme l’autre jour, et c’est un vieux médecin dont–dont je n’ai pas le temps de vous parler; il avait quatre-vingts ans, et était inconscient depuis deux semaines. Frère Goad ici présent connaît le cas. Il se faisait qu’il était membre du même club, le club de tir où j’ai été il y a quelques jours. Et ce vieux médecin était étendu là. Un médecin célèbre, l’un des meilleurs médecins qu’il y a dans le Sud. Il a dit: «Frère Branham, quand vous venez, dites un mot au vieil homme. Il est inconscient. Et pendant que je tenais sa main, il a repris conscience et il a dit: «Bonjour, docteur.»

71        J’ai dit: «Je ne suis pas le docteur, ai-je dit, je suis frère Branham.»

            Il a dit: «Ça doit être que je dormais.»–Oui, depuis environ trois semaines.–J’ai dit: «Je voudrais savoir, docteur, cela fait combien de temps que vous avez pratiqué la médecine?»Il a dit: «Quel âge avez-vous?»

            J’ai dit: «Cinquante-deux ans.»

            Il a dit: «Avant que vous ne fûtes un nourrisson.»

            Et j’ai dit: «J’imagine que plusieurs nuits vous avez longé les rives des ruisseaux avec une torche», c’était un vieux médecin de campagne, «vous avez longé les rives des ruisseaux, essayant de trouver un bébé souffrant d’un mal de ventre ou une mère en travail.»

            Il a dit: «Pas avec une torche, avec une lanterne.»

            Et–et j’ai dit: «Je pense que vous... et puis en contre partie vous ne receviez rien, peut-être une couvée d’oeufs ou quelque chose comme cela.»

            Et il a dit: «Non, je n’attendais rien en retour.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, savez-vous ce que je pense, docteur? Croyez-vous en Dieu?»

            Il a dit: «Je ne serais pas ici si je ne croyais pas en Dieu.»

72        Et j’ai dit: «Savez-vous ce que je pense?» J’ai dit: «De l’autre côté, dans le Pays de gloire, il doit y avoir une petite place de l’autre côté dans un coin pour tous ces bons vieux médecins qui ont aidé tant de fois.» Il s’est mis à pleurer. J’ai dit: «Eh bien, je vous cause de l’émotion.»

            Il a dit: «Non, non, non. Restez juste ici.»

            Le médecin... mon médecin qui se tenait là, un ami à moi, s’est mis à se tordre les mains et à pleurer, se tenant en retrait dans un coin. Au bout d’un moment il a dit: «Je n’ai jamais rien vu de tel de ma vie.» Il a dit: «Que lui avez-vous fait?»

            J’ai dit: «Je n’ai rien fait du tout, sinon poser ma main sur lui.»

            Un vieil homme qui craint Dieu. Il a dit: «Non.» J’ai tenu sa main; j’ai dit: «Je pense que vous avez formé... fait beaucoup d’opérations, docteur?»

            Il a dit: «Je n’ai jamais tenu un bistouri avant de demander à mon Créateur de m’aider et de me guider.»

            J’ai dit: «Vous pourriez avoir quatre-vingt-six ans, mais si je devais subir une opération, je désirerais que ça soit les mêmes mains qui la fassent.» C’est juste. J’ai dit: «Il doit y avoir une petite place là de l’autre côté au Ciel pour vous.»

            Il a dit: «Frère Branham, pensez-vous qu’Il va me laisser entrer?»

            J’ai dit: «Je le pense bien.» Il s’est mis à pleurer et il m’a étreint.

            Et il était là l’autre jour, au champ de tir, là-bas avec ces gros vieux mousquets, disant: «Regardez-moi atteindre cette cible, les garçons.» Il s’est remis à pratiquer, à quatre-vingt-six ans. C’est juste.

73        Oh ! oui, il y a parmi eux de vrais hommes. Et il y a aussi des renégats. Et ne criez pas après eux, car nous avons d’autres renégats qui se disent «révérends». C’est tout à fait juste. Ainsi le chaudron ne peut pas se moquer de la poêle. Non, monsieur. Un homme a trouvé la toxine et–et le vaccin de Salk pour ces petits enfants, et maintenant contre la polio. Je prie chaque jour pour que Dieu nous envoie quelque chose contre le cancer.

            Si nous ne pouvons pas avoir la foi, prenons autre chose. La foi vient en première place. Prenons la chose suivante qui est la meilleure, si nous ne pouvons pas la trouver. Considérez le monde dans la condition où il est; la pauvre humanité qui souffre. Aidez tous ceux que vous pouvez. Tout ce qui aide est de Dieu. Aidons quelqu’un; faisons tout ce que nous pouvons et prions pour les hommes. Ce qu’il faut faire, frères, c’est de nous serrer les coudes, la médecine, les médecins, les hôpitaux, les infirmiers, l’église, et tous ensemble, et de placer notre foi en Dieu et aller de l’avant. C’est ce qu’il nous faut. Un de ces jours, Dieu nous demandera pourquoi nous n’avons pas fait cela.

74        Souvenez-vous, Luc était aussi un médecin. Eh bien, Dieu ne l’a jamais condamné du fait qu’il fût un médecin, mais souvenez-vous, il a écrit les merveilleux récits sur la guérison. C’était surprenant pour lui de voir ce que Dieu pouvait faire. C’est lui qui a écrit ces récits: «Théophile, je t’ai parlé dans mon premier livre, je te l’écris, et ainsi de suite comme cela, de tout ce que Jésus de Nazareth a commencé à faire et à enseigner.» Il savait qui était Jésus.

75        Maintenant, les gens meurent sur les bancs parce qu’ils refusent le remède. Eh bien, c’est une chose grave de refuser cela. Mais combien c’est plus grave de refuser le Baume de Dieu. Qu’est-ce que le Baume de Dieu? Le Saint-Esprit. C’est le remède contre le péché. Vous pourriez refuser la toxine du médecin et aller de l’avant, menant une vie ordinaire pendant une heure, une semaine ou deux... ou... puis mourir et vous en aller. Vous pourriez le faire, vous pourriez écourter vos jours. Mais si vous refusez la toxine de Dieu, vous mourrez éternellement. Vous serez totalement séparé de Dieu et de la miséricorde pour l’éternité. Ainsi ne... jamais.

            «N’y a-t-il point de baume en Galaad? N’y a-t-il point de médecin là? Quel est donc le problème de la fille de mon peuple pour qu’elle ne puisse plus croire dans la guérison divine? Est-ce parce que cela n’est pas enseigné?»–Non. –Eh bien, quel est le problème alors? Quel est le problème au sujet du baptême du Saint-Esprit? A-t-on cessé d’enseigner cela? –Non. On est devenu... «Cela a-t-il rempli... les gens... obtenu cela?»–Oui. Eh bien, y a-t-il du baume en abondance?–Que celui qui veut vienne boire à la Fontaine, à la Fontaine jaillissante du Saint-Esprit qui appelle quiconque veut. Le médecin se tient là pour vous y conduire. Et pourquoi ne venez-vous pas? Alors Dieu demandera: «Pourquoi? Pourquoi ne l’avez-vous pas fait?»

76        «Qu’essayez-vous de faire, Frère Branham?» Secouer les gens afin de faire entrer en eux la foi, de sorte qu’ils puissent prendre conscience. «N’y a-t-il point de baume en Galaad?

            Eh bien, j’aimerais vous demander quelque chose. La raison pour laquelle ils évitent cette question, c’est parce qu’ils ont peur de la nouvelle naissance. C’est ça. «Oh ! nous les Américains, nous avons tellement de la classe, vous savez. Oh ! la la ! Nous en avons tellement. Nous devons, comme on le dit, ‘faire de l’épate’, vous savez.» Tout le monde doit simplement être comme les Jones, mais les gens deviennent... J’espère qu’il n’y a pas des Jones dans la salle; s’il y en a, ce n’est pas d’eux que je parle. Mais c’est juste une expression américaine comme Doe, John Doe, je dirais. Les gens veulent absolument être comme cela. On–on doit vraiment avoir de la classe. Les gens ont peur de la nouvelle naissance. Permettez-moi de vous dire, frère, ils disent: «Oh !...»

77        Une fois j’étais par là en train de prêcher, et un jeune homme d’une certaine église dont j’avais été membre s’est approché; il a dit: «Billy, vous savez quoi? J’appréciais beaucoup votre message jusqu’au moment où cette femme s’est levée là derrière et a commencé à crier et à hurler, et alors elle a entraîné tout le monde dans les cris.»–Oh ! ai-je-dit, cela vous a énervé? Il a dit: «Oh ! je n’arrivais plus à entendre ce que vous disiez.» Et il a dit: «Cela... C’était bien jusqu’à ce moment-là.»

            J’ai dit: «Oh ! elle était juste en train de se réjouir.»

            Il a dit: «Oh ! cela m’a simplement donné des frissons dans le dos.»

            Et j’ai dit: «Frère, si jamais vous arrivez au Ciel, vous allez geler à mort; permettez-moi de vous le dire.» J’ai dit: «Car même les Anges au Ciel avec leurs ailes leur couvrant la face et les pieds crient jour et nuit: ‘Saint, saint, saint est l’Eternel. Saint, saint, saint est l’Eternel.’» J’ai dit: «Vous vivez dans le monde le plus calme où vous ayez jamais vécu. Si vous allez en enfer, il y aura des pleurs, des lamentations et des grincements de dents. Si vous allez au Ciel, il y aura: ‘Gloire, saint, saint, saint est l’Eternel’, jour et nuit. Ceci c’est l’endroit le plus calme où vous ayez jamais vécu.»

            Il se faisait qu’il jouait dans l’équipe de baseball de Colgate. Et il a dit: «Eh bien, je ne... Cela ne se fait pas dans mon église.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, c’est... Mais j’espère que vous ne pensez pas que la vôtre soit le modèle.»

            Et alors il a dit: «Eh bien...» J’ai dit... Il a dit: «Bien, cela ne me semble pas très chrétien de dire une chose quand un ministre est en train de prêcher.»

            J’ai dit: «Vous savez quoi? Cela m’encourage. Quand les gens disent ‘amen’, ça veut dire ‘qu’il en soit ainsi.’» J’ai dit: «J’avais un vieux chien.» Et j’ai dit: «Il attrapait tout, sauf une mouffette.» Et j’ai dit: «Je–je la forçais à se réfugier sous les tas de broussailles et la seule chose que j’avais à faire c’était de l’envoyer attraper cette mouffette; moi-même je n’en avais pas besoin, alors...» Et je... C’est par ce moyen-là que j’achetais mes habits pour l’école, c’était–c’était en tendant des pièges et en faisant la chasse. Et j’amenais cette mouffette à se réfugier sous les tas de broussailles, et le vieux Fritz se tenait là. La seule chose que j’avais à faire pour l’amener à aller là, c’était de soulever le tas, et il revenait, il me regardait comme cela, comme pour dire: «Maître, tu ne vas pas m’envoyer courir là en dessous, n’est-ce pas?» Je disais: «Va le prendre, mon gars. Attaque-le, attaque-le, attaque-le, mon garçon. Va l’attraper.» Et il allait l’attraper. J’ai dit: «Le diable est la plus grosse mouffette que je connaisse. Quand j’entends les gens dire: ‘C’est juste, amen’, alors nous l’avons forcé à se réfugier dans un arbre, frère; nous allons l’avoir très bientôt. Laissez-le tout simplement.» Oui, oui, c’est juste. Nous avons... Amen.

78        J’ai dit: «Ecoutez, je vous ai entendu l’autre soir, lorsque Charles Nolan a réussi ce coup de circuit», je n’habite pas très loin du parc. J’ai dit: «Je ne suis pas à plus de cinq pâtés de maisons.» J’ai dit: «Je n’ai jamais entendu un tel bruit de toute ma vie.»

            Il a dit: «Oh ! Billy, tu aurais dû être là.» Il a dit: «Il y avait trois hommes dans la base. Et tu connais Charles? Vous avez étudié avec lui.»

            J’ai dit: «Certainement.»

            Il a dit: «Il a réussi un coup de circuit.» Et il a dit: «Mon ami, je t’assure, tu aurais dû les voir s’élancer.»

79        J’ai dit: «Vous, espèce d’impies exaltés là-bas ! Je n’ai même pas pu dormir à cause de vous. Impies exaltés.» J’ai dit: «Si nous, nous sommes des saints exaltés, alors vous, vous êtes des impies exaltés. Voyez-vous?» J’ai dit que... J’ai dit: «Vous seriez un misérable...?... s’il était resté là et avait dit: ‘Oh ! oui, voyez-vous, c’est un coup de circuit.’» J’ai dit: «Vous dites que vous n’étiez pas très enthousiasmés. Vous vous enfoncez les uns les autres les chapeaux de paille sur la tête, et vous vous donnez des claques et vous vous serrez la main et tout comme cela.» J’ai dit: «Quand le prédicateur monte à la chaire et qu’il réussit un coup de circuit comme cela, et que vous voyez ces saints ouvrir la voie, et qu’ils voient le Ciel devant eux, ils crient: ‘Gloire, gloire; je vois cela; je vois cela. Alléluia, alléluia.’» J’ai dit: «Ils se mettent tout simplement en marche sur la grande route du Roi; c’est tout.»

            Voilà. Voyez-vous? Oui. Oh ! oui, ils–ils... C’est étrange que les gens manquent cela, mais je pense qu’il doit tout simplement en être ainsi. C’est tout à fait déterminé par Dieu, et je pense qu’Il... C’est censé être ainsi.

80        Eh bien, comment un médecin arrive-t-il à trouver le genre de médicament à utiliser sur une personne? Oui, les gens ont peur de la nouvelle naissance. Vous savez quoi? La raison pour laquelle ils ont peur de la nouvelle naissance... parce que... Ecoutez, excusez-moi, mes soeurs, s’il vous plaît. Je suis–je–je... Ceci c’est un auditoire mixte, mais vous écoutez votre médecin; je–je suis votre frère. Toute naissance est un gâchis, peu importe où elle a lieu. Que ce soit dans une porcherie, dans une grange, ou que ce soit dans une chambre d’hôpital tapissée en rose, c’est un gâchis. Et la nouvelle naissance aussi. Elle va vous faire crier, hurler, et vous faire ôter toute la peinture que vous avez sur le visage. Elle–elle vous fera faire des choses que vous ne vous imaginiez pas que vous feriez. Vous ferez des histoires que vous n’avez jamais pensé que vous feriez. C’est un gâchis.

            Mais, vous savez, avant que vous ne puissiez naître, vous devez mourir, et certaines personnes meurent dans des conditions très pénibles. Ils donnent des coups de pieds, crient, hurlent et font tout un tas d’histoires. «Mais à moins que le grain de blé ne tombe en terre et ne meure, il demeure seul.» Si vous voulez porter du fruit, mourez à vous-même et à votre propre théologie faite de mains d’homme, et naissez de nouveau de l’Esprit et de la résurrection. C’est juste. Débarrassez-vous de ce vieil esprit d’égoïsme et d’aigreur que vous avez. Revêtez-vous de la nouvelle Vie. C’est un gâchis.

81        A moins que le grain de blé ne tombe en terre et ne pourrisse, à moins qu’un homme ne pourrisse à sa propre théologie, à moins que vous pourrissiez à votre théologie méthodiste, à moins que vous pourrissiez à votre théologie baptiste, à moins que vous pourrissiez à votre théologie pentecôtiste... Jusqu’à ce que vous pourrissiez à ces choses et que vous vous abandonniez entre les mains de Dieu, alors le vieil homme mourra, et le nouvel homme naîtra, Jésus-Christ. Nous ressusciterons, gloire, dans la puissance et la résurrection de–de Christ, et la Vie qui était en Christ sera en vous, et: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Est-ce cela le problème? Oui. C’est là que se situe le problème.

82        Comment obtiennent-ils le médicament? Savez-vous comment ils obtiennent le médicament? Ils prennent un cobaye, et ils préparent une sorte d’histoire, un médicament, et ils estiment que cela devrait produire un certain effet, et ils injectent cela à un cobaye. Et si celui-ci survit à cela, ils vont vous administrer cela. Vous savez, tout le monde n’est pas fait comme le cobaye. Vous savez, parfois le médicament vous tue. La pénicilline a tué autant de gens qu’elle en a guéris ou aidés. Vous savez donc, tout le monde n’est pas constitué de la même manière. Cela aidera donc les uns et tuera les autres, car tous les hommes ne sont pas constitués comme le cobaye. Mais, vous savez, cela aidera les uns et tuera les autres, mais une chose est certaine, la toxine de Dieu ne fera du mal à personne, mais elle guérira tout le monde. C’est juste. Car Il a dit: «Quiconque veut...» Cela ne vous tuera pas; cela vous guérira. Oh ! cela guérira ceux qui ont le coeur brisé, cela relèvera les mains faibles et leur apportera la joie.

            Prenez la petite lavandière qui est si timide qu’elle ne peut même pas parler à l’agent d’assurance qui se présente à la porte, et qu’elle soit remplie du Saint-Esprit, elle peut donner un témoignage qui va faire tomber les bardeaux du haut de la maison. Elle a quelque chose. Quelque chose lui est arrivé. Elle est née de l’Esprit de Dieu.

            Prenez la prostituée la plus vile qui ait jamais marché dans la rue par ici et que même les chiens ne regarderaient pas. C’est juste. Qu’elle vienne et qu’elle soit lavée par Dieu, elle sera un honneur pour n’importe quel voisin. C’est juste. C’est ce que fait la grâce de Dieu. Elle ne blanchit pas à la chaux, mais elle nettoie et rend tout blanc. C’est juste. Cela la rend vertueuse...

83        Je crois dans une religion à l’ancienne mode, du fond de bois, au ciel bleu, qui tue le péché, absolument, qui tue le péché et le moi, et qui fait que vous naissiez de nouveau de l’Esprit de Dieu et que vous viviez pour Lui. C’est le genre de religion qui vous sauve, frère.

            Parfois, quand je retourne dans l’Etat du Kentucky... Vous savez quoi? Ces baptistes là-bas, dans l’Etat du Kentucky, feraient rougir de honte certains d’entre nous les pentecôtistes. Ils ont dit: «Frère Branham, vous avez dit que vous étiez un baptiste?» Oui, j’étais toutefois un vrai baptiste. Nous ne nous avancions pas pour prendre la main d’association. Frère, nous nous mettions à genoux à l’autel et nous nous donnions des tapes dans le dos jusqu’à ce que nous y arrivions. Et nous nous relevions de là après avoir reçu quelque chose.

84        L’autre jour en Californie j’étais dans une grande église, l’une de nos grandes églises pentecôtistes, et nous avons lancé un appel à l’autel, et trois ou quatre personnes sont venues à l’autel. Et pendant cinq minutes j’ai supplié pour que quelqu’un vienne prier avec ces pécheurs. J’étais tellement fatigué et épuisé que je pouvais à peine me tenir debout à force d’avoir prêché, et j’ai dit: «Quelqu’un veut-il bien venir prier?» Les gens sont restés assis là tout aussi empesés: une église pentecôtiste... Eh bien, ces baptistes-là les feraient rougir de honte.

            Je prêchais là, le jour de la fête de la déclaration de l’indépendance, tout là-bas dans la vallée, de vieux chevaux mangeaient du maïs tout autour, on prenait le dîner sur place, on pratiquait le lavage des pieds, vous savez, et on se tenait là à prêcher, et on continuait à prêcher, disant: «Nous ressusciterons, alléluia, nous ressusciterons le matin de la résurrection.» J’ai dit: «Ma vieille grand-mère repose là. Je l’ai tenue dans mes bras, elle avait cent dix ans quand elle a passé ses bras autour de mon cou, et a dit: ‘Que Dieu bénisse ta petite âme pour toujours, mon chéri’ (en mourant), je te rencontrerai au Ciel.’» A ce moment-là, ma vieille tante se tenait là derrière, avec ses très longs bonnets, elle a dit: «Alléluia.» Elle est venue là, comme cela.

85        Un garçon pêcheur se tenait là avec un vieux et grand chapeau en écorce d’arbre dans sa main comme cela, il a dit: «Ô Dieu, aie pitié de mon âme.» Et le voilà venir à l’autel. Avant qu’il n’arrive là, environ vingt de ces vieilles mamans étaient tout autour de lui. Eh bien, il fut sauvé avant même d’arriver à l’autel, frère. Vous voulez savoir à quelle heure nous avons pris le dîner? Vers seize heures et demie de cet après-midi-là. Frère, ils sont restés jusqu’à ce qu’ils y arrivent. Oh ! autrefois on parlait des vieux baptistes froids et formalistes, maintenant on parle des vieux pentecôtistes froids et formalistes. C’est juste; c’est tout à fait juste.

            Oui, on donne aux petits cobayes la noxine–toxine, on la lui administre. S’il résiste, alors on vous administre cela. Si ça ne marche pas... Mais vous savez, quand Dieu fut prêt pour essayer Sa toxine, Il ne l’a pas administrée à un cobaye, Il se l’est administrée à Lui-même. Amen, c’est juste. Dieu devint chair et habita parmi nous afin d’essayer la toxine sur Lui-même.

            Un véritable et bon médecin essayera cela sur lui-même avant de l’administrer à ses patients. C’est juste. Et Dieu, c’est la raison pour laquelle Il a dû devenir chair. Jéhovah était un Esprit, Dieu est un... Dieu le Père est un Esprit, Dieu le Fils est un Homme dans lequel l’Esprit de Dieu a habité. Nous savons tous cela. Ainsi donc quand... Dieu est descendu et Il est devenu chair afin qu’Il puisse prendre la toxine. Ainsi sur les rives du Jourdain, Il a reçu Lui-même l’injection, la chose la plus glorieuse qui soit jamais arrivée: quand la terre et le ciel se sont embrassés, quand l’Agneau et la Colombe se sont unis. La colombe, le plus doux des oiseaux du ciel. Dieu, Jéhovah, s’est reconnu–recom-... s’est représenté par le plus doux des oiseaux du ciel, la colombe. Dieu, le Fils qui était Jésus-Christ, s’est représenté par l’animal le plus doux.

86        L’agneau et la colombe ont la même nature. Que serait-il arrivé si cette colombe était descendue sur un loup et que celui-ci ait dit: «Les jours des miracles sont passés»? La colombe se serait aussitôt envolée et se serait éloignée de lui. Certainement. Tout d’abord le loup grognerait... Vous savez, il piquerait une de ces crises de colère, vous savez, comme ils le font et dirait: «Je vous le dirai sans tarder; tu n’es pas des miens.» Oh ! Oh ! la colombe ne demeure pas là. La colombe est douce; l’agneau est conduit. L’agneau n’a qu’une seule chose à offrir: c’est la laine.

            J’ai entendu quelqu’un me dire... il a dit... Une femme a dit: «C’est mon privilège en tant qu’Américaine si je désire fumer la cigarette.»

            J’ai dit: «C’est tout à fait juste.»

            Elle a dit: «On vend cela.»

87        J’ai dit: «C’est tout à fait juste. Mais si vous êtes un agneau, vous renoncerez à vos droits. Si par contre vous êtes un bouc, vous ne voudrez pas le faire. D’une façon ou d’une autre vous faites juste ce que vous voulez. Voyez-vous?» C’est votre droit, mais vous renoncerez à cela à cause du Royaume de Dieu. C’est juste. Renoncez à tous vos droits. A cause du Royaume de Dieu, abandonnez-les. Certainement.

            Bon, nous voyons que Dieu a pris Lui-même cette noxine, la toxine. Il fut inoculé. On L’a observé tout au long de Sa Vie. Quand on Lui a craché au visage, Il n’a rien dit. Quand on Lui a mis un vieux bandeau sale à la tête et qu’on L’a frappé sur la tête en disant: «Eh bien, si Tu es Prophète, dis-nous qui T’a frappé et nous allons...» Il n’a point ouvert la bouche. On Lui a arraché la barbe du visage par poignées au point qu’Il saignait. Ils ont mis une couronne d’épines sur Son visage. Il a dit: «Je pourrais parler à Mon Père, et Il M’enverrait vingt légions d’Anges, mais Mon Royaume n’est pas de ce monde.» Voyez-vous, la toxine tint bon au moment de la tentation.

            Ils L’ont attaché à la croix et L’ont laissé là éprouver une grande soif et mourir, Il a saigné jusqu’à ce que Son corps humain soit desséché; la toxine a tenu bon. «Il n’a pas répliqué quand on L’importunait.» C’est le genre de toxine dont il est question.

88        Tout le monde là, le monde observait cela, les disciples observaient cela. Puis ils L’ont vu quand Il est arrivé finalement à la dernière heure, s’attendant à ce qu’Il dise: «Oh ! J’avais tort, J’avais tort. Faites-Moi descendre; Je vais adhérer à vos églises; Je vais croire à votre théologie.» Il a dit: «Je remets Mon Esprit entre Tes mains. Père, tout est accompli.» Amen. Ô Dieu, la toxine a tenu bon, frères, la toxine a tenu bon.

            Alors, ils L’ont entendu. Certains ont dit: «Cet imposteur a dit qu’Il ressusciterait le troisième jour. Veillons-y.» Ils ont donc pris cent hommes, ils ont roulé une grosse pierre à l’entrée et ils y ont mis le sceau de César. N’osez pas le briser. Que va-t-il arriver? Où est la toxine à présent? Gloire à Dieu, le matin de Pâques, elle prouva où elle était. Amen. Elle a brisé le sceau de César; elle a brisé le sceau de la mort, elle a brisé le sceau de la tombe, elle a brisé le sceau du séjour de mort. Elle est ressuscitée (Alléluia.) et a triomphé de la mort, du séjour des morts et de la tombe. La toxine de Dieu a tenu bon.

89        Il y eut cent vingt personnes qui dirent: «Moi aussi, je veux être inoculé.» Je veux avoir ce genre d’inoculation, ne voulez-vous pas de cela? Jésus a dit: «La même inoculation que J’ai, vous l’aurez aussi. Elle aura sur vous le même effet que sur moi. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, si seulement vous êtes inoculés de la même toxine que J’ai reçue.»

            Eh bien, si... Vous direz: «C’est faux.»

            Oh ! attendez, ça ne l’est pas non plus. Deux jeunes vinrent auprès de Lui, et leur mère dit: «Seigneur, permets que mes deux fils soient assis l’un à Ta droite et l’autre à Ta gauche.»

            Il a dit: «Pouvez-vous boire la coupe que Je bois? Pouvez-vous être baptisés du baptême dont Je suis baptisé?» Ils ont dit: «Oui.»

            En d’autres termes: «Pouvez-vous être inoculés de la même inoculation dont Je suis inoculé?»

            Ils ont dit: «Oui.»

            Il a dit: «Vous le serez, mais pour ce qui est d’être à Ma droite et à Ma gauche, cela ne dépend pas de Moi. C’est le Père qui accorde cela.» Mais Il a dit: «Vous serez inoculés (en d’autres termes), vous recevrez la même inoculation que J’ai reçue.»

90        Maintenant, n’aimeriez-vous pas avoir cette inoculation? Ne serait-ce pas merveilleux de savoir que dans notre vie vous pouvez mener cette Vie-là? Et dans votre vie ces miracles vous accompagneront. A l’heure de la mort vous pourrez dire: «Père, tout est accompli, je remets mon esprit entre Tes mains.» Oh ! la la ! Alors le matin de la résurrection, gloire à Dieu, ils peuvent vous taper sur le visage avec la bêche, mais au matin de la résurrection, vous ressusciterez...?... Ils ont vu que cela a tenu bon à l’heure de la mort. Cela a tenu bon dans la tentation; cela a tenu bon sur le lit de malade; cela a tenu bon dans la tombe; cela a tenu bon dans le séjour des morts; cela a tenu bon à la Pâques.

91        Et il y a eu cent vingt qui voulurent de cette inoculation. Ils montèrent donc dans la chambre haute pour attendre leur inoculation. Amen. Jésus a dit: «J’enverrai un sérum aussitôt que vous serez montés là-haut pour attendre.»

            Oh ! maintenant je commence à me sentir très religieux; très sincèrement. Gloire ! Vous allez de toute façon me traiter de saint exalté; vous feriez mieux de commencer. Vous pensez que les baptistes ne crient pas? En voici un qui crie, et je crois cela. Amen. Oui, frère. Alléluia ! Ils sont montés dans cette chambre haute et ont attendu l’arrivée de l’inoculation. Tout à coup le sérum est venu du Ciel.

92        «N’y a-t-il point de baume en Galaad? N’y a-t-il point de médecin là-bas?» Voilà descendre l’inoculation, l’équipement médical pour la guérison. «Car Il fut blessé pour nos péchés; Il fut brisé à cause de nos iniquités. Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui; c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» Alléluia. Les symptômes et...?... la mort au calvaire a envoyé à l’Eglise l’inoculation pour la commission: «Allez par tout le monde, prêchez la Bonne Nouvelle. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront été inoculés.»

            Il vint du Ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux qui inocula cent vingt personnes. Comment se sont-ils comportés? Tout simplement comme un chat qui a été marqué et qui se frotte comme ceci, titubant sous l’impact de cette inoculation. Frère, ils étaient tellement ivres de l’Esprit que les gens ont pensé qu’ils étaient fous. Ils ont dit: «Ces hommes sont pleins de vin doux.»

            Pierre a dit: «Plein de vin doux !» Il s’est levé et il s’est mis à leur prêcher.

93        Eh bien, bien vite, ils ont dit: «Nous aimerions avoir de cette inoculation.» Ils ont vu quelque chose de réel. Les membres d’églises au coeur affamé ont vu quelque chose de réel, quelque chose que ces gens avaient réellement et qui faisait qu’ils se comportent comme cela. Ils ont remarqué que ces gens avaient quelque chose, parce qu’ils semblaient être ivres, et pourtant ils étaient religieux, et les miracles les accompagnaient. Ils ont dit: «Eh bien, alors, avez-vous un médecin ici? Y a-t-il un médecin ici?»

            Il a dit: «Nous en avons un ici, le docteur Simon Pierre. Venez, docteur Simon Pierre, donnez-leur l’ordonnance.»

            Ils ont dit: «Que pouvons-nous faire pour être sauvés? Que pouvons-nous faire pour recevoir l’inoculation?»

            Eh bien, Pierre a dit: «Eh bien, vous devez prendre le kasher. Vous devez donner la main d’association. Vous devez d’abord être mis à l’épreuve pendant six mois pour voir si cela marche réellement ou pas.» Oh ! miséricorde ! Ça, c’est une théorie humaine.

            Pierre a dit: «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le Saint-Esprit.» Amen. Tout cela...?... dit: «Je vous donne une ordonnance éternelle.» Le docteur Pierre leur a donné une...

94        Le docteur Simon Pierre, le jour de la Pentecôte, il nous a donné une ordonnance éternelle, il ne s’agit pas de joindre les mains, de serrer la main, ni de faire l’aspersion. Il a dit: «Repentez-vous.» Pas le fait d’entrer dans l’église, mais il a dit: «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants (cette ordonnance); que celui qui veut vienne.» C’est cela.

            «N’y a-t-il point de baume en Galaad?» Si. «N’y a-t-il point de médecin là?» Certainement. C’est juste. «Pourquoi alors Mon peuple est-il si maladif?» Alléluia ! Savez-vous quel est le problème? Quand vous trouvez un vrai médecin qui établit une ordonnance, et que vous amenez cette ordonnance chez un pharmacien charlatan, et ce dernier se met à ajouter à l’ordonnance quelque chose d’autre, il tuera le patient. C’est tout à fait juste.

95        C’est cela le problème. Nous avons trop de séminaires qui produisent des charlatans qui ont essayé de fabriquer quelque chose d’autre. «Adhérez à l’église; votre mère est membre ici. Faites inscrire votre nom dans le registre.» Frère, ne tripotez pas cette ordonnance; donnez-la telle que le médecin l’a établie. Alléluia. Et il y aura les mêmes résultats si vous suivez l’ordonnance. Ne vous en écartez pas.

            Eh bien, souvenez-vous, l’ordonnance contient tant de poison, et puis elle contient assez d’antidote pour neutraliser ce poison, et ce poison... Il fait le diagnostic de votre cas, et ensuite il vous donne assez de poison pour tuer le germe, assez d’antidote pour neutraliser le poison afin que cela ne vous tue pas. Et si vous ne mettez que l’antidote, cela ne vous aidera pas. Si vous ne mettez que le poison, cela vous tuera. Il faut que ce soit une ordonnance équilibrée. Et Dieu, le Médecin, savait la donner à Simon Pierre qui l’a établie, et ce dernier a dit: «Cette ordonnance est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.»

96        Eh bien, vous dites que les pentecôtistes n’ont pas raison. Quel est le problème? A quel genre de pharmacie allez-vous? C’est là le problème. Nous organisons des parties de carte dans l’église, des jeux d’arnaque pour payer le pasteur, on vend de vieux coqs qui se tiennent sur les toits de maisons, on les fait bouillir, on les vend à un dollar cinquante cents le plat pour payer le pasteur, et lui se tient là à parler des fleurs et tout, et il ne prêche jamais le baptême du Saint-Esprit. Quel est le problème, mon gars? C’est la raison pour laquelle nous avons des maladies; c’est la raison pour laquelle nous avons des gens qui ne croient pas dans la guérison divine. C’est parce qu’ils n’ont pas la bonne ordonnance. Amen.

97        Quand vous recevrez le baptême du Saint-Esprit, vous croirez dans la puissance de Dieu; vous croirez à chaque Parole que Dieu prononce; vous ponctuerez d’un amen tout ce qu’Il vous dit. Et ces gens-là ne se sont pas tenus là à dire: «Eh bien, Simon, je suppose, je pense que c’est en ordre.» Frère, quand ils ont reçu Cela, quand ils furent remplis du Saint-Esprit et qu’ils se mirent à tituber...?...

            Et tenez, vous les catholiques, la sainte vierge Marie se trouvait bien là. Et si Dieu ne lui a pas permis d’aller au Ciel sans cela, si elle a pris cette même ordonnance, comment allez-vous parvenir là-bas avec quelque chose de moins? Certains d’entre vous, pentecôtistes froids et empesés, vous baptistes froids et empesés, vous méthodistes froids et empesés, comment allez-vous parvenir là-bas avec quelque chose de moins alors que même la mère de Jésus-Christ a dû monter là-haut et obtenir la même Chose, tituber et se comporter comme si elle était ivre? Si ce n’est pas la Bible, je demande à n’importe quel professeur de venir me prouver le contraire. Dans la Bible chaque fois que les gens ont reçu le Saint-Esprit, ils se sont comportés exactement tel que les autres l’avaient fait là. L’ordonnance aura chaque fois les mêmes effets. Amen.

            Quelle heure est-il? Oh ! je pensais qu’il était 19 heures. Oh ! frère, écoutez, frère, écoutez, soeur, ce dont le monde a besoin aujourd’hui, c’est de voir quelque chose de réel. C’est ce que les gens cherchent, voir quelque chose de réel; je veux dire les gens réellement nés de nouveau.

98        Maintenant, ceux qui ont été prédestinés à la Vie Eternelle verront cela: «Mes brebis entendent Ma voix.» Tout à fait, c’est juste.

            Vous direz: «Eh bien, oui, nous sommes des presbytériens, maintenant...» ou bien «Nous sommes des baptistes, nous...» Peu importe ce que vous êtes, quand vous entendez la vraie Voix de Dieu, et que la vraie Voix de Dieu a amené ces gens autrefois à se comporter comme cela, et à agir comme cela, et avoir un tel ministère, la même puissance de Dieu fera la même chose aujourd’hui, si vous l’avez. C’est juste. Si vous l’avez reçue, elle agira sur vous comme elle le fit sur eux. Certainement. Pierre a dit: «Cette ordonnance est pour toutes les générations.» Ainsi vous qui fabriquez un tas de dogmes de conception humaine et qui appelez cela la doctrine, qui appelez cela des credos, des credos d’églises, des credos presbytériens, méthodistes, baptistes et même pentecôtistes... Quel est votre problème? Acceptez l’ordonnance de Dieu.

99        C’est pour cette raison que les enfants sont malades, on ne leur a pas encore établi l’ordonnance. Dieu a du Baume en abondance maintenant, ne vous en faites pas à ce sujet. Obéissez tout simplement à l’ordonnance et voyez ce qui arrive. Repentez-vous et voyez si le Saint-Esprit ne viendra pas. Faites ce que Dieu a dit de faire et voyez si le Saint-Esprit ne viendra pas. Voyez si Cela aura le même effet qu’autrefois.

            Quel est le problème aujourd’hui, mon ami? Nous devons réellement avoir cela. C’est ce que Dieu a dit: Quelque chose de réel. Alors que je parle de ce qui est réel, permettez-moi de terminer. Voulez-vous bien m’accorder encore cinq minutes?

100      J’aime faire la chasse. J’aime vraiment faire la chasse, juste pour pouvoir contempler le coucher du soleil et me retrouver dans les bois. Comme vous le savez tous, ma mère est une métisse. La mère de ma mère venait des réserves indiennes, et elle a bénéficié d’une pension. Voyez-vous? Ainsi nous... Ma conversion n’a jamais ôté de moi l’amour des bois. Les Hommes d’Affaires Chrétiens, les Hommes d’Affaires Chrétiens du Plein Evangile, ils m’amènent à la rivière du Non Retour, partout dans le monde. Je fais la chasse en Afrique, en Asie, dans les montagnes.

            Bud Branham, de Rainy Path Lodge, à Anchorage, c’est mon cousin. Voyez-vous? Et seize avions vont chercher le grizzly, les moutons et autres. Vous les frères chasseurs et tout, si jamais vous allez là-bas, je vais lui écrire pour vous permettre d’y avoir l’accès à moindre frais. Voyez-vous? Ainsi et... Et–et je peux monter là et tenir des réunions. Et ils me font entrer là sans rien payer, car je n’ai pas l’argent. Ainsi... Et c’est ainsi que... La raison pour laquelle je ne suis pas tenu d’avoir d’argent est que si le Seigneur désire m’envoyer en Afrique, Il dira: «Frère Branham...» Quelqu’un viendra et dira: «Le Seigneur m’a dit de vous remettre ceci.» Je dis: «Merci Seigneur.» Je le savais. Voyez-vous, et j’y vais.

101      Voyez-vous, je n’ai pas besoin de mendier quoi que ce soit; quand le Seigneur ne veut pas que j’aille, alors Il me garde ici. Voyez-vous? Juste... C’est comme ça qu’il faut vivre. J’aime vivre comme cela. Juste ce qu’Il dit, c’est en ordre. Je n’ai rien, je ne veux rien. Tout ce dont j’ai besoin, c’est Sa grâce.

            J’avais l’habitude de chasser dans la forêt du Nord. J’avais là-bas un partenaire de chasse et vous... Vous tous les frères qui faites la chasse, vous savez ce que c’est qu’un bon partenaire de chasse. Vous vous connaissez. Il était l’un des meilleurs chasseurs et des meilleurs tireurs que j’ai jamais vus. Vous ne deviez jamais vous inquiéter à son sujet. Parfois vous devez amener un «cheechako» dans les bois, et vous avez... «Cheechako» signifie un «novice». C’est un terme indien. Mais quand vous l’amenez dans les bois, vous devez tout simplement garder l’oeil sur lui, sinon il va se perdre. Mais on n’avait point à s’inquiéter au sujet de Burt. Il savait où il se trouvait, et lui-même était mi-Indien.

            C’était donc un brave homme, mais l’homme le plus méchant que j’aie jamais vu de ma vie. Il était [Espace non enregistré sur la bande–N.D.E.]... le type le plus cruel. Il avait l’habitude de tirer sur les faons juste pour m’indisposer. Eh bien, je ne pense pas que ce soit mal d’abattre un faon. Si l’administration de la conservation de la nature vous autorise à abattre un faon, c’est en ordre. Abraham a tué un veau et il l’a donné à manger à Dieu. Ainsi pour ce qui est du faon, c’est en ordre, mais pas juste pour se montrer méchant. Il–il ne s’agit pas de ce que vous faites; il s’agit de la manière dont vous faites la chose. Ainsi, parfois le problème ce n’est pas ce que vous dites; c’est la manière dont vous le dites.

102      Et ainsi donc ce–ce petit faon... Il voyait ces petits faons, et il savait que j’étais un ministre, vous savez, il abattait tout simplement ces petits, huit à dix d’entre eux par an, juste pour m’indisposer. Et je disais: «Burt, tu es un des amis les plus aimables et j’aime chasser avec toi, parce que tu es un brave gars; mais tu es si méchant.»

            Il disait: «Vous me traitez de méchant.»

            Je disais: «Tu es plus que ça. Tu es cruel.»

            Et il disait: «Oh ! prédicateur, ressaisis-toi, disait-il, tu es une poule mouillée comme les autres prédicateurs.» Je disais: «Je ne suis pas une poule mouillée.» Mais je disais: «Mon gars, ils... je suis un chasseur.» Et je disais: «Je–je ne... Je ne suis pas un assassin; je suis un chasseur.»

            Il disait: «Oh ! ressaisis-toi, Billy.»

            Une année, alors qu’on était là-haut, il a dit... Je suis monté là et je suis arrivé un peu tard, la saison s’était ouverte depuis quelques semaines. Et oh ! si quelqu’un a déjà chassé dans les bois du Nord ces cerfs à queue blanche, oh ! frère, vous parlez d’Houdini comme un maître en évasion, ils... et... Il est–il est un amateur à côté d’eux quand on leur a tiré dessus quelques fois. Et ils [Frère Branham claque les doigts pour illustrer.–N.D.E.] tout simplement–tout simplement comme cela. Et des fois, vous ne pouvez pas voir à plus de vingt pieds [6 m] devant vous dans ces bois-là, dans le Maine où vous... Vous–vous feriez mieux de savoir où vous vous trouvez, sinon vous ne reviendrez plus jamais. Ça fait une étendue plane sur de centaines de kilomètres, et vous tombez dans les marécages à une profondeur de dix fois votre taille. Et–et c’est tout simplement une chasse dangereuse. Si vous n’êtes pas réellement un homme des bois, n’y entrez pas sans être en compagnie de quelqu’un.

103      Nous étions donc là en train de chasser et nous... Et avant que nous n’allions... Mon épouse était avec moi, et elle est restée à la loge au camp, et il y avait environ vingt femmes là-bas. Ainsi Burt et moi, nous allions de l’autre côté de la montagne, et nous savions où nous nous trouvions et nous chassions. Et il a dit: «J’ai quelque chose, Billy.»

            J’ai dit: «C’est quoi, Burt?»

            Il a plongé la main dans sa poche et il avait un petit sifflet. Il pouvait souffler dedans et cela résonnait comme le cri d’un petit faon (c’est le petit du cerf, vous savez), criant pour sa maman. Et oh ! j’ai dit: «Burt, ne sois pas cruel à ce point ! Tu devrais... Oserais-tu appeler une biche avec ce cri de faon?»

            Il a dit: «Oh ! ressaisis-toi.» Je ne pensais pas vraiment qu’il ferait une telle chose, sincèrement.

104      Nous avons chassé. Il y avait environ six pouces [15 cm] de neige sur le sol, et c’est un bon temps pour la chasse, pour suivre les traces. Nous avons chassé jusqu’à midi, nous n’avons rien trouvé, pas même une trace. Ils étaient... Ces cerfs se nourrissent la nuit, et puis pendant la journée ils retournent sous les broussailles et tout; vous ne pouvez pas les amener à sortir de là. Et ainsi, ils ne se déplacent pas jusqu’à ce qu’il fasse de nouveau nuit, à moins que vous ne marchiez sur l’un d’eux par hasard, alors vous l’en ferez sortir. Ainsi donc nous avons chassé jusque vers 11 heures, 11 h 30.

            Et nous apportions toujours une–une thermos remplie de chocolat chaud et peut-être un sandwich. Et nous montions aussi haut que possible, alors à midi nous mangions, et ensuite, nous nous séparions, et il allait dans une direction et moi dans l’autre. Et nous revenions au...?... camp pour la nuit. Nous rentrions peut-être à vingt-deux ou vingt-trois heures. Ainsi donc... Il...

105      On est arrivé à une petite clairière ayant à peu près la superficie de cette salle. Et il... il était plutôt devant moi; alors il s’est un peu accroupi comme ceci. S’accroupir, je pense que le terme passe ici, n’est-ce pas? Il y a assez de gens du Kentucky ici, qui comprennent ce que je veux dire quand je dis s’accroupir. Il s’est en quelque sorte baissé, plutôt. Et il a plongé la main dans sa poche comme ceci, et il allait prendre le... allait prendre son... Je pensais qu’il faisait sortir son sandwich. Et alors, il a fait sortir ce petit sifflet. Et je l’ai regardé, j’ai dit: «Oh ! honte à toi, Burt.»

106      Il a soufflé dedans, et cela a résonné très exactement comme un petit bébé qui crie pour sa maman. Et quand il a fait cela, j’ai regardé de l’autre côté de cet endroit, et une très grosse biche s’est redressée. Et Burt avait des yeux semblables à ceux d’un lézard. Et il m’a regardé avec ces yeux de lézard comme cela, et j’ai dit: «Oh ! tu ne vas pas faire ça, Burt.» J’ai dit: «Elle... C’est une mère, frère.» J’ai dit: «C’est une mère. Elle pense tout simplement que c’est son bébé.»

            Il a dit: «Oh ! ressaisis-toi, prédicateur.» Il est resté là comme ceci avec son fusil.

            Je me suis dit: «Oh ! la la !»

            Et il a encore fait retentir cela. Je pouvais voir ces très grands yeux et ces grandes oreilles dressées comme cela, la biche, la maman cerf. Elle avait probablement des faons. Vous voyez? Ainsi son bébé avait des ennuis. Elle écoutait, ces grandes oreilles dressées. Et alors, il a encore fait retentir cela.

107      Eh bien, c’est tout à fait inhabituel à cette heure-là de la journée, à 11 heures de la journée. Elle s’est donc carrément avancée jusque dans cette clairière. Eh bien, c’est tout à fait inhabituel, pour quiconque chasse les cerfs. Elle s’est carrément avancée jusque dans cette clairière... Quel était le problème? Elle cherchait son bébé. Elle regardait tout autour comme cela.

            Eh bien, elle ne faisait pas l’hypocrite. Elle avait quelque chose en elle; elle était née une mère, et son bébé avait des ennuis. Elle cherchait ce bébé.

108      Juste à ce moment-là, j’ai vu le vieux Burt. Nous ne gardons jamais une cartouche dans le–dans le canon; c’est une mauvaise stratégie. Je l’ai donc vu prendre ce fusil calibre 30-06, et il a introduit une balle champignon de 180 grains [11,6 g]. Oh ! un tireur d’élite... Il a abaissé ce levier, il l’a relevé comme cela, et il a placé ce réticule de cette lunette juste sur son coeur. Je me suis dit: «Ô Dieu, comment cet homme peut-il faire cela? Cette mère cherche son bébé, et puis il est assez cruel pour faire sauter ce cher coeur loyal au-dedans d’elle?» Eh bien, dans cette salle avec ce... utilisant cette balle de gros calibre, il était... Oh ! il allait faire sauter son coeur hors d’elle. Je me suis dit: «Comment peut-il être aussi méchant alors que cette précieuse mère, ce coeur loyal, cherche son bébé... sortie cherchant son bébé, et alors, lui il va faire sauter son coeur hors d’elle.» Je me suis dit: «Burt, tu es cruel !»

109      Et il a baissé les yeux. Je l’ai vu s’abaisser comme ceci, se mettant en position. Oh ! frère, je savais ce qui allait arriver. Je ne pouvais pas regarder cela. Et–et le... Quand je me suis tourné pour voir ce qu’il faisait, le cerf a repéré le chasseur, et elle a paniqué [en anglais: «Spooked.»–N.D.E.]. Cela–c’est le terme des chasseurs. Cela veut dire qu’elle a eu peur.

            Et elle–elle a levé les yeux. Elle a dressé ses grandes oreilles comme cela. S’est-elle enfuie? Pas du tout. Mourir ou pas, son bébé avait des ennuis; elle le cherchait. Oh ! la la ! Elle ne pouvait s’en empêcher; elle était une mère. Elle était née une mère. Elle ne faisait pas l’hypocrite; elle était une mère. Mourir ou pas, ce bébé avait des ennuis, et elle le cherchait. Et je me suis dit: «Certainement que cela devrait toucher cet homme cruel.»

            Et je l’ai vu viser, se préparant à tirer. J’ai tourné le dos. Je ne pouvais pas regarder cela. Je ne pouvais simplement pas supporter de voir cette précieuse mère avoir son précieux coeur loyal être... Et elle aimait tellement son bébé qu’on allait lui faire sauter le coeur. Elle le regardait, elle le regardait alors que le chasseur aussi prenait position là; et elle savait que cela signifiait la mort pour elle. Mais elle cherchait son bébé.

            Et j’ai tourné le dos; je me suis dit: «Ô Dieu, oh ! comment peut-il faire cela, comment peut-il faire cela? Oh ! la la ! être si cruel !» Et je me tenais là derrière une petite épinette. Je me suis dit: «Ô Dieu, comment peut-il faire cela?» Et il y avait là un amoncellement de neige. Et je me suis dit: «Cette précieuse mère va se faire sauter le coeur par une explosion ! Ô Dieu, je ne peux pas regarder cela. Comment peut-il faire cela?»

110      J’ai remarqué que le coup de feu ne partait pas. Je me suis tourné pour voir ce qu’il faisait. Il allait comme ceci, il tremblait. Il s’est tourné pour me regarder, et ces yeux de lézard avaient changé. D’abondantes larmes coulaient sur ses joues. Il a pris ce fusil et l’a jeté par terre, et il m’a saisi par les jambes de mon pantalon, il a dit: «Billy, j’en ai assez de cela. Conduis-moi à ce Jésus que tu dis être si réel.»

            Qu’était-ce? Il avait vu quelque chose de réel. Il avait vu quelque chose qui n’était pas une imitation; il avait vu quelque chose d’authentique. Il avait vu l’amour d’une mère qui affrontait la mort, ou peu importe ce que c’était. Il a vu quelque chose de réel, pas un sermon que j’avais prêché ou un cantique que l’église avait chanté. Aujourd’hui, il est diacre dans une église baptiste.

            Il m’a saisi par la jambe sur cet amoncellement de neige, il a dit: «Billy, j’ai vu quelque chose de réel.» Il a dit: «J’en ai assez.» Il a dit: «Parle-moi de Lui.»

            Je me suis agenouillé dans la neige, j’ai dit: «Burt, Dieu a dit: ‘S’ils se taisent, ces pierres crieront.’ L’aimes-tu?»

            Il a dit: «Je désire avoir pour mon Dieu ce genre d’amour que cette biche a témoigné pour son bébé.» Là, sur l’amoncellement de neige, j’ai conduit ce chasseur à Dieu.

111      Je me demande ce soir combien ici aimeraient avoir ce genre d’amour pour votre Seigneur comme cela...?... cela...?... Elle... qu’a-t-elle fait? Elle a manifesté quelque chose de réel. Eh bien, les amis, il y a tant de fantaisies aujourd’hui. Ne prenons pas cela. Ayons quelque chose de réel. Il se fait si tard.

            Levons-nous et consacrons nos vies à Dieu. Tous ceux qui désirent que Dieu entre dans leur coeur et leur accorde une expérience pour être amoureux de Christ et avoir l’amour pour Christ, qui ferait que vous affronteriez la mort ou n’importez quoi, le genre d’amour que cette maman cerf avait pour son bébé, levez la tête et les mains comme ceci. Inclinons la tête.

            Oui, Seigneur, nous avons du baume. Il y a du baume en Galaad. Il y a des médecins ici. Ô Dieu, je Te prie d’aider les gens maintenant pour qu’ils viennent et reçoivent l’inoculation, qu’ils viennent pour être inoculés contre la colère, contre l’incrédulité, et qu’ils se préparent pour le grand service de demain. Accorde-le, Seigneur.

112      Pendant que nous avons les têtes inclinées, combien d’entre vous désirent avoir ce véritable amour de Dieu du Saint-Esprit de la Pentecôte? Cette Pentecôte, c’est ça le véritable amour. Voudriez-vous venir vous tenir autour de l’autel pendant que je prie pour vous? Venez, quittez votre place maintenant pendant que vous êtes debout, venez ici maintenant et dites: «Je désire avoir ce genre d’amour, Frère Branham. Je désire avoir ce genre d’amour de mon Seigneur.» Que Dieu vous bénisse, que Dieu vous bénisse. C’est juste. Venez des balcons, de l’un ou de l’autre côté. Venez carrément.

            Ceci peut être l’heure où toute votre vie... Qu’y a-t-il–qu’y a-t-il de plus grand pour vous, les amis? Peu importe... Si vous êtes un membre d’église, ça importe peu. Vous direz: «Eh bien, je suis membre d’une église pentecôtiste.» Mais si vous n’avez pas cet amour au point de pouvoir mourir pour Christ, cet amour à manifester devant le monde afin que les gens voient, ne voulez-vous pas venir?

113      Vous pentecôtistes qui savez que vous menez une vie... Vous êtes colérique, vous avez des frustrations, et parfois la peur et le doute, pourquoi ne venez-vous pas? Venez tout autour; montrez-le à Dieu juste en venant et en disant: «Je–je suis désolé, ô Dieu. Je–je–je–je désire avoir l’amour; je désire avoir le véritable amour. Je désire T’aimer, Seigneur, autant que cette mère aimait son bébé.»

            Vous direz: «Mais mes voisins, je vais à l’église avec eux.» Mais votre Seigneur, qu’en est-il de Lui? Puissiez-vous... Voulez-vous bien venir des balcons? Vous êtes nombreux là-haut. Nous allons nous tenir juste ici et attendre.

114      Vous jeunes étudiants ici de cette université, qui allez terminer pour être les hommes de demain, les femmes de demain, pourquoi ne venez-vous pas consacrer vos vies. Nous ne vous demandons pas d’adhérer à une église pentecôtiste. Restez un méthodiste, restez simplement ce que vous êtes. Mais venez recevoir cette expérience si douce de l’amour de Dieu dans votre coeur. Et quand vous irez à votre paroisse, où que Dieu vous conduise, jeune homme, jeune femme... Pourquoi ne venez-vous pas recevoir une véritable inoculation contre le péché?

            Certains d’entre vous les étudiants là-bas qui fumez, n’avez-vous pas honte? Venez ici. Eh bien, John Wesley se retournerait dans sa tombe, s’il savait à l’époque que vous ses étudiants, vous agiriez ainsi. Approchez ici, ne voulez-vous pas venir? Assis... Recevez réellement Dieu dans votre coeur. Ne voulez-vous pas venir? Quittez les balcons vous tous. Tous, «celui qui veut», l’ordonnance est ouverte ce soir. Nous avons du baume ici en Galaad, et voici les médecins juste ici. Prenez cela auprès d’eux...?... baptisé...?... que sais-je encore, et croyez. Nous en avons ici. Ne voulez-vous pas approcher? Ne voulez-vous pas venir vous reconsacrer à Dieu et avoir une expérience? Dieu va...

115      Maintenant, souvenez-vous, Dieu va vous demander: «Pourquoi n’étais-tu pas venu?» Avant le matin, si vous tombez malade, si vous sentez des douleurs dans vos bras, et que ces douleurs remontent au niveau de vos épaules, vous savez ce que c’est, n’est-ce pas? Vous êtes en train de mourir. Si vous sentez votre pouls augmenter, vos mains se refroidir, le médecin viendra en hâte et dira: «C’est une crise cardiaque.» L’ambulance hurle et vous sentez votre vie, vous serrez l’oreiller et vous êtes conscient que vous êtes en train de mourir, Dieu va dire: «Pourquoi n’étais-tu pas venu?»–Eh bien, Seigneur, j’étais membre d’église. Ce n’est pas de cela qu’Il parle.

116      Pourquoi, pourquoi? Pourquoi y a-t-il toujours la maladie du péché dans l’église? N’y a-t-il point de baume pour guérir cela? Si, il y a du baume pour guérir cela; il y a des médecins ici. Tout est prêt, ne voulez-vous pas venir? Venez maintenant pendant que nous attendons juste un moment.

            ... Sauveur,

            Ecoute mon humble cri;

            Fais de moi un chrétien, fais de moi un chrétien par naissance comme cette biche. Qu’était cette biche? Elle était née une mère. Elle était née pour être une mère. Venez, naissez pour être un chrétien. Venez. Vous aurez le même amour de Dieu, plus d’amour que cette biche en avait pour le faon. «Une mère peut-elle oublier son bébé qu’elle allaite? Oui, elle pourrait le faire, mais Moi, Je ne peux pas vous oublier, a dit Jésus, votre nom est gravé sur les paumes de Mes mains.»

117      Ne voulez-vous pas venir? Je vous invite. Et souvenez-vous, au jour du Jugement quand il sera demandé «pourquoi», la bande enregistrée de ce soir sera rejouée.

            ... Ne m’oublie pas.

            Sauveur...

            Que chaque âme vienne, chaque âme qui n’a pas abandonné ses frustrations, ses doutes... Malades, venez. Si vous n’avez pas assez de foi pour obéir, ne voulez-vous pas venir maintenant recevoir en vous la chose réelle qui vous donnera la foi? Vous devez absolument être guéri demain soir. Pourquoi ne venez-vous pas tout simplement maintenant autour de l’autel, vous tenir ici, et dire: «Seigneur, ôte tous mes doutes ce soir? Ôte tous mes doutes; que la foi ait sa...?... ici, qui me fait réellement savoir la chose. Accorde-moi quelque chose qui fera que demain soir, quand la ligne de prière sera appelée, je dirai: ‘Seigneur Dieu, il n’y a pas une ombre de doute dans mon coeur, je crois en Toi, Seigneur.’»

            Pendant que Tu appelles les autres,

            Ne m’oublie pas.

            Sauveur, Sauveur,

            Entends mon humble cri;

            Pendant que Tu appelles les autres,

            Oh ! ne m’oublie pas.

118      Regardez, assise ici au coin, une petite mère qui berce son petit–qui berce son petit bébé sur ses genoux... Si quelqu’un venait ce soir et disait à cette petite mère: «Soit je te tue toi, soit je tue le bébé.» Qui mourrait? La mère, certainement. Pourquoi? C’est son bébé. Il est resté sous son coeur pendant neuf mois; c’est son bébé.

            Pourquoi ne restez-vous pas sous Son coeur maintenant et ne Lui donnez-vous pas votre vie? Il est mort pour vous afin que vous soyez sauvé. Eh bien, cette mère pourrait... quelque chose pourrait lui arriver, et elle pourrait oublier son bébé; c’est ce que dit la Bible. «Mais Moi, Je ne peux jamais vous oublier», a-t-Il dit. «Vos noms sont gravés dans les paumes de Mes mains.» Ne voulez-vous pas venir maintenant? Ceci est le... comme un service de consécration. Venez maintenant. Encore une fois, afin que je sois sûr que j’ai appelé tout le monde.

119      Maintenant, souvenez-vous, vous les catholiques... Vous direz: «Frère Branham, je suis catholique.» Peu m’importe. Un catholique peut être sauvé comme n’importe qui. «Je suis baptiste.» C’est très bien. «Eh bien, je suis pentecôtiste.» Un pentecôtiste peut être sauvé comme n’importe qui d’autre. Mais si vous n’avez pas reçu...

            Non, écoutez: «Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien.» Il s’agit des pentecôtistes, parler les langues des hommes et des anges, aussi bien les langues inconnues que les langues connues. Eh bien, vous les méthodistes: «Quand...» Et les baptistes et les catholiques: «Quand j’aurais la connaissance de tous les mystères de Dieu et que je pourrais expliquer toute la Bible, La connaître dans Son entièreté, ma théologie pourrait être la plus élevée, mais si je n’ai pas ce genre d’amour-là, je ne suis rien. Quand je donnerais tous mes biens aux pauvres, que je livrerais mon corps pour être brûlé en sacrifice, quand j’aurais la foi pour déplacer les montagnes, quand je pourrais faire cela, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien. Les langues cesseront. La prophétie prendra fin. La connaissance disparaîtra, mais quand l’amour viendra, il est pur et il dure à toujours.»

            Cher Agneau mourant, Ton sang précieux

            Ne perdra jamais Sa puissance,

            Jusqu’à ce que toute l’Eglise de Dieu rachetée

            Soit sauvée pour ne plus pécher.

            Ecoutez.

            Depuis que par la foi j’ai vu ce courant

            Qui coule de Tes plaies,

            L’amour rédempteur est mon thème,

            Elle le sera jusqu’à ma mort.

            Alors dans un chant noble et doux,

            Je chanterai Ta puissance qui sauve,

            Lorsque cette pauvre langue zézayante et balbutiante

            Reposera en silence dans le tombeau.

120      Laisse-moi vivre en Toi avec toute la force que j’ai dans mon corps et tout ce que je suis pour exprimer l’amour de Jésus-Christ qui a été répandu dans nos coeurs par le Saint-Esprit.

            Maintenant, que chaque personne ici, vous qui êtes autour de l’autel, quel que soit votre problème, confessez-le à Dieu: «Je suis colérique. J’ai des mauvaises habitudes. J’ai honte de ma vie. J’ai fait ceci et cela.» Je vais prier pour vous, je veux que tout le monde soit respectueux.

121      Notre Père céleste, ces gens sont venus sur base de la simple Parole du Dieu vivant, et sur base de l’histoire qui s’est produite il y a environ vingt ans, quand un chasseur cruel qui était méchant et indifférent, ce jour-là là-haut sur cet amoncellement de neige, a vu une maman cerf manifester un vrai et authentique amour, il a vu quelque chose de réel. C’est ce dont il avait besoin. Certainement, si Dieu a pu donner ce genre d’amour à cet animal, Il peut le donner à un homme. Et là Tu lui as donné cette glorieuse expérience de la nouvelle naissance.

            Eh bien, Père, ces gens se tiennent autour de l’autel. Ce sont des femmes, des mères, des pères, des enfants. Ô Dieu, ils se tiennent ici, s’attendant à recevoir cet amour. Puissent-ils ne pas s’approcher ici en vain, mais puissent-ils être si déterminés qu’ils vont être inoculés contre leur propre moi, contre leurs pensées, contre leurs–leurs–leurs frustrations, leurs colères, jusqu’à ce que le Saint-Esprit tombera sur eux, Seigneur, comme un vent impétueux. Accorde-le, Seigneur. Je Te les confie au Nom de Jésus-Christ.

            Maintenant, je désire que vous les membres du clergé, vous vous approchiez ici pour vous tenir avec moi...?.... Voici les ministres qui s’approchent ici pour s’agenouiller et prier.

122      Maintenant, tout le monde dans l’assistance, je veux que vous incliniez la tête pendant que je vais demander à notre frère...?... s’il veut bien nous conduire dans la prière.

            Je vous confie à Jésus-Christ, le Fils de Dieu, pour le désir de votre coeur pour lequel vous êtes venu. Pendant que nous prions...

E-1 It's a... deem this another great privilege to be here in the--this auditorium tonight to--in the service of the Lord.
And now, tomorrow night is a special night for prayer for the sick, for the, I believe they give over mostly to the people that are... They're going to--going to come from the hospitals and things.
Usually in the meetings when we have it set up, we have a--an emergency room that where that when they have a big meeting where they--the people can get in and be prayed for each time when they come, that can't get into the prayer line. We have a room that... Maybe they've come for--flew in by plane or something for hundreds of miles and just have to be there that one night and go back. So we always try to catch them all. But when we're having this type of service, I--I feel that every person that's in the building is prayed for each night (See?), because as I try to make it plain (You see?), that--that if there was...

E-2 I--I see a, like a man setting here in a wheelchair. If I knowed that there... If I could take a quarter and push it with my nose around this city, have that man to get up out of that chair and be made well, I'd do it. Sure, I'd certainly do it. And now, maybe he will live an ordinary lifetime setting in that chair. But maybe there's a man setting out there somewhere that's got heart trouble, and just a few hours from now he's going to be dead unless something helps him. He's in a more critical condition than this man setting in the chair. Then I would push the quarter, certainly, around the city with my nose which would take me days to do it, if... But... And I'd probably have no nose left when I got through pushing it around. But I would do it to see that poor mortal healed.
So I--I cannot heal anyone. I never have healed anyone, but I have seen tens of thousands healed. And so I--it's... Only thing I try to do is to get them to have faith in what's already appropriated for them. So when you see... You just think. If Jesus came here tonight and was wearing this suit of clothes that He gave me, and you'd walk up to Him and say, "Lord, will You heal me?" He would perhaps look astonished at you. He'd say, "You're a believer in Me? Do not you read the Scriptures?"
"Yes, Lord."
"Well, did not you read that where I purchased your healing at Calvary? See, I have already done it, my..." If you...

E-3 Here's what it is. If you ever seen anything in a pawn shop, and then you go and redeem that from the pawn shop, you cannot redeem it the second time. It's already redeemed. If someone gives you a ticket, where the price has been paid, and that article is redeemed, it's redeemed. You don't have to pay for it the second time.
There's where Moses made his sin by striking the rock the second time instead of speaking to it. See? He smote it the first time. What did it speak of? The weakness of the Blood of Jesus that He'd have to be smitten for each individual. Christ was smitten for our healing. We just speak to the Rock now and it brings forth Its healing.

E-4 But you see, we have been taught wrong all about this here of laying on of hands, and sensations, and... Don't never build your--your hopes of salvation upon a sensation, 'cause you can have all kinds of sensations. But build it upon the Word of God. There's where you can beat Satan anytime, upon the Word. It's THUS SAITH THE LORD.
I remember one night... I don't want to keep you here. I ain't going to say nothing tonight. I was... So many things that if I could stay here for a month I could half--not half enough... If I could write in books of what I have seen the Lord do, it would almost make a library in itself. Hundreds of books wouldn't write of the things that I've seen that just--just know He did in these about thirty-five years, or thirty-one years, it is, of service for Him, that I've seen Him do in the meetings that I've held, and around the world. And the great things. It was startling.
Well, I hope you remember them and think of them. But we don't write of them just let them go, 'cause sometime Jesus said, "See that you tell nobody," See? After all, Jesus died for a people that God foreknew would be saved. See? Now, that is true. He came to save that which was lost, but by His foreknowledge He knew which would be saved.
Now, healing certainly is for everybody that has faith enough to receive it. Salvation is for everybody who has faith enough to receive it.

E-5 In a meeting, if I'm not mistaken, is was right here in Illinois. Isn't there a little place up here called Vandalia or something? Vande... Van. I believe that's where it was at, Vandalia, or--or just across the river in Missouri. It was somewhere here at...?... Illinois, coming through the line one night, there was a lady. And then...
You have to watch what He says. Now, in these visions that you see here taking place in the platform, I don't do that. You know who does that? You do it. You don't know it, but you are the one that's a doing it. You say, "Brother Branham..." That's exactly right class. You do that yourself. That's just... I wished I could explain it but there's no way of doing it. It's just like shifting your car and getting it into a gear. See? And just like the Holy Spirit, just a gift to know how to shift yourself out, and let Him do the talking. See? Shift yourself out, then it isn't you talking; it's Him. And you do that yourself.

E-6 To try to make a little exclamation of it... I said exclamation, I'd say this. Maybe we're all in--we're all going to a carnival. There's this carnival coming to the city, a circus. And we're all up here, we ministers, we're--we're young fellows and we want to get in to see that. So it happened to be that I was a great big tall skinny fellow. And brother here was short and sturdy. Now, he maybe'd have a better chance to... He's stronger than I am. Well now, he could pack water. He's big and strong. And he could do things that I couldn't do at all. Now, I can't help 'cause I'd be tall and skinny; he can't help because he is short and strong. See? "Who, taking thought, can add one cubit to his statue?" said Jesus. We are what we are.
And that's one thing that has hurt our Pentecostal move and other moves, is somebody trying to be something that they're not. They are trying to impersonate someone else. You can't do that. You're just what you are; that's all. And when you do that, God will use you in just what you are. And you're just as important as anybody else.
As I said the other night, the little bitty hair spring in this watch is just as important as the mainspring, 'cause it takes it all together to make time. And that... When we realize our position in Christ and then abide in that, if it's just a little housewife, stay right there. That's what God wants you to do. See? Just be what you are.

E-7 And many of you remember the healing of Congressman Upshaw, had been in a wheelchair for sixty-six years, served seventeen years in the Unites States government as a--as a congressman and so forth. Never seen him in my life... And Doctor Roy E. Davis of the Missionary Baptist church that baptized me into the Baptist faith, was a--or Baptist fellowship we call it. We believe that the Baptist church, that the Spirit baptizes you into the body, but we are baptized... If you've been a Campbellite, been immersed any way you want to, and you have been to the Baptist church, got to be baptized over into that fellowship. So we call it baptized into the fellowship of the Baptist church.
He was the one that sent Congressman Upshaw there that was... and he was... Never seen him, just walked into the building there in Los Angeles where thousands times thousand in wheelchairs everywhere. And I seen him in as vision and begin to speak. And he was healed that night. For the first time out of that chair without those crutches and things for sixty-six years: Congressman William D. Upshaw. Fine friend of Churchill and all of those.
And as you know that when I went there and prayed for King George when he had multiple sclerosis and he was healed instantly; the next day he played eighteen holes of golf, and he couldn't even set up for just a few minutes at a time.

E-8 And I was up to Gustav. And Gustav's brother is a Pentecostal. And why do some of you people dally into Pentecostal? Is because you live here in a little city and don't know the rest of the world. Forty percent of our government is Pentecostal; that's right, or either Pentecostal influence. Billy Graham said, "No longer can you hide the Pentecostal church. It's the fastest growing church in the world." What did... Our Sunday Visitor, the Catholic church made a statement that last year alone the Pentecostals had a million, five hundred thousand registered converts, more than all the rest of them put together. We're not a bunch of trash. We've come out of the alley; we're up on glory. We... The Pentecostal church, and the government officials, and all had breakfast.
And Mr. Nixon right there in Washington, D.C. and speaking a few days with some of the state senators in my home... Ask my secretary. These private interviews like we had this morning, and what we have of a morning where the people come to find out what the Lord has to say. They stay there. We wait there until the Lord speaks not like these little visions you see here; I mean, you do them. But doctors, statesman, congressman, potentates from world over...

E-9 I was talking to my secretary. That's his mother and his father-in-law and mother-in-law setting right there now. The other day I... They're waiting on the list from internationally over, six hundred waiting now from around the world, come in and set before the Lord and we pray until He comes down and tells them what to do: doctors, statesman, lawyers, congressmen, and everything else the nation over. Even I've had doctors from Mayo Brothers Clinic. Not something just hearsay, friends; God. So here's what the visions are.
Now, in these meetings, these evangelistic meetings, you don't see one-tenth of it. Ask the brethren who go with me. See? These are just little... These are something that you do yourself.

E-10 Now, here, and I'll go back to my point. Excuse me for leaving it. But we're going to a carnival. And there's a great big--or a circus, there's a big board fence around it. And we--we don't know how to get over it. So we want to see what was on the inside.
And there's no man in the world but what wants to know where he come from, what he is, and where he's going. There's only one Book that can tell you, and that's This; what, who you are, where you come from, and where you're going. But every human being likes to look a past the curtain to see what's on the other side. But we're going to do that now for a parable.
And now, we go along, and I look at this brother. And I'm a stronger, great strong looking man, and me, a little skinny fellow. Well, I think that maybe he can do his part towards getting in to see the--the--the show, what's on the inside. Well, how am I going to do it.

E-11 The first thing you know, I happen to spy a knothole a way up high. Now, he can't reach up there (See?), but I can. So but to do it, I have to reach down and jump real high, and I get a hold just with my fingers and pull myself up and look through that knothole, like to nearly take the life out of me. And I drop down. "What did you see, Brother Branham?"
"A giraffe."
"Oh, you did? What else did you see?" That's all I had time to see. Like to kill me.
"Look and see if you can see something else."
Now, you don't realize it, but that's you on the platform and that's you setting out there. You're the one that knocks the strength out of me. Last night, someone was coming that... almost fell four or five times getting out. And you don't... People don't realize that. If you read the Bible...

E-12 Do you know the poets, or prophets, or so forth, they go into inspiration, sometimes they don't even know where they're at. Did you ever read of Stephen Foster, wrote, "Old Kentucky Home," "Way Down Upon the Suwannee River," gave America its best folk songs. He was considered a neurotic. Every time he'd write a song, inspiration, then he would go out and get on a drunk. One time when he wrote, he come out, he'd just come out then he got a razor called a servant, and committed suicide, cut his throat.
Did you ever hear of William Cowper? Certainly you have. I stood by his grave recently and cried. He--he was considered in England a--a goofy guy, crazy. Anybody that's real spiritual is, science says, is just one stage away from insanity from the world. So it's the human mind trying to cope with that mind there (You see?), you don't realize. No one will ever know on this side of eternity what it means.

E-13 So then William Cowper, finally the day... You remember when he tried to even get in a cab and go commit suicide. Come back, got a rope and tried to hang himself, and--and went down and tried to drowned in the river then wrote that famous song.
There is a fountain filled with blood,
Drawn from Immanuel's veins,
Where sinners plunge beneath the flood,
Lose all their guilty stain.

E-14 Look at the prophet Jonah. As soon as he come out of the belly of the whale and went and gave his prophecy, and long as he--the inspiration was on him, giving his prophecy he was fine. But when the inspiration left him, he set on top of a mountain and prayed for God to take his life.
The prophet Elijah under a--a vision of the Lord, fixed it and called fire out of heaven, called rain out of the heavens, the same thing, and killed four hundred priests himself. And then, when the inspiration left him, run at the threat of a woman and was forty days and nights out in the wilderness not even knowing where he was at, wondering around. And God found him pulled back in a cave. Now, is that Scripture?

E-15 See, people don't realize it. You don't realize what these... You say, "Well, if I had a ministry like that..." You'd want to get rid of it right quick. You don't realize what it does to you. It kills you. But it--it... God has given it to you. Critics laugh, make fun, everything and me standing right here. I know what they're thinking. Certainly I do. I used to call them out and say everything. But when I did, I found out it hurts. Jesus said let both go; don't pull up the tares; that's God time at the end to pull the tares out (See?) at the end it will harvest. Just let them alone. See? Go ahead, I've got the ministry to serve and so... Got to serve and I just do it the best I can and then go on.

E-16 Well now, when you come to the platform, that's you that's doing that, like the woman touched His garment. It's your own faith that does that. I have nothing to do with it. To me I--I can do noth... I've asked God for something over and over for myself for the past five years, and He won't even say a word to me about it. My own mother was laying here dying and saying, "Son, what shall be my end?" And my sweet old mother, I couldn't tell her until God tells me. See? I... He has to speak. I don't do the speaking; it's Him. And it's not me that causes the vision here on the platform.
Ask my brethren that's with me. This week I have eat nothing but crackers and milk. That's true. Fasting, waiting, seeing which way the Spirit will lead me... The boys at the door said, "There's a big smorgasbord down here, Brother Branham. How you love to--to go to a smor..."

E-17 I said, "I do, but not in healing services." And wait on the Lord. This comes out only by fasting and praying. Here comes tomorrow night and cripples, and hospital cases, and dying people will be setting here. Be ready for it. You love people. And if you don't love people, you might as well get out of the ministry; that's all. Because if your heart don't burn for them... I'd rather you'd say something good about my son than you'd say about me, because that's my son.
And if we can't love one another, how are we going to love God Whom we haven't seen. See? We must find the vein. We've got to love one another. Though we different, you got to love anyhow. You can't bluff it. You got to really do it. You got to. And that's the greatest power they found in healing, is love, when you have sympathy and love for the people, trying to help them.

E-18 Sometimes I scold and--and go back home and just think, Lord, what did I do it for?" But it's because I love them. If I have to scold my little boy for running out on the street... He will get killed if I don't get him off that street. Sometimes I have to whip him, correct him, say, "Son, stay off of that street." It's not because I don't love that child; it's because I do love him. That's the way God has to do to us, scold us, and shake us, make us a real true... Person that let's his child just do anything is not a good parent. That's right. There's too much of that in America today, and we need the old fashion mothers.

E-19 Now, someone comes to the platform, a lady. Here I am; I've got myself relaxed. And she comes up, who is she? I never seen her, don't know her. What is she? I don't know. "O God, I'm depending on You now." All day long I pray. "What is it, Lord? Step across this Bible here. God, there's Your Word; You made the promise, between me and that woman stands Your Word. Your Spirit's here somewhere. God, maybe one thing that might set this whole building a fire. Maybe the Holy Spirit has come in, ward off all the unbelief tonight. There's nothing in here but what's going to believe me, everything's going to believe because I have preached it just as simple and I can. And they've read the Bible and know it is the truth, and a promise for this day. Surely they will, Lord."

E-20 Then trying to relax myself, talking. The first thing you know, what am I doing? Reaching up, reaching up, find out what kind of faith that woman's got. Finally find she's got faith. What does it do? It touches. Then between her and I, I see it. Now, where will It go? Here, up, up, up, grab it. "You have tumor."
"Yes, sir."
You turn towards the audience, "He guessed that." See? "Well, that's mental telepathy. Dr. Jones said it was so-and-so. Oh, that's mind reading." See, there you are again. Well, what can you say? Look out there, here sits this one, that one, up here, down. There it is back here. "God, what can I... Well, Lord, You had to go through the same thing."

E-21 Now, what else did... What else is wrong with her? Here you go again. You're already, fingers aching as it was, hanging on there. Now, your heart's aching. See? Then up you go again. And besides that, you got TB, and were at the doctor the other day. And he told you... He--he was a tall man.
"He read their mind." Isn't that strange?
Even Christians saying, "Well, I suppose it's all right." See?
Well, after while, that one passes by. Here's another on. Then you are just about sagged out. See? Here's another one. Well, there stands a whole line of them. If you don't get every one of them. boy, they never got prayed for; there's something wrong."
See--see I'm trying to use a prophetic gift in an evangelistic service. That's the reason it don't work so well. It does in Africa, it does anywhere else but the United States, anywhere else but here, it'll work. It doesn't here. People just don't get it. I don't know why, but they don't.

E-22 That's one thing can happened in Africa, thousands will rush to the altar, screaming, crying, jumping out of their wheelchairs, if they have to crawl over anything else. They believe God; that's all; they get it. But we didn't... See we didn't indocumate it with so many different isms and so many different things, somebody says it's this, somebody says it's that. "He belongs to another church; he's not--he's not one of us." "He's a holy-roller." "He--he--he might be a medium; he might be a devil," You see, and all of that that just grieves the... Then somebody would say, "I'll get out of here right now. Oh." See?
Now, how can you have a meeting under that? You let me ask you something. Throw this audience with one accord with one faith one time. Let me turn to you in the Name of the Lord, there won't be a wheelchair left in here but what he will be walking. You just try it one time and find out. I've seen it. Twenty-five thousand got in the wheelchairs, stretchers, and everything else and walked.

E-23 But you got to minister anyhow. This is the nation that's got the money to send me yonder; they haven't got money to bring. I ain't got no big backing up on me. I have to do is just depend on God, and you, if you have mercy, do something. "Wherever You lead me I'll go." And that's what I do. See?
Now, perhaps maybe the ringmaster comes by now, "What are you boys looking at?"
"We were looking in, sir."
"Oh, well, come here." He's a great big fellow. Reaches down, picks me up into his hands, said, "I'll tell you how this goes, Brother Branham. You see that show over there?"
"Yeah."

E-24 "Now, that's where the garland ride starts there. They come out here they ride around this way; they come through here, and they do this. And this does this, and this, that."
"Oh, yes, sir." setting in the palm of his hand.
"And this is this, and this is this." Sets me down there at the grand stand, you know, and He showed me everything was going to happen.
"Oh," I say, "Thank you, sir. Thank you very much."
"Now, you be a good boy."
"Thank you, sir."
"What happened? What did you see?"
"Oh, bless God." See--see, I'm not tired. See? He just lifted me up and showed me. Now, that's you using God's gift, or God using His own gift. See? Now, you say, "Is that Scriptural?"
"Yes, brother."

E-25 A woman touched His garment one time, and He said, "I got weak." Is that right? But one day, when He was in the home of Martha and Mary and them, He... the... God showed Him. He said He done nothing till the Father showed Him. And God showed Him that Lazarus was going to die. So He said, "You go away, and there's a little...?... walk in" I'll prove that. He said, "Go away, and after four days he's going to die. And then You go back, and You'll wake him, go to the grave and wake him, and so forth." Because He had to had done it or if He didn't He told something wrong. So He went...

E-26 And they sent for Him. Did He go back? "Your friend Lazarus is sick, ready to die." He knowed what the Father had told Him, so He just went on. They sent again, "Lazarus is sick. Come, see him right quick, he's going to die." He just went on.
If you'd sent for your pastor and he didn't come, you would have went and joined the next church. See? That's the reason you don't get nowhere. You've got to believe the servant God sends you. See? If He's led of the Spirit, let him alone.
Then after four days, Jesus turned around, 'cause that's what the Father, no doubt had told Him, 'cause He said He did nothing till the Father showed Him. He turned around and said to His disciples... He knowed the time was fulfilled, He said, "Our friend Lazarus is asleep."
"Oh," they said, "he's doing well." He said...
Then He told them in their own language, "He is dead. And for your sake, I'm glad I wasn't there." So He said, "But I'll go wake him."
And when He got to the grave, listen what He said, "I thank Thee, Father, Thou has already (See?) heard Me. But I just say these--this for those who stand by. I said if for their sake," See? Then He said, "Lazarus, come forth." Lazarus came forth.

E-27 He never said a thing about getting weak, did He? That was God using His gift. The other one was a woman using His gift. See the difference? You understand now? That's what it... It's you that's a doing it.
Now, in the interviews and so forth, they have times where the Holy Spirit... Like setting this morning before a young couple, how it went down through their life, picks it up and brings it back."
And my, here a famous doctor set in the room recently and asked me about a certain thing. I said, "Will you pray with me?"
He said, "I will, sir."
We knelt down and prayed. I Said, "Now, you're studying of building a clinic. And there's certain thing fixing to happen. And you looked at a certain place to build this clinic. You said they couldn't touch it for twenty-five years." But I said, "THUS SAITH THE LORD, Dr."
He said, "Do you think the city needs a clinic?"
I said, "Yes, sir; it needs a clinic. I think you're a fine doctor so you go..."
He said, "It can't be that though. It can't be there." Said, "I've done fought that in court" said, "you can't build it there."
I said, "It'll be built out of red brick; it'll have a light roof it; it'll almost be a city block long; and it'll be there. And your name will be on the front of it. I saw it. THUS SAITH THE LORD."
He said, "I would like to believe that, sir."
I said, "You remember when you sent me that man not long ago that didn't even have any liver half of it eat out, that minister? That morning I saw those five apples come down and a big healthy apple eat up the unhealthy apples, and I told you THUS SAITH THE LORD, he would live, and you said, 'How can he live without a liver in him?'" I said, "He's preaching. He took my place at the Milltown Baptist church." I said, "He's still there."
He said, "Oh, I remember Reverend William Hall, Milltown Baptist church."
I said, "He's still there. That's been about five years ago." I said, "You're clinic will be there."
He said, "I hope you're right."
And I said, "Hope?" I said, "He's always right."

E-28 And so the next morning he called me up, he said, "Brother Branham..." I said... He said, "I'm freezing to death." And it was in July.
And I said, "Freezing to death?"
He said, "Shivers running over me." Said, "They had a meeting in Boston last night with all the bids in for that place. They picked me. It ain't going to happen in twenty-five years; it's already settled. I bought the place already this morning."
There's the clinic right there tonight. In St. Louis just recently in a great medical meeting he made a speech and he told that. Got a sign of it sticking on his door engraved in brass. He said, "If anybody ever doubts, any physician, have him to call me collect." That's right. Oh, you see, friends, see it's not nothing... The thing of it is, you can't wake yourself up. That's all. You can't wake yourself up to the reality of what it is.
You children and you people here in these wheelchairs, you know if I could help you I'd come do it. You know. God bless their heart. I'd certainly do it. But you're no more... To heal a person in a wheelchair is no more than heal one with heart trouble. And the greatest thing He ever done was a save a man's soul to change his whole disposition and everything. For you just think you're bound for that all that time. You're not. No, sir. I've seen tens of thousands of wheelchairs of people healed of it (See?), and I know. And it is true, someone says my grammar's bad.

E-29 I remember in Fort Wayne not long ago I was preaching at B. E. Redigar, where his daughter had been healed of insanity a few days ago. Oh, there I go again, so many things to say. An insane girl that was going through the morgue. And the Catholic school wouldn't even let me in. And I went it as a visitor, spoke to the girl a few minutes. I said, told her father, I used to go with the girl's mother. I said, "THUS SAITH THE LORD, she has her right mind." And her mother grabbed me around the waist, and she said, looked to her husband, she said, "He's never wrong."
I said, "Now, she didn't mean me, she meant the Spirit of the Lord."

E-30 And about two hours after that, the father called me up, weeping; he said, "Brother Branham, I don't know what to say." His daughter was just only eighteen years, a teacher in music. And played overtures and so forth, same studies that my daughter's a studying. He said, "I don't know what to say." Said, "That girl instantly come to herself, and these doctors are holding a counsel right now." Said, "She's going home with us this afternoon." Right. See? That's right. I said... He said, "Oh, I'll blast it through the country."
I said, "Sh-h-h, tell no one. Go ahead, just thank God and move on. You see? Just keep going on."
He's wonderful if you'll just believe Him. One more little thing to you people. Just because that you're here in the meeting, and you accept your healing, it don't happen right away, don't pay any attention to that. It will happen if you've got enough faith to believe it'll happen.

E-31 There was a woman come in the meeting one night; she passed through. She had stomach trouble. The Holy Spirit said to her, "You are Mrs. So-and-so, you came from a certain place." Said, "You have a stomach trouble." Said, "What it is is a duodenal ulcer." Said, "It's very dangerous, and the doctor says that you might hemorrhage with it sometime, because they been wanting to operate." I said, "But you're afraid of the operation; and therefore, you're not able to eat anything hardly at all but just broths, and...?... like a bouillon and so forth."
She said, "That's right." And she said, "Is he right, Mr. Branham?"
I said, "Certainly your doctor's right." And I said, "The reason it is 'cause it was caused by tension. You're under such a tension all the time."
She said, "I have been a nervous child."

E-32 And I looked at her. And I seen her setting down by a nice big steak, eating, you know, and eating a piece of apple pie. That's what I saw in the vision. I said, "But THUS SAITH THE LORD."
Watch what It said. See? You're the one that's making It say this, but look that It says behind it. That's the thing. See? You say, "You got a cancer," and you know that. But see what He says about that cancer. See? That's when you watch it. So then--then... She... It told her. So she said, "I'm going out and eat." So she went out and eat.
And a little bit behind that come a lady that had a big growth on her throat. And the Holy Spirit told her, "That growth shall leave you, THUS SAITH THE LORD."

E-33 So they happened to be neighbor women. And so the next day she tried to eat, and oh, my, she like to died. And so she tried for two or three days, and she'd just vomit and gag and blood fly out of her mouth and everything. And her... After about a week, her husband, being a Christian, but he said, "Honey" said, "you're bringing reproach upon the cause." Said, "You mustn't say things like that."

E-34 She started crying. She said, "Hubby, listen," she said, "that man didn't never see me in his life, and by some sort of a power that I believe was the Holy Spirit, according to what I read in this Bible, he told me what my trouble was, who I was exactly to the letter, and told me that THUS SAITH THE LORD that I'd be well." She said, "Until that time comes, I'm going to be acting like it." Good.
So he said, "Go ahead, burst your ulcer and then you'll bleed to death." She just went on. 'Course he--he didn't have... See, it never happened to him; it happened to her. It wasn't his faith; it was hers.

E-35 Well, about two months passed, nothing happened. One morning the children had left to go to school, and she was washing the dishes. And she was singing. And after while, she had the funniest feeling come over her, she said. She come testified of it. So said the funniest feeling went over her. She got real hungry at...?... And she said, "Well, the children left some oats in their plate, you know. I guess mother's do that. And so she got a little bit of oats, and eat it, and she thought... She usually would vomit with it. So she got a little oats, and she eat it, and that toast looked so good she was taking a bite of the toast some of the kiddies had left.
So she went on a few minutes, and she was still hungry, didn't bother. So she just poured her out some, stir them up, eat her a piece of toast, went on washing, she just felt fine fixing her house around. She got real hungry again, so she just went and fried her two eggs, and some bacon, and got a cup of coffee, and had a gastronomical jubilee. And so she--she just really got ready for it. And so she just eat all she could, waited about to about ten o'clock, nothing happened. She was getting hungry again.

E-36 So she thought, "Oh, praise God." She said, "I'm going down and tell my neighbor." And when she got down there she heard someone screaming and crying. So she run to the door and shook the door, and nobody answered. She thought maybe somebody had died. And so she run into the house real quick, and here this woman with a sheet a in her hand, shaking it like that, and screaming to the top of her voice. And she said, "What's the matter?"
She said, "You know what?" Said, "Last night I was standing before the mirror looking at that knot on my neck. Now, look, it's gone." Said, "I've shook every sheet, every...?... and I woke up this morning and...
Now, I've got their names and address (See?), documented statements. And see, what it was, when that Angel of God... Now, anybody that's a Bible student knows that sometimes that God does not come right on the scene when He--when He should come, when we think He should.

E-37 You remember, Daniel prayed. It was twenty-one days before the Angel could get to him. Is that right? All right, how many knows that? What happened? The very Angel of God that made the promise... Not me now. I had nothing to do with it. I didn't know them. But said, "THUS SAITH THE LORD." It taken Him almost two months, but He was passing through the neighborhood confirming that Word that He had spoken. Glory to God. If that ain't the same God of the Bible, I don't know my Bible. That's happened tens of hundreds of times, friends.
So what am I saying that for? Building your faith for tomorrow night's healing service. I want you to... if it... Now, don't bluff it. It won't bluff. You can't bluff the devil. You remember when Jesus gave His church like... He gave His church power in Saint Matthew the 10th chapter to cast out devils, heal the sick, and--and the lepers, and raise the dead. Is that right? Now, I want somebody who doesn't believe in Divine healing show me by the Scripture where He ever took that power away from the church. I want the chapter, the Book, and the verse. Where He give that power to His church I can show you chapter, Book, and verse, where He told them it would be at all races, all places, to all the world. Now, you tell me where He said, "I made a mistake. I've got to take it back." Show it to me, some critic. It's not in God's Word.

E-38 Now, you see, it isn't... Where you're looking at, my critical friend, is this: you're looking at the weakness; you're looking at what the people is doing about it. But don't look at that. Look at what God said about it. See? That's it. You're looking at it the wrong way; you're cross-eyed. See? And the man that's cross-eyed don't know which way he's going. See? So you just... You look single-eyed at God, what God said, not what people's doing about it, what the seminary said, but what God said. And if this isn't the Word of God, then go get something that is the Word of God.

E-39 No wonder the priest has--the Catholic priest has to be so smart. He's got six hundred books that he has to learn that's just as sacred to him as that Bible. Six hundred other Bible's like, of other men who wrote books that he's go to learn. Smart; there's no way to keep up with them, talk about, when it come to intellectuals. But God don't use that at all. That's foolish to Him. The humility of believing Jesus Christ, God respects it. Makes it even the fool should not err in it. Now...
Now, look here. Jesus in Matthew 10, had gave them power to heal the sick. They went out and cast out devils, come back rejoicing and so forth. And ten days after that time, they were totally defeated on a epileptic case. That's right. I can imagine, hear Andrew say, "Step back, boys."
"Surely you can't do it."
"Let me show you how I done it over in Capernaum."...?... "THUS SAITH THE LORD, come out of him, devil, come out of him, devil. Hallelujah. Come out of him, devil." Boy just kept on in the spasm.

E-40 And I can hear Peter say, "Oh, remember, you all don't know. Let me show you how I have done it there at Joppa. Come here. Let me have him. Pulls him over there, said, "This is the way you do it." They was all defeated. Not because they didn't have power. Now, watch.
And after while, look, coming down off the mountain there, I see Him come, walking quietly. The Bible said there's no beauty we should desire Him, maybe a little stooped shouldered Fellow. Oh, and He come walking up to where He was...?... That father run and said, "Lord, I brought my son to Your disciples, but they couldn't do anything for him." He said, "Will You help him?"
And He said, "I can if you believe, for all things are possible to them that believe. See?"
He said, "Lord, I believe. Help Thou my unbelief."
And brother, when that devil walked in the face of Him, he knowed he meet Him on a different level than what them disciples had. He said, "Come out of him."
And the boy fell, and he had the worst fit he ever had. Then he straightened out. Said... Then they said, "He's dead."
"He's not dead. Take him up."

E-41 Disciples come along and said... Now, listen, here's the modern day, "Well, Lord, I guess You took all my power away from us. The church don't have power any more."
"No."
"So why couldn't we cast him out?"
Said, "Because of your unbelief." Is that right?
The church still has the power. You Methodists here, you got that power, you Baptists, Presbyterians, Nazarenes, Pilgrim Holiness, but you are afraid to use it. That's all. What good would it do for me to have a fine hunting gun, and lay it on the wall, and afraid to shoot it. I'd never get any game; I'm sure. Well, I might make a whole lot of fizzles, and have some backfires, and not hand load very good, Brother Gene, but I'm shooting anyhow. That's all. I'm trying awful hard. Yes, sir, so you will do that. Let's have faith and know that if we believe it... Amen. Let us bow our heads now.

E-42 Lord Jesus, sometimes we talk like children. And we're glad to be that, for if we know so much, you can't lead us no more. But as long as we're children You'd forgive us of our ignorance, and--and we just trust Your hand. Sometimes we scream and shout and carry on, because, Father, we're children. We--we--we don't depend on our own ability. We're just happy that we're--we have a Father that watches over us. We're so happy for this.
Lord, there are people here that's sick, afflicted, some of them are saved, some are not saved, some believe they're saved and not, some are... They--they're just all kinds, Father. It's all mixed up. Will You help us tonight that we could have one--one great mammoth, mass healing tomorrow? Grant it, Lord. May there be such a outpouring of Your Spirit. Lord, I pray that You'll just grant it in such a way till there will not be a feeble person left in the building. Grant it.

E-43 Now, we're going to open back the pages of the Word. Now, I cannot open this Book, or no one can, only physically with my hands. Let the Holy Spirit open It and interpret to us a few words that would build our faith in such a way, that all of the unbelief would fade away from us, and that we'd be perfectly satisfied with a pure unadulterated faith in God, that He heals the sick, He saves the lost. And if there's any sin in our midst, Lord, take it away, please, Lord. And let us sanctify ourselves tonight through the faith in the Blood of Thy Son, Jesus Christ our Lord. We ask it in His Name, Amen.

E-44 Now, here just talking to you, and it's time to close. I've got quite a few Scriptures that I've written down here I'd like to refer to. I might not get to any of them. But for a bay--a way of context. Now, I won't be too long. Honest, I hope I'm not. But I'm just...
Want to read from the Book of Jeremiah, the 8th chapter, the 22nd verse. This is a question of three letters I'm going to ask the audience tonight.
Is there no balm in Gilead; is there no physician there? then why is not the health of the daughter of my people recovered?

E-45 Now, I'm going to ask the question like God did, "Why? W-h-y?" "Why is not the health of the daughter of My people recovered?" [Brother Branham clears his throat--Ed.] Pardon me. Now, that is quite a statement. But I believe that if God makes a way for anything, makes a way of escape, makes a way for it, and the people doesn't receive it, doesn't walk in it, then He has a right to ask why.

E-46 If you went and bought your boy a car... You say now, "Junior, I--I do not want you to--to go to any pool rooms. Your father and mother, we are Christian home. I don't want you smoking cigarettes. I don't want you going to dances with--these modern dances where they drink and things. We--we are Christians here, Junior, and you'll--you'll bring a reproach upon our home and upon the cause that we stand for. And I'll be real good to you, Junior. I'm... Daddy works hard. So I'm going to slave away till I save enough money to buy you a little car, 'cause you can go to school in it, you and sis, and--and just be nice. And I'll get you nice clothes." And then you find out that Junior is smoking, and drinking, and going to places. Then you've got a right to ask that boy, "Why," 'cause you made every way for him to have pleasure, and to take his little car, and go fishing, and--and so forth, and go out riding. And then you'd have a right as a father to ask him, "Why, why did you do it?" Isn't that right, brethren?

E-47 Then if God made a way for His people to escape and get away from the wrath that's fixing to come, and they don't receive it, then He's got a right to ask why didn't they do it.
I landed in Bombay, India, here sometime ago. I was reading a piece in the paper. I still have it, or... I beg your pardon. Tommy Nickels has it now; it's coming out in Christian Business Men's "Voice." And said, "The earthquake must be over." Now, India isn't rich people like they are in America. Now, the foreign people really think that as long as you're an American, you are rich. Well, that is right according to them. But according to the status they have to live in. But they--they have their fences where they pick up rocks like we did in early America, make their fences. Their... All their homes are built out of rock and mud.

E-48 But one day there come a strange thing happen. And all the little birds that lived in these rocks along the fences and in the big towers all flew away from their nest and left it, just evacuated their nest. And the cattle and sheep that... When the day got hot... They'd feed early of a morning and late in the evening. But instead of... And then in the heat of the day, they'd come and stand in the shadows of this fence to keep cool. But instead of that, they run right out in the middle of the field and all leaned against one another: cattle, sheep, animals.
And the people wondered, "What strange action this is." Two days it happened. All of a sudden a earthquake blowed the country; them walls fell in. The earthquake shot four or five different times for maybe two days. They had earthquake after earthquake. Finally the little birds begin to fly back into their nest, places that was left, the cattle come back around what walls was left. What was it? The same God that warned the birds and the animals to go into the ark for safety, shows He is the same God today. See? He warned His animals to flee and to get away from those great walls that was fixing to fall.

E-49 Now, if God can do that by instinct to an animal, how much more should we, who claim to be His children, filled with the Holy Ghost, be warned of the Spirit to flee these things of the world, and get away from them? They're fixing to crumble in. Go to the Ark of safety, which is Christ. Just as quick as you can get into Him, go quickly. Don't wait a minute, for the hour is coming when the door will be closed and mercy will be no more. So if God has made a way, and then at the judgment He's going to ask, "Why?"
I used to know a song we sing. "When the last book is open, what then? When the preacher has preached his last prayer, or prayed his last prayer," something like that, "the Bible's closed on the pulpit, the arms are all stacked, the taps sound out for its last times over the hills, the retreats are made, the sun setting for its last time, the--the mimic has made his last act, and Hollywood is finished, what then?" You're going to be asked to give a reason why you didn't come, then what then? What's going to answer for? How are you going to escape it?

E-50 Now, we want to think these things seriously for about thirty minutes as I try to refer to some Scriptures here. Now, you're going to be asked everyone of you, "Why?" When it comes to a spot that when God has made every preparations sent the Holy Spirit, and revealed, and showed everything that He promised in the Bible right before you, then what are you going to do?
You know, it's something like the other day in Louisville, Kentucky; there was a woman had a little baby. And she was packing it around from place to place and was in a ten cent store. And she'd say, "Look, darling. Look, darling. Look, darling." And--and she got hysterically. And after while she said, oh, just screamed out. And the people, the patrons in the--the building begin to notice the strange action of the woman. And she just fell across the table and said--begin crying. And when--they wondered what was the matter with her. They went over.
She said, "My little boy here, two years old," said, "about six months ago, he just set and stared." And said, "I took him to the doctor. There was nothing that should attract a little boy like him, will attract him." Said, "He just sets and looks blank." And said, "I shake these little trinkets and things that ought to attract his attention, but he just sets blank. There's something wrong with him."

E-51 Now, please forgive me if I... I don't mean to hurt feelings. But remember, this is where correction is. This is judgment. That's a whole lot like the church is today. God has shook all kinds of spiritual gifts before them, and they still set like they were just staring. They don't want it. You can speak against women wearing short hair; they never do anything about it; about wearing--and immorally dressed. They didn't do anything about it, about fussing in the denominations: one's better than this, and this one's this, and this one's this. They don't do nothing about it; they just go right on fussing just the same. I wonder what we're going to do at the judgment when God says, "Why?"

E-52 He sent an Oral Roberts, a Tommy Hicks, spoke in tongues and interpretation of tongues, and give messages, and prophets, and everything else that He promised in the Bible, every blessing He shook it before the church; and constantly, they wade on unbelief. Then God will say, "Why?" Then what's your answer?
Now, don't--don't think I'm trying to hurt, but look setting there in these wheelchairs. Look out here at the sickness. As many times as Oral Roberts and many great ministers of healing gifts, and Jack Coes, and things with them bulldog faith and grabs a hold of it. And you seen things done. Then He come a along with a prophetic gift, and shows, and discerns, and lay infallible proofs world around. Then they set and say, "Well, I wonder if something could happen?" God's going to ask you, "Why?" And you are going to have to answer. Now, that's true.

E-53 Now, one time there was a king, his name was Ahaziah. He was the son of Jezebel and--and Ahab. And he took his father's place in Samaria when Ahab was killed according to the prophets, and the dogs licked his blood, just exactly what the prophet had said would take place. And Ahaziah took his place. And he was a renegade just like his father and his mother.
And one day he was walking through the lattice of his house, perhaps, the same lattice that the--that the Queen of Sheba or some of the... in her days that they... when they built the temple of Solomon. And he--he fell through that lattice, and hurt hisself, and got sick. And he sent up to Ekron to Beelzebub, a devil, sent two men up there or group of men, said, "Go up and consult and ask Beelzebub, the god of--of Ekron if I am going to get well, yes, or no."

E-54 And God sent a Angel down to the old Elijah setting down there in a little cave door. He said, "Go up and meet them." God knows when to send and when not to. Said, "Go up and meet them and tell them THUS SAITH THE LORD." And old Elijah walked sternly up there and stood in the road. When he seen them come up, he said, "You're on your road over to the--to--to Ekron over there to meet the--to meet Beelzebub, to meet their prophets, to consult whether Ahaziah is going to get well or not." Said, "Go back and tell him, 'Why did you do that? Is it because there's no God in Israel? Is it because there's no prophet there? Why would you go to a thing like that then?' Go tell him THUS SAITH THE LORD, he's not coming off that bed." Oh, my. That's God.

E-55 What's the matter that we change our papers from Methodist, to Baptist, to Presbyterian, and all the different denominations and things running around? Why do we do these things? Why do we go... Why do we stay home on Wednesday night and watch "We Love Susie," or some of them plays and television programs and things like that? Is it because there is no God in Pentecost? Is it because there's no joy in the house of the Lord? Is it because there's no prophet there? Is it because these things are not so?
"Is there is no physician there, is there no balm in Gilead?" Balm is healing. "Then why is the daughter of My people still sick?" Asks why. Why do we do these things? Why do we act like the world? Why does our women still dress like the world? Why do our pastors let deacons come in with two or three different wives and serve on the deacon boards? Why do we have it, go just like the world, and begin to act like the world, and talk like the world, and--and... Why are we doing it? Is it because...

E-56 Why do we have to great build shrines that's worth millions and millions of dollars, and preaching Jesus is coming the next few days? Missionaries on the field with no shoes on their feet, living on one meal a day, why would we throw money away for stuff like that, and missionaries that I know of have to put shoes on their feet? Men of God will answer for it someday. God going to say, "Why?" That's right. Mother, trying to hand you a little baby, and his little belly swelled that big, dying with hunger. We try and want to keep up with the Joneses. God's going to ask us, "Why?"
Now, out great organization's building tens of millions of dollars worth of buildings and things like that and preaching Jesus is coming soon. Our own testimony beats us in the face by the Word, know we don't believe what we are talking about. Just become a routine, around, and around, and around. "The Father said so; we say it too." If you really believe it, act like it.

E-57 If you believe in Divine healing, accept Him. If you believe the Holy Ghost is right, stay there, not for ten minutes, but until He comes. Don't take no substitute. Stay there till the real thing's there, when you've passed from death to Life. And brother the birds will sing different, everybody, all the ones you hated, you'll love, and everything will be different when you do. Why do we substitute something instead of it? God's going to say, "Why?" Then we're going to have to answer.
Now, that is right, brother. You believe that. All of you do, you men. Now, that's--that's where we're standing. We should be a church on fire with faith, brother, burning, my, my, instead of that we look like a bunch of little coyotes backed up in a corner. "And now, I'm--I'm leaving..." Uh-huh, you're backing up. Stand up for a toe-to-toe to it. If we're Pentecostal be Pentecostal.

E-58 If we're not, why don't we just break the thing down, and consolidate with some other of our denominations, our Methodists brethren here, our Baptist brethren, our Pent... out Presbyterian or... Why don't you all go back and be Catholic. That's the oldest one in the bunch of them. See, go back and be that. But if we're Pentecostal, let's be Pentecostal by experience. Rise, shake yourself. Yes. Said, "Go tell him. What's the matter?" Why would the Pentecostal people...
A girl asked me the other day, said, "Brother Branham, they're beginning to wear a scandal skirt."
I said, "What's that?"
"Oh," she said, "the girls are wearing skirts that's cut down this way that shows their underskirt. Do you think it's wrong for a girl to do that?"
I said, "Sister, what in the world does the Pentecostal Holy Ghost filled girl want to show her underskirt for?" I'd just like to ask one of them. If she'd been right with God, she wouldn't have had to ask that.

E-59 I got a little Bible when I first started out, I wrote a little book; there should be somebody say, "Is it wrong to smoke, is it wrong to drink, is it wrong to do so-and-so?"
I said, "Don't ask me foolish questions. Make this up in your mind. If you love the Lord with all your heart, you don't smoke, chew, or drink any shine." And that's... I still stand by that. When the love of God's in your heart, you have got no time for nothing else. You're sold out. The Bible says, "If you love the world or the things of the world, it's because the love of God's not even in you." And your own life tells about it. I hope that's plain enough, I won't have to get any plainer. See? But that's true. "By their fruits you know them."
So shake ourselves. Let's be Pentecostal or--or be something else. If we are not Pentecost, let's quit saying we are (See?), until we get back to the real Pentecostal experience, get back to faith, daring faith. Them disciples sealed their death with their faith. Oh, faith of out fathers living still in spite of dungeon, flame, or sword. That's what we want, real genuine faith.

E-60 You Methodists need it; you Baptists need it; you Pentecostals need it; all of us need it. God's going to say, "Why? Is there no balm in Gilead? Is there no physician there, then why? Is there no--is there no prophet in Israel, is there no God there?" Has Pentecostal lost their God? Don't they have any more gifts in amongst Pentecostals? Have they no more prophets, gifts of prophecy, prophets, preachers, pastors, evangelists, no one else to speak in tongues and give message? One thing, you don't reverence them gifts enough. Another thing, you don't prove them first. Then you get every kind of spirit in there speaking. When you get that spirit that don't say something that's right, get it out of there. You don't want a substitute. God's got a real one for you.

E-61 Some man speaks in tongues, then let him... It's a message to the church; everybody keep still; that's God speaking. And listen and see if it's not to the church, then it's in the flesh. See? If it's something to the church, and it doesn't come to pass, them that's a foul evil spirit 'cause God won't lie. Then you'll have your church setting in order. See?
But the way it is, just let it fly loose anywhere and somebody chewing chewing gum, and another one eating popcorn, one talking, and another one whispering to somebody, trying to speak in tongues, three or four at a time, and--and this, and trying... Oh, my. It becomes a Corinthians affair again. You ought to get it back in order, back to the Holy Spirit. Test that gift. You say, "Oh, Brother Branham, we test that too." Well, brother, it has to be tested right here, don't it? That's right. Don't be afraid. If it's God, it's right, one hundred percent right.
But... [Blank.spot.on.tape--Ed.] the top of it... [Blank.spot.on.tape] of that.

E-62 I was talking to the man, an editor, Bob, what's his name that writes Christian Life? And he done it... Sho... Not Bob Schuller, he's the Methodist brother. I know him real well, but I can't think of his name that writes "The Christian Life," the... Walker. He come to Indianapolis. And he said, "Brother Branham, what about the Pentecostals?" He said, "They do this and do that?"

E-63 I said, "And what about the rest of them? They do the same thing?" But many times their members are in the paper; they're out... The editors of the paper and things, you don't hear about it." But I said, "They do just as bad." But I said, "Sometimes somebody does get off of the wrong end. And then what do you all do, you jump plumb across the real thing and pull over to that. And this over on this side, the real wild fire, pour it plumb back over to old cold formal." I said, "It's right in the middle of the road goes the genuine Holy Ghost, the church. Glory. Them old cold formals on one side, and radics on the other side. It's all false from the real thing.
Isaiah said in the 35th chapter, "There shall be a highway." You Nazarenes call it the "highway of holiness." You're wrong. Not disputing your word but said, "There shall be highway and ('and' is a conjunction)... There shall be a highway, and a way, and it shall be called (not the highway but) the way of holiness." The middle of the road."

E-64 Dr. Weed, I know you Assemblies brothers knows him. He's a darling brother, precious friend of mine. I was preaching on that one time. Brother Weed got up and he said, "You know what?"
Brother Vibbert, I guess all of you know Brother Vibbert. He's my cousin, big assembly is at--at Evansville, Indiana. We had a man's meeting over there, Sunday.
Said, he said, "Brother Branham talked about 'the middle of the road.'" Said, "That's not good driving ethics."
So I happened to be standing behind him; he didn't know it. I said, "You see, Brother Weed, just how earthly can get, you Assembly brethren?" He's a precious brother. And the Assemblies is one of my great sponsors. So I said, "You see, you just think about the earthly things so much, and get in such a twist so all you can think about is just the things of the earth." I said, "Sure, riding on earth that's bad ethics, but this road I'm talking about it. You don't come back, it's just a one way ticket. You can't... And so we just laughed. How many knows Roy Weed? He--he's one of the finest men that you could get. He's been a real brother to me. And so there you are.

E-65 But God's going to ask us, "Why?" He asked the king, "Why?" Now, it wasn't because they didn't have a prophet that he could consult. No, no. No, sir. He could have went and consulted the prophet of God. It wasn't because there was no God in Israel, sure. The God of Israel would have told the prophet about the king. But it was the king's own stubborn way.
And that's what's the matter with the nations today in the world. It's not because we haven't got a God, but science is trying to rule Him out of the picture, and the people are too stubborn to stand up on the principles of God's Word. It's exactly right.

E-66 They say, "Oh, that's a bunch of holy-rollers." Let it be whatever it may be. I've been... I've traveled the world over several times; I have never seen a holy-roller yet, and I've looked. There's nine hundred and sixty-nine different organizations and churches recorded in Washington, and there's not a one of them called holy-rollers. That's a dirty name that the devil put on the church. There's no such a thing as holy-roller. No such an organization's called holy-rollers. They call anybody that believes in holiness holy-rollers. And if... "Without holiness, no man shall see God." So you see where the essence of it comes from. Yes.

E-67 All right, the king, he--he was just stubborn. He didn't want to listen to the prophet. They had a prophet. They had God, but they--the king was too stubborn. That's the way it is today; people are too selfish. They talk about Divine healing. They'd rather lay out there and die, than even to admit they believed in Divine healing. People would rather...
It's just like a man dying on a doctor's doorsteps because he won't take his medicine. The doctor's got the toxin for the disease he's got. And the man will set on the door step, and the doctor's got plenty of toxin, but he won't take it, just too stubborn to go in and take it. He will die. And he ought to. So then... If you feel that way about it. It's not because the doctor... Don't lay it onto the doctor. If the doctor's got the toxin and willing to give it, and the patient's setting on the doorstep just too stubborn to come and to take it, don't lay it onto the doctor. It's not the doctor's fault, neither is it the toxin. It's the patient's fault that won't take it.

E-68 The same thing it is in the church. We've got plenty of balm in Gilead, and we got physicians here. But people die in the pews in sin without the Holy Ghost, because they're too stubborn to come take it; and they're afraid it'll hurt their social prestige; it'll break them down, might cost a little of their card parties and things, afraid they might cut up and little and act unruly. No, don't blame the doctor; don't blame the remedy; just blame the patient for not taking the remedy. That's where it's at. We got toxin; we got plenty.
The world is full of the Holy Ghost; it's just everywhere. We got physicians, brother, that knows how to give the medicine, but the--the people won't take it. "Oh," they say, "I'm Presbyterian." That don't mean no more than a hog would be able to wear a side saddle in a stable of a race horse. That don't have nothing to do with it, has nothing to do with it. Presbyterian, Methodist, Baptist, or Pentecostal organization, or anything else don't mean that to God. [Brother Branham snaps his fingers once for illustration--Ed.] You must be borned again. Dying in the church pews, not because there's no toxin, plenty of toxin, but it's because they refuse to take it.
Now, you know what? If you refuse to take the doctor's medicine, it's dangerous. You might die if you don't take the doctor's toxin. You might die, and that's dangerous to not take it. Like the Salk vaccine, like the small pox...

E-69 When I go overseas I--I... They believe... They--they give me so many shots I look like a guinea egg to get into places where they just, the shots--shots with yellow fever and--and all kinds of toxins. They say that keep you from taking it. I didn't want to take it, but you have to take it anyhow. So that's all right.
You say, "Brother Branham, do you believe in medicines?" Why sure, certainly. They are God-given things; we believe that. But that ain't what heals you. What if we didn't have health and hygiene, what would we have? The way the people has accumulated on the earth today and how many things. If the hospital is not of God, then burn the thing down; it's antichrist. See? Sure, but it is of God... But they don't do no healing. They are just a place to keep you away, and to help you, try to keep you clean while you... If you are ever healed, God healed you.
Famous doctor, I wouldn't call his name, he said to me... He said, "Billy, you come in here and the first thing," said, "a horse doctor has to have more sense than we do." Said, "He has to know where the horse is sick at." Said you come in and say, "What's the matter with you?"
Said, "You tell me what's wrong."
Said, "I am in a hurry; I'll write you out a little prescription."
Said, "Do you notice who's name is on there? The druggist, he paid for this." Said, "I'll charge you ten dollars. You go over and get it filled, and he will go back and fill it, and charge you three dollars for something he paid two cents for." Said, "You take them for two or three days," said, "if the Lord hasn't healed you by that time, you come back to my office; I'll charge you five dollars more," and said, "go and get it repeated again." See, there you are. It's God that heals.
Now, I'm not condemning a good doctor. God knows that. And I'll say this one thing. Let me stop a minute. I have found more doctors believing in Divine healing than I have preachers. That's right. And I have went from hospital to hospital.

E-70 Famous doctor had me go to an old man the other day, an old doctor that--that I ain't got time to tell you, that was eighty years old, been unconscious for two weeks. Brother Goad here, knows of the case. Happened to belong to the same club, shooting club that I just went into a few days ago. And that old doctor was laying there. A famous, one of the best doctors there is in the south. Said, "Brother Branham, when you come over just have a word with the old man. He's in unconscious. And while I was holding his hand, he come to and said, "Hello, doctor."

E-71 I said, "I'm not doctor," I said, "I'm Brother Branham."
He said, "I must've been asleep."
"Yeah, about three weeks."
I said, "I guess, doctor, how long have you been practicing medicine?"
Said, "How old are you?"
I said, "Fifty-two years old."
He said, "Before you were nursing."
And I said, "I guess a many nights you've had a flashlight down along the creek banks," old country doctor, "down along the creek banks trying to find some baby with a bellyache or a mother in labor."
He said, "Not a flashlight, a lantern."
And--and I said, "I guess you... then you didn't get nothing for it, maybe a setting of eggs or something."
Said, "No, I didn't expect nothing."
And I said, "Well, you know what I think, doc? You believe in God?"
He said, "I wouldn't be here if I didn't."

E-72 And I said, "You know what I think?" I said, "Over in the gloryland, they must have a little place over in the corner where all them good old doctors that's helped so many times." He started crying. I said, "Now, I'm getting you excited."
He said, "No, no, no. Stay right here."
Doctor... my doctor standing there, friend of mine, started ringing his hands, crying, standing back in the corner. Afterwards he said, "I never seen anything like it in my life." Said, "What did you do to him?"
I said, "I never done one thing but put my hand on him."
A God-fearing old man. He said, "No." I held his hand; I said, "I guess you form--performed a many operation, doc?"
He said, "I never picked up a knife before I asked my Creator to help me and guide it."
I said, "You may be eighty-six years old, but if I had to have an operation, I'd want them same hands to perform it." That's right. I said, "There must be a little place over there in heaven where you at."
He said, "Brother Branham, do you think He will let me in?"
I said, "I think so." He started crying, and hugged him up.
Here he was down on the range the other day, those big old muskets down there, saying, "Watch me hit that target, boys." He's back practicing, eighty-six years old. That's right.

E-73 Oh, yes, they got real men in there. And they got some renegades too. And don't holler at them, 'cause we got some others, renegades, that calls themselves "reverend." That's exactly right. So sauce for the goose is for the gander. Yes, sir. A man's got toxin and--and Salk vaccine for these little children, and not polio. I pray daily that God will sent us something for cancer.
If we can't have faith, let's get something else. Faith is the first. Let's take the next best if we can't get that. Look at the world in the condition it's in: poor suffering humanity. Help everybody you can. Everything that helps is of God. Let's help; let's do everything we can and pray for men. The thing to do, brethren, is get our arms together, both medicine, doctors, hospitals, nurses, church, and all together, and put our faith in God and move forward. That's what we need. God's going to ask us why we didn't do it some of these days.

E-74 You remember, Luke was a doctor too. Now, God never condemned him for being a doctor, but you remember, he wrote the great stories of healing. It was surprising to him to see what God could do. He was the one who wrote them, "former treatise, O Theophilus, I have wrote and so forth like that. Jesus of Nazareth what He all begin to do and say." He knowed what Jesus was.

E-75 Now, people dying in the pews because they refuse the remedy... Now, it is a serious thing to refuse that. But how much more serious is it to refuse God's Balm. What is God's Balm? The Holy Ghost. That's the cure for sin. You might refuse the toxin of the doctor, and you might go ahead and live an ordinary hour, week, or two, or--and die and go on. You might do that, you might shorten your days. But if you refuse God's toxin you'll die eternally. You'll be completely separated from God and mercy for eternity. So don't you never...
"Is there no balm in Gilead? Is there no physician there? Then what's the matter with the daughter of My people that they can't believe in Divine healing no more? Is it because it's not taught?"
"No."
"Well, what's the matter then? What's the matter with the baptism of the Holy Ghost, did they quit teaching it?"
"No."
Got... "Did it fill... people get it?"
"Yeah. Well, is there plenty of balm?"
"Whosoever will, let him come drink from the fountain, gushing fountain of the Holy Spirit, calling whosoever will," physician standing there to pass you to it? And why don't you come? Then God will say, "Why? Why didn't you?"

E-76 "What are you trying to do, Brother Branham?" Shake a faith into a people that they'll realize. "Is there no balm in Gilead?"
Now, I want to ask you something. The reason they dodge the issue, is because they're afraid of the new birth. That's what it is. "Oh, we Americans are so stylish, you know. Oh, my, so much. We just got to put on the--what we call 'the dog' you know. Everybody's got to just be like the Joneses, but they got... I hope there is no Joneses here, if there is I don't mean it to them. But that's just an American expression like Doe, John Doe, I would say. They got to be like that. We--we got to be so classy. They're afraid of the new birth. Let me tell you, brother, they say, "Oh...

E-77 One time I was out there preaching, and there was a boy from a certain church that I used to belong to come up; he said, "Billy, you know what? I was enjoying your message so much until that woman got up back there and begin to screaming and crying then she got all them people started crying."
"Oh," I said, "that excite you?"
He said, "Why, I couldn't hear what you were saying." And said, "That... It was all right up to that time."
I said, "Oh, she was just rejoicing."
Said, "Oh, that just made chills run up my back."
And I said, "Brother, if you ever get to heaven, you'll freeze to death; let me tell you." I said, "Because even the Angels in heaven is screaming with wings over their face and over their feet, day and night, 'Holy, holy, holy unto the Lord. Holy, holy, holy unto the Lord.'" I said, "You're living in the quietest world you ever lived in. If you go to hell, there'll be weeping and wailing and gnashing of teeth. If you go to heaven it will be, 'Glory, holy, holy, holy unto the Lord,' day and night. This is the quietest place you ever lived."
He happened to play on the Colgate's baseball team. And he said, "Well, I don't... They don't do that in my church."
And I said, "Now that's... But I hope you don't think yours is the pattern."
And so he said, "Well..." I said... He said, "Well, that don't look very much like a Christian to me when a minister's speaking to say a thing..."
I said, "You know what? That encourages me. Here them say, 'Amen,' means so be it." I said, "I used to have an old dog." And I said, "He'd take anything but a skunk." And I said, "I--I'd get him to tree under a brush pile, and the only thing I had to do was get him getting that skunk; I didn't want it myself, so..." And I... That's how I got my school clothes, was--was trapping and hunting. And I'd get this skunk under the brush pile, and old Fritz would stand there. The only thing I had to do to get him going there, raise up the pile, and he'd get back and look at me like that, saying, 'Master, you're not going to run me under there are you?"' I said, Go get him, boy. Sic 'im, sic 'im, sic 'im, boy. Go get him." He'd go get him. I said, "The devil is the biggest skunk I know of. When I hear people saying, 'That's right, Amen,' we got him treed then, brother; we'll get him pretty soon. Just--just let him go." Yes, yes, that's right. We got... Amen.

E-78 And I said, "Look, I heard you the other night when Charles Nolan knocked that home run," I don't live very far from the park. I said, "not over about five blocks." I said, "I never heard such as noise in all of my life."
He said, "Oh, Billy, you ought to have been there." Said, "There was three men on base. And you know Charles? You went to school with him."
I said, "Sure."
Said, "He knocked a home run." And said, "Man, I am telling you, you ought to have seen them slide in."

E-79 I said, "You unholy-rollers down there. I couldn't ever sleep for you. Unholy-rollers." I said, "If we are holy-rollers then you are unholy-rollers. See?" I said that... I said, "You would be a poor...?... if he'd set there and said, 'Oh, yeah, see, it's a home run.'" I said, "You say you wasn't very much enthused. You knocking straw hats down over one another's head, and slapping one another, and shaking and everything like that." I said, "When the preacher gets in the pulpit and hits one of them home runs like that, and see them saints open up the way, and see heaven before them, they holler, 'Glory, glory; I see it; I see it. Hallelujah, hallelujah.'" I said, "They just starting the King's highway; that's all."
There it is. See? Yes. Oh, yes, they--they... It's strange how they miss it, but I guess it's just to be that way. It's all cut out by God, and I guess He... That's the way it's supposed to be.

E-80 Now, how does a doctor ever find what kind of medicine that to work on a person with? Yes, they're afraid of the new birth. You know what? The reason they're afraid of the new birth... because... Listen, excuse me, my sisters, will you? I'm--I--I... This is a mixed audience, but you listen to your doctor; I--I am your brother. Any birth is a mess I don't care where it's at. If it's in the pigpen, in the barnyard, or if it's in the pink decorated hospital room, it's a mess. And the new birth is too. It will make you squall, and bawl, and wash all that paint off your face. It--it'll do things for you that you didn't think you'd do. You'll carry on like you never did think you'd do. It's a mess.
But you know, before you can be borned, you have to die, and some people die awful hard. They kick, and bawl, and scream, and carry on. "But unless a corn of wheat falls into the ground and dies, it abides alone." If you want to bring forth fruit, die to yourself and your own manmade theology, and be borned again of the Spirit and the resurrection. That's right. Get rid of the old spirit of selfishness and dryness that's in you. Take on new Life. It's messy.

E-81 Unless a grain of corn falls in the ground and rots, unless a man rots to his own theology, 'less you rotten to Methodist theology, 'less you rotten to Baptist theology, unless you rotten to Pentecostal theology... Until you rot to those things and give yourself into the hands of God, then the old man will die, and the new man will be born, Christ Jesus we will rise. Glory. In the power and the resurrection of--of Christ and the life that was in Christ will be in you, and, "These signs shall follow them that believe." That's what's the matter? Yes. There's where it's at.

E-82 How do they get medicine? You know how they get medicine? They take a guinea pig, and they work up some kind of stuff, medicine, and think this ought to do a certain thing, and they shoot it into a guinea pig. And if he survives it, they'll give it to you. You know, everybody ain't made like a guinea pig. You know, sometimes the medicine will kill you. There's been about as many killed with penicillin as there has been healed or helped. So you know, everybody ain't made alike. So it'll help some and kill the others, 'cause all men ain't made up like guinea pigs. But you know, it'll help some and kill the others, but there's one thing sure, God's toxin will hurt no one, but cure all. That's right. For He said, "Whosoever will..." It won't kill you; it'll heal you. Oh, heal the broken-hearted, lift up those feeble hands to joy.
Take the little wash woman that's so backward she can't even talk to the insurance man that comes to the door, and let her get filled with the Holy Ghost, she can give a testimony that'll shake the shingles off the top of the house. She's got something. Something's happened to her. She's born of the Spirit of God.
Take the orneriest prostitute that ever walked the street out here, the dogs wouldn't ever look at her. That's right. Let her come in and get cleaned up from God, she'll be a credit to any neighborhood. That's right. That's what the grace of God does. It don't whitewash but it washes white. That's right. Make her gun barrel straight...

E-83 I believe in an old time back-woods, sky-blue, sin-killing religion, yes, sir, that's kills out sin and self and you're born again of the Spirit of God and live for Him. That's the kind that saves you, brother.
Sometime when I go back down in the state of Kentucky... You know what? Them Baptists down there in the state of Kentucky would make some of us Pentecostals feel ashamed. They said, "Brother Branham, you said you was a Baptist?" Yeah, I was the real Baptist though. We didn't walk up and take the right hand of fellowship. Brother, we got down at the altar and beat one another on the back till we come through. We got up from there, we had something.

E-84 The other day in California I was in a great church, one of our great Pentecostal churches, and made a altar call, and three or four people come to the altar. And I begged for five minutes to get somebody to come pray with them sinners. I was so tore out and wore I couldn't hardly stand up from preaching, and I said, "Will somebody come, pray?" Just set there just as starchy: a Pentecostal church... Well, them Baptists there would make them ashamed.
I was preaching down there on Declaration Day way back up there in the hollow, an old horses were eating corn all around, dinner on the ground, foot washing, you know, and standing out there preaching, preaching on, "We shall rise, hallelujah, we shall rise on that resurrection morning." I said, "There lays my old grandmother. I held her in my arms, a hundred and ten years old, when she throwed her arms around my neck, said, 'God bless your little soul, honey...?... for evermore. I'll meet you in heaven.'" About that time, my old aunt standing back there with them big long bonnets on, she said, "Hallelujah." Here she come, like that.

E-85 An old sinner boy standing there with a big old limb bark hat in his hand like that, He said, "God, be merciful to my soul." And here he come down to the altar. Before he got there there was about twenty of those old mammies around him. Well, he got saved 'fore he even got to the altar, brother.
You want to know what time we eat dinner? About four-thirty that afternoon. Brother, they stayed there till they come through. Oh, used to be the old cold formal Baptists, now it's the old cold formal Pentecostals. That's right; it's exactly right.
Yes, they give the little guinea pig the noxin--toxin, give it to him. If he makes it, then they give it to you. Won't work... But you know, when God got ready to try His toxin out, He didn't give it to a guinea pig, gave it to Hisself. Amen, that's right. God became flesh and dwelled among us in order to try the toxin on Himself.
Any real good doctor will try it on hisself before he gives it to his patient. That's right. And God, that's the reason He had to become flesh. Jehovah was a Spirit, God is a... God the Father is a Spirit, God the Son is a Man Who the Spirit of God dwelt in. We all know that. So then when... God came down and made flesh so He could take the toxin. So on the banks of the Jordan, He taken the injection Himself, the greatest thing that ever happened: when earth and heaven kissed, when the Lamb and Dove come together. The dove, the meekest bird of the heavens. God, Jehovah reckoned Himself--recom--represented Himself in the meekest bird of the air, the dove. God, the Son, which was Jesus Christ represented Himself in the meekest animal.

E-86 A lamb and a dove, they're both the same nature. What if that dove would've fell down on a wolf? He'd say, "Days of miracles is passed." The dove would swoop right off of him. Sure. First time the wolf snorted... Know one them big tempers, you know, they got like that, "I'll tell you right now; you don't belong to mine." Oh, oh. The dove don't stay there. Dove is meek; the lamb is led. The lamb don't have but one thing to offer: that's wool.
I heard someone tell me, said... woman said, "It's my American privilege if I want to smoke cigarettes."
I said, "That's exactly right."
Said, "They sell it."

E-87 I said, "That's exactly right. But if you're a lamb, you forfeit your rights. But if you're a goat, you won't do it. Somehow you just do whatever you want to. See?" It's your right, but you forfeit it for the Kingdom of God's sake. That's right. You forfeit all your rights. Kingdom of God's sake, forfeit it. Certainly.
Now, we find out that God took the noxin Himself, the toxin. He was inoculated. They watched Him through life. When they spit in His face, He said nothing about it. When they put an old dirty rag around His head and hit Him on top the head, said, "Now, if you're a prophet, tell us who hit you and we'll..." He never opened His mouth. They jerked handfuls of beard out of His face till He was bleeding. They put a crown of thorn on His face. He said, "I could speak to My Father and He'd send me twenty legends of Angels, but My Kingdom's not of this world." See, the toxin held in the time of temptation.
They stuck Him on the cross and let Him thirst up there and die, bleed till His human body run dry; toxin held. "He riled not back when He was riled on." That's the kind of toxin.

E-88 Everybody there, the world was watching it; the disciples was watching it. Then they seen Him till it finally when He come to the last hour, what would He say, "Oh, I was wrong, I was wrong. Take me off; I'll join your churches; I will believe your theology." He said, "Into Thy hands I commend My Spirit. Father, it's finished." Amen. O God, the toxin held, brethren, the toxin held.
Then they hear Him. Some of them said, "This impostor said that He'd raise on the third day. Let make sure." So they took a hundred men, rolled a big rock up against the door and put Caesar's seal upon it. Better not break it. What's going to happen? Where's the toxin at now? Glory to God, on Easter morning, it proved where it was. Amen. It broke the seal of Caesar; it broke the seal of death, broke the seal of the grave, broke the seal of hell. It rose up again (Hallelujah.) triumph over death, hell, and the grave. God's toxin held.

E-89 There was a hundred twenty people said, "I want to get inoculated too." I want that kind of inoculation, don't you want that? Jesus said, "The same inoculation I've got, you'll have it, also. It'll work on you just like it does on Me. The works that I do, shall you also if you'll just get inoculated with this toxin that I'm on."
Well, if... You say, "That's wrong."
Oh, wait, it isn't either. Two come to Him, said, "Lord, let my, one of my sons set on Your right hand and one on the other."
He said, "Can you drink the cup that I drink? Can you be baptized with the baptism that I'm baptized with?"
Said, "Yes."
In other words, "Inoculated with the inoculation that I am inoculated with?"
Said, "Yes."
Said, "You will, but the right and left hand's not Mine. That belongs to the Father to give that." But said, "You shall be inoculated (in other words), receive the same that I have got."

E-90 Now, wouldn't you like to have that inoculation? Wouldn't that be fine to know that in life you could live that Life. In life would these signs will follow you. In death you could say, "Father, it's finished, into Thy hands I commend My Spirit." Oh, my. Then on the resurrection morning, Glory to God, with my pack...?... and they're fixing to shovel, but on that resurrection morning, you'll come forth again...?... They saw held in the hour of death. It held in temptation; it held to the sick bed; it held in the grave; it held in hell; it held on Easter.

E-91 And there's a hundred and twenty desired that inoculation. So they went up to the upper room to wait for their inoculation. Amen. Jesus said, "I'll send a stirring down as soon as you get up there and wait."
Oh, now I begin to feel real religious; honest I do. Glory. You're going to call me a holy-roller anyhow; you might as well get started. You think Baptists don't shout? Here's one that does, and I believe it. Amen. Yes, brother. Hallelujah. Climb in them upper rooms and waited for the inoculation to come. All of a sudden there came the serum from heaven.

E-92 "Is there no balm in Gilead? Is there no physician there?" Here come the inoculation down, the medical kit for healing. "For He was wounded for our transgressions; He was bruised for our iniquity. Chastisement of our peace was upon Him; with His stripes we were healed." Hallelujah. The symptoms and...?... death on Calvary sent back the inoculation to the church for the commission, "Go in to all the world, preach the Gospel. These signs shall follow them that's inoculated."
There came a sound from heaven like a rushing mighty wind and inoculated a hundred and twenty. How did they act? Just like a branded cat rubbing this way, staggering under the impact of that inoculation. Brother, they were so drunk on the Spirit till the people thought they were crazy. They said, "These men are full of new wine."
Peter said, "Full of new wine?" Got up and begin to preach to them.

E-93 Now, the first thing you know, they said, "We would like to have some of this inoculation." They seen something real. The hungry-hearted church members saw something real, something that actually those people had that was making them act like that. They seen that they had something, 'cause they looked like they were drunk and yet they were religious, and yet they had signs following. Said, "Well now, have you got a doctor here? Is there any doctor here?"
He said, "Here we got one here, Dr. Simon Peter. Come forth, Dr. Simon Peter, tell them the prescription."
Said, "What can we do to be saved? What can we do to get the inoculation?"
Now, Peter said, "Well, you must take the kosher. You must give the right hand of fellowship. You must be tried for six months first to see whether it really works or not." Oh, mercy. That's manmade theory.
Peter said, "Repent, everyone of you, be baptized in the Name of Jesus Christ for the remission of your sins, and ye shall receive the Holy Ghost." Amen. All of that...?... said, "I am giving you an eternal prescription." Dr. Peter gave them a...

E-94 Dr. Simon Peter, on the day of Pentecost, gave us an eternal prescription, not a join hands, shake hands, sprinkle. He said, "Repent." Not come into the church, but said, "Repent, everyone of you, be baptized in the Name of Jesus Christ for the remission of your sins, and you shall receive the gift of the Holy Ghost. For the promise is unto you and to your children (this prescription), whosoever will let him come." That's it.
"Is there no balm in Gilead?" Yes. "Is there no physicians there?" Certainly. That's right. "Then why is My people so sickish." Hallelujah. You know what's the matter? You get a real doctor that'll write out a prescription, and you take it down to some quack druggist, and he goes to mixing that prescription with something else, he will kill the patient. It's exactly right.

E-95 That's what's the matter. We got too many quack seminaries that's tried to make something else. "Join the church; your mother belongs here. Put your name on the book." Brother, don't you tamper with that prescription; you give it just like that doctor wrote it. Hallelujah. And the same results will come if you'll follow the prescription. Don't divvy from it.
Now, remember, the prescription has so much poison in it, then it has enough antidote to upset that poison and that poison... He diagnoses your case, and then He gives you enough poison to kill the germ, enough antidote to upset it so it won't kill you. And if you put all antidote, it won't help you, put all poison, it'll kill you. So it has to be in a balanced prescription. And God, the Doctor, knowed how to give it to Simon Peter and he wrote it, and he said, "This prescription is for you, your children, and to them that's far off, as many as the Lord our God shall call."

E-96 Now, you say Pentecost is not right. What's the matter. What kind of a drug store are you going to? That's what's the matter. We got card parties in the church, bunco games to pay the preacher, selling old roof-top roosters, boil them up, about sell them for a dollar and half a plate to pay the preacher, him standing up there talking about flowers and things and never preach the baptism of the Holy Ghost. What's the matter, boy? That's the reason we got sickness; that's the reason we got people that don't believe in Divine healing. It's because they haven't got the right prescription. Amen.

E-97 You get the baptism of the Holy Ghost, and you'll believe in God's power; you'll believe every word God says; you'll punctuate It with an "Amen" to everything He talks to you. And them people didn't set there and say, "Well, Simon, I suppose, I guess it's all right." Brother, when they got That, they were filled with the Holy Ghost to begin to stagger...?...
And here, you Catholic person, the blessed virgin Mary was right there. And if God wouldn't let her come to heaven without, she took that same prescription, how are you going to get there anything less? Some of you cold starch Pentecostals, you cold starchy Baptists, you cold starchy Methodists, how are you going to get there anything less than that when even the mother of Jesus Christ had to go up there, and get the same thing, and stagger and act like she was drunk? If that's ain't the Bible, I ask any professor to come disprove it. That every time in the Bible they ever got the Holy Ghost, they acted exactly the way they did there. The prescription will take the same effect on every time. Amen.
What time is it? Oh, I thought it was seven o'clock. Oh, brother, listen brother, listen sister, what the world needs today is to see something real. That's what they're looking for, to see something real; I mean the real borned again.

E-98 Now, them kind that was ordained to Eternal Life will see It, "My sheep hear My voice." Exactly, that's right.
You say, "Well, yes, we are Presbyterian, now..." or "We're Baptists, we..." I don't care what you are, if you hear the real Voice of God, and the real Voice of God made them people act like that, and do like that, and have a ministry like that, the same power of God will do the same thing today if you've got it. That's right. If you received It, It'll act on you like It did them. Certainly it is. Peter said, "This prescription is for all generations." So you people who are making up a bunch of manmade dogma and call it doctrine, call it creeds, church creeds, Presbyterian, Methodist, Baptist, and even Pentecostal creeds... What's the matter with you? Take God's prescription.

E-99 That's the reason the children are sick, they haven't got the prescription fulfilled yet. God's got plenty of Balm, now, don't worry about that. You just obey the prescription and see what happens. Repent and see if the Holy Ghost will come. Do as God said do and see if the Holy Ghost will come. See if It'll take the same effect it did.
What's the matter today, friend? We've got to really have it. That's what God said: something real. While I am talking about real, let me close. Will you give me five more minutes?

E-100 I like to hunt. I just love to hunt, just to get to see the sunsets, and get in the woods. As all of you know, my mother's a half breed. My mothers' mother come from the Indian reservation, and draws a pension. See? So we... My conversion never took it out of me, the love of the woods. The Christian Business Men, Full Gospel, they take me on the "River of No Return," around the world. I hunt in Africa, Asia, the mountains.
Bud Branham, the Rainy Path Lodge at Anchorage, that's my cousin. See? And sixteen planes going in for grizzly, sheep, and so forth. You hunter brothers and so forth, you ever go up there let write him and to get you in there cheap. See? So and... And--and I get to go up there and hold meetings. And they take me in for nothing, 'cause I don't have any money. So... And that's the way... The reason I don't have to have any money, if the Lord wants to send me to Africa, He will say, "Brother Branham..." Somebody will come up and say, "Lord, said to give you this."
I say, "Thank You, Lord." I knowed it. See, there I go.

E-101 See, I don't have to beg for nothing; the Lord don't want me go, then He keep me here. See? Just... That's the way to live. I love to live that way. Just what He says is all right. I ain't got nothing, don't want nothing. So I just want His grace is all.
I used to hunt up in the north woods. I had a hunting partner up there and you... All you brethren that hunt know what a good hunting partner is. You know one another. He was one of the finest hunters and the best shots I ever seen. You never had to worry about him. Sometimes you'd take a chee-chocker in the woods, and you would get... Chee-chocker, that means "greenhorn." It's an Indian word. But you take him into the woods and you just have to keep an eye or him, or get him lost. But you never had to worry about old Burt. He knowed where he was at, about half Indian himself.
So he was a fine fellow, but the meanest man I ever seen in my life. He was [Blank.spot.on.tape--Ed.]... cruel-heartedest guy. He used to shoot little fawns just to make me feel bad. Now, I don't think it's wrong to shoot a fawn. If the conservation says for you to shoot a fawn, that's all right. Abraham killed a calf and fed it to God. So the fawn part's all right, but not just to be mean. It's--it's not what you do; it's the way you do it. So sometimes it's not what you say; it's the way you say it.

E-102 And so then this--this little fawn... He'd see them little fawns, and he knew, me being a minister you know, he'd just shoot them little fellows, eight or ten of them a year just to make me feel bad. And I said, "Burt, you are one of the finest buddies, and I like to hunt with you because you're a good fellow; but you are so mean."
He said, "You call me mean."
I said, "You're more than that. You are wicked."
And he said, "Aw, preacher, get next to yourself," said, "you are chicken-hearted like the rest of the preachers."
I said, "I'm not chicken-hearted." But I said, "Man, they... I'm a hunter." And I said, "I--I don't... I'm not a killer; I'm a hunter."
And he said, "Aw, get next to yourself, Billy."
One year, up there, he said... I went up and I was a little late getting up there, season had opened a couple weeks. And oh, if anybody ever hunted in north woods, them whitetails, oh brother, talk about Houdini, the escape artist, they... and... He's--he's an amateur to them when they're shot at a couple times. And they just--just like that. [Brother Branham snaps fingers for illustration--Ed.] And sometimes you can't see over twenty feet away from you in them woods there in Maine where you... You--you'd better know where you are at or you'll never come back, for hundreds of miles it's just level, and you fall in the marsh, and go over your head ten times. And--and it's just dangerous hunting. If you are not a real woodsman, stay out of it unless you got somebody with you.

E-103 So we were out there hunting and we... And before we went out... My wife was with me, and she stayed up the lodge at the camp, and there's about twenty women up there. So Burt and I, we was taking across the other side of the mountain, and we knew where we were at and was hunting. And he said, "I got something, Billy."
I said, "What is it, Burt?"
He reached down in his pocket and he had a little whistle. He could blow it, and it sound like a little fawn crying (that's a baby deer, you know), crying for it's mammy. And oh, I said, "Burt, you are not that cruel. You would... Would you call a doe up with that fawn call?"
He said, "Aw, get next to yourself." I didn't really think he'd do it, honest.

E-104 We hunted. There was about six inches of snow on the ground, about good hunting weather, tracking. We hunted all the way till noon, didn't find a thing, not even a track. They was... Them deers feed at night, and then in daytime they get back under the bushes and things; you can't move them. And so, they won't move till it gets night again, unless you happen to step on one, get him out. So then we hunted till about eleven o'clock, eleven- thirty.
And we always packed a--a thermos bottle full of hot chocolate and maybe a sandwich. And we climbed up as far as we could, then at noon time we'd eat then separate, and he'd go another way and me another way. And we'd come back to the...?... camp for that night. Come in maybe ten or eleven o'clock at night. So then... He...

E-105 It had come to a little opening about the size of this auditorium in here. And he just kind of... He was in front of me so he just kind of hunkered down like this. "The hunker," I guess that's all right here, isn't it? There's enough Kentuckians here know what I mean when I say, "hunker." So just kind of stooped down, rather. And he reached back in his pocket like this, and he was going to get the... going to get his... I thought he was getting his sandwich out. And when he did, he brought out that little whistle. And I looked at him, I said, "Oh, shame on you, Burt."

E-106 He blowed it, and it sounded just exactly like a little baby crying for its mother. And when he did, I looked just across the place, and a great big doe stood up. And he had eyes just like a lizard. And he looked at me with those lizard eyes like that, and I said, "Oh, you wouldn't do that, Burt." I said, "She... That's a mother, brother." I said, "That's a mother. She just thinks that's her baby."
He said, "Oh, get next to yourself, preacher." Sticks around like this with his gun.
I thought, "Oh, my."
And he blew it again. I could just see them great big eyes and big ears sticking out like that, doe, the mother deer. She probably had fawns. You see? So her baby was in trouble. She was listening, them big ears up. And so he blew it again.

E-107 Now, that's altogether unusual that time of day, eleven o'clock in the day. So she stepped right out into this opening. Now, that's altogether unusual if anybody hunts deer. Walked right out into that opening... What was the matter? She was looking for her baby. She was looking around like that.
Now, she wasn't playing the part of hypocrite. She had something in her; she was borned a mother, and her baby was in trouble. She was looking for that baby.

E-108 Just then I seen old Burt. We never carry a shell in the--in the barrel; that's a bad policy. So I seen him take this .30-06 and put a hundred and eighty-grain mushroom bullet. Oh, a dead shot... Pulled that kit down, raise it up like that and them cross hairs in that scope right across her heart. I thought, "O God, how can that man do that? That mother looking for her baby, and then he be cruel enough to blow that precious loyal heart plumb through her?" Why across this building with that... using that heavy load of shell, he was, why, he'd blow her heart plumb out of her. I thought, "How can he be that mean just as that precious mother, that loyal heart looking for her baby... out looking for her baby, and then him shoot her heart out of her." I thought, "Burt, you're wicked."

E-109 And he looked down. I see him moving down like this, just setting himself. Oh, brother, I knowed what was going to happen. I couldn't look at it. And--and the... When I turned around to see what he was doing, the deer spotted the hunter, and she spooked. That--that's the hunter's word. That means she got scared.
And she--she looked up. She threw them big ears up like that. Did she run? No, sir. Death or no death, her baby was in trouble; she was looking for it. Oh, my. She couldn't help it; she was a mother. She was borned a mother. She wasn't playing the part of a hypocrite; she was a mother. Death or no death, that baby was in trouble, and she was looking for it. And I thought, "Surely that ought to strike that cruel-hearted man."
And I seen him level himself getting ready to shoot. I turned my back. I couldn't look at it, I just couldn't stand it to see that precious mother going to get that precious loyal heart... And she loved her baby so much until she was going to have it blowed plumb out of her. Looking at him, looking at him when a hunter was setting there too, and knowed that meant death to her. But she was hunting her baby.
And I turned around; I thought, "O God, oh, how can he do it, how can he do it? My, so cruel." And I was standing behind a little spruce tree. I thought, "O God, how can he do it?" And there was a snow bank there. And I thought, "That precious mother's going to get her heart blowed plumb out of her. God, I can't look at it. How can he do it?"

E-110 I noticed the gun didn't fire. I turned around to see what he was doing. He was going like this, he was shaking. He looked around to me, and those lizard eyes had changed. Great big tears was running off his cheeks. He grabbed that gun and throwed it on the ground, and he grabbed me by the pants leg, he said, "Billy, I have had enough of it. Lead me to that Jesus that you talk about is so real."
What was it? He saw something real. He saw something that wasn't put-on; he saw something that was genuine. He saw a mother's love that would stand in the face of death, or regardless of what it was. He saw something real, not a sermon I preached or a song that the church sung. He's a deacon in the Baptist church now.
He caught me by the leg on that snow drift, he said, "Billy, I have seen something that's real." Said, "I've had enough." Said, "Tell me about Him."
I knelt down in the snow, and I said, "Burt, God said, 'If they hold their peace, these rocks will cry out.' Do you love Him?"
He said, "I want the kind of love for my God that deer had for her baby." There on the snowdrift there I led that hunter to God.

E-111 I wonder tonight, how many in here would like to have that kind of love for your Lord like that...?... that...?... She... what did she do? She displayed something that was real. Now, friends, there's so much make-belief today. Let's not take that. Let's have something real. It's so late.
Let's just stand to our feet and consecrate our lives to God. All that wants God to come into your heart and give you an experience to be a lover of Christ and have the love for Christ that you could face death or anything, the kind of love that that mother deer had for her baby, raise up your heads and hands like this. Let us bow our heads.
Yes, Lord, we got balm. There's balm in Gilead. There's physicians here. God, I pray that You'll help the people now to come and be inoculated, come and be inoculated from temper, from unbelief, get ready for that great service tomorrow. Grant it, Lord.

E-112 With our heads bowed, how many of you wants that real Pentecostal Holy Ghost love of God? That, Pentecost, is real love. Would you come, stand around the altar while I pray for you? Come, move out of your position now while you're standing, come up here now and say, "I want that kind of love, Brother Branham. I want that love of my Lord." God bless you, God bless you. That's right. Come from the balconies, either way. Come right up.
This might be the hour that all your life... What's--what's any more greater to you, friends? No matter... If you're a church member, that doesn't matter. You say, "Well, I belong to a Pentecostal church." But if you haven't got that dying love for Christ to display before the world so the people can see, won't you come?

E-113 You Pentecostal people that knows that you're living a life... You got temper, and you got flusterations, and you sometimes fear, doubt. Why don't you come on up? Come around; show God just by coming up, "I--I am sorry, God. I--I--I--I want love; I want real love. I want to love You, Lord, like that mother deer loved her baby."
You say, "But my neighbors, I go to church with them." But your Lord, what about Him? May you... Come from the balconies, would you? There's plenty of you up there. We'll stand right here and wait.

E-114 You young students here from this college, who are going out to be the men of tomorrow, the women of tomorrow, why don't you come and dedicate your life. We're not asking you to join any Pentecostal church. You stay a Methodist, just what you are. But you come and get this experience of the love of God in your heart so sweet. And when you go to your parish, wherever God will lead you, young man, young woman... Why don't you come and get a real inoculation from sin.
Some of you students out there smoking cigarettes, aren't you ashamed? Come here. Why, John Wesley would've turned in his grave if he'd have knowed it, you being his student then. Come on up here, won't you come? Set... Get God in your heart really. Come won't you? Come out of the balconies all. All, "whosoever will," the prescription's open tonight. We have got balm here in Gilead and here's the physicians right here. Take it from them...?... baptize...?... whatevermore, and believe. We have it here. Won't you come up? Won't you come and rededicate yourself to God and have an experience? God's going to...

E-115 Now, remember, God's going to ask you, "Why didn't you come?" Before morning, if you get sick, you feel pains in your arms, they're coming up around your shoulders, you know what that is, don't you? You're dying. You feeled your pulse coming up, your hands getting cold; the doctor runs up, says, "It's a heart attack." The ambulance is screaming and you feel your life, you are pressing the pillow, and you know you're going to die, God's going to say, "Why didn't you come?"
"Well, Lord, I belonged to the church." That ain't what He's talking about.

E-116 Why, why? Why is there sin sickness in the church? Is there no balm to cure it? Yeah, there's balm to cure it; there's physicians here. Everything's ready, won't you come? Come now while we're waiting just a moment.
... Saviour,
Hear my humble cry;
Make me a Christian, make me borned a Christian like that deer. What was that deer? She was borned a mother. She was born to be a mother. Come, be borned to be a Christian. Come on. You'll have the same love of God, more so than that deer had for the fawn. "Can a mother forget her suckling babe? Yes, she might, but I can't forget you," said, Jesus. "Your name's engraved in on the palms of My hand."

E-117 Won't You come? I'm inviting you. And remember, at the day of the judgment when you're asked, "Why," the tape recording of this night will be played over.
... Do not pass me by.
Saviour...
Come, every soul, every soul that hasn't give their flusterations, doubts... Sick people, come. If you haven't enough faith to obey, won't you come now and give get the real thing in you that gives you faith. You're bound to be healed tomorrow night. Why don't you just come now around the altar, stand here, say, "Lord, take all my doubts away this evening. Take all my doubts; let faith have its...?... here, that makes me really know. Give me something that tomorrow night when that healing line's called, I'll say, 'Lord God, there's not a shadow of doubt in my heart, I believe You, Lord.'"
While on others Thou art calling,
Do not pass me by.
Saviour, Saviour,
Hear my humble cry;
While on others Thou are calling,
Oh, do not pass me by.

E-118 Look setting up here in the corner, a little mother nursing her little--nursing her little baby on her lap... If somebody would come tonight and say to that little mother, "I'm going to kill you or the baby." Which would die? The mother, sure. Why? That's hers. It laid under her heart for nine months; it's hers.
Why don't you lay under His heart now and give your life over to Him. He died for you that you could be saved. Now, that mother could, something could happen to her, and she could forget her baby; the Bible said so. "But never can I forget you," He said. "Your names are engraved in the palms of My hands." Won't you come now? This is the--like a consecration service. Come now. One more time so I'll be sure that I called everybody.

E-119 Now, remember, you Catholic people... You say, "Brother Branham, I'm Catholic." I don't care. A Catholic can be saved as anything. "I'm Baptist." All right. "Well, I'm Pentecostal." A Pentecostal can be saved just like anybody else could be. But if you hadn't have got...
No, listen, "Though I speak with tongues of men and angels and have not love, I am nothing." That is the Pentecostal, speak with the tongue of men and angels, both the unknown and the known tongues. Now, you Methodists, "Though..." and Baptist and Catholics, "Though I understand all the mysteries of God could explain the whole Bible, know It all, my theology is supreme, and have not the kind of love, I am nothing. Though I give all my goods to the poor, give my body to be burned as a sacrifice, faith to move mountains, though I could do it and have not love, I am nothing. Where there's tongues, it shall cease. Where there is prophecy it shall fail. Where there's knowledge it shall vanish, but when love comes it is pure and forever."
Dear dying Lamb, Thy precious blood
Shall never lose it's power,
Till all the ransomed church of God
Be saved to sin no more.
Listen.
Ever since by faith I saw that stream
Thy flowing wounds supply,
Redeeming love has been my theme,
And shall be till I die.
Then in a nobler, sweeter song,
I'll sing Thy power to save,
When this poor lisping, stammering tongue
Lies silent in the grave.

E-120 Let me live in You with every ounce of my strength my body and all that I am to express the love of Jesus Christ that's shed abroad in our hearts by the Holy Ghost.
Now, every person in here, you around the altar, whatever your trouble is, confess it to God: "I got temper. I got habits. I'm ashamed of my life. I've done this, that, or the other." I'm going to pray for you, I want everybody to be reverent.

E-121 Our heavenly Father, these people has come upon the simple Word of the living God, and upon the story that happened some twenty years ago when a cruel-hearted hunter to be mean and indifferent, that day up there on that snow drift, when he saw a mother deer display a real genuine love, he saw something real. That's what he wanted. Surely, if God could give that kind of a love to the animal, he could give it to a man. And there You give him that great experience of the new birth.
Now, Father, these are standing around the altar. They're women, mothers, fathers, children. God, they're standing here waiting to receive that love. May they not walk up here in vain, but may they be so determined that they are going to be inoculated from their egos, their thoughts, their--their--their flusterations, their tempers, until the Holy Ghost will fall upon them, Lord, like a rushing mighty wind. Grant it, Lord. Through Jesus Christ's Name, I commit them to You.
Now, I want you clergymen to walk right up here with me...?... Here's ministers walking up here to kneel and pray.

E-122 Now, if everybody in the audience, I want to bow your head while I am going to ask our Brother...?... if he will lead us in prayer.
I commit you to Jesus Christ, the Son of God for the desire of your heart that you come for. While we pray.

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