La Tempête approche

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Date: 60-0229 | La durée est de: 1 heure 19 minutes | La traduction: MS
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1    Restons debout juste un moment pour la prière. Inclinons la tête.
    Notre bienveillant Père céleste, ce soir, nous sommes vraiment un peuple privilégié, car nous pouvons contempler Ton glorieux visage et T’appeler «notre Père», sachant que nous sommes passés de la mort à la Vie, car le Saint-Esprit nous rend témoignage que nous sommes des fils et des filles de Dieu. Et Il est notre témoin, que nous sommes passés au-delà de cette ligne, car les choses du monde que nous aimions et que nous chérissions sont mortes maintenant. Et nous avons été ressuscités avec Christ, et nous sommes assis ensemble dans les lieux célestes en Lui, nous réjouissant dans Sa Présence. Combien nous Te remercions pour cela.

2    Et ce soir, nous prions en cette occasion, qu’Il nous visite puissamment, ce soir. Bénis cette petite église que nous aimons, et cette grande fraternité, l’amour que nous avons pour son pasteur, pour tous les membres, et pour tous ceux qui fraternisent avec nous ici dans cette réunion.

3    Et nous prions, Père céleste, que cette soirée soit une soirée spéciale, que  nous nous souvenions longtemps de Sa Présence ce soir.

4    Puissent... S’il y en a ici ce soir qui ne connaissent pas le Seigneur Jésus comme leur Sauveur personnel, puissent-ils Le rencontrer ce soir, Seigneur, Lui qui est allé dans le désert chercher la brebis égarée qui n’est pas encore retournée au bercail. Accorde-le, Seigneur. Et qu’il y ait de la miséricorde dans le camp ce soir, car c’est ce que nous implorons. Nous demandons ceci au Nom du Seigneur Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

5    C’est si agréable de revenir dans ce tabernacle, ou plutôt dans cette église, ce soir, pour avoir une bonne communion. Et aujourd’hui j’ai vécu simplement de petites pépites d’hier soir.

6    En considérant l’auditoire, je vois différentes personnes et des visages que j’ai déjà rencontrés. Combien, autrefois, je désirais repérer les gens pour leur serrer la main ou quelque chose. Mais, oh, nous étions déjà bien en retard, et j’ai dû simplement me hâter. Mais je veux que vous sachiez qu’il y en avait plusieurs hier soir, que j’avais rencontrés dans d’autres réunions.

7    Et maintenant, hier soir, quand je suis rentré à la maison j’ai dit à ma femme, j’ai dit: «Je me demande comment ce sera quand nous traverserons cette ligne.» Nous nous tiendrons là et, regardant là, nous dirons: «Eh bien, voilà tel frère! Et là...» Oh, ce sera un moment formidable! Et nous attendons impatiemment ce jour, et c’est bientôt, bientôt. Et je ne sais quand ça sera, mais ce sera sûrement un temps glorieux. Je crois que Jean, après qu’il a vu les grandes gloires de Dieu, et qu’elles lui furent révélées dans l’Apocalypse, il dit: «Viens, Seigneur Jésus.» Il a vu que c’était merveilleux.
    Il y a quelques – environs deux semaines, j’étais à Kingston, en Jamaïque.

8    Et beaucoup pensaient et pensent encore que les visions n’apparaissent qu’à l’estrade. Oh, ce n’en est même pas le dixième. Ce n’est pas le quatre-vingt-dixième. Elles apparaissent tout le temps, partout; et pas une seule fois cela n’a failli.

9    Je visitais les Hommes d’Affaires Chrétiens, les Hommes du Plein Évangile, ou plutôt j’étais là comme visiteur, à un chapitre. Et deux soirées s’étaient écoulées, et nous avions eu la prédication de l’Évangile, et ensuite... pour me familiariser un peu avec l’auditoire, et contacter l’esprit des gens, j’ai dit: «Je pense que ce soir, si nous distribuions des cartes de prière, et commencions à prier pour les malades, ce serait suffisant pour ce soir.» Et le Seigneur nous a bénis. Et la seconde soirée s’est passée.

10    Et ensuite nous sommes entrés dans la – la salle de restaurant de l’Hôtel Flamingo, là où – ici nous, on appellerait cela «la cour», là où nous étions. Et là, tout est fait à l’européenne; quand vous payez votre loyer, vous payez votre nourriture, tout est compris dans le – le loyer. Et nous prenions le petit déjeuner. Et il y avait là beaucoup d’hommes du Plein Évangile, et d’autres aussi. Et voici la question qui fut posée: «Ces visions, disaient les gens, elles sont formidables. Ce serait merveilleux si elles apparaissaient n’importe où.»

11    «Oh, dis-je, bien sûr!» Et je dis: «Cela ne guérit personne.» Je dis: «Si vous l’avez déjà remarqué, je demande aux gens: ‘Cela aidera-t-il votre foi pour croire en Dieu?’»

12    Les visions ne guérissent pas; Christ l’a déjà fait. C’est simplement pour aider votre foi. C’est simplement quelque chose que Dieu a ajouté, une bénédiction qu’Il avait promis d’envoyer, une confirmation des derniers jours. Nous y arriverons plus tard, dans la semaine.

13    Pendant que nous étions assis à une table, j’ai dit: «Tenez, le Saint-Esprit est ici même.» Et frère Shakarian (la plupart d’entre vous le connaissent, frère Demos, c’est l’un de mes intimes), et frère Arganbright, et oh, tant d’autres, frère Sonmore, les présidents et les vice-présidents, et les autres qui font partie des hommes du Plein Évangile.

14    Et j’ai dit: «Ce garçon qui vient est malade», le serveur. Et il s’est tenu près de la table et le Saint-Esprit se mit à lui parler et lui dit, Il a dit: «Bon, vous souffrez de cœur. Votre femme est aussi chrétienne. Vous croyez, mais vous avez peur.» Et Il se mit à lui dire qui il était et tout ce qu’il en était. Et cet homme a failli laisser tomber le beurrier dans mon assiette.
    Il a alors dit: «C’est absolument vrai.»

15    Je – je lui ai alors dit, non pas moi, mais le Saint-Eprit a dit ce que sa femme avait comme problème à la maison, et la prière qu’ils avaient dite ensemble ce matin-là, avant son départ; et son intention était de me voir ce jour-là. Oh! la la! Il a simplement failli s’effondrer.
    Et il a dit: «Je ne comprends tout simplement pas comment ça s’est fait.»
    J’ai dit: «Moi non plus.»

16    Tout ce que je sais, c’est que frère Shakarian, ou plutôt... Excusez-moi, frère duPlessis était juste dehors près de la voiture, quand je suis arrivé en voiture, et frère Mercier et moi parlions du merveilleux esprit qu’il y a dans cette église. Nous aimons cela, cette belle communion. C’est un très bon frère, continuez! C’est très bien... le frère notre pasteur. Et c’est très bien. Nous parlions donc, et je... Il a dit: «Frère Branham, je pense que vous avez bien des durs...»

17    J’ai dit: «Non. Ce qui m’étonne, c’est la grâce de Dieu.» J’ai dit: «J’ai bien des fois épuisé Sa miséricorde, mais je ne pourrais jamais épuiser Sa grâce, et j’en suis heureux.»

18    Et alors pendant que nous parlions ce matin-là à table, une jeune dame est alors passée, des draps sur l’épaule, passant là, se rendant dans une des chambres faire les lits. J’ai dit: «Eh bien, il y a une Lumière suspendue au-dessus de cette fille.» J’ai dit: «Faites-la revenir.» Et nous l’avons rappelée. Et le Saint-Esprit a commencé à lui dire tout ce qu’elle avait comme problème.

19    Elle n’était pas une chrétienne, pas une croyante du Plein Évangile, c’est tout ce que je peux dire. Elle avait fait une profession alors qu’elle était un petit enfant et sa mère l’amenait à l’église et elle avait... A douze ans, ou à peu près cela, elle avait été baptisée mais elle n’allait jamais à l’église, c’est pourquoi j’ai dit qu’elle n’était pas une chrétienne.

20    L’église ne fait pas de vous un chrétien. L’église vous aide seulement à devenir chrétien, elle vous aide à rester ce que vous êtes devenu en naissant, elle vous aide à faire une expérience pendant que vous communiez ensemble avec des frères de la même précieuse foi.

21    Et ainsi, pendant qu’on était assis là, j’observais. Et frère Demos Shakarian m’a tiré de là et a dit: «Qu’y a-t-il?» Si seulement il n’avait pas dit cela à ce moment-là!

22    J’ai dit: «Rappelez-vous, AINSI DIT LE SEIGNEUR, un de mes proches est sur le point de mourir. Et un jeune homme va cracher du sang.»
    Et j’ai dit: «Où est Billy?»

23    Beaucoup d’entre vous connaissent mon fils Billy Paul. Sa mère est morte alors qu’il n’était qu’un petit enfant. Et je l’emmenais partout. Et la nuit nous n’arrivions pas à nous procurer assez de charbon pour entretenir le feu, alors nous... je plaçais son biberon sous mes épaules, comme ceci, afin de le garder chaud pour lui la nuit. Quand il se réveillait, pleurant sa mère, je lui mettais le biberon dans la bouche. Quand elle se mourait, elle m’avait demandé de rester toujours avec Billy. Et nous avons été très amis. Ainsi, j’amène Billy partout où je vais, et il m’est attaché.

24    Ainsi, Billy s’apprêtait à aller à ce qu’on appelle «The Garden of Hope» pour faire des photos. Je l’ai vite appelé. J’ai dit: «N’y va pas. Quelque chose est sur le point d’arriver.»

25    Bien des fois les visions disent des choses; nous ne savons pas ce qu’elles sont. Les prophètes de la Bible ne comprenaient pas ce qu’ils écrivaient, ils ont simplement écrit Cela. Et c’étaient des hommes confirmés et inspirés.

26    Et frère Shakarian a dit: «Frère Branham, qu’est-ce que vous dites devoir arriver?»

27    J’ai dit: «Je ne sais pas. Quelqu’un.. Il n’avait pas de dents et je l’ai vu suffoquer deux fois, puis mourir. Et l’autre personne a dit... craché du sang, elle semblait être un jeune homme; et elle a dit: «Il ne doit pas mourir, il n’est pas prêt.»

28    Ensuite, nous avons observé. Et je me suis senti conduit à aller en Jamaïque, et non pas à Puerto Rico.

29    Ainsi, quand arriva le moment – le moment pour que nous allions à Puerto Rico, au même endroit où cet avion est tombé, là en Jamaïque, et où il a tué tous ces gens... les gens ressemblaient à des cochons pendus à une ceinture de sécurité; les parties de leurs corps étaient simplement grillées! Et on l’a poussé là, et nous... L’avion gisait encore là lorsque nous sommes arrivés. Et notre avion, en revenant à Puerto Rico pour nous prendre, fit sauter ses pistons à ce même endroit, quand  il s’est arrêté pour nous prendre. Billy a dit: «Papa, es-tu sûr que nous devons prendre le risque de monter à bord?»

30    J’ai dit: «Le chapitre des Hommes d’Affaires Chrétiens a dit que je dois y aller. C’est pour la communion du chapitre que je vais passer ces quelques soirées.»
    Il a dit: «Te souviens-tu de cette vision?»
    J’ai dit: «Oui.»

31    Mais trois jours plus tard, quand j’ai... Je me trouvais au jardin (je n’ai jamais rien vu d’aussi beau) à Puerto Rico. Et frère Fred Sothmann (Il se peut qu’il soit ici ce soir), un ami canadien, prenait des photos. Et ce grand... vous savez, ici à Phœnix, c’est beau. Los Angeles, c’est beau; Miami, c’est beau, mais ça ne peut pas arriver à la cheville de Puerto Rico. Oh, c’est beau! et jamais de ma vie je n’ai rien vu de tel, ces grands récifs s’étendant là, oh, la la! à 8,02 km, et ces flamants roses se promenant partout dans ces parcs tropicaux et tout. Jamais je n’ai vu quelque chose qui ressemblait tant au Ciel. Frère Sothmann s’est retourné et a dit: «Frère Branham, le Ciel doit ressembler à ceci.»
    J’ai dit: «Oh, cela ne se peut; ceci ne pourrait pas arriver à la cheville du Ciel.»
    Il a dit: «Oh, ces – cette grande mer.»

32    J’ai dit: «Mais c’est le ballottement de la terre qui produit ces vagues.» J’ai dit: «Mais là, ce sera paisible; elle coulera aussi tranquillement que possible.» Et j’ai dit: «Les flamants roses ne se promèneront pas dans le parc, les Anges se promèneront dans le parc où nous serons en communion.»

33    Et juste à ce moment-là, j’ai vu ma belle-mère et mon beau-père s’approcher de moi. Cela fait maintenant entre 8 et 10 ans depuis que mon beau-père s’en est allé. Et exactement à la même minute, ma belle-mère est allée le rejoindre. Elle est morte au même moment .

34    Et deux heures plus tard, quand je suis arrivé à Miami, j’ai téléphoné pour avoir les nouvelles de chez moi. Ma belle-mère (qui n’avait plus de dents) avait suffoqué deux fois et était morte. Son fils qui n’était pas prêt à mourir (c’est presque une espèce d’alcoolique) - une hémorragie a éclaté – une hémorragie venant de son estomac, et le sang jaillissait simplement de sa bouche, de partout.

35    L’autre jour, frère Shakarian m’a téléphoné. Il a dit: «Frère Branham, de tout ce que j’ai entendu, jamais rien ne m’a frappé autant que cela.» Voyez, il fallait qu’il appelle à ce moment-là pour arrêter cette vision pour qu’on ne sache pas de qui il s’agissait, pour que ce soit quelque chose qui l’aide à comprendre. Il a dit: «Je pense que le ministère commence maintenant à opérer.» Qu’il en soit ainsi.

36    Et puisse quelque chose arriver ici même à Phœnix, qui inspirera tout le monde, puisse le Saint-Esprit venir parmi nous et faire quelque chose qui nous amènera à resserrer l’armure et à nous apprêter pour Sa Venue. Que le Seigneur vous bénisse!

37    Maintenant, pour ne pas vous garder longtemps alors que vous êtes debout, vous êtes cependant un si bel auditoire; je – je sens comme si je peux simplement parler toute la nuit. Mais je ne le ferai pas, je ne pense pas. Mais je suppose qu’hier soir vous avez pensé que j’essayais de le faire.

38    Je vais juste vous donner un petit avertissement. L’autre matin, j’ai parlé sur un sujet à mon Tabernacle; j’ai commencé à 9h30 et j’ai terminé vers 12h30. Je les avais prévenus, et c’était sur «Entendre, reconnaître et agir». Il se pourrait qu’un dimanche après-midi ou quelque chose de ce genre, nous parlions sur le même sujet. Pendant près d’un an, le Saint-Esprit traite avec moi pour que je prêche cela, et finalement j’ai prêché cela à l’église. J’oublie combien de bandes les garçons ont faites sur cela avant notre départ.

39    Ouvrons à présent nos Bibles, rapidement, au chapitre 7 de Saint Matthieu, et nous – commençons à lire au verset 24:
    C’est pourquoi, quiconque entend ces paroles que je dis et les met en pratique, sera semblable à un homme prudent qui a bâti sa maison sur le roc.
    La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et se sont jetés contre cette maison: elle n’est point tombée, parce qu’elle était fondée sur le roc.
    Mais quiconque entend ces paroles que je dis, et ne les met pas en pratique, sera semblable à un homme insensé qui a bâti sa maison sur le sable.
    La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et ont battu cette maison; ... est tombée, et sa ruine a été grande.

40    Que le Seigneur ajoute maintenant Sa bénédiction à la lecture de Sa Parole. J’aimerais parler pendant quelques instants sur le sujet: «La Tempête approche.» Je m’appuie sur Dieu pour que nous sachions nous abandonner au Saint-Esprit. Car tout le monde sait que je ne suis pas prédicateur. C’est... Il y a des prédicateurs ici derrière moi. Je n’ai jamais été formé pour être ministre. Mais lentement, selon ma vieille façon de faire, mais je... Le Seigneur m’a donné quelque chose d’autre à faire. Mais j’aime prendre tout le temps afin de pouvoir expliquer ce que je sais du Seigneur et de Sa bonté, et essayer d’en parler aux autres. Maintenant, nous allons parler ce soir sur «La Tempête approche». Et si avec les mots, je n’arrive pas à exprimer ce que je sens dans mon cœur, je prie que le Saint-Esprit le révèle.

41    Jésus parlait ici d’une tempête qui approche et qui doit frapper chaque homme et chaque femme qui est dans ce monde. Il n’y a aucun moyen d’y échapper. Cette tempête vous frappera l’un ou l’autre jour. C’est en fonction du genre de fondation que vous avez, que votre maison tiendra le coup ou pas.

42    Beaucoup de vies ont été épargnées grâce aux dispositions prises en vue des tempêtes. Et nombre de vies ont été perdues pour avoir négligé l’avertissement sur des tempêtes qui approchent.

43    Récemment, on m’a raconté une histoire qui est arrivée (je pense que j’ai lu cela dans un journal) en Floride.

44    Beaucoup de violentes tempêtes balayent la Floride, des typhons venant de la mer amènent l’eau aux pâtés de maisons de la ville, et balayent tout. Et on m’a dit que leurs prophètes météo sont toujours à surveiller ces tempêtes. D’une façon ou d’une autre, au moyen des – des éléments ils peuvent détecter le changement du temps et de l’atmosphère, c’est-à-dire comment ce temps se forme, celui qui entraîne l’une de ces tempêtes; en effet ils ont étudié cela toute leur vie, à l’aide de certains instruments et tout ce dont cette science les a dotés. C’est donc en prévoyant, en apprenant dans quelle direction la tempête vient, quel type de vent elle entraîne dans sa suite, dans quelles directions viennent les autres tempêtes ou plutôt les vents, qu’on sait si on peut combattre, repousser la tempête.

45    Je pourrais m’arrêter ici et prêcher une heure là-dessus, qu’il faut qu’une plus grande tempête approche, il faut un vent plus puissant pour détourner cette tempête. C’est ce qu’il en est aujourd’hui. Et nous savons tous qu’il y a une tempête qui approche. Et le seul Vent que je sache, qui va détourner cette tempête, ce sera ce Vent impétueux qui tomba à la Pentecôte. On m’a dit que même des hommes de cette ville parlent maintenant contre le communisme, et ils devraient le faire. Mais, parler simplement contre cela ne suffit pas, nous devons trouver comment détourner la chose. Et puis il n’y a qu’une seule chose qui puisse détourner cette tempête, et c’est une tempête plus puissante qui peut la contrer et lui faire changer de direction.

46    Et ces prophètes météo en Floride sont très précis quant à leurs prédictions. Ils sont là en vue de prévenir les gens.

47    Je lisais (j’oublie cela maintenant) je pense que c’était dans un journal, à propos d’une tempête qui, il y a quelques années, s’était abattue sur la Floride, la Floride centrale, et tous les alentours d’Okeechobee avaient été – avaient été prévenus. J’ai quitté là il y a quelque cinq semaines. Il y avait un voisin qui était constamment à l’écoute de la radio, à cause de ces tempêtes, et c’était un chrétien de grande renommée. Et il avait appris qu’un grand typhon venait dans cette direction, tordant les arbres, et tout le monde avait été prévenu pour se mettre à l’abri.

48    Et il pensa à son voisin qui avait une ferme d’élevage de poules, et des bâtiments légers abritant des poules, des salles de couvée, et ainsi de suite, et leurs enclos, au point que tout ce qu’ils avaient dans leur vie, toute leur vie était liée à ces poules. Et sans tarder, tel un fou, il courut jusqu’au portail, et arrêta sa voiture et sauta de là et dit à son ami: «Prends toutes les poules et mets-les dans ton abri contre la tempête, et viens vite chez moi, car un typhon ou plutôt une – une tempête approche et elle va tout détruire.»

49    Et l’homme se mit debout et, l’ayant regardé en face, se rit de lui, en disant: «Quelle blague! J’ai déjà entendu les gens prédire des choses semblables, et ce n’est jamais arrivé.»

50    Et le voisin chrétien était si agité qu’il dit: «Et si cela arrivait effectivement?»

51    Nous entendons tout le temps des remarques du genre: «J’ai appris que ceci va arriver et que cela va arriver.» Mais cela arrivera un de ces jours. Et il nous est avantageux d’écouter chaque avertissement.

52    Mais cet homme dit: «Je n’ai pas le temps pour de telles absurdités. J’élève des poules et je n’ai pas de temps pour ça.»

53    Et il a crié à haute voix. Le voisin dit: «Pour l’amour de Dieu», il dit: «Laisse ces poules, John, et viens vite, toi et ta famille. Si toi, tu ne veux pas croire cela, laisse ta famille venir.»

54    Et il dit: «Je ne permettrai pas que ma famille s’emballe à cause de quelques avertissements radiophoniques. Mes enfants et moi avons décidé de vivre comme ça. Et ma femme m’écoutera car je suis le chef de famille, et elle est obligée de m’écouter. Ici, c’est moi le chef et je ne permettrai pas que mes enfants s’agitent et soient tiraillés pour une absurdité.»
    Et le voisin fit demi-tour. Et il rentra chez lui dans son abri.

56    Et soudain, les nuages le recouvrirent avant qu’il ne le réalise. C’est de la même manière que le jugement frappe. Il vient soudainement et vous vous demandez comment il a pu venir si vite. Oh! J’ai vu des hommes cruels, qui jadis maudissaient Dieu, tomber et s’écrier, en disant: «Comment pouvez-vous m’infliger un tel châtiment?» Le tout, toute la fondation fut balayée de dessous lui en un instant. On a intérêt à prendre en considération l’avertissement.

57    Oh, il se peut que vous vous moquiez du messager; il se peut que vous soyez même capable de le tuer; mais vous ne pouvez pas tuer le Message. Il ira malgré tout de l’avant. Le Message de Dieu est éternel. Ses Paroles ne failliront jamais.

58    Paul avait réussi à faire lapider Etienne. Mais toute sa vie jusqu’à ce qu’il s’abandonna à Christ, il ne put se débarrasser du Message: «Je vois les cieux ouverts et Jésus se tenant à la droite de Dieu.» Quelque chose s’était emparé de lui, ce n’était pas le messager; c’était le Message que celui-ci avait.

59    Quand la tempête balaya la contrée, elle envahit le poulailler et le fermier, et on ne retrouva jamais son corps.

60    Et sa femme, luttant comme une folle... Ils vivaient près du grand lac Okeechobee, et les eaux se mirent à monter comme le typhon faisait monter les eaux, partant du fond du lac. Ce qui les rend si dangereuses, ce sont les hauts-fonds; les bateaux tanguent; c’est ce qui fait que les vagues montent et renversent les bateaux. Les tempêtes surgissent et font tourbillonner l’eau et l’emportent à des kilomètres. Et les eaux s’étendirent de sorte que la mère comprit qu’il n’y avait plus d’espoir, à moins d’amener les enfants sur le toit du bâtiment. Elle prit donc les enfants et les amena sur le toit du bâtiment, où ils s’agrippèrent à la cheminée de la maison.

61    Et alors les animaux sauvages, le «mocassin cottonmouth» [serpent américain venimeux, voisin des crotales – N.D.T.], je pense, un serpent plus mortel que votre serpent à sonnette «Diamond back»; ils rampèrent pour se mettre à l’abri et arrivèrent comme elle sur la toiture. Pour avoir écouté son mari, et n’avoir pas pris garde à l’avertissement, elle dut... Elle frappa du pied et alla ça et là, mais elle dut se tenir là et voir ces méchants serpents mordre ses enfants jusqu’à ce que ceux-ci meurent sur le toit. Et la mère elle-même fut tellement mordue que finalement elle en mourut. C’est la seule version que nous avons de l’histoire. Quand la tempête se fut calmée, les équipes de secours à la recherche des corps et ainsi de suite, la trouvèrent morte sur la toiture, avec ses enfants gisant à ses côtés.

62    Oh, vous avez intérêt à prendre en considération un avertissement. Premièrement, avant de donner un avertissement, il faut que des dispositions soient prises pour la sécurité, sinon il serait inutile d’envoyer un avertissement. Et l’avertissement n’est que la voix de celui qui vous aide à vous préparer contre le danger. Premièrement, il faut que des dispositions soient prises. Ensuite, une fois les dispositions prises, alors l’avertissement peut être lancé pour vous aider à vous décider; vous êtes libre d’écouter cela ou de refuser. Si vous refusez de l’écouter, eh bien, c’est votre affaire. Si vous l’écoutez, vous êtes en sécurité.

63    Dieu procède de la même façon. Ainsi, nous agissons selon la méthode de Dieu. Dieu, au commencement, quand le monde antédiluvien, quand les gens étaient devenus si méchants et si pécheurs, et que Dieu ne pouvait pas regarder cela et rester juste...

64    Dieu est juste, et Il a des lois. Quand on brise ces lois... Quand on brise une loi et qu’on n’en encoure aucune peine, ce n’est pas une loi. On ne peut pas briser les lois de Dieu sans devoir payer pour cela quelque part. Vous devez le payer. La Bible dit: «Sachez que votre péché vous atteindra.»

65    Et qu’est-ce que le péché? J’aimerais m’arrêter ici juste un instant. Beaucoup pensent que fumer la cigarette est un péché. Non. Beaucoup pensent que mentir est un péché. Non. Commettre adultère n’est pas un péché. Ce sont des attributs du péché. Vous... La raison pour laquelle vous faites ces choses, c’est parce que vous êtes un incrédule.

66    Il n’y a que deux choses: ou vous êtes un croyant, ou vous êtes un incroyant. Si vous êtes un croyant, vous ne ferez pas ces choses. Si vous les faites, je ne sais quel genre de profession vous faites; et si vous les faites, l’amour de Dieu n’est pas en vous. C’est la Bible qui le dit. Nous professons trop sans posséder la chose, trop de paroles mais sans vivre la chose.

67    Je pense même que nous prêchons beaucoup trop de sermons, mais nous ne vivons pas assez ces sermons. Ce serait beaucoup mieux si nous vivions nos sermons; chacun de nous serait un ministre. C’est mieux de me vivre un sermon que de m’en prêcher un. La Bible dit: «Vous êtes des épîtres écrites de Dieu, lues de tous.» Il est donc mieux de vivre un sermon.

68    Le péché existe parce que vous êtes incrédule. Jésus n’a-t-Il pas dit, quand Il était dans la chair sur la terre, n’a-t-Il pas dit à ceux qui ne mentaient pas, ceux qui ne volaient pas, ne commettaient pas adultère, des justes, des prédicateurs, des sacrificateurs, Il a dit: «Vous êtes de votre père, le diable»? parce qu’ils ne croyaient pas le Fils de Dieu. «Celui qui ne croit pas est déjà condamné.»

69    Récemment, j’ai fait cela, en faisant l’appel à l’autel... J’aime Jean 5.24: «Celui qui écoute mes paroles, et qui croit à Celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie.» Celui qui croit...
    Ils disaient: «C’est assez simple.»

70    Non, c’est suffisamment profond, parce que quand vous croyez... Nul ne peut appeler Jésus le Christ si ce n’est par le Saint-Esprit. Quand vous avez le Saint-Esprit, vous avez alors cru à la Vie éternelle et vous recevez la Vie éternelle. «Celui qui écoute mes paroles, et croit en celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle, et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» La préparation, apprêter...

71    Dieu avait vu la méchanceté du monde, et Il avait vu cette génération méchante et adultère, et Sa sainteté ne pouvait plus supporter cela. Oh, à ce monde pécheur...

72    L’autre jour, en allant à l’épicerie avec ma femme, je me suis arrêté; et nous parlions d’une jeune femme de notre ville. Sous un grand froid, elle portait une petite veste bouffante, elle était habillée de façon immorale, de ces petites culottes qu’elles portent en été; et cela – il y avait un peu de neige au sol, et ma femme a dit: «Tu sais, cette femme-là ne peut pas être à l’aise.»
    Alors, j’ai dit: «Non. Elle n’est simplement pas dans son bon sens.»
    Et, elle a dit: «Eh bien, tu sais, elle fréquente l’école secondaire.»

73    Alors j’ai dit: «Elle peut beau fréquenter l’école secondaire, mais cela n’arrange pas pour autant les choses.» J’ai dit: «Elle ne doit pas être mentalement saine.»

74    Quand nous sommes allés en Allemagne... Récemment, j’étais en Allemagne, à une grande série de réunions où le Seigneur nous a donné environ – environ dix mille âmes en une soirée. Et un soir, j’étais vraiment étonné en revenant de la réunion, et – et là dans la rue, à un endroit où j’avais été invité à un petit déjeuner, et c’était à la fin de la série de réunions, et tous les chrétiens étaient assis ça et là, prenant de la bière. Eh bien, l’Amérique, le Canada, et l’Angleterre sont les seules nations, à ma connaissance, qui n’acceptent pas que les chrétiens boivent. Ils ne s’enivrent pas, mais nous les Américains... Alors quand... Je n’en ai pas pris. Ainsi, quelque temps après, une question fut posée à table: «Qu’est-ce qui ne va pas?», car moi, je ne prenais pas de bière. «Était-ce parce que ce n’était pas correct?»

75    Et Docteur Guggenbuhl qui était assis à côté de moi, me servait d’interprète. J’ai dit: «Pourquoi murmurent-ils tous à mon sujet?»
    Et il a dit: «Ils se demandent pourquoi vous ne buvez pas?»

76    Eh bien, je sais qu’il est écrit: «A Rome, faites comme les Romains.» Alors j’ai dit: «Dites-leur ceci: ‘Je ne les condamne pas. Mais moi, je suis né d’une naissance naziréenne. Je ne dois pas boire.’» Je ne voulais pas les blesser. Et ils ont compris et ont continué à boire.

77    Ensuite en Italie, nous avons rencontré à peu près la même chose. Et à plusieurs autres endroits du monde, si vous allez dans une nation, vous trouvez l’esprit de la nation.

78    Je me souviens que le Saint-Esprit m’avait prévenu de ne pas aller à l’YMCA [Young men Christian association: Association des jeunes chrétiens – N.D.T.] en Finlande. Je ne comprenais rien à ce sujet. Et je finis par découvrir qu’ils avaient là des baigneuses. Je me suis abstenu d’y aller, et je ne voulais pas y aller avec le Docteur Manninem et les autres pour nager. Et j’ai découvert que ces laveuses frottent les hommes. Alors, j’ai dit: «Ce n’est pas correct.»

79    «Eh bien, a-t-il dit, Frère Branham, c’est exactement comme vos infirmières aux États-Unis.» Il a dit: «Elles ont été formées pour cela.»

80    J’ai dit: «Peu m’importe combien elles sont formées, cela n’a jamais été conçu ainsi. Dieu les a recouverts et Il les a créés différents.» C’est juste. Mais les gens n’y font pas attention.

81    C’étaient des Finlandais, des gens formidables, mais ça c’est l’esprit de la nation. Où que vous alliez, vous trouvez l’esprit de la nation. Et si vous arrivez en Amérique, alors vous l’avez vraiment trouvé; c’est le pire de tous.

82    Et ma femme m’a dit: «Eh bien, ces gens vont à l’église, et je me suis souvent demandé pourquoi leur conscience ne se sentait pas condamnée.»
    J’ai dit: «Ma chère épouse, laisse-moi te le dire. Ils sont Américains.»
    Elle dit: «Tiens, et alors? Ne le sommes-nous pas, nous?»

83    J’ai dit: «Non.» J’ai dit: «Nous vivons simplement ici, mais nous sommes d’En-Haut. Le Saint-Esprit de Dieu est venu sur nous.»

84    Nous sommes donc pèlerins et étrangers ici. Ceci n’est pas notre pays éternel. Mais nous cherchons une cité à venir, celle dont l’Architecte et le Constructeur est Dieu. Par conséquent, quand vous naissez d’En-Haut, le Saint-Esprit descend sur vous venant de Dieu, et Cela change votre nature. Peu importe si votre sœur, votre mère, votre – votre meilleure amie s’habille de telle manière, mais le chrétien qui est né de l’Esprit de Dieu est né d’En-Haut, et son Esprit est d’un autre Royaume. Oh, j’en suis heureux! la simplicité du Saint-Esprit. Le suivre, L’observer, comment Il se comporte, vous fait vous comporter...

85    C’est ainsi qu’il en était au temps de Noé, et Dieu en avait vraiment assez. Mais avant d’envoyer la tempête détruire le monde entier, Dieu prit des dispositions pour ceux qui voulaient rester en dehors de cela. Et je peux voir Noé se tenir à l’entrée de l’arche, prêchant la justice. Oh, beaucoup ne voulaient pas l’écouter.

86    C’était un peu comme aujourd’hui, les gens préfèrent le divertissement à l’Évangile. Malheur à ces évangélistes d’Hollywood qui ont peur d’appeler péché péché.

87    Nous avons besoin de prédicateurs rustauds à l’ancienne mode, qui ont le Saint-Esprit et qui n’ont pas peur de prêcher l’Évangile, les mains nues, non pas revêtues d’espèce de gants en caoutchouc, mais prêchant la Venue du Seigneur Jésus, le jugement pour les méchants, le Ciel pour les justes, et une Venue imminente. Quand? Je ne sais pas? Et personne d’autre ne le sait. Mais je veux mettre en garde ma génération. Si cela arrive maintenant, je veux que les gens soient mis en garde.

88    Je peux voir Noé à l’entrée même de l’arche. «Oh, j’aimerais juste croire une chose, que ce n’était pas ça la voie», mais Noé se tenait à l’entrée, la seule voie de sécurité...

89    Je peux voir Moïse, plus tard, se tenant à la porte, le sang étant appliqué sur le linteau, prêchant le jugement, le sang étant appliqué sur le linteau.

90    Aujourd’hui, Jésus est la Porte de la bergerie, prêchant l’Évangile, se tenant à cette Porte, suppliant l’assemblée à venir se mettre en sécurité.

91    Sans doute qu’il y en avait beaucoup qui se moquaient de Noé, qui le ridiculisaient. La Bible dit que c’étaient des moqueurs. Je peux les entendre dire quelque chose du genre: «Noé, si tu n’as pas meilleur divertissement que cela, nous rentrerons carrément chez nous.»

92    Le monde aujourd’hui, l’Amérique, ne veut pas de l’Évangile. Ils veulent se divertir. Il faut qu’ils aient quelque chose qui les divertisse: beaucoup de musique fantaisiste, ou quelque chose de ce genre, ou une espèce de réception, une espèce de saucisse de Francfort grillée, ce qui est bien en dehors de l’église. Mais l’église est un endroit où le jugement doit être prêché dans la puissance de la résurrection du Seigneur Jésus ainsi que l’avertissement; le jugement commence par la maison de Dieu, non pas les fêtes, mais le jugement.

93    Lot fut averti, et quand les Anges, quoiqu’il ne sût pas que c’étaient des Anges, quand ils vinrent là, leur message concernait Sodome: «Sortez de cet endroit immonde. Dieu a pourvu pour vous à un moyen pour échapper. Sortez de cet endroit immonde.»

94    Jésus dit: «Ce qui arriva du temps de Sodome...» Regardez le genre de vie qu’ils menaient. Et Jésus compara ce jour-là à ce jour-ci. Un jour de péché!

95    Remarquez que lorsque Lot alla parler à son peuple, on se rit de lui, on le ridiculisa. «Et les péchés de la ville tourmentaient son âme juste.» Le message des Anges ne les secoua pas; cela n’eut aucun effet sur eux. Pourtant il leur était demandé de sortir, parce que la ville était sous le jugement, et Dieu allait envoyer une tempête de feu sur la ville. Mais ils refusèrent de bouger. Ils refusèrent de sortir. Ils étaient satisfaits dans leurs péchés.

96    Aujourd’hui les gens semblent être très à l’aise dans le péché, puisqu’ils possèdent une nouvelle voiture, parce qu’ils peuvent prendre trois repas par jour, et dormir dans un lit propre. Cela est merveilleux. Cela peut être cependant une bonne chose, mais lorsque la prospérité vient comme cela, on oublie Dieu. Je pense que nous avons été tellement... Nous les prédicateurs et nous les chrétiens, nous nous sommes trop préoccupés du – du programme de construction de nos églises, et d’avoir une meilleure église, ou quelque chose comme cela, ou une plus grande église, de meilleurs bancs, ou bien, vous savez comment et ce que je veux dire. Et nous avons oublié l’essentiel: le jugement, la justice, la puissance du Saint-Esprit, la résurrection, le jugement éternel.

97    Les Anges ne manquèrent point de prêcher le message. Quoiqu’on essayât de les arrêter, leur message continua quand même.

98    Bien, avez-vous remarqué? C’est comme un homme qui dit: «Je m’en vais refuser de croire que le soleil brille. Je ne veux rien avoir à voir avec le soleil.» Il ferme les yeux, descend au sous-sol de sa maison et dit: «Je ne veux absolument pas admettre que le soleil brille.»

99    Eh bien, vous direz: «Frère Branham, mentalement quelque chose cloche chez cet homme.»

100    Eh bien, l’homme qui rejette Jésus-Christ le fait sur les mêmes bases. Le Saint-Esprit est plus réel que le soleil. Le soleil faillira, mais le Saint-Esprit ne peut pas faillir. Celui-ci n’éclaire pas seulement pour le sens de la vue, mais Il éclaire pour l’âme, une Lumière de gloire qui nous conduit vers Dieu, qui rejette... ou plutôt projette vers nous le Calvaire et les souffrances du Seigneur Jésus; le jugement qui vient, et l’évasion pour ceux qui veulent venir. Je préférerais être totalement aveugle physiquement et avoir ma vue spirituelle, qu’être totalement aveugle spirituellement et avoir ma vue physique. Je préférerais avoir la vue spirituelle.

101    Remarquez, qu’est-ce qui clocherait chez cet homme? Ceux-là, ses amis pourraient venir dire: «Jim, John (ou peu importe son nom), tu es dans l’erreur; sors de ce vieux sous-sol sombre qui sent le moisi.»

102    Il pourrait se lever et dire: «Écoutez!, je suis satisfait de l’endroit où je me trouve!» Il n’aime pas le bon soleil. Il n’aime pas ses rayons qui guérissent. Il n’aime pas sa beauté, sa – sa chaleur pour sa vie. Quelque chose cloche chez cet homme.

103    Il en est de même de l’homme ou de la femme qui veut rester dans le monde des ténèbres, qui s’enferme dans le péché de l’incrédulité, lequel sent le renfermé, et qui dit: «Dans... les jours des miracles sont passés. La guérison divine n’existe pas. Il n’y a pas de Saint-Esprit.» C’est parce que vous refusez de sortir de la moisissure, et des fosses du Diable, et de l’enfer, et du péché, et de l’orgueil, pour marcher dans la Lumière de l’Évangile, Laquelle vous apportera la chaleur.

104    Oh, que c’est reconfortant de voir les jugements approcher et d’éprouver ce sentiment de réconfort du Saint-Esprit! Je les entends parler des bombes atomiques et je pense à la chose qui est arrivée, une paix qui dépasse l’entendement! Eh bien, la bombe ne sortira plus du canon jusqu’à ce que nous soyons dans la Présence de Jésus ayant la Vie éternelle; nous les gens âgés seront rajeunis, les bébés auront un certain âge, là où il n’y aura plus ni mort ni chagrin. Oh! que c’est merveilleux! Voulez-vous dire qu’un homme refuserait de sortir et d’entrer dans Cela? Il y a quelque chose qui cloche chez lui.

105    S’il ne reçoit pas la lumière du soleil, il devient finalement pâle. Il devient très pâle et la maladie s’installe en lui.

106    C’est le problème qu’a le monde aujourd’hui. C’est le problème qu’ont la plupart des églises aujourd’hui. Nous devenons anémiques. Nous avons besoin d’une transfusion sanguine. Pâles, parce que nous faillissons, notre santé spirituelle se détériore. Nous n’avons plus de zèle pour aller à la recherche des âmes, pour – pour avertir les gens, pour gagner nos voisins, gagner nos amis, le laitier, le petit vendeur de journaux. Quoi qu’il en soit, gagnez quelqu’un au Seigneur Jésus! Nous sommes pâles et manquons d’entrer dans la Lumière, Laquelle est notre privilège; nous manquons de croire dans la santé de Dieu par la guérison divine...

107    La Bible me dit qu’il viendra un temps, pour ceux-là qui ne sont pas dans cette merveilleuse Lumière du Fils, où les oiseaux du ciel mangeront leur chair; des maladies sont en route, que les médecins ne sauront jamais arrêter. Ce sont les fléaux de Dieu.

108    Les médecins égyptiens, qui étaient de loin plus intelligents que les nôtres aujourd’hui, n’ont pas pu arrêter les fléaux de Dieu, leurs devins, et leurs imitateurs non plus. Il fallut Goshen et la Puissance de Dieu pour garder Son peuple sous le sang d’un agneau!

109    Le Saint-Esprit est cette Porte aujourd’hui. Le Saint-Esprit est cette Sécurité aujourd’hui.

110    J’ai assisté à une réunion il n’y a pas longtemps. Je suis en train d’observer un – un frère de couleur qui est assis ici, c’est lui et sa femme, je suppose. Et je l’observe depuis que je prêche, il fait oui de la tête et se ré – réjouit de la réunion. Et cela me fait penser à quelque chose.

111    Une fois, un garçon vint à la réunion. Et aussitôt le service terminé, il – il courut vers moi et dit: «Pasteur!» Il était du Sud. Et il dit: «Pasteur, je désire rencontrer le Seigneur Jésus ce soir.» Je tenais un service de guérison.

112    Et je dis: «Certainement, mon frère, je suis plus qu’heureux de te conduire à Lui.»

113    Il dit (après qu’il eut donné son cœur au Seigneur), il dit: «Je me demande... Je pense que vous vous demandez pourquoi j’ai couru jusqu’ici de cette manière.» Il dit: «J’ai appris que vous étiez dans la ville, et je suis venu juste voir ce que – vous voir.» Il dit: «Je vais vous parler de ma vie.» Il dit: «J’étais presque un vagabond.» Il dit: «Ma pauvre mère était une véritable chrétienne. Mes sœurs étaient des chrétiennes. J’avais un frère chrétien.» Il dit: «J’étais le cadet de la famille et un enfant gâté dès le départ, car on me dorlotait, et on était trop bon envers moi.» Il dit: «Mais je ne faisais pas attention à ma mère ni à ma famille pieuse. Je tenais à devenir un vagabond. Je voulais mener une vie virile.» Il dit: «Je pensais qu’être un chrétien était plutôt une affaire des femmes, ou des faibles.» Il dit: «Et je devins un cuisinier, et j’excellais dans mon métier.»

114    Et il dit: «Sans savoir pourquoi, je désirais aller vers le nord. Et un jour, j’entrai en chancelant dans un camp de pâte à papier, là où l’on coupait du bois pour la pâte à papier. Et, j’étais fauché. Et je dis au contremaître: ‘Auriez-vous besoin d’un cuisinier?’» Il parla des recommandations qu’il avait en poche, venant de différents endroits importants où il avait été cuisinier en chef.

115    Et il dit: «Eh bien, pour le moment nous en avons un.» Il dit: «Mais, toutefois, nous pouvons vous donner un peu d’argent par dessus le marché jusqu’à ce que vous vous rétablissiez. Pour le moment, nous avons là une femme de couleur assez âgée, c’est une bonne cuisinière en chef. Néanmoins entrez et parlez avec elle, il se peut qu’elle vous utilise. Si elle le peut, nous pouvons vous donner un peu d’argent de poche jusqu’à ce que vous soyez parfaitement rétabli.»

116    Il dit que cela était, pour ainsi dire, son souhait. Et il dit qu’il y entra et rencontra la vieille dame, et il dit qu’il l’aida pendant deux ou trois jours.

117    Et il dit qu’une nuit, il était couché là, et il dit qu’il avait remarqué que les éclairs sans cesse traversaient la façade du mur. Et un moment après, il se demanda: «Est-ce... y a-t-il quelqu’un dehors?» Et il dit: «Après un moment, il entendit un – un grondement lourd, et c’était un tonnerre. Et il dit qu’il entendit à l’extérieur des voix, et on disait: «Vous savez, nous ferions mieux de retourner là où il y a les chevaux, pour nous en occuper, car il est possible que nous ne restions pas ici très longtemps.» Il dit qu’il ôta la couverture de sa tête, et alla au mur pour écouter. Et il y avait des éclairs, et il aperçut son patron et le camionneur. Et il comprit, d’après leur entretien, qu’il y avait une tempête qui venait par les montagnes, ce que nous appelons là dans les régions du nord «un nordiste», lequel vient brusquement sans avertir.

118    Vous n’avez pas le temps de faire quoi que ce soit. Les montagnes sont très élevées; ça éclate là tout d’un coup.

119    Et il y avait des éclairs. Et l’on disait: «Vous savez, il se peut que nous ne soyons plus là.» On disait: «Ç’a l’air d’une tornade qui vient.»

120    Et puis, il dit: «Je me mis à dire: ‘Eh bien, j’espère que cela ne frappera pas ici, dit-il, parce que je sais que je ne suis pas prêt pour partir’.» Quelquefois vous attendez trop longtemps, vous savez.

121    Puis il dit: «Juste quelques instants après, le vent se mit à souffler, et les arbres commencèrent à se balancer.» Et il dit qu’il prêta l’oreille. Une toile se trouvait entre lui et là où la – la vieille dame dormait, et il dit: «Elle frappait sur cette toile, en disant: Fiston, hé, fiston!»
    Il répondit: «Oui!»

122    Elle dit: «Voudrais-tu venir à mes côtés? J’ai une lanterne allumée.» Et il dit: «J’allai vers elle, parce que j’avais terriblement peur.» Et il dit: «Elle avait une lanterne posée sur une vieille caisse à savon. Et elle dit: ‘J’aimerais te poser une question.’»
    Il dit: «Oui, madame.»
    Elle dit: «Es-tu prêt à rencontrer le Seigneur?»
    Il dit: «Alors, j’eus très peur. Je dis: Non, madame.»

123    «Eh bien, dit-elle, chéri, j’aimerais que tu me dises quelque chose. Tu ferais mieux de te préparer maintenant, parce qu’il se peut que tu Le rencontres, sans être prêt, dans les quelques prochaines minutes.» Elle dit, elle dit: «Veux-tu t’agenouiller avec moi ici?»

124    Il dit: «Nous nous sommes agenouillés à côté de cette caisse à savon.» Il dit: «Pasteur, je vais vous dire la vérité; j’avais trop peur pour prier.» Il dit: «Les arbres cognaient contre ce bâtiment et il y avait des éclairs, et les tonnerres faisaient rage. J’avais trop peur pour prier.» Il dit: «Je me mis à dire: «Seigneur, aie pitié,’ et une foudre fit ‘bang!’, je dis: «Où suis-je? Seigneur, aie pitié,» et une foudre fit ‘bang!’»

125    Il dit: «Mais j’ai appris une leçon.» Il dit: «Cette sainte vieille dame était restée aussi calme et insouciante que possible.» Il dit: «Elle Lui parlait comme si elle Le connaissait depuis qu’elle était bébé, comme s’Il était son père ou sa mère. Il dit: «Elle n’était pas le moins du monde inquiétée.»

126    Il dit: «J’avais terriblement peur.» Il dit: «Finalement, je lâchai ces paroles, pour dire: «Seigneur, si seulement Tu me laisses vivre, si je trouve un lieu où c’est plus calme, je viendrai à Toi.»

127    Une autre occasion lui avait été offerte, mais vous, vous pourriez ne pas en avoir. Lorsque les jugements de Dieu commencent à se déverser, il n’y a plus de possibilité. C’est maintenant que vous avez l’occasion. Voici pour vous l’occasion.

128    La tempête était sur lui! Il dit: «Pasteur, est-il possible qu’un homme comme moi se cache dans cette sécurité de sorte que, lorsque la mort commencera à venir sur moi, je puisse entrer pour Lui parler, comme le faisait cette vieille sainte?»

129    Je dis: «Mon fils, le Sang de Jésus-Christ, qui avait fait d’elle ce qu’elle était peut faire de toi cela maintenant même.»

130    Je me tenais à côté de ma voiture. C’était un garçon bien habillé, cultivé et instruit. Il tomba sur ses genoux dans cette cour boueuse; et là, il trouva cet Asile, ce Refuge en temps de tempête, ce Rocher dans une terre altérée.

131    Vous n’aurez pas à vous lasser tant que vous êtes dans ce Rocher. Le Rocher est le seul lieu où il n’y a pas de lassitude. Le Rocher est le lieu de satisfaction. Vous pouvez simplement vous installer et regarder dehors, étant autant que possible en sécurité.

132    Une heure vient et c’est maintenant (et le scellement est presque terminé), où chaque homme et chaque femme sur la face de la terre seront dans ce Lieu de refuge (comme ce fut le cas au temps de Noé), ou en dehors de Cela. Vous devez prendre votre décision. Cette sécurité, c’est Jésus-Christ. Ce... Il est l’unique Lieu, l’Unique Qui a la Vie éternelle. Nul ne peut venir au Père sinon par Lui. Il est l’Arche pour notre sûreté. Le Saint-Esprit nous rend témoignage maintenant que nous sommes passés de la mort à la Vie.

133    Et lorsque nous regardons la tombe, et nous savons que chacun de nous chemine vers là...

134    Nous voyons les journaux, et la tempête qui approche! Lorsque vous rentrerez chez vous ce soir, faites-moi une faveur, n’allez pas au lit avant que vous ayez lu Apocalypse, chapitre 8. Voyez les fléaux et la tempête qui approchent, et qui frapperont la terre; et les tonnerres et les éclairs ébranleront le ciel. Les malheurs frapperont la nation. Les hommes pourriront dans leur chair. Les maladies les frapperont, dont les médecins ne savent rien.

135    Mais rappelez-vous, avant que cela eût lieu, un scellement fut fait! Et les anges de la mort avec leurs fléaux avaient reçu de Dieu cet ordre: «Ne vous approchez pas de ceux qui ont le Sceau sur leur front.» Et le Sceau de Dieu, c’est le baptême du Saint-Esprit. Éphésiens 4:30 dit: «N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu, par Lequel vous avez été scellés pour le jour de la rédemption.» Peu importait combien l’arche tanguait, peu importait combien de fois les foudres s’abattaient sur elle: «Dix mille tomberont à ta droite, et des milliers à ta gauche, mais cela ne s’approchera point de toi.» Le Saint-Esprit...

136    J’ai lu au sujet d’un cavalier sur un cheval pâle qui sortit, il s’appelait « la mort», et le séjour des morts le suivait.
    «Un cavalier sur un cheval noir, avec une balance dans sa main;

137    «Une mesure de blé pour un denier et deux mesures d’orge pour un denier, mais ne touchez point à Mon vin et à Mon huile!»

138    La Bible m’apprend que les jugements de Dieu approchent, que la maladie, le trouble et le désastre frapperont les nations et que chaque nation va se disloquer. J’ai lu dans la Bible... [Partie non enregistrée sur la bande – N.D.É.]

139    Tout était calme. Mais le Seigneur Jésus dissipa l’obscurité de ses yeux, et il saisit le maire de la ville et s’écria: «Je vois! Je vois!» Alors que des milliers de gens se tenaient là, des musulmans et tout le reste...

140    Je dis: «Maintenant, qu’est-ce que l’Arche de Sécurité?» Je dis: «J’ai lu dans votre journal, l’autre jour, là où tous les petits oiseaux qui juchaient dans les rochers tout au long de la clôture et dans les grandes tours des bâtiments aux coins...»

141    Vous savez, l’Inde est un pays pauvre, et les gens ramassent des pierres dans le champ, et construisent des clôtures avec. Et les petits oiseaux font leurs nids dans ces pierres, dans les fissures, et dans les trous. Ils y entrent et y font leurs nids, pour s’abriter contre la pluie. Et puis le bétail, dans l’après-midi, lorsque le soleil traverse le ciel vers l’ouest, eh bien, le bétail se met à l’ombre de ces – ces clôtures et de ces grandes tours, pour se mettre à l’ombre.

142    Mais, pendant environ deux jours, il se produisit une chose de plus étrange. Tous les petits oiseaux avaient pris leurs petits, leurs petits, tous ensemble, et s’étaient envolés loin des murs, et ils n’y retournèrent même pas la nuit. Ils étaient allés au milieu du champ et étaient restés là. Le bétail ne put revenir dans l’après-midi. Ils restèrent loin des murs, et ils se mirent ensemble, et ils se tenaient si resserrés qu’ils faisaient de l’ombre les uns pour les autres.

143    Frère, sœur, c’est ce que l’Église devrait faire! Aujourd’hui nous n’avons pas besoin de l’ombre de ces imposantes Babylones du modernisme. Nous avons besoin des bénédictions les uns des autres, ensemble; de notre témoignage et notre amour chrétien ainsi que de la fraternité répandus dans notre cœur par le Saint-Esprit. C’est ce qui constitue donc l’ombre; alors, je peux tenir mon frère par la main, ma sœur par la main, et savoir que nous sommes des citoyens du Royaume de Dieu, et que nous nous aimons les uns les autres; et nous prenons position pour cette grande cause, la cause de Christ. Que vous soyez méthodiste, baptiste, presbytérien, unitaire, binitaire, trinitaire, ou quoi que vous soyez, cela n’a pas d’importance aussi longtemps que le Sang de Jésus-Christ nous purifie de tout péché et que nous communions les uns avec les autres. C’est ce que nous voulons, la fraternité, la communion!

144    Ils restèrent dans les champs. Ils ne voulurent pas se tenir à l’ombre des murs. Les gens trouvaient cela étrange. C’était un fait étrange. Qu’arriva-t-il? Tout d’un coup, il survint un tremblement de terre, qui fit écrouler les murs par terre. Si les petits oiseaux s’y trouvaient, eux et leurs petits seraient comme cette femme avec son mari et ses enfants à Miami ou plutôt à Okeechobee; ils seraient morts lors de l’écroulement des murs. Si le bétail s’était tenu dans les environs pour s’appuyer contre ces murs, ils auraient péri avec ces murs. Cela s’est passé il y a trois ans. J’ai la coupure du journal; non, c’est Tommy Nickel qui la détient maintenant pour le «Voice» des Hommes Chrétiens. Les manchettes dans le journal disent: «Les oiseaux regagnent leurs lieux. Le bétail quitte le champ.»

145    Si Dieu, au temps de Moïse... au temps de Noé, put avertir le bétail et les oiseaux pour qu’ils entrent en se mettant en sécurité, dans l’arche, la destruction étant imminente, la tempête, Il est encore le même Dieu ce soir. Il aime toujours le bétail et les oiseaux. Et s’Il a frayé une voie pour que l’oiseau et la vache échappent à la colère du jugement, combien plus a-t-Il pourvu à un moyen pour vous et moi qui sommes des rejetons de Sa création! Combien plus a-t-Il pourvu à un moyen pour que nous échappions! Nous sentons le Saint-Esprit tirer sur notre cœur. L’heure vient! Nous voyons les ombres de – de l’âge atomique, nous voyons les ombres de l’âge de l’hydrogène, nous voyons les nations se disloquer, Israël s’éveiller.
Les nations se disloquent, Israël s’éveille:
Les signes que les prophètes ont prédits;
Les jours des Gentils sont comptés,
encombrés d’horreurs;
Retournez, ô dispersés, vers les vôtres
    Il en est ainsi aujourd’hui! Tous, vous connaissez le vieux cantique de Haywood.
Le jour de la rédemption est proche,
Les cœurs des hommes défaillent de peur;
Soyez remplis de l’Esprit,
Que vos lampes soient préparées et claires,
Levez les yeux! Votre rédemption est proche.

146    Les tempêtes viennent. Il y a un Asile, oh, un Asile béni! C’est en Christ.

147    Inclinons la tête juste un instant. J’aimerais que vous pensiez (sérieusement et solennellement) à l’instant d’après.

148    Avez-vous déjà trouvé cet Asile béni contre la colère? Rappelez-vous, il n’y a pas deux asiles, il n’y en a qu’un. Il se peut que vous soyez un bon membre d’une église contre laquelle je n’ai rien de mal à dire. Mais si c’est tout ce que vous avez, et que votre vie ne soit pas semblable au Livre des Actes, si le Saint-Esprit que vous affirmez avoir ne vous fait pas vivre comme ils vécurent dans le Livre des Actes, de sorte que votre vie puisse écrire un autre livre, vous feriez mieux de considérer l’avertissement. Si la première vigne a produit une Église pentecôtiste, la seconde vigne, ou plutôt la seconde branche, sortie de la Vigne, produira une autre Église pentecôtiste, avec une expérience pentecôtiste, portant les mêmes fruits que la première Église.
    Demeurez-vous dans cette Présence bénie et sacrée du Seigneur? Êtes-vous passé de la mort à la Vie? Vous reposez-vous sur une émotion, un état psychologique, ou un discours intellectuel? Ou bien demeurez-vous constamment dans Sa Présence, portant le fruit de l’Esprit dans votre vie: la longanimité, la bonté, la douceur, l’amabilité? Pouvez-vous supporter quelqu’un qui vous critique, et l’aimer au point de prier pour lui dans votre cœur? Ou, est-ce une petite prière égoïste: «Ô Seigneur, je sais que je devrais prier pour lui, mais...» Oh, non, frère! «Je sais que je devrais prier pour lui, mais...» Oh, non frère! Cette douceur et cet amour de Dieu disent-ils: «Oh, inonde mon âme! Ô Saint-Esprit, inonde mon âme»? Si vous n’avez pas trouvé ce Lieu de sécurité, mon frère...

149    Un jour, j’effectuerai ma dernière visite à Phœnix, il se pourrait que celle-ci le soit, autant que je sache. Et ceci peut être la dernière fois que l’Évangile est prêché du haut de cette chaire, je ne sais pas. Nous nous approchons tellement du temps de la fin. Israël est retourné dans sa patrie, le dernier signe qui avait été donné.

150    L’autre soir, je regardais un film dans lequel, à leur retour, ils descendaient leurs vieux estropiés des bateaux, et tout le reste. On leur demandait: «Êtes-vous revenus dans la patrie pour mourir?»
    Ils répondaient: «Non, nous sommes revenus pour voir le Messie.»

151    Ne vous en faites pas, le figuier donne ses bourgeons, c’est là le dernier signe. L’emblème, le drapeau le plus vieux du monde, flotte sur Jérusalem. Aujourd’hui c’est une nation indépendante, ayant sa propre armée. Elle avait été aveuglée pendant un petit moment, mais elle se rassemble de nouveau. Dieu l’avait promis. Alors viendra la fin de la dispensation des gentils. Ils attendent un Messie.
    Vous savez, il fut une fois demandé à Dieu: «Tu... est-il possible que Tu oublies Israël?»

152    Il dit: «Quelle est la hauteur des cieux? Quelle est la profondeur de la terre? Mesurez cela.»
    Le prophète dit: «Non, je ne le peux.»

153    Il dit: «Je ne peux pas non plus oublier Israël. C’est la prunelle de Mon oeil.»

154    C’est là le dernier signe. Jésus a dit: «Lorsque vous verrez le figuier bourgeonner, sachez que le temps est proche, même très proche.» Israël commence à être restauré. Ils ont eu leur propre monnaie, il y a quelque quatre semaines. Il a eu sa propre monnaie, et tout. C’est une nation à part entière.
    Qu’attendons-nous? La fin de la dispensation des Gentils.

155    Et le dernier signe qui, d’après la prophétie, devait être donné aux Gentils a été manifesté à la nation et au monde entier, comme il en fut au temps de Sodome; lorsqu’Il demanda: «Où est Sarah, ta femme?»

156    Comment un étranger avait-Il su que c’était Sarah? Et comment avait-Il su que son nom était Sarah, et qu’elle était la femme d’Abraham?

157    Et Sarah rit sous cape derrière la tente. L’Homme dit: «Pourquoi Sarah a-t-elle ri?»

158    Jésus dit: «Lorsque ceci arrive, le temps est proche.» On a déjà vu cela! C’est passé. Ce qui suit, c’est le jugement.

159    Êtes-vous dans cet Asile béni, mon ami? Que Dieu soit miséricordieux. Si vous n’y êtes pas, et que vous aimeriez qu’on se souvienne de vous ce soir dans la prière, voudriez-vous lever la main et dire: «Frère Branham, priez pour moi?» Partout dans le bâtiment, levez... Que Dieu vous bénisse. C’est... Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre qui dirait: «Souvenez-vous de moi, Frère Branham»? Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, sœur. Que Dieu vous bénisse, là au fond. Que Dieu vous bénisse, là derrière, jeune dame. Cette dame-ci, que Dieu vous bénisse. Oui. Que le Seigneur vous bénisse, monsieur, et vous aussi. Oh, c’est bien! Quelqu’un d’autre? Levez simplement la main.
    Vous dites: «Frère Branham, que signifie cela?»

160    Que Dieu vous bénisse, sœur. Que Dieu vous bénisse là derrière, monsieur. Que Dieu vous bénisse ici, madame. C’est merveilleux.

161    «Qu’est-ce que cela signifie, Frère Branham, lorsque je lève ma main?»

162    Savez-vous que selon la science vous ne pouvez pas lever vos mains? S’il n’y avait pas de vie en vous, vous ne le feriez pas. La science ne sait pas ce qu’est la vie. Ils savent que c’est la vie, mais ils ne savent pas ce que c’est. Ils ne peuvent pas la fabriquer. Et qu’est-ce? La science dit que vos mains... la pesanteur retient vos mains vers le bas, de même qu’elle retient vos pieds au sol.

163    Mais vous avez un esprit en vous. Et cet esprit... Quelque chose est près de vous. Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi, à moins que Mon Père ne l’attire premièrement, et tout ce que le Père M’a donné viendra à Moi.» N’êtes-vous pas heureux, ce soir, de savoir que Dieu peut traiter avec votre cœur, qu’il y a là une petite Voix qui dit: «Viens te mettre en sécurité»? Observez maintenant: «Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi.»

164    Qu’est-ce qui a dû se passer? Vous avez dû avoir Quelque chose à côté de vous, qui vous a dit: «Tu es dans l’erreur.» Oh, il se peut que vous soyez membre d’une église. Mais, «vous êtes dans l’erreur». Vous n’avez pas encore reçu le Saint-Esprit. Vous n’êtes pas dans l’Arche.

165    Comment entrons-nous dans l’Arche? On n’y entre pas. Comment y entrons-nous? «Par un seul Esprit, nous sommes tous baptisés pour former un seul Corps.» Tous les croyants sont baptisés pour former un seul Corps. Comment? Par le Saint-Esprit. «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Nous y voilà, dans le Corps, en sécurité.

166    Si vous n’y êtes pas, ne laissez pas Satan vous mépriser ce soir au point de vous empêcher de lever la main. Eh bien, qu’est-ce que cela a fait? Cela a brisé toute loi scientifique, lorsque vous avez levé la main. Cela a montré que quelque chose en vous a pris une décision. Quelque chose de plus grand que la science, quelque chose qui a défié les lois de la science. Vous avez dit: «Il y a un esprit en moi, qui dit: ‘Je suis dans l’erreur.’» Et il y a Quelqu’un assis près de moi, qui dit: ‘Accepte-Moi.’ J’ai levé la main vers là d’où est venue la Voix, vers le Ciel. Sois miséricordieux envers moi, ô Dieu. J’ai besoin de Toi. Je désire le Saint-Esprit. Je veux être en sécurité. Je veux que mes péchés soient sous le Sang. Et je veux être scellé dans le Corps de Christ, afin que je me sente à l’aise, que je puisse bénéficier des rayons de la guérison, que je puisse bénéficier des rayons de la guérison divine dans mon âme, une guérison physique dans mon corps, jouir de la marche avec l’Agneau chaque jour, en sûreté. Peu importe ce que dit le journal, les journaux, moi, j’ai appris par un grand-journal, appelé la Bible, que je suis en sécurité. Peu importe ce qui arrive, je suis toujours en sécurité. «Car ceux... si la mort me prend,... ceux qui sont en Christ, Dieu les ramènera avec Lui, à Sa Venue.» Je suis toujours en sécurité. La mort ne peut pas m’inquiéter.

167    Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre maintenant avant que nous ne priions: «Je veux ce Lieu de sécurité éternelle, Frère Branham»? Y en a-t-il d’autres qui n’ont pas levé la main? Dieu vous bénisse, madame. C’est bien. Dieu vous bénisse, là derrière, là au fond. C’est merveilleux.

168    Maintenant, le même Dieu qui vous a convaincu que vous êtes dans l’erreur est ici pour arranger cela avec vous.

169    Inclinons la tête maintenant, et restons constamment en prière. Parlez-Lui simplement maintenant, à votre propre manière. Si vous pouvez faire plus que ce que fit ce publicain-là, qui se frappait la poitrine, disant: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi, un pécheur.» C’est tout ce qu’il avait à dire; Dieu connaissait le reste. Et il rentra chez lui justifié. Puissiez-vous aller de la même manière ce soir, étant à l’abri de la tempête.

170    Notre Père céleste, ces quelques paroles désordonnées et décousues, dites juste comme j’étais conduit à les dire, elles ont été lâchées. Et je prie, quand même, comme le petit garçon qui répétait l’alphabet, qui disait que c’était tout ce qu’il savait faire, «Toi, Tu connaissais tous les mots, et Tu pouvais rassembler les lettres.» Tu as vu la simplicité de son cœur. Ô Dieu, baisse Ton regard sur mon pauvre cœur, ce soir, et vois la simplicité de mon cœur. Et le Message a été apporté, Seigneur, dans l’amour et dans la douceur, au peuple, afin qu’ils trouvent ce Repos que Tu m’as donné à moi et à des milliers d’autres, afin qu’ils connaissent Jésus, l’unique Sauveur de leurs âmes, afin que Lui les conduise vers Dieu, notre Père, et qu’ils soient mis en sécurité dans Son sein, par Son côté fendu, et qu’ils L’acceptent et soient épargnés du jugement.

171    Et beaucoup, ce soir, Seigneur, oui, beaucoup ont levé la main. Que puis-je faire d’autre, Seigneur, sinon leur dire de croire? Et s’ils croient, et qu’ils ont été sincères dans cela, il est impossible qu’ils manquent de recevoir la Vie éternelle en cette heure. Car Tu as dit: «Celui qui entend Mes Paroles.» Ils étaient Tiens, ils n’étaient pas correctement unis, peut-être, mais Toi, Tu peux les unir. Et peut-être l’as-Tu fait pour ceux qui ont levé la main, car Tu as dit: «Nul ne peut venir, à moins que Je ne l’attire. Et tout celui qui vient, Je ne le mettrai pas dehors, mais je lui donnerai la Vie éternelle, et le ressusciterai au dernier jour.» Nous savons, Eternel Dieu, que c’est Toi! Ils ont levé la main, ils Te désirent. Maintenant, Père, remplis leur cœur, remplis leur cœur de bonté et de miséricorde, et du Saint-Esprit. Puisse ceci être une soirée qu’ils n’oublieront jamais, du fait que ça aura été la soirée où ils ont reçu Jésus-Christ comme leur Sauveur, et où ils ont été remplis du Saint-Esprit.

172    Pendant que nous avons la tête inclinée, si vous croyez que Dieu entend ma prière et que vous aimeriez que je vous impose la main et que je prie avec vous, voulez-vous simplement... pendant que tout le monde a la tête inclinée, et que la musique joue très doucement, voulez-vous bien? J’aimerais le faire pour tous ceux qui veulent venir ici et qui veulent accepter ce grand Message de salut et le Saint-Esprit, et qui diront: «Frère Branham, je veux m’avancer maintenant même pour confesser que j’étais dans l’erreur. Mais je veux que le Saint-Esprit me pardonne, qu’Il soit doux envers moi maintenant, et me procure la paix quand le moment des  secousses...»

173    Vous savez que tout ce qui peut être ébranlé le sera maintenant. «Mais nous, nous recevons un Royaume qui ne peut être ébranlé!» C’est Christ.

174    Voudriez-vous venir vous tenir ici à l’autel avec moi, pour me permettre de tenir votre main et de prier avec vous? Si oui, levez-vous et venez maintenant, pendant que nous chantons doucement maintenant. Vous qui avez levé la main, avancez-vous ici maintenant et tenez-vous à l’autel, juste un instant, si vous le désirez, pendant que nous chantons ce couplet maintenant.
...viens à la Maison.

175    Et si ceci était la dernière fois que vous entendez ceci? Pensez-y! Et si ceci était la dernière fois? Qu’arriverait-il si dans l’instant qui suit la sirène sonnait dans la rue, et que c’était vous, et que l’on venait chercher votre corps? Et si, vers deux heures du matin, vous appeliez le médecin, et que c’était une crise cardiaque? Jeune ou vieux... Ne sonnera-t-elle pas? Venez maintenant, je vous prie, dans la zone de sécurité, parce que vous allez devoir vous tenir aux derniers jours.
Je reviens à la maison
Je reviens à la maison, je reviens à la maison.

176    Dieu vous bénisse. [Frère Branham prie avec les gens à l’autel, pendant que la congrégation continue à chanter: «Seigneur, je reviens à la Maison.» – N.D.É.]

177    Ne voulez-vous simplement pas vous lever et venir vous tenir avec les autres, ici autour de l’autel? Venez. On s’approche du jugement maintenant. Ne voulez-vous pas venir? Venez maintenant, confessez vos péchés maintenant, vous n’aurez pas à passer au jugement. Dieu bénisse ce couple qui vient. Dieu vous bénisse, monsieur. C’est bien. Dieu vous bénisse, jeune dame. Descendez directement. Venez, monsieur.
J’ai erré loin... (Venez, mon frère espagnol)
...de Dieu.
Maintenant je reviens...

178    Ne voulez-vous pas vous lever maintenant, et venir ici? Prions. Venez à l’Abri.
...du péché j’ai trop longtemps marché,
Ô Seigneur, je reviens à la maison.

179    Puis-je dire ceci, pendant que l’orgue continue à jouer. Le Message de ce soir est un Message d’amour, de grâce, et d’avertissement. Demain soir, ce Message pourrait être dans vos oreilles, quelque part ailleurs, un Message de condamnation et de jugement. Pendant que Cela a de la miséricorde, venez recevoir Cela, je vous prie mon ami. Je devrai vous rencontrer un jour avec Ceci, ce que j’ai dit ce soir. Que Cela témoigne de la miséricorde pour vous, pendant que nous chantons une fois de plus: «Maintenant, Je reviens à la Maison.» Ne voulez-vous pas le faire?

180    Restez simplement ici même, sœur, bien-aimée. Vous tous, restez juste ici. Si vous le voulez, juste un instant. Nous voulons prier avec ceux-ci à l’autel. Qu’ils restent simplement là où ils sont. Encore une fois maintenant.
J’ai erré loin... (Levez-vous, venez. Je vous prie. Je vous invite.)
Maintenant, je reviens à la maison;
Sur les sentiers du péché
J’ai trop longtemps marché, Seigneur,
Je reviens à la maison.

181    Chrétiens, priez maintenant. Je reviens à la maison. Venez, mon frère pécheur, venez, sœur, vous qui avez été acquis par Son Sang, pour qui Christ est mort. Ne voulez-vous pas venir maintenant? Permettez-moi de vous persuader, en cette heure cruciale où le jugement est suspendu aux portes de la nation, aux portes du monde. Ne voulez-vous pas venir? Je vous supplie, à la place de Christ, venez à Christ pendant que vous le pouvez! Que ce soit la miséricorde, et non le jugement.

182    Maintenant, fredonnons cela. [Frère Branham commence à fredonner «Seigneur, Je reviens à la Maison.» – N.D.É.]

183    Y en aurait-il encore, juste un instant pendant que nous attendons ici maintenant? D’autres sont maintenant en train de se tenir autour de ceux-là. N’est-ce pas un doux moment? Je ne sais pas, il se peut que je sois seul à le sentir, mais je me sens si bien en ce moment même. C’est ce que je désire ardemment, c’est ce que j’aime.

184    Lorsque je n’étais qu’un jeune prédicateur, la sœur d’un ministre m’a dit une fois qu’elle voulait que je l’accompagne à une soirée dansante. Je lui ai répondu que je n’allais pas aux soirées dansantes. Elle m’a dit de l’amener à un show. Je ne pouvais le faire. J’ai dit: «Moi, je ne vais pas aux shows.»
    Elle a dit: «Où trouves-tu ton plaisir?»
    J’ai dit: «Viens avec moi à la réunion.»

185    Ce soir-là, je tenais une réunion sous tente. Je n’étais qu’un garçon d’environ vingt et un ans, un jeune homme. Ce soir-là, plusieurs vinrent à l’autel. Je la vis assise là, pleurant. Je lui fis un signe, et je dis: «Vous m’avez posé une question hier soir. Je peux y répondre ce soir.»
    Elle a dit: «Qu’était-ce, Billy?»

186    J’ai dit: «Voici la plus grande joie de ma vie.» Voir les pécheurs venir, Quelque chose de satisfaisant dans mon cœur qui ne parle que de paix. Je reviens à la maison!
Je reviens à la maison, jamais...

187    J’aime ça! Cette douceur. Vous sentez juste comme si le Saint-Esprit est présent – satisfait: «Bien fait, bien fait.» C’est la préparation pour le service de guérison; d’abord une guérison spirituelle. Le Corps de Christ est malade, Il a besoin de la guérison, le Corps spirituel.
Je reviens à la maison...
    Maintenant, inclinez la tête. Que chacun prie. Tout le monde en prière.
Maison oh, pour ne plus jamais errer.
    [Frère Branham parle avec quelqu’un. – N.D.É.] Maintenant vous feriez mieux de prendre...? ici. Vous devez avoir quelque chose là-dedans...?... un groupe de gens merveilleux...?... Merci, frère. Que Dieu vous bénisse!

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