L'Eternel n'a-t-il parlé qu'à Moise ?

Date: 53-1130 | La durée est de: 1 heure 22 minutes | La traduction: SHP
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1.         … faciliter la tâche à la communauté afin de vivre un – un peu plus correctement. C’est un peu difficile [Espace vide sur la bande – N.D.E.]…?... Il a dit que là, au Nord de l’Afrique, il y aurait des milliers et deux fois autant de milliers et ils… il y aurait plus de gens qu’en Afrique du Sud…?... parce qu’il y avait beaucoup de troubles en Afrique du Sud et ils… Mais, en Afrique du Nord, c’est comme ce qui se passe partout dans le monde, partout, et on appelle constamment.

            J’aimerais lire une Ecriture ici dans Nombres, chapitre 12.

Marie et Aaron parlèrent contre Moïse au sujet de la femme éthiopienne qu’il avait prise, car il avait pris une femme éthiopienne.

            Ils dirent : « Est-ce seulement par Moïse que l’Eternel parle ? N’est-ce pas aussi par nous qu’Il parle ?

            Et l’Eternel l’entendit. Or, Moïse était un homme fort patient, plus qu’aucun homme sur la face de la terre.

            Soudain l’Eternel dit à Moïse, à Aaron et à Marie : Allez, vous trois, à la tente d’assignation. Et ils y allèrent tous trois.

            L’Eternel descendit dans la colonne de nuée, et Il se tint à l’entrée de la tente. Et Il appela Aaron et Marie, qui vinrent…qui s’avancèrent tous les deux.

            Et Il dit : Ecoutez bien mes paroles ! Lorsqu’il y aura parmi vous un prophète, c’est dans une vision que moi, l’Eternel, Je me révélerai à lui, c’est dans un songe que Je lui parlerai.

            Il n’en est pas ainsi de mon serviteur Moïse. Il est fidèle dans toute ma maison.

            Je lui parle bouche à bouche… Je parle (pardonnez-moi) avec lui bouche à bouche.

2.         Maintenant, nous aimerions, pendant un moment, porter notre attention sur l’attitude de Miriam et d’Aaron. Ils se sont dit que Moïse avait commis une erreur. Ils voulaient le corriger. Dieu leur a vraiment parlé, disant : « Lorsqu’il y aura parmi vous un prophète, c’est par des miracles ou des visions que Je le visiterai, et Je lui apparaîtrai dans des songes et autres. Mais Moïse, Je lui ai parlé de bouche à bouche. » Et immédiatement, Miriam était frappée de lèpre. Et Aaron est entré en courant, en effet, Miriam était la sœur propre à Moïse. Donc, on n’a pas intérêt à parler [en mal] d’un serviteur de Dieu, n’est-ce pas ?

            Ainsi donc, ici, Dieu a parlé à Aaron, Il s’est adressé à lui, disant… considérant ce qu’Il avait accompli par Moïse, Dieu a dit : « Pourquoi n’avez-vous pas craint de parler contre lui ? »

            Et alors, Aaron courut vers Moïse et lui annonça que sa sœur était frappée au … blanche, à cause de la lèpre, naturellement, et il a dit : « La laisseras-tu mourir ? » Ainsi, Moïse s’est jeté au devant de Dieu et a plaidé pour elle, et Miriam était frappée de lèpre malgré cela. Elle devait rester, et Israël avait interrompu son voyage pendant sept jours, conformément à la loi, jusqu’à ce qu’on l’a sortie de nouveau du camp.

3.         Dieu ne change jamais. Sa puissance est tout à fait la même qu’elle était au… avant la création du temps. Dieu a créé en prononçant la Parole ; et au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. C’est ce qui était au commencement, La Parole. La Parole a été faite chair et a habité parmi nous. La Parole est retournée de nouveau à la forme de l’Esprit et Elle vit parmi les hommes ce soir, juste le même Dieu vivant au travers des âges.

            Et ce soir, Sa Parole est aussi efficace dans le cœur du croyant qu’Elle était quand Elle était prononcée au commencement. Elle ne dévie jamais de Sa voie. Elle ira de l’avant. C’est un relais constant, une chaîne qui va toujours… Et dans chaque âge, Dieu a toujours eu quelqu’un en qui Il peut avoir confiance et par qui Il peut travailler. Dieu a toujours eu un canal sur la terre, toujours. Parfois on en arrive à un très petit nombre, mais jamais Il n’a manqué un témoin, quelqu’un qui peut lui servir de témoin.

4.         Et mon cœur est très content, que ce soir, dans ce petit groupe ici, dans cette ville, il y ait quelqu’un pour Dieu, qui peut Lui servir de témoin. Je – je suis content du fait – du fait que vous aimez écouter l’Evangile et que vous aimez tellement notre Seigneur Jésus que vous venez, vous écoutez avec révérence et que vous êtes très gentils.

            J’espère que Dieu n’aura aucun malade parmi nous à la fin du service. Beaucoup auront été guéris. J’ai reçu des témoignages. Et je suis sûr que quelque chose est vraiment en cours. C’est la raison même pour laquelle je me tiens ici en ce moment, tel que vous me voyez, attendant un mot. Je ne sais que dire, bientôt, je sais que soit c’est la puissance de Dieu qui doit s’approcher soit c’est la puissance de la mort. Donc, je suis – je ne sais pas ce qu’Il dira.

            Mais, en ces jours-ci, nous ne pouvons pas nous attendre à ce que l’Evangile de Christ soit populaire. Eh bien, le – le – l’Evangile… Ça, ce n’est pas l’Evangile, c’est une partie de l’Evangile. Le… Paul a dit que la Parole… que l’Evangile n’est pas venu en paroles seulement, mais avec puissance et démonstration du Saint-Esprit. Est-ce vrai ? L’Evangile ne consiste pas seulement en la Parole. La Parole n’est qu’une lettre morte. Il doit prendre la – la lettre vivifiée, rendue vivante et accomplir ce que la lettre dit qu’elle fera. C’est cela l’Evangile.

5.         Jésus a dit : « Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle à toutes les nations. » Maintenant, écoutez pour voir si c’est vrai ou pas. Prêcher la Bonne Nouvelle à toutes les nations (c’est-à-dire les Etats-Unis et toutes les autres nations du monde), et « Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, et celui qui ne croira pas sera condamné ; et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : En Mon Nom, ils chasseront les démons, ils parleront de nouvelles langues, ils saisiront les serpents, s’ils boivent quelque breuvage mortel cela ne leur fera point de mal, ou s’ils imposent les mains aux malades… »

            Eh bien, pour… Il n’a pas dit d’aller enseigner la Parole. Il a dit : « Allez prêcher l’Evangile. » Jamais Il a donné la commission en disant : « Allez enseigner la Parole. » Mais Il a dit : « Allez prêcher l’Evangile. » Et la – la Parole est le commencement ou le précurseur de l’Evangile. La Parole sort, et l’Evangile de la puissance de la démonstration de Dieu suit la Parole, manifeste la Parole. C’est cela l’Evangile. Et pour… qu’un homme puisse prêcher l’Evangile, la dernière Parole…

6.         Il se pourrait qu’il y ait quelqu’un qui ne croit pas à la guérison divine. Je me demande ce que vous pensez de ceci : La première commission que Jésus avait donnée à l’Eglise était de guérir les malades, de ressusciter les morts, de purifier les lépreux, de chasser les démons. Vous avez reçu gratuitement, donnez aussi gratuitement. C’est la première commission qui ait jamais été donnée aux apôtres – à l’Eglise.

            Pas seulement aux apôtres. Vous direz : « C’était seulement aux apôtres. » Excusez-moi. Il y en a eu soixante-dix, pas seulement les apôtres.

            L’autre jour, quelqu’un disait que la puissance n’était venue qu’aux apôtres. Elle a été donnée à quiconque le veut, à celui qui croit, pas seulement aux apôtres. Soixante-dix qui étaient envoyés n’étaient pas des apôtres.

            Philippe n’était pas un apôtre, mais il est parti en Samarie, il a chassé les démons, il a guérit les fous, et les gens étaient dans la joie, poussant des cris, ils hurlaient là et que sais-je encore, là dans la ville, mais il n’était pas un apôtre. Il était un diacre. Il n’était même pas un prédicateur, mais il y avait des signes qui accompagnaient son ministère. Prêcher l’Evangile, c’est faire la démonstration de la puissance de Dieu.

7.         Eh bien, allez par tout le monde et faites la démonstration de la puissance de l’Evangile. Ce sont les premières Paroles qu’Il a adressées à ses disciples. La première commission était de guérir les malades et de chasser les démons. Les dernières Paroles qui sont sorties des lèvres de Jésus-Christ, selon cette Bible, étaient de guérir les malades, Marc 16. Alors qu’Il était sur le point d’être enlevé, Il a dit : « Allez par tout le monde et prêchez l’Evangile à toute la création. Celui qui croira (pas vous tous), celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé ; celui qui ne croira pas sera condamné. Et (« et » c’est une conjonction)- et voici les miracles qui accompagneront (pas vous) ceux qui auront cru ; en Mon Nom ils chasseront les démons ; ils parleront de nouvelles langues ; ils saisiront les serpents ; s’ils boivent quelque breuvage mortel…, s’ils imposent les mains aux malades, et les malades seront guéris. »

            Et c’étaient là les dernières Paroles que Jésus a prononcées ici sur cette terre. Les dernières Paroles que les mortels ont entendues, qui sont sorties de Ses lèvres lors de l’ascension, Il leur avait donné la commission de guérir les malades et de chasser les démons. C’est vrai. Ils ont dit que ce serait un signe montrant que l’Evangile était prêché.

8.         Eh bien, mes amis, j’aimerais premièrement présenter l’Evangile. Où est-ce que l’Evangile est prêché ? Où en est-on avec l’Evangile ?

            Jésus a dit : « Voici… » J’ai demandé à une bonne église… Il n’y a pas longtemps, je tenais une petite réunion, j’ai posé la question : « Combien croient ? » Oh ! il y avait là trois ou quatre cents personnes. J’ai dit : « Combien croient que ces paroles sont vraies ? Jésus a dit : ‘Allez par tout le monde et prêchez l’Evangile à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé.’ Combien croient que celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé ? Levez la main. » Tout le monde a levé la main, partout comme vous l’avez fait ici. Combien croient cela ? Levez la main. Je vais essayer cela dans cette assistance. Très bien. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé. Celui qui ne croira pas sera condamné. Est-ce vrai ?

Eh bien, j’ai demandé : « Croyez-vous tous cette promesse ? »

« Certainement. »

            J’ai dit : « Alors, Il a dit : ‘Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. En Mon Nom, ils chasseront les démons, ils parleront de nouvelles langues, ils saisiront des serpents, ils prendront des breuvages mortels ; ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.’ »

            J’ai demandé : «Combien d’entre vous croient cela ? » Aucune main ne s’est levée. Voyez-vous ? Oh ! le dire tout simplement du moment que cela ne fait aucun effet, tant qu’ils peuvent se tenir en retrait, et faire tout ce qu’ils veulent, aller de l’avant et être membre d’une église, eh bien, tout cela, c’est bien, mais quand on en arrive à la confrontation, c’est différent.

9.         Il n’y a pas longtemps, un certain religieux qui animait une belle émission à l’échelle mondiale… J’étais ici dans une grande ville en Amérique et je tenais une série de réunions, ils avaient un petit endroit, et les gens avaient vraiment faim. Ils avaient faim. Vous ne pouvez nourrir les gens à moins qu’ils aient faim. Vous ne pouvez pas parler…

            Si un homme s’était assis et qu’Il ait mangé un bon et très gros bifteck ou quelque chose comme cela, et qu’il soit tellement rassasié qu’il a dû laisser sa tarte et sa crème glacée sur la table, donc, je ne peux pas l’intéresser en lui parlant de quelque – quelque chose à manger. Il n’en voudra pas. C’est ça le problème qu’a l’Amérique aujourd’hui. Ils n’en veulent pas. Ils n’ont pas très faim. N’est-ce pas vrai ?

            Ils sont – ils veulent qu’on les divertisse, un peuple épris de plaisirs. Tout ce qu’ils veulent, c’est le confort, le luxe, et les choses semblables, et ils ne savent pas que le jugement est en train de se glisser tout le temps parmi eux. Ils manquent de voir cela, et ils ne veulent pas entendre ces choses.

10.       Oh ! ils aiment la philosophie et quelqu’un qui peut passer à la radio et débiter quelques plaisanteries grossières, et des choses semblables. Ils vont allumer la radio, ils vont suivre leurs émissions à la télévision, ils resteront à la maison, et déserteront l’église. C’est ce qui se trouve dans leur cœur. C’est ce qui fait que – c’est ce qui en est la cause. Le diable sait comment introduire son programme.

            On vous a tous enseigné, vous les gens de la sainteté, disant : « Eh bien, vous ne devriez pas aller au cinéma. » C’est ce que vous avez enseigné à vos enfants il n’y a pas longtemps, mais le diable vous a eu. Il a simplement amené le cinéma dans votre maison. C’est ça. C’est ça. Vous avez dit : « Oh ! c’est très bien. » Voyez il a …

11.       Vous savez, autrefois on disait que le diable est sorti de la mode, mais qu’il n’a pas laissé les affaires. C’est vrai. Il est toujours dans les affaires, seulement il est bien plus rusé aujourd’hui qu’auparavant; de même que les gens sont rusés, de même le diable l’est aussi ; il est entré furtivement en plein dedans. Voyez-vous ?

Frère, je vous dis que si jamais il vous faut vous échappez pour avoir une couverture, faites-le maintenant, c’est vrai. Mettez-vous sous le Sang de Jésus-Christ. C’est déshonorant toutes ces choses que nous avons, et notre monde dans son état actuel est à quatre-vingt pour cent le produit de Hollywood ; et toujours est-il que c’est sur elle que le monde pend son exemple. C’est Hollywood qui donne le ton au monde moderne tout entier.

12.       Eh bien, je ne dis pas que tout est pollué dans Hollywood. J’ai reçu quelques hommes chez moi il n’y a pas longtemps, les agents de Westministers Film Compagny, qui ont fait… Ils sont venus là pour monter un film. Ils m’ont demandé si je pouvais leur permettre de le faire (de venir aux réunions) afin de pouvoir projeter cela à l’écran, le film intitulé : Le prophète du vingtième siècle, et Ils iront en Palestine pour organiser la réunion là-bas. Et ces hommes que j’ai rencontrés, c’est le même groupe qui a monté le film Samson et Delila, et autres, et ils étaient tous… La première chose qu’ils ont faite quand ils sont entrés, avant de me poser la question, ils ont dit : « Pouvons-nous nous agenouiller et offrir une prière ? » Un groupe de gentlemen.

            Je leur ai posé une question, j’ai dit : « Vous venez tous de Hollywood ? »

Ils ont répondu : « Oui, oui. » Et ils se sont présentés.

            J’ai dit : « Eh bien, que puis-je – que puis-je faire pour vous ? » La maison était pleine de gens pour qui il fallait prier.

13.       Ils ont dit : « Révérend Branham, nous – nous sommes simplement venus vous demander quelque chose », et ils ont commencé à exposer leur – leur problème et ce qu’ils voulaient. Ils avaient tous ces véhicules, ces lumières et autres, cela a presque fait une peur bleue à ma femme quand elle a vu tous ces engins venir là-bas comme cela. Ils sont entrés et ils voulaient tout décorer. Ma femme ne s’était jamais maquillée de sa vie, ainsi elle ne voulait aucune de cette histoire. Ainsi – ainsi j’ai dit : « Eh bien, tournez le film si vous le voulez. Je ne trouve aucun problème. »

Ils ont dit : « Qu’en est-il de la rémunération ? »

J’ai dit : « Affectez cela aux missions à l’étranger, chaque sou, donnez cela aux missionnaires pour aller outre-mer ou quelque chose comme cela. Quant à moi, je n’en veux pas. » J’ai dit : « Je n’en ai pas besoin. »

14.       Eh bien, la vérité est que partout où vous allez, vous trouverez le bien et le mal. Peu importe où vous allez, vous trouverez cela. Vous pouvez aller dans (cela m’échappe) – dans des hôtelleries en bord de route, ou partout où vous allez, vous trouverez le bien et le mal ; mais, en fait, ils sont tombés, tous ces hommes. Nous ne voulons voir personne être perdu, mais ils sont tombés, et ils ne se tiendront pas tranquilles pour écouter la grâce de Dieu qui peut les relever, parce que…

            Savez-vous où cela a commencé, mes amis ? Maintenant, mes frères prédicateurs, vous allez tous me pardonner cette expression. Ce n’est pas à vous que je m’adresse, mais ce qui a amené cette nation au niveau où elle est aujourd’hui, a commencé à la chaire. Et ils ont laissé tomber les barrières.

15.       Autrefois, on avait un vieux prédicateur méthodiste qui venait, un frère âgé, frère Kelly, et la sœur Kelly, ils chantaient un petit cantique « Nous avons laissé tomber les barrières ; nous avons laissé tomber les barrières ; nous avons fait des compromis avec le péché. Nous avons laissé tomber les barrières ; les brebis sont sorties ; mais comment les boucs sont entrés ? » Vous avez laissé tomber les barrières, voilà pourquoi les boucs sont entrés. C’est exact.

            Vous avez commencé à faire entrer, dans l’église, des gens qui étaient bien habillés, et qui pouvaient donner beaucoup d’argent à l’église, vous les avez fait entrer, vous les avez inscrits dans le registre de l’église. Vous avez laissé les femmes commencer à se déshabiller, à suivre le modèle de Hollywood, à se couper les cheveux, à appliquer le manicure au visage ou je ne sais pas comment vous appelez cette histoire, et – et à se farder complètement le visage et que sais-je encore, et puis elles s’appellent toujours chrétiennes tout en menant ce genre de vie.

16.       Et le vieux John Smith quand il a prêché sont dernier sermon, c’était un très court sermon de quatre heures. Il avait quatre-vingt-neuf ans. On devait le transporter et le faire asseoir sur une chaise ; il a dit : «Quelle idée ! Les filles de l’Eglise méthodiste se sont corrompues au point où elles portent même des anneaux aux doigts. »

            Que dirait-Il aujourd’hui, de voir les membres de la chorale en shorts ? C’est vrai. Ecoutez, mes sœurs, ce n’est pas à moi de vous dire ce qu’il faut faire. Seulement je dis ceci : Soyez en ordre avec Dieu, et Dieu prendra soin du reste.

17.       Je me souviens, il n’y a pas longtemps, quand je… les femmes ont commencé à fumer la cigarette. C’était horrible. Je ne suis pas ici pour prêcher la moralité concernant ces choses. C’est à ces prédicateurs de le faire, mais vous voulez que je vous dise quelque chose. Je pense que c’est la chose la plus vile qu’une femme peut faire. C’est vrai. Vous savez ce que cela fait. J’ai reçu les statistiques du gouvernement montrant que les mères – ces jeunes mères… Et à vous les mères ici présentes, qui avez des jeunes filles, enseignez-leur ces choses. Eh bien, on a déclaré que les femmes…

            Eh bien, on a déjà montré les preuves et tout, et vous avez vu cela dans le Reader’s Digest et partout : «Un paquet plein de cancer. » Cela… Je pense qu’environ quatre-vingt-dix-huit ou quatre-vingt-dix-neuf pour cent de cas de cancer de la gorge et du poumon sont causés par le fait de fumer la cigarette. C’est vrai.

            Et une femme qui fume la cigarette et donne naissance à un enfant, devra soit le soumettre au lait de la vache (parce que si elle allaite le bébé ; celui-ci absorbera de la nicotine de son sang à elle) soit elle devra le nourrir avec son propre lait, et la durée moyenne de la vie de ce bébé sera de moins de dix-huit mois, à cause du poison de la nicotine.

Et parler de la cinquième colonne [Service secret d’espionnage ennemi sur un territoire. – N.D.T.]. Nous légalisons cela ici en Amérique.

18.       Quelques instants avant d’aller prendre le dîner, je pense, ou quelque chose comme cela, j’ai suivi une émission à la radio, où on disait, j’oublie combien de millions… qu’il y avait en Amérique cinq cent mille compagnies de cigarettes – le nombre de cigarettes qu’elles vendent par jour.

            Donnez-moi cet argent qui est dépensé ici par jour, dans cette petite ville de Palm Beach pour les cigarettes, et j’enverrai des missionnaires partout dans le monde pendant toute une année. Faites des calculs et trouvez-en le nombre. Qu’en est-il du whisky, de la bière et des choses semblables ? Alors, vous parlez de …?... C’est là qu’on en est.

            Eh bien, que Dieu me pardonne. Je n’aimerais pas aborder ces choses-là. Laissez ces frères faire cela. Retournez à l’Evangile. Ça, c’est aussi l’Evangile. C’est vrai. C’est une honte que nous nous soyons relâchés là-dessus.

19.       C’est vraiment dommage, et cela a commencé à la chaire. Vous voyez, je ne vous condamne pas vous, je condamne ceux qui sont ici. Que la chose commence à partir de la chaire. Voyez comment ils agissent, et vous continuez à y entrer petit à petit, petit à petit, il vous apaise simplement jusqu’à ce qu’il y entre, et il les a eu.

            Combien se souviennent, il y a longtemps lorsque les femmes âgées s’habillaient décemment, qu’elles portaient des vêtements qui étaient naturels et qu’elles étaient comme des dames. Vous en souvenez-vous ? Aujourd’hui, c’est difficile de les distinguer, les dames.

            Il n’y a pas longtemps, j’étais à bord d’un bus avec une femme. Je ne savais pas que c’était une femme. Je m’étais assis là. J’étais – j’étais garde-chasse. C’était pendant la guerre.

20.       Elle était habillée en bleu de travail, avec un masque protecteur pour la soudure, une cigarette à la commissure de la bouche, et j’étais assis là, ma main posée sur elle comme ceci ; et nous étions tellement nombreux dans le bus que nous étions serrés les uns contre les autres. Elle lâchait des jurons comme un marin, et elle – elle lâchait des jurons comme un homme et tout. Et je continuais à regarder la cigarette.

Je la regardais. Elle continuait comme cela, et elle a dit : « Oh ! mon cher. »

Je me suis dit : « J’aimerais savoir si c’est une femme. » Je l’ai regardée à nouveau, et je – j’ai dit : « Monsieur, où travaillez-vous? »

Elle a répondu : « Je travaille au chantier navale. »

J’ai dit : « Oui, monsieur. »

Elle a dit : « Je ne suis pas un monsieur. »

J’ai dit : « Pardonnez-moi. » j’ai dit : « On ne saurait le dire par votre apparence. »

21.       Et elle a dit… ainsi… comme… vraiment habillée comme un homme et, vous savez, la Bible dit « qu’une femme qui porte les vêtements qui ressemblent aux vêtements d’hommes, c’est une abomination devant Dieu. » C’est ce que dit l’Ecriture, vous le savez. C’est la vérité.

            Ecoutez, jeunes filles, si seulement vous vous débarrassez de toutes ces affaires, vous paraîtrez beaucoup plus jolies. C’est vrai. Prenez un peu de Jacques 5.14, mélangez cela avec un peu de Jean 3.16, mettez tout cela ensemble et remuez cela ; c’est le meilleur maquillage que vous aurez jamais eu. Est-ce vrai ? C’est vrai.

            Laissez-moi vous dire quelque chose, jeunes filles, alors que vous grandissez. Si votre mère le fait, honte à elle. Mais écoutez. Dans toute la Bible, il n’y avait qu’une seule femme qui se soit jamais maquillée. Et vous n’avez pas à vous maquiller pour rencontrer Dieu. Vous vous maquillez pour paraître devant les hommes.

22.       Je peux prouver par la Bible que toute femme qui se coupe les cheveux, son mari a le droit légal devant Dieu de divorcer d’avec elle. La chevelure… c’est l’Ecriture. Maintenant, si vous ne croyez pas cela, déposez la question ici demain soir et je vous le montrerai. C’est vrai. C’est vrai, mais que faisons-nous? La Bible dit que c’est un acte coupable et vulgaire pour une femme de prier les cheveux coupés court. C’est vrai. Et cependant nous… vous appliquez tout ce maquillage, mais qu’est-ce que cela fait, mon ami ? Il n’y a qu’une seule femme qui a fait cela, et savez-vous le sort que Dieu lui avait réservé ? Il l’a donnée en pâture aux chiens. Ainsi, si vous voyez une femme ainsi maquillée, dites-lui: « Bonjour, madame viande pour chiens. » C’est exactement ce qu’elle était, Dieu l’a donnée en pâture aux chiens, cette femme de Jézabel. Vous savez, vous ne devriez pas être ses filles, et je ne vous blâme pas pour cela. En effet, c’est une tradition. Cela vous a été transmis, et c’est une honte.

23.       Eh bien, ces choses étaient permises à partir de la chaire. Ce n’est pas étonnant que vous ne puissiez pas enseigner la guérison divine et des choses comme… N’est-ce pas vrai ? Ce n’est pas étonnant que vous ne le puissiez pas. C’est dommage. C’est vrai. Ce n’est pas étonnant qu’ils aient… Dieu exigeait l’amour. Dieu exigeait la sainteté, l’amour, la collaboration, mais aujourd’hui, nous… ? … nous-mêmes. « Mon église ne croit pas ceci. La mienne croit ceci, et la mienne croit cela. »

            Il n’y a pas longtemps, une jeune fille ici de notre ville… Nous avions une jeune fille là au tabernacle. Je pense qu’elle était ce genre de femme à l’ancienne mode. Elle peignait ses cheveux en les renvoyant vers l’arrière, c’était si lisse que son visage brillait. Elle était une dame, et alors il y avait une autre jeune fille qui était membre d’une église très renommée et, frères, elle était très dévergondée. Elle allait aux soirées dansantes et se méconduisait tout le temps.

24.       Et elle rencontrait souvent cette fille là-bas à… qui venait là à l’église. Et un jour, elle lui a dit : « Tu sais ce qui ne va pas chez vous ? » Elle a dit: « C’est ce fou de prédicateur que vous avez là-bas. C’est ça. » Elle a dit : « Il croit dans toutes ces affaires. » Elle a dit : « Moi, je n’y prêterais pas attention. »

            Elle lui a répondu : « Ce n’est pas mon prédicateur ; c’est mon Seigneur qui est en moi qui me dit de ne pas le faire. » Voyez-vous ?

Et l’autre fille a dit : « Eh bien, tu es simplement… » Elle a dit : « Il a tout simplement un esprit borné. Voilà tout. »

La jeune fille a dit là-bas…Et elle a dit : « Tu veux dire que mon Seigneur a un esprit borné? »

Elle a dit : « Peu importe ce que dira mon pasteur, a-t-elle dit, mon Seigneur dans mon cœur me dit que les femmes doivent porter des habits modestes. » Voyez-vous ? Et elle a dit… Et cette fille se moquait d’elle, et tout le temps elle se moquait d’elle à l’école. Ainsi, elle était… Cette jeune fille d’une autre église était devenue très célèbre dans leur église.

25.       Franchement, elle est devenue une monitrice d’école du dimanche. Et il s’est fait que la fille de ma cousine était… allait à cette école du dimanche ; et un matin, tout ce qu’ils avaient eu, c’étaient des choses en rapport avec leurs rendez-vous du soir précèdent et que sais-je encore, et quinze minutes après, ils ont dû sortir.

            Ainsi, cette jeune fille est sortie avec un garçon qui portait une petite bouteille dans sa poche. La première chose, vous savez, elle est devenue une coureuse et elle a contracté une maladie. Les médecins sont intervenus, mais c’était trop tard.

            Monsieur Perkins, qui travaille au Coots Funeral Company, est l’un de mes bons amis. Il travaille maintenant au Vising Motor Company à Jeffersonville. En ce temps-là, il travaillait aux pompes funèbres Coots. Il était un embaumeur.

26.       Cette jeune fille est tombée sérieusement malade. Ils ont fait venir des médecins et les médecins ne pouvaient rien faire pour elle. Elle souffrait d’une maladie vénérienne, et c’était à un stade trop avancé. On n’y pouvait rien, c’était quatre plus, c’était irrémédiable.

            Ainsi donc, toute sa petite classe s’était rassemblée-là pour voir les anges descendre et la ramener à la maison. Eh bien, c’est la vérité. Les anges allaient venir pour la ramener à la maison. Les amis s’étaient tous donc rassemblés là, chantant des cantiques, son pasteur faisait les cent pas sur le plancher dehors dans un couloir, il tenait une cigarette, dans un porte-cigarettes, faisant les cent pas, attendant la dernière minute pour la jeune fille.

            Et elle était toute prête. Elle avait arrangé ses cheveux et tout pour les funérailles, tout était là attendant. Et la mort l’a frappée. Quand la mort l’a frappée, elle est entrée en agonie et elle s’est mise à s’écrier : « Je suis perdue ! Je suis perdue ! » Au lieu que les anges viennent, elle était perdue.

Elle a dit : « Où est cette fille de ce tabernacle-là ? Appelez-la. » Lucille McCortney, j’espère que sa famille n’est pas… Si elle est assise ici, c’est bien.

Elle a dit : « Où est Lucille McCortney ? Allez la chercher pour moi immédiatement. »

Toutes les filles ont couru et ont appelé le pasteur. Elles ont dit: « Nous allons appeler le pasteur. »

27.       Ils l’ont fait entrer là en courant. Il est entré et il a dit : « Eh bien, écoute, écoute. »

Elle disait : « Je suis perdue. Je suis – je suis – je suis perdue. »

Oh ! Il a dit : « Je vais faire venir le docteur pour vous donner une injection hypodermique. »

Il a dit : « Tu déraisonnes. »

Elle a dit : « Toi, espèce de séducteur. »

Elle a dit : « Je suis perdu et je vais en enfer, et c’est à cause de toi. »

Elle a dit : « Dites à cette jeune fille de venir ici. »

On a fait venir Lucille, mais elle n’est pas arrivée là. Cette fille est morte, et quand on est parti… Monsieur Perkins est parti pour embaumer le corps, pour introduire des sondes, il dit qu’il continuait à pomper un liquide… une jeune fille, et ils ont remarqué le liquide. Il a pompé un gallon de ce liquide ou plus dans le corps de cette fille, et le liquide ne faisait que couler, et quand ils avaient opéré, ils sont arrivés à découvrir qu’il y avait un grand trou, qu’elle était rongée par cette forte syphilis. Elle était morte.

28.       Maintenant, frères, permettez-moi de vous dire quelque chose. Je dis ceci ; si le prédicateur derrière la chaire pouvait rester avec l’Evangile à l’ancienne mode, et que Dieu garde la chose en ordre, nous n’aurions pas tant de cette délinquance juvénile, et toutes sortes de choses que nous avons aujourd’hui, et les problèmes que nous avons. Dieu a toujours l’œil sur cela.

            Et comment pouvez-vous prêcher la guérison divine et la puissance de Dieu, quand vous mélangez cela avec des choses pareilles ? Impossible. L’huile et l’eau ne se mélangeront pas. C’est vrai. Ça doit être soit l’un soit l’autre. Maintenant, cela… eh bien, je ne suis pas un légaliste, et je ne suis pas ceci ou cela. Je suis un légaliste, et je ne suis pas un légaliste ; je – je suis un chrétien. C’est vrai. Voyez-vous ? Je ne prends position ni pour l’un ni pour l’autre, mais je vous répète ce que dit l’Evangile.

29.       Et écoutez. C’est dommage que l’église ait perdu sa vison de la puissance de la résurrection de Jésus-Christ, là où Il a dit… autres fois, lorsqu’Il apparaissait aux gens, et leur donnait les visions, et l’intelligence. Il fait la même chose aujourd’hui. Cela me rappelle le petit cas d’un homme célèbre qui a été guéri tout récemment. Et combien ont déjà entendu parler de la guérison d’Upshaw, membre du Congrès  ? Beaucoup d’entre vous ici.

Le membre du Congrès Willie D. Upshaw… Cela s’est produit en Californie il n’y a pas longtemps. Nous tenions une série de renions, et mon frère était venu me chercher. Et j’étais en retard ce soir-là, il a donc frappé plusieurs fois à la porte, il est rentré, on lui a donné du lait malté, puis il est encore revenu. Il a encore frappé à la porte, et il a compris que j’étais en prière. Quelque chose était en train de se passer. Je ne pouvais pas saisir un … juste comme ça s’est passé il y a quelque temps.

Et alors, je – je suis allé à la réunion, et je suis monté… Des milliers de gens étaient entassés là. Nous avions fait trois ou quatre jours, et ainsi ils… je pense que quand je suis arrivé sur l’estrade quelque chose s’est produit.

J’ai promené le regard sur le lieu, j’ai dit : « Je vois… »

30.       Eh bien, observez maintenant, et vous verrez les résultats. J’ai regardé comme ceci. Je dis… Et Dieu Qui est mon Juge sait que je n’avais jamais entendu parler de Willie Upshaw de ma vie, j’ai dit : « Je vois une meule de foin et un petit garçon en train de jouer dessus. Il est habillé d’une manière très particulière. Il est tombé, et il s’est cassé le dos. On l’a amené chez un certain médecin qui portait des lunettes qui descendaient comme ceci et qui avait une moustache blanche, mais – mais rien ne peut être fait. »

            J’ai dit : « Je vois le petit ami être ramené à la maison. Il est en train de grandir, et son cas s’est tellement empiré qu’on avait creusé des trous dans le plancher, parce qu’il n’arrivait pas à supporter la vibration de pas des gens qui marchaient sur le plancher. » J’ai dit : « Eh bien, il devient un écrivain ou quelque chose comme cela, et il est en train de faire un certain genre de travail. Il – il devient un grand homme. Maintenant, il devient même plus grand, il est dans un lit où il est poussé dans… dans des fauteuils roulants et autres. Il peut se tenir debout, mais il a des béquilles sous les épaules et ça lui descend sur les côtés, et il faut qu’il marche de cette manière-là. » Et la vision m’avait quitté.

31.       Et au même moment, on venait de le sortir de l’avion ou quelque chose comme cela, et on l’a simplement amené, on l’a amené jusqu’à la porte en le poussant. J’ai dit : « Le vieil homme est là maintenant. » Il avait quatre-vingt-six ans en ce temps-là, et il a entendu cela. Quelqu’un parmi eux lui a passé l’un de ces petits micros baladeurs, et j’ai dit à Howard, je lui ai dit : « Quelle série de cartes de prière avez-vous distribuée ? » Et il me l’a communiquée et j’ai dit : «Eh bien, appelez à partir de tel numéro », comme je le fais d’habitude pour aligner les gens.

            Et juste à ce moment-là, monsieur Baxter, le manager est venu vers moi, et m’a dit : « Frère Branham, connaissez-vous celui à qui vous parliez ? » J’ai dit… «Celui que vous avez vu en vision ? »

Et j’ai dit : « Non, monsieur. »

Il a dit : « C’était Upshaw, un membre du Congrès américain. » Il a dit : « Il aimerait vous parler à travers ce micro. »

Et j’ai dit : « Je ne le connais pas. »

Sa femme était donc à genoux, elle pleurait et lui aussi. Il a dit – il a dit : « Mon fils, comment as-tu su que j’étais tombé quand j’étais un jeune garçon ? »

J’ai dit : « Monsieur, je ne … Je ne peux dire que ce que je vois dans la vision. »

Et il a dit : « Eh bien, c’est ce qui s’est exactement passé. » Il a dit : « C’est moi William Upshaw. »

32.       Il était un sénateur de l’Etat de Georgie et il était un membre du Congrès américain pendant dix-sept ans, et il a pris sa retraite du Congrès des Etats-Unis. Il a été complètement invalide depuis soixante-six ans, un invalide, dans un fauteuil roulant, marchant avec des béquilles, alité et tout.

Et il a dit : « J’étais président (je pense que c’est ça) de la Convention des Baptistes du Sud. » Il a dit : « C’est le docteur Roy E. Davis, qui vous a ordonné dans l’Eglise batiste, qui m’a informé. » Il a dit : « On a prié pour moi à maintes et à maintes reprises ; mais c’est lui qui m’a conseillé de venir ici afin que vous intercédiez en ma faveur auprès de Dieu. »

Il a dit : « J’étais – j’aurais été président (je crois que c’était en 1926 ou quelque chose comme cela quand il s’est porté candidat aux élections présidentielles), mais, a-t-il dit, c’est à cause de mes convictions, parce que je ne croyais pas dans la vente et la légalisation du whisky, je m’y opposais… » Et il a ajouté : « Si aujourd’hui je dois encore me porter candidat aux élections présidentielles, je m’y opposerai toujours. Les démocrates voteraient pour moi si seulement je me portais candidat aux élections présidentielles. » Et il a dit qu’il serait contre l’interdiction. 

Et il a dit : « Je – j’étais contre le whisky, à cause de mes convictions en tant que chrétien. » Il a dit : « Je suis contre ça. »

J’ai dit : « Que Dieu vous bénisse, monsieur. »

33.       Et il a dit : « Mon fils, serai-je guéri ? »

Et j’ai dit : « Je ne saurais vous l’affirmer, mon frère. » J’ai dit : « Tout ce que je sais… » Il était assis à une distance de deux fois cette salle comme ceci ; il était là au fond de l’assistance, et la salle était plein de fauteuils roulants partout ; et j’ai dit : « Je ne saurais vous l’affirmer, monsieur. Je ne sais pas. Je ne peux dire que ce que je vois. »

Et il a dit : « Eh bien… » Et sa femme a dit : «Oh ! Que Dieu soit miséricordieux. » J’ai dit : « Il est miséricordieux. » J’ai dit : « Ce n’est pas qu’Il le sera ; Il l’est. » Et je me suis donc retourné comme ceci. J’ai dit : « Eh bien, Howard, apporte… »

34.       Une dame s’approchait. Ils étaient donc prêts à la faire monter. Alors, pendant que la dame venait, j’ai regardé de ce côté-ci. J’ai vu un médecin, un jeune homme, il paraissait avoir environ vingt-cinq ans. Il avait les bras croisés, et s’il y a un médecin ici, je ne sais pas comment appeler cela, cette histoire qu’ils mettent ici autour de la tête : ç’a une lumière ici pour regarder dans la gorge. Et il portait un petit blouson, qui était resserré ici au niveau de la gorge, il avait les bras croisés et il regardait vers le bas, allant… Il était découragé, je ne faisais qu’observer le petit médecin, et comme la vision se matérialisait, il avait opéré une petite fille de couleur, il a enlevé les amygdales et cela l’a paralysée. Elle était étendue là, paralysée.

            J’ai dit : « Le médecin a opéré une petite fille de couleur d’environ cinq ou six ans, il lui a enlevé les amygdales, et cela l’a paralysée. » Et au même moment, j’ai entendu un cri à environ,… oh ! loin là-bas du côté droit, à distance, là de ce côté-là, quelque part, et la poussière volait, et voici venir une vieille « Tante Jemima » typique [Une grosse femme de couleur – N.D.T.], une femme corpulente et grosse tenant (une femme de couleur) – tenant une civière dans sa main, une civière d’ambulance, et avec son bras très robuste elle ne faisait que cogner les huissiers de part et d’autre. Et c’était son enfant… Elle criait à tue-tête.

35.       Eh bien, l’unique moyen pour l’empêcher de monter à la chaire était d’aligner une équipe de huissiers ici, et elle a simplement – elle s’écriait : « Aie pitié Seigneur ! C’était mon enfant, et c’est le même genre d’homme qui a opéré mon enfant. » Et j’ai dit… Elle a dit : « Est-ce que – est-ce que – est-ce que mon enfant sera guérie, pasteur ? »

J’ai dit : « Tantine, je ne sais pas. » J’ai dit : « Je ne saurais l’affirmer. Je ne dis que ce que je vois. » J’ai dit : « Oh ! je peux vous dire que je crois cela, priez pour l’enfant, mais quant à dire qu’elle va… Je ne sais pas. » J’ai dit : « Certainement… »

            Pensez-y simplement, une pauvre femme de couleur, illettrée, qui était assise dans cette rangée au fond, et le Dieu Tout-Puissant montrait une vision ici à son sujet. Pouvez-vous l’imaginer ? Dieu ne fait acception de personne. Il va – Il respectera un cœur sincère, peu m’importe l’endroit. C’est vrai.

36.       Et elle se tenait là. Elle faisait des histoires là-bas et les huissiers essayaient de la calmer. Alors la première dame est montée, et comme je – je n’étais même pas encore arrivé à son cas pour parler avec elle…

J’ai encore vu quelque chose se mouvoir, j’ai regardé au-dessus de l’assistance comme ceci, et il y avait une espèce de trait noire qui s’approchait, et je me suis mis à observer ce trait, et ça s’est matérialisé et c’est devenu une route, ou une rue ou quelque chose du genre. Et cette petite fille de couleur descendait la rue tenant une poupée dans sa main, en train de la bercer.

            Frère, c’était la chose. Je l’ai su. Tous les démons de l’enfer ne pouvaient pas empêcher cela à ce moment-là. Non, Dieu l’avait déjà dit. Ça règle la question. Je savais ce qui allait se produire, et je pensai : « Oh ! gloire au Seigneur. »

37.       J’ai parlé à cette dame, disant : « Excusez-moi. » J’ai dit : « Tantine, vous êtes sans doute une chrétienne. »

Elle a dit : « J’ai été élevée depuis mon enfance pour être une chrétienne », a-t-elle dit. Elle a dit : « Seigneur, mon enfant. »

J’ai dit : « Maintenant, levez-vous juste une minute. » J’ai dit : « Ne pleurez pas. » J’ai dit : « Jésus-Christ a exaucé votre prière et Il a guéri votre enfant. »

Et elle a dit : « Mon enfant sera – sera-t-elle guérie ? »

J’ai dit : « Elle est guérie. »

Et elle a dit : « Vous voulez dire que ma… »

Et la petite fille a dit : « Maman, regarde ici. » Et elle a sauté là, et cette pauvre vieille maman, et les femmes qui étaient assises là tout près, se sont évanouies. Et elle a sauté, et cette petite fille l’a saisie par la main et là dans… On a demandé aux gens de rester tranquilles, elles sont descendues là dans l’assistance, se tenant la main l’une l’autre, louant Dieu, se dirigeant vers la porte. Je me suis tenu tranquille, observant. Les gens criaient pendant qu’elles franchissaient la porte.

38.       Je me suis tourné vers la femme, j’ai regardé et j’ai vu ce vieux membre du Congrès traverser l’auditoire. Eh bien, il portait un complet bleu et une cravate rouge (si quelqu’un parmi vous le connaît, c’est vraiment ainsi qu’il aimait bien s’habiller.), mais cette fois-là, il portait un complet brun, brun clair avec un ruban blanc dessus.

Il portait l’un de ces chapeaux comme celui que je porte. Franchement, c’est lui qui me les envoie. Il portait donc – donc l’un de ces chapeaux, ces chapeaux du Sud, les petits chapeaux de cow-boy, et il s’avançait là, soulevant son chapeau avec son hospitalité propre aux gens du Sud, vous savez, soulevant son chapeau comme un véritable gentleman, il descendait la rue comme cela, marchant au milieu des gens.

            J’ai su que Dieu avait accompli cela. Je – je … Quand cela se produit, frère, il y a … Juste comme cette réunion en Inde et celle qui aura lieu en – en Afrique, rien au monde ne pourrait ôter cela de moi. Je sais que ça va arriver. Si c’est Dieu qui dit la chose, jamais cela n’a failli, et ne peut faillir. C’est Dieu. Ce n’est pas la foi. Il s’agit tout simplement de faire ce que Lui a dit.

39.       Je savais que cet homme-là était guéri. J’ai encore regardé. Je me suis dit : « C’est maintenant le temps. » Et j’ai dit : « Membre du Congrès. »

Et il a dit : « Oui, mon fils. »

Et j’ai dit : « J’aimerais vous poser une question. »

Il a dit : « Je vous en prie. »

J’ai dit : « Avez-vous un costume brun et rayé ? »

Il a dit : «Oui, oui, mon fils, j’en ai acheté un avant-hier. »

J’ai dit : « Eh bien, mon frère en Christ, bien que vous ayez fait soixante-six ans à marcher sur les béquilles, en fauteuils roulants, et dans des lits, vous avez eu de l’empressement et vous avez cru dans la guérison toute votre vie.»

« C’est vrai. »

J’ai dit : « Mais… Et vous avez pris position pour… Vous vous êtes opposé au mal, vous avez refusé de devenir président ; comme vous avez choisi la chose correcte, Dieu vous a honoré, et Jésus-Christ vous a guéri. »

Il a dit : « Que Dieu soit loué, mon garçon. » Il a dit : « Si Jésus-Christ peut me laisser encore marcher sans béquilles et autres, a-t-il dit, je vais – je passerai le reste de mes jours qui, je le sais, sont restés très peu, je les passerai pour Sa gloire. »

J’ai dit : « Monsieur le membre du Congrès », et alors j’ai senti que j’allais m’évanouir. Cela s’est saisi de moi.

J’ai dit : « Au Nom de Jésus-Christ, levez-vous. Dieu vous a guéri. »

40.       Et cet homme qui avait été invalide pendant soixante-six ans, ce membre du Congrès, s’est levé, est venu en toute hâte à l’estrade, il s’est abaissé, il a touché ses orteils, il s’est relevé, et il était complètement rétabli pour tout le reste de sa vie. C’est vrai. Il est allé rendre visite à Churchill ; à la réunion de Billy Graham, il s’est immédiatement tenu là sur les marches de la Maison Blanche et il a chanté : Reposant sur les bras éternels, devant ces membres du Congrès.  

Dieu… L’homme a vécu très longtemps. Il a vécu longtemps après cela. Ça fait environ quatre ans que frère Bosworth était avec lui. Nous étions dans les réunions. Il est allé partout dans le pays. J’ai pris ma propre offrande d’amour et beaucoup d’autres choses et je l’ai aidé à s’acheter une voiture. Il a parcouru le pays, des écoles et différents endroits, partout, pour témoigner de la puissance du Dieu vivant.

41.       Vraisemblablement, si Dieu avait voulu le guérir, Il aurait dû le faire quand il était encore un jeune homme et que ses os étaient tout flexibles, doux. Vraisemblablement, Il n’aurait pas dû attendre que ses os vieillissent, deviennent fragiles, et que son dos soit brisé, comme le président Roosevelt, mais cet homme qui avait été invalide pendant soixante-six ans, condamné dans des fauteuils roulants et des lits roulants, qui ne pouvait marcher qu’à l’aide des béquilles attachées au dos, s’est tenu debout en un instant et a été parfaitement guéri par la puissance de Jésus-Christ ressuscité.

            Il était connu presque de tous les rois et les potentats des nations, on le connaissait comme membre du Congrès. Il m’a même gentiment demandé d’apposer ma signature sur une lettre qui était envoyée à Joe Stalin. C’est vrai, il a causé avec lui et lui a parlé de sa guérison, comment Dieu l’avait guéri, et lui a dit que s’il pouvait venir de ce côté-ci du rideau de fer, il le lui prouverait. Il avait un peu un sens de l’humour, ce membre du Congrès.

42.       Ainsi, mon ami chrétien, je dis ceci ce soir. Je ne suis pas un vieil homme, cependant je ne suis pas un petit garçon ; mais si j’avais une vie, et que Dieu descendait pour me dire: « Veux-tu renoncer à cette expérience chrétienne que tu as de Ma puissance de guérison, de rédemption, et de résurrection … » Et votre frère qui se tient ici ce soir, était autrefois aveugle.

On me conduisait par la main comme ceci, je portais de très grosses et très épaisses lunettes, et j’étais tellement atteint d’astigmatisme que ma tête bougeait comme ceci, et que parfois le coiffeur devait prendre une heure pour me coiffer. Et en un instant, l’aimable grâce de Jésus-Christ m’a débarrassé de ces grosses et épaisses lunettes. Je peux lire les caractères d’un journal à une distance de cinq pieds.

43.       Et aujourd’hui… Il y a quelques semaines, non, il y a environ une année maintenant, j’étais allé à Louisville voir un très bon spécialiste qui allait polir pour moi les verres pour les lunettes de soleil à… en Afrique et dans différents endroits. Je devais me rendre en Colombie Britannique sur les rives enneigées, à une partie de chasse sur… après mon retour de l’Afrique… Et un jeune médecin, un ami à moi qui vit à côté de chez moi, c’est le docteur Sam Adair ; il a dit qu’il pensait que peut-être, que c’est …Il a dit : « Billy, tu as quarante ans. En fait, tes yeux sont en train de s’abîmer. C’est la raison… »

Je porte toutes sortes de lunettes et cela me rend malade. J’ai dit : « Non, c’est un problème de couleur. »

Il a dit : « Va te faire examiner les yeux. » Et il m’a envoyé chez ce spécialiste ; c’était la volonté de Dieu. Pour le moment, l’homme veut aller en Afrique avec moi pour faire gratuitement des opérations de cataractes chez les indigènes pendant six mois. C’est un chrétien.

            Vous voyez comment Dieu travaille. Certainement. Et quand ils – il m’a examiné les yeux, voici ce qu’il a dit : « Mes yeux sont vingt – vingt, ils sont bons. Il a essayé cela de vingt – vingt à quinze – quinze et ensuite il est descendu jusqu’à dix – dix, et mes yeux sont dix – dix. Je chante : « Grâce étonnante, quel doux son qui sauva un vil comme moi. »

44.       Eh bien, quant à ces genres de témoignages, Dieu qui est mon Juge le sait, et je le dis, si je – si j’exagère, que Dieu me pardonne. Je crois que je pourrais me tenir ici, si c’était possible, et pendant les cinq cents heures qui suivent, donner un témoignage des choses que je connais, des choses que notre Seigneur a accomplies, des choses dont, s’il fallait les écrire en détail, on aurait plus de milliers de volumes de livres, sur ce que j’ai vu notre Seigneur Jésus accomplir, et ça ne suffirait pas. C’est… Mes amis, toutes ces choses sont produites des centaines et des centaines et des centaines de fois en tout.

Vous direz: « Pourquoi n’ai-je pas entendu parler de cela ? Pourquoi n’ai-je rien su à ce sujet ? » C’est la même chose que pensaient beaucoup de Juifs après la crucifixion de Jésus et tout. Beaucoup d’entre eux disaient : « Pourquoi n’ai-je pas entendu cela ? Pourquoi n’ai-je pas entendu cela ? » Eh bien, c’est maintenant un privilège pour vous de croire la chose et de l’accepter. C’est votre jour.

45.       Vous pourriez penser : « Frère Branham, êtes-vous … » Je ne le dis pas parce que je tiens cette série de réunions. Ce n’est pas moi qui la tiens. C’est Dieu. Si – s’Il me parle ce soir, disant : « Va ailleurs. » Je me mettrai en route maintenant même. Eh bien, c’est… Jamais je ne… Si …?... De moi-même, je ne pourrais pas le faire. C’est Lui. Je sens que cet endroit-ci a besoin de l’Evangile de Jésus-Christ et de Sa puissance. C’est vrai.

            Ce soir, je connais des endroits qui appellent en ce moment, où environ quinze mille personnes peuvent se rassembler le premier soir de la réunion.  C’est vrai. Quinze mille personnes. Je connais beaucoup d’endroits où au moins cent cinquante mille personnes peuvent se rassembler à la première réunion. C’est vrai.

            Mais ce ne sont pas – ce ne sont pas des foules qui me préoccupent. L’Evangile doit être prêché dans cette ville-ci, dans cette ville-là, et partout dans le monde pour servir de témoignage, alors le Seigneur viendra. Ce n’est pas de la théologie qui doit être prêchée, mais c’est la puissance et la démonstration du Saint-Esprit qui doivent être démontrées dans le monde entier pour servir de témoignage. Alors viendra le temps.

46.       Que Dieu vous bénisse. C’est votre heure. Recevez-Le. Notre Père, qui es aux Cieux, que Ton Nom soit sanctifié. Père, ce soir, nous Te prions, dans notre petite barque d’humilité ici, nous – nous prions que d’une manière ou d’une autre, sachant que nous sommes indignes, toutefois nous Te prions de nous oindre ce soir, car Tu n’as pas d’autres mains que les nôtres, Tu n’as pas d’autres lèvres que les nôtres. Nos yeux sont Tiens.

Nous sommes les sarments qui sont attachés au Cep. Ô Père, nous Te prions d’agir ce soir au travers du Cep, au travers des sarments et de porter les fruits. Accorde-le, Seigneur.

47.       Et nous nous tenons là avec humilité et dans la soumission à Ta divine volonté. Tu connais monsieur Upshaw et tout le reste de ses années, pendant lesquelles il a marché parfaitement, marchant, bondissant, sautant comme un jeune garçon, et maintenant, ce soir, à un âge avancé, Tu l’as ramené à la maison, presque à cent ans, et maintenant, ce soir, il est dans Ton Royaume, un jeune homme, se réjouissant avec une grande armée des êtres célestes.

            Nous Te sommes reconnaissants pour cela, et nous T’offrons notre prière maintenant, ce soir, Seigneur, comme nous sommes ceux-là qui sont restés pour prêcher encore cet Evangile pendant que nous sommes vivants et que la lumière du jour est en train de briller. Ô Dieu, accorde que les grandes lumières du ciel soient allumées dans chaque âme qui est ici ce soir, et que de grands signes et des prodiges soient accomplis.

48.       Et maintenant, Toi qui as ressuscité Ton Fils, Jésus, c’est Toi qui L’as amené ici sur terre en couvrant de Ton ombre une vierge qui a donné naissance à ce merveilleux Jésus. Et quand Il était ici sur terre, Il était un Homme humble qui se promenait comme un charpentier. Il était méprisé du monde religieux, mais cependant Toi, Tu étais avec Lui.

Et Il a dit : « Je ne fais rien. Ce que le Père me montre de faire, c’est ce que je fais. » Il est resté soumis à Toi et Il T’a donné gloire. Et ce que Tu Lui montrais, c’est ce qu’Il faisait. Et maintenant, Père, en partant, Il a fait une promesse, disant : « Ces œuvres que Je fais, vous les ferez aussi. Je serai avec vous, et même en vous jusqu’à la fin du monde. »

            Et, ce soir, je déclare, ô Père, à cette auditoire ici à West Palm Beach, en Floride, que c’est Toi qui as ressuscité Ton Fils d’entre les morts et que Son Esprit est en train d’agir dans Son Eglise ce soir, essayant de trouver un canal dans un cœur pour guérir les malades, faire voir les aveugles, faire marcher les estropiés, faire entendre les sourds, et amener le pécheur à re – refuser de pécher encore et à accepter Christ comme son Sauveur, et à être rempli de l’Esprit de Dieu, pour qu’il soit aussi envoyé dans le champ de mission pour faire le travail.

Maintenant, confirme Ta Parole, Seigneur, par des signes qui L’accompagnent, car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils bien-aimé. Amen.

49.       Je crois que votre… Etait-ce la série A ? Très bien. On a distribué des cartes de prière aujourd’hui, et Billy m’a dit, il y a quelques instants, que c’étaient les cartes de prière série A qu’il avait distribuées. Que les dix ou les quinze premiers s’alignent ici à droite pour qu’on prie pour eux. Ça va. Dans l’entre temps, nous autres, chantons : Crois seulement.

Retournez votre petite carte. Elle – Elle portera votre nom et votre adresse, et au dos, il y a une lettre A 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10. Je crois que chaque soir nous prenons environ 15.

Remarquez, mes amis, écoutez. On nous critique toujours du fait qu’on ne prend pas beaucoup de gens. Allez dans une réunion et voyez comment… Il y a environ quinze personnes ou plus ici dans cette ligne-ci et peut être quinze ou vingt personnes dans cette ligne-là.

Vous verrez que quiconque prie pour les malades n’arrive pas à plus de trente ou quarante en une soirée, et pour le reste de malades, on leur impose simplement les mains aussi rapidement que possible. C’est ce que vous avez tout le temps. Vous ne pouvez pas prendre plus que ça. C’est vrai.

Mais, écoutez. Ce à quoi je cherche à vous amener, ce n’est pas à avoir foi dans les mains d’une certaine personne, mais à avoir foi en Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Amen. Croyez-vous cela ? Alors ayez foi en Dieu.

50.       Ça va. Chantons Crois Seulement. Maintenant, soyez vraiment respectueux pendant que nous chantons tous.

Allez-y maintenant. Donnez-nous l’accord.

Crois seulement, … seulement.

Tout est possible, crois seulement,

Crois seulement, crois seulement,

Tout est possible, crois seulement.

Chantons ça comme ceci :

Seigneur… Seigneur, je crois,

Tout … possible, Seigneur je crois,

Seigneur, je crois ; Seigneur, je crois,

Tout est possible, Seigneur, je crois.

51.       Fredonnons cela, s’il vous plaît. Nous avons… Combien de cartes ont été distribuées ? Y a-t-il quelqu’un qui manque ? Numéro 4. La carte de prière A-4. Retournez votre carte. Peut-être que c’est quelqu’un qui est sourd ou… Regardez chez cet estropié ou quelque part quelqu’un qui ne peut pas saisir… La carte de prière numéro 4. A-4 manque. Peut-être que c’est une personne sourde ou quelqu’un qui ne peut pas se lever. Regardez la carte de votre voisin pendant que nous chantons cela de nouveau et voyez s’il – s’il a la carte en question. S’il  l’a, qu’il lève la main. La carte de prière numéro 4, A-4. Ça va, chantons encore maintenant, tout le monde.

Seulement (C’est bien. Regardez la carte de votre voisin.)

Crois seulement…

Tout est possible, crois seulement.

Crois seulement, crois seulement,

Tout est possible, crois seulement.

Sont-ils venus ? Très bien. Eh bien, qui qu’il soit, il rate son tour pour entrer dans la ligne de prière. Voyez-vous ? Quand j’arriverai chez moi, quelqu’un m’écrira une lettre pour me dire : « Eh bien, personne ne m’a dit que ma carte de prière a été appelée un soir. » Voyez-vous ? C’est pour cela que je vous demande de regarder votre carte, au cas où la personne serait sourde et qu’elle ne m’entendrait pas quand je l’appelle. Voyez-vous ? Carte de prière 4, A-4. Très bien.

52.       Eh bien, ma prière est que le Seigneur soit miséricordieux, qu’Il bénisse et que Son Saint-Esprit glorieux et juste brille sur chacun de nous. Maintenant, ne quittez pas votre siège, s’il vous plaît, et soyez respectueux.

            Maintenant, j’aimerais appeler la dame. Venez ici. Pardon ? Oh ! numéro 4. Très bien. C’est très bien. Faites le monter ici et mettez-le en ligne à sa place si c’est possible. Je vous remercie, vous qui avez regardé cette… la personne est peut-être sourde et n’entendait pas. Ainsi donc, faites-la monter ici et mettez-la ici à sa place, je vous en prie, vous les huissier.

            Très bien. Maintenant, je veux que vous regardiez dans cette direction et que vous croyiez de tout votre cœur, que Jésus-Christ, le Fils du Dieu vivant, est ici pour guérir et rétablir. Croyez-vous cela ? C’est vrai. J’aime entendre ce mot « Amen. » « Amen » veut dire « ainsi soit-il », et c’est ce que nous voulons. Très bien.

53.       Billy, voici ton… Oh ! c’est … d’accord, c’est très bien. Voici – voici la patiente. Eh bien, madame, s’il y avait un moyen au monde pour vous guérir, Dieu sait que je le ferais. Je serais heureux de le faire, mais je ne peux pas vous guérir. Vous le savez, et combien ici savent que je ne peux pas guérir la femme? Eh bien, certainement pas. Je ne peux pas faire ce que Jésus-Christ a déjà fait, n’est-ce pas ?

            Eh bien, sa guérison a déjà été accomplie. Jésus l’a guérie il y a bien des années, quand Il est mort. Mais maintenant, quelque chose doit se produire pour l’amener à accepter sa guérison (Est-ce vrai ?), quelque chose pour l’amener à accepter sa guérison. Très bien.

            Maintenant, je veux que vous regardiez dans cette direction, sœur, et que vous croyiez de tout votre cœur. Si vous croyez que je suis serviteur de Dieu… Eh bien, la raison pour laquelle je dis cela, est que… Juste un instant. Est-ce un message important ? La – la raison pour laquelle je dis ceci… Et j’aimerais que l’assistance, avant que l’onction ne me frappe, j’aimerais que les gens le sachent.

54.       C’est la raison pour laquelle vous m’entendez parfois dire … dire aux gens : « Croyez-moi. » Voyez-vous ? Eh bien, quand je dis cela, ce n’est pas qu’il faille me croire comme vous croiriez en Lui. Certainement pas, certainement pas. Il s’agit de croire que je vous ai dit la vérité, de croire que c’est Lui qui m’a envoyé faire ceci. Eh bien, voyez, lorsque cet Ange m’a rencontré, Il a dit : « Si tu peux amener les gens à te croire. » Voyez-vous ? « Si tu amènes les gens à… »

            Pierre et Jean franchissaient la porte appelée la Belle, ils ont dit : « Regarde-nous. » Est-ce vrai ? Et Elie [Elisée] quand le… tous ces rois étaient descendus là, ils l’ont naturellement fait sortir de ses gonds, et il a dit : « Si je n’avais égard à Josaphat, ce saint homme, je ne ferais aucune attention à toi. » Voyez-vous ?

55.       Combien savent qu’on peut – qu’on peut envoyer son âme en enfer avec un don divin ? Certainement, c’est possible. Vous devez veiller à ce que vous faites. Combien croient que Moïse était un prophète de Dieu ? Dites « Amen. » Il était un prophète de Dieu, mais savez-vous ce qu’il a fait ? Dieu lui a dit d’aller là-bas et de parler au rocher. Le rocher avait déjà été frappé. Est-ce vrai ? Moïse, au lieu de faire ce que Dieu lui avait dit, est allé encore frapper le rocher. Est-ce vrai ?

            Eh bien, cela a absolument brisé toutes les Ecritures en deux, là même. Christ n’a pas été frappé deux fois. Il a été frappé une seule fois. Et depuis lors, nous Lui parlons tout simplement. Est-ce vrai ?

            Mais lorsque Moïse a frappé le rocher, cela a brisé tout le programme de Dieu et c’était… Il avait fait exactement ce que Dieu lui avait dit de ne pas faire. Voyez-vous ? Mais il l’a fait malgré tout, que ce fût la volonté de Dieu ou pas. Ça paraît étrange, n’est-ce pas ? Mais ce n’était pas la volonté de Dieu, cependant il était un prophète. Il pouvait faire tout ce qu’il voulait, et ce dont il était capable.

            Mais qu’est-ce que Dieu avait alors fait ? Il s’est occupé de Moïse et Il ne lui a pas permis d’entrer dans la terre promise. Est-ce vrai ? Il l’a amené sur une colline et Il lui a dit : «Voilà le pays. » Il lui a fait voir la terre promise, Il l’a fait mourir et Il a fait venir des Anges pour l’emporter et l’enterrer.

56.       Vous devez… Considérez Elie [Elisée]. Ce Jeune prophète était chauve, et ces petits enfants le taquinaient parce qu’il était chauve. Ils disaient : « Toi chauve. Toi chauve. Pourquoi n’as-tu pas… »

            Savez-vous ce qu’il a dit ? Ce prophète s’est retourné et a prononcé… a maudit ces enfants, disant : «Soyez maudits », je pense, au Nom du Seigneur, et avant que ces petits enfants ne retournent dans la ville, deux ours femelles ont tué quarante deux d’entre ces petits enfants innocents. N’est-ce pas l’Ecriture ? De pauvres petits enfants innocents, mais c’était un prophète en colère. Vous feriez mieux de faire attention à ce que vous faites. Voyez-vous ? C’est vrai.

            Donc, c’est ce qu’il en est ici. J’aimerais voir ce que vous faites avant de prononcer une malédiction, une maladie… Qu’arriverait-il si c’est Dieu qui avait placé quelque chose sur une personne ou qui avait permis à Satan de le faire, et que toi et moi, nous venions là avec un don divin et que nous ôtions cela avant que la volonté de Dieu ne soit accomplie ? Alors, J’aurai affaire à Dieu. Voyez-vous ? Vous devez faire attention.

57.       Maintenant, j’aimerais que vous sachiez que… regarder… la personne qui demande aux gens de regarder... Moi, Je demande aux gens de le faire à fin de pouvoir attirer leur attention. Voyez-vous ? Regardez-moi. Croyez-moi. Faites-le parce que je représente Dieu pour vous.

Eh bien, j’aimerais que vous fassiez cela. Comme la femme au puits, Jésus lui a dit : « Apporte-moi à boire », et Il s’est mis à converser avec elle. C’est ce que je fais avec vous, pour voir ce que Dieu dira. Avant que Son Esprit vienne, je suis tout comme votre mari ou n’importe qui d’autre. Je ne peux rien faire du tout. Je ne puis rien dire, rien du tout. Simplement Je – Je Le laisse simplement agir.

            Nous ne nous connaissons pas, et je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît. Il vous connaît, et je sais que vous êtes une chrétienne, parce que si vous ne l’étiez pas, il y aurait de l’obscurité tout autour de vous, mais au contraire il y a la lumière.

58.       Mais tenez, vous venez d’être guérie. Vous êtes guérie. C’est dans cette série de réunions que vous avez été guérie de l’arthrite ou d’une autre maladie que vous aviez, et vous êtes guérie.

Mais je – je vois quelqu’un au loin. Cela… Vous – vous avez reçu une lettre venant de quelqu’un. N’est-ce pas vrai? Et c’est une lettre en provenance de l’Etat de l’Indiana, mon Etat d’origine, et là il s’agissait d’une femme, une amie à vous, qui a un … Il s’agit d’une femme qui souffre du cœur et elle a quelque chose à faire avec l’église ou un … Non, c’est la femme d’un prédicateur, c’est ça… C’est la femme d’un prédicateur. N’est-ce pas vrai ? Et cette femme a assisté à mes réunions. Je vois une réunion où il y a une grande foule, et elle n’a pas pu obtenir une carte de prière, et elle vous a écrit pour que vous puissiez venir la représenter. Amen. Est-ce vrai ?

59.       Et vous avez à l’esprit une autre chose qui vous préocupe. Juste un instant. Oui, c’est un – c’est au sujet d’un – d’un enfant ou d’une de vos filles – d’une de vos filles, une écolière qui a un genre d’une – une – une affection intestinale, un problème des intestins, ou quelque chose du genre. Elle est une personne nerveuse. Il s’agit des spasmes dans les intestins, c’est ce qui cause cela. Ça va s’arranger. Ça va s’arranger.

            Seigneur, en qui habite la puissance de donner des visions. C’est Toi seul qui peux accomplir ces choses, et ce soir je crois que ça, c’est véritablement un acte chrétien, que cette femme représente son amie. Tu nous as représentés tous en tant qu’Ami. Ô Dieu, exauce cette requête. Ne veux-Tu pas le faire ? 

            Là dans cette partie du pays, où que la femme se trouve, je maudis cette maladie qui est dans son corps au Nom de Jésus-Christ et je demande qu’ils – que ses bien-aimées, ses amies qu’elle représente, soient toutes guéries, et que la Puissance de Dieu, qui connaît chaque partie du monde et qui peut être partout, n’importe quand, je prie qu’à cette heure même qu’elle soit confirmée à ces gens au Nom de Jésus-Christ. Amen.

Maintenant, sœur, j’ai offert la prière de la foi, et de tout mon cœur pendant que je priais tout est devenu vraiment clair, je crois que vous recevrez ce que vous avez demandé. Que Dieu soit avec vous. Disons : « Grâces soient rendues à Dieu. »

60.       Eh bien, c’est cela. Je veux que vous adoriez Dieu. Je ne…ainsi vous… Ainsi, vous devez vous tenir tranquille et tout. Je veux que vous soyez respectueux quand la vision est en cours… parce que si vous n’êtes pas respectueux, elle va disparaître ; mais qui peut renier l’existence de Jésus-Christ ?

            Moi maintenant, comme serviteur de Dieu, je prends l’autorité sur chaque esprit. Rien, rien par la puissance de la foi ne peut tenir dans Sa Présence, et à vous tous qui êtes assis là dans l’auditoire, vous qui êtes malades, je lance un défi solennel sous l’ordre du Seigneur Jésus-Christ de croire en Son Nom et Il vous guérira tous. C’est vrai.

            Si je parlais de moi-même, je serais un menteur. Je parle de Jésus-Christ. Il est la Vérité. Si je rends témoignage de moi-même, mon témoignage sera faux, mais ce n’est pas moi qui rends témoignage. C’est Dieu qui rend témoignage de moi, comme quoi j’ai dit la vérité, et je vous dis la vérité : Jésus-Christ vous a tous guéris. Amen.

61.       Et chacun de vous, maintenant même, si vous avez des péchés non confessés, confessez-les maintenant et mettez la chose en ordre, et Dieu vous guérira, mais il ne peut pas vous guérir si vous avez un péché non confessé. Satan aura toujours le pouvoir sur vous.

            Maintenant, croyez ce que je vous dis. Je vous dis la vérité et Dieu rend témoignage que c’est la vérité. Maintenant, vous qui êtes là-dehors, et qui n’avez pas de carte de prière, j’aimerais que vous vous mettiez à prier [Espace vide sur la bande – N.D.E.] Vous devriez croire de tout votre cœur pendant que je parle ici sur l’estrade.

62.       Bonsoir, sœur. Vous êtes une petite personne ayant l’air très gentille. Croyez-vous de tout votre cœur que Jésus-Christ est le Fils de Dieu, qu’Il est ressuscité des morts et qu’Il vit dans Son Eglise ? Je crois cela, et je pense que vous le croyez. Vous – vous avez une sorte de maladie de sang. Le sang est coagulé dans le [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… Dieu vous l’accordera. Que Dieu vous bénisse. Inclinez la tête.

            Ô Dieu, Toi qui envois Ta puissance, Tu as dit : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru, s’ils imposent les mains aux malades, ceux-ci seront guéris. » Et cette pauvre femme qui se tient ici ce soir, sait qu’à n’importe quelle seconde, elle peut piquer une crise. Son médecin aussi le sait, mais, ô Dieu, Toi qui as amené la puissance rédemptrice, et je déclare que – que j’ai reçu d’un ange envoyé de Dieu, un don Divin, et maintenant, je demande que ce caillot de sang soit dissout, au Non de Jésus-Christ. Que cela la quitte et que le médecin n’ait pas à l’opérer. Je le demande au Nom de Jésus-Christ, cro… croyant que par la puissance de Dieu, qu’au travers de mon corps, Sa puissance descendra pour guérir cette femme, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, Sœur. Vous pouvez partir, et que la paix de Dieu soit sur vous.

63.       Soyez respectueux. Oh ! la la ! Si seulement je pouvais éradiquer ces critiques. Vous vous acharnez sur moi. Ne le faites pas. Vous faites obstacle à l’action de Dieu. Dieu vous frappera de quelque chose aussi sûr que je me tiens ici sur l’estrade. Vous êtes en train de gêner les autres.

            Très bien, sœur, regardez dans cette direction. Je ne veux pas dire que je suis vexé. Croyez-vous que je suis Son prophète ? Vous souffriez d’une espèce de maladie. Vous avez une… C’est une maladie de reins. On vous a opérée, et on – on… je crois… Je vois qu’on est en train de vous enlever ce rein. Vous… Ils… au cours de cette opération ; ils ont enlevé un rein, n’est-ce pas ? Hein ? Vous avez un… aussi quelque chose ici à l’intérieure. Juste… c’est un – c’est cela qui cause la maladie, c’est comme des coliques, et vous crachez… C’est une maladie de la vésicule biliaire. C’est… Est-ce vrai ?

            Tenez-vous de ce côté-ci juste un moment. Il y a un lien entre vous et cette petite fille qui est debout là. C’est votre enfant, n’est-ce pas ? C’est vrai. C’est ça. Poursuivez votre chemin. Que Dieu soit avec vous, qu’Il vous bénisse et qu’Il vous guérisse. Disons : « Grâces soient rendues à Dieu. » Amen.

64.       A quoi pensez-vous, sœur ? Croyez-vous en Lui ? Au petit garçon ? Vous souffrez des yeux, n’est-ce pas ? Le petit garçon, je vois des gouttes de sang qui giclent. Il saigne. N’est-ce pas vrai ? Imposez-lui les mains.

            Dieu Tout-Puissant, Toi qui as ressuscité Jésus-Christ d’entre les morts, qui T’es tenu ici sur terre comme un homme, habillé comme un homme, Tu as regardé dans l’assistance et Tu as su ce que les gens faisaient, ce qu’ils pensaient. Il est ressuscité d’entre les morts, Il est vivant parmi vous les hommes, ce soir, que Dieu les guérisse. Je prie, sollicitant cette bénédiction et je l’envoie dans la puissance du Saint-Esprit, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Recevez votre guérison, sœur, vous deux, vous et votre enfant.

65.       Monsieur, croyez-vous que vous serez guéri de cette hernie ? Le croyez-vous ? Cette maladie de vésicule biliaire, c’est à ce moment-là qu’Il l’a guérie. C’est terminé maintenant. Vous pouvez rentrer chez vous, et que Dieu vous bénisse.

            Tout ce qu’il vous faut, c’est entrer dans ce canal-là. Il vous recevra. Il vous guérira. C’est tout. Ayez foi en Dieu. Béni soit le Seigneur.

            Bonsoir, monsieur. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu ?

Croyez-vous que cette hypertension vous a quittée, madame, là-bas? Agitez la main en croyant qu’Il – qu’Il vous a guérie et qu’Il vous a rétablie ? Si vous le croyez, vous pouvez recevoir cela. Que Dieu vous bénisse.

66.       Croyez-vous de tout votre cœur, mon frère ? Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu ? Vous aviez lu à mon sujet et vous vouliez me rencontrer. J’aimerais vous serrer la main. Que Dieu vous bénisse. Maintenant, écoutez-moi, comme vous avez attendu ce temps-ci. Si vous avez fait cela, Dieu doit avoir un lieu de contact pour vous. Si la profondeur appelle la profondeur, il doit y avoir une profondeur pour y répondre. Cette heure-là est venue pour vous. Que Dieu vous bénisse. La vie n’a pas été un lit fleuri d’aisance pour vous.

            Votre maladie se situe dans les intestins. Je vois que vous avez subi une – une sorte d’opération, ou un bistouri, un abcès. Un médecin a incisé cela, et je le vois regarder tout autour. Il veut opérer, mais vous avez prié et vous croyez.

            Je vois que vous avez aussi des problèmes à la maison. Votre femme souffre du dos. C’est une hernie discale. Est-ce vrai ? Je vois une femme plus jeune, qui a un gonflement, je ne sais pas pourquoi. C’est votre fille – c’est votre belle-fille. Est-ce vrai ? Et n’est-ce pas qu’elle est membre de l’Eglise de Dieu ? Rentrez chez vous, frère. Dieu vous a visité et a été … Que Dieu vous bénisse.

67.       Alléluia ! Amen. La grâce étonnante de notre Seigneur Jésus-Christ. Vous pouvez me taxer de fanatique si vous le voulez. Mais comment pouvez-vous rester tranquille, alors que le grand Dieu qui a créé les cieux et la terre et qui tient nos âmes dans Ses mains est devant nous. Maintenant nous sommes dans Sa Présence, en train de travailler : « S’il y a parmi vous un prophète, Je Me révélerai à lui dans des visions. Si ce qu’il dit s’accomplit, alors écoutez-le. » Et je vous le dis, Jésus-Christ est dans la salle maintenant, le Seigneur Jésus ressuscité pour guérir chaque personne, sauver chaque personne, remplir chaque personne du Saint-Esprit, et pour donner chaque bénédiction rédemptrice pour laquelle Il est mort au Calvaire. Amen.

68.       Bonsoir. Excusez-moi, j’aimerais vous parler une minute. Voyez-vous ? Que Dieu vous bénisse, frère. Vous voulez certainement la voir être guérie. N’est-ce pas ? Croyez-vous qu’elle sera guérie ? C’est à vous que je m’adresse. Vous n’avez pas de carte de prière pour elle, n’est-ce pas ? Vous n’aviez pas reçu de carte de prière ? Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu ? Si Dieu ne la guérit pas, elle ne restera plus longtemps ici. C’est une maladie du cœur. Et elle est dans un très mauvais état ? N’est-ce pas vrai ? Je la vois se mouvoir, et son pull-over sauter comme cela, mais Dieu peut la guérir. Croyez cela de tout votre cœur maintenant ? Ne voulez-vous pas lui imposer la main là-bas ? Imposez-lui vous-même la main sur la tête.

Ô Dieu, sois miséricordieux. Ne la laisse pas mourir, Seigneur. Je réclame cette bénédiction pour notre sœur qui est à moitié inconsciente, la mort est en train de frapper à sa porte. Père, en ce moment, je ne sais pas ce que Tu as dit de faire. Je sais seulement ce qui la tourmente, et j’intercède pour elle, au Nom de Jésus-Christ, que Tu épargnes sa vie. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu soit « Jumalan Rauhaa. » [En finlandais : « Que la paix de Dieu soit sur vous. » – N.D.E.]

69.       Croyez-vous de tout votre cœur ? Vous avez amené votre bébé ici pour un cas. Elle est très douce. Ce soir, j’en ai une à la maison comme celle-ci, presque de cet âge. Croyez-vous que Dieu peut me révéler ce qui concerne cette enfant ? Croyez-vous que Dieu exaucera ma prière ? Et maintenant, si Jésus était ici sur terre dans un corps de chair, vous seriez allé auprès de Lui. Certainement que vous le feriez. Vous auriez amené votre enfant là-bas. Eh bien, alors, certainement, Son – Son – Son Corps a été reçu au ciel, mais Son Esprit est ici, et c’est nous qui sommes Son Corps maintenant, et c’est la raison pour laquelle vous me l’avez amenée.

            Maintenant, s’Il est en moi comme je déclare qu’Il l’est par le Saint-Esprit, oeuvrant par un don divin (C’est cela, l’issue.), c’est qu’alors Il peut parler par moi et me dire ce qui ne va pas dans cette enfant. Est-ce vrai ? Et s’Il le fait, vous accepterez alors la guérison de l’enfant par Jésus. L’enfant soufre de l’estomac. Est-ce vrai ? C’est une sécrétion excessive de l’acide, et ses reins la dérangent. N’est-ce pas vrai ? Cela est causé par une maladie des nerfs.

70.       Et vous êtes aussi… Elle l’a héritée de vous, et vous êtes une personne nerveuse, et vous souffrez de – des troubles gynécologiques, c’est un abcès, ça se trouve du côté gauche, et ça cause un écoulement. Est-ce vrai ? Croyez-vous que je suis Son prophète? Donnez-moi votre enfant.

            Satan, toi qui as lié cette enfant, comme serviteur de Dieu, je la guéris de cette maladie au Nom de Jésus-Christ. Je fais ceci sous l’autorité du Dieu Tout-Puissant, Lui qui a envoyé Son Fils qui a promis cela. Amen.

            Seigneur, j’impose les mains à ma sœur pour la guérir de cette maladie, il ne s’agit pas de mes mains, mais elles représentent Tes mains à Toi, au Nom de Jésus-Christ, je maudis cette maladie. Et toi Satan, tu es exposé. Sors d’elle au Nom de Jésus-Christ. Amen. Prenez votre bébé et rentrez maintenant chez vous. Vous serez guéries. Que Dieu vous bénisse.

            Oh ! grâces soient rendues à Dieu qui nous donne la victoire par Jésus-Christ, notre Seigneur. Croyez-vous que je suis Son serviteur, madame ? Ce goitre vous a donc quittée, madame. Le croyez-vous ? Vous aussi qui êtes assis à côté d’elle, vous souffriez de la gorge. Acceptez-vous votre guérison ? Que Dieu vous bénisse. Cela vous a un tout petit peu frappé, n’est-ce pas ? Mais c’est terminé ? Que Dieu vous bénisse.

71.       Oh ! Dieu est si miséricordieux. Croyez-vous maintenant ? Vous êtes diabétique. Croyez-vous que Christ va vous guérir ? Il le fera certainement. Il a été votre transfusion sanguine au Calvaire. Vous n’êtes pas d’ici. Vous venez du nord. Votre mari est à l’hôpital, il a un problème cardiaque. N’est-ce pas vrai ? Ne voulez-vous pas aller lui imposer aussi les mains, afin qu’il soit guéri au Nom de Jésus-Christ ?

            Ayez foi en Dieu. Si vous pouvez croire… Croyez-vous, vous tous? Etes-vous d’un commun accord ? Croyez-vous que le Saint-Esprit va maintenant le faire pour chacun de vous ?

72.       Ça va. Venez, monsieur. Une maladie du cœur et l’arthrite, mais Dieu vous a guéri. Descendez de l’estrade, soyez… Dites : « Grâces soient rendues à Dieu. » L’homme est calme, mais il a eu une foi ferme.

            Croyez-vous qu’Il vous guérira tous ? Je regarde quelqu’un là au fond … Ça va, madame, venez. La maladie de reins vous a quittée pendant que vous vous teniez debout là dans la ligne, il y a quelque temps. Vous pouvez…

            Voulez-vous être guérie de cette maladie de la vésicule biliaire, madame, vous qui êtes assise là derrière, sur le… ? Oui, vous avez tourné la tête et vous avez regardé en arrière. Levez-vous et dites : « J’accepte ma guérison », et soyez guérie. C’est… Que Dieu vous bénisse. Disons : « Grâces soient rendues à Dieu. »

73.       Croyez-vous, monsieur ? Très bien, venez ici. Vous aviez beaucoup de maladies en vous… ?... beaucoup de complications. Vous étiez aussi un peu dur d’oreille, mais – mais vous ne l’êtes plus. Tenez, je vais vous montrer quelque chose. M’entendez-vous ? M’entendez-vous ? Pendant que vous étiez assis là, vous avez eu une sensation vraiment drôle qui vous a traversé, n’est-ce pas ? C’est à ce moment-là que vous avez été guéri. Voyez-vous ? C’est aussi guéri. Que Dieu vous bénisse. Oui, oui. Descendez de l’extrade en vous réjouissant, remerciant Dieu.

            Venez. C’est toi la petite fille dont la mère… ou quelqu’un d’autre dont j’ai vu la mère ou quelqu’un d’autre il y a quelque temps. Est-ce vrai ? Tu n’y prêteras pas attention, mais tu es anémique. Est-ce vrai ? Mais Jésus va te guérir maintenant. Crois-tu cela ? J’aimerais te bénir en Son Nom. Viens ici.

Seigneur Jésus, Tu as dit : « Tout ce que vous lierez sur la terre, Je le lierai dans le Ciel. Tout ce que vous délierez sur la terre, Je le délierai dans le Ciel. » C’étaient Tes Paroles, Seigneur, et au Nom du Seigneur Jésus-Christ, je délie cette fille de cette maladie du sang. Amen. Tu peux partir, sœur. Eh bien, tu seras guérie, et je veux que tu te souviennes toujours de cela, chérie. Tu pourras avoir un combat plus tard dans la vie. Mais j’aimerais que tu te souviennes de cela, quand tu iras à l’école ou n’importe où, témoigne de la gloire de Dieu. Que Dieu te bénisse. Disons tous : « Grâces soient rendues à Dieu. »

74.       Si vous croyiez, vous auriez – vous pourriez même – vous verriez même sans vos lunettes, et vous pourriez retourner chez vous et être guéri. Croyez-vous cela ? Très bien. Que Dieu vous bénisse et que Jésus-Christ vous guérisse. Amen. Disons tous : « Grâces soient rendues à Dieu. » J’ai vu quelqu’un presser son côté. C’est une dame qui porte des lunettes, elle me regarde, elle est assise juste là au coin de ce poteau-là. Vous souffrez de la vésicule biliaire, n’est-ce pas, sœur, vous qui êtes assise là-bas ? Croyez de tout votre cœur, et vous pouvez être guérie à l’instant même et retourner chez-vous, et cela ne vous dérangera plus jamais. Que Dieu vous bénisse.

75.       Venez, monsieur. La raison pour laquelle cela agissait ainsi sur elle, c’est à cause de vous. Vous souffrez de l’estomac. Vous voyez ? Et cela est causé par une affection de la bile dont vous ne connaissez rien ; et cela cause des spasmes à l’estomac. Vous êtes guéri. Retournez chez vous et vous pouvez manger. Que Dieu vous bénisse. Vous êtes un véritable croyant. Disons tous : « Grâces soient rendues à Dieu. »

            Ayez foi. Ne doutez pas. Je crois que chaque personne ici présente peut être guérie à l’instant même. Toutefois, je sais que vous êtes guérie. Croyez-vous à votre guérison avant de venir? Alors, vous n’aurez plus cette arthrite. Descendez de l’estrade en vous réjouissant et dites : « Merci, Seigneur Jésus », et soyez guéri. Disons tous : « Gloire au Seigneur. »

Très bien. Très bien, avancez, madame. Madame, croyez-vous de tout votre cœur ? Je veux que vous posiez votre main sur mon épaule. Voulez-vous être guérie de ce diabète, être rétablie, et retourner chez vous ? Allez simplement de l’avant, prenez cette direction-ci et dites : « Gloire au Seigneur. »

76.       Combien parmi vous veulent être guéris ? Levez la main et dites : « Je veux être guéri. » Eh bien, pendant que vous avez les mains levées, imposez-vous les mains les uns aux autres. C’est ce que je voulais que vous fassiez, que vous imposiez la main à la petite fille. [Espace vide sur la bande. – N.D.E.]

            Je ne sais pas pourquoi. Je vois une dame portant une robe de couleur verte. L’Esprit de Dieu est autour de cette femme, mais elle a tourné la tête. Elle a levé les mains comme ceci. Je ne sais pas. Il se passe quelque chose. La femme est profondément sincère. Inclinons la tête.

77.       Ô Dieu, notre Père, dans la Présence duquel il nous est permis d’entrer, nous Te sommes redevables, ô Dieu. Nous sommes indignes de pouvoir nous tenir dans ce jour mauvais. Il semble que le monde entier est en train de s’effondrer ; et dans cette heure sombre, nous voyons notre Seigneur Jésus dans Sa Puissance de résurrection, se manifester par des signes et des prodiges.

            Miséricordieux Père, si Ton serviteur a trouvé grâce à Tes yeux, je Te prie d’être miséricordieux ce soir pour exaucer ma prière, afin que les choses pour lesquelles je prie s’accomplissent. Accorde-le, Seigneur. Tu es le Dieu éternel…?... Et …?... Ton Fils, Jésus-Christ, et… qui étais avec les apôtres, qui étais là avec un Ange tout au long de l’âge, et Tu es ici ce soir. Dans peu de temps, nous Te verrons face à face. Ô Père, sois miséricordieux envers nous. Nous implorons la miséricorde. Nous sommes des pécheurs indignes que Tu as sauvés par Ta grâce ; maintenant, nous sommes très reconnaissants d’être Tes enfants, et je Te prie de guérir chaque mortel ici ce soir.

78.       Que l’Esprit du Seigneur Jésus-Christ descende, s’établisse et vienne sur cette assistance, et que les ténèbres de peur, de doute et d’incrédulité soient dissipées. Seigneur, je crois que Tu nous accorderas …?... Juste un …?... Juste une touche de Ta Présence, ils recevront cela. Repousse simplement des ténèbres assez loin afin que leurs yeux spirituels soient ouverts afin de voir ce qui se tient ce soir ici dans la salle, et de voir que Ta Présence est omnipotente.

            Ô…?... gracieuse miséricorde, je Te prie, ô Dieu, de faire cela; repousse les puissances de l’ennemi. Toi, Satan, qui causes ce tord aux enfants de Dieu, le Seigneur Jésus te maudit, et au Nom de Jésus-Christ, quitte chacun d’eux. Sors d’eux, et va dans les ténèbres du dehors. Que tous les mauvais esprits qui sont ici soient soumis à cet ordre. En tant que serviteur de Dieu, je vous adjure par le Dieu vivant, de quitter chaque personne ici présent, et que les boiteux marchent, que les aveugles voient, que les maladies du cœur soient guéries, que les cancers soient guéris, que toute maladie ici soit guérie, je le demande au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Amen…?... réunion

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