La Communion

Date: 63-0707E | La durée est de: 16 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, Frère Orman. Nous sommes heureux ce soir d’être ici pour entendre ce merveilleux message de–de lèvres de notre frère, que nous croyons être oint du Saint-Esprit pour nous apporter ces grandes nouvelles de, comme on dit, d’exhortation: Comment nous devrions vivre en dans la sainteté aujourd’hui, devant Dieu et les uns devant les autres. Nous–nous–nous voulons juste la sainteté parmi nous, qu’on n’entende pas parmi nous de paroles mauvaises, pas du tout, alors que nous confessons ce grand appel de Dieu. Nous devons marcher d’une manière digne de cette chose à laquelle Dieu nous a appelés. Et nous sommes fort avancés vers le bout du chemin du voyage maintenant, là où nous attendons infiniment, abondamment au-delà de tout ce que nous pouvons faire ou penser.

            Et, rappelez-vous, nous aimerions être constamment en prière. Et par-dessus tout, surveillez votre vie: si votre vie n’est pas à la hauteur de la sainteté de Dieu, alors faites demi-tour et remettez-vous à prier; il y a quelque chose qui cloche. Voyez? Nous devons vivre dans ce genre d’état où les fruits de l’Esprit se manifesteront au travers de nous. C’est la vie que nous aimerions mener.

            Vous savez, parfois nous entendons de grands prédicateurs qui peuvent prêcher puissamment, mais nous préférerions voir un sermon être vécu plutôt qu’entendre un sermon être prêché (Voyez?), car c’est cela l’évidence que Dieu est à l’intérieur.

2          Maintenant, nous avons... venons à la table de la communion. Et maintenant, encore, il y en a qui ne prennent pas la communion, et peut-être que vous venez de prendre cela dans vos propres églises, mais nous serions heureux ce soir si vous pouvez... voulez communier avec nous autour de ces choses. Nous ne traçons jamais de lignes de démarcation vis-à-vis de qui que ce soit, tant que vous marchez d’une manière digne de–de l’Evangile que vous–vous entendez et que vous confessez en faire partie.

            Vous savez que vous faites partie de cette Evangile. Vous êtes–vous êtes des épîtres écrites dont nous parlons. Et tant que nous faisons quelque chose de répréhensible, alors nous sommes à charge de ce que nous entendons. Vous voyez? Nous devons vivre ce que nous croyons, et vivre cela de telle manière qu’il n’y aura jamais de reproche, mais refléter Jésus-Christ dans tout ce que nous faisons et disons. C’est comme ça. Nous L’aimons vraiment pour ça.

3          Et maintenant, ce soir, nous allons lire l’ordonnance sur la table du Seigneur qui se trouve dans 2 Corinthiens, vers le chapitre 11. Nous lisons cela et nous laissons chaque individu... Comment, nous faisons ceci, s’il y a des nouveaux venus parmi nous, nous appelons les gens à l’autel à tour de rôle prendre la communion. Et chaque chrétien est digne.

            Eh bien, si vous menez une vie qui prouve que vous êtes... vous aimeriez sonder votre coeur. Eh bien, laissez-moi me rassurer de mentionner ceci, que les Ecritures déclarent ici que si nous prenons cela indignement...

            Maintenant, nous savons que nous ne sommes pas dignes par nous-mêmes; aucun de nous ne l’est. Mais nous ne nous confions pas dans nos propres mérites, nous nous confions en Celui qui a... Nous–nous nous confions en Ses mérites, que nous sommes morts à nos propres pensées, et que nous pensons juste Ses pensées, et nous vivons conformément à tout ce que nous croyons qu’Il nous a ordonné, nous examinons pour voir la vie que nous menons, examinant notre vie, et si nous faisons des choses qui ne sont pas dignes de l’Evangile, alors nous ne devrions pas prendre la communion.

4          Mais si nous faisons des choses dont nous pensons que cela... que notre vie peut-être lue de tous les hommes, que si quelqu’un ne peut pas nous pointer du doigt et dire: «J’ai vu cet homme dans un bar l’autre jour»; «Je–j’ai entendu que cet homme se tenait là débitant de sales plaisanteries»; «Cette femme fait de mauvaises choses.» Alors, si vous savez que c’est le Saint-Esprit qui vous pointe, alors–alors ne prenez pas la communion. Mais si vous–si vous trouvez que–que la vie que vous menez, que vous pourrez vous examiner et voir que tous vos péchés sont confessés et sont sous le Sang, alors vous–vous êtes censés prendre cela. Vous–vous faites–vous faites partie de cela.

5          Maintenant, lisons le passage des Ecritures juste comme Saint Paul nous exhorte ici dans l’Evangile selon saint Jean, le... Je vous demande pardon, dans l’Epître de 1 Corinthiens, le... le chapitre 11, à partir du verset 23.

          Car j’ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné; c’est que le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain, (Je souhaiterais avoir le temps de–d’en parler un peu.)

          Dans la nuit où il fut livré (vous voyez), Il prit du pain.

          Et, après avoir rendu grâces, le rompit, et dit: Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous; faites ceci en mémoire de moi.

          De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit: Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez.

          Car toutes les fois que vous–que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne.

          C’est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur.

          Que chacun donc s’éprouve soi-même, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe;

          Car celui qui mange et boit sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-même.

          C’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup d’infirmes et de malades, et qu’un grand nombre sont morts.

          Si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés. Mais quand nous sommes jugés, nous sommes châtiés par le Seigneur, afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde.

6          Puissé-je faire comprendre cela: Quand nous sommes jugés par la Parole, qui est Christ, nous sommes châtiés. Si nous faisons le mal, nous ne vivons pas à la hauteur de cette Parole-ci, nous sommes châtiés par le Seigneur. Et quand le Seigneur nous châtie, cela veut dire: nous corrige, c’est afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde.

            Nous ne sommes pas du monde. Nous sommes différents du monde, nous menons une vie différente, une vie consacrée. Nous ne devons jamais mener la vie du monde et être un chrétien. Nous devons mener une–une vie remarquable, une vie différente. Je ne veux pas dire être de hauts rangs sociaux, mais je veux dire que nous devons mener une vie de sainteté authentique, telle que les fruits de l’Esprit peuvent être vus en nous: la douceur, la gentillesse, la patience, la longanimité, la foi; les fruits de l’Esprit. Mais là où... quand nous sommes... entendons ces choses, alors nous savons que nous sommes châtiés par le Seigneur, que nous ne les faisons pas, alors nous sommes condamnés. Si nous n’avons pas de condamnation en nous, que nous vivons au-dessus de cette chose-là, par la grâce de Dieu, alors nous ne sommes pas condamnés par le monde, mais nous vivons au-dessus des choses du monde. Vous voyez?

          Ainsi, mes frères, lorsque vous vous réunissez pour le repas, attendez-vous les uns les autres.

          Si quelqu’un a faim, qu’il mange chez lui, afin que vous ne vous réunissiez pas pour attirer un jugement sur vous.

          Je réglerai les autres choses quand je serai arrivé.

7          Nous avons toujours... faisons de grandes exhortation là-dessus, que quand nous nous réunissons, même si nous ne pouvons rien voir, il peut y avoir dans quelqu’un d’autre quelque chose que nous avions vu, qui n’était pas correct. Quand vous vous réunissez pour prendre cette communion, attendez-vous les uns les autres, priez les uns pour les autres. Priez que... Nous disons toujours cela comme ceci: «Je vais prier pour vous afin que si vous... s’il y a un péché en vous que... une injustice, ou quelque chose que vous avez fait, en tant que croyant, je–je prie que Dieu vous en débarrasse, qu’Il vous le pardonne. Et vous priez pour moi, que s’il y a quelque–quelque chose que j’ai fait, dont je ne sais pas... Si j’ai fait cela tout en sachant que c’était faux, je–je confesserai cela sur-le-champ. Je suis disposé, car celui qui mange et boit indignement, mange et boit un jugement contre lui-même, sans discerner le Corps du Seigneur.

8          Le discernement pour savoir que vous êtes le Corps du Seigneur, vous ne pouvez pas discerner cela dans–dans la méchanceté et le péché; nous devons être au-dessus de cela. Nous discernons que le Seigneur est juste, nous discernons qu’Il est notre Expiation; que nous avons confessé tous nos péchés, nous croyons en Lui, attendant que Son expiation nous nettoie de toute notre iniquité; alors nous discernons le Corps du Seigneur, pour ce que cela... le discernement de ce pourquoi cela existe. Et alors, on discerne aussi que parmi nous, en tant que Corps Epouse du Seigneur, discernons s’il y a quelque chose de faux en nous ici qui empêcherait l’Evangile de croître, ou le Seigneur de nous présenter devant Dieu comme une vierge pure; discernons cela maintenant même et voyons si c’est faux. Confessons cela, si c’est faux. Disons: «Seigneur, je–je suis désolé de cela.»

9          Ainsi donc, ça peut être quelque chose que nous avons fait, que vous avez fait, quelque chose que j’ai fait. On peut ne pas en être conscient, maintenant même, demandons à Dieu de nous le pardonner. Nous avions l’habitude de chanter un cantique ici: «Pardonne les–les péchés que je T’ai confessés.» Pardonne les péchés secrets (Voyez?) dont on ne sait même rien, un péché inconnu. Nous–nous–nous prions, ô Dieu, de les pardonner.

            Maintenant, il a été dit: «Quand vous vous réunissez, attendez-vous les uns les autres», et cela devrait en réalité être comme ceci: attendez-vous les uns les autres. Attendre veut dire tarder, attendez-vous les uns les autres. Faisons-le maintenant. je vais prier pour vous. si vous reconnaissez avoir fait quelque chose de mal, dites: «Ô Dieu, pardonne-moi. Je n’en avais pas l’intention. Et si Tu Me viens en aide à partir de ce soir, je ne le ferai plus. Je–je suis sérieux là-dessus, Seigneur, je ne le ferai plus si seulement Tu me pardonnes. Et sur base de ma confession, je crois que Tu m’as pardonné, je vais prendre le corps de Christ, sentant dans mon coeur que Tu m’as pardonné de tout mon péché.» Je prie donc pour votre péché secret; priez pour le mien, afin que peut-être quelque chose que nous ne savons pas, que nous ne nous réunissions pas pour être condamnés avec le monde.

10        Nous n’aimerions pas que le monde soit ici dedans. Ce petit groupe de gens que Dieu nous a donnés pour adorer avec ici, nous aimerions nous garder purs de l’égoïsme; garder notre chose, notre péché... notre vie pure de toutes les choses du monde, que nous ne soyons pas tachetés de cela. Nous aimerions être prêts pour l’Enlèvement. Prions donc maintenant, en silence, les uns pour les autres, un petit instant. Priez pour moi alors que je prie pour vous. [Il y a un silence de trente et une secondes, suivi de la prière de frère Branham.–N.D.E.]

            Seigneur Jésus, Seigneur, que tous nos péchés soient maintenant sous le Sang du Seigneur Jésus, dans l’oubliette du souvenir de Dieu, que nous nous rassemblions maintenant comme des croyants bien-aimés et des enfants bien-aimés en Christ. Car nous le demandons en Son Nom. Amen.

11        Maintenant, en ce moment-ci, pendant que les–les anciens, je pense qu’ils viennent devant. Est-ce toujours là la procédure ici? Frère Tony Zabel va diriger cela. Et s’il y en a qui doivent partir maintenant et qui n’aimeraient pas rester pour la communion, nous avons été contents de vous avoir ce soir. N’oubliez pas la réunion de mercredi, la réunion de prière de mercredi soir. Et sortez discrètement, tranquillement pendant que les autres viennent à l’autel. Et frère Zabel, ici, va diriger les–les gens à l’autel pendant que nous apprêtons la communion. [Il y a un autre moment de silence.–N.D.E.]

12        Ceci représente le corps du Seigneur Jésus, le Pain. Et comme le cantique le disait tout à l’heure: «Ma foi regarde à Toi.» Il n’y a que trois ordonnances que le Seigneur nous a données; c’est le baptême, prendre le pain et le vin, et le lavage des pieds; ce sont des ordonnances.

            Et ceci représente le corps brisé de Christ. Ma prière est que chaque personne qui prend part à ceci ce soir reçoive la bénédiction du Saint-Esprit venant sur lui. Et pour ceux qui sont malades, que le Dieu du Ciel, qui a institué ceci sous la première forme en Egypte, quand on avait pris les–les–les–les herbes amères et du vin... Je crois que Dieu vous guérira et que, durant tout votre pèlerinage, il n’y aura pas de maladie parmi vous. Que le Dieu du Ciel nous regarde maintenant alors que nous Lui offrons ceci.

13        Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, Donateur de tout don excellent, nous Te remercions pour cette ordonnance, que nous pouvons pratiquer en Ta mémoire alors que nous communions, pour ainsi dire, dans Ta Présence, autour de la communion de la grâce de Dieu. Comme nous pensons dans nos propres coeurs, qu’un jour, nous étions indignes, et maintenant le Sang de Jésus-Christ nous a lavés de ce péché-là, de sorte que nous nous tenons ensemble dans les lieux célestes en Jésus-Christ.

            Ce pain kasher, Père, qui a été préparé et qui est apporté ici à cette fin, nous Te demandons de le sanctifier, Seigneur, que la représentation du corps brisé... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] comme le sacré, la douleur et la souffrance qu’Il a endurées au Calvaire alors que ce corps était brisé. Il a été blessé pour nos péchés, Il a été brisé pour notre iniquité. Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. C’est pourquoi nous prenons ce pain brisé ce soir. Que Dieu bénisse les croyants et sanctifie ce–ce pain kasher qui représente le corps de Jésus-Christ. Amen.

14        La Bible déclare: «De même après avoir soupé, Il prit la coupe, Il prit... et dit: Prenez et buvez; cette coupe est la Nouvelle Alliance. Toutes les fois que vous faites ceci, vous annoncez la mort du Seigneur jusqu’à ce qu’Il vienne.» Alors que je tiens dans ma main ce soir ce vin, fait de–de la vie des raisins, qui a été rassemblé ici pour représenter le Sang de Jésus-Christ. Jamais il n’y a eu un temps jusqu’à présent, où j’aie donc soulevé le plateau de la communion, sans que j’aie regardé là-dedans et vu mon péché être ôté. Je vois, n’eût été cela, ce que–ce que... eh bien, où serions-nous?

            Je me rappelle, là-dedans un homme malade couché à l’article de la mort, là à l’hôpital, c’était moi. C’est par Ses meurtrissures que j’ai été guéri. Que le Dieu du Ciel bénisse ce vin pour le but pour lequel il est servi.

            Seigneur Jésus, nous Te présentons ce jus de raisins, le vin tiré du sang de raisins pour représenter le Sang de Jésus-Christ. Puisse, alors que nous recevons cela, Père, puisse la maladie nous quitter. Que le péché, le désir soient ôtés de nous. Puissions-nous mener une vie si sainte, si consacrée après cela, que les hommes verront le reflet de Jésus-Christ en nous, et que notre–notre marche dans la vie soit digne de l’Evangile que nous croyons. Accorde-le, Père. Et sanctifie le... ce vin maintenant pour le but pour lequel il est servi. Au Nom de Jésus-Christ. Amen.

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