Le Serpent D’Airain

Date: 53-1121 | La durée est de: 1 heure et 21 minutes | La traduction: Shp
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1          Le chapitre 21 de Nombres et le verset 5, à vous qui prenez des notes. Eh bien, frère Bosworth a déjà prêché. Je me tiens ici juste jusqu’à ce que je perçoive l’atmosphère qui règne dans la foule, afin que je sache ce que le Saint-Esprit voudra dire ce soir.

            Nous commençons la lecture au verset 5, voici:

            Et le peuple parla contre Dieu et contre Moïse: Pourquoi nous avez-vous fait monter hors d’Egypte, pour que nous mourions dans le désert? Car il n’y a point de pain, et il n’y a point d’eau, et notre âme est dégoûtée de cette misérable nourriture.

            Alors l’Eternel envoya contre le peuple des serpents brûlants ; ils mordirent le peuple, et il mourut beaucoup de gens en Israël.

            Le peuple vint à Moïse, et dit: Nous avons péché, car nous avons parlé contre l’Eternel et contre toi. Prie l’Eternel, afin qu’il éloigne de nous ces serpents. Moïse pria pour le peuple.

            L’Eternel dit à Moïse: Fais... un serpent brûlant, et place-le sur une perche ; quiconque aura été mordu, et le regardera, conservera la vie.

            Moïse fit un serpent d’airain, et le plaça sur une perche ; et quiconque avait été mordu par un serpent, et regardait le serpent d’airain, conservait la vie.

            Les enfants d’Israël partirent, et ils campèrent à Oboth.

2          Maintenant, dans Saint Jean, je pense que c’est au chapitre 2 de Saint Jean et le verset 12 ou 14. C’est Jésus qui parle, Nicodème, et Il a dit:

            Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut de même que le Fils de l’homme soit élevé,

            Afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle.

3          Maintenant, inclinons la tête pendant que nous parlons à l’Auteur de cette Parole.

            Notre Miséricordieux Père, avec des bénédictions de Ta bonté que Tu nous as données, nous, les indignes, nous tournons nos coeurs, nos visages vers la poussière de la terre d’où Tu nous as tirés et où nous retournerons un jour si Jésus tarde. Mais, ô Dieu, Tu nous as promis la résurrection depuis la poussière de la terre un jour, par Jésus, que Tu as retiré de la poussière de la terre, et Tu L’as placé à Ta droite. Et maintenant, Il est... toutes les principautés et toutes les puissances et... sont sous Ses pieds. Un jour, la mort pour chaque mortel sera placée sous Ses pieds. Et alors, nous Le verrons tel qu’Il est, nous aurons un corps semblable à Son propre Corps glorieux, ressuscité de la tombe, immortel, pour ne plus jamais tomber malade.

            Oh! Combien nous Te remercions pour ces glorieuses promesses. Et ces promesses, c’est Dieu, car au commencement était la Parole, et la Parole est avec Dieu, et la Parole était Dieu, et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous. Et la Parole est ici ce soir, écrite ici devant nous, et nous T’En remercions. Et maintenant, puisse-t-Elle bien trouver Sa place pour être ancrée ce soir dans chaque coeur ici ; que ceux qui ne sont pas sauvés, avant tout, soient sauvés ; que les rétrogrades reviennent à Jésus-Christ, le Tendre Père céleste, et qu’ils soient réconciliés par le... Son Sacrifice sur la croix, Lui qui est mort à leur place. Et nous Te demandons ensuite de guérir tous les malades et tous les affligés ce soir, que la gloire de Dieu puisse reposer sur les gens.

            Demain, ça sera le sabbat, il y aura des écoles du dimanche partout, des émissions à la radio. Ce soir, les débits de whisky, les bars sont remplis des jeunes gens et des jeunes filles ; de pauvres vieilles mères aux coeurs brisés prient pour leurs jeunes garçons et leurs jeunes filles. L’église, ô Dieu, d’une façon ou d’une autre, puissions-nous avoir un réveil demain ici dans la cité! Accorde-le, Père, que chaque église demain soit donc pleine de gens et qu’il y ait un si grand silence ou une crainte révérencielle sur la ville ; comme Dieu dit: «Maintenant, tenez-vous tranquilles et laissez-Moi parler, J’aimerais parler à vos coeurs fatigués.» Accorde-le, Seigneur.

            Commence ce soir, ici même, Seigneur, dans cette église. Et commence avec moi, Ton serviteur. Que tout le monde sente la bénédiction de Dieu. Que les malades soient guéris de telle manière ce soir que, demain, les rues seront pleines de gens témoignant de leur guérison. Nous Te rendrons toute la louange, Toi à qui elle revient. Car nous le demandons au Nom de Ton propre Bien-Aimé Fils, Jésus-Christ. Amen.

4          Des types et des antitypes dans la Bible: Les antitypes, évidemment, font disparaître les types. Mais si vous remarquez bien, Moïse, sous forme de type, a élevé un serpent d’airain. J’aimerais attirer votre attention sur cela, juste quelques minutes. Et cela... J’allais donner un témoignage ce soir, mais je vais attendre.

            J’aimerais aborder ceci dans la Parole de Dieu, car après tout, Ceci est l’unique fondement sur lequel tout le monde peut bâtir, correctement. Dieu ne reconnaîtra jamais un fondement autre que cette Parole. «Car aucun autre fondement ne peut être posé que celui qui a été déjà posé.» Est-ce... Et Ceci est la Parole de Dieu pour commencer, si autre chose est dite et que cela ne se conforme pas à cette Parole-ci, alors, ce n’est pas de Dieu, je n’y penserais pas. En effet, la Bible déclare: «Celui qui retranche ou qui ajoute, sa part sera retranchée du Livre de Vie.» Ainsi, nous aimerions nous rassurer de garder notre doctrine toujours en ligne avec l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.

            Et si à n’importe quel moment, n’importe quelle personne trouve dans ma réunion quelque chose qui ne repose pas sur la Parole de Dieu, vous m’êtes redevable en tant que frère ou soeur, de me faire savoir cela. Venez vers moi, écrivez-moi, d’une façon ou d’une autre, faites-le-moi savoir. Je veux certainement cela, Ceci vient en premier.

5          Maintenant, dans l’Ancien Testament, il y avait les–il y avait les types ; c’est juste comme Dieu conduisant Israël, tous les sacrifices, les expiations, et tout dans l’Ancien Testament, cela parlait de Christ. Et en Christ, le centre de tout le plan de la rédemption de Dieu pour la race humaine. Tout ce dont vous avez besoin, ce soir, est en Christ.

            Maintenant, remarquez ceci, concernant la guérison divine par l’expiation. Christ, le commencement, conduisait l’église sous forme d’une Colonne de Feu. Croyez-vous cela? Croyez-vous que c’était Christ? La Bible dit que c’était Lui: «Moïse considéra les richesses de Christ comme des trésors plus grands que les–les richesses de–de l’Egypte. Et il abandonna l’Egypte, sans savoir où il allait, mais sans craindre la colère du roi ; mais il était conduit par Christ.»

6          Maintenant, beaucoup de gens... Et il y a quelque temps ici, je parlais à un Juif qui n’arrivait pas à comprendre quand un homme du nom de John Rhyn avait été guéri, un aveugle. (Non pas le John ici. Il le connaît.) Mais cet homme a été guéri à Fort Wayne, dans l’Indiana, et il avait été aveugle pendant vingt ans. Et il–il est passé par la ligne, il était de confession catholique. Et quand il est passé, il a dit...

            J’avais prié pour une femme, et quand elle a quitté l’estrade, elle s’est mise à crier. Elle avait un parapluie, il pleuvait, et elle faisait tournoyer ce parapluie-là. Un gros goitre qui était sur sa gorge avait quitté sa gorge. Alors, elle ne faisait que crier et faire des histoires. Les gens, on a dû les calmer.

            Et puis, quand cet homme est passé, il y avait un homme qui le conduisait. Et je–je me tenais là, je l’ai observé quelques instants, je lui ai dit ce qu’il était, et ce qu’il avait fait, je lui ai dit ce qu’il–il avait été dans sa vie. Et il vendait des journaux.

            «Oui.»

            J’ai dit: «Vous êtes de confession catholique.»

            «Oui, c’est vrai.» Je l’ai observé un petit instant, et je l’ai vu s’en aller, toujours avec ses cheveux grisonnants et il marchait très bien, avec une Bible sous son bras.

            Et j’ai dit: «Monsieur, Jésus-Christ vous a guéri. Que Dieu vous bénisse.» Et j’ai dit: «Car, AINSI DIT LE SEIGNEUR, Dieu m’a montré que vous avez recouvré votre vue. Votre prière est exaucée.»

7          Eh bien, on l’a amené. Quelques instants après, il est revenu là. Il est encore entré dans la ligne, il a dit: «Monsieur, vous m’avez dit que j’étais guéri.» Il a dit: «Je–je–je n’arrive à ne rien voir.»

            J’ai dit: «Ce n’était pas moi qui vous avais dit: ‘Vous êtes guéri.’ C’était Dieu qui vous avait dit: ‘Vous êtes guéri.’»

            «Eh bien, a-t-il dit, je–je–je vous ai entendu dire cela.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, c’était exact. C’était ma voix, mais c’était Lui qui la faisait fonctionner.» J’ai dit: «Ce qu’Il vous avait dit que vous étiez et autre, est-ce exact?»

            Il a dit: «Oui, monsieur.»

            «Eh bien, ai-je dit, s’Il a su ce que vous avez été dans la vie, assurément qu’Il sait ce que vous serez dans la vie. Si telle partie a été vraie, vous le reconnaissez, on dirait que vous pourriez avoir la foi pour croire l’autre partie, qu’elle serait vraie.»

            Il a dit: «Eh bien, il me semble que si j’avais été guéri, mes yeux seraient ouverts.»

            J’ai dit: «Cela n’a rien à faire avec la chose.» J’ai dit: «Vous donc... vous êtes censé croire.» J’ai dit: «Rentrez chez vous, en croyant.»

8          Quelques instants après, il est encore revenu, et encore, un homme le conduisait. Il a dit: «Je n’arrive pas à comprendre. Si mes yeux étaient guéris, monsieur... Maintenant, on dit qu’une femme, juste, un gros goitre a quitté sa gorge.» Il a dit: «Pourquoi mes yeux ne s’ouvrent-ils pas?» Il a dit: «Vous m’avez dit que j’étais guéri.»

            J’ai dit: «Vous m’avez dit que vous me croyiez.»

            Il a dit: «Je vous crois certes.»

            J’ai dit: «Pourquoi doutez-vous de moi alors?»

            Il a dit: «Eh bien, si j’étais guéri, je pense que mes...»

            J’ai dit: «Je vous ai dit: ‘Vous êtes guéri, ‘ parce que l’Esprit de Dieu m’avait dit: ‘Vous êtes guéri.’»

            Il a dit: «Eh bien, je ne comprends pas.» Il a dit: «Voyez, je suis catholique.»

            J’ai dit: «Cela ne change pas ce que vous étiez. Jamais je... ce n’était pas là la question. Il était juste question pour vous d’obéir à ce qui vous a été dit de faire.»

            Il a dit: «Eh bien, que dois-je faire?»

            J’ai dit: «Louez simplement le Seigneur pour votre guérison.» J’ai dit: «Cela arrivera pour vous.» J’ai dit: «Cela doit arriver.» Il a dit...

            Et cela arrive souvent. Voyez. L’Ange du Seigneur peut ne pas passer près de cette personne-là une fois de plus, pendant un mois. Voyez? Mais cela va–cela va arriver. Si le Seigneur l’a dit, ça doit arriver.

9          Ainsi donc, j’ai dit: «Dites simplement: ‘Gloire au Seigneur pour m’avoir guéri.’» Eh bien, alors, ce... Eh bien, vous les amis catholiques ici présents ce soir, je connais un peu sur la doctrine catholique. Ils sont censés faire ce que le prêtre dit. Alors, puisque je lui avais dit cela, il s’est simplement–simplement dit que c’est ce qu’il était censé faire. Alors, tout sur la route le lendemain, il louait le Seigneur pour la guérison.

            Ce soir-là, quand il est revenu à la réunion, nous étions dans un petit bâtiment avec un petit balcon, comme ça. Il y avait environ, oh! je pense, il offrait environ deux mille cinq cents places assises. Et il y avait... Il se levait simplement là et criait: «Tout le monde, silence.» Il se levait et criait: «Gloire au Seigneur de m’avoir guéri.» Il se rasseyait. Quand j’allais reprendre à prêcher, il disait: «Tout le monde, silence. Gloire à Dieu de m’avoir guéri.» Eh bien, il me dérangeait chaque fois que je commençais...

            «Eh bien, laissez-le tranquille, ai-je dit, juste...» Les huissiers allaient l’arrêter, j’ai dit: «Laissez-le tranquille, c’est ce que je lui ai dit de faire.» Ainsi, il a continué à le faire.

10        Eh bien, la série de réunions s’est terminée, c’était une série de réunions de trois jours seulement, la–la série de réunions s’est terminée. Et je–je pense que c’était quelque, oh! peut-être, peut-être un mois après que j’étais parti, il était... une petite ville là, près de Fort Wayne, où il habitait, et il vendait des journaux. Et alors, il se tenait dans la rue, et ne faisait que crier: «Edition spéciale! Gloire au Seigneur de m’avoir guéri. Edition spéciale! Gloire au Seigneur de m’avoir guéri!»

            Les gens pensaient que le vieil homme était devenu fou. Ils–ils ont donc dit: «Cela, eh bien–eh bien, c’était terrible.»

            Alors, il est allé au salon de coiffure (Un petit garçon l’avait conduit là, il vendait des journaux avec lui) et–et pour se faire raser. Alors, il y avait un petit coiffeur là qui connaissait tous les tenants et les aboutissants, vous savez, au sujet de tout, donc, d’environ vingt-deux ans. Il s’est donc mis à raser le–le vieil homme, il était à mi-chemin dans son travail de lui raser la barbe. Il a dit: «Dites donc, papa, j’ai appris que vous aviez été là chez ce guérisseur divin, quand il était là-bas.»

            Il a dit: «Oui, j’y ai été.»

            Il a dit: «J’ai appris que le Seigneur vous avait guéri.»

            Il a dit: «Oui, gloire au Seigneur. Il m’a guéri.» Et, ses yeux s’ouvrirent. Il s’est levé de ce fauteuil-là, une serviette autour de son cou, rasé à moitié, le coiffeur à ses trousses avec une lame de rasoir ; il dévalait la rue, criant à tue-tête. Eh bien, il n’arrivait pas à voir parfaitement. Mais ce soir, ce vieil homme est en train de prêcher la guérison divine, ce soir. Oui, oui.

            Quoi? Son témoignage n’était pas négatif, advienne que pourra, c’était toujours positif. Il croyait cela. Et il est en train de prêcher ce soir, quelque part là à Michigan. Et il dit: «Je...Tout ce que je sais, c’est simplement croire cela. C’est ce que j’ai fait.» Parfois, Dieu, de cette façon-là...

11        Tenez, tout récemment, deux femmes, j’en ai parlé ici il y a quelques soirées. En effet, j’ai reçu une lettre à ce sujet, et elles étaient venues à la réunion. Une femme était, disait-on, dans la réunion, quand elle est passée, souffrant de l’estomac.

            Eh bien, surveillez Cela, Cela proclamera le Nom du Seigneur. Cela vous dira ce que c’est, ce qui va arriver. Voyez? Si ça ne se fait pas, alors, je ne sais pas. Je ne peux que dire ce que Cela dit. Je ne peux pas Le forcer, c’est Dieu.

            Cela lui a donc dit qu’elle allait guérir de la maladie d’estomac. Cela a parlé à une autre femme qui avait une grosseur à la gorge, qu’au Nom du Seigneur, cela–cela–cela allait la quitter. Alors, elle, je lui ai dit de rentrer chez elle, a-t-elle dit, et de manger tout ce qu’elle voulait. Eh bien, elle a essayé cela. Eh bien, oh! la la! elle a failli mourir. Elle a essayé de manger, et elle vomissait et tout.

            Eh bien, des semaines s’écoulèrent, trois ou quatre semaines. Et un matin, la famille était partie au travail, les enfants étaient partis à l’école, et elle a eu très faim. Elle dit avoir senti, on dirait, quelque chose de froid l’envahir. Alors, elle a essayé de prendre un tout petit peu de pain grillé ; et cela n’est pas remonté. Elle a pris de l’avoine, cela ne s’est pas fait. Elle a pris une tasse de café. Oh! la la! Elle se sentait donc bien. Alors, elle s’est dit qu’elle partirait vite annoncer à sa voisine, dans la rue, ce qui était arrivé.

            Alors, elle témoignait toujours de sa guérison. Personne ne savait qu’elle ne pouvait pas manger, elle le savait donc seule. Et elle essayait de son mieux, mais, a-t-elle dit, elle retrouvait cela. Alors, elle a dit: «Si Dieu est capable de me dire par inspiration ce que j’étais, et ce que, comment je suis tombée malade et ce qui a fait que je tombe malade, et Il m’a dit que j’allais me rétablir, je crois ça.» C’est comme ça. C’est vrai. Elle en avait une idée.

            Elle est descendue dans la rue en courant pour l’annoncer à son amie, à quelques portes plus bas sur la rue. Et elle descendait la rue, puis elle est entrée dans la maison, elle allait l’annoncer à l’autre. Elle a entendu quelqu’un crier à tue-tête, la femme était au milieu de la pièce, la grosseur avait quitté sa gorge ce matin-là, et elle ne faisait que crier à tue-tête.

12        Qu’était-il arrivé? Le même Ange de Dieu qui avait placé ces choses, qui avait dit cette Parole de la part de Dieu, qui avait parlé par des lèvres, et avait dit ce que c’était, et leur avait annoncé que ça allait arriver, Il était passé dans le quartier ce matin-là, cherchant ces gens sur qui Il avait prononcé cette bénédiction-là. Et la question était réglée. Voyez? Voyez, cela ne peut pas vous arriver juste au moment exact où vous voulez que ça arrive. Mais s’ils ont dit quelque chose...

            Eh bien, regardez, Daniel, il y avait un Ange qui suivait Daniel. Est-ce vrai? Et une fois, cet Ange n’a pas pu accéder auprès de lui, je pense, après qu’il L’eut invoqué, pendant vingt et un jours. Est-ce vrai? Vingt et un jours, Il avait été retenu, mais Il a fini par arriver là. Ne vous en faites pas, Il sera là, juste...

13        Maintenant, ce serpent d’airain... Eh bien, pour continuer avec ceci, ce qui est arrivé à Benton Harbor, dans le Michigan, à la Maison de David, un Juif qui avait donné à cet homme beaucoup d’aumônes, il m’a fait venir là pour une interview. Eh bien, j’avais quelques heures, nous avons roulé jusque là. Le vieil homme et moi, nous nous sommes assis dans une balançoire, et ce rabbin est sorti. Evidemment, il n’a pas enlevé son chapeau, il a gardé son chapeau sur lui, un jeune homme dans la trentaine, il avait une barbe noire. Il a dit: «Est-ce vous monsieur Branham.»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Il a dit: «Par quelle autorité avez-vous ouvert les yeux à John Rhyn?»

            J’ai dit: «Je ne lui ai jamais ouvert les yeux.»

            Il a dit: «Eh bien, qu’est-ce qui a ouvert ses yeux?»

            J’ai dit: «Jésus-Christ, le Fils de Dieu, lui a ouvert les yeux.»

            Il a dit: «Du non-sens.» Il a dit: «Jésus n’était pas le Christ, Il n’était pas non plus le Fils de Dieu.»

            J’ai dit: «Eh bien, les yeux de John sont ouverts, n’est-ce pas?»

            Il a dit: «Oui, ça, c’est vrai.»

            J’ai dit: «Eh bien, j’ai utilisé le Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, en priant pour lui.» J’ai dit: «C’était par ce Nom-là, et par cette puissance-là, que la vue a été restituée.»

            Il a dit: «Jéhovah a fermé les yeux sur votre ignorance.»

            J’ai dit: «Eh bien, peut-être qu’Il l’a fait.» J’ai dit: «Mais les yeux de John sont ouverts!»

            Il a dit: «Jésus, a-t-il dit, Il n’était qu’un voleur. Il traversait un champ de maïs et Il–Il–Il–Il a arraché des épis des maïs et les a mangés.» Il a dit: «C’est contraire à la loi. Il ne devrait pas faire cela.» Il a dit: «Il n’était qu’un voleur.»

14        J’ai dit: «Eh bien, alors, Il était le Maître du sabbat.» J’ai dit: «Vous osez Le taxer de voleur alors que vos propres lois L’ont justifié.» J’ai dit: «D’après vos propres lois, il est écrit que si un homme traverse un champ de maïs, il peut manger ce qu’il veut ; pourvu qu’il ne mette rien à emporter dans le sac.» C’est vrai. C’est la–c’est la loi. Il pouvait manger ce qu’Il voulait. J’ai dit: «Il n’avait point brisé les lois.»

            «Oh! a-t-il dit, Il s’est fait Dieu, et Il a violé le sabbat.»

            J’ai dit: «Il était le Maître du sabbat, et Il était Dieu, aussi.»

            Et il a dit: «Oh! Du non-sens.» Il a dit–il a dit: «Vous–vous les Gentils, vous êtes tout embrouillés dans votre esprit.» Il a dit: «Vous...» Il a dit: «Vous–vous–vous les Gentils, vous ne pouvez pas découper Dieu en trois morceaux et Le donner à un Juif.» Il a dit: «Vous le savez.» Il a dit: «Vous tous, vous dites: ‘Notre Dieu.’» Et il a dit: «Vous avez trois dieux: ‘Dieu le Père, le Fils et le Saint-Esprit.’» Il a dit: «Vous avez trois dieux.» Il a dit: «Lequel d’entre eux est votre Dieu?»

            J’ai dit: «Tous les trois, c’est notre Dieu.»

            Alors, il a dit: «Eh bien, vous êtes tous fous.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, alors, regardez, j’aimerais vous poser une question.»J’ai dit: «Est-ce que vous, ne croyez-vous pas que Jésus était le Messie?»

            Il a dit: «Non, monsieur.»

            J’ai dit: «Vous croyez les prophètes, rabbin, n’est-ce pas?»

            Il a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Dans Esaïe 9.6, il est dit: ‘Un Fils nous est né, la domination reposera sur Ses épaules, et on L’appellera Conseiller.’» J’ai dit: «De qui le prophète parlait-il?»

            «C’est le Messie. C’était le Messie.»

            J’ai dit: «Alors, le Messie devait naître un Enfant. Est-ce vrai?»

            «Oh! oui. Oui, c’est exact.»

            J’ai dit: «Alors, quel rapport y a-t-il entre le Messie et Dieu?»

            Il a dit: «Il était Dieu.»

            J’ai dit: «C’est exact.»

            «Il–Il sera Dieu.»

15        J’ai dit: «C’est vrai. Il L’était.» J’ai dit: «Nous ne cherchons pas à vous dire qu’il existe trois Dieux, trois êtres différents.» J’ai dit: «Dieu est comme une règle à trois pieds. Exact.» J’ai dit: «L’Ange de Dieu qui... Qui était Celui qui conduisait Moïse au travers du désert, cette Colonne de Feu?»

            Il a dit: «C’était Jéhovah.»

            J’ai dit: «Exact. Et alors, personne ne pouvait même toucher la montagne où Il était.» Et j’ai dit: «C’était Jéhovah ; personne ne pouvait Le toucher. Et quand Il est descendu sur la montagne, celle-ci fut tout embrasée, et Il a écrit les commandements?»

            «Oui, c’était Jéhovah.»

            J’ai dit: «Alors, Dieu s’est dévoilé dans un corps né d’une vierge.» Voyez? En effet, le Messie avait couvert de Son ombre une petite femme ; Il a créé dans son sein une cellule de sang qui a donné naissance au Fils de Dieu.» J’ai dit: «Alors, Dieu est venu, Il a habité en Lui. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.» J’ai dit: «Croyez-vous cela?»

            «Non, je ne vois pas...»

            J’ai dit: «Eh bien, Il l’était. Il était–Il était l’Etre triple.»

16        Remarquez. Et j’ai dit: «On pouvait alors Le toucher. Mais Il était un corps né d’une vierge. Que faisait-Il? Il se frayait une voie dans les coeurs des hommes.» J’ai dit: «Ensuite, quand Il est parti, Il a dit: ‘Je suis venu de Dieu, Je retourne à Dieu ; de par l’offrande de ce Corps, qui était Son Fils, Dieu vivant dans Son Fils, Il a offert ce Corps pour le pardon des péchés.’» Et j’ai dit: «Par cela, par le Sang de Son corps né en dehors du sexe, Il nous rachète de notre naissance que nous avons eue par le sexe, et Il noue une relation avec nous. Et Il est revenu sous la forme du Saint-Esprit et Il vit en nous. Le même Dieu, d’un bout à l’autre, la même chose.» J’ai dit: «Il a dû devenir le...» J’ai dit: «C’est la raison pour laquelle nous avons reçu la commission de baptiser au Nom du Père, Fils, Saint-Esprit, car c’est le même Dieu sous la dispensation du Père, du Fils, du Saint-Esprit. C’était absolument le... Nous n’avons pas trois dieux, nous avons un seul Dieu dans trois dispensations. C’est exact, un Etre triple de Dieu, Dieu le Père, le Fils et le Saint-Esprit.»

            Alors, ce Juif-là a vu ça. Eh bien, c’était une pierre d’achoppement pour les Juifs depuis–depuis que le chrétien, lors de la réforme, cela n’était pas clarifié ; et puis–et puis avec ça, c’est ce qui a achoppé les Juifs tout du long. Et il a vu cela, et il s’est mis à pleurer. Il a fait demi-tour, Il a dit: «De ces pierres Dieu est capable de susciter des enfants à Abraham.»

17        J’ai dit: «Rabbin, vous savez, vous croyez cela.» J’ai dit: «Dieu par Sa miséricorde, depuis Là-Haut, Il a eu à se frayer une voie, Il a nettoyé le chemin du péché au cours des dispensations jusqu’à descendre vivre dans des hommes, communier de nouveau avec des hommes, comme Il l’avait fait dans le jardin d’Eden.» Alléluia!

            Si ce n’est pas là la grâce, je ne sais pas ce que c’est, frère. Comment Dieu, Jéhovah, s’est rendu, ce Grand Etre là, Qui (Oh! la la! et comme Il s’est humilié) est descendu, Il a créé Son propre Corps, pour vivre dans un Tabernacle ici parmi nous (Emmanuel, marchant parmi nous: Dieu en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.), et Il a livré Son corps, la chair, qui était le Fils de Dieu. Jésus était le Fils de Dieu, qu’Il a eu ici sur terre, et Il a demeuré dans ce Fils comme un Etre, se manifestant. Jésus a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres (L’individu, Jésus), mais, a-t-il dit, c’est Mon Père qui demeure en Moi, c’est Lui qui fait les oeuvres.»

18        Eh bien, c’est juste comme ça: Dieu, le Père, était le premier six, ou le premier douze pouces ; Dieu, le Fils, le deuxième douze pouces ; et Dieu, le Saint-Esprit, le troisième douze pouce. C’est une seule règle, une règle a trois pieds, mais le même Dieu dans chaque dispensation, vous voyez, le même Dieu. Eh bien, Il travaille aujourd’hui dans les hommes. Croyez-vous cela? Et Dieu vit dans les hommes, ici même, avec nous ce soir.

            Oh! Comme l’amour de Dieu s’est dévoilé, en descendant! Oh! apportant... Je... Ce–c’est plus que je peux–que je peux concevoir, comment un Dieu saint a pu descendre se frayer la voie, se dévoilant, pour venir parmi les hommes vivre dans les hommes. «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus»; c’était l’Esprit parlant par Jésus, «mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.» Est-ce vrai?

            Maintenant, les incroyants se présentent là et disent: «Ça n’existe pas.»

            Regardez-Le, quand Il était ici sur terre, Il ne (Jésus) Il ne prétendait pas être une grande personne, Il disait qu’Il était le Fils de Dieu. Il a parlé à la femme au puits.

            Il y a quelqu’un qui essaie... qui me disait l’autre jour que Jésus n’avait jamais dit qu’Il était le Fils de Dieu.

            Assurément qu’Il l’a dit. Il a dit qu’Il était le Fils de Dieu. Oh! Il a parlé à la femme au puits. Elle a dit qu’elle savait que le Messie viendrait.

            Il a dit: «C’est Lui, qui vous parle.» Il était le Fils de Dieu. Et Il a dit–Il a dit, quand Il était ici sur terre, qu’Il ne prétendait pas être quelqu’un de grand ; Il était humble. Il était obéissant au Père céleste ; Il allait de lieu en lieu, faisant ce que Dieu Lui disait de faire. Il pouvait avoir des visions. Il pensait... Il connaissait les pensées de l’esprit des gens ; Il savait ce qui clochait chez eux. Dieu Lui montrait ce qui allait arriver, avant que cela arrivât, Il l’annonçait aux gens.

19        Considérez la résurrection de Lazare ; quand Il a quitté la maison de Son copain, le Père Lui avait montré ce qui allait arriver. Trois jours s’écoulèrent, Il a dit: «Lazare dort.» C’est la raison pour laquelle Il savait que Lazare, en ce temps-là, devait être mort. Et alors, Il a dit: «Mais je vais le réveiller.» Est-ce exact? «Je vais le réveiller.» Maintenant, suivez.

            Quand Il est arrivé à la tombe, Il a dit: «Père, Je Te loue de ce que Tu l’as déjà fait ; mais Je l’ai dit à cause de ceux qui se tiennent ici.» Voyez? «Juste à cause de ceux qui se tiennent ici, Je l’ai fait à titre d’exemple ; de prier. Mais Je sais ce qui va arriver, car Tu Me l’as déjà montré.» Alors, Il a dit: «Lazare, sors.» Et un homme mort depuis quatre jours est revenu à la vie. Voyez?

            Et Il n’avait ressuscité que trois personnes dans tout Son ministère ; ceux dont nous avons des témoignages, de trois personnes ; trois, c’est une confirmation: «Toute parole sera établie par la déposition de deux ou trois témoins.»

20        Eh bien, remarquez ici, Moïse... Quand ces gens avaient péché contre Dieu et contre Moïse, ils avaient péché contre Dieu en parlant contre Dieu, en parlant contre Son conducteur. Et maintenant, j’aimerais vous faire remarquer, Dieu a dit à Moïse d’aller faire quelque chose: faire un serpent et le suspendre à une perche. Or, c’était le serpent qui était une morsure mortelle. Et il l’a fait en airain, et il l’a suspendu à une perche.

            Maintenant, ce que cela représentait, eh bien, la première chose, les gens avaient péché, et ils mouraient de maladies. Eh bien, observez cette double raison, là. Ils étaient... Ils avaient péché, ils se mouraient de maladie à cause du péché ; et tout péché est un effet direct, ou est causé directement... toute maladie plutôt est une conséquence directe du péché. Avant que nous connaissions le péché, nous n’avions pas de maladie, et la maladie est un attribut du péché ; peut-être pas ce que vous, vous avez commis, mais ce que quelqu’un a commis avant vous, vous avez hérité. La maladie est un attribut du péché.

21        Maintenant, Dieu montre sous forme de–de type. Eh bien, la première chose, la perche représentait la croix, le bois. Le serpent lui-même étant un serpent, il représentait le péché déjà jugé, car Dieu avait jugé le serpent dans le jardin d’Eden. Mais l’airain représentait le jugement divin, c’était comme le bassin d’airain. Du temps d’Elie, on a regardé là, il a dit: «Les cieux paraissent comme de l’airain.» C’était le jugement divin sur tout le pays, pas de pluie ; le jugement divin.

            Et remarquez que ces gens devaient regarder, ou contempler ce serpent d’airain ; le serpent ne pouvait pas prier pour eux, ils devaient simplement regarder pour vivre. Et il y avait une double raison à cela: ôter leur péché, guérir leur maladie.

            Et là, Jésus en parlant a dit: «De même que Moïse a élevé le serpent d’airain dans le désert, il faut que le Fils de l’homme soit élevé.»

            Maintenant, si le type a accompli la guérison, qu’en est-il de l’antitype? Si le serpent d’airain, l’ombre, a opéré la guérison, que fera Christ, lorsqu’on Le regarde?Regarde et vis, mon frère, vis!Regarde Jésus maintenant et vis ;

            Voyez? Il est l’antitype. Il est le positif, alors que cela était le négatif. Cela était une ombre ; juste comme mon ombre, et ceci est, ça pourrait être moi-même, et voilà mon ombre. Combien plus ceci est réel par rapport à ça. Eh bien, combien Jésus est réel ce soir, par le Saint-Esprit, après avoir été élevé au Calvaire pour un monde de péché, maudit avec la maladie, et maintenant pour avoir été élevé: «Il était blessé pour nos péchés ; et c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris.» Puis, à part cela, Il est descendu de la croix ; et de la croix, Il est allé à la tombe, Il est revenu ; le Corps est monté au Ciel, auprès de Dieu le Père ; et Son Esprit est retourné sur la terre, Il vit parmi les gens.

22        Tout le monde connaît, dans l’Ancien Testament, comment on donnait les signes pour un contrat. Dans l’Ancien Testament...

            De nos jours, lorsque nous concluons un contrat, nous disons: «Serre-moi la main en signe d’accord.» Nous nous accordons. En Chine, ils se jettent un peu de sel l’un sur l’autre. C’est un accord.

            Mais dans l’Ancien Testament, la façon dont ils concluaient un accord, ils prenaient un animal, ils le tuaient, le coupaient et se tenaient entre les morceaux de l’animal mort ; comme Dieu l’a fait avec la petite Lumière blanche, confirmant l’alliance avec Abraham, qu’Il le sauverait, lui et sa postérité. Et il s’est tenu là. Et ils rédigeaient un contrat: «Moi John Doe, j’accepte de faire telle et telle chose.» Et puis, ce contrat était déchiré en deux ; une personne prend un morceau, et une autre, un autre. Ils prenaient un engagement.

23        [Espace vide sur la bande–N.D.E.] «... Tes mains, Je confie Mon Esprit.» Et il a détaché la Vie de Christ, Il a pris le corps et Il l’a placé à Sa droite, Il a renvoyé le Saint-Esprit à l’église ; c’est l’alliance inconditionnelle donnée à l’homme ce soir. Frère, la Vie de Jésus-Christ doit être dans chaque individu ; c’est l’alliance de Dieu. Et aussi certainement que vous êtes né de l’Esprit de Dieu, le Saint-Esprit en vous, Dieu s’est engagé avec serment (Alléluia!) de vous ressusciter dans les derniers jours, de guérir la maladie.

            Je me sens bien religieux maintenant même. Je n’aimerais pas commencer... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

24        Voyez? Je dois prier pour les malades, mais vous y êtes. L’alliance que Dieu a conclue: «De même que Moïse a élevé le serpent dans le désert, il faut que le Fils de l’homme soit élevé.» C’était l’alliance: regarde et vis.

            Maintenant, le Saint-Esprit condescend comme Il est descendu: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus.» Le monde, c’est quoi? N’était-ce pas le monde là, le cosmos qui veut dire le–le–l’ordre du monde? Le, je veux dire, le monde dans son... la terre? Cela voulait dire l’ordre du monde, les gens. «Le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez.» Vous qui? L’Eglise. «Vous Me verrez, car Je... (Un pronom personnel) Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.» Jésus-Christ ressuscité dans Sa puissance avec des signes et des prodiges, opérant parmi un peuple.

            Frère, Dieu a toujours confirmé Son Eglise avec des signes et des prodiges, depuis la Genèse, jusqu’au départ dans l’Apocalypse. Peu importe ce que leur enseignement a été, Dieu a toujours suspendu cette Colonne de Feu au-dessus des Israélites. Il était avec Jésus-Christ ; Il... avec l’église ici ; Il était avec les disciples.

            Et Il a commissionné: «Dans les derniers jours, les hommes seront emportés, enflés d’orgueil, des érudits instruits et autres ; ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force.» Aujourd’hui, nous avons beaucoup de gens qui ont une église toute élaborée, avec des formalités, des rites et la théologie.

            Mais, frère, Dieu confirme où Il est, avec les mêmes signes ; le même Saint-Esprit ; la même Colonne de Feu ; les mêmes prodiges ; le même Jésus vivant parmi eux, révélant les pensées des gens, les secrets de leurs coeurs ; guérissant les malades, faisant voir les aveugles ; les remplissant du Saint-Esprit ; donnant la joie, la paix. Eh bien, comment–eh bien, comment pouvons-nous nier une Personne si tendre? Amen.

            Je L’aime, pas vous? Inclinons la tête.

25        Notre Père céleste, il y a ici devant moi un tas de mouchoirs. Ils représentent de pauvres gens malades et souffrant. Un de ces glorieux jours, tout sera fini, et nous retournerons à Ta maison. Ô Dieu, aide-nous à avoir une profonde sincérité maintenant. Bénis-nous maintenant. J’impose mes mains sur ces mouchoirs. Tu sais qu’il n’y a pas de vertu dans un quelconque homme, mais la vertu (Il n’y avait pas de vertu dans le serpent, ni dans l’airain dont il était fait, ni dans la perche où il était suspendu.), mais la vertu, c’était de faire ce que Dieu avait ordonné. Et ceci est la commission. Nous lisons cela dans la Bible, que Tu as honoré la foi des gens ; quand on retirait des mouchoirs et des linges qui avaient touché le corps de Ton serviteur, les esprits impurs les quittaient. Tu es toujours Dieu ce soir, et nous croyons en Toi. Je Te prie de guérir tous ces gens, et de les rétablir complètement, au Nom de Ton Fils, Jésus.

            Et maintenant, Seigneur, je me sens très heureux ce soir. Ô Dieu, je jette un regard sur la route, là, à une courte distance ; et je peux donc, on dirait, je vois de grandes choses. Je suis très heureux, je Te suis très reconnaissant. Et je crois que nous sommes bien à la veille, Seigneur, de l’une des plus grandes secousses que le monde ait jamais reçue. Laisse-moi vivre jusqu’à voir cela, Père. Je Te prie de le faire.

            Maintenant, pendant que nous évoluons lentement, que Ton Esprit vienne ce soir, avec une grande puissance. Que ceux qui sont assis ici, venant de différentes églises, ayant suivi divers enseignements, et certains parmi eux avec diverses conceptions, des superstitions et tout le reste, puissent-ils mettre tout cela de côté et dire: «Si Jésus est ressuscité d’entre les morts, et qu’Il a promis de faire les mêmes choses, nous croyons qu’Il est ici ce soir pour faire cela.» Accorde-le, Seigneur.

            Et, aide-moi maintenant, bénis-moi pendant que je sers Ton peuple. Et je sais qu’en les servant, je Te sers ; car Tu as dit: «Toutes les fois que vous avez fait ces choses au plus petit de Mes enfants, c’est à Moi que vous les avez faites.» Accorde de grandes bénédictions, la guérison de tous les malades, le salut de chaque âme, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ...?...

26        Les Ecritures enseignent-Elles, dans Hébreux 13.8, que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement? Alors, Jésus-Christ a-t-Il dit: «Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir»? Nous savons que Dieu le dit. Jésus a-t-Il dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus ; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde»? Jésus a-t-Il dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais»? A-t-Il dit cela? «Même de plus grandes, car Je M’en vais au Père?» Eh bien, voyons quel Personnage Il était, quel genre de Personne.

            Si vous parcourez Evansville ce soir à la recherche de Jésus-Christ, s’Il était ici sur terre, laissez-moi voir quel genre de Personne on pourrait trouver. Eh bien, laissons tomber les rideaux sur notre théologie maintenant. Il ne serait pas habillé différemment d’un autre homme. Il était comme tous les autres ; Il passait directement au milieu d’eux sans qu’ils reconnaissent qui Il était. Même après Sa résurrection, Il a parlé à quelques-uns toute la journée, un jour, Il a marché avec deux d’entre eux sur la route vers... je pense, oh! c’était tout un voyage d’un jour de sabbat ; je ne sais pas la distance qu’il y avait jusqu’à Emmaüs, mais c’était une bonne distance. Et Il a marché avec eux, mais ils n’ont pas reconnu cela. Il s’habillait comme tout autre homme. Est-ce vrai? Il était un homme plein d’amour, plein de compassion ; mais cependant, Il pouvait parler.

27        Quel genre de personnes Le suivaient? Quel genre de foule avait-Il? Etait-Il chez les grandes autorités? Celle-là Le condamnaient, elles disaient qu’Il était un démon.» Il était juste... Ils ont vu qu’Il pouvait... Il connaissait les pensées des gens. Il était un liseur de pensée. C’était vrai, Il connaissait leurs pensées. Et les gens ont dit: «Il est... Eh bien, Il n’est que... Il est un... Il n’est qu’un démon ; Il est Béelzébul.» Est-ce exact?

            Alors, qui Le suivaient? Luc nous dit que les gens ordinaires L’écoutaient avec joie, juste les gens du commun, les gens ordinaires. Les pêcheurs et autres, là à la rivière, ce–c’étaient ceux-là qui L’écoutaient.

            Il allait de lieu en lieu, «un homme de douleur habitué à la souffrance.» Il n’était pas un Homme très grand, très fort, peut-être qu’Il pesait deux cents livres [90,7 kg]. Eh bien, probablement qu’Il était un petit Homme mince. Mais maintenant, j’aimerais vous faire remarquer le genre de ministère qu’Il avait. Prétendait-Il être un guérisseur? Non, Il ne prétendait pas être un guérisseur. Il a dit: «Je ne peux rien faire ; tout ce que Je fais, a-t-Il dit, c’est ce que Mon Père Me montre.» Est-ce vrai? Il a dit: «En vérité, en vérité...» (Saint Jean 5.19, après qu’Il fut passé à côté de tous ces estropiés,) Il a dit... Il n’a guéri aucun d’eux, Il est directement allé auprès d’un homme qui souffrait d’une espèce de maladie qui avait duré trente-huit ans. Il pouvait même marcher et entrer dans la piscine, et il a dit: «Mais pendant que j’y vais, quelqu’un en meilleur état que moi me devance.» Il était couché sur un grabat, une petite couverture piquée avec un oreiller, peut-être, il était couché là, il cherchait à entrer dans la piscine. Jésus savait qu’il était là, Il savait depuis combien de temps il y était. Il savait comment–comment il a été là, Il savait ce qui clochait chez lui. N’est-ce pas? Il savait qu’il était dans cette condition-là depuis trente-huit ans.

28        Eh bien, alors, Il a juste guéri ce seul homme. Pourquoi? Il connaissait son état, Il s’en est allé, laissant les autres. Pourquoi a-t-Il laissé les autres? On dirait qu’Il les aurait guéris tous, n’est-ce pas? Mais Il ne l’a pas fait.

            Les Juifs L’ont interrogé. Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.» Est-ce vrai? «J’ai seulement une vision, et tout ce que le Père Me montre, Je vais le faire.»

            «Oh! dites-vous, Frère Branham, je connais beaucoup de gens...»

            Oui, une femme toucha le bord de Son vêtement ; Il n’avait pas eu de vision à son sujet. Regardez, Il n’a point dit qu’Il l’avait guéri, Il a dit: «Ta foi t’a guérie.» Est-ce vrai?

            Regardez les aveugles qui Le suivaient, disant: «Aie pitié de nous. Aie pitié de nous.» Il n’avait pas eu de vision à leur sujet. Il est simplement allé de l’avant, dans la maison. Et quand on a amené les aveugles auprès de Lui, Il leur a touché les yeux, Il a dit: «Qu’il vous soit fait selon (Quoi?) votre foi.» Est-ce vrai? Et leur foi était correcte: «Leurs yeux s’ouvrirent.» Eh bien, c’est l’Ecriture.

            Croyez-vous que Jésus avait dit la vérité? Eh bien, Jésus a dit, dans Saint Jean 5.19, qu’Il ne faisait rien avant que le Père le Lui ait montré: «Je... Le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, Il le fait. Le Père agit jusqu’à présent, et Moi aussi.» En d’autres termes, Il ne faisait que répéter une scène que le Père Lui avait dit de faire.

            Mais Il connaissait en fait leurs pensées. Quand Il marchait, Il connaissait leurs pensées, Il a dit: «Pourquoi discutez-vous? Pourquoi raisonnez-vous dans votre coeur?» (A quelqu’un là.) «Pourquoi faites-vous ceci? Et pourquoi faites-vous cela?» (Parmi eux.)

29        Eh bien, s’Il est ressuscité d’entre les morts, le monde ne Le verrait plus, ne Le reconnaîtrait plus, mais l’Eglise Le reconnaîtra, et Il fera maintenant les mêmes choses qu’Il faisait jadis ; Il peut donc produire les mêmes oeuvres ce soir dans Son Eglise. Est-ce vrai?

            S’Il fait cela, s’Il fait cela, L’accepterez-vous comme votre Sauveur, si vous êtes un pécheur? Vous êtes un rétrograde, retournerez-vous à l’église demain (ou ce soir, vous donner, retourner à Christ ce soir), revenir à l’église demain, et rendre louange à Dieu?

            Et si vous êtes malade ce soir, s’Il le fait, allez-vous dire: «C’est–c’est Dieu qui me prêche un sermon ; je vais accepter ma guérison, partir d’ici ce soir bien portant»? Allez-vous le faire? Que le Seigneur vous bénisse.

            Très bien. Ces cartes, c’était à partir d’où? X? Très bien. Ils ont distribué une centaine de cartes de prière de la série X. Nous ne pouvons pas trop prendre...

30        [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ...?... s’ils peuvent, ils vont de l’un à l’autre. Combien savent que c’est une Ecriture dans la Bible? Ils le font certainement. Ils vont de l’un à l’autre, soyez donc respectueux.

            Voyez, il arrive bien des fois que je vois Cela se déplacer et je Le vois se suspendre à un endroit, et même mon âme tremble en moi. Je me dis: «Ô Dieu, aussi certainement que deux fois deux font quatre, l’ombre est là en bas ; cela va arriver, là même de nouveau.» Voyez? Et si vous chassez cela directement de quelqu’un ici, et ça passe directement à un autre là, ou juste à un autre là-bas, ou quelque chose comme cela. Ça se fait. Maintenant, mes amis, en tant que ministre de l’Evangile, avec la Parole de Dieu devant moi pour prouver que c’est la Vérité, avec des centaines de cas derrière, et l’histoire reconnaît que c’est la Vérité.

31        Il n’y a pas longtemps à Phoenix, en Arizona, un homme était assis là, il disait: «Ce n’est rien au monde que de la psychologie, disait-il, c’est tout, cet homme est simplement en train de lire leurs pensées.»

            Et j’ai dit: «Que tout le monde incline la tête.» Il est simplement resté assis là avec la tête relevée, il ne voulait pas incliner la tête. Je pouvais savoir que c’était quelque part, je continuais à regarder tout autour, j’ai repéré l’homme. J’ai murmuré à l’un des huissiers à l’estrade d’aller lui en parler.

            Il a dit: «Je ne suis pas obligé. Ceci est un lieu public, et je ne suis pas obligé de le faire.» L’huissier est revenu m’en parler.

            J’ai dit: «Très bien.» Ce qu’il y avait, il y avait un enfant qui piquait une crise d’épilepsie, il avait une pince à linge dans sa bouche avec un lambeau enroulé tout autour, et il a piqué une crise juste à l’estrade.

            Je ne voudrais pas... Je n’arrivais pas à faire partir cela ; cet homme était désobéissant. L’Ange a dit: «Si tu amènes les gens à te croire.» Si vous ne faites pas ce qu’on vous dit de faire, ils montrent donc qu’ils ne te croient pas. Voyez? Si tu leur dis d’aller faire quelque chose, ils restent simplement debout, eh bien, alors, il–il n’y a rien que je puisse faire, ni rien que Dieu puisse faire, personne. Voyez? L’homme est resté donc assis.

32        J’ai dit: «Très bien. Que Dieu laisse... que cet enfant innocent n’ait pas à souffrir à cause de votre désobéissance. Rappelez-vous, vous avez été averti.» Et j’ai demandé au Père céleste de bien vouloir aider, et–et de ne pas laisser cet enfant souffrir à cause du péché de cet homme ; et la crise a quitté l’enfant.

            L’homme est resté assis là quelque temps, puis il s’est directement levé, et il est sorti ; deux jours plus tard, on l’a ramassé dans une rue piquant une forte crise d’épilepsie. Et il s’est fait qu’il faisait partie de quelque... il était un agent de police ou un capitaine de gendarmerie, ou quelque chose de ce genre-là dans la ville.

            Environ six semaines plus tard, j’étais à Santa Rosa, en Californie. On l’avait fait asseoir en un lieu là, le regard fixe, comme ceci, et il n’avait pas arrêté de piquer des crises, c’était constant. Il piquait des crises tout le temps, son visage était tout recouvert de barbe.

            Alors qu’on allait me faire sortir, sa pauvre femme gisait là dans la boue, elle se traînait, elle s’accrochait à la jambe de mon pantalon, je ne savais pas ce que c’était, et elle tirait. Alors, je me suis dit que c’était frère Brown, j’étais mi-inconscient, en sortant de la réunion. Elle a dit: «Révérend Branham, vous ne pouvez simplement pas dépasser ceci, c’est tout ce qu’il y a là, a-t-elle dit, vous ne le pouvez simplement pas.»

            Elle a dit: «Miséricorde! Oh! appelez, a-t-elle dit ; j’ai dit–j’ai dit: ne le laissez pas, comme cela.»

            J’ai dit: «Qu’y a-t-il?»

            Et frère Brown a dit: «Madame, vous allez simplement...» Et il a donc tiré sur ses mains.

            «Eh bien, ai-je dit, qu’y a-t-il, Frère Brown? Voyez, et laissez simplement frère Moore me faire passer.»

            Nous sommes allés de l’avant, nous avons avancé un petit moment, et nous sommes revenus. On m’a fait entrer dans la pièce où était l’homme. Et il était là, assis là, juste six ou huit semaines, le regard fixe constamment comme cela, les yeux simplement fixes. La voie du perfide est rude, vous savez.

33        Y a-t-il ici quelqu’un qui était à la série de réunions de Tacoma, dans le Washington? Je ne vois pas de mains, mais... Quoi? Oui, vers la porte. Etiez-vous à Tacoma, dans le Washington, frère, vers la porte, à la série de réunions de Tacoma, dans le Washington? Ce–c’est... Oui.

            L’homme était assis de ce côté-ci, il ne voulait pas incliner la tête devant un cas de fou, alors cet esprit a quitté là. Ce gars était si simplement–simplement stupide, il ne voulait pas écouter. Il a dit: «Du non-sens!» Et il a dit comme cela, et il a dit simplement cela une fois de trop. Cette crise a quitté l’homme et est retombée sur lui, et il avait l’air d’un poulet qui sautillait, comme ça, çà et là sur toute la place, comme cela. Des milliers dans cette grande arène de glace ; vous en voyez la photo dans le livre, là. Et il était là, çà et là partout.

            Ils... Sa famille essayait de tirer... J’ai dit: «Eh bien, c’est entre lui et Dieu. Voyez? Ce... Je n’ai rien à faire avec ça. Non, non. Oui.» Eh bien, si quelqu’un était respectueux, et que quelque chose lui arrivait comme cela, ça serait différent. Mais comme il était désobéissant, alors c’est–c’est votre affaire. Voyez? Vous pouvez...

            Je ne peux que dire ce qu’est la vérité. Et si je dis la vérité, Dieu confirmera la vérité. Est-ce vrai? Très bien.

34        Maintenant, veuillez être aussi respectueux que possible. Maintenant, si je–je marque une petite pause, certains parmi vous les prédicateurs, surveillez, et ne laissez pas, à peu près chaque quinze minutes, attirez mon attention si je ne prends pas cela ; ainsi donc, si les gens doivent se déplacer ou quelque chose comme cela, vous pouvez aller. Je voudrais, monsieur, est-ce vous... Vous êtes l’organiste là ce soir, n’est-ce pas? C’est vous qui êtes à l’orgue? Reste Avec Moi, très doucement, s’il vous plaît, juste un instant.

            Maintenant, souvenons-nous tous donc, Jésus est ressuscité d’entre les morts. Reste veut dire demeure, et pensons donc à Lui, comme étant ici maintenant. Qu’arriverait-il s’Il entrait en scène maintenant même? Imaginons-nous. Je Le vois, Il traverserait le mur là, Il descend, Il vient ici à l’estrade, Il se tient devant ce microphone.

            Maintenant, que dirait-Il à la femme? En ce qui concerne sa guérison, Il dirait: «Quand Je suis mort là à la croix, Je t’ai guérie.» C’est l’Ecriture, Elle ne peut pas être brisée. «Il était blessé pour nos péch-... c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» Est-ce vrai? Il lui dirait ce qui clochait, s’Il parlait à la femme, comme à la femme au puits.

35        Or, cette dame, à ce que je sache, je ne l’ai jamais vue. Est-ce vrai? Nous sommes inconnus, n’est-ce pas, madame? Tout ce que je sais, c’est que vous vous tenez ici même à l’estrade ; je ne vous ai jamais vue de ma vie.

            Et vous tous là dans l’assistance, vous sans cartes de prière, vous qui n’avez pas de carte de prière, j’aimerais que vous soyez en prière, et croyez que Dieu va–va vous guérir, voyez, que vous... Que Dieu va vous guérir.

            Et demandez-Lui, dites: «Ô Dieu, j’ai besoin de Toi, fais ceci pour moi. Je ne doute pas de Toi, j’accepte cela de tout mon coeur, je crois cela, mais veuille simplement me parler, ici dans l’assistance, et je suis en train de prier maintenant. Et si Tu amènes ce frère-là à me parler, ici dans l’assistance, pendant que je suis assis ici, n’ayant aucun moyen d’aller à l’estrade, je n’ai pas de carte de prière ni rien, et je suis simplement assis ici, et il n’y a aucun moyen pour moi d’avoir une audience ; mais j’aimerais savoir, Seigneur, si seulement Tu peux parler au frère, et que Tu lui accordes de se retourner et de me dire quelque chose en rapport avec ma vie, ça sera une–une confirmation, je Te croirai de tout mon coeur ; et je–je–je partirai d’ici heureux, croyant ma guérison, croyant que Tu m’as guéri, jadis, il y a longtemps.»

            Priez comme cela et demandez à Dieu de vous aider, pendant que je parle à la femme.

36        Maintenant, évidemment, vous pouvez sentir cela provenir de plusieurs points: «Il va lire la pensée de la femme.»

            Non, ce n’est pas ce que je fais, je ne vais pas le faire, même... Dieu au Ciel sait cela, avec ma Bible sur mon coeur, devant le Dieu Tout-Puissant, devant qui je me tiens, je ne suis pas un liseur de pensée. Non, non ; non, non. Et je sais que je dois affronter le Jugement un jour. Non, non.

            Mais devant Dieu, devant qui je me tiens, avec ma Bible posée ici, l’Ange de Dieu, cette Lumière que vous voyez sur cette photo-là, je sais que c’est réel. J’ai vu Cela, juste en pleine lumière du jour se tenir là, juste là où j’étais: des visions. Dieu sait que c’est vrai.

            Cela révèle des choses, vous savez, c’est vrai, cela prédit des semaines, des mois, et même des années avant que cela arrive. Mais jamais, une seule fois, cela n’a dit une seule chose qui n’ait été l’exacte vérité.

37        Maintenant, j’aimerais juste vous parler, madame. La raison pour laquelle j’aimerais vous parler, c’est pour une seule raison, c’est que, vous êtes–vous êtes une dame, et moi un gentleman. Nous allons présenter cela comme ça.

            Eh bien, maintenant, tout autour dans cette salle ici, cette salle est pleine d’électricité. Croyez-vous cela? Maintenant, et si j’allais me tenir ici en plein milieu du jour, ici dehors dans la rue, et que je me mettais à pousser des cris et crier de tout mon coeur: «Electricité, éclaire. Electricité, éclaire»? Cela n’éclairerait jamais. Je dois suivre la loi de l’électricité. Est-ce vrai? Combien croient que c’est vrai? Dites: «Amen.» [L’assistance dit: «Amen.»–N.D.E.] Eh bien, la façon dont j’allume l’électricité... L’électricité passe par ces lampes, c’est mis dans un tube. Pourtant, dans toute cette salle, il y a l’électricité. Mais l’unique chose que nous pouvons contrôler, c’est ce qui est dans la lampe.

            Eh bien, alors, Dieu a une loi, et cette loi est l’amour. Dieu ne peut pas travailler contre Lui-même. Si donc j’aime Dieu correctement, alors je vais témoigner de la vérité au sujet de Dieu, si je L’aime. J’ai une femme ici dans cette salle. Dieu sait combien je l’aime. Eh bien, vous savez, tout bien, et tout, ça sera pour ma femme. Vous le savez. Assurément. Juste comme votre mari le serait vis-à-vis de vous. Eh bien, maintenant, si nous aimons Dieu, alors, ma confiance devient parfaite en Lui, se perfectionne au fur et à mesure que je L’aime. Maintenant, Il ne peut pas briser cette loi de l’amour, voyez, parce que cela est dans mon coeur.

            Eh bien, Il m’a promis par Ses Paroles, premièrement, Ceci ; ensuite, Il a envoyé un Ange, et Il m’en a parlé. Et Il m’a dit qu’Il serait avec moi et qu’Il m’aiderait. Alors, cette loi-là ne peut pas être brisée. Je dois donc trouver cette loi-là, puis la chose suivante, vous vous tenez là, comme je le dirais en termes médicaux, un patient. Très bien.

            Maintenant, si Dieu m’a envoyé, comme un sarment d’un arbre, pour faire quelque chose pour vous à ce même arbre, si vous êtes une chrétienne, eh bien, alors, s’Il m’a envoyé faire quelque chose pour vous, il devra y avoir un contact que je devrais avoir avec vous. Alors, si c’est pour découvrir quelque chose qui est dans votre vie, que–que vous–que vous auriez vraiment dû faire, alors je vais... cela devrait m’être montré.

            Dieu a un enregistreur, La-Haut, de tout ce que vous avez fait depuis que vous êtes sur terre. Et Il peut rejouer ce film-là pour moi, s’Il le veut.

38        Et c’est ce que Jésus a fait, quand Il a parlé à la femme au puits. Il a dit: «Apporte-Moi à boire.»

            Elle a dit: «Pourquoi me demandes-Tu cela?», vous savez, ainsi de suite.

            Mais que faisait-Il? Il cherchait à contacter son esprit. C’est exactement ce que je cherche à faire maintenant, exactement, entrer en contact avec vous, vous isoler de tous les esprits qui sont tout autour de moi, partout. Voyez? En fait, les gens, partout, croient ; partout, c’est devenu juste une grande foi. Alors, quand vous sentez vous-même, comme, vous entrez dans un canal, cela commence simplement de ce côté-ci, ce côté-là. Voyez?

            Mais je dois vous le dire, ça doit être vous, pas quelqu’un d’autre, vous. Puis, après quelques-uns comme cela, mon propre esprit commence à pénétrer là-dedans, alors je peux voir où cela se trouve, n’importe où. Hmm.

            C’est la raison pour laquelle je demande aux gens de monter premièrement à l’estrade ; en effet, j’étais en train de prêcher, et tout comme cela, et tout, et...

39        Mais vous–vous me croyez. Et vous êtes une chrétienne, vous êtes une croyante. Vous avez une... Le problème, c’est dans votre dos. N’est-ce pas vrai? C’est dans votre dos, je vois cela causer, là où ils... dans votre dos. Il semble y avoir quelque chose au sujet duquel vous êtes sérieusement dérangée, ou quelque chose comme cela. C’est au sujet d’un enfant. N’avez-vous pas un enfant qui parle drôlement ou quelque chose comme cela? Il a un–un défaut d’élocution, ou–ou–ou... N’est-ce pas vrai? N’est-ce pas que cet enfant est ici? Je le vois avec vous pendant que vous portiez ce manteau-là, et je–je sais que ça doit être ça. Venez ici juste un instant.

            Miséricordieux Père, alors que cette petite mère se tient ici, tremblante, sachant qu’elle est maintenant dans Ta Présence, que Tu peux l’aider, je Te prie de guérir son corps ainsi que son enfant, et puissent-ils tous deux quitter cette salle ce soir parfaitement normaux et guéris. Je dis à l’ennemi qui a lié leurs corps, au Nom de Jésus-Christ, je t’ordonne par le Sang de Jésus, l’Esprit du Saint-Esprit, qui est ici maintenant même, de quitter cette mère et cet enfant, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Eh bien, soeur, ce qui vous a été dit était vrai. Est-ce vrai? Eh bien, regardez, j’aimerais que vous... Je crois que c’était quelque chose au sujet d’un enfant qui était malade, ou l’une ou l’autre chose, vous avez un enfant. Les visions ne... très vite, ça ne colle pas avec moi, vous voyez ce que–ce que je... C’est quelque chose au sujet d’un enfant, je sais, un enfant. Très bien.

            Maintenant, j’aimerais que vous, quand vous arriverez auprès de l’enfant, où qu’il soit, vous mettiez les mains sur lui et que vous disiez: «Ô Dieu, je crois en Toi de tout mon coeur, maintenant.» Et l’enfant se rétablira. Vous aussi. Que Dieu vous bénisse.

40        Très bien. Où est le patient suivant? Est-ce vous la patiente, madame? Venez. Bonsoir.

            Je vois que vous portez l’une de ces photos. Oui, oui. Je vois cela juste un instant. Je me rappelle quand cela est arrivé. Voyez-vous comment le Feu tourne autour de Cela? Monsieur Lacy, là, il a dit que C’était un... On dirait une Lumière émeraude et c’est–c’est comme des flammes de feu.

            Vous savez, Dieu est un Feu. C’est ce qu’Il... Il se révèle dans le Feu et la Lumière. Vous savez cela. Pas tellement sous forme de la lumière cosmique, comme notre chair et tout, vous voyez.

            Vous rappelez-vous dans la Bible là où Pierre était en prison? Et une Lumière entra par la fenêtre, Elle entra dans la prison, ouvrit les portes de la prison, et le libéra. C’était la Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël. Ils étaient conduits par la Colonne de Feu. Je crois que c’est la Même. Je crois que c’est la même Colonne de Feu.

41        Je suppose que vous et moi, nous sommes inconnus. Je ne vous connais pas et je ne sais pas si vous me connaissez ou pas, mais nous sommes inconnus l’un à l’autre. Mais, croyez-vous que–que Dieu m’a envoyé pour vous aider? Vous croyez.

            Si je suis donc Son prophète, ou prédicateur, alors, ce que j’ai dit, Dieu confirmera que c’est la Vérité. Croyez-vous cela? Dieu, Il est infaillible, Il est infini, Il confirmera la Vérité. Et puis, Il peut...

            Eh bien, quant à vous guérir, je–je ne le peux pas. Il faudra votre propre foi pour faire cela. Mais si vous croyez que Dieu m’a envoyé prier pour vous, et que vous acceptez Jésus par mon enseignement, alors vous pouvez être guérie. Voyez? Si vous L’acceptez pour votre... Sa guérison pour votre corps, vous pouvez être guérie.

            Vous avez quelqu’un constamment à l’esprit. Cela doit... c’est–c’est votre mère. Vous avez une mère qui est–qui est malade, elle souffre d’une espèce de tension artérielle, ou quelque chose comme cela. Je vois qu’on met un appareil autour de son bras, on dirait l’hypotension, je pense que c’est ça, cela est allé... n’est-ce pas vrai? Oui, oui. Et vous avez, on dirait... quelque chose cloche dans votre dos et vous souffrez des nerfs. Vous êtes extrêmement nerveuse, et vous avez quelque chose dans votre dos, je constate. Et puis, il y a quelque chose à vos pieds, je vois que vous n’arrivez pas à vous déplacer correctement, c’est dans vos pieds. Est-ce vrai?

            Vous êtes... Ça devient sombre autour de vous. Ou est-ce votre mère? Non, c’est vous. Vous n’êtes pas une chrétienne. Vous êtes une pécheresse. Eh bien, Dieu ne voudra pas que je place cette bénédiction-là avant une chose. Maintenant, le même Jésus qui avait connu la femme au puits, Il sait bien exactement. Maintenant, je peux vous le dire maintenant. Vous–vous le savez.

            Mais vous, allez-vous L’accepter maintenant comme votre Sauveur? Allez-vous renoncer à vos voies, retournez à l’église faire ce que Dieu veut que vous fassiez, et vous rétablir, vous et votre mère? Allez-vous L’accepter maintenant alors que je...

            [La dame dit: «Je ne sais pas ce que vous dites.»–N.D.E.]

            Je dis: «Allez-vous L’accepter et fréquenter l’église, faire ce qui est correct, et–et Le servir le reste de votre vie?» Si vous faites cela, je crois qu’Il vous débarrassera de la malédiction, maintenant même. Allez-vous le faire? L’acceptez-vous maintenant comme votre Sauveur? Renoncer au péché. Venez ici juste un instant, maintenant. J’aimerais que votre main juste...

42        Dieu Tout-Puissant, cette pauvre petite femme vient, elle s’est glissée dans la ligne ici, je vois que non seulement elle est malade, mais elle est morte dans le péché et les offenses. Mais je réclame de la miséricorde, ô Dieu.

            Un jour, cette main que je tiens deviendra froide, et la vie doit quitter le corps et l’âme doit retourner à Dieu qui l’avait donnée. Et ce corps s’écroulera et redeviendra de la cendre, de la poussière de la terre, les vers qui sont dans le corps emporteront cela. D’ici des centaines d’années après ce soir, peut-être, là loin quelque part, ce vieux monde aura volé en éclats, les sables mugiront, des vents à travers d’ardents... Il n’y aura aucune créature vivante sur la terre. Peut-être que sa pierre tombale pourra ressortir de la poussière de la terre. Mais alors, où sera son âme?

            Ô Dieu, sois miséricordieux maintenant même et sauve la femme. Accorde-le. Ôte tous les péchés.

            Et moi, sur base de sa confession, sur base de ce qu’elle accepte Jésus comme son Sauveur, je demande maintenant à Jésus, en tant que Son guérisseur, d’ôter la maladie de son corps, et qu’elle parte d’ici ce soir normale et bien portante. Je demande cette bénédiction, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Que Dieu vous bénisse. Maintenant, poursuivez votre chemin, réjouissez-vous, et fréquentez une très bonne église du plein Evangile, faites-vous baptiser, et poursuivez votre chemin, en vous réjouissant, soyez guérie. Imposez vos mains à votre mère une fois arrivée à la maison. Que Dieu vous bénisse.

43        Très bien. Voulez-vous venir? Croyez-vous, madame? Oui, et vous êtes une croyante. Je souhaiterais que tous les patients viennent comme cela, tous. Eh bien, si les gens venaient avec ce genre de foi, ça serait bien merveilleux. Regardez ici, soeur, juste un instant. J’aimerais juste vous voir, juste un instant. Vous êtes une croyante. Vous me croyez aussi. Il n’y a nulle part une ombre de doute. C’est la raison pour laquelle, lorsque vous traversiez l’estrade, Dieu vous a guérie de cette affection rénale, cela–cela vous a donc quittée. Oui, oui! Oui, oui! Vous... Alors, Dieu aime Ses enf-... C’est si merveilleux.

            Vous venez d’une autre ville ici. Vous n’êtes pas d’Evansville. Vous venez d’Illinois. Vous venez d’une ville qui commence par Jones, ou Johnson, Johnsonsville, ou quelque chose comme cela. Est-ce vrai?

            Vous avez un mari qui est malade aussi. On l’appelle Ray, ou Roy, ou quelque chose comme cela, n’est-ce pas? Roy? N’est-ce pas vrai? N’est-ce pas vrai? Très bien.

            Vous vous intéressez à une mère–mère, non, une belle-mère, je pense que c’est ça. N’est-ce pas vrai? Elle a quelque chose qui cloche dans ses bronchioles, au niveau de la poitrine. Est-ce vrai? Vous êtes... Vous pouvez rentrer chez vous. Vous tous, vous serez guéris. Dieu sera avec vous. Que Dieu la bénisse, Seigneur, en Ton Nom.

            Quand vous viendrez... ami, laissez-moi vous dire ceci: C’est votre attitude mentale, la façon dont vous vous approchez de quoi que ce soit. La femme qui toucha le bord du vêtement du Maître, elle sentit la vertu. Mais le soldat qui plaça un lambeau autour de Sa tête, Le frappa à la tête et dit: «Si Tu es un Prophète, dis-moi qui T’a frappé, et je Te croirai», il ne sentit aucune vertu. C’est la façon dont vous approchez cela. Voyez? C’est la façon dont vous approchez. C’est fini, frère. Que Dieu vous bénisse.

44        Bonsoir, monsieur. Croyez-vous en Lui, monsieur? Votre maladie est dans le dos. C’est une espèce de disque hernié suite à la tension il y a longtemps. Jésus-Christ est ici pour vous guérir. Croyez-vous cela? Venez ici. Tournez-vous simplement comme ceci, vers moi.

            Ô Dieu, Toi qui as formé le dos de cet homme dans le sein de sa mère, moi, en tant que Ton serviteur, je pose mes mains sur son dos, croyant que maintenant le Saint-Esprit a oint cette salle. Je demande que la puissance de Dieu, la seule chose qui est capable maintenant de guérir cet homme, que la vertu de Dieu descende, qu’elle entre dans son dos, et que cet endroit hernié disparaisse, et qu’il soit guéri. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, je le demande. Et je réprimande le démon qui a fait ça, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, frère. Allez de l’avant maintenant, vous réjouissant et soyez guéri.

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu!» [L’assemblée dit: «Grâces soient rendues à Dieu!»–N.D.E]

            Juste une minute, frère. Regardez ici, juste une minute, une fois de plus. Vous avez été guéri tout à l’heure, n’est-ce pas? Votre affection était-elle dans votre dos? Oui, oui! Oui, monsieur. C’est en ordre, allez de l’avant.

            Pendant que vous êtes assise juste là dans l’assistance, vous souffrez de l’arthrite de la colonne vertébrale, n’est-ce pas, soeur? N’est-ce pas vrai? Quand cet homme-là est passé, avec cette onction sur lui, ce démon a bondi là même, et j’ai vu cela là même ; on dirait un très grand éclair qui s’est élevé, comme cela, et ça a quitté les ténèbres. J’ai vu que c’était dans votre colonne vertébrale. Jésus-Christ va vous rétablir, si vous croyez cela maintenant. Croyez-vous cela? Très bien. Levez-vous, acceptez cela, au Nom de Jésus. Le voilà qui part. Cela vous a quittée. Amen.

            Disons: «Grâces soient rendues à Dieu!» [L’assemblée dit: «Grâces soient rendues à Dieu!»–N.D.E.] Ces ennemis, combien ils essaient de... Amen! Oh! la la! Satan est vaincu. Il est lié par la puissance. Il ne peut pas échapper à Jésus-Christ. Croyez simplement.

45        Vous assise là, en manteau rose. Vous n’avez pas de carte de prière, n’est-ce pas, madame? Vous n’avez pas de carte de prière. Mais vous souffrez de l’asthme et de la sinusite. Est-ce vrai? N’avez-vous pas une carte de prière? Pas de carte de prière. Très bien. Levez-vous, Jésus-Christ vous guérit. Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez poursuivre votre chemin vers chez vous maintenant, réjouissez-vous et soyez heureuse, et soyez bien portante. Amen.

            Elle ne s’en est pas rendu compte pendant une minute, de ce qui est arrivé. Elle s’en rend compte maintenant.

46        Bonsoir, madame. La patiente? Oh! C’est merveilleux. Ayez foi en Dieu. Croyez en Lui de tout votre coeur. Croyez-vous que je suis Son prophète? Croyez-vous qu’Il est ici pour vous guérir? [La dame dit: «Déjà fait.»–N.D.E.] Je crois cela, madame. L’esprit de vibration, comme on appellerait cela, émanant de vous, semble se déverser vraiment. Maintenant, il y a...

            Vous n’êtes pas d’ici. Non, vous ne venez pas de cet Etat non plus. Vous venez de loin d’ici. Vous êtes venue de loin. Vous êtes venue de l’extrême orient, d’une contrée qui a des montagnes, beaucoup de pins, et de lacs. Je vais dire: New York.

            Vous êtes ici pour un garçon, un fils, qui a la mauvaise habitude de prendre l’alcool. Il n’y a pas de médicament, pas de contrôle, rien que vous puissiez faire pour l’assister. Que Dieu vous bénisse, femme. Venez ici.

            Ô Dieu, Toi qui as donné à cette femme le fruit de ses entrailles, le pauvre garçon est couché là, Seigneur, j’implore la miséricorde. Et quand elle retournera, que la puissance du Dieu Tout-Puissant, Lui qui peut regarder en bas sur cette terre, en ce moment-ci, regarder ici, je prie que l’Ange de Dieu qui avait suivi cette réunion de prière chez les Jean Marc suive la réunion de prière ici ce soir, qu’Il entre, là où ce jeune garçon se trouve en ce moment-ci, qu’Il chasse de lui ce démon-là, et que ce dernier soit rétabli. Accorde-le, Seigneur. Je... maudit soit ce démon-là. Au Nom de Jésus-Christ, qu’il le quitte.

            Que Dieu vous bénisse, soeur, non seulement cela, mais ce dont vous souffriez aussi, ça a quitté votre corps ; et je crois que votre garçon va non seulement devenir un gentleman, mais un chrétien. Que Dieu vous bénisse. Allez maintenant.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur!»–N.D.E.] Répétons cela à très haute voix: «Gloire au Seigneur!» Disons-le encore une fois: «Gloire au Seigneur!» Et de tout mon être: «Gloire à Son Saint Nom!» Amen.

47        Croyez-vous, madame? Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que si je demande à Dieu maintenant même, tout ce que nous demandons à Dieu, Dieu le fera? Croyez-vous cela? Combien croient cela maintenant même, pendant qu’on est à l’estrade, ce que nous Lui demandons? Très bien, venez ici. Notre Père céleste, je Te prie de la bénir ainsi que son garçon, de les guérir, et puissent-ils quitter cette estrade, heureuse, en bonne santé et en se réjouissant, au Nom de Jésus-Christ, je le demande. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, soeur.

            Très bien, venez, madame. Maintenant, pendant que vous venez, croyez de tout votre coeur. Croyez-vous que Dieu va faire cela avant que vous arriviez ici?

            Disons tous: «Gloire au Seigneur!» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur!»–N.D.E.] Croyez-vous que Dieu va vous rétablir? J’aimerais que vous fassiez cela sur base de la foi. Voyez-vous ce que je veux dire?

            Très bien, soeur, acceptez-vous votre guérison? Croyez de tout votre...? Même si je ne vous dis rien, croyez cependant que vous êtes guérie. Est-ce vrai? Que Dieu vous bénisse. C’est ainsi qu’il faut s’y prendre. Amen. C’est ainsi qu’il faut s’y prendre. Que Dieu vous bénisse, allez et recevez cela, soeur. C’est comme ça. Très bien, venez.

            Il y a une dame en train de prier. Je ne sais pas exactement ce qui est arrivé ; mais juste un instant. Continuons simplement à prier, tout le monde, dans votre coeur, continuez simplement à prier, croyant simplement que Dieu le fera. Vous croyez qu’Il le fera, n’est-ce pas? Croyez-vous que Dieu vous guérit de cette affection du côlon, soeur? Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Croyez-vous? Acceptez-vous cela? Très bien, Il l’a fait. Que Dieu vous bénisse. Vous y êtes. Il vous guérit. Que Dieu vous bénisse. Ayez simplement foi.

48        Je vois un homme assis là, une affection bronchique. N’est-ce pas vrai, monsieur? Ce sont les bronches. Oui, oui. Vous voulez... Vous... Croyez-vous qu’Il vous guérira maintenant? Voudriez-vous L’accepter comme votre Guérisseur? Levez-vous. Que Dieu vous bénisse. Allez et soyez guéri. C’est ainsi qu’il faut s’y prendre. Continuez simplement à prier. Continuez à croire.

            Vous qui avez soulevé votre livre là, à côté d’elle, madame, ou, la deuxième dame à partir d’elle. J’ai vu un livre, ou quelqu’un... C’est l’une des photos, n’est-ce pas? Levez-vous juste une minute. Oui, oui. Vous souffrez de sinusite, n’est-ce pas? Aimeriez-vous en être guérie? Levez la main et dites: «J’accepte Dieu comme mon Guérisseur.» Que Dieu vous bénisse. Rentrez chez vous et soyez guérie. C’est–c’est comme ça. Amen.

            Voudriez-vous rentrer chez vous prendre votre souper? Guérir de cette vieille maladie d’estomac? C’est un vieil ulcère qui vous a dérangé depuis longtemps. Allez prendre votre souper, au Nom du Seigneur Jésus, et soyez rétabli.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» [L’assemblée dit «Gloire au Seigneur.»–N.D.E.]

            Que pensez-vous, jeune homme, vous assis là, en petit veston bleu? Vous souffrez des maux de tête ça fait longtemps, n’est-ce pas? Aimeriez-vous en guérir? N’est-ce pas vote papa qui est assis à côté de vous, là? Il souffre de l’hydropisie au coeur (N’est-ce pas?), et l’artériosclérose. Imposez-lui la main aussi. Que Dieu vous bénisse.

            Ô Seigneur Jésus, guéris-les tous les deux. Qu’ils rentrent chez eux parfaitement rétablis, au Nom de Jésus-Christ, je réprimande le diable. Alléluia!

49        Très bien, madame. Vous tous, vous pouvez être guéris si seulement vous croyez cela. Croyez-vous cela? Croyez-vous que cette maladie gynécologique vous a quittée? Continuez simplement à vous réjouir, disant: «Merci, Seigneur Jésus.»

            Très bien, venez, madame. Croyez-vous cela? De tout votre coeur? Vous pouvez avoir ce que vous demandez, si seulement vous croyez maintenant même. Amis, je–je... Ce n’est pas moi qui prêche, c’est Dieu qui prêche, pas moi. Croyez-vous que ce diabète va vous quitter? Croyez-vous? Acceptez-vous votre guérison? Que Dieu vous bénisse. Allez et soyez guéri, au Nom de Jésus-Christ.

            Très bien, venez. Oh! la la! Ce qu’Il peut faire. Maintenant, la mort est près, quelque chose de froid, ça me saisit ; cela vient de cette dame-ci. Vous rendez-vous compte de votre maladie? Le cancer. Ça ne vivra pas longtemps. Mais Jésus-Christ vous épargnera la vie. Allez-vous Le servir? Croyez-vous que si je demande une malédiction sur cela, cela vous quittera?

            Maudit soit le cancer. Que cela quitte la femme, au Nom de Jésus-Christ, nous réclamons la victoire à cause du témoignage selon lequel Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et le démon quitte la femme, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Que Dieu vous bénisse. C’est comme ça, c’est comme ça qu’il faut s’y prendre.

50        Très bien. Venez, madame. Hmm. Oh! la la! Qu’est-ce qui peut arriver? Qu’est-ce qui peut se passer maintenant?

            Qu’en est-il de vous tous les muets par là? Pourquoi ne pas directement entrer, et croire Dieu maintenant? ...?... Que Dieu la bénisse. Quelque chose est arrivé. Oh! C’est la dame qui a été guérie, n’est-ce pas, par là?

            Madame, assise à côté d’elle, en train de pleurer, voulez-vous guérir de cette maladie de côlon, madame? Voulez-vous croire de tout votre coeur, croire de... que Dieu va vous rétablir? Eh bien, vous pouvez recevoir aussi cela. Que Dieu vous bénisse.

            Aimeriez-vous guérir de cette maladie gynécologique ainsi que de l’arthrite et tout, et de cela? Allez donc de l’avant, quittez l’estrade en remerciant Dieu pour cela. C’est tout ce que vous avez à faire, être reconnaissante. Il l’a fait.

            Très bien. Venez, madame. Bonsoir. Me croyez-vous? En tant que serviteur de Dieu? Etre bien, arrêter de prendre l’insuline, et être parfaitement rétablie. N’est-ce pas? Croyez-vous que Dieu vous laissera faire cela? Qu’il vous soit fait selon votre foi. Que Dieu vous bénisse. Allez, et que Jésus-Christ soit avec vous.

            Très bien, venez. Que représente la maladie du coeur, ou la maladie de l’estomac pour Dieu? Il peut guérir cela, n’est-ce pas? Croyez-vous qu’Il le fait maintenant pour vous? Que Dieu vous bénisse. Allez, qu’il vous soit fait selon votre foi.

            Dites: «Gloire au Seigneur!» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur!»–N.D.E.]

            Très bien. Croyez-vous que vous êtes guérie alors que vous venez, soeur? Croyez-vous de tout vote coeur? Venez ici.

            Satan, quitte la femme. Toi démon, qui as essayé de vaincre sa foi tout à l’heure, je t’adjure, sors d’elle, au Nom de Jésus-Christ.

            Maintenant, regardez de ce côté-ci, acceptez votre guérison maintenant. Quittez l’estrade en vous réjouissant, criant, disant: «Merci, Seigneur», et soyez guérie.

51        Très bien. Venez, madame. Que pensez-vous? De tout votre coeur, croyez-vous? Ça fait longtemps que vous êtes nerveuse, ça a commencé dans la ménopause, et vous êtes encore en plein dedans. Ça a dégénéré en ulcère dans votre estomac, et vous souffrez d’estomac, et d’une maladie gynécologique aussi, et ça coule, on dirait. N’est-ce pas vrai? Personne à part Dieu ne le sait. En effet, qui serait dans la salle de bain à ce moment-là. Très bien, vous êtes guérie. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant et soyez rétablie.

            Disons: «Gloire au Seigneur.» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur!»–N.D.E.]

            Très bien. Venez, monsieur. Avec une grande entorse, vous placez quelque chose sur votre dos, et vous vous êtes donné un tour de reins. Poursuivez votre chemin, vous allez vous rétablir maintenant. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu soit avec vous et qu’Il vous aide.

            Disons: «Gloire au Seigneur!» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur!»–N.D.E.] Oh! Combien je L’aime, combien je L’adore, ma Vie, mon Soleil, la Joie, la Paix.

            Que Dieu vous bénisse, soeur Roberson. Je vous connais. Il se tient près de vous, maintenant même.

            Mère, arrêtez-vous là, juste une minute. Aimeriez-vous guérir de cette maladie du coeur? Levez la main, dites: «J’accepte ma guérison.» Faites demi-tour et rentrez chez vous ; vous allez être guérie, au Nom du Seigneur Jésus. Ou, passez de ce côté-ci, si vous le voulez ; venez de ce côté-ci. Quittez simplement l’estrade en vous réjouissant, remerciant Dieu pour votre guérison, dites: «Merci, Bien-Aimé Dieu. Merci, Seigneur.» Croyez simplement de tout votre coeur, et Dieu vous rétablira complètement, soeur.

52        Très bien. Venez, monsieur. Voudriez-vous venir? Retournez-vous, redescendez ; en effet, vous êtes déjà guéri de toute façon. Dieu vous guérit de la maladie du coeur. Vous, rentrez.

            Combien aimeraient être guéris maintenant même? Certains parmi vous ici, à qui on était en train de parler, aux muets, à l’aide de vos doigts. Que chacun de vous se lève maintenant même, levez-vous, mettez vos doigts dans vos oreilles, chaque muet. Levez-vous, mettez vos doigts dans vos oreilles, tous les muets. Mettez votre doigt, un doigt dans votre oreille, et l’autre sur votre bouche, comme ceci. Et quand j’aurai terminé de prier, j’aimerais que vous criiez à tue-tête: «Gloire au Seigneur!» J’aimerais que vous autres, vous vous leviez. Tenez-vous debout.

            Si vous faites ce que je vous ordonne, vous verrez l’un des plus grands phénomènes que vous ayez jamais vu de votre vie. Les muets vont parler. Si seulement ils ont cette foi maintenant, ils vont parler. C’est ça. Dieu me tire vers ce groupe, là, je ne peux pas les guérir. Il s’est tenu au-dessus d’eux, là, tout le soir, et Il continue à se déverser sur ce groupe-là. Si vous m’observez, j’ai constamment regardé ce groupe-là. Il se tenait là.

            Je ne peux pas leur dire, mais je crois... Il se tient là même maintenant. Et je crois, si seulement ils croient cela maintenant même, vous les entendrez venir témoigner ici à l’estrade, si seulement ils croient.

            Le reste parmi vous, levez les mains vers Dieu.

            Dieu Tout-Puissant, je Te demande maintenant, au Nom de Jésus-Christ, de réprimander chaque maladie et chaque démon, de réprimander ces esprits de mutité, de les chasser de ces gens, que cela sorte d’eux ; et que tous les sourds entendent, que les muets parlent, que les aveugles voient, que les boiteux marchent et que la gloire de Dieu repose sur le peuple.

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