La Stature D'un Homme Parfait

Date: 62-1014M | La durée est de: 2 heures 55 minutes | La traduction: MS
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1     Merci, frère Neville. Que le Seigneur te bénisse! C'est agréable d'être de retour au Tabernacle ce matin. Un grand bonjour à vous tous. Et j'ai confiance que ce sera un grand jour pour nous tous dans la présence de notre Seigneur. Et maintenant, j'ai une leçon ce matin; et je veux entrer directement dans cette leçon, parce que c'est... je pense que c'est important, et afin d'empêcher le monde d'être contrarié, vous savez, en devant rester longtemps, et beaucoup sont debout. Je vais donc entrer directement dans la leçon.

2     Et maintenant, ce soir je veux parler sur le sujet: Le Guide de ma vie. Et j'espère que beaucoup pourront... que beaucoup, qui le peuvent, seront présents ce soir à ce moment-là. Cependant, si vous avez votre propre église, nous sommes... bien sûr, nous voulons que vous soyez à votre église. C'est votre devoir d'être à votre poste, pour que votre lumière brille.

3     Maintenant, nous continuons à espérer que, chaque fois que vous revenez, nous aurons un peu plus de place par ici. Mais nous avons quelques difficultés à ce sujet. Oh, partout... ce conseil d'administration a certainement tout essayé. Ils envoient cela quelque part, et ils l'approuveront; puis ils l'envoient ailleurs, et là ils mettront leur veto; et ils le renverront, et ils l'accepteront ici, et ça reviendra, et... oh, quel... quel temps nous avons eu. Mais, vous savez, Satan combat toujours ce qui est juste. Rappelez-vous, vous avez toujours raison de...

4     Je me demandais où tu te trouvais, Anthony (je n'ai pas vu... j'ai rencontré ton père), et j'ai regardé là, vers l'auditoire; il m'a dit que tu étais assis là. Nous sommes heureux de t'avoir, toi et ton père, ici avec nous. C'est frère Milano de New York. J'espère, quand je partirai outre-mer cette fois-ci, que je pourrai faire un autre grand saut depuis New York, par là quelque part, si le Seigneur le veut.

5     Nous sommes donc très heureux pour chacun de vous. C'est bien, très bien, que vous soyez ici. Et nous avons eu un temps formidable hier soir; en tout cas moi! J'avais... Ésaïe dans le temple.

6     Et ce matin, nous voulons parler sur le sujet, ou plutôt enseigner, si nous le pouvons: Construire le Tabernacle vivant... Construire le Tabernacle vivant, du lieu d'habitation du Dieu vivant: L'homme parfait – le Tabernacle vivant du Dieu vivant, là où Il habite.

7     J'ai compris qu'ils avaient ici de bons chants, et je n'ai pas l'occasion de les entendre. Et, ce soir, je vais essayer de venir ici. Ma femme m'a parlé d'un frère Ungren (je crois que c'est ainsi qu'il s'appelle) qui vient du Tennessee. Il était ici hier soir. Je ne le vois pas ce matin, mais je suppose qu'il est ici quelque part. Et j'aimerais l'entendre chanter ce soir, si c'est possible, soit Il est descendu de Sa Gloire ou Comme Tu es grand! J'aimerais entendre cela. Combien aimeraient entendre chanter frère Ungren? Oh, j'aime quand c'est bien chanté. Et Meda m'a dit qu'il avait un peu une voix de baryton, et cela me rappelle notre frère Baxter. C'est aussi un chanteur, comme nous le savons tous. Donc: Il est descendu de Sa Gloire ou Comme Tu es grand! Je crois l'avoir localisé maintenant... Seriez-vous d'accord pour ce soir, frère Ungren? Si vous restez jusque là. Allez-vous essayer de rester pour le service de ce soir? Eh bien, laissez-moi vous dire: Qu'en est-il de ce... Je ne veux pas causer de dérangement à quiconque, mais qu'en serait-il si nous le faisions pendant le temps où nous prêcherons sur les Sept Sceaux? Si vous venez, j'aimerais enregistrer cela, voyez-vous, pour l'avoir: Comme Tu es grand!, et aussi Il est descendu de Sa Gloire, à ce moment-là.

8     Oh, n'est-ce pas merveilleux de servir le Seigneur? Je ne sais pas ce que je ferais si je n'étais pas Chrétien. C'est si bon d'être Chrétien; j'ai envie de sauter et de crier de toutes mes forces. Être Chrétien – pensez-y. Ancré entièrement en Christ.

9     Je sais que je mentionne mal le nom de cet homme chaque fois; c'est soit S.T. ou T.S. (ou quelque chose comme cela) Sumner – frère Sumner. Je veux le remercier, lui et sa précieuse petite épouse. Je pense qu'elle a passé environ... je crois, environ six mois, pour taper à la machine ces Sept Âges de l'Église, et maintenant nous avons cela entièrement tapé, prêt pour la vérification, et le mettre sous forme de livre – les Sept Âges de l'Église. Sœur Sumner, où que vous soyez, certainement que vous nous laisserez vous payer pour cela. Cela a nécessité beaucoup de travail. Oh! c'est épais comme ça! Il me faudrait environ six mois pour le lire d'un bout à l'autre, sans parler de le transcrire depuis les bandes, et ensuite d'en retirer les répétitions et en faire un livre. Nous allons préparer cela et l'envoyer immédiatement à l'impression, car nous pensons que c'est quelque chose que les gens devraient posséder maintenant, et que vous puissiez l'étudier. Et Billy m'a montré, alors que je suis entré il y a quelques minutes, ici en arrière, que c'était prêt maintenant à partir chez l'imprimeur. Donc, sœur, le Tabernacle vous paiera pour cela. Je ne m'attends pas à ce que vous fassiez cela pour rien. Ou alors, si nous avons le livre et que nous devons y mettre un prix, alors nous y mettrons un prix, afin que vous receviez quelque chose lorsqu'on le vendra. Parlez simplement au conseil, au conseil des administrateurs, ou à quelqu'un qui s'y trouve, et ils s'en occuperont pour vous. Que le Seigneur vous bénisse vraiment beaucoup!

10     Le vieux frère et la sœur Kidd, qui sont assis là, qui ont juste un peu en dessous de cent ans... Je l'ai rencontrée il y a quelques instants, et elle m'a dit: «Eh bien, ceci sera probablement la dernière fois que j'aurai l'occasion de vous voir, frère Billy, je me fais si vieille.»

11     J'ai dit: «Oh! là là! Je ne veux pas vous entendre dire cela!»  C'est comme une vieille mère et un vieux papa. Nous aimons frère et sœur Kidd, chacun d'entre nous. Cela me fait quelque chose quand je les vois entrer dans l'église, un petit couple âgé comme cela; et, pensez-y simplement, ils prêchaient l'Évangile avant ma naissance, et je suis un homme âgé. Oui, pensez un peu, ils prêchaient avant ma naissance. Et me voici maintenant. Et je me mets à penser: «Je me fais si vieux» , et je pense que je suis presque sur le point d'abandonner; et alors je vois frère et sœur Kidd qui entrent: «Gloire à Dieu!»

12     Je dis: «Non! Je me sens bien!» Oui, les voir, la manière dont ils peuvent... oh, comme cela vous inspire vraiment. Et alors, quand vous réalisez qu'ils ont presque deux fois mon âge, et ils vont encore sur le terrain... Ils sont venus ce matin demander des livres... pouvoir prendre des livres et les vendre; ils voulaient des bandes, afin qu'ils puissent aller et gagner des âmes en jouant ces bandes – à près de cent ans! Maintenant, où sont vos deux ailes dont nous parlions hier soir? Oui! Et je commence à penser: «Où sont les miennes?» Quel âge avez-vous, sœur Kidd? Quatre-vingt-un? Quel âge avez-vous, frère Kidd? Quatre-vingt-deux? Quatre-vingt-un et quatre-vingt-deux ans. Et utilisant toujours leurs ailes activement, allant toujours.

13     S'il y a quelque chose qui ne va pas dans l'Ohio, dont sœur Kidd a connaissance, le téléphone sonne à la maison. L'autre jour, elle a téléphoné, et un petit bébé (une petite fille, je crois) est né, et les intestins étaient à l'extérieur... la vésicule était à l'extérieur du bébé. Et le docteur ne savait pas ce qu'il fallait faire à ce sujet, et il avait peur d'entreprendre une opération. Nous avons prié... [Sœur Kidd raconte les détails depuis l'auditoire. – N.D.É.]... et il a remis les intestins à l'intérieur en faisant une opération, et il a pensé qu'elle ne pouvait pas vivre. Mais elle a quand même vécu. Il n'y avait alors pas de passage jusqu'au rectum, pour que la nourriture puisse traverser; sœur Kidd a téléphoné de nouveau, nous avons alors prié à nouveau, et, maintenant, il y a un passage normal! La voici en tant que témoin, de même que le docteur. C'est un témoignage que le Seigneur Jésus, le grand Créateur...Vous voyez ce que Satan a essayé de faire? Ôter la vie de ce bébé. Et alors, voyez-vous, je crois que cette dame est revenue, qu'elle est revenue au Seigneur. Sœur Kidd l'a conduite à Christ, après que ce grand miracle soit arrivé pour son bébé.

14     J'ai reçu un appel téléphonique hier, de Californie; c'était un... un frère prédicateur qui s'y trouvait, avec lequel je me trouvais lorsque je suis allé pour la première fois en Californie, il y a des années de cela. Son petit-fils est né avec quatre... trois valves de fermées dans son cœur. Et je lui ai raconté ce cas. Et je lui ai dit: «Le Dieu qui peut créer cette autre chose, et arranger cela, peut certainement guérir votre petit-fils. Dites simplement à votre garçon de rester bien courageux.» Et ce garçon se trouvait dans la réunion lorsque je suis allé en Californie la première fois, il y a environ dix-huit ans... cela fait plutôt seize ans. Je me trouvais en Californie, et la réunion a produit une si grande influence sur ce garçon que, lorsqu'ils ont eu le bébé, qu'il est né, et qu'ils ont vu qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas... Il était bleu, et ils ont essayé de lui donner de l'oxygène, etc., et on aurait dit qu'il n'allait pas survivre. Et les docteurs l'ont alors examiné, et ont découvert que trois valves de son cœur étaient fermées. Il n'y avait point d'ouverture du tout, voyez-vous, il n'y avait qu'une valve qui pompait. Il a téléphoné à son papa, en lui disant: «Papa, appelle immédiatement frère Branham. Dis-lui de simplement demander à Christ; Il le fera.» C'est cela. Oh! là là! Cette influence – ce qu'ils voient. Voyez-vous? Ce dont nous avons parlé hier soir: la chose juste à l'heure juste.

15     Eh bien, si on continue à parler, on n'arrivera jamais à la leçon, n'est-ce pas? C'est comme la mélasse un matin froid elle est tout ce qu'il y a de plus épaisse, vous savez, et elle colle bien ensemble. Nous sommes très heureux d'avoir une telle communion fraternelle. Oui monsieur!

16     Maintenant, apaisons-nous, et attelons-nous à la leçon. Et je vais... peut-être... Je ne sais pas si vous pouvez voir cela ou non, sur le tableau noir. Peut-être que si je tournais cela comme ceci dans quelques instants, eh bien, nous pourrions... quelques-uns parmi vous... (Que dis-tu? Non, je ne le pense pas en ce moment, Doc. Peut-être juste un peu plus tard. Eh bien, nous ferons cela quand nous... As-tu une lampe ici? Très bien. Tournons cela vers toi.) Pouvez-vous voir? Là, tout au fond, le pouvez-vous? Si vous le pouvez, levez la main; si vous pouvez voir cela, ce tableau noir, et lire ce qui s'y trouve. (Non! Alors, va chercher la lampe.)

17     Maintenant, alors qu'ils se préparent pour cela... Je commence tard ce matin... Non! Non, j'ai environ quinze minutes d'avance. Et alors, nous allons donc prendre notre temps maintenant, parce que nous ne voulons pas nous presser. Lorsque vous vous dépêchez, alors vous gâchez ce que vous alliez dire. J'écoutais une bande l'autre jour, comme je vous l'ai dit, et j'ai eu tellement honte de moi – pas de ce que je disais, mais de la manière dont je le disais; c'était trop rapide. C'était sur un ton nerveux. J'ai envie d'attendre...

18     J'ai vu l'autre jour, où ils allaient construire un grand zoo, ici au milieu de Louisville, et Monsieur Brown, je crois, là-bas, a offert un million de dollars pour ce zoo. Eh bien, si j'avais cela, je donnerais pratiquement cela pour libérer ces animaux. Je ne crois pas dans le fait de mettre quelque chose en cage, comme cela. Je vais au zoo, et je vois ces pauvres animaux – des ours et des lions, et d'autres animaux, qui marchent ainsi d'un bout à l'autre, emprisonnés pour la vie, vous voyez. Cela vous fait de la peine. Après tout, ils sont capturés par l'intelligence d'un homme qui est plus intelligent qu'eux. Voyez-vous? Et ils les capturent et les mettent en captivité.

19     Et je pense au fait que le diable fait cela. Il prend de précieuses personnes, qui devraient parcourir librement les grands endroits de Dieu, les champs, et les choses comme cela, et il les met dans la prison d'une certaine dénomination, ou de quelque credo ou autre, et il lie la personne là-dedans; et comme c'est horrible!

20     Je n'aime pas les zoos. Mais je me sens comme l'un de ces animaux – quand vous êtes en cage et vous essayez de vous libérer, vous savez, pour sortir et aller faire quelque chose.

21     Maintenant, avant d'aborder la Parole, approchons-nous de l'Auteur de la Parole, tandis que nous inclinons nos têtes dans la prière maintenant.

22     Notre bienveillant Père céleste, nous nous sommes assemblés ce matin à nouveau, dans le Nom du Seigneur Jésus, Ton précieux Fils, Dieu incarné. Il est venu sur la terre pour servir d'expiation pour nos péchés, et Il est mort, Lui, le Juste, afin que nous, étant injustes, par Sa justice, nous puissions être rendus parfaits en Lui. Nous venons en confessant que nous sommes indignes, Seigneur. Il n'y a rien de bon en nous. Et nous sommes tous dans une grande prison. Peu importe dans quel coin nous nous tenons, nous sommes toujours tous en prison, l'un ne pouvant pas aider l'autre. Mais Dieu, dans Son infinie miséricorde, est descendu et a ouvert les portes de la prison, pour nous libérer. Nous ne sommes plus en cage maintenant. Nous ne sommes pas dans le zoo du monde, mais, maintenant, nous sommes libres; nous sommes à l'extérieur.

23     Oh! combien nous L'aimons, et comme nous L'adorons! Comme nous pouvons marcher à travers les grands champs de Sa promesse... et les voir manifestées devant nous et de nos propres yeux. Voir le grand Dieu de l'éternité se dévoiler devant nous, et se rendre réel, comme Il l'a fait pour les prophètes d'autrefois; sachant ceci: qu'ils reposent avec l'assurance qu'un jour nous serons restaurés et ramenés, une fois cette vie terminée, à la résurrection, pour une Vie éternelle qui ne passera jamais. Nos corps ne vieilliront pas, et nous ne mourrons jamais. Et nous n'aurons jamais faim, et nous ne serons jamais dans le besoin. Mais nous marcherons avec Lui. Nous voulons L'entendre dire: «Entrez dans les joies du Seigneur, qui ont été préparées pour vous dès la fondation du monde.» Là-bas, avant que le péché n'entre, Il avait déjà préparé cela, comme pour Adam et Ève, afin qu'ils n'aient jamais besoin d'être malades ou d'avoir des difficultés. Et maintenant, Il a préparé cela pour nous, et Il savait d'avance que nous viendrions. Le péché faisait un grand blocage, mais maintenant, le péché a été ôté par le Sang de Jésus. Maintenant, nous sommes destinés à la Terre Promise par la promesse de Dieu, qui est éternelle.

24     Bénis-nous maintenant, Père, alors que nous étudions Ta Parole. Nous voulons savoir quelle sorte de gens nous devons être, afin de nous y trouver. Aide-nous aujourd'hui, dans cette école, afin que nous puissions avoir le grand Maître Enseignant avec nous, le Saint-Esprit – qu'Il puisse descendre, et se révéler à nous par Sa Parole. Car nous le demandons en Son Nom et pour Sa gloire. Amen.

25     Maintenant, pour commencer, j'aimerais que vous preniez avec moi, dans II Pierre, le chapitre premier; et j'aimerais lire une portion de ce passage de l'Écriture: II Pierre, chapitre premier. Et maintenant, pour vous qui avez vos crayons et votre papier... Et je crois qu'on m'a dit ce matin que, parfois, lorsque je tourne la tête, cela affaiblit la bande. Ce n'est pas vraiment mon intention de faire cela; et je crois qu'un jour nous pourrions nous procurer un micro omnidirectionnel, et le suspendre au plafond, ici. Alors, peu importe l'endroit où vous vous trouveriez, ça irait bien; ça irait bien tout autour. Juste un micro au plafond.

26     Et maintenant, alors que je suis en train de parler, et si vous le désirez, après le service, vous pouvez relever ce schéma ici, et aussi, j'ai tapé cela ici. Je prendrai une punaise, et je l'afficherai ici devant, si vous voulez faire cela à un certain moment, ou venir un peu plus tôt cet après-midi, pour que nous puissions comprendre cela.

27     Maintenant, nous nous approchons des Sept Sceaux. Nous venons de terminer les Sept Âges de l'Église. Et ceci est un message d'enseignement, qui lie l'homme qui va être racheté à l'intérieur, par le Sang du Seigneur Jésus, et qui va se trouver dans cet Âge de l'Église – cet Âge de l'Église éternel, à la fin des Sceaux. Maintenant, nous savons que nous avons Sept Trompettes, Sept Plaies, Coupes, etc., que nous allons aborder alors que nous allons de l'avant, mais nous attendons d'avoir davantage de place, pour que les gens puissent s'asseoir.

28     Et j'ai pensé que ceci serait en rapport avec ce que j'attendais... Je ne m'attendais pas à-dessiner ce schéma, mais, l'autre jour, je me trouvais avec certains de mes précieux amis, les Cox, là-bas au Kentucky. Je suis allé là-bas en pensant que peut-être je pourrais avoir un jour de plus de chasse à l'écureuil, avant que la saison se termine. Et je me trouvais dans les bois, avec mon ami Charlie, qui se trouve ici, et Rodney, son frère. Et je n'ai même pas vu un écureuil. Je pense que je les ai tous effrayés et qu'ils sont tous partis, quand je me suis mis à jubiler, là-bas dans les bois. Ceci est ce qui m'est venu, les frères, et sœur Nellie et Margie, lorsque je vous ai dit que je vous dirais dimanche, quand j'aborderais cela. C'est ce qui m'est venu concernant un message sur lequel j'allais parler, et nous voyons que le reste cadrait tout à fait avec cela. Oh, comme j'aime cela; j'ai eu vraiment un Esprit véritable, qui me poussait à crier de joie, là-bas dans les bois.

29     Maintenant, lisons donc dans I Pierre, ou plutôt II Pierre, au chapitre premier, une portion de cela.
    Simon Pierre, serviteur et apôtre de Jésus-Christ, à ceux qui ont reçu en partage une foi du même prix que la nôtre, par la justice de notre Dieu et du Sauveur Jésus-Christ
    J'aime la manière dont c'est dit, parce que tout mon sujet ce matin s'appuie sur la foi, voyez-vous. Laissez-moi le lire encore une fois; écoutez attentivement.
    Simon Pierre, serviteur et apôtre de Jésus-Christ, à ceux qui ont reçu en partage une foi du même prix que la nôtre, par la justice de notre Dieu et du Sauveur Jésus-Christ
    Remarquez, il dit: «J'ai reçu en partage cette foi, et j'adresse ceci à ceux qui ont reçu en partage une foi du même prix.» Je veux... Ce n'est pas pour le monde, à l'extérieur; c'est pour l'Église, voyez-vous – ceux qui sont en Christ.
    que la grâce et la paix vous soient multipliées par la connaissance de Dieu et de Jésus notre Seigneur
    Comme sa divine puissance nous a donné tout (Sa divine puissance nous a donné tout) ce qui contribue à la vie et à la piété, au moyen de la connaissance de celui qui nous a appelés par sa propre gloire et par sa vertu,
    lesquelles nous assurent de sa part les plus grandes et les plus précieuses promesses, afin que par elles (par ces promesses) vous deveniez, ou nous devenions participants de la nature divine...
    Maintenant, laissez cela pénétrer très profondément. Je ne prêche pas ce matin; nous ne faisons qu'enseigner cette leçon sur la nature divine. Laissez-moi lire à nouveau ce quatrième verset maintenant, afin que vous ne le manquiez pas:
    lesquelles nous assurent de sa part les plus grandes et les plus précieuses promesses, afin que par elles (par ces promesses) vous deveniez, ou nous devenions participants de la nature divine, en fuyant la corruption qui existe dans le monde par la convoitise.

30     Voyez-vous, le monde – nous avons fui cela, maintenant. Il adresse ceci à l'Église. C'est pourquoi nous sommes ici ce matin, c'est afin de découvrir ce qu'est le chemin, ce que sont les exigences de Dieu. Il n'y a pas une seule personne ici, qui aime Dieu, qui ne veuille devenir davantage comme Christ, – maintenant, c'est exposé ici, – chaque Chrétien. Je suis un vieux vétéran. Regardez frère et sœur Kidd ici; ce sont probablement les plus âgés dans ce bâtiment. Mais, si je leur demandais: «Quel est le désir de votre cœur?», ce serait: «Nous approcher davantage de Dieu.» Quand vous apprenez de Christ, il y a quelque chose à Son sujet qui est si aimant, vous essayez simplement d'entrer directement en Lui.

31     Excusez cette expression: J'ai dit à mon épouse, il n'y a pas longtemps... Nous vieillissons tous les deux, et je lui ai donc dit: «M'aimes-tu comme auparavant?»
    Elle a répondu: «Certainement!»

32     Et j'ai dit: «Tu sais, je t'aime tellement que j'aimerais te prendre et te tirer à l'intérieur de moi, afin que nous soyons vraiment un.» Eh bien, multipliez cela par cent millions, et alors vous découvrirez comment le croyant, qui tombe amoureux de Christ, veut entrer en Lui, à cause de cet amour. Et, ici, Il va nous montrer comment, à travers ces promesses, nous pouvons devenir participants de la nature divine de Christ. Ces corps mortels – comment nous pouvons devenir participants.

33     Je pourrais dire quelque chose ici. La raison pour laquelle je crois... Quelqu'un m'a compris tout de travers ici, il n'y a pas longtemps. J'ai reçu une lettre de l'Association Pastorale, qui disait que je croyais que nous étions unis à l'âme sœur, et que nous devons quitter notre compagnon si ce n'était pas une union d'âmes sœurs, pour en épouser un autre avec lequel il y avait cette union d'âme. Oh! là là! J'ai dit: «Je ne suis pas coupable d'une telle hérésie!» J'ai toujours été contre cela. Je ne crois pas à cela. Certainement pas! Je crois que Dieu nous donne un compagnon, c'est vrai. Et alors, nous devenons une partie l'un de l'autre. C'est juste. Et, avant qu'un homme se marie, il devrait réfléchir à ces choses, étudier la question.

34     Un jeune homme m'a demandé l'autre jour: «Frère Branham, pensez-vous que je devrais épouser telle et telle jeune fille?»
    J'ai dit: «Quelle importance a-t-elle pour vous?»
    Il a répondu: «Oh! là là! Qu'est-ce que je l'aime!»

35     J'ai dit: «Eh bien, si vous ne pouvez pas vivre sans elle, alors vous feriez mieux de l'épouser. Mais, si vous pouvez vivre sans elle, vous feriez mieux de ne pas le faire. Mais, si vous risquez d'en mourir, vous feriez mieux d'aller de l'avant et de vous marier.» Donc, ce que j'essayais de lui faire comprendre, c'était ceci: c'est que, si vous l'aimez tellement... Eh bien, en ce moment, avant d'être mariés, tout est bien, tout est beau, mais, une fois mariés, le labeur et les épreuves de la vie commencent. C'est à ce moment-là que vous devez être tellement amoureux que vous vous comprendrez l'un l'autre. Quand elle vous décevra, ou que vous la décevrez, vous continuerez à vous comprendre.

36     C'est ainsi avec Christ. Voyez-vous? Nous devons être tellement amoureux de Lui que, lorsque nous demandons quelque chose et qu'Il ne nous le donne pas, cela ne nous ébranle pas du tout. Vous voyez pourquoi? Et la seule manière pour vous de faire ceci, c'est de devenir participants de Sa nature divine, alors vous comprendrez la raison pour laquelle Il ne peut pas vous le donner. Participants de Sa nature divine. Alors regardez ici: «En fuyant la corruption qui existe dans le monde par la convoitise» – nous avons fui cela. Vous voyez à qui cela s'adresse? C'est pour l'Église. Ceux qui sont en Christ ont été élevés au-dessus de ces choses. Pas celui qui s'est élevé lui-même, mais Christ l'a fait monter.

37     Pour mes frères et sœurs de couleur qui sont présents ce matin... Je ne dis pas ceci pour faire du mal. Mais nous nous trouvions dans une réunion il y a un certain temps... et je ne sais pas si j'ai déjà raconté cela au Tabernacle; je l'ai dit dans bien des endroits. Il y avait une sœur de couleur, qui a dit: «Puis-je avoir un témoignage... ou témoigner?»
    «Certainement, sœur, allez-y.»
    Elle a dit: «Je veux donner ce témoignage pour la gloire de Dieu.»
    Elle a dit: «Vous savez, je ne suis pas ce que je devrais être»; et elle a dit: «Je ne suis pas ce que je voudrais être; mais», a-t-elle dit, «une chose est certaine, je ne suis plus ce que j'étais.»

38     Voyez-vous, elle était venue de quelque part; elle avait été élevée. C'est ainsi que nous savons que nous sommes passés de la mort à la Vie. Nous regardons en arrière, en direction du trou d'où nous sommes sortis. Voyez-vous? Nous ne sommes pas ce que nous voudrions être; et nous ne sommes même pas ce que nous devrions être; mais nous sommes reconnaissants d'une chose: nous ne sommes plus ce que nous étions. Nous sommes en route, et «ayant fui la corruption qui est dans le monde»; ayant fui cela – la convoitise et la corruption qui sont dans le monde. Vous êtes au-dessus de cela.

39     Eh bien, c'est à ce type de personne qu'Il parle: la personne qui a fui ces choses, voyez-vous – la corruption qui est dans le monde.
    – à cause de cela même, faites tous vos efforts [ou mettez de l'empressement (Darby) – N.D.T.] pour joindre à votre foi la vertu, à la vertu 1a science,
    à la science la tempérance, à la tempérance 1a patience, à la patience la piété,
    à la piété l'amour fraternel, à l'amour fraternel 1a charité.

40     Maintenant, Il nous a donné ici un aperçu de ce qu'il faut faire, et savoir comment le faire. Maintenant, comme je l'ai dit, nous essayons tous de nous approcher de Dieu. C'est pourquoi j'ai choisi ce message ce matin pour l'Église, sachant que les gens voyagent sur... Hier soir, j'ai dit: «Combien sont ici et viennent de l'extérieur?» Environ quatre-vingt-dix-huit pour cent des gens venaient de l'extérieur. «Combien ici viennent de cent cinquante kilomètres?» Eh bien, je pense que cela dépassait les quatre-vingts pour cent. «Combien ici viennent de plus de sept cent cinquante kilomètres?» Et près du tiers des gens étaient ici venant de sept cent cinquante kilomètres. Pensez-y. Ces gens qui voyagent. Eh bien, ces gens ne viennent pas à l'église comme cela, simplement pour être vus. Il n'y a pas... ce que le monde extérieur pourrait voir comme beauté dans cet endroit. Ce sont tous des gens ordinaires, pauvres, habillés simplement. Il n'y a pas de grands hymnes chantés par une soi-disant chorale angélique, d'orgues à tuyaux et de vitraux. Il vous est difficile de trouver un siège sur un banc, et même de vous tenir debout le long des parois. Ils ne viennent pas pour une telle chose, mais ils viennent, parce qu'à l'intérieur d'eux, il y a quelque chose qui voit une beauté que l’œil naturel ne voit pas. C'est un œil spirituel qui saisit la beauté de Christ. Voilà pourquoi ils viennent.

41     Donc, plusieurs jours avant que nous ayons le service, je reste en prière, je vais dans les bois, je prends dans ma poche... Je dis à mon épouse: «Je vais à la chasse à l'écureuil ce matin.» Et je mets un crayon et un calepin dans ma poche. Aussitôt qu'il fait suffisamment jour pour voir, je suis assis contre un arbre quelque part, mes mains en l'air, disant: «Seigneur, que puis-je faire aujourd'hui? Que vas-Tu me donner pour Tes enfants?» Alors, quand je tombe sur quelque chose qui semble s'enflammer... Cela se passe un peu comme ceci, lorsque Sa présence approche; je commence à entendre quelque chose comme dans le lointain, quelque chose comme:
    Deux........fois........deux........font........quatre; (plus proche:)
    Deux......fois......deux......font......quatre;
    Deux....fois....deux....font....quatre;
    Deux fois deux font quatre;
    [Frère Branham prononce ces mots de plus en plus vite. – N.D.É.]... et ainsi de suite comme cela. C'est Sa présence qui arrive.

42     Vous vous abandonnez, et, après un moment, vous vous détachez de vous-même. Alors la vision apparaît: «Va à tel endroit, et fais telle et telle chose.» Vous voyez, cela commence avec la méditation, votre pensée sur Dieu – hors du monde, loin du monde, seul dans un endroit désert avec vous-même. Et cela commence à venir: «Un... Un...» Je dis... N'importe quel chiffre, n'importe quoi, cela commence, cela vient graduellement, faiblement. Puis cela vient de plus en plus vite. Vous êtes assis là, et vous levez les mains; vous ne dites pas un mot, vous gardez simplement les mains en l'air. Tout à coup, vous savez, votre être entier est transporté. Alors, vous voyez des choses qu'Il veut que vous sachiez, Il vous montre les choses qui doivent arriver. Parfois cela arrive à un certain point, à un certain point, puis cela s'arrête; cela ne se transforme pas en vision. Alors les passages de l'Écriture commencent à affluer. Je saisis mon crayon, afin de ne pas l'oublier, et je l'écris. Je l'écris, puis, quand je rentre à la maison, je feuillette cela, et je l'étudie. Et, parfois, cela me semble dénué de sens quand je regarde cela à nouveau, puis, après un moment, ça y est: cela me frappe à nouveau, et ça se met en route! Alors, je prends un petit carnet comme ceci, et je commence à relever cela aussi vite que possible, ce qu'Il me dit. Et j'ai pensé: «Seigneur, je vais au Tabernacle, et je leur dirai: ‘Venez donc’, car j'ai quelque chose pour eux.» Eh bien, c'est ainsi que cela vient. Exactement. Tant que Lui ne me l'a pas donné premièrement, je ne peux pas l'apporter.

43     C'est pourquoi vous me voyez jeter un coup d’œil sur ces petits croquis. Quand j'ai commencé avec ceci, je n'avais pas cette partie; je ne l'ai reçue que... il y a un ou deux jours en arrière, dans les bois.

44     Maintenant, ces gens sont... Pierre dit ici de quelle manière nous devons être participants de Sa nature divine. Or, chacun de nous ici, nous essayons de grandir dans la stature de Dieu.

45     Après que nous aurons terminé avec les Sept Sceaux, alors, au temps où les Sept Sceaux se font entendre, ou sont brisés... Bien sûr, nous savons ce qu'est un Sceau; c'est pour délier un ministère – briser Sept Sceaux. Et nous verrons cela sur le graphique. Cela délie un message, quelque chose qui est scellé.

46     Dimanche soir dernier, j'ai prêché sur La Clé. Et la clé, c'est la foi. La foi tient la clé, et la clé, c'est l'Écriture, et Christ est la Porte. Donc, la foi prend les petites charnières de l'Écriture, et révèle les splendeurs et les bontés de Dieu à Son peuple. Voyez-vous? Donc, la foi tient la clé qui ouvre Christ aux gens. Cela ouvre; cela révèle cela.

47     Donc, aujourd'hui, nous allons essayer de prendre cette même clé, pour révéler le chemin qui permet de devenir un Chrétien vertueux, à la stature de Dieu, et être un Tabernacle vivant pour que le Dieu vivant y habite. Rappelez-vous, Dieu se révèle de trois manières. Pour commencer, Il s'est révélé dans une Colonne de Feu. Cela fut appelé la Paternité. Puis ce même Dieu s'est manifesté en Jésus-Christ. Il a formé un corps, Il a fait ce corps. Troisièmement, à travers la mort de ce corps, Il a sanctifié une Église dans laquelle Il peut habiter. C'était Dieu au-dessus de nous, Dieu avec nous, Dieu en nous – le même Dieu.

48     C'est la raison pour laquelle cela a été appelé Père, Fils, Saint-Esprit. Pas trois dieux; trois fonctions d'un même Dieu. S'ils avaient seulement pensé à cela au Concile de Nicée, nous ne serions pas tout embrouillés, n'est-ce pas? C'est juste. Pas trois dieux.

49     Les gens ne pouvaient pas comprendre comment Jésus pouvait parler au Père, alors que Lui et le Père sont Un. Eh bien, c'est là où tout se trouve. Certainement. Cela se dévoile; certainement. Voyez-vous, il ne s'agit pas de trois dieux, mais de trois fonctions. Qu'est-ce? Dieu, condescendant vers Sa création. Dieu veut être adoré. Le mot Dieu signifie objet d'adoration. C'est Dieu, essayant de conditionner Son peuple; afin qu'Il puisse obtenir d'eux ce pour quoi Il les a créés.

50     Il ne vous a jamais fait pour être autre chose qu'un fils ou une fille de Dieu. Si vous avez manqué cela (c'est-à-dire être fils et fille de Dieu), vous avez manqué le but. Et manquer... Le mot pécher signifie manquer le but. Manquer le but. Alors, si je tire sur une cible pour faire mouche à cinquante mètres, si je prends mon fusil, et que je tire, et que je manque le centre d'une dizaine de centimètres, qu'est-il arrivé? Mon fusil a besoin d'un réglage. Il y a quelque chose qui ne va pas. Et, si je manque d'avoir foi en Dieu, si je manque d'être Chrétien...

51     Dieu vous place ici pour être un Chrétien, et, si vous filez d'un côté, revenez et passez par un réglage. Et il n'y a qu'une chose qui peut vous régler, c'est l'Écriture. Le Saint-Esprit dans l'Écriture vous règle, Il vous ramène directement sur la cible. C'est juste.

52     Maintenant, nous allons étudier Sa Parole.

53     Étienne a dit, dans Actes 7, et aussi dans... Lisons donc cela. Nous parlons de... Eh bien, nous parlons d'un Tabernacle de Dieu. Étienne a dit, étant donné que cela va être un Tabernacle vivant du Dieu vivant... Étienne a dit, dans Actes, au chapitre 7, et je crois, dans Actes, chapitre 7, en commençant au verset 44:
    Nos pères avaient au désert 1e tabernacle du témoignage, comme l'avait ordonné celui qui dit à Moïse de le faire d'après 1e modèle qu'il avait vu.
    Et nos pères, l'ayant reçu, l'introduisirent, sous 1a conduite de Josué, dans le pays qui était possédé par les nations que Dieu chassa devant eux, et i1 y resta jusqu'aux jours de David.
    David trouva grâce devant Dieu, et demanda d'élever une demeure pour 1e Dieu de Jacob;
    et ce fut Salomon qui lui bâtit une maison.
    Mais 1e Très-Haut n'habite pas dans ce qui est fait de main d'homme, comme dit le prophète:
    Le ciel est mon trône, et la terre mon marchepied. Quelle maison me bâtirez-vous, dit 1e Seigneur, ou quel sera le lieu de mon repos?

54     Maintenant, dans... le tabernacle, bien sûr, c'est un endroit où nous allons nous reposer, pour y trouver de la fraîcheur, etc., comme le repos que nous procure le sommeil. Et maintenant, dans Hébreux 10, au verset 5, Paul introduit cela.
    C'est pourquoi Christ, entrant dans 1e monde, dit: Tu n'as voulu ni sacrifice ni offrande, mais tu m'as formé un corps;

55     Qu'est-ce que le tabernacle, maintenant? Un corps. Dieu, tabernaclant dans un corps.

56     Dieu veut... Tout là-haut, quand Il est descendu sur la montagne, même si un taureau ou une vache touchait la montagne, il devait être tué. Dieu est saint.

57     Hier soir, quand ces Anges se couvraient la face – de saints Séraphins ayant de saintes faces, ne sachant même pas ce que signifie le péché, et ils doivent se couvrir la face en présence de Dieu, et couvrir leurs pieds dans l'humilité.

58     Eh bien, un Dieu saint ne pouvait pas fermer les yeux sur le péché. Ainsi, rien ne pouvait toucher la montagne où Dieu se trouvait. Alors, Dieu est devenu chair et a habité parmi nous, sous la forme de Jésus-Christ, Son Fils, Sa création. Alors ce Fils a donné Sa vie, et la cellule sanguine de Dieu fut brisée, afin que la Vie puisse sortir du sang, pour venir à nous. À travers ce Sang nous sommes purifiés, et maintenant, notre sang, notre vie (qui est venue suite à un désir sexuel – cela a amené notre vie dans le monde)... le Sang de Jésus-Christ nous purifie, Il change notre nature en envoyant sur nous le Saint-Esprit. Alors, nous entrons dans la nature divine de Dieu; alors, nous devenons un lieu d'habitation pour Dieu.

59     Jésus a dit: «En ce jour-là, vous saurez que Je suis dans le Père, et que le Père est en Moi; que Je suis en vous, et que vous êtes en Moi.» Vous voyez, vous saurez de quelle manière Dieu est dans Son Église.

60     L'Église est maintenant censée prendre la place de Christ, et continuer Son ministère. «Celui qui croit en Moi fera aussi les œuvres que Je fais. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus; cependant vous Me verrez, car Je serai avec vous, et même en vous, jusqu'à la fin du monde.» C'est cela – continuant Son œuvre.

61     Eh bien, Dieu... La Bible dit ici qu'Étienne a parlé de Salomon, qui construisit un temple; et le Très-Haut n'habite pas dans des temples faits de main d'homme. Car «le ciel est Mon trône, et la terre est Mon marchepied. Et où se trouve le lieu de Mon repos? Mais Tu M'as formé un corps.» Amen! Vous y êtes! «Tu M'as formé un corps.»

62     Dieu habite dans la stature d'un homme; se reflétant dans cet être – une adoration parfaite. Dieu en nous, étant Son Tabernacle; Dieu se manifestant. Oh, comme nous pourrions rester là-dessus, jusqu'à ce que vous suffoquiez presque de chaud ici dedans.

63     Remarquez que Dieu s'est toujours, en tout temps, reflété dans l'homme. C'était Dieu en Moïse; regardez-le. Il est né un leader – Christ. Au temps de sa naissance, il y a eu une persécution des enfants, essayant de le retrouver – ce fut pareil avec Christ. Et il a été délivré à ce moment-là – de même que Christ. Il était un législateur – comme Christ. Moïse est monté pendant quarante jours, a reçu les Commandements, puis il est redescendu – Christ est allé dans le désert quarante jours, et Il est revenu en disant: «Vous avez entendu qu'il a été dit aux anciens: Tu ne commettras pas adultère. Mais Moi, Je vous dis que quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis adultère avec elle.» Toutes ces choses différentes, où Dieu s'est reflété.

64     Regardez Joseph, qui était un garçon spirituel dès sa naissance, parmi ses frères. C'étaient tous de braves hommes, ces patriarches, mais, lorsque Joseph est venu, il était différent. Il avait des visions, et pouvait interpréter des songes; et il fut haï par ses frères à cause de cela. À cause de l’œuvre même pour laquelle Dieu l'avait placé sur la terre, ses frères l'ont haï pour cela, voyez-vous, et tout cela montrait la direction de la croix. Et, regardez, il fut vendu pour presque trente pièces d'argent par ses frères; jeté dans un fossé et laissé pour mort par ses frères, il fut retiré de cette fosse et est allé s'asseoir à la droite de Pharaon. Et personne ne pouvait s'approcher de Pharaon (qui dirigeait le monde en ce temps-là), personne ne pouvait venir vers Pharaon sans passer par Joseph. Aucun homme ne peut venir à Dieu sans passer par Christ. Et quand Joseph quittait le palais, avant qu'il parte, une trompette sonnait, et des coureurs le précédaient, en criant: «Fléchissez le genou, Joseph arrive.» Peu importe où vous étiez, ou ce que vous étiez en train de faire, ou combien votre travail était important, vous deviez tomber sur vos genoux jusqu'à ce que Joseph arrive là. Et, quand la trompette sonnera, un de ces jours, tous les genoux fléchiront et toutes les langues confesseront! Quand Christ, notre Joseph, quittera la Gloire et viendra, votre travail ne sera plus important à ce moment-là. Chaque genou fléchira et chaque bouche confessera qu'Il est le Fils de Dieu. C'est juste.

65     Oh, comme nous Le voyons en David. De quelle manière David, un roi rejeté, renversé de son trône par ses frères, son propre fils, s'est assis sur la montagne des Oliviers, alors qu'il montait sur la montagne des Oliviers, et il a regardé en arrière, vers Jérusalem, et il a pleuré; car, là, son propre peuple qu'il avait servi, et auquel il avait parlé de Dieu... et son propre peuple l'a fait taire et lui a jeté des choses, a craché sur lui et s'est moqué. Quand il a commencé à gravir la colline, il était rejeté. Oh, comme cela représente parfaitement le Fils de Dieu, huit cents ans plus tard – un Roi rejeté parmi Son propre peuple, s'asseyant sur la montagne et pleurant sur Jérusalem, en tant que Roi rejeté. Qu'était-ce? Dieu, se reflétant. Dans ces prophètes, reflétant Christ.

66     Alors, il y en a Un qui est venu, qui était la perfection de Dieu. C'était Dieu parmi nous. Et, depuis ce moment-là, Il s'est reflété dans Son Église de ce côté-ci du Calvaire. Donc, vous voyez, nous essayons tous d'arriver à ce lieu d'habitation, ce Tabernacle du Dieu vivant.

67     Maintenant, il y a des gens, comme nous le remarquons ici... Il a dit que, premièrement, nous avons la foi, la vertu, la science, la tempérance, la patience, la bonté ou la piété, et l'amour fraternel. Très bien. L'affection fraternelle, puis ajoutez l'amour. Laissez-moi lire ceci à nouveau, afin que vous soyez certains de bien le saisir. Nous allons commencer au verset 5.
    à cause de cela même, faites tous vos efforts pour joindre à votre foi la vertu, à la vertu la science,
    à la science la tempérance, à la tempérance la patience, à la patience la piété,
    à la piété l'amour fraternel, à l'amour fraternel la charité (ce qui est l'amour).
    Car si ces choses sont en vous, et y sont avec abondance, elles ne vous laisseront point oisifs ni stériles pour la connaissance de notre Seigneur Jésus-Christ.
    Eh bien, Pierre dessine ici quelque chose pour nous, pour nous montrer comment y arriver.

68     Maintenant, j'aimerais dire ceci: Il y a des gens qui ont une portion de cette vertu, de cette science, de cette sagesse, de cette patience, etc., qui ne déclarent même pas être Chrétiens. (Maintenant, nous... nous enseignons l'école du dimanche.) Et c'est vrai. Il y a des gens qui ont une portion de ceci, sans même prétendre être Chrétiens. Mais cela ne... cela ne suffira pas. C'est pareil à un merle qui essaie de mettre des plumes de paon dans ses ailes, pour se transformer en paon. Il ne fait que se déshonorer. Ce serait mieux qu'il reste un merle. Voyez-vous? Quand il essaie de manifester ces choses sans être Chrétien; il est simplement complètement en dehors de sa place. C'est comme si un sycomore essayait de fabriquer des pommes. Il ne le peut pas, bien qu'il soit un arbre; mais il ne peut pas fabriquer de pommes.

69     C'est comme un mulet qui essaie de fabriquer de la laine, qui essaie d'être un mouton, alors qu'il est un mulet. Vous voyez, il ne peut pas fabriquer de laine. Il ne le peut pas. La laine est un don accordé au mouton, pas au mulet. Il peut essayer d'agir comme un mouton, mais il est toujours un mulet. Vous direz donc: «Je peux manger comme une brebis; je peux faire ceci comme une brebis», mais, peu importe ce que vous pouvez faire, vous devez être une brebis, afin d'avoir de la laine.

70     Et laissez-moi m'arrêter ici une minute. La brebis ne fabrique pas de laine. Elle a de la laine, parce qu'elle est une brebis. Bien des gens essaient de dire: «Eh bien, j'essaierai de devenir bon. J'essaierai de faire ceci.» Ne fabriquez rien. Non, vous ne le pouvez pas. Un mouton ne... on ne lui demande pas, ou on ne s'attend pas à ce qu'il fabrique de la laine – il porte de la laine. Et il le fait, parce que c'est un mouton. Et quand vous êtes un Chrétien, vous portez simplement le fruit de l'Esprit. Vous ne... vous ne le fabriquez pas. Vous n'essayez pas de l'inventer. Vous ne cherchez pas à être quelque chose que vous n'êtes pas. Vous devenez simplement ce que vous êtes censé être, et alors, cela s'arrange tout seul.

71     Avez-vous entendu des gens dire: «Eh bien, laissez-moi vous dire: J'ai adhéré à l'Église; je devrais vraiment cesser de mentir comme ceci»? Vous essayez de nouveau de fabriquer quelque chose maintenant. Vous ne le pouvez pas. Cela ne sert donc rien d'essayer – pas plus qu'un mulet ne peut avoir de laine. Il ne le peut pas.

72     Ou un vautour qui essaie de manger avec la colombe – un vautour qui essaie d'être une colombe. Pourriez-vous imaginer une buse, là, qui dit: «Vous savez, je suis une colombe»; qui met quelques plumes sur elle, et dit: «Voyez-vous, maintenant je ressemble...» Voyez-vous? Elle serait bien mal en point. C'est un homme qui professe être quelque chose, alors qu'il ne l'est pas. Voyez-vous, vous ne le pouvez pas.

73     Vous ne pouvez pas dire: «Eh bien, regardez, je suis censé avoir de la vertu, j'aurai donc de la vertu. Je suis censé avoir de la piété, ainsi je vais donc l'avoir.» Eh bien, vous essayez simplement de placer des plumes, bien qu'elles soient à votre portée, mais vous ne pouvez pas mettre les plumes sur le mauvais oiseau. Cela ne marchera pas. Cela montre simplement l'hypocrisie de cet oiseau.

74     Pourriez-vous imaginer une vieille buse qui essaie d'avoir deux ou trois plumes de colombe, et qui dit: «Regardez un peu, voyez-vous, je suis une colombe.» Voyez-vous? Eh bien, nous savons tous que c'est une buse. Voyez-vous? C'est tout. Nous pouvons reconnaître que c'est une buse.

75     Eh bien, c'est ainsi lorsqu'on essaie de fabriquer le christianisme. Vous ne le pouvez pas. La première chose que vous devez faire, c'est naître de nouveau. Vous devez être changé! Et, quand vous êtes changé, vous devenez une nouvelle création. Maintenant, vous commencez bien. Alors, vous n'avez pas besoin de vous inquiéter pour les plumes; cela s'arrangera tout seul. Quand vous naissez de nouveau. Oui monsieur.

76     Comme je l'ai toujours dit: Vous prenez un porc, vous le frottez bien, vous lui mettez un smoking, et vous le relâchez; il retournera immédiatement se vautrer dans la boue. Parce que, vous voyez, cela ne lui fera aucun bien. C'est un porc – c'est sa nature. Se vautrer, c'est sa nature. Vous devez changer sa nature, et le reste s'arrangera tout seul.

77     Maintenant, remarquez, vous devez naître de nouveau, c'est-à-dire changer; il doit y avoir une transformation. Vous me direz: «Eh bien, frère Branham, je connais cette certaine femme, par ici. Eh bien, elle n'a jamais rien fait de mal; c'est une brave femme. Ou tel et tel homme, c'est un brave homme; il ne fait jamais rien, il ne fait de mal à personne.» Cela ne veut rien dire du tout. Peut-être est-il un bon voisin, mais il n'est pas un Chrétien avant qu'il naisse de nouveau.

78     Jésus a dit: «Si un homme ne naît de nouveau (Jean 3), il ne peut même pas voir le Royaume.» Or, cela signifie... voir signifie comprendre. Vous regardez quelque chose, et vous dites: «Je ne vois pas cela.» Vous voulez dire que vous ne le comprenez pas.

79     Un homme ne peut pas comprendre pourquoi les gens jubilent. Un homme ne peut pas comprendre pourquoi la langue d'un être humain peut changer, et qu'il peut se mettre à parler en langues. L'homme naturel ne peut pas voir comment la gloire de Dieu peut venir sur les yeux d'un homme, et il aura une vision et dira à quelqu'un certaines choses, et ce qu'il doit faire, – lui disant des choses qui vont arriver, – comme le Seigneur l'a fait pour nous, même hier soir.

80     Voyez-vous? Voyez-vous, l'esprit naturel essaie de se le figurer: «Eh bien, qu'a-t-il fait? Quelle sorte de supercherie pratique-t-il? Quel truc a-t-il?»

81     Voir un homme parler en langues, et quelqu'un interpréter, et dire exactement à un certain membre du Corps ce qu'il a fait et ce qu'il ne devrait pas faire. Voyez-vous, ils pensent que c'est une sorte de supercherie. «Il y a quelque chose d'arrangé entre eux.» Ils ne peuvent pas comprendre cela, tant qu'ils ne sont pas nés de nouveau. Mais, quand cet homme naît de nouveau, il est prêt pour la communion, parce qu'il est une nouvelle création. Ce vieux personnage méfiant et incrédule qu'il était est mort; maintenant il est une nouvelle création. Vous voyez donc qu'il n'a pas besoin d'ajouter quoi que ce soit à son... maintenant, parce que cela s'ajoutera automatiquement.

82     Remarquez, vous devez naître de nouveau. Et, quand vous naissez de nouveau... vous ne pouvez pas naître de nouveau sans avoir la foi. C'est juste. Donc, vous voyez, sur mon croquis ici, j'ai comme fondement... La foi est le fondement de tout cela. «Car, sans la foi, il est impossible d'être agréable à Dieu; car celui qui vient à Dieu doit croire que Dieu existe, et qu'Il est le rémunérateur de ceux qui Le cherchent.» Voyez-vous? Il doit l'être. Et, quand vous êtes un sceptique de la Bible, quand vous êtes sceptique de la véracité de la Parole, vous feriez tout aussi bien de rester en arrière, jusqu'à ce que vous le croyiez premièrement.

83     Qu'est-ce que le péché? L'incrédulité. Il n'y a que deux éléments qui contrôlent l'être humain. C'est le doute ou la foi; l'un ou l'autre. Vous êtes possédé par celui qui domine votre vie. C'est de la quantité de foi que vous avez que dépendra la hauteur que vous pourrez atteindre. Mais, premièrement, il doit y avoir la foi. Laissez-moi m'arrêter sur ce fondement un instant.

84     Eh bien, la foi, c'est ce que vous devez croire. La foi est ce que...» La foi est une ferme assurance, ou la substance, des choses que l'on espère.» Vous l'avez déjà, lorsque vous avez la foi, parce que c'est révélé dans la foi. «La foi est une ferme assurance, ou la substance, des choses que l'on espère (Hébreux 11), une démonstration, ou l'évidence...» Quelle sorte d'évidence? Une sainte évidence.

85     C'est pourquoi, lorsque vous dites: «Frère Branham, je crois que Dieu est un Guérisseur»... Eh bien, si vous croyez cela, et que vous L'acceptez, Lui, comme votre Guérisseur, – et sans mentir, mais que vous croyez effectivement que par Ses meurtrissures vous êtes guéri, – rien ne pourra vous en éloigner. C'est une affaire réglée. Or, vous pouvez avoir l'espérance, juste sauter sur ceci et sauter sur cela, mais lorsque vous avez la foi, vous le savez, parce que c'est l'évidence – vous le possédez déjà.

86     Combien ont entendu Oral Roberts ce matin, lorsqu'il prêchait ce matin – Oral Roberts? Je l'ai entendu parler qu'il y avait une foi pour la délivrance – prier la prière de la foi pour la délivrance. Il a dit: «Établissez le contact en touchant la radio, établissez le contact en touchant quelque chose, afin...» Cet homme faisait cela, afin que cela donne aux gens quelque chose de tangible, quelque chose leur permettant de dire: «Je l'ai reçu maintenant, parce qu'il m'a dit de toucher ma radio. Je le possède.» Voyez-vous? Eh bien, c'est très bien. Mais une foi véritable et authentique n'a pas besoin de toucher une de ces choses. Or, je ne condamne pas frère Oral, pas du tout. Il fait un grand travail, et c'est un homme pieux; et j'ai beaucoup d'estime pour Oral Roberts. C'est dommage que nous n'en ayons pas davantage comme lui. Mais ce que j'essaie de dire, c'est que la foi n'a besoin de rien. Voyez-vous? La foi croit la Parole de Dieu! Car la foi vient en touchant – non! «La foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend vient de la Parole de Dieu.» Cela ancre cela. C'est là. Et la foi, comme je l'ai dit, ne connaît pas la distance. La foi est immédiate. La foi est ici.

87     Comme, par exemple, si quelqu'un... Comme ce petit bébé l'autre jour. Cette mère, dont sœur Kidd et les autres ont parlé, dont le petit bébé avait les intestins à l'extérieur, avec aucune ouverture au rectum pour permettre à la nourriture de passer... Eh bien, cette dame, entendant sœur Kidd et les autres témoigner, a cru que, si elle pouvait entrer en contact, et que je prie pour ce bébé... Maintenant, voyez-vous, Dieu nous donne des gens... Certains d'entre nous ont fait des expériences avec Dieu, si réelles que Dieu devient comme... si vous alliez parler ici à frère Neville, ou à quelqu'un que vous connaissez. Et, parfois, nous demandons à ces personnes de prier pour nous. C'est ce que nous sommes censés faire. Alors, si nous avons la foi que cet homme, ou cette femme, la personne qui prie pour nous, est en train de parler à Dieu, alors notre foi est accrochée, elle est fixée solidement, elle est affermie.

88     Tenez, ce Romain qui est allé à la rencontre de Jésus, et lui a dit: «Je ne suis pas digne que Tu viennes sous mon toit. Je ne suis pas digne, et je n'ai pas... je ne m'estime pas digne»; mais il a dit: «Mon fils est très malade; prononce simplement la Parole, et mon fils vivra»... Qu'était-ce? La distance ne changeait rien, voyez-vous, parce que Dieu est omniprésent. Dieu est omnipotent. Et partout où Dieu se trouve, l'omnipotence s'y trouve. Et, Dieu étant omniprésent, cela fait que Dieu est partout – partout! Voyez-vous, Dieu est tout aussi grand en Allemagne, en Suisse, et en bas en Afrique, à cette minute précise, qu'Il l'est ici. Vous y êtes!

89     Il a donc dit: «Je ne suis pas digne que Tu viennes sous mon toit; prononce simplement la Parole.» Qu'était-ce? C'était la foi de ce Romain. Il a cru cela.
    Et Jésus a dit: «Rentre chez toi, ton fils vit.»

90     Et il est parti (un voyage de deux jours), et le lendemain, avant d'arriver à la maison, il a rencontré quelques-uns de ses serviteurs qui venaient. Et ils lui ont dit: «Ton fils vit.»
    Et le Romain était si réjoui qu'il a dit: «À quelle heure de la journée a-t-il commencé à aller mieux? Dans quelle partie de la journée?»
    Il a dit: «C'est vers la onzième heure que son état a commencé à changer.»
    Et le Romain a su que c'était à cette heure précise que Jésus avait dit: «Ton fils vit», et qu'il avait cru. Amen.

91     Omnipotent, omniprésent, omniscient, infini – voilà Dieu! Donc, lorsqu'ils font un téléphone, et qu'ils disent: «Priez!», cela établit un contact, et votre foi amène Dieu! C'est la chose qui amène la prière et Dieu ensemble sur la scène. La prière, la foi se déplace d'ici jusque là! Elle réunit cela!

92     «Prononce la Parole. Tout ce que je veux que Tu fasses, c'est que Tu dises la Parole, et tout ira bien.» Il n'avait pas besoin de s'y trouver. «Dis simplement la Parole.» Pourquoi? Dieu est omniprésent. Il est tout-puissant. Il est tout aussi puissant à l'une des extrémités de la terre qu'à l'autre, ou d'un côté ou d'un autre. «Il est Dieu, et la seule chose que Tu as à faire, c'est simplement prononcer la Parole», a-t-il dit.

93     Et alors, la foi s'occupe du reste; la foi s'en occupe. Vous devez donc avoir la foi comme fondement. Tout le christianisme, tout ce que vous êtes, tout ce que vous serez un jour, est fondé sur la foi dans la Parole.

94     C'est la raison pour laquelle je crois la Parole, voyez-vous. Je ne peux placer ma foi sur rien d'autre. Si je devais la placer sur l'Église, sur quelle Église la placerais-je? L'Église catholique, luthérienne, méthodiste, baptiste, pentecôtiste? Sur quoi la placerais-je? Je ne sais pas. Ils sont tout embrouillés, et tout le reste – leurs lignes sont tout emmêlées. Mais, quand je place ma foi dans Sa Parole, elle est ancrée. Personne ne l'interprète, c'est ici: AINSI DIT LE SEIGNEUR. Alors je crois cela. Voilà une base.

95     Un bon petit docteur, ici en ville, un de mes bons amis, le docteur Sam Adair... Nous étions des garçons ensemble. Vous connaissez tous Sam. Et il m'a dit: «Bill...» C'était après que cette vision soit venue. Il lui fut dit où il construirait son bâtiment, comment il serait (maintenant, allez le trouver et demandez-lui une fois si ce n'est pas vrai), deux ou trois ans avant que cela arrive. Il lui a été dit où cela se trouverait; je lui ai dit: «Tu prendras presque tout ce pâté de maisons.» Et il ne reste plus qu'une chose entre lui et cela, et c'est ce centre de réadaptation. Le docteur Adair en possède le reste avec l'apothicaire. C'est tout.

96     Le docteur Adair a accompli exactement cette vision. À une certaine occasion, il m'a dit: «On ne peut même pas y toucher pendant vingt-cinq ans, sur ordre du tribunal.»
    Je lui ai dit: «Docteur, le Seigneur te le donne, à cause de ton humilité.»
    Il a dit: «Je ne vaux rien.»
    Je lui ai dit: «Tu es comme une tortue. Tu as une carapace à l'extérieur, une croûte à partir de laquelle tu regardes tes amis, mais, à l'intérieur, tu es un type formidable. Sors de cette carapace!» J'ai dit: «Dieu te le donne.»
    Il a dit: «Je n'ai jamais douté de toi, Billy, mais je devrai douter de cela.»
    J'ai dit: «Va à ton cabinet.» Il est donc parti.
    Le lendemain matin, il m'a téléphoné, en me disant: «Je meurs de froid.»
    J'ai dit: «Que se passe-t-il?» (C'était vers le mois de juillet.) Je lui ai dit: «Doc, que se passe-t-il?»
    Il m'a répondu: «Billy, je viens d'acheter cet endroit. Ils ont eu une réunion hier soir à Boston, et, ce matin, j'ai déjà acheté cet endroit.»
    Je lui ai dit: «Je t'avais bien dit.»

97     Je m'y trouvais l'autre jour, et j'étais en train de parler avec lui. (C'était lorsque ce fusil m'a sauté au visage.) Il m'a dit: «Je m'imagine que j'ai bien raconté cela à mille personnes qui sont entrées ici (comme cela).» Qu'est-ce que cela signifie? Lorsque Dieu dit quelque chose, cela doit arriver!

98     Hier soir, quelques amis sont venus me trouver. Ils avaient entendu parler de cette vision du caribou qui avait des bois de quarante-deux pouces de long [soit environ un mètre cinq – N.D.T.], et de cet ours grizzli argenté. Je ne sais combien de personnes ont passé à la maison pour voir cela. J'ai dit: «Voici le mètre à ruban; posez-le sur les bois.» Cela vous a été dit avant que cela arrive. Voyez-vous? Pourquoi? Quand Dieu dit quelque chose, cela doit arriver; en voilà la raison. C'est fondé!

99     Maintenant, voici le plan du salut. Et alors, si Ses visions arrivent parfaitement, exactement comme annoncées (et cette Église ici sait que c'est juste), alors qu'en est-il de Sa Parole? Voyez-vous? C'est encore plus sûr que la vision! Si la vision ne parle pas conformément à la Parole, alors la vision est fausse. Mais c'est la Parole en premier, parce que la Parole est Dieu. Il est donc omniprésent. Il l'a dit ici, et l'a fait s'accomplir au Canada. Amen. Voyez-vous, Il est omniprésent.

100     Très bien. Premièrement, vous devez naître de nouveau. Et alors, quand vous naissez de nouveau, vous avez la foi, vous croyez la Parole. Tant que vous n'êtes pas né de nouveau, vous argumentez avec Elle. Si vous avez simplement une prédisposition religieuse, et que vous avez un... un petit peu de connaissance humaine, vous disant de bien agir, vous ne pourrez jamais tomber d'accord sur la Parole de Dieu. Vous ne le pourrez jamais. Vous devez naître de nouveau; et, en naissant de nouveau, cela produit la foi.

101     Très bien. Après que vous ayez obtenu la foi, ceci ici: f-o-i, la foi, alors vous êtes juste dans une position permettant la croissance.

102     Eh bien, beaucoup de personnes s'avancent à l'autel, prient et disent: «Seigneur, pardonne-moi», et une grande expérience de sanctification leur arrive. Alors ils ont un temps glorieux. Ils se lèvent, à l'autel, en jubilant. Vous retournez à votre place, en disant: «Dieu soit béni, je L'ai reçu.» Non, vous vous êtes juste mis en position de croissance! Vous n'avez encore rien fait. Voyez-vous, tout ce que vous avez fait, c'est de simplement poser le fondement.

103     Lorsque vous construisez une maison, et que vous coulez les fondations, vous dites: «Oh, mon gars, je l'ai!» Voyez-vous, vous avez les fondations sur lesquelles vous pouvez construire votre maison. Maintenant vous devez construire une maison.

104     Or, c'est là que se présente la chose dont nous allons parler ce matin. Très bien, une maison; cette fondation vient en premier. Quel est le fondement du christianisme? La foi dans la Parole de Dieu. Voilà votre fondement. Alors vous commencez à croître. Vous vous mettez en route. Vous commencez à ajouter à ce fondement.

105     Lorsque vous construisez une maison, vous mettez vos montants et tout le reste. Frère Wood et certains de ces charpentiers et entrepreneurs, qui sont ici, pourraient nous dire comment on bâtit sa maison, voyez-vous, mais je vais vous dire comment construire votre maison spirituelle, l'endroit où Dieu peut habiter. Il veut habiter en vous. Il veut vous faire devenir comme Lui. Il veut que vous reflétiez Son être.

106     Vous savez, autrefois, quand ils préparaient l'or (avant qu'ils aient des fonderies pour le purifier), ils le martelaient pour le débarrasser de toutes les impuretés, du fer, du cuivre et des autres choses; ils le battaient, et le retournaient, et le battaient encore. Les Indiens font cela maintenant: la batte de l'or. Ils le battent. Vous savez comment ils savaient que tout le fer en était sorti, que toute la terre et les impuretés en étaient sortis? C'est lorsque celui qui battait y voyait son reflet comme dans un miroir. Il était propre et suffisamment pur pour refléter le batteur.

107     C'est ainsi que Dieu fait. Il prend l'or qu'Il a découvert dans la terre, et Il le bat par le Saint-Esprit, le retourne plusieurs fois de suite, et Il le bat jusqu'à ce qu'Il puisse voir Son reflet. Et c'est ce que nous sommes censés faire: refléter le Fils de Dieu. Et, maintenant, nous sommes censés accomplir Son œuvre. Il a dit: «Celui qui croit en Moi (Jean 14:7)... Celui qui croit en Moi fera aussi les œuvres que Je fais.»

108     Vous commencez à refléter les œuvres de Christ. Mais tellement parmi nous essaient de faire les œuvres de Christ, avant que le reflet de Christ soit en nous. Voilà le problème. Nous découvrons que ces choses arrivent. Vous le savez; et moi aussi. Nous voyons, le long de la route, ceux qui ont trébuché. Nous retrouvons, le long de la route, ces amoncellements de prédicateurs, de Chrétiens, qui ont été mis au rancart. C'est parce qu'ils ne s'y sont pas pris correctement.

109     Voilà pourquoi je suis ici ce matin: c'est afin d'essayer d'enseigner à cette petite Église, et à moi-même, la manière de devenir le lieu d'habitation du Dieu vivant. Combien aimeraient être cela? Le lieu d'habitation du Dieu vivant.

110     Maintenant, voici ce que nous faisons. Quelle est la première chose? Avoir la foi et naître de nouveau – c'est poser les fondations. Puis, après avoir posé les fondations, deuxièmement, vous ajoutez à vos fondations. «Joignez à votre foi», a dit Pierre ici. Joignez à votre... Premièrement, vous avez la foi, puis vous joignez la vertu à votre foi. Ceci, c'est la colonne suivante. Premièrement, coulez vos fondations – la foi. Alors, à votre foi, joignez la vertu.

111     Eh bien, c'est là que beaucoup de nous sont jetés à terre. Oui monsieur. Oui, joignez la vertu à votre foi. Cela ne signifie pas simplement rester vierge, vous savez, comme une femme ou un homme. Cela n'a rien à voir avec cela. La Bible dit... Nous lisons ici, dans le Livre de Luc, qu'il est dit: «Une vertu est sortie de Lui.» Est-ce juste? Si nous devons être comme Lui, nous devons alors avoir de la vertu. Nous devons l'avoir pour être comme Lui.

112     Le premier chant que j'ai aimé parmi les cantiques (c'est l'un des plus beaux) était Être comme Jésus. Eh bien, si je m'attends à être comme Jésus, je dois avoir de la vertu, et un passage qui fait que cela peut passer de moi aux gens; parce que de la vertu est sortie de Lui pour atteindre les gens – la vertu. Et, avant que vous puissiez la laisser sortir, vous devez premièrement l'avoir. Si vous ne l'avez pas, elle ne sortira pas. Elle ne peut sortir de rien.

113     Qu'arriverait-il si quelqu'un essayait de faire sortir de la vertu de nous – le chèque reviendrait avec la mention «sans provision». Non, il n'y en a point là qu'on peut venir chercher. Le chèque est refusé. Quelqu'un vous considère comme un Chrétien, et, demain, il vous voit quelque part vous conduire mal, comme un pécheur; on ne peut pas venir y chercher beaucoup de vertu. Voyez-vous? C'est juste.

114     La vertu doit être en nous, et, avant de l'avoir... Alors, quand nous obtenons cette véritable vertu, nous pouvons la joindre à notre foi. C'est le mur de fondement suivant.

115     Donc, premièrement, vous devez avoir la foi. La foi seule ne suffira pas. Vous avez... Pierre a dit: «Alors joignez la vertu à votre foi.» Vous devez avoir la vertu, afin de l'ajouter à votre foi. Il se peut que la raison, pour laquelle vous n'en avez pas, c'est parce que beaucoup d'Églises aujourd'hui enseignent qu'il n'est pas nécessaire que vous l'ayez, ou que le temps pour cela est passé. «Il n'est pas nécessaire que vous l'ayez: la seule chose que vous devez faire, c'est de vous joindre à l'Église. Oui, ces jours sont passés.» La vertu – n'importe qui sait ce que signifie le mot vertu; et nous devons l'avoir.

116     Si la vertu est sortie de Lui pour guérir la femme qui était malade, Il s'attend à avoir la même vertu dans Son Église, parce qu'Il était notre exemple. Et, s'Il avait de la vertu à donner aux gens, Il s'attend à ce que nous ayons de la vertu à donner aux gens. Et qu'est-ce que la vertu? La vertu, c'est de la force, de la puissance. Certains d'entre eux ne croient même pas à la puissance de Dieu. Ils disent: «C'est passé. Tout ce que vous devez faire, c'est d'inscrire votre nom dans le livre. Soyez aspergés, inondés ou baptisés, ou autre chose encore, et c'est tout ce que vous avez à faire.» Mais Pierre a dit ici: «Joignez la vertu.»

117     Or, Pierre est en train de parler de la construction d'une Maison de Dieu. Voyez-vous, le Temple de Dieu – préparer cet endroit. Et, après que vous avez de la vertu, vous devez avoir... après que vous avez la foi, vous devez avoir la vertu avec cela. C'est juste. Ayez la vertu pour le monde entier.

118     J'ai prêché un sermon, il y a, me semble-t-il, une vingtaine d'années, sur Monsieur le révérend Lis, pasteur. J'ai pris cela dans ce texte de la Parole, où Jésus a dit: «Considérez les lis: ils ne travaillent ni ne filent; cependant je vous dis que Salomon, dans toute sa gloire, n'a pas été vêtu comme l'un d'eux.»

119     Regardez le lis d'eau [nénuphar – N.D.T.]. Il vient de tout en bas, dans la boue. Et, à chaque minute du jour, il doit puiser dans la terre. Voyez-vous? Et que fait-il avec cette vertu qu'il tire? Il la distribue. Il présente un spectacle magnifique pour l'admirateur. Il s'ouvre et s'offre pour le miel... pour que l'abeille vienne prendre sa part. Il ne se plaint pas; ce qu'il a est là pour être distribué. Qu'arriverait-il si une abeille entrait là-dedans, et que ce soit marqué «sans provision» – point de miel. Cette petite abeille se gratterait la tête, en disant: «Quel genre de lis est-ce là?»

120     Si un homme qui recherche le salut va dans une église qui croit que le temps des miracles est passé... À ce propos, Jack Coe raconte qu'une fois il est entré dans un restaurant qui avait une carte de menu bien fournie. II a commencé à lire; il était marqué: «T-bone steaks» [biftecks d'aloyau – N.D.T.] et ainsi de suite. Il a dit: «Je prendrai un ‘T-bone’ [bifteck d'aloyau].»
    «Eh bien, c'était pour une autre époque. Nous ne l'avons plus.» Vous feriez tout aussi bien de poser la carte de menu et de sortir. C'est juste. Parce que, de toute manière, ils n'ont rien à manger. Vous feriez donc tout aussi bien d'aller dans un restaurant qui a quelque chose à manger.

121     Et un homme spirituel en croissance a besoin de quelque chose à manger. C'est la Parole de Dieu. J'En crois chaque parole.
Dieu a préparé une table
Pour nourrir les saints de Dieu,
Il invite Ses élus; «Venez manger.»
De Sa manne Il nous nourrit,
Subvient à tous nos besoins;
Oh, qu'il est bon de souper avec Jésus tout le temps!

122     C'est juste. Oui monsieur. Il l'a; oui, l'Église l'a. L'Église du Dieu vivant s'édifie dans cet homme parfait, par la connaissance de Christ.

123     Alors, vous devez avoir la vertu. J'ai dit: La première chose qu'il y a, c'est que quelqu'un aime en sentir le parfum. Il n'est pas égoïste, il a un parfum. Avant qu'il puisse répandre son parfum, il doit en avoir. Avant qu'il puisse distribuer du miel, il doit l'avoir. Avant qu'il puisse montrer sa beauté, il doit l'avoir. Avant que vous puissiez distribuer la vertu, vous devez l'avoir. Joignez donc à votre foi la vertu. Amen! Est-ce que vous comprenez? Nous pourrions rester longtemps là-dessus, mais notre temps s'écoulerait rapidement. Joignant la vertu à votre foi.

124     Premièrement, c'est la foi, puis la vertu, et alors, troisièmement, vous joignez la science, ou la connaissance. La connaissance – eh bien, il ne s'agit pas là d'une connaissance mondaine, parce que c'est une folie pour Dieu, mais d'une connaissance pour juger. Juger quoi? Le juste du faux.

125     Alors, comment jugez-vous de cela, si vous avez la connaissance chrétienne? Avec votre vertu et votre foi, vous jugez si la Parole est juste ou fausse. Si vous pouvez mettre de côté tous vos credo et toute votre incrédulité, – et tout ce que vous prétendez avoir fait, – alors vous avez la connaissance, pour croire que Dieu ne peut pas mentir. «Que toute parole d'homme soit tenue pour mensongère, mais la Mienne pour véridique.» Voyez-vous, maintenant vous obtenez la connaissance. C'est la connaissance suprême. Vous n'avez pas besoin d'avoir quatre diplômes universitaires, ou quelque chose comme cela, pour l'avoir, parce que toutes ces vertus vous sont données par Dieu, pour les placer sur le fondement de votre foi, afin que vous puissiez atteindre la pleine stature d'un véritable homme de Dieu vivant. Oui monsieur.

126     Joignez la connaissance, parce que... la connaissance de Sa Parole. Vous devez le croire de cette manière: vous devriez croire aujourd'hui, et accepter, que le temps des miracles n'est pas passé. La connaissance pour savoir que ce que Dieu dit, Dieu peut aussi l'accomplir.

127     Abraham croyait cela et, quand il avait cent ans, il ne douta pas par incrédulité de la promesse de Dieu. Regardez combien cette Parole paraissait ridicule.

128     Voici un homme de cent ans qui s'attend à ce qu'un bébé naisse dans son foyer, d'une femme de quatre-vingt-dix ans. Voyez-vous, près de cinquante ans après... alors qu'elle était stérile. Il avait vécu avec elle depuis qu'elle était jeune fille, ou une adolescente, et le voici maintenant: son courant de vie est mort, et le sein de Sara est mort, et tout espoir a disparu (en ce qui concerne l'espoir). Mais, espérant contre toute espérance, il crut, parce qu'il avait la connaissance pour savoir que Dieu pouvait encore tenir tout ce qu'Il avait promis.

129     Mais, quand vous l'avez comme cela, alors ajoutez cela à votre foi. Quand vous avez la vertu véritable, ajoutez-la à votre foi. Quand vous pouvez marcher ici dans la rue, en vivant comme un Chrétien, agissant comme un Chrétien, étant un Chrétien, alors ajoutez cela à votre foi. Quand vous avez la connaissance... Vous direz: «Eh bien, je ne sais pas, maintenant, si ce passage de l'Écriture est tout à fait juste. Maintenant, voici Actes 2:38 – je ne sais pas comment le faire concorder avec cela; Actes 28:19...» Très bien, n'ajoutez rien. Parce que vous ne l'avez pas encore. Qu'allez-vous faire? Parce que vous n'avez pas encore suffisamment la connaissance pour savoir, de la part de Dieu, que la Bible ne se contredit pas. Laissez ça tranquille. Ne dites plus rien à ce sujet. Voyez-vous? Laissez cela tranquille. Mais, quand vous pouvez voir que l'Écriture n'est pas contradictoire, que vous pouvez dire que... et pouvez voir, par la révélation de Dieu, que la Parole entière est écrite en mystères, et seule la connaissance de Dieu peut La révéler. Alors, quand vous obtenez cela, et que vous pouvez ponctuer chaque parole de Dieu par un «Amen», alors ajoutez cela à votre foi.

130     Oh, vous commencez à être maintenant quelqu'un d'assez bien, vous voyez. Vous êtes en train de monter, voyez-vous. Avec quoi? Avec la foi, puis avec la vertu, et ensuite la connaissance. Vous voyez comment cela construit cet homme? Vous pouvez voir qu'il n'y a pas moyen d'échapper à cela. C'est le moyen d'arriver à la pleine stature de Christ. Oui monsieur.

131     Pour juger – juger correctement; juger si c'est juste ou faux de croire la Parole de Dieu. Juger si c'est juste ou faux pour moi de servir un credo, ou de servir Dieu. Juger si c'est juste ou faux pour moi de naître de nouveau, ou de me joindre à une Église. Alors vous commencez... Juger correctement. Quand le prédicateur dit: «Le temps des miracles est passé»... La Bible déclare: «Jésus-Christ, le même hier, aujourd'hui et pour toujours.» Maintenant, lequel allez-vous croire? Quand vous dites: «Je prendrai Dieu»... Maintenant, vous ne dites pas cela, simplement pour dire: «Eh bien, je le prendrai comme venant de votre cœur», mais quelque chose en vous – votre foi se fraye un passage. Voilà! Votre foi dit: «Je sais qu'Il est le même. (Amen.) J'en suis témoin, qu'Il est le même.» Rien ne peut vous l'enlever. «Je sais qu'Il est réel.» Amen. Alors, ajoutez cela à votre foi. Posez cela sur le fondement.

132     Vous êtes en train de monter maintenant. Vous vous avancez vers le Royaume. Vous êtes arrivé à cet endroit maintenant. Très bien.

133     Maintenant, la chose suivante que le prédicateur vous dira, comme beaucoup d'autres: «Ces choses, que vous lisez dans la Bible, étaient pour un autre temps. Maintenant, je vais vous dire pourquoi. C'est parce que nous n'avons plus besoin de ces choses aujourd'hui. Nous n'en avons pas besoin. Voyez-vous, nous n'avons pas besoin de pratiquer ces choses: la guérison divine; nous ne pratiquons pas le parler en langues dans l'Église (pour garder notre Église d'aplomb); nous ne faisons pas ceci.» Nous allons y venir; j'ai inscrit un passage de l'Écriture, où il est dit si nous devrions encore le faire ou non.

134     Mais, il dit: «Je ne sais pas; nous ne devrions pas faire cela aujourd'hui. La seule chose que je pense que nous devrions faire, c'est que nous devrions apprendre à parler correctement devant les gens. Nous devrions aller chez le psychiatre, pour qu'il teste notre intelligence, et voir si nous pouvons nous présenter, si notre quotient intellectuel est suffisamment élevé pour faire cela. Je pense que nous avons les plus grandes congrégations; nous construisons notre organisation.»

135     Nous ne construisons pas une organisation! Je ne suis pas ici, ce matin, pour construire une organisation! Christ ne m'a jamais envoyé pour construire une organisation! Christ m'a envoyé pour construire des individus, et les amener à la stature de Jésus-Christ, afin qu'ils soient le lieu d'habitation de Son Esprit et les distributeurs de Sa puissance, par Sa Parole – par Sa Parole. Voyez-vous? Édifier l'individu et l'amener à cette position. Pas construire une organisation pour en faire une plus grande dénomination, mais construire les individus pour en faire des fils et des filles de Dieu. Voilà l'idée.

136     Voyez-vous, joignez à votre foi la vertu; à votre vertu, joignez la connaissance. Eh bien, maintenant, vous arrivez quelque part.

137     Maintenant, quand ils commencent à dire: «Eh bien, nous n'avons pas à accepter cela aujourd'hui.» Que si! Vous devez l'accepter! Cela doit être. Les Écritures ne peuvent pas mentir, et: «Elles ne peuvent être l'objet d'interprétation particulière», a dit la Bible. Vous le croyez simplement tel que c'est écrit ici. Voyez-vous, vous devez avoir ces choses. Et la seule façon vous permettant de les avoir, c'est d'avoir la connaissance d'origine céleste. Et la connaissance d'origine céleste confirmera la Parole.

138     Voyez-vous, vous devez croire, pas faire semblant de croire cela. Aucune de ces choses n'est un trompe-l’œil. Voyez-vous, si vous essayez de dire: «Je le possède»... Ne soyez pas un merle mettant sur vous des plumes de paon, parce qu'elles vont tout de suite tomber. Elles n'ont pas poussé là naturellement; elles ont été juste enfilées par la suite.

139     Je pense à ce que David a dit, là, dans le Psaume 1er: «Il sera comme un arbre planté près d'un courant d'eau.» Vous savez, il y a une différence entre être planté et être posé... juste enfilé.

140     Comme le vieux chêne; il a été planté, il est enraciné profondément, et il tient bien. Ce petit bout de bois qui est posé là, vous ne savez pas ce qui va lui arriver. Il n'a point de racines, point de fondement. Voyez-vous? C'est comme certaines personnes qui sortent d'un séminaire ou d'ailleurs, vous voyez. Ils n'ont pas ce...» Eh bien, le docteur Tel et Tel m'a ordonné au ministère.» Peu importe ce que c'était. Christ vous a fait naître là-dedans, par votre foi. Voyez-vous, vous êtes régénéré, et vous y naissez. Alors, après que vous y soyez né, voici les choses qu'Il s'attend à ce que vous ajoutiez. Continuez simplement à les ajouter. Maintenant, nous allons en suivant.

141     Maintenant, il y a une autre chose que nous pourrions dire sur cette connaissance, sur cette connaissance selon Dieu. La Bible, en ce jour-ci, a-t-elle perdu de son sens? Voyez-vous, bien des gens vous disent que la Bible ne veut pas vraiment dire ce qu'elle dit. Si Dieu veille sur moi et me corrige dans mon péché... Et, si je suis un fils de Dieu, Il fait cela. Il le fait ainsi pour vous. Si vous faites quelque chose de faux, Il vous corrige. Alors, si Dieu est si attentif à votre sujet, qu'Il veille sur vous et vous corrige, à combien plus forte raison l'a-t-I1 fait pour Sa Parole; ce qui est votre exemple; ce qui est Lui-même:
    Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu .
    ...et elle a été faite chair, et elle a habité parmi nous.

142     La Parole est la révélation de Jésus-Christ; la Bible le dit. Christ, étant révélé dans Sa Parole. Et, s'Il a veillé sur vous, quand vous transgressiez Ses lois, – Il vous condamne pour cela, – à combien plus forte raison veille-t-Il sur Sa loi, qui vous condamne? Amen!

143     Allons, mon gars, ne me raconte pas ces histoires! Je crois dans une connaissance authentique par le Saint-Esprit. La connaissance par le Saint-Esprit ponctuera toujours la Parole par un «Amen». Quand vous trouvez ces choses qui semblent se contredire dans la Bible, vous vous asseyez et vous étudiez cela dans la prière, comme cela, et, tout à coup, le Saint-Esprit commence à se manifester. Après quelques instants, vous voyez que cela se rejoint. Et là, vous l'avez! C'est la connaissance, voyez-vous.

144     Certains disent: «Eh bien, la Bible déclare qu'Il est le même hier, aujourd'hui et pour toujours.» Et l'Église dit: «Dans un certain sens, Il est le même.» (Aha...) Vous venez d'ouvrir la brèche, juste là. Oui monsieur. Non! Il est le même. Certainement. Jésus-Christ, le même hier, aujourd'hui et pour toujours. Il n'y a aucune différence en Lui du tout. Il vit dans Son Église, faisant la même chose.

145     «Encore un peu de temps (comme je l'ai cité tout à l'heure)... Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez. Car, a-t-Il dit, Je serai avec vous, même en vous, jusqu'à la fin du monde.» Encore une fois, Il a dit: «Les œuvres que Je fais, vous les ferez aussi.» Il a aussi dit: «Je serai le Cep; vous serez les sarments.» Et le sarment vit seulement par la vie du cep. Ce qu'il y a dans le cep sort à travers le sarment. Gloire! Alors Christ est le même hier, aujourd'hui et pour toujours. Cela produit la Vie du Seigneur Jésus-Christ. Amen!

146     La connaissance mondaine raisonne. N'importe quelle sorte de connaissance mondaine raisonne. Voyez-vous? Mais la foi n'a aucun raisonnement. Si Dieu vous révèle qu'une certaine chose va arriver, tous les hommes de science au monde pourraient dire le contraire, dire que cela ne peut pas arriver, vous le croyez malgré tout.

147     Oui monsieur. Cela ne raisonne pas. La Bible dit que nous renversons les raisonnements. Vous ne raisonnez pas avec la foi. La foi n'a aucun raisonnement; la foi sait où elle se trouve. La foi agit! La foi tient bon! Elle ne peut pas bouger. Rien ne peut l'ébranler. Peu m'importe si quelqu'un dit ceci, cela ou autre chose, elle ne bouge pas du tout. Elle reste là. S'il faut attendre, attendre, attendre, attendre, cela ne fait aucune différence, elle reste là.

148     Dieu a dit à Noé que ces choses allaient arriver; il l'a cru. Voyez-vous? Dieu a dit à Moïse que ces choses allaient arriver; il l'a cru. Dieu a dit aux disciples que certaines choses allaient arriver, d'aller là-bas à la Pentecôte et d'attendre; ils y sont restés. Oui.

149     Très bien maintenant. La connaissance; cependant, pas la connaissance mondaine. Mais il s'agit de la connaissance céleste. Et la connaissance céleste... alors que Dieu est la source de toute connaissance, et Dieu est la Parole, et alors, si vous avez la connaissance céleste, vous croyez la Parole, et vous raisonnez de tout par la Parole.

150     Cette affaire d'impôt dans laquelle l'Église s'est trouvée, ou dans laquelle je me suis trouvé... Un des hommes, une fois, au cours d'une petite audition, m'a dit... Ils ne pouvaient rien trouver de mal. Ils commencèrent alors... J'ai dit: «Eh bien, s'il n'y a rien de mal, pourquoi ne me laissez-vous pas tranquille?»

151     Il s'est mis à me citer quelques passages des Écritures. Il a dit (c'était un grand, gros gaillard avec une cigarette à la main) «Monsieur Branham, j'étudie la Bible.»
    J'ai dit: «Je suis content de l'entendre.»
    Il a dit: «Je voudrais savoir ce qui en est de cette superstition. Vous faites payer pour ces mouchoirs que vous envoyez. Cette petite superstition, où vous priez sur des mouchoirs et les envoyez; ces tissus oints, comme vous les appelez, ces tissus.» Il a dit: «Vous les faites payer.»
    J'ai dit: «Non, Monsieur, c'est gratuit.»
    Et il a dit: «Eh bien, à propos de cette superstition...»
    Et j'ai dit: «Vous appelez ça une superstition, Monsieur? Vous m'avez dit, il y a quelques minutes, que vous étudiez la Bible.»
    II a dit: «Certainement.»
    Je lui ai dit: «Citez-moi Actes 19:11.» La connaissance – il s'est pris lui-même au piège. Il a essayé de changer de sujet. J'ai dit: «Alors, citez-moi Jean 5:14.» Il ne pouvait pas le faire. J'ai dit: «Alors, Jacques 5:14.» Il ne pouvait pas le faire. J'ai dit: «Alors, connaissez-vous... Jean 3:16?» La connaissance, intelligent selon le monde, mais...
    Il a dit: «Mais, Monsieur Branham, vous essayez de juger cette affaire par la Bible. Nous la jugeons d'après les lois du pays.»
    J'ai dit: «Monsieur, les lois du pays ne sont-elles pas fondées sur la Bible? Alors, c'est justice!» Amen!

152     Certainement. La connaissance – pas mondaine, la connaissance spirituelle... de la Parole. Sachant ce que Dieu a dit. Faisant ce que Dieu a dit. C'est juste. Alors, si vous avez cela, et que vous pouvez croire toutes ces choses, qu'Il est le même dans toutes ces choses, – ce que la Parole dit est vrai, – et vous ponctuez chacune d'entre elles par un «Amen», alors, c'est bien; joignez cela à votre foi. C'est très bien.

153     Oui. Si quelqu'un essaie de vous dire que la Bible a perdu sa puissance, que le baptême du Saint-Esprit n'existe pas, n'ajoutez pas cela. Cela ne marchera pas. Cela va se détacher. C'est comme mettre de l'argile sur un rocher – cela ne restera pas debout, cela s'effritera.

154     Alors, les gens vous disent: «On ne peut faire confiance à la Bible aujourd'hui. Faites bien attention maintenant. Ne commencez pas à croire...Vous ne pouvez pas...» Vous avez entendu cela tout le temps, ce petit dicton: «On ne peut pas faire confiance à la Bible.» Eh bien, si vous avez cela dans votre pensée, n'essayez pas de l'ajouter, parce que cela ne marchera pas. Tout le bâtiment va immédiatement s'écrouler. Il doit être cimenté par le Saint-Esprit – je veux dire collé ensemble, le mortier qui scelle cela; et la même chose qui scelle cela... Vous savez qu'une chambre à air vulcanisée dure toujours plus longtemps qu'une vieille rustine qu'on a collée. Lorsqu'une vieille rustine sur un pneu reçoit un peu de chaleur, que ce pneu devient un petit peu chaud pour avoir roulé un peu vite, elle va fondre et se décoller.

155     Oui monsieur. Voyez-vous? C'est ce qui se passe avec beaucoup de gens aujourd'hui: ils essaient de coller leur connaissance sur de la connaissance mondaine, avec un petit peu de colle terrestre, et, lorsque les épreuves viennent: «Eh bien, peut-être que je me suis trompé.» Vous voyez, alors l'air s'en va, et vous vous dégonflez en quelques minutes. Tous vos cris de joie et vos bonds ne vous ont servi à rien. Les gens vous voient de nouveau dans le même pétrin. Voyez-vous? C'est juste. Mais si vous restez là, avec suffisamment de la chaleur du Saint-Esprit, jusqu'à ce que cela fait que vous et la chambre à air deveniez un! Ça y est! Vous et la chambre à air devenez un! Quand vous restez là, jusqu'à ce que vous et chaque promesse de Dieu deveniez un, alors ajoutez cela à votre foi. Si ce n'est pas le cas, alors ne l'ajoutez pas du tout.

156     Vous dites: «On ne peut pas faire confiance à la Parole.» N'essayez pas d'ajouter cela. Si vous dites: «Les promesses qui sont ici, du baptême du Saint-Esprit, étaient seulement destinées aux douze apôtres», comme le disent certaines Églises aujourd'hui, n'essayez pas d'ajouter cela. C'est là où leur fondation s'effrite totalement.

157     C'est comme avec Ozias hier soir, lorsque Ésaïe a vu la fondation de cet homme, dans lequel il s'était confié, qui s'effritait, alors qu'il était frappé de lèpre – cela ne valait rien. «Juste pour les douze apôtres, seulement les douze apôtres.»

158     Je me trouvais chez frère Wright (je pense qu'il est là-derrière quelque part) un soir, et il y avait un prédicateur qui s'y trouvait. J'étais en train de parler; il y avait quatre ou cinq prédicateurs réunis. Ce prédicateur s'est levé, et a dit: «Maintenant, je veux vous dire quelque chose, chers amis. Oh, je pense que vous êtes de braves gens.»

159     J'ai dit à quelqu'un: «En voilà un, assis juste là; observez.» Junie Jackson, là-derrière, venait juste de terminer de parler, et il a dit... (Il a parlé de la grâce de Dieu.) Oh! là là! II bouillonnait en attendant son tour. Il s'est levé, et il a essayé de dire quelque chose. «Maintenant, je veux vous dire que Monsieur Branham, qui est ici, c'est un antichrist.» Et il a commencé ainsi.

160     Certains des prédicateurs ont voulu... J'ai dit: «Attendez une minute, ne dites rien, frères. Lui est seul de son côté, et nous, nous sommes plusieurs.» J'ai dit: «Laissez-le tranquille à présent. Il s'en est pris à moi.» Je voulais tellement m'en occuper moi-même que je ne savais plus que faire, voyez-vous.

161     Il a dit: «Monsieur Branham est un antichrist», et il s'est mis à dire toutes sortes de choses, vous savez, à propos de... Il a dit: «Concernant le baptême du Saint-Esprit... La Bible dit qu'il n'y en a eu que douze qui ont reçu le baptême du Saint-Esprit. À propos de la guérison divine, seuls les douze apôtres avaient la guérison divine.» Il a dit: «Nous parlons lorsque la Bible parle; nous nous taisons lorsque la Bible se tait.»

162     J'ai attendu environ une demi-heure qu'il ait terminé de débiter son affaire, et j'ai dit: «Attendez juste une minute. J'ai écrit tellement de choses ici, donnez-moi une chance de répondre à quelques points.» Et, quand je me suis levé, j'ai dit: «Ce monsieur déclare qu'il parlait où la Bible parlait (c'est ce que son Église faisait), et qu'il se taisait lorsqu'elle se taisait – vous en êtes tous témoins.» «Oui.» J'ai dit: «Eh bien, il a déclaré qu'il n'y en avait que douze qui ont reçu le Saint-Esprit. Ma Bible déclare ici qu'il y en a eu cent vingt le premier coup.»

163     Amen! Jetez dehors cette sorte de connaissance, vous voyez, qu'il essayait de...

164     J'ai dit: «Alors, je pense que Paul n'a pas reçu le Saint-Esprit, quand il a dit qu'il L'avait reçu.» J'ai dit: «Lorsque Philippe est allé prêcher aux Samaritains, ils avaient été uniquement baptisés au Nom de Jésus; le Saint-Esprit n'était pas venu sur eux. Et ils envoyèrent chercher Pierre et Jean, qui sont venus, leur ont imposé les mains, et le Saint-Esprit est venu sur eux. Je suppose qu'il n'y avait que les douze.» J'ai dit: «Dans Actes 10:49, lorsque Pierre était sur le toit de la maison et qu'il a reçu par vision d'aller chez Corneille: alors que Pierre prononçait encore ces paroles, le Saint-Esprit est descendu sur ceux qui entendaient la Parole.» J'ai dit: «La Bible parle encore – où se trouve votre Église?» Elle se retrouve dans les «soi-disant». C'est juste. Voyez-vous?

165     J'ai dit: «À propos de la guérison divine – vous avez dit que seuls les douze apôtres avaient la guérison divine. La Bible déclare qu'Étienne est descendu en Samarie, et il a chassé les démons et guéri les malades, et il y eut une grande joie dans la ville – et lui n'était pas l'un des douze. Il n'était pas un apôtre, il était un diacre.» Amen!

166     J'ai dit: «Et Paul n'était pas l'un des douze qui se trouvaient dans la chambre haute, et il avait le don de guérison.» J'ai dit: «Regardez simplement aux dons de guérison; et, encore trente ans plus tard, dans les Corinthiens, il plaçait toujours le don de guérison dans le Corps.»

167     Eh bien, cette sorte de connaissance, que vous apprenez dans un livre, vous feriez mieux de la jeter à la poubelle. Venez à cette connaissance-ci, celle où Dieu dit qu'Il est le même hier, aujourd'hui et pour toujours; et dites: «Amen!» Oui monsieur. Oui monsieur. Pas pour les douze, c'est pour tous. Quand vous obtenez cette sorte de foi, quand votre foi ponctue cela, chaque partie de cela, par un «Amen»... alors vous dites: «Très bien»; ajoutez cela.

168     Quatrièmement... (Nous devrons nous dépêcher, parce que je... Cela fait tellement de bien de se tenir ici, et de parler de cela.) Quatrièmement (merci!), ajoutez la tempérance. Oh! là là! Nous arrivons à la tempérance. Maintenant, vous avez eu la foi premièrement. Vous deviez avoir cela pour commencer. Puis vous joignez la vertu à votre foi (si c'est la sorte correcte de vertu). Alors vous joignez la connaissance (si c'est la sorte correcte de connaissance). Maintenant vous allez joindre la tempérance.

169     La tempérance ne signifie pas non plus qu'il faut arrêter de boire de l'alcool. Non, non. La tempérance ne parle pas d'un traitement pour alcoolique. (Pas dans ce cas. Ceci, c'est la tempérance de la Bible, la tempérance du Saint-Esprit.) C'est juste l'une des convoitises de la chair. Mais nous sommes en train de parler de la tempérance du Saint-Esprit. Cela signifie comment contrôler votre langue – ne pas être une commère; comment contrôler votre tempérament, et ne pas vous emporter chaque fois que quelqu'un vous parle avec colère. Oh! là là! Seigneur, beaucoup d'entre nous vont tomber avant même de commencer, n'est-ce pas? Alors, nous nous demandons pourquoi Dieu n'est pas dans Son Église, accomplissant des miracles et autres, comme auparavant.

170     Oui monsieur. Voyez-vous? Ajoutez ces choses. Ajoutez-y la tempérance. Oh! la tempérance! Comment répondre gentiment, lorsqu'on vous parle avec colère. Si quelqu'un dit: «Vous, espèces d'exaltés, là-bas», ne bondissez pas en retroussant vos manches, maintenant. Voyez-vous, pas cela; mais parlez avec de l'amour divin. La tempérance – la gentillesse. Est-ce ainsi que vous voulez être?

171     Quand on vous injurie, n'injuriez pas à votre tour. Laissez-Le, Lui, être votre exemple. Quand on Lui a dit: «Si Tu es le Fils de Dieu, change ces pierres en pain», Il aurait pu le faire, et montrer qu'Il était Dieu, mais Il avait la tempérance. Quand on L'a appelé Béelzébul, Il a dit: «Je vous pardonne pour cela.» N'est-ce pas vrai? Ils Lui arrachèrent la barbe par poignées, et Lui ont craché au visage, et Lui dirent: «Descends de la croix.»
    Il a dit: «Père, pardonne-leur, ils ne savent même pas ce qu'ils font.»

172     Quand Il avait le don – Il connaissait toutes choses, car en Lui se trouvait la plénitude de la divinité corporellement. Ils L'avaient vu accomplir des miracles, en disant aux gens ce qui n'allait pas avec eux, etc., comme cela. Ils mirent un chiffon autour de Sa tête, comme cela, sur Ses yeux, et Le frappèrent sur la tête avec une baguette, en disant: «Prophétise! Dis-nous qui T'a frappé; nous Te croirons.» Voyez-vous? Il avait la tempérance.

173     Maintenant, si vous l'avez comme cela, joignez-la à votre foi. Si vous explosez encore, que vous répondez avec insolence, que vous faites des histoires, du remue-ménage, que vous faites une scène, vous n'avez pas de... Vous ne pouvez pas ajouter cela, parce que cela ne s'ajoutera pas.

174     Voyez-vous? Cela ne vulcanisera pas. Vous ne pourriez pas prendre un morceau de caoutchouc, vous savez, et le vulcaniser avec un morceau de fer. Cela ne marchera simplement pas; non. Ce doit être souple comme le caoutchouc, voyez-vous. Et, quand votre foi... et votre tempérance devient la même sorte de tempérance du Saint-Esprit qu'Il avait, alors elle vulcanisera avec Lui. Vous y êtes joint.

175     Lorsque votre vertu est comme Sa vertu, alors cela s'ajoutera. Quand votre connaissance est comme Sa connaissance – «Je viens pour faire Ta volonté, ô Dieu.» Avec la Parole du Père, Il a vaincu chaque démon. Les cieux et la terre passeront, mais la Parole ne passera pas. Voyez-vous, lorsque vous avez cette sorte de connaissance, elle vulcanisera avec votre foi. Quand vous avez la sorte juste de tempérance, comme Lui, elle vulcanisera. Si vous ne l'avez pas, si vous n'avez qu'une demi-croyance ou tempérance frelatée, de fabrication humaine: «Oh, je devrais le tabasser, mais... mais peut-être que je ferais mieux pas, parce qu'on pourrait mettre mon nom dans le journal à ce sujet.» Ce n'est pas de cette sorte de tempérance qu'Il parle. N'essayez pas d'ajouter cela; cela ne marchera pas. Mais, quand vous pouvez vraiment, avec la douceur de votre cœur, pardonner à chacun, et rester tranquille, oublier la chose, voyez-vous... alors, cela vulcanisera. Vous pouvez joindre cela à votre foi.

176     (Fiou!) Ce n'est pas étonnant qu'il y ait un tel manque dans l'Église. N'est-ce pas vrai? Ce n'est pas étonnant.

177     Si, lorsque je dis: «Repentez-vous, et soyez baptisés (comme le dit la Bible) au Nom de Jésus-Christ», un rigide Trinitaire, qui ne croit pas cela, dit: «Ce vieil antichrist! C'en est un du Nom de Jésus. C'est un Jésus Seul.» Fais attention, mon gars! Je me demande où en est ta tempérance en ce moment!

178     Pourquoi ne venez-vous pas me dire: «Discutons ensemble de ceci, frère Branham. J'aimerais entendre une explication à ce sujet.» Alors, venez et écoutez cela; et alors, c'est placé devant vous, et ensuite, vous vous en allez... Nous allons prendre cela dans quelques minutes, par rapport à la piété, voyez-vous.

179     Mais, lorsque vous... lorsque vous vous emportez, et que vous voulez tirer des conclusions trop hâtives, ce n'est pas cela, voyez-vous. Vous n'avez pas encore la tempérance de la Bible, lorsque vous faites cela... sur la manière de répondre. Alors, si vous avez tout ceci, vous pouvez l'ajouter à votre foi.

180     Alors, après cela, quatrièmement, vous voulez joindre de la patience à votre foi. «Si vous avez la foi, elle produit la patience», dit la Bible. Voyez-vous? Ainsi, ceci, c'est la patience. Maintenant, c'est la chose suivante qui va construire cette stature. Vous savez, Dieu a des matériaux véritables dans Son bâtiment. Vous voyez ce qui nous manque, frères et sœurs, voyez-vous? Vous voyez où nous en sommes? Voyez-vous, nous avons la gloire, nous avons des cris de joie, et différentes choses, parce que nous avons la foi; mais, lorsque nous arrivons à ces choses, ici, Dieu ne peut pas nous construire, pour former cette stature. Il ne peut pas nous amener à cette sorte d'endroit. Nous tombons et nous glissons avec toutes ces autres choses. Voyez-vous, Il ne peut pas construire Son Église.

181     De la patience avec quoi? Quelle sorte de patience? Premièrement, il faut avoir de la patience avec Dieu. Si vous avez une foi véritable et authentique, vous aurez une patience authentique, parce que la foi produit la patience. Quand Dieu dit quelque chose, vous le croyez. C'est tout. Vous avez alors de la patience. «Eh bien, je Lui ai demandé hier soir de me guérir. Et, ce matin, je suis tout aussi malade.» Oh! là là! Quelle patience! Dieu a dit quelque chose à Abraham, et, vingt-cinq ans plus tard, il n'y avait même pas un signe de cela; il a continué à le croire. Il fut patient avec Dieu. Placez-Le, Lui, toujours devant vous. Laissez-Le être le prochain croisement. Vous ne pouvez pas Le dépasser, gardez-Le donc simplement devant vous. Il l'a dit, cela va arriver. Gardez-Le devant vous. C'est juste.

182     Noé avait de la patience. Oui. Noé avait une véritable patience selon Dieu. Dieu a dit: «Je vais détruire ce monde par la pluie», et Noé a prêché pendant cent vingt ans. Beaucoup de patience – même pas de la rosée est tombée du ciel. Il n'y avait rien. C'était aussi poussiéreux que jamais, pendant cent vingt ans, mais il était patient.

183     Alors Dieu éprouve votre patience. C'est vrai. Dieu les éprouve. Après qu'Il ait dit à Noé: «Noé, Je veux que tu ailles de l'avant, et que tu entres dans l'arche. Je vais y faire entrer les animaux. Je veux que tu entres, et que tu grimpes tout en haut, afin que tu puisses regarder par la fenêtre supérieure. Maintenant, Je veux que tu entres là-dedans. Je veux que tu dises cela à ces gens: `Demain, ce que j'ai prêché pendant cent vingt ans va se produire.' Très bien, va là-bas le leur dire.»

184     Quel fut le premier signe? Noé est entré dans l'arche. Il n'y avait point de pluie.

185     Noé s'est préparé, il a revêtu son imperméable, afin qu'il puisse regarder dehors une fois de temps en temps. Il s'est préparé, mais, le jour suivant, il a peut-être dit à sa famille, et à ses belles-filles, et à tous: «Oh! là là! Demain, vous allez voir quelque chose que vous n'avez jamais vu, parce que le ciel sera tout noir, il y aura du tonnerre et des éclairs. La grande épée de Dieu va tracer un sillon dans le ciel. Il va condamner cette bande de pécheurs qui nous a rejetés pendant ces cent vingt ans. Attendez, et vous verrez.» Vous voyez, certains de ces demi-croyants qui traînent là autour, sans ne jamais entrer, vous savez; nous en avons encore, vous savez.

186     Ils sont donc venus, et ont dit: «Eh bien, il se peut que ce vieil homme ait eu raison; nous allons donc venir là, et attendre quelques jours, ou attendre quelques heures demain matin et voir.» Le lendemain, plutôt qu'un nuage noir, voici le soleil qui se lève, comme il l'a toujours fait. Noé a regardé dehors, et a dit: «Eh, il n'y a point de nuages!»

187     Ce gars s'est avancé en disant: «Ahhhhh! Je savais que tu étais l'un d'entre eux. Je te vois là-haut en train d'attendre!»
    «Eh bien, pardonnez-moi, Monsieur. Euh! peut-être que, vous savez... juste de l'enthousiasme. Euh!...»

188     Mais Noé avait de la patience. Il a dit: «Si cela ne vient pas aujourd'hui, cela sera ici demain.» C'est juste. Pourquoi? Dieu l'a dit!
    «Quand te l'a-t-Il dit, Noé?»
    «Il y a cent vingt ans de cela! Je suis arrivé jusqu'ici, je vais donc simplement attendre ici maintenant.» Vous voyez, nous découvrons aussi que Dieu est arrivé jusqu'ici, et qu'Il attend l'Église. Mais elle sera là, ne vous inquiétez pas. Il l'a promis.

189     On a attendu tout ce temps une résurrection. Il y en aura une, ne vous inquiétez pas. Dieu l'a promis. Attendez simplement patiemment. Vous allez vous endormir; vous allez peut-être faire un petit somme avant que cela arrive. Mais vous vous réveillerez à ce moment-là. Il l'a promis, vous voyez. Ce que nous appelons le petit somme de la mort, vous savez; ce que nous appelons la mort, juste un petit somme, ou dormir en Christ. Mourir, en Christ, n'existe pas. La Vie et la mort n'existent pas ensemble. Nous faisons juste un petit somme. Un petit somme duquel nos amis ne peuvent pas nous faire sortir en nous appelant. Il est le Seul qui puisse nous appeler. «Il appellera, et je Lui répondrai», a dit Job. Job dort maintenant depuis quatre mille ans. Ne vous inquiétez pas; il se réveillera, ne vous inquiétez pas. Il attend toujours.

190     Noé a attendu; le quatrième jour a passé – point de pluie. C'est bien, cela va arriver. Je peux entendre Madame Noé s'approcher, et dire: «Papa, es-tu certain?»

191     «Ne parle pas comme cela.» Il avait de la patience, parce qu'il avait la foi. Oui monsieur. Il avait la vertu. Il avait la connaissance, pour savoir que Dieu avait raison. Il avait de la tempérance. Il ne s'est pas emporté, en disant: «Eh bien, je ne sais pas ce qui est en train d'arriver! J'ai perdu toute ma popularité là-bas!» Non, non. «Les gens ne se soucient plus de moi! Je vais aller là-bas et tout recommencer à zéro.» Non, non. Il avait de la patience. Dieu avait promis; Dieu le fera. Dieu le fera, parce que Dieu l'a dit.

192     Je peux voir son fils s'avancer, et dire: «Papa, tu sais...» Caressant ses longs cheveux gris, vous savez (et il avait des centaines d'années; il était assis là), il a dit: «Je sais que tu es un vieux patriarche. Je t'aime, papa. Mais, serait-il possible que tu te sois légèrement trompé?»
    «Oh, non.»
    «Pourquoi?»
    «Dieu l'a dit!»

193     «Eh bien, papa, cela fait six jours que nous nous trouvons ici. Assis dans cette grosse arche sèche, assis ici. Elle est enduite de poix en dedans et en dehors. Et nous avons passé toutes ces années à la construire. Et toi, tu t'es tenu là, et tu as prêché jusqu'à ce que tes cheveux deviennent tout gris et que tu deviennes chauve. Et te voici maintenant, essayant de dire telle et telle chose. Et les gens sont en train de rire, et de jeter des tomates pourries, et différentes choses, contre son flanc. Regarde un peu ce que tu es en train de faire. Eh bien, tu sais...»
    «Sois patient, mon fils.»
    «Es-tu certain?»
    «Il pleuvra!»
    Sa belle-fille a dit: «Père, tu sais, je...
    «Il pleuvra!»

194     «Mais nous avons attendu depuis toutes ces années; nous nous sommes préparés. Et tu nous as dit qu'il allait pleuvoir, il y a une semaine de cela. Et nous sommes ici dedans, et toutes les portes sont fermées; et nous voici en train de faire les cent pas ici dedans, et le soleil est toujours autant de plomb.»
    «Mais il pleuvra!»
    «Comment le sais-tu?»
    «Dieu l'a dit.»

195     Maintenant, quand vous devenez ainsi, ajoutez cela. Mais, si vous ne l'avez pas ainsi, n'essayez pas de l'ajouter; cela ne marchera pas. Cela ne marchera pas pour la guérison, cela ne marchera pas pour autre chose. Voyez-vous? Cela doit s'allier avec la même matière que celle avec laquelle il est vulcanisé. C'est juste. Vous devez ajouter cela. La patience avec la promesse de Dieu. Oui monsieur. Noé a cru cela, et il a eu de la patience avec Dieu pendant cent vingt ans.

196     Moïse – il avait de la patience avec Dieu. Oui monsieur. «Moïse, J'ai entendu le cri de Mon peuple. J'ai vu leurs afflictions. Je suis descendu pour les délivrer. Je vais t'envoyer là-bas.» Et le petit contraste là, entre lui et Dieu, et Dieu lui a montré Sa gloire. Il a dit: «J'y vais.» Dès qu'il eut vu la gloire de Dieu, vous voyez, il eut la foi.
    Il lui a dit: «Qu'y a-t-il dans ta main, Moïse?»
    Il a répondu: «Une verge.»
    Il a dit: «Jette-la par terre.»
    Elle devint un serpent. Il a dit: «Oh! là là!»
    Il a dit: «Saisis-le, Moïse. Si Je suis capable de la transformer en serpent, Je peux aussi la ramener à sa condition première.» Amen! Si Dieu peut me donner une vie naturelle, Il peut me donner une Vie spirituelle! Si Dieu peut me donner la première naissance, Il peut me donner la seconde Naissance! Amen! Si Dieu peut guérir ceci par la guérison divine, Il peut le ressusciter, à Sa gloire, dans les derniers jours!

197     «Je peux jeter cette verge par terre; elle deviendra un serpent. Je peux le faire redevenir une verge.»
    «Saisis-le par la queue!» Moïse a étendu la main et l'a attrapé – et c'était une verge. Alors, il a commencé à ajouter la connaissance.
    «Qu'est-ce qui se passe avec ta main, Moïse?»
    «Rien.»
    «Mets-la dans ton sein.»
    «Très bien; et alors?» – blanche de lèpre.
    «Oh! Seigneur, regarde ma main!»
    «Remets-la dans ton sein, Moïse.» Il l'a remise; elle est redevenue comme...

198     Il a commencé alors à les ajouter comme ceci. Oui monsieur!

199     Il est arrivé là-bas, et le premier contraste... quand il est arrivé là-bas. Il est arrivé là et a dit: «Le Seigneur Dieu a dit ‘Laisse aller mon peuple.’ Pharaon, je veux que tu saches ceci: Je viens en tant que représentant de Dieu. Tu dois m'obéir.»
    Pharaon a dit: «Obéir? Sais-tu qui je suis? Je suis Pharaon. T'obéir, à toi, un esclave?»
    Il a dit: «Tu devras m'obéir, ou périr. Tu peux choisir.» Pourquoi? Il savait de quoi il parlait. Il avait une commission. Il était là-bas, et il avait parlé à Dieu. Il avait la foi. Il savait où il se trouvait.
    «Tu veux que moi, je t'obéisse? File d'ici!»
    «Je te montrerai!»
    «Montre-moi un signe!» Il a jeté une verge par terre; elle s'est transformée en serpent.
    «Oh, a-t-il dit, ce n'est qu'un tour facile de magicien! Viens ici une minute. Venez ici, Jannès et Jambrès; jetez vos verges par terre!» Ils les jetèrent par terre, et elles devinrent des serpents. Il a dit: «Maintenant, toi, piètre personnage, tu viens ici vers moi, un Égyptien, un pharaon de l'Égypte. Et tu viens ici avec quelques-uns de tes tours faciles de magicien?» (Ta supercherie, vous savez; comme la lecture de pensée. Vous savez ce que je veux dire. J'espère que vous comprenez. La télépathie ou quelque chose ainsi, vous voyez.) «Tu viens ici avec des choses comme ça.» Il a dit: «Eh bien, nous pouvons faire la même chose que toi!»

200     Qu'est-ce que Moïse a fait? Il n'a pas dit: «Oh, Monsieur Pharaon, je regrette. Je serai votre esclave.» Non. Il est resté tranquille! Amen. Il est resté à sa place! Dieu a dit... (Il n'y avait point de doute dans son cœur.) «Reste tranquille, Je te montrerai quelque chose.»

201     Quand vous avez fait exactement ce qu'Il a dit de faire, et qu'il vous semble que cela a mal tourné, restez tranquille. Soyez patient. Moïse a dit: «Tu sais, lorsque j'ai été placé sur ce fondement, il y avait de la patience qui avait été placée là. Je vais donc attendre, et voir ce que Dieu fera.»

202     Là, ces vieux serpents, rampant de partout, soufflant et se sifflant – tout à coup, vous savez, le serpent de Moïse a fait: «Gob, gob, gob», et il les a tous avalés. Il avait de la patience.
Ceux qui s'attendent au Seigneur
Renouvelleront leur force.
Ils s'élèveront avec des ailes comme un aigle. (Est-ce juste?)
Ils courront, et ne se lasseront point,
Marcheront, et ne se fatigueront point.
    Voyez-vous? Attendez-vous simplement au Seigneur. Ayez de la patience.

203     Oui monsieur. Alors Israël allait sortir. Le grand contraste est arrivé, et Moïse a attendu. Puis il est arrivé dans le désert. Cela ne fait qu'un voyage de trois ou quatre jours (c'est seulement une soixantaine de kilomètres, depuis l'endroit où il a traversé, là, jusqu'à l'endroit où ils ont traversé de nouveau), mais Moïse, dans le désert, a attendu quarante ans! La patience. C'est juste. Il a attendu quarante ans. Oh, oui monsieur.

204     Et nous devrions aussi avoir de la patience les uns avec les autres. Voyez-vous? Parfois nous devenons tellement impatients les uns avec les autres. Nous pensons que nous devons être comme Moïse. Moïse avait de la patience avec les gens. Regardez, c'est ce qui a fait qu'ils n'ont pas pu traverser. Voyez-vous, si vous essayez de faire quelque chose; comme j'ai essayé de faire comprendre ce Message au Tabernacle, pour voir que chaque membre du Tabernacle devienne ceci. C'est difficile à faire. J'ai essayé d'avoir de la patience – cela fait trente-trois ans. Avoir de la patience. Les femmes continuent à se couper les cheveux (c'est pareil). Mais ayez simplement de la patience – simplement avoir de la patience, attendre. Vous devez le faire. Si vous ne l'avez pas, n'essayez pas de construire sur ceci. Ayez de la patience.

205     Même, une fois, cette bande de rebelles furent tellement impatients qu'ils amenèrent Moïse à faire quelque chose de faux. Mais cependant, lorsque c'en est arrivé à une confrontation, Dieu en a eu assez. Il a dit: «Sépare-toi, Moïse. Je vais tuer toute cette bande, et recommencer à zéro.»

206     Il s'est jeté dans la brèche, en disant: «Ô Dieu, ne le fais pas.» Pourquoi? Il avait de la patience pour les gens qui se rebellaient contre lui.

207     Je me demande si nous pourrions faire cela. Si vous ne le pouvez pas, n'essayez pas de construire là-dessus. Parce que cela ne change pas. C'est ainsi que le premier est vulcanisé dans ceci; c'est ainsi que chacun d'entre eux doit être vulcanisé. Si vous ne le faites pas, vous n'arrivez pas à cette stature, du lieu d'habitation du Dieu vivant. Vous n'avez pas la patience. La patience les uns avec les autres.

208     Très bien. Les enfants hébreux avaient de la patience. Certainement. Dieu leur avait promis... leur avait dit: «Ne vous prosternez devant aucune image.» Mais ils avaient de la patience. Ils ont dit: «Notre Dieu peut... Mais, néanmoins, nous n'allons pas nous prosterner devant votre image.» La patience – sachant ceci: que Dieu le ressuscitera dans les derniers jours. Cette vie n'a pas tellement d'importance après tout, voyez-vous, Dieu la ressuscitera dans les derniers jours. Mais, quand il s'agit de se prosterner devant une image, nous ne le ferons pas.

209     «Eh bien, nous donnerons à César ce qui est à César, mais, quand César interfère avec Dieu, Dieu passe en premier. Dieu a dit: ‘Ne vous prosternez pas devant cette image’; alors, je ne le ferai pas. Notre Dieu peut nous délivrer, mais, s'Il ne le fait pas, je ne me prosternerai pas devant l'image.»
    Il a dit: «Très bien, voici la fournaise.»
    «Eh bien, a-t-il dit, je pense qu'il va pleuvoir très fort cette nuit et tout éteindre.» Mais ça n'est pas arrivé. Toujours de la patience.

210     Le lendemain matin, lorsque le cas fut présenté à la cour, Nebucadnetsar était assis là, et il a dit: «Bon, les gars, êtes-vous prêts à me reconnaître en tant que votre roi?»
    «Certainement, vis éternellement, ô roi!»
    «Maintenant, prosternez-vous devant mon image.»
    «Oh non!»
    «Eh bien, vous allez être consumés. Vous êtes des hommes sages, vous êtes intelligents. Vous nous avez été d'une grande aide. Vous avez été une bénédiction pour notre royaume. Ne pouvez-vous pas comprendre que je ne veux pas faire ceci, mais j'ai fait une proclamation ici, et on doit lui obéir. Je ne veux pas vous jeter là-dedans. Oh, hommes, qu'est-ce qui se passe avec vous?»
    «Je sais que cela paraît bien, mais notre Dieu peut nous délivrer; sinon: avoir de la patience.» Ils ont donc commencé à gravir la rampe, se regardant l'un l'autre: «Ça va?» «Tout va bien. Nous avons de la patience.» Ils ont fait un pas – Dieu n'était pas là. Deux pas – Il n'était pas là. Trois pas, quatre pas, cinq pas; ils ont continué à avancer – et Il n'était toujours pas là. Et ils sont entrés directement dans la fournaise ardente. Ils avaient de la patience – mais Il était là. Voyez-vous? Juste suffisamment de feu les a atteints, pour brûler les liens qu'ils avaient aux mains et aux pieds; et alors, lorsqu'ils atterrirent au fond du trou, Il s'y trouvait. Ils eurent de la patience.

211     Pour Daniel, ce fut pareil. Daniel avait de la patience. Certainement. Il n'allait pas abandonner. Non monsieur. Qu'a-t-il fait? Il a ouvert ces fenêtres et a quand même prié – c'était une exigence de Dieu. Il avait de la patience. Il s'est attendu à Dieu, sachant que Dieu pouvait tenir Sa parole. Ils l'ont jeté dans la fosse aux lions, en disant: «Nous laisserons les lions te dévorer.»

212     Il a dit: «C'est bien.» Il avait de la patience. Pourquoi? «Eh bien, je me suis attendu pendant tout ce temps à Dieu. Si je dois attendre encore quelques milliers d'années, je ressusciterai dans les derniers jours. J'ai donc de la patience; j'attendrai simplement.»

213     Paul avait de la patience. Certainement. Regardez ce que Paul a dû faire.

214     Parlez-moi de patience. Qu'en est-il des Pentecôtistes? Aussi longtemps qu'ils ont la commission: «Attendez jusqu'à ce que... attendez jusqu'à ce que vous soyez revêtus de puissance.»
    «Jusqu'à quand?»
    «Le temps d'attente n'entre pas en ligne de compte» – ils ont reçu la réponse. Attendez jusqu'à ce que. Ils sont donc montés là-haut, et ils ont dit: «Très bien, les gars, peut-être que dans l'espace de quinze minutes, le Saint-Esprit sera venu sur nous, et nous allons avoir notre ministère.» Quinze minutes ont passé – personne. Un jour a passé – personne. Deux, trois, quatre, cinq, six, sept. Peut-être que certains d'entre eux ont dit: «Hé! Ne penses-tu pas que nous l'avons déjà reçu?»
    «Non, non; non, non.»
    «Vous feriez mieux de sortir d'ici, les gars.»
    Le diable a dit: «Vous savez, vous avez déjà reçu ce que vous vouliez. Allez-y, et commencez votre ministère.»

215     «Non, non; nous ne l'avons pas encore reçu, parce qu'Il a dit: ‘Il y aura un (ce qui arrivera dans les derniers jours)... Par des lèvres balbutiantes et d'autres langues, Je parlerai à ce peuple, et voici le repos dont J'ai parlé’. Voyez-vous? (Ésaïe 28:19) Il l'a dit, c'est cela. Vous le recevrez quand... Vous saurez quand cela viendra. Nous saurons quand cela viendra. Nous le saurons – le Père l'a promis.» Ils ont attendu neuf jours, et alors, le dixième jour – maintenant, vous y êtes. Ils ont eu de la patience pour attendre.

216     Maintenant, si vous avez cette sorte de patience, après que Dieu vous ait donné une promesse, et que vous l'ayez vue dans la Bible: «C'est à moi»; alors, attendez. Alors, si vous avez cette sorte de patience, joignez-la à votre foi. Vous voyez à quelle hauteur vous arrivez maintenant? Vous arrivez ici, tout en haut, maintenant! Très bien. (Les aiguilles de la pendule tournent bien aussi.)

217     Très bien, joignant ceci à votre foi, Le plaçant, Lui, toujours devant vous, vous rappelant que c'est Lui qui l'a promis. Ce n'est pas moi qui l'ai promis; ce n'est pas le pasteur qui l'a promis (notre frère Neville); ce n'est pas un autre serviteur qui l'a promis; ce n'est pas un prêtre ou un pape; ce n'est pas un homme de la terre; c'est Dieu qui a fait la promesse. Et Dieu peut tenir tout ce qu'Il a promis.

218     Très bien. Si vous avez cette sorte de foi, et que vous savez que Dieu l'a promis...Vous direz: «Frère Branham, je suis malade. J'ai terriblement besoin de guérison.» Acceptez-la. C'est un don qui vous est fait. Certainement. «Si tu peux croire.» «Eh bien, direz-vous, je le crois effectivement.» Alors, oubliez ça. C'est tout. C'est entièrement terminé. Voyez-vous, ayez de la patience.

219     Si vous avez de la patience... Si vous n'en avez pas, cela va s'effriter, et vous allez tomber de cet édifice, vous voyez. Cela fera crouler tout le reste, cette unique chose. Vous devez avoir cela. Ne l'ajoutez pas, parce que cela va démolir votre bâtiment. Si vous n'avez pas de la patience... Si vous n'avez pas de la vertu à ajouter à votre foi (comme vous dites en avoir), si vous n'avez pas de foi, et que vous essayez de poser la vertu sur cela, cela va démolir votre foi. Vous direz alors: «Eh bien, attendez une minute. Peut-être qu'après tout, tout ceci n'est qu'une erreur. Peut-être que Dieu n'est pas Dieu. Peut-être qu'il n'y a point de Dieu.» Voyez-vous, vous casserez la chose en deux.

220     Voyez-vous? Mais si vous avez la foi authentique, alors posez sur elle la vertu authentique, puis la connaissance authentique, puis la tempérance authentique, puis la patience authentique. Vous voyez, vous gravissez les échelons.

221     Très bien. Cinquièmement, ajoutez la piété. Oh! là là! La piété doit être ajoutée. Que signifie piété? J'ai regardé dans quatre ou cinq dictionnaires, et je n'ai même pas pu trouver ce que cela signifiait. Finalement, je me trouvais chez le frère Jefferies, et nous avons trouvé cela dans un dictionnaire. Piété signifie être comme Dieu.

222     Oh! là là! Après que vous avez la foi, la vertu, la connaissance, la tempérance, la patience, alors: être comme Dieu. Vous dites: «Je ne le peux pas, frère Branham.» Oh si, vous le pouvez! Laissez-moi simplement vous lire quelques passages de l'Écriture une minute. Matthieu 5:48. Nous prendrons celui-ci, et nous verrons ce que cela donne – Matthieu 5:48 – et nous verrons si vous êtes censés

223     être comme Dieu. Vous savez que la Bible déclare: «Vous êtes des dieux.» Jésus l'a dit. Pourquoi? Toutes les ver-... Toutes les choses qui sont en Dieu sont en vous. Matthieu 5:48 «Soyez... (C'est Jésus qui parle dans les béatitudes.) Soyez donc (p-a-r-f-a-i-t-s: qu'est-ce que c'est?) parfaits, comme votre Père céleste est parfait.» Vous êtes arrivés ici, en haut, avant que vous deviez faire cela. Toutes ces choses doivent être ajoutées premièrement. Alors, quand nous arrivons ici, en haut, Il vous demande maintenant d'être parfaits, – la piété, – des fils et des filles de Dieu. C'est juste. Combien de choses pourrais-je dire dans la même ligne.

224     Prenons, Éphésiens 4, et regardons ici ce que... dans le Livre des Éphésiens, ce qu'il est dit à propos de cette chose également, sur la manière de procéder. Éphésiens, chapitre 4, et depuis le verset 12. Éphésiens 4, et nous commencerons avec le verset 12. Très bien. Commençons ici au verset 11.
    Et il a donné les uns comme apôtres, les autres comme prophètes (rappelez-vous d'hier soir; n'essayez pas de remplir la fonction de l'autre homme), les autres comme évangélistes, les autres comme pasteurs et docteurs,
    pour le perfectionnement de Dieu (Y lit-on cela? Le perfectionnement des quoi? Des saints. Qui sont les saints? Ceux qui sont sanctifiés. Amen. Ceux qui ont commencé ici, en bas.)
    ...1e perfectionnement des saints en vue de l’œuvre du ministère (le ministère de Jésus-Christ) et de l'édification du corps de Christ (l'édification, la construction, l'édification),
    jusqu'à ce que nous soyons tous parvenus à l'unité de la foi et de la connaissance du Fils de Dieu, à l'état d'homme fait [ou parfait] (jusqu'à l'assurance, oh! là là!), à la mesure de ta stature parfaite de Christ.

225     Pour être parfaits, il faut de la piété. Vous devez joindre à votre foi, de la piété. Voyez-vous, vous commencez ici, en bas, avec la vertu. Puis vous passez à la connaissance, puis vous passez à la tempérance, puis vous passez à la patience, et maintenant, vous êtes sur la piété – la piété. Oh! là là! Notre temps s'écoule rapidement. Mais vous savez ce que signifie piété. Vous chantez le chant:
Être comme Jésus,
Être comme Jésus;
Sur terre je languis d'être comme Lui.
Pendant tout mon voyage
De la terre à la Gloire,
Je ne demande qu'à Lui ressembler.

226     C'est la piété. Lorsqu'Il fut frappé sur un côté du visage, Il a tourné l'autre. Quand on Lui a parlé crûment, Il n'a pas parlé; Il n'a pas injurié à Son tour. Voyez-vous, pieux. Cherchant toujours une chose: «Je fais toujours ce qui est agréable au Père.» Oui monsieur. Toujours. C'est la piété.

227     Vous voyez, après que vous avez passé de là, à là, à là, à là, à là, à là, vous arrivez maintenant à la pleine stature d'un fils de Dieu. Mais vous devez avoir ceci, plus tout ceci; et vous ne pouvez même pas commencer avant d'avoir ceci.

228     Maintenant, rappelez-vous le merle avec des plumes de paon. Ne l'oubliez pas, voyez-vous. N'essayez pas d'ajouter cela, tant que vous n'êtes pas effectivement né de nouveau, parce que cela ne marchera pas. Vous ne pouvez pas le faire marcher. Cela arrivera à ceci, ou ceci ici, et cela s'effritera quelque part. Mais, quand vous obtenez, là, une authentique colombe née de nouveau, alors vous n'ajoutez rien. Cela s'ajoute à vous; cela va en montant.

229     Très bien. Nous arrivons à la perfection maintenant. Très bien. Alors, sixièmement, joignant... La Bible dit ici: joindre ou ajouter l'amour fraternel, l'affection fraternelle. Eh bien, ça, c'est bon. Juste ici, le sixième ou... septième. Très bien. Joindre l'affection fraternelle. Très bien. Quand nous arrivons à cela, l'affection fraternelle, mettez-vous à Sa place dans cette affaire. Maintenant, vous direz: «Mon frère a péché contre moi», comme l'a dit Pierre. «Faut-il lui pardonner?» Il a dit: «Sept fois par jour?»
    Il a répondu: «Soixante-dix fois sept.»

230     Voyez-vous, l'affection fraternelle. Maintenant, voyez-vous, si un frère détonne complètement, ne soyez pas impatient avec lui. Non. Soyez aimable avec lui. Allez-y quand même.

231     Quelqu'un m'a dit, il n'y a pas longtemps: «Comment pouvez-vous croire les choses comme vous le faites, et continuer à aller chez les Assemblées de Dieu, et les Unitaires, et partout ailleurs?» Voyez-vous, l'affection fraternelle – espérant qu'un jour... Voyez-vous, la patience avec lui, la tempérance – le supportant; la connaissance, pour comprendre ce qu'il croit, et se rappeler que c'est dans son cœur, c'est cela; de la vertu en vous-même pour la laisser sortir avec gentillesse, douceur vis-à-vis de lui; ayant la foi qu'un jour, Dieu le fera entrer. L'affection fraternelle – la septième chose. Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept. Voyez-vous? Sept choses.

232     Alors, maintenant, vous arrivez. Ensuite, ajoutez la charité, ce qui est l'amour. C'est la pierre de faîte. Un de ces jours, dans l'église...

233     Maintenant, s'il vous plaît, que sur bande l'on sache, partout, que je n'enseigne pas ceci comme une doctrine – ce que je vais dire maintenant. Mais je veux simplement vous montrer, avec l'aide de Dieu, ce que c'est vraiment, et que la première Bible que Dieu a écrite, c'était le zodiaque dans le ciel. Cela commence par une vierge. Cela se termine par Leo, le lion. Et, quand j'arriverai à ce Sixième, et Septième Sceau, vous verrez ce qu'il en est. Quand cet autre Sceau fut ouvert, le signe du zodiaque de cet endroit, c'était le cancer, les poissons qui se croisent. C'est l'âge du cancer dans lequel nous vivons maintenant. Révélé. Et la chose suivante que le Sceau, une fois rompu, a révélé, c'est Leo, le lion – la seconde venue de Christ. Il vient la première fois à la vierge; il vient ensuite comme Leo, le lion. J'amènerai ceci à travers ces... Maintenant, je ne sais pas si je vais avoir le temps ce matin... Je vais faire de mon mieux pour vous montrer que ces marches sont dans la pyramide; exactement, la seconde Bible que Dieu a écrite. Énoch les a écrites et les a placées dans la pyramide.

234     Et la troisième (Dieu est toujours rendu parfait en trois), alors Il s'est fait Lui-même, Sa Parole. Maintenant, rappelez-vous, dans la pyramide... (Je pense que beaucoup d'entre vous, soldats, et autres, vous étiez en Égypte.) La pyramide n'a pas de coiffe sur elle. Elle n'en a jamais eu. Ils ont la pierre de Scone et tout le reste, mais pourtant...

235     Si vous avez un billet d'un dollar dans votre poche, regardez ce billet, et vous verrez que, du côté droit, il y a un aigle avec le drapeau américain. Et il est dit: «Le Sceau des États-Unis.» Et, de l'autre côté, il y a la pyramide, avec une grosse pierre de faîte et l’œil d'un homme. Et il est dit de ce côté-ci: «Le Grand Sceau.» Eh bien, si ceci est une grande nation, pourquoi ce grand sceau ne serait-il pas son propre sceau, celui de la nation? Dieu les fait rendre témoignage, peu importe où ils vont.

236     Je parlais une fois à un docteur, et il était en train de me faire toutes sortes de remarques virulentes à propos de la guérison divine. Nous étions debout, dans la rue. Il m'a dit: «Monsieur Branham, vous ne faites que troubler les gens. Il n'y a pas de guérison, si ce n'est au travers de la médecine.»

237     Comme je me retournais, je regardai son insigne sur la voiture – il portait ce serpent sur le poteau. J'ai dit: «Vous feriez mieux alors de retirer cet insigne de votre voiture, parce que votre propre insigne témoigne que Dieu est un guérisseur.» Un véritable docteur croit cela. Ça, c'est ces charlatans. Oui monsieur. Le serpent sur le poteau – Moïse a élevé le serpent sur le poteau; et Il a dit: «Je suis l'Éternel, qui guérit toutes tes maladies.» Et ils ont regardé ce serpent pour recevoir la guérison divine. Et ils témoignent contre cela, mais pourtant, leur propre insigne témoigne contre eux!

238     Voici notre nation, qui dit toutes ces choses et qui se moque de ces choses, et son propre argent (sa monnaie) témoigne que le Sceau de l'univers entier, c'est Dieu. Vous voyez cet oeil qui se trouve au-dessus de cela, sur ce billet d'un dollar? C'est le Grand Sceau.

239     Elle n'a jamais été placée au sommet de la pyramide. Ils ne pouvaient pas comprendre. Pourquoi? La pierre de faîte fut rejetée, la tête – Christ. Mais elle viendra un jour.

240     Maintenant, en bâtissant la vertu. En bâtissant ce monument. En bâtissant cette stature. Vous voyez, cela commence par le fondement, qui est la foi – puis la vertu, la connaissance, la tempérance, la patience, la piété, l'affection fraternelle. Maintenant, qu'est-ce que cela fait? Alors, ils attendent la pierre de faîte, qui est l'amour. Car Dieu est amour, et II contrôle, et Il est la force de chacune de ces choses. Oui monsieur. Juste ici. Juste ici. Vous voyez, je l'ai entre toutes ces œuvres ici, et j'ai fait passer ici ces petites vagues. Qu'est-ce que c'est? Le Saint-Esprit, descendant à travers Christ, vous voyez, le Saint-Esprit. Le Saint-Esprit est au-dessus de tout ceci, soudant ceci ensemble. Construisant quoi? Une Église parfaite, pour que la pierre de faîte vienne la coiffer! Qu'est-ce que cela a aussi fait, tout du long? Cela s'est manifesté à travers sept âges de l'Église et sept messagers à l'Église.

241     Cela a débuté ici, en arrière... Où l'Église a-t-elle été fondée, au tout début? Où l'Église pentecôtiste a-t-elle été fondée, au début? Par saint Paul, à Éphèse; l'Étoile de l'âge de l'Église d'Éphèse – Éphèse. Le second âge de l'Église, c'était Smyrne – la vertu. Irénée, cet homme remarquable qui a soutenu l'Évangile de Paul. L'âge de l'Église suivant, c'était Pergame, et Martin était l'homme remarquable qui est resté... Paul, Irénée, Martin; puis, avec Thyatire, est venu Colomban. Rappelez-vous, voici, c'est dessiné juste là. Colomban. Après Colomban (les âges sombres sont venus dans cette période) est venu Sardes, ce qui signifie mort – Luther. Alléluia! Quoi ensuite? Qu'est-ce qui est venu ensuite? Après Sardes (Luther); puis est venu Philadelphie – la piété. Wesley – la sainteté. «Le juste vivra par la foi», a dit Luther. La sanctification à travers Wesley. Puis est venue l'affection fraternelle, à travers Laodicée. Et nous croyons que le grand Message de la seconde apparition d'Élie, dans les derniers jours, va balayer le pays.

242     Voilà – sept âges de l'Église, sept marches. Dieu bâtit Son Église comme une personne, un individu, en Lui-même. La gloire, la puissance de Dieu descendant à travers ceci, nous soudant ensemble. C'est pourquoi les Pentecôtistes ont mis dehors les Luthériens, ont mis dehors les Wesleyens et les autres – ils ne savent pas de quoi ils parlent. Vous voyez, ils ont vécu dans cette partie-ci du temple. Voilà pourquoi certains peuvent monter jusqu'à cette hauteur, puis retomber. Mais il y a une partie véritable de cela qui continue à former ce bâtiment. Allons-y: «Je restaurerai», a dit le Seigneur.

243     Vous vous rappelez de L'Arbre-Épouse? Vous vous rappelez du sermon sur l'Arbre-Épouse? Ils l'ont dévoré jusqu'à sa base, mais Il l'a émondé. II avait des branches dénominationnelles; Il les a émondées. Ils ont commencé une autre Église, des branches dénominationnelles; Il les a émondées. Mais le cœur de cet arbre a continué à grandir. «Au temps du soir, la lumière paraîtra.» Voyez-vous? C'est alors que vient Christ, le Saint-Esprit. Jésus descend et s'installe à la tête de l'Église, et alors, Il ressuscitera cette Église, qui est Son propre Corps. Là-dedans se trouve le Corps, et la manière dont Dieu s'attend à ce que nous croissions, en tant qu'individus, c'est la manière dont Il a fait entrer Son Église, pour qu'elle croisse. Avec chaque âge de l'Église – et cela forme ensuite une grande Église.

244     Vous voyez, il n'était pas exigé de ces gens la même chose que de ces autres. Il n'était pas exigé de celui-ci la même chose que de celui-là. Voyez-vous? Mais Il a construit Son Église de la même manière... Il a construit Son Église de la même manière qu'Il construit Son peuple. Alors, Pierre, ici, dit premièrement (sept choses): La foi, la vertu (vous voyez, ça monte), la connaissance, la tempérance, la patience, la piété, l'amour fraternel, l'affection fraternelle, et ensuite l'amour de Dieu; le Saint-Esprit. Christ, dans la Personne du Saint-Esprit, vient sur vous dans le vrai baptême du Saint-Esprit. Et vous avez toutes ces vertus scellées en vous; alors Dieu vit dans un tabernacle, appelé l'édifice – le Tabernacle vivant, du lieu d'habitation du Dieu vivant.

245     Quand un homme possède ces sortes de choses, alors le Saint-Esprit vient sur lui. Peu importe, il se peut que vous parliez en langues, il se peut que vous imitiez tous les dons que Dieu possède. Il se peut que vous fassiez cela; mais, tant que ces vertus, ici, ne sont pas entrées en vous, vous êtes encore à côté du fondement véritable de la foi. Mais, quand ces vertus grandissent là-dedans, et que vous ajoutez cela à cela, alors vous êtes un monument vivant. Vous êtes une idole vivante en mouvement.

246     Vous savez, les païens se prosternent devant une idole, un dieu imaginaire, et, d'une façon imaginaire, ils croient que ce dieu imaginaire leur répond. C'est du paganisme.

247     C'est du romanisme. Ils se prosternent devant toutes sortes de saints, et tout le reste. Ils ont sainte Cécile, dieu domestique, et tellement d'autres choses comme cela. Ils se prosternent là-devant, et croient effectivement cela d'une manière imaginaire. Quel type c'est, du véritable Dieu vivant!

248     Mais, quand nous, non pas d'une manière imaginaire, mais que nous nous prosternons devant un Dieu vivant, une vertu vivante, une connaissance vivante, une patience vivante, une piété vivante, une puissance vivante, venant par le Dieu vivant, cela fait d'un homme vivant une image vivante – la stature de Dieu!

249     Qu'est-il en train de faire? Les mêmes choses que Jésus a faites. Marchant de la même manière que Lui. Faisant les mêmes choses que Lui, parce que ce n'est pas quelque chose d'imaginaire! Il y a une réalité qui le démontre!

250     Vous voyez ce que je veux dire? Vous voyez de quelle manière ces vertus, ces matériaux de construction, s'associent avec les messagers de l'Église, et avec les âges de l'Église?

251     Eh bien, un de ces jours, nous allons prendre chacun de ces mots, et les étudier à fond, et montrer que cela démontre ceci. Tout cela va ensemble. Assurément. Voyez-vous? Oh! là là! Comme c'est merveilleux de voir ce que cela fait!

252     Bon. C'est la maison dans laquelle Dieu habite. Non pas un bâtiment avec une grosse cloche au sommet et un haut clocher, vous voyez, mais «Tu M'as formé un corps». Un corps dans lequel Dieu peut habiter, Dieu peut marcher, Dieu peut voir, Dieu peut parler, Dieu peut agir. Amen! Un agent vivant de Dieu. Dieu marchant sur deux pieds, en vous. Gloire! «Les pas du juste sont dirigés par Dieu.» Dieu marchant en vous, car «vous êtes des lettres écrites, lues de tous les hommes». Et, si la Vie qui est en Christ est en vous, vous manifesterez la Vie que Christ a manifestée.

253     Comme je l'ai toujours dit: Retirez la sève d'un pêcher, et, si vous pouviez la transférer par une transfusion dans un pommier, le pommier porterait des pêches. Assurément. Certainement. Peu importe l'apparence des branches, il y a en lui de la sève de pommier, vous voyez, ou d'un autre arbre. Si vous retirez la vie d'un pommier, que vous retirez cela complètement, et que vous lui donnez une transfusion de sève, et vous la faites passer du pêcher dans le pommier, que va-t-il arriver? Il ne produira plus de pêches. Voyez-vous? Non monsieur. Il ne... Si la vie du pêcher entre dans le pommier plutôt, il ne produira plus de pommes. Il produira des pêches, parce que c'est cette vie qui est en lui.

254     Quand vous nous prenez, nous, qui ne sommes que des gourdes, des andouilles, et il n'y a rien de bon en nous, car nous sommes tous morts par notre péché et nos offenses. Nous sommes tous dans de telles conditions, et alors, quand nous, personnellement, nous pouvons nous prosterner, et nous consacrer, Dieu prend Son tuyau de transfusion – le Nom de Jésus-Christ (parce qu'il n'y a point d'autre nom sous le ciel, par lequel l'homme puisse être sauvé) – et transfère la Vie de Christ en nous, alors nous avons cette sorte de foi, la foi que Christ avait. Et la foi de Christ n'était pas fondée sur ces Pharisiens ou Sadducéens, ou sur le lavage des cruches, des bouilloires ou des marmites. Elle était fondée sur la Parole de Dieu. Amen! À tel point que Christ était la Parole. La Parole a été faite chair. Et alors, lorsque nous sommes tellement transfusés par Sa puissance que nous mourons à notre propre façon de penser, et que notre foi devient une foi authentique (Alléluia!), alors la Vie de Christ est transfusée en nous. Et nous devenons des créatures vivantes de Dieu, une habitation où le Saint-Esprit peut envoyer Ses bénédictions rayonnantes à travers cela, et nous sommes à la stature de Christ.

255     Jésus a dit: «N'est-il pas écrit... Vous Me condamnez, parce que Je dis que Je suis le Fils de Dieu. N'est-il pas écrit que vous êtes des dieux? Votre propre loi ne dit-elle pas cela?» Comme Moïse, comme Élie, comme ces prophètes, qui ont vécu si près de Dieu que Dieu s'est simplement transféré en eux, et ils ont parlé, mais ce n'était pas eux, c'était Dieu. «Ne vous inquiétez pas de ce que vous direz, parce que ce n'est pas vous qui parlerez; c'est le Père qui habite en vous qui parlera.» Ses paroles ne sont pas ses propres paroles, parce que sa vie... il est mort.

256     Lorsque quelqu'un meurt, vous retirez son sang. Vous l'embaumez. Le problème, c'est que beaucoup d'entre eux n'ont jamais été embaumés. Si vous retirez le sang d'un homme, il est fini. Alors, tout ce que vous pouvez faire, c'est de mettre un autre sang en lui, s'il doit vivre de nouveau, car vous avez retiré son sang. Et, maintenant, nous plaçons le Sang de Jésus-Christ à l'intérieur. Voyez-vous? Et cela amène la foi de Jésus-Christ, la vertu de Jésus-Christ, la connaissance de Jésus-Christ, la tempérance de Jésus-Christ, la patience de Jésus-Christ, la piété de Jésus-Christ, l'affection fraternelle de Jésus-Christ, et l'amour de Dieu, qui est Jésus-Christ! Il est la tête qui vous contrôle! Et vos pieds sont le fondement, la foi. Amen! Contrôlés par la tête. Prenez le ...?...Voilà, vous y êtes.

257     Voilà le parfait homme de Dieu – quand il possède ces vertus.

258     Alors, Dieu, représentant Son Élise comme une Épouse, une femme... Dieu représente Son Église comme une Épouse, et la manière dont Il amène chaque individu à être Son fils, pour entrer dans cette Épouse, Il a aussi amené l'Épouse à travers ces âges, jusqu'à amener cette Église complète dans ceci.

259     Mes pieds bougent. Pourquoi? Parce que ma tête le dit. Or, ils ne peuvent pas bouger comme mes mains, parce que ce sont mes pieds. Luther ne peut pas faire les choses que nous avons faites; et les Méthodistes non plus, parce qu'ils étaient quelque chose d'autre. Vous voyez, les pieds bougent, parce que la tête le dit. Et la tête ne dit jamais: «Maintenant, pieds, vous devenez des mains. Oreilles, vous devenez des yeux.» Vous voyez? Mais, dans chaque âge, Dieu a placé ces choses dans Son Église. Et Il a présenté un modèle, en montrant que chaque individu a ces... possède ces qualités. Et cet «être», quand il est terminé, c'est l'Église de Dieu qui va dans l'enlèvement! Et cet «être», quand il est terminé, c'est un serviteur de Dieu, dans l'Église de Dieu, qui va dans l'enlèvement! Gloire! Vous voyez ce que je veux dire? Vous y êtes! Voilà la chose complète.

260     Voici, un homme est venu, Paul, qui a posé le fondement. Irénée a commencé à déverser ceci là-dessus, et le suivant a déversé ceci, et le suivant a déversé ceci, et le suivant cela, et cela, et cela, et ainsi de suite, jusqu'à ce que cela arrive au dernier âge. Mais qu'est-ce que c'est? Le même Esprit. Le même esprit, qui habite en moi, dit: «Mains, saisissez cette caisse.» Le même esprit dit: «Pieds, faites un pas.» Vous voyez ce que je veux dire?

261     Alors l'entière stature de votre être est gouvernée et contrôlée par ces choses, mais elle ne peut pas être complètement contrôlée, tant qu'elle ne possède pas complètement ces qualités.

262     Avez-vous déjà entendu ceci? Maintenant, laissez-moi vous dire ceci, et restez vraiment... soyez bien à l'écoute. Vous voyez? La solidité d'une chaîne se mesure à son maillon le plus faible. Est-ce bien juste? Elle n'est pas plus solide que son maillon le plus faible. Peu importe avec quelle solidité ceux-ci sont construits, ceci est construit, s'il y a un maillon faible, c'est là où elle se casse. Et elle n'est pas plus solide que son maillon le plus faible. Eh bien, si vous possédez... vous dites que vous avez ceci, ceci, ceci; mais que vous n'avez pas ceci, eh bien, c'est là qu'elle se brisera. Si vous avez ceci et n'avez pas cela, elle se brisera précisément là. Si vous avez ceci et n'avez pas cela, elle se brisera; ceci, et que vous n'avez pas ceci, elle se brisera; ceci, et n'avez pas ceci, elle se brisera. Vous voyez? Et vous ne pouvez pas avoir ceci, sans avoir ceci. Ainsi, lorsque vous livrez votre être entier, alors le Saint-Esprit se déverse à travers ces vertus. Alors vous êtes un Tabernacle vivant.

263     Alors les gens regardent, et disent: «Voilà un homme rempli de vertu, de connaissance, – il croit la Parole, – de tempérance, de patience, de piété, d'affection fraternelle, rempli de l'amour du Saint-Esprit, qui est en train de se promener.» Qu'est-ce? Une stature, que les incroyants peuvent voir, et dire: «Voilà un Chrétien. Voilà un homme, ou une femme, qui sait de quoi il parle. Vous n'avez jamais vu de personne plus aimable, plus douce, plus pieuse qu'elle.»

264     Vous êtes scellé. Un sceau apparaît des deux côtés. Que vous partiez ou que vous veniez, ils voient chaque fois le sceau. Vous y êtes, vous voyez. Quand un homme ou une femme possède ceci, alors la pierre de faîte descend et le scelle dans le Royaume de Dieu, ce qui est le Saint-Esprit.

265     Alors, la Parole, venant d'ici, se manifeste à travers chacun de ces êtres, et fait, de cet Être complet, un Tabernacle du Dieu vivant, un vivant exemple ambulant de christianisme.

266     Ce que Christ était, ces gens le sont, parce que Sa Vie est à l'intérieur. Ils sont en Christ, et leur vie est morte, et cachée en Christ à travers Dieu, et scellée là-dedans par le Saint-Esprit – I Corinthiens 12. C'est juste. Voyez-vous, vous vous reconnaissez comme mort. Alors, vous naissez de la foi, puis de la vertu et ces autres choses vous sont ajoutées, jusqu'à ce que vous soyez une Image de Dieu, vivante et parfaite.

267     N'est-ce pas merveilleux? Et alors Dieu, à travers cela, a amené aussi sept âges de l'Église, pour montrer les sept marches qu'Il a construites, pour amener Son individu à Son image. Il a construit une Église complète à Son image, et, à la résurrection, ce Corps complet ressuscitera, pour vivre avec Lui pour toujours, parce que c'est une Épouse. Cela intervient donc dans chaque âge; chaque âge qui arrive.

268     Et davantage est exigé, rappelez-vous. Rappelez-vous ce que Paul a dit, ici dans Hébreux 11. Laissez-moi juste vous lire quelque chose avant que nous terminions ici, juste une minute. Et alors, vous... Cela donne toujours un sentiment assez étrange quand on lit ceci. Je vais prendre Hébreux 11, et commencer au verset 32.
    Et que dirai-je encore? Car le temps me manquerait pour parler de Gédéon, de Barak, de Samson, de Jephthé, de David, de Samuel, et des prophètes,
    qui, par la foi, vainquirent des royaumes, exercèrent la justice, obtinrent des promesses, fermèrent la gueule des lions,
    éteignirent la puissance du feu, échappèrent au tranchant de l'épée, guérirent de leurs maladies, furent vaillants à la guerre, mirent en fuite des armées étrangères.
    Des femmes recouvrèrent leurs morts par la résurrection; d'autres furent livrés aux tourments, et n'acceptèrent point de délivrance, afin d'obtenir une meilleure résurrection; (Ici, bien plus tard, vous voyez. Très bien.)
    d'autres subirent les moqueries et le fouet, les chaînes et la prison;
    ils furent lapidés, sciés, torturés, ils moururent tués par l'épée, ils allèrent çà et là vêtus de peaux de brebis et de peaux de chèvres, dénués de tout, persécutés, maltraités,
    eux dont le monde n'était pas digne, – (vous voyez, c'est entre parenthèses [ou entre tirets] dans votre Bible) errants dans les déserts et les montagnes, dans les cavernes et les antres de la terre.
    Tous ceux-là, à la foi desquels il a été rendu témoignage (ici à la foi desquels il a été rendu témoignage), n'ont pas obtenu ce qui leur était promis (voyez-vous),
    Dieu ayant en vue quelque chose de meilleur pour nous, afin qu'ils ne parvinssent pas sans nous à la perfection.

269     Avez-vous saisi? Ces gens, qui sont morts, ici, comptent sur nous et attendent après nous. Cette Église doit donc arriver à la perfection, pour provoquer la résurrection, et il y a des âmes sous l'autel, qui attendent que cette Église arrive à sa perfection. Mais, lorsque Christ vient effectivement... et cette Église, vous voyez, devient toujours plus petite – c'est une minorité. (En fait, c'est beaucoup plus pointu que cela, mais c'est simplement pour me donner suffisamment de place pour écrire, voyez-vous Cela arrive à une pointe d'aiguille, et, finalement, cette Église minoritaire doit arriver à avoir le même genre de ministère que ceci a laissé. Parce que, lorsque cette pierre de faîte revient – il y a une sorte de poche, ici, dans laquelle elle va venir s'installer, comme sur une pyramide ordinaire. Ce n'est pas juste un chapeau qui vient recouvrir le sommet; il y a un petit rebord. Et cela doit venir se poser là-dessus, parce que cela fait rejaillir l'eau. Et, quand elle vient, cette Église doit être polie. Toutes les autres pierres dans la pyramide sont placées si parfaitement que vous ne pouvez pas glisser une lame de rasoir entre elles. Et elles pèsent des tonnes. Comment ils les ont montées, on ne sait pas, mais ils ont réussi à les construire. Et ici, en haut, quand la pierre de faîte de la pyramide vient effectivement, la pyramide elle-même, le Corps de Christ, devra être polie, – il ne faudra pas seulement un credo, une doctrine, ou quelque chose que nous avons traversé, – cela devra être si parfaitement comme Christ que, lorsqu'Il viendra, Lui et ce ministère vont plaquer parfaitement l'un sur l'autre. Alors viendra l'enlèvement et le départ pour la maison.

270     Regardez maintenant où nous vivons: dans Laodicée, ou l'Église qui était le pire âge de l'Église qu'on ait jamais eu. Dans la Bible, nous découvrons que c'était le seul âge de l'Église où Dieu se trouvait à l'extérieur de l'Église, en train de frapper pour essayer de revenir dans Son propre bâtiment. Les credo et les dénominations L'avaient même exclu de Sa propre Église. «Voici, Je me tiens à la porte, et Je frappe. Si quelqu'un a soif et qu'il ouvre la porte, J'entrerai chez lui, et Je souperai avec lui.»

271     Le voici, dans cet âge de l'Église, où ils L'ont graduellement poussé vers l'extérieur, jusqu'à Le mettre définitivement à la porte. Ils ne veulent rien avoir à faire avec cela.

272     Maintenant vous voyez, aujourd'hui, où nous allons. Même qu'à la fin de cet âge, l'Église de Laodicée est devenue si formaliste qu'elle et le catholicisme (qui l'a dispersée juste ici) se mettent ensemble et s'unissent en une seule grande Église; avec une fédération d'Églises. C'est pareil au catholicisme.

273     Il n'y a qu'une différence, s'ils arrivent simplement à la surmonter: c'est prendre la communion. C'est la seule chose dans le diocèse, qui empêche le catholicisme et le protestantisme de s'unir: c'est le sens donné à la communion. L'Église catholique dit: «C'est le corps.» Et l'Église protestante dit: «Cela représente le corps.»

274     Les Catholiques en font une messe. Une messe signifie qu'ils prennent la communion, espérant être pardonnés. Les Protestants la prennent par la foi, remerciant Dieu, dans la communion, qu'ils sont pardonnés. Les Protestants disent: «Nous sommes pardonnés.» Les Catholiques disent: «Nous espérons que nous sommes pardonnés.» La messe et la communion.

275     Ils l'appellent une messe; nous l'appelons une communion. Une messe, c'est espérer qu'il en est ainsi. Une communion, c'est savoir qu'il en est ainsi, et Le remercier pour cela. Voyez-vous? Voilà la seule chose sur laquelle ils ne peuvent s'accorder. Ils le feront.

276     Oh, cela paraît très joli. Ils s'uniront pour... Cela conduira... Eh bien, la Bible déclare: «Et ces bêtes donnèrent leur puissance à la prostituée.» Voyez-vous, ils se sont unis.

277     Vous voyez, exactement ce que la Bible a dit qu'ils feraient, ils sont en train de le faire maintenant; c'est justement en train de se faire cette semaine. Ce n'est pas que j'aie quelque chose contre les Catholiques, pas plus que contre les Protestants. Vous, Méthodistes, et Baptistes, et beaucoup de vous, Pentecôtistes, quand vos Églises sont entrées dans cette fédération des Églises; quand ils ont construit cette grande morgue, là-bas à New York, de cette fédération d'Églises – c'est la même chose que les Nations Unies et les autres choses; ils essaient de réunir tout le protestantisme.

278     Maintenant, les Catholiques sont clairvoyants à ce sujet, et ils vont amener ce pape Jean 23, ou 22 (que sais-je?) – il essaie d'une manière très humble et effacée d'amener toute la foi protestante et la foi catholique à une seule foi. C'est exactement ce que la Bible a dit qu'ils feraient. Vous y êtes. Et les Protestants s'y laissent prendre, et avalent l'hameçon, la ligne et le plomb. Pourquoi? Pourquoi? Parce qu'ils ne possèdent pas ces choses. La connaissance – la Parole est juste; la patience – «Ceux qui s'attendent au Seigneur...» Vous voyez ce que je veux dire?

279     Comme l'a dit cet évêque méthodiste l'autre jour, quand ils ont passé cela, – et n'importe qui sait ce qui a inspiré cela, – ils essaient de faire en sorte qu'une certaine prière soit dite à l'église... ou à l'école, et ils voulaient... Je pense qu'il s'agissait d'un livre de prières presbytérien ou quelque chose ainsi. Et les parents ont intenté un procès à l'école, parce qu'ils n'acceptaient pas que cette prière soit dite à l'école. Cet évêque méthodiste était un vieil homme sage. Il s'est levé et a dit: «C'est faux.» Il a dit: «C'est anticonstitutionnel.» Il a senti le vent venir. Il a dit: «C'est comme dans notre Église méthodiste...» Il a dit: «Dans notre Église méthodiste... bien des gens parmi nous parlent sans arrêt du scandale d'Hollywood, et quatre-vingt-quinze pour cent d'entre eux vont quand même le voir.» Que se passe-t-il? Ils ont laissé ceci. Exactement. Ils ont laissé cela.

280     L'autre jour, ici même, je parlais à un représentant officiel de l'une des plus grandes Églises méthodistes de Falls City – l'une des Églises méthodistes les plus spirituelles qu'il y a à Falls City... Pour montrer que l'âge méthodiste vient juste à côté de notre âge, là, de l'âge pentecôtiste. Il a dit: «À St-Louis, dans le Missouri, ils ont fait une analyse, il y a environ trois ou quatre mois, et ils ont découvert...» Il se peut que cet homme soit assis ici ce matin. Eh bien, c'est un entrepreneur qui construit ce... qui répare le bâtiment pour nous. Il appartient à l'Église méthodiste de la rue Principale, où frère Lum est pasteur. Nous découvrons donc que, là-dedans, il y avait, je crois, environ soixante-dix pour cent des Méthodistes qui... Cette analyse, cette enquête, montrait qu'à St-Louis, soixante-dix et quelques pour cent des Méthodistes fumaient, et que soixante-huit pour cent d'entre eux buvaient des boissons alcooliques – c'est un Méthodiste qui l'a dit! Et la chose étrange était que, lorsqu'on a donné l'analyse et estimé la proportion d'hommes et de femmes, il y avait soixante-dix et quelques pour cent de femmes contre environ cinquante pour cent d'hommes. Plus de femmes qui fumaient et buvaient que d'hommes! Soixante-dix pour cent – soixante-dix et quelques pour cent de femmes, plus de femmes que d'hommes.

281     Maintenant, qu'arriverait-il si nous prenions la doctrine biblique du port des shorts, des cheveux coupés et des choses comme cela? Eh bien, c'est de l'impiété, – des femmes qui professent la piété et la sainteté, – des parties de cartes, et tout le reste, des commères, des bavardes, ne réussissant pas à tenir leur langue, parlant et cancanant, et allant çà et là. Et qu'en est-il des hommes? Les parties de cartes, le golf – là-bas, à moitié habillés, portant de petits habits d'apparence douteuse, avec toutes ces femmes là autour.

282     Ce n'est pas étonnant! Vous voyez ce sale coup qu'ils ont fait à ce prédicateur, ce prédicateur dans les prisons, ce matin? Oui monsieur. Je ne crois pas que cet homme soit coupable de cela. Qu'est-ce que cela a fait? Comme frère... Je ne peux pas me souvenir de son nom. Oui, Dan Gilbert, un prédicateur dans les prisons. Quand cet homme est entré en courant, et a assassiné Dan, il y a quelques mois en arrière, et maintenant, sa femme va avoir un bébé. Bien sûr, Dan est mort; ils ne peuvent pas faire une transfusion sanguine au bébé maintenant. Elle a dit que Dan l'avait violée, et que c'est le bébé de Dan. Je ne crois pas plus ça que je ne crois qu'un corbeau a des plumes de pigeon. Non monsieur. Je crois que c'est un mensonge. Je crois que Dan Gilbert était un homme de Dieu. Je crois que c'est un coup du diable.

283     C'est comme cette chose qu'ils ont essayé de faire passer à propos de ces prières. Ce vieil évêque méthodiste était assez intelligent pour saisir cela. Si cela avait passé – c'était seulement inspiré par quelque chose d'autre. C'est juste.

284     C'est comme le problème de ségrégation dans le Sud – c'est pareil. Je crois que l'homme devrait être libre. Je crois que cette nation défend la liberté. Je ne blâme pas Monsieur Kennedy pour avoir envoyé là-bas la troupe, bien qu'en politique je ne sois pas un «New Dealer», et je ne suis pas un démocrate, je ne suis pas un républicain; je suis un Chrétien. Mais je ne crois pas à cela. Je ne crois pas non plus que les gens de couleur devraient vendre leur droit d'aînesse pour de telles affaires. Il y avait... Le parti républicain... Le sang d'Abraham Lincoln a libéré ces gens, parce qu'il était un homme pieux. Je pense que vous devriez au moins rester attachés au parti, si vous décidez de voter. Mais je vais vous dire une chose: Ce garçon n'était pas là-bas simplement à cause des écoles, ce garçon est un citoyen. C'est un Américain. C'est la liberté pour tous. La couleur d'un homme ne devrait rien changer. Nous sommes tous... Dieu a dit qu'Il a fait d'un seul homme, d'un seul sang, toutes les nations. Nous sommes tous un.

285     Mais ce garçon, il était un soldat; c'était un vétéran. Il a combattu pour ce qui est juste. Il avait le droit d'aller à l'école; c'est juste. Mais il y avait une quantité d'écoles où il pouvait aller. Ça dépend de quoi il s'agit. Si vous soutenez cela, c'est ce truc dénominationnel, qu'on a là-bas à présent, qui inspire cela. Pourquoi? Ils font passer les votes de ces gens de couleur, des républicains aux démocrates, et, en faisant cela, ils vendent leur droit d'aînesse. C'est l'exacte vérité. Le Saint-Esprit n'est pas ici. «Que celui qui a de la sagesse, que celui qui a de la connaissance»; exactement.

286     C'est comme cette Église, cet âge présent, en train de se faire acheter. Ne pouvez-vous pas voir ce qui va arriver? Peu m'importe si c'est enregistré, le voici! Qu'est-ce qui se passe? Ma mère avait coutume de dire: «Il faut faire la part du diable.» Il y a un homme qui a fait quelque chose de sensé, c'était Castro, là-bas en bas. Oui monsieur. Il est allé là-bas; et les capitalistes avaient toute la canne et tout le reste – cela repose sur l'étalon-or comme les États-Unis. Qu'est-ce qu'il a fait? Il a acheté tous ces titres. Il s'est procuré de l'argent par tous les moyens possibles. Et qu'a-t-il fait? Il a contrefait la monnaie, et l'a changée, et a remis cela en circulation. C'est la seule chose que cette nation peut faire.

287     Avez-vous entendu Life Line l'autre matin? Eh bien, vous savez, c'est comme lorsque vous vendez des titres sur l'or. Les titres sont déjà ramassés, et ce gouvernement actuel dépense maintenant l'argent de quoi? Des impôts qu'ils percevront dans quarante ans. Elle est finie. C'était sur Life Line, sortant directement de Washington D.C., et diffusé dans tout le pays. Ils dépensent l'argent des impôts, et ils essaient d'acheter des devises étrangères... Oh, de toute manière, ils distribuent de l'argent partout. Ne voyez-vous pas: c'est exactement ce qu'ils vont faire? Voyez-vous? Qu'est-ce que c'est? Maintenant, si cette nation fait faillite... Tout ce qu'elle peut faire, c'est faire faillite. La seule chose qu'elle puisse faire, c'est de faire faillite. La seule chose sensée que l'on peut faire, c'est changer la monnaie. Mais ils ne le feront pas. Sous l'administration actuelle, l'Église catholique romaine possède l'or du monde; et ce qu'ils feront, ce sera liquider tout. Ces hommes riches, et les autres, de la terre, comme le dit la Bible, que feront-ils avant de perdre le...? La compagnie de tabac Brown et Williamson (la plupart d'entre eux sont Catholiques de toute manière), et toutes ces autres choses, que feront-ils? Ils accepteront cela, et ils prendront l'argent venant de Rome! Et alors, elle a vendu son droit d'aînesse! Rome l'épaule. Oui monsieur.

288     Elle l'épaulera. Et ils font maintenant suffisamment d'arrangements politiques – ils s'en entourent suffisamment. Amenant cela dans son cabinet. Regardez ce que Monsieur Kennedy demande.

289     Et quand vous voyez ce que vous avez vu l'autre jour – ça ne sert plus à rien de voter. À quoi ça sert de voter? Lorsqu'ils ont mis ça dans le journal, et qu'ils l'ont démontré devant le public, et qu'ils ont refusé de faire quoi que ce soit à ce sujet, quand il a été prouvé que les machines, à travers le pays, étaient préprogrammées, et qu'ils ont élu Monsieur Kennedy par un vote faussé. La Bible ne dit-elle pas qu'il entrerait par la tromperie? Un mensonge.

290     Or, je ne suis pas contre le parti démocrate, pas plus que le parti républicain, mais j'expose simplement des faits tirés de la Bible. À quoi cela sert-il de voter? Ils savent qui va se trouver là.

291     Combien d'entre vous se rappellent l'émission de télévision présentant deux femmes, l'une qui disait: «Je vais voter pour...» Une femme protestante disait: «Je vais voter pour Monsieur Kennedy.»
    Ils lui ont dit: «Pourquoi?»
    Elle a répondu: «Parce que je pense qu'il est plus intelligent que Monsieur Nixon. Il ferait un meilleur Président.»
    Puis, ils ont dit: «Cette femme est Catholique. – Pour qui allez-vous voter?»
    Elle a dit: «Je suis Catholique, Catholique romaine, une fidèle Catholique. Mais je vais voter pour Monsieur Nixon.»
    «Pourquoi?»
    Elle a répondu: «Parce que je pense que Monsieur Nixon ferait un meilleur Président, parce qu'il a plus l'habitude des choses. Il connaît mieux le communisme.» Cette femme a dit un mensonge.

292     J'ai ce qu'ils appellent The Facts of our Faith [Les Réalités de notre Foi – N.D.T.], qui est le livre catholique le plus avancé que l'on puisse acheter. II est dit là-dedans: «S'il y a un Catholique, sur une liste électorale, qui se présente en même temps qu'un Protestant, et qu'un Catholique vote pour un Protestant, il est excommunié de l'Église catholique.» C'est juste! Et, s'il y a deux Catholiques qui se présentent pour le même poste, ils choisiront le Catholique qui est le plus fidèle à l' «Église mère», et ils voteront pour lui.

293     Vous voyez cette tromperie, ce qu'ils essaient de faire? Ils distribuent de l'argent, pour acheter quoi? Ils essaient de le ruiner! Et ils sont en train de le faire, et il est ruiné.

294     De quoi s'agit-il? Il utilise l'étalon-or, et l'Église catholique, la hiérarchie, possède l'or du monde – cent soixante-huit milliards de dollars. Alors, voilà!

295     On le ramène directement sur l'étalon-or, et vous pouvez garder vos maisons et vos autres choses – mais vous appartenez à l'Église catholique. La nation appartient à l'Église catholique. On s'empare de tout, comme cela, au travers de leur monnaie.

296     La Bible n'en parle-t-elle pas? Est-ce l'image que la Bible nous présente? Ce que j'essaie de dire, frères, aujourd'hui... Ils disent: «Cela fera, avec ça, une bonne Église. Cela unira le protestantisme.» Cela semble beau à l’œil naturel, mais la connaissance de ce monde est de la folie pour Dieu. Et il a plu à Dieu, à travers la folie de la prédication, de sauver ceux qui sont perdus; par une fonction divine qu'Il a établie dans Son Église, pour construire l'Église sur ces qualités spirituelles, et pas sur quelque chose qui a rapport à la terre.

297     Pierre a dit: «Et, parce que vous avez fui la corruption qui existe dans le monde par la convoitise de l'argent, et la convoitise des amusements, du plaisir, manger, boire, et la convoitise que nous avons, vous avez fui cela; et maintenant, vous êtes édifiés, pour vous donner des moyens d'existence.» «J'adresse cela à l'Église», a-t-il dit. Voilà, ça y est! L'avez-vous lu? L'avez-vous saisi? L'avez-vous entendu, quand nous l'avons lu auparavant? Dans II Pierre, écoutez simplement ce qu'il dit ici; c'est si beau comme c'est écrit, et la manière dont il le présente. Très bien. Écoutez-le maintenant parler. Très bien:
    Simon Pierre, serviteur et apôtre de Jésus-Christ, à ceux qui ont reçu en partage une foi du même prix que la nôtre, par la justice de notre Dieu et du sauveur Jésus-Christ
    que la grâce et la paix vous soient multipliées par 1a connaissance de Dieu et de Jésus notre Seigneur
    Comme sa divine puissance nous a donné tout (Qui va hériter la terre et toutes choses? Oui, certainement, ce qui contribue... Oui, très bien.) ce qui contribue à la vie et à la piété, au moyen de la connaissance de celui qui nous a appelés par sa propre gloire et par sa vertu,
    lesquelles nous assurent de sa part les plus grandes et les plus précieuses promesses, afin que par elles vous deveniez participants de la nature divine, en fuyant la corruption (écoutez cela) qui existe dans le monde par la convoitise,

298     La convoitise de l'argent. La convoitise des grandes choses. La convoitise de la popularité. Ces choses sont mortes pour le croyant! Peu nous importe – une tente ou une petite maison! Pourquoi m'en faire? Que je vive ou que je meure; quoi qu'il advienne, voici la chose qui m'intéresse: le Royaume de Dieu!

299     Que je conserve ma maison, que je conserve ma famille, que je conserve n'importe quoi, laissez-moi conserver Christ, l'espérance de la gloire!

300     Fais-moi grandir dans ceci, ô Seigneur. Que Christ soit ma Tête! Que cela agisse à travers moi, sur le fondement de ma foi qui est en Lui. Que la vertu, la connaissance, la tempérance, la patience, la piété, et l'affection fraternelle agissent en moi, ô Seigneur, c'est ma prière. Peu m'importe que je vive ou que je meure, quoi qu'il advienne, dénomination ou pas de dénomination, ami ou pas d'ami, que cela agisse en moi. Que la vertu de Christ, Sa connaissance, s'écoulent, afin que je puisse enseigner ceux-là. Car Dieu a placé dans l'Église des apôtres, des prophètes, des docteurs, des pasteurs et des évangélistes; tous, pour le perfectionnement et l'introduction en elle de toutes ces vertus – pour arriver à cette perfection de la venue du Fils de Dieu.

301     Chacune de ces pierres est tirée de celle-là. Cette matière est tirée de celle-ci. Chacune de ces vertus se trouve en Lui; et elles coulent de Lui et descendent à travers tout ceci. Amen!

302     C'est midi. Où le temps a-t-il passé? Amen.

303     L'aimez-vous? Croyez-vous cela? Écoutez, petits enfants...

304     Sœur Kidd a dit ce matin: «Frère Bill, je ne sais pas si j'aurai l'occasion de vous voir de nouveau.» Cela m'a presque donné le coup de grâce. Elle pense qu'elle devient âgée; et c'est le cas. Je prie que Dieu prête vie à elle et à frère Kidd, pendant encore longtemps. Laissez-moi vous dire: Nous ne savons pas jusqu'à quand nous nous aurons les uns les autres. Je ne sais pas jusqu'à quand je serai avec vous. Dieu va peut-être me retirer du monde. Il se peut qu'Il m'appelle à un autre champ de travail. Il se peut qu'Il vous appelle quelque part. Nous ne savons pas. Mais obtenons ceci. Ne le laissons pas passer par-dessus nous. Prenons cela. Le voici, dans la Bible. Cela sert ici de modèle pour tout le reste, et, si j'avais seulement le temps de le faire, – vous ne pouvez pas le faire en un jour, vous le savez, – je pourrais tout relier cela. Regardez, lorsque nous avons terminé avec ce message, là, vous voyez ce que le Saint-Esprit a fait, là sur le mur, n'est-ce pas? Combien étaient présents à ce moment-là? Voyez-vous, certainement. Il est descendu et a dessiné la même chose. L'Ange du Seigneur.

305     Vous voyez, c'est la Vérité. Ne laissez pas cela vous échapper. Enfants, accrochez-vous à cela! Accrochez-vous à cela! Rappelez-vous, construisez sur votre foi: la vertu, la connaissance, la patience...

306     Tenez, je pense que j'avais un morceau de papier ici, si je ne l'ai pas laissé tomber quelque part pendant que je prêchais. Eh bien, le voici. (Merci, frère. Merci beaucoup.) Si vous voulez regarder là-dessus, et voir s'il y a quelque chose ici que vous pouvez peut-être... Peut-être que c'est un modèle un petit peu meilleur que celui-là. Vous pouvez peut-être recopier certaines de ces choses. Je vais simplement le fixer ici avec une punaise, et vous pourrez bien le regarder, et le retaper.

307     Maintenant, je désire que vous preniez cela, que vous l'étudiiez, le compariez, et ensuite, que vous agissiez d'après cela. Ne l'étudiez pas simplement, ou le comparer, mais agissez d'après cela, quand vous le ferez. Prenez-le sincèrement, pour vous.

308     Ne dites pas: «Eh bien, j'ai eu du plaisir à écouter cela.» Moi aussi. Mais l'écouter, et ensuite le recevoir, sont deux choses différentes. Voyez-vous, c'est différent. Il y a sept qualifications pour faire la stature de Dieu. Il y a sept âges de l'Église, que Dieu a utilisés pour amener l'Église à ces qualifications. Et Il a eu sept messagers pour le faire. Cela fait sept, sept, sept. Sept, c'est le chiffre de Dieu de l'achèvement. Et trois, c'est le chiffre parfait de Dieu. Donc, il y a trois, et sept trois. Donc, mathématiquement, spirituellement, par la Parole, par le témoignage du Saint-Esprit, tout cela a fini la chose.

309     Étudions cela. Joignons à notre foi ces choses, afin que nous puissions entrer dans la pleine stature de Christ – étant unis par un amour divin, la crainte de Dieu, le respect dans notre cœur les uns pour les autres, un profond respect envers chacun, de l'affection fraternelle de la part des frères et des sœurs, jamais de vulgarité. Rien, si ce n'est la pureté d'une vie selon le Saint-Esprit; vivre ensemble, être un Chrétien; marcher avec foi; laisser la vertu de Dieu couler à travers vous; laisser la connaissance de Dieu, quand il s'agit de différencier le juste du faux... Quand le diable vous présente quelque chose qui n'est pas exactement l'Écriture, éloignez-vous-en. Exactement.

310     Je peux imaginer que ces apôtres n'ont jamais agi comme nous. Ils sont allés de lieu en lieu – probablement qu'ils parlaient peu, jusqu'à ce qu'ils arrivent à la chaire. Ils sont entrés, ils ont fait ce qu'ils étaient censés faire, et ils sont sortis. Oui monsieur. Ils avaient la puissance, ils avaient la vertu. Ils n'avaient point de disputes avec d'autres; ils connaissaient leur position. C'est tout. Ils savaient en Qui ils avaient cru. Ils continuèrent à marcher dans l'Esprit, faisant seulement... Comme je l'ai dit l'autre soir: «Juste un petit signe de tête, c'est tout ce que Dieu devait faire.» Et alors, rien ne les arrêtait. Ils n'ont pas mis en doute, étudié, bredouillé, et ne se sont pas fait du souci comme nous, pour savoir s'ils devaient faire ceci ou cela. Ils sont allés de l'avant et l'ont fait malgré tout. Juste un petit signe de tête de la part de Dieu. C'était réglé. Juste voir cela. Pourquoi? Comment pouvaient-ils savoir que c'était un signe de tête venant de Dieu? Ils avaient toutes ces vertus, là à l'intérieur, toutes ces qualifications. Et le premier petit signe de tête de la part de Dieu se comparait avec tout ceci, et avec la Parole; et ils savaient que c'était la Parole de Dieu, et ils sont partis. Ils ne devaient pas s'inquiéter pour autre chose. Quand Dieu parlait, ils partaient.

311     Nous parlons... Dieu nous parle, et nous disons: «Eh bien, nous allons commencer. Nous verrons si nous pouvons vivre cette Vie.» Tout à coup, quelqu'un vous dérange. Eh bien, assurément, c'est le diable!

312     Vous auriez dû le voir essayer de me retenir loin de cette réunion, ce matin. Vous devriez avoir cela une fois. Oh, miséricorde, je dois me battre chaque fois que je mentionne une réunion. Si je vais prier pour les malades, et que quelqu'un est en train de mourir sans être sauvé, il y aura trente appels téléphoniques dans l'espace de dix minutes (s'ils peuvent arriver aussi vite que cela) pour me retenir loin de cela. «Oh, frère Branham, vous devez faire ceci», mais il y a une âme en jeu!

313     L'autre soir, on m'a demandé d'aller quelque part. Un jeune homme... Je lui avais parlé ici au (comment l'appelez-vous) supermarché il y a quelques années. Il est devenu alcoolique. Je connaissais ce garçon, c'était un brave garçon; mais il était un pécheur. Et sa mère a téléphoné. Je pense qu'elle a téléphoné à Doc deux ou trois fois. Et elle a appelé Billy, et finalement, j'ai reçu le message. Et, quand j'ai reçu le message, franchement, je n'ai jamais eu autant à lutter de ma vie, pour arriver à ce garçon. Et, quand j'y suis arrivé, le pauvre garçon ne pouvait plus me reconnaître. Il était étendu là, inconscient. Et il était agité. Son père essayait de lui donner des petites tapes, en disant: «Mon chéri...» Et cet homme a environ cinquante et un ans. Et il disait: «Mon chéri, ceci», et: «Reste tranquille.» Il essayait de se lever, ses petits bras étaient à peu près gros comme ça. Le garçon avait un cancer si généralisé qu'il n'y avait finalement plus que ça. Tous les organes de son corps avaient le cancer. Même sa circulation sanguine était cancéreuse. Tout. Et il était là, cherchant à se lever, et faisant toutes sortes d'histoires.

314     Je l'ai pris par la main, et j'ai dit: «Woodrow, Woodrow, c'est frère Branham.»

315     Son papa lui a dit: «Ne le reconnais-tu pas? C'est frère Bill, Woodrow; c'est frère Bill.»

316     Il faisait: «Aaah...aaah», comme cela.

317     Et son papa a regardé et a dit: «Billy, tu viens un peu tard.»

318     J'ai dit: «Jamais trop tard. Il est ici. J'ai eu un combat.» Et alors, les autres garçons, quelques autres garçons (des pécheurs) se tenaient là, des membres de sa parenté. J'ai dit: «Vous voyez, mes garçons, préparez-vous, parce que vous en arriverez là. Vous devez arriver à cette situation. Peut-être pas à travers un cancer; il se peut que vous y veniez par quelque chose d'autre, là-bas sur la route, en train de vous saigner, ou autre. Vous devez en arriver là.» Nous leur avons parlé. J'attendais, pour voir ce que l'Esprit me dirait de faire. J'attendais.

319     Tout à coup, j'ai senti ce petit signe d'approbation. «Impose-lui les mains.» J'ai fait le tour, et j'ai dit: «Inclinez tous la tête.» Ils ont tous incliné la tête. (Il y avait là deux ou trois jeunes hommes.) J'ai posé mes mains sur lui, et j'ai dit: «Seigneur Dieu, permets à ce garçon de réaliser ce qu'il doit faire, avant de se retrouver devant cette chose. Il se meurt. Ce démon l'a entortillé, et il s'en va. C'est la boisson qui l'a tué. Le voici dans cette condition. Je Te prie d'être miséricordieux envers lui.» Et, après avoir prié pour lui, le lendemain matin il était assis dans son lit, parlant à son papa.

320     Busty Rodgers... quand ils m'ont appelé, à l'hôpital ici, il n'y a pas longtemps. Je me trouvais là-bas, le jour après avoir prêché à Middletown, où la petite Georgie Carter fut guérie – vous vous rappelez tous de cela. Il y avait le frère Smith, un prédicateur méthodiste, qui a dit: «Si jamais quelqu'un s'est fait baptiser au Nom de Jésus-Christ, qu'il quitte ma tente!» Il l'a dit ainsi, alors qu'il tenait cette réunion à Tottensford. Oh, il m'a condamné, pour tout ce que vous pouvez penser. Je n'ai pas dit un mot. J'ai continué. J'avais une commission. Le Seigneur m'a montré en vision un agneau là-bas, pris quelque part dans un lieu désert. Vous vous rappelez tous de la vision; vous tous. Je pense que c'est le cas. N'est-ce pas?

321     Très bien. J'étais donc parti dans ce lieu désert, à sa recherche. Je suis allé à Tottensford. Frère Wright, qui est là, sait que nous y sommes allés; je ne savais pas que faire. J'ai acheté une petite caisse à savon pour dix cents. J'allais me rendre là, et me tenir là, et prêcher sur cette sorte d'escabeau. Il a dit qu'il allait monter sur la colline pour y faire quelques affaires. Je suis allé avec lui. Il y avait une ancienne grande église baptiste, qui se trouvait là, vide. Le Seigneur m'a dit: «Arrête-toi là.»

322     J'ai dit: «Laissez-moi sortir ici même, frère Wright», et je me suis arrêté. Il a continué et il est revenu. Je suis allé là, et je ne pouvais pas ouvrir la porte. J'ai dit: «Seigneur, si Tu es dans ceci, et que Tu veux que j'entre dans l'église, ouvre la porte pour moi.»

323     Je me suis assis là, et je réfléchissais. J'ai entendu quelqu'un qui s'approchait. Il m'a dit: «Bonjour.» Il a ajouté: «Vouliez-vous entrer dans cette église?»
    J'ai dit: «Oui, Monsieur.»
    Il a dit: «J'ai ici la clé.» J'ai commencé une série de réunions. La première semaine, pratiquement rien. Le premier soir, j'ai eu une congrégation: frère Wright et sa famille. Mais, à la fin de la semaine, il n'y avait presque plus assez de place pour rester debout dans la cour. Cependant, cet agneau ne s'était pas encore montré. Frère Hall a été sauvé pendant ce temps-là; il est maintenant pasteur là-bas. Je ne pouvais pas trouver où se trouvait cet agneau. Après un certain temps, faisant partie de l'Église de Christ, en bas de la colline, il y avait cette petite fille, qui n'avait pas bougé de son lit pendant neuf ans et huit mois – elle était là. Vous connaissez tous l'histoire.

324     Oui, cet après-midi là, quand Busty Rodgers (un vétéran grand et costaud) se tenait là, je me suis avancé, et là se trouvait la congrégation de frère Smith, pour rire de moi, se moquer de moi, parce que je baptisais au Nom de Jésus. Je me suis avancé dans ces eaux boueuses de Tottensford, où il y avait un petit ruisseau qui grondait tout ce qu'il pouvait. Deux ou trois diacres se sont avancés avec moi. Et j'ai dit: «Je me tiens ici, cet après-midi, en tant que représentant des Saintes Écritures de Dieu.» J'ai dit: «Je lis, ici dans la Bible, que Pierre a dit: ‘Repentez-vous, chacun de vous, soyez baptisés au Nom de Jésus-Christ pour la rémission des péchés’.» Je me suis retourné, j'ai tendu le livre à l'un des diacres, je me suis avancé là, et j'ai dit: «Quiconque le désire, et se repent de ses péchés, peut venir.» Je me suis avancé là, dans l'eau, et j'ai dit: «Il me semble qu'il y a des Anges assis sur chaque branche, qui sont en train de nous regarder.»

325     Oh! là là! Après que j'ai baptisé deux ou trois personnes, sa congrégation entière – ces femmes portant de jolies robes en soie – est entrée dans l'eau, en criant de toutes ses forces. J'ai baptisé toute sa congrégation dans le Nom de Jésus-Christ! Vous le savez! J'en ai une photo.

326     Voilà. Qu'était-ce? Joignant à votre vertu, voyez-vous. Laissez cela tranquille. Dieu sait comment s'y prendre. Dieu sait comment faire pour que ces choses arrivent. Laissez-les dire ce qu'ils veulent. Cela ne change rien. Continuez à avancer.

327     Busty Rodgers, qui se tenait là, quand il a vu cela, il a dit: «Alors, je crois cela de tout mon cœur», et il est entré dans l'eau avec ses beaux habits, et fut baptisé au Nom de Jésus-Christ.

328     Il y a environ trois ou quatre ans, ils m'ont demandé de venir ici à l'hôpital, à New Albany. Il se mourait du cancer; le cancer l'avait dévoré. Les docteurs ne lui donnaient que jusqu'au lendemain matin à vivre. Il a dit: «Il se meurt, venez immédiatement.»

329     Je suis entré dans la chambre. Alors que je me tenais là, en train de prier, il a dit: «Billy, il y a un arc-en-ciel, là dans le coin.»

330     Je me suis retourné pour regarder. J'ai dit: «Busty, c'est une alliance. Vous n'allez pas mourir. L'alliance du sang vous sauve.» J'ai posé mes mains sur lui, en disant: «Seigneur Dieu, cette vision là-bas prouve que Tu es ici, Ton alliance est ici: par Ses meurtrissures nous sommes guéris.» Je lui ai imposé les mains, et il s'est rétabli. On l'a renvoyé à la maison.

331     Pendant quatre ou cinq ans – environ quatre ans – il a fait de la pêche le long de la rivière, et tout suivait son cours. Et, à l'endroit (vers l’œsophage et l'estomac) où le cancer s'était trouvé, le tissu s'était durci et formait un gros nœud dur. Les docteurs, les vétérans de l'hôpital, lui ont dit qu'ils avaient un traitement au cobalt, qui pouvait étirer cela, pour permettre à davantage de nourriture de descendre à la fois. (Ça lui était difficile de prendre beaucoup de nourriture; il devait manger si lentement.) Il y est donc allé, pour faire cela. Je ne savais pas qu'il s'y trouvait.

332     Et alors, quand ils l'ont opéré, cela lui a donné des convulsions, et il a eu une attaque. Cela a paralysé tout son côté. Et la seule chose qu'il pouvait faire, c'était de pleurer à moitié. Et il a pris un crayon, comme cela, et il faisait: «Aaa...aaa...», et il a essayé d'écrire, en tremblant comme cela, avec sa main valide. Son côté gauche était atteint. Et, avec sa main...» Jésus a sauvé en mil neuf cent et quelques», et il n'y arrivait pas.

333     Sa femme m'a dit: «Frère Branham, je ne sais pas ce qu'il veut dire par là.»

334     J'ai dit: «Madame Rodgers, ce qu'il veut dire, c'est qu'en mil neuf cent et quelques, il a été sauvé et baptisé au Nom de Jésus, là-bas en bas. Cela porte maintenant ses fruits. Il n'a pas peur de mourir.» J'ai dit: «Seigneur Dieu, épargne sa vie! Je Te prie, au Nom de Jésus, d'épargner sa vie.» Je lui ai imposé les mains. L'attaque l'a quitté, les convulsions se sont arrêtées, et il s'est levé de son lit. Et il est debout maintenant, apportant son témoignage.

335     Joignez à votre foi, la vertu; joignez à votre vertu, la connaissance; à votre connaissance, la tempérance; à votre tempérance, la patience; à votre patience, la piété; à votre piété, l'amour fraternel; à votre amour fraternel, le Saint-Esprit; et Christ viendra. Parce que, juste au-dessous de Lui, le Saint-Esprit, se trouve l'Esprit de Jésus-Christ dans l'Église, pour manifester ces vertus.
    Oh! là là! C'est midi et quart.
Je L'aime, je L'aime,
Parce qu'Il m'a aimé le premier (tout là-bas, avant que vous soyez quoi que ce soit),
Et a acquis (qu'a-t-Il fait?) mon salut
Sur le bois du Calvaire.
    Comment suis-je ceci? C'est parce qu'Il m'a aimé le premier.
Je L'aime, je L'aime,
Parce qu'Il m'a aimé le premier (en voilà la raison),
Et a acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.

336     Je Lui promets ce matin, de tout mon cœur, qu'avec Son aide et Sa grâce, je prierai et chercherai journellement sans m'arrêter, jusqu'à ce que je sente couler chacune de ces choses dans cette vieille petite stature, pour que je puisse être une manifestation du Christ vivant. Car Il est devenu péché comme moi, afin que je puisse devenir justice de Dieu comme Lui. Il a pris ma place; Seigneur, laisse-moi prendre la Sienne, maintenant, parce que c'est dans ce but qu'Il est mort.

337     Combien voudraient promettre la même chose – par la grâce de Dieu? Avec nos têtes inclinées maintenant, et nos mains levées.
Je L'aime... (Je le promets, Seigneur. Cette Église le promet. La pleine stature de Jésus-Christ.)
Parce qu'Il m'a aimé le premier,
Et a acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.

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