Appeler Jésus Sur La Scène

Date: 64-0319 | La durée est de: 1 heure et 14 minutes | La traduction: Shp
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1          Nous lisons la Parole du Seigneur. Dans l’Evangile selon Matthieu au–au chapitre 8, à partir du verset 23, nous lisons ceci:

          Il monta dans la barque, et ses disciples le suivirent.

          ...voici, il s’éleva sur la mer une si grande tempête que la barque était couverte par les flots. Et lui, il dormait.

          Les disciples s’étant approchés le réveillèrent, et dirent:

          Seigneur, sauve-nous, nous périssons!

          Il leur dit: Pourquoi avez-vous peur, gens de peu de foi?

          Alors il se leva, menaça les vents et la mer, et il y eut un grand calme.

          Ces hommes furent saisis d’étonnement: Quel est celui-ci, disaient-ils, à qui obéissent même les vents et les mers?

2          Inclinons la tête maintenant pour la prière. Notre Père céleste, nous sommes très heureux, ce soir, de savoir que cette Grande Personne qui amène les vents et la mer à Lui obéir est avec nous. Nous sommes reconnaissants d’avoir ce grand témoignage qu’Il est encore vivant aujourd’hui, et de savoir qu’Il est éternel, et qu’Il ne peut jamais mourir. Il est vivant aux siècles des siècles, et Il a manifesté Sa grande miséricorde envers nous, les enfants des hommes en ces jours-ci. Nous sommes un peuple nécessiteux, Seigneur, si nécessiteux que nul autre, à part Toi, ne peut satisfaire nos besoins. Nous nous attendons donc à Toi ce soir, à ce que Tu viennes dans notre rassemblement ici et que Tu Te révèles à nous en pardonnant nos péchés, en augmentant notre foi, Seigneur, et en guérissant nos maladies et nos afflictions.

            Et quand nous rentrerons chez nous ce soir, puissions-nous être heureux et dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs: «Nos coeurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous quand Il nous parlait en chemin?» Car nous le demandons en Son Nom. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

3          Je suis presque comme Zachée; ces choses sont toujours trop courtes pour moi. Et j’aimerais donc vous parler pendant juste quelques instants, avant que nous puissions prier pour les malades. Je vous remercie pour votre précieuse collaboration, pour avoir cru à l’Esprit hier soir pendant que nous étions en train de parler, j’espère qu’il y a aura une grande effusion de Ses bénédictions.

            Souvenez-vous toujours de la raison de notre présence ici, c’est pour essayer d’augmenter votre foi dans Sa Présence, afin que vous puissiez recevoir ce que vous demandez. Ainsi, par la foi vous croyez.

            Bon, souvenez-vous, chaque bénédiction rédemptrice a déjà été acquise. Le prix a été payé. Il n’y a qu’un seul moyen par lequel vous pouvez recevoir cela, c’est de le croire et de l’accepter. «Il est le Souverain Sacrificateur de notre confession.» Dans Hébreux, il est écrit, dans l’épître aux Hébreux: «Il est le Souverain Sacrificateur de notre profession.» Professer et confesser, c’est bien sûr la même chose. Ainsi, nous... Il est le Souverain  Sacrificateur de notre confession. Par conséquent, Il ne peut rien faire pour nous à moins que nous  confessions premièrement qu’Il l’a fait. Et donc, quand nous confessons cela, Il est alors le Souverain Sacrificateur, un Médiateur, pour se mettre à agir sur base de cela et accomplir cela. Nous prions donc, croyant en Dieu ce soir, en Sa bonté et en Sa miséricorde, qu’Il nous accorde Sa grâce en abondance ce soir.

4          Et maintenant, rappelez-vous, vous devez accepter cela. Eh bien, nous allons prier pour les malades avant de partir, leur imposer les mains. Mais j’aimerais que vous puissiez avoir assez de foi pour ne pas être obligé d’avoir cela. Je souhaite que vous puissiez simplement étendre la main et dire: «Seigneur Jésus, je crois en Toi. Je...» Il croit la Parole.

            Vous voyez, Dieu n’est pas comme nous. Si nous vous disions de faire quelque chose, et que vous ne le croyiez pas, eh bien, nous dirions «Laissez-les tranquilles. Ils ne sont pas obligés de croire cela.» Mais ce n’est pas le cas avec Dieu, notre Père. Il fera toujours quelque chose d’autre pour vous amener à croire. Il cherche à tenir Sa Parole, et Il va tenir Sa Parole.

            Eh bien, la raison pour laquelle Il fait les choses qu’Il est en train de faire maintenant, c’est qu’Il a promis de les faire. Ce n’est pas qu’Il soit obligé de le faire, mais Il a promis de le faire. Et c’est cela notre assurance, le fait qu’Il tient toujours Sa promesse.

            Bon, chacun de vous, comme vous avez des bien-aimés malades et tout... Disons qu’ils ne peuvent... comme cette petite fille-ci, elle est très jeune, et elle est... l’état dans lequel elle se trouve... juste, quand vous aurez la foi, imposez les mains à cette enfant au cours du service. Vous autres qui avez des bien-aimés, auxquels vous pensez dans votre coeur; par la foi, élevez-les là même devant Dieu, dans la prière.

5          Eh bien, et par conséquent... Croyez donc quand quelque chose se passe. Vous–vous ne pouvez pas vous amener vous-même à croire. Vous–vous... C’est quelque chose... C’est une qualité qui est en vous. La foi est une assurance, pas quelque chose de fabriqué, d’imaginaire. C’est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles que vous croyez, mais que vous ne voyez pas.

            Et toute l’armure des chrétiens, dans son ensemble, rappelez-vous, c’est par la foi, tout est surnaturel. L’amour, la joie, la paix, la longanimité, la bonté, la douceur, la patience; ce sont toutes des choses invisibles; voilà toute l’armure des chrétiens. Le chrétien regarde toujours aux choses qu’il ne voit pas, car il regarde à une promesse.

6          Il y a quelque temps, plusieurs années, on m’avait une fois fait venir dans un hôpital pour prier pour un garçon qui se mourrait de la diphtérie noire. J’en ai parlé plusieurs fois, car c’est un cas très exceptionnel pour moi. Le père était un homme plutôt âgé, la mère... Et ce jeune homme avait environ quatorze ans, je pense, et il était leur fils unique. Et il se mourrait de la diphtérie noire, et son coeur a connu un problème. Il était inconscient. Et ils étaient simplement–simplement tout–simplement–simplement, à peine vivant–j’oublie comment était son–son pouls, sa respiration était très faible.

            Et le vieux père a continué à assister aux réunions, à supplier, et à contacter l’organisateur et tout le monde, disant: «Venez prier, venez prier, c’est tout. Venez tout simplement prier à l’hôpital.»

            L’organisateur a dit: «Amenez-le aux réunions.»

            Il a dit: «Nous ne pouvons pas le déplacer de l’hôpital. Il est mourant.» Et il a dit: «Si frère Branham pouvait simplement venir prier Dieu, Dieu l’accorderait.»

            Je me suis dit: «Quelle foi!» 

7          Je suis allé à l’hôpital et les médecins n’ont pas voulu me laisser entrer. Et ils ont dit: «Non, vous êtes marié. Vous avez des enfants.» Billy Paul était alors petit. Ils ont dit: «Vous ne pouvez pas entrer, ont-ils dit, parce que vous avez un enfant.»

            Et j’ai dit... Bon, j’ai compris que le médecin lui-même était un catholique. Et j’ai dit: «Si le prêtre voulait administrer les derniers sacrements  à l’enfant au cas où celui-ci était catholique, lui auriez-vous permis d’entrer?»

            Il a répondu: «C’est différent. Le prêtre n’a pas d’enfants. Voyez?» Il a dit: «Vous allez transmettre le germe à votre enfant.»

            Et j’ai dit: «Mais écoutez, monsieur; je vais en assumer la responsabilité. Je m’engagerai par écrit. J’en assumerai la responsabilité. Si je n’ai pas assez de foi pour entrer là, alors je... pour cela, alors pour commencer, je n’ai rien à faire en y entrant.» J’ai alors dit: «Mais je vais en assumer la responsabilité.» Et j’ai dit: «Pensez-y maintenant, si ce garçon était catholique et qu’il se mourait, alliez-vous alors par tous les moyens empêcher le prêtre de lui administrer les derniers sacrements de l’église?»

            Il a dit: «Non, je ne ferais pas cela.»

            J’ai dit: «Je suis pour ces gens, ce qu’un prêtre est pour un catholique.»

            Et il a dit: «Bien.» Et il a finalement accepté.

8          Il m’a habillé comme un Ku Klux Klan, avec tout ce genre de trucs partout sur moi, et il m’a conduit là vers ce petit garçon mourant. La mère et le père se sont agenouillés de l’autre côté, et j’ai offert juste une simple petite prière. «Seigneur Jésus, j’ai confiance que Tu relèveras ce garçon sur base de la foi de ce père et de cette mère», et j’ai imposé les mains au petit ami. Il était inconscient depuis environ trois jours, je pense. Il respirait à peine. Et je me suis levé, j’ai dit: «Amen.» J’ai prié un moment et je me suis levé.

            Alors, le vieux père a pris la mère dans ses bras et a dit: «Pensez-y, chérie, notre garçon est guéri.» Il n’y en avait aucun signe du tout. Et ils se sont étreints tout simplement et ont remercié le Seigneur.

            Et une petite infirmière, une petite enfant, une jeune fille plutôt, de probablement dix-huit ans, vingt ans, environ... Elle portait son insigne d’infirmière, et elle–elle était une infirmière diplômée.

            Et elle a dit: «Monsieur, je crains que vous ne compreniez pas.» Elle a dit: «Le garçon se meurt.»

            Il a dit: «Oh, non, le garçon va vivre», a dit le père.

            Et elle dit: «Comment pouvez-vous agir ainsi?  Et vous–vous savez que votre garçon se meurt... à cause d’une fausse impression que l’on vous a donnée.»

            Il a dit: «Ce n’est pas une fausse impression.»

            Elle a dit...

9          Ecoutez donc, je pourrais... Il y a peut-être un médecin assis ici. Je ne connais pas ça, les médicaments et les instruments, les termes médicaux. On lui a fait une sorte de cardiogramme, et son pouls était faible. C’était si faible depuis... Le médecin a parlé, l’infirmière a répété le médecin, elle a dit: «L’Histoire ne signale aucun cas où un coeur devenu faible à ce point-là ait encore survécu.»

            Je n’oublierai jamais le regard du vieil homme, un vieil homme ayant l’air paternel, il s’est avancé et a posé ses mains sur l’épaule de la petite  infirmière.  Il a dit: «Soeur, a-t-il dit, vous voyez, vous regardez à ce graphique.» Il a dit: «C’est tout ce que vous savez, regarder à cela.»  «Mais, a-t-il dit, moi, je regarde à une promesse divine.»

            Le garçon est maintenant missionnaire en Afrique et il a trois enfants.  Voyez? Voyez? Ça dépend de ce à quoi vous regardez. Voyez? Il croyait.

10        Eh bien, il s’agit de la même foi: «Si vous venez imposer les mains à mon enfant...» «Si vous prononcez la Parole, mon serviteur...» Vous voyez.  C’est quelque chose que vous avez. C’était–ce n’était pas faire semblant. Le vieil homme croyait cela. Il avait saisi quelque chose. La femme qui avait touché Son vêtement: «Si... Il me faut tout simplement toucher Son vêtement», voilà. Vous devez vous emparer de cette foi là dans votre coeur.

            C’est juste comme, vous dites... Vous savez, vous les hommes, si vous êtes... Si vous êtes un bon mari, il n’y a aucune femme au monde que vous aimez comme votre épouse. Il se peut qu’il y ait d’autres femmes peut-être plus belles.  Il se peut qu’il y ait des femmes qui–qui sont plus jolies et tout. Mais quelque chose... Si vous aimez vraiment votre épouse, il y a quelque chose qui fait que vous ne faites pas attention à ce à quoi elle ressemble. Vous l’aimez.  Et vous–vous ne savez pas pourquoi, mais vous l’aimez; et pour vous les femmes, c’est la même chose vis-à-vis de vos maris, vous–vous les aimez, et pour vous jeunes filles, vis-à-vis de vos petits amis, les petits amis, vis - à vis de leurs petites amies. Si vous trouvez cette  personne, et vous savez que vous aimez, il y a quelque chose là. Vous savez que vous l’aimez.

            Bien, c’est pareil pour la foi. Vous savez que ça va arriver. Il n’y a pas d’ombre, peu importe combien des gens diraient le contraire, vous continuez à croire la même chose parce que c’est une foi authentique, une foi vraiment authentique.

            Maintenant, ayez cela ce soir, pendant que nous parlons de ce sujet. 

            J’ai beaucoup parlé et ça fait vraiment longtemps que je suis dans des réunions maintenant, c’est à peine si j’ai un repos depuis Noël. Et ma voix est un peu enrouée à cause du changement de climat, du temps et tout. J’aimerais vous parler ce soir sur le sujet Réveillez Jésus ou  Appeler Jésus sur la scène.

11        A partir de notre passage des Ecritures, nous voyons qu’il y avait eu une grande réunion. Jésus allait partout faisant de grands prodiges, faisant constamment du bien, et faisant aussi ce qui était agréable à Dieu; Il faisait  toujours ce que Dieu voulait, et non pas ce que Lui-même voulait, dit la Bible. Et nous voyons qu’Il était–qu’Il s’est fait connaître complètement, qui Il était par Ses oeuvres. Ses oeuvres identifiaient Qui Il était. Et la vertu était sortie de Lui. Il avait enseigné des paraboles tout le long du jour, et la vertu était sortie de Lui.

            Et Il avait–allait traverser la mer, traverser pour aller là de l’autre côté. Etant ce qu’Il était, Il–Il savait qu’il y avait un grand travail qui attendait de l’autre côté. Et Il était très fatigué. De la vertu était sortie de Lui tout le long du jour, car les gens L’avaient touché par leur foi en croyant en Lui, et tout. Et Il avait... La vertu était sortie de Lui et Il était fatigué. Il s’est donc retiré au fond de la barque et S’est couché sur un coussin, c’est ce que les Ecritures nous déclarent, pour se reposer un peu pendant que la barque traversait la mer, traversait la mer de Galilée, une occasion pour un petit repos. Ses disciples ont pris leurs rames et ont hissé les voiles. Et  comme font les marins, ils... C’est ce que leurs–beaucoup d’entre eux–leur occupation... Ils étaient des pêcheurs là sur la mer, et–et ils savaient comment diriger ces bateaux. Et ils avaient  retrouvé leur occupation, ils passaient bien de bons moments de réjouissance, un temps de jubilé, ils parlaient peut-être des choses qui étaient arrivées ce jour-là.

12        Vous savez, il y a quelque chose à ce sujet, quand nous voyons notre Seigneur Jésus faire des choses, et que nous arrivons à reconnaître que c’est Lui, que rien d’autre à part Lui ne pourrait faire cela, simplement nous... Quand nous nous rassemblons, nous... tout le monde veut témoigner. Tout le monde veut dire quelque chose, et on veut en parler.

            Vous pouvez avoir un réveil dans votre église. Le pasteur peut apporter un message merveilleux, ou l’évangéliste, ou qui que ce soit. Ou vous pouvez voir une certaine chose se produire, ou quelque chose dans le voisinage; quelqu’un a été guéri. Les voisins se rassemblent et en parlent.

            «Comme c’était merveilleux! Etiez-vous là? Vous auriez dû voir cela. C’était quelque chose d’extraordinaire.» Les oeuvres de Dieu ont quelque chose qui émeut le coeur humain plus que tout autre chose qui peut arriver. Il y a... Ce sont des expériences vraiment inoubliables quand nous entrons en contact avec le Seigneur Jésus et que nous voyons les choses qu’Il fait. Ses voies sont si glorieuses et si merveilleuses.

13        Maintenant, nous voyons qu’ils se réjouissaient des oeuvres qui avaient été accomplies au cours du réveil de ce jour-là. Et peut-être que je pourrais établir un parallèle avec nous ce soir, étant dans la même condition.

            Maintenant, nous venons d’être témoin de l’un des plus grands réveils, je pense, que le monde ait jamais connus au cours de dix, quinze dernières années. Ç’a été un réveil, pas juste comme au temps de Billy Sunday, au temps du réveil de pays des Galles, ou au temps du–du réveil Wesleyen, ou comme le réveil de Moody, ou comme le réveil de Billy Sunday; c’est quelque chose qui a balayé le monde entier, partout dans le monde. De grandes réunions de guérison, et de grands feux du réveil ont brûlé pratiquement sur chaque colline qu’il y a au monde. Ce soir même, là sur les terres d’Afrique, là en Chine et au Japon, cet Evangile est prêché et les gens sont guéris en cet instant même, partout et partout au monde. Ç’a été l’un des plus grands réveils, car, je pense, il est l’un des derniers réveils que ce monde aura connus, un réveil qui balaie le monde.

14        Mais maintenant, au cours de quelques dernières années, cela s’est calmé. On ne voit plus les gens aussi enthousiasmés qu’autrefois. Je me rappelle avoir eu le privilège par le Saint-Esprit de lancer ce réveil qui a commencé quand cet Ange du Seigneur est apparu à la rivière, et a dit cela au sujet de... il y a beaucoup d’années. Et de voir cela arriver, et de voir cela enflammer les coeurs des ministres partout... Les réveils ont éclaté. Eh bien, en ce temps-là, on pouvait simplement entrer dans un bâtiment; les gens se levaient simplement de leurs civières et brancards et s’en allaient guéris. On n’avait même pas besoin de dire un mot. Le simple–simple fait d’être là, c’est tout ce qu’il fallait.

15        Je me rappelle un soir à Vandalia, dans l’Illinois. Je suis allé à la réunion, et je n’ai pas fait plus de cinq minutes dans la réunion et il n’y a plus eu une personne faible sur le lieu, nulle part. Les fauteuils roulants ont été poussés dehors et on les a empilés, les aveugles ont vu, et les  sourds et les muets ont parlé, et–et simplement cela, c’est... L’Esprit du Seigneur était présent, et Il a simplement guéri tout le groupe. Eh bien, c’est alors que vous pouvez faire quelque chose, quand le réveil est en cours.

            Mais que ce feu de réveil s’éteigne, alors vous pouvez difficilement... On est toujours chrétien, mais on ne connaît pas réveil en Esprit, cette grande atmosphère qui fait quelque chose. C’est juste comme dans une forge chez un forgeron, vous devez chauffer le fer avant de le battre sur l’enclume. Si vous ne le faites pas, vous ne le redresserez jamais. C’est ce qu’il faut pour avoir un réveil, que tout le monde soit sous la chaleur du Saint-Esprit qui fait descendre les puissances de Dieu dans un mouvement de réveil. Alors, il y a tout le temps des réunions de prière jour et nuit, à chaque instant, partout. Eh bien, les gens ne voudraient même pas quitter ce lieu.

16        Je me rappelle à Jonesboro, dans l’Arkansas, au début quand j’ai commencé, à ma–environ ma troisième réunion (la première était à Saint Louis, et ensuite à Corning, puis là à Jonesboro), les journaux ont rapporté qu’il y avait 28.000 personnes dans la réunion sur une étendue, des tentes dressées à vingt ou trente kilomètres, partant  de la ville. On ne pouvait pas trouver une ferme où rester, dans la petite ville de Jonesboro. Et les gens parcouraient des kilomètres, munis des lanternes, traversant des jungles, ils prenaient l’autobus pour venir. Un soir, j’étais dans un lieu désert en train de prier, avant le début du service. Et j’ai vu venir de jeunes dames tenant leurs chaussures et leurs bas sous les bras. Et alors, avant d’arriver là, elles se sont arrêtées et ont épousseté leurs pieds, et elles ont mis les bas et–et– et les chaussures, puis–puis sont entrées dans la réunion.

            Et je les ai vues coucher leurs enfants malades sous de vieux camions de coton, et rester là jour et nuit. Elles tenaient au-dessus de leurs têtes des papiers et des toiles pendant qu’il pleuvait, et que l’orage s’abattait, elles ne quittaient pas leur place, attendant simplement d’entrer dans le bâtiment. C’est alors que les aveugles voyaient, que les sourds entendaient. Et le ministère, ce soir, est à une centaine de miles au-delà de cela, mais les feux du réveil se sont éteints.

            On voyait les gens s’avancer là, et dire... On pointait simplement du doigt en disant: «Bien, croyez-vous, Frère?» C’est tout. Il sortait et s’en allait. C’est tout ce qu’il y avait à faire. Ils croyaient. Le réveil  était en cours.

17        Eh bien, ces disciples avaient vécu cela. Et en amateur, tandis que Jésus se reposait, ils se réjouissaient de ce qu’ils avaient vu s’accomplir ce jour-là. Et je pense que le réveil fait quelque chose de pareil, que nous vivons maintenant un temps de tranquillité, pendant que Lui se repose, peut-être, entre les réunions, ou entre le réveil et Sa venue. Et nous nous réjouissons des choses que nous avons vu être accomplies au cours de ce réveil: de grandes et merveilleuses oeuvres. Peu importe ce que le monde dit, nous avons néanmoins vu cela être accompli. C’est un fait établi. C’est une réalité. Cela a été accompli.

            Ils doivent en avoir profité (pendant que la barque progressait bonnement), pour parler de Lui, de Ses oeuvres, de Ses déclarations, de Sa qualité de Messie. La plupart d’entre eux pouvaient avoir... de–de ces disciples, pouvaient se dire ce qu’ils avaient vu être accompli, exactement comme nous le faisons. Nous en parlons au cours du réveil à–à Shreveport, au cours d’un réveil dans une autre ville. Eh bien, c’est comme ça qu’ils faisaient.

18        Il se pourrait que ce fut Simon, comme nous en parlions hier soir, qui ait dit: «Bien, quand André m’a parlé de Lui, j’étais un petit peu sceptique. Mais quand Jésus m’a dit qui j’étais et qui était mon père, cela a ôté tout doute de moi. Je–j’ai alors cru.»

            Peut-être que Philippe pourrait avoir dit... Un autre... Il se pourrait que ce soit André qui ait dit, comme nous le disions hier soir au sujet de la dame au puits, peut-être qu’ils parlaient d’elle en disant quelque chose comme ceci: «Frères, vous savez, le moment étrange pour moi, c’est quand je... Nous sommes allés acheter des vivres, et nous sommes revenus. Et nous nous tenions dans les buissons, et nous L’avons vu parler à cette femme de mauvaise réputation. Nous nous sommes demandé: «Qu’en serait-il si les sacrificateurs venaient et voyaient ceci, notre Maître, en train de parler à une femme de cet acabit? Que penseraient-ils de Lui?’ Et alors, nous nous sommes rappelés comment nous savions que ce–comme nous avions confiance en Lui, que c’était dans un certain but qu’Il lui parlait.»

            «Et puis, quand Il lui a dit: «Va chercher ton mari et viens ici,» et qu’elle a répondu: «Je n’ai pas de mari,» combien nos coeurs ont bondi, car nous nous sommes dit: ‘Voilà une fois où cela échoue.’ Jésus avait dit à la femme qu’elle avait–d’aller chercher son mari, alors qu’elle n’avait pas de mari. Vous  rappelez-vous l’air que nous avions tous affiché, quel était notre étonnement en considérant toute la confiance que nous avions en Lui, et voilà que cela tombait tout d’un coup?»

            «Alors nous avons vu qu’Il a aussitôt rétorqué et a dit: ‘Tu as dit la vérité. Car tu as eu cinq maris, et celui que tu as maintenant n’est pas tien.’»

            «C’est alors qu’elle l’a donc reconnu comme étant le Messie, le Messie de Dieu, et elle a dit: «Nous savons que le Messie viendra. Tu dois être un prophète, car nous savons que quand le Messie viendra, Il fera ceci.» Et le témoignage dans cette ville... Le témoignage de cette femme avait fait effet sur les gens de cette ville.»

19        Puis, il se peut que ce soit le jeune Jean qui ait dit: «Vous savez, je vais vous dire ce qui a rendu cela réel pour moi: c’est ce jour-là quand Il a rompu le pain. Eh bien, nous avions tous faim. Et Il était allé dans un lieu désert et nous n’arrivions pas à Le retrouver. Nous L’avons rencontré là, toute la multitude est venue tout autour; la première chose, vous savez, nous sommes allés Lui dire: «Renvoie-les à la cité chercher de la nourriture.» Il nous a ensuite demandé de les nourrir. Il a pris ces cinq petits pains et ces deux petits poissons. Et Il rompu ce pain. Je surveillais Sa main. Quand Il ramenait la main pour un autre morceau de pain, ce petit pain réapparaissait. Et alors, quand Il ramenait la main, Il mettait cela dans une assiette, puis ramenait la main, ce poisson réapparaissait, non seulement un vrai poisson, mais c’est aussi un poisson déjà cuit (Voyez?) qui réapparaissait.»

            Quelle sorte d’atome avait-Il lâché, Frères? Du poisson cuit, du pain cuit, ayant contourné sa croissance... «Nous savons qu’Il est un Créateur. Mais ici, Il créait du poisson déjà cuit et du pain déjà cuit.»

20        Jean a peut-être dit quelque chose comme ceci; il a dit: «Vous savez, quand j’étais un petit garçon, nous habitions là près de Jéricho. Je me rappelle que ma mère, une juive, avait l’habitude de me bercer pour m’endormir l’après-midi, pour que je fasse ma sieste de l’après-midi. Je levais la tête pour la regarder dans les yeux et elle me racontait les histoires de la Bible.»

            Et vous savez, c’est une bonne chose que toute mère doit faire à son enfant. Elever un enfant dans la voie qu’il doit suivre. Ce serait mieux que d’allumer la télévision et de regarder certaines de ces choses qui passent à la télévision; ce serait mieux si vous lui lisiez une histoire de la Bible, car cela se grave dans son jeune esprit.

21        Eh bien, il a dit qu’il avait l’habitude... «Elle me racontait la–l’histoire de la Sunamite qui recouvra son petit garçon ramené à la vie par le prophète Elie.» J’aimais cela. Et puis, elle me parlait de la sortie de notre peuple de l’Egypte. Et nous étions juste à côté du fleuve Jourdain. Et elle montrait l’autre rivage du fleuve et disait: «Jean, ils avaient campé juste de l’autre côté. Et ils ont passé quarante ans dans ce désert, et Dieu les a nourris de la manne. Leurs vêtements ne s’étaient jamais usés, Dieu leur donnait du pain, du pain frais chaque matin.»

            «Et comment... mon petit coeur d’enfant, je disais: «Maman, est-ce que Dieu a beaucoup de grands fours là au ciel? Il fait cuire tout ce pain, et dispose Ses Anges à faire descendre le pain du matin, et à le déposer sur le...»»

            «‘Non,’ disait-elle, ‘Jean, tu es trop jeune pour comprendre. Dieu n’a pas de fours au ciel. Il n’a pas besoin de fours. Nous, il nous faut des fours. Mais Dieu n’en a pas besoin, parce qu’Il est le Créateur. Tu vois, Il parle simplement et le pain est déposé sur le... Il est le Créateur.’»

            «Et Frères, aujourd’hui quand je me tenais là  et que je Le regardais prendre ce morceau de pain et le couper, et quand Il a remis la main pour prendre un autre morceau, cela était créé, j’ai su que nous n’étions pas en train de suivre–de suivre un faux prophète. C’était le Créateur Lui-même dans l’homme.»

22        Et ensuite, ils ont peut-être discuté sur l’attitude de certaines personnes. Certains croyaient, d’autres ne croyaient pas. Et puis, Son attitude envers les gens... Eh bien, vous savez, le christianisme a tellement changé dans ces derniers jours. Eh bien, vous devez dorloter quelqu’un, lui promettre beaucoup de choses, lui donner beaucoup de choses pour l’amener à croire, à venir à l’église, et lui promettre qu’ils auront les meilleurs associés et tout. Ça, ce n’est pas le christianisme.

            Le christianisme, ce n’est pas le fait d’être dorloté. Le christianisme, c’est le fait être rude. C’est vrai. C’est un–c’est un... Le christianisme n’est pas une plante de serre. Une plante de serre est dans la plupart des cas une plante hybride. Il faut la faire passer au vaporisateur tout le temps pour la protéger des insectes. C’est à cause de sa fragilité. Et c’est comme ça que vous devez agir à l’égard de beaucoup de chrétiens: les faire passer pour ainsi dire au vaporisateur avec beaucoup de promesses. Vous–vous n’en avez pas besoin. Une vraie plante saine et authentique n’a pas besoin de passer au vaporisateur. Les insectes restent loin d’elle.

23        C’est juste comme aujourd’hui, les hommes essayent de prendre des choses et de les pervertir. Au commencement, Dieu a dit: «Que chaque semence se reproduise selon son espèce.» Je lisais dans le Readers Digest ici, là où ils–ils prennent ce que nous appelons un maïs hybride.  Et c’est un épi plus beau, certainement, un grand, un gros, un joli épi, mais il n’est pas du tout bon, il ne vaut rien. Et ils font une meilleure tomate. Elle n’a même pas le goût d’une tomate. Ils font... Ils ont un poulet maintenant qui n’a même pas d’ailes: l’hybridation.

            Vous voyez, rappelez-vous maintenant, vous pourriez obtenir du maïs hybridé. Mais vous ne pouvez pas planter cette semence; elle ne va pas se reproduire. Elle va mourir. Pourquoi? Elle n’a pas de vie en elle. Vous devez l’hybrider chaque fois. Si elle ne l’était pas, elle continuerait à se multiplier.

24        Cela montre que l’évolution selon que l’homme la conçoit est mauvaise. Vous pouvez prendre une–une jument et un âne, les croiser et obtenir un mulet. Mais un mulet ne peut se reproduire. Il est fini. C’est tout.

            Il est fini. Et les gens disent maintenant que dans vingt ans, s’ils n’interdisent pas à ces gens de manger ces choses hybridées, comme du maïs,  du blé et d’autres affaires qu’ils hybrident, cela changera la condition des femmes. Elles ne seront plus en mesure d’avoir des enfants d’ici vingt ans. Ça tue la génération. C’est dépourvu de substances de vie.

            L’homme n’est plus ce qu’il était. Observez les hommes aujourd’hui. Eh bien, autrefois les jeux de ballon étaient rudes. Aujourd’hui, on doit porter des casques. Des douzaines de personnes meurent chaque année de suite des coups reçus à la tête, comme une pintade, ils meurent sur le champ au combat et tout. L’homme est un tas de boue. C’est–c’est à cause de ces choses hybridées. Ç’a pollué tout le système de–de notre vie, toute notre économie.

25        Et maintenant, l’hybridation est entrée aussi dans l’église. Au lieu d’avoir un vrai groupe de solides croyants de la Bible, ils ont hybridé la chose par la dénomination. Et ils doivent... «J’ai ceci, et j’ai cela. Et je suis membre de ceci, et je suis membre de cela.» C’est hybride. Et la chose ne peut pas se reproduire.  Nous avons encore besoin d’un Livre des Actes.

            Mais le seul moyen pour vous d’y arriver, c’est de revenir à la Bible et de vous éloigner de cette religion hybride. L’hybridation, on doit être dorloté, sans la foi, juste un tas de–de houppettes, juste des poules mouillées, des gens qu’on dorlote pour les faire entrer là.

            Je suis–je demande: «Etes-vous chrétien?»

            – Je suis Méthodiste.

            – Etes-vous chrétien?

            – Je suis presbytérien.

            – Je suis pentecôtiste.

            Ça ne vaut pas ceci [Frère Branham claque ses doigts–N.D.E.] pour Dieu. Vous êtes chrétien parce que vous êtes né de l’Esprit de Christ, et la Parole de Dieu vit en vous.

26        Vous savez, j’ai toujours apprécié un cheval hybride. Vous savez, il est intelligent. Vous pouvez lui apprendre des choses, faire des choses pour lui, et il apprendra. Mais prenez un vieux mulet, vous ne pouvez rien tirer de lui. Il n’est qu’un grand et vieil âne aux longues oreilles. Il se tient là et vous pourriez lui parler; il redressera ses oreilles et fera: «Hi-han, hi-han.» Voyez? C’est... Il n’est qu’un hybride. Cela me rappelle la religion hybride d’âne de beaucoup de ces soi-disant chrétiens.

            Dites-leur: «Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui, et éternellement.»

            Et eux: «Je ne le crois pas.» [Frère Branham rythme ses paroles sur la cadence des cris de l’âne–N.D.E.] Voyez? Vous ne pouvez donc rien lui apprendre, jamais, c’en est fini de lui de toutes les façons.

            «Mon église le croit de cette façon-ci.»

            «La mienne le croit de cette façon-là.»

            Mais la Parole de Dieu dit qu’Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement. J’aime... Non pas un chrétien hybride... J’aime un–j’aime un cheval pur-sang. Il sait qui était son papa, qui était sa maman, qui étaient son grand-papa et sa grand-mère. Il connaît toutes les générations, toute son ascendance. C’est le cas d’un chrétien pur-sang. Il sait qui est son Père. Il vient de Dieu. Il est une Parole de Dieu. Il est le même qu’il a toujours été. Il est un  produit de Dieu vraiment authentique. La Parole de Dieu est en lui, Jésus- Christ Se manifestant.

27        Une bande d’incroyants... Jésus a voulu un jour se débarrasser d’une bande de parasites. Trop de gens Le suivaient. Il avait Ses disciples, puis, Il avait les soixante-dix, l’association ministérielle, puis Il avait une assemblée composée des milliers. Et après, Il a fait cette déclaration, disant: «Si vous ne mangez le sang–ne mangez la chair du Fils d’homme, et ne buvez Son Sang, vous n’avez pas de vie en vous.»

            Eh bien, que pensez-vous qu’un médecin assis là dans l’assemblée dirait? Que pensez-vous qu’un homme raisonnable, celui qui réfléchit dirait, celui que nous appelons raisonnable? Il n’a jamais expliqué cela. Il n’avait pas à l’expliquer.

            «Eh bien, dirait le médecin, éloignez-vous de ce type. Il est fou. Nous serons des vampires humains, buvant le sang d’un homme, mangeant sa chair.»

28        Et l’assemblée... Je m’imagine que le sacrificateur a dit: «Il est temps. Voici par où nous sommes entrés, sortons. Nous n’assisterons jamais à une autre réunion.» Ils sont partis. Alors, Il S’est séparé d’eux tous.

            Puis, Il s’est retourné et a dit aux soixante-dix; Il a dit: «Que diriez-vous si vous voyiez le Fils de l’homme monter au ciel d’où Il est venu?»

            Eh bien, ces soixante-dix ont dit: «Le Fils de l’homme monter d’où Il est venu? Eh bien, Il nous a amenés là à la mangeoire même où Il était né. Nous connaissons Sa mère. Nous avons vu les vêtements, les langes dont Il avait été emmailloté. Il est né là à Bethléhem, en Judée. Il a été élevé ici à Nazareth. Voilà Ses frères et Ses soeurs, et eux tous avec nous.» Et alors, Il dit: «Le Fils de l’homme monter’?»

            En bien, Il n’a pas expliqué cela. Il l’a simplement déclaré. Eh bien, ils ne pouvaient pas l’expliquer. Ils ne pouvaient graver cela dans leur esprit.

            «Bien, ont-ils dit, voici par où nous nous sommes entrés.» Ils sont alors partis. C’était plus qu’ils pouvaient en supporter. On a encore les mêmes groupes. C’est vrai. Nous en avons encore.

29        Nous remarquons... Alors, Il s’est retourné... Rappelez-vous, ses disciples ne pouvaient pas non plus expliquer cela, mais ils avaient la foi. Alors, Jésus s’est retourné et a regardé les douze et a dit: «Voulez-vous aussi vous en aller?»

            Alors, Pierre a prononcé ces paroles remarquables: «Seigneur, où  irions-nous? Car, nous sommes pleinement persuadés. Nous savons que Toi, et Toi seul, Tu as les Paroles de la vie.» Voyez?

            Ils ne pouvaient pas expliquer comment ils allaient manger Sa chair et boire Son sang. Ils ne pouvaient pas comprendre comment Il allait monter d’où Il était descendu, alors qu’Il était né à Bethléhem. Ils ne pouvaient pas... Mais, vous voyez, la foi ne connaît pas d’échec. Elle est ancrée. Elle reste là, peu importe ce que quoi que ce soit dit. Elle est restée là. Ils étaient ordonnés à cette vie, et il est... Ils sont restés là.

30        Maintenant, ces différentes catégories, certains croyaient; d’autres disaient: «Jamais personne n’a parlé ainsi.»

            Certains ne croyaient pas, et ils disaient: «Oh, c’est...» Ils étaient très écoeurés  par cela.

            D’autres disaient: «Personne n’a jamais parlé comme cet homme. Il  a quelque chose d’étrange. Ce qu’Il dit, Il est capable de le soutenir.»

            Bien, ils disaient réellement cela, vous savez. Ils disaient, «Vous ne parlez pas comme un sacrificateur.» «Il ne parle pas comme un rabbin. Mais ce qu’Il dit, Dieu le soutient. Il confirme ce qu’Il dit.» Oh! la la!

            Ça doit avoir été le jeune Jean, qui a alors dit: «Pensez-y. Nous L’avons avec nous maintenant même.» Quel réconfort cela a dû être, quelle sécurité! Quelle sécurité cela devrait être pour nous!

31        Je suis un missionnaire dans le monde entier. Et j’ai vu toutes sortes de religions, toutes sortes de dieux que les gens ont, des dieux païens: Mahomet, Bouddha, et Sikhs, Jaïns, oh, et tout le reste, et les dieux païens des membres des tribus. Mais chacune d’elles... Aucune d’elles n’est vraie sauf le christianisme. Chacune d’elles, son fondateur est mort, et on a la tombe où ils ont été enterrés. Mais le christianisme est la seule qui soit vraie, parce que notre fondateur mourut, fut ensevelie, mais Il est ressuscité. Et nous pouvons prouver qu’Il est vivant.

            A la tombe de Mahomet, voici presque deux mille années, il y a un cheval blanc: on change de gardes après un certain nombre d’heures, dans l’attente que Mahomet ressuscite des morts, et qu’il parcoure le monde à cheval, pour le conquérir. Mais Jésus est déjà ressuscité des morts, Il est ressuscité depuis deux mille ans, et Il est parmi nous ce soir.

32        Et alors, quand nous voyons l’obscurité, et que nous voyons la fin de temps telle qu’elle se présente maintenant, arrivés aux heures que nous sommes en train de vivre... Tandis que nous naviguons sur l’océan solennelle de la vie, quand les mers orageuses... et–et le vaisseau peut faire naufrage n’importe quand, ces petites lumières s’éteignent [Frère Branham fait claquer ses doigts.–N.D.E.] comme ceci.

            Autrement dit, il se peut que nous ne quittions jamais ce bâtiment ce soir, aucun de nous. Nous ne savons pas à quel moment la mort viendra. Et quel sentiment de sécurité ont dû avoir ces disciples de savoir que le Créateur même, qui S’était entièrement identifié comme étant cette Personne, naviguait avec eux. Et quelle pensée bénie est-ce, quel espoir béni est-ce, quelle assurance est-ce, en cette heure sombre, à la fin de l’histoire du monde, de savoir que le Créateur navigue avec nous sur l’océan solennelle de la vie, que nous y sommes en sécurité. Les bombes, tout ce qui peut arriver, laissez-les être larguées, éclater, souffler, quoiqu’il advienne, cela ne change rien pour moi. Je navigue avec le Créateur. Quelle sécurité alors qu’on navigue sur ces eaux!

33        Maintenant, pendant que nous parlons, que nous parlons de Lui, de ces grandes choses qu’Il avait faites... Après la joie d’un réveil, Jésus se reposait probablement comme Il le fait, je l’ai dit, entre les réveils. Et nous... Ils avaient su très clairement qui Il était. Les gens savaient qui Il était parmi ceux qui étaient...?... aveuglés, sauf ceux-là qui s’accrochaient aux Ecritures... Parce qu’ils savaient que les Ecritures, la Parole de Dieu a été donnée, une portion pour chaque génération. Et cette promesse de cet âge doit être accomplie. Et Il accomplissait exactement ce qui était censé être fait au temps du Messie. Il a rempli cette condition. Alors nous... Il était convaincu qu’Il s’agissait de Lui.

            Mais, vous voyez, Il était si ordinaire. Il ne s’habillait pas comme un sacrificateur. Il n’avait pas de–aucune instruction, comme–comme ce que nous appellerions instruction. Nous n’avons aucune trace de ce qu’Il soit même allé à école. Mais il y avait quelque chose de particulier en Lui.

            Et alors, Il les a invités... Comme ils n’arrivaient pas à comprendre, Jésus a dit: «Sondez les Ecritures, car en Elles vous pensez avoir La Vie Eternelle, et ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi. Elles vous disent Qui Je suis.» Et maintenant, rappelez-vous, eux tous gardaient cela dans leurs coeurs et méditaient sur ces choses.

34        Et pendant qu’ils naviguaient sur la mer, oh, comme ils ont pu ressembler aux enfants aussi longtemps qu’Il était dans la barque avec eux! Eh bien, mes amis, qu’est-ce que ça devrait nous faire à nous? Le même Jésus-Christ identifié, le même Créateur, le même Dieu est avec nous ce soir. Quelle sécurité est-ce, quel sentiment de savoir que Sa Présence est ici!

            Maintenant, nous voyons que pendant qu’ils passaient donc ce bon moment, tout d’un coup, des problèmes ont surgi. La barque a tangué; les voiles se sont envolés; l’eau a rempli la barque. Tout espoir de survie s’est envolé.

            Eh bien, n’est-ce pas étrange? Juste comme c’est le cas maintenant, comme nous arrivons à la fin maintenant, n’est-ce pas étrange? Nous pouvons dire combien Il est grand; nous pouvons raconter dans notre église combien Il est grand quand nous témoignons. Nous disons à ...nos... nos employés–employeurs, combien Il est grand. Nous disons aux gens dans la rue combien Il est grand. Et quand un problème survient, on est agité. Voyez? Simplement on... On voit des choses que nous L’avons vu faire, des choses que nous savons qu’Il fait, et qu’une petite maladie ou un petit problème survienne à la maison, observez ce qui arrive. Tout s’effondre, tout–tout espoir s’en va. Quoiqu’on l’ait vu  faire beaucoup de choses, ils ont tout oublié quand des problèmes ont surgi.

35        Comme maintenant, nous avons vu ce grand réveil. Nous avons l’histoire des autres grands réveils. Nous avons Sa Présence. Nous connaissons ces choses. Et des fois, un problème survient et nous ne pouvons pas y trouver des solutions.

            Ils... Par exemple, comme aujourd’hui, nous avons un problème dans nos églises aujourd’hui. Nous avons des problèmes de dénomination, des disputes dans nos églises. Nous ne savons pas ce qui va se passer. Nous voyons un grand système se former là. Nous tous croyants de la Bible, nous voyons que quelque chose sur le point d’arriver. Personne ne l’ignore.

            Et toutes les églises seront introduites dans ce conseil oecuménique des églises. Et alors, vous allez renoncer à votre grand enseignement évangélique de la Bible. Et les pentecôtistes sympathisent avec cela, ils entrent droit dedans, comme un cochon allant à son abattage. C’est vrai. Le conseil oecuménique, beaucoup de grands dirigeants pentecôtistes sont d’accord avec ces...

            Je vous dis, ne fourrez jamais votre nez dans une chose comme celle-là. C’est exactement ce que la Bible a dit devoir se passer. Voilà la bête et la marque, et c’est exact. Tout est bien en place. Et nous voyons cela, et nous nous demandons quelle en sera l’issue.

36        Un problème était survenu. Alors ils ont oublié que Celui-là même dont ils parlaient, le Créateur même était dans la barque avec eux. Eh bien, vous dites: «Si je pouvais penser à cela...» Bien, rappelez-vous, nous L’avons encore, car, Il est toujours la Parole.

            Dans Jean 1.1, comme nous avions parlé hier soir, Il était la Parole, et la Parole a été  faite chair et a habité parmi nous. Et nous avons encore Sa Parole qui nous dirige vers Ses pensées et Ses oeuvres pour ce jour. Vous voyez, le... Non pas les pensées que Moïse avait à son époque, non pas les pensées des disciples, non pas les pensées de Luther ou de Wesley, ou de l’âge Pentecôtiste, ou de tout le reste, nous avons la Bible ici qui nous dit ce qui  va  arriver aujourd’hui. Voyez? Nous voyons le réveil pentecôtiste dans la Bible, le réveil luthérien, et de tous ces âges de l’église. Nous les avons vus. Mais nous avons aussi Les Ecritures ici qui nous disent ce qui va arriver aujourd’hui. Et c’est Dieu, Dieu interprétant Sa propre Parole pour cet âge dans lequel nous  vivons. Il est Son propre Interprète. Et pourtant, nous nous agitons. Ne vous agitez pas.

37        Ses disciples avaient des fois des problèmes physiques qu’ils ne pouvaient résoudre, tels que la maladie, le cancer, ainsi de suite, dont les médecins ne peuvent–ne savent rien faire. Nous, comme eux, oublions Qui est dans la barque. Ils auraient dû savoir qu’Il connaissait toutes ces choses. Il savait que cela allait arriver. Il était le... Il connaissait toutes choses, Il savait donc que cela allait arriver. Cela allait leur arriver. Pourquoi laissait-Il cela arriver? Quand Il est entré dans cette barque, Il savait que cela allait arriver. Il savait que nous devions faire face à  cette situation, et Il nous a annoncé ici dans la Bible qu’il en serait ainsi. Eh bien, qu’était-Il en train de faire? Eprouver leur foi.

38        Pourquoi laisserait-Il une–une jolie petite femme ayant l’apparence d’une mère être clouée comme cela dans un fauteuil roulant? Pourquoi laisserait-Il de beaux jeunes gens ici, ces jeunes gens être cloués ici dans ces fauteuils roulants, ces dames et autres? Pourquoi le ferait-Il? Et pourtant, ils peuvent être estropiés et mener une vie ordinaire. Mais il peut y en avoir d’autres assis ici ayant des problèmes de coeur. Si Dieu ne vous guérit pas, vous pouvez mourir avant l’aube. C’est vrai. Il savait que ça arriverait.

            Peut-être qu’il est temps d’éprouver notre foi. C’était le cas à ce moment-là. Il l’a dit. Voyez? C’est la même chose aujourd’hui. Il avait prouvé Qui Il était par les paroles et les miracles qu’Il avait accomplis au milieu d’eux, qu’Il était le Messie oint confirmé qui devait venir. Et Il est rendu manifeste  parmi nous par le baptême du Saint-Esprit, et le retour des choses qu’Il a promis d’accomplir en ce jour. Il a prouvé qu’Il est ici. Il a prouvé qu’Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement. Et voyez comment nous pouvons facilement nous agiter devant n’importe quel problème. Nous ne devrions jamais laisser cela arriver. Non.

            Il a dit: «Si Je ne fais pas les oeuvres qui sont écrites à Mon sujet, alors ne Me croyez pas.» Et en tant qu’église, si le Saint-Esprit aujourd’hui ne fait pas les oeuvres qu’Il était censé faire pour cette heure, alors, ne croyez pas le Message. Vous avez le droit de ne pas croire cela. Mais Il a promis que ces oeuvres qu’Il est en train de faire en ce moment même devraient se produire juste en ce temps-ci. Cela devrait donc nous amener à nous sentir en sécurité.

39        Vous dites: «Je vais à la réunion. J’ai appris que le glorieux Saint-Esprit est là en train de révéler les secrets des coeurs des gens.» C’est exactement ce qu’Il a dit qu’Il ferait quand Il serait révélé dans les derniers jours. Jésus- Christ a Lui-même dit que c’est exactement ce qu’Il ferait.

            Et Il a dit que le monde serait dans la condition où il était au temps de Sodome. C’est exactement là où il en est aujourd’hui. Il a dit que les églises seraient séparées, exactement comme c’était le cas autrefois: Lot, les tièdes, là à Babylone, ou plutôt là à Sodome, et les Sodomites. Il a dit qu’Abraham, l’élu, le groupe appelé à sortir... Et Il a envoyé un Messager au groupe élu, et Il leur a envoyé deux messagers là chez eux, représentant chaque groupe. Et c’est exactement ce qu’Il a fait, même jusqu’à chaque nom, chaque action, chaque mouvement, tout était exactement parfait: chaque signe, chaque manifestation était exactement identique. Il a dit que cela arriverait. Maintenant, de quoi avons-nous peur? Pourquoi ces choses sont-elles sur nous? Il nous éprouve pour voir ce que nous ferons à ce sujet.

40        Remarquez, Il leur a parlé, disant: «Maintenant, si vous ne pouvez pas Me croire, croyez aux oeuvres que Je fais. Elles rendent témoignage de Qui Je suis.» Ils auraient dû savoir cela, mais ils ne l’ont pas su, qu’Il était le Dieu Qui avait créé, le Créateur des vents et de la mer. S’Il a pu créer les vents et la mer, ne pouvait-Il pas aussi faire qu’ils obéissent à Sa Parole? S’Il a créé toute chose, ne peut-Il pas faire que tout Lui obéisse?

            Rappelons-nous aussi qu’Il avait créé nos corps. Ils devront aussi obéir à Sa Parole. «Bien, dites-vous, si seulement je pouvais être sûr de cela.» Bien, nous sommes sûrs de cela. Il est ici pour prouver que c’est ainsi. Ils doivent obéir à Cela. Rappelez-vous, Il a... Quand nous étions là, bien qu’une cuillerée de cendres, peut-être, Il a promis de ressusciter ces cendres. Il a  promis de les ressusciter. Le corps doit Lui obéir. Et c’est... Quand nous mourrons, nous serons sûrs que nous serons  ressuscités, parce qu’Il a promis qu’Il le ferait, et Sa promesse, c’est Sa Parole, et nous croyons. Croyez-vous dans la résurrection du corps? Certainement. Sinon, vous n’êtes pas un Chrétien. Nous croyons donc qu’Il nous ressuscitera aux derniers jours. Il a promis de le faire. Et qu’est-ce? C’est Sa Parole. C’est là-dessus que nous misons tout ce que nous avons, juste sur cette Parole.

41        Et puis, quand on en arrive au temps où nous voyons la Parole identifiée comme étant parmi nous, alors nous sommes comme les disciples dans un autre cas où ils étaient là sur la mer, et... et ils étaient près à sombrer encore, à une autre occasion. Et ils ont vu Jésus venir, marchant sur l’eau, et ils ont eu peur.

            Ils ont dit: «C’est... c’est un fantôme. Il est effrayant,» ils avaient peur que ça soit un esprit. Et ils ont crié de peur. La seule chose qui pouvait les aider, ils en ont peur. Et c’est pareil  aujourd’hui. La chose... même–la seule chose qui peut aider les gens, ils en ont peur. Il a dit: «N’ayez pas peur. C’est Moi.»

            Il parle. Comment pouviez-vous savoir que c’était Lui? Il est identifié par Sa Parole. C’est ainsi qu’Il fut identifié la première fois. C’est ainsi qu’Il est identifié chaque fois: par Sa Parole.

42        Remarquez, après que ces disciples ont vu qu’ils étaient à bout, certains d’entre eux doivent s’être aperçu que le Créateur était toujours avec eux. J’espère que c’est ce que ça fait pour nous ce soir, car Hébreux 13.8 dit qu’Il est le même.

            Alors, qu’ont-ils fait? Ils ont réveillé Jésus. Allez réveiller Jésus. Réveillez-Le, appelez-Le sur la scène. Il est très facile de L’appeler. Ils avaient vu– vu tellement de choses que Dieu avait faites, et–et la–et la Parole Le confirme–nous aussi. Et ce n’était pas difficile de Le faire entrer en action. Ils L’ont réveillé et ont dit: «Est-ce que... Ne T’inquiètes-Tu pas de ce que nous périssons?»

            Vous dites: «Comment pouvons-nous être sûrs de cela? Pouvons-nous le prouver?»

            Jean 14.12, Jésus a dit: «Celui qui croit en Moi, fera aussi les oeuvres que Je fais.» C’est exact, notre foi amène Christ dans notre présence.

43        Il a dit dans–dans Luc au chapitre 17: «Dans les derniers jours, quand le Fils de l’homme sera révélé, ce sera comme au temps de Sodome et de Gomorrhe.» Nous voyons cela se passer. Il a dit qu’avant que ce temps arrive, dans Malachie 4, un message sera proclamé pour ramener les gens à la foi originale qui a été transmise une fois pour toutes aux gens; toujours le programme de Dieu pour faire cela. Et alors, les méchants seraient de la cendre, et les justes les fouleront aux pieds. Nous voyons toutes ces promesses. Il attend maintenant même que vous, vous, vous, chacun de vous, L’appelle sur la scène. L’Appeler sur la scène, c’est là qu’Il veut être, être appelé sur la scène de l’action.

            Remarquez, quand vous L’appelez sur la scène... Ainsi donc, nous dirions: «Réveillons-Le», puis appelons-Le pour  qu’Il confirme Sa Parole, et ce qu’Il a promis de faire. La façon dont Il–nous savons selon la révélation de Jésus-Christ dans les derniers jours, que ce sera comme aux jours de Sodome. Il a promis cette révélation à l’Eglise, quand Il sera révélé. Ainsi, ne doutez pas et n’ayez pas peur. Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement.

44        Une fois, j’ai entendu une femme... Quand je parlais de Lui comme étant si grand, elle a dit: «Il y a un seul point sur lequel je suis contre votre enseignement, Monsieur Branham.»

            J’ai dit: «Bien, merci, si vous n’avez qu’un seul point, ai-je dit,  j’espère que Dieu ne trouve que ça, comme cela.»

            Et elle a dit: «Bien, vous vantez trop Jésus.»

            J’ai dit: «J’espère que c’est la seule chose qu’il y a contre moi.» Et j’ai dit: «Je ne Le vante pas assez.»

            Elle a dit: «Oh, si, vous le faites.» Elle a dit: «Vous faites de Lui Dieu.» C’est là une femme qui ne croyait pas que Jésus était Dieu. Elle était de la Science Chrétienne. Et elle a dit: «Vous faites de Lui–vous faites de Lui Dieu. Vous Le faites Dieu.»

            J’ai dit: «Il est soit Dieu soit le plus grand séducteur que le monde ait jamais connu.» J’ai dit: «Il...»

            Elle a dit: «Bien, je peux vous prouver par votre Bible qu’Il ne l’était pas. Il était simplement un prophète.»

            J’ai dit: «Il était un prophète, effectivement. Mais Il était aussi Dieu.»

            Elle a dit: «Il était un homme, et Il était mortel.»

            Et j’ai dit: «C’est aussi vrai.»

            Elle a dit: «En route pour ressusciter Lazare de la tombe, saint Jean chapitre 11 dit, la Bible dit: ‘Jésus pleura.’»

            J’ai dit: «C’est vrai.»

            Elle a dit: «Bien, cela prouve qu’Il ne pouvait pas être Dieu et pleurer.»

45        J’ai dit: «Oh! la la! madame, c’est ça votre argument?» J’ai dit: «C’en est un faible.»  Elle a dit... J’ai dit: «C’est vrai, Il était un homme quand Il pleurait. Mais quand Il a mis Son petit corps en mouvement, qu’Il a redressé Ses petites épaules, et qu’Il a dit: «Lazare, sors!» et qu’un homme qui était mort depuis quatre jours et qui pourrissait dans la tombe, s’est tenu debout et a encore vécu. Ça, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu.»

46        Il était un homme là dans ce bateau cette nuit-là, quand Il était là sur la mer, où dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer. Ce vieux petit bateau était ballotté comme le bouchon d’une bouteille là sur une mer orageuse. Il était un homme, fatigué, Il dormait. Mais quand ils L’ont réveillé et appelé sur la scène, Il a mis un pied là sur le bastingage, Il a levé les yeux et a  dit: «Silence, tais-toi,» et le vent et les vagues Lui ont obéi. Ça, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu.

            Il était un homme quand Il est descendu de la montagne, affamé,  regardant à un arbre pour trouver quelque chose à manger. Il était un homme quand Il avait faim. Mais quand Il avait pris cinq petits pains et deux poissons et avait nourri cinq mille personnes, ça, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu dans cet homme.

            Tous ceux qui ont jamais abouti à quelque chose, ce sont ceux qui avaient cru cela. C’est vrai. Les poètes, et que sais-je encore, croient cela, que Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Et maintenant, Christ est dans l’Eglise, réconciliant les gens avec Dieu. Il avait promis de le faire.

47        Il est écrit qu’Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement. Croyez-vous cela? Je le crois de tout mon coeur. Il attend maintenant d’être appelé sur la scène.

            Maintenant, la seule chose qui peut L’appeler sur la scène, c’est que nous Le réveillons en nous-mêmes. Appelez-Le sur la scène. Il était le plus grand don que Dieu ait jamais donné au monde. «Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croie en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la Vie Eternelle.»

48        Observez Dieu dans Son don. Eh bien, les gens utilisent le don de Dieu. Une fois, une petite femme, elle croyait qu’Il était la manifestation de Dieu dans la chair. Et elle a dit: «Si je touche Son vêtement, je–je serai guérie.»

            Eh bien, elle a touché Son vêtement, alors Il s’est retourné et a dit: «Qui M’a touché?» Voyez? «La vertu, une force, est sortie de Moi.» Elle a touché Son vêtement. Là, c’était elle qui a utilisé le don de Dieu. Voyez? Jésus en est devenu faible.

            Mais quand Il avait quitté la maison de Lazare... Rappelez-vous, saint Jean 5.19, Jésus dit: «En vérité, en vérité Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.» Rappelez-vous, Jésus-Christ n’accomplissait jamais un miracle, Il ne faisait jamais quelque chose d’une manière surnaturelle s’Il n’avait pas d’abord vu une vision sur ce qu’Il fallait faire.

            Combien croient que c’est la vérité? Saint Jean 5: «En vérité (non pas ce que j’entends, non pas ce que quelqu’un Me dit), ce que je vois le Père faire, le Fils le fait pareillement.»

            Or, si ce n’est pas le cas, alors les autres Ecritures ne sont pas vraies. «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut faire rien de Lui-même. Mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils fait pareillement. Le Père agit et J’agis jusqu’à présent...» En d’autres termes, Il ne fait qu’exécuter l’acte, et Il accomplit ce que Dieu Lui dit de faire.

49        Bon, rappelez-vous, quand Il avait quitté la maison de Lazare, ça faisait plusieurs jours. Lazare était tombé malade et ils ont envoyé des gens Le chercher. Il n’était pas allé. Deux jours plus tard, Lazare était devenu plus malade, ils ont donc envoyé encore des gens Le chercher. Il n’était toujours pas parti. Alors au moment propice où le Père lui avait montré que cela arriverait, Lazare mourut. Et quand Lazare était mort, Il s’est retourné et a dit: «Lazare est mort, et Je me réjouis de ce Je  n’étais pas là.» Ils voulaient qu’Il prie pour lui et tout. Mais Il ne faisait que ce que Dieu Lui disait de faire, ce qu’Il voyait: une vision. Voyez, Il avait vu une vision de ce qu’il fallait faire. «Mais Je vais le réveiller.» Vous y êtes.

            Observez Marthe entrer en scène. Elle a dit: «Seigneur, si Tu étais ici, mon frère ne serait pas mort. Mais même maintenant, quoi que Tu demandes à Dieu, Dieu va Te l’accorder.» Voyez? Il savait ce qu’Il allait faire.

            Observez-Le à la tombe de Lazare. Il a dit: «Père, Je Te rends grâces de ce que Tu M’as déjà exaucé. Mais Je l’ai dit à cause des gens qui m’entourent. Lazare, sors!» Et Lazare est ressuscité des morts. Eh bien, Il n’a  jamais parlé de devenir faible là. C’était Dieu en train d’utiliser Son don. Et quand c’était les gens qui utilisaient le don de Dieu, c’était différent, en effet, Il était la Parole. Et «La Parole est plus tranchante qu’une épée à deux tranchants», dit la Bible, «et Elle discerne les pensées et les intentions du coeur.» Cela prouve que Dieu est au milieu des gens. Oui, croyons cela. Il est disposé, selon Sa Parole, à être appelé sur la scène ce soir.

50        Combien ici sont malades et nécessiteux? Levez la main. Faites voir vos mains. Combien sont malades et nécessiteux, où que ce soit? Bien, la seule chose qu’Il attend, c’est d’être appelé sur la scène. Demandez-le-Lui tout simplement.

            Maintenant, qu’en serait-il s’Il se tenait ici portant ce costume qu’Il m’a donné, et que vous, vous veniez devant Lui, disant: «Seigneur Jésus, je veux que Tu me guérisses.» Savez-vous ce qu’Il dirait? «Je l’ai déjà fait.» Il a été blessé pour nos péchés. Par Ses meurtrissures nous sommes guéris. Il ne peut pas le faire pour la deuxième fois. Voyez-vous donc, Il l’a déjà fait. Vous devez croire cela.

            Il n’y a rien que vous puissiez faire comme mérite pour–pour gagner votre salut ou votre guérison. Vous ne pouvez rien faire à ce sujet. C’est un don gratuit de Dieu. Vous voyez, c’est la grâce, un don gratuit. Si je vous donne un million de dollars, et que vous, vous redressiez ma cravate, je ne vous ai pas fait don de cela, vous avez fait quelque chose en contrepartie de cela. Vous voyez, le don de Dieu est gratuit. La seule chose que vous devez faire, c’est de croire cela, qu’Il a acquis cela pour vous–vous. Il... C’est déjà acquis. Il l’a fait pour vous.

51        Et il n’y a personne au monde... Je ne sais pas ce que vous avez ici à Baton Rouge; tout va à la dérive dans le pays, des imitations et ce... Nous savons qu’il doit simplement en être ainsi. Mais si un homme vient et vous dit qu’il a le pouvoir de vous guérir, il ment.

            Dieu seul peut guérir: «Je suis le Seigneur, ton Dieu, Qui guérit toutes tes maladies.» Il ne partagera Sa gloire avec personne. Nul n’a le pouvoir de guérir. Mais il y a des hommes qui ont des dons pour manifester Dieu. Votre pasteur [Frère Branham tousse.–N.D.E.] Pardonnez-moi. Il peut prendre Dieu... Par un don d’enseignant, il peut expliquer la Parole de telle façon que vous êtes obligés de voir cela. Si vous avez des yeux pour voir, vous le verrez. Il y en a un autre peut-être, un autre don. Mais il y a toujours un don qui manifeste la Présence de Dieu. Et par cela vous, vous-même, vous devez le croire.

52        Un pécheur peut venir ici à l’autel, un jeune homme ou une jeune femme de quatorze ans, et on vous apporterait vos repas ici, et vous crieriez au Seigneur jusqu’à ce que vous atteigniez  quatre-vingt-dix ans, vous ne serez jamais sauvé. Mais le... Vous devez d’abord accepter ce qu’Il a fait pour vous. Voyez? Vous devez accepter vous-même cela. Puis, quand vous acceptez cela, alors Il est le Souverain Sacrificateur, le Médiateur, pour intercéder sur base de ce que vous confesser croire. Eh bien, c’est la même chose avec un don de ce genre. Il s’agit d’abandonner votre propre esprit, et alors vous voyez ce qu’Il dit de faire.

53        Je vois des gens venir sur l’estrade, ils sautillent, crient et disent: «Oh, Frère Branham, j’ai toute la foi du monde.» Que faites-vous alors ici? C’est–c’est l’émotion, pas la foi. La foi authentique ne connaît pas de défaite. C’est déjà fait. C’est déjà fini. Dieu l’a dit, et cela règle la question. Voyez? Dieu l’a dit.

            Eh bien, c’est toujours la même chose. Quand vous le croyez réellement cela, cela Le touche. Eh bien, cette petite femme qui a touché Son vêtement, elle a dit: «Si seulement je touche Son vêtement, je serai guérie.» Et elle l’a fait. Et quand elle a exécuté ce que sa foi voulait: Le toucher, Il l’a senti. Voyez? Et Il s’est retourné. Il lui a parlé. Maintenant, Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement. Si seulement vous pouvez croire Christ! Croyez-Le. Laissez votre foi toucher Son vêtement.

            Et Il est maintenant même le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par nos faiblesses. Nous le savons tous. Et s’Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement, Il devra agir aujourd’hui comme Il a agi hier, s’Il est le même Souverain Sacrificateur. Maintenant, ne voudriez-vous pas croire cela? Ayez simplement foi en Dieu.

54        Si je vous ai dit un mensonge, alors Dieu ne le soutiendra pas. [Espace blanc sur la bande–N.D.E.] Mais si je vous ai dit la vérité, Il va–Il va soutenir cela. Il est obligé de soutenir la Vérité. Jésus a dit: «J’ai un témoin, et le témoin, c’est la Parole de Dieu, bien sûr. Les–les Ecritures rendent témoignage de Moi; si Elles ne rendent pas témoignage de Moi, alors ne croyez pas cela.» Voyez? Et si les Ecritures ne rendent pas témoignage de ce que Je vous dis maintenant, qu’Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement, alors ne croyez pas Les Ecritures, parce que Les Ecritures déclarent qu’Il l’est. Et Il a promis ces choses pour ce dernier âge.

            Vous rappelez-vous, juste à la fin de l’âge des Juifs, c’est de cette façon qu’Il S’est révélé comme étant le Messie. A la fin de–de l’âge des Samaritains, Il a fait la même chose. Maintenant, c’est la fin de l’âge des Gentils. Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement. Réveillez-Le dans votre conscience. Appelez-Le sur la scène tandis que nous inclinons la tête.

55        Père céleste, juste un mot de Ta part maintenant suffira. Ce  sera tout ce dont nous avons besoin, juste un mot de Ta part. Puissent les gens comprendre clairement ce que... Ce que nous faisons, ce que nous essayons de faire, Seigneur, c’est de–c’est de leur permettre de tirer des avantages du Seigneur Jésus qu’ils aiment et servent. Puissent-ils le faire ce soir, Seigneur, parce que Ta mort n’était pas vaine. Tu as été blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités, le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Toi. Et par Tes meurtrissures nous sommes guéris.

            Je prie, ô Dieu, que tout celui qui est ici dans la Présence divine, comprenne ceci, saisisse la vision, et soit guéri pour la gloire de Dieu. Au Nom de Jésus-Christ, je me présente, avec cette assemblée pour Son honneur et pour Sa gloire. Amen.

56        Maintenant, soyez vraiment respectueux juste pendant quelques minutes. Eh bien, juste un mot de Sa part vaut plus que tout ce que je pourrais dire, ou tout ce que n’importe qui d’autre pourrait dire, parce que c’est Lui qui le fait. Lui seul. Il est Celui qui agit. Et nous croyons que le... le Seigneur Jésus vous accordera ces choses.

            Maintenant, chacun... Eh bien, voyons. Quelle heure est-il? Je ne savais pas que c’était ça. Je vous assure, s’il nous faut sortir d’ici à temps, c’est que nous sommes censés faire, nous n’avons pas le temps de faire cette ligne. Appelons-la à partir de l’auditoire.

57        Maintenant, prenons les Ecritures juste un moment. Eh bien, la Bible promet une fois de plus en ce jour que Sodome et Gomorrhe seront de nouveau là. Combien croient cela? Eh bien, levez la main. La Bible identifie cela. Bon, et alors, qu’est-ce qu’il y avait à Sodome et à Gomorrhe? C’était Dieu sous la forme d’un être humain. Et la façon dont Abraham a reconnu cela, c’est quand Il a dit: «Pourquoi Sarah a-t-elle ri dans la tente là derrière», ou plutôt: «Pourquoi a-t-elle douté de cela?»; à savoir que les  Paroles qu’Il avait dites étaient vraies? Il pouvait connaître ce que Sarah pensait derrière Lui. Eh bien, voyez si ce n’était pas...

            Maintenant, ce n’était pas pour l’église de Babylone, ou plutôt l’église de Sodome. Non, non. Ce n’était pas pour ces gens, là dans les groupes dénominationnels. Non, monsieur. Cela ne leur a jamais été destiné. Ils ont eu leur messager (Voyez?), mais c’est destiné à l’Eglise élue, la super- semence d’Abraham qui est censée croire la Parole sans tenir compte des circonstances... Abraham appelait ces choses qui n’étaient pas comme si elles étaient. Dieu l’a dit, et il a cru cela. Maintenant, mon ami, je–je sais que Dieu est obligé envers cette Parole pour La tenir.

58        Maintenant, je veux que vous, où que vous soyez dans le bâtiment,  vous vous teniez respectueux pendant quelques instants, où que vous soyez. Et croyez, croyez simplement de tout votre coeur.

            Eh bien, si je pouvais vous guérir, si je pouvais guérir cette petite fille pour laquelle je ressens de la piété, si je pouvais guérir cette pauvre petite créature qui est couchée là, je–je–je ramperais d’ici jusqu’au Pôle Nord, si je pouvais le faire. Tout celui qui éprouve des sentiments humains... Mais je ne pourrai faire cela, pas plus que je ne pourrais faire quoi que ce soit.

            Peut-être que certains parmi vous là ne pourront vivre qu’un court moment à cause du cancer. Si je pouvais vous guérir, je serais–je ne serais pas digne de me tenir sur cette estrade, si j’étais capable de le faire, et que je ne le faisais pas. Eh bien, je ne le peux pas. J’ai de la compassion pour vous. Je le ferais si je pouvais, mais je ne le peux pas. Personne d’autre ne peut le faire. C’est vrai.

            Mais, vous voyez, Jésus l’a déjà fait. Voyez? Et Il essaie seulement de vous amener à croire cela. Mais vous–j’ai pitié des gens. Il y a eu beaucoup de choses qui les ont tout simplement aveuglés comme ceci et comme cela, au point que les pauvres gens sont presque comme des moutons sans berger, ils ne savent que faire. L’un dit ceci, et l’autre dit cela.

59        Ne considérez pas ce que l’homme a dit: «Les jours des miracles sont passés. Le baptême du Saint-Esprit n’existe pas.» Et rappelez-vous, Pierre a dit le jour de la Pentecôte: «La promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» Voyez?

            Jésus a promis que ces choses arriveraient dans les derniers jours, que Dieu reviendrait dans la forme d’une chair humaine, comme vous et moi ici ce soir, et accomplirait la même chose juste avant que le monde ne soit détruit. Et le monde serait comme Sodome. Voyez? Aujourd’hui, nous avons la condition Sodomite. C’est vrai. Chaque position, chaque personne, tout  est exactement à sa place.

            Eh bien, notre foi ne peut-elle pas atteindre cela? Ne pouvons-nous pas L’appeler sur la scène? Appelez-Le sur la scène. Votre foi est la seule chose qui peut le faire. Maintenant, croyez de tout votre coeur, chacun de vous, maintenant.

60        Et je voudrais vous poser une question, sans que l’on ait distribué les cartes de prière, sans que quelqu’un ne soit ici, si ce glorieux Saint-Esprit descend ici, et par l’onction qui est sur vous et l’onction qui est sur moi, Il identifie que Jésus-Christ agit comme cela parmi  nous, que pourrait-Il faire de plus? Il n’y a pas d’autre promesse dans la Bible au-dessus de cela. C’est une promesse suprême. Combien le savent? Certainement, elle l’est. C’est une–la dernière chose pour l’âge de l’église.

            Les Juifs, pendant la période de la tribulation et sur... là, ils ont une visitation là. Mais pas pour l’église des Gentils. Ceci est la dernière chose promise aux Gentils. C’est vrai. Vous voyez, c’était les Gentils là à Sodome qui allaient être brûlés. Et ce... voici la... l’Epouse–qui était la semence royale d’Abraham, étant l’Epouse, appelée à sortir du milieu des Gentils, c’est cela leur signe de la fin. Tout cela. Notez cela dans votre carnet. Je suis un homme âgé. Mais notez cela dans votre carnet, et voyez si cela va arriver ou non. Voyez?

61        Vous êtes à la fin maintenant. Quand, je ne sais pas. Je L’attends aujourd’hui. S’Il n’est pas ici aujourd’hui, je L’attendrai  demain. S’Il n’est pas là demain, je L’attendrai le jour suivant. S’Il n’est pas ici cette année, je L’attendrai l’année prochaine. Je sais qu’Il viendra. Je ne connais pas la minute ni l’heure. Mais je sais que tout est accompli, prêt pour l’enlèvement. L’Eglise est appelée à sortir. Ce sera un départ secret, on va simplement disparaître, et ce sera tout.

            Le monde continuera comme si de rien n’était, les gens prêcheront, et les gens penseront qu’ils sont sauvés, exactement comme ils l’ont fait au temps de Noé et tout. Noé est entré dans l’arche et les gens ont continué, la terre tournait juste de la même façon (Pensez-y!), et éternellement perdus, ils pensaient être sauvés.

62        Un de ces jours, je vais amener une grande tente dans cette contrée et je vais la dresser ici, afin que nous puissions tenir des services d’après-midi et des instructions, ainsi vous pourrez mieux comprendre ces choses, unir tous nos frères afin de pouvoir tenir des services.

            Maintenant, si Jésus-Christ accomplit Sa promesse, alors nous sommes obligés de croire en Lui. Je voudrais que vous tous, chacun de vous, que vous ayez simplement une foi d’enfant pour croire en Lui.

            Maintenant, auriez-vous l’amabilité de commencer avec vos têtes inclinées, et commencer à prier, disant: «Seigneur Jésus, maintenant je sais que le–que cet homme ne me connaît pas. Et je suis dans le besoin. Et on nous a dit que Tu es un Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités. Si seulement Tu lui permets... Si je peux Te toucher, parle au travers de lui, Seigneur, afin que je–je sache Son–je sache que c’est Toi. Je sais qu’il ne me connaît pas.»

            Et c’est là dans l’auditoire, juste un auditoire des gens de tout espèce, avec des croyants, des incroyants, des soi-disant croyants, des pécheurs, des saints, tous ensemble. Maintenant, vous devez croire.

63        Maintenant, s’Il fait cela dans cet auditoire-ci... Je voudrais que chacun de vous ici dise: «Frère Branham, je sais que–que ça doit être Lui», juste en regardant l’assemblée comme Il l’avait  fait alors.

            Je veux que vous... Si réellement vous allez croire, je voudrais que vous leviez la main et disiez: «Seigneur, je vais l’accepter de tout mon coeur, que je croie que c’est Christ Jésus, selon Sa promesse.» Partout dans le bâtiment, que Dieu vous bénisse. C’est bien. Oh, c’est simplement dommage que nous n’ayons pas un mois à passer ici. Vous voyez, laissez simplement... Je suis une nouvelle connaissance pour vous. Vous voyez, c’est difficile. Continuez simplement à croire.

            Bon, c’est une Lumière. Bon, Dieu est Lumière; nous savons cela: La Colonne de Feu. Et maintenant, priez tout simplement, et touchez-La, et puisse le Seigneur Jésus répondre.

            Maintenant, je prends chaque esprit ici sous mon contrôle, au Nom de Jésus-Christ pour Sa gloire. Maintenant, soyez vraiment respectueux, priez, soyez vraiment respectueux.

64        Maintenant, voici. Il y a une dame juste ici devant moi. Elle a la tête baissée, et elle prie pour sa propre maladie. Voulez-vous bien lever la tête maintenant... Elle est juste ici devant moi. Vous croyez de tout votre coeur? Croyez-vous que Dieu peut guérir ce diabète et vous rétablir? Bon, c’est ce que vous avez, le diabète.

            Je ne vous connais pas. Vous m’êtes totalement étrangère. Mais croyez-vous que je suis Son serviteur? Si–si nous sommes étrangers  l’un à l’autre, levez la main comme ceci, afin que les gens puissent voir. Très bien. Voyez? Voici la dame. Et maintenant, elle souffre du diabète. Et croyez-vous que Dieu peut me dire qui vous êtes? Cela vous fera-t-il croire? Vous êtes Madame Martin. Si c’est vrai, levez la main. Voyez? Ayez simplement foi. Ne doutez pas. Ayez foi.

            Maintenant, qu’a-t-elle touché? J’aimerais poser une question à l’auditoire. Qu’a-t-elle touché? Voici une femme qui a sa main droite levée et la  mienne aussi devant Dieu. Voyez? Elle a touché quelque chose, juste une petite femme ordinaire. Si... En effet, pour vous dire la vérité... Maintenant, voyez si c’est un... Cela l’a surprise. Elle ne savait pas qu’elle avait une si grande foi. La foi n’est pas quelque chose que vous fabriquez, c’est quelque chose que vous avez. Elle était surprise. Même juste en ce moment, la femme se sent différemment de ce qu’elle sentait il y a quelques minutes. Elle sait que quelque chose lui est arrivé.

65        Ici, ne voyez-vous pas cette Lumière juste ici? La voyez-vous pas juste ici au-dessus de cette femme, juste ici, juste ici derrière? Elle souffre de... Elle a la tête baissée. Elle prie. Mais elle souffre d’un mal de dos. Si elle croit de tout son coeur, elle peut être guérie de ce mal de dos. Elle va certainement  manquer cela, aussi certain que deux et deux font quatre. Voyez? Sa prière continue. Seigneur, aide-moi. Madame DeVille, il s’agit de vous.

            C’est la grâce. La femme était en train de prier, elle n’y pensait même pas, elle ne m’a même pas entendu dire quoi que soit. Maintenant, demandez-lui si elle me connaît. C’est ce qu’elle est, et c’est ça sa maladie. Qu’est-ce qu’elle a touché? C’est la confirmation de Jésus-Christ. La Parole discerne les pensées du coeur.

66        Croyez-vous? Ayez simplement foi. Priez, partout. Croyez tout simplement. C’est tout ce que vous devez faire. Croire tout simplement. Croire tout simplement que je vous ai dit la vérité. Maintenant, je ne suis pas Lui. Je suis juste Son serviteur, juste Son serviteur.

            Si seulement vous avez assez de foi... Je ne peux pas l’appeler. Je sais ce qu’est sa maladie, mais... Attendez une minute, peut-être que cela va changer. Ce n’est certainement pas impossible. Mais vous devez quitter ce support. Il ne peut pas avoir la foi pour lui-même. Vous devez croire pour lui.

            Une dame souffrant des reins. Elle n’est pas d’ici, elle est du Mississippi. Si elle croit de tout son coeur, Dieu guérira ce mal des reins. Madame Palmer, si vous croyez de tout votre coeur, vous pouvez être guérie de cela. Cela vous a quittée. Cela a changé, cela l’a quittée. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas.

67        Il y a une dame assise juste à côté d’elle. Elle souffre de l’arthrite. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu, madame? Croyez-vous? Croyez-vous que si Dieu me révélait qui vous êtes, cela vous aiderait à croire? Vous vous appelez madame Meadow. Croyez de tout votre coeur maintenant. Vous pouvez aussi être guérie.

            Cela a enflammé une dame à côté d’elle. Elle est aussi assise là. Voilà la chose qui se déplace, descendant juste la rangée. Une dame assise là, elle souffre de... juste à côté d’elle, elle souffre du diabète, du diabète sucré. On voudrait qu’elle aille à l’hôpital mais elle refuse de le faire. Elle a un fils pour lequel elle prie aussi. Ce fils n’est pas ici. Mais croyez-vous que Dieu peut me révéler ce qui ne va pas chez ce fils? Il a des problèmes cardiaques. Croyez, et Il vous guérira. Croyez-vous que Dieu peut me dire qui vous êtes? Madame Dufflee, D - u - deux f - l - deux e, à peu près cela. C’est vrai. Si c’est vrai, levez la main. Oh, votre main est levée. Très bien. Maintenant, croyez et vous pouvez aussi être en bonne santé.

68        Croyez-vous que c’est la même chose que–que... Croyez-vous que la Présence de Jésus-Christ est ici maintenant? Combien acceptent cela? Oh, quelle sécurité! Quelle sécurité!

            Vous voyez, qu’avez-vous fait? Vous L’avez réveillé. Vous L’avez amené sur la scène. Le voici sur la scène. Bon, que les barques sombrent, cela ne change rien. Rappelez-vous, Il peut dire: «Silence, tais-toi.» Croyez-vous cela de tout votre coeur? Si vous croyez, mettez-vous debout et acceptez cela. Levez-vous et dites: «Je crois cela de tout mon coeur.» Mettez-vous directement debout. «Je crois maintenant.» C’est vrai. Peu importe votre problème, levez-vous. Rendez-Lui gloire.

            Père céleste, nous T’apportons cet auditoire. Ils sont conscients que Tu es ici, Seigneur. Que tout démon d’incrédulité, qu’il puisse lâcher prise, et puisse Jésus-Christ guérir l’auditoire. Satan, sors de cet auditoire, au Nom de Jésus-Christ. On ne veut pas de toi.

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