Un Plus Grand Témoignage

Date: 53-1115E | La durée est de: 1 heure et 16 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, Frère Bosworth. Merci. Bonsoir, mes amis. C’est avec un coeur rempli de–de l’amour de Dieu que je viens en cette soirée de clôture de ce réveil d’Owensboro, dans le Kentucky, pour remercier chacun de vous pour votre–votre gentillesse, et pour tout ce que vous avez fait pour nous ici. Nous apprécions–apprécions infiniment la grande communion fraternelle des prédicateurs, la collaboration de chacun. Aussi pour tout l’argent avec lequel vous nous avez assistés, nous apprécions cela. Nous ne demandons pas... juste pour payer nos factures, et–et les petites offrandes d’amour que vous avez prélevées pour le frère et moi, les... Ce que nous avons, s’il nous reste cinquante cents, ce sera destiné aux missions à l’étranger. Ainsi donc, c’est afin que vous sachiez que votre argent est utilisé pour essayer d’apporter la paix, l’Evangile aux pays païens du monde. Je suis sûr que vous ne pourriez jamais faire un meilleur investissement que cela, quand vous essayez de faire cela.

2          Une fois, il y a des années, j’avais l’habitude de... quand je quittais une ville, on... A ce moment-là j’avais beaucoup d’argent ; il suffisait de faire passer le plateau d’offrande pendant deux soirées, et cela suffisait pour payer toutes les dépenses. Et puis, s’il y avait une campagne de la croix rouge ou–ou quelque chose comme une campagne, une campagne contre la polio ou quelque chose comme ça, on s’y mettait directement et on aidait les gens, on prélevait une offrande dans notre église et on la donnait aux gens. Et puis, des fois on la remettait tout simplement [aux autorités de] la ville. Et les gens en sont arrivés à un point, les amis, où c’était–c’était devenu pratiquement comme un... eh bien, on ne quittait pas la ville avant qu’on ait été traité d’une bande de saints exaltés. Et moi, je–je suis quelqu’un qui ne croit pas dans le fait de supporter une chose, à moins qu’elle soit vraiment au service de Dieu.

            J’ai vu un homme d’une organisation à laquelle on avait donné cet argent descendre la rue dans une très grosse voiture luxueuse ; et il fumait un cigare, et il portait une grosse bague surmontée d’un diamant. Or, les gens y mettent leur argent pour des petits enfants et autres qui sont vraiment dans le besoin. Alors, je–je me suis dit : « Eh bien, voici une chose : le–l’argent que Dieu me donne, j’en suis l’économe, et Dieu me demandera des comptes au jour du Jugement pour ce que j’en aurai fait. » Je suis donc certain de ceci : Si je prélève ce que je peux, et que je le prends moi-même et me rends dans les nations et tout, et que j’essaie de prêcher l’Evangile, en ce jour-là quand je répondrai, je dirai : « Seigneur, j’ai fait au mieux de ma connaissance. »

            Et je suis certain que les gens apprécieraient, tous ceux qui sont donc sauvés, ils apprécieraient qu’une autre personne soit sauvée ou guérie. N’est-ce pas juste ? C’est donc ce que j’ai à coeur ; essayer de faire cela. Depuis lors c’est ce que je fais, et c’est ce que j’essaie de faire maintenant. J’essaie d’aider quelqu’un.

3          Je ne me repose pas beaucoup ici sur terre. Quand je suis chez moi, je suis constamment tiraillé, tout le temps. Il en a été ainsi année après année. Ce genre de vie là ne dure pas. Vous le savez. Elle se consume très vite. Jean-Baptiste n’a vécu que six mois après qu’il a été... qu’il a commencé son ministère. Christ a fait trois ans et six mois de ministère ; Il a été crucifié. La vie se consume rapidement ; ça crée une très forte tension. Voici une chose que je désire faire, chrétiens : je veux faire en sorte que chaque portion de ma vie compte pour Jésus-Christ, pendant que je suis ici.

            Ce Message que je prêche, je le crois de tout mon coeur. Dieu sait si je dis la vérité ou pas. De tout mon être, je crois tout ce que je dis. Sinon, je ne le dirais pas. J’essaie de mon mieux pour aider quelqu’un.

4          Et la nuit, quand je vais au lit, bien que je ne sois pas à l’abri des critiques... J’en reçois certainement... Mais je suis... je remercie le Seigneur de ce qu’il y en a très peu. Et je... Les gens émettent effectivement des critiques et disent : « Eh bien, il est juste ceci, cela. » Eh bien, évidemment, je m’attends à cela. Je dois en recevoir. Tous, tous les autres en reçoivent, pourquoi donc devrais-je en être épargné ? Moi aussi je dois en recevoir.

            Mais voici une chose qui me console, c’est quand je peux trouver quelques minutes de sommeil. Quand je fais ma prière avant de me coucher, je suis certain de ceci, c’est que par la grâce de Dieu j’ai fait de mon mieux pour rendre la vie un peu meilleure pour mon prochain. Et en faisant cela, je prie qu’un jour, quand tout sera fini, et quand j’arriverai à Sa porte et que je frapperai à la porte, qu’Il ne me rejette pas.

5          Si jamais vous arriviez là avant moi, parlez-Lui de moi, et dites-Lui que je–je L’aime, je vous prie. Et dites-Lui que je L’aime vraiment de tout mon coeur. Et demandez-Lui... Dites-Lui que vous... que je fais de mon mieux. Et–et quand moi j’arriverai, quand vous m’entendrez frapper, eh bien, dites-Lui... demandez-Lui de me laisser entrer, je vous prie. Parce que je–je fais tout ce que je peux pour vous. Et je crois que par la grâce de Dieu nous nous rencontrerons tous là-bas. Et je–je Lui fais maintenant cette prière, alors que je ne connais pas un bon nombre d’entre vous qui êtes ici, je ne connais qu’un très petit nombre. Mais je–je prie qu’Il... que la porte soit grandement ouverte pour chacun de vous. Et si les prières que je fais monter vers Dieu vous aident tant soit peu, je–je Lui demande tout simplement d’ouvrir grandement la porte à chacun de vous.

6          Et je... comme je vais dans différentes régions du monde, si Dieu me le permet, et quand je suis là-bas sur le... Eh bien, parfois il fait très sombre. J’ai connu des moments où je ne savais vers où me tourner par la suite : des sorciers, des démons, toutes sortes de choses de toutes parts. Ce n’est pas facile. Et là, vous vous tenez là représentant Jésus-Christ, la chose la plus sainte qu’il y a dans le monde entier ; et vous vous tenez là et chaque démon fait de son mieux pour faire pression.

            Et alors que vous avez à faire à un autre monde, vous devez vous souvenir que l’opprobre apporté sur Son Nom aura plus d’effets que tout le bien qui pourrait être fait. Juste... Satan attend tout simplement une occasion. Priez pour moi, s’il vous plaît. Et quand les nuits seront orageuses et sombres en Afrique, que les vents mugiront, que les sorciers lanceront des défis, que les cracheurs de feu et tout en Inde lanceront des défis et que tous ceux qui sont au service des démons seront là, ils seront juste là, je penserai à Owensboro, qu’il y a là un groupe de gens qui prient pour moi. Je sais que vous le ferez. Et je suis sûr que si vous le Lui demandez, Il me viendra en aide. Je vais compter sur vous.

7          Et priez pour moi afin que partout où j’irai Dieu me vienne en aide. J’ai fait tout ce que je pouvais pour vous présenter notre Seigneur Jésus dans–dans la simplicité. Je... Il ne m’a pas confié trop de choses parce que je ne connais pas... je ne saurais pas comment m’en occuper, je pense. Il me donne uniquement ce qu’Il veut. Mais ce que j’ai, je le donne librement pour Le glorifier et pour Son Eglise. Je suis ici juste, je... pour essayer de vous Le présenter par un don divin.

            Par exemple, Il m’a donné une main, j’aimerais utiliser cette main du mieux que je peux. S’Il m’a donné des yeux, je n’aimerais pas regarder les mauvaises choses ; je veux regarder Sa Bible ; je veux regarder ce qui est juste. S’il arrive qu’ils tombent sur de mauvaises choses, j’aimerais détourner la tête pour regarder ailleurs (Voyez-vous ?) ; en effet, c’est Lui qui m’a donné ces yeux.

8          Souvenez-vous, autrefois j’étais pratiquement aveugle, on me conduisait, j’étais donc pratiquement aveugle. Et maintenant mes yeux sont–sont 10/10. Ça fait deux degrés au-dessus de la normale : 20/20. Je peux lire le journal à cinq pieds de moi [1,52 m]. Je suis donc reconnaissant pour cela.

            Hier soir, ici, j’en faisais la démonstration à mon épouse, je suis dans la quarantaine. Je peux prendre cette Bible dont les caractères sont fins et La tenir aussi près de moi et la lire, ou l’éloigner à n’importe quelle distance, à cinq pieds [1,52 m] de moi et la lire. Et de penser qu’autrefois j’avais d’énormes lunettes épaisses à double foyer, et on me conduisait en me tenant par la main. Oh ! c’est la grâce étonnante. Combien Il est bon ! Je L’aime. Même s’Il me condamnait à la fin, je L’aimerais toujours.

9          Bon, ceci pourrait être notre dernière réunion, amis chrétiens. J’ignore ce que nous réserve demain, mais il est possible que ce soit notre dernière rencontre. Si c’est le cas, je parle comme je parlerai quand nous nous reverrons dans la Gloire. Je crois que nous serons tous là-bas. Je dis ceci avec honnêteté et sincérité de coeur : j’ai essayé de vous présenter Jésus-Christ de mon mieux. Et je L’aime.

            Nos prochaines réunions commenceront juste ici de l’autre côté de la rivière à Evansville. Et j’oublie le nom du tabernacle en question. C’est le Tabernacle baptiste, bien que ce soit les gens du Plein Evangile qui parrainent cela. C’est un endroit qui, je pense, a une capacité de quatre mille places, quelque chose comme ça. Vous êtes... Si aucun service n’est prévu dans votre église à un moment donné, venez vous joindre à nous. Nous serons heureux de vous avoir parmi nous.

10        Frère Bosworth et moi, nous nous sommes mis d’accord sur trois choses que je désirais avoir, ou... une chose que nous désirons essayer pendant les trois premières soirées. J’aimerais essayer cela si possible ce soir, de faire monter autant que possible des gens ici sur cette estrade pour des visions. Voyez-vous ? Et peu m’importe que mon épouse et mon fils doivent me transporter pour me faire sortir et... de la salle. Je désire donner le meilleur de moi.

            Et demain soir, à Evansville, je désire aborder cela d’une manière différente. Je désire essayer de lire la Bible pour expliquer avec la Parole de Dieu ce qu’est la guérison. Et puis concernant les cartes de prière qui sont appelées, laisser tout simplement Dieu donner les visions comme Il veut, et je vais simplement prier pour les malades, et m’occuper de ces gens qui sont peut-être... qui ont un problème, et–et leur demander s’ils sont en ordre avec Dieu, et ne pas... même si j’ai une vision, je ne dis rien à ce sujet. Voyez-vous ? Juste aller de l’avant et essayer tout simplement d’y aller sur base des promesses légales de Dieu. Juste se tenir là droit en face de l’ennemi et livrer bataille contre lui. C’est juste. Prier pour chaque cas que je peux recevoir à l’estrade, pour la prière. Et demander tout simplement à l’ennemi de quitter les gens, et ensuite je vais leur donner soixante-douze heures pour voir ce qui se produit. Si donc les choses ne se passent pas ainsi, je–je vais revenir à l’autre méthode et jeûner toute une journée et demander l’aide de Dieu.

11        Et puis je veux voir... Le message principal que l’Ange de Dieu m’a donné, qui a été confirmé à travers le monde, est qu’Il a dit que j’étais né pour prier pour les malades. Eh bien, ce que moi je pense qu’Il voulait dire par là, c’est la prière pour un très grand nombre de gens ; c’est comme cela que j’ai concilié les choses. Et je Lui ai posé la question, et Il a dit que je n’avais aucune capacité. Et Il m’a dit que ce don même et les choses qui arriveraient en seraient la confirmation. Eh bien ce que moi je pense, et que j’ai toujours pensé qu’Il voulait dire par là, c’est que si je peux me tenir ici à l’estrade, à l’instant même, et parcourir cette assistance du regard, Dieu dirait quelque chose à quelqu’un, ou d’une façon surnaturelle, cela devrait amener toute l’assistance à croire que la Présence de Dieu est ici même. Et cela devrait amener tout le monde à la fois à accepter sa guérison, en dépit de... Si–si donc vous avez commis un péché, mettez cela en ordre.

            Mais si vous–si vous acceptez votre–votre guérison... Si vous ne sentez pas le moindre changement dans six semaines à dater d’aujourd’hui, vous devriez malgré tout accepter cela à l’instant même et vous y accrocher et garder la chose comme votre propriété personnelle. C’est exact. Accrochez-vous à cela. Maintenant, c’est ce qu’Il veut. Et c’est ainsi que cela marche merveilleusement partout, sauf aux Etats-Unis. Eh bien, c’est juste. Partout, excepté en Amérique...

12        Mais on en a fait... On ne peut pas condamner les Américains. On leur a enseigné l’imposition des mains et–et la pratique routinière du ministère. Eh bien, c’est juste ce qu’ils croient. Ils ont été enseignés à croire cela. Et d’habitude, c’est comme beaucoup le disent : « Eh bien, c’est un catholique. » Si jamais vous réfléchissez, peut-être que le garçon a été élevé dans le catholicisme depuis le berceau ; c’est tout ce qu’il connaît. « C’est un baptiste. » Eh bien, peut-être qu’il a été élevé comme un baptiste. C’est tout ce qu’il connaît. L’autre est un méthodiste ou je ne sais quoi... Cela... Ils ont été élevés comme cela. C’est tout. Ils ont été élevés de telle manière que... Et si l’imposition des mains a été enseignée aux Américains, c’est dans les Ecritures. Voyez-vous ? Mais peut-être que mon ministère n’était pas destiné uniquement à l’Amérique, qu’il est plutôt destiné aux autres nations ; en effet, c’est là qu’Il ne cesse de me pousser à aller (Voyez-vous ?), et c’est là qu’on a eu le plus grand succès.

13        Vous rendez-vous compte que l’appel à l’autel de Durban était–était, je crois, trente fois plus important qu’à la Pentecôte ? Vous rendez-vous compte de cela ? C’était trente fois plus important qu’au jour de la Pentecôte. Trente mille âmes ont été sauvées à la fois. A la Pentecôte, il n’y en avait que cinq mille, et trois mille le jour suivant. Non, cela... Eh bien, voyez combien Dieu fait de grandes choses aujourd’hui ; en effet, nous sommes dans les derniers jours. Ne le croyez-vous pas ?

            Encore une fois, merci. Maintenant il est temps pour que je prie pour les malades. Je voudrais commencer tôt, car je voudrais prendre à l’estrade autant de gens que je peux. Mais d’abord, puissé-je lire une portion de Sa Parole, car je sais que mes paroles failliront assurément, mais Sa Parole ne faillira jamais.

14        Maintenant, juste avant que je lise cette Parole, je veux que vous m’accordiez toute votre attention, juste un moment. Et s’il y a quelque chose auquel vous ayez jamais prêté attention, dans ce que j’ai dit, écoutez ce que je vous dis maintenant. Pour ce qui est de votre guérison, dans la Présence de Dieu il n’y a rien d’autre qui puisse être fait ; le reste dépend de vous. Jésus-Christ a déjà guéri chaque personne malade sur la face de la terre ce soir, si seulement elle le croit. Il a sauvé chaque pécheur qui existe sur la face de la terre, quand Il est mort, si seulement il le croit et l’accepte. Comprenez-vous cela ?

            Et je n’ai aucun don, personne d’autre non plus, qui puisse vous guérir ; en effet, comment pourrait-on faire ce que Jésus a déjà fait pour vous ? Si moi je peux vous guérir, alors je peux vous sauver. « Car Il fut blessé pour nos iniquités ; c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. » Est-ce juste ? C’est pourquoi, je ne pourrais rien faire à ce sujet. Eh bien, certaines personnes peuvent montrer cela dans la Parole. D’autres, Dieu a placé dans l’Eglise, des dons qui opèrent de différentes manières. Et ces dons et tout, s’il s’agit de vrais dons de Dieu, ils indiqueront cette seule chose : Jésus-Christ.

15        Et moi, je ne crois pas dans le fait d’édifier le–l’Evangile de Jésus-Christ autour d’une personne. Je ne crois pas dans le fait de L’édifier autour d’une dénomination. Je crois dans le fait d’édifier Cela autour de Jésus-Christ. C’est exact. Et tous les individus, tous les hommes sont pareils, et nous, nous regardons tous à un seul Rédempteur, c’est Jésus-Christ. Et je–je crois cela avec tout mon coeur, avec toute mon âme et tout mon corps, que ce–c’est vrai. Et c’est ce que nous désirons.

            Les gens ont toujours remarqué cela, je n’ai jamais dit : « Oh ! la grande Eglise baptiste... » ou « la grande Eglise pentecôtiste de la grande... » Je n’ai jamais dit cela sciemment, je ne l’ai jamais fait. J’ai toujours dit que je pensais cette seule chose, à savoir que les pentecôtistes étaient les plus spirituels. Certainement. Ils étaient les rebuts des autres églises, et ils ont dû faire de gros efforts pour chaque pouce qu’ils possèdent, et cela a fait qu’ils deviennent spirituels, parce qu’ils ont dû se mettre à genoux et prier pour cela. Qu’une petite persécution commence aux Etats-Unis, et observez l’Eglise se rassembler. Observez comment Elle devient alors spirituelle.

16        Bien, là en Corée où le réveil est en cours, les méthodistes, les baptistes, ainsi que les presbytériens tiennent de grands services de guérison, ils parlent en langues et tout. Les gens demandent : « Sont-ils tous pentecôtistes ? » Aucun d’eux n’est pentecôtiste. Ils sont tous des méthodistes, des baptistes et autres, mais il y a eu une telle pression et une telle tension... Ils ont été simplement obligés de se mettre à prier. Et quand vous devenez spirituel, Dieu prend soin du reste. Voyez-vous ? Le reste vient automatiquement. Voyez-vous ? La chose principale, c’est de commencer à prier. Le reste s’arrangera.

            Si seulement vous les baptistes qui êtes ici ce soir, et vous les méthodistes, vous vous mettiez simplement à prier dans vos églises, et à amener toutes vos églises dans la prière ! Vous prédicateurs, faites de même. Amenez simplement les fidèles à prier très sérieusement, vous... le reste ira de soi. Dieu prendra soin du reste.

17        Et je–et j’apprécie votre gentillesse et tout ce que vous avez fait. Et maintenant, que le Seigneur vous bénisse. Et voici la chose suivante que je voudrais dire : n’attendez pas qu’il y ait une campagne de guérison dans votre ville pour que vous soyez guéri. Votre pasteur ou votre voisin qui est chrétien a tout autant reçu de Dieu le droit légal de prier pour vous que n’importe qui d’autre sur la face de la terre. Il ne faut pas attendre que quelqu’un vienne avec une campagne de guérison. Ces hommes sont... stimulent tout simplement votre foi. Dieu n’a jamais envisagé que toutes ces grandes... ces campagnes balayent la nation. Il s’attendait à ce que cela se produise dans chaque église, que chaque pasteur le fasse.

            La Bible dit : « Si quelqu’un parmi vous est malade, qu’il appelle les anciens de l’église. » Or, en réalité, l’ancien c’est... Dans les milieux de la Pentecôte on appelle ainsi, on appelle ainsi un diacre ou quelqu’un comme ça. Mais un ancien, c’est un prédicateur. « Qu’il appelle les prédicateurs de l’église, et qu’ils l’oignent d’huile et prient pour lui. La prière de la foi sauvera le malade. Confessez vos fautes les uns aux... et priez les uns pour les autres. » Priez tous les uns pour les autres afin que vous soyez guéris. Est-ce juste ?

18        Et la Bible compare tout homme à Elie. Elle dit : « Elie était un homme de la même nature que nous. Il pria instamment pour qu’il ne plût point. Il ne tomba point de pluie pendant trois ans et demi. » Voyez-vous ? C’est ça. Eh bien, souvenez-vous de cela. Quand vous tombez malade, appelez votre pasteur. Et si votre pasteur ne croit pas à la guérison divine, appelez un autre pasteur qui y croit. Si vous ne pouvez pas en trouver un dans votre voisinage, appelez cette bonne vieille mère chrétienne qui habite par là, qui va chaque jour à la prière, ou ce vieux papa là-bas, de la poche duquel pend un vieux mouchoir rouge, et qui a peut-être des mains calleuses au possible, et qui porte une vieille chemise bleue rapiécée. Je vous assure que l’un des coeurs les plus fidèles bat sous cette vieille chemise bleue. C’est l’exacte vérité. Absolument. Je préférerais bien plus avoir sa compagnie que celle de ces filous qui, des fois, vont çà et là en col retourné ou quelque chose d’autre, qui vous donnent de petites tapes dans le dos, qui vous appellent frère Branham, et qui, lorsqu’ils s’éloignent, racontent à votre sujet quelque chose qui ruinera votre personnalité. Je préférerais avoir quelqu’un qui est sincère avec moi, pas vous ? C’est juste. J’aimerais avoir quelqu’un de sincère. Soyez simplement ce que vous êtes. Et puisse Dieu aider à ce que nous ayons un jour où nous pourrons venir, où nous pourrons être juste ce que nous sommes. C’est exact. Soyez simplement ce que vous êtes. Et que Dieu vous bénisse maintenant pendant que nous lisons Sa Parole.

19        Et maintenant, ce soir je vais lire dans Jean, chapitre 5, le verset 36. J’aimerais lire ceci, juste un petit passage des Ecritures afin que Sa Parole soit pour vous comme une lampe à vos pieds pour vous conduire ce soir vers Ses bénédictions qu’Il a préparées pour vous.

          Mais moi, j’ai un témoignage plus grand que celui de Jean ; car les oeuvres que le Père m’a donné d’accomplir, ces oeuvres mêmes que je fais, témoignent de moi que c’est le Père qui m’a envoyé.

          Et le Père qui m’a envoyé a rendu lui-même témoignage de moi.

20        N’est-ce pas merveilleux ? Jésus-Christ qui dit : « Eh bien, vous croyez tous en Jean ; il était un prophète ; il a tout simplement prêché. Vous êtes tous allés et vous avez cru en lui, et vous savez qu’il était un prophète. » Bien que Jean n’ait jamais accompli un seul miracle, il était cependant le plus grand prophète qui ait jamais vécu (Jésus l’a dit), jusqu’à son époque. Il a dit : « De tous les hommes nés de femmes, il n’y en a pas eu d’aussi grand que Jean-Baptiste. » Il n’a pas accompli un seul miracle et son ministère n’a duré que six mois.

            Mais pourquoi était-il si grand ? Parce qu’il a rendu témoignage de Christ. Et quand vous voyez quelqu’un louer Dieu, et glorifier Dieu, vous pouvez alors comprendre que cette personne vient de Dieu. N’est-ce pas... Glorifier Dieu. C’est juste.

            Et Jean a dit : « Moi, je dois diminuer, et Lui doit croître. »

            Les gens ont demandé : « Es-tu le Messie ? »

            Il a dit : « Je ne suis rien. »

            Mais Jésus est venu et a dit : « Oh ! oui, c’est lui ; c’est le plus grand de tous ceux qui sont nés de femmes. » Ça, c’est mieux, ne le pouvez-vous pas ? Que quelqu’un d’autre le dise. Vivez de telle façon que quelqu’un d’autre le dise. Voilà–voilà comment s’y prendre ; faites ce qui est juste. Quelqu’un, Dieu rendra témoignage pour vous.

21        Maintenant, Il a dit... Maintenant le... « Moi, J’ai un plus grand témoignage que celui de Jean, a-t-Il dit, parce que les oeuvres mêmes que Je fais témoignent que c’est le Père qui M’a envoyé. Et le Père rend Lui-même témoignage de Moi par les oeuvres qu’Il accomplit à travers Moi. » Eh bien, c’est merveilleux, n’est-ce pas ?

            Pierre, dans Actes 2.24, je crois que cela... 22 ou 24, il a dit : « Hommes Israélites, a-t-il dit, Jésus de Nazareth, cet Homme à qui Dieu a rendu témoignage devant vous par des signes et des miracles que Dieu a accomplis par Lui parmi vous tous, et dont vous-mêmes êtes témoins... »

            Eh bien, Jésus, quand Il était ici sur terre, Il ne prétendait pas être un grand personnage. Il était juste un Homme, un Homme ordinaire. Si vous Le voyiez dans la rue, Son aspect n’était pas du tout différent de tout autre homme. Il marchait simplement parmi les hommes ; les gens ne savaient même pas qui Il était. Il ne s’hab-... s’habillait pas différemment. Il marchait tout simplement comme un Homme humble. Ce n’était pas un Homme de grande stature ; c’était probablement un petit Homme mince. La Bible dit : « Son aspect n’avait rien pour nous plaire. » Il marchait donc tout simplement et vivait parmi les hommes : Il mangeait, Il buvait et Il dormait parmi eux. Et qui constituait Sa compagnie ? Les plus pauvres parmi les pauvres, les pêcheurs au bord de la rivière.

22        J’imagine Pierre, avec sur lui son vieux tablier de pêche couvert de graisse, et Jésus a dit : « Tu es Simon, suis-Moi donc et tu deviendras un pêcheur d’hommes. » Je préférerais entendre ça que n’importe quoi que je connaisse, juste : « Suis-Moi. »

            Oh ! vous direz : « Maintenant, une minute. Il... je... Vous n’avez pas de diplôme... » Il n’a pas besoin de diplôme. Tout ce qu’il lui faut, c’est de suivre Christ. C’est juste. C’est juste. « Suis-Moi tout simplement. » Il ne pourrait même pas reconnaître son nom s’il était placé devant lui. La Bible dit que c’était un homme du peuple sans instruction. Non seulement il était sans instruction, mais c’était un homme du peuple : il était à la fois un homme du peuple et sans instruction. Mais quand il franchissait la porte appelée la Belle et qu’il a dit à cet homme : « Regarde-moi... » Il a dit : « Je n’ai ni argent ni or, mais ce que j’ai, je te le donne. Au Nom de Jésus-Christ, lève-toi et marche. »

            Un soir, quelqu’un s’est mis à faire l’hypocrite dans l’église, et il est venu dans la ligne de prière, et il y avait un certain cas, il a dit : « Pourquoi le diable a-t-il placé dans ton coeur de mentir à Dieu ? » L’homme est tombé mort, c’était Ananias. Saphira est venue, et la même chose s’est répétée. Comment Dieu...

23        Et alors ces gens ont regardé ce vieux pêcheur, et savez-vous ce qu’ils ont fait ? S’il avait eu un certain grand diplôme auquel se fier, il aurait–il aurait eu quelque chose dont il pourrait se glorifier, mais Dieu a pris un rien et en a fait quelque chose. C’est la manière de Dieu d’agir : Il prend juste ce qui n’est rien pour en faire quelque chose.

            Et quand vous êtes... pouvez devenir rien à vos propres yeux, alors vous devenez quelque chose aux yeux de Dieu. Et souvenez-vous toujours de ceci, les amis, pour monter il faut descendre. « Celui qui s’élève sera abaissé, mais celui qui s’humilie sera élevé. »

            Aimez-Le donc tout simplement de tout votre coeur, et oubliez tout ce que vous connaissez au sujet de toutes les autres choses en dehors de Jésus-Christ. Allez simplement de l’avant et aimez-Le, et travaillez pour Lui ; servez-Le. S’Il veut que vous soyez un paillasson, eh bien, soyez tout simplement le paillasson et cela... Tout ce qu’Il veut que vous fassiez, faites-le. Que Dieu vous bénisse maintenant.

24        Qu’en serait-il s’Il était ici ce soir sous la forme d’une personne visible ? Tout aussi sûr qu’Il a marché sur la mer de Galilée, Il est ici même. Il a promis d’être ici. Et qu’a-t-Il fait ? Qu’a-t-Il dit qu’Il ferait après être ressuscité d’entre les morts ? La Bible dit qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Est-ce vrai ? Eh bien, s’Il est le même, Il fera la même chose. Eh bien, Il n’a guéri personne ; bien au contraire : Il a déclaré qu’Il ne guérissait pas. Il a dit : « Ce n’est pas Moi ; Je ne fais que ce que le Père Me montre. Quand le Père Me donne une vision, Je vais et Je fais ce qu’Il Me dit. » En d’autres termes : « Je ne fais rien avant qu’Il Me le dise. » Jean 5.19 dit : « Le Fils... » Après avoir passé tous ces estropiés, ces aveugles, ces boiteux et ces infirmes, Il n’a guéri personne d’entre eux, Il a guéri un homme qui souffrait d’un... qui était couché sur un grabat ; en effet, Jésus savait qu’il était dans cette condition-là. Certainement, le Père le Lui avait montré. Pour toutes ces choses, ça se passait ainsi.

25        Et ensuite, Il est ressuscité des morts. Il a dit : « Vous ferez aussi les choses que Je fais. Et... de plus grandes que celles-ci. » C’est davantage, bien sûr, pas de plus grandes. Considérez les choses qu’Il a faites. « Mais vous en ferez davantage, car Je M’en vais au Père. » Et quand Il est ressuscité des morts, Il a dit : « Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde. » Il était avec votre arrière-grand-mère et votre arrière-grand-père. Il était avec votre grand-père et votre grand-mère, Il est avec votre mère et votre père. Il est avec vous et moi. Il sera avec la génération qui va suivre, s’il y en a une. Le même hier, aujourd’hui et éternellement.

26        L’Eglise a grandi. Elle a évolué et elle est passée de la justification à la sanctification, jusqu’au baptême du Saint-Esprit, maintenant, Elle est arrivée à la restauration des dons, Elle bourgeonne. Et nous voici, prêts maintenant pour la moisson. Un jour Dieu viendra, et nous Le verrons, et nous L’aimerons.

            Et en ce jour-là, quand la vie sera complètement terminée et que j’aurai prêché mon dernier sermon, que j’aurai prié pour mon dernier malade, que la Bible sera fermée et que je saurai que mon heure est venue... Et je sais que devant moi, comme pour tout mortel ici ce soir, il y a une énorme porte noire qui se tient là-bas. Et chaque fois que ce coeur bat, vous vous en rapprochez d’un pas. Ça s’appelle la mort. Chaque fois que votre coeur bat, c’est un battement de moins pour toujours. Et nous nous dirigeons là. Je ne sais pas quand il va s’arrêter, mais quand j’entrerai là, je ne voudrais pas aller comme un lâche ; je désire m’envelopper de Sa justice, quand j’entrerai dans ce canal de la mort, en sachant ceci, que je suis persuadé que je Le connais dans la puissance de Sa résurrection ; car Il m’a ressuscité d’une vie de péché et a fait de moi Son serviteur. Et c’est de cette façon-là que je Le connais. Et je sais que lorsqu’Il appellera, je sortirai du milieu des morts. Eh bien, comme... je désire que ce soit cela mon témoignage. Que Dieu vous bénisse.

27        Je n’habite pas très loin de la rivière, ici ; je suis votre voisin. Venez et frappez à la porte. Je dis souvent : « La nuit ne sera jamais trop sombre ni la pluie trop forte, oh ! je viendrai vers vous. » J’aurai souhaité pouvoir le faire. Mais, les amis, il y a pratiquement des milliers d’appels qui viennent de partout. Imaginez-vous tout simplement ce qu’est une journée. Ma femme, qui est assise juste ici, souvent on voit cela. Et des fois j’ai compté les appels téléphoniques, des appels venant de loin, et on en a en moyenne soixante-quatre appels par heure, le jour comme la nuit, des appels venant de loin. Il ne s’agit pas simplement d’Owensboro, ici ; ça vient du monde entier (Voyez-vous ?), des millions et des millions de gens. Voyez-vous ? Et vous pouvez vous représenter ce que c’est.

            Mais je voudrais dire la chose suivante, les amis : si je peux vous aider d’une quelconque manière et venir auprès de vous, ou peu importe la chose, je serai–je serai ravi de venir. Priez pour moi et je prierai pour vous. Que Dieu vous bénisse donc, alors que nous inclinons la tête.

28        Maintenant, Père, voici des mouchoirs posés ici devant moi. Bénis-les, Père, pour les malades et les nécessiteux. De tous les coins du monde, des gens attendent ces mouchoirs, et peut-être qu’il y en a beaucoup qui sont assis ici. Et c’est Toi qui peux les guérir tous, et je Te prie de le faire. Et maintenant, Seigneur, je prie que Ton Esprit descende ce soir sur cette assemblée de gens qui manifeste un grand respect. Et que Ton Ange qui, je sais, se tient ici à l’estrade en ce moment, puisse s’avancer, prendre le contrôle de la pauvre petite coquille indigne dans laquelle je vis ici-bas. Utilise ces pauvres yeux indignes pour regarder ainsi que ces lèvres pour parler.

            Et, ô Dieu, utilise ces coeurs, là, dans l’assistance pour–pour une conception. Et que l’Esprit de Dieu entre directement là à l’intérieur et confirme la Parole de Dieu par des signes qui L’accompagnent. Accorde-le, Seigneur.

            Guéris tous les malades et les affligés. Sauve les perdus et ceux qui sont mourants. Accorde-le, Seigneur. Pardonne-nous tous nos péchés, et que personne de ceux qui sont dans cette salle ce soir ne soit perdu. Que chacun d’eux soit présent ce jour-là pour recevoir les couronnes de...?... gloire de la part de notre Tendre Sauveur. Car nous le demandons en Son Nom. Amen.

29        Ces mouchoirs sont des choses merveilleuses. Ce n’est pas pour avoir votre boîte postale, non, les amis. Nous ne... Nous répondons simplement aux lettres. Nous n’en avons pas besoin pour avoir votre adresse postale ou pour faire quoi que ce soit en dehors de votre église. Nous voulons que vous... Notre objectif, c’est que vous soyez fidèle à l’église de votre choix. C’est ce que je désire que vous soyez. Mais si vous avez vraiment besoin d’un mouchoir, écrivez-moi. Je vais vous l’envoyer absolument sans frais à payer. Nous en envoyons des milliers et des milliers.

            Tout récemment, une femme en Allemagne en a reçu un, elle l’a placé sur sa poitrine. Elle était clouée dans un fauteuil roulant de suite de l’arthrite, elle a dit : « Maintenant, toi démon, sors de cette salle », elle s’est carrément levée et s’en est allée en marchant. Voyez-vous, c’est cela.

30        Récemment j’étais dans l’Arkansas, un...?... récemment, il y a quelque temps. Beaucoup d’entre vous ici, vous venez de l’Arkansas. Ça s’est passé lorsque j’étais à Jonesboro : vingt-huit mille personnes, d’après les journaux, assistaient à la réunion. Et j’ai dit aux gens d’amener simplement leurs mouchoirs pour que je prie dessus ; mettez-le dans votre Bible. Si vous en avez besoin, eh bien, c’est en ordre.

            Une petite femme en a pris un et l’a placé sur Actes 19 dans sa Bible, là où je lui avais demandé de le mettre. Des semaines plus tard... Elle vivait loin dans la campagne. Elle nettoyait le verre d’une vieille lampe, et elle s’est blessée là à la main, et le sang s’est mis tout simplement à gicler. Vous avez déjà entendu parler de la vieille superstition consistant à prendre des toiles d’araignée... Elle a pris un tas de toiles d’araignée et elle les a mises dessus. Naturellement, le sang en coulant a tout simplement enlevé la toile. Et ensuite elle a essayé d’autres petits remèdes, mais le saignement ne s’arrêtait pas.

31        Eh bien, c’est là son témoignage. Je ne peux pas dire que c’est... Tout ce que je sais, c’est qu’elle était une chrétienne et moi, je crois son témoignage. Et elle a dit qu’elle commençait à devenir très faible, elle a enroulé une taie d’oreiller autour de son–son–de son bras, et celle-ci fut trempée de sang. Et ensuite elle a pris un drap, et ce dernier était tellement trempé... Elle avait tellement perdu de forces qu’elle ne pouvait plus se lever. Elle était loin, loin de son voisin, une petite cultivatrice de coton, tout au fond... Son mari était allé en ville chercher de la nourriture, et du foin, ou des histoires pour les brebis, et des choses pour son bétail, et des histoires dans un chariot, sur son... Elle a dit : « Seigneur, je suis en train de mourir. Et comment... que puis-je faire ? » Il n’y avait pas de médecin dans un rayon de plusieurs kilomètres, et elle s’est traînée jusqu’à atteindre la Bible, elle s’est souvenue de cela, et elle a pris ce mouchoir. Elle a dit : « Dieu bien-aimé, je me confie en Toi pour que Tu sauves ma vie », et elle l’a posé là-dessus.

            Et cette–cette nuit-là, il se faisait que j’étais encore dans l’Arkansas, là à Little Rock. Le Révérend G.H. Brown en est témoin. Elle est venue là portant des bottes. Elle a marché sur une distance de trois ou quatre miles [4,8 ou 6,4 km] avec des bottes aux pieds, et une lanterne à la main. Elle a enlevé les bottes et elle a sorti ses–ses souliers de son... du cartable qu’elle avait, elle les a portés ; elle a fait signe à un bus Greyhound, et elle a effectué cent miles [160 km] et quelques en bus jusqu’à Little Rock où je tenais des réunions. Elle est entrée là, elle a accroché sa lanterne à un arbre afin qu’elle puisse la retrouver quand elle rentrerait, pour traverser de nouveau la boue et tout dans les champs de riz, et elle a apporté... est entrée là et elle a montré ce mouchoir, il n’était même pas taché de sang, et la cicatrice à son bras là où elle s’était blessée avait disparu, là où Dieu avait arrêté l’écoulement de sang pour sauver sa vie. Elle a dit : « Je sens que c’est à Dieu que je dois cela. »

32        Une fois une femme en a placé un sur un petit bébé qui avait un pied-bot. Sa soeur le lui avait envoyé et elle a gardé cela sur le bébé pendant des semaines. Elle a dit... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Que Dieu vous bénisse, frère. Croyez-vous que votre mère va se rétablir ? Le croyez-vous, maman ? De tout votre coeur ? Que Dieu vous bénisse. Vous–vous... que Dieu vous l’accorde.

            Ces deux femmes étaient ici les deux ou trois dernières soirées. Bien sûr, j’ai... je crois que le... certains d’entre eux m’ont dit que le Saint-Esprit leur a dit ce qui n’allait pas chez eux et tout à ce sujet. Moi, j’observe tout simplement. Voyez-vous ? Naturellement, n’importe qui dirait sans doute : « Elle est infirme. » C’est... Certainement, tout le monde sait que la personne est infirme. En fait, lorsque la personne semble bien portante, et qu’ensuite–et qu’ensuite il y a quelque chose qui ne va pas chez la personne, c’est là le mystère. Mais ne vous en faites pas. Vous avez essayé de votre mieux, n’est-ce pas ? Dieu va vous aider. Acceptez-Le simplement–simplement–simplement maintenant, et vous aussi, soeur. Toutes les deux vous êtes âgées et grisonnantes... Et que Dieu soit avec vous et vous vienne en aide. Dieu va rendre la vie agréable pour vous, maman. Ne faites pas attention à votre maladie maintenant, quand l’Ange du Seigneur commence à oindre, acceptez simplement cela de tout votre coeur.

33        Maintenant, écoutez ceci, les amis. Si j’étais un guérisseur, comme le déclarent les journaux : « Frère Branham, le guérisseur... » Si j’étais un guérisseur et que je voie ce pauvre frère âgé assis là, avec ses vieilles mains calleuses, et avec sa chemise fermée jusqu’au niveau du col, et avec de la poussière sur ses souliers ; cette petite mère étendue là, qui est probablement sa chérie depuis des années et des années, étendue là...?... Si donc vous pensez que je pourrais me tenir ici et la laisser étendue là, ça, je ne le ferais pas, si j’étais un guérisseur. Je descendrais carrément là et ils–ils sortiraient d’ici de nouveau comme des chéris. Pensez-vous que je laisserais cette pauvre vieille mère qui est restée assise ici soir après soir, pensez-vous que je la laisserais étendue là ? Pas du tout. Je ne le ferais certainement pas. Je serais une brute si je le faisais.

            Eh bien, voici la seule chose–la seule chose qu’il y a : considérez cette petite mère assise ici. Ces deux garçons qui viennent de New Albany et qui amènent leurs... fidèles... Ces garçons, je ne... je sais qu’ils ne veulent pas que je dise ceci, mais récemment ils m’ont accordé une faveur. Et vous ne savez pas combien mon coeur... chaque soir, combien je suis resté dans la pièce en prière pour cette petite mère. Oh ! je prie vraiment pour que Dieu me montre quelque chose. Si c’était ma propre mère qui était assise là, je ne pourrais pas le faire. Mais je suis certain d’une chose, c’était ici il y a un soir ou deux. Certaines personnes étaient en train de me parler, l’Ange de Dieu était si près que... Quelque chose est arrivé à la femme ; j’en suis certain. Juste au moment où votre foi atteint le niveau qu’il faut, cela va arriver.

34        Vous dites ? Ouais ! La série B, je crois. J’ai appelé pour... Je–je ne sais pas. 10 ? Ou... ? Très bien. Très bien, appelons jusqu’à 10, B-10. Je veux avoir une ligne...?... C’est... Nous... Pouvez-vous les réunir là-bas ? Très bien ? Très bien, B-10 à B-15. B-10, 15. B-10, 20, jusqu’à B-20. Voyez combien de personnes cela va faire. B de 10 à 20. Très bien, 25... Dans un premier temps c’est assez. On laisse les gens debout très longtemps comme cela quand on les fait passer... Oui, monsieur...?... Que Dieu vous bénisse, frère. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

35        ... juste les guérir. Il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup plus de gens qui sont guéris là-bas qu’ici. En effet, le fait que les gens soient ici dans la ligne ne veut pas dire qu’ils seront guéris. Si–si leur foi n’est pas en ligne avec Dieu, ils manqueront certainement leur guérison. C’est... Voyez-vous, il ne s’agit pas de quelque chose que moi, je peux faire ; il s’agit de ce qu’est leur foi en Dieu. Ceci n’est qu’une confirmation de la Présence de Dieu.

            Maintenant, que–qu’en serait-il si notre Seigneur se tenait ici ce soir portant le complet qu’Il m’a donné et que je porte ici, et si ces gens se tenaient dans la ligne de prière ? Eh bien, pour autant que je sache, alors que je regarde d’un bout à l’autre de cette ligne, je ne vois pas... Vous n’êtes pas dans la ligne, n’est-ce pas, frère ? Non. Vous... Oh ! vous êtes juste avec... Je connais le frère, ce prédicateur-ci, mais c’est la seule personne que je réalise dans cette... ou que je reconnais dans cette ligne. Je pense qu’ils me sont tous des inconnus. Je ne connais aucun d’entre eux.

36        Et je ne connais personne dans l’assistance à part ces deux frères et cette mère qui est assise là, frère Beeler et cet autre frère qui est assis juste ici. Et je pense que c’est... Et mon épouse qui est assise là et madame D’Mico. Je ne suis pas sûr ; je crois que c’est le prédicateur méthodiste que je vois là, frère Junior, n’est-ce pas exact, frère, qui vient de... C’est... Je suis ravi de vous avoir ici ce soir, vous venez de l’Indi-... du sud de l’Indiana. Et un frère est assis là, qui vient juste de devenir prédicateur, assis à côté de lui. C’est aussi une bonne chose pour un méthodiste, vous savez. Cela les aide tous. Certainement. Très bien. Pour autant que je sache, ce sont les seules personnes dans l’assistance que je connaisse, en ce moment-ci. Mais le Saint-Esprit vous connaît tous. Il sait tout à votre sujet, et Il peut faire pour vous une infinité de choses. N’est-ce pas ? Très bien.

37        Maintenant... Je pense que vous les avez jusque là-dehors vers la rue, hein ? Très bien. Très bien. Mais nous allons essayer maintenant. Que la réunion de ce soir soit... J’aimerais vous poser une question : allez-vous m’obéir à moi en tant que Son serviteur ? Maintenant, juste en tant que Son serviteur, pas obéir, ce n’est pas ce que je veux dire ; mais que vous obéirez à ce qu’Il dit au travers de moi. Maintenant, je vais défier chacun de vous ce soir, en cette soirée de clôture, ici dans–dans cette–dans cette série de réunions... Beaucoup d’entre vous sont assis tout autour et moi, j’observe pour voir si les individus, chacun à un moment donné... Mais je vais vous dire ce que Dieu va faire ce soir. Si vous faites exactement ce que je vous conseille maintenant, il ne restera pas une seule personne faible parmi nous quand nous sortirons. Si seulement vous croyez ceci (eh bien) que je vous ai dit... Dites : « Ô Dieu, je–je le crois de tout mon coeur. Et je l’accepte maintenant sur cette base-là. »

            Et quand quelqu’un est guéri ici à l’estrade, dites là-bas, dites : « Je l’accepte pour moi. C’est aussi pour moi. Dieu sait précisément ce qui ne va pas chez moi, s’Il sait ce qui ne va pas chez celui-là. » Et je–je vous dis au Nom de Jésus que vous verrez chaque–chaque personne ici être guérie. Et le Saint-Esprit viendra carrément là dans l’assistance et guérira leur... Combien sont ici pour la guérison et n’ont pas de cartes de prière ? Levez la main, c’est partout. Très bien. C’est bien. Je–je n’ai pas vu pour ce balcon. Il y en a combien là-bas ? Levez la main, ceux qui veulent être guéris, qui n’ont pas de carte de prière ? Très bien. Maintenant, soyons très respectueux, tout le monde, et priez.

38        Maintenant, si–si ces gens venaient ici dans la ligne de prière pendant que Jésus se tiendrait ici, Il... Il se passerait la même chose qui a eu lieu lorsqu’Il a parlé à Philippe en le voyant venir à Lui, n’est-ce pas ? Eh bien, Il a dit à Philippe qui... qu’il était un chrétien, un croyant, et Il lui a dit qu’Il l’avait vu et qu’Il savait où il se trouvait avant de venir à la réunion. Est-ce vrai ?

            Il a parlé à une femme, et Il lui a dit : « Eh bien, tu as cinq maris, c’est cela ton problème. » Elle a reconnu que c’était vrai. Et elle a reconnu qu’Il était un Prophète et elle a dit que le Messie allait venir. Il a dit : « Je suis ce Messie. »

            Et Il savait où un... deux mules étaient attachées à la bifurcation d’une route. Il a dit : « Vous... Et si un homme venait vous demander quelque chose, dites-lui : ‘Le Maître en a besoin’, et ils... il le laissera aller. » Voyez-vous ?

            Et Il savait où se trouvait un poisson qui avait une pièce de monnaie dans sa bouche. Mais, souvenez-vous, c’étaient donc des gens qui croyaient. Mais quand les gens L’ont arrêté, ou qu’Il s’est livré à eux, ils ont mis un bandeau autour de Ses yeux, et ils ont pris un bâton, et ils L’ont frappé sur la tête, et ils ont dit : « Maintenant, prophétiseur, prophétise et dis-nous qui T’a frappé. Nous Te croirons, si Tu nous dis qui T’a frappé sur la tête avec ce bâton. » Il n’a pas du tout ouvert la bouche pour dire un seul mot, n’est-ce pas ? Voyez-vous ? Il n’a pas fait le pitre pour les gens. Il a fait la volonté de Dieu. Voyez-vous ? Probablement qu’Il ne savait même pas qui L’avait frappé sur la tête : Dieu ne le Lui a pas dit. Dieu ne dit pas tout à Ses prophètes. Il n’a même pas dit à Son Fils... Son Fils ne savait même pas quand Il allait revenir. Il a dit : « Personne ne le sait, seul le Père. » Est-ce exact ? Nous reconnaissons donc la même chose.

39        Oh ! madame... Hein ? Vous dites ? Il y avait quelqu’un ici qui était censé voir Billy Paul, un frère qui vient de l’Indiana. Il a demandé qu’on dise à Billy de le rencontrer dans la salle d’à côté, s’il veut bien, si le frère est présent. Et si le frère fait le tour, allez-y, et amenez... que la dame approche.

            Approchez, madame, s’il vous plaît. Croyez-vous de tout votre coeur ? En tant qu’individu ? Je demande si vous croyez de tout votre coeur que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est ici pour accorder la bonne santé. Vous croyez. Maintenant, comme vous êtes dans la ligne, mon ami, parfois je ne mentionne pas cela. Et lorsque vous êtes là-bas dans l’assistance, soyez prêt, soyez en prière. Et dès que Cela parle, saisissez vite la chose, directement, accrochez-vous-y, car...

            Permettez-moi de dire ceci avant que l’onction ne descende sur moi. Voyez-vous ? Si le... Cela est causé par... Tel que je le vois, je ne peux pas l’expliquer ; il est inutile d’essayer. Mais c’est une Lumière. Et vous en avez eu la photo ici. Vous avez vu la photo. Et c’est un–un–c’est un Feu, à peu près comme ça. Il y a une photo de votre... une photo prise par la science, qui est suspendue dans la salle des arts religieux à Washington DC, comme le seul Etre surnaturel qui a été pris en photo et qui a été scientifiquement prouvé. Et Elle est ici.

40        Maintenant, je ne peux pas La voir pendant que je me tiens comme ceci maintenant, mais quand l’Esprit de Dieu descend avec une grande onction, et vous emporte, alors je La vois. Et elle se déplace ici dans l’assistance, et je... la seule chose... Je ne vois pas l’individu. Je vois simplement la Lumière et je L’observe. Et ensuite, pendant que j’observe cette Lumière, Cela s’ouvre et je vois quelque chose arriver. Ensuite quand Cela se retire, j’essaie de garder à l’esprit ce que c’était. Puis, je regarde et je vois si je peux voir cette personne là où cette Lumière se trouvait. Alors je dis quelque chose comme : « Je vois une personne entrer dans un hôpital, on lui a ôté un rein », ou quelque chose comme ça. Peut-être qu’il s’agissait d’une femme : je l’ai vue sortir et elle était très malade, peut-être quelque chose comme cela. Et au bout d’un moment, je regarde par hasard et il y a une femme assise là. Je dis : « Etiez-vous dans un hôpital tout récemment, vous a-t-on ôté un rein ou quelque chose comme ça ? »

            « Oui, c’est ça. » Eh bien, peut-être que c’est tout ce que je sais. Vous voyez ? Mais ce qui se passe, c’est qu’elle prie, et Dieu sait toute chose : Il détient toute cette bande d’enregistrement qui contient tout depuis le jour de votre naissance. N’est-ce pas juste ? Et s’Il veut me le montrer, cela dépend de Lui... portion de cela, tout ce qu’Il fait. Juste...

41        Maintenant, comme pour la guérison... Maintenant, si Dieu fait cela, alors ça prouve que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, alors chaque personne devrait croire. Est-ce juste ? Chaque personne devrait croire, et–et au même moment, être rétablie, parce que vous acceptez cela. N’attendez pas en disant : « Eh bien, je–je l’accepte maintenant même, mais à condition–à condition que je me sente vraiment mieux... » Vous–vous n’irez jamais mieux. Voyez-vous ? Vous devez d’abord l’accepter, et ensuite vous irez mieux après l’avoir accepté. Voyez-vous ? Acceptez cela d’abord. Que tous ceux qui comprennent cela disent amen. Acceptez cela d’abord.

            Maintenant, peu importe, vous maman, combien vous vous sentez mal, combien vous vous sentez mal, combien vous, vous, ou vous vous sentez mal, acceptez cela tout simplement, et alors c’est à Dieu de prendre soin du reste. Très bien.

42        Maintenant, soeur, vous... Je vais tirer ceci par ici, ce micro, afin que quelqu’un, bien sûr, puisse regarder cela. Maintenant, je désire vous parler. Voyez ? Maintenant, lisez-vous beaucoup la Bible ? Le faites-vous ? Et avez-vous déjà lu là dans Jean, vers le chapitre 4, je crois que c’est ça, là où Jésus est allé et s’est assis à un puits, et qu’Il a envoyé Ses disciples dans la ville pour chercher quelque chose à–à manger ? Et pendant qu’Il était là, une dame est arrivée, et elle voulait puiser de l’eau. Et je crois que Jésus avait eu une vision montrant qu’elle viendrait, mais Il ne savait pas ce qu’elle avait comme problème. Il savait que c’était là la femme. Alors Il a dit : « Un–un... Apporte-Moi à boire. » Que voulait-Il faire ? Selon ma compréhension, je ne pourrais pas le prouver avec les Ecritures, mais selon ma compréhension, Il lui fallait avoir un certain contact personnel avec la vie de cette femme. Alors pendant qu’Il lui parlait, eh bien, elle... Il a dit... Il lui a parlé, Il a dit : « Un... Je veux... Veux-tu M’apporter à boire ? »

            Elle a dit : « Oh ! vous les Juifs, vous n’avez rien à voir avec nous–nous les Samaritains. Pourquoi me demandes-Tu à boire ? » Sans y aller par quatre chemins.

            Et Il a dit : « Et si... Mais si tu savais à qui tu parles, c’est toi–toi qui Me demanderais à boire. »

            Et elle a dit : « Eh bien, le puits est profond. »

            Il a dit–Il a dit : « Va chercher ton mari. »

            Elle a dit : « Je n’ai point de mari. »

            Il a dit : « C’est vrai : tu en as eu cinq, et celui que tu as maintenant n’est pas ton mari. » Eh bien, aussitôt elle a dit : « Tu es Prophète. » Elle a dit : « Le Messie vient... »

            Il a dit : « Je Le suis. »

            Alors, elle est entrée dans la ville en courant, tout excitée, elle a dit : « Venez voir un homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait. » Eh bien, Il n’a point... Il lui a dit une seule chose. Mais si Dieu a pu lui révéler cette seule chose là, Il pouvait tout lui révéler. Est-ce juste ?

43        Eh bien, alors, s’Il... Il a dit que nous ferions aussi les choses qu’Il a faites. Est-ce juste ? Eh bien, si donc... Vous croyez qu’Il est ressuscité des morts, n’est-ce pas ? Et qu’Il est parmi nous ? Eh bien, alors, Il a établi dans l’Eglise les uns comme des voyants ; les autres comme des prédicateurs ; les autres comme des docteurs ; et ainsi de suite, et ceux qui dirigent l’Eglise. Est-ce juste ? Eh bien, alors, si donc le chrétien tombe malade et a besoin que quelque chose se manifeste pour élever sa foi en Dieu, il va à l’église et entend le prédicateur prêcher. Si cela ne marche pas, peut-être qu’un message sortira au travers d’une autre voie. Ou peut-être qu’il y a un prophète dans le pays qui est en mesure de voir et de savoir quelque chose qui est à la base de cette maladie, ou quelque chose pour le leur révéler. Voyez-vous ? Alors ils ont simplement la foi. Dieu accomplit le reste. Est-ce juste ? C’est juste.

44        Je crois que vous êtes une personne honnête. Vous... C’est difficile de saisir ce qu’il y a en vous : vous êtes–vous êtes le genre qui est éloigné de cela, car vous vous posez des questions en ce moment. Vous voyez ? Si seulement vous vous soumettez et que vous preniez conscience que Dieu est ici pour vous aider... Et il n’y a rien au monde que je pourrais faire, si ce n’est–ce n’est de dire ce que je vois.

            Et... C’est difficile. Bien entendu il est une chose, je suis faible. Mais vous étiez–vous étiez en quelque sorte impliquée dans une affaire en rapport avec une automobile, une–une voiture, un accident, ou une catastrophe ou quelque chose comme cela. J’ai vu cela se produire. Maintenant, juste un instant. J’aimerais simplement vous parler encore. Oui, ils ont... Je vois les gens en faire sortir la–la femme ; elle est gravement touchée, elle est grièvement atteinte. Et jusqu’à ce jour vous ne vous en êtes pas encore remise. Il semble y avoir quelque chose qui ne va pas dans le–l’un de vos membres. Il y a une... Non, il s’agit d’une–d’une sorte de grosseur qui risque de devenir un cancer, une tumeur maligne. Et il y a quelque chose en rapport avec quelqu’un qui a–qui a un fauteuil roulant, qui est estropié. C’est... doit être votre mari que l’on conduit. Et c’est un... Maintenant, juste une minute. Etait-ce la vérité ? Cela...?... Tout ce qui a été dit était vrai, est-ce juste ? Alors, croyez-vous qu’Il va vous secourir maintenant ? Approchez juste un instant.

            Dieu Tout-Puissant, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, et Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur notre soeur ici présente. Et je Te prie de la guérir. Et, ô Dieu, accorde-lui le désir de son coeur, et puisse ceci être un des moments les plus heureux de toute sa vie. Puisse-t-elle partir d’ici ce soir heureuse, en se réjouissant et en Te louant et en te rendant grâces et louanges, et qu’elle soit rétablie ; nous le demandons au Nom de Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur.

            Aussi simple que cela semble, ce sont juste de simples petites choses qui représentent bien plus. Maintenant, la prière... Croyez tout simplement que Dieu a entendu. Maintenant, ce qu’Il vous a dit, qui est arrivé dans votre vie, vous savez que c’est la vérité. Voyez-vous ? Et puis maintenant, Il vous promet la santé spirituelle. Si donc cela était vrai, cette autre chose est vraie, n’est-ce pas ? Allez, et que Dieu vous bénisse. Que Dieu soit avec vous.

45        Maintenant, approchez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur ? Très bien. Croyez-vous que–que Dieu est le rémunérateur de ceux qui Le cherchent ? De tout votre coeur ? Oui, madame. Oh ! la la ! quelle merveilleuse... C’est la meilleure onction ; il y a tout un mur de foi qui se dresse juste ici maintenant. C’est la meilleure de toutes les réunions qu’on a jamais eues, juste en ce moment. Je voudrais vous le dire avant que j’en arrive à un point où je ne saurais plus comprendre. Je veux que vous soyez aussi respectueux que possible. Asseyez-vous. Soyez respectueux. Regardez de ce côté-ci et priez, et écoutez, et croyez de tout votre coeur. Et soyez transporté d’allégresse. Dieu est un objet d’adoration. Dieu veut être adoré en Esprit et en vérité.

46        Maintenant, excusez-moi, soeur. Je vais juste montrer aux gens (Voyez-vous ?), afin que je sois rassuré, de sorte que je puisse avoir... je... C’est en quelque sorte un autre monde, vous savez. C’est comme si vous pénétriez ici, et vous êtes conscient que vous avez une assistante devant vous. Parfois les visions arrivent à ce niveau où vous ne savez plus distinguer votre droite de votre gauche, ou savoir où vous êtes ou ce que vous faites. Voyez-vous ?

            Mais vous croyez que je suis Son serviteur, n’est-ce pas ? Et nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, nous ne nous connaissons pas. Mais Dieu nous connaît tous les deux, n’est-ce pas ? Maintenant, vous–vous venez de loin. Et vous venez d’une contrée où il y a beaucoup de prairies. Et vous êtes venue... Ce–c’est par avion. Un–un avion vient en provenance d’une contrée lointaine ayant des prairies, et c’est la ville d’où vous venez qui se trouve dans une prairie. Et c’est à... Vous êtes passée par un service de l’immigration ou... Vous êtes–vous êtes venue du Canada. Vous venez de Regina, dirais-je. Est-ce juste ? Et votre avion a atterri dans une ville qui est en bas dans une... près d’une rivière. La ville est à cheval sur la rivière. Je–je dirais que c’est Cincinnati, ou quelque chose comme ça. Mais ensuite vous êtes venue ici par automobile. Et c’était pendant la nuit. Les lumières... Vous–vous vous êtes embrouillée quelque part. Et vous avez–vous avez eu... Votre problème est... Oh ! vous êtes avec des amis. Je vois cela ; vous vous réjouissez avec quelqu’un.

            Mais vous–vous avez subi une opération. Vous avez subi deux opérations. Et les opérations ont été faites à ce niveau dans la poitrine ou au sein. Et c’est le cancer. Est-ce vrai ? Et puis je vois qu’il fait sombre, madame. Certainement, vous n’allez pas vivre, peut-être juste... Non, voici de quoi il s’agit : vous avez besoin de Jésus-Christ. Vous n’êtes pas chrétienne. Vous êtes–vous êtes–vous êtes... vous avez besoin de Christ. Est-ce juste ? Pourquoi ne pas L’accepter et vivre ? Est-ce vrai ? L’acceptez-vous maintenant comme votre Sauveur, à l’instant même ? Abandonnez-vous tout le péché ? Si Dieu vous laissait vivre, allez-vous vivre pour Lui le reste de vos jours ? Approchez.

            Dieu Tout-Puissant, qui as ressuscité Jésus d’entre les morts, cette femme mourante qui est debout ici est venue maintenant à la Vie. Je Te remercie, Seigneur, pour Ton Esprit qui la rétablit. Et, ô Dieu, je Te prie d’ôter d’elle tout le péché et tout. Puisse-t-elle rentrer chez elle heureuse, se réjouissant, et complètement rétablie. Je demande à cette maladie de quitter son corps, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Ma soeur, vous rentrez chez vous une personne différente. Maintenant vous êtes une chrétienne. Vos péchés sont pardonnés. Je crois de tout mon coeur que vous allez vivre, car il fait clair, il fait très clair autour de vous maintenant, à l’endroit où je me tiens. Et je–je crois que vous allez bien vous porter. Vous ressentez cela aussi, n’est-ce pas ? Oui, madame. Vous êtes une chrétienne et vous allez vivre pour Christ maintenant. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse ?

47        Quelqu’un ne devrait-il pas voir le... Ne... Maintenant, Elle est suspendue ici au coin. La petite dame assise là avec un sac à main rouge, Ça se tient juste au-dessus d’elle. Avez-vous une carte de prière, madame ? Vous n’avez pas de carte de prière ? Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu ? Vous–vous le croyez ? Vous avez vous aussi quelque chose qui ne va pas ici. Il s’agit d’un calcul biliaire. N’est-ce pas juste ? Cela vous a quittée maintenant. Vous pouvez rentrer chez vous et être rétablie. Ayez la foi.

            Croyez-vous de tout votre coeur, monsieur ? Très bien. Je–je veux que vous croyiez tout simplement de tout votre coeur. Très bien. Maintenant, si le Seigneur Jésus est présent, la manifestation de Son Esprit pour donner la Vie, le pardon des péchés... Est-il aussi facile de dire : « Tes péchés te sont pardonnés », que de dire que vous êtes guéri ? Eh bien, qui est-ce qui fait tout cela ? C’est Dieu. Il y a quelque chose en rapport avec le péché dans votre vie. Mais vous êtes une personne désobéissante. Vous êtes aussi un prédicateur. Oui. Absolument. Et vous souffrez d’une sorte d’eczéma, la peau de votre corps est malade. Et vous–vous avez failli de faire ce que Dieu vous a dit de faire ; eh bien, c’est le péché. C’est juste. Mais vous êtes un prédicateur de l’Evangile. Et vous avez une femme malade. Elle souffre d’une sorte de maladie à ce niveau-ci. C’est l’asthme et elle étouffe... C’est son coeur ; elle souffre de l’asthme du coeur. Est-ce juste ? Demandez-vous à Dieu maintenant de vous pardonner, pour votre désobéissance ? Je veux que vous retourniez vers votre femme, que vous lui imposiez les mains, et que vous retourniez prêcher l’Evangile. Et, ô Dieu, au Nom de Jésus-Christ, rétablis complètement cet homme. Guéris sa femme, et puisse ceci être le moment tant attendu pour lui. Et ôte cela de lui. Je réprimande l’ennemi au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Juste un instant, monsieur, prédicateur. Tenez-vous là, juste... Retournez-vous encore, s’il vous plaît. Maintenant, tournez-vous et regardez-moi. Il y a quelque temps, vous étiez dans mon tabernacle. N’est-ce pas juste ? Je vous ai vu franchir la porte en sortant comme cela, par la porte de mon tabernacle. N’est-ce pas vrai ? Eh bien, que Dieu vous bénisse. Oh ! je viens de voir cela, mon tabernacle est apparu devant moi, et je vous ai vu franchir la porte en sortant, et j’ai compris que vous y aviez été à un moment donné. Très bien. Que le Bon Dieu... bénisse. Que Dieu vous bénisse, frère. Très bien.

48        Croyez-vous en Lui de tout votre coeur ? Très bien. Croyez-vous, madame ? De tout votre coeur. Je suis un inconnu pour vous, madame, mais pas pour Dieu. Je me rends compte que vous êtes une chrétienne, ce n’est pas parce que vous avez dit : « Oh ! Jésus ! » En effet, tout pécheur qui se tiendrait là ferait cela, et surtout dans Sa Présence. Mais Dieu vous connaît. Et s’Il est avec moi, alors Il fera en sorte que je vous connaisse aussi, pour Sa gloire. Croyez-vous cela ? Vous–vous–vous–vous étiez... avez connu des ennuis, quelques opérations. Et c’était... On a ôté des organes internes, et ou... N’est-ce pas vrai ? Je n’arrive pas à comprendre... Vous... Il y a quelque chose en rapport avec une tente ; une tente quelque part ou quelque chose comme cela, vous avez une–une tente, ou vous êtes... Oh ! vous êtes l’épouse d’un prédicateur ; c’est ça. Vous êtes l’épouse d’un prédicateur. Et il... une tente, au sujet d’une réunion sous tente ou quelque chose comme ça. Il s’agit des Assemblées de Dieu. Et maintenant, si je ne me trompe pas, dans la vision j’ai vu un homme qui a un petit espace ici entre ses dents, et il s’agit de frère Vivard. Vous avez quelque chose à avoir avec frère Vivard ou quelque chose comme ça. Est-ce–est-ce juste ? Eh bien, que Dieu vous bénisse. Approchez.

            Père Tout-Puissant, oh ! sois miséricordieux, ô Dieu. Maintenant, va toucher notre soeur et puisse-t-elle partir et être guérie. Ô Dieu, je l’envoie sur son chemin au Nom de Ton Fils Jésus pour qu’elle soit complètement guérie. Amen. Que Dieu vous bénisse, ma soeur. Allez et que Sa Présence soit avec vous. Amen.

49        Y a-t-il quelqu’un qui a été guéri juste ici ? Oh ! est-ce vous, madame ? A-t-on... Dans la vision ça ne semblait pas être vous, ou, cette–cette dame... Maintenant, patientez tous, juste... Nous–nous servons le Seigneur Jésus de tout notre coeur. Ça a... cela m’a quitté ; je–je ne sais pas ce que le Seigneur voulait dire, à moins que ça soit juste une bénédiction qui est descendue sur la dame qui est assise là. Vous êtes déjà passée ici, n’est-ce pas, madame ? Oui, oui. Oh ! vous étiez ici. Très bien. Très bien. Très bien, amenez le suivant.

50        Voici–voici–voici un homme qui est sourd. Allez... Inclinez la tête, partout. Voyez-vous ? Dès qu’Il s’est déplacé, j’ai senti l’Esprit venir sur lui. Maintenant, gardez la tête inclinée jusqu’à ce que vous m’entendiez vous parler.

            Ô Dieu, Toi qui as ressuscité Jésus d’entre les morts, Satan a lié ce pauvre homme. Il n’a pas le privilège d’entendre l’Evangile, donc la foi vient de ce qu’on entend, ce n’est pas pour Lui. Je Te prie, ô Dieu, d’excuser maintenant ceci, et de faire en sorte que ce démon le quitte afin qu’il puisse entendre. Maintenant, Père, étant donné qu’il ne peut pas entendre, je Te prie de me donner la puissance pour chasser ce démon. Et, Seigneur, s’il y a quelque chose qui cloche, alors Tu peux parler à Ton serviteur. Mais je Te prie maintenant, Seigneur, pour que ce démon ne soit pas en mesure de résister à Ton serviteur, afin que cet homme puisse être guéri, un jeune homme que voici qui est dans la fleur de l’âge. Et le diable lui a causé ce tort. Maintenant, Père, écoute ma prière. Satan, toi qui as lié cet homme, toi esprit de surdité, qui cherches à l’envoyer prématurément dans la tombe, je t’ordonne, par Jésus-Christ, le Fils de Dieu, de sortir de lui.

            M’entendez-vous ? M’entendez-vous maintenant ? M’entendez-vous maintenant ? Je ne fais que chuchoter. Très bien, redressez la tête. Ecoutez ceci. Dites tout haut ce que je vous chuchote. Je vais placer ma main sur ce micro parce que c’est très sensible. « Amen. » « J’aime le Seigneur. » « Gloire au Seigneur. » Maintenant, faites attention à ceci. « Gloire au Seigneur. » « J’aime Jésus. » Je ne fais que chuchoter. Que Dieu vous bénisse, frère. Christ vous a guéri et vous êtes rétabli. Maintenant, allez et ne péchez plus ; tout ira bien. Croyez-vous maintenant que je suis Son prophète ? M’aimez-vous ? Je vous aime. J’aimerais vous demander quelque chose. Allez-vous faire ce que je vous dis de faire ? Vous avez une mauvaise habitude ; vous fumez la cigarette. Abandonnez cela. Allez, et ne le faites plus jamais. Dieu vous bénira. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse.

51        Ayez la foi. Venez. Croyez-vous, madame, de tout votre coeur ? Croyez-vous que je suis Son serviteur ? Ça y est... Oh ! oui. C’est la dame assise à côté de cette dame-ci. Vous avez une allergie, n’est-ce pas, madame ? N’est-ce pas juste ? Oh ! oui. Est-ce ce que vous... Vous aussi vous vous sentez bien, n’est-ce pas, papa ? Très bien. Vous souffriez aussi d’une maladie du côlon. N’est-ce pas juste ? Très bien, posez vos mains l’un sur l’autre. Que Dieu vous bénisse. Maintenant, vous pouvez rentrer chez vous et être bien portants, tous les deux. Satan essayait de s’en tirer avec cela, mais je sais que Dieu était à l’oeuvre dans cette action juste là. Alléluia ! Oh ! combien nous L’aimons !

52        Croyez-vous, madame ? Si je vous disais votre problème, avec l’aide de Dieu (les visions me rendent tellement faible), mais vous–vous–vous me croiriez ? Je vois une chose. Vous avez certainement eu beaucoup d’ennuis. A l’instant même vous passez par une situation navrante. C’est en rapport avec des enfants qui sont dans le monde, dans le péché. Et vous souffrez des troubles cardiaques. Que Dieu vous bénisse. Approchez.

            Ô Dieu, au Nom de Ton Fils Jésus, aide cette pauvre petite créature, elle ressemble beaucoup à ma propre mère. Et je Te prie, ô Dieu, d’enlever de sa vie toute la–la puissance du diable, et qu’elle puisse aller, et qu’elle soit... tout ce qu’elle désire, puisse cela lui être accordé ; je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen. Je vous bénis, ma soeur. Et que tout ce que je peux demander à Dieu de vous accorder, vous puissiez le recevoir. Croyez-vous que vous le recevez maintenant ? Que Dieu vous bénisse. Continuez votre chemin, étant heureuse et en vous réjouissant, et en disant : « Merci, ô Dieu. »

53        Croyez-vous en Lui de tout votre coeur ? Maintenant, il s’agit de quelqu’un juste ici. Attendez... Voulez-vous guérir de ce diabète ? Croyez-vous que Dieu va vous rétablir ? L’acceptez-vous maintenant même ? Approchez. Seigneur, guéris cette chère maman. Je Te prie d’ôter complètement d’elle cette maladie ce soir, et qu’elle soit guérie au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez en vous réjouissant, étant reconnaissante, et que Dieu vous bénisse, soeur. Très bien. Maintenant, soyez respectueux.

            L’Ange du Seigneur se déplace au-dessus de cette assistance. Il est juste là, et il y a quelque chose, la même maladie dont souffrait cette dame-là, c’est ce qu’a cette dame-ci. Vous avez la tuberculose, vous qui êtes assise juste... C’est juste. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Maintenant, Il est de nouveau juste derrière cet homme-là. Il y a une dame, une... assise là, elle a un mal de dos. Sa fille qui est assise juste à côté d’elle souffre de la tête... sa tête. Croyez-vous de tout votre coeur ? Croyez-vous que Dieu va vous rétablir ? L’acceptez-vous, madame ? Vous deux, vous et votre fille ? L’acceptez-vous ? Que Dieu vous bénisse. Placez vos bras l’une sur l’autre. Ô Dieu, rétablis-les, au Nom de Jésus.

54        Monsieur, vous étiez en train de rire, vous qui êtes assis là, à partir de là. Vous aussi, vous avez un mal de dos, n’est-ce pas ? C’est juste ? C’est votre femme qui est assise à côté de vous, et elle souffre de la tête. Est-ce juste ? La tête... Et écoutez, monsieur : vous n’êtes pas un chrétien. Il vous faut accepter Christ. N’est-ce pas juste ? Je vois que ça devient sombre. L’acceptez-vous maintenant comme votre Sauveur, afin qu’Il puisse vous guérir, vous et votre femme ? Croyez-vous cela, et allez-vous L’accepter comme votre... ? Tenez-vous debout et dites : « Je L’accepte comme mon Sauveur. » Que Dieu vous bénisse. Tenez-vous debout et vous pouvez être guéris. Levez-vous, tenez-vous debout. Levez-vous avec lui, là, frère. Que Dieu vous bénisse. Tous les deux, maintenant, vous pouvez rentrer chez vous et être guéris au Nom de Jésus-Christ. Disons : « Gloire au Seigneur ! » Le Seigneur Jésus est ici, si seulement vous croyez.

55        Maintenant, écoutez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur ? Croyez-vous que je suis Son prophète, Son serviteur plutôt ? Le croyez-vous de tout votre coeur ?

            Maintenant, juste un instant. La chose est là de nouveau. Voilà comment croire, l’assistance. Voilà comment obtenir quelque chose de Dieu. Maintenant, cela vient de différents endroits.

            Regardez ici, soeur. Vous souffrez de l’estomac. Vous tous qui souffrez de l’estomac, tenez-vous debout maintenant même. Voyez-vous là ce que je vous ai dit ? Les voilà. Inclinons la tête. Ô Seigneur Jésus, ces démons sont en train de crier, de tirer ; ils savent que leur heure a sonné. Ils savent qu’ils ne peuvent pas s’en tirer avec ces choses. Ils savent que leur fin est là, parce que les gens commencent maintenant à croire. Maintenant, je réprimande chaque démon qui souffre... qui fait que ces gens souffrent de cette maladie d’estomac. Sortez d’eux ; au Nom de Jésus-Christ, quittez-les. Que Dieu vous bénisse. Prenez-moi au mot ; rentrez chez vous et mangez tout ce que vous voulez au souper, et vous aussi, madame. Que Dieu vous bénisse.

56        Maintenant, juste un instant. Je vous ai vu quelque part. Non, voilà, Cela se tient juste ici. Monsieur, vous qui êtes assis là, ayant ce petit garçon sur vos genoux ; vous souffriez aussi de l’estomac, n’est-ce pas ? Il vous a guéri juste à ce moment-là. Votre petit garçon est aveugle, n’est-ce pas ? Posez vos mains sur lui et demandez à Dieu de lui venir en aide, de lui rendre la vue. Au Nom de Jésus-Christ, qu’il en soit ainsi.

            Croyez-vous, frère ? Vous souffrez des reins, n’est-ce pas ? Croyez-vous que vous êtes guéri ? Descendez de l’estrade en criant et en louant Dieu. Tout à l’heure, quand il a été dit à cette femme qu’elle souffrait de la tuberculose, vous vous teniez juste là sur les marches. Vous aussi vous avez été guéri, parce que vous souffriez de la tuberculose, et vous en avez souffert pendant longtemps. Maintenant c’est parti. Rentrez chez vous en vous réjouissant et en remerciant Dieu pour Sa bonté.

57        Très bien. Approchez, madame. Vous savez que votre trouble cardiaque vous a quittée quand vous étiez assise là, et croyez de tout votre coeur. Continuez simplement... continuez et dites : « Merci, Seigneur Jésus », et soyez rétablie. Vous aussi, soeur. Croyez-vous de tout votre coeur que cela vous a quittée ? Que Dieu vous bénisse. Seigneur, guéris-la et rétablis-la au Nom de Jésus-Christ. Amen. Ne souffrez-vous pas d’une maladie du côlon, la dame, qui êtes assise là ? Oui. N’est-ce pas juste ? Vous étiez en train de pleurer à l’instant. Vous vous demandiez quand viendrait votre tour. C’est maintenant votre tour. Oui, oui. Que Dieu vous bénisse. C’est juste. Vous qui la tapotez, vous l’aimez, n’est-ce pas ?

            Vous qui êtes assis ici au bout, vous avez des complications, tout va mal. N’est-ce pas juste ? Très bien. Vous aussi, c’est maintenant votre tour. Que Dieu vous bénisse. Rentrez chez vous et soyez guéri. Que Dieu vous bénisse, frère. Ayez foi en Dieu.

            Oui, vous avez été guérie d’un mal d’estomac. Vous vous demandiez en quelque sorte dans votre esprit, étant assise juste là, cette dame assise juste là. Vous êtes guérie. Que Dieu vous bénisse. Oui, c’est terminé. Oui, madame. Disons : « Grâces soient rendues à Dieu ! »

58        Approchez, madame. Croyez-vous que je suis Son prophète ? Maintenant, voici la traction. Le jeune garçon assis là au bout, qui porte une sorte de petite chemise jaunâtre. Tu as quelque chose qui va mal à l’oeil. N’est-ce pas vrai, fiston ? C’est à cause d’un enfant qui a lancé une babiole. Tu te tenais près d’un poteau ou quelque chose comme ça, et un garçon a lancé une babiole qui t’a frappé à l’oeil, et qui l’a endommagé. Mais cela–cela a changé. Les choses ont évolué de sorte que tu pouvais voir. Ensuite c’est encore parti. Tu étais en train de lire une sorte de vieux petit livre, une sorte de petit magazine de bandes dessinées. Est-ce juste ? Et tu t’en es remis. Maintenant il est redevenu aveugle. Tu ne devrais pas faire cela, fiston. Tu as une autre mauvaise habitude, c’est le tabagisme : tu fumes et tout. N’est-ce pas juste ? Lève-toi et accepte Jésus comme ton Sauveur et que Dieu te guérisse et te rétablisse. Amen. Ayez la foi.

59        Soeur, vous souffrez de la nervosité. Toute cette assistance est tourmentée par la nervosité. Tous ceux qui souffrent de la nervosité, tenez-vous debout à l’instant même et soyez guéris en même temps que cette femme. Voilà. Alléluia !

            Seigneur Jésus, je Te prie de lier chaque démon. Fais sortir de ces gens ce soir ces démons, Seigneur. Que la puissance de Dieu inonde cette salle à l’instant même et réprimande chaque démon de la nervosité qui est ici. Que les gens partent d’ici complètement guéris au Nom de Jésus.

            Pendant que l’Esprit de Dieu est en train de se lever, je veux que tout le monde se lève à l’instant même. C’est ça ; c’est l’heure. Rendons louange et gloire à Dieu, tout le monde. Vous tous qui êtes estropiés, levez-vous. Vous tous qui êtes infirmes, levez-vous. Les sourds peuvent entendre ; les aveugles peuvent voir.

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