Des Images De Christ

Date: 59-0525 | La durée est de: 1 heure et 33 minutes | La traduction: VGR
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1 C’est très gentil de votre part, de dire ça.

Je suis si heureux d’être dans la maison du Seigneur. Il n’y a qu’un endroit qui soit meilleur, et c’est d’être avec le Seigneur. N’est-ce pas? Quand ce sera… Que toutes les peines, les épreuves et les difficultés de la vie s’évanouiront dans un grand et glorieux lendemain. Et nous attendons vraiment avec impatience le moment où nous Le verrons.

2 L’autre jour, quelqu’un me demandait, il a dit : “Frère Branham, pensez-vous que la Venue du Seigneur est proche?”

J’ai dit : “Certainement.”

Il a dit : “Eh bien, j’entends dire ça depuis longtemps.”

3 “Mais”, j’ai dit : “un jour, vous l’entendrez pour la dernière fois.” Voyez? C’est exact, parce qu’Il—Il arrivera un jour. Et peu importe quand ce sera, je veux simplement être prêt. Je… c’est…

4 L’autre jour, nous parlions devant des hommes d’affaires, c’étaient des avocats et autres. Et—et ils ont dit… L’un d’entre eux a dit : “Quel est votre—votre objectif principal dans la vie?”

J’ai dit : “J’en ai un.”

Il a dit : “Lequel?”

5 J’ai dit : “Sauver des âmes pour Christ.” C’est la—la seule chose que je…

6 Mon ambition la plus élevée et seule ambition, c’est de voir Jésus-Christ glorifié. Je vis pour cela.

7 Je suis si heureux, cela fait maintenant trente et un ans que notre témoignage se construit, que je L’ai servi humblement. Si je devais vivre un million d’années, si je devais vivre aussi longtemps, je voudrais vivre chaque instant pour Lui. Car je… Même si je savais que je serais rejeté à la fin, c’est un tel privilège que de vivre pour Lui! Il est si réel et si bon!

8 Et je n’ai jamais rien trouvé, dans tous les voyages que j’ai faits dans ma vie, qui soit de quelque façon comparable à la communion que nous avons ensemble, quand nous sommes seuls, Lui et moi. Il n’y a pas de plus douce communion. Elle surpasse n’importe quel amour, pour sa femme, ses enfants, ou quoi que ce soit d’autre; il s’agit de l’amour de Christ. Il est si bon.

9 Donc, nous sommes si heureux de voir que ces réunions de réveil continuent toute la semaine. Et j’ai appris que Frère Parnell et d’autres ont dit des choses remarquables ici. Et nous avons confiance que pendant ces réunions de réveil…

10 Le réveil est parfois mal compris. Certains pensent que le réveil sert à amener de nouveaux membres dans l’église. Non. Ça, c’est le résultat du réveil. Mais un réveil, c’est raviver ce qui est déjà dans l’église. Voyez? C’est—c’est amener cela.

11 Une fois, j’étais au bord de la mer. Je—je pense avoir raconté ça bien des fois. Mais c’est…c’était il y a bien des années. Et c’était la première fois que je voyais une… En fait, ce n’était pas une mer. C’était le lac Michigan. Hope et moi étions là-bas quand s’est tenue la Conférence Mondiale. C’était en, je crois, vers 1922, Frère Egan, autant que je m’en souvienne, quand la Conférence Mondiale était à—à Chicago. C’était la première fois que je voyais une grande étendue d’eau. Et j’étais là, ce jour-là, et je voyais ces grosses vagues. C’était comme…le matin de Pâques, ils avaient là-bas une réunion de lever du soleil. Et de voir ces grandes vagues qui arrivaient et repartaient, et, oh, elles avaient l’air si heureuses.

12 Mais j’ai commencé à réfléchir : “Tu sais, il n’y a pas plus d’eau dans ce lac, quand il s’agite comme ça, qu’il n’y en a quand il est tout à fait calme. Il y a la même quantité d’eau, pas une goutte de plus.” Alors j’ai pensé : “Eh bien, pourquoi est-ce que les—les vents viennent agiter le lac comme ça?” C’est pour débarrasser le lac de toutes les saletés. Voyez? Ça rejette toutes ces choses sur le bord. Quand…

13 Je pense alors : “C’est comme si le lac était en train d’avoir un réveil.” Voyez? Cela l’agite, le fait bondir et le remue jusqu’à ce que toutes les impuretés en soient sorties. C’est exactement ce que produit un réveil, il nous fait entrer dans l’Esprit du Seigneur, nous fait nous réjouir, réparer nos torts, avoir une marche plus rapprochée, une reconsécration et une consécration, jusqu’à ce que toutes les choses et tous les doutes du monde soient entièrement rejetés sur le rivage, vous voyez. Alors, désormais, on peut bien avancer, la voie est dégagée, quand le vieux bateau de la vie passe par là. Oh, vous n’avez plus besoin de veiller autant, parce que tout est ôté du chemin. Ça, c’est bien.

14 Bon, ce soir, nous ne voulons pas vous garder trop longtemps, étant donné que c’est lundi soir, le premier soir de la semaine, de nos soirées de réveil. Et j’étais tellement heureux d’annoncer que les réunions de réveil continuent.

15 Et j’ai beaucoup d’amis. Je vois des frères ici, des gens qui m’ont raconté des songes qu’ils ont eus, ces dernières semaines. Et le Seigneur m’a aidé à avoir l’interprétation de ces choses-là maintenant. Je ne sais pas qui est parmi nous, et combien de nouveaux venus, ou que sais-je encore. Mais le Seigneur Dieu donne encore l’interprétation des songes. Elles sont exactes et parfaites.

16 Et Il est le même Dieu qu’au temps de Joseph, quand—quand le roi a eu des songes. Et il les lui a interprétés, et c’était exact. Et certains de ces songes se prolongent même encore aujourd’hui. Leurs résultats se font toujours sentir. Et, Daniel, au temps de Nebucadnetsar.

17 Et notre brave pasteur, cet homme remarquable et humble, a dit, il y a quelques instants, eh bien, qu’il—qu’il ne voulait pas me demander de donner encore un coup de main cette semaine. Il a dit : “Je sais que tu es fatigué, Frère Branham. Mais,” il a dit, “bon,” il a dit, “on va simplement rester dans l’attente et l’expectative.” C’est bien.

18 En passant, j’ai dû annuler la réunion de Sydney, en Australie, du fait qu’on ne m’a pas permis d’avoir un visa en ce moment, voyez, de quitter les États-Unis en ce moment. Et donc, et d’autres choses, donc je ne peux pas y aller juste en ce moment. Je ne sais pas quand je pourrai aller. Mais je pourrai bientôt. Mais, étant donné que nous avons dû reporter cela un peu, je vais maintenant à Chicago, à la—la réunion de Chicago, qui se tiendra prochainement. En effet, ils avaient annoncé que je devais y être, mais je n’étais pas au courant. Au moment où j’étais censé m’y trouver, je devais être aux îles Fidji, où on a dit qu’il y aurait beaucoup de gens rassemblés, là dans les îles. Mais je ne pourrai pas y tenir la réunion pour l’instant, à cause des droits de visa. Mais, bon, je le pourrai bientôt. Ils attendent tout simplement.

19 Donc, je serai à Chicago. Gene, sais-tu à quelles dates c’est? Y a-t-il quelqu’un qui sait ce qui a été annoncé? Je ne le sais même pas. Je l’ai seulement vu dans The Herald Of Faith. Je crois que ça commence vers le 4 ou le 5 du mois, ou quelque chose comme ça. Ou, c’est le suivant, dans environ une semaine, dix jours. Et donc mes nerfs ont été mis à rude épreuve, et je désire vos prières.

20 Bon, ce soir, j’ai choisi comme lecture des Écritures, si vous voulez lire avec moi, Jean chapitre 13, juste une portion. Vous qui avez vos Bibles près de vous et qui aimez suivre la lecture, pendant que nous lisons.

21 Et sitôt le service terminé ce soir, il va y avoir ici la répétition d’une cérémonie de mariage. Donc, aussitôt que nous aurons terminé, si nous pouvions sortir aussi vite que possible. Pas nous précipiter, mais, dès que le bâtiment sera vide, alors ils veulent répéter pour le mariage. Et il y aura un mariage ici, demain soir. Deux de nos enfants associés à ce tabernacle doivent se marier demain soir, comme vous le savez tous. Notre bien-aimé frère David Wood va épouser—épouser Marilyn Jefferies, demain soir, au Tabernacle, juste avant les réunions. Et donc il faut répéter pour ce mariage. Seulement… La tenue de cérémonie ne sera pas exigée; une tenue de ville suffira demain soir pour le mariage.

Maintenant, avant de lire Sa Parole, prions.

22 Dieu notre Père, alors que nous entrons dans Ta Présence avec le plus grand respect, en portant devant nous ce Nom entièrement suffisant de Jésus, nous avons l’assurance que Tu nous entendras. Parce que, Il a dit : “Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.” Par conséquent, en tant que croyants Chrétiens, nous venons avec assurance au Trône de la grâce, sachant ceci, que, si nos cœurs ne nous condamnent pas, alors nous savons que notre requête est exaucée par Dieu.

23 Et nous prions afin que Tu sois tellement satisfait de nos vies, par la confession de nos fautes et le fait qu’Il est juste pour nous pardonner, que nos désirs seront satisfaits ce soir. Aussi, Seigneur, notre plus grand désir, c’est de voir Ta grâce immense être répandue sur nous, et ce—cela dans le but de pardonner nos péchés et de guérir la maladie parmi nous. Et puisses-Tu nous parler par le moyen d’une révélation, d’une prophétie, ou autre, quelle que soit la chose que Tu voudrais dire à Ton Église. Puissent nos cœurs être des réceptacles de Ton Esprit. Puissions-nous être si bien reliés à la ligne principale ce soir, que le Saint-Esprit pourra parler à nos cœurs et être glorifié par Sa Présence.

24 Maintenant, Seigneur, nous voulons prier pour tous ceux qui sont malades et dans le besoin. Car, juste avant de venir, ces deux derniers jours, notre secrétaire a déposé sur mon bureau de longues listes de noms de gens d’un bout à l’autre du pays, qui souffrent, qui se meurent, des cas urgents écrits en rouge. Et alors que je pose mon doigt sur chacun d’entre eux, jusqu’au bas de la page, ô Dieu, en présence de cette église, ce soir, j’implore Ta grâce et Ta miséricorde pour chacun. Tu connais chacun d’entre eux et ce dont ils ont besoin.

25 Et nous ne voulons pas oublier, Seigneur, ceux qui sont convalescents, ce soir, ceux qui sont là-bas, dans les foyers pour personnes âgées et infirmes. Ô Seigneur Dieu, beaucoup sont de Tes enfants lavés dans le Sang. Oh, quand on prend de l’âge, et que nos bien-aimés oublient, nous avons une consolation : Dieu n’oublie jamais. Tous nos actes sont enregistrés dans le Livre de Vie, et ils sont pour toujours dans Sa Présence. Et nous voulons plaider en leur faveur, ce soir, Seigneur.

26 Nous implorons la miséricorde pour notre nation. Et pour ceux qui pèchent et qui agissent mal, et pour ceux qui fréquentent les bars et—et pour ceux qui sont ce soir dans d’autres conditions de péché, nous implorons la grâce du pardon, Seigneur. Et nous Te prions de nous soutenir si fortement, Seigneur, que nos cœurs soient tellement remplis d’amour pour Toi, que notre plus grand désir sera de Te servir et de voir ces gens sauvés.

27 Bénis la lecture de la Parole et tout ce que nous faisons. Humblement, nous voulons incliner la tête et Te remercier, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

28 Prenez maintenant le livre de Jean, chapitre 13. Nous en lirons une portion.

Avant la fête de Pâque, Jésus, sachant que son heure était venue de passer de ce monde au Père, et ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, mit le comble à son amour pour eux.

Pendant le souper, lorsque le diable avait déjà inspiré au cœur de Judas Iscariot, fils de Simon, le dessein de le livrer,

Jésus, qui savait que le Père avait remis toutes choses entre ses mains, qu’il était venu de Dieu, et qu’il s’en allait à Dieu,

Se leva de table, ôta ses vêtements, et prit un linge, dont il se ceignit.

Ensuite il versa de l’eau dans un bassin, et il se mit à laver les pieds des disciples, et à les essuyer avec le linge dont il était ceint.

Il vint donc à Simon Pierre; et Pierre lui dit: Toi, Seigneur, tu me laves les pieds!

Jésus lui répondit : Ce que je fais maintenant, tu ne le comprends pas… mais tu le comprendras bientôt.

29 Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole. Je veux prendre brièvement comme—comme texte, ce soir, le sujet : Des images de Christ. Et, comme sujet, je veux : “Qu’est-ce que ça serait? Que faut-il pour faire un Chrétien?”

30 Bon, je sais que ceci n’est pas vraiment un texte d’évangélisation, en aucun cas. Et, pourtant, c’est bien un texte d’évangélisation, parce que l’Église ne pourra jamais progresser avant de savoir sur quels terrains Elle est en train de progresser.

31 Et je crois qu’avant que quelqu’un puisse se mettre en marche ou avoir une foi pleine de confiance, c’est, premièrement, il faut qu’il sache où il se tient, et comment se tenir après avoir pris position. Je crois que c’est primordial. En effet, on ne peut pas juste plonger tête baissée dans quelque chose, avec foi, sans savoir dans quoi on plonge. On doit le savoir. Et si notre foi est bien établie et dans la bonne position, cela procure une satisfaction continuelle.

32 C’est simplement comme ce qu’on dit à propos d’une femme qui, peut-être, une fois mariée, a tellement—tellement envie d’embrasser son premier petit bébé, qu’elle sait difficilement comment attendre. Elle devient impatiente. Mais alors la crainte s’installe, si cela ne vient pas rapidement, qu’elle n’aura pas ce bébé. En fait, c’est ce qui va l’en éloigner de plus en plus.

33 Eh bien, de nos jours, on a un remède à cela, et il a marché dans tous les âges. Si cette femme voit ou croit qu’elle ne va pas donner naissance à ce bébé, si elle va tout bonnement adopter un bébé, alors, bien vite, vous verrez qu’elle en aura un à elle. Eh bien, ça s’est avéré juste neuf fois sur dix. Parce qu’on est tendu à l’idée que “Oh, peut-être que je ne l’aurai pas.” Mais si elle obtient cette petite satisfaction là, ce sera peut-être la façon de Dieu de la préparer. Elle aura alors son propre bébé, parce que cette peur et cette appréhension auront fini par la quitter.

34 Il en est de même pour les gens qui veulent être guéris, ils, si seulement ils peuvent avoir un petit signe visible.

35 Comme Élie, quand il a dit… Guéhazi a dit : “Je vois un nuage d’environ la taille d’une main.”

36 Élie a dit : “J’entends un bruit qui annonce la pluie.” Il en a vu la preuve.

37 C’est pourquoi, très souvent, je dis aux gens : “Allez-y, commencez à louer le Seigneur.” Voyez? Parce que cela, c’est le bébé adopté, parce que c’est dans leur intellect jusqu’à ce que ça vienne dans leur âme, qu’ils sont guéris, alors la foi démontre l’exactitude de la chose.

38 Vous devez savoir ce que vous faites. Vous devez avoir confiance dans ce que vous faites.

39 C’est pourquoi on entend si souvent cette expression : “Oh, qu’est-ce qu’un Chrétien?”

40 Certaines personnes limitent cela au fait de se joindre à une église. Quelqu’un a dit : “Eh bien, un Chrétien, c’est un—un membre d’église, quelqu’un qui s’est affilié à l’église.” Je crois que tous les Chrétiens devraient faire cela, mais je ne crois pas que le Christianisme ce soit ça. Voyez? C’est ce qu’un Chrétien fait après être devenu un Chrétien. Mais cela ne veut pas dire que, parce qu’il le fait, il est un Chrétien.

41 Puis, d’autres disent : “Non, c’est le fait d’aller à l’église et d’obéir à une déclaration de credos, et d’être fidèle aux choses que l’église enseigne.”

42 Et puis, il y en a d’autres qui disent que “porter peut-être un petit—un petit quelque chose sur soi, une—une petite croix ou quelque chose, que c’est cela le signe d’un Chrétien.”

43 Bon, et puis il y en a d’autres qui croient que, “Peut-être, s’ils brûlent un cierge ou font une sorte de pénitence, que c’est ça être un Chrétien. S’ils sont tout simplement immergés dans l’eau, ou qu’ils font un sacrifice ou donnent quelques biens à l’église ou—ou aident le voisin, achètent du charbon pour la veuve ou des chaussures pour l’orphelin.” Ça, ce sont les actes qu’un Chrétien devrait accomplir, mais cela ne fait pas encore de lui un Chrétien.

44 Et puis d’autres disent que, “Si vous mettez une image de Christ dans votre voiture, ou sur votre mur, c’est cela le signe d’un Chrétien.” Eh bien, ces choses-là sont très bien, mais je ne crois pas que le fait de porter une image fasse de vous un Chrétien.

45 Je crois que c’est d’être une image de Christ qui fait de vous un Chrétien. Ce n’est pas ce que nous faisons, au dehors. C’est ce qui s’est passé au-dedans qui fait de nous ce que nous sommes. Ainsi donc, s’Il est notre image, et que nous sommes à Sa ressemblance et membres de Son Corps, nous devrions être des images comme Lui. Alors, nos vies devraient refléter l’image de Christ, pas en nous joignant à l’église ou en portant notre crucifix, ni par nos émotions, mais cela devrait être par la Présence vivante du Dieu vivant qui se reflète à travers notre vie.

46 Des experts m’ont parlé du procédé qu’on utilisait avant l’époque des fonderies, pour débarrasser l’or de—de ses impuretés, du fer et de la pyrite. La pyrite ressemble tellement à l’or véritable qu’on l’appelle “l’or des fous”. Mais le procédé qu’ils utilisaient pour le débarrasser de tout cela, c’est qu’ils le battaient à coups de marteau. C’est ce que faisaient les Indiens autrefois. Et c’est ce que faisaient aussi les orfèvres d’autrefois. Ils le battaient à coups de marteau, ils le tournaient et le retournaient, ils le battaient jusqu’à ce que toutes les impuretés en soient sorties. Et le seul moyen de savoir qu’il ne restait plus que l’or, c’est quand celui qui le battait pouvait voir son reflet dedans. Celui qui le battait le regardait constamment, jusqu’à ce qu’il puisse presque se raser devant son propre reflet projeté par l’or qu’il battait.

47 Et, quand le Saint-Esprit de Dieu se met à nous battre avec le marteau de l’Évangile, qu’Il nous bat jusqu’à ce que toutes les choses du monde soient sorties de nous et que nous reflétions l’image du Seigneur Dieu, c’est alors, je crois, que nous devenons des Chrétiens. En effet, le mot Chrétien signifie “semblable à Christ, Le refléter”.

48 Or, cela ne signifie pas que nous devons porter une longue barbe, comme les artistes Le dépeignent. Et cela ne signifie pas non plus que nous devons laisser pousser nos cheveux, comme les artistes Le dépeignent, ou porter une tunique comme Lui en portait, car nous vivons à une autre époque. Nous n’avons pas nécessairement à être comme cela pour refléter Son image physique.

49 Mais, nous devons, dans nos âmes, refléter l’image de Son Esprit et Sa manière de vivre. Je ne crois pas qu’être Chrétien consiste en une adhésion à des églises ou des credos. Je crois que c’est le reflet de Jésus-Christ dans un être humain, car nous sommes Ses membres, les membres de Son Corps, et l’Écriture dit que nous portons Son image.

50 Alors, quelle sorte d’image était-Il? Il n’est pas venu pour être quelqu’un d’important; pourtant, Il l’était. Mais Il est venu comme un serviteur. Il n’est pas venu pour être servi, mais pour servir. Notre texte, ce soir, reflète ce qu’Il était. À mon avis, c’est ce qui fait qu’Il est grand. Pourtant, bien qu’Il soit le Dieu même de l’Éternité, le Dieu même qui a créé le ciel et la terre, quand Il est venu ici, Il a pris la position la plus basse, la tâche la plus indésirable qu’on puisse avoir, celle de larbin préposé au lavage des pieds.

51 De toutes les rémunérations, dans l’ancien temps, dans le monde oriental, le larbin préposé au lavage des pieds était le moins bien rémunéré de tous. Car, en ce temps-là, les animaux marchaient sur les routes, dans les chemins détournés que les gens empruntaient. Et le long de la route, ça puait, tout le long de la route, là où étaient les animaux. Et la poussière volait et se déposait sur leurs jambes et leurs pieds. Tout ça puait terriblement! Et dès que quelqu’un venait rendre visite à quelqu’un d’autre, il ne pouvait pas entrer dans un tel état. Il sentait mauvais à cause de la puanteur de la route, et la poussière, comme dans une écurie pour chevaux.

52 Donc, la première chose qu’il faisait, il y avait une petite cabine, une cabine de réception, et l’homme le moins bien rémunéré de l’endroit, pareil à un esclave, restait là-dedans à laver les pieds de cet invité qui arrivait, et il lui donnait une autre paire de chaussures à se mettre, de petites sandales à enfiler. Ensuite, on l’oignait, et alors, avec de l’huile. Alors il pouvait entrer comme invité de son ami. En effet, il ne se serait pas senti à sa place s’il était entré recouvert de toute cette puanteur des—des routes, en sueur, et tout le reste. Et le larbin préposé au lavage des pieds était le moins bien rémunéré de tous les hommes qu’il y avait.

53 Et le Dieu du Ciel a pris sur Lui-même d’être… Le plus grand qu’il y avait est devenu le plus méprisable qu’il y avait.

54 Quelle différence avec ce que reflète le soi-disant Chrétien, aujourd’hui! Quelle différence! Eh bien, le soi-disant Chrétien, aujourd’hui, veut être servi. Oh, il commence à se prendre pour quelqu’un.

55 Quelle différence il y avait quand Il Le reflétait Lui. Il n’est jamais venu pour être servi. Mais Il… Il est venu pour servir. “Que le plus grand parmi vous soit le serviteur de tous.”

56 Et nous avons vu, aujourd’hui, que la tendance moderne de notre Christianisme, c’est “Moi, je suis quelqu’un, et toi, tu n’es rien.” Oh, c’est… C’est faux. Il ne devrait pas en être ainsi. Nous essayons de refléter le Christianisme de la mauvaise manière. Dieu ne veut pas que nous le fassions de cette manière-là. Il… Nous avons chanté le cantique Être comme Jésus, mais, quand il s’agit de rabattre notre fierté et de descendre comme Lui l’a fait, alors on trace une limite.

57 Et, ce faisant, l’homme a formé des dénominations, afin de pouvoir se séparer des autres, “ils n’ont pas l’air d’avoir l’Esprit,” comme le dit l’Écriture. Ils se séparent des autres. “Nous sommes membres de telle et telle église. C’est une—c’est une plus grande église. C’est une meilleure église. Notre dénomination est une plus grande dénomination.” Cela, ce n’est pas agir comme Jésus. Cela ne reflète pas Son amour et Sa personnalité.

58 Il est venu vers les gens les plus méprisables, vers la prostituée, vers le mendiant, vers le clochard, et Il est descendu directement dans la poussière avec eux. C’est ça la vie Chrétienne. C’est de cette manière que ça devrait être, afin de Le refléter de cette manière-là.

59 Oh, je sais que les gens disent : “Ces—Ces jours-là sont passés.” Non, ils ne le sont pas.

60 Si Christ reste toujours Christ, si Son Esprit est toujours le Saint-Esprit qui était en Lui, qu’Il est en vous, Il vous fera aussi prendre cette position.

61 Mais, aujourd’hui, nous essayons de croire que nous sommes différents. Comme c’est loin de Sa prière, quand Il a prié que “À ceci, tous connaîtront que nous sommes Ses disciples, quand nous avons de l’amour les uns pour les autres.”

62 Et au lieu de cela, nous nous disputons. Nous nous méprisons, parce que nous ne sommes pas d’accord sur certaines choses. Nous allons et—et nous nous accusons mutuellement, voyez, alors que… tout en prétendant que nous sommes Chrétiens. Je connais des gens qui prétendent être remplis du Saint-Esprit, qui sont coupables de telles choses, qui vont et—et qui disent vraiment des choses méchantes sur d’autres Chrétiens. Alors qu’ils ne devraient pas faire ces choses. Eh bien, mon frère, ma sœur, quand nous avons ce genre d’esprit, autant nous mettre en tête que nous ne sommes pas encore des Chrétiens. Peu importe combien nous confessons, ce qui compte, c’est ce que nous possédons. Voyez? Nous ne pouvons pas être des Chrétiens et ne pas aimer tout le monde. Il se peut que nous soyons en désaccord avec les gens.

63 Mais, Jésus ne s’est pas présenté en disant : “Eh bien, écoutez un peu, vous tous les Pharisiens, vous irez tous en enfer. Vous n’avez aucune chance, à cause de ceci, cela, ou autre chose, parce que vous êtes un Pharisien.” Mais Il est allé vers eux et les a servis, Il les a aidés. Il a fait tout ce qu’Il pouvait pour les aider.

64 Mais aujourd’hui, l’instruction et l’affiliation à une église, et les liens du monde ont pris tellement de place dans l’église, que l’intellect a pris la place du spirituel.

65 Vous ne pouvez atteindre Dieu que par l’Esprit. Il n’y a qu’une seule manière pour l’homme de parvenir à Dieu, et c’est par le Saint-Esprit. Jésus a dit : “Nul ne peut venir à moi si le Père ne l’attire premièrement.” C’est tout ce qu’il y a de plus vrai, Chrétien.

66 Ce soir, nous voulons relever ces choses dans notre cœur, et les prendre maintenant en considération. Pensons à cela.

67 Oh, certains d’entre nous prétendent avoir toute la connaissance. Nous avons ceux qui disent : “Eh, attendez!” Ils aiment être des “docteurs” et des “saints-pères”, et tout le reste. Mais en connaissant tout ceci, si vous avez toute la connaissance, vous n’en retirerez aucun bienfait, à moins que vous (soyez) ayez un Esprit en vous, d’amour. La Bible dit : “Quand j’aurais toute la connaissance, si je n’ai pas la charité, je ne suis rien.”

68 Et à quoi bon notre connaissance, quand quelqu’un dit : “Je ne veux pas aller à des réunions de réveil comme celles-là, parce que ces gens ne sont pas instruits. Je—je ne veux pas les fréquenter”?

69 Peu importe qu’ils connaissent leur alphabet ou pas, ils peuvent connaître Christ. Certainement, on ne peut jamais descendre trop bas. Puisse Dieu toujours garder cet Esprit en moi. Peu importe combien—combien bas, ce qu’il croit, ce qu’il ne croit pas, quel credo, couleur ou quoi, je veux lui tendre la main et l’aider. Assurément. Je veux cet Esprit en moi. Je ne veux pas penser que je suis meilleur que quelqu’un d’autre; je pourrais bomber le torse en disant : “Que tout le monde se lève quand j’entre”, ou : “C’est moi qui ai la plus grande campagne de tous ces gens-là.” Qui suis-je, de toute façon, sinon l’argile que Dieu a formée? Que je m’humilie, afin que Sa vie soit reflétée. Que nous tous, Chrétiens, nous nous sentions ainsi. La connaissance ne nous mène nulle part.

70 Par exemple, supposons qu’il y ait une cage remplie de canaris et que la cage soit aussi grande que ce tabernacle. Et voilà qu’un petit canari s’envole en haut dans la cage et dit : “Messieurs, je veux vous dire quelque chose à vous tous. Il se trouve que, voilà, je suis un peu supérieur à vous tous. Voyez-vous, je suis—je suis un canari qui sait tout des êtres humains. Oh, je peux tout expliquer. J’ai vu la dame marcher dans la maison. J’ai vu les enfants jouer. Je sais tout à ce sujet. Maintenant, écoutez-moi tous.”

71 Et, à peu près au moment où il est en train de se creuser la cervelle, un étudiant de l’Université de Princeton s’avance, en utilisant la grammaire la plus raffinée. Et il se met à converser avec ce petit canari, en utilisant la meilleure grammaire possible, et il parle à ce petit canari. Je peux m’imaginer ce petit oiseau pencher la tête de côté; il écoute tantôt d’une oreille, tantôt d’une autre, mais il ne sait absolument pas de quoi il parle. Pourtant, il l’entend. Pourtant, il le voit. Mais que lui rapporte sa connaissance au bout du compte? Rien. Parce qu’il ne sait pas de quoi l’homme parle. Pourquoi? Il a une cervelle de canari. Il n’a pas un cerveau humain. Il comprend seulement ce que comprennent les canaris.

72 Et c’est comme cela qu’est l’être humain. Peu m’importe combien vous êtes intellectuels. [Frère Branham donne cinq coups sur la chaire—N.D.É.] Nous avons toujours une cervelle de canari, parce que nous sommes seulement des êtres humains. On connaît Dieu par l’Esprit, et par la révélation du Saint-Esprit. Nous ne pourrons jamais Le comprendre par l’intellect. Vous pourriez faire des discours, et entrer pour avoir des réunions intellectuelles, et avoir toute la psychologie que vous voulez, les gens ne connaîtront jamais Dieu. Ils ne le peuvent pas.

73 On peut expliquer cela et dire que les gens qui pleurent et tendent l’autre joue sont un peu vieux jeu, mais cela, c’est l’homme qui reflète Christ dans sa vie. Un homme qui est humble, un homme qui marche avec Dieu, agira comme Jésus.

74 Mais, voyez-vous, le petit oiseau ne pouvait pas comprendre, pourtant il se croyait capable. C’est qu’il n’a pas été créé de cette façon-là. Ses facultés intellectuelles ne peuvent pas se comparer à celles de cet étudiant intelligent.

75 Et notre intelligence n’égalera jamais non plus celle de Dieu. Comment notre petite pensée infinie peut-elle une fois se comparer à la pensée limitée; ou plutôt, notre pensée limitée peut-elle une fois se comparer à la pensée infinie de Dieu? Cette pensée infinie de Dieu dépasse tellement l’intelligence humaine que celle-ci ne pourra jamais s’y comparer.

76 La seule façon pour cet oiseau de savoir de quoi l’homme parle, c’est en s’abandonnant et en acceptant ça, et en faisant tout ce qu’il pense que l’homme veut qu’il fasse.

77 C’est la seule façon pour nous de connaître Dieu, c’est en suivant la conduite du Saint-Esprit. Cela est vieux jeu. C’est le programme de Dieu. Cela a toujours été le programme de Dieu. Ce sera toujours le programme de Dieu. “Ce n’est ni par la puissance, ni par la force, mais c’est par Mon Esprit, dit le Seigneur.” C’est comme ça que ça vient.

78 Longfellow a dit une fois ceci : “Le moyen de réussir, c’est de trouver une cause valable dont on parle, une cause valable dont on parle et, ensuite, de s’y accrocher.” Certainement. Quelque chose dont on parle, qui est rejeté par—par la science et, si c’est valable, alors accrochez-vous-y.

79 Savez-vous qu’en 1872, l’Association médicale des États-Unis refusait les baignoires? Ils disaient : “Elles ne sont pas du tout hygiéniques.” Et ils disaient : “Elles vont propager des maladies.” Les baignoires; ils ont fini par y venir.

80 Et cet Évangile à l’ancienne mode dont nous parlons, lavé dans le Sang de l’Agneau! Il peut avoir l’air démodé, mais on va devoir Y venir, tôt ou tard. C’est une cause valable. Accrochez-vous-Y avec tout ce que vous avez. C’est un chemin lavé par le Sang qui nettoie un homme entièrement; non pas d’aller boire et fumer, puis se rassembler et s’appeler “Chrétiens”, parce qu’ils sont membres d’une église. C’est ce Saint-Esprit pur et sans mélange dans la vie humaine, qui reflète Jésus-Christ, le Fils de Dieu.

81 C’est pour ça qu’aujourd’hui les gens rejettent la nouvelle Naissance. Oh, ils ont ce qu’ils appellent la nouvelle Naissance, une manière de serrer la main au pasteur, mais cela n’est pas une Naissance. La raison pour laquelle ils… Ils ne veulent pas L’accepter. C’est pour ça qu’ils vont se joindre à des églises, c’est parce qu’ils peuvent y entrer de façon intellectuelle.

82 Dieu a dit : “Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut même pas voir le Royaume de Dieu.” Peu importe combien vous pouvez être intellectuel, ou combien vous prétendez être un bon Chrétien, vous devez naître de nouveau.

83 Vous dites : “Alors, Frère Branham, il faudra que je vienne dans une petite mission?” Ça ne veut pas dire cela. Ça veut dire que vous devez recevoir la nouvelle Naissance. Vous devez naître de nouveau.

84 Nous sommes un auditoire mélangé, mais je vais dire quelque chose. Qu’est-ce qu’une naissance? Qu’une naissance se produise sur une paillasse, ou qu’elle se produise par terre, ou dans un hôpital dont les chambres sont décorées avec de la soie rose, c’est un gâchis, quelle que soit la manière dont vous considérez ça. C’est exact.

85 Et il en est ainsi de la nouvelle Naissance. C’est un gâchis, quelle que soit la manière dont vous La considérez, mais Elle produit la Vie. Amen. Elle produit la Vie. Quel genre de Vie? La Vie d’un serviteur, pour vous humilier, pour renoncer à vous-même. C’est ça le genre de Vie. Oh, ils disent : “Mais je les ai vus pleurer et pleurnicher autour de l’autel, et se comporter bizarrement.” C’est sûr. Ils sont en train de naître. C’est un gâchis, peu m’importe où vous allez. Il se peut que vous vous leviez, le visage inondé de larmes, les yeux rouges et les mains abîmées d’avoir frappé l’autel, mais c’est une Naissance. Ça vous fait quelque chose. Ça fait de vous un serviteur. Ça ôte votre raideur. Ça fait une image, façonne une nouvelle Vie, une nouvelle création. Il se peut que vous soyez un gâchis complet en vous relevant de là, mais vous êtes né de nouveau. Peu importe où vous êtes, ça produit une nouvelle Vie. Cela apporte la Vie d’une nouvelle image. Ça fait de vous un serviteur. Dès lors, vous voulez servir. Jésus veut que nous nous servions les uns les autres, que nous nous aimions—aimions les uns les autres. Et en nous servant les uns les autres, nous Le servons Lui.

86 Maintenant, rappelez-vous, ce sont seulement les malades qui réclament de l’attention, d’être servis. Seulement les malades, qui réclament de l’attention. Et quand vous voyez un prédicateur… Et puis-je ne pas limiter ceci seulement à un prédicateur, mais puis-je le limiter à chaque membre d’église qui désire de l’attention, “Je suis quelqu’un”, souvenez-vous bien de ceci, il y a là une personne malade spirituellement. Ils ont besoin d’attention. Ils ont besoin de l’attention de l’Esprit de Dieu pour leur donner quelque chose qui les débarrasse de cette attitude et les guérisse de leur égoïsme et de leurs idées prétentieuses, et du “moi je suis grand, et toi tu es petit”. Le Saint-Esprit nous rend tous pareils.

87 Trop de maladie spirituelle, d’anémiques! Vous savez ce qu’est l’anémie? C’est quelqu’un qui n’a pas de sang. Ils marchent d’une drôle de façon. Ils sont sens dessus, sens dessus-dessous, tout le temps. C’est là le problème de beaucoup de nos membres d’église aujourd’hui. Ils sont anémiques. Ils ont besoin d’une transfusion de Sang du Calvaire, qui leur donnera un Sang royal riche, pour les faire marcher selon la manière de Dieu à l’ancienne mode, taillée par le Saint-Esprit. Cela leur donnera une raison de vivre, cela leur donnera une confiance qui les fera marcher à l’image de leur Seigneur.

88 Pour moi, si j’avais un choix à faire, je veux être comme Lui était. Il est venu pour être un berger, et Il était un berger. Un berger est quelqu’un qui va à la recherche de ses brebis.

89 Un célèbre tableau, je ne pense pas que nous l’ayons au mur ici, mais, dans ma chambre, je suis resté à le regarder. En ce moment, je n’arrive pas à me rappeler du nom de l’artiste. Mais quand il a perdu ce petit mouton noir, qu’il laisse les quatre-vingt-dix-neuf autres et part à sa recherche, que fait-il? Il va ici et là dans les endroits déserts. Il se coupe avec les ronces. Il surmonte les dangers. Il va d’un côté et de l’autre pendant toute la nuit. Jusqu’à ce que, finalement, tout en bas sur le flanc de la montagne, s’accrochant à un arbuste et au péril de sa propre vie, il parvienne à saisir le petit animal, le retirer de sa déchéance et alors le ramener vers lui.

90 Et un autre artiste a peint un tableau où il le ramenait au bercail. Eh bien, on pourrait penser que ce berger n’aurait qu’à placer son bras sous la brebis et qu’il cherche à la transporter comme cela. Mais avez-vous remarqué comment l’esprit s’est emparé du pinceau de l’artiste? Il ne l’a pas mise sous le bras. Il l’a mise sur les épaules. Maintenant, je veux que vous observiez la sollicitude de ce berger.

91 Eh bien, Jésus, quand Il chassait les démons, Il a dit qu’Il le faisait par le doigt de Dieu. Eh bien, si un démon vous dérange, tout ce qu’il faut, de la part de Dieu, il est—il est tellement—tellement insignifiant, c’est qu’Il le chasse par Son doigt.

Mais quand une brebis rentre au bercail…

92 Quel est l’endroit le plus fort chez l’homme? Sur ses épaules. Avez-vous remarqué que, chez l’homme, ses épaules sont toujours plus larges? À quel endroit peut-il transporter la charge la plus lourde? Sur ses épaules. Quel est l’endroit le plus sûr pour lui? Quand la charge est sur ses épaules.

93 Donc, il prend la brebis, la charge sur ses épaules et rentre gentiment avec elle. Toute la puissance de Dieu rassemblée là pour ramener ce petit animal perdu. Mais, un démon, c’est si facile, Il le chasse simplement par Son doigt. C’est un berger.

94 Un berger doit s’écarter du chemin pour trouver ceux qui se sont écartés. Et un bon pasteur est un berger. En fait, le—le mot pasteur signifie “berger”. Et parfois, dans l’église, une—une petite secte, ou un petit clan apparaît dans l’église; un groupe va d’un côté et l’autre de l’autre. Un vrai bon berger va aller avec ce clan, (pour faire quoi?) pour les ramener. Un vrai et authentique berger, qu’est-ce qu’il fait? Il s’écartera lui-même du chemin (pour faire quoi?) pour ramener les perdus. Qu’est-ce qu’il fait? Il reflète l’image du bon Berger, qui essaie de regagner cette âme. Pourtant, ils ont dévié, sont allés quelque part, frère, et agissent comme s’ils allaient révolutionner le monde du jour au lendemain. Ce pasteur va aller dans leur sens afin de les regagner et les ramener ici. Voilà un bon berger. Il reflète l’image de Jésus.

95 Frère, je sais qu’on appelle ça de l’hérésie. On appelle ça du fanatisme. Mais si j’avais un choix à faire ce soir, mon choix serait d’être comme Lui. Je le veux, plus que tout autre chose dans ma vie, refléter l’image du Seigneur Jésus dans ma vie.

96 Je m’en vais, après-demain soir, après ce mariage, je m’en vais dans un endroit sauvage. Et j’ai l’intention d’y rester, parce que, tout au fond de mon âme, je sens que j’ai besoin d’une marche intime avec Dieu, plus que celle que j’ai. Je ne veux pas simplement marcher. J’essaie de marcher correctement devant Lui, mais je—je veux avoir une marche plus intime avec Lui. Pendant que le Branham Tabernacle a un réveil, j’en veux un, moi-même. Je ne veux pas qu’il se produise seulement dans le bâtiment, je veux qu’il se produise en moi. Je veux une marche plus intime. Je veux plus du Saint-Esprit en moi, pour refléter Christ en moi. Je veux être comme Lui. Je sais que tout vrai—vrai Chrétien veut être comme Lui. C’est le désir de mon cœur, d’être comme Jésus. Il… Eh bien, je veux qu’Il soit mon… Je veux qu’Il soit le… Il est l’exemple de ce que je veux être.

97 Et, regardez, il faut le Saint-Esprit pour faire cela. C’est la seule chose qui puisse le faire. Je ne suis pas intéressé par les séminaires, ni par ce que quelqu’un a à me dire. Ça ne m’intéresse pas de baiser les crucifix, ou de les serrer contre mon cœur, ou d’adresser des prières aux morts. Je suis intéressé par une seule chose, et c’est plus du Saint-Esprit pour prendre le contrôle de William Branham. Je ne suis pas intéressé par le fait de me joindre à une église plus grande que celle dont je fais partie. Je fais partie de la vraie Église du Dieu vivant, celle des Premiers-Nés. J’Y suis né. Et je veux plus du Saint-Esprit dans ma vie afin de refléter Christ que j’aime. Peu m’importe sur quel plan ou à quel niveau je dois me placer pour l’obtenir. Peu m’importe si je dois aller ici ou aller là, être traité “de fanatique, d’exalté” ou quoi que ce soit. Je veux que plus de Sa Vie se reflète. Ce qui m’intéresse, ce n’est pas le plan sur lequel je dois me placer. Ce qui m’intéresse, c’est le Saint-Esprit, afin que je puisse être un serviteur plus comme Lui l’était. Il était le serviteur du Seigneur. Il n’est jamais venu pour être servi, ou pour être au service, Il n’est jamais venu pour qu’on soit à Son service. Mais pour être au service de, Il a pris la place d’un serviteur.

98 Et si le Roi du Ciel a pu faire cela, alors nous qui sommes les membres de Son Corps, soyons tous comme ça; ne soyons pas autrement, mais humilions-nous dans Sa Présence. Qu’importe ce que le monde a à dire, ou les intellectuels, n’en tenez pas compte. Recevez simplement plus du Saint-Esprit, et soyez comme Jésus. Humble, doux, modeste, prenez Sa place, et Il prendra la vôtre au Jugement.

Inclinons la tête un instant.

99 Pourrais-je voir, ce soir, un certain nombre de mains dans ce bâtiment, des membres de cette église et d’autres églises? Quand je dis cette église, je veux simplement dire… Il y a seulement une Église, c’est l’Église des Nés de nouveau, l’Église des Premiers-Nés, l’Église de Jésus-Christ, qui n’est pas née du monde, mais qui est née de l’Esprit de Dieu. Pourrais-je voir un tas de mains se lever pour dire : “Ô Dieu, rends-moi comme Jésus. Façonne-moi, ô Seigneur. Lave-moi, ô Dieu”? Que Dieu vous bénisse. “Lave-moi, et je serai plus blanc que la neige.”

100 “Seigneur, ma vie est parsemée de virages et de petits méandres. J’étais assis à écouter Frère Parnell et Frère—Frère Neville, et d’autres bons prédicateurs, Frère Collins et beaucoup de ces frères qui prêchent. J’ai écouté. Mais, Seigneur, ce soir, j’en arrive à cette conclusion. Que sont-ils en train de me dire? Qu’essaient-ils de me transmettre? Je vois qu’ils essaient de m’amener à être comme Jésus. Et il m’est impossible de le faire. Je—je suis un léopard. J’ai des taches, et, si je les lèche, je ne fais que les rendre plus claires. Elles ne font que devenir plus visibles au monde. Seigneur, laisse-moi perdre ma vie. Peu m’importe à quel genre de gâchis ça ressemble, pour le monde. Je veux naître de nouveau de l’Esprit de Dieu. Et je veux, Seigneur, que Tu me remplisses, ce soir, de Ton Saint-Esprit. Lave-moi. Sanctifie-moi. Prends le Sang de Jésus, sanctifie-moi, purifie-moi. Et remplis-moi jusqu’à ce que je perde ma vie et que je la retrouve, Seigneur, en Toi.”

101 Ô Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, Toi qui as ramené le Seigneur Jésus d’entre les morts, qui L’as ramené par l’Esprit vivifiant du Dieu Éternel, qui as fait monter ce corps dans lequel Tu avais habité, et l’as élevé jusqu’au Trône du Ciel.

102 Il est venu vers ce qu’il y avait de plus bas sur la terre, les prostituées, Il est devenu le serviteur le plus bas, Il est allé dans la ville la plus basse, a traité avec les gens les plus bas, Il a reçu le nom le plus bas et est devenu le plus pauvre parmi les pauvres. Même par rapport à la nature : “Les oiseaux ont des nids et les renards des tanières, mais le Fils de l’homme n’avait pas où reposer Sa tête.”

103 Et cependant, cet Esprit vivifiant qui a honoré ce véritable Serviteur qui S’est fait Lui-même serviteur, afin que nous puissions avoir un modèle à suivre, Il L’a fait monter des abîmes de l’enfer, L’a fait passer par le tombeau. Et Il a fait sortir ce corps et L’a fait asseoir dans les Cieux des cieux, de sorte qu’Il est élevé si haut qu’Il doit regarder en bas, pour voir les cieux. Et Il Lui a donné un Nom au-dessus de tout nom qui se peut nommer dans les cieux et sur la terre.

104 Seigneur, puissions-nous recevoir Son Esprit, ce soir. Puisse chaque cœur ici avoir faim de cela. Tu as vu les mains qui se sont levées, Seigneur, non pas pour réciter des credos, ou pour se joindre aux églises, ou—ou se disputer à propos de ceci et cela, mais pour que nous soyons humbles de cœur, pour que nous soyons rendus conformes à l’image de Dieu. Que ce soit accompli par le Saint-Esprit, Seigneur. Que le Saint-Esprit de Dieu nous forme. Non par une conception intellectuelle disant que “Nous devrions être cela, et nous allons faire semblant”, mais, ça, c’est le bébé adopté. Mais, Seigneur, que cela se produise réellement par le Saint-Esprit et une nouvelle Naissance qui nous transforme par le renouvellement du…de notre esprit, pour nous rendre comme Lui.

105 Écoute ma prière, Seigneur. Elle est faible. Je le sais, Seigneur, elle est faible. Je ne prie pas seulement pour ceux qui ont levé la main, mais aussi pour mes propres mains qui sont levées. Rends-moi comme Lui. Ô Dieu, peu importe ce que Tu dois me faire, sur quels plans je dois me placer, rends-moi comme Lui. Je veux être comme Jésus, dans mon cœur. Accorde-le, Seigneur. Et pas seulement moi, mais rends tous ces gens ici comme ça, ce soir. Accorde-le, Père, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

106 Être membre d’une église, c’est bien. Je n’ai rien contre ou aucune de ces choses. Mais, frère, être un Chrétien signifie être conforme à l’image de Christ. Nous voulons être des images vivantes; non pas porter une image, mais être une image du Seigneur Jésus.

107 Il y a un petit cantique que j’aimerais que vous m’aidiez à chanter, maintenant. Je ne sais pas, je ne peux pas le chanter, mais je suis sûr que vous le pouvez tous. Aidez-moi. Être comme Jésus. Combien l’ont déjà entendu? [L’assemblée dit : “Amen.”—N.D.É.] Je sais que nous voulons tous être ainsi. Alors chantons-le-Lui.

108 Je suis conscient que le glorieux Saint-Esprit est ici. Vous ne pourriez pas vous cacher. David a dit : “Si je me couche au séjour des morts, L’y voilà aussi.” Il va se trouver partout. Il est donc ici ce soir. Il connaît chaque mouvement, chaque action, tout ce que nous faisons, chaque regard, chaque pensée. Il connaît tout. Vous croyez cela, n’est-ce pas? [L’assemblée dit : “Amen.”—N.D.É.]

Alors, être comme Jésus, être comme Jésus,

Sur terre je languis d’être comme Lui;

Pendant tout mon voyage de la terre à la Gloire,

Je ne demande qu’à Lui ressembler.

109 Vous aimez ça, n’est-ce pas? [L’assemblée dit : “Amen.”—N.D.É.] Écoutez ceci maintenant.

De la crèche de Bethléhem sortit un Étranger,

Sur terre je languis d’être comme Lui;

Pendant tout mon voyage de la terre à la Gloire,

Je ne demande qu’à Lui ressembler.

110 Vous savez ce qui me revient à l’esprit en ce moment? Hier, j’ai repris le vieux registre de l’église. Ça fait…que je ne l’ai pas vu. Eh bien, franchement, c’est la première fois que je l’ai consulté. J’ai dû l’utiliser quand l’église venait d’être fondée. Il y avait là le nom de Frère Seward, et il y avait là Frère George DeArk et Frère Weber, tous ces noms étaient là. J’ai vu plus loin les petites classes de l’école du dimanche. J’ai vu le montant total de notre offrande, pour les cinq classes, c’était un dollar et soixante cents, pour ce tabernacle, avec des centaines de gens assis ici; un dollar et soixante cents. Voyez? Ensuite j’ai regardé le relevé pour aujourd’hui. Je me suis dit : “Qu’ils sont nombreux ceux qui s’en sont allés!” Maman, j’ai vu là Frère Frank Broy. C’est mon beau-père. J’ai vu tous ces vétérans, Madame Weber. Tous ces vétérans, ils ont tous gravi l’échelle, ils sont montés à l’Étage. Ils sont tous partis. Je me souviens quand nous nous tenions ici, et je me suis dit : “Seigneur Dieu, notre église a peut-être meilleure apparence, et nous envisageons d’en construire une, mais, Seigneur, nous aimes-Tu plus maintenant qu’en ce temps-là?” Non, je ne le crois pas.

111 Quand on se tenait debout et qu’on chantait : “Je ne demande qu’à Lui ressembler, pendant tout mon voyage.” Je peux voir ce brave George, son col ouvert comme cela, la sueur qui dégoulinait sur lui, en train d’enrouler son mouchoir entre ses doigts. Je peux voir les visages de ces chers, braves saints, là au fond, en train de pleurer, les mains levées.

112 Des prédicateurs sont entrés dans le bâtiment et ont dit : “Hé! jeune homme. Comment faites-vous pour amener les gens à être d’un même accord comme cela?”

113 J’ai dit : “Je n’ai rien à voir avec cela. Ils ont été formés et transformés à l’image de Dieu, là sur un vieux banc dans la sciure, là quelque part, c’est là que dans leur cœur ils ont rencontré Christ.”

114 Quel doux parfum, ces prières, quand elles montaient constamment, toute la nuit. Parfois on entrait et on allait les uns chez les autres, et on rentrait chez soi à l’aube; on priait toute la nuit. On ne trouve plus cette sincérité. On dirait que c’est complètement parti. Qu’est-ce qui ne va pas? Qu’est-ce qui se passe? Retournons au premier amour que nous avions.

Et juste être comme Jésus, être comme Jésus,

Sur terre je languis d’être comme Lui;

Pendant tout mon voyage de la terre à la Gloire,

Je ne demande qu’à Lui ressembler.

Le voulez-vous vraiment? Chantons-le, les mains levées.

Juste être comme Jésus, être comme Jé-…

115 Conforme à Son image!

Sur… (Aimez-vous les uns les autres.)…être comme…

Nous sommes membres de Son Corps. Nous devons être comme Lui.

Pendant tout mon voyage de la terre à la Gloire,

Je ne demande qu’à Lui ressembler.

116 Le pensez-vous vraiment? Dites : “Amen.” [L’assemblée dit : “Amen.”—N.D.É.] Eh bien, n’est-ce pas un esprit doux? Je préférerais avoir Ça plutôt que tout ce que je connais dans le monde. Je… Vous pouvez prendre tout le reste du monde et ses choses sophistiquées, tout votre intellectualisme, tous vos docteurs, rabbins, évêques, saints pères. Donnez-moi Jésus. C’est exact. Laissez-moi juste L’avoir Lui, à la manière d’autrefois. Je Le sens là tout au fond de mon cœur, et je fais attention à ma vie, et je vois que mon désir est de Le servir, en étant humble, doux et modeste. C’est ça qu’il nous faut, mes amis. C’est un ré-… C’est Jésus. C’est le Jésus de la Bible. Non pas un Jésus de l’intellect, mais un Jésus de l’âme. Il est ici, ce soir.

117 Combien sont malades et dans le besoin? Levez la main, qui ont besoin de Christ. Vous êtes malade et vous voulez que l’on prie pour vous? Levez la main, bien haut, afin que je puisse voir qui vous êtes.

118 Bien, combien ont un désir dans leur cœur de prier pour quelqu’un d’autre qui est malade? Faites voir vos mains en les levant. Très bien. Il y en a pas mal.

Combien croient que Jésus est toujours le même?

119 Nous n’avons pas distribué de cartes de prière. Je ne… Il n’y a pas de cartes de prière, n’est-ce pas? Je ne pense pas qu’ils étaient là.

120 Croyez-vous que Jésus, notre Sauveur, peut venir vers nous, ce soir? Et si nous chantons, et que je parle de refléter Son image, que ferait-Il s’Il se tenait ici? Pensez-vous qu’Il ferait comme Il a fait dans Jean 4, quand Il a vu la femme au puits et lui a dit ces choses, sachant ce qu’il y avait dans son cœur, Il lui a expliqué cela, et lui a dit ces choses? Et elle a su qu’Il était le Messie. Vous croyez cela? [L’assemblée dit : “Amen.”—N.D.É.] Vous croyez que ce même Jésus, qui—qui est un Souverain Sacrificateur… [Espace vide sur la bande—N.D.É.] …main de Dieu. Vous croyez, ce soir, que ce même Jésus qui un jour se promenait…

121 Et il n’y avait pas de ligne de prière, mais il y avait une petite femme qui avait une perte de sang. Elle s’est frayé un passage dans la foule jusqu’à ce qu’elle touche Son vêtement; elle est retournée s’asseoir. Et Jésus s’est retourné et a dit : “Qui M’a touché?” Vous croyez que Jésus est toujours le même Jésus aujourd’hui? Et son désir, dans son cœur! Voyez, elle a eu peur. Elle est retournée s’asseoir. Elle a attendu. Et Jésus a dit : “Qui M’a touché?”

122 Et le—le… Pierre, l’apôtre, L’a repris et a dit : “Seigneur, mais, tout le monde Te touche!”

123 Il a dit : “Oui, mais ça, c’était un toucher différent. Une vertu est sortie de Moi. Je—Je l’ai senti.” Et Il a promené Ses regards tout autour, à travers l’auditoire, jusqu’à ce qu’Il ait vu cette petite femme. Et Il lui a dit qu’elle avait une perte de sang et que sa foi l’avait guérie.

124 Est-ce cela, Jésus? [L’assemblée dit : “Amen.”—N.D.É.] Est-ce que… Pourrions-nous nous humilier ce soir, et être transformés par le renouvellement de notre esprit, par le Saint-Esprit, afin que nous puissions soumettre nos lèvres, nos yeux, et votre foi et ma foi, pour qu’Il puisse apparaître dans l’auditoire et agir en vous et agir en moi, pour accomplir Sa Parole, selon laquelle Il est un Souverain Sacrificateur de notre confession? Il est assis à la droite de Dieu pour intercéder sur la base de notre confession. Il est aussi un Souverain Sacrificateur qui peut être touché de la même manière que lorsqu’Il était ici sur terre par le sentiment de nos infirmités. Croyez-vous cela? [“Amen.”] Ce même Jésus.

125 Combien ici ont un besoin personnel ou pour quelqu’un d’autre, certains d’entre vous que je ne connais pas, quelqu’un où vous savez que je ne sais pas ces choses? Je le dirai comme cela. Je ne sais rien à votre sujet ou au sujet de votre requête. Mais vous croyez que Jésus est ici pour être Lui-même, pour Se rendre visible à nous, pour agir en nous de la même façon qu’Il l’a fait quand Il était en Jésus-Christ? Croyez-vous cela? Levez la main, quiconque parmi vous qui sait que je ne vous connais donc pas. Voyez? Je ne vous connais pas.

126 Eh bien, voyons. À qui pouvons-nous nous consacrer, premièrement? Maintenant, soyez respectueux. S’Il fait ceci, voulez-vous croire en Lui de tout votre cœur? [L’assemblée dit : “Amen.”—N.D.É.] Voyez? Je me sens… J’allais vous appeler ici pour vous imposer les mains. Je ne crois pas que je vais faire cela. Je crois que Jésus est ici.

127 Nous, non pas—non pas porter une image de Lui, mais être une image de Lui. C’est cela le Jésus que nous voulons. N’est-ce pas? Être une image! Très bien.

128 Maintenant, Seigneur Dieu, voici une grande déclaration. Mais c’est Toi, Seigneur, qui as fait la promesse. Maintenant, nous devons courir en avant. Maintenant, quelque chose doit être fait, quoique nous ne soyons même pas une dénomination. Nous ne sommes qu’un humble petit groupe de gens pauvres, dépassés, de sorte que beaucoup d’entre nous seraient mis à la porte des grandes églises intellectuelles. Si nous y allions, nous ne pourrions pas nous habiller comme eux. Et ensuite, autre chose, si nous nous levions, et que l’Esprit bénisse et que nous disions “Amen”, comme le disent les Écritures, nous serions immédiatement mis dehors. Et beaucoup ne seraient pas acceptés : certains à cause de leur couleur; certains à cause de leur credo; certains parce qu’ils T’aiment tellement. Et ils—ils ont reçu l’Esprit. Ils sont morts aux choses du monde et sont nés de nouveau. Mais ils ont reçu une nouvelle Vie, une Vie de serviteur.

129 Mais nous nous sommes rassemblés ici, Seigneur, sous ce petit toit que Tu nous as donné et que nous apprécions. Maintenant, Seigneur, que l’on sache que Tu es Christ, le même, et que ce grand Être dont nous parlons, Il est présent maintenant pour faire connaître cela et faire précisément ce qu’Il a fait quand Il était ici sur terre. Accorde-le, Père, afin qu’ils puissent voir et croire. Car je le demande au Nom de Jésus. Amen.

130 Croyez-vous que, ce que vous demandez, vous l’obtenez? Qu’est-ce que la foi? La foi est la vérité. La foi est quelque chose dont vous êtes absolument certain. La foi n’est pas quelque chose que vous supposez. La foi est quelque chose que vous savez, voyez, quelque chose qui descend dans votre âme.

131 Je désire que vous qui ne me connaissez pas, et que je ne connais pas, mais qui cependant avez une requête ou un désir, voudriez-vous encore lever la main. Je voudrais juste me faire une—une idée générale, chaque personne ici que je ne connais pas. Très bien. Il y en a vraiment partout. Je n’aime pas m’adresser à des gens que je connais, parce que certains pourraient dire : “Il les connaît.” Mais il y a beaucoup de mains qui se sont levées que je ne connaissais pas. Eh bien, si le Seigneur Jésus accorde ceci, tous les autres, croirez-vous de tout votre cœur et accepterez-vous votre guérison et quoi que ce soit d’autre? [L’assemblée dit : “Amen.”—N.D.É.]

132 S’il vous plaît, prions—prions simplement dans notre cœur : “Jésus, ôte tout doute.” Eh bien, Jésus ne peut douter. Si nous sommes à Son image, nous croyons. Il croyait Dieu. Il est venu faire la volonté de Dieu. Il ne se souciait pas de ce que l’homme disait, ou de ce que n’importe qui d’autre disait. Il est venu faire une chose, être un serviteur de Son Père. Et Son Père a habité en Lui. Nous venons pour être le serviteur de Dieu. Le Saint-Esprit habite en nous. Nous voulons Le servir.

133 Je vais me concentrer sur une femme, une—une femme de couleur, assise juste là derrière. Je crois qu’elle a levé la main, indiquant que je ne la connaissais pas. Étant donné que—que… Bon, il y en a deux là. Très bien. Aucune de vous, mesdames, ne me connaît, et moi non plus je ne vous connais pas? Si c’est vrai, levez la main, comme quoi je ne vous connais pas. Levez la main. Très bien. Très bien. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Dans l’Écriture, il est parlé… La raison pour laquelle je l’ai remarqué, c’est que vous êtes…vous étiez des personnes de couleur. Voyez?

134 Il y avait une fois une femme, dans la Bible, au chapitre 4 de Jean. Jésus est passé près du puits, et il y avait une femme samaritaine. C’était une—une femme d’une autre race. Et Jésus lui a parlé, juste quelques instants, jusqu’à ce qu’Il découvre ce qu’était son problème, et Il lui a dit ce qu’était son problème. Et quand Il lui a dit son problème, elle a dit : “Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Or, nous savons que, quand le Messie viendra, Il nous dira ces choses.” Mais les gens ne comprenaient pas qui Il était. “Eh bien,” elle Lui a dit, “Qui es-Tu?”

Et Jésus a dit : “Je Le suis, moi qui te parle.”

135 Elle est retournée dans la ville, d’où elle était venue, et a dit : “Venez voir un Homme qui m’a dit les choses que j’ai faites, qui m’a dit ce qui n’allait pas. Ne serait-ce point le Messie Lui-même?”

136 Mesdames, avez-vous déjà lu cela? Certainement. Jean, chapitre 4. Eh bien, si… Jésus est le même hier, aujourd’hui et pour toujours. Et vous êtes debout à vingt mètres de moi, ou assises, plutôt. Croyez-vous que ce même Jésus, qui nous parle, peut me révéler ce que vous voulez, depuis ici? Si je vous ai dit la Vérité, cette Bible étant vraie, Il peut le faire. N’est-ce pas? S’Il le fait, vous le croirez?

137 La femme au bout, qui me regarde, comme ceci, elle souffre d’un mal de dos dont elle veut être guérie. C’est tout à fait vrai. Si c’est vrai, levez la main, la dame au bout. Voilà.

138 Eh bien, et vous, Madame. Croyez-vous aussi? Je crois que vous avez dit que vous m’étiez inconnue, aussi, à côté d’elle. Vous avez des problèmes avec votre tête. Et vous avez aussi un problème de peau. Si c’est vrai, levez la main.

139 Maintenant, retournez chez vous. Soyez guéries toutes les deux. Votre foi vous a guéries.

140 Croyez-vous que Jésus est ici, ce soir? [L’assemblée dit : “Amen.”—N.D.É.] Qu’en est-il de certains d’entre vous, dans le reste du bâtiment? Ailleurs, croyez.

141 Voici une femme assise ici, en train de prier. C’est une combattante, je la connais, mais, je n’y peux rien, si cette Lumière est suspendue au-dessus d’elle. C’est Mademoiselle Bruce. Eh bien, Mademoiselle Bruce, j’ignore totalement ce qui ne va pas chez vous. Vous avez déjà été guérie d’un cancer. Mais juste là, à cette porte, la première fois que je vous ai dit, vue debout à cette porte, le Saint-Esprit m’a dit quelque chose que personne d’autre ne sait à part vous et le médecin. C’est vrai. N’est-ce pas? Croyez-vous qu’Il peut me dire ce qui ne va pas maintenant? Je vous connais, mais je—je ne sais pas quel est votre problème. Je n’ai aucune idée. Parce que, vous avez été guérie du cancer. Mais je n’y peux rien s’il y a cette Lumière suspendue au-dessus de vous. Voyez? Elle reste là.

142 Maintenant, je vois quelqu’un d’autre se lever. Ce n’est pas pour vous. C’est pour quelqu’un qui a le cancer. C’est tout à fait vrai. Et puis je vois une femme, ou quelque chose. C’est une pécheresse, ou quelque chose de ce genre, elle a l’habitude de boire, ou quelque chose. Et vous portez deux mouchoirs sur vous, afin que je pose les mains dessus pour leur—pour leur délivrance. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est tout à fait vrai. Maintenant, à vous de juger. Est-ce vrai? Si c’est vrai, levez la main.

143 Quelqu’un, par ici, que je ne connais pas, levez la main, quelqu’un que je ne connais pas. Ici, il y a… Qu’est-ce que c’est? Levez encore la main, juste là au coin. Il y a quatre ou cinq femmes assises là. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Croyez-vous que ce que vous voyez là opère par l’Esprit de Dieu? Oui? Si vous pouvez croire.

144 La femme qui est assise, qui me regarde, avec un petit chapeau, des lunettes, des boucles d’oreilles blanches. Oui. Ce n’est pas pour vous-même. C’est pour quelqu’un d’autre, et ils sont dans un état grave. Il s’agit d’une hémorragie interne. Ils sont dans un hôpital. Cet hôpital est à New Albany. C’est la vérité. AINSI DIT LE SAINT-ESPRIT.

145 La jeune femme, avez-vous levé la main? La femme, de ce côté-ci, qui me regarde comme ceci, me croyez-vous? Vous avez un désir sur votre cœur. Vous croyez que Dieu peut me le révéler? Très bien. Vous êtes aussi en train de prier pour quelqu’un d’autre. C’est quelqu’un dont les yeux sont atteints de cataracte. On craint qu’ils ne deviennent aveugles. C’est vrai. Maintenant, si vous croyez pour elle, elle ne deviendra pas aveugle, si vous le croyez.

146 La femme tout droit derrière, là au bout, derrière la femme qui a levé la main. Vous souffrez de nervosité. C’est vrai. Votre nervosité est dans la gorge. C’est exact. N’est-ce pas? Alors, levez la main si ces choses sont ainsi. Vous les femmes là à qui je parle. Très bien.

147 Qui était la femme suivante là-bas? Est-ce vous qui avez aussi levé la main, sœur, là-bas? Levez la main, vous qui êtes âgée… Très bien. Vous avez du rhumatisme et vous voulez que l’on prie pour cela. C’est vrai. N’est-ce pas? Levez la main. Vous croyez?

148 Quelqu’un—quelqu’un au fond de l’église, croyez, ayez la foi.

149 Je vois une femme qui regarde directement vers moi, elle regarde entre deux femmes, juste ici. Elle a le doigt sur la bouche. Elle doit subir une opération de l’appendicite. C’est tout à fait vrai. Si c’est vrai, levez la main, Madame. La voilà.

150 Croyez-vous? [L’assemblée dit : “Amen.”—N.D.É.] Qu’est-ce que c’est? C’est Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Croyez-vous de tout votre cœur? [“Amen.”]

Bon, un instant, sœur.

Être comme Jésus, être comme Jésus,

Sur terre, je languis d’être comme Lui;

Pendant tout mon voyage de la terre à la Gloire

Je ne demande qu’à Lui ressembler.

151 Eh bien, vous voyez l’absence de vitalité de l’église d’aujourd’hui. Que serait-il arrivé à l’époque du Seigneur Jésus, quand cela s’est produit? Cette femme tellement réjouie qu’elle a laissé tomber sa cruche et qu’elle est partie dans la ville. Elle a dit : “Le Messie est ici!” Mais, aujourd’hui, oui, vous n’avez pas passé par un assez grand gâchis à l’autel, pour recevoir alors une nouvelle Naissance. Il y a quelque chose qui cloche quelque part. Cela enverrait le Saint-Esprit dans ce lieu, cela entraînerait un réveil, le reflet de Jésus-Christ, Son image elle-même ici, se déplaçant parmi les gens, afin de produire cela. Qu’est-ce qui se passe? Il y a quelque chose qui manque. Nous avons besoin d’un réveil.

152 Combien encore sont malades? Levez la main, vous qui êtes malades et qui avez des besoins.

153 Imposez-vous les mains les uns aux autres. Prions. Rapidement là, posez vos mains les uns sur les autres, soyez prêts à recevoir votre guérison. Si vous croyez de tout votre cœur, vous pouvez être guéris immédiatement.

154 J’étais stupéfait. Nous étions en train de parler d’une femme, d’une naissance. À ma connaissance, de ma vie, je n’ai encore jamais eu de femme qui s’est avancée sur l’estrade, désirant un bébé… Que se passe-t-il? Si je peux la voir, et voir cela arriver, qu’elle a un ardent désir pour la chose juste, je lui dis : “Madame, vous désirez un bébé.”

Elle : “Oui, Frère Branham.”

155 Je connais une femme de quarante-neuf ans, qui a un petit garçon maintenant. Elle a vécu toute sa vie avec cet homme, depuis, eh bien, depuis qu’elle a environ seize ans. Elle en a quarante-neuf et lui dans les cinquante. Aussitôt qu’il a été dit : “AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai, vous aurez ce bébé,” elle est rentrée chez elle et a acheté les vêtements pour le bébé. Trois ans plus tard, alors qu’elle avait cinquante-deux ans, elle a mis au monde ce petit garçon qu’elle désirait tellement avoir. Pourquoi? Quand elle a entendu prononcer cela, elle a su que cela devait arriver. Qu’est-ce que cela a fait? Cela l’a placée dans l’attitude juste. Si ces… Le Saint-Esprit est si bon de venir dire ces choses aux gens. Si cela… Si vous adoptez l’attitude juste maintenant, la guérison est accomplie.

156 Ô Seigneur, Tu es Dieu, et Tu es Dieu aux siècles des siècles. Et nous sommes—nous sommes si heureux de savoir que Tu as promis que Tu aurais un reste quand Tu viendrais sur la terre. Sans tenir compte de ce qui va et vient, il y aura des gens qui seront prêts. Nous savons qu’il y a une dîme que l’homme donne à Dieu. Et il y a une dîme parmi les gens. Peut-être, disons peut-être qu’un dixième de toute la moisson du monde à travers les âges sera ces Élus qui ont été appelés.

157 Ô Père, nous prions, alors que nous travaillons ici, nous tous ensemble, que nous cherchons dans la ville, que nous essayons d’amener les pécheurs, que nous essayons de faire quelque chose pour le Royaume de Dieu. Nous allons en ville, nous remarquons l’indifférence. Nous le voyons. Et comme Lot, à Sodome, cela afflige tous les jours nos âmes, de voir les femmes qui fument des cigarettes et—et qui prétendent être des Chrétiennes, et qui boivent et font la fête, et qui portent des vêtements immoraux. Et—et les hommes qui convoitent. Et, oh, le péché de Sodome! Nos cœurs sont attristés au-dedans de nous, Seigneur.

158 Oh, pas étonnant que la foi arrive à son niveau le plus bas, quand les gens sont comme ça, qu’il leur manque le Sang de Jésus. Il sanctifierait leur âme et les enflammerait pour Dieu, pourtant, ils ne veulent pas Le recevoir. Et les petites missions au coin de la rue, où on bat du tambourin et du tambour, — eux sont dans leur coin et se moquent de nous, — font entrer les saints du Dieu vivant.

159 Oh, combien nous Te remercions, Père, pour un certain plan, quelque part, où on prêche l’Évangile, pour chercher à atteindre les gens. Accorde-le, Seigneur, en ce moment, alors que nous prions et savons que Ton glorieux Saint-Esprit et les Anges sont—sont à leur poste ici dans cette église.

160 Les gens, ici, ce soir, sont malades. Il y en a beaucoup. Tu as montré Toi-même que Tu étais ici, Seigneur, à travers Tes serviteurs. Beaucoup d’entre eux là-bas cherchaient à saisir quelque chose, ils appelaient à l’aide, voulaient se l’approprier. Et, Seigneur, Tu sais que—que Tu es le Seul à pouvoir permettre que ça se fasse. Tu es Dieu, et le seul Dieu, et Tu le fais précisément dans le but pour lequel Tu as promis de le faire. Et c’est le dernier signe à l’église, comme Tu en as parlé. C’est maintenant le temps de la fin.

161 Alors, Tu as posé cette question : “Trouverai-Je la foi quand Je viendrai sur la terre?” Tu n’as jamais demandé : “Trouverai-Je des membres d’église? Trouverai-Je des credos? Trouverai-Je la sincérité?” Tu as dit : “Trouverai-Je la foi quand Je viendrai sur la terre?”

162 Seigneur, que ces gens malades laissent libre cours à leur foi, qu’ils s’éloignent de l’agitation, des doutes et des craintes. Que leur foi soit libérée maintenant même. Et s’ils libèrent leur foi, la maladie devra lâcher, le diable lâchera prise, et ils seront libérés par la Puissance du Dieu Tout-Puissant. Que le Saint-Esprit coule à flots dans chaque cœur, baptise chaque âme et guérisse chaque corps qui est dans la Divine Présence. Accorde-le, Seigneur.

163 Car je demande ceci, c’est que le diable quitte chaque personne qu’il tourmente ici ce soir. Au Nom de Jésus-Christ, Satan, retire-toi de ces gens. En tant que serviteur de Dieu, j’implore en leur faveur, je demande la miséricorde pour eux. Amen.

164 Combien croient maintenant, de tout votre cœur, avec tout ce qui est en vous, que Jésus-Christ Se reflète aujourd’hui sur la terre parmi Son peuple? L’aimez-vous? [L’assemblée dit : “Amen.”—N.D.É.]

165 Alors, chantons ensemble ce vieux cantique Je L’aime. “Je L’aime, parce qu’Il m’a aimé le premier.” Tous ensemble, alors que nous nous levons maintenant. Tout le monde maintenant, tous ensemble. Combien le connaissent? Levez les mains. Je L’aime. Adorons-Le maintenant.

166 Tous les malades, tous les affligés, levez-vous maintenant, recevez votre guérison. Je crois, et, de tout mon cœur. Il vous suffit de laisser votre foi décoller à l’instant! Le Christ de Dieu, Qui est présent, Il doit… Qu’est-Il en train de faire? Il fait de nous Son image. Voyez? Son Esprit, ici, Se reflète directement en vous.

167 Maintenant, vous savez que ce n’est pas moi. Je ne connais pas ces gens, qui qu’ils soient, qui ont levé la main. Ils ont levé la main pour dire qu’ils ne me connaissaient pas. Et j’ai levé la main pour dire que je ne les connaissais pas. Mais Dieu les connaît. Qu’est-ce que c’est?

168 C’est Christ qui Se reflète. C’est votre foi qui croit cela. C’est ma foi dans un ministère, qu’Il m’a confirmé par un Ange; vous En voyez la photo, qui est exposée dans la salle des arts religieux, et Elle est partout dans le monde, Elle est connue, la Colonne de Feu qui a conduit les enfants d’Israël.

169 Lorsqu’Elle a été faite chair, Elle était sous une forme appelée le Fils de Dieu. Il a dit : “Je viens de Dieu et Je suis allé vers Dieu, Je retourne à Dieu.”

170 Après Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection, Paul L’a rencontré sur le chemin de Damas, sous la forme d’une Colonne de Feu, d’une Lumière qui l’a aveuglé. Paul a dit : “Qui es-Tu, Seigneur?”

171 Il a dit : “Je suis Jésus. Il te serait dur de regimber contre les aiguillons.”

172 Jésus a dit : “Encore un peu de temps, et le monde”, le cosmos, l’ordre du monde, les membres d’église, et ainsi de suite, “ne Me verront plus, mais vous, vous Me verrez, car Je,” un pronom personnel, “Je, le même Jésus, serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde. Et vous ferez, vous aussi, les œuvres que Je fais. Vous en ferez davantage, car Je m’en vais à Mon Père.” Amen. Oh! la la!

Je L’aime, je L’aime

Parce qu’Il m’a aimé le premier

Et a acquis mon salut

Sur le bois du Calvaire.

173 Oh, pendant que nous rechantons cela, je veux que les méthodistes, les baptistes, les pentecôtistes, les nazaréens, les pèlerins de la sainteté, l’église de Dieu, tous, vous tous ensemble, je veux que vous serriez la main à quelqu’un devant vous, derrière vous, à côté de vous, pendant que nous chantons maintenant. Tous ensemble.

Je…

Que Dieu te bénisse, frère, pasteur.

…L’aime,

Parce qu’Il m’a aimé le premier

Et a acquis mon salut

Sur le bois du Calvaire.

174 Eh bien, ceci est l’ordre d’enchaînement de la résurrection : “Nous les vivants qui serons restés, nous ne devancerons pas ceux qui sont morts, car la trompette de Dieu sonnera et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Nous les vivants qui seront restés, nous serons enlevés ensemble avec eux, nous nous rencontrerons entre nous avant de Le rencontrer Lui. Nous nous rencontrerons entre nous avant de Le rencontrer Lui, nous serons enlevés ensemble avec Lui, avec eux, à la rencontre du Seigneur dans les airs, tous ensemble.”

175 Maintenant que nous nous sommes rencontrés, que nous nous sommes serré la main, maintenant, saluons-Le.

Je L’aime, je L’aime

Parce qu’Il m’a aimé le premier

Et a acquis mon salut

Sur le bois du Calvaire.

Plus lentement.

176 Une jeune femme est sortie directement de la ligne, elle s’est avancée et s’est agenouillée à l’autel, en sanglotant et pleurant. Y en aurait-t-il d’autres ici qui ont cette même conviction et voudraient s’agenouiller avec elle? Nous serions heureux que vous vous avanciez ici pour prendre votre place. Que Dieu vous bénisse, frère. Quelqu’un d’autre voudrait-il s’avancer? C’est bien.

Je… (Façonne-moi, Seigneur, forme-moi.) Je…

Allez à la maison du Potier. Quelqu’un d’autre voudrait-il s’avancer et prendre sa place?

Parce qu’Il m’a aimé le premier

Et a acquis mon salut

Sur le bois du Calvaire.

Oh, n’est-Il pas merveilleux? [L’assemblée dit : “Amen.”—N.D.É.]

177 Seigneur béni, cette jeune femme, Tu la connais. Moi pas. Mais il y a une chose étrange qui l’a frappée il y a quelques instants, qui l’a fait sortir de cet auditoire sans qu’on doive la persuader. C’était Toi, Seigneur. Elle s’est agenouillée ici à l’autel, alors que des bien-aimés près d’elle l’entourent de leurs bras. Ils réclament pour elle la miséricorde, des conseils, et la force spirituelle. Qu’il en soit ainsi, Seigneur. Il est écrit, maintenant qu’il en soit ainsi, que : “Tu ne refuses aucun bien à ceux qui marchent dans l’intégrité devant Toi. Tes promesses sont oui et amen pour tous ceux qui voudront T’aimer et Te suivre.”

178 Que la jeune femme sache, avec certitude, ce soir, que tout ce qui est dans les Cieux et qui est promis dans la Parole de Dieu, Dieu est plus que disposé à le déverser directement dans son cœur à l’instant même. Qu’il lui soit donné une portion pleinement satisfaisante, pendant qu’elle est agenouillée prostrée à l’autel. Que le Saint-Esprit lui donne ces choses que son cœur désire. Accorde-le, Seigneur, car nous demandons cela au Nom de Jésus.

… qu’Il m’a aimé le premier

Et a acquis mon salut

Sur…

[Frère Branham parle à quelqu’un—N.D.É.]

179 Dieu bien-aimé, puisse le désir de cette femme lui être accordé pour son bien-aimé qu’elle aime si profondément. Puisse le glorieux Saint-Esprit accomplir l’œuvre que Lui seul peut faire en ce moment. Nous remettons tout entre Tes mains; nous prions… Ta bonté vaut mieux que la vie. David l’a dit. “Car, pour moi, Ta bonté vaut mieux que la vie, mes lèvres célèbrent Tes louanges.” Accorde-lui le désir de son cœur, Seigneur.

180 Alors que cette église, et moi, Ton serviteur, nous allons… et les autres serviteurs qui sont dans le bâtiment, nous demandons sincèrement l’exaucement de sa requête. Au Nom de Jésus-Christ. Amen.

Nous le réclamons, sœur. Que Dieu vous bénisse.

181 Bon, pendant que ces personnes se consacrent, — se—se concentrent,— au Seigneur, pendant que Son Esprit agit dans le bâtiment, j’aimerais que nous restions tranquilles un instant. Le pasteur s’occupe de ceux qui sont à l’autel. Restons maintenant en prière un moment. Il avance. Alors chantons maintenant. Il est en train de parler à chacun.

182 Inclinons la tête, pour que nous soyons en prière. [Frère Branham commence à fredonner Je L’aime—N.D.É.]

Et a acquis mon salut

Sur le bois du Calvaire.

Je L’aime, je L’aime,

Parce qu’Il m’a aimé le premier

Et a acquis mon salut

Sur le bois du Calvaire.

Je peux, je veux, oh! oui, je crois;

Je peux, je veux, oh! oui, je crois;

Je peux, je veux, oh! oui, je crois

Que Jésus me sauve maintenant.

Je peux, je veux, oh! oui, je crois;

Je peux, je veux, oh! oui, je crois;

Je peux, je veux, oh! oui, je crois

Que Jésus me sauve maintenant.

Je Le prendrai au mot;

Je Le prendrai au mot;

Il m’offre gratuitement le salut

Et je Le prendrai au mot.

Je peux, je veux, oh! oui, je crois…

183 Regarde ici, jeune homme. Tu veux une marche en profondeur avec Dieu? Tu crois qu’Il voudrait te l’accorder. [Le frère dit : “Oui.”—N.D.É.] Si tu crois de tout ton cœur, tu peux l’avoir. Tu vois? Tu le crois? [“Oui monsieur. Je le crois.”] Tu l’acceptes? [“Oui monsieur.”]

… crois que Jésus me sauve maintenant.

184 Vous tous qui L’aimez, levez la main. Dites : “Je L’aime avec tout—tout ce qui est en moi.” N’est-Il pas merveilleux? Pendant que nous avons la tête inclinée pour la prière finale… Souvenez-vous de la réunion, demain soir. Je vais vous demander, est-ce…

185 Si vous le voulez bien maintenant, le plus vite possible, chacun de vous qui avez levé la main pour le salut, pour une marche plus intime, croyez que vous l’avez. Si vous ne pouvez pas le sentir, prenez l’enfant adopté. Voyez? Continuez à dire que vous l’avez jusqu’à ce que cela devienne une réalité.

186 Vous qui avez accepté la guérison et qui ne sentez aucune différence; vous dites : “Ma—ma foi n’est pas suffisante pour l’ôter immédiatement, Frère Branham.”

187 Prenez la méthode de l’enfant adopté. Continuez simplement à dire : “Seigneur, je suis guéri. Je le crois.” Ça viendra. Ça vous mettra dans l’humeur qui convient, vous voyez, et alors votre foi sera comme il faut. Elle s’en emparera. Vous le croyez de tout votre cœur, c’est tout.

188 Bon, demain soir, les réunions commenceront à dix-neuf heures trente, à l’heure habituelle, demain soir, et chaque soir de cette semaine. Venez écouter Frère Neville et ces autres ministres, et nous tous, ensemble, qui essayons d’amener un réveil. Dieu vous bénisse. Nous ne pouvons pas l’amener. Il vous faut—il vous faut l’amener avec nous, en priant, en venant, en faisant acte de présence ici. Que Dieu soit avec vous.

189 Maintenant, j’aimerais, dès que la réunion est terminée, aussi rapidement que possible, que vous sortiez du bâtiment. Nous devons répéter ici pendant à peu près une demi-heure. Et quelques hommes travaillent. Nous allons incliner la tête.

190 Je crois avoir entendu Frère Junie Jackson là dans l’auditoire. Frère Junior, es-tu ici, ce soir? Le frère de New Albany, de l’église Méthodiste. Très bien. Frère Jackson, veux-tu terminer la réunion par un mot de prière?

[Frère Junior Jackson commence à prier. Espace non enregistré sur la bande—N.D.É.]

191 Vous qui devez participer au mariage, approchez-vous maintenant, rapidement. Que le Seigneur vous bénisse. À demain soir.

Ô toi, enfant de tristesse;

Il va te procurer la joie.

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