Une Bannière

Date: 53-0606 | La durée est de: 1 heure et 18 minutes | La traduction: Shp
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1          Je suis très content d’être de nouveau ici ce soir. Nous espérons avoir un beau temps ce soir. J’ai prié Dieu d’arrêter les pluies. Nous en avons vraiment besoin, mais nous... Je crois que les âmes ont plus besoin de salut que nous avons besoin de pluie. Ne le pensez-vous pas? C’est exact. Ainsi donc, inclinons la tête juste un instant pendant que nous parlons à l’Auteur de la Vie.

            Notre Père céleste, nous Te remercions pour ce grand privilège de nous assembler pour T’adorer, de cette glorieuse et merveilleuse façon que Tu as pré-ordonnée avant la fondation du monde, que nous puissions T’adorer. Nous pouvons entendre notre Maître dire que Dieu est Esprit et que ceux qui L’adorent doivent adorer en Esprit et en vérité. Nous Te remercions pour ces grandes choses. Et nous prions, Seigneur, ce soir, que la vérité soit rendue manifeste, que l’Esprit entre dans la vérité; que nous puissions adorer suivant la voie à laquelle Dieu a pourvu.

            Sauve tous les perdus ce soir, Seigneur. Nos coeurs saignent vraiment pour ceux qui ne connaissent pas ce glorieux salut. Nous Te prions de sauver chaque pécheur perdu ici ce soir. Et ceux qui ont besoin de la nouvelle naissance, puisse-t-Il venir comme un vent impétueux qui descend du ciel, quand Il leur avait donné le nouveau baptême le jour de la Pentecôte. Que cela se répète encore. Accorde-le, Seigneur.

            Ensuite, guéris les malades. Beaucoup sont nécessiteux. Nous Te prions de les guérir. Et maintenant, Père, comme quelque chose de nouveau pour le soir pour Ton serviteur, d’apporter cet Evangile en termes du salut de l’âme et du corps de l’homme, je Te prie de venir en aide ce soir d’une façon spéciale. Je demande ces bénédictions, au Nom de Ton Fils bien-aimé, Jésus-christ. Amen.

2          [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... jour, beaucoup ont vu les magazines Look, Life et les autres qui ont publié les articles sur ce qui se passe en Iran, et ailleurs. On ramène des milliers de Juifs, ils rentrent dans la Nouvelle Jérusalem, là de l’autre côté de la Trans-Jordanie. Les Arabes occupent l’ancienne Jérusalem, c’est donc dans la Nouvelle Jérusalem qu’on les a installés, littéralement, des dizaines de milliers, des millions de Juifs. Voyez-vous comment le figuier bourgeonne?

            Eh bien, l’église de Stockholm a envoyé un million de Bibles là-bas, des Nouveaux Testaments, à donner à ces Juifs-là. Ils n’avaient jamais même entendu une chose comme Jésus était sur terre. Ils n’en savent rien. Et quand ils ont lu la Bible, ils–ils ont dit: «Si c’est le Messie, si Jésus est le Christ, qu’Il nous fasse voir le signe du prophète, nous accepterons cela.» Oh! la la! Donc, je... J’ai hâte de réunir environ un demi-million d’eux là-bas, si je le peux, au mont des Oliviers, quelque part, dans une réunion en plein air, et leur poser cette question-là. Leur demander de lire le Nouveau Testament et voir ce qu’était le Messie. Et s’Il ne répète pas la même chose, c’est que je suis un faux prophète. Et je dis la vérité, qu’Il est le Messie de Dieu. Priez pour nous, n’est-ce pas? Nous en avons vraiment besoin.

3          Maintenant, ce soir, généralement, frère Baxter... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            ... là pendant quatre cents ans, dans la servitude, Joseph, un type parfait de l’Eglise aujourd’hui, un type parfait de Christ, comment Il est né parmi des frères, des demi-frères qui le méprisaient, parce qu’il était né un homme spirituel. Comme le vrai croyant ce soir, étant un membre d’église, membre du même corps, mais un croyant spirituel, rejeté et méprisé. Amen.

            Observez-le. Joseph naquit dans une famille, la même famille d’Israël, il était l’un des patriarches, mais il fut rejeté à cause de sa vie spirituelle. Il naquit un voyant; il–il avait des visions, et il interprétait les songes. Et ses frères le haïssaient sans cause. Les prophéties se répètent toujours. Vous le savez. N’importe quel érudit de la Bible le sait. Comme par exemple dans Matthieu 2, où il est dit: «J’ai appelé mon Fils hors d’Egypte», cela se rapportait à vrai dire à l’Ecriture où Dieu avait appelé Israël hors d’Egypte, mais se rapportait aussi à Dieu appelant Son Fils, Jésus, hors d’Egypte.

4          Et de même que Joseph était un type de Christ, il est un type de l’Eglise qui est le Corps de Christ sur terre aujourd’hui. C’est beau. J’aurais voulu avoir le temps d’aborder cela, de déterrer ces pépites d’or de la Bible.

            Maintenant, suivez, toutes les anciennes choses, dans l’Ancien Testament sont un parallélisme de nouvelles. Et remarquez comment il était rejeté, méprisé, comment il était critiqué par son frère, et finalement, persécuté, même... pratiquement à mort. Il a été emmené en Egypte, et beaucoup parmi nous connaissent l’histoire, comment Dieu était avec lui, peu importe ce qu’on disait à son sujet. Quand ils l’ont vu venir dans les champs, ils ont dit: «Voici le faiseur des songes qui arrive. Voyons ce qu’il va dire maintenant», se moquant de lui, juste comme des chrétiens incroyants aujourd’hui se moqueront du croyant. La même chose. Mais un membre du Corps, par la foi en Christ, rejetant... Oh! Quelle chose horrible!

5          Maintenant, alors, quand il est descendu en Egypte, Dieu était avec lui malgré tout. Dieu sera avec Son Eglise peu importe ce que vous dites à ce sujet. Il y a dans votre église quelqu’un de très spirituel qui connaît réellement Dieu, vous dites: «Eh bien, il est un peu fanatique.» Je pourrais en parler demain après-midi. Très bien. Un fanatique... Juste parce qu’ils aiment Dieu, ils sont particuliers pour le monde; mais rappelez-vous, ils sont bénis aux yeux de Dieu. Le peuple de Dieu est un peuple particulier, un sacerdoce royal, offrant des sacrifices spirituels à Dieu. Ce sont les fruits de nos lèvres qui rendent louange à Son Nom. Ils ont toujours été particuliers, drôles, vraiment très indifférents par rapport au monde; séparés, appelés à sortir. L’église même, le mot église veut dire séparé ou appelé à sortir.

            Israël était le peuple de Dieu jusqu’à ce qu’ils fussent sortis de l’Egypte, alors ils étaient devenus l’Eglise de Dieu, car ils furent appelés à sortir, séparés, différents. Dieu appelant Israël à sortir, quel beau type! Appelant Son Eglise à sortir aujourd’hui...

            Je pense à Joseph, à ce que... Quand il est mort, quel mémorial il a laissé là. Je pense parfois au moment où il en a parlé, disant: «Eh bien, ne m’enterrez pas ici, mais gardez mes os ici, Dieu vous visitera certainement un jour, alors emportez mes os devant vous.» Où avait-il eu une telle pensée? Dieu avait promis à Abraham, son père, qu’ils séjourneraient pendant quatre cents ans dans un pays étranger, et qu’ensuite, Il les ferait sortir. Et Joseph savait que Dieu tenait Sa Parole. Les autres patriarches, on les a simplement enterrés partout où ils voulaient, sauf Joseph.

6          Dites donc, il y a un petit entre les lignes qu’il vous faut lire dans la Bible. Croyez-vous cela? Voyez? C’est une lettre d’amour, écrite à l’église. Ça ne sert à rien pour le séminaire d’essayer d’enseigner cela, car cela n’est pas connu par les esprits de ce monde. «J’ai caché cela aux yeux des sages et des intelligents, Je le révélerai aux enfants qui veulent apprendre.» C’est la vérité. Alors, il y a... C’est la raison pour laquelle nous avons tous ces différents rites et toutes sortes de religions et d’églises. C’est en ordre. Laissez cela aller. Dieu a... C’est Lui qui s’occupe des livres.

            Regardez. Remarquez cependant comment–comment c’était. Laissez-moi vous donner quelque chose entre les lignes. Vous savez, parfois, quand je–je vais outre-mer... J’aime beaucoup ma femme. Alors, elle m’écrit une lettre et dit: «Cher Billy, je suis assise ici ce soir, je pense beaucoup à toi. Je...», ainsi de suite... Eh bien, ça, c’est ce qu’elle dit, mais moi, je lis juste entre les lignes. Je–je sais que cela va un peu plus profondément que ça. Hein! Oui, oui. Et si vous avez le Saint-Esprit, vous êtes épris de Christ, vous pouvez lire entre les lignes de Dieu. Il y a là quelque chose.

7          Pendant que nous sommes un peu hors du sujet, juste un peu, permettez-moi de vous dire un petit quelque chose. Pourquoi Joseph a-t-il voulu que ses be-... os soient ensevelis là-bas? Remarquez, quand Job, un ancien, l’un des plus anciens Livres de la Bible, quand il se mourait, il s’apprêtait... Ou avant sa mort, il était assis sur un tas de cendres, se grattant les ulcères. Alors, sa femme est venue et a dit: «Job, pourquoi ne pas maudire Dieu et mourir?»

            Il a dit: «Femme, tu parles comme une femme insensée.» Or, il n’a jamais dit qu’elle était insensée, mais qu’elle parlait comme une insensée. Il a dit: «L’Eternel a donné et l’Eternel a ôté, que le Nom de l’Eternel soit béni.» Quelques membres de son église étaient venus le consoler, Ils s’étaient assis, le dos tourné vers Job pendant sept jours, ils l’accusaient d’être un pécheur en secret. Il n’y avait pas beaucoup de consolation là, mais ils l’accusaient d’avoir péché contre Dieu; mais Job connaissait son coeur. Il savait qu’il n’avait pas péché contre Dieu.

            Souvent, les gens disent: «Voyez-vous toute cette maladie dans cette famille-là? Je vous l’ai dit. Ils ne vivent pas correctement.» Eh bien, Dieu fait parfois cela, mais ce n’est pas chaque fois que Dieu le fait; parce qu’ici, Dieu traitait avec un saint, Il éprouvait et testait un saint. Et chaque homme qui vient à Dieu doit premièrement être éprouvé par Dieu. Et s’il ne peut pas supporter le châtiment, alors vous devenez un enfant illégitime, et non un enfant de Dieu. Les épreuves, c’est pour éprouver notre foi. N’est-ce pas merveilleux que Dieu nous ait donné ces épreuves et ces tests pour nous éprouver?

8          Remarquez donc. C’est beau. Puis, peu après, Job était assis là, il connaissait son coeur, le petit Elihu est arrivé (Nous savons que le mot hébreu Elah vient de Dieu, qui veut dire que c’est le représentant de Dieu), En d’autres termes, c’était le représentant du Seigneur Jésus-Christ, il est arrivé, il a parlé à Job. Il a dit: «Maintenant, regarde, Job, c’est à tort que tu accuses Dieu.» Il a dit: «Mais maintenant...» Il lui a parlé et il a donc dit: «Tu considères les choses naturelles ici et tout», et il a dit...

            Job–Job se mit à lui parler d’une fleur, comment elle meurt. Au printemps, elle repousse. Si un arbre meurt, il revit. Mais il est dit: «L’homme se couche, il rend l’âme. Il dépérit, ses fils viennent le pleurer à sa mort. Il ne s’en aperçoit pas. Où est-il?»

9          Il a dit: «Eh bien, tu observes toutes ces choses.» Je présente ceci sous forme d’une saynète pour les petits enfants. Il a dit: «Eh bien, tu observes cela, mais rappelle-toi, cette fleur-là, ou cet arbre-là n’avait jamais péché contre Dieu. C’est l’homme qui avait péché contre Dieu, cela l’avait donc séparé de Dieu. Mais Quelqu’Un viendra un jour, Il se tiendra à la brèche entre un homme pécheur et un Dieu Saint, Il fera le pont. Il mettra une main sur un homme pécheur, et une autre à un Dieu Saint, il fera le pont, il annonçait Christ. Le prophète vit cela. Il se tint sur ses pieds. Les éclairs se mirent à jaillir, les tonnerres grondèrent, Job s’écria: «Je sais que mon Rédempteur est vivant. Qu’Il se lèvera le dernier sur la terre, quand les vers qui sont dans mon corps l’auront détruit; quand je n’aurai de chair, je verrai Dieu.»

            Observez. Quand il mourut, des années plus tard, il avait précisé le lieu de son ensevelissement. Le père Abraham vint, et quand Sara mourut, il s’approcha du même terrain où Job avait été enseveli. Il acheta un lopin de terre. Il ne leur a pas permis de le lui donner gratuitement. Il a acheté ce lopin de terre comme lieu de sépulcre et il a enseveli Sara près de Job. Et quand Abraham mourut, il s’endormit dans la même tombe que Sara. Et Abraham engendra Isaac, et quand Isaac mourut, il s’endormit avec Abraham. Isaac engendra Jacob. Et quand Jacob était... mourut en Egypte, mais avant sa mort (Oh! J’aime vraiment ça.), il dit: «Joseph, viens ici.» Il avait une hanche désarticulée, là où l’Ange l’avait touché après la lutte. Considérez cela. De l’autre côté de la rivière, une nuit, un rétrograde très fort, de l’autre côté, le lendemain, de l’autre côté de la rivière, un prince qui boitillait: Il avait lutté avec Dieu. Il a dit: «Viens ici et mets tes mains sur ma hanche, et jure-moi de ne pas m’ensevelir ici.» Vous vous demandez pourquoi? «Mais ramène-moi là-bas et ensevelis-moi à côté d’Abraham et d’Isaac.» Pourquoi?

10        Puis, Joseph vint, il dit: «Eh bien, attendez.» Ils ont mis ses os dans un cercueil. J’ai posé ma main sur un vieux cercueil en plomb ici, il n’y a pas longtemps, où les os de Joseph étaient censés avoir été gardés. Il a dit: «Quand vous partirez d’ici, ensevelissez mes os là-bas. Ne m’ensevelissez pas ici.» Je me demande pourquoi? Ce n’est pas écrit dans la Bible, mais ils étaient des prophètes, ils pouvaient lire entre les lignes. Ils savaient que les prémices de la résurrection n’apparaîtraient pas en Egypte; ils apparaîtraient en Palestine. Et quand Jésus est venu sur la terre et qu’on Lui avait fait ce qui avait été dit qu’on ferait, et quand Il est mort et qu’Il est ressuscité le troisième jour, Matthieu 27 dit: «Plusieurs corps des saints qui dormaient dans la poussière de la terre ressuscitèrent et sortirent de la tombe et entrèrent dans la ville»: Abraham, Isaac, Jacob... Donc, ayez tout ce que vous voulez, mais ensevelissez-moi en Christ: «Car ceux qui sont en Christ, Dieu les ramènera avec Lui à Sa Venue.» Cachez-vous loin du monde. Quel beau tableau! C’est là entre les lignes. Ce que la Bible dit et ce que vous voyez entre les lignes s’accordent avec le reste de la Parole, et cela comble simplement les brèches quand vous vous demandez pourquoi ils faisaient cela.

11        Maintenant, dans notre pèlerinage, nous avons constaté dans le désert, eh bien, ils se sont mis à pécher après que Dieu les eut bé–bénis et qu’Il les eut fait traverser la mer Rouge. N’est-ce pas étrange, cependant, que les enfants d’Israël, dans leur pèlerinage, Dieu les a conduits d’abord droit dans un piège mortel? Droit à la mer Rouge. L’armée de Pharaon venait à leur poursuite. Il y avait des montagnes de chaque côté, la mer les bloquait. Mais le camp de Dieu traversa la mer. Souvent Dieu nous laisse en arriver au bout comme cela. Puis, Il regarda en bas, au travers de cette Colonne de Feu et la mer recula, ils traversèrent. Dieu fraya une issue. Il le fera toujours dans chaque cas.

            Remarquez, ils se dirigèrent ensuite droit vers le désert de Sin.

            N’est-ce pas étrange, d’une épreuve à une autre?

            Certains par les eaux,

            D’autres par les flots,

            D’autres par des épreuves profondes,

            Mais tous par le Sang.

12        La voie de Dieu passe parfois droit par chaque carré de ronces, là sur des collines, en bas dans des lieux escarpés: la maladie, les épreuves; mais Dieu les rend plus que victorieux par tout cela. Remarquez, ils se mirent à pécher et à murmurer contre Dieu et contre Moïse, et Dieu dit à Moïse, quand il s’est mis à prier, intercédant pour le peuple... Eh bien, pourquoi Moïse intercédait-il?

            Maintenant, écoutez attentivement. Dieu était apparu au père Abraham des années avant cela, dans Genèse 22, sous le Nom de Jéhovah-Jiré, quand il offrait son unique fils. Et un–un agneau bêlait dans le désert et Dieu retint sa main. Et le Nom de Dieu fut appelé Jéhovah-Jiré, ce qui signifie L’Eternel se pourvoira d’un sacrifice. Amen. Oh! C’est beau! J’aime vraiment la Parole.

13        Remarquez, puis en plein en ce moment crucial-là, les serpents apparurent parmi le peuple et les mordirent. Et Moïse avait appris toute la sagesse des Egyptiens, et ils étaient à des niveaux, de loin au-delà, dans beaucoup de choses, par rapport à ce que nous sommes aujourd’hui. Ils dépassaient nos médecins de... centaines de kilomètres. Mais docteur Moïse n’avait pas de cure contre cette morsure du serpent. Rien ne pouvait être fait. Ils étaient là, loin dans le désert. Moïse pria, Dieu vint vers lui et lui montra le remède contre cela. J’aime ça. Qu’est-Il? Dieu, Jéhovah-Jiré, l’Eternel se pourvoira, Il frayera une voie. J’aime ça.

            Remarquez, alors Dieu parla à Moïse, dans ce type ou ce symbole, Il dit: «Va faire un serpent d’airain et mets-le sur une perche.» Or, le serpent, c’est le symbole du péché. Le serpent représentait le serpent du jardin d’Eden, déjà jugé: Le serpent, c’était un animal transformé.

            Eh bien, il n’était pas un reptile. La Bible dit qu’il était l’animal le plus rusé parmi toutes les bêtes du champ. Il n’était pas un reptile; c’était une bête. Il est devenu un serpent rampant sur son ventre. Et ce serpent-là représentait le péché jugé. Et il était d’airain, ce qui voulait dire le jugement divin. L’airain représente le jugement divin, dans la Bible. Voyez, les gens péchaient parce qu’ils ne croyaient pas au prophète. Ils lui cherchaient querelle et cherchaient querelle à Dieu. Ils avaient péché. Et à cause du péché, les serpents les mordaient, et ils se mouraient.

14        Et toute maladie est causée par le péché. C’est vrai. Avant que nous ayons–avant que nous ayons le péché, nous ne connaissions pas de maladie. Mais le péché, ou la maladie est un attribut du péché. La maladie est apparue à cause du péché; peut-être pas ce que vous avez fait; vous avez hérité cela. Cela suivra trois ou quatre générations. Dieu l’a dit.

            Remarquez. Ainsi donc, Dieu a dressé ce... a demandé à Moïse de dresser cette bannière en Israël. Quand il éleva cela, la maladie et le péché, une raison double, à la fois contre la maladie et contre le péché. Jéhovah-Jiré s’est pourvu d’une bannière qui montrait que leur péché avait été pardonné et une guérison de leur maladie. Comprenez-vous cela? Le serpent représentait le péché jugé...

15        L’airain. Vous voyez, l’airain, c’est un métal qu’on ne peut pas altérer. L’airain ne peut pas être altéré. Si vous trouvez une forme ou l’airain altéré, vos dîmes de six mois me payeront quinze ans de voyage autour du monde dans l’oeuvre missionnaire, si vous arrivez à trouver quelque chose qui peut altérer l’airain. Cela ne peut pas être altéré. Cela montre que Dieu a présenté l’airain comme un jugement divin, et le jugement divin de Dieu ne peut pas être altéré. Dieu reste le même hier, aujourd’hui et éternellement. Vous y êtes. J’aimerais que vous saisissiez cela maintenant.

            Regardez. L’airain, l’autel d’airain, là où on brûlait les sacrifices: le jugement, le jugement divin. Et du temps d’Elie, quand il est allé là et qu’il a regardé les cieux, il a dit qu’ils paraissaient comme l’airain: le jugement divin sur une nation rebelle. Que Dieu ait pitié! Parfois, les cieux sont d’airain ici en Amérique. Le jugement divin, c’est à peine qu’on peut y échapper. Le jugement.

16        Remarquez, alors, l’emblème fut dressé; un beau tableau de ceci, c’est représenté dans–dans Ruth. Beaucoup parmi vous ont bien lu Ruth comme peut-être une petite histoire d’amour dans la Bible (Elle l’est en fait), mais (Oh!) quelle belle histoire qui représente Christ et Son Eglise! Comment Naomi était allée dans le pays de Moab. Et là, son mari mourut. Ses deux fils moururent, laissant des veuves. Sur le chemin de retour, le beau tableau... Ecoutez. Ruth, la Moabite, une Gentille, emportée par des idoles muettes comme nous autrefois. Et quand le temps arriva, Naomi l’embrassa et dit: «Rentre auprès de ton peuple, et reste avec ton peuple. Je m’en irai seule.»

            Mais elle dit: «Ton peuple sera mon peuple. Là où tu vivras, je vivrai. Là où tu mourras, je mourrai. Là où tu seras ensevelie, je serai ensevelie. Ton Dieu sera mon Dieu.» Un beau tableau de la jeune église des Gentils qui rentre à côté de l’ancienne église juive. Les Juifs ont été les premiers à porter l’Evangile. Oh! Que c’est merveilleux!

17        Prenons très vite le tableau, pendant que nous parcourons cette ligne, si nous le pouvons. Remarquez donc, elle n’a pas voulu, mais elle a continué le chemin. Et avez-vous remarqué que Naomi était rentrée à la saison des orges, juste au bon moment, quand on récoltait l’orge? Et Boaz était son parent rédempteur, et il moissonnait son grand champ: Le maître de la moisson. Et Ruth, la jeune glaneuse, est allée dans le champ pour glaner: un type de l’Eglise des Gentils en train de glaner (Amen!), cueillant juste ce qu’ils peuvent, les glaneurs précédaient. Oh! Ils disent: «Vous tous, vous n’avez pas la bénédiction de la Pentecôte.» Oh! Si. Nous glanons très bien.

            Considérez le maître de la moisson quand il a regardé et a vu la petite femme prête à glaner et à cueillir ce qu’elle pouvait: une petite bénédiction ici et une autre là, ce qui représentait la vie pour elle. C’est un beau type de l’église d’aujourd’hui. Il a dit aux moissonneurs: «De temps en temps, laissez tomber une poignée.» J’aime trouver cela, pas vous...?... «Laissez simplement tomber une poignée pour elle, a-t-il dit, car elle avait trouvé grâce à mes yeux.» Amen. J’aime ça. Elle pouvait avoir été une rejetée, une sainte exaltée, ou je ne sais comment vous voulez la taxer, mais laissez simplement tomber quelques poignées de temps en temps. Voyez? Je l’aime.

18        Il a dit: «Qui est-elle? D’où vient-elle?» Et quand la moisson était terminée, le grand maître de la moisson, qui était Boaz, qui représente Christ par rapport à l’Eglise, tomba amoureux d’elle, et il voulut l’épouser. Mais avant qu’il pût l’épouser, il dût racheter l’héritage perdu de Naomi. Et avant qu’il pût racheter ses biens, la loi, d’après la loi lévitique il devait être un parent rédempteur, un proche parent rédempteur. Quand je pense à cela... La loi exigeait qu’il soit un proche parent rédempteur, son parent le plus proche. Et il devait être digne, un homme d’honneur. Et il devait être à mesure de s’en acquitter financièrement. C’est alors qu’il devait présenter une bannière, s’il a racheté tout ce qu’elle avait.

            Remarquez, un parent rédempteur. Dieu... D’abord, l’homme a été créé à l’image de Dieu. Et Dieu est Esprit. Et puis, pour racheter cet homme-là, Dieu a dû descendre sous la forme de la chair du péché et devenir un Parent rédempteur, Christ. Amen! Christ est devenu un Parent rédempteur. Dieu est devenu notre Parent; Il a été fait chair et sang comme nous. Amen! Quelle belle histoire! La Bible entière se rattache partout; rien de Cela n’est de travers: tout se rattache harmonieusement.

19        De même que Boaz a dû être un parent rédempteur pour Naomi, Dieu, pour racheter l’église, doit être un Parent rédempteur. Alors, Il est descendu, Il s’est revêtu de la forme de la chair du péché. Amen. Il était digne; Il était le Fils de Dieu. Il a dû mériter cela: Il avait tous les cieux et toute la terre.

            Remarquez, Boaz avait alors rassemblé Israël. Et puis, rappelez-vous, la bannière avait dû être élevée en dehors des portes de la ville. J’aimerais que vous saisissiez cela. Boaz est allé là, il a fait venir les anciens d’Israël–Israël et a dit: «Maintenant, si quelqu’un a quelque chose à dire, qu’il le dise. Et voyez aujourd’hui, j’ai racheté l’héritage perdu de Naomi.» Et il a enlevé son soulier et l’a jeté au milieu des Israélites, ce qui était une coutume: un signe qu’il avait racheté Naomi et tout ce qu’elle avait.

20        Quel beau type de Dieu fait chair, habitant parmi nous! Il est descendu pour souffrir la mort et la peine, Lui, l’Innocent pour les coupables, l’Aimable pour ceux qui n’étaient pas aimables. Cela briserait le coeur de l’homme, de penser à ce que Dieu a eu à faire pour les pécheurs perdus comme vous et moi. Une bannière doit être hissée. Vous avez dit: «Frère Branham, vous voulez dire par là, placer ce serpent-là: Jésus?» Oui, cela représentait Jésus, ce serpent d’airain, la bannière; car Christ qui ne connaissait pas de péché a cependant été fait péché pour nous.

            Et considérez-Le maintenant, quand Il fut battu. Le juste jugement de Dieu devait être satisfait: «Le jour où tu en mangeras, ce jour-là tu mourras.» La Parole de Dieu doit être tenue. Il est là, dans le prétoire de Pilate, le visage couvert des crachats de moqueurs; les mains qui avaient ressuscité le fils de la veuve; Lui qui avait proclamé la paix à la prostituée, les yeux qui parcouraient avec beaucoup de tendresse les foules étaient maintenant en train de saigner: Le sang coulant de Son visage, les crachats des moqueurs, des membres d’églises et des soldats.

            Le voilà partir. Regardez-Le. Je vois de petites taches rouges sur Sa robe. Ces petites taches rouges commencent à devenir de plus en plus grandes au fur et à mesure qu’Il gravit la colline. Peu après, elles se sont toutes unies. Alors, vous entendez une claque sur Son côté. C’est Sa robe ensanglantée. Puis à Golgotha, on a cloué Ses mains, on L’a élevé comme une Bannière. Il a racheté l’église. Il a rachetée sa quoi? Il a dit: «Et comme Moïse éleva le serpent d’airain, il faut de même que le Fils de l’homme soit élevé.» Pourquoi? Pour une raison double: Parce qu’elle avait péché et qu’elle était malade. Il éleva cela pour leur salut et leur guérison. Et «Il a été blessé pour nos péchés; c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris»; la Bannière hissée. C’est beau.

21        Il y a le Fils de Dieu qui a été élevé comme votre Bannière. «Comme Moïse éleva le serpent d’airain dans le désert, il faut de même, et de la même façon, pour la même cause, la même chose...» Qu’a-t-Il donc fait quand Il fut élevé là-bas, quand Il... Dieu éleva la Bannière? Pour le monde... Il a montré à cette église ce soir, Il a montré au monde qu’Il avait racheté tout l’héritage perdu de l’église et des gens. Et qu’avions-nous perdu? Si vous avez perdu votre salut, Il est la Ban... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... signe pour les péchés du monde. Que c’est dommage! Et puis, voulez-vous me dire que vous pouvez nier la guérison divine? Elle se trouve là dans les Ecritures. C’est ce que Jésus a dit: «Comme Moïse éleva le serpent d’airain, il faut de même que le Fils de l’homme soit élevé pour le péché et pour la maladie.» Et Il est ici ce soir. Il est encore élevé. Il a été mis dans la tombe, et Dieu L’a élevé. Et Son Esprit est parmi nous ce soir, accomplissant des signes et des prodiges. Croyez-vous cela?

22        Maintenant, Il est prêt à faire de tout celui... sauver tout celui qui veut être sauvé. Comment pouvez-vous avoir dans votre esprit un tableau du Calvaire et rester un pécheur? Comment pouvez-vous Le voir monter à Golgotha, sur la colline, pour être crucifié à votre place, vous un pécheur coupable, et voir le Précieux Fils de Dieu gravir la colline, mourir à votre place? Comment pouvez-vous regarder Son dos qui saignait quand on Le flagellait au dos, pour notre guérison, ensuite nier la guérison divine? Que Dieu ait pitié.

            Laisse-moi, ô Seigneur, vivre. Laisse-moi en témoigner. Même si le monde entier rejette cela, mais, Seigneur, je crois en Toi. Je crois toujours cela. Si je... Ce soir, si je prêchais et que mille personnes se convertissaient, qu’ils étaient remplis du Saint-Esprit, qu’ils mourraient, et que dans cinquante ans ils revenaient pour dire: «Frère Branham, ne suivez pas cette voie-là parce qu’elle n’est pas vraie», je dirais toujours: «Laissez-moi mourir en Jésus-Christ.»

            Si je priais pour mille personnes et que toutes mourraient le matin, le lendemain soir je pourrais prêcher la guérison divine et prier pour les malades aussi facilement que je le peux ce soir, car c’est la Parole de Dieu et Elle ne peut pas faillir. C’est la Parole de Dieu. Dieu nous L’a donnée. Ne La contournez pas; embrassez-La. Réclamez la promesse, dites: «Elle est à moi, ô Seigneur. Tu es mort pour moi et je suis disposé ce soir à m’élever comme un modèle et un témoignage. J’aimerais devenir Ta bannière. J’aimerais que le monde sache que Tu es mon Sauveur. J’aimerais que tout le monde sache que je m’élève comme un chrétien; je crois en Toi; et j’irai témoigner et dire à tout le monde que Tu m’as sauvé.» Et si vous êtes malade, je me tiendrai debout et je dirai: «J’accepte ma guérison. Et Je... Jésus-Christ a été élevé comme une Bannière, Il a eu des meurtrissures pour ma guérison, j’élèverai aussi mon témoignage et moi-même, et je dirai: ‘C’est par Ses meurtrissures que je suis guéri.’»Amen. Oh! Quel amour!

23        Maintenant, regardez. Les Israélites regardaient ce serpent d’airain et étaient guéris. Ils regardaient le serpent d’airain, premièrement pour le pardon des péchés, ensuite pour la guérison. Comme le prophète l’a dit, ou plutôt le poète a dit:

            Regarde et vis, mon frère, vis

            Regarde à Jésus maintenant et vis.

            C’est écrit dans Sa Parole,

            Alléluia! ce n’est qu’en regardant que tu auras la vie.

            Regardons ce soir la Bannière de Dieu, le Fils de Dieu. Il a été prêché au cours des années. La puissance du Saint-Esprit, que Son Esprit vienne ici et qu’Il accomplisse des signes, des prodiges et des miracles qui montrent qu’Il est toujours le même Seigneur Jésus. Comment pouvez-vous échapper à la colère de Dieu si vous doutez des choses que Dieu a faites? Inclinons la tête juste un instant.

24        Le Grand Maître de la Vie... Vous direz: «Frère Branham, je–je n’avais jamais considéré cela exactement comme cela. Je–je n’avais jamais pensé au prix qui avait été payé pour mon salut. Tenez, j’ai négligé cela tout le temps. Juste avant que vous teniez le service de guérison, Frère Branham, j’aimerais élever une petite bannière vers Christ et Lui faire savoir que–que ce pécheur ici sur terre, pour qui Il est mort, j’aimerais savoir que je Le reconnais ce soir. Je–Je veux qu’Il ait pitié de moi. Et je ne suis pas encore sauvé, mais je veux qu’Il me sauve. Je vais simplement lever la main comme une petite bannière vers Lui, qu’Il a élevée beaucoup pour moi.» Voulez-vous lever la main maintenant même pendant que tous ont la tête inclinée? Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Et vous, là derrière, là tout au fond.

            Dans les rangées du milieu, là au fond, je vois, avec vos mains levées. Partout, à ma gauche, levez la main pour dire: «Frère Branham, je lève la main afin que Christ me voie. Je ne veux pas mourir un pécheur. Je veux qu’on se souvienne de moi dans un mot de prière maintenant même.» Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Oh! la la! Des douzaines de mains partout. «Je ne veux pas mourir un pécheur, Frère Branham. Je crois que je me suis assis dans cette série de réunion ici, j’ai vu Sa Personne alors qu’Il opérait merveilleusement, passant discrètement parmi les gens ici, révélant les pensées de leur esprit et leur disant ce qu’ils avaient fait. Et j’entends l’Evangile être prêché par les prédicateurs. Et je–j’ai longtemps rejeté, mais, ce soir, je veux que Christ sache que je... réellement dans mon coeur, quelque chose parle.» C’est Dieu, ami pécheur. «Nul ne peut venir à Moi si le Père ne l’attire.»

            Voudriez-vous une fois de plus, partout... Maintenant, que tout le monde garde la tête inclinée. Laissez-moi voir seul. Levez la main pour dire: «Frère Branham, priez pour moi afin que je n’aie pas à entrer dans les parvis de Dieu comme un pécheur. J’aimerais être sauvé.» Là-haut, là très haut, maintenant, tout le monde dans la salle. C’est... Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, partout. C’est bien. Maintenant, pendant que vous avez vos têtes inclinées, j’aimerais demander à Dieu de vous aider.

25        Père, des douzaines de mains ont été levées, partout, d’un bout à l’autre de ces allées: des hommes et des femmes pécheurs, des jeunes garçons et des jeunes filles pécheurs. Ils veulent vivre, Seigneur. Beaucoup parmi eux, j’ai constaté, étaient vieux. Certains parmi eux grisonnent. Sachant qu’un de ces jours, nous devons aller au-delà de ce voile, nous marchons sur des fils très fragiles de la vie. Seigneur Jésus, je prie qu’à la fin de ce service ces gens soient tellement convaincus de l’Evangile de Christ par la Bible et par la puissance de Sa résurrection qu’ils s’avanceront, Te donneront leurs coeurs et T’accepteront comme leur Sauveur. Ô Dieu, ne laisse aucun d’eux quitter cette vie sans être sauvé. Que cette nuit et ce temps soient le moment où ils feront cela.

            Je sais que Tu traites avec eux, car Ton unique Fils bien-aimé a dit: «Nul ne peut venir à Moi si le Père ne l’attire. Et Je ne rejetterai pas celui qui vient à Moi. Celui qui écoute Mes Paroles et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie», juste parce que nous avons cru au Fils de Dieu. Oh! Que c’est pitoyable, Seigneur, de voir un grand monde aller à la ruine à cause d’une seule chose: avoir rejeté le Seigneur Jésus. Accorde que beaucoup ce soir soient sauvés.

            Et maintenant, que le Saint-Esprit vienne et qu’Il envoie l’Ange du Seigneur à Ton humble serviteur. Comme je prie pour les malades, que chacun regarde là au Calvaire et qu’il dise: «C’est cela ma Bannière. Je crois de tout mon coeur et je vais croire ma guérison ce soir. Je vais partir d’ici en me réjouissant, heureux et en réclamant ma guérison.» Accorde-le, Seigneur, car nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen.

26        Quand je suis venu à la chaire ce soir, le pasteur m’a demandé, l’un des pasteurs ici, si je pouvais rester jusque dimanche prochain. Je lui ai dit que je demanderais à notre Seigneur. Et si les gens et tout semblent être en ordre, peut-être qu’Il me dirigera dans ce sens-là. Nous avons eu un début difficile. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            ...les épaules d’un frère et a dit: «Si j’avais apporté mon message à des pentecôtistes très chauds, je n’aurais pas été taillé en pièces comme je le suis aujourd’hui et mourant.» Il a essayé de livrer cela à un groupe de gens qui ne savaient rien au sujet de Dieu et qui n’étaient pas nés de nouveau, alors ils... rien... Ils ont simplement causé des soucis à l’homme et lui ont causé une croissance muqueuse qui s’est transformée en cancer et cela l’a tué. Rassurez-vous d’être en ordre avec Dieu, ami.

            Remarquez, il a dit qu’on avait demandé à l’Institut biblique Moody, là-bas, ils avaient envoyé un petit quatuor et ils chantaient pour lui Mon Dieu plus près de Toi. Et Paul, si vous l’aviez connu, c’était bien un homme tranchant, ressemblant beaucoup à frère Baxter. Il a dit: «Qui se meurt? Est-ce vous ou moi?» Il a dit: «Tirez ces rideaux et chantez-moi de bons cantiques de l’Evangile, pleins d’entrain.» Ils se sont alors mis à chanter A la croix. Il a dit: «Où est Luc?» C’était son frère. Lui et Luc avaient travaillé ensemble comme mon fils et moi. Luc est entré. Il était dans la pièce voisine en train de pleurer. Il a tenu les mains de Paul, Paul a dit: «Luc, nous venons de loin ensemble, copain.» Il a dit: «Mais penses-y, dans cinq minutes, je me tiendrai dans la Présence de Jésus-Christ, revêtu de Sa justice.»

            La vie de grands hommes nous rappelle tous

            Que nous pouvons rendre notre vie sublime,

            Et en partant, laisser derrière nous

            Des empreintes sur le sable du temps

27        Tout ce qu’il vous faut faire, c’est croire. Et Paul Rader a composé ce cantique à Fort Wayne récemment. Quelqu’un parmi vous était-il à la réunion de Fort Wayne quand j’étais là? J’étais assis dans son bureau, là-bas, là où Rediger... Monsieur Rediger, ce vaillant héros de la foi d’il y a des années, quand j’étais un tout petit garçon. Sa fille était dans un hôpital psychiatrique il y a deux ans, totalement folle. On l’avait amenée dans ma remise de charbon là-bas, derrière l’église, elle était assise à l’intérieur, se tirant sa belle chevelure, et disant: «Une pièce de cinq cents et un cent...», comme cela. Folle. Sa soeur était morte dans la même condition.

            Quand j’ai appris que c’était la fille de Rediger qui était là dans ma remise de charbon, là derrière, je suis allé là derrière, et il y avait une belle demoiselle Rediger, une femme aimable et douce, assise là, disant: «Eh bien, chérie, ne fais pas ça.»

            J’ai franchi la porte. J’ai vu une vision apparaître devant. J’ai pu me souvenir de son vieux père qui était mort à la tâche. Le mauvais esprit s’était emparé de la jeune fille. Le Seigneur a réprimandé, Il a dit: «Sors de la jeune fille.»

            Elle a levé les yeux et a dit: «Maman, où sommes-nous?» Elle s’est mariée, et elle a des enfants maintenant. Depuis cette heure-là même, Dieu l’a rétablie. C’est madame B.E. Rediger, la propriétaire de Fort Wayne Gospel Tabernacle. Beaucoup parmi vous savent cela. Ecrivez et demandez-lui le... Qu’était-ce? Regarde et vis. La grâce de Christ.

28        Les avez-vous tous ici, Paul? [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Respectueux maintenant. Maintenant, j’aimerais que vous fassiez ceci pour moi. Combien ont été dans des réunions auparavant? Faites voir les mains. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... ici sur terre. Les oeuvres que Jésus avait accomplies, quand Il était ici sur terre, Il a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père qui demeure en Moi; c’est Lui qui fait les oeuvres.» Est-ce vrai? Et puis, dans Saint Jean 19, ou Saint Jean 5. Quand Il passa par la porte, Béthesda, la piscine, il y avait un grand nombre de boiteux, des estropiés, d’aveugles, des paralytiques. Est-ce vrai, chrétiens? Il n’avait jamais guéri aucun d’eux, pourtant Il était plein d’amour et de compassion. Il est allé vers un homme qui était couché sur un grabat et l’a guéri. Les Juifs L’ont interrogé. Eh bien, écoutez ce que Jésus a dit là, Saint Jean 5.19, l’Ecriture: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père; et tout ce que le Père fait le Fils aussi le fait pareillement. Car Mon Père agit jusqu’à présent, Moi aussi, J’agis.» En d’autres termes, Il a dit ceci: «Je ne peux rien faire avant que Dieu Me montre quoi faire, alors Je le fais. Il n’y a rien d’autre que Je puisse faire.» Est-ce scripturaire? Très bien.

            Donc, Jésus-Christ n’avait jamais accompli un seul miracle avant que Dieu Lui ait dit de le faire, avant d’avoir une vision, Dieu Lui parlait. Il a dit: «Le Père montre au Fils. Tout ce que le Fils voit faire au Père (Voit faire au Père: temps présent), ensuite Il va, Il fait exactement comme le Père avait dit. Eh bien, Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus (Le monde, ce sont les incroyants), le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même jusqu’à la fin du monde.» C’est Connersville, dans l’Indiana, et ailleurs.

29        Eh bien, s’Il est ressuscité d’entre les morts, Son Esprit, Dieu Lui-même sous forme du Saint-Esprit, Jésus-Christ se mouvant parmi les gens... Et Il a placé certains dans l’Eglise comme prédicateurs, docteurs, prophètes, et autres. Est-ce vrai? Dans quel but? Pour que l’homme se glorifie lui-même? Pour l’édification de l’Eglise, pour amener l’Eglise à une foi vivante en Christ. Il est ressuscité, Il est ressuscité dans ce but-là. Or, si les Paroles de Jésus sont vraies, et Paul, dans Hébreux 13.8 dit: «Jésus-Christ est le même, aujourd’hui et éternellement», si donc Il a dit que le monde ne Le verra plus, mais que le croyant Le verra, et qu’Il sera avec eux...» Il a dit: «Eh bien, vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Eh bien, Il connaissait leurs pensées. Est-ce vrai? Il–Il–Il connaissait ce qu’ils pensaient à ce sujet. Il connaissait leurs pensées. Quand le Père Lui a montré en vision un poisson qui avait une pièce d’argent dans sa gueule, là où il y avait...

30        Eh bien, il y avait des jeunes enfants aveugles qui Le suivaient un jour là dans la rue, ils ont dit: «Aie pitié de nous, Seigneur. Aie pitié», Il les a simplement ignorés et Il a poursuivi Son chemin. Il est entré dans la maison, on Lui a amené les jeunes garçons aveugles. Il s’est retourné et Il les a touchés, Il a dit: «Qu’il vous soit fait selon votre foi (Il n’y avait pas de vision), selon votre foi. Qu’il vous soit fait selon votre foi.» Est-ce vrai? La femme qui toucha le bord de Son vêtement, Il lui dit: «Ta foi t’a guérie.» Voyez?

            Maintenant, regardez-Le là à la croix ce soir, la Bannière, et votre foi dans Ses oeuvres achevées, c’est ce qui vous a guéri. Maintenant, Son Esprit est ici, Lui à qui vous ne pouvez pas cacher votre vie; mais Il ne peut pas vous guérir, car Il l’a déjà fait. Quand Il éleva la Bannière, Il vous racheta de votre maladie; Il vous racheta de votre péché. Cela semble me revenir ce soir d’une façon ou d’une autre. Quelqu’un ici doute de cela; je vous trouverai dans quelques minutes. Oui! Oui, oui. Très bien.

31        Je parlais à un homme il n’y a pas longtemps, il disait: «Prédicateur, croyez-vous que la guérison divine, c’est dans l’expiation?»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Il a dit: «Eh bien, si je vous prouve que c’est faux, allez-vous croire ce qu’Esaïe a dit là à ce sujet?»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Il a dit: «Si je vous prouve que c’est faux, allez-vous accepter cela?»

            J’ai dit: «Oui, monsieur. Si vous prouvez que c’est faux, Dieu sait que je–j’aimerais être en ordre avec Dieu.» J’ai dit: «Je veux certainement être en ordre avec Dieu.»

            Alors, il a dit: «Si je vous prouve que c’est faux, allez-vous donc accepter cela?»

            «Oui.»

            Il a dit: «Matthieu 8, a-t-il dit, quand on a amené le... Jésus avait amené tous les... On Lui avait amené des malades, Il les a guéris afin que s’accomplisse ce qui avait été dit par le prophète Esaïe.»

            «Eh bien, ai-je dit, vous voulez appliquer cela à l’expiation?»

            Il a dit: «Si... par... Il était blessé pour nos péchés, c’est par Ses meurtrissures que nous... porté nos infirmités...»

            ... dit: «Oui.»

            «Eh bien, ai-je dit, si donc cela est la vérité, l’expiation avait plus de puissance avant qu’elle soit réalisée. C’était une année et six mois avant la mort de Jésus. Donc, l’expiation a eu plus de puissance avant qu’elle soit–qu’elle soit réalisée plus qu’après qu’elle était entrée en vigueur.» J’ai dit: «Qui Pierre a-t-il guéri? (L’homme qui était à la porte appelée La Belle.) Quel genre de puissance avait-il?»

            Il a dit: «Seuls les douze apôtres, ce sont les seuls qui avaient reçu cette puissance-là.»

            J’ai dit: «Honte à vous; et vous avez un doctorat.» J’ai dit: «J’ai à la maison un petit garçon, de huit ans, il est mieux avisé que ça, il connaît mieux les Ecritures que ça.» J’ai dit: «Vous dites que seuls les douze apôtres...?»

            Il a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Qu’en est-il de Philippe? Il n’était pas un apôtre; il était juste un diacre. Il est descendu là et a guéri les malades, il a chassé les démons, et il y a eu un grand réveil. Beaucoup d’autres aussi.»

32        Remarquez, mais il a dit–il a dit: «Eh bien, Frère Branham, si la guérison divine était incluse dans l’expiation, la maladie aurait été tellement anéantie qu’il n’y aurait aucune peine.»

            J’ai dit: «La tentation existe-t-elle?»

            Il a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «La peine existe aussi.» Voyez? La tentation... «Si la–si l’expiation avait tellement anéanti le péché, il n’y aurait donc pas eu de tentation. Mais c’est par la foi que vous vainquez votre tentation. C’est par la foi que vous vainquez votre peine. C’est dans l’expiation.» J’ai dit: «Nous n’allons pas en discuter. Je vais vous poser une question: ‘La guérison divine est-elle dans la Parole?’»

            Et il a dit: «Oui.» Il devait croire cela, car Jésus a dit: «Les oeuvres que Je fais... Tout ce que vous demanderez... (Que ça soit la guérison divine, ce que c’est) priant, croyez que vous l’avez reçu.»

            Il a dit: «C’est dans la Parole, mais ce n’est pas dans l’expiation.»

            J’ai dit: «Si cela est donc dans la Parole, c’est au-dessus de l’expiation.»

            «Oh! a-t-il dit, Frère Branham, c’est ridicule.»

            Un grand chanteur, un grand prédicateur à la radio se tenait là aussi, et cet homme était bien un personnage.

            Et il a dit: «Eh bien, Frère Branham, a-t-il dit, c’est ridicule. Vous voulez dire que la Parole est au-dessus de l’expiation?»

            J’ai dit: «Oui, monsieur. Dieu doit tenir Sa Parole.»

            Ce gars a dit: «Je crois simplement ce que Dieu a dit, c’est la vérité.» Il a dit: «Eh bien, non.»

33        J’ai dit: «Frère, il y eut une fois un roi qui avait un royaume. Il avait des lois et des règles, il avait fait tout le... Tout devait se faire suivant ce royaume-là. Et il avait une peine contre un certain péché, et un esclave avait commis ce péché-là.» Je lui ai donc donné une petite parabole. Et j’ai dit: «Alors, il s’est avancé, et le roi a dit: ‘Eh bien, il n’y a rien que tu puisses faire. La peine contre ce péché-là, c’est la mort.’ Et le pauvre homme tremblotait. Il a dit: ‘Eh bien, attends. Que puis-je faire pour toi avant de t’ôter la vie?’ Il a dit: ‘Donnez-moi un verre d’eau.’ Il a ordonné qu’on lui donne un verre d’eau, et le pauvre homme ne pouvait pas tenir cela, il savait bien que sa tête allait être enlevée, alors il–il tremblait, comme cela  Il a dit: ‘Eh bien, un instant.’ Il a dit: ‘Je ne vais pas t’ôter la vie avant que tu prennes ce verre d’eau.’ L’esclave a déversé cela par terre.» J’ai dit: «Eh bien, que fera le roi?»

            «Oh! a-t-il dit, ça, c’était une gaffe de la part du roi.»

            J’ai dit: «Ça l’était? Alors, Dieu est-Il si imprécis qu’Il a placé cela dans Sa Parole sans faire l’expiation pour ça? Une gaffe de la part de Dieu? Oh! Non. Non, non.» J’ai dit: «C’est dans l’expiation, frère.» C’est vrai. Comme c’est dans la Parole, Dieu doit tenir Sa Parole, s’Il est un Homme de Parole–s’Il est un Homme de Parole, Il tiendra Parole. Il a dit: «Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu et vous le verrez s’accomplir.» C’est exact, cela vous sera accordé. Très bien, croyez simplement cela.

34        Très bien, faites venir la dame. Avancez, madame. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... en petit bonnet, je pense qu’elle est une Amish, ainsi donc... Quand... Je ne l’avais jamais vue de ma vie. Elle m’est une parfaite inconnue. Je–je ne l’ai jamais connue. Vous ne me connaissez pas, n’est-ce pas, madame? Vous ne me connaissez pas. Tout... Vous ne me connaissiez pas auparavant, juste avant maintenant. Très bien. Maintenant, j’aimerais que vous veniez directement par ici, madame, afin que je puisse avoir... Je n’aimerais pas trop m’éloigner du microphone, voyez-vous. En effet, je–je... parfois ma voix baisse.

            Si vous remarquez bien, voyez, on est dans–on est dans deux dimensions au même moment, deux phases. On est ici et on regarde quelque chose qui est arrivé peut-être dans le passé, quand vous étiez une petite fille, quelque chose qui s’est passé dans votre vie, quelque part. Et alors–et alors, on est en deux endroits au même moment. Je parle, mais je suis quelque part ailleurs; cependant, je suis conscient que je... dans mon corps, je me tiens à l’estrade. C’est ce qui m’affaiblit beaucoup et me taille en pièces. Voyez? Voyez?

            Vous souvenez-vous du prophète Daniel qui, un jour, eut une vision et eut des maux de tête pendant plusieurs jours suite à cela? Et Jésus... rappelez-vous, cet Ange descendait à la piscine, et la première personne qui était guérie, eh bien, tirait toute la vertu de–de l’eau. Et on devait attendre un mois ou plus, peut-être, pour que cela revienne, un autre moment, je ne sais quoi était considéré comme une saison. Vous rappelez-vous cela dans la Bible? Oui, madame.

35        Je suis juste en train de vous parler comme notre Seigneur parlait à la femme au–au puits en Samarie. Eh bien, vous–vous avez un esprit humain tout comme moi. Et il y a... nous sommes de parfaits inconnus, l’un à l’autre, mais d’une manière... Eh bien, regardez simplement les gens là dans l’assistance, plusieurs centaines de gens sont assis là. Chacun d’eux est un être surnaturel à l’intérieur, et il y a donc une attraction de l’esprit. Et puis, je dois contacter votre esprit tout comme Jésus s’était retourné et avait connu ce qu’étaient les pensées des gens et tout. Il s’est tenu là et avait parlé à cette femme-là. Puis, Il est allé droit et lui a dit où était son problème. Est-ce vrai? Vous rappelez-vous où c’était? Cela se trouve dans Saint Jean, chapitre 4, la femme au puits. Samarie? Vous–vous rappelez-vous avoir lu cela?

            Il est merveilleux, n’est-ce pas? Croyez-vous qu’Il est ressuscité d’entre les morts? Vous croyez. Et aussi, Il vit parmi les hommes ce soir, le même Jésus. Si donc c’est le même Jésus, Il agira comme Il avait agi en ce jour-là, Son Esprit, parmi Son peuple. Est-ce vrai? Juste la même chose... C’est bien. Et je suis...

36        C’est très difficile de prêcher et puis essayer de... Voyez? Si donc–donc vous–vous priez avec moi, des croyants... Oui, Le voici venir maintenant. Voyez, vous aviez un tout petit peu peur, n’est-ce pas? Vous–vous êtes bien–bien un peu nerveuse. C’est ce qui a fait cela. Voyez, vous vous réservez simplement. Voyez. Mais regardez.

            Vous êtes... Vous avez une–une maladie. Votre maladie, c’est une maladie interne, de l’estomac. N’est-ce pas vrai? C’est vrai. C’est un trouble d’estomac, ça fait quelque temps... Cela est causé par une maladie de nerfs, qui fait que vous avez un estomac aigre, des crampes, et tout, et vous crachez des choses aigres. C’est–c’est un acide... c’est la gastrite dans l’estomac (Voyez-vous?), cela est causé par l’ulcère gastroduodénal, qui fait remonter votre nourriture. Une petite régurgitation se fait comme cela pour ça. C’est bien proche de ce qu’il a dit, n’est-ce pas? Oui, madame. Comment l’ai-je su? Si nous sommes incon-... juste révélé à... par Dieu, c’est vrai. C’est vrai.

37        Maintenant, si nous parlons un peu plus longtemps, peut-être qu’Il pourrait me dire autre chose sur vous. Il y a beaucoup de gens ici pour qui prier. Mais vous avez... quelque chose vous a frappé à l’esprit tout à l’heure. Vous avez un mari qui n’est pas bien portant non plus. N’est-ce pas vrai? Est-ce... Si c’est vrai, levez la main. Assurément. Oui, oui. Il a une affection de vessie, n’est-ce pas? Est-ce vrai? Levez la main. Oui, oui. C’est vrai. Oui, oui. Croyez-vous que c’est l’Esprit de Dieu que vous entendez? Croyez-vous que Dieu est re-... Cela provient d’une source surnaturelle, n’est-ce pas? Voyez, c’est un peu contraire à l’enseignement que vous avez reçu. Et c’est... C’est donc vrai. Vous savez que c’est le... vous ne pouvez pas mentir maintenant; en effet, je... vous ne le feriez pas de toute façon, car je suis dans la Présence de... Vous êtes dans la Présence de Son Être.

38        Voici autre chose. Je vois un accident qui s’est produit il y a quelque temps dans votre famille, n’est-ce pas? Un jeune homme. Il a été tamponné par un véhicule il y a environ deux ans. Quelque chose cloche à sa tête, cela affecte sa mémoire et tout. Est-ce vrai? Eh bien, croyez-vous? Venez donc ici.

            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, fais miséricorde et donne la vie à cette pauvre femme. Guéris-là, Seigneur, et que ses bien-aimés soient aussi rétablis, Seigneur. Que celle-ci soit la soirée des soirées pour eux. Et puisse, ô Dieu, tout cela,... Qu’ils marchent dans la lumière au fur et à mesure que la lumière vient à eux, Seigneur. Et qu’ils soient appelés Tes enfants, Seigneur, qu’ils Te servent, qu’ils T’aiment, qu’ils soient guéris au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Maintenant, j’aimerais vous demander, maman. Ce que vous avez entendu parler tout à l’heure, c’était ma voix, mais ce n’était pas moi qui m’en servais. Eh bien, ce qu’Il vous a dit est la vérité. Et maintenant, allez et croyez juste ce qui a été dit et vous serez guérie. Que Dieu vous bénisse. Que le Seigneur soit... (Tous deux, de ce côté-ci, si vous voulez, depuis que je suis... Etes-vous l’un des huissiers, monsieur? Allez les aider.)

39        Croyez-vous? Croyez simplement de tout votre coeur. Dieu connaît toute chose. Mais, s’il vous plaît, soyez très respectueux maintenant pendant que... Cela vient...

            Bonsoir, monsieur. Je suppose que nous sommes aussi inconnus, n’est-ce pas, monsieur? Je ne vous ai jamais rencontré de ma vie, mais Dieu nous a connus tous deux depuis notre naissance. Et Il vous a nourri; Il m’a nourri. Et nous voici ici dans la vie; et un jour, nous aurons à nous tenir dans Sa Présence pour rendre compte des oeuvres qui ont été accomplies dans nos corps. Et ce que... Nous devrions vraiment être des gens respectueux, n’est-ce pas?

            Monsieur, vous êtes ici ce soir en mission, pas pour vous-même. Vous êtes ici en mission pour un bien-aimé, et je crois que c’est votre femme. Est-ce vrai? Votre femme est allée... elle a subi des interventions chirurgicales majeures, elle est à l’article de la mort. Est-ce la vérité? Avez-vous un mouchoir dans votre poche? Donnez-le-moi juste un instant.

40        Dieu Tout-Puissant, quand Israël était coincé là, par la mer Rouge devant eux, les montagnes, l’armée de Pharaon poursuivant, mais Tu as regardé en bas au travers de cette Colonne de Feu, avec des yeux courroucés, a dit l’un des poètes, et la mer Rouge a eu peur et a reculé, car Israël était en marche vers la Terre promise. Et, ô Dieu, ce soir, cette pauvre femme est étendue là, vraiment en bas, près de la mort. Elle a fait tout ce qu’elle pouvait. Les médecins, Tes serviteurs, ont fait tout leur possible. Tout le monde a fait tout son possible. Et maintenant, Tu es Jéhovah-Jiré, l’Eternel s’est pourvu d’un sacrifice, en ce moment crucial.

            Je prie, ô Seigneur, comme il nous est appris dans la Bible qu’on prenait des mouchoirs et des linges qui avaient touché le corps de Paul, et des esprits impurs sortaient et les gens étaient guéris... Nous savons que nous ne sommes pas saint Paul, mais nous savons que Tu es toujours le même Seigneur Jésus qui avait honoré la foi des gens. Alors, Seigneur, j’envoie ce mouchoir à cette femme mourante et je réclame sa vie, qu’elle soit épargnée, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Ne doutez pas. Que personne ne touche ce mouchoir-là, placez-le sur le sous-vêtement de votre femme, près de son coeur. Agenouillez-vous à côté d’elle et priez. Confessez tout ce que vous savez et promettez à Dieu de vivre pour Lui. Et faites-nous savoir d’ici quelques jours, plus tard, ce qui lui est arrivé. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu soit avec vous maintenant. Allez et ne doutez pas. Croyez simplement toutes choses et Dieu accomplira certainement.

41        Croyez-vous ceci? Ayez foi. Dieu accordera certainement ce qu’Il a promis, car Il ne peut pas faillir. Il est Dieu.

            Maintenant, soeur, j’aimerais vous parler juste un instant. Et maintenant, à l’intention de cette assistance ici, je suppose que je–je ne vous connais pas. Je... A ce que je sache, je ne vous ai jamais vue de ma vie, mais Dieu vous connaît certainement. Mais cette femme m’est inconnue, le Seigneur le sait. Je suis probablement inconnu à la femme, à moins qu’elle ait été dans une réunion quelque part et qu’elle m’ait vu. Nous ne nous connaissons pas du tout l’un l’autre. Eh bien, si le Saint-Esprit révèle la vie de cette femme, alors que moi, je vous dis que je suis Son serviteur, que c’est l’Esprit du Seigneur Jésus-Christ qui est ressuscité d’entre les morts, qui est ici parmi nous ce soir, et Dieu accomplira bien exactement ce qu’Il a dit qu’Il ferait, affirmant et prouvant que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

42        Maintenant, écoutez, à vous qui aurez eu des ressentiments pour cela. Peut-être que votre enseignement a pu être un peu différent. Rappelez-vous, les pharisiens, à leur époque, pensaient être tout à fait en ordre. Ils étaient des hommes saints qui jouissaient d’une réputation, des fondamentalistes, des religieux. Mais ils avaient rejeté Jésus. Ils pensaient avoir une connaissance correcte de ce qu’Il devait être. Mais Dieu confond toujours les sages et les intelligents. Et je... Rappelez-vous, si cela s’avérait juste et que vous étiez en erreur, vous auriez blasphémé le Saint-Esprit. Vous seriez condamné pour toujours, sans miséricorde, dans ce siècle et dans le siècle à venir.

            Vous souffrez de prostatite, n’est-ce pas, monsieur? Je... Celle qui est assise à côté de vous, c’est votre femme, elle souffre aussi du re–rectum. N’est-ce pas vrai? Est-ce vrai? Vous étiez tous deux guéris tout à l’heure pendant que je parlais. Vous n’avez pas besoin de votre... prière. Vous n’avez pas de cartes de prière de toute façon. Vous n’en avez pas besoin.

            La petite dame assise juste là côté, aussi, elle était malade: Une affection rénale, mais ayez simplement foi en Dieu, là. Dieu vous rétablit maintenant.

43        Maintenant, soyez respectueux. Soyez en prière. Eh bien, madame, j’aimerais que vous me regardiez ici, droit vers moi, juste un instant. J’aimerais vous parler en tant que votre frère. Eh bien, nous sommes parfaitement et totalement inconnus, l’un à l’autre. Et le Seigneur Jésus...

            Petite dame, vous avez souffert d’une maladie de nerfs, vous assise là même, à côté de cet homme-là, n’est-ce pas? Vous avez été très nerveuse depuis un moment, n’est-ce pas vrai? Il vous a guérie tout à l’heure. Vous êtes–vous êtes donc bien portante maintenant. Vous pouvez rentrer chez vous et être rétablie. Que Dieu vous bénisse.

            Qu’Il soit miséricordieux envers vous, c’est ma prière.

            Maintenant, soyez respectueux. Maintenant, vous n’habitez pas ici. Vous êtes venu de loin. N’est-ce pas vrai? Vous venez de l’Etat d’Illinois. Est-ce vrai? Vous avez effectué un voyage d’environ deux cents miles [321, 86 km]. Est-ce à peu près vrai? Et vous souffrez de quelque chose qui cloche dans vos poumons, une maladie de poumon. Et, dites donc, je vous vois chercher à sortir du lit un matin. Vous souffrez aussi de l’arthrite. Cela vous rend raide. Si c’est vrai, croyez-vous que Christ vous rétablira? Regardez-moi. Je ne... vous savez ce que je veux dire, comme Pierre et Jean ont dit: «Regarde-nous.» Elie le prophète avait dit: «Si je n’avais égard à Josaphat, je ne te regarderais même pas.»

44        Mais maintenant, croyez. Vous avez été–vous avez été dans une réunion de prière auparavant. Ce n’était pas la mienne. C’était un homme du genre costaud, trapu, aux cheveux châtains. Il a plutôt un regard sévère, un homme ayant une expression très tranchante à la réunion. Est-ce vrai? Si c’est vrai, levez la main. J’ai vu cela apparaître devant moi. Ça ne peut être rien d’autre. Dieu ne peut pas mentir.

            Le médecin vous a dit de rentrer à la maison. Je le vois vous le dire. Il a dit: «L’unique chose à faire pour vous, c’est prendre un long repos à l’hôpital.» Ou, attendez. Je vois une prairie. Il a dit que vous pourriez aller à l’ouest si vous le vouliez. Est-ce vrai? Est-ce ce qu’il vous a dit? Oui, c’est vrai. C’est tout à fait vrai. Vous avez un petit garçon à la maison, n’est-ce pas? Et il a une affection pulmonaire aussi. N’est-ce pas? Si c’est vrai, levez la main. C’est vrai. Venez ici juste un instant, s’il vous plaît.

            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur cette femme, sur sa maison. Pendant qu’elle se tient ici et que le Saint-Esprit est en train de se mouvoir sur elle maintenant, qu’elle rentre à la maison, guérie, Père. En tant que Ton serviteur, je la bénis, avec mes mains posées sur elle, au Nom de Jésus-Christ.

            Et, Satan, toi qui l’as liée, qui as fait tout ce mal, nous venons ce soir en tant que chrétiens, au Nom représentatif de Jésus-Christ, et nous t’adjurons, par Lui, de quitter la femme et de ne plus la déranger. Sors d’elle, par le Nom de Jésus-Christ. Maintenant, rentrez. Ne doutez de rien. Vous vous rétablirez. Que Dieu vous bénisse.

45        Très bien. Venez. Croyez-vous? Si le Saint-Esprit vous dit exactement ce qui cloche... Vous êtes conscient qu’il se passe quelque chose. C’est l’Ange du Seigneur. Voyez-vous Sa photo? C’est juste ce qui attend au-dessus de vous maintenant. Votre maladie est dans le dos. Est-ce vrai? Maintenant, allez de l’avant. Vous allez vous rétablir. Il vous a béni. Que Dieu soit avec vous et qu’Il vous bénisse.

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu.»

            Croyez-vous? De tout votre coeur? Juste un instant. Quelqu’un assis juste de l’autre côté de la clôture souffre aussi d’un mal de dos. N’était-ce pas vrai, monsieur? Vous avez été guéri tout à l’heure quand cet homme a été guéri. Cet esprit a appelé au secours. Que Dieu vous bénisse. Vous étiez en train de prier, n’est-ce pas, monsieur? Je me le suis bien dit. J’ai vu quelqu’un en train de prier, avec le dos comme ça, et j’ai entendu ce cri retentir. J’ai encore regardé et j’ai vu cet homme. J’ai alors entendu cela appeler, et j’ai vu une Lumière suspendue au-dessus de vous. Ça doit donc être vous.

46        Cette dame assise juste là en bas, là de l’autre côté, là, souffre des nerfs, ça la dérange, juste là en bas, aux cheveux blonds... N’est-ce pas vrai, soeur? Oui, oui. Vous avez souffert des nerfs. N’est-ce pas vrai? Vous venez d’être guérie tout à l’heure. Dieu vous a rétablie.

            Cette petite dame assise juste derrière elle souffre d’une maladie gynécologique. Assise juste là derrière, derrière elle aussi, vous avez été guérie au même moment, soeur. Vous pouvez vous lever aussi. Levez la main. Vous souffriez d’une maladie gynécologique qui était sur les ovaires. C’était donc un abcès. Cela vous a quittée maintenant. Vous pouvez être guérie. Rentrez chez vous.

47        Amen. Pourquoi doutez-vous de Dieu? Monsieur, aimeriez-vous aller prendre votre souper? Apprécier encore cela? Croyez-vous que je suis Son prophète? Eh bien alors, au Nom de Jésus-Christ, allez prendre votre souper, prenez votre petit-déjeuner. Témoignez de votre guérison. L’ulcère a quitté votre estomac. Que Dieu vous bénisse. Croyez-vous cela? Ne doutez pas maintenant.

            Venez, madame. Croyez-vous? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Si Dieu me dit ce qui clochait chez vous, vite, sans rien dire d’autre... Beaucoup de cela, ça me fatigue tellement que je chancelle. Croyez-vous que ça se fait? Notre Seigneur a dit: «La vertu est sortie de Moi.» Quelle est... la vertu, c’est la force. Quand une femme toucha Son vêtement... On tire de partout dans cette assistance. Et vous souffrez du coeur. Est-ce vrai? Maintenant, croyez-vous que vous êtes guérie? Allez donc, témoignez-en, et que Dieu soit avec vous.

            Vous avez souffert de la même chose, monsieur. Vous pouvez donc continuer à marcher. Dieu a fait la même chose. Amen.

            Une maladie gynécologique. Continuez simplement d’avancer. Soyez rétablie, au Nom du Seigneur Jésus.

48        Croyez-vous là, dans l’assistance, de tout votre coeur? Ne doutez pas. Ayez foi maintenant. Dieu fera s’accomplir cela. Si vous croyez absolument cela et que vous n’en doutiez pas du tout, Dieu le fera s’accomplir. Soyez respectueux. Ayez foi en Dieu.

            Qu’en est-il là en haut, là au coin? Croyez-vous? Levez la main. Accrochez-vous-y bien. Cela est allé au coin deux fois.

            Maintenant, venez ici, madame. Voulez-vous guérir de ce cancer-là? Le voulez-vous? Acceptez-vous Jésus comme votre Guérisseur maintenant? [La soeur dit: «Je l’espère.»–N.D.E.] Eh bien, l’espérer ne l’accomplira pas, soeur. Soit vous regardez, soit vous mourez. Regardez, et vivez. Ça dépend de vous.

            Père, je prie pour la foi de la femme. Qu’elle vive. Au Nom de Jésus-Christ, je le demande. Amen. Que Dieu soit avec vous, soeur.

49        Bonsoir, madame. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Croyez-vous qu’Il est ici maintenant? Croyez-vous que Son Esprit est ici pour vous rétablir? Vous êtes aussi une étrangère ici dans cette ville. Vous venez de Toledo. Est-ce vrai? Et vous êtes un prédicateur, n’est-ce pas? Votre mari est aussi prédicateur. C’est vrai. Il est assis ici même. Oui, oui. Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Mais vous souffrez du coeur, n’est-ce pas? Vous êtes guérie. Que Dieu vous bénisse. Continuez votre... Voyez, votre attitude mentale est bien différente de celle de la dame qui vient de passer ici. Voyez? Allez... Très bien. Allez, ayez foi.

            Très bien. Venez, monsieur. Croyez-vous en Lui? Dieu Tout-Puissant, je Te demande de guérir cet homme, de le délivrer. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, qu’il en soit ainsi. Amen. C’est comme ça, monsieur. Vous avez été guéri pendant que vous étiez assis là même dans votre siège. Que Dieu vous bénisse. C’est ça. Très bien, monsieur.

            Aimeriez-vous guérir de cette maladie du coeur et être bien portante? Voulez-vous accepter cela maintenant même et croire que Dieu va vous rétablir? Seigneur Jésus, je Te prie de guérir cette femme, qu’elle rentre chez elle ce soir complètement guérie par le Nom de Jésus-Christ. Amen. Maintenant, allez... Regardez, regardez, vivez. Voyez. Croyez en Lui de tout votre coeur. Dieu fera s’accomplir cela.

50        Disons: «Grâces soient rendues à Dieu!» [L’assemblée dit: «Grâces soient rendues à Dieu!»–N.D.E.] Très bien. Que tout le monde soit respectueux. Juste un instant. Le sourd... Oh! C’est cet homme debout ici. Voici un homme sourd. Inclinez la tête partout.

            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur cet homme. Je Te prie de le guérir. Toi esprit de surdité, quitte cet homme, sors de Lui. Au Nom de Jésus-Christ, je t’ordonne, devant Dieu et le don divin, de quitter cet homme. M’entendez-vous, monsieur? M’entendez-vous maintenant? M’entendez-vous maintenant? Vous êtes–vous êtes bien portant? [Le frère dit: «Oui, oui.»–N.D.E.] Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez redresser la tête. Cet homme peut entendre parfaitement. M’entendez-vous? [«Oui, oui.»] Dites: «Amen.» [«Amen.»] Dites: «J’aime le Seigneur.» [«J’aime le Seigneur.»] Dites: «Gloire à Dieu. Gloire à Dieu.» [«Gloire à Dieu.»] Vous êtes guéri, frère. Vous avez été–vous avez été un peu nerveux dernièrement, n’est-ce pas? C’est la prostatite. Voyez, cela vous a dérangé, ça vous a frappé. Mais cela vous a aussi quitté. Vous voyez, vous vous leviez la nuit, voyez. Allez... Est-ce vrai? Personne ne sait cela, au lavabo de salle de bain. Est-ce vrai? Est-ce la pure vérité? Très bien, vous êtes maintenant guéri. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant.

51        Disons: «Grâces soient rendues à Dieu!» [L’assemblée dit: «Grâces soient rendues à Dieu!»–N.D.E.] Allez dire aux incroyants que les sourds entendent, les aveugles voient, les infirmes se lèvent. Heureux celui qui n’est pas offensé par l’Evangile du Seigneur Jésus-Christ. «L’Evangile n’est pas venu en Parole seulement, mais avec puissance et démonstration du Saint-Esprit», je cite Paul.

            Venez, monsieur. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que vous vous tenez dans Sa Présence, pas celle de votre frère, Sa Présence, dans Sa Présence? Si je suis prophète de Dieu, alors Il me révélera ce qui cloche chez vous. Est-ce vrai? Vous croyez cela. Vous piquez une espèce de crise. C’est l’épilepsie. N’est-ce pas vrai? Et autre chose, votre plus grand désir parmi tous, c’est Jésus-Christ comme votre Sauveur. Est-ce vrai? L’acceptez-vous maintenant comme votre Sauveur personnel? Arrêtez de fumer, et tout le reste; et allez-vous donner votre vie à Christ? Arrêtez de fumer. Faites-les donc sortir de votre poche. [L’assemblée se réjouit.–N.D.E.]

52        Voulez-vous croire en Lui? Tenons-nous debout juste un instant.

            Je Le louerai, je Le louerai,

            Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs;

            Rendez-Lui gloire vous tous,

            Car Son Sang peut ôter chaque tache.

            Je Le louerai, je Le louerai,

            Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs

            Rendez-Lui gloire vous tous,

            Car Son Sang peut ôter chaque tache.

            Assistance, nous pourrons rester ici... Nous n’aimerions pas... la ville a été gentille en nous permettant d’avoir ce lieu-ci. Je suis faible, fatigué. Nous pourrons rester ici heure après heure sur ceci, mais qu’est-ce que Dieu peut faire de plus que ce qu’Il est en train de faire maintenant même? Si vous ne croyez pas maintenant, vous ne croirez jamais. Ça sera inutile.

            Eh bien, si j’ai dit la vérité et que Dieu a confirmé que cela est la vérité, alors croyez-moi maintenant. Je vous dis la vérité. Je veux que vous vous imposiez les mains les uns aux autres maintenant. Eh bien, j’aimerais que vous écoutiez attentivement. J’aimerais que toute l’assistance répète après moi cette prière. Maintenant, vous... Je vais dire cela. Croyez-vous que Dieu me dit les Paroles qui vaincront Satan? Maintenant, répétez juste ce que je dis maintenant, avec vos têtes inclinées.

53        Dieu Tout-Puissant [L’assemblée répète après frère Branham.–N.D.E.] Auteur de la Vie, Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur Ton serviteur. Seigneur, j’ai besoin de Toi. Tu connais mon besoin. Ce que j’ai vu, je crois vraiment que c’est Ta Parole. Et j’accepte maintenant Jésus-Christ comme ma Portion toute suffisante. Seigneur Jésus, aie pitié de moi. Je vais partir d’ici en témoignant pour la gloire de Dieu. Aide-moi, Seigneur.

            Maintenant, avec vos têtes inclinées, gardez cela dans votre coeur. Soyez enfermé avec Dieu. Si vous êtes un pécheur, recevez-Le. Si vous avez besoin du Saint-Esprit, soyez prêt. Si vous êtes malade, acceptez votre guérison. Maintenant, je vais prier pour vous. Et si Dieu peut exaucer ma prière ici pour chasser les démons à partir de cette estrade, révéler la maladie et le péché, alors Dieu peut donc aussi chasser chaque démon dans cette salle maintenant même.

54        Maintenant, Père, Tu vois les gens. Ils sont assemblés d’un commun accord en un seul lieu. Le Saint-Esprit, l’Ange de Dieu, est en train de se mouvoir comme une Lumière ambre partout dans cette salle. Aie pitié, Seigneur. Tu as entendu leur confession. Et Tu as dit: «Si tu confesses de tes lèvres...»

            Ô Seigneur, j’implore la miséricorde pour ces gens. Beaucoup parmi eux sont liés et malades. Et Dieu est ici pour les délivrer, leur apporter Sa vérité, manifester Sa puissance, la résurrection de Son Fils. Et, ô Dieu, si j’ai trouvé grâce à Tes yeux, je Te prie ce soir de me faire trouver grâce aux yeux de ces gens. Et maintenant, alors que je m’avance défier l’ennemi, cet esprit de doute qui est suspendu à cet endroit pour empêcher les gens d’être guéris, toi démon, je t’ordonne par Jésus-Christ, le Fils de Dieu, en tant que Son prophète, de sortir des gens. Je t’adjure de les quitter.

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