Monsieur, Nous Voudrions Voir Jésus

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Date: 55-0828E | La durée est de: 1 heure et 39 minutes | La traduction: Shp
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1          Et si j’ai oublié quelqu’un, ce n’est pas intentionnellement. Et du fond du coeur, je dis ceci au nom du docteur Guggenbuhl, de monsieur Arganbright, de monsieur Bosworth, et de Billy Paul ; nous vous souhaitons une bonne santé. Que les bénédictions de Dieu reposent sur vous. Priez pour nous. Nous devons rentrer sans tarder chez nous pour commencer une autre série de réunions immédiatement.

            Bon, ce soir, je–monsieur Bosworth vient de vous prêcher, et je–je suis certain que vous appréciez le message de monsieur Bosworth. Eh bien, je ne vais pas prêcher ce soir. Je vous ai gardés si longtemps cet après-midi, et vous avez été si braves, parce que vous êtes restés sous la tempête. Satan ne voulait pas que nous tenions cette réunion. Et nous savons que Dieu nous donne la victoire.

            Il y avait environ trois mille cinq cents personnes qui se sont levées pour renouveler leurs voeux vis-à-vis de Christ. Et je viens d’apprendre que deux mille personnes ont signé une–une carte de–de salut. Nous rendons gloire au Seigneur. Voyez-vous pourquoi Satan était en colère? Cela lui a fait mal ; Dieu règne. Amen.

2          Maintenant, je–je vais juste vous donner un petit témoignage. Mais c’est un petit témoignage de–de l’oeuvre du Seigneur, c’est un peu une partie intime de ma propre vie. Je sens que nous nous aimons suffisamment les uns les autres, de sorte que vous savez que je ne suis pas ici pour une renommée personnelle. Je suis ici pour Jésus. Alors pour donner un petit témoignage...

            Avant que nous le fassions, nous voulons lire juste un ou deux versets dans la Parole de Dieu. J’aimerais que l’interprète lise Jean 12, les trois derniers versets. Et que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la Parole...?... Vous...?... [L’interprète lit l’Ecriture en français.–N.D.E.]

Celui qui me rejette et qui ne reçoit pas mes paroles a son juge ; la parole que j’ai annoncée, c’est elle qui le jugera au dernier jour.

Car je n’ai point parlé de moi-même ; mais le Père, qui m’a envoyé, m’a prescrit lui-même ce que je dois dire et annoncer.

Et je sais que son commandement est la vie éternelle. C’est pourquoi les choses que je dis, je les dis comme le Père me les a dites.

            Que le Seigneur nous ajoute Ses bénédictions. Maintenant, nous n’allons pas prêcher sur ce sujet, mais c’est juste pour lire une portion de Sa Parole. J’aime vraiment Sa Parole.

            Et maintenant, que chacun prie. J’aimerais voir chacun de vous tous guéri ce soir. Si je pouvais le faire, je le ferais volontiers. Si votre médecin pouvait le faire, il le ferait. Mais il faut Christ, et il faut votre foi en Christ, et Dieu–et alors Dieu le fera.

3          Maintenant, ces Grecs qui sont venus vers Philippe, le désir de leurs coeurs était de voir Jésus. Combien ont ce même désir ce soir? Tout le monde. Nous voulons tous Le voir. C’est ça le cri du coeur de l’homme: Monsieur, nous voudrions voir Jésus. Eh bien, c’est ce que nous désirons faire ce soir.

            Réfléchissons juste une minute. Maintenant, débarrassons-nous de toutes nos idées fantasmatiques. Et s’Il est si réel, tel que les chrétiens le déclarent, pourquoi ne Le voyons-nous pas? Nous disons qu’Il–Il n’est pas mort, qu’Il est vivant. Il a dit qu’Il serait avec nous, et que chaque génération Le verrait jusqu’à la fin du monde. Eh bien, c’est ce qu’a promis Jésus, Il a dit: «Encore un peu de temps, et les incrédules ne Me verront plus ; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde.» Donc chaque génération a reçu la promesse de Le voir. Alors jetons un coup d’oeil à Lui ce soir. Je désire Le voir.

4          Je me souviens une fois, alors que je me réveillais dans ma vieille petite cabane, il faisait froid... J’essayais de faire un feu, et oh ! cela ne s’allumait pas. Et j’ai allumé la radio, et une soeur était en train de chanter: Je Désire Voir Jésus. Je me suis simplement assis par terre, et je me suis mis à pleurer. J’ai levé mes deux mains, et j’ai dit: «Oui, Seigneur, je désire Te voir.» Et vous voulez Le voir. Et s’Il est si réel, pourquoi ne Le voyons-nous pas? Si vous Le cherchez ce soir, quel genre de personne allez-vous chercher? Allez-vous chercher un homme vêtu d’une longue robe, habillé différemment des autres hommes? Pas Jésus, Il s’habillait juste comme les autres hommes. Il était–s’Il était ici dans un corps de chair ce soir, Il porterait un complet comme nous. Et nous ne pourrions pas chercher un homme bien habillé, et je n’imagine pas qu’Il aurait l’air d’un homme tiré à quatre épingles.

5          Nous n’irions pas dans les grandes–les grandes cathédrales pour Le trouver, car, lorsqu’Il était ici [sur terre], les gens ne voulaient pas Le recevoir. Et ils ne Le recevront pas non plus ce soir. Aimeriez-vous aller auprès d’un homme qui avait une voix très puissante? Non. Alliez-vous chercher un homme qui a une érudition poussée, qui est tellement instruit qu’il parlerait en langues sans arrêt, à tel point que les gens ordinaires ne pourraient Le comprendre? Pas Jésus. Il parlait comme les gens ordinaires. Alors, où alliez-vous Le trouver? Vous devriez Le trouver parmi les gens ordinaires. Il serait un homme ordinaire.

            Alors que serait-Il en train de faire? De se vanter de Son instruction? De vanter Son affiliation aux églises? Non. Allait-Il se vanter d’être un guérisseur? Non, Il dirait: «Ce n’est pas Moi, c’est le Père qui demeure en Moi ; c’est Lui qui fait les oeuvres. Si vous croyez, tout est possible.» Il regarderait l’assistance, les gens qui souffrent, et lorsqu’ils auraient la foi, Il dirait: «Ma fille,» ou «mon enfant, ta foi t’a sauvé de telle maladie.» Alors si le Père Lui révélait quelque chose, Il le déclarerait à l’assistance. Voilà le genre de Jésus que nous devrions chercher.

6          Maintenant, Son corps portant les empreintes de clous n’est pas encore revenu. Il est assis à la droite de Dieu. Voyez, Il est assis sur le Trône du Père en ce moment. Mais lorsqu’Il reviendra, Il s’assiéra sur Son propre Trône, le trône de David qu’Il a hérité. C’est lorsqu’Il viendra dans Sa forme physique. Mais Il est ici maintenant dans une forme spirituelle, oeuvrant à travers votre corps...?... mon corps. C’est Lui aujourd’hui. Alors nous Le voyons par les oeuvres qu’Il accomplit. Les gens ne pouvaient pas croire qu’Il était Dieu, alors Il a dit: «Si vous ne pouvez pas Me croire, croyez les oeuvres que Je fais, car les oeuvres que Je fais témoignent que le Père M’a envoyé.» Voyez? Ils ne pouvaient pas croire qu’un homme soit Dieu. Mais Il a dit: «Regardez simplement à l’oeuvre.» Il a dit: «Si Je ne fais pas l’oeuvre de Mon Père...» Que voulait-Il dire par là? Il a dit: «Si je ne fais pas l’oeuvre de Mon Père, ne Me croyez pas. Mais si Je fais l’oeuvre de Mon Père, alors croyez en Moi. C’est le Père qui témoigne de Moi.» C’était l’oeuvre du Père. Ce que vous demandez...?... tout ce qu’Il a dit. Regardez exactement ce qu’Il a dit et ce qu’Il a prophétisé. C’est parfait. Les gens ont reconnu que c’était Dieu. Maintenant, Dieu est en nous, l’espérance de la gloire. Oh ! j’aimerais vraiment parler de Lui.

7          Maintenant, c’est juste un petit quelque chose dans ma propre vie, juste un petit témoignage, ensuite nous allons commencer à prier pour les malades. Et maintenant, mettez simplement toute votre foi en Jésus, et observez ce qui arrive. J’attends quelque chose ce soir. J’attends un grand sommet dans cette réunion. ...?... C’est ce que vous attendez? ...?... Croyez cela. Ceci est un moment crucial, je peux le sentir dans l’Esprit, juste comme si quelque chose est sur le point d’arriver. Je crois que c’est le cas. Je m’y attends.

8          Un jour, je me rendais en Floride. J’avais pris un train. J’ai vu une vision. J’ai vu un petit garçon portant un–qui était pauvrement vêtu. Et il avait des cheveux coupés court. Et il avait été tué. Son–son petit pied avait percé sa chaussette. Il était complètement écrasé, et il gisait plutôt au bord de la route. Il y avait beaucoup de gazon vert et un très grand rocher ; et il y avait beaucoup d’arbres, de conifères...?...

            Et je suis allé en Floride. J’ai vu frère Bosworth. Et je me tenais dans une foule à peu près comme celle-ci, et je leur ai parlé de la vision. Lorsque les gens sont venus, j’avais noté cela. J’essayais–j’en avais une écrite juste ici. Elle n’est pas encore accomplie. C’est écrit dans des centaines de Bibles où les gens ont noté cela.

            Alors j’ai dit aux gens: «Notez cela. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Ceci arrivera tel quel. Il y aura un petit garçon tué, qui va être guéri.» J’ai donné la description de la chose.

            Des milliers de gens ont noté cela, dans toute la nation, partout où j’allais. Ça fait trois ans. Les gens avaient noté cela. Des dizaines de milliers de gens avaient noté cela. Cela a été publié dans le journal, La Voix de la guérison. Cela doit arriver dans ce pays, n’importe où.

9          Ensuite, quelques jours après que j’ai vu la vision, je sortais pour aller à une grande tente. Frère Bosworth était là ce soir-là. Et il y avait un homme qui est venu à ma rencontre. Et il a dit: «Frère Branham, je suis certain que votre vision concerne mon petit garçon. Il est étendu juste ici derrière mort, il est mort depuis le matin. Il s’est noyé dans un canal d’irrigation.» Il a dit: «Venez, le voir. Et je n’ai même pas permis à l’entrepreneur des pompes funèbres de le prendre.»

            Eh bien, j’ai dit: «Très bien.»

            J’ai pris avec moi quelques personnes. Mais lorsque j’ai vu le petit garçon, ce n’était pas lui. Le petit garçon que j’avais vu avait environ huit ou neuf ans. Celui-ci avait environ cinq ans. Le petit garçon que j’avais vu était pauvrement vêtu, mais celui-ci était très bien vêtu. Le petit garçon que j’avais vu avait des cheveux bruns. Et celui-ci avait des cheveux noirs lissés. Il n’y avait pas de rochers, pas de gazon, pas d’arbres ; cela ne correspondait pas à la vision. Alors j’ai simplement fait une petite prière pour le réconforter.

10        Plus tard, environ deux ans plus tard, j’étais très loin à Kuopio, en Finlande. Et beaucoup de frères m’avaient fait monter sur une tour, et on me faisait visiter le lieu. Bien des fois, pendant ces réunions, je ne mange pas beaucoup ; parfois je jeûne pendant plusieurs jours. Je jeûnais depuis trois ou quatre jours. Je fais cela parce que c’est ce que dit la Bible, à savoir que ce genre de démons ne sort que par les jeûnes et la prière. J’ai dit à mon–à un de mes managers, monsieur Lindsay, l’éditeur de La Voix De La Guérison: «Quelque chose est sur le point d’arriver.»

            Il a dit: «Pourquoi?»

            J’ai dit: «Je ne sais pas.» Je suis descendu de la tour, et là j’ai rencontré un Anglais. Il était en train de boire. Il a dit: «Que font ces gens là-haut?»

            J’ai dit: «Ils chantent des cantiques.»

            Il a dit: «Je ne crois pas à de pareilles choses.»

            J’ai dit: «Vous devriez avoir honte.» Et quelques minutes plus tard, nous l’avons conduit à Jésus.

11        Nous sommes entrés dans les voitures, et nous avons commencé à descendre la colline. Et, alors que je regardais la montagne, j’ai vu des gens courir au loin, c’était à plusieurs kilomètres. J’ai vu une voiture faire un tonneau. J’ai dit: «Il doit y avoir un accident.» Ainsi environ vingt minutes plus tard nous sommes arrivés sur le lieu de l’accident. Quelques-uns de mes frères, monsieur Moore, monsieur Lindsay et plusieurs d’entre eux sont sortis de la voiture ; et ils ont observé ce qui était arrivé. Deux petits garçons avaient commencé à traverser la route, l’un d’eux avait environ neuf ans et l’autre cinq, et une voiture Ford de marque américaine avait–avait–venait à vive allure au virage. Si quelqu’un parmi vous a déjà été en Finlande... Si quelqu’un parmi vous a déjà visité la Finlande, ils ont très peu de voitures. Ce sont des gens très pauvres, mais ce sont de merveilleuses personnes, de véritables chrétiens, des gens pieux.

            Et j’ai remarqué, et un des petits garçons, lorsqu’ils commençaient à se séparer, la voiture s’était retournée de côté sur le côté droit de la route, et l’aile de la voiture avait heurté un des petits garçons sous le menton, et l’avait projeté de l’autre côté de la route, et l’avait cogné contre un arbre, et là il était tombé. L’autre petit garçon était–est passé sous la voiture, et la voiture l’a heurté, a projeté son petit corps en l’air, et il est tombé sur un carré de gazon. Alors ils ont pris le premier petit garçon ; il respirait ; ils l’ont amené à l’hôpital. Et ainsi l’autre petit garçon, ils l’avaient étendu là, et ils–ils l’avaient recouvert d’un manteau. Environ trois cents personnes se tenaient là, et le maire de la ville était là. Ils sont allés chercher–chercher le père et la mère qui travaillaient très loin dans une ferme pour venir sur le lieu de l’accident.

12        Mes frères sont sortis voir le petit garçon, alors ils sont revenus et m’en ont parlé. Ils ont dit: «Allez le regarder, Frère Branham.»

            J’ai dit: «Oh ! Non. Je ne veux pas le voir.» Mon propre petit Billy devait donc avoir à peu près cet âge-là. Alors j’ai dit: «Je ne veux pas le voir.» Ça faisait longtemps que je n’arrivais plus à la maison, et je ne voulais pas le regarder. Et après un instant–mais on devait attendre que la mère arrive, ensuite ils allaient l’emporter afin de l’apprêter pour l’enterrer.

            Et frère Lindsay a dit–il a dit: «Venez le voir, Frère Branham.» Alors je suis finalement sorti. Et lorsqu’on a ôté le manteau dont on l’avait recouvert, oh ! la la ! quelle scène: ses petits yeux étaient révulsés, sa petite langue était ressortie, son petit pied qui sortait par la chaussette était écrasé; ses chaussures étaient arrachées ; ses petits bras complètement brisés. Oh ! Le sang coulait de ses oreilles, de sa bouche, oh ! il était horrible à voir. Et j’ai commencé à pleurer. Et j’ai commencé à m’éloigner.

13        Maintenant, je ne sais pas à quel point vous allez croire ceci. Je ne peux dire que ce qui est vrai. Mais j’ai senti Quelqu’Un poser Sa main sur mon épaule. J’ai pensé que c’était frère Lindsay. Et je me suis retourné pour le regarder ; il n’y avait personne près de moi, et la main en question était toujours sur mon épaule. Je me suis de nouveau retourné ; je me suis dit: «Qu’est-ce que c’est?» Je sentais comme si c’était la main d’une personne. Alors je me suis mis à marcher ; et j’ai senti cette main me tirer vers l’arrière. Alors je me suis dit: «Qu’est-ce que c’est?» Voyez-vous comment–voyez-vous comment un–un homme peut être stupide? Voyez-vous? Nous ne comprenons pas les choses spirituelles. Et j’ai baissé les yeux sur le petit garçon ; j’ai dit par mon interprète: «Dites-leur de relever de nouveau la couverture.» Alors ils ont soulevé la couverture. J’ai regardé le visage. Je me suis dit: «J’ai déjà vu ce garçon quelque part. Ça fait bien longtemps.» Et par l’interprète, j’ai dit: «Ce petit garçon a-t-il été dans la ligne de prière?» Personne ne le savait. J’ai dit: «Il me semble l’avoir déjà vu.»

            Et j’ai commencé à m’éloigner, j’ai de nouveau senti cette main. Et je me suis encore arrêté, et j’ai encore regardé. Et il m’est arrivé de lever les yeux comme ceci ; et le champ vert était là ; il y avait là des strates rocheuses ; il y avait des arbres. J’ai dit: «Laissez-moi le regarder de nouveau.» Il était là, sa petite coiffure irrégulière ; ses petits yeux bruns étaient révulsés, son petit pied ressortait à travers la chaussette, cela correspondait parfaitement avec la vision. Oh ! Vous ne savez pas ce que vous ressentez à ce moment-là. Tous les démons de l’enfer ne pouvaient pas arrêter cela. Ils ne peuvent pas arrêter cela en ce moment-là, Dieu avait parlé. Oh ! Quel sentiment: vous êtes sûr de ce qui va arriver.

14        Je me suis retourné vers frère Lindsay et frère Moore. J’ai dit: «Ouvrez vos Bibles !»

            Ils ont dit: «Qu’y a-t-il, Frère Branham?»

            J’ai dit: «Ouvrez à la page de garde.»

            Ils ont dit: «De quoi s’agit-il?»

            J’ai dit: «Lisez.»

            Ils ont dit–ils se sont mis à lire la description du petit garçon.

            J’ai dit: «Regardez là. Regardez ces arbres.» J’ai dit: «C’est le garçon que j’avais vu il y a deux ans.» J’ai dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, si ce petit garçon ne se tient pas debout vivant dans cinq minutes, alors je suis un faux prophète.» Oh ! la la ! J’ai dit: «Tenez-vous tranquilles !» Et j’ai parlé à l’assistance. Ils n’y croyaient pas. Je pouvais sentir... se touchaient les uns les autres. Ainsi ils ont fait... L’interprète me rapportait ce que les gens disaient. Les gens disaient: «Eh bien, nous savons que c’est un fanatique.» Mais cela n’a pas fait obstacle. Je me suis retourné, juste comme le Seigneur me l’avait dit ; j’ai dit: «Père céleste, Toi qui ne peux mentir, il y a deux ans dans mon pays, Tu m’as montré ce garçon. Et Tu m’as montré qu’il devait revenir à la vie.» J’ai dit: «Ô Dieu, maintenant exauce la prière de Ton serviteur. Et toi mort, tu ne peux plus le retenir ! Rends-lui sa vie, car AINSI DIT LE SEIGNEUR, il vivra de nouveau.» Et le petit garçon a crié, d’un bond il s’est tenu sur ses pieds, et il n’était même pas malade ni rien, il était parfaitement en forme.

15        La nouvelle s’est répandu jusqu’en Russie. (Cela s’est répandu dans toute la Russie.) Nous étions juste à quelques kilomètres de la frontière à ce moment-là, et ce soir-là, lorsque je suis entré, il y avait des soldats russes qui se tenaient là faisant le salut. Quatre soldats avaient dû–quatre soldats finlandais avaient dû me conduire sur une distance d’environ six pâtées de maisons pour m’emmener jusqu’à la ville, on devait aller au Messuhalli là où se tenait la réunion. Ils se tenaient là faisant le salut, des larmes coulant sur leur visage. Mon interprète a dit qu’ils disaient ceci: «Nous recevrons un tel Dieu. Nous croirons de telles choses.»

            Le problème du christianisme, c’est la faiblesse de la chaire. Les prédicateurs ne sont pas prêts à prendre Dieu au mot. Amen. C’est vrai.

16        Maintenant, je n’oublierai jamais quelque chose qui est arrivé. Lorsque je suis entré ce soir-là... Eh bien, ils avaient donné des ordres pour que personne ne reste sur la rue. Je ne pourrais rien faire de plus que vous parler. Pour ce qui est de me parler... Je–je n’apprécie pas qu’ils le fassent, mais vous auriez une bousculade. Et nous mangions tout le temps dans la salle...?... bien dommage.

            Et je me souviens du moment où j’ai fait mon entrée. Et ces petits soldats tenaient leurs couteaux, et je marchais au milieu d’eux. Nous sommes entrés–nous sommes entrés dans une petite pièce. Et aussitôt que nous sommes entrés là, on a claqué une porte et une fillette finlandaise se tenait là, en train de me regarder. Elle a pensé qu’elle avait fait quelque chose de mal. Elle s’est mise à trembler. J’ai su que cette enfant voulait me voir, mais elle avait peur. Elle avait une grande–une grande courroie autour d’elle, elle avait une grande courroie qui passait par-dessus l’épaule. Une de ses jambes était plus courte que l’autre. Sur sa jambe droite... elle avait perdu l’usage de sa jambe droite. Alors il y avait un grand appareil orthopédique attaché à une chaussure à semelle compensée.

17        Maintenant, observez. Je vais–je vais vous montrer à quoi cela ressemblait. Et il y avait une bande qui était enroulée ici. Et derrière il y avait une–une lanière en cuir, cela passait au-dessus de son épaule, et cet appareil orthopédique était sur sa grande chaussure, cela remontait comme ceci, et passait sur cette bande par ici. Elle avait deux béquilles, et c’était le seul moyen par lequel elle pouvait marcher, or elle avait dû traverser la pièce pour venir jusque là, et c’était serré à l’orteil de la chaussure, et lorsqu’elle avançait, elle soulevait son épaule, elle levait cette jambe-là, la projetait en avant comme cela. Ensuite elle posait sa béquille devant et soulevait cette jambe, et c’est de cette manière qu’elle marchait.

18        Et j’ai remarqué que, pendant qu’elle se tenait là, sa petite chevelure était en bataille et sa petite jupe était tout en lambeaux. J’ai appris plus tard qu’elle était une petite Finlandaise orpheline de guerre. Elle n’avait ni père ni mère ; ils avaient été tués pendant la guerre. Elle était errante, et c’est une société de bienfaisance qui lui avait fabriqué ce grand appareil orthopédique. Et elle m’a regardé ; elle a baissé sa petite tête ; elle a de nouveau levé les yeux ; et ce soldat finlandais...

            L’interprète venait d’entrer par la porte. Je ne connaissais aucun mot finlandais, et ils étaient en train de me pousser...?... [Frère Branham illustre.–N.D.E.] J’ai dit: «Non, non, non, non.» Et deux d’entre eux avaient le dos contre le mur et deux autres étaient derrière moi. Je me suis tourné vers eux ; j’ai dit ceci: «Chut» [Frère Branham produit un son.] Et j’ai dit... De ce côté... «Chut !». Ils se sont arrêtés et ils ont regardé. Et j’ai regardé cette petite fille ; et j’ai dit: «Chérie, veux-tu venir à moi?» Elle ne me comprenait pas, alors je lui ai fait signe de venir. Et elle a souri, et la voici venir, faisant avancer cette petite jambe. Je suis resté tranquille, et je l’ai regardée. Et elle s’est directement approchée de moi, elle a posé ses petites béquilles par terre. Et je me demandais ce qu’elle allait faire. Et ses–ses petits vêtements en lambeaux–cela–cela m’a fait mal au coeur. Et savez-vous ce qu’elle a fait? Et de sa petite main elle a saisi mon manteau, et elle a baisé ma poche. Je vous assure, mon coeur allait se briser. Elle a déployé sa petite jupe, c’est la coutume de petites Finlandaises. Elle a dit–et elle a dit: «Kiitos,» ce qui signifie «merci.» Et j’ai encore regardé, j’ai dit: «Ô Dieu, même si j’étais le plus grand hypocrite du monde, Tu devrais récompenser cette enfant pour cette foi.» Je me suis mis à avancer dans ce sens, et j’ai regardé. Et là une vision est apparue: la petite fille marchait normalement ; je ne savais comment le lui dire. J’ai dit: «Chérie, Jésus t’a guérie.» Elle n’a pas compris de quoi je parlais. Jai dit: «Eh bien, tôt ou tard elle comprendra.»

19        Alors je suis entré, et ce soir-là, lorsque les jeunes gens sont venus me chercher, de grands tas de béquilles gisaient... le Seigneur les avait guéris, ensuite ils ont dit: «C’est le moment de vous retirer.»

            J’ai dit: «Laissez-moi appeler encore quelques cartes.» Alors savez-vous ce qui est arrivé? La prochaine carte que j’avais appelée, c’était cette petite fille là. Alors on l’a fait monter sur l’estrade. Je me suis dit: «Oh ! ça y est.» Alors elle s’est approchée. J’ai dit à l’interprète: «Maintenant, dites juste ce que je dis.» J’ai dit: «Chérie, là dans le hall, Jésus t’a guérie. Maintenant, va là-bas et assieds-toi. Et lorsque les gens... Que quelqu’un t’enlève cette chose. Pose tes mains sur tes hanches, et avance–fait descendre tes mains jusqu’en bas pendant qu’ils enlèveront l’appareil orthopédique, jusqu’à ce que tu sentiras que ta jambe aura la même taille que l’autre. Ensuite reviens me montrer.»

            Alors nous avons commencé à appeler quelqu’un d’autre. Après quelques instants, la voici qui avance, tenant en mains l’appareil orthopédique et les béquilles, elle courait de toutes ses forces, elle était tout à fait normale et guérie. Jésus-Christ l’avait guérie.

20        Il faut que je vous parle de l’autre garçon. Cela ne va prendre qu’une minute ou deux. Ecoutez. Le second jour passa. Ce petit garçon n’avait pas repris conscience, et cette petite mère était dans tous ses états. Lorsqu’ils sont venus me chercher pour m’amener à l’hôtel ce soir-là, les managers voulaient me prendre par les bras et me faire passer au-dessus d’elle. Cette petite mère, qui avait environ vingt-cinq ans, était vraiment dans tous ses états. Alors ils–elle a dit... Elle désirait que j’aille prier pour son garçon. Alors le jour suivant je l’avais–je leur ai demandé de la faire monter, elle et son mari. Et je leur ai dit: «Que désirez-vous?»

            Elle a dit: «Venez guérir mon petit garçon, gentil monsieur.»

            Et j’ai dit: «Je n’en suis pas capable.»

            «Eh bien, a-t-elle dit, vous avez guéri l’autre petit garçon.»

            J’ai dit: «Non. Là, dans mon pays, Dieu m’avait montré une vision.»

            Elle a dit: «Dans ce cas, voyez une vision sur mon petit garçon.» Ça, c’est une mère.

            J’ai dit: «C’est très bien, mais je ne peux pas produire des visions. Ce n’est que Lui qui les donne.» Et j’ai dit: «Etes-vous une chrétienne?»

            «Non.»

            «Est-ce que le–le père est un chrétien?»

            «Non.»

            J’ai dit: «Pourquoi ne devenez-vous pas chrétiens? Je vous dirai pourquoi: En effet, si ce petit garçon meurt, il est juste un petit garçon ; il ira au Ciel. Mais si vous, vous mourez, sans être une chrétienne, vous ne le reverrez plus jamais. Maintenant, pourquoi ne devenez-vous pas chrétiens, car en faisant cela, vous pourrez trouver grâce aux yeux de Dieu. Si vous devez trouver grâce devant moi ou devant quelqu’un d’autre, faites quelque chose pour nous, soyez gentils à notre égard. Et comme le–comme les gens le faisaient à l’égard des prophètes et des autres, et des apôtres. Approchez-vous de Lui avec respect.»

21        Alors ils ont vu qu’ils ne pouvaient pas perdre, ainsi ils se sont agenouillés et ils ont eu une véritable conversion. Et le père a embrassé sa femme, et ils sont rentrés chez eux. Mais la petite mère a dit: «Maintenant, venez guérir mon garçon.»

            J’ai dit: «Soeur, c’est contre les règlements de la campagne de faire une visite privée.» Pendant nos voyages au fil des années, nous avons constaté ceci: si donc tu vas chez quelqu’un, et pas chez l’autre, cela causera du ressentiment.

            J’ai dit: «Si le Seigneur me conduit, c’est différent. Mais je ne peux pas y aller juste comme cela.» J’ai dit–j’ai dit: «Pensez-y, il y a plus de dix mille personnes maintenant qui m’attendent.» J’ai dit: «Rentrez simplement chez vous. Jésus peut me donner une vision ici dans cette pièce tout comme Il avait pu le faire là-bas.»

            Elle a écouté ; elle a dit: «Allez voir une vision.»

            J’ai dit: «Non.» J’ai dit: «Partez, et si Lui me donne une vision... Il pourrait ne pas le faire. Il pourrait ne jamais le faire. Et s’Il le fait, je vous appellerai.»

            «Très bien.» Elle est rentrée chez elle.

            Environ dix minutes plus tard, le téléphone a sonné. L’interprète a décroché le combiné: «Est-ce que frère Branham a vu une vision?»

            «Non.» Et il a raccroché.

            Environ dix minutes plus tard, le téléphone a de nouveau sonné: «Est-ce que frère Branham a vu une vision?»

            «Non.» Et il a raccroché. Cela ne faisait que sonner sans arrêt.

22        Ce soir-là, lorsque je suis rentré dans ma chambre, je–j’avais cette même Bible posée sur mon coeur. Un de mes frères du nom de Howard était avec moi. Il a dit–il m’a dit: «Billy, te souviens-tu de ces mauvais bonbons qu’on nous a donnés au Canada?» Il a dit: «Tu pensais que c’était fade, goûte ceci»: c’était deux petits morceaux de chocolat.

            J’ai dit: «Merci.» Bien souvent je reste seul dans un hôtel à cause des visions. Alors madame Isaacson et les autres avaient regagné leurs chambres. Chacun d’eux avait regagné sa chambre...?... Alors je suis entré dans la mienne ; c’était très loin, près de la région du soleil de minuit. Vous pouvez lire un journal sur la rue si vous êtes éveillé à minuit. Il ne fait pas noir pendant cette période de l’année. Alors je suis allé à la fenêtre. Maintenant, écoutez attentivement ; nous allons terminer.

23        J’ai regardé en direction de–par la fenêtre, voici venir des centaines de ces petits finlandais là, traversant le parc, louant Dieu. Je me suis tenu là, et j’ai dit: «Dieu bien-aimé, un glorieux jour Jésus viendra, et Il va arranger toutes choses.» Oh ! J’ai dit: «Je T’aime, Seigneur. Tu es merveilleux, Seigneur. Et je T’aime de tout mon coeur. Ne veux-Tu pas avoir pitié?»

            Et j’ai entendu quelque chose. Cela faisait [Frère Branham frappe deux fois.–N.D.E.] Et j’ai regardé, et sur une table était posé un vase. Et il contenait deux fleurs. L’une d’elles était tournée dans ce sens vers le sud et était à moitié inclinée. Celle qui était tournée vers le nord était entièrement recourbée. Et j’ai dit: «D’où cela vient-il?» Et j’ai regardé autour de moi, et voici à mes côtés se tenait ce Grand Ange, un grand Homme, vêtu d’une robe blanche ; Ses cheveux noirs Lui tombaient sur les épaules. Il avait les bras croisés et était en train de me regarder. Il a dit: «Qu’est-ce que ton frère t’a donné?»

            J’ai dit: «Deux bonbons, Monsieur.»

            Il a dit: «Mange-les.»

            Et j’ai pris un morceau, je l’ai mis dans ma bouche, je me suis mis à manger. Je l’ai avalé: c’était bon. Et juste à ce moment-là cette fleur qui était courbée en direction du nord a produit un bruit, faisant: «Whiou, whiou», [Frère Branham souffle dans le micro.–N.D.E.] et elle s’est redressée. Et j’ai regardé, et je me suis dit: «Qu’était-ce?» Géographiquement, c’est juste la façon dont les deux garçons étaient tombés: un vers le sud, l’autre vers le nord. Celui qui était tombé en direction du nord, c’est celui qui avait été ressuscité des morts. Il a dit: «Mange l’autre morceau.» Je l’ai mis dans ma bouche, je me suis mis à mâcher cela. Oh ! C’était amer. Et aussitôt je l’ai fait sortir.

            Maintenant, voici quelque chose. J’ai regardé cette autre fleur. Cela faisait: «Teuhh...?... [Frère Branham frappe à la chaire.] Cela descendait continuellement. Il a dit: «Mange-le.» Je l’ai remis dans ma bouche, j’ai retenu mon souffle. Et je l’ai mangé très rapidement ; je l’ai avalé ; et lorsque je l’ai avalé, l’autre fleur a fait: «Pfff» [Frère Branham souffle dans le micro.], elle s’est redressée, elle s’est tenue juste à côté de l’autre. Et j’ai dit: «Que signifie ceci?»

            Il a dit: «Va appeler cette mère.» Alléluia ! Et dis: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, Dieu a exaucé ta prière, et l’enfant ira bien.»

24        J’ai couru en toute hâte vers le téléphone. J’ai poussé un grand cri, et à ce moment-là, cela–tout le monde s’est mis à crier et à courir. Et lorsque je suis arrivé là, j’ai dit: «Allez appeler cette dame.» Et lorsqu’ils sont allés l’appeler, ils ont téléphoné à l’hôpital ; on leur a dit que le bébé était mourant. Alors ils ont eu la mère au téléphone, et lorsqu’ils lui ont parlé, savez-vous ce qui s’est passé? Elle criait à tue-tête. Elle a dit: «Frère Branham, le bébé est revenu à lui, nous le ramenons à la maison maintenant. Le médecin trouve que l’enfant n’a aucun problème. Gloire à Dieu !» Avais-je quelque chose à faire là-dedans? Non. C’est la prière de la mère qui a sauvé l’enfant. J’ai seulement fait ce que je devais faire d’après ce qui m’a été montré. Qu’est-ce? Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Prions.

25        Bien-Aimé Père céleste, viens maintenant, je Te prie. Oh ! Pendant que mon coeur regarde en arrière, et que je pense à ces jours dorés là parmi ces gens aimables et fidèles, aux grands signes et miracles que tu as accomplis dans diverses parties du monde, je me pose des questions. Un glorieux jour nous nous rencontrerons de nouveau nous tous. Oh ! quel moment ce sera ! Nous sommes si reconnaissants de ce que Jésus vint.

            Maintenant, beaucoup de gens sont ici ce soir, Seigneur, j’aurais bien voulu les guérir. Les médecins auraient bien voulu faire quelque chose pour eux. Ô Dieu, aide ces médecins alors qu’ils travaillent de tout leur coeur. Nous Te prions de leur donner la sagesse. Ces gens veulent vivre. Mais, Père, beaucoup d’entre eux sont hors de portée des médecins. Tu es le Seul qui peut aider maintenant. Oh ! ne veux-Tu pas le faire pour eux? Viens ce soir. Je–je leur ai dit que Tu les as guéris lorsque Tu es mort au Calvaire. Et lorsque Tu étais ici, Tu disais que Tu ne faisais que ce que le Père Te disait de faire.

26        Ô Dieu, encore une fois, tandis que nous quittons cette merveilleuse nation, donne-leur encore une fois Ton admirable bénédiction de Ta Présence qui est au milieu d’eux. Ô Dieu, bénis cette petite nation. Pose simplement Ta main sur cette nation. Tu l’as préservée de la guerre, et Tu les as aidés. Ô Dieu, qu’ils Te soient reconnaissants pour tout. Or, on nous a appris que pendant la guerre cette nation a servi d’hôpital. Ô Grand Médecin, viens à l’hôpital, que ces gens Te voient.

            Maintenant, Bien-aimé Père céleste, que ce soir, que ce soir, il en soit comme pour ceux qui revenaient d’Emmaüs. Tu avais marché avec eux toute la journée. Ils ne T’avaient pas reconnu. Ils ne savaient pas que c’était Toi. Et beaucoup parmi eux ici, ont marché avec Toi, et ne s’en rendent pas compte. Mais, Père, ce qui leur avait permis de s’en rendre compte à l’époque, c’est la manière dont Tu as fait quelque chose. Tu–Tu avais fait quelque chose différemment–vraiment différemment des autres hommes. Maintenant, ne veux-Tu pas le faire de nouveau ce soir, Seigneur, juste quelque chose de différent ce soir, afin qu’ils sachent, comme ceux qui étaient à Emmaüs, que c’était Toi? Je crois qu’ils Te recevront et rentreront chez eux en se réjouissant comme ces disciples en ce temps-là, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

27        Cher ami chrétien, nous voici à la dernière soirée de ma série de réunions. Allons à Lui maintenant. Croyons en Lui de tout notre coeur. N’ayons pas un seul brin de doute dans nos coeurs. Je crois que vous savez qu’Il est ici. J’aimerais vraiment vous voir guéris. J’ai fait tout ce que je sais faire. Je crois que Jésus a fait autant qu’Il pouvait faire. Je ne connais rien d’autre qu’Il pourrait [encore] faire. Maintenant, croyons en Lui.

28        Combien... De quelles cartes s’agit-il? On a distribué les cartes de prière. Appelons les cartes de prière série D–D de 1 à 50. Maintenant, qui a la carte de prière D numéro 1? Levez la main. Bon, il y a trois mains qui se sont levées ; il ne devrait y en avoir qu’une seule. D-1. Très bien. Approchez, madame. Très bien. Venez par ici. Très bien. D-2, levez la main. D-2. Dites-leur d’attendre en toute tranquillité. C’est pour cette raison que nous distribuons les cartes. Soyez respectueux ; soyez très respectueux. Très bien.

            Maintenant, regardez tous dans cette direction vers moi. Regardez vers ici, tous. Maintenant écoutez, lorsque votre numéro sera appelé, ne vous levez pas. Levez simplement la main. Maintenant, qui a la carte D numéro 1? D numéro 2, levez la main. D numéro 2? Très bien. D numéro 3? Il se peut que ce soit quelqu’un qui est sourd. Que quelques huissiers aillent jeter un coup d’oeil sur ces cartes par ici. D numéro 3? Jetez un coup d’oeil sur la carte de votre voisin. Voyez si c’est... D-3, voulez-vous lever la main? A-t-il... Très bien ; D-4...?... D-4, levez la... Très bien. Très bien. Par ici. D-5. Par ici. D-6? 7? 8? 8? 9? 9? 10. D-10. 10? 10? 11? 11? 11? D-12. Très bien, venez. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

29        ... combien désirent que Dieu les guérisse, partout dans la salle juste [Espace vide sur la bande]... J’aimerais prier sur ces mouchoirs. Voulez-vous vous joindre à moi, frère Bosworth?

            Notre Père céleste, nous Te remercions pour cet ordre de poser les mouchoirs les uns pour les autres et...?... C’est ce que dit Ta Parole. Nous croyons Ta Parole. Ô Dieu, pendant que je m’agenouille ici avec ce vieux patriarche qui est Ton serviteur, exauce notre prière, notre amour pour ces gens. [Espace vide sur la bande]... que Tu as placé dans nos coeurs...?... placé dans nos coeurs ici dans la foi en croyant. Nous leur envoyons ces mouchoirs...?... au Nom de Jésus afin que Tu les guérisses tous. Amen.

30        Je n’avais pas l’intention de...?... C’est bon. Laissez-moi... [Frère Branham s’adresse à l’interprète loin du micro, pendant qu’on déplace quelque chose.]

            Très bien. Maintenant, que tout le monde soit très respectueux. Ils essaient d’examiner avec les médecins ou quelque chose au sujet de cette dame qui était malade. S’il pense qu’elle est sur le point de mourir... Parlons-en d’abord à Jésus, voyons ce qu’Il dit. Amen. Euh–euh–la ligne de prière... Que quelqu’un aille là-bas. Allez-y, frère, s’il vous plaît. Très bien, prenez sa carte.

31        Maintenant, j’aimerais que vous regardiez par ici. J’aimerais que vous croyiez de tout votre coeur. J’aimerais que vous croyiez vraiment. Maintenant, s’il y a quelque chose que je puisse faire pour vous aider afin que vous soyez guéri, je ferai tout mon possible pour le faire. Maintenant, je ne le peux pas. La seule chose que je peux faire, c’est d’être comme votre médecin. Si vous aviez quelque chose qui cloche, et que lui ait un médicament contre cela, il doserait ce médicament, et vous le donnerait. C’est tout ce qu’Il peut faire. Le reste relève de Dieu. Si vous devez être opéré, il fera l’opération et remettra le reste à Dieu. Il ne pourra pas guérir le patient, il pourra seulement ôter cette chose qui fait mal. Il ne pourra pas guérir, mais il confiera le reste à Dieu.

32        Eh bien, Dieu a donné aux hommes un–un don pour prêcher. Ils prêchent, vous disant que Jésus est mort pour vous sauver. Vous croyez cela et vous êtes sauvé. L’homme ne peut pas vous sauver ; vous devez accepter ce que Jésus a fait. Les hommes vous prêchent et vous disent que Jésus est mort pour votre maladie. Alors si vous ne pouvez pas croire cela, Il a donc établi des dons dans l’Eglise par Son Esprit.

            Maintenant, Il m’a envoyé avec un don, tel que celui de voir des visions. Et Il opère à travers Son Eglise juste comme Il m’a montré des visions. Quel est le but de cela? Elever votre foi pour que vous puissiez croire et être guéris. Maintenant, mes amis, je ne suis pas ici comme un séducteur. Vous le savez bien. Certainement. Qu’aurais-je à faire ici si cela ne venait pas de mon coeur? Je suis ici pour vous aider. Alors je vous donne tout ce que je sais pour vous amener à croire en Jésus.

33        Bon, voici cette dame qui se tient ici. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Elle est une parfaite inconnue. Et maintenant, que se passera-t-il si Jésus se tenait ici, s’Il se tenait juste ici où je me trouve, et qu’elle soit en train de Le regarder? Eh bien, elle, peut-être qu’elle a des problèmes de ménage. Je ne sais pas ce qu’elle désire. Mais disons qu’elle est malade, si Jésus se tenait ici et qu’elle disait: «Ô Jésus, veux-Tu me guérir?» Qu’est-ce que Jésus aurait à lui dire?

            Il dirait: «Mon enfant, Je l’ai déjà fait. Ne crois-tu pas Ma Parole? Je t’ai guérie lorsque Je suis mort au Calvaire.» C’est tout ce qu’Il pourrait faire. Oh ! Peut-être qu’Il pourrait lui parler. Et si le Père Lui montrait quelque chose à lui dire, ce serait tout, cela édifierait sa foi.

            Maintenant, considérez lorsqu’Il s’est adressé à la femme au puits. Il s’est mis à lui parler, et elle était une inconnue, et Il a pu–Il lui a dit ce qu’elle avait comme problème. Ah ! Elle a dit: «Je vois que Tu es Prophète.» Elle ne pensait pas que c’était Dieu qui était là dans un homme–habillé comme un homme. Et Il... Elle a dit: «Je sais que lorsque le Messie viendra, le Christ, ce sera là le signe qui L’accompagnera. Mais Toi, qui es-Tu?»

            Il a dit: «Je Le suis.»

            Maintenant, tout au travers de la Bible, c’est ce qu’a fait Jésus. Et s’Il est ressuscité des morts, Il le fera de nouveau. Est-ce juste? Dites: «Amen.» Si c’est vrai. Maintenant, nous allons laisser cette dame être le juge.

34        Maintenant, je vais lui demander si nous nous connaissons. Je n’ai aucun moyen de connaître quoi que ce soit à votre sujet: nous sommes de parfaits inconnus l’un pour l’autre. Si c’est juste...? Maintenant, comment puis-je savoir quelque chose au sujet de cette femme? Dieu sait que je ne la connais pas. Mais je sais qu’il y a quelque chose tout près ici maintenant, cet Ange que vous voyez sur la photo ce soir. (...?... ceci pourrait être plus facile. Avancez jusqu’ici.)

            Combien n’ont jamais vu l’Ange du Seigneur? Levez la main. Ceux qui ne L’ont jamais vu? Levez la main. Le voilà. Cela a été photographié en Amérique. Voyez-vous la Colonne de Feu? Ce sont les meilleurs scientifiques du monde qui ont examiné cela. Cela est accroché dans la salle des arts religieux avec un... scientifique–recherche scientifique. C’est le seul Etre surnaturel qui ait jamais été photographié dans le monde entier. Grâces soient rendues à Dieu ! Maintenant, c’est ce qui est ici. Maintenant, vous avez vu cette Colonne de Feu, n’est-ce pas? Ecoutez, je ne sais pas quand je vous reverrai encore. Mais cette même Colonne de Feu est à moins de deux pieds [60 cm] de l’endroit où je me tiens juste en ce moment. Amen.

35        Eh bien, ce n’est pas moi ; c’est Lui. Maintenant, Il connaît cette femme. Il sait tout ce qui la concerne. Alors, si moi je suis Ses yeux, ou plutôt s’Il utilise mes yeux, et ma voix, pour essayer d’encourager Son enfant, nous remercions Dieu pour ça. Et cela devrait amener chacun de vous à être reconnaissant. Cela ne devrait-il pas vous rendre reconnaissant? Dites: «Amen.»

            Maintenant, si Dieu fait cela pour cette femme, chacun de vous va-t-il croire en Lui? De tout votre coeur? Bon, écoutez, mon ami, vous devrez reconnaître qu’il s’agit d’un Etre surnaturel, alors votre approche à l’égard de Cela déterminera ce que vous allez en tirer. Ayez donc la foi. Je ne parlerai plus.

36        Maintenant, étant donné que nous ne nous connaissons pas, soeur, et que nous ne nous sommes jamais rencontrés auparavant, je ne sais rien à votre sujet. N’est-ce pas? Mais vous vous rendez compte que Dieu vous connaît et qu’Il me connaît. Or, vous êtes ici pour quelque chose. Je l’ignore, mais Lui le sait. Eh bien, s’Il me révèle le motif de votre présence ici, allez-vous L’accepter comme étant Jésus-Christ, le Fils de Dieu, qui peut vous accorder votre désir? Le croyez-vous? Amen.

            Tout d’abord, je vois cette dame... Entre elle et moi se tient cette Lumière. Elle commence à disparaître. Je la vois pendant qu’elle recule dans le temps, elle est pratiquement une jeune fille. Et elle est très nerveuse, elle a été très nerveuse durant toute sa vie. Je vois cela la suivre ; même à l’école, elle était nerveuse. Elle a une aphasie. Elle est aussi myope. Elle est à l’école. Elle tient les livres tout près des yeux ; et lorsqu’elle recule cela, elle est myope. Ensuite je la vois comme une jeune femme, sa santé se détériore. C’est au niveau des poumons. Elle a–elle est allée consulter un médecin, et ce médecin a dit que c’était très grave. Un poumon est fichu. Et l’autre est presque fichu. Et vous êtes là, mourante. AINSI DIT LE SEIGNEUR.

37        Maintenant, madame, vous m’avez entendu dire cela, ce n’était pas moi. C’était cet Ange. Etait-ce la vérité? Si c’était juste, levez la main. Croyez-vous maintenant?...?... Maintenant, quelle est la chose suivante que je peux faire? C’est d’imposer mes mains sur cette femme et demander que sa vie soit épargnée. Car quoi d’autre–qu’est-ce que cela lui ferait? Revenez à la Bible. Jésus a dit: «Ce que vous avez fait à l’un de ces plus petits d’entre mes frères, c’est à Moi que vous l’avez fait.» Il a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Et cette femme sait qu’il y a quelque chose qui est tout près, elle voit cela par la... scientifique–par une preuve scientifique. Elle ressent Cela sur son propre corps.

            Regardez-moi. Je vais lui demander quelque chose. Madame, n’y a-t-il pas une sensation étrange sur vous maintenant? N’est-ce pas étrange ce que vous ressentez? C’est cette Lumière. Elle est suspendue juste au-dessus de vous, essayant de trouver là où se trouve la foi. Cela est prouvé scientifiquement ; cela est prouvé par des sensations ; cela est prouvé par la révélation. Jésus a dit que chaque parole sera établie sur la déclaration de deux ou trois témoins. C’est ce que dit la Bible. C’est ce que dit la photo. C’est ce que dit ce qu’elle ressent. Et c’est ce que dit la révélation du Seigneur. Ça fait quatre témoins indéniables. Cela doit en être ainsi.

38        Maintenant, est-ce que je peux la guérir? Non. Seule sa foi en Dieu peut le faire. Voulez-vous prier avec moi pendant que je lui impose les mains, car cette dame est mourante. Et elle est juste une enfant ; elle est jeune, il semble qu’elle a encore sa vie devant elle. Elle aimerait vivre. Elle aimerait vivre comme vous. Mère, qu’en serait-il si c’était votre fille? Papa, qu’en serait-il si c’était votre enfant? Frère, qu’en serait-il si c’était votre soeur ou votre femme? Vous auriez aimé que tout le monde soit sincère. Et c’est ce que nous voulons être: c’est l’enfant de quelqu’un.

            Bien-Aimé Père céleste, réalisant que ceci est un moment crucial pour ma soeur, oh ! veux-Tu manifester Ta miséricorde, ô Dieu? Avec mes mains posées sur elle, la seule chose qui peut sauver sa vie, c’est un acte de création de Ta part. Ô Dieu, Tu peux faire repousser ces poumons. Accorde-le, et il en sera ainsi. Je condamne ce démon de la tuberculose. Ô toi démon, tu t’es caché de Dieu, et des médecins, mais tu ne peux pas te cacher de Dieu. Sors de cette femme, au Nom de Jésus ! Amen !

            Maintenant, voilà. C’est maintenant le moment. Maintenant même vous vous sentez bien ; c’est juste. Eh bien, cela vous a quittée. Maintenant, continuez de croire. Retournez chez votre médecin ; écoutez ce qu’il vous dira. Mangez tout ce que vous pouvez. Reprenez du poids. Pesez-vous demain. Après une semaine, pesez-vous encore. Ensuite écrivez-moi une lettre. Amen. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse...?... C’est juste...?...

39        Maintenant, que tout le monde soit très respectueux. Tenez ferme. Oh ! Que peut-il arriver? Cela devrait être réglé maintenant même. Gloire à Dieu. Tout le monde devrait avoir la foi. Cela pourrait se faire maintenant. Mais prions encore pour quelques personnes. J’ai quelques personnes qui viennent et tous entrent...?... Tous–tous sauf le numéro 3. Tout le monde est dans la ligne.

            Bon, madame, nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Jésus vous connaît. Croyez-vous que Jésus, le Fils de Dieu, s’Il se tenait ici... Il est ici. C’est ce que vous ressentez maintenant même. J’aimerais que l’assistance observe l’expression sur le visage des patients lorsque cela les touche.

            Cette dame sait qu’il y a quelque chose autour d’elle. Elle en est consciente. Je vois que vous avez une maladie. Ça se trouve dans votre côté et dans votre dos. Pas vrai? C’est le côté gauche. C’est juste. C’est une tumeur au côté gauche et dans le dos. Est-ce juste? Croyez-vous que Jésus vous guérira? Dieu bien-aimé, aie pitié de notre soeur...?... débarrasser de cet horrible démon... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?...

40        Et un grand goitre a poussé. Et ensuite, par une intervention chirurgicale ce goitre vous a été ôté. Et depuis qu’on a ôté cela, cela a produit sur vous un effet néfaste. Vous êtes presque aveugle. Vos yeux se détériorent ; et vous vous sentez faible par moments et autres. Et bien des choses vous arrivent. C’est vrai. Croyez-vous que Jésus se tient à côté de vous? Bien-Aimé Père céleste, je prie au Nom de Jésus, aie pitié de cette femme. Tu l’as envoyée ici ce soir pour une raison. Ô Dieu, aie pitié d’elle, épargne-la, guéris-la, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, ma chère soeur.

41        Eh bien, je ne suis pas hors de moi. Cela m’affaiblit tout simplement. Une pareille sensation qui se produit dans l’assistance. Chaque esprit est soumis juste en ce moment. Vous qui sentez quelque chose d’étrange à l’égard de ceci, j’ai perçu votre sentiment ; je sais que vous êtes ici. Quel sentiment ! Ô Jésus, qui est le Fils de Dieu, Il vit. Beaucoup d’entre vous croient ce soir. Ne soyez pas découragés. Je crois de tout mon coeur, de grandes guérisons vont se produire.

42        Bon, à cette dame... Maintenant, nous pouvons simplement amener toute cette file de gens. Nous allons juste continuer de faire la même chose. Mais parlons à cette dame, juste celle-ci, une de plus. Et voyons ce que le Saint-Esprit lui dira. Maintenant, cette dame est–est une inconnue. Maintenant, madame, afin que les gens ne pensent pas que c’est de la psychologie, ôtez votre esprit du motif de votre présence ici. Pensez à quelque chose d’autre qui n’a rien à voir avec ceci. Maintenant, j’aimerais que vous croyiez en Jésus. Et si Jésus me dit ce qu’est votre maladie, allez-vous accepter cela et croire de tout votre coeur?

            Maintenant, vous êtes consciente que je ne vous connais pas ; je ne vous ai jamais vue de ma vie. Mais aussi certain que je suis un ministre, ici à l’estrade, j’aimerais vous demander quelque chose. Ça fait presque une minute depuis que je vous parlais, quelque chose vous a envahie (Est-ce juste?), c’est comme une sensation. Levez la main. C’est juste. Amen. C’est l’Ange du Seigneur. Maintenant, croyez.

            Vous souffrez de la nervosité. Ensuite vous avez un... Je vois un coeur en train d’être examiné. Vous avez une maladie cardiaque. Ensuite vous avez quelque chose qui ne va pas dans le foie. Il y a quelque chose dans le foie, on a examiné cela. Vous vous faites soigner par un médecin, il y a des médicaments et des médecins. Et je vois votre médecin pendant qu’il secoue la tête. Il–il vous a dit que vous étiez... Il a prélevé un–quelque chose au sujet d’une fièvre, une sorte de fièvre–une fièvre. Et il–il ne sait pas l’origine de cette fièvre. Il ne comprend rien au sujet de cette fièvre. C’est juste. Oui. Amen. C’est Jésus seul qui le sait.

            Approchez, mère. Ô Dieu, aie pitié de ma soeur. Je Te prie de la guérir, Seigneur...?... envoie Ton Saint-Esprit. Maintenant, guéris chaque nerf et rétablis-la, au Nom de Jésus. Amen. Maintenant, que Dieu vous bénisse. Vous êtes la bienvenue.

43        Gloire au Seigneur ! Si tu crois. Pourquoi ne pouvez-vous pas croire?...?... Pourquoi ne pouvez-vous pas croire? Notre Dieu est ici pour vous guérir. Le croyez-vous? Certainement, Il est ici pour vous guérir. Ayez foi en Lui.

            Qu’en dites-vous, maman? Allez-vous croire maintenant? Qu’en dites-vous, soeur, juste là derrière? Allez-vous croire? Si vous pouvez croire, vous pouvez vous remettre à manger. Dieu vous guérira. Qu’en pensez-vous, petite soeur, qui est assise là, me regardant avec cette maladie cardiaque, vous qui êtes assise là, ayant cette bande noire autour de votre chapeau? Vous avez une maladie cardiaque, n’est-ce pas? Vous étiez en train de prier, et vous demandiez à Dieu de vous rétablir, n’est-ce pas? C’est juste. Cela vous est accordé. Dieu vous guérira.

            Soeur, croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? La raison pour laquelle je dis cela... Voyez-vous, Il m’avait dit: «Si tu amènes les gens à te croire.» Non pas me croire comme si j’étais Lui, mais croire que c’est Lui qui m’a envoyé. Voulez-vous faire quelque chose pour moi? Voulez-vous imposer la main sur cette dame à côté de vous, là-bas?

            Juste à côté... Non, la suivante, de l’autre côté. Cette dame qui est assise là est très malade. Elle a une maladie du foie, dans son foie. Et vous désirez être guérie, n’est-ce pas, madame? C’est juste. Agitez la main si vous voulez être guérie. Amen. Maintenant, je vais offrir une prière pour vous.

            Ô Jésus, le Fils de Dieu, guéris-les. Leur foi exerce cette attraction par ici. Mais il fait toujours sombre autour d’eux, Père. Oh ! Enlève l’obscurité et guéris-les, au Nom de Jésus. Satan, quitte-les, au Nom de Jésus ! Amen !

            Maintenant, écoutez. Maintenant, que le Seigneur vous bénisse. Ces mêmes ténèbres qui étaient autour de vous, vous ont quittés. La foi, si tu crois, tout est possible.

44        La dame assise juste ici, en train de me regarder. Elle dit: «Seigneur, fais qu’il m’appelle.» Vous avez une maladie cardiaque...?... Vous avez une maladie cardiaque. Est-ce que vous croyez, vous qui avez cette maladie cardiaque. Ceux qui croient de tout leur coeur? Vous croyez? Alors vous pouvez être guérie de cette maladie cardiaque. Amen.

            Bon, vous avez une maladie du sang, vous qui êtes assis juste là. Croyez-vous que Jésus vous guérira, pendant que vous êtes assis juste là? Oui? Vous croyez? ...?... Très bien. Monsieur, Il vous a guéri. Amen. Ayez simplement la foi.

            Juste ici, voyez-vous cette Lumière qui est suspendue là-bas? C’est à une distance d’environ quatre rangées. Vous souffrez de l’arthrite, n’est-ce pas, vous qui êtes juste là au bout de la rangée? Croyez-vous que Jésus vous guérit? Si vous croyez, vous pouvez recevoir cela. Très bien. Le croyez-vous? Amen. Alors vous pouvez l’avoir.

            Voici une autre personne assise juste ici, souffrant de l’arthrite. Est-ce que vous croyez? Vous pouvez recevoir cela. Amen.

            Est-ce que vous croyez, vous là-bas qui souffrez de la tête, vous qui êtes assis juste là au fond, souffrant de la tête? Est-ce que vous croyez? Alors vous pouvez recevoir cela. Amen. Oh ! Il est ici, juste ici. Est-ce que vous croyez? Alors vous pouvez recevoir cela. Amen. Oh ! Il est ici, juste ici. Croyez-vous?

45        Voici une dame assise ici, la deuxième dans cette rangée, environ quatre rangées derrière, elle a une maladie de nerfs. Croyez-vous que Jésus vous guérira? Amen. Vous êtes exaucée maintenant même.

            Voici une dame qui est assise juste là derrière, elle a une affection des jambes, dans ses jambes. Est-ce que vous croyez? Tenez-vous debout. Jésus vous guérit. Amen. Ayez la foi. Ayez la foi ; ne doutez pas.

            Il y a une personne assise juste ici, qui a l’épilepsie. Croyez-vous que Dieu vous guérira et vous rétablira? Si vous croyez, vous pourrez l’obtenir. Amen. Alléluia !

            Là il y a une dame assise, qui souffre de cette maladie gynécologique, elle est assise un peu en retrait, ayant cette... de dame. Oui, là derrière ayant cette maladie gynécologique, elle est assise juste derrière par ici. Juste là, cette dame qui essaie de se lever. C’est juste, madame. Amen. Vous pouvez obtenir votre guérison. Alléluia ! Croyez en Lui.

46        Regardez dans cette direction. Voilà cela passe par ici. Ça se trouve juste ici. Il y a un homme qui se tient ici derrière, ayant la prostatite. Croyez-vous que–que Jésus-Christ vous rétablira? Vous pouvez obtenir ce que vous demandez. Amen. Alléluia ! Ne pouvez-vous pas croire en Lui? Oh ! la la ! Voyez? Eh bien, Cela va partout. Voyons voir si nous pouvons prendre un peu plus de gens dans la ligne de prière.

            Approchez. Est-ce que vous croyez? De tout votre coeur? Il y a quelques instants, vous étiez assise juste là derrière. Cet après-midi pendant que je prêchais, vous étiez en train de me regarder. Vous êtes une croyante. Vous avez une maladie gynécologique. Vous avez été guérie cet après-midi pendant que vous étiez assise là derrière. Quelque chose est venu sur vous. Est-ce juste? C’est...

            Regardez simplement par là ; La voici qui va au-dessus de l’assistance. J’aimerais vous demander quelque chose. Chaque femme qui a une maladie gynécologique comme cela, tenez-vous debout sans tarder maintenant même. Tenez-vous debout, vous toutes. Le voilà. Restez debout. Jésus qui peut vous guérir ici peut guérir là-bas. Ô Dieu, au Nom de Jésus... Satan, tu es condamné. Quitte ces femmes, au Nom de Jésus-Christ ! Amen ! Rentrez chez vous et soyez guéries,...?... au Nom de Christ. ... disparu.

47        Croyez-vous en Lui de tout votre coeur? Tenez. Toute personne dans cette assistance. Voici quelque chose de nouveau. Toute personne qui souffre d’une maladie des reins dans le dos, tenez-vous debout. Vous qui avez une maladie des reins... Regardez là-bas. Voici ce que cette dame a. Ces mêmes démons sont en train d’appeler pour recevoir du renfort. Je n’arrive pas à vous distinguer. Regardez...?... Cela vous environne complètement. Prions.

            Ô Dieu, au Nom de Jésus, je condamne ce démon. Satan, sors d’eux, au Nom de Jésus ! Amen ! Que Dieu vous bénisse. Partez et soyez guéris. Amen. Disons: «Gloire au Seigneur !» Croyez de tout votre coeur. Est-ce que tout le monde croit? Est-ce que vous croyez? Alléluia ! Jésus ne faillit jamais.

            Est-ce que vous croyez, madame, vous qui êtes assise ici, souffrant du rhumatisme? Croyez-vous que Jésus vous guérira? Croyez-vous qu’Il vous guérira? Il le peut si vous croyez. Il n’y a qu’une seule chose à faire, c’est de L’accepter. Et tenez-vous simplement debout et soyez guérie. Oh ! la la ! pourquoi ne vous levez-vous pas?

            Oh ! vous les gens, toute l’assistance, selon ma manière de voir, est illuminée par la puissance de Dieu. C’est juste au-dessus de vos têtes. Je crois que vous pouvez être guéris. Ecoutez. Je condamne chaque doute, au Nom de Jésus-Christ. Voici votre heure, vous tous par ici, tenez-vous debout et recevez votre guérison. Ecoutez, les gens se lèvent de leurs fauteuils roulants ; tout le monde. Ô Dieu, gloire au Seigneur ! Oh ! nous Te remercions, Père.

            Satan, nous te condamnons ; tu es vaincu. Au Nom de Jésus, quitte cette assistance !

            Connaissez-vous ce cantique: «Jésus...?...» Vous le connaissez?...?...

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