TENEZ-VOUS TRANQUILLES

Date: 57-0518 | La durée est de: 2 hours and 2 minutes | La traduction: SHP
doc pdf
Voir le textes français et anglais simultanement Voir le texte anglais seulement

1.         Et maintenant, j’ai ici des mouchoirs, et j’aimerais que frère Sothmann ou l’un d’eux me rappelle de prier sur ça bien avant que je me mette à prier pour les malades. On en a vraiment besoin, et tout celui qui désire en avoir un, je serai content de prier pour ça. Et aussi, si vous n’avez pas de mouchoir et que vous voulez que je prie sur l’un pour vous, je serai content de le faire, si seulement vous le déposez ici. Et si vous l’oubliez, écrivez-moi simplement à Jeffersonville, en Indiana, et je vous enverrai un petit morceau de tissu… Je… Nous… Les mouchoirs coûtent très cher, vous savez, quand on en envoie des milliers par semaine.

            Donc, un petit morceau de tissu que vous gardez dans votre Bible, dans Actes 19, là où on en a donné l’ordre. Et nous serons contents de vous en envoyer un gratuitement, sans frais. Et vous allez… Ce n’est pas pour avoir votre adresse, mes amis. Souvent, avec ces petits trucs et autres comme cela–cela, on veut avoir votre adresse afin qu’on puisse continuer à vous demander de l’argent. Mais je–je n’ai aucune émission à sponsoriser ; je n’ai aucune émission à la radio, aucune émission à la télévision ; je n’ai rien, à part le Seigneur Jésus, et cela… Et Il prend soin de moi.

2.         Je n’ai donc pas d’émission, ni rien. Il m’est difficile d’engager quelqu’un pour répondre à mon courrier. Et je serais content de faire de mon mieux pour vous venir en aide, prier que Dieu guérisse et accomplisse ce que vous Lui demandez de faire.

            Ça a été une–une grande journée pour moi ! Je… Après avoir pris le petit-déjeuner comme je… Pendant ce genre de réunions, je ne mange pas, sauf rarement les après-midi, à cause des réunions. Je parcourais les rues après le petit-déjeuner de ce matin en compagnie de mes précieux amis, les Sothmann, les Norman, Leo et Gene, mes jeunes gens qui s’occupent de l’enregistrement. Et j’étais dans une petite librairie biblique ici, et j’ai rencontré une jeune dame qui vient de White Horse, là loin dans le Yukon, une chrétienne. Et combien j’étais content de rencontrer cette–cette jeune dame ! Elle m’a donné l’adresse de son mari afin que je puisse lui écrire. C’est une bonne chose, sœur bien-aimée. Merci, et que Dieu vous bénisse.

            Et aussi, en retournant là où nous avions pris le petit-déjeuner, à la sortie, deux gentlemans étaient assis là et parlaient à frère Sothmann. C’étaient des croyants, des frères chrétiens qui venaient d’assister à la réunion. Alors, en retournant, devant la maison où nous avions mangé, j’ai rencontré un groupe de gens venus en voiture depuis Dawson Creek, là loin, jusqu’ici, hier soir (des catholiques canadiens français), et ils avaient été sauvés dans la réunion hier soir. Quelle bénédiction c’était de voir que ces gens qui aiment le Seigneur Jésus… Et nous sommes très contents pour des gens comme ça.

3.         Et ce soir, il a été dit à… par frère Sothmann que nous aurons deux réunions demain : l’une, l’après-midi, un service d’évangélisation, et puis, on priera pour les malades demain soir. La raison pour laquelle ils ont fait cela, c’est parce que beaucoup de gens de l’extérieur de la ville viennent.

            Eh bien, vous qui avez votre poste de devoir à votre église, nous vous demandons d’occuper votre poste de devoir, évidemment. Votre église, c’est votre poste de devoir.

            Eh bien, la raison pour laquelle nous avons ainsi programmé les réunions, c’est que je sens que j’ai beaucoup d’amis au Canada. Et je… Je suis très reconnaissant pour des amis partout. Je m’attends à aller au Ciel avec vous un jour. Et–et j’ai eu beaucoup de tiraillements… L’autre matin, pensez-y donc, avant même que je puisse enfiler ma chemise, j’étais alors là chez moi, je m’étais mis à répondre aux appels téléphoniques alors que je prenais le...?... et cela à 7h ; et à 14h, je n’avais toujours pas quitté le téléphone, de 7h à 14h. Là, c’est juste un seul appel téléphonique, en plus, alors que nous pouvons répondre à quatre. Et ce sont des gens qui appellent pour des réunions; vous pouvez alors vous représenter combien il est difficile de prendre des décisions ; c’est difficile de le faire.

4.         Mais au milieu de tout cela, j’ai senti que mon désir était de venir au Canada, ici à Saskatoon. Ça fait longtemps que j’étais ici. Et je sais qu’il y a probablement des gens ici qui étaient à la réunion que j’avais tenue lorsque j’étais ici pour la première fois. Nous étions là à l’église apostolique, et puis, on est venu ici. Et la petite arène était bondée de gens. Et je peux évidemment voir le relâchement. Eh bien, nous nous attendons à cela. Il doit en être ainsi. Mais je suis reconnaissant pour vous qui persévérez.

            Eh bien, la raison pour laquelle nous avons dit cela, c’est que beaucoup parmi vous se demandent pourquoi nous ne prélevons pas les offrandes. Une équipe me l’a demandé aujourd’hui : « Pourquoi pas d’offrandes ? » Eh bien, mon cher ami, c’est là une chose qui est hors question pour nous. Nous ne venons jamais pour recevoir de l’argent de votre part ; nous venons pour vous aider. Votre argent, vous–vous en avez besoin pour votre propre église. Et ça a été par la grâce… Eh bien, je ne dois pas dire qui c’est, parce qu’ils n’aimeraient peut-être pas que je le dise ; mais il y a deux hommes, ici présents maintenant, qui ont payé chaque sou (c’est vrai.), juste comme ça, pour leur peuple. Ils sont tous deux Canadiens, ils viennent d’ici même. Et ils ont payé le… Et ils ont dit que cela pouvait être payé comme ça, et que tout ce qu’on prélèvera comme offrande devra...

5.         Eh bien, je suis un homme pauvre ; vous le savez. Et je reste pauvre à cause d’une seule chose. L’autre jour, j’étais dans une petite église et je tenais une réunion où il n’y avait que… où il n’y avait que soixante places assises, je pense, 60 personnes. Et mon bon frère canadien qui était pasteur ici, parmi vous, il y a longtemps, était en difficulté. Et j’ai annulé une–une équipe, ou plutôt un endroit où je devais aller pour me rendre auprès de cet homme afin de l’aider. C’était frère R.E.S. Toms, c’est exact, un frère canadien. Et j’ai toujours éprouvé un profond respect pour les Canadiens, parce que vous êtes conservateurs. C’est vrai.

            Là dans le Sud, on peut se mettre à prêcher, et les gens crient et pleurent ; vous savez ce qu’est le Sud. Mais les gens du Nord, les Canadiens, sont conservateurs. C’est tout à fait vrai. Mais ils reçoivent le message de la même façon. Ce qui compte, ce n’est pas tellement comment nous réagissons ; ce qui compte, c’est combien cela s’ancre à l’intérieur.

6.         Et dans ces… J’étais tout récemment à une réunion, et c’était à un petit endroit qui n’offrait qu’environ 1.500 places assises. Il est arrivé qu’on m’a fait entrer par une pièce derrière; alors, un prédicateur était sur l’estrade et il disait : « Eh bien, il y a une chose que j’apprécie chez frère Branham. » Il a dit : « Nous avons demandé à frère Roberts de venir. Il a dit : ‘Vous êtes très peu nombreux’ » Il a dit : « Nous avons demandé à frère A. A. Allen de venir, il a dit : ‘Vous êtes très peu nombreux.’ Mais, a-t-il ajouté, quand nous avons demandé à frère Branham, a-t-il dit, il a répondu : ‘Je viendrai.’ Eh bien, a-t-il dit, nous n’étions pas très peu nombreux. »

            Et quand je suis monté en chaire, je me suis dit : « Cela n’a pas l’air tout à fait correct. » Alors, j’ai dit à l’assistance : « Eh bien, ne méprisez pas frère Roberts ou frère Allen parce qu’ils ont dit que vous étiez très peu nombreux, car il faudra à frère Roberts au moins six ou sept mille dollars environ par jour. Il doit avoir cela. Il a une émission radiophonique qui couvre le monde entier. Il a une chaîne de télévision qui couvre tout le pays. Il a environ cinq cents personnes dans un bureau. Il a des bâtiments qui–qui couvriraient des pâtés de maisons qui servent de parking, et l’agent le moins payé chez lui a environ deux cents dollars par–par semaine, et cela doit… deux ou trois cent mille par semaine… Comment cet homme peut-il s’y prendre ? »

7.         Il n’y a pas longtemps, j’étais dans une réunion à Cadle Tabernacle, quand j’ai dit… J’avais prêché cinq soirées à un lieu bondé. Et mon offrande d’amour s’élevait à environ mille dollars, je pense. Frère Roberts, le soir où il est arrivé, a dit : « J’aimerais que soixante hommes se lèvent à partir d’ici au milieu, de ce côté-ci, disent ce soir qu’ils s’engagent à me donner mille dollars. » Soixante mille, juste sur la moitié d’un côté de la même foule que j’avais eue. C’est bien. Il en a besoin. Il doit avoir cela pour tourner.

            Mais alors, vous savez, le Seigneur savait bien que je n’avais pas autant d’intelligence. Je–je–je ne pourrais pas… C’est vrai. Je ne suis pas assez intelligent pour cela. Et mes réunions, vraiment, je… Il ne me faut pas beaucoup. Mes dépenses me coûtent, je pense, nous avions compté environ… Gene, c’était à peu près combien ? Cent dollars par jour pour mon bureau, y compris les frais d’entretien. Eh bien, c’est bien différent.

8.         Peut-être, frère Allen avec sa grande émission et autres, il lui faut avoir beaucoup d’argent. Mais moi, il ne me le faut pas. C’est juste un peu de frais pour me tirer d’affaires. La plupart de mes habits me sont donnés, et ceux de mes enfants aussi, ce que nous mangeons ; nous habitons dans une résidence réservée au pasteur, et voilà. Voyez ? Ainsi, il ne nous faut pas en avoir beaucoup.

            Mais, vous savez, j’aime cela comme ça. Si le Seigneur veut que j’aille prêcher à dix personnes, je ne suis lié à rien ; je peux aller où Il m’envoie. Et s’Il veut que j’aille prêcher à cent mille personnes ou à cinq cent mille personnes en Afrique, Il fera que quelqu’un me parraine. J’irai là, je prêcherai cela et ça sera réglé. Ainsi, il ne me faut pas avoir de l’argent.

9.         Alors, cette série de réunions est… C’est pourquoi ces deux hommes assis ici maintenant… Je n’ai jamais… Ils ne savent pas que j’allais dire cela. Mais beaucoup ne veulent pas savoir… faire savoir à la main gauche ce que la main droite fait ; ainsi, cela… ce sont de très braves gens, tous deux, des amis personnels, ceux qui sponsorisent cette série de réunions-ci, être… et en couvrent les frais afin qu’on n’ait pas à soutirer un seul sou des églises, qu’on n’ait rien prélever de cela, et qu’on ne vous impute rien.

            Mais franchement, l’argent m’a été offert comme dîme, et j’ai refusé de le prendre. J’ai dit que je… s’il le voulait… si on veut faire comme ça pour ces réunions au Canada, et payer pour cela, je viendrai prêcher comme ça, afin que nous puissions apporter le Message aux gens. Et c’est l’amour que ces gens ont pour leur propre peuple ici au Canada. Et je dis cela en votre présence : « Que Dieu bénisse de tels hommes. » C’est vrai. Et je suis sûr que vous les appréciez, même s’ils ne veulent pas que vous sachiez qui ils sont, mais Dieu sait qui ils sont. Ils m’écoutent tous deux maintenant même.

            Ainsi donc, c’est pourquoi nous ne prélevons pas d’offrandes. On a demandé à quelqu’un aujourd’hui : « Pourquoi n’avez-vous pas prélevé l’offrande ? » On lui a dit : « Nous aimerions contribuer avec quelque chose. » Voilà pourquoi nous n’avons pas fait cela. Et je me disais assurément que… Et puis, nous… Et la raison de parrainer… Vous avez dit : « Eh bien, les apostoliques vous avaient parrainé la dernière fois que vous étiez ici, Frère Branham. Pourquoi les apostoliques ne l’ont-ils pas fait cette fois-ci ? » Eh bien, vous savez, les choses ont un peu changé depuis lors, et chacun… Si celui-ci parraine, l’autre… vous savez comment ça se passe ; c’est tout simplement le facteur humain ; c’est tout.

10.       Et on retrouvait bien le même facteur humain du temps de la Bible : l’un était de Paul, l’autre de Cephas, et l’autre de… Voyez ? Ce sont toujours des êtres humains ; vous ne pouvez pas faire sortir cela d’eux. C’est exact.

            Je me disais donc que si un homme… Même si nous n’avons pas prélevé l’argent de gens comme ça et que ces hommes ont payé pour cela, allons-y simplement et disons : « Allons-y tous »...

            Vous savez, Jacob avait creusé trois puits. Il en a creusé un, les Philistins ont fui loin de lui… ont éloigné cela… l’ont chassé de là, et il l’a appelé la malice. Il en a creusé un autre, ils l’en ont chassé ; il l’a appelé la dispute. Il en a creusé un autre ; il a dit : « Il y a de la place pour nous tous. » Je pense donc que c’est ainsi que nous appelons ce puits-ci : « Il y a de la place pour nous tous. » Méthodistes, baptistes, presbytériens, vous qui venez sur un chameau à une bosse, un chameau à deux bosses, ou je ne sais sur quoi vous chevauchez, il y a de la place et de l’eau pour nous tous. Et j’aime ça comme ça. Que le Seigneur vous bénisse.

11.       Demain après-midi, il y aura un message d’évangélisation et non un service de guérison, pas la prière pour les malades. Et je pense que beaucoup de nos services de guérison se confinent trop à la guérison, plutôt que de chercher à gagner de précieuses âmes qui doivent être sauvées. Ainsi donc, demain après-midi, il y aura un message pour le salut, à 14h ou... je pense que cela a été annoncé. Et puis, demain après-midi, à 19h, comme d’habitude, on distribuera les cartes de prière, nous aurons une ligne de prière et nous prierons pour les malades comme nous le faisons ce soir.

            Que le Seigneur vous bénisse maintenant. Et aussitôt que l’onction de l’Esprit est là, je prierai alors pour ces mouchoirs. Que le Seigneur vous bénisse. Parlons un peu à l’Auteur maintenant, avant que nous ouvrions Sa Parole.

12.       Maintenant, Adorable Père, nous sommes… ce soir par Ta grâce et par Ta force, nous pouvons tourner les pages de la Bible ; mais il n’y a qu’Un Seul qui peut L’ouvrir. Nous lisons dans la Bible qu’il y en avait Un qui était assis sur le Trône, Il tenait dans Sa main un Livre scellé en dedans et en dehors de Sept Sceaux. Et personne dans le Ciel ou sur la terre, ou sous la terre, n’était même digne de prendre le Livre ou d’en rompre les Sceaux, ou de Le regarder. Et l’Agneau qui était immolé depuis la fondation du monde est venu et a pris le Livre, Il a brisé les Sceaux, Il a révélé ce qui était à l’intérieur de Cela. Ô Agneau de Dieu, viens ce soir nous ouvrir Ta Parole et ouvrir notre entendement afin que nous puissions T’adorer. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

            Ce soir, j’aimerais lire, juste comme texte, juste un court passage des Ecritures qui se trouve au chapitre 13 de Nombres, verset 30, et une première phrase de ce verset. J’aimerais lire cela pour en tirer un sujet.

            Et Caleb fit taire le peuple, qui murmurait contre Moïse…

            Et j’aimerais intituler mon sujet : Tenez-vous tranquilles. Eh bien, nous vivons un jour d’agitation. Le monde entier semble être dans l’agitation. Non seulement notre nation est agitée, mais les nations du monde sont dans l’agitation. Tout le monde est nerveux ; on ne sait pourquoi.

13.       Il y a quelque temps, en Afrique, j’ai observé la scène la plus frappante. Et cela m’a amené à comprendre ceci. Je regardais à travers les jumelles, et j’ai vu un petit agneau qui s’était égaré d’un corral en Afrique, là où on gardait des brebis, des chèvres et autres, dans un corral. Mais ce petit animal était dehors et tout… Il broutait et, tout d’un coup, le petit animal était devenu nerveux, agité. Je n’arrivais pas à comprendre pourquoi diantre ce petit animal était si agité.

            Et il m’est arrivé de voir là loin, en bas par rapport à là où il était, dans les herbes, dans ces hautes herbes d’Afrique, un grand lion à la crinière noire qui avait flairé cet agneau et qui se faufilait vers lui. Le petit animal, la brebis, ne peut pas flairer le lion, mais il est–il est doté de l’instinct qui l’excite. Avec ça, il pouvait percevoir qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas quelque part.

            Et souvent, c’est ce qui se passe chez les hommes et chez–chez les animaux. Que des fois, depuis que j’avais été ici, j’ai parlé, une fois rentré chez moi, de ces petits canards qui viennent ici en provenance du Sud et qui construisent leurs nids dans des marécages. Pourquoi ? C’est afin que les renards ne puissent pas attraper leurs petits. Et le petit canard est né dans ce marais ici, le marécage. Eh bien, il n’a jamais quitté ce marécage ; il est né ici, par exemple en ce printemps.

14.       Et en automne prochain, juste au tout premier coup de vent froid qui passe ici en provenance de la Colombie-Britannique, il y aura un petit canard dans cet étang-là, né en printemps, né chef. Il va vite s’avancer dans l’étang, dresser sa petite tête en l’air et corner son petit bec à quelques reprises ; alors, chaque canard dans l’étang viendra vers lui. Et il va directement s’envoler de Saskatchewan, alors qu’il n’avait jamais quitté cela de sa vie, et il se dirigera de toutes ses forces droit vers les champs de riz de Louisiane. Vous direz : « C’est l’instinct. » Eh bien, c’est l’instinct que Dieu lui a donné.

15.       Alors, ce petit agneau était nerveux. Et il… il broutait très bien pour commencer, mais après, il est devenu nerveux. Et il ne pouvait plus se tenir bien tranquille. Il se passait quelque chose qu’il ne pouvait voir, et l’agneau ne peut pas flairer son ennemi. Mais il y avait quelque chose que… la mort lorgnait, cela le rendait nerveux.

            J’ai observé la scène. Et puis, cela m’est venu à l’esprit, le début du texte que j’aimerais utiliser ce soir. Il y avait quelque chose qui l’avertissait d’un danger en cours. Et c’est pareil pour les nations du monde ce soir.

            L’autre jour, je lisais que les psychiatres aux Etats-Unis d’Amérique se consultent; et que de grands chanteurs, comme des comédiens comme Arthur Godfrey, beaucoup de ces gens qui font des blagues et autres, certains parmi eux ont trois psychiatres. Un journaliste de New York avait consacré deux ans à faire des recherches là-dessus. Cet Elvis Presley avec le rock-and-roll et le boogie-woogie, un Judas Iscariot moderne; ce jeune homme était un chrétien d’une Eglise pentecôtiste avec le baptême du Saint-Esprit. Je connais bien son pasteur, sa mère et les autres. Judas Iscariot a reçu trente pièces d’argent en livrant Christ ; lui a un parc de Cadillac. Mais il a vendu son droit d’aînesse.

            Red Foley, un diacre dans l’église, a vendu son droit d’aînesse, il a pris ses talents et les a aliénés au monde. Ils doivent consulter des psychiatres pour se maintenir. Presley avait piqué trois ou quatre crises cardiaques alors qu’il était encore adolescent. C’est la pression.

16.       Et aujourd’hui, le monde entier semble être en alerte. Il y a une force invisible qui essaie d’avertir les hommes que quelque chose est sur le point d’arriver. Le monde entier est–est ébranlé à ce sujet. C’est pratiquement la fin de l’âge. C’est pratiquement la Venue de Christ, on est pratiquement à l’heure de Son arrivée.

            Les journaux… J’ai suivi un commentaire. Un commentateur disait, il n’y a pas longtemps, que 85% de gens de l’Amérique du Nord étaient mentalement dérangés. Pensez-y. 85% de gens du continent de l’Amérique du Nord ont quelque chose qui ne tourne pas bien mentalement. Ils filent à une allure folle ; ils se déplacent précipitamment. Ils ne savent pas où ils vont.

17.       C’est un âge de névrosés. Qu’est-ce ? C’est ainsi que je donne cet avertissement solennel à l’Eglise : Tenez-vous tranquilles. Dieu ordonne toujours qu’on se tienne tranquilles avant qu’Il fasse quoi que ce soit.

            Les églises sont dans une phase de nervosité. Chaque église fait le prosélytisme, elle tire, se dispute et se met dans tous ses états. C’est un âge des névrosés. Mais, tenez-vous tranquilles. Maintenant, voilà le Message.

            Remarquez Caleb ici. Les gens venaient de rentrer, les espions, de la Terre promise. Ils étaient à Kadès Barnéa. Et ils étaient passés par beaucoup d’épreuves et avaient vu la main de Dieu : Un très beau tableau de l’église du Plein Evangile. Et beaucoup parmi eux s’étaient découragés, découragés et bouleversés à cause de beaucoup d’ismes et autres qui étaient arrivés dans l’église. Mais cela n’ôte pas la chose réelle. Dieu demande à Son Eglise de s’arrêter. Tenez-vous tranquilles, ne vous mettez pas à sauter et à courir sans savoir ce que vous faites. Revenez à la Parole. Revenez à Christ.

18.       Caleb… Dix espions étaient revenus et avaient dit : « Oh ! il nous est impossible de faire cela. Eh bien, ont-ils dit, leurs grandes villes sont entourées de murailles. Et il y a des géants dans le pays. Et nous paraissions pratiquement comme des sauterelles à côté d’eux. Oh ! nous sommes un échec ; nous ne pouvons pas faire cela. »

            Et, évidemment, dix contre deux, ils les dépassaient en nombre. Mais Josué et Caleb ont pris position et ont dit : « Nous sommes plus que capables de faire cela. » Mais avant que Caleb, ou plutôt avant que Josué puisse parler, Caleb a dû calmer d’abord les gens, les tranquilliser. Tenez-vous tranquilles. Ne vous mettez pas à courir çà et là, et à sauter à ceci et à cela.

            Eh bien, qu’est-ce qui rendait Caleb si sûr de cela, alors que l’opposition était si forte ? Ça dépend de ce que vous regardez. Caleb regardait la promesse de Dieu. Les dix autres regardaient les circonstances. Si vous vous mettez à considérer la circonstance, ou à regarder ce qu’il y a autour de vous, vous êtes sûr d’échouer. Mais vous ne devez jamais considérer ce qu’il y a autour de vous.

19.       Qu’arriverait-il si cet homme assis là, à côté de son fils, considérait l’opposition là, estropié dans ce fauteuil-là ? Qu’arriverait-il si ce bel homme propre assis là au fond, dans un fauteuil roulant, considérait les circonstances ? Qu’arriverait-il si cette femme assise dans ce fauteuil-là, penchée en arrière, considérait les circonstances ? Qu’arriverait-il si cette pauvre femme aveugle qui s’appuie sur l’épaule de quelqu’un pensait aux circonstances ? Le médecin a essayé. Il a échoué. C’est un homme comme vous et moi. Et si vous considérez cela, alors vous serez un échec pour commencer avec ça.

            Mais le chrétien ne considère pas les circonstances ; il considère la Parole et se tient tranquille. Dieu l’a dit, c’est réglé. Que serait-il arrivé si Abraham avait considéré les circonstances ? Si le médecin examinait votre cœur… Cela tue plus de gens que n’importe quoi d’autre. Si le médecin examinait votre cœur et disait : « Vous pourrez tomber n’importe quand, vous avez un souffle au cœur. » C’est vrai. Si c’est cela que vous considérez, alors vous êtes–vous êtes–vous êtes vaincu pour commencer. Considérez ce que Dieu a dit.

20.       Si le médecin dit que… Si le petit… c’est comme le petit garçon d’hier soir, il était muet ; certainement qu’il est né, probablement, sans les ondes auditives. Mais ici même sur l’estrade, Dieu a restitué l’ouïe à ce petit garçon. J’ai placé mes mains derrière lui, j’ai claqué mes doigts ; il s’est retourné, il a fait signe à sa petite oreille. C’est un enfant ; il ne sait pas parler ni rien. Je n’arrivais même pas l’amener à ouvrir la bouche, parce qu’il ne s’en était jamais servi, sinon pour manger. Je lui ai donné un morceau de chewing-gum, me disant que je pourrais ainsi l’amener à ouvrir la bouche.

            Si sa maman est ici, qu’elle enseigne simplement l’enfant. Continuez simplement comme si c’était une oeuvre terminée et croyez cela. Peu importe ce que quelqu’un d’autre dit, tenez-vous tranquilles. Dieu l’a dit. La prière de la foi sauvera les malades.

            Eh bien, que serait-il arrivé si Caleb avait dit : « Oh ! oui, l’opposition est grande. Nous n’avons même pas d’armes pour combattre. Regardez ces murailles-là ; comment pourrons-nous donc traverser ces murailles ? Il y en a dix mille contre–contre nos cent. Nous… Ils… Ils nous dépassent en nombre. Nous ne sommes pas des guerriers pour commencer. Nous ne sommes même pas une nation unie. Nous sommes juste une bande de paysans esclaves. Nous ne sommes même pas reconnus comme une nation. »

21.       Mais tout ce que Caleb considérait, c’était que Dieu avait dit avant même de quitter l’Egypte : « Je vous ai donné ce pays-là. » Ainsi, Caleb ne s’est pas soucié de circonstances. Il a considéré ce que Dieu avait dit.

            C’est ce qu’il vous faut faire ce soir. Ne considérez pas les circonstances ; considérez ce que Dieu a dit. C’est la promesse de Dieu qui compte. Alors, il a calmé les gens, disant : « Tenez-vous tranquilles. » Dieu était sur le point de parler. Juste quelques jours avant cela, quand Moïse, le grand conducteur, le libérateur d’Israël, avait fait sortir d’Egypte les enfants d’Israël et les avait conduits dehors, ils étaient sortis sous la main de Dieu… Et c’était là un type parfait de l’Eglise d’aujourd’hui.

22.       La première chose  qu’on voyait dans cette Eglise, lors de sa conduite dans le naturel, c’est qu’ils avaient quoi ? La Parole. Ils avaient la promesse. La promesse leur avait été faite par Abraham et le temps était proche. Ils avaient un prophète, Moïse. Ils avaient un Ange de Dieu, la Colonne de Feu, qui les conduisait. Ils avaient des signes, des prodiges et des miracles parmi eux. Eh bien, c’est exact. Et les voici en route avec toute la bonne foi. Et ils sont arrivés à un endroit où ils étaient complètement bloqués par la mer Rouge. On dirait que toute la nature frémissait pour eux. Les cieux ont pu pleurer; tout. Les montagnes ont pu être ébranlées. Ils étaient dans une condition terrible, un peuple d’alliance comme vous, comme nous, qui était bloqué. C’est là peut-être que vous vous retrouvez ce soir. Peut-être qu’il y a un obstacle. Peut-être que vous avez une affliction ; peut-être que vous avez une habitude. Peut-être que c’est un péché qui vous dérange, dont vous ne pouvez pas vous débarrasser. Quelque chose qui vous bloque le chemin. Le monde regardait et disait : « Eh bien, voyons comment il va garder sa religion en un temps pareil. » C’est là qu’Israël se trouvait. Mais Moïse a dit : « Tenez-vous tranquilles, et voyez la gloire de Dieu. » Ne soyez pas agités. Tenez-vous tranquilles.

23.       Et puis, quand les enfants d’Israël s’étaient tenus tranquilles, Dieu a parlé des cieux, et la mer Rouge s’est tenue tranquille. Elle s’est tenue de côté et elle a formé un amas de grandes murailles comme des montagnes, se tenant au garde à vous. Quand Jéhovah parla, la mer Rouge se tint tranquille. Dieu exige qu’on se tienne tranquille. Et Israël a traversé la mer Rouge comme si c’était sur une terre sèche. Et les eaux de cette mer puissante en furie s’étaient tenues tranquilles.

             Peu après cela, quelque quarante ans après, les gens n’ont pas voulu recevoir le message de Caleb et Josué, Dieu a dit : « Ils n’y entreront pas. » Ils n’ont pas voulu se tenir tranquilles ; ils n’ont pas voulu écouter la Parole. Ils ont préféré leurs propres idées. Et Dieu a dit : « Eux tous mourront ici dans le désert. » Et c’est ce qui leur est arrivé. Il n’y a eu que les deux, Josué et Caleb, qui ont traversé, eux qui étaient restés fidèles à la Parole.

24.       Un jour, alors que Josué descendait au mois d’avril, et c’était un temps où, si Dieu avait fait un quelconque calcul, il faisait certainement un piètre travail. Il aurait programmé la traversée en automne, quand le Jourdain est pratiquement sec. Mais Il change et fait la traversée du Jourdain lors de la crue, au mois d’avril. Les neiges fondaient en Judée, et le grand Jourdain débordait sur les plaines.

            Et Dieu a amené Son peuple au Jourdain alors que celui-ci connaissait la plus grande crue. Oh ! je souhaiterais avoir un moyen de pouvoir placer cela dans le cœur des gens ! Peut-être que vous êtes buté contre une difficulté en plein dans votre expérience chrétienne, au point que vous demandez à Dieu : « Pourquoi ? » Mais Dieu veut que vous vous teniez tranquilles juste un instant. La Bible dit : « Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu. » Tenez-vous tranquilles. Ne vous alarmez pas.

            Et alors que le Jourdain s’élançait depuis les collines de Judée avec ses fortes vagues boueuses, Dieu a dû parler. Et quand Dieu a parlé, le Jourdain s’est tenu tranquille et a écouté Jéhovah alors qu’Il parlait. Il a formé des murailles et les eaux se sont arrêtées. Oh ! béni soit le Nom du Seigneur ! Quand Dieu parle, quelque chose se passe. La nature a fermé sa bouche. Dieu parlait.

25.       Et le Jourdain, comme un soldat, s’est tenu au garde à vous pendant que Jéhovah faisait traverser son lit à Ses enfants. Certainement. Il s’est tenu tranquille et a regardé la main de Dieu agir.

            Et il s’est donc tenu tranquille pendant que Josué et les lévites érigeaient un mémorial au milieu de ce fleuve, comme un mémorial de ce qu’il s’était tenu tranquille ; le Jourdain s’était tenu tranquille.

26.       Un jour, alors que les enfants de Dieu venaient, conformément à la Parole de Dieu, prendre possession du pays que Dieu avait donné… Maintenant, ne l’oubliez pas. Dieu leur avait donné le pays, là en Egypte. Il a dit : « Ce pays-là est vôtre, dans son entièreté. » Or, les gens aujourd’hui s’attendent à ce que Dieu descende et les pousse par le cou. Ils disent : « Oui, c’est bien. Fais-moi sortir, purifie-moi, guéris-moi, et je croirai en Toi. » Dieu ne tourne pas Son affaire comme cela. Il–Il vous donne la promesse, mais il vous faut vous battre pour chaque centimètre du terrain que vous possédez.

            Pourquoi Dieu n’est-Il pas allé là-bas chasser carrément tous les Amoréens, les Héthiens, les Phérésiens et–et tous les autres ? Pourquoi ne les a-t-Il pas simplement chassés ? Non, Israël avait quelque chose à faire. Et vous avez quelque chose à faire. Dieu a dit : « Ce pays-là est vôtre. Allez en prendre possession. » Est-ce que je vous assourdis avec ce micro-ci ? Ce n’est pas mon intention.

27.       « Allez en prendre possession ; cela vous appartient. » Et ils ont dû combattre pour chaque centimètre du chemin. Mais avec l’assurance que cela leur avait été donné, peu importe ce que paraissaient être les résultats, les circonstances ; cela leur appartenait. Dieu le leur avait donné. Et ils ont considéré la promesse plutôt que les circonstances.

            La guérison vous appartient. Le salut vous appartient. Le Saint-Esprit vous appartient. Le véritable Saint-Esprit vous appartient. Le jour de la Pentecôte, Pierre a dit : « Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon des péchés ; et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. » Donc, la promesse est tout aussi réelle ce soir qu’elle l’était autrefois. Elle vous appartient, si vous vous mettez à vous en emparer. Elle vous est donnée.

            Si Dieu vous appelle, Son dessein est que vous ayez cela. Mais il vous faudra combattre sur chaque centimètre du chemin pour l’avoir. Certainement qu’il vous le faudra.

28.       Eh bien, les enfants combattaient et le soleil se couchait. Alors le vaillant guerrier Josué, alors que le soleil se couchait, avait besoin de plus de temps. Et Dieu était dans la bataille, les mains de Moïse étaient levées, pour ainsi dire. Et alors que Josué combattait, Dieu a fait que le soleil se tienne tranquille jusqu’à ce que, du coup, la puissance du Dieu Tout-Puissant fut à l’œuvre pour Ses enfants.

            Je crois que le temps de la Venue de Jésus-Christ est passé. Mais si seulement les enfants réclamaient leur promesse, et non pas être séparés et divisés, je crois que Dieu ferait que chaque nation sur terre se tienne tranquille pour voir la gloire sous forme du réveil de la Pentecôte à l’ancienne mode balayant le monde. Si les enfants se tenaient tranquilles… Mais ils ne le feront pas.

29.       C’est pourquoi Dieu ne peut pas les faire se tenir tranquilles. Quand Dieu veut faire quoi que ce soit, Il veut que vous vous teniez tranquilles. Tenez-vous tranquilles ; croyez Sa promesse. Accrochez-vous-y. Ne soyez pas emportés par n’importe quoi; tenez-vous tranquilles et observez-Le.

            Oh ! quelle chose merveilleuse ! Josué se tenait là, invoquant Dieu, et le soleil s’est tenu tranquille pendant qu’il allait gagner la bataille. Et il l’a fait. Le soleil, la nature, ont dû se tenir tranquilles et observer Dieu accomplir Son oeuvre. Certainement que ça s’est fait.

            Quand ils ont contourné Jéricho, ils ont fait le tour de cette muraille plusieurs jours, revêtus de toute l’armure, sonnant de leurs trompettes et autres. Mais un jour, quand ils se sont arrêtés, qu’ils ont sonné et qu’ils se sont tenus tranquilles, Dieu a écroulé les murailles devant eux. Certainement. Ils en avaient fait le tour plusieurs jours. Le martèlement, la marche, le rebondissement, ça n’a servi à rien. Mais quand ils se sont arrêtés et qu’ils ont sonné, alors Dieu a fait s’écrouler les murailles.

30.       Plusieurs centaines d’années après cela, il y eut un vieux mendiant aveugle assis à côté de ces murailles. Nous le connaissons dans la Bible sous le nom de Bartimée. Beaucoup prononcent cela « Bar-ti-mée », ça va, n’importe comment qu’on le prononce. Il était assis là, aveugle. Et il a dû se souvenir qu’encore petit garçon, sa maman le portait sur ses genoux et lui racontait de merveilleuses histoires, comment Dieu avait accompli de grandes œuvres. Et peut-être que son histoire favorite, c’était celle de Moïse traversant la mer Rouge, ou de Josué entrant dans la Terre promise, juste à quelques centaines de mètres en-dessous de là où ils étaient. Oh ! combien ses petits yeux brillants étincelaient, alors qu’il disait : « Oh ! maman, raconte-moi encore cette histoire avant que tu ne me berces pour dormir. » Et alors qu’il caressait de ses mains les jolies joues de cette jeune mère juive qui le berçait, peu savait-il qu’il s’assiérait là un jour, aveugle.

31.       Et puis, quand il s’est souvenu de cette glorieuse histoire, je peux me  le représenter; dans son petit esprit, il a dit : « Eh bien, me voici un vieux mendiant, en lambeaux, assis ici. Si seulement j’avais vécu quand Jéhovah avait fait se tenir tranquille le Jourdain, juste en-dessous de moi ici pour voir Sa démonstration… Si seulement j’avais vécu à l’époque ! Mais mes sacrificateurs me disent que les jours des miracles sont passés, que Jéhovah n’accomplit plus pareille œuvre aujourd’hui, que nous nous contentions d’observer la loi.»

            Et il a pu aussi se souvenir de l’histoire d’Elie et d’Elisée, les deux puissants prophètes de Dieu qui, pas beaucoup d’années avant son temps, parcouraient d’un bout à l’autre la même vieille route pavée, bras dessus bras dessous, descendant au Jourdain, des années après que Josué l’eut fait se tenir tranquille. Le prophète Elie prit son manteau et frappa le Jourdain : « Tiens-toi tranquille. Je dois traverser. » Et le même Jéhovah qui avait fait que le Jourdain se tienne tranquille pour Israël, a fait qu’il se tienne tranquille des centaines d’années plus tard pour Elie.

32.       Une personne… Certainement. Et ils ont traversé. Heure… Une heure plus tard, peut-être, ce jeune prophète Elie… Elisée revint, vêtu du même manteau ; et il a frappé le Jourdain, disant : « Où est le Dieu d’Elie ? » Et le Jourdain s’est tenu tranquille pour que Dieu manifeste Sa puissance devant ces prophètes qui se tenaient sur la colline, en train d’observer. Certainement.

            Le vieil aveugle Bartimée a dit : « Si seulement j’avais vécu à l’époque, j’aurais couru dans la rue, j’aurais saisi ces prophètes et j’aurais dit : ‘Ô prophètes de Dieu, priez pour moi, un aveugle ; que Dieu me restaure la vue.’ Mais, hélas ! on me dit que les jours des miracles sont passés ; Dieu ne fait plus ces choses. »

33.       Et une autre pensée lui a traversé l’esprit, c’est qu’un jour, avant que Josué s’emparât de la–la ville, il se promenait un jour. Il lui est arrivé de voir Quelqu'un qui venait vers lui, et voici un Homme debout, en marche, Son Epée dégainée. Et Josué, le vaillant guerrier, a dégainé son épée, il s’est avancé vers Lui. Et Josué a crié : « Pour qui es-Tu ? Es-Tu pour nous ou pour notre ennemi ? »

            Et cet Homme s’est tenu tranquille, Il a agité cette épée-là et a dit : « Non, mais je suis le Capitaine de l’armée de l’Eternel. » Et le vaillant Josué a jeté son épée par terre, il a ôté son bouclier et s’est agenouillé.

            Le vieil aveugle Bartimée a dit : « Si seulement j’avais vécu à l’époque, et que j’avais rencontré ce puissant Capitaine… » Peu savait-il que ce même capitaine des armées de l’Eternel passait dans les rues à moins de 200 yards [182,8 m] de l’endroit où il était assis. Un bruit…

            Oh ! assurément, on s’est toujours moqué de ceux qui font quelque chose pour Dieu. Je peux entendre le sacrificateur courir et dire : « Dis donc, Toi qui as ressuscité Lazare de la tombe, nous avons tout un cimetière plein de gens par ici, viens et ressuscite-moi un par ici. Laisse-nous Te voir ressusciter les morts. » Mais, vous savez, ce sont des hommes simples qui trouvent des choses simples comme ça. Les grands hommes ne remarquent jamais cela. Ils vont simplement de l’avant. Il n’a jamais détourné Son…?... Toute Sa pensée était fixée sur le Calvaire. Il se dirigeait en ce moment-là même vers Jérusalem pour être crucifié.

34.       Et il y en avait qui Lui jetaient, peut-être, des tomates ou des légumes pourris. « Va-t’en. »

            Et d’autres disaient : « Salut, le grand prophète ! » Certains étaient pour Lui, d’autres contre… Je peux voir un groupe de sacrificateurs dire : « Dis donc, Toi qui peux ressusciter les morts, j’ai ici une vieille mère morte, une bonne femme pieuse. Viens la ressusciter. Fais-moi voir cela. » Assurément. C’est ce que le diable fait toujours. Quand vous entendez les gens parler comme cela, sachez qu’ils sont du diable.

            Le diable, quand il a rencontré Jésus, il a dit : « Si Tu es le Fils de Dieu, fais un miracle ici devant moi, fais-moi voir cela, et je croirai en Toi. »

            Une fois, les soldats romains Lui ont noué un lambeau au visage et L’ont frappé à la tête avec un bâton, disant : « Eh bien, si Tu es prophète, dis-nous qui T’a frappé et nous croirons en Toi. » Il n’a jamais ouvert la bouche. Quand Il était sur la croix, ils Lui ont dit : « Si Tu es le Fils de Dieu, descends de la croix et accomplis un miracle ici devant moi », le souverain sacrificateur se tenait là et le Lui criait, « et nous croirons en Toi. » Voyez ?

            Ils veulent les choses à leur manière. Il vous faut vous conformer aux conditions de Dieu. Qu’y a-t-il avec l’église aujourd’hui ? Ils veulent cela à leur manière. Tenez-vous tranquilles et suivez la voie de Dieu. Il sait ce qu’il y a de meilleur. Qui peut interpréter Dieu mieux que Lui-même ?

35.       Et ce mendiant aveugle se tenait là. Il a entendu ; il a dit : « C’est quoi ça ? » Qu’était-ce ? Il pensait à ces choses-là. La toute puissance de Dieu, quand elle apparaissait ! Il y en a eu en route, de Jérusalem vers Emmaüs, qui pensaient à Jésus quand ce Dernier s’est avancé et leur a parlé toute la journée. Il vous faut penser à cela. Il vous faut croire cela. Il vous faut accepter cela, non pas aller à la piscine un soir pour toute la nuit, et aller à l’église le lendemain. Non pas vous mettre à vous disputer, vous quereller, tricher, afficher des tempéraments colériques, vous quereller, vous battre avec vos voisins, faire des prosélytes et tout, puis aller à l’église et vous attendre à ce que quelque chose soit fait pour vous. Il vous faut vivre pour Dieu. Il vous faut être dans Sa Présence, vos souliers enlevés et vos yeux fermés, dans Sa Présence, avec révérence et conscient de Sa Présence, avec de l’amour pour tous. C’est pourquoi nous ne voyons plus de progrès au-delà de ce que nous voyons. Il vous faut remplir les conditions de Dieu, pas les vôtres, les Siennes.

36.       Remarquez, quand Bartimée a demandé : « Qui passait là, disiez-vous ? » « C’était Jésus, ce Grand Prophète de Galilée. »

            « Qui est-Il ? »

            « Oh ! on dit que c’est le Fils de David, vous savez, le Messie qui devait venir. »

            L’étincelle s’est vite enflammée dans son cœur et il s’est écrié : « Ô Jésus ! Toi, Fils de David, aie pitié de moi ! » Vous y êtes.

            Ôtez de votre esprit que les jours des miracles sont passés. Dieu est le même ce soir que jamais. Ôtez de votre esprit ces choses que les enseignants vous apprennent, que–que le baptême du Saint-Esprit n’existe pas. Nous avons beaucoup d’imitations. C’est vrai. Mais nous avons aussi le véritable Saint-Esprit. Nous avons de faux dollars. Ils ne font que confirmer les véritables. Certainement.

37.       Je sais que nous avons un simulacre de guérison divine. Les gens disent : « J’ai la puissance de guérir. » C’est un mensonge. La guérison est une œuvre achevée ; Christ l’a achevée au Calvaire. Et tout véritable prophète de Dieu dira la vérité ; il l’attribuera au Calvaire où tout le sacrifice suprême a été offert et, là, les hommes ont été guéris par Ses meurtrissures, au Calvaire, non pas ce que quelqu’un a… Vous ne pouvez guérir personne ; vous ne pouvez non plus sauver personne, personne d’autre ne le peut, ou ne le pourra jamais. C’est une œuvre achevée. C’est votre foi dans cette œuvre achevée qui produit cela.

            Remarquez. Ce mendiant aveugle a crié : « Toi, Fils de David, aie pitié de moi ! » Eh bien, qui était ce pauvre petit mendiant aveugle aux mains ridées, en lambeaux, assis là adossé au mur ? Alors que beaucoup, probablement trois ou quatre mille personnes criaient, poussaient des cris, se moquaient de Jésus, et d’autres Le saluaient, Le louaient ; Il n’a point entendu sa voix ; Il ne pouvait pas entendre sa voix. Et Son Esprit était fixé sur une seule chose ; Sa tête en arrière, en tête de file, progressant comme cela, le regard sur le Calvaire. Et pendant qu’Il avançait, on a dit à ce pauvre petit mendiant : « Tais-toi. »

            Mais cela ne l’a pas arrêté. Il a crié davantage : « Toi, Fils de David, aie pitié de moi ! » Et, malgré tout l’énorme fardeau des péchés du monde qui reposaient sur Ses épaules, sur Son chemin vers le Calvaire, Il a été arrêté par ce pauvre petit, peut-être, un mendiant ignorant et insuffisant, par cette foi dans son cœur, Lui, le Fils de Dieu, s’est tenu tranquille.

38.       Jésus s’est tenu tranquille et a dit : « Amenez-le ici. » Oh ! frère, Jésus s’est tenu tranquille. On Lui a amené le mendiant. Sa foi avait arrêté le Fils de Dieu et l’avait amené à s’arrêter net, à s’arrêter pile. Voici ce que je déclare ce soir : « Peu m’importe qui vous êtes, ou ce qu’est votre nom, combien vous êtes pauvre, ou à quel point vous êtes tombé ce soir, votre foi amènera Dieu à s’arrêter net pour entendre votre humble cri. ‘Tenez-vous tranquilles et sachez que Je suis Dieu.’ N’écoutez pas le gargouillement du monde extérieur et ce genre de choses: ‘Tenez-vous tranquilles et sachez que Je suis Dieu.’ »

            Cela L’avait arrêté. Et on Lui a amené l’aveugle Bartimée. Et Il a dit : « Que veux-tu que Je fasse ? »

            Il a dit : « Que je recouvre la vue. » C’était la–la petite conversation qu’il voulait avoir avec Lui.

            Il a dit : « Ta foi t’a sauvé. »

39.       Et pendant que ce vieux mendiant se tenait là à observer ses mains et ce cortège descendre la rue, alors que Jésus continuait, il a commencé à voir peu après ; alors, il s’est mis à crier, courant après Jésus, se réjouissant, rendant gloire à Dieu. Jésus s’était tenu tranquille alors que Dieu allait opérer une œuvre.

            Je dis, si jamais il y a eu un temps, mon frère, où les gens devraient se tenir tranquilles ce soir, alors que les uns disent… Les magazines écrivent : « C’est du fanatisme. C’est ceci. C’est l’adoration du diable ; c’est tout, ceci, cela ou autre. » Tenez-vous tranquilles. Regardez droit au Calvaire et dites : « Seigneur, était-ce pour moi ? » Voyez ce que Dieu dira à ce sujet dans Sa Parole. Tenez-vous tranquilles.

40.       Oui, frère, l’un de ces jours, ce vieux monde va se tenir tranquille. L’un de ces jours, le temps va s’arrêter net. Ecoutez Dieu parler. Vous vous arrêterez à un moment. « Oh ! direz-vous, j’ai des enfants à élever ; j’ai ceci à faire ; j’ai la vaisselle ; j’en ai un tas. Ces choses doivent se faire. » Tenez-vous tranquille une minute. Laissez Dieu parler. Il fera quelque chose pour vous.

            L’un de ces jours, Il parlera, et le soleil ne tournera plus. Il parlera, et la lune ne donnera plus de sa lumière ; oui, frère. Un jour, je vais prêcher mon dernier sermon. Un jour, j’offrirai ma dernière prière, et j’ouvrirai cette vieille Bible pour la dernière fois. Et chaque roue de mon corps mortel que voici s’arrêtera. Mais en ce temps-là, je monterai sur Sion pour vivre pour toujours avec Lui. Les roues de la vie mortelle…

Un jour, hors de la portée des mortels

Un jour, Dieu seul sait exactement où et quand,

Les roues de la vie mortelle s’arrêteront toutes.

Alors, j’irai habiter au mont Sion.

41.       Je préférerais avoir cela plutôt que n’importe quoi d’autre que je connais. Je me demande ce soir si vous aimeriez laisser toutes les agitations de votre esprit, la confusion, tout ce qui est dans votre esprit, si vous aimeriez vous tenir tranquilles juste quelques minutes et laisser Dieu vous parler. Voir s’Il ne vous dit pas que vous êtes en erreur.

            « Oh ! direz-vous, je suis membre d’église, de la même église que ma mère autrefois. » Cela n’a rien à faire avec la chose. L’enfer sera plein de membres d’églises. C’est vrai.

            Si un homme ne naît de nouveau ! Une fois qu’il est né de nouveau, il a la Vie de Dieu. Et alors, les fruits de l’Esprit suivent, c’est-à-dire l’amour, la paix, la joie, la longanimité, la bonté, la douceur, la gentillesse, la patience. Il devient une nouvelle création en Jésus-Christ. Il est une partie de Dieu, un Fils de Dieu. Il ne peut pas mourir, pas plus que Dieu ne le peut. Il a la Vie Eternelle et immortelle, et il ne peut pas mourir. Jésus a dit : « Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit en Celui qui M’a envoyé, a (le temps présent) la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie. »

42.       Et ce soir, mon pauvre vieil ami pécheur, ne voudriez-vous pas vous tenir tranquille juste une minute et laisser Dieu vous parler ? Et quand les réunions commenceront, comme le Saint-Esprit est ici maintenant, le Glorieux Saint-Esprit, le Christ ressuscité qui est ici sous forme du Saint-Esprit… Le Saint-Esprit, c’est Christ sous forme spirituelle. Et comme Il est ici ce soir, le même hier, aujourd’hui et éternellement, la foi qui avait arrêté ce vieux… ce… de ce vieil aveugle mendiant là, qui avait pu L’arrêter en route, c’est la même foi de la femme qui avait touché Son vêtement ; et Il s’est retourné et a regardé. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

43.       Il est tout autant ici maintenant même qu’Il l’était sur la route de Jéricho. Il est tout autant ici qu’Il l’était en route vers la maison de Jaïrus où Il avait ressuscité la petite fille, et la femme avait touché Son vêtement. Il a dit : « Je ne peux rien faire de Moi-même. »

            Il passait à côté d’une grande foule de gens, couchés là, des aveugles, des estropiés et des gens aux membres atrophiés, Il a dépassé chacun d’eux, à la piscine de Bethesda.

            Que pensez-vous qui arriverait à Saskatoon s’Il venait et faisait cela ? Il était là, une femme avait touché Son vêtement et avait été guérie. Quelques jours plus tard (Saint Jean 5), Il passa près de la piscine de Bethesda. De grandes foules, des milliers d’eux étaient couchés à cette piscine. Regardez ce que la Bible dit que c’était : des boiteux, des aveugles, des estropiés, des gens aux membres atrophiés attendaient ; des mamans avec des enfants hydrocéphales, des mères aveugles, des pères aveugles, des estropiés, des boiteux, cherchant à entrer dans cette piscine. Et Jésus, le Fils de Dieu, passa parmi eux. Et Il… Pourquoi ne les a-t-Il pas guéris ? Il a été critiqué pour cela. Il le serait ce soir. Et Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

44.       Il est allé jusqu’à trouver l’homme qui était couché sur un grabat. Je ne sais pas si vous, les Canadiens, vous savez ce qu’est un grabat ou pas. C’est une petite vieille couverture ou quelque chose comme cela sur lequel on se couche. J’ai grandi là-dessus. Nous n’avions même pas de lit. Je couchais… La plus grande partie de ma vie, je l’ai passée dormant sur un grabat ; c’est juste un tas de couvertures déposées à côté de la porte, et on y dépose un oreiller, et c’était en paille de maïs.

            Il était couché sur le… sur un grabat. Alors, cet homme était couché là, il était couché là, il était malade depuis 38 ans. Il n’était pas estropié, il pouvait marcher. Il n’était pas aveugle ; il voyait. Mais il avait une espèce d’infirmité, peut-être une maladie de prostate, ou–ou la tuberculose. Quoi que ce fût, c’était chronique ; ça n’allait pas le tuer. Il avait eu cela pendant 38 ans. Et Jésus a cherché du regard jusqu’à ce qu’Il a repéré cet homme. Pourquoi n’a-t-Il pas guéri l’homme aveugle, l’homme estropié ? Mais Il a repéré cet homme. Il lui a demandé : « Veux-tu être guéri ? »

            Il a répondu : « Seigneur, je n’ai personne pour m’aider à entrer dans l’eau. Pendant que j’y vais, quelqu’un d’autre me dépasse », et y il entre avant lui. 

            Il a dit : « Prends ton lit et rentre chez toi. »

            Il a pris ce petit grabat, il l’a mis sur le dos et s’en est allé. Il a rencontré quelques Juifs. Ils se sont mis à critiquer et à poser des questions. Saint Jean 5.19, écoutez ce que Jésus a dit : « En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il fait ce qu’Il voit faire au Père ; le Fils le fait pareillement. » Combien ont déjà lu ce passage des Ecritures ? Faites voir vos mains. Absolument.

45.       Jésus ne guérissait pas au hasard. Il faisait ce que le Père Lui montrait de faire. Le Père était en Lui. Eh bien, Dieu est en vous. Il ne guérissait que suivant la vision. S’Il… Si Ses paroles qui ne peuvent pas être remises en cause… Il a dit : « Je ne fais que ce que Je vois faire d’abord au Père. Le Père agit, le Fils aussi agit jusqu’à présent. » Ce même Jésus a dit : « Vous ferez aussi les œuvres que Je fais, vous en ferez même de plus grandes, parce que Je m’en vais au Père. » Dieu était alors dans une seule Personne, Son Fils Christ. Aujourd’hui, Il est dans toute l’Eglise Universelle, c’est le même Dieu. Maintenant, j’aimerais que vous vous teniez tranquilles juste un instant. Je vais vous poser une question ce soir, tels que vous êtes ici. Prions juste un instant.

46.       Père céleste, je prie qu’en cet instant-ci chaque membre d’église, chaque pécheur puisse se tenir tranquille, juste un instant, et pense dans son cœur : « C’est quoi, tout ça ? Qu’est-ce que cet homme cherche à nous dire ? Apparemment, ça provient de la Bible. J’ai lu que Tu es le même. J’ai lu que Tu as dit que nous ferons aussi les œuvres que Tu as faites, et Tu as promis que Tu le feras dans les derniers jours… Et quand Tu terminais l’âge des Juifs, Tu avais envoyé ces grands signes, pour terminer l’âge des Juifs. Et aujourd’hui, Tu es un Dieu juste et Tu enverras le même signe pour terminer l’âge des Gentils. Et nous voici. » Le Jésus ressuscité, les Lumières du soir sont apparues. Nous sommes à la dernière heure.

            Et maintenant, Père, puissent les hommes, alors qu’ils réfléchissent là-dessus… que le Saint-Esprit vienne sur moi. Ô Précieux Dieu, il n’y a ni mérites ni bien en moi ; je suis un serviteur inutile. Et je ne dis pas cela pour me faire humble devant cette foule. Si je le faisais, je serais un hypocrite. Et que Dieu me garde de cela, je préférerais être un incroyant plutôt qu’un hypocrite. Viens-moi en aide, ô Dieu, aide cette assistance ce soir à se rendre compte qu’un glorieux jour, et cela peut cependant être aujourd’hui, Jésus pourra venir. Et aide-nous à nous rendre compte ce soir de grandes œuvres qu’Il avait faites, et qu’Il nous avait envoyées, comme Il l’avait dit hier soir pour Jonas et pour la reine de Séba et pour ces autres, et que donc des plus grandes œuvres sont accomplies maintenant, ici même, dans cette ville. Car il y a ici, plus grand que Jonas ou la reine de Séba, le Fils de Dieu. Un plus grand, le Christ ressuscité et glorifié, le Saint-Esprit.

            Comme Tu avais dit, quand Tu étais ici sur terre avant que Tu sois glorifié, s’ils parlaient contre Toi, cela leur serait pardonné. Mais quand le Saint-Esprit sera venu, parler contre cela, ce ne sera jamais pardonné. Je Te prie donc, Père, d’accorder aux hommes de réfléchir juste un instant et de se tenir tranquilles. Et puisse Ton Esprit agir parmi nous maintenant et manifester que Tu es le Christ ressuscité avant que moi, je fasse cet appel à l’autel. Ô Dieu, accorde-le pour Ta gloire. Je le demande au Nom de Jésus. Amen.

47.       Maintenant, avec respect et dans le calme. J’ai changé mes réunions les deux dernières soirées. A mon avis, hier soir, c’était la soirée de loin meilleure que les soirées précédentes. Et j’ai une vision. Je sais que Gene et les autres enregistrent ceci sur bande. Je ne la raconterai pas maintenant. Mais il n’y a pas longtemps, j’ai eu une vision. Et je ne savais pas que ça allait se passer à Saskatoon. Mais il y a… Ça vient d’être révélé, il y a quelques instants, pendant que j’étais dans ma chambre d’hôtel, observant une rivière avec des chutes à gauche. Je n’ai pas compris cela jusqu’il y a quelques instants quand, il y a quelques mois, j’ai eu une vision de ce qui allait arriver. Je peux en parler maintenant même, mais je dois attendre que quelque chose se passe.

            Mais j’en ai parlé sur bande, afin qu’en rejouant la bande, vous observiez et voyiez. Voyez, c’est écrit ici même sur la feuille de garde de ma Bible, ce qui va se passer. Eh bien, observez et voyez.

48.       Eh bien, remarquez. Christ, le Fils de Dieu, est mort, Il est ressuscité, Il est monté en haut et, ce soir, Il est le Souverain Sacrificateur de notre confession, assis à la droite de la Majesté Divine, intercédant sur base de notre confession. Est-ce vrai ? Tout le monde le sait.

            Maintenant, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et que la Bible dit qu’Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités, alors, frère, écoutez. Christ n’a jamais dit : « Allez par tout le monde et enseignez la Parole. » La Bible ne dit pas ça. Il a dit : « Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle », non pas enseigner la Parole, prêcher la Bonne Nouvelle. La lettre tue, mais l’Esprit vivifie.

            Mais nous, nous sommes allés et nous avons enseigné la Parole, et nous avons adapté Cela à notre propre programme. Mais qu’est-ce que la Bonne Nouvelle ? Paul a dit : « La Bonne Nouvelle n’est pas venue en parole seulement, mais avec puissance et démonstrations du Saint-Esprit. » Et alors, aussitôt après cela, Il a dit (Marc chapitre 16, qui vient après), Il a dit : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. » Voyez ? Nous n’En lisons qu’une partie ; ne laissez pas la suite.

49.       Eh bien, voici ce que je déclare : Si Christ est ressuscité d’entre les morts, Il a déclaré, quand Il était ici sur terre, qu’Il ne faisait que ce que le Père Lui montrait. Il se tenait dans l’assistance, comme celle-ci, et connaissait les pensées des gens. Combien savent que c’est la vérité ? La Bible le dit. Si les gens dans l’assistance ont pu toucher Son vêtement, Lui a pu sentir cela, non pas par ce toucher naturel, mais un toucher spirituel, comme celui de–de l’aveugle Bartimée. S’Il a donc pu sentir cela et qu’Il est le Souverain Sacrificateur ce soir qui peut encore être touché par le sentiment de nos infirmités, croyons en Lui.

            Alors, Il a placé les uns dans l’église, premièrement Sa Parole. Qu’a-t-Il placé ensuite ? Les apôtres. Eh bien, beaucoup de gens s’achoppent à ce mot apôtre. Mais j’aimerais vous demander, vous qui vous achoppez à cela, quelle est la différence entre apôtre et missionnaire ? Le mot apôtre signifie un envoyé. Le mot missionnaire signifie un envoyé.

50.       [Espace vide sur la bande–N.D.E.]… en parole. Pourquoi ont-ils donc voulu être appelés missionnaires ? Je ne sais pas. Ils sont apôtres. Les apôtres, les prophètes, les docteurs, les évangélistes et les pasteurs, tous pour le perfectionnement de l’Eglise… Est-ce vrai ? Ils ont été placés dans l’Eglise. Dieu n’a pas juste–juste parlé des docteurs et des évangélistes. Il a aussi parlé des apôtres et des prophètes, tout le reste.

            Ainsi, dans chaque corps local, il y a neuf dons spirituels qui doivent opérer par des juges et autres. Cela doit absolument… Le parler en langues, l’interprétation des langues, non pas un tas de feu de brousse, mais les véritables et authentiques révélations du Saint-Esprit viennent et révèlent des choses qui arrivent tout de suite, non pas quelque chose qui répète que Jésus vient bientôt. Nous croyons cela. C’est écrit dans le Livre. Dieu n’utilise pas de vaines répétitions. Il nous demande de ne pas le faire. Mais c’est quelque chose de précis pour quelqu’un dans l’église et dans un but.

            Ce dont nous avons besoin, c’est d’un véritable enseignement apostolique de trois mois environ, sous une tente dressée quelque part ici, apporté par des prédicateurs chaque après-midi. Rentrez et allez d’un bon train. Le problème, c’est que nous n’avons pas tourné rond, non pas qu’on le voulait, mais c’était le courant du moment. Ça doit être ainsi. Mais il est donc temps de nous tenir tranquilles juste une minute.

51.       Eh bien, si Christ est ressuscité d’entre les morts et qu’Il a placé ces choses dans Son Eglise… Je ne crois pas que je vois dans cette église une personne que je connais. Combien parmi vous ici savent que je vous suis étranger (levez la main) et savent que je ne vous connais pas? Très bien. Je ne… Il n’y a devant moi personne que je vois, personne que je connais. Je ne vois même pas les Sothmann et les autres ce soir. Ils sont quelque part ici, mais je ne les vois même pas. Les seules personnes que je connais… Oui, Fred est assis ici, et–et Billy, Gene, Leo par ici. Ce sont les seuls que je connais dans cette église.

            Christ vous connaît tous. Il sait ce qui cloche en vous. Il savait ce qui n’allait pas chez la femme au puits. Aussitôt qu’Il avait parlé à cette femme, juste quelques instants, Il a su ce qui n’allait pas chez elle. Il sait ce qui cloche chez vous. Croyez-vous cela ?

52.       Eh bien, s’Il descendait ce soir dans Sa puissance et que vous vous mettiez à prier, disant : « Seigneur, j’aimerais toucher Ton vêtement. »… qu’au moins deux ou trois dans cette salle qui ont assez de foi pour se lever et Le toucher au point que Sa grâce souveraine agisse et parle par mes lèvres, et vous dise ce qu’est votre maladie ou ce dont vous avez besoin, comme Il le faisait quand Il était ici sur terre, allez-vous croire qu’Il est donc ressuscité d’entre les morts ? La Bible dit : « Toute parole sera établie par la déposition de deux ou trois témoins. »

            Je vais changer cela ce soir. Ne priez pas pour vous-même ; si vous avez quelqu’un d’autre à l’esprit, priez pour lui. Ça devrait rendre cela… Priez Dieu pour quelqu’un d’autre et non pas pour vous-même. Priez pour quelqu’un d’autre et mettez-vous simplement à prier, disant : « Seigneur, quelqu’un d’autre pour qui prier. » Et croyez de tout votre cœur que Dieu accordera cela. Et si Dieu l’accorde, et qu’ensuite vous sortez d’ici en doutant toujours, je ne sais pas…

            La Bible dit : « Allez et… » Ne faites plus quoi ? « ne péchez plus. » C’est vrai. Le péché, c’est quoi ? L’incrédulité. C’est tout à fait exact. « Allez et ne péchez plus, de peur que quelque chose de pire ne vous arrive. » Allez et ne doutez plus.

53.       Maintenant, avec révérence devant le Saint-Esprit, soyons vraiment respectueux, vraiment… un instant… Priez et demandez à Dieu. Vous direz : « Maintenant, Seigneur, je sais que cet homme qui se tient là est juste un–un homme. Il est… Quand il était ici il n’y a pas longtemps, il était juste un jeune garçon, mais maintenant, il est devenu un homme d’âge moyen. Il se meurt à petit feu comme nous tous, comme une bougie qui se consume. Un jour, ses jours seront terminés. Mais je crois aujourd’hui que Tu as des gens qui sont des pasteurs, des docteurs, des prophètes, des évangélistes et autres. »

            Regardez, quand le prophète a dit à Ezéchias : « Tu vas mourir, mets ta maison en ordre. »…

            Et ce roi-là, le plus grand homme en Israël, a tourné son visage contre le mur et a pleuré amèrement, disant : « Seigneur, je T’en supplie, aie égard pour moi. J’ai marché dans l’intégrité de mon cœur devant Toi. Epargne ma vie pendant quinze ans. » Pourquoi Dieu Jéhovah, le Roi du Ciel, n’a-t-Il pas parlé au roi d’Israël ? Il ne l’a pas fait. Il a parlé à Son prophète.

            Il a dit : « Esaïe, retourne lui parler. » Le roi se tenait juste là devant le pro… le… Dieu lui parla, il demandait cela. Dieu pouvait directement répondre au roi, mais Il n’avait pas donné au roi cette constitution là. Il avait là un prophète. Il a parlé au prophète, disant : « Va lui dire que J’ai exaucé sa prière et que Je vais épargner sa vie pendant quinze ans. »

54.       Voyez-vous comment Dieu s’y prend ? Il a des instruments par lesquels Il travaille. Croyez-vous cela ? Dites : « Amen. » [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E] Certainement. Nous ne sommes pas tous pareils. Nous sommes constitués différemment ; notre constitution est différente.

            Eh bien, il se fait qu’en tant que prédicateur, je ne suis pas… Vous savez que je ne suis pas tellement un prédicateur. Je suis une roue de réserve, un pauvre évangéliste. Mais ce qu’il y a, c’est que Dieu m’a donné un don depuis mon enfance. Au moment même de ma naissance, cette même Lumière était suspendue au-dessus du berceau où j’étais né. Ce n’était pas quelque chose que j’avais fait, ni que ma famille avait fait, c’était par élection, la grâce de Dieu.

            Maintenant, Elle est ici maintenant même, à cette estrade, cette même Lumière se tient… Elle est ici maintenant même. Elle n’est pas à cinq pieds [1,52m] de l’endroit où je me tiens. Et je défie votre foi de prier Dieu pour… non pas que nous ayons à faire cela, mais afin–afin que cela puisse accomplir la Parole de Dieu. Jésus n’était pas tenu de guérir quelqu’un pour établir qui Il était. Pourquoi l’avait-Il fait ? C’était afin que la Parole soit accomplie. Eh bien, c’est ce qu’Il fait ce soir : afin que la Parole soit accomplie : « Vous ferez aussi les œuvres que Je fais. »

55.       Maintenant, priez. Croyez. S’Il le fait, que Dieu soit béni. Et je vous demande d’être tout aussi respectueux ; tenez-vous tranquilles maintenant. Pécheur, observez et soyez respectueux. Je ne sais pas s’Il le fera ; Il peut le faire. Je Lui demande d’accorder cela au Nom de Son Fils, le Seigneur Jésus.

            Premièrement, j’aimerais que vous regardiez dans cette direction-ci, à–à l’est par rapport à moi. Observez simplement et voyez si le Saint-Esprit parlera. S’Il le fait, que Dieu soit loué. Maintenant, je sais que parfois ceci est traité à la légère. Parfois les gens disent : « Le Seigneur me révèle que quelqu’un souffre de rein. » Certainement qu’il y en a, beaucoup ici en souffrent. Qui est-ce ? Voilà. Voyez ? Oh! il y a beaucoup d’imitations, mais il y a le véritable Saint-Esprit. Maintenant, soyez vraiment respectueux et priez.

            Je n’ai aucun moyen de vous connaître, rien… Il faut que ça soit la révélation de Dieu qui confirme la Parole. Maintenant, déployez simplement votre foi et dites : « Seigneur Jésus, par la foi, je Te vois là. »

56.       Maintenant, ne priez pas pour vous-même. Je prie que Dieu ne me laisse pas voir des gens pour leurs propres intérêts. Ça sera pour quelqu’un d’autre. Nous allons bien doubler cela ce soir. Comme Il avait dit à Abraham qu’Il lui donnerait un fils, ensuite Il lui a dit de tuer ce fils, détruire cela afin qu’il puisse devenir le père des nations.

            Eh bien, au Nom de Christ, soyez respectueux. Maintenant, je–je vois vraiment… Vous pouvez relever la tête et regarder dans cette direction-ci. Je vois vraiment ici une femme. Elle est assise ici dans cette direction, comme je vois. Mais elle prie pour elle-même. C’est une femme… Elle est assise au bout du siège, juste ici. Elle a une tumeur dans le corps, elle prie pour ça. C’est vrai. Madame, juste au bout de la rangée là, c’est vrai, n’est-ce pas, madame ? Oui.

            Tenez, peut-être que vous le savez, peut-être. Vous n’êtes pas de cette ville non plus, n’est-ce pas ? Vous venez d’Edmonton, n’est-ce pas ? Si c’est vrai, levez la main. Voyez ? Eh bien, vous êtes–vous êtes guérie de toute façon. Votre foi L’a touché.

57.       Ayez foi. Croyez. Voici–voici une autre dame assise à côté d’elle. Non, c’est la deuxième après elle. C’est une femme… Elle prie pour quelqu’un d’autre. Elle prie pour sa fille. Et sa fille n’est pas dans cette ville-ci. Elle est dans–elle est dans une autre ville. Elle est à Regina. Et elle est tombée de quelque chose, on dirait d’un cheval. Elle s’est fracturé le dos et le cou. Alors, vous priez pour elle. C’est vrai, levez la main. Voyez ?

            Je ne lis pas sa pensée. Cessez d’avoir de telles pensées. Eh bien, ne pensez pas que vous pouvez cacher votre vie maintenant; en effet, vous ne le pouvez pas. Je saisis votre–votre pensée. Certainement pas. Afin que Dieu puisse être glorifié, cette petite femme assise à côté d’elle était en train de pleurer, parce qu’elle a aussi quelqu’un pour qui elle prie. N’est-ce pas vrai, madame ? Vous priiez aussi pour quelqu’un d’autre. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu ? Si Dieu me révèle ce pour quoi vous priez, allez-vous alors me croire de tout votre cœur et croire que Christ est ressuscité d’entre les morts ? Allez-vous accepter cela ?

58.       Je vois un homme. Et vous priez pour un homme, c’est votre mari. C’est vrai. Si c’est vrai, levez la main. Et cet homme n’est pas ici. Cet homme travaille, en voilà la raison. Et cet homme a une hernie et l’arthrite. Et vous priez pour lui à cause de cela. Si c’est vrai, levez la main.

            Croyez-vous maintenant ? Il y en a trois parmi eux qui sont assis là. Ayez simplement foi en Dieu. « Si vous pouvez croire, dit la Bible, tout est possible à celui qui croit. » Si vous pouvez croire. Mais c’est ça la première chose qu’il vous faut faire. Si vous pouvez croire…

            La jeune dame assise là aussi, priant pour son père qui a une dépression nerveuse, croyez-vous que Dieu le guérira, le rétablira ? Vous pouvez avoir cela si vous le croyez. Amen.

59.       Faites venir juste quelqu’un dans ces rangées-ci, de ce côté-ci, en croyant. Ou, est-ce déjà trois, n’est-ce pas, ou quatre ? Très bien. Prenons un autre, que ça fasse cinq, J–E–S–U–S. Que quelqu’un prie, croie de tout son cœur. Priez pour quelqu’un d’autre maintenant. Voyez simplement si Dieu est ici.

            Je vois, je ne sais comment, un lieu apparaître à distance. Il s’agit d’une femme. Elle est assise ici même. Redressez la tête, mes amis, cette femme est assise ici même à me regarder. Elle prie pour un bien-aimé qui n’est pas ici. Et cette personne est à l’ouest par rapport à ici. C’est en Colombie-Britannique. C’est vrai. C’est pour votre–c’est pour votre belle-sœur, pour elle que vous priez. Et une chose, c’est qu’elle est pécheresse, et son mari aussi. Est-ce vrai ? Avez-vous une carte de prière ? Vous n’en avez pas. Très bien. Vous n’en avez pas besoin. Si vous croyez de tout votre cœur, dites-leur d’accepter Christ et elle se rétablira. Amen. Croyez de tout votre cœur.

            Croyez-vous maintenant de tout votre cœur ? Maintenant, pécheur, arrêtez-vous juste une minute. Réfléchissez. Qu’est-ce ? Suivez cela avec la Bible. Comparez cela avec les Ecritures. Voyez si c’est ce que Jésus-Christ a fait. Voyez si c’est vrai. Voyez s’Il a promis de faire cela.

            Maintenant, tenons-nous tranquilles juste une minute et réfléchissons. Inclinons la tête un instant.

60.       Maintenant, Christ, notre Père céleste, Tu es ici. Tes Paroles sont vraies, que le monde entier croie cela ou pas. Tu n’es pas tenu, après avoir fait de telles choses. Tu es ici.

            Comment est-ce possible, alors que je me tiens ici proclamant Ton Nom, prêchant la Bonne Nouvelle, appelant les pécheurs à la repentance, sachant que le grand jour vient, voyant que Tu ouvres les oreilles des sourds, Tu fais voir les aveugles, Tu fais marcher les boiteux, Tu fais tout, exactement comme Tu avais dit que Tu ferais ? Tu as fait cela à la jonction du temps, quand–quand le monde antédiluvien a été détruit, Tu avais fait cela juste en ce temps-là. Tu avais placé des signes et des prodiges devant Israël, avant–avant qu’il sorte de–de l’Egypte. Tu as accompli des signes et des prodiges juste avant la Venue de Christ. Et aujourd’hui, voici cela revenir, Tu envoies des signes et des prodiges.

            Que les gens réfléchissent là-dessus. Que les pécheurs et les membres tièdes de l’église réfléchissent profondément ce soir, qu’ils se tiennent tranquilles juste un instant; et que, dans l’intégrité de leur cœur, ils T’acceptent maintenant même comme leur Sauveur, pendant qu’ils reconnaissent qu’ils sont dans la Présence de Quelque Chose. Ô Dieu, qu’ils soient juges, comment ils Te jugent. Je prie qu’ils Te trouvent juste aux termes de leur jugement et qu’ils disent que c’est vrai, et qu’ils implorent la miséricorde pour leurs âmes.

61.       Et pendant que nous avons nos têtes inclinées, je me demande ce soir si vous voulez bien lever la main et dire : « Frère Branham, souvenez-vous de moi dans la prière maintenant même. Je veux maintenant croire au Seigneur Jésus.» Que Dieu vous bénisse, sœur. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, madame, et que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu                                                                                                                                                                   vous bénisse, vous, là derrière. Que Dieu vous bénisse là, madame, et vous, et vous, monsieur, et vous, dans l’allée centrale, que Dieu vous bénisse, et vous.

            Et l’allée droite, levez la main… Que Dieu vous bénisse, monsieur. Vous voulez accepter Christ. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu te bénisse, petit garçon. Que Dieu vous bénisse, monsieur.

            Au balcon, à ma droite, voudriez-vous lever la main ? Quelqu’un qui dira : « Je sais, Frère Branham, qu’en étant qu’un membre de cette petite vieille église, ça ne me fera aucun bien. » Eh bien, pour vous, cela ne fera pas plus que d’avoir des funérailles gratuites, ici dans le cimetière. C’est tout.

            Mais permettez-moi de vous dire quelque chose, frère. Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut comprendre ; il n’y a aucun moyen pour vous de comprendre ces choses spirituelles à moins que vous naissiez de nouveau.

            Que Dieu vous bénisse, monsieur. Il faut être un vrai homme pour faire cela. Certainement. Quelqu’un d’autre qui dirait : « Je lèverai la main », là au balcon à droite, ici. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, monsieur. C’est ça, de vrais hommes. C’est ça, de vrais hommes. Que Dieu vous bénisse ici, madame. C’est ça. Il faut être une véritable dame pour faire cela. Il faut plus que le simple fait d’être une femme ; il faut être une dame pour–pour admettre qu’on a tort, pour accepter cela. Celui qui couvre ses péchés ne prospérera jamais. Celui qui confesse ses péchés obtiendra miséricorde.

62.       Au balcon, à ma droite… à ma gauche maintenant… Qu’en est-il ici ? Y en a-t-il qui aimeraient lever la main là et dire : « Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi. J’accepte maintenant Christ, et je veux naître de nouveau. Je veux me débarrasser de ma qualité de membre. Je veux être rempli de l’Esprit de Dieu. Et je veux une véritable expérience avec Christ. Je Lui demande d’user de miséricorde envers moi maintenant, pendant que Sa Présence est ici, et je La reconnais par des signes et des prodiges qu’Il a promis d’accomplir. Souvenez-vous de moi, Frère Branham, et priez pour moi. Je lève ma main. » Allez-vous le faire ?

            Que Dieu vous bénisse, monsieur. Tenez-vous tranquille. Que Dieu vous bénisse, monsieur. C’est ça. Tenez-vous tranquille dans votre cœur. Que Dieu vous bénisse, monsieur. C’est un bon… Quelqu’un d’autre ? Tenez-vous tranquilles. Que Dieu vous bénisse. Réfléchissez dans votre cœur… L’homme assis par terre, que Dieu vous bénisse aussi.

63.       Quelqu’un, n’importe où dans la salle, homme, femme, ou enfant, qu’il lève la main, quelqu’un qui n’avait pas levé la main, et qu’il dise : « Frère Branham, souvenez-vous de moi dans la prière, maintenant même. Je veux croire en Christ. » Que Dieu vous bénisse, là derrière, monsieur. Je vois votre main. C’est une chose réelle. Evidemment, Dieu voit cela.

            Qu’est-ce que cela va… ? Vous direz : « Eh bien, si je suis davantage convaincu… » C’est peut-être la dernière fois qu’il vous est permis de vous tenir tranquille. Avant l’aube, vous pourrez voir un médecin venir en toute hâte pour dire : « Il est trop tard : attaque cardiaque. C’en est fini de lui. » Oh ! combien ces paroles retentiront dans vos oreilles, ami, si vous n’êtes pas chrétien ! Ne voudriez-vous pas maintenant, pendant que vous avez toutes vos facultés, que vous jouissez du bon sens et que vous êtes capable de lever la main, ne voudriez-vous pas lever cette main de votre côté vers Jéhovah Dieu qui vous a créé et dire : « J’ai tort et je confesse mes péchés, j’implore la miséricorde, ô Dieu. Ici, dans Ta Divine Présence, j’implore la miséricorde. Je ne lève pas la main vers frère Branham. Je lève la main vers Toi, Christ. Je veux simplement que frère Branham prie pour moi, parce que je sais que cet Esprit de Christ est ici dans la salle. Et on dirait qu’Il opère à travers lui maintenant, et j’ai besoin de ses prières pour moi, qu’on me rappelle à Ton souvenir, afin que je ne tombe pas sous la condamnation, mais que j’entre au paradis avec Toi. » Voudriez-vous lever la main, quelqu’un d’autre qui ne l’avait pas fait depuis que nous avons fait l’appel ? Que Dieu vous bénisse. C’est bien.

64.       Juste un autre avant de terminer… Tenez-vous tranquilles. Que Dieu te bénisse, petit garçon là. Que Dieu soit avec toi, mon petit chéri. Jésus a dit : « Laissez venir à Moi les petits enfants. Ne les en empêchez pas, car c’est à eux qu’appartient le Royaume. » Quelqu’un d’autre juste avant de clôturer ? Que Dieu vous bénisse, fils. Quelqu’un d’autre ? Que Dieu vous bénisse, monsieur, là derrière. C’est bien. C’est bien.

            Si–s’il me–m’arrive de ne pas voir une main, Dieu la verra. Il voit cela et met cela sur… Vous direz : « Cela change-t-il quelque chose, Frère Branham ? » C’est ça qui fait la différence entre la vie et la mort. Juste… Jésus a dit : « Celui qui écoute Mes Paroles et qui croit en Celui qui M’a envoyé a la Vie Eternelle. »

65.       A cause de mêmes signes que vous voyez être accomplis ici même, ils ont taxé Jésus de diseur de bonne aventure, de Béelzébul. Et Jésus a dit : « Eh bien, quand vous–vous dites cela à Mon sujet, cela vous sera pardonné. Mais quand le Saint-Esprit viendra faire cela, prononcer une parole contre Cela ne vous sera jamais pardonné. » Combien plus glorieux cela l’est maintenant qu’alors !

            Nous vivons dans une génération faible et adultère qui condamne Cela, qui s’En éloigne, qui rejette Cela et qui renie complètement la paix et réclame le jugement. Non pas parce que je me tiens ici, ni à cause de cette salle, c’est à cause de la résurrection de Christ.

66.       Très bien. Je vais demander à ceux qui ont levé la main de bien vouloir se tenir debout juste un instant pour la prière. Tenez-vous simplement debout si vous le pouvez. C’est bien. C’est bien. Soyez sincère. Que chaque personne qui a levé la main se tienne debout. C’est bien. Tenez-vous directement debout, tout celui qui a levé la main. Tenez-vous debout en guise de témoignage pour Christ, que maintenant vous voulez être désormais Son serviteur.

            Qui sait si, avant l’aurore, il ne pourrait pas y avoir un temps… Que Dieu vous bénisse, vous deux, je pense, l’homme et la femme indiens là, que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre maintenant ? C’est bien. Tenez-vous debout. C’est bien. Tenez-vous bien debout.

67.       Pourquoi vous ai-je demandé de vous lever ? Jésus a dit : « Celui qui Me confessera devant les hommes, Je le confesserai devant Mon Père et devant les saints anges. » Est-ce vrai ? Dieu l’a promis.

            Maintenant, tout le monde qui est debout… Et vous qui n’avez pas levé la main et qui sentez maintenant que vous devriez le faire, voudriez-vous vous tenir debout, implorer simplement la miséricorde ? Encore quelques minutes, je crois que vous allez voir des choses glorieuses et extraordinaires que notre Seigneur a accomplies ce soir dans la ligne de prière.

            Voudriez-vous maintenant vous tenir debout, après que vous avez vu Sa Présence ici et que vous savez qu’Il est ici ? Regardez, le témoignage du Saint-Esprit est ici. Le monde scientifique dit que cela est ici. La Bible dit que cela est ici. Qu’allons-nous faire à ce sujet ? Allons-nous tourner le dos à cela et nous en éloigner, disant : « Eh bien, je suis presbytérien ; je suis luthérien ; je suis pentecôtiste; je suis tout aussi bon que n’importe qui d’autre » ? Oh ! frère, ça, c’est de l’égoïsme. Si, dans votre cœur, vous n’êtes pas né de nouveau, de l’Esprit de Dieu, vous feriez mieux d’être sincère maintenant même. Vous êtes dans la Présence de Christ.

            Très bien. Maintenant, à ceux qui sont debout, inclinons la tête pour la prière.

68.       Adorable Père, grâce à la prédication de la Parole, ces gens-ci se tiennent tranquilles. Ils se tiennent comme la mer s’était tenue pour observer les œuvres de Dieu. Leurs émotions sont maintenant tranquilles. Leurs cœurs sont ouverts ; leurs oreilles écoutent. Leurs esprits arrivent à une conclusion. L’ennemi les a quittés. Ils veulent entendre un mot de Ta part, leur annonçant la paix dans le cœur. Et comme je leur cite Ta Parole, puisse le Saint-Esprit confirmer cette Parole avec la paix pour tout celui qui est debout. Accorde-le, Seigneur.

            Et comme Toi, le Grand Maître de la Vie, Tu as dit : « Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit en Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. » Combien doux est l’écho de ces Paroles dans nos oreilles ! Oh ! comme la foi peut prendre position sur le Rocher des âges quand les vagues de doute frappent à sa base et qu’elle peut redresser la tête vers le ciel, vers le Dieu qui a dit : « Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi, vivra quand bien même il serait mort. Quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. » La foi saisit cette lueur. Et puisse cela être saisi ce soir par chaque cœur qui se tient tranquille, qui passe maintenant de la mort à la vie.

            Et le Grand Saint-Esprit, qui peut discerner le cœur de l’homme, comme Tu as promis de le faire, comme Tu as dit que ces miracles s’accompliraient ici, et nous sommes dans les derniers jours, et le monde entier est nerveux et bouleversé. Les hommes vivent comme s’ils resteraient éternellement ici. Nous ne savons pas quand nous serons appelés à répondre au Jugement. Que ferons-nous alors ?

69.       Et ces gens ont solennellement confessé leurs torts, ils se tiennent debout pour demander pardon. Ô Dieu, pardonne-leur. Et puissent-ils se trouver une bonne église spirituelle quelque part, dans le parage, être baptisés, se débarrasser de leurs péchés, invoquer le Nom du Seigneur, être remplis du Saint-Esprit, et mener une vie paisible sur cette terre et dans la Gloire, être présentés là.

            Et si jamais je ne les revois avant ce jour-là, puissent-ils tous être présents là, rendant gloire à Dieu, car je le demande au Nom de Christ. Amen.

70.       Que Dieu vous bénisse, maintenant. Et alors qu’ils s’assoient, que quelqu’un à côté d’eux leur serre la main et leur donne une main d’association. Ceux qui se sont tenus debout, que certains parmi vous les chrétiens leur disent : « Que Dieu vous bénisse, mon ami chrétien. » Marchez… Restez simplement assis là, retournez-vous et serrez la main à ceux qui s’étaient tenus debout, car ils sont vos frères et vos sœurs en Jésus-Christ. Que Dieu vous bénisse.

            Quel merveilleux moment ! Je ne sais pas si vous pouvez sentir cela ou pas, mais je ne sais comment, au fin fond de mon âme, il y a une paix qui dépasse tout entendement… Pouvez-vous sentir l’Esprit de Dieu ? Croyez-vous qu’Il est ici, cet Esprit doux, calme et humble ? Alors, je vais prier pour les mouchoirs.

71.       Maintenant, Adorable Seigneur, un jour, alors qu’Israël traversait le Jourdain, le Jourdain, ou plutôt la mer Rouge, premièrement, la mer faisait obstacle à la voie de Dieu. Les enfants de Dieu se dirigeaient vers la Terre promise. Et la mer Rouge leur barrait la route. Un écrivain a dit que Dieu a baissé le regard à travers cette Colonne de Feu avec des yeux courroucés, la mer eut peur et refoula ses vagues, et Israël traversa vers la Terre promise, à sec, au fond de la mer.

            Ô Dieu, ce soir, alors que je prends ces petits signes, ces mouchoirs, pour ce vieux papa qui est là, aveugle, assis dans un coin donnant des coups… avec sa canne, pour cette mère-là avec ce petit enfant malade, Tu les connais tous. Et je prie, Père céleste, que quand ces petits signes seront posés sur eux, que le Saint-Esprit baisse le regard à travers le Sang de Jésus, que la maladie ait peur et recule. Et qu’ils traversent vers la promesse de la bonne santé que Dieu leur a donnée. Car c’est dans ce but que nous envoyons ces mouchoirs, au Nom de Jésus. Amen.

            Très bien. Les cartes de prière. Que leur avez-vous donné ? Hein ! I ? Où ? 1 à 100. Très bien. Les cartes de prière série I ont été distribuées aujourd’hui. I, comme 1. I-1, qui a ça, qu’il lève la main. Numéro 1 ? Numéro 2, 3…

72.       [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… réclamer la guérison. Ce prédicateur baptiste continuait à dire : « Que ce guérisseur vienne. Laissez-moi le voir accomplir cela. » Eh bien, je n’ai rien contre les baptistes ; je suis moi-même baptiste. Mais laissez-moi vous poser une question : Cela ne ressemble-t-il pas au diable ? Change ces pierres en pain. Dieu soit béni, change ces pierres en pain et je croirai en Toi. » Regardez le diable, il a mis un lambeau autour de la tête de Jésus, il L’a frappé à la tête, disant : « Toi, le prophétiseur, dis-moi qui T’a frappé, je croirai en Toi. » Voyez ? C’est le même démon. Voyez ?

            Mais cet homme était simplement possédé d’un mauvais esprit. Alors, j’ai dit : « Je ne prétends pas guérir les gens. » J’ai dit : « Ma langue… mes livres sont prom… étaient publiés dans environ dix-sept différentes langues dans le monde en ce temps-là ; il y a environ trente-sept différentes langues aujourd’hui. » J’ai dit : « A aucun moment, jamais je n’ai dit que je pouvais guérir les gens. Personne d’autre ne le peut. C’est votre propre foi dans une œuvre achevée. » Combien comprennent cela ? Qu’ils lèvent la main. C’est votre…

73.       [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… priver les gens. Je faisais simplement venir les gens, et j’ai simplement une vision pour chacun d’eux, j’examine cela de fond en comble, je vois s’il y a quelque chose dans leur vie… Et vous avez été dans des réunions. Combien ont été dans des réunions et ont entendu les gens dire qu’ils étaient des pécheurs et qu’ils vivaient avec la femme de quelqu’un d’autre ou vice-versa, et de mauvaises choses qu’ils avaient faites, et leur vie n’en était pas purifiée ? Combien ont été dans des réunions et ont entendu cela ? Levez la main. Eh bien, assurément. Voyez ? Cela était directement dévoilé.

            Et à cause de cela, les gens avaient même peur de venir à l’estrade, et des choses comme cela. En effet, cela n’a jamais failli une seule fois. Que ce soit en Afrique, en Inde, où que ce soit, c’est parfait à chaque coup. Une fois le discernement effectué, des dizaines de milliers tombaient aux pieds de Jésus. Mais ici, on nous a enseigné l’imposition des mains. C’est ce qu’Il m’a dit de faire : « Prier pour les gens. » Là, une fois cela accompli, je n’offre qu’une prière pour tout le monde ; et les gens quittent chaque fauteuil roulant et…

            Eh bien, à Durban, en Afrique du Sud, on avait pris sept grands camions à bétail pleins de béquilles, de fauteuils roulants, et autres choses ramassées par terre après une seule prière.

74.       Combien connaissent F.F. Bosworth ? Faites voir la main. Pratiquement vous tous. Ce saint vieil homme pieux a estimé à vingt-cinq mille les guérisons extraordinaires à la suite d’une seule prière. Et une année plus tard, le journal de Durban écrivait à ce sujet. Il a dit qu’on avait amené, j’oublie le nombre de chargements d’armes à feu, de montres et autres, provenant de la tribu de Shanghaï, qui ont été ramenés depuis les–les réunions. Absolument, les gens… les païe… Ils ont conservé leur salut.

            Eh bien, je suis dans une assistance mixte. Je parle juste un instant dans le but de permettre à cette foule de venir ici. Je vais vous raconter quelque chose. Eh bien, écoutez très attentivement. Maintenant, mes amis méthodistes, mes amis baptistes, mes amis presbytériens, mes amis pentecôtistes, vous êtes tous mes amis. Vous êtes les enfants de Dieu. J’aimerais vous dire quelque chose. Quand j’étais en Afrique, en Afrique, ces femmes étaient venues là tout aussi nues qu’elles étaient, des jeunes femmes, avec juste un petit morceau d’habit suspendu devant. Et elles portaient des tatouages; elles étaient chrétiennes. Mais que serait-il arrivé si on leur avait remis un tract ?

75.       Et juste pendant qu’elles étaient là, et après que cet homme eut été guéri, elles se tenaient là, alors j’ai dit : « Maintenant, combien L’acceptent ? » Cela devait être interprété par quinze différents interprètes. Alors, trente mille se sont levés et ont accepté Christ en une fois. Ils ont pensé que c’était peut-être juste pour la guérison du corps. Frère Baxter, je pense, votre propre jeune homme du Canada, un merveilleux homme de Dieu, il–il a dit : « Frère Branham, ces gens, à mon avis, pensent qu’il s’agit de la guérison du corps. » Il a dit : « Reprenez cela. » Et nous avons dit : « Il ne s’agit pas de la guérison du cops, mais d’accepter Christ comme Sauveur. » Et après que cela eut été répété, ils ont même brisé leurs petites idoles et tout par terre. Et trente mille ont reçu Christ en une fois. Vous savez quoi ?

76.       Eh bien, écoutez. C’est une assistance mixte, et vous écoutez un médecin. Je suis votre frère. Ces femmes nues, cinq minutes avant cela, ne savaient pas qu’elles étaient nues. Et aussitôt que le Saint-Esprit avait frappé ce groupe, ces femmes ont croisé leurs bras et ont quitté le lieu. Eh bien, vous voulez me dire que dans vos églises modernes, vous laissez vos femmes se déshabiller, jusqu’ici, là, à moitié nues devant les hommes, et vous me dites que c’est du christianisme ? C’est pire que chez les païens. Certainement. Une païenne peut s’en rendre compte et accepter Christ ; elles couvriront leur nudité et vous, vous cherchez à vous exposer pour être modernes. Je n’ai pas l’intention d’être rude, mais frère, l’un de ces jours, je dois me tenir en Présence de Dieu et rendre compte de tout ce que je dis. Et je ne vais rien ménager ; et je vais le dire. Plutôt que de devenir civilisés, nous devenons des idiots. C’est vrai. La civilisation est détruite.

77.       Comment les gens peuvent-ils… Voulez-vous me dire que vous, les femmes, vous pouvez sortir ici avec toutes ces bandelettes autour… et vous dites que vous vivez dans un monde moderne et civilisé ? Alors que les païennes habillées comme ça se mettent directement en ordre avec Christ, et elles cherchent à se couvrir jusqu’à se revêtir. On dirait que vous redevenez des païens plutôt que des gens civilisés. Eh bien, vous savez que c’est la vérité. Et encore une petite chose. Je ne vois pas cela dans cette salle, mais beaucoup de femmes qui portent ce maquillage-ici, vous savez, une histoire noire au-dessus de vos yeux et tout. Savez-vous d’où ça vient ? C’est un trait du paganisme. C’est exactement de là que ça provient. Ils mettaient ces énormes os aux oreilles comme boucles d’oreilles, prenaient la boue et se maquillaient le visage et tout comme ça. C’est un trait du paganisme. Alors, nous autorisons cela dans nos églises. « Assurément, c’est en ordre. »

78.       « Oh ! ça importe peu, qu’on le fasse comme ça ; peu importe peu, qu’on le fasse comme cela. » Non, je sais que cela importe peu. Mais mettez-vous une fois en ordre avec Christ, et vous vous laverez le visage. C’est tout à fait vrai. Vous porterez vos habits et vous agirez comme une dame. Vous cracherez ce cigare de votre bouche, si vous êtes un diacre ou quelque chose comme ça dans l’église, et vous agirez comme un chrétien aussi. C’est tout à fait vrai.

            Je sais que c’est vraiment dur, mes amis, mais c’est la vérité. Et il faut parfois un médicament fort pour vous faire du bien. C’est tout à fait vrai.

            Maintenant, vous êtes en ligne. Je ne suis pas un guérisseur ; je suis votre frère. Je vous apporte le Message que Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts. Il est ici maintenant. Il est présent. Il est ici même sur l’estrade. Il est là où vous êtes. Tout ce que je peux faire, c’est une commission, prier et vous imposer les mains. Je le ferai en tant que votre frère et votre… et un serviteur de Christ. Allez-vous croire que Dieu vous guérira et que vous quitterez cette estrade, non pas en considérant des symptômes, mais en croyant que vous allez être rétabli ? Voulez-vous promettre cela à Dieu ? Levez la main si vous le voulez. Que Dieu vous bénisse. Vous êtes tenus de voir quelque chose de ce genre arriver. Absolument. Je sens simplement dans mon cœur ce soir, en tant que serviteur de Dieu, que quelque chose est sur le point d’arriver.

            Très bien. J’aimerais que vous priiez avec moi pendant que je prie. Maintenant, alors que vous venez, pour m’empêcher de… Ce discernement cherche à demeurer sur moi, et je veux qu’en passant, vous me disiez ce qui ne va pas.

79.       De quoi souffrez-vous, fils ? Des reins et du dos. Croyez-vous que Christ vous guérira, jeune homme ? Quel beau jeune homme très fort, comme ça, et de penser que le diable a affligé un tel jeune homme. Croyez-vous au Seigneur Jésus ? Etes-vous chrétien ? Croyez alors qu’Il va vous guérir. Laissez-moi tenir votre main juste pour établir un contact.

            Dieu bien-aimé, alors que je me tiens avec ce brave jeune homme fort ici, le diable cherche à briser ce… chrétien… Satan, tu es vaincu. Le Sang de Jésus-Christ suffit pour te chasser du corps de cet homme, et j’offre cette prière de la foi conformément à la commission de l’Ange. Au Nom de Jésus-Christ, quitte-le et puisse-t-il être rétabli. Amen.

            Je crois qu’aussi certainement que nous sommes des hommes, ici, nous serrant la main l’un à l’autre, vous serez rétabli. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère.

80.       Très bien. Quelle est votre maladie, papa ? Dans les reins ? A la… à votre gorge ? Papa, certains parmi eux peuvent dire : « Eh bien, vous êtes un vieil homme. Ça ne change rien. Abraham avait soixante-quinze ans avant que Dieu l’appelât. Croyez-vous que Christ vous rétablira ? Croyez-vous cela de tout votre cœur ?

            Bien-aimé Père céleste, je vois debout ici à côté de cet homme, assis ici en salopette, je pense à mon propre papa, il aurait probablement cet âge-ci, à peu près. Ô Dieu, je Te prie de lui venir en aide. Débarrasse-le de ce démon et rétablis-le. Accorde-le, Seigneur. Pardonne-lui chaque péché et chaque offense, et puisse-t-il être rétabli dès ce soir au Nom de Jésus. Amen.

            Maintenant, vous avez des habitudes telles que fumer et autres. Arrêtez donc cela et continuez à vivre pour Dieu ; vous vous rétablirez. Amen. Que Dieu vous bénisse. C’est ce qui cause des maux d’estomac et tout, le fait de faire cela. Très bien.

81.       Croyez-vous que Dieu vous guérira de votre maladie du cœur et vous rendra… Je l’ai déjà dit… Me croyez-vous ? Très bien. Croyez-vous qu’Il le fera ?

            Ô Dieu, notre Père céleste, je Te prie de guérir cette femme, de la rétablir complètement et de la débarrasser de toute cette maladie, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur. Allez donc en croyant. La Bible… Que m’a-t-Il dit ? Que dit la Bible ? « La prière de la foi sauvera les malades. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. » Amen. C’est Sa Parole.

82.       Quelle est votre maladie, sœur ? Des troubles intestinaux. Très bien. Croyez-vous que Dieu vous rétablira ?

            Ô Adorable Dieu, alors que cette précieuse sœur se tient ici, c’est la première fois pour moi de la rencontrer de ma vie, mais elle est venue sur cette estrade pour croire en Toi, se tenir devant cette assistance pour confesser sa foi en Toi. Elle est dérangée par des troubles intestinaux. Tu la connais, Seigneur. En tant que Ton serviteur, je maudis maintenant cette maladie, comme Ta Présence est ici, et je lui ordonne de la quitter, et puisse-t-elle commencer à se rétablir à partir de cette heure-ci, et que tout cela la quitte. Au Nom de Christ, je prie. Amen. Que Dieu vous bénisse, maman. Allez, et que le Seigneur vous bénisse. Très bien, sœur.

83.       Crois-tu que Jésus te rétablit, chérie ? Qu’Il bénisse ton petit cœur. On dirait des yeux vraiment faibles. Crois-tu que Jésus te rétablira ? J’aimerais te raconter quelque chose, chérie. Sais-tu que frère Branham, il y a longtemps, portait de très gros verres épais et qu’on devait me conduire çà et là ? Je ne voyais pas. Mais un soir, Jésus m’a guéri. Maintenant, pense à ça.

            Maintenant, sais-tu pourquoi Il m’a guéri ? J’ai une fillette à la maison, du nom de Sara. Elle a à peu près ta taille. L’autre jour, elle pleurait alors que papa partait. Elle disait : « Papa, tu es toujours parti. Pourquoi ne restes-tu pas avec moi à la maison ? » Mais Jésus savait qu’il me fallait venir ici pour prier pour toi, afin que tu sois guérie, vois-tu. Et c’est pour cela que je suis venu. Tu es une douce petite fille, et je crois que Dieu va te rétablir.

            Maintenant, Adorable Père céleste, alors que je tiens cette petite enfant dans mes bras et que je pense à mes petites Sara et Rebecca à la maison… Mais, ô Dieu, Tu as dit : « Celui qui n’abandonnera pas les siens pour me suivre n’est pas digne d’être Mon disciple. » Oh ! c’est vraiment une petite chose à faire, à l’idée que Tu as fait beaucoup pour nous. Et je bénis cette petite enfant. Et, ô Dieu, puissent ces mauvais yeux, puissent-ils devenir normaux. Qu’ils recouvrent une bonne vue et puisse-t-elle être bien portante. Et puisse, avant la fin de cette réunion, puisse-t-elle montrer qu’elle voit bien. Accorde-le, Père. Je maudis cette chose au Nom de Jésus-Christ, cette cécité à ses yeux. Amen. Sois bénie, chérie. Je crois que tu vas te rétablir. Crois-tu aussi cela, chérie ? Tu auras…?...

84.       Ta maladie, frère ? L’ouïe. Quelle oreille est-ce ? Les deux. Juste malentendant ? C’est vraiment… Vous comprenez à partir des mouvements des lèvres, je suppose donc. Oui, oui, oui. Mais pouvez-vous m’entendre parler maintenant ? Eh bien–eh bien, frayez-vous une voie, vous ne m’entendez pas. Allez-vous croire que Dieu vous accordera votre ouïe ?

            Père céleste, cet homme se tient là, entendant. La Bible dit qu’après que l’esprit de surdité eut quitté l’homme, il a entendu. Je le demande au Nom de Christ, que Tu lui accordes l’ouïe, il dit qu’il ne peut pas entendre à distance. Je Te prie de lui restituer cela ce soir et de le rétablir, par le Nom de Jésus-Christ, je le demande pour la gloire de Dieu, et je maudis cet esprit de surdité. Amen.

            Maintenant, je crois que vous allez être bien portant maintenant même. Allez là juste un instant. J’aimerais que vous vous retourniez et que vous me tourniez le dos juste une minute. M’entendez-vous maintenant ? M’entendez-vous maintenant ? M’entendez-vous maintenant ? Vous êtes bien portant. Gloire au Seigneur.

85.       C’est si simple. Où est la petite fille pour qui on a prié ? J’aimerais que sa mère l’examine juste dans quelques minutes.

            Quelle est votre maladie, monsieur ? Oh ! Croyez-vous que Dieu vous guérira et–et qu’Il placera dans votre corps cet organe pour qu’il remplace le capsule ? Croyez-vous que Dieu le fera ? Parfois, vous croyez que, si nous demandons à Dieu, Dieu le fera, qu’ainsi vous n’aurez plus à prendre cela ? Ne serait-ce pas merveilleux ? Le médecin dit : «Eh bien, vous êtes bien portant. Vous n’en avez plus besoin. » Ne serait-ce pas merveilleux ? Il serait aussi content à ce sujet, je pense.

            Maintenant, Père céleste, je prie pour ce cher homme. Et je demande que Ton Esprit fasse ce qui est… ce qui ne peut pas être fait par des hommes. Débarrasse-le de cette maladie, et puisse-t-il, à partir d’aujourd’hui, puisse-t-il commencer à recouvrer la santé, et puisse-t-il devenir, une fois de plus, fort et en bonne santé. Je le demande au Nom de Jésus. Amen. Je ne peux rien montrer, ni rien mais nous croirons. Allez-vous croire avec moi ? Que Dieu vous bénisse, mon frère.

86.       Très bien. Voici un petit garçon qui a juste le parler. Inclinons la tête juste un instant, s’il vous plaît. Tout le monde, inclinez la tête. C’est un petit enfant. Est-ce vous son père ? Très bien. Croyez donc de tout votre cœur.

            Adorable Sauveur, ce petit garçon se tient ici, et qu’en serait-il si on était comme ce petit ? Et peut-être que ce petit enfant est trop petit pour avoir une quelconque conception de la véritable foi, mais juste comme quand papa lui promet un–un tout petit costume ou quelque chose comme cela, il attend impatiemment de recevoir cela. Et peut-être… Nous prions qu’il attende impatiemment maintenant même la guérison pour son parler. Et la Bible dit qu’après que l’esprit de mutisme eut quitté l’homme, il parla.

            Et Tu es Dieu. Et nous Te prions, non pas que nous cherchons des signes, non, Seigneur. Nous croyons Ta Parole. Nous T’avons vu Te tenir ici. Tu connais le secret de chaque cœur. Et juste à cette minute-ci, Tu peux tout révéler aux gens ici, parce que Tu es celui qui révèle les secrets des cœurs des hommes. Daniel l’a dit. Et la Bible le dit. Et nous savons que c’est vrai.

87.       Tu connais le secret du cœur. Il y a dix ou onze ans, Tu m’as permis de dire à cette même audience que cela aura lieu, et ils sont en vie aujourd’hui pour voir que cela s’est accompli. C’est assez pour nous, Seigneur. Nous croyons.

            Et maintenant, afin que l’on puisse dire que le petit enfant, qui est trop petit pour pouvoir avoir la foi, à peine, pour lui-même… que son parler devienne clair maintenant, Seigneur, de sorte qu’il puisse parler. Je le demande au Nom de Christ.

            Maintenant, avec chaque tête inclinée, tout le monde en prière. J’aimerais prendre ce petit garçon… Quel est son nom ? Philippe.

            Philippe, une fois, un homme du nom de Philippe est allé prendre un autre homme appelé Nathanaël. Et il l’a amené. Si Jésus arrive à te guérir, peut-être que Tu peux amener un autre petit garçon, si tu peux lui parler. Je veux que tu dises ce que je dis, Philippe. Eh bien, je veux que tu croies maintenant, chéri.

            Dis : « Je [Le petit garçon dit : « Je » – N.D.E.] aime [« aime »] Jésus. [« Jésus »] » Maintenant, dis-le à haute voix : « Je » [« Je »] aime [« aime »] Jésus. [« Jésus. »] » Très bien. Redressez la tête. Philippe, dis : « Je » [« Je »] aime [« aime »] Jésus. [« Jésus. »] Gloire [« Gloire »] à Dieu. [« à Dieu. »] » Amen. C’est fini, frère. Tout le monde, disons : « Gloire au Seigneur, pour Sa bonté et Sa miséricorde. »

88.       Votre maladie? ...?... votre mal d’estomac… Très bien. Adorable Père céleste, nous Te remercions de ce que cette malédiction a été ôtée en un instant. Tu es Christ, le Dieu Omnipotent, Omniprésent. Ôte cette gastrite de notre frère que voici, qui est ici et qui confesse qu’il est malade et qu’il croit en Toi. Il s’est avancé devant cette assistance pour confesser sa foi. Puisse-t-il être guéri ; je le demande au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, mon frère.

89.       Très bien. Très bien, frère. Que voulez-vous que Dieu fasse pour vous ? Le cancer. Bien, c’est une chose noire. Mais Christ est le Guérisseur. Maintenant, regardez. Ne considérez pas le cancer ; considérez ce que Dieu a dit. Dieu a dit : « Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies. »

            Maintenant, Adorable Seigneur, nous détournons notre regard du cancer ce soir. Nous détournons notre regard de symptômes. Nous regardons vers Toi, Seigneur. Jonas, dans le ventre du gros poisson, a dit : « Encore une fois, je tournerai mon regard vers Ton saint temple. » Et maintenant, encore une fois, nous tournons le regard vers Christ, imposant les mains à cet homme malade, maudissant ce démon appelé cancer, et réclamant que sa vie soit épargnée, par le Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère. Je crois que vous serez bien portant. Croyez-vous aussi cela ? Que Dieu vous bénisse. Vous pouvez alors avoir ce que vous demandez.

90.       Croyez-vous que Christ vous rétablira, frère ? Maintenant, regardez. Avez-vous vu ce qu’Il a fait–fait ici dans des réunions ? Vous savez que cela doit provenir d’une puissance surnaturelle. Cela ne relève pas d’un homme. Non. Vous avez un souffle au cœur, une palpitation, c’est pire quand vous êtes couché que quand vous êtes debout. Voyez ? C’est vrai. Voyez, c’est ici même devant moi. Je vous vois couché sur un lit, essayant de vous maintenir comme ceci, c’est pourquoi j’étais... j’ai dit cela. Eh bien, c’est vrai. Voyez ? Il est présent.

            Maintenant, Il peut me révéler votre maladie et tout… Si je lève les yeux ici un instant, cela ne ferait que continuer. Mais le problème est que je ne peux pas guérir, parce qu’Il l’a déjà fait. C’est pour vous amener à croire qu’Il l’a déjà fait et qu’Il est ici maintenant, disposé à vous guérir. Oh ! n’est-ce pas merveilleux ? « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. » C’est ce qu’Il a dit.

            Adorable Seigneur, Tu ne fais acception de personne. Je Te prie de guérir cet homme de la maladie de cœur et puisse-t-il se rétablir ; et que cela ne le dérange plus jamais à partir de ce soir ; au Nom de Jésus, je prie. Amen. Que Dieu vous bénisse, mon bien-aimé frère, sois rétabli.

91.       Très bien, monsieur. Je vois que vous avez la paralysie. Croyez-vous que Christ vous guérira ? L’acceptez-vous comme votre Guérisseur ?

            Bien-aimé Père céleste, je prie pour ce cher homme. Il tremble maintenant de paralysie. Et nous savons qu’il n’y a que Toi qui peux faire cela. Et je Te prie d’accorder cela, et puisse sa foi se détourner pour regarder au Ciel, croire en Toi, et puisse-t-il se rétablir, qu’il revienne nous montrer qu’il est bien portant et normal ; au Nom de Jésus, je prie. Amen. Maintenant, croyez-vous de tout votre cœur ? Très bien, monsieur. Allez et recevez votre guérison.

92.       Très bien. Oh ! la la ! Un petit garçon estropié ? Très bien. Regarde ici, fiston, juste un instant. Ce petit garçon souffre de paralysie cérébrale. Maintenant, j’aimerais que vous incliniez la tête pendant que je prie pour ce petit garçon.

            Adorable Père céleste, au Nom du Seigneur Jésus, je prie pour ce pauvre petit garçon. Sans vision, sans examiner sa vie, je Te demande seulement d’être miséricordieux et d’accorder, Seigneur, que ce petit garçon commence à marcher de lui-même et qu’il soit bien portant. Oh ! que sa famille voie que son état s’améliore à chaque heure, et puisse-t-il être complètement rétabli. Nous le demandons au Nom de Christ. Amen.

            Maintenant, je vais vous demander d’incliner la tête juste un instant. Je vais juste vérifier si ce petit garçon… Ses parents sont-ils ici, les membres de sa famille ou quelqu’un qui est… ? Sa mère se tient ici. Très bien. Maintenant, je veux juste t’examiner. Maintenant, que tout le monde ait la tête inclinée, sauf la maman.

            Maintenant, fiston, tu crois que si tu vas… Jésus va te rétablir ? J’aimerais que tu marches avec frère Branham. Déplace simplement tes pieds toi-même, avance ton pied comme ceci, du coup. C’est ça. C’est un garçon. Amen. Maintenant, assistance, vous pouvez redresser la tête. Maintenant, viens, marche avec moi. Le voilà. Louons tous le Seigneur. Gloire au Seigneur ! Il sera bien portant.

93.       Levons les mains et rendons gloire à Dieu. Père céleste, nous Te remercions ce soir pour Jésus, le Fils de Dieu, qui guérit les malades. Et nous ne réclamons pas les miracles, Seigneur, mais Tu es si bon que Tu nous prouves que Tu es ici, par des signes et des prodiges du Dieu vivant. Et nous Te remercions de tout notre cœur. Et nous témoignons notre appréciation au mieux de notre connaissance en Te louant. Oh ! reçois-nous, Seigneur Jésus, et bénis-nous. Et nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

94.       Très bien. Votre maladie, mon frère ? La maladie de cœur. Etes-vous Indien ? Je me le disais. Je vous voyais assis là. Eh bien, je peux dire beaucoup de choses maintenant. Mais savez-vous que c’est à vous que Dieu a donné ce pays-ci, à vous ? Dans mon pays, les Indiens sont maltraités : ils perçoivent une pension modique. L’autre jour, j’en ai transportés quelques-uns du Canada, jusqu’à Maine. Je sais que vous n’avez pas assez d’argent. Il vous faut travailler, gagner votre vie. Ça, c’est la politique, les nations, mais il y a ici maintenant Quelqu'un qui vous aime, qui vous traitera comme il faut. C’est votre Sauveur, Christ. Aussi certainement que je me tiens ici, je crois qu’Il va vous guérir de cette maladie de cœur.

            Adorable Jésus, alors que je tiens par la main ce natif du Canada, ce véritable Canadien, celui à qui Tu as donné le pays pour… Et je prie pour lui, Dieu bien-aimé. Il est notre frère. Il est ici avec l’une des maladies les plus dangereuses qui existe, la maladie de cœur. Mais c’est un chrétien, et il croit en Toi. Et je Te prie de tout mon cœur de le guérir et d’ôter cette maladie de cœur. Que cela ne le dérange jamais désormais. Je maudis cet ennemi dans son corps, appelé maladie de cœur. Au Nom de Christ, que cela le quitte et aille dans les ténèbres du dehors, et que ça ne le dérange jamais. Amen. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Je crois que ça sera fini maintenant.

95.       Votre maladie, sœur ? Croyez-vous que Christ vous guérira ? Adorable Dieu, cette chère femme se tient ici, croyant de tout son cœur que Tu la guériras et Tu la rétabliras. Je demande pour cette hypotension... qu’elle soit rétablie et qu’elle mène désormais une vie normale. Accorde-le, Père, au Nom de Christ, je prie. Amen. Que Dieu vous bénisse…?... Votre…?... A vos pieds. Croyez-vous, mère, que Dieu vous rétablira ?

            Adorable Sauveur, je place ma main sur la main de cette chère femme. Ses jambes et ses pieds cèdent. Mais puisse-t-elle ce soir s’appuyer sur le bras éternel. Et puisse le Dieu du Ciel, qui a envoyé Christ mourir à notre place, lequel a été blessé pour nos péchés, et par Ses meurtrissures nous avons été guéris, puisse cela être appliqué à son cas ce soir, alors que j’offre cette prière de la foi, au Nom de Jésus. Amen.

            Que Dieu vous bénisse, sœur. Sans agitation, ni rien, mais je crois que vous allez vous rétablir. Est-ce votre mari ? Vous…

96.       Quelle est votre maladie ? L’asthme. Cela vous fait haleter et tousser. Croyez-vous qu’Il vous rétablira ? Votre esprit témoigne que vous êtes chrétien. Croyez donc en Lui de tout votre cœur et vous serez rétabli.

            Bien-aimé Père céleste, alors que je tiens cette petite Indienne canadienne par la main, je Te prie de la guérir. Dieu Tout-Puissant, Toi qui as ressuscité Christ d’entre les morts, accorde-lui la guérison. Il n’y a pas de médicament contre cela. Les médecins ne peuvent rien trouver, même pas de remède. Mais, Seigneur, nous ne venons pas ce soir pour un remède, nous venons pour une cure, Christ, le Fils de Dieu. Maudit soit cet asthme qui est sur cette femme et puisse-t-elle être rétablie, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur. Maintenant, allez et soyez bien portante au Nom de Christ. Très bien.

97.       Evidemment, nous pouvons voir que cette femme est aveugle. Je viens de prêcher il y a quelques instants sur l’aveugle Bartimée. Maman, croyez-vous que Christ vous guérira ? Je ne peux que prier ; c’est Christ qui guérit ; nous le savons. Inclinons la tête juste un instant. Alors que je regarde son tendre et aimable vieux visage de mère, Dieu seul sait par quoi elle est passée. J’ai baissé mon regard sur sa pauvre petite main ridée. Sans doute qu’elle a tapoté les joues des petits enfants, elle a lavé leurs habits. Personne ne connaît le chagrin qui a traversé son front, à part Christ. Mais comme elle est une mère et qu’elle est une femme, je demande à Christ de faire quelque chose.

            Ô Adorable Dieu, Toi qui as créé les cieux et la terre, maudite soit la cécité qui est sur les yeux de cette femme. Et puisse-t-elle être guérie ce soir et puisse cet esprit de cécité qui est sur ses yeux commencer à quitter, et puisse la vue commencer à revenir à ses yeux en cette heure même.

            Adorable Père, Ton humble et inutile serviteur offre cette prière de foi ce soir au mieux de ma connaissance pour cette gentille et douce petite femme qui se tient ici. Maintenant, je réclame la vue à ses yeux au Nom de Christ. Maintenant, gardez vos têtes inclinées juste un instant. Je ne demande pas que cela soit fait comme signe, mais je demande que Christ veuille bien faire un petit quelque chose ici pour l’encourager. Une personne aveugle semble toujours être comme ça, oh ! tellement déchirée ou quelque chose comme cela, elle se retrouve simplement dans un monde obscur.

            Maintenant, que tout le monde soit vraiment silencieux et en prière, la tête inclinée. Maintenant, avez-vous vos yeux sur les sourcil… les sourcils sur vos paupières ? Maintenant, retenez cela juste un instant. Et maintenant, j’aimerais que vous regardiez droit vers moi, au Nom de Christ. Me voyez-vous ? Me voyez-vous ? Merveilleux. Touchez mon nez. Eh bien, que le Seigneur soit béni. Ouvrez les yeux, tout le monde. Elle voit. Le Seigneur l’a guérie. Touchez juste mon nez. Amen.

98.       Disons : « Gloire au Seigneur ! », tout le monde. Voyez-vous la lampe juste ici ? Tout… Eh bien, elle les compte…?... là et me les montre. Parcourez-le bien avec vos doigts et dites, comme en les pointant, afin que les gens puissent voir… [Les lampes ?] Oui, oui, oui. [« Là, et là, et là, et là. »] Disons : « Gloire au Seigneur ! » [L’assemblée dit : « Gloire au Seigneur ! » – N.D.E.] Amen.

99.       Qu’est-il arrivé ? Que Dieu vous bénisse, maman. Quittez directement l’estrade en vous réjouissant. Regardez, elle marche seule. Disons : « Gloire au Seigneur ! » Tout le monde. [L’assemblée dit : « Gloire au Seigneur! » – N.D.E.] Inclinons maintenant la tête et remercions-Le.

            Père céleste, nous Te sommes reconnaissants ce soir. Tu es… Tu restaures la vue aux aveugles. Et maintenant, Seigneur, nous savons que cette petite femme… Que ces yeux... continuellement. Alors que cet esprit a quitté, la vue commence à revenir à ses yeux une fois de plus, cela l’a exultée, Seigneur. Cela l’a réjouie. Cela nous réjouit. Je prie que cela continue à se développer, la vue à ses yeux, jusqu’à ce qu’elle soit complètement normale. Je le demande au Nom de Jésus et Te remercie pour ce que Tu as fait. Amen.

100.     Permettez-moi de vous expliquer quelque chose. Voyez, comme elle était aveugle, l’esprit de cécité a été chassé de ces–de ces yeux, en vue de la–la vision. Une fois l’esprit quitté… Regardez ça. Observez ceci. Qu’arriverait-il si j’avais autour de ma main un ruban transparent, qui bloque la circulation ? Eh bien, vous n’avez pas à m’ôter les doigts. Eh bien, que fait un médecin ? Il effectue une opération sur quelque chose, afin qu’il puisse voir ou sentir. Ce sont les seuls sens grâce auxquels il peut travailler, il peut voir, il peut sentir.

            Maintenant, si c’est la cécité, ces nerfs sont morts au niveau des yeux. Maintenant, qu’est-il arrivé quand les nerfs étaient morts ? Ils ne sont pas morts dans tout le corps. Que se passe-t-il dans les oreilles de ce petit garçon qui, il y a quelques instants, était sourd ? Que se passe-t-il dans les cordes vocales du muet qui ne pouvait pas parler ? Ils disent que c’est mort. Ils ne voient pas sur quoi opérer. Il n’y a rien là sur quoi opérer. Ils disent que les–que les nerfs sont morts. Eh bien, pourquoi cela n’est-il pas mort dans tout le corps ? Pourquoi cela est-il mort uniquement là ?

101.     Maintenant, qu’est-ce ? La Bible dit que c’est l’esprit de cécité. Combien savent cela ? La Bible dit : « C’est un esprit de surdité, un esprit de mutisme. » Est-ce vrai ? Eh bien, l’esprit a bloqué la circulation. Maintenant, ôtez cela; évidemment, ça fera mal un petit instant, mais la circulation reprendra. Si la nature ne bute pas à un obstacle, elle agira parfaitement. Le démon bloque la nature. Et quand cela se fait, ça y est. Donc, ôtez la cause, la guérison est garantie. Est-ce vrai ?

            Maintenant, quand l’esprit de cécité est parti, elle a pu voir, c’est tout. Si elle continue à croire… Eh bien, dans environ 24h, elle verra mieux que jamais. Puis, dans environ 72h, elle peut devenir totalement aveugle. Puis, après cela, si seulement elle continue à croire, alors cela commencera à redevenir normal. Très bien, si seulement elle croit; ne doutez pas, mais ayez foi.

102.     Très bien. Votre maladie ? Croyez-vous que Dieu vous guérira ? Adorable Père céleste, je Te prie de guérir cette femme et de la rétablir. Ôte cette maladie de vésicule biliaire et guéris-la. Tu peux faire entendre les sourds, faire parler les muets, faire voir les aveugles, faire marcher les estropiés. Eh bien, Tu es Dieu. Tu discernes le cœur. Et « Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies. » Et ils savent que cet Esprit qui est en train de se mouvoir ici n’est pas de la télépathie mentale, ni celui du diseur de bonne aventure, ils savent que c’est Christ qui guérit. Et nous Te prions de la guérir, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur.

103.     Que voulez-vous que Jésus guérisse chez vous ? Voulez-vous… Quelle oreille est-ce ? Croyez-vous qu’Il va vous accorder l’ouïe, à cette oreille-là ? Si vous le croyez, Il le fera. Je–j’essaye d’arrêter et de former maintenant une ligne pour les miracles, ça ne devrait pas se faire. Voyez-vous ? Cette femme est sourde de l’oreille gauche. Depuis combien de temps n’entendez-vous pas de l’oreille gauche ? Quarante ans depuis qu’elle n’entend pas de l’oreille gauche. Combien croient que Dieu peut lui restituer l’ouïe à cette oreille-là ? Très bien. Inclinez simplement la tête juste un instant. Maintenant, soyez vraiment respectueux, s’il vous plaît, juste un instant.

            Maintenant, Adorable Père céleste, je comprends bien maintenant pourquoi Tu fais ceci, mais je Te demande encore une fois; cette femme ici souffre de l’arthrite et elle est sourde de l’oreille gauche. Pendant quarante ans, cette oreille a été sourde. Tu es Christ. Je Te prie de la guérir, Seigneur. Et nous ne demandons pas un miracle. Mais puissions-nous trouver faveur, Seigneur, afin que les gens puissent savoir que, lorsque Tu étais ici sur terre, on T’avait vu discerner les pensées des gens, ils ont reconnu et ils ont cru que Toi… ou ils pensaient plutôt que Tu étais un mauvais esprit. Ils ont taxé le Saint-Esprit qui était en Toi de chose impure. Et Tu as dit que c’était un blasphème contre le Saint-Esprit.

            Mais après que Tu as été crucifié et que le sang a été versé, alors, Il est venu accomplir Son œuvre sous le Sang versé; nous savons que le blasphème contre cela est impardonnable. Et nous prions, ô Dieu, que si quelqu’un parmi nous a de mauvaises pensées, que Tu nous pardonnes pour cela. Nous n’aimerions pas être trouvés dans cette condition-là, à Ta Venue, Seigneur, ou quand Tu nous appelleras de la terre.

104.     Mais afin que les gens puissent savoir que cet Esprit, qui peut connaître les secrets de cœur, est aussi Christ qui guérit… Et nous savons que le diable n’a pas le pouvoir de guérir ; il ne peut pas guérir. Car Dieu a dit : « Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies. » Donc, Satan ne peut pas guérir.

            Tout comme Jannès et Jambrès ne pouvaient pas ôter les–les… opérer la guérison. Ils pouvaient susciter des maladies, parce que c’était du diable, mais ils ne pouvaient pas ôter cela. Moïse et Aaron, seuls, pouvaient guérir, pouvaient soigner par Dieu. Ils pouvaient ôter le fléau et enlever la malédiction. Les magiciens pouvaient placer une malédiction, mais ils ne pouvaient pas l’ôter. Dieu est l’unique Guérisseur. Et maintenant, je Te prie d’accorder ces choses. Je crois que Tu accordes cela ce soir, afin que les gens puissent–puissent savoir que ce n’est pas une télépathie, c’est Toi qui permets que ceci soit fait pour Ta gloire. Je réclame l’ouïe à cette oreille-ci, au Nom de Jésus-Christ.

105.     Maintenant, avec vos têtes inclinées. Cette oreille-ci ? C’est celle-ci qui est sourde. Très bien. Pouvez-vous m’entendre maintenant ? Pouvez-vous m’entendre maintenant ? Très bien, vous pouvez relever la tête. Maintenant, observez ceci. Je prends mon pouce, la partie large de mon pouce, je place cela sur l’oreille de la femme, j’enfonce cela dedans. M’entendez-vous, madame ? Dites : « Amen. J’aime le Seigneur. » C’est très bien. Votre arthrite aussi vous a quittée. Vous êtes bien portante. Disons : « Gloire au Seigneur ! » [L’assemblée dit : « Gloire au Seigneur ! » – N.D.E.]

106.     Maintenant, pourquoi Dieu permet-Il cela ici ce soir ? Les sourds, les muets, ceux qui ont le problème de parler, de la vue, les estropiés, pourquoi fait-Il cela ? Vous voyez, les pharisiens savaient, ou ils croyaient parce que Jésus pouvait discerner leurs pensées; ils ont dit : « Il est Béelzébul. » Mais ils ne pouvaient pas comprendre comment Il pouvait guérir. C’est ça. En effet, il n’y a pas de guérison en dehors de Dieu. Combien savent cela ?

            Laissez-moi dire ceci–ceci ce soir, juste un instant, avant d’avancer avec la ligne de prière. Il n’y a pas d’autre guérison au monde en dehors de la guérison divine. Et je demande à tout médecin de prouver qu’il existe une guérison autre que la guérison divine.

            Les gens crient : « Un don de guérison divine. » Il n’existe pas d’autre guérison en dehors de la guérison divine. Qu’arriverait-il si vous vous fracturez le bras ? Que fait le médecin? Guérit-il cela ? Il place cela ; c’est Dieu qui guérit cela. S’il y a… Il peut ôter l’handicap. Qu’arriverait-il si vous aviez une tumeur ? Il peut ôter cela, mais qui opère la guérison ? Montrez-moi un médicament qui peut développer les cellules et que vous pourrez déverser sur un plateau et rétablir un homme. avec Dieu seul peut guérir. Il n’y a pas d’hôpital, pas de médecin, il n’y a jamais rien eu qui ait guéri en dehors de Dieu. En effet, c’est Dieu seul qui est le Créateur. Et Dieu seul peut créer et développer les cellules et le calcium, souder les os et guérir le corps. Combien savent que c’est vrai ?

107.     Ne soyez donc pas contre les hôpitaux, ne soyez pas contre les médecins. Ils accomplissent bien un rôle : enlever les handicaps et autres comme cela. Mais Dieu seul peut guérir. En effet, le diable ne peut pas créer. Combien savent que le diable ne peut pas créer ? Il ne peut que pervertir ce qui est créé. Est-ce vrai ?

            L’injustice, c’est quoi? C’est la justice pervertie. Tenez. Vous êtes une assistance mixte, et je vous parle clairement ce soir. Mais je me sens conduit à le faire. Par exemple, vous êtes… Vous êtes des hommes mariés, vous vivez avec votre femme, si–si c’est votre femme, c’est en ordre. C’est–c’est ce que Dieu a dit de faire. Mais si c’est avec une autre femme, ou avec un autre homme, c’est absolument le péché ; et vous irez en enfer pour avoir fait cela. Qu’est-ce ? C’est le même acte, mais c’est perverti. Voyez ?

108.     L’injustice, c’est quoi ? C’est la justice pervertie. Le mensonge, c’est quoi ? C’est la vérité mal présentée. Voyez ? C’est ça. Ainsi, ce que… Qui peut guérir ? Dieu seul. Pas le médicament, il n’y a aucun médicament qui puisse guérir. Il n’y en a aucun qui prétend guérir. Cela ne fait que tuer les germes et–et–et des choses comme cela, pendant que Dieu opère la guérison. En effet, Dieu seul peut de nouveau créer cela.

            Vous direz : « Qu’en est-il de la pénicilline, Frère Branham ? » On vous injecte de la pénicilline contre la grippe. C’est très bien. Voici ce qui se passe. Peut-être que votre maison est pleine de rats. Et vous faites sortir un raticide, et vous tuez tous les rats. Cela ne bouche pas tous les trous. Cela ne fait que tuer les rats. Et c’est ce que la pénicilline fait ; elle tue les rats qui sont en vous, et c’est à Dieu de guérir la–la partie déchirée par les rats. Voyez ? C’est Dieu qui est le Guérisseur. Assurément.

            Ce n’est pas quelque chose de là loin. C’est juste ici même avec nous. C’est Dieu. Amen. Je me sens très religieux ce soir, je ne sais comment, c’est… Je me sens vraiment très bien. Je suis très content de voir notre Seigneur venir en aide à Son peuple.

            Très bien, ma sœur. Que voulez-vous que le Seigneur guérisse chez vous ? Très bien. Croyez-vous qu’Il vous guérira ? Adorable Père...

Up