Un Paradoxe

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Date: 61-1210 | La durée est de: 2 heures et 35 minutes | La traduction: Shp
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1          Bonjour, mes amis. C’est un privilège d’être de nouveau ici ce matin. Et j’étais... Ils m’ont informé qu’ils ont tenu une réunion spéciale et qu’ils en ont fait un compte-rendu. Et ils voulaient que je vienne écouter ce compte-rendu sur ce que le... au cas où j’aurais quelque chose à dire pour ou contre cela, en rapport avec... ils ont dit qu’il y avait quelque chose en rapport avec les entretiens, qu’ils auraient connu des difficultés. Je pense que c’est génial, comme cela. J’accepte cela. Cela me donne alors l’occasion de pouvoir...

2          Il y en a tellement. Je pense qu’il y a environ six cents cas sur les listes d’attente, maintenant même (voyez?), pour des entretiens particuliers. Et je suis moralement lié à ma parole, pour m’occuper de chaque personne jusqu’à ce que nous allons recevoir quelque chose de la part de Dieu pour cette personne. Voyez-vous? Et alors, si vous faites cela, il se peut que vous ayez une seule personne, juste là sur la liste d’attente, ou plutôt avec cette seule personne peut-être, vous pourriez attendre durant deux ou trois semaines juste pour cette seule personne (voyez-vous?) jusqu’à ce que Dieu nous parle vraiment: nous nous mettons ensemble et prions; nous retournons et nous nous séparons; ensuite, nous revenons, nous prions ensemble jusqu’à ce que nous ayons l’AINSI DIT LE SEIGNEUR pour cette personne-là. Eh bien, entre-temps, voyez-vous, il y a d’autres choses.

3          Maintenant, de cette manière, voici la procédure que je trouve convenable: que chacun de vous écrive sa requête, quoi que ce soit, et qu’il me la remette tout simplement. Remettez-la-moi, et ensuite accordez-moi le temps de prier pour ces requêtes. Après, je vais appeler ces gens là où... Est-ce que c’était–est-ce que c’était de cette manière qu’on le faisait? [Frère Neville dit: «Amen.»–N.D.E.] Maintenant, c’est–c’est bien. Vous voyez, et ensuite, pendant que je suis en train d’attendre pour cette seule personne, je peux avoir cent, deux cents personnes, juste dans ce groupe, ce groupe qui est juste ici, pendant que je suis dans l’attente pour une seule personne. Parce que de cette manière-là, cela m’accordera alors la possibilité de pouvoir voir plus de personnes. Je–j’aime vraiment cela. N’importe qui qui a eu cette idée, eh bien, je pense que c’est très bien. C’est merveilleux.

4          Et alors, maintenant, cette semaine a plutôt été une semaine glorieuse pour moi, ces deux dernières semaines. Je suis sorti pour être dans la Présence de notre Seigneur, comme vous le savez.

5          Mais je pense, avant que nous commencions le service, je pense que je... Et je sais une chose, c’est que j’ai un petit-fils ici quelque part dans la salle, et peut-être... Même s’il est un Branham, il est un désordonné, il court partout par ici quelque part, peut-être; ainsi c’est lui–c’est lui qui doit recevoir ces instructions, il est donc ici quelque part. Je pense qu’il y a un service de consécration, pour les autres mères qui ont aussi amené leurs petits enfants. Eh bien, je demanderais à frère Teddy (je crois que c’est lui), de venir au piano; et nous allons chanter notre vieux cantique habituel pour le service de consécration des bébés. Amenez-les.

6          Or, bien des gens, dans bon nombre d’églises, aspergent les bébés. Et nous essayons de suivre strictement la tendance de la Bible, au mieux de notre connaissance. Eh bien, il n’y a aucun passage dans la Bible où on ait jamais aspergé un adulte, encore moins un bébé. Et l’aspersion d’un bébé ou d’un adulte n’a jamais été ordonnée par Dieu, nulle part.

7          Mais il y a dans la Bible un passage où des petits enfants ont été amenés à Jésus, et Il a levé les mains et les leur a imposées, et Il les a bénis et a dit: «Laissez venir à Moi les petits enfants.» Maintenant, c’est ce que–c’est ce que nous appliquons ici. Et alors, en tant que Ses serviteurs, nous les amenons simplement devant–devant Dieu dans la prière; et s’il y a quelqu’un ici dont le petit bébé n’a pas encore été consacré...

8          Nous ne croyons aucunement dans le fait de baptiser ces petits bébés. Parce qu’ils n’ont pas de péchés. «Ils sont nés dans le péché, conçus dans l’iniquité, ils sont venus au monde en proférant des mensonges», mais ils n’ont rien pour lequel se repentir. Et le baptême se fait pour la repentance et la rémission des péchés. Le bébé n’a donc rien pour lequel se repentir; et lorsque Jésus mourut sur la croix, Il purifia tout péché. Et alors, lorsque nous devenons assez grands pour savoir que nous devons nous repentir pour ce que nous avons fait, alors nous sommes... et reconnaissons que Christ est mort pour nous. Ce petit bébé ne peut pas reconnaître cela, que Christ est mort pour lui; mais lorsque nous devenons assez grand pour reconnaître que Christ est mort pour nous, et qu’ensuite nous sommes–nous sommes alors baptisés dans Sa mort et ressuscités dans Sa résurrection... Le Seigneur voulant, je parlerai de cela, le Seigneur–si Dieu le veut.

9          Maintenant donc, nous les amenons et nous les consacrons. Quelle que soit leur mère, quelle que soit leur église, quel que soit leur credo, quelle que soit leur couleur, ou quoi que ce soit d’autre, nous consacrons tous les petits enfants au Seigneur Jésus-Christ.

10        Maintenant, Frère Teddy, donnez-nous la note pour nous permettre de chanter ce cantique: Amenez-les, s’il vous plaît. Très bien, tous ensemble maintenant.

            Amenez-les, amenez-les,

            Amenez-les loin des lieux du péché;

            Amenez-les, amenez-les,

            Amenez les perdus à Jésus.

11        Dans la vision que j’ai eue juste après la mort de ma mère, c’était ce cantique que j’étais en train de conduire: Amenez-les, alors que les petits enfants... Voulez-vous venir, Frère Neville.

12        Je connais ce garçon. Billy dit: «Ne le fais pas tomber. Ne le fais pas tomber.» Oui. Ça, c’est William Branham, nous nous tenons ici, trois ensemble, des William Branham, trois générations et trois noms. Il me contemple aussi ce matin. Ils ont Quelque Chose qui leur donne plutôt l’air innocent, vous savez. Et lui, c’est William Paul Junior. Et nous sommes reconnaissants, je suis reconnaissant ce matin de donner au Seigneur Jésus, en le prenant des mains de son père (mon fils), mon petit-fils, pour une vie de service; que les bénédictions reposent sur le père et la mère. Inclinons la tête.

13        Notre Bienveillant Père céleste, je reconnais que je suis très loin sur la route, au moment où je tiens mon petit-fils dans mes bras.

14        Mais, je pense à Jacob, alors qu’il tenait sur ses genoux ses petits-enfants, Ephraïm et Manassé, quand il était devenu un vieil homme; il a béni ces enfants, il leur a accordé les bénédictions spirituelles qui ont subsisté jusqu’à ce jour même. Il a croisé ses mains en faisant passer la main destinée à l’un sur l’autre, faisant passer les bénédictions des Juifs aux Gentils au travers de la croix. Que le Dieu du Ciel s’approche maintenant.

15        Ce petit-fils que Tu m’as donné, Seigneur, au travers de mon fils et de ma belle fille... Je pense au fait qu’elle était stérile, elle ne pouvait pas élever des enfants, et quand on revenait ce jour-là de Yakima, Washington, elle pleurait donc et disait: «Je désire avoir un bébé.»

16        Ton Esprit est venu dans la voiture, et là j’ai dit: «Tu vas l’avoir.» Et aujourd’hui je tiens ce beau petit garçon dans mes mains, Ta Parole parlée, Ta promesse.

17        Maintenant, Seigneur, en agissant avec simplicité, nous plaçons par la foi, ce bébé dans les mains du Seigneur Jésus, afin que Lui qui est ici sous la forme du Saint-Esprit le porte dans Ses bras, prenne soin de ce bébé, et le guide tout au long de sa vie. Accorde-lui la bonne santé, la force et une longue vie, si Tu tardes. Et que ce bébé puisse être utilisé pour Ta gloire. Que la puissance du Dieu vivant repose sur cet enfant. S’il vit jusqu’à devenir un homme, et que Jésus tarde, puisse-t-il prêcher l’Evangile. Que la puissance de Dieu qui l’a donné à sa mère et à son père ne puisse jamais le quitter.

18        Bénis son papa et sa maman. Puisse-t-il croître, et puisse le papa élever ce bébé dans une atmosphère chrétienne, afin que toute éducation qu’il est possible à l’homme de donner, que cet enfant puisse en bénéficier.

19        Maintenant, petit Billy Paul Branham, Junior, je te consacre au Dieu Tout-Puissant, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

20        Je pense que les petits bébés ont quelque chose de très doux.

21        Je me souviens de Loyce, elle pleurait et elle se tordait les mains. Elle est vraiment nerveuse. Loyce est passée par de grandes tribulations, elle est juste une jeune fille du Kentucky, qui a connu une vie plutôt difficile. Et elle... Une nuit, Jésus lui est apparu, se tenant dans le froid. Et elle est venue en courant jusqu’à la maison, vers minuit, elle et Billy, après qu’ils se sont mariés. Et ils... Là à côté du divan, j’ai placé ma main autour d’elle et je l’ai conduite au Seigneur Jésus.

22        Elle désirait vivement avoir un bébé. Ils s’étaient mariés depuis plusieurs années. Et un jour, en revenant de Yakima, elle était plutôt en pleurs. Ça faisait... Le Saint-Esprit est venu dans la voiture et lui a révélé une maladie gynécologique qu’elle avait et qui avait cau-... c’est la raison pour laquelle elle ne pouvait pas avoir d’enfants. Puis, le Saint-Esprit est revenu et a maudit cette maladie gynécologique, Il lui a accordé la bénédiction. Je viens juste de le consacrer. Il y avait un...

23        J’ai quelques petites notes écrites juste ici, dont j’aimerais parler en priorité, avant que nous lisions le texte. La première chose que j’ai notée, c’est au sujet des réunions futures. C’est-à-dire, le dimanche prochain, le Seigneur voulant... Je sais que les routes deviennent verglacées et dangereuses. Et nous avons ici des gens qui sont venus de la Géorgie, de l’Alabama, de la Floride, de l’Ohio, et de l’Illinois. Et–et ce petit groupe est formé des gens venus de partout.

24        Certaines personnes me disent: «Je suis passé à côté de votre église par là, Billy, ce matin-là. Il y avait [des voitures avec] des plaques d’immatriculations de tous les Etats de la région par ici.»

25        J’ai dit: «Oui.»

26        Il y en a un qui vient d’ici et un autre de là, et je pense qu’il en sera ainsi de l’Epouse. «De deux hommes qui seront dans un champ, Je prendrai l’un et Je laisserai l’autre», ainsi de suite.

27        Et je–je n’aimerais pas que ces gens conduisent sur ces routes verglacées. J’en sais quelque chose moi aussi, et juste après la Noël, je vais–je vais vous quitter pour aller dans le champ missionnaire, le Seigneur voulant. J’ai environ quinze différents services prévus pour le moment.

28        Et j’aimerais annoncer que le dimanche prochain, le Seigneur voulant, j’aimerais enseigner sur un message qui est très remarquable pour moi. J’ai étudié cette semaine et la semaine précédente l’histoire de la Bible. Et j’aimerais donc prêcher sur le sujet Le Christianisme contre le Paganisme, ou plutôt contre l’Idolâtrie, le dimanche prochain.

29        Et puis, dimanche prochain, c’est la veille de Noël; et dimanche prochain; et dimanche en huit, je veux dire, excusez-moi. Dimanche en huit, c’est la veille de Noël. Alors, si j’aborde un message, et certains de mes chers amis qui viennent de l’Alabama, du Mississippi, de la Géorgie, et des environs comme cela, les petits enfants seront certainement déçus la nuit de Noël. Et si le Seigneur met sur le coeur d’apporter un message de Noël à l’église, je le ferai alors; si Dieu le veut. Je promets à tous ceux qui viennent de l’extérieur de la ville (voyez-vous?) que je vous enverrai moi-même la bande. Voyez-vous? Alors, vous n’aurez pas à quitter vos enfants la nuit de Noël, la veille de Noël. Et ensuite, je vais–je vais vous envoyer la bande en guise de compliment pour la réunion. Et ne l’oubliez pas.

30        Autre chose, vous savez, vous–vous ne pouvez pas vous attendre à ce que tout le monde croie tout ce que vous dites. Ça ne marche simplement pas de cette manière.

31        Ce matin, je suis sorti dans la précipitation; j’avais oublié que je devais venir ici. Par hasard, j’ai levé les yeux... Frère Wood avait amené ma femme et tous les autres, je–j’ai levé les yeux, et c’était presque l’heure pour moi d’entrer ici, pour commencer le service. Et ils m’ont dit... Billy m’a appelé hier soir, et il a dit qu’il voulait que je vienne ici ce matin afin de suivre la lecture du compte-rendu de la dernière réunion.

32        Je voulais juste apporter des faits historiques pour essayer de redresser quelque chose que j’avais dit. Peu importe combien vous essayez de rendre cela clair, il y a toujours quelqu’un qui ne comprend pas cela. C’est au sujet des autels dans l’église. Voyez-vous? Quelqu’un a dit: «Frère Branham ne croit pas dans le fait d’avoir un autel dans l’église.» Je crois dans le fait d’avoir un autel dans l’église. Voyez? Mais les autels n’étaient pas l’endroit où les gens venaient pour prier. Il n’a jamais été fait un appel à l’autel, à aucune époque dans la Bible. Cela n’existe pas.

33        Et j’aimerais vous montrer, je le ferai le dimanche prochain, dans l’histoire de l’Eglise primitive, la raison pour laquelle il n’y avait point d’autel dans l’église. En effet, le fait de se prosterner devant un autel est une forme païenne d’adoration, et ce n’est pas du tout une conception chrétienne. Eh bien, j’en parlerai aussi le dimanche prochain. Mais il n’y avait pas d’autel dans l’Eglise primitive pour faire des appels à l’autel. Il n’y avait rien, sinon une pièce vide. C’est tout. Il n’y avait pas de crucifix, rien, il n’y avait rien dans la salle, sinon un plancher plat. Les gens formaient–le–l’Eglise pentecôtiste au commencement, telle que je vais vous la présenter, selon les écrits de différents historiens, le dimanche prochain, le Seigneur voulant... Et j’aimerais vous l’apporter d’après Les Pèlerins de l’Eglise primitive [La première église des pèlerins] d’Ironside, les deux Babylones d’Hislop, Les Pères prénicéens, Le Concile de Nicée, et de beaucoup d’autres écrits, les écrits de Hazeltine sur l’Eglise primitive, et de différents autres écrivains. Vous voyez? C’est afin de vous montrer que nulle part...

34        Même en Irlande, là où j’ai eu à visiter l’église de celui que les catholiques considèrent comme un saint catholique, saint Patrick, mais il n’y a absolument aucune vestige historique nulle part qui soutient cela. Saint Patrick était fermement opposé à l’église de Rome. Cela n’existe nulle part. Personne ne peut produire une preuve historique démontrant qu’il–qu’il était un catholique. Lui, ses–toutes ses écoles se trouvaient dans le Nord de l’Irlande. Et puis, lorsque cet empereur catholique est arrivé au pouvoir là en Angleterre, il a mis à mort dix mille adeptes de saint Patrick. Et l’église se trouve toujours là aujourd’hui, toutes ses écoles, dans le Nord de l’Angleterre.

35        Et lorsque vous entendez les gens dire que saint Patrick avait chassé tous les serpents de l’Irlande, savez-vous ce que c’était, la vérité historique là-dessus? Il croyait dans la Pentecôte, au fait qu’on avait le pouvoir de prendre des serpents, de saisir des serpents. Et c’est la raison pour laquelle on dit cela, c’est là que la chose avait commencé.

36        Et Pierre qui aurait été crucifié la tête en bas, à Rome, cela n’existe pas dans le martyrologe. Et j’ai fait des recherches sur chacun d’eux partout, et j’ai lu les historiens et tout ce que je sais; il n’y a pas une seule Ecriture qui dise que Paul ou plutôt Pierre ait été tué à Rome. Ce sont des dogmes. C’est simplement la première église de Rome qui a commencé cela, ce n’est pas la vérité. Il y en a beaucoup. J’en parlerai le dimanche prochain.

37        Ensuite, il y a une autre chose dont j’ai tellement entendu parler. Quelqu’un m’a dit, un prédicateur très remarquable, il a dit: «Frère Branham, pourquoi ne laissez-vous pas ces femmes tranquilles?» Il a dit: «Savez-vous que les gens vous prennent pour un prophète? Pourquoi ne leur enseignez-vous pas des choses spirituelles élevées?» Peut-être que cet homme est assis ici. Si c’est le cas, j’aimerais que vous compreniez ceci, frère. «Pourquoi ne leur enseignez-vous pas des choses spirituelles élevées, là où vous montez, et leur permettre de monter là; au lieu de leur dire de ne pas couper leurs cheveux, et le genre de robe à porter?»

38        Si vous êtes ici, ou si vous écoutez la bande, frère, si je ne peux pas les faire sortir de l’école maternelle, comment vais-je leur enseigner l’algèbre? Elles manquent encore la décence et moralement–la morale, pour ne fût-ce que laisser pousser leurs cheveux et porter des robes comme des dames, comment allez-vous leur enseigner des choses spirituelles? Voyez? Alors il... Elles ne connaissent pas les rudiments, elles ne connaissent pas leur abc. Comment essayerait-on de leur enseigner quelque chose d’élevé, leur apporter l’instruction universitaire, alors qu’elles ne connaissent pas l’abc? Qu’elles apprennent d’abord leur abc, et ensuite nous allons–nous arriverons à cela.

39        Alors, la semaine passée, vous avez eu un–un éminent homme ici à la chaire, pour prendre ma place. C’était frère William Booth-Clibborn, celui qui est reconnu parmi tous les prédicateurs comme étant le prince des prédicateurs: un éminent homme, un très grand prédicateur. Sincèrement, c’est l’un des meilleurs qui existe partout dans le champ des missions. Cet homme peut prêcher l’Evangile en sept différentes langues, alors vous pouvez vous représenter ce qu’il est. Et c’est un prédicateur du Plein Evangile.

40        Il était le seul qui était resté avec moi au cours de ce débat avec ces sept prédicateurs de l’Eglise de Christ en ce moment-là. Et si jamais il y a eu des gens pour lesquels j’ai eu pitié, c’étaient bien ces hommes-là, après qu’il eut fini avec eux. Je–je n’avais jamais de ma vie entendu pareille chose. Ils se sont même levés et ils ont commencé à s’en aller. Il est allé les rencontrer à la porte, et leur a dit: «Je pensais que vous vouliez discuter sur la guérison divine.»

41        Et cependant, il est très sec, il est tout simplement très sec. Il les a tout simplement traités de tous les noms possibles, des ignorants, et ainsi de suite, vous savez. Alors il–il est vraiment sec, et c’est le seul problème qu’il a. S’il avait tout simplement assaisonné sa connaissance avec un peu d’amour, cela aurait été différent. Vous savez? Et il–il est peut-être ici. Oui, mais voici ce que je–je parle sérieusement, vous savez, comme cela, il aurait pu être très doux à ce sujet. Mais, oh! la la! c’est un Anglais, et il peut vraiment être si enflammé.

42        Il les a rejoints à la porte, et il les a pointés du doigt en face, disant: «Si vous vous en prenez encore à lui (parlant de moi), a-t-il dit, je vous mettrai à nu devant le public et je vais bien vous ridiculiser.» C’est ce qu’il a dit. Je n’ai plus jamais entendu parler d’eux depuis lors. Vous voyez? Non, je ne les condamne pas. Je me serais aussi tenu à l’écart. Bien sûr, parce que vous n’aurez absolument pas de mot à placer devant frère Booth.

43        C’est un merveilleux prédicateur, un brave homme, un bon chrétien, pur, de bonne moralité; du mieux que je sache, il n’y a rien à lui reprocher, et je l’ai connu depuis bien des années. Je dois écouter sa bande, entendre ce qu’il vous a prêché: combien Dieu est Saint et élevé, et comment nous sommes nés dans le péché; et que pourrait donc faire un homme qui pourrait amener–qui pourrait dire à Dieu ce qu’Il doit faire? Voyez? Et c’était vraiment merveilleux.

44        Eh bien, la raison pour laquelle j’étais parti à ce moment-là, c’est parce que j’avais eu une semaine de jeûne et de prière, ce qui m’a conduit à prendre une décision.

45        Et j’ai un petit bouton ici, il est censé être quelque part, un bouton qui censure, il censure ce que je n’aimerais pas [avoir sur bande]. Oh! nous y sommes. Le voici. Ce que je voudrais avoir sur bande, et ce qu’on n’aimerait pas avoir sur bande. Alors, frère, si votre bande est quelque peu gâchée, bien, ne... Vous pouvez supprimer cette partie. Maintenant là-bas, de cette manière, comme il y a beaucoup de gens qui enregistrent, alors que frère Mercier et les autres jeunes gens étaient les seuls qui pouvaient enregistrer des bandes, eh bien, je leur demandais de les censurer là-bas avant que je ne les laisse sortir. Mais ici, n’importe qui peut les enregistrer maintenant. (Vous voyez?) Tout celui qui veut enregistrer des bandes peut les enregistrer. Et ainsi, je suis obligé de les censurer moi-même à partir de ce bouton juste ici, ce que je n’aimerais pas dire, ou laisser sortir sur bandes.

46        Parce qu’il y a des choses que je pourrais vous dire à tous ici, que je n’aimerais certainement pas dire là dehors chez les autres. Puisque nous devons les laisser tranquilles. Si un aveugle conduit un aveugle, ils tomberont tous deux dans une fosse, de toute façon. Vous voyez? Alors, ne les offensez tout simplement pas. C’est comme Jésus a dit: «N’offensez pas ces pharisiens.» Il a dit: «S’ils veulent de–s’ils veulent avoir de l’argent pour l’impôt, descends à la rivière et jette ton hameçon dans la mer, et attrape le premier poisson et retire la pièce de monnaie qui se trouve dans sa bouche, et va la leur payer.» Il a dit: «Ne–ne les offensez pas, laissez-les tranquilles.»

47        Mais de toute ma vie, depuis que j’ai été un petit garçon, j’ai... le Seigneur m’a toujours donné des visions, nous le savons très bien ici à l’église et, j’en suis sûr, dans les contrées où iront ces bandes aussi, à propos de ces visions. Et avec cette Bible ouverte devant moi et dans la Présence de Dieu devant qui je me tiens, je n’ai jamais vu l’une d’elles faillir. Elles ont toujours été parfaites.

48        Et il y a quelques semaines, j’ai eu une vision, ça fera environ trois semaines maintenant jusque mardi prochain; cela m’a conduit à me mettre à genoux, et à aller là dans le désert pour jeûner et prier. Et j’avais porté (étant donné qu’il fait froid) des sous-vêtements lourds et calorifugés, afin que je, ce que j’utilise au cours de mes parties de chasse, afin que je ne puisse pas geler, là-bas dans ma caverne et dans les bois. Et je suis monté, non...

49        Quelqu’un m’a demandé: «Eh bien, Frère Branham, est-ce que vous montez là-bas pour chercher une vision? Vous devriez monter là-haut pour chercher une vision de la part du Seigneur.»

            J’ai dit: «Non, on ne va pas... On ne procède pas de cette manière. Vous ne pouvez rien tirer de Dieu en forçant.»

50        Vous voyez, c’est la raison pour laquelle les gens ne cessent de dire, dans les entretiens, ils disent: «Demandez au Seigneur. Ne lâchez pas là-dessus. Ne lâchez pas là-dessus.»

51        J’avais reçu un mot de la part du Seigneur pour frère Neville, au sujet des prophéties qu’il apporte sur tous ceux qui viennent à cet autel-ci. Dieu lui a parlé, et l’a vraiment réprimandé à ce sujet. Voyez? Ne le faites pas; vous allez le pousser à agir dans la chair, et alors vous ferez de lui un faux prophète. Voyez? Vous voyez, laissez-le simplement agir comme l’Esprit le conduit. Vous voyez?

52        Ne–n’essayez pas de tirer quelque chose de Dieu en forçant, puisque vous ne pouvez pas y arriver. Il parlera seulement... C’est comme Balaam, le prophète mercenaire, il a dit: «Je ne peux dire que ce que Dieu met dans ma bouche. Autrement, je ne peux pas le dire.»

53        C’est la même chose, j’apprécie ce système qu’ils ont installé maintenant, de sorte que je peux voir ce que–juste ce que le Seigneur voudrait faire. C’est très bien.

54        Mais Jésus était allé dans le désert pour jeûner après que le Saint-Esprit est venu sur Lui. «Jean rendit témoignage, qu’il avait vu l’Esprit de Dieu descendre sur Lui.»

55        Et Il était rempli de la puissance de Dieu, Dieu était en Lui, et ensuite, Il est allé dans le désert pour jeûner après cela, pas avant, car le Saint-Esprit devait venir sur Lui; mais Il est allé dans le désert et Il a jeûné après que le Saint-Esprit fut venu sur Lui. Voyez?

56        Et maintenant, dans les visions... Je pourrais dire ceci. Je l’ai mentionné une fois. J’allais supprimer cela sur la bande, mais je pense que je vais simplement laisser cela. Je...

57        Il était environ trois heures du matin, je pense. Je me suis levé, et j’ai regardé devant moi, et j’étais en train de descendre vers le Jourdain. Il semblait que je me tenais sur la carte de la Palestine. Et je descendais vers le Jourdain. Et il me semblait entendre ce cantique: Je descends vers le Jourdain. Quelqu’un était en train de le chanter. Et alors que je me rapprochais du fleuve, j’ai regardé en arrière et j’ai vu le chemin que j’avais parcouru, et là j’avais parcouru les deux tiers du chemin qui mène au Jourdain. Je regardais de l’autre côté du Jourdain, et j’ai dit: «Oh! gloire à Dieu! juste de l’autre côté se trouvent toutes les promesses. Chaque promesse se trouve dans la Terre promise.»

58        Et puis, je suis revenu à moi-même, et je pensai: «Me serait-il possible d’avoir... Se pourrait-il que j’aie fait un songe, parce qu’il fait nuit?» Vous voyez, une vision c’est quelque chose que vous voyez les yeux ouverts, c’est juste comme un rêve. Vous regardez droit à cela, et vous êtes–vous êtes conscient que vous vous tenez debout comme je me tiens ici à l’estrade, et vous êtes–vous vous tenez debout ici, mais cependant, vous avez l’impression que vous faites un songe. C’est... Vous ne pouvez pas expliquer cela; il n’y a aucun moyen de l’expliquer. Vous voyez? C’est l’oeuvre de Dieu. Et les voies de Dieu sont inexplicables; on doit les accepter par la foi.

59        Et alors, pendant que j’étais assis là un peu à côté de cette chaise, tout d’un coup, cela est revenu. Alors, j’ai compris donc que c’était une vision. Et ensuite, lorsque je suis de nouveau entré dans la vision, il semblait que j’ai été élevé, et je me tenais sur un–un chemin, un chemin étroit avec un certain frère. Et je n’ai jamais su qui était ce frère. J’ai regardé tout autour, et j’ai dit: «Maintenant, je suis sûr et je sais que ceci est une vision; le Seigneur Dieu est ici.» Il semblait que tout le monde avait peur. J’ai dit: «De quoi tout le monde a-t-il peur?»

60        Et une voix s’est fait entendre, disant: «Il y a un si grand danger en ces jours-ci. Il y a une créature très horrible et lorsque cela vous frappe, c’est la mort.»

61        Et j’entendis les herbes craquer, et j’ai regardé et j’ai vu venir un énorme serpent monstrueux qui rampait dans l’herbe. J’ai pensé: «Maintenant, étant donné que ceci est une vision, alors, je vais voir quel est ce–cet animal ou plutôt cette bête.» Et il se déplaçait en rampant sur la route. Et aussitôt que je l’ai aperçu, j’ai su que c’était un mamba. Eh bien, le mamba est un serpent d’Afrique. Sa morsure est la plus mortelle de toutes les morsures des serpents qui existent. Il n’existe pas de venin comme celui du mamba. Et, bien sûr, le serpent représente le péché, la mort. Vous voyez? Et il y a le... Dans ce pays, nous avons le serpent à sonnette, le mocassin à tête cuivrée, le mocassin d’eau, beaucoup de ces serpents, de sorte que si vous avez une santé fragile et que l’un d’eux vous morde, il pourrait vous tuer, si vous n’êtes pas secouru aussitôt.

62        Et puis–et puis si nous allons en Afrique et en Inde, nous trouvons le cobra. Il y a le cobra noir; c’est un serpent dangereux; sa morsure aussi est mortelle. Et il y a le cobra jaune, qui est de loin plus dangereux que le cobra noir. Et le cobra jaune, sa victime meurt d’une mort horrible; elle meurt d’asphyxie. Cela–cela paralyse le système respiratoire. Et elle, elle n’arrive plus à respirer, elle ouvre simplement la bouche, halète, essayant de... Et elle meurt comme cela. Et c’était le genre de serpent qui a failli mordre Billy Paul, lorsque nous avons tué ce serpent en Afrique.

63        Et ensuite–ensuite, il y a le mamba, sa morsure signifie la mort. Lorsqu’il... Il est tellement rapide que vous ne pourrez pas le voir. Il se déplace au-dessus des herbes et se propulse avec le bout de sa queue. Il fait juste ssst, et il est parti. Généralement, il mord au visage. Il se tient debout et frappe violemment. Et lorsqu’il vous mord, vous respirez juste quelques fois et ç’en est fini de vous. [Ça] rend vraiment... Non seulement cela vous paralyse et entre dans le sang, mais ça touche les nerfs et tout le reste, vous mourez juste en quelques secondes.

            Ces jeunes gens autochtones qui servent de guides dans la brousse, dès que vous leur dites «mamba!», ils vont se cogner la tête les uns avec les autres, hurler, parce que c’est–c’est la mort juste dans quelques secondes (vous voyez?), si l’un de ces serpents vous mord.

64        Et voilà que ce serpent se trouvait sur la route. J’ai pensé: «Eh bien, ça y est.» Alors je l’ai regardé. Et il m’a regardé d’un air furieux et il a tiré la langue, et le voilà venir. Mais lorsqu’il s’est rapproché de moi... Il filait à vive allure et puis, il avançait lentement, lentement, et il s’est mis à frémir tout simplement et s’est arrêté. Ensuite, quelque chose le retenait à distance, il ne pouvait pas me mordre. Et il a contourné de l’autre côté, et il cherchait à se rapprocher en partant de ce côté. Il a reculé, a pris de l’élan et a sifflé dans ma direction, il avançait lentement, lentement, lentement, et puis, il s’est arrêté; ensuite, il a bougé comme cela et il a reculé. Il ne pouvait pas m’attaquer.

65        Ensuite, il s’est retourné et il a regardé mon ami, il s’est mis à le poursuivre. Et j’ai vu mon ami sauter haut en l’air, et il essayait de sauter continuellement, au-dessus de lui. Et la bête continuait à l’attaquer. J’ai pensé: «Oh! si jamais il le mord, ce sera une mort subite.» Ce n’est pas étonnant que tout le monde soit si effrayé; en effet, lorsque ce serpent vous mord, c’est une mort subite. Et–et il ne cessait de l’attaquer comme cela, et j’ai levé les mains, j’ai dit: «Ô Dieu, aie pitié de mon frère.» J’ai dit: «Si jamais ce serpent le mord, il le tuera.»

66        Et juste à ce moment-là, lorsque j’ai dit cela, le serpent s’est tourné vers moi et m’a de nouveau regardé. Et une Voix vint d’au-dessus de moi et dit: «Tu as reçu le pouvoir de le lier, qu’il soit le plus dangereux ou quoi d’autre.»Et j’ai dit: «Ô Dieu, que dois-je faire alors?»

67        Il a dit: «Il n’y a qu’une seule chose que tu dois faire: tu dois être plus sincère. (Vous voyez?) Tu dois être plus sincère.»

68        J’ai dit: «Bien, ô Dieu, pardonne-moi mon manque de sincérité, et accorde-moi d’être sincère.» Et lorsque j’ai de nouveau levé les mains vers Lui, une grande puissance est venue sur moi, cela m’a simplement élevé; il semblait que mon corps tout entier était chargé avec Quelque Chose.

69        Et j’ai regardé ce serpent. Et puis, il s’est mis à avancer vers moi, mais il n’y arrivait pas cependant. Et j’ai dit: «Satan, au Nom du Seigneur Jésus-Christ, je te lie.» Et le serpent exhala une fumée bleue, se recroquevilla et forma un signe en forme de S, S majuscule formé à l’envers, le signe d’un «ET» [&]. Et cela voulait dire «lie celui-ci ou tout ce qui vient au-dessous de lui.» Parce qu’il était le plus dangereux. Une fumée bleue sortit de sa gueule, et il s’étrangla jusqu’à mort avec sa queue enroulée autour de sa tête. Lorsqu’il forma ce S à l’envers, le signe de ce «ET» [&] (comme une conjonction... Vous voyez?), cela l’étrangla à mort. Et mon frère a été délivré.

70        Et je suis allé et je l’ai écrasé. J’ai dit: «Maintenant, je dois savoir ce qu’il en est de ceci, parce que c’est une vision.» Et j’ai frappé sur la–sur la chose, et cela s’est retourné comme cela, cela ressemblait à un manche, le manche d’une carafe en verre, et cela est devenu du cristal solide. J’ai dit: «Pensez-y, combien cela est allé très vite. Et cette fumée bleue était la vie et tout le reste qui l’a quitté, tous les éléments, et cela est devenu du verre.»

71        Et juste à ce moment-là, une Voix s’est fait encore entendre et a dit: «Tu peux aussi le délier.»

72        J’ai donc dit: «Alors, Satan, pour que je sois sûr, je te délie.» Et lorsque j’ai dit cela, il a commencé à revenir à la vie, en se tortillant. Et j’ai dit: «Je te lie de nouveau au Nom de Jésus-Christ.» Et alors, la fumée est sortie de nouveau de sa bouche, et il s’étrangla de nouveau et retourna à l’état de cristal.

73        Et alors, lorsqu’il est retourné dans cet état-là, la Voix a dit: «Maintenant, tu dois être plus sincère que tu ne l’as jamais été, pour faire ceci.» Puis, cela me quitta, et je me tenais debout dans la chambre.

74        Après un instant, j’entendis une horloge sonner, et mon épouse avait... s’est levée. Les enfants, vous savez comment ils font, je pense, chez vous, l’un d’eux dira: «Que porterai-je aujourd’hui, maman? L’autre: «Où–où sont mes livres?» Et l’autre: «Et qu’est-ce que j’ai fait?» Vous savez. Vous–c’est juste comme dans tous les foyers, vous pouvez à peine entendre vos propres pensés, car tous veulent être prêts au même moment.

75        Et–et alors, je me suis glissé dans mon bureau, je me suis agenouillé et j’ai dit: «Seigneur Jésus, je ne comprends pas ces choses. Que dois-je faire? Et les enfants vont m’appeler pour que je les amène à l’école dans peu de temps. Que dois-je faire?» Et j’ai regardé tout autour, ma Bible reposait là, et j’ai dit: «Seigneur, si Tu me pardonnes...» Je ne crois pas dans le fait d’ouvrir juste les Ecritures, tirer quelque chose de la Bible et lire cela; mais il y a des moments où Dieu peut vous réconforter par de telles choses. Et j’ai dit: «Seigneur, dans un cas d’urgence comme celui-ci maintenant, avant que Ton Esprit me quitte... Et je–je ne sais quoi faire. Les enfants sont encore là pour une heure, avant de partir. Veux-Tu simplement me montrer? S’il s’agissait de quelque chose que Tu essaies de me montrer, Père céleste, fais-le-moi donc savoir.»

76        Et j’ai pris cette Bible, et je l’ai ouverte comme cela, et mon pouce s’était posé sur 1 Corinthiens, chapitre 5, verset 8, là où il est dit quelque chose comme ceci: «Lorsque vous vous rassemblez...» Je comptais faire un jeûne pour le Seigneur. Je lui avais dit que j’allais partir dans les bois et jeûner. Il est dit: «Lorsque vous vous rassemblez pour cette fête...» En fait, un jeûne dans la chair est une fête avec le Seigneur. Nous savons cela. Donc «lorsque vous vous rassemblez pour cette fête, ne venez pas avec du vieux levain ou le levain de la malice, et ainsi de suite, mais venez avec le pain sans levain de la sincérité et de la vérité.» C’était exactement ce qu’Il m’avait dit dans la vision. «Venez...» Dieu est mon Juge suprême. «Venez avec le pain sans levain de la sincérité et de la vérité», ce qui est la Parole. J’ai alors compris ce qu’Il voulait dire. Comme Il...

77        Il y a des années, lorsque j’ai vu la Bible descendre (j’ai écrit cela juste ici), elle descendait et une main vint du Ciel et indiqua le Livre de Josué, et j’ai lu les neuf premiers versets, et je me suis arrêté là. C’était Josué, il était arrivé dans le désert, mais il n’avait jamais... Il était prêt à... Lorsqu’il est arrivé près du Jourdain, Dieu l’a appelé et lui a dit: «Aujourd’hui, Je commencerai à t’élever aux yeux du peuple.» Et puis, il fit traverser les enfants d’Israël de l’autre côté du Jourdain, dans le pays où–qui leur avait été donné en partage, la Terre promise.

78        Je suis allé dans les bois et j’ai prié, prié et jeûné. Et ensuite, je suis retourné à cet arbre, là où j’avais rencontré... là où il y a eu ces écureuils dont vous avez entendu parler dans d’autres messages (Voyez-vous?), là où il y avait ces écureuils. Et je me suis tenu là, c’était aux environs de trois heures ou quatre heures du matin, après que j’avais marché en titubant dans les buissons avec la lumière que je voyais, pour arriver jusqu’à cet arbre. J’étais arrivé de bonne heure, parce que j’étais conduit à aller là-bas. Puis, je L’ai rencontré. Ô Dieu, aide-moi à rester toujours fidèle.

79        Je vais lire mon texte maintenant. Ce matin, j’ai pris comme texte un passage de l’Ecriture que j’ai écrit ici quelque part (oh! le voici.), Josué, dans le Livre de Josué au chapitre 10. Pour vous qui allez lire après moi, ou plutôt le chapitre 10 et le verset 12... Et j’ai juste une heure.

80        Et puis, je pense que–je n’en suis pas certain, mais je crois que Billy a dit qu’il a distribué des cartes de prière ce matin, il a dit: «Il n’y en avait pas beaucoup, mais certaines personnes veulent qu’on prie pour elles.» Que tout celui qui a une carte de prière lève la main maintenant. Bien, c’est en ordre. Bien, OK, c’est bien. Très bien. Maintenant, le verset 12 du chapitre 10 de Josué.

81        Et maintenant, souvenez-vous, eh bien, dans le futur, le dimanche prochain j’aimerais prêcher sur Le Christianisme contre l’Idolâtrie. Et ensuite, je vous dirai alors si le Seigneur me conduit ou non à prêcher sur un message de Noël. Il me semble que j’ai un message de Noël sur mon coeur pour les gens. Et ensuite, je vais alors vous le lire.

82        Maintenant, commençons la lecture au verset 12 du chapitre 10 de Josué.

          Alors Josué parla à l’Eternel, le jour où l’Eternel livra les Amoréens aux enfants d’Israël, et il dit en présence d’Israël: Soleil, arrête-toi sur Gabaon, et toi, lune, sur la vallée d’Ajalon!

          Et le soleil s’arrêta, et la lune suspendit sa course, jusqu’à ce que la nation eût tiré vengeance de ses ennemis. Cela n’est-il pas écrit dans le livre du Juste? Le soleil s’arrêta au milieu du ciel, et ne se hâta point de se coucher, presque tout un jour. (Ecoutez maintenant.)

          Il n’y a point eu de jour comme celui-là, ni avant ni après, où l’Eternel ait écouté la voix d’un homme; car l’Eternel combattait pour Israël.

          Et Josué, et tout Israël avec lui, retourna au camp à Guilgal.

83        Que Dieu ajoute Ses bénédictions à Sa Parole. Maintenant, j’aimerais, si c’est la volonté du Seigneur, que vous restiez avec moi quelques minutes. J’aimerais prendre un sujet étrange, bizarre, partant de la lecture d’une telle Ecriture. Et je réclame votre attention et–et votre prière pendant ce moment. J’aimerais prendre un sujet d’un seul mot: Paradoxe.

84        Et d’abord, j’aimerais peut-être expliquer ce que c’est qu’un paradoxe. Dans le dictionnaire Webster, il est dit qu’un paradoxe signifie «quelque chose, qui est incroyable, mais vrai». C’est cela un paradoxe. Quelque chose qui semble complètement contraire à la raison, quelque chose d’impossible mais qui pourtant est arrivé, c’est cela un paradoxe. Et j’aimerais rester quelques minutes sur ce mot, un paradoxe.

85        Eh bien, nous avons beaucoup de choses auxquelles nous pourrions nous référer comme étant des paradoxes. La seule chose à laquelle j’aimerais me référer, c’est la terre; cette terre en soi c’est un paradoxe. Le fait qu’elle se tienne dans l’espace est un paradoxe.

86        Hier soir, je parlais à ma fille Rebecca, qui est à l’école secondaire. Et j’étudiais ceci dans les Ecritures et–et je lui parlais au sujet de ce–ce verset-ci que j’avais lu. Et elle a dit: «Papa, Josué avait réellement arrêté la terre, n’est-ce pas?»

87        J’ai dit: «Je ne sais pas ce qu’il a arrêté. Il a arrêté le soleil.»

            Elle a dit: «Il ne pouvait pas arrêter le soleil, parce que le soleil ne se déplace pas.»

88        J’ai dit: «Son reflet traverse pourtant la terre, et il l’a arrêté.»

            Elle a dit: «Eh bien, Dieu avait donc arrêté la terre.»

89        J’ai dit: «Alors, pour le sceptique, que se passera-t-il si la terre s’arrête et perd sa gravitation? Elle se lancerait à travers l’espace comme une–une étoile, et ses projectiles tomberaient à cent milliards d’années-lumière dans l’espace.»

90        Mais la Bible dit que le soleil s’était arrêté et resta à sa place un jour complet. Je le crois. Je le crois. C’est déraisonnable et incroyable, mais c’est la vérité.

91        Je vous prie de me dire alors, ce qui constitue le sommet de la terre, est-ce le pôle nord ou le pôle sud? Comment le savoir si vous vous trouvez dans l’espace? Vous direz: «Le pôle sud est en bas, en dessous de nous.» Eux, ils pensent que le pôle nord est en bas, en dessous d’eux. Voyez?

92        La terre est suspendue dans l’espace, dans un petit cercle d’air, en même temps qu’elle tourne à quelques milliers de miles par heure. Parce qu’elle a une circonférence d’environ vingt-quatre ou vingt-cinq mille miles [38624,25 km ou 40233,6 km], et elle tourne pendant 24 heures, alors, elle tourne donc à une vitesse de plus de mille miles par heure [plus de 1600 km/h] au cours de sa rotation. Et elle est toujours et parfaitement à l’heure. Là où c’est–là où elle passe sur l’équateur, elle ne manque jamais d’une seule minute, elle est parfaitement réglée, en restant suspendue dans l’air. Si cela n’est pas un paradoxe, je ne sais pas ce que c’est qu’un paradoxe. Tous les systèmes célestes sont si bien et parfaitement réglés que sur les années à venir, vingt ou trente ans avant, la science peut prédire une éclipse du soleil et de la lune qui passent, et elle peut vous annoncer à quel moment précis cela se passera et quand l’éclipse commencera.

93        Peu importe la qualité de la montre que nous avons, une montre d’une précision... J’en ai une ici qui m’a été offerte comme cadeau en Suisse, lorsque j’étais là-bas. Elle vaut environ trois cents dollars américains, elle m’a été donnée. Chaque semaine elle doit être réglée; toutes les horloges, l’homme ne peut rien fabriquer qui soit aussi parfait. Cela va... Au bout de quelques années, elle sera usée et foutue. Au fur et à mesure qu’elle vieillit, son état empire tout le temps. Les rubis s’useront et elle perdra sa précision. Rien de ce que l’homme peut produire, ou fabriquer, ou affiner ne peut rester parfait.

94        Mais cette terre reste parfaite. Qu’est-ce qui contrôle cela? Eh bien, vous direz: «J’ignore ce qui contrôle cela, ce qui tient cela en place.» C’est vraiment un paradoxe. C’est... Vous ne pouvez pas décrire la manière dont Dieu fait cela, mais Il le fait. C’est donc cela la chose principale, à savoir qu’Il le fait. Et nous savons qu’il en est ainsi.

95        C’est une chose fantastique que vous puissiez envoyer un ballon en l’air en le faisant tournoyer; il ne fera pas une complète révolution au même endroit.

96        Il y a quelque temps, quand j’étais dans le désert, je réfléchissais. Et l’un de ces vieux petits cactus sauteurs, dont les acides vous attaquent directement le sang, l’un de ces cactus s’est accroché à moi. Et il vous est difficile de l’enlever, vous devez prendre quelque chose et le racler. Et il porte de petites ronces. Peu importe combien vous pourriez bien aiguiser une aiguille, elle sera émoussée au bout; vous pourriez aiguiser la pointe d’une aiguille aussi parfaitement que possible, elle sera émoussée à côté de l’un de ces cactus sauteurs. Et cependant c’est une feuille qui s’est enroulée fortement sur elle-même. Comment se fait-il que la nature puisse enrouler une feuille si fortement et avec une pointe si aiguë que même la meilleure machine ne peut en affûter une comme cela? Et cependant, au bout de cette pointe, il y a comme de petits crochets, comme un hameçon, comme cela, de petits crochets et la maintenir dans cet état-là au fur et à mesure qu’elle pousse. Oh! un paradoxe, c’est exact, pour la science... C’est incroyable, mais vrai.

97        J’aimerais que quelqu’un puisse expliquer cela. Je ne pourrais pas vous dire exactement les kilomètres, ou plutôt le nombre de kilomètres qui séparent la lune de la terre d’après la science. Mais comment se fait-il que cette lune, je dirais, se trouvant à des millions et des millions de kilomètres de la terre, puisse cependant contrôler les marées de la mer? Qu’est-ce qui fait cela? Comment est-ce possible? C’est un paradoxe, mais cependant nous regardons et voyons que cela se fait. Cela arrive. La lune contrôle les marées. Quand la lune s’éloigne comme ceci de la terre, la marée va avec elle. Et Dieu a mis la lune au-dessus des marées et a fixé les limites. Et elles ne peuvent dépasser cette limite où Dieu a tracé une ligne en disant: «Vous pouvez venir jusqu’ici, mais vous ne pouvez aller au-delà, car J’ai placé sur vous mon gardien.»

98        Cette lune, à des millions de kilomètres de la terre, commande à la mer, en établit les limites et la contrôle. Incroyable! Qu’y a-t-il sur cette lune? Alors que juste à quelques kilomètres de la terre, il n’y a plus de gravitation, plus d’air ni rien d’autre; on entre dans l’espace où il n’y a même pas d’air, cependant à des millions et des millions multipliés par des millions de kilomètres, elle contrôle la mer! Elle dit: «Vous pouvez aller jusqu’à tel niveau, mais vous ne pouvez aller plus loin, car je suis la gardienne de Dieu. Je suis le chien de garde qui se tient ici, et vous ne pouvez dépasser cette limite.» Expliquez cela. C’est un paradoxe, la manière dont Dieu fait cela, mais cependant, Il le fait. Cela ne peut être expliqué.

99        Nous avons l’hiver; la neige recouvre le sol, il fait froid, le sol est gelé. Prenons une petite semence, et dans cette petite semence il y a un germe de vie, et cette petite semence va geler et éclater, et la pulpe va en sortir. Et ce germe de vie va reposer dans la poussière, sur une couche de glace qui tuerait toute vie. Comment cela est-il préservé, pour ensuite réapparaître au printemps? Nous ne pourrions expliquer cela, n’est-ce pas? C’est un paradoxe.

100      Lorsque nous prenons Hébreux, chapitre 11, verset 3, nous comprenons par là ce que la Bible dit (c’est Paul qui parle): «Le monde a été formé et assemblé par la Parole de Dieu». C’est un paradoxe qu’une Parole soit prononcée et que par cette Parole soient–soient formées des choses matérielles. «De sorte que les choses qu’on voit ont été faites à partir des choses invisibles.» Les choses que nous voyons étaient la Parole parlée de Dieu. La terre est la Parole de Dieu. Les arbres sont une Parole de Dieu. Pourquoi aurions-nous peur de nous confier en Celui qui a prononcé une telle Parole, avec une telle puissance et une telle autorité? Pourquoi aurions-nous peur de prendre cette Parole pour nous-mêmes et L’appliquer à nous-mêmes? Cela montre où nous sommes tombés, dans l’incrédulité. Il s’agit de la Parole, la Parole de Dieu, un paradoxe! Vraiment un paradoxe, la Parole de Dieu.

101      J’aimerais également montrer un paradoxe très rapidement; et c’est lorsque Dieu a appelé Abraham et lui a parlé, quand il avait cent ans; et que Sara en avait quatre-vingt-dix, quarante ans après qu’elle eut connu la ménopause. Et Abraham, sa vie était pratiquement éteinte, et Sara était stérile pour commencer, et elle n’était plus en état d’avoir des enfants. Et cependant, Dieu leur dit qu’Il amènerait un enfant par eux. C’est un paradoxe. Demandez au médecin si une femme de cent ans peut élever un bébé, avoir un bébé. C’est impossible, c’est incroyable, mais elle en eut un, parce que Dieu avait dit qu’elle en aurait un.

102      C’est incroyable de s’imaginer qu’un Homme puisse s’asseoir, le dos tourné à la tente, un Etranger avec de la poussière sur Ses vêtements, et dire à une femme, qui était derrière dans la tente, ce qu’elle pensait. Un paradoxe, incroyable mais cependant vrai.

103      C’était incroyable lorsque Abraham a amené Isaac au sommet de la montagne, son fils unique, et il l’a emmené au sommet de la montagne pour l’offrir en sacrifice. Et lorsqu’il est arrivé au sommet de la montagne et qu’il a posé Isaac sur le bois, il était prêt à lui ôter la vie. Lorsqu’il a baissé la main, Quelque chose saisit sa main! Et il y avait là un bélier retenu par les cornes, dans le désert, au sommet de la montagne. Un paradoxe! D’où venait le bélier? Comment pouvait-il se trouver là, à cent soixante kilomètres de la civilisation, sans être tué par les lions et–et les chacals, les chiens, et d’autres bêtes ou que sais-je encore? D’où venait-il? Comment était-il arrivé là, et au sommet de la montagne où il n’y avait pas d’eau? Pourquoi n’y était-il pas quand Abraham ramassait les pierres? Il a appelé ce lieu Jéhovah-Jiré: «Le Seigneur s’est pourvu Lui-même d’un sacrifice.» C’est incroyable mais si vrai cependant, car Il est Jéhovah-Jiré. Des choses incroyables pour notre entendement et notre science, mais cependant vraies! Un grand paradoxe!

104      C’était un paradoxe et ça restera un paradoxe quand Jésus, dans Marc 11:22 et 23, a dit: «Si vous dites à cette montagne: Ôte-toi de là et si vous ne doutez pas dans votre coeur, mais vous croyez que ce que vous avez dit arrivera, vous le verrez s’accomplir.»C’est incroyable mais vrai. C’est un paradoxe.

105      Puis-je m’arrêter ici, pour dire que là-bas, dans les bois, alors que j’étais assis à côté de cet arbre, ce matin-là, il n’y avait pas d’écureuils dans les bois; mais quand une Voix parla et dit: «Dis où ils seront»...

106      Et là, c’est la vérité, si je meurs avant que j’aie terminé ce message; pointant mon doigt vers un noyer au tronc nu, j’ai dit: «Il sera perché juste là!», et voilà qu’il était là! Incroyable mais vrai!Il dit: «Où sera le suivant?»

107      J’ai dit: «Là-bas, sur ce bosquet.» Et je n’avais pas encore baissé mon doigt et il y était! «Où sera le suivant?»

108      «Sur cette souche, là dans ce champ.» Et il était là! C’est incroyable.

109      L’autre matin, j’ai demandé à ma femme, j’ai dit: «Chérie, ai-je perdu la raison? Est-ce que je deviens fou? Qu’est-ce qui m’arrive? Pourquoi est-ce que je dis ces choses que je déclare? Pourquoi est-ce que je fais ces choses que je fais? Qu’est-ce qui m’y pousse?» J’aime les gens, et cependant je ne fais que les tailler en pièces. Et je jeûne et prie pour me débarrasser de cela; et plus je jeûne et prie, pire cela devient. Incroyable mais vrai! C’est vrai.

110      Tout à l’heure, j’ai vu une femme lever la main, au fond de la salle, louant le Seigneur. C’était Hattie Wright, qui est assise là. Elle avait alors deux garçons (qu’ils veuillent m’excuser de dire ceci), des renégats, des garçons du monde. Cette petite dame était assise là ce jour-là, une veuve... Et j’ai dit: «Hattie, le Seigneur Dieu... tu as dit la chose juste. Il a pourvu à ces écureuils. Il est Jéhovah-Jiré.»

111      Elle a dit: «C’est absolument la vérité de Dieu!» Oh! elle avait dit la chose juste! Il semble incroyable qu’un être humain puisse prononcer une parole...

112      C’est comme frère Booth vous l’a dit. Nous, nous sommes impurs et souillés; Qui est Celui-là qui se tient au-delà de la lune et des étoiles, de tout l’espace, de tout le temps et de toute l’Eternité? Comme frère Booth l’a dit, et j’ai lu la même chose l’autre jour, j’ai lu Irénée... Même les anges sont sales à Ses yeux. Qui sommes-nous?

113      Mais une femme a dit la chose juste, qui a touché le coeur de Jéhovah! Il m’a dit: «Demande-lui ce qu’elle veut, et puis donne-le-lui.» Amen. Incroyable mais vrai! Ici même et maintenant nous avons sous nos yeux la preuve visible; elle a réclamé l’âme de ses garçons, pour qu’ils soient des chrétiens. Dieu lui a accordé son désir. Incroyable! C’était un miracle plus grand que de guérir une personne malade. C’est changer la vie d’un homme, son âme, son corps et tout ce qu’il est. Cela a changé son caractère. Incroyable mais vrai! C’était un paradoxe. Nous le voyons partout.

114      Il y a eu un paradoxe au temps de Noé. Noé était un homme, juste un homme ordinaire; il est devenu un prophète, ou plutôt il était un prophète de l’Eternel, il était peut-être un cultivateur. Dieu lui dit: «Prends des dispositions, car une pluie va tomber du ciel.», alors qu’il n’y avait point de pluie. Il n’y avait jamais eu de pluie. Il était impossible de trouver la pluie là-haut. Il n’avait jamais plu sur la terre. Il n’y avait point de mers, il n’y avait point d’eau, mais cependant Dieu lui a dit de faire une arche pour le salut de sa maison. Et Dieu fit tomber la pluie! C’était un paradoxe. C’était contraire à la science, mais (quoi?), c’était un paradoxe de toute façon. Oui.

115      C’était un paradoxe, lorsque les enfants Hébreux avaient décidé de s’en tenir à la Parole de Dieu, advienne que pourra, de sorte que le roi fit chauffer la fournaise sept fois plus que d’habitude et il y fit jeter ces hommes. Alors que la chaleur intense de la–de la fournaise tua les hommes qui marchaient sur la passerelle avec eux, jusqu’à l’entrée de la fournaise et ils sont morts, cependant ces Hébreux ont marché dans la fournaise peut-être pendant trois heures. Il n’aurait même pas dû rester de la poussière de leurs corps, car la vie humaine qui était en eux aurait péri. Si le fait de s’approcher de cette fournaise a causé la destruction d’une vie humaine, qu’est-ce que cela ferait une autre vie humaine? Mais ils y ont été jetés et y sont restés, disons pendant trois heures, peut-être qu’ils y ont fait cinq heures.

116      Il est peut-être allé prendre son dîner, et à son retour il a dit: «Ouvrez la porte de la fournaise. Il ne restera même plus de la poussière de ces gars!» Mais quand il fit ouvrir la porte, ils étaient bel et bien là, sains et saufs, se promenant dans le feu: Incroyable mais vrai! Pourquoi? Il a demandé: «Combien de personnes avez-vous jetées dedans?»Ils ont dit: «Nous en avons jeté trois.»

117      Il dit: «J’en vois quatre!» C’est ce qui faisait le paradoxe. «Et l’autre personne ressemble au fils des dieux.» Il n’était pas un fils des dieux; Il était le Fils de Dieu! Ils étaient des païens. Oh! Dieu et Sa glorieuse Parole!

118      Une fois, l’armée de Dieu était devenue lâche et avait peur d’un homme qui se tenait sur le flanc d’une colline. Quand ils ont laissé un seul homme (qui était trois fois plus grand que n’importe qui d’entre eux) se tenir sur le flanc de la colline et dire: «Eh bien, vous dites que vous croyez en un vrai Dieu, dites-vous. Eh bien, que l’un d’entre vous s’avance et se batte avec moi; ainsi, nous éviterons de répandre le sang.» L’ennemi de Dieu avait acculé l’église de Dieu contre le flanc de la colline, et ils encaissaient! Ils avaient peur. Ils étaient des lâches.

119      Et un tout petit gars est venu au camp, enveloppé d’une peau de mouton, un vêtement de berger; le plus petit homme de toute l’armée, et il n’était même pas un soldat. Mais c’était un paradoxe, lorsque Dieu a pris cet homme, ce seul petit gars imperturbable. La Bible dit qu’il était blond. Ce seul petit homme a mis toute l’armée de l’ennemi en débandade! C’était un paradoxe. Tout portait à croire que Dieu devrait à cette grande armée en marche assez de courage pour se battre. Ils étaient des serviteurs de Dieu, pourquoi ne pas aller livrer la bataille de Dieu? «C’est l’ennemi de Dieu, prenez-le!» Tout portait à croire qu’Il devrait leur donner du courage. Mais Dieu a pris un seul petit individu.

120      Et, souvenez-vous, un autre paradoxe, il n’a pas du tout pris d’épée. Saül a essayé de lui mettre son armure, il a essayé de lui mettre une épée dans la main. Le pauvre petit gars ne pouvait pas la supporter. Et il a pris une fronde, un petit caoutchouc ou un petit cuir attaché avec deux fils. Et il a vaincu toute l’armée de l’ennemi, et les a mis en déroute. C’était un paradoxe qu’un seul petit garçon ait pu mettre une armée en fuite.

121      C’est un paradoxe. Certainement. Dieu le fait. Dieu en a plein. Certainement Il en a plein. C’est ce qu’Il fait. C’est le propre de Dieu de faire des paradoxes. Eh, oui.

122      C’était un paradoxe, lorsque l’Egypte avait une grande armée comme celle qu’elle avait, ils avaient conquis le monde entier. Ils tenaient chaque nation sous leur dépendance. Et quand Dieu a décidé de détruire cette armée, de détruire cette nation, en principe Il devait susciter une armée des Amoréens, ou une grande armée quelque part, et les envoyer là-bas avec un meilleur équipement ou réunir toutes les dénominations, pour descendre et aller se battre ensemble; de façon à obtenir la coopération de tous.

            Mais Dieu utilisa un paradoxe! Il prit un vieil homme de quatre-vingts ans, et Il ne mit jamais d’épée dans sa main, mais plutôt un vieux bâton crochu, qui a fait sombrer l’Egypte au fond de la mer Morte. C’est incroyable, ce que Dieu peut faire, mais c’est ainsi qu’Il le fait. Il utilise un paradoxe pour le faire. Voyez? Il tourne cela en un paradoxe, le bâton crochu d’un berger au lieu d’une armée en marche, pour vaincre une–une nation qui dominait le monde.

123      Oh! la seule chose que Dieu attend maintenant, je crois... La Russie ne représente rien pour Dieu. Il veut trouver un seul homme. Il n’a pas besoin d’avoir de grandes organisations. Il n’a pas besoin d’avoir de grandes dénominations. Il veut avoir un seul homme en qui Il peut mettre Son Esprit. Cela fera l’affaire, il y aura un autre paradoxe, jusqu’à ce qu’Il puisse avoir quelqu’un qui s’est complètement abandonné, qui fera cela... C’est de cette manière que Dieu fait Son travail: Il utilise des paradoxes.

124      C’était un paradoxe quand un grand soldat de–de Dieu, du nom de Josaphat, se trouvait aux portes, avec un homme rétrograde du nom d’Achab, et il a dit: «Ne serait-ce pas une bonne chose, avant que nous allions à cette bataille, que nous consultions l’Eternel?»Mais, si le coeur de cet homme a soif de connaître la volonté de Dieu, il doit y avoir la volonté de Dieu quelque part.

125      Le salut n’est pas toujours dans le grand nombre de conseillers. Achab dit: «J’ai tous mes ministres. Ils sont tous prophètes. Je vais les convoquer ici. Et tu sais, si je fais venir quatre cents prophètes, nous aurons la Parole de l’Eternel.»Pas toujours, pas toujours.

126      Si cela n’est pas conforme à la Parole, alors tenez-vous-en éloigné. Peu importe combien de personnes sont dans la chose. Tenez-vous-en à la Parole! Dieu ne peut pas se rétracter vis-à-vis de cette Parole.

127      Eh bien, il les a donc tous fait venir là, et ils ont tous prophétisé d’un même accord que l’Eternel était avec eux. Montez!

128      Mais cependant, il y avait quelque chose qui clochait. Et cet homme de Dieu savait qu’il y avait quelque chose qui clochait. Il dit: «N’en avez-vous pas un autre? Juste un autre, quelque part?»«Oh! dit-il, nous en avons encore un, mais je le hais.»Il dit: «Que le roi ne parle pas ainsi.»

129      Dieu choisit un garçon illettré, un petit renégat aux yeux de la nation, un homme méprisé, rejeté, pour apporter Son Message aux coeurs affamés. Et alors que les–toutes les dénominations qui s’étaient réunies étaient unanimes et tenaient un même langage, Dieu a amené une seule personne: Un paradoxe, mais cet homme avait la Vérité. Et il fut prouvé que c’était la Vérité, car il était attaché à la Parole. C’était un paradoxe, exactement.

130      Maintenant, vous dites: «Voulez-vous dire que vous n’êtes pas d’accord avec tout ceci cela?»Si cela n’est pas conforme à la Parole, je ne suis pas d’accord avec cela. C’est exact. La Parole de Dieu ne faillira jamais.

131      Il n’y a pas longtemps, je m’entretenais avec un prêtre et il a dit: «Monsieur Branham, vous essayez de soutenir un point en vous basant sur la Bible.» Il a dit: «Nous, nous croyons l’église, nous n’avons rien à voir avec Cela. Nous croyons l’église, ce que l’église dit. Dieu est dans Son église.»

132      J’ai dit: «Dieu est dans Sa Parole. Et Il est la Parole.» C’est vrai, la Parole!

133      C’est la raison pour laquelle Michée prit la Parole. Et Dieu utilisa un paradoxe pour confondre chaque dénomination et fit s’accomplir la Parole du serviteur de Dieu; un homme méprisé, rejeté, haï. Quoi? Haï par son propre peuple. Maintenant, il n’était pas un communiste ni quelque chose d’autre. Disons qu’il était pentecôtiste, et les groupes pentecôtistes le haïssaient. Ils ne l’aimaient pas. Ils n’avaient rien à faire avec lui. Mais il avait la Parole de Dieu. Dieu en fit un paradoxe.

134      «Pourquoi ne le ferait-Il pas, si tous ces autres hommes sont prophètes et prédicateurs, et ainsi de suite, pourquoi ne peut-on pas, dans ce grand groupe, décider quelque chose de mieux que la décision d’une seule personne? Il semble déraisonnable que Dieu ait confirmé la Parole d’un seul homme, plutôt que celle de tous les autres.»

135      En effet, la parole de cet homme était la Parole de Dieu. C’est la raison pour laquelle Dieu a accompli la chose, parce que cet homme s’en était tenu à la Parole de Dieu. Les autres prophétisaient un mensonge. Oui, c’était un paradoxe, lorsque Dieu a pris la Parole d’un petit gars et l’a confirmée comme étant vraie, parce que c’était Sa Parole. Dieu est obligé de soutenir Sa Parole, pas la parole du concile. Mais la Parole de Dieu, c’est ce qu’Il soutient.

136      Il prit Michée au lieu d’une école bien entraînée de prédicateurs, des hommes renommés. Je n’ai rien contre eux, ils étaient de grands hommes. Ils étaient des hommes qui ne croyaient pas dans un autre Dieu, ils croyaient dans le même Dieu que Michée. Mais ils agissaient comme s’ils croyaient en Lui, mais ils ne voulaient pas accepter Sa Parole. Parce qu’ils voulaient être populaires. Ils voulaient gagner la faveur du roi. Et à cause de leur aveuglement, ils n’ont pas considéré la vraie Parole de Dieu. Comment Dieu pouvait-Il bénir ce qu’Il avait maudit?

137      Et vous les hommes et vous les femmes, ne pensez pas que je fais cela pour être méchant. Je le fais pour être honnête. Voilà pourquoi je le fais. Comment puis-je dire que les femmes devraient avoir... très bien, les laisser se couper les cheveux, et des choses semblables, porter ces vêtements en disant que cela n’a rien à voir avec la chose.»La Parole de Dieu dit le contraire! C’est honteux de sa part et c’est un déshonneur pour elle aussi longtemps qu’elle fait cela, et Dieu ne traitera jamais avec elle. Peu importe combien elle parle en langues, saute ou crie, elle n’est encore nulle part avec Dieu. C’est la Parole du Seigneur.

138      Vous, les hommes qui ne savez pas diriger votre propre maison, comment pouvez-vous donc oser être des prédicateurs et des diacres? Comment pouvez-vous convenir comme prédicateur à la chaire, pour conduire l’Eglise du Dieu vivant et leur donner leur héritage en partage, alors que vous pensez plus à votre gagne-pain et à l’offrande qui entre qu’à la Parole de Dieu, et vous avez honte de la proclamer devant les femmes, de peur que vous ne soyez plus populaires. Que Dieu ait pitié de votre âme pécheresse! Prêchez la Parole de Dieu en toute Vérité!

139      Jean a dit: «La cognée est mise à la racine de l’arbre.» Et la cognée, c’est la Parole de Dieu. «Tout arbre qui ne produit pas du bon fruit, coupez-le et jetez-le au feu.» Ô Dieu, accomplis pour nous un autre paradoxe!

140      Pourquoi Dieu a-t-il pris Jean-Baptiste, dont je viens juste de parler, au lieu de ces prêtres bien formés de l’époque? Il prit un homme qui n’était jamais allé à l’école un seul jour de sa vie. Ainsi, si nous comprenons bien, Jean est allé au désert à l’âge de neuf ans, et il était seul avec Dieu.

141      Il y a quelques jours, en lisant le Concile de Nicée... C’était longtemps après la mort du dernier apôtre, saint Jean. Quand ces hommes se sont rendus là, à ce concile de Nicée, quelques vieux frères ont mis le reste d’entre eux dans l’embarras. Ils sont venus là, vêtus de peaux de brebis; là où se trouvaient les empereurs en robe, comme Constantin et les évêques de Rome. Ils étaient enveloppés dans de vieilles peaux de mouton, et ils vivaient dans le désert, se nourrissant des herbes, mais c’étaient des prophètes du Seigneur. La petite église du côté grec était allée de l’avant; du côté romain ils avaient reculé. Mais cela montre que lorsque vous faites des compromis, vous ne pouvez être serviteur de Christ.

142      Jean... En ce temps-là, l’église était devenue très orthodoxe, ils avaient leurs prêtres, des hommes bien formés. Mais Dieu a choisi cet homme qui n’avait pas d’instruction du tout et l’a fait sortir du désert, enveloppé d’une peau de brebis, avec une barbe en broussaille, les cheveux qui lui descendaient jusqu’au cou. Il n’avait point une chaire où prêcher. Aucune église ne l’invitait. Mais il se tenait probablement dans la boue, enfoncé jusqu’aux genoux, et il prêchait: «Le Royaume de Dieu est proche!» C’est cet homme-là que Dieu avait choisi.

143      Quand Jésus a dit: «Qui êtes-vous allés voir, un homme qui peut tenir des conférences dans toutes les écoles, un homme qui est bien habillé, et ainsi de suite?» Il a dit: «Ceux-là sont dans les palais des rois.» Il a dit: «Qu’êtes-vous allés voir? Un prophète?» Il a dit: «Plus qu’un prophète.» C’est celui dont le prophète a annoncé la venue: «J’envoie Mon messager devant Ma face.» Il était le–l’ange de l’alliance. Il était le–le grand précurseur.

144      Mais c’était un paradoxe, que Dieu... Pourquoi n’est-il pas descendu vers cette grande école-là à Jérusalem? Pourquoi n’était-il pas allé auprès de Caïphe le souverain sacrificateur? Pourquoi n’était-il pas allé auprès de ces grands hommes instruits qui avaient été formés depuis leur enfance, eux dont les pères et les arrière-grands-pères avaient été formés avant eux, depuis des générations et des générations, formés et instruits, des gens raffinés, de haute culture, instruits? Et alors Il prit un vieil homme du désert, qui n’avait jamais été à l’école un seul jour de sa vie, et le mit là, au Jourdain et dit: «C’est lui.» Un paradoxe, exactement. Incroyable, mais cependant vrai. Dieu l’a fait.

145      Et la naissance virginale de notre Seigneur; c’est incroyable qu’une femme mette un enfant au monde sans avoir connu un homme. Dieu l’a fait. Dieu l’a fait. Voyez-vous, c’est un paradoxe. Il prit une pauvre jeune femme, une jeune fille, fiancée à un homme de quarante-cinq ans, elle-même avait environ seize ou dix-huit ans, et fiancée à cet homme qui était veuf, avec quatre enfants. Et alors Il prit cette femme et la couvrit de l’ombre du Saint-Esprit, et conçut en son sein le corps qui servit de Tabernacle au Dieu Tout-Puissant. Un paradoxe!

146      Le Ciel ne peut vraiment pas Le contenir! La terre est Son marchepied, le Ciel est Son Trône et cependant Il a pu amener la plénitude de la Divinité, corporellement, et L’a mise dans un corps, dans un Homme. Oh! Alors que vous pouvez mesurer des centaines de milliards de kilomètres jusque dans des temps infinis sans jamais arriver à mesurer Dieu; et cependant un petit bébé, couché dans une mangeoire, contenait corporellement la plénitude de Sa Divinité. Jéhovah! Un paradoxe! Ce Grand Dieu, qui est assis là-bas pour contrôler cent millions de soleils qui brillent sur des planètes, Lui qui n’a jamais eu de commencement ni de fin, s’était incarné dans un corps, là dans une étable pleine de fumier...

147      Et ensuite, nous sortons, nous dansons, buvons et faisons des extravagances, faisant la fête! Ce n’est pas une fête; c’est une adoration. Nous célébrons la Noël. Dieu a fait cela afin de pouvoir mourir et prendre la place d’un pécheur.

148      C’était un paradoxe, lorsqu’un petit garçon aux cheveux bouclés, un petit gars aux épaules voûtées, qui ne mesurait probablement pas un mètre cinquante et qui avait sept boucles pendant autour de sa tête, un petit efféminé... Et il était en route un jour, pour aller voir sa petite amie, et un lion rugit contre lui.

149      Quelqu’un a-t-il déjà entendu un véritable lion rugir? Vous en avez probablement dans ces cages et autres, par ici. Mais je veux vous dire, ils miaulent tout simplement donc. Vous devriez entendre un lion sauvage rugir réellement. Cela ferait tomber les pierres de la colline à cinq cents mètres; les cailloux rouleraient jusqu’au bas de la colline; cela fait donc vibrer la terre. D’où provient ce rugissement? Je ne sais pas.

150      Oh! j’en ai vu un un jour, il avait la tête baissée, un vieux lion à la crinière jaune rugissait contre un noir, parce que celui-ci avait–parce que celui-ci avait pris un morceau de viande. Le premier l’avait laissée là et avait en quelque sorte dit ceci: «Eh bien, n’y touche pas, je vais m’abreuver un peu.» Et il descendit pour laper de l’eau. Quand il est revenu, celui à la crinière noire était en train de lécher cela. Le vieux papy s’arrêta, baissa la tête et lâcha un grondement, et je vous assure que les rochers dévalaient la colline. Oh! la la! il ferait trembler la ville, s’il rugissait comme cela ici. Un rugissement de lion, oh! il est féroce!

151      Et ce rugissement était lâché contre ce petit gringalet aux cheveux bouclés, comme nous l’appellerions, et alors quelque chose arriva. Ce petit gringalet s’avance et le prend par la gueule et pose une main comme ceci et l’autre comme cela, pas nerveusement, et il le déchire bonnement en deux et le dépose là. C’est un paradoxe! Qu’est-ce qui a causé cela? Si vous remarquez le passage juste avant cela, c’est: «Et (conjonction) l’Esprit du Seigneur est venu sur lui.» C’est ce qui a fait la différence. Et il tua le lion.

152      Et puis, un jour, des Philistins sont venus à sa recherche. Il était sans armes. Il y avait un millier de Philistins. Ils avaient de longues lances et de grands boucliers, et c’est comme une porte devant vous, comme cela, les boucliers. Imaginez-vous donc un très grand bouclier d’airain, tout le long devant vous, avec des casques d’airain, de grosses cuirasses d’airain, et tous leurs tibias et toutes les autres parties étaient complètement recouvertes d’airain; ils étaient munis de très grandes et longues lances, aussi longues que la distance qui nous sépare d’ici jusqu’à ce poteau-là; elles mesuraient peut-être quinze ou vingt pieds [5 ou 6 m] de long. Avec de grosses têtes de lances, en airain, tranchantes comme un rasoir. Et ils trouvèrent ce petit gringalet aux cheveux bouclés, venant de la Palestine, pour rendre visite à l’une de ses petites amies là-bas. Ainsi, ils ont dit: «Voilà le petit gars en question. Allons l’attraper!»Un seul homme aurait pu le prendre par le bout de cette lance, le soulever et le secouer un peu, et il serait retombé directement dans sa main, jusqu’au niveau de la poignée de sa lance. Eh bien, il n’était qu’un tout petit bonhomme.

153      Certaines personnes, des artistes, essaient de peindre Samson avec–avec des épaules telles qu’il ne saurait pas entrer dans ce tabernacle. Eh bien! cela ne serait pas un mystère, qu’il ce soit... un homme de cette carrure-là. Samson n’était qu’un petit gars, mais l’Esprit du Seigneur est ce qui était grand. Voyez? Il prend le... ce–ce–c’est déshonorer les Ecritures, que de dire qu’il était un homme de cette carrure-là.

154      Dieu prend toujours des choses folles et ignorantes comme celles-là pour faire Son oeuvre, voyez-vous. Il prend quelque chose qui n’est rien.

155      Ainsi ce petit gars se tenait là, et tout à coup voici que ces Philistins l’ont entouré pour le tuer. Et il ramassa la mâchoire d’une mule sauvage, qui se trouvait là, un petit âne, il prit la mâchoire de cette mule. Et... l’Esprit du Seigneur est venu sur lui. Et il s’est produit un paradoxe, à l’aide de la mâchoire d’une mule, il a défoncé ces casques d’un centimètre d’épaisseur, que ces gens portaient sur la tête, avec la mâchoire d’une mule. Eh bien, au premier–au premier coup qu’il aurait donné avec cette vieille mâchoire desséchée qui gisait là, celle-ci aurait éclaté en mille morceaux en se heurtant contre le sommet de l’un de ces casques ou contre ces grands boucliers. Lorsque mille hommes se sont rués sur lui, il les a tous massacrés. Un paradoxe! Ça, c’est lorsque l’Esprit du Seigneur est venu sur lui.

156      Oh! si seulement nous pouvions être des mâchoires dans la main de Dieu, il y aurait un autre paradoxe. Oui, c’en était un.

157      C’était un paradoxe, lorsque Jésus notre Seigneur prit cinq petits pains et deux petits poissons, les brisa et nourrit cinq mille personnes. Et on ramassa des paniers pleins de restes, des morceaux que certains d’entre eux n’avaient pas mangés. Ils posent quatre ou cinq poissons sur cette table ici avec quatre ou cinq morceaux de pains, et ensuite ils vont là-bas et déposent quatre ou cinq pains. Et certains n’ont même pas pu tout manger, ils en ont laissé simplement là. Ainsi, ils en ont ramassé des paniers pleins. Oh! Voyez? Comment l’a-t-Il fait? C’est incroyable qu’un homme puisse prendre cinq petits pains, avec deux petits poissons, et nourrir cinq mille personnes et qu’on puisse ramasser sept paniers remplis de restes. C’est incroyable, mais Il l’a fait. Pourquoi? C’était Dieu. C’était un paradoxe. C’est incroyable, mais Il l’a fait.

158      C’était quelque chose d’incroyable, lorsqu’un Homme est venu en marchant à travers ces vagues, sur une mer houleuse, avec ces vagues qui étaient si hautes qu’elles faisaient sombrer le bateau, chose qui ne s’était jamais faite ni avant ni après! Je peux vraiment me représenter chaque fois ces–ces grandes vagues qui écument, L’environner, éclater et descendre au fond, et Lui continue bonnement à marcher comme s’Il marchait sur du béton. Marcher sur la mer, par un temps de tempête! Que la science nous explique cela. Qu’est-ce qui Le maintenait d’aplomb là? Qu’est-ce qui Le maintenait sur cette mer alors que sa profondeur est d’un demi-mile [environ 805 m] juste à cet endroit-là? Quand ces grandes vagues, plusieurs fois plus grandes que ce Tabernacle, déferlaient, eh bien, eh bien, le pan du bateau était rempli d’eau et était devenu lourd. Il était trempé et il sombrait; les mâts s’étaient brisés et les rames étaient détruites, tout espoir d’être sauvé était perdu. Et voici venir Quelqu’Un, marchant sur l’eau! Un paradoxe, sûrement! Incroyable, cela ne peut être expliqué, mais Il l’a fait. Oh! oui, Il l’a fait, Il est venu, marchant sur l’eau. C’est incroyable que cette même Personne... Ô Dieu, j’espère que ceci est bien compris!

159      C’est incroyable, un véritable paradoxe, que ce même Jésus de Nazareth, ait choisi une bande de pêcheurs ignorants pour Son Eglise, au lieu des prêtres bien formés et des dénominations de ce jour-là. Que ce Dieu qui possède toute la sagesse, qui pouvait marcher sur les eaux, qui pouvait changer l’eau en vin, qui pouvait prendre cinq petits pains et nourrir cinq mille personnes et on a ramassé sept paniers de restes; que cette même Personne, ce Dieu qui se tient là dans l’éternité, qui est si brillant que le soleil détourne de Lui son visage, Lui la Fontaine même de la sagesse et de la pureté, de l’intelligence et de la connaissance, le Suprême des suprêmes; alors qu’Il était venu au moment où toutes les églises s’étaient rassemblées dans une grande confédération et avaient formé tous leurs hommes, Il est descendu et a choisi une bande de pêcheurs sales et puants qui ne pouvaient même pas écrire leur propre nom, et a choisi ce type d’hommes pour mettre l’Eglise en ordre pour Son Epouse. C’est étrange, n’est-ce pas? Tout portait à croire qu’Il devrait prendre au moins quelqu’un qui était formé.

160      Il est le Formateur, c’est Lui qui forme. C’est étrange qu’Il l’ait fait. Au lieu de prendre des hommes d’église, Il prit des pêcheurs pour faire cela. C’est très étrange, mais c’est de cette manière qu’Il le fait. C’est vrai.

161      C’était un vrai paradoxe lorsque Dieu a pris une bande d’ignares, comme nous les appellerions aujourd’hui, des saints exaltés, des gens pauvres, dépourvus des biens de ce monde, et qu’Il ait déversé le Saint-Esprit sur eux dans une chambre haute, au lieu de Le déverser sur le conseil du Sanhédrin, où tous les théologiens étaient réunis, où se trouvaient tous les grands hommes, où se trouvait la tête de toutes les églises, ceux qui avaient étudié les Ecritures, qui avaient beaucoup étudié, qui étaient bien formés, qui attendaient la Venue du Messie, et qui étaient sûrs que c’est eux qui sortiraient à Sa rencontre pour dire: «Ô Messie, Tu es descendu, comme sur les ailes d’un avion, Tu t’es posé sur les marches du temple, nous avons vu que Tu es descendu du Ciel, des corridors en or du Ciel. Maintenant, nous sommes tous bien formés et prêts à aller travailler. Nous sommes instruits, nous avons nos licences ès lettres, nos doctorats d’Etat, nos doctorats en droit et tout ça. Nous sommes tous formés. Nous voici, nous nous tenons là très puissants. Nous sommes prêts pour Toi. Viens! Nous attendons et appelons: ‘Viens!’»

162      Mais au lieu de cela, Il descend et prend un groupe de personnes qui pouvaient à peine distinguer leur gauche de leur droite. C’est exact. Et Il les met dans la chambre haute et déverse Son Esprit, Ô Dieu, sur un groupe de gens comme celui-là. Au lieu de prendre le conseil du Sanhédrin, Il a pris des pêcheurs. N’est-il pas étrange qu’Il n’ait pas utilisé leur instruction? C’était là le bon plaisir de Dieu.

163      Il semble que c’est le bon plaisir de Dieu de faire de Sa propre Eglise un paradoxe. Il fait la même chose maintenant, faisant de Son Eglise un paradoxe, contournant tous ces grands prétentieux et tout ce fatras qu’on prétend être l’église. Et Il va... toute personne qu’Il peut prendre dans Sa main, qui ouvrira ses yeux et verra ce qu’est la Vérité, et la testera avec la Parole de Dieu au temps où nous vivons, et Il la placera dans le Corps. Un paradoxe! Dieu choisit de telles gens. Il fait de Son Eglise un paradoxe; des gens bizarres, des gens étranges.

164      Tous ces gens qui étaient dans la chambre haute sont sortis, parlant dans une autre langue, titubant tels des gens ivres, titubant et se conduisant drôlement. Des femmes, Sa propre–propre mère et tous ceux qui étaient dans la chambre haute sont sortis là, en bafouillant des choses de sorte que personne ne pouvait comprendre ce qu’ils étaient en train de faire au départ. Des langues fendues s’étaient posées sur eux. Fendues signifie divisées. Personne ne comprenait ce qu’ils faisaient. Ils bafouillaient là et se comportaient comme s’ils étaient ivres.

165      Et là se trouvait un groupe de personnes qui étaient formées, des érudits de la Bible, des théologiens, mais Dieu a choisi, Dieu a dû prendre [les autres] et les laisser dans leur ignorance, avec leur haute intelligence et leur instruction et Il est venu ici prendre ce groupe de gens qui ne connaissaient pas leur abc, et Il a déversé Son Esprit sur eux, et Il a fait d’eux un paradoxe. Oui, Dieu fait cela, Il le fait pour [accomplir] Son propre dessein. Il fait de Son Eglise un paradoxe. Je crois en cela. J’y crois!

166      C’est la vérité, je crois la Parole! «Que toute parole d’homme soit reconnue comme un mensonge, et Celle-ci pour la Vérité.» Ce que cette Parole dit de faire, faisons-le de la façon que cette Parole dit de le faire; peu importe combien cela semble drôle, et combien il vous faut être bizarre, ou quoi que ce soit du genre. Tenez-vous-en à la Parole. Qu’on vous traite de «démodé», qu’on vous traite de ceci ou cela, que vous importe de toute façon? Tenez-vous-en à cette Parole! La voici, la Vérité. N’acceptez pas ce qu’un autre dit. Acceptez ce que dit la Parole.

167      Il y a quelque temps, un ami dans le ministère... j’en ai entendu parler et je le crois. Par un après-midi chaud, en Géorgie, il rendait visite avec ce... à un pharmacien. Le vieux pharmacien était un brave vieux frère chrétien, rempli de l’Esprit de Dieu. Et il a dit: «Entrez et prenez place, et prenons un–un coca.» Ils étaient assis là, prenant leur coca. Il dit: «Je voudrais vous dire quelque chose, et vous ne le croirez peut-être pas.»«Eh bien! Ecoutons cela d’abord», dit le prédicateur.

168      Il a dit: «J’ai toujours essayé de servir Dieu de mon mieux.» Il était diacre dans une église. Il a dit: «J’ai toujours essayé de mener une vie conforme à mon appel, et de faire ce qui est juste.» Il a dit: «Je n’ai jamais usé de tricherie envers quelqu’un. J’ai toujours témoigné pour mon Seigneur, partout où je l’ai pu.» Et il a dit: «J’ai... a-t-il dit, mes médicaments ici, a-t-il dit, j’ai essayé d’avoir la meilleure qualité qui pouvait être achetée. Je n’ai jamais fait payer personne plus qu’il ne le devait. Je me suis efforcé de faire tout ce qui était juste, au mieux de ma connaissance, pour servir le Seigneur.» Il a dit: «Je vais vous dire ce qui est arrivé.»

169      Il a dit: «Mon fils, qui étudie pour être aussi pharmacien, pour me succéder, était devant le bâtiment un jour.» Et il a dit: «C’était du temps de la crise.» Il a dit: «Une petite dame est entrée, et on pouvait voir ce qu’elle avait comme problème. Elle attendait famille. Et elle et son mari, tous deux étaient pauvrement vêtus, a-t-il dit. Ils ont remis l’ordonnance à mon fils; a-t-il dit, pour l’exécuter, car la femme avait besoin d’un certain produit que le médecin lui avait prescrit.» Et il a dit, il a dit: «Ça, ça coûte autant et ainsi de suite»,Lorsque le futur père demanda: «Combien cela fera-t-il?»«Autant.»Il a dit: «Monsieur, je ne serai pas en mesure d’honorer ou de faire face à cette ordonnance, dit-il, car je n’ai pas d’argent.»

170      Eh bien, il a dit: «Mon fils lui a dit: ‘Allez là dans la rue, jusqu’à la moitié d’un pâté de maisons ou jusqu’à un pâté de maisons, et tournez à gauche, et vous trouverez là où–on a un endroit où il y a une maison de bienfaisance. Allez là au comté et ils vous donneront peut-être l’argent pour la commande, ils paieront pour cette ordonnance, parce qu’il faut que ça... la dame doit prendre d’urgence ce–ce–ce médicament.»Et il a dit: «Il est sorti... et il s’est mis à...»

171      Et il a dit qu’il avait suivi les propos de son fils, Quelque Chose lui dit: «Oh! non, ne fais pas cela.» La Chose continua: «Cette femme a besoin de cela.»Il a dit qu’il s’est mis à penser: «Avec cette longue file d’attente là-bas! C’est difficile pour un homme qui est bien en forme de rester dans la file, que dire d’une future mère qui est dans cet état-là.»

172      Il a dit: «J’ai dit à mon fils: ‘Va, appelle-les, dis-leur de revenir.»Il a dit: «Et je me suis précipité à la porte, et j’ai dit: ‘Revenez! Revenez!’»Ils sont revenus. Et j’ai dit à mon fils: «Exécute l’ordonnance. C’est gratuit.»

173      Et il a dit: «Mon fils m’a remis l’ordonnance, et je suis allé et je l’ai exécutée, et je l’ai exécutée le mieux possible. J’ai apporté les médicaments pour les remettre à la dame et le lui signifier. On ne devait rien payer pour ça. Ça ne faisait aucun problème; car elle en avait grandement besoin. Et–et je pouvais donc me passer de cet argent.»

174      Ainsi, il a dit: «J’allais mettre le médicament dans sa main. Et à ce moment, j’ai regardé la main et celle-ci avait une cicatrice.» Il a dit: «J’ai levé les yeux, et j’étais en train de placer cela dans la main de Jésus.» Il a dit: «J’ai alors expérimenté ce que veulent dire les Ecritures: ‘Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de Mes enfants.’»

175      Cet homme m’a dit: «Croyez-vous cela?»«Eh bien! Certainement, je le crois.» C’était un paradoxe, incroyable mais vrai!

176      Et que dire du grand saint Martin de Tours, en France? Lorsqu’étant soldat, il est passé par une nuit froide dans une rue obscure, où il y avait un... Dans cette rue froide et obscure, il y avait un vieux clochard, couché dans la rue, en train de geler. Son sang était en train de geler dans ses veines. Et Martin qui  n’était pas encore un chrétien... Et quiconque a lu l’histoire de la Bible connaît saint Martin. L’autre jour, cet historien essayait d’avoir sa carte, celle que j’ai prise pour le–pour le troisième âge de l’Eglise, celle de saint Martin, parce que les miracles l’accompagnaient. Et saint Martin ayant regardé devant... il était un soldat, et là se trouvait ce vieil homme, couché dans la rue, en train de geler. Il a regardé, et il n’avait qu’un seul manteau; sans ce manteau le clochard allait geler. Il prit son couteau et coupa son manteau en deux et en couvrit le clochard; Il prit l’autre moitié, s’en couvrit lui-même et continua son chemin.

177      Cette nuit-là, après qu’il fut entré dans sa chambre et qu’il fut assis, il entendit Quelqu’un entrer dans sa chambre. Il regarda, et c’était Jésus, enveloppé dans ce morceau de manteau. C’était là son appel au ministère.

178      Il est devenu un saint. Il a parlé en langues. Son école formait des gens. Il donnait à ses gens une bonne formation avec la Parole de Dieu. Il ne se souciait pas de ce que disait la première église de Rome ni de ce que disait toute autre église. Il s’en tenait strictement à la Parole de Dieu. Il L’enseignait à ses fidèles; ils parlaient en langues et imposaient les mains aux malades. Ils ressuscitaient les morts. Ils chassaient les démons. Un homme, son ami, avait été tué, et il est allé, il a étendu son corps sur lui (il a demandé s’il pouvait le voir quelques minutes), et lui et son ami sont sortis en marchant ensemble. Pourquoi? C’était un paradoxe. Certainement, Dieu l’a fait.

179      Je crois dans les paradoxes. Oui, monsieur. Je crois, j’y crois de tout mon coeur.

180      C’était un paradoxe, lorsque parmi tous les hommes intelligents qui étaient dans le monde, Dieu plaça les clés du Royaume entre les mains de celui qui était considéré comme un homme du peuple sans instruction. C’est exact. L’un des hommes les plus intelligents dans le monde, en ce temps-là, était Caïphe, le souverain sacrificateur; les autres, c’étaient les empereurs et les rois, et les grands de la terre, comme les présidents et les autres, tous ces grands hommes.

181      Quelle est la chose la plus importante au monde? C’est l’Eglise de Dieu! Dieu a fait la terre, Il l’a faite dans un but: pour en faire sortir une Eglise, une Epouse. Et c’est le travail le plus important au monde.

182      Et les hommes les plus intelligents qu’Il avait, c’étaient les empereurs, les rois, les potentats, les monarques, les souverains sacrificateurs et les ecclésiastiques. Il aurait pu choisir n’importe lequel d’entre eux. Mais c’était un paradoxe, lorsqu’Il appela un homme qui ne pouvait même pas signer de son propre nom, et dit: «Je te donne les clés du Royaume. Tout ce que tu lieras sur la terre, Je le lierai dans les Cieux. Tout ce que tu délieras sur la terre, Je le délierai dans les Cieux.»

183      Dites donc, j’ai pensé à cela au sujet de cette vision: «Ce que vous déliez ou liez.»

184      «Ce que vous liez sur la terre, Je le lierai dans les Cieux. Ce que vous déliez sur la terre, Je le délierai dans les Cieux.» Oui, Il a donné cela non à un souverain sacrificateur instruit, Caïphe, mais à un pêcheur ignorant. Vraiment un paradoxe!

185      Nous voyons Paul, un petit Juif au nez crochu, sur son chemin, arrogant, se rendant là pour lier ces gens qui faisaient du bruit, qui criaient et tout le reste, et les jeter en prison, faisant des ravages dans l’Eglise. Lorsqu’Etienne était lapidé, il y avait assisté et avait gardé les manteaux de ces gens-là. Il... il inspirait la terreur. Comment Dieu pourrait-Il donc jamais choisir un homme pareil?

186      Et écoutez, les évêques et tous les Apôtres ont dit: «Nous allons choisir quelqu’un pour prendre la place de Judas.»Et qui choisirent-ils? Ils choisirent Matthias. Matthias, je crois que c’est comme ça que ça se prononce. Matthias, oui. Matthias, ils le choisirent en tirant au sort, et il n’a jamais rien fait. Il semblait être un homme juste. Et Dieu a choisi l’homme le plus colérique, le type le plus méchant qu’il y avait dans le pays, pour prendre sa place. Un paradoxe! C’est ce que Dieu fait. Un paradoxe!

187      C’était un paradoxe, lorsque ce Juif incroyant, hautain, colérique, méchant, méprisable, était un jour en chemin vers une ville, pour lier les chrétiens et les jeter en prison, et que tout à coup il fut terrassé. Et quand il leva les yeux, là se trouvait la Colonne de Feu, et une Voix en sortit, disant: «Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-tu?» C’était un paradoxe, quand Lui La voyait, tandis que les autres ne La voyaient pas. Voyez?

188      Quelqu’un a dit: «Oh! moi je ne vois pas Cela. Il n’y a rien de tel là, non, vous ne La voyez pas, ce n’est pas vrai.»A ce sujet, voici ce que les gens disent aujourd’hui: «Je ne crois pas une telle chose. Non. Certainement pas. Certainement pas.»Mais il y a là–il y a là ceux qui voient réellement la chose. Evidemment, si vous êtes aveugles, vous ne pouvez pas voir Cela.

189      Il y a quelque temps, ça fait plusieurs années, un homme m’a dit: «Eh bien, si je me mets sur votre chemin...» Il a dit: «Paul a frappé un homme d’aveuglement.» Il a dit: «Si je suis du diable, a-t-il dit, frappez-moi d’aveuglement!»

190      J’ai dit: «Ce n’est pas nécessaire de le faire. Vous êtes déjà aveugle. Voyez-vous? Vous êtes déjà aveugle; et vous êtes aveugle de la pire espèce. Voyez-vous?» J’ai dit: «Anne, dans le temple, pouvait voir plus loin que vous alors qu’elle était aveugle, physiquement.» Il est aveugle, spirituellement. Certainement. C’était un paradoxe.

191      C’était un paradoxe, lorsque Dieu fit une soi-disant hérésie... Avec tout ce bruit, et ces cris, ces louanges à Dieu, et ces parlers en langues, par des gens méprisés et rejetés, taxés d’idiots et d’hérétiques; c’était un paradoxe, lorsque Dieu, le Glorieux Père de tous, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, a choisi une «bande d’hérétiques» pour apporter le Salut à Son Eglise, au lieu du système ecclésiastique et théologique des gens bien formés. C’est un paradoxe.

192      Il n’y a pas longtemps, j’étais dans une ville, dans l’Etat de Washington, ou plutôt, je pense, c’était dans l’Oregon. Et un–un journaliste est venu, deux petits journalistes, tenant chacun une cigarette à la main. Ils sont entrés. Ils allaient rédiger un article sur moi; certainement, très bien, vous savez. Ils continuaient de parler tantôt d’une chose, tantôt d’une autre. Et l’un d’eux a dit: «Et–et, êtes-vous un saint exalté?»

193      J’ai dit: «Non», j’ai dit: «Je n’ai jamais roulé, mais, ai-je dit, je–je pense que s’Il me demandait de rouler, je le ferais volontiers.»

194      Et elle a continué de plus belle à parler comme cela, vous savez. Et elle continuait de parler, oh!J’ai dit: «Laissez-moi vous dire quelque chose, jeune dame, écrivez tout ce que vous voulez. Vous êtes catholique.»

195      Elle a dit: «C’est exact, a-t-elle dit, comment savez-vous que je suis catholique?»

196      «J’ai dit: «Eh bien, c’est exactement de la même manière que j’ai su ces autres choses sur l’estrade. Voyez-vous?» J’ai dit: «Vous êtes catholique. Allez de l’avant et écrivez bien votre article, mais je vous donne un avertissement maintenant; dans trente jours, écrivez bien votre article, vous serez étendue au bord d’une route, la gorge tranchée par un morceau de verre de votre propre voiture, implorant miséricorde, et vous penserez beaucoup à moi.»Elle dit: «N’êtes-vous pas Irlandais?»«Si.»«Votre famille était-elle catholique?»J’ai dit: «Peut-être avant moi.»

197      Elle a dit: «Que penserait votre mère de cela, en vous voyant agir tel que...»

198      J’ai dit: «Je l’ai baptisée au Nom de Jésus-Christ. Et elle a reçu le Saint-Esprit. Eh oui, oui.»

199      Et j’ai dit: «Maintenant, si vous voulez continuer de cette façon, alors je prendrai votre nom et vous prenez le mien. Alors, si les choses ne se passent donc pas ainsi, dans trente jours, écrivez dans votre journal que je suis un faux prophète. Maintenant, allez de l’avant et rédigez-le.»

200      Elle a dit: «J’ai horreur de me représenter que lorsque j’irai au Ciel, une bande d’ignares comme ceux qui fréquentent ces réunions sera en train de diriger le Ciel.»

201      J’ai dit: «Ne vous inquiétez pas trop à ce sujet.» J’ai dit: «La seule chose, c’est que je ne... Si vous ne changez pas votre conception et vos manières, vous ne serez pas là-bas de toutes façons. Vous voyez?» J’ai dit: «Parce qu’eux seront là. C’est Dieu qui les a choisis.»

202      C’est un paradoxe que Dieu ait choisi les choses folles, vous voyez, ces choses-là. Voyez? Dieu a choisi d’apporter le salut au monde par un tel groupe, (un paradoxe), totalement différent de leurs érudits hautement instruits et raffinés, des théologiens et autres. Dieu contourne simplement cela. Il prend un petit ignorant, Il l’élève et met Son Message en lui, comme Il fit avec Jean, et les autres d’entre eux, Pierre et les autres. Il les a envoyés prêcher l’Evangile, les faisant entrer dans Son Eglise; Il les sauve, et Il va les ramener sur terre, c’est tout ce qu’il y a, voyez. Et Il a laissé de côté tout ce groupe de gens bien raffinés. Oh! la la! c’est certainement quelque chose! Je pourrais...

203      Dieu, alors que Dieu a choisi les hommes du peuple sans instruction, au lieu des hommes instruits et formés, pour Son Epouse... Pouvez-vous imaginer qu’un homme qui choisit son épouse puisse prendre... un homme ayant un pouvoir très, très élevé et suprême...

204      Il y a quelque chose ici que j’aimerais dire, mais je n’ai pas beaucoup de temps pour le dire, c’est au sujet d’une petite parabole que j’ai vue une fois. Mais je ne pourrai pas le dire. Je l’avais inscrite ici, mais je n’ai pas le temps pour cela.

205      Mais, Dieu a choisi Son Epouse du milieu d’un groupe de gens, comme cela. Maintenant, si quelqu’un dit que ce n’est pas comme cela, alors vous ne croyez pas votre Bible. C’est l’exacte vérité. Lisez votre Bible, c’est l’exacte vérité.

206      C’était un véritable paradoxe, lorsque Dieu a choisi la folie de la prédication inspirée, au lieu de la théologie hautement raffinée. Un homme qui connaît à peine... qui utilise des «‘Hit, hain’t, tote, fetch, carry’» et tous les mots de ce genre et qui dit toutes sortes de choses sans tenir compte de la grammaire, des phrases agrammaticales et toutes les autres choses. Et Dieu a choisi cela au lieu de prendre ceux qui ont une grande érudition et de la finesse, qui peuvent vraiment bien prononcer les mots et les placer bien à propos. Mais il a plu à Dieu de prendre la folie de la prédication inspirée, un pauvre petit laboureur qui ne connaît pas son abc, Il prend un tel homme et gagne des âmes par lui, alors que ces séducteurs bien raffinés ne font que conduire des aveugles; ils conduisent des aveugles. Un véritable paradoxe!

207      Oh! Il y en a plein dans la Parole. J’ai beaucoup de contextes, ou plutôt de passages des Ecritures que je suis obligé de mettre de côté.

208      Il est vrai que les grandes églises brillent et étincellent, avec une théologie raffinée, tandis que le Royaume rayonne dans l’humilité, les pauvres et les humbles. L’Evangile ne brille pas, Il rayonne. L’or de fous brille; le véritable or rayonne. Il y a une différence entre un rayonnement et un éclat. Nous le savons. Pendant que les grandes églises étincellent et brillent avec les érudits hautement raffinés, de beaux bancs d’église, des crucifix partout au mur, et les édifices et les bâtiments les plus élevés et les plus beaux, de très grandes constructions, et tout comme cela; le petit Royaume, là dans une petite rue par ici, quelque part, rayonne de la Gloire de Dieu, rempli avec les gens humbles de coeur, voyez-vous, Dieu travaillant en eux, guérissant les malades, ressuscitant les morts, chassant les démons, et ainsi de suite; laissant simplement les autres passer à côté.

209      Il s’est tenu une grande réunion de ministres. N’oubliez pas ceci. Il s’est tenu une grande réunion de ministres, il y a quelque temps par ici, dans une certaine ville, à laquelle ont assisté certaines personnes venant d’ici. Et il y avait un homme qui allait... Oh! c’était un théologien. Il passait pour quelqu’un ayant le message du jour pour les gens. Et il avait étudié le sujet pendant deux ou trois semaines. C’était très bien. Et quand il est monté à la chaire, sans un faux pli dans ses vêtements, oh! la la! habillé de la manière la plus chic, vous savez, il est monté là, bomba le torse et posa tout son–son matériel pour son message. Et il prêcha un message d’une heure, auquel on ne pouvait rien redire, intellectuellement. Oh! Comme il bombait le torse, et il se présentait comme étant le docteur en droit «Untel», sorti d’une certaine grande école. Son message était si hautement raffiné et si savant qu’il apporta aux gens un tel chef-d’oeuvre de psychologie et que sais-je encore.

            On disait: «C’était merveilleux!»

210      Mais pour les chrétiens qui étaient assis là, juste comme au Concile de Nicée, cela a attristé l’Esprit. Oh! c’était un chef-d’oeuvre, assurément. Oui, oui. Cela avait toute la finesse possible. Mais les gens véritablement remplis du Saint-Esprit se demandaient tout simplement: «Qu’est-ce que c’est?» Cela ne concorde tout simplement pas avec... L’Esprit n’y était pas pour soutenir cela.

211      Ainsi, quand il descendit, il avait la tête baissée, il avait compris que cela n’avait pas fait impression. Lui était d’une autre école; mais il était parmi les pentecôtistes. Ainsi, quand il descendit de l’estrade, il avait la queue entre les jambes. Il commença à marcher là, avec toutes ses affaires sous le bras, comme ceci, marchant à travers l’assemblée.

212      Il y avait un vieux saint sage, assis sur le côté droit, il s’approcha d’un autre homme et dit: «S’il était monté de la façon dont il est descendu, il serait descendu de la façon dont il est monté.» C’est cela. S’il était monté humblement, il serait probablement descendu rempli de gloire. S’il était monté de la façon dont il est descendu, il serait descendu de la façon dont il est monté. C’est exact. Un paradoxe!

213      Ecoutez, en terminant maintenant, juste un moment avant la ligne de prière. Je voudrais dire un mot ou deux de plus, au sujet du paradoxe.

214      Les visions des prophètes d’autrefois restent toujours un paradoxe. C’est parfait. Qui peut dire qu’un homme, il y a quatre mille ans, pouvait parler des chars sans chevaux, se bousculant dans de grandes routes les uns contre les autres. Les prophètes de l’Ancien Testament pouvaient voir les choses à l’avance et les prédire; étant élevés par la Puissance de Dieu, ils pouvaient voir les choses des années à l’avance et les prédire avec une exactitude parfaite. Expliquez cela! C’est un paradoxe. Oh!

215      Encore un autre, je veux vous donner un autre petit paradoxe insignifiant. Néanmoins, ma conversion était un paradoxe. Je dis ceci avec amour et respect. Mes parents sont décédés. Les gens de la famille de ma mère vivaient tous dans les péchés et étaient des chasseurs et des gens de la montagne. La famille de mon père, c’était tous des ivrognes, des contrebandiers d’alcool, des joueurs de jeux d’argent, des tireurs, qui s’entre-tuaient, la plupart sont morts d’une mort violente. Il n’y avait, de toute façon, aucun brin de religion chez nous. Et comment Dieu a-t-Il... quelle est cette Chose qui est venue ce matin-là dans cette vieille petite cabane en rondins, là-haut, dont vous voyez la photo sur ce mur là-bas? Quoi? C’est totalement différent.

216      Si vous mettez un grain de blé en terre, cela produira un grain de blé. Si vous mettez du maïs en terre, cela produira du maïs. Si vous y mettez un gratteron, cela produira des gratterons.

217      Mais ceci est un paradoxe! Chacun d’entre vous peut dire la même chose à propos de lui-même. Nous pouvons tous nous rappeler un paradoxe qui nous est arrivé.

218      Voici un autre paradoxe. Comment, après avoir prêché presque trente ans, pouvais-je toujours avoir peur à l’idée d’aller dans l’au-delà? Comment est-ce possible? Après avoir prêché depuis que j’étais un petit garçon, et voici que maintenant je suis un homme de cinquante-deux ans, et puis avoir peur à l’idée de... je–je n’ai pas... je savais que j’étais sauvé. Mais je redoutais de penser que... Mais un matin, l’Amour de Dieu est descendu dans ma chambre, m’a élevé, et m’a emmené en un Lieu où étaient les rachetés. C’était vraiment un paradoxe.

219      Je voudrais vous demander quelque chose. Je pourrais arrêter ici maintenant. Je désire vous demander quelque chose. Qu’est-Ce qui se trouve sur cette photo-là? D’où Cela est-Il venu? Pourquoi Cela est-Il ici? La science ne peut le nier. Quelle est cette chose qui se trouve dans les réunions, qui se tient là et passe les gens au peigne fin, et leur dit: «Il n’y a pas longtemps, vous avez fait ceci. Vous êtes ici pour tel but. Vous êtes ici pour cela.»C’est incroyable pour l’esprit scientifique.

220      Maintenant, nous savons ce qu’est la télépathie. La télépathie consiste à dire quelque chose, par exemple, vous dites quelque chose et je puis dire la même chose, voyez-vous, ou je lis dans votre pensée, et cela arrive au même instant. Mais lorsque vous voyez que Cela vous parle des choses qui arriveront très loin dans l’avenir, cela n’a rien à voir avec la télépathie.

221      C’est incroyable que Dieu, comme Il l’avait promis dans ces derniers jours, ait pu faire une telle chose. Mais c’est vrai, c’est un paradoxe! Le même Dieu qui a toujours eu des paradoxes et qui les a accomplis, est le même Dieu aujourd’hui, parce qu’Il tient Sa Parole. La science ne peut Le nier, Le voici photographié par un appareil photo mécanique. C’est un paradoxe. Dieu!

222      Qu’est-ce? Dans–dans Exode, au chapitre 13, nous lisons que Dieu a donné aux enfants d’Israël, ce qui était le type de l’Eglise aujourd’hui... de même qu’ils voyageaient dans le naturel, nous, nous voyageons dans le spirituel. Dimanche prochain, nous allons aborder cela. Souvenez-vous, c’est entièrement sur cela. Voyez? Eh bien, alors qu’ils sont–qu’ils marchaient sur la terre, matériellement, comme ceci, et Dieu était avec eux; l’Eglise est assise avec Christ dans les lieux célestes, dans les sphères spirituelles, continuant le voyage avec toutes les dominations sous nos pieds. Alléluia! Oui, oui. Et ils avaient une Colonne de Feu, une Lumière qu’ils suivaient. Partout où allait cette Lumière, ils La suivaient. Des milliers d’années sont passés, des centaines et des centaines d’années se sont écoulées, et C’est toujours vivant. Un paradoxe! Le même hier... cela accomplit les Ecritures. Elle est ici pour rendre témoignage, pas à cause de nous, mais parce que Dieu l’a promis, que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Les richesses de Christ, ou plutôt l’opprobre de Christ, c’est ce que Moïse a regardé comme étant une richesse plus grande que les trésors d’Egypte. Et qui était ce Christ qui allait devant Lui? Une Lumière, une Colonne de Feu.

223      Il a dit: «Je viens de Dieu et Je retourne à Dieu.» Il l’a fait. «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez; car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.» Jusqu’à la fin du monde, Il serait là aussi. Nous y voilà!

224      Après la mort, l’ensevelissement et la résurrection de Jésus-Christ, saint Paul Le rencontra sur la route de Damas, Il était retourné dans cette Colonne de Feu.

225      Près de deux mille ans sont passés depuis lors, et Le voici! Pas parmi les dénominations, pas parmi les érudits très raffinés de ce jour, mais parmi un groupe de pauvres et d’humbles personnes. Un paradoxe! Un paradoxe! Pour ceux qui L’aiment, qui croient en Lui, des milliers dans le monde qui croient en Lui, c’est pour accomplir Sa promesse du Nouveau et de l’Ancien Testament. Voilà ce que c’est. Mais c’est un paradoxe.

226      C’était un paradoxe, quand Dieu promit de donner le Royaume à un petit troupeau, au lieu de Le donner à une grande église organisée. «Ne crains point, petit troupeau; [car] votre Père a trouvé bon de vous donner le Royaume.» Ce sera... C’est un paradoxe. C’est un paradoxe.

227      Ce sera un véritable paradoxe, l’un de ces jours, quand Jésus viendra; et que les morts en Christ ressusciteront, et ce corps mortel revêtira l’immortalité, et l’Enlèvement de l’Eglise aura lieu.

228      Dans ce temps de Noël, alors que les gens font des achats et dansent, boivent et célèbrent quelque chose au sujet duquel ils ne connaissent rien, comme s’ils célébraient la naissance de Washington ou de Lincoln, sans adorer le...

229      Ils ont encore Dieu dans une crèche, alors que Dieu n’est plus dans une crèche. Il est ressuscité des morts, et Il est vivant à jamais, vivant parmi nous, prouvant qu’Il est le même Dieu que Celui que les pères Nicéens ont été les vases, et qui a parcouru les âges depuis le jour de la Pentecôte. C’est le même Dieu qui, sur le chemin de Damas, a rencontré Paul; lequel est devenu un missionnaire pour les nations et un messager de Dieu pour les nations. Le Message pour les nations commença par une visitation de la Colonne de Feu, et cela se termine de la même manière.

230      Le royaume des nations commença... le royaume du monde (Ça c’est le monde.) commença par une réprimande venue dans une langue céleste au temps du roi Nebucadnetsar; il se termine de la même manière, alors que le Saint-Esprit est en train de se déverser sur l’Eglise des Gentils dans ces derniers jours, pour réprimander encore ces nations des Gentils par une Ecriture sur la muraille, l’Ecriture sur la muraille, Dieu a préparé Son Eglise, Il a préparé Son peuple, Il a préparé Sa place, et ils attendent Sa Venue.

231      Et lors de cet Enlèvement, «lorsque la trompette de Dieu sonnera, et que les morts en Christ ressusciteront, nous les vivants qui seront restés, nous ne ferons pas obstacle à ceux qui se sont endormis. Car la trompette de Dieu sonnera, les morts en Christ ressusciteront; et nous serons tous ensemble enlevés avec eux, à la rencontre du Seigneur dans les airs.» Ce sera un paradoxe, un de ces matins, lorsque les tombes s’ouvriront et que les morts sortiront; lorsque les vivants seront changés en un instant, en un clin d’oeil, et monteront à Sa rencontre dans les airs.

232      La chose entière est un paradoxe, Dieu agissant parmi Son peuple. Croyez-vous cela? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Inclinons la tête pour un mot de prière.

233      Ô Dieu, maintenant pendant plus d’une heure, environ une heure et dix minutes, nous nous sommes tenus debout ici, parlant des événements passés et présents, comment le Saint-Esprit les avait répartis, Seigneur, pendant que la Parole de Dieu été si gracieusement apportée, montrant que le même Dieu du Ciel, qui vécut autrefois, sous la même forme et de la même manière vit aujourd’hui. Les mêmes prodiges et la même puissance qui étaient sur les prophètes d’autrefois, qui étaient sur l’Eglise à la Pentecôte, qui étaient sur Anne, et sur Agabus, le prophète du Nouveau Testament en ce jour-là, qui a même repris saint Paul... Et saint Paul a eu des ennuis pour n’avoir pas écouté Agabus, parce qu’Agabus...

234      Bien que Paul était un apôtre, mais Agabus avait la Parole du Seigneur, et il l’avait averti de ne pas monter là-bas. Mais Paul était décidé à y aller, et alors, il a eu des ennuis. Et, Père, nous avons toujours des ennuis si nous désobéissons à la Parole de Dieu.

            Nous voyons que le même Dieu qui était avec ces frères là-bas, c’est le même Dieu aujourd’hui. Nous Le voyons dans chaque manifestation. Et c’est un paradoxe, Seigneur. Le monde regarde, et ils secouent la tête et disent que ce n’est pas vrai. Le croyant accepte cela et reçoit cela, et il reconnaît que c’est le Dieu vivant.

235      Ô Père, nous prions ce matin, que s’il y a parmi nous quelqu’un qui n’est pas encore devenu un croyant, que ceci soit l’heure où il va croire. Ô Dieu, accorde cela juste maintenant dans le coeur de chaque personne ici présente, qui ne connaît pas Christ comme son Sauveur, afin que ceci soit l’heure où un paradoxe se produira devant eux, de sorte qu’un vil pécheur malheureux, un pécheur par nature, né dans le péché, conçu dans l’iniquité, venu au monde en proférant des mensonges à travers la souillure, puisse être changé et façonné dans la justice du Fils de Dieu. Accorde, ô Seigneur, que ce–ce grand paradoxe se produise dans les coeurs de tous ceux qui sont ici ce matin, ceux qui ne Te connaissent pas comme leur Sauveur et leur Roi qui vient, et qui sont prêts à Te rencontrer à la dernière trompette, si celle-ci sonnait aujourd’hui.

236      Ainsi, nous Te prions aussi, Seigneur, de Te souvenir de ceux qui sont ici malades et affligés. Ô Dieu, nous Te prions aujourd’hui de guérir chaque personne qui est malade ou affligée. Qu’il sache que Dieu accomplit toujours un paradoxe pour tout celui qui veut accomplir Sa Parole.

237      Nous savons que Sa Parole est un Paradoxe. Lorsqu’Elle promet quelque chose qui est très irréel aux yeux du monde, quelque chose qu’ils ne peuvent pas décrire, c’est–c’est quelque chose au-delà de leur connaissance et–et de leur compréhension. Mais lorsqu’un coeur simple accepte cette Parole et La fait pénétrer dans la profondeur de son être, alors cette Parole produit les réalités vivantes de cette promesse.

238      Oh! combien nous Te rendons grâces pour ça, qu’il y ait des gens simples qui croient ce Message. Nous n’attendons pas un royaume que les âges atomiques vont diriger, mais nous attendons un Royaume que Christ dirigera dans la puissance et la majesté de la paix et la gloire sur la terre; non pas là où nous appuierons notre pied sur les pédales des automobiles ou volerons dans l’air dans des avions à réaction; mais un Royaume où nous serons assis autour du Trône du Dieu vivant (oh!) et où nous Le contemplerons, et Le verrons Lui qui a été blessé pour nos péchés et brisé pour notre iniquité, et par les meurtrissures duquel nous sommes guéris. C’est le désir de nos coeurs, Seigneur, depuis que le grand paradoxe est venu vers nous, que nous puissions Le toucher et nous asseoir avec Lui en ce jour-là. Accorde-le, Père. Nous demandons ceci au Nom de Jésus.

239      Et alors que nous avons nos têtes inclinées, je demande dans l’auditoire ce matin, si quelqu’un désire qu’on se souvienne de lui dans la prière, qu’il dise: «Seigneur Dieu, je lève la main vers toi. Et, Frère Branham, vous allez regarder et voir ma main; priez pour moi, afin qu’un grand paradoxe se produise dans mon coeur, lorsque je rencontrerai Christ dans le baptême de l’Esprit et la puissance de Sa résurrection.» Que Dieu vous bénisse tous sans exception. C’est bien. «Afin que je rencontre Dieu.» Que Dieu soit avec vous. «Je Le rencontrerai, et un grand paradoxe se produira dans ma vie, et je serai rempli de Sa puissance et de Sa gloire, de la bonté et de la miséricorde de Celui qui vit éternellement. Et un jour, je serai inclus dans ce paradoxe qui vient. Quelque chose tel que quand...»

240      La poussière qui constituait le corps de ces prophètes repose là-bas sous terre. Même la poussière des martyrs qui ont été dévorés par des lions, et puis les crottes de ces lions ont été répandues dans la poussière, et sur toute la terre, néanmoins, Christ ressuscitera ces corps. Cela montre qu’Il est la résurrection.

241      Lorsqu’Il a pris un peu de boue dans Sa main et qu’Il a appliqué cela sur les yeux d’un homme qui n’avait jamais vu, cela montrait que cet homme avait été formé de la poussière de la terre; et l’homme est retourné avec des globes oculaires et a pu voir le Créateur qui l’avait formé.

242      Si Dieu n’a pas l’intention de ressusciter les morts, alors pourquoi est-Il devenu chair comme nous, et pourquoi est-Il retourné à la poussière, et pourquoi est-Il Lui-même ressuscité? Pourquoi est-Il ressuscité Lui-même s’il n’y a pas de résurrection des morts? Oh! ne soyons pas des enfants, mais soyons des hommes et des femmes dans l’Esprit; croyons Dieu de tout notre coeur.

243      Y aurait-il quelqu’un d’autre maintenant, avant que nous commencions à prier? Que Dieu vous bénisse, vous mon frère, vous. Oui.

244      Notre Père céleste, maintenant nous t’apportons ces gens qui ont levé la main. D’une manière ou d’une autre, le Saint-Esprit s’est frayé un chemin et est entré dans leur coeur, et là, Il leur dit: «Vous n’êtes pas ici juste pour manger, boire et–et dormir, pour vous réveiller et travailler; et ensuite, retourner, manger, boire et dormir de nouveau. Vous êtes ici pour être des fils et des filles de Dieu. Vous êtes ici pour prendre votre position et votre place en Christ. Et je suis ici ce matin pour vous appeler», c’est ce que le Saint-Esprit lui dirait pour leur vie.

245      Père, par la prière, la seule arme que je connaisse, je Te les présente. Et je–je défie l’ennemi qui voudrait les garder loin de Toi. Par la foi, je place le Sang de Jésus-Christ entre eux et l’ennemi, qui voudrait les garder loin de cette glorieuse expérience de ce grand paradoxe qui consiste à recevoir le Saint-Esprit, à avoir la Vie Eternelle. Car nous nous rendons compte que la seule–la seule chose qui existe, la seule solution qui nous a été donnée pour la Vie Eternelle, c’est d’avoir la Vie de Dieu en nous, donc, c’est la Vie Eternelle en nous. Accorde-le, Seigneur, que cela arrive à tous ceux qui ont levé la main. Et peut-être ceux qui n’ont pas eu le courage de lever la main, accorde-le-leur aussi. Maintenant, Père, ils sont à Toi. Je Te les présente, au Nom de Jésus-Christ.

246      Et maintenant, alors que la ligne de prière doit se former, ô Père, je ne sais pas qui va s’avancer ici. Mais, accorde-nous un autre paradoxe ce matin, Seigneur. Qu’un glorieux mystère de la puissance de Dieu descende et accomplisse quelque chose comme tu l’as promis. Et ceci sera ma première fois, Seigneur, depuis que je T’ai rencontré l’autre jour. Je prie maintenant d’exaucer les requêtes de ces gens au Nom de Jésus. Amen.

247      Maintenant, j’aimerais que chacun de vous reste simplement assis, si vous le pouvez, juste un instant.

248      Maintenant, tout celui qui a une carte de prière... Billy est venu ce matin, comme il l’avait promis, et il a distribué des cartes de prière à certaines personnes ici. Il a dit qu’il n’y avait pas beaucoup de gens. Veuillez lever la main, ceux qui ont une carte de prière? Très bien. Je vous demanderais juste de prendre place et de vous tenir juste le long de cette ligne, ceux qui ont une carte de prière. Là où... Billy, où es-tu? Oh! très bien. Tenez-vous juste par ici.

249      Maintenant, que tout le monde soit en prière. Nous venons devant notre Seigneur Dieu. Maintenant, chantons ce cantique avec la musique, s’il vous plaît, alors que la soeur Arnold joue là-bas. Tous ensemble maintenant, calmement...

            Crois seulement, crois seulement,

            Tout est possible, crois seulement;

            Crois seulement, crois seulement,

            Tout est possible, crois seulement.

            [Frère Branham se met à fredonner Crois seulement –N.D.E.]

            ... crois seulement,

            Tout est possible, crois seulement;

            Crois seulement, crois seulement,

            Tout est possible, crois seulement.

250      [Frère Branham se met à fredonner Crois seulement et, ensuite, lit Marc 11.21 à 24–N.D.E.]

          Pierre se rappelant ce qui s’était passé Lui dit: «Maître, regarde, le figuier que Tu as maudit a séché.

          Jésus prit la parole, et lui dit: Ayez foi en Dieu.

          Je vous le dis en vérité, si quelqu’un dit à cette montagne: Ôte-toi... jette-toi dans la mer, et s’il ne doute point en son coeur, mais croit que ce qu’il dit arrive, il le verra s’accomplir.

          C’est pourquoi je vous dis: Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir.

251      Jésus a dit une fois, lorsque les gens ne comprenaient pas qui Il était, Il a dit: «Si vous ne pouvez pas Me croire, croyez aux oeuvres que Je fais. Et si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas. Mais, si Je fais les oeuvres de Mon Père, croyez alors aux oeuvres.»

252      J’ai fini d’apporter ce matin le message sur le–le Paradoxe. Un paradoxe, c’est quelque chose qui semble déraisonnable, et qui est–qui est vraiment incroyable mais vrai, dit Webster. Quelque chose qui est incroyable, que vous ne comprenez pas, et c’est simplement un mystère.

253      Jésus accomplissait les oeuvres de Son Père parce que le Père était en Lui. C’est pour cela que les oeuvres étaient accomplies, parce que le Père était dans le Fils. Le croyez-vous? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Croyez-vous qu’Il était en Lui et qu’Il était le Dieu incarné? Le croyez-vous? Que Dieu le Père qui est le Père de Jésus-Christ, le Grand Esprit, habitait dans la plénitude de Sa puissance en Jésus-Christ qui était le tabernacle de Dieu fait chair, et qu’Il habitait sur terre, représentant la Parole? Jésus était la Parole. La Bible le dit, Saint Jean, chapitre 1. Et la Parole était invisible. Maintenant, écoutez attentivement. La Parole était invisible jusqu’à ce qu’Elle a été faite chair, et alors, la Parole devint visible.

254      Et au travers de Sa mort par laquelle Il s’offrit en sacrifice au Calvaire, et au travers de Sa résurrection, Il a placé Son Eglise, côté position, dans ce domaine, afin que ce même Dieu invisible puisse entrer dans l’individu et rendre la Parole visible. Oh! la la! je–j’aurais souhaité que mon église comprenne cela. Si vous pouviez voir, mes amis, le Dieu invisible rendu manifeste. Maintenant, écoutez. Etudions cela encore.

255      J’ai souvent désiré entrer dans une église; j’attends ardemment de voir cela, je pense, une église où je pourrais entrer par la porte de derrière, la porte de devant, où que ce soit, regarder dans l’assistance et voir une église parfaite et tout à fait en ordre. Le péché ne peut pas rester là; non, l’Esprit dénoncerait cela. Vous voyez? Ça ne peut simplement pas y rester. C’est comme Ananias et Saphira; vous–vous ne pourrez simplement pas le faire. Il n’y aurait pas de péché là-dedans, dans ce groupe. Non, monsieur. Vous voyez, l’Esprit ne tarderait pas à dénoncer la chose comme cela. [Frère Branham claque rapidement ses doigts.–N.D.E.] Peu importe ce que c’est, combien c’est petit, ça serait dénoncé. Voir les femmes et les hommes assis là sous la puissance du Saint-Esprit, l’Esprit de Dieu se mouvant parfaitement, se mouvant comme ceci. Si quelqu’un fait quelque chose de mal dans l’assemblée, cela ne pourrait pas... il serait... Il ne pourrait pas... Il serait... il viendrait rapidement et confesserait cela avant que l’Esprit s’en empare, il va confesser cela et il viendra en parler, parce qu’il sait que cela sera rapidement dénoncé. C’est vrai. Ça, c’est l’église du Dieu vivant. Combien mon pauvre vieux coeur (maintenant il devient vieux)–combien j’ai désiré me tenir là et voir une église comme cela! Je pourrais cependant en voir une (Je l’espère), avec des oeuvres parfaites de Dieu, sans péché, qui peut comprendre.

256      Maintenant, ici se tient un groupe de gens pour lesquels on va prier. Maintenant, nous nous rendons compte que si cette Ecriture est vraie... Et le Dieu du Ciel qui a pu créer un écureuil, qui a pu créer un bélier, qui a pu arrêter le soleil pendant tout un jour, pendant vingt-quatre heures, qui a pu empêcher le feu de brûler les gens qui étaient dans une fournaise pendant trois heures, qui a fermé la gueule des lions, qui a pu ressusciter les morts, Il a pu marcher sur les eaux, Il a pu prendre du pain et nourrir cinq mille personnes; c’était Dieu. C’est la Parole faite chair dans des êtes humains. Maintenant, est-ce que tout le monde comprend cela? Maintenant, ce même Dieu a promis que dans les derniers jours ces choses se répéteraient; mais Il ne peut pas le faire avant qu’il y ait quelqu’un par qui Il peut oeuvrer et sur qui Il peut oeuvrer. Voyez-vous ce que je veux dire? Maintenant, croyons cela fermement et de tout notre coeur, qu’il en sera ainsi.

257      Maintenant, voici un groupe de gens qui se tiennent ici, je connais la plupart d’entre eux. Je pense que... Je–je–je ne pense pas ... cette première femme ici devant, cette fille, je ne pense pas la connaître. Je connais frère Way, et la soeur, le suivant là-bas, c’est la femme de frère Roberson, ou plutôt, de frère Borders. Et je ne connais pas l’homme qui vient après. Je dois connaître la femme qui vient après; je ne sais pas; je ne pense pas que je la connaisse. Si, je la connais. Et le suivant, l’homme qui se tient là, si je ne me trompe pas, c’est le fils de frère Daulton. Et tout au long de la rangée, là-bas, je connais pratiquement tout le monde là-bas.

258      Je n’ai aucune idée de qui est–qui sont ces gens, d’où ils viennent. Mais maintenant, ce dont ils ont besoin donc, c’est de la prière. Certains d’entre eux, bien sûr, sont au-delà, ils ne peuvent pas comprendre exactement ce que c’est.

259      Maintenant, j’aimerais que chacun de vous regarde par ici une minute, chacun de vous qui êtes dans la ligne de prière. Si je pouvais vous aider, je le ferais. Et je suis ici pour vous aider. Mais le seul moyen par lequel je serai en mesure de le faire, pour ramener ce que Satan vous a pris, c’est que vous puissiez me croire. Si vous me croyez simplement de tout votre coeur, cela va se faire.

260      Maintenant, autrefois dans mon ministère, cela produisait des visions. Des visions apparaissaient, et je pouvais dire aux gens le motif de leur présence là. Et vous... combien ont déjà vu cela s’accomplir? Oh! vous tous. Vous voyez, c’est vrai. Oui, je peux toujours le faire. Oh! cela peut toujours se faire. Bien sûr. Oui. C’est ça.

261      Mais nous en arrivons à quelque chose de plus glorieux que cela maintenant. Oui. Nous nous élevons au-dessus de cela. Nous en arrivons à cette Parole parlée. Et Satan sera obligé de s’exécuter, cela le liera complètement. Si seulement je pouvais vous amener à croire cela! N’en doutez pas.

262      Tenez, si vous voulez savoir si je dis la vérité, si le Saint-Esprit est ici... Je sais ce que cette fille... ce qu’est son problème. Je ne la connais pas, mais je sais ce qu’est son problème. Vous voyez? C’est très exact. Et il est juste en train de me combattre aussi âprement qu’il peut, mais il sera obligé de lâcher cela. Croyez simplement cela. N’en doutez pas, soeur. Oui, oui. N’en doutez pas. C’est en ordre, soeur. Tu–tu vas être–ça ira bien. Voyez-vous?

263      Voici un homme de couleur qui se tient là dans la ligne de prière, en train de me regarder. Je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît. Si je vous disais ce qu’est votre problème, croirez-vous que je suis Son prophète? Le croirez-vous? Vous n’êtes pas ici pour vous-même. Cet enfant qui est à l’hôpital sera guéri, si vous voulez bien croire cela. Croyez-vous cela de tout votre coeur? Alors retournez–retournez à votre place. Par la puissance de Dieu, j’ordonne au diable de libérer cet enfant.

264      Le fils de frère Daulton est en train de me regarder; vous êtes ici pour ce bébé. Ce bébé qui souffre du nombril. N’est-ce pas? Retournez à votre place, et croyez cela, et ça ira bien.

265      Je regarde une autre femme qui est assise là-bas, madame Stricker. Madame Stricker, ça fait des mois que je ne vous ai pas parlé. Je n’ai aucune idée sur le motif de votre présence ici. Croyez-vous que Dieu peut me révéler votre problème? Cela vous amènera-t-il à croire, tous? Vous êtes ici pour cet enfant qui souffre du pied. Et puis, vous priez pour un ami qui se trouve en Afrique. C’est très exact. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Maintenant, si c’est vrai, Madame Stricker, levez la main. Vous voyez?

266      Il est ici. Vous voyez? Mais, ce–ce ministère existera toujours, mais en voici un autre qui vient. Croyez maintenant. Ne doutez pas. Que personne ne doute. Lorsque je vous impose les mains et que je demande que ceci soit fait, cela va se faire. La seule chose, c’est comme le fait d’accepter la Parole de Dieu. C’est la seule chose qu’il y a; si vous n’y croyez pas, cela ne se produira pas. Si vous y croyez vraiment, cela se produira. Car quelque chose s’est produit l’autre soir là-bas, et je sais que le Dieu même qui peut créer peut faire cela ici. Très bien.

267      J’aimerais que vous incliniez tous la tête. Que tout le monde soit en prière. [Frère Branham quitte la chaire, afin de prier pour ceux qui sont dans la ligne de prière.–N.D.E.] Maintenant, chère soeur...?... Toi, le démon qui a lié Sharon, cette charmante petite fille...

268      Mais, ô Dieu, c’est Toi qui m’as donné l’autre soir la vision de ce démon qui était lié, et Tu m’as dit: «Tu peux le lier dans la sincérité.» Et avec sincérité dans mon coeur, pour cette enfant, je viens, Seigneur, implorer Ta miséricorde et Ta faveur pour elle.

269      Satan, je te lie. Au Nom de Jésus-Christ, quitte cette enfant. Qu’elle recouvre normalement son bon sens et la raison. Comme la Parole de Dieu a été prononcée, il en sera ainsi au Nom de Jésus-Christ.

270      Seigneur Dieu, pour mon frère Way, que la puissance de Jésus-Christ lie la puissance du diable qui lie mon frère et qu’elle le libère, au Nom de Jésus-Christ.

271      Ô Dieu, cette pauvre petite femme sera comme cette personne ici dans quelques semaines, si rien n’est fait pour elle. C’est la femme de mon frère, frère Roy. Seigneur Jésus, donne-moi la force maintenant. Et Toi qui m’as donné la vision, Tu n’as jamais failli, cela n’a jamais failli.

272      Toi, esprit démoniaque qui as lié ma soeur, je te lie au Nom de Jésus-Christ, quitte-la. Cela a été prononcé, qu’il en soit ainsi...?... C’est juste.

273      Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, délivre notre soeur de son problème. Au Nom de Christ qui a promis, qui a fait cette promesse qui dit: «Si vous dites à cette montagne.» Que cela soit fait, Seigneur.

274      Pendant que je sens l’onction du Saint-Esprit dans la salle, j’impose les mains à cette femme, au Nom de Jésus-Christ, pour sa guérison. Dans la... Que cela soit fait, car cela a été prononcé. Amen.

275      A cette jeune fille, Joann, que j’ai... Je la considère dans ma pensée comme un exemple d’une jeune fille chrétienne, je la délivre ce matin de ce mal, au Nom de Jésus-Christ, que sa requête soit exaucée.

276      Seigneur Dieu, à cette soeur, la soeur Thomas, la compagne de mon bien-aimé frère, j’impose les mains. Que ce démon qui la liait soit lié. Au Nom de Jésus-Christ, qu’elle soit libre.

277      J’impose les mains à ma soeur. Et au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, que la puissance de l’ennemi soit liée, et que ma soeur soit libre à partir de ce jour...

278      J’impose les mains à mon frère, conformément à la Parole de Dieu. Que le diable qui voulait lui faire du mal et lui faire obstacle le quitte, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

279      Pour la requête de ma soeur, je prie que Tu l’accordes, Seigneur, alors que je lui impose les mains. Au Nom de Jésus-Christ, que cela soit fait. Amen.

280      Pour ma soeur, Père, alors que je lui impose les mains. Au Nom de Jésus-Christ, que sa requête soit exaucée. Amen.

281      Par une foi simple, Seigneur, même si c’est–c’est un paradoxe, j’impose les mains à mon frère, au Nom du Seigneur Jésus; que sa requête soit exaucée.

282      Sur ma soeur Way, qui a eu pitié de ceux qui avaient besoin de miséricorde... et il est écrit qu’ils obtiendront miséricorde. Que la miséricorde qu’elle est en train de demander ce matin lui soit accordée, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

283      Ô Seigneur, cette petite mère, au coeur brisé, Tu connais sa requête, ô Eternel Dieu, qu’elle soit exaucée aujourd’hui, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

284      Dieu notre Père, j’impose les mains à ma soeur, tel que cela a été ordonné par le Saint-Esprit et par une vision l’autre soir. Que sa requête soit exaucée, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

285      Père céleste, alors que cette soeur s’avance ici pour prendre sa place, pour qu’on lui impose les mains, exauce sa requête, ô Dieu, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

286      Père céleste, comme je tiens ceci, la main de ma soeur, que la puissance de Jésus-Christ lui accorde l’objet de sa requête. Amen.

287      Seigneur Jésus, alors que je tiens la main de cette soeur, et le mouchoir qu’elle tient, que sa requête soit exaucée. Au Nom de Jésus-Christ, accorde-le, Seigneur. Amen.

288      Dieu notre Père, au Nom du Seigneur Jésus, que la requête de notre soeur soit exaucée. Ce qu’elle demande, qu’elle le reçoive, au Nom de Jésus-Christ.

289                  Crois seulement, crois seulement,

            Tout est possible, crois seulement;

            Crois seulement, crois seulement,

            Tout est possible, crois seulement.

290      Maintenant, avant de vous congédier, puis-je encore avoir une minute ou deux de votre temps. Un paradoxe, Dieu l’a accompli. Dans notre présence même, un paradoxe a été accompli. Car juste au moment où j’ai commencé la ligne de prière, quelque chose m’a simplement élevé, exactement de la manière dont Il avait dit que cela allait se faire (Voyez?), un paradoxe. Voyez?

291      Et lorsque l’Esprit était sur moi, je pouvais donc regarder là dans la ligne et voir ces choses que ces gens désiraient. Vous voyez? Au moins trois ou quatre cas, ou quelque chose comme cela, afin que cela puisse servir de confirmation, de témoignage, comme quoi Dieu ne retire jamais un don qui est un vrai don; Il ajoute simplement quelque chose à cela, Il continue simplement de construire, allant de plus en plus haut.

            Maintenant, je crois de tout mon coeur que vous êtes guéri. Amen. Je le crois avec tout ce qui est en moi. Maintenant, je–je le crois.

292      Maintenant, Jésus vous invite à venir au salut. Si vous venez, vous L’aurez, parce qu’Il l’a promis. Il l’a promis, eh bien, n’en doutons pas. Mais croyons cela de tout notre coeur. Maintenant, ne vous débattez pas pour cela. Sachez simplement que cela doit être fait. Cela doit être fait. Jésus a dit: «Prononce cette Parole, ne doutez pas.» Vous voyez? Il était Celui-là même...

293      Et ces visions, du mieux que je sache, de tout mon coeur, il n’y a pas eu une seule fois où elles aient failli, pas une seule fois. Et l’autre soir il a dit... et si–cette vision dont je vous ai parlé, devant Dieu, devant qui je me tiens... que c’est vrai. Vous voyez? Il a vu ce serpent lié. Il a dit: «Tu devras être plus sincère.»

294      C’est pourquoi, je suis en train de m’efforcer d’être plus sincère. Et lorsque chacun de vous venait ce matin, je pensais: «Si c’était ma mère, ces femmes, si c’était ma soeur qui était assise là derrière, si c’était ma femme qui était assise là derrière, ou si c’est l’un de mes enfants qui était assis là derrière, qu’en serait-il si c’étaient eux?» J’essaie de me mettre à leur place pour être sincère. Et si vous remarquez, le même...

295      Je viens juste–je viens de m’en souvenir. L’autre jour, alors que je me trouvais en Californie, et que je me tenais debout à ce déjeuner des Hommes d’Affaires... Je pense que je l’ai ici. J’en suis très sûr; j’étais en train de considérer cela il y a quelques instants, une prophétie qui a été donnée. La voici juste ici. Ç’a été donné après que je me suis tenu debout et que j’ai prêché un dur sermon. Et les gens qui sont ici ce matin, frère Roy Borders qui était là, je crois, où que soit Roy, il était–oui, il est assis ici, il était là lorsque ceci s’est produit, et beaucoup d’autres personnes qui étaient là-bas lorsqu’un garçon baptiste... C’était le cousin de Jane Russell, la vedette du cinéma, n’importe qui qui désire venir dans ce déjeuner peut venir. Et quand j’ai terminé de prêcher, ce garçon s’est avancé pour passer ses bras autour de moi, et il a dit...

296      Lorsque je suis descendu de l’estrade, pour aller monter sur une autre afin de parler à l’assemblée où, en fait, des centaines de gens étaient présents... Et je parlais dans une–une émission qui était diffusée à la radio à travers la nation à 21 heures, le lendemain soir. C’était enregistré à ce moment-là. Et lorsque ce... Je suis descendu au niveau suivant pour parler encore une fois à ces gens. Et l’une des grandes dénominations avait... l’un de leurs grands hommes se tenait là, et n’a pas du tout aimé le Message (Voyez?), et il disait...

297      Je parlais du fait que je me trouvais à Phoenix, quelques jours avant cela, et que j’avais vu différentes sortes de fruits qui poussaient sur un seul arbre. J’ai vu un oranger qui portait des pamplemousses, des citrons et, je crois, des mandarines et des tangelos, et tous ces différents fruits poussaient dessus parce que c’était un arbre d’agrumes. Mais, j’ai dit: «Chaque année il fleurit et porte des nouveaux fruits.» Mais seules ces branches originales, lorsque cela produira du fruit, lorsque l’arbre original fait sortir une autre branche, celle-ci produira la même sorte de fruits qui se trouve dans le tronc. Mais ces autres arbres portent leurs fruits à eux, quoiqu’ils vivent de–de la vie de cet arbre.» J’ai dit: «C’est comme les organisations qui ont été greffées sur le Cep.» Jésus a dit: «Je suis le Cep.» Et chaque fois que ce Cep produira une branche, elle sera semblable au Cep. Vous voyez, ça aura le même fruit.

298      Eh bien, ce grand ministre de la grande organisation pentecôtiste que nous avons, se tenait là et objectait à cela (Voyez?). Il a dit que je ne voulais pas le dire de cette manière-là.

299      Mais je suis retourné et j’ai dit: «C’est bien de cette manière que je voulais le dire (Voyez?). C’est exactement ainsi que je l’ai dit. Je ne retire rien.»

300      L’autre jour, lorsque je parlais de ces autels, sans le savoir, je n’avais jamais vu cela dans l’histoire. Jusqu’ici, je n’ai jamais rien dit du haut de l’estrade, sous l’inspiration, que j’aie eu à retirer. Maintenant, vous pouvez parler de la semence du serpent, ou de tout ce que vous voulez, n’importe lequel de ces messages, ou de la grande prostituée, contre lesquels on s’attaque tant. Venez simplement, pourquoi ne venez-vous pas à moi avec les Ecritures là-dessus (Voyez?) pour voir si c’est vrai.

301      Cet homme est monté là, il a passé ses bras autour de moi, et il allait dire... Il a dit: «Frère Branham, ce n’est pas pour être sacrilège, mais ceci pourrait constituer le chapitre 23 de l’Apocalypse.» Vous savez, ce serait un autre livre ajouté. Bien sûr, a-t-il dit: «Cela ne serait pas juste, bien sûr, nous ne sommes pas censés ajouter quelque chose à Cela.» Et juste alors qu’il était sur le point de dire cela, il s’est mis à parler en langues. Et le garçon ne savait pas ce que signifiait le parler en langues.

302      Et aussitôt qu’il a parlé en langues, juste devant moi, il y avait une Française venue de la Louisiane; elle a dit: «Cela ne nécessite aucune interprétation. C’était du pur français.

303      Et un homme qui se tenait par ici s’est mis debout et a dit: «C’est vrai.» Et là tout au fond se trouvait l’interprète des Nations Unies. Il a donné son nom, il n’avait jamais été là avant. Il a dit: «C’est correct. C’est vrai.»

304      Et voici ce qu’ils avaient écrit ensemble. Et chacun d’eux avait écrit la même chose lorsqu’ils se sont mis ensemble, et que chacun d’eux a donné l’interprétation, exactement.

305      Et ce Français, le deuxième qui se trouvait par ici, il a écrit cela, parce qu’il prenait des notes pour faire compte-rendu de la réunion. Voici ce qu’il a écrit: «Moi, Victor Le Doux, je suis un Français de race pure, un chrétien né de nouveau, rempli du Saint-Esprit. J’habite au 809, sur l’avenue North Kings Road, à Los Angeles 46; je fréquente le Temple Béthel, Arnie Vick est notre pasteur», un ministre pentecôtiste, la plus grande église pentecôtiste de Los Angeles. «La traduction d’une prophétie sur frère Branham, donnée par Danny Henry en français, le 11 février 1961 au déjeuner des Hommes d’Affaires du Plein Evangile; une vraie traduction de la prophétie.»Voici ce que tous les trois avaient dit.

            Parce que tu as choisi le sentier étroit...

306      Voyez, c’était contre... je devais marcher seul. Vous voyez? Je comprends cela. Moïse aussi a dû faire son choix. Vous voyez? Il n’était pas obligé de le faire, mais il l’a fait. Vous voyez?

            ... le chemin plus difficile, tu... (Voyez?)

            Parce que tu as choisi le sentier étroit, le chemin plus difficile;

            Tu as fait–tu y as marché de ton propre choix.

307      En d’autres termes, je n’étais pas obligé de le faire. Je peux me tenir avec eux et marcher avec eux si je le veux. Mais, je m’en suis tenu à la–j’aime m’en tenir à la Parole.

            Tu as pris la décision correcte et exacte, et c’est Mon Chemin.

308      Si vous le remarquez, c’est marqué et souligné. Si vous remarquez, c’est écrit en français, c’était dit en français, le verbe vient avant l’adverbe. Voyez?

            A cause de cette décision capitale, une vaste portion du Ciel t’attend.

309      Eh bien, c’est sur ça que je me posais des questions. Lorsque je mourrai, est-ce qu’il en sera ainsi? Alors je me suis mis à penser: «Le Ciel n’est pas divisé en différentes parties pour nous là-haut, le Ciel c’est le Royaume des cieux qui se trouve en nous, c’est ce que nous attendons.» Vous voyez?

            Maintenant, regardez.

            Quelle décision glorieuse tu as prise!

       Cette chose en soi est ce qui produira et fera s’accomplir la victoire formidable dans l’amour divin.

310      Vous voyez, nous pourrions le dire comme suit: «La victoire formidable dans l’amour divin [En anglais: «Divine love»–N.D.T.]. Mais en français, ce serait: «Amour divin.» [En anglais: «Love Divine–N.D.T.] C’est juste comme en allemand ou dans n’importe quelle autre langue. (Voyez?) On a le–on place le verbe avant l’adverbe.

311      Alors, vous voyez ce que signifie descendre au Jourdain? Nous y sommes descendus maintenant. Traversons maintenant. Arrêtons de jouer. Traversons pour passer de l’autre côté maintenant, parce que tout cela nous appartient. Tout cela est à nous. Ces visions n’ont jamais failli. Elles ne peuvent faillir, parce qu’elles viennent de Dieu. Je le crois avec tout ce qui est en moi. Nous ne sommes pas des mercenaires qui vont fuir pour retourner dans le désert. Nous allons traverser le Jourdain, la séparation. Ô Dieu, brise pour nous les Sceaux qui se trouvent au dos du Livre. Entrons dans cet endroit glorieux maintenant, car Josué a donné en partage aux gens leur héritage que Dieu leur a donné.

312      Et si vous remarquez bien, ces mères juives, lorsqu’elles étaient en travail et qu’elles donnaient naissance à ces patriarches (Je prêcherai là-dessus l’un de ces jours, le Seigneur voulant.)–qui ont donné naissance à ces patriarches, lorsqu’elles prononçaient leurs noms, étant en travail, elles les plaçaient aussi dans leur position dans le Royaume. Oh! la la!

313      L’inspiration c’est–c’est un paradoxe. Voyez? Voyez? Vous–vous ne pouvez pas comprendre cela. Mais c’est inspiré, et Dieu met simplement la chose à sa place juste–juste à l’heure où vous n’y pensez pas.

314      Eh bien, s’il n’y a pas beaucoup de neige, nous pourrons... Le Seigneur voulant, dimanche prochain, j’aimerais parler sur le sujet: Le Christianisme contre l’Adoration païenne. Et si possible, apportez vos papiers, tout ce que vous voulez pour le message. On aura encore des sermons ce soir, frère... Certains des frères qui sont ici, je pense, apporteront cela. J’allais rester, mais je sais que beaucoup de gens voudront rester, et il a été annoncé qu’il neigera encore cet après-midi, la neige va recouvrir les routes jusqu’en Géorgie et à différents endroits. Alors, je... Le Seigneur voulant, ce sera dimanche prochain, j’allais prêcher le même message ce soir, mais je vais remettre cela jusqu’au dimanche prochain; que Dieu soit donc avec vous.

315      Je crois que Jésus-Christ est le Fils du Dieu vivant, né d’une vierge, conçu, Dieu dans un sein, un Tabernacle dans lequel Il devait habiter. Je crois qu’en Christ, Il est le Dieu incarné. Il est Dieu fait chair. Lorsque Dieu le Père entra en Jésus-Christ, Il était la plénitude de la divinité corporellement; en Lui habite toute la plénitude. Dieu le Père a prononcé les Paroles. Jésus a dit: «Ce n’est pas Moi qui parle, mais c’est Mon Père qui habite en Moi. C’est Lui qui parle.» C’est pourquoi, sur base de cela, ayant été fait chair, afin de mourir, Dieu ayant pris sur Lui la peine pour la race humaine afin de racheter et de ramener et–et venir, ramener ensemble les choses que Sa propre création avait perdues dans la chute, Il a racheté cela avec Sa propre Vie.

316      Alors, en rachetant ces peuples pour que Son Evangile aille plus loin: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Vous en ferez davantage, car je vais au Père. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez; car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.» Maintenant, nous sommes arrivés au temps de la fin. Christ est retourné sous la forme du Saint-Esprit, dans la plénitude de Sa puissance dans l’Eglise, afin de se manifester. C’est simple. Ce sont des gens simples.

317      S’il y a quelqu’un ici qui peut-être a eu assez de chance de recevoir une excellente instruction et qui fréquente peut-être une grande église, ne vous laissez pas achopper par la simplicité de cette classe des gens pauvres. Voyez? Ce–ce n’est pas cela. «Une grande foule L’écoutait avec plaisir.» Vous voyez? C’était des gens ordinaires.

            Eh bien, il y a–il y a des classes de gens. Il y en a qui ne se soucient de rien, ils mènent n’importe quel genre de vie; ils sont dehors dans les rues et ainsi de suite. Ce ne sont pas ceux-là qui L’écoutaient. Et ces gens de la haute classe, ce n’est pas eux qui L’écoutaient. C’étaient les–les gens de la classe intermédiaire, des gens ordinaires, ceux qui sont pauvres, mais qui veulent mener une vie pure et décente, qui aiment vivre pour Dieu, ce sont ceux-là qui L’écoutent.

            Alors, puissions-nous, vous et moi, être ces gens-là qui L’écouteront en ce jour, car je crois vraiment que l’une des choses les plus glorieuses qui se soient jamais produites dans le monde est en train de se produire maintenant. Amen. Que Dieu vous bénisse. Maintenant, je retourne le service à frère Neville.

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