LA VIE (Avoir soif de la Vie)

Date: 58-0512 | La durée est de: 1 hour and 44 minutes | La traduction: SHP
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1          Merci. Restons debout juste un instant pour un mot de prière, s’il vous plaît. Inclinons la tête pendant que nous prions.

            Dieu bien-aimé, nous Te sommes vraiment reconnaissants pour ce grand privilège que nous avons de nous rassembler et de T’adorer. Et nous prions, ô Seigneur, que Tes bénédictions continuent à descendre sur ce service ce soir. Et nous prions que le Saint-Esprit prenne position à chaque siège et dans chaque allée, et que les hommes et les femmes prennent conscience de Sa Présence. Et s’il y a un péché au milieu de nous, Seigneur, pardonne-nous. Et s’il y a une maladie, guéris-nous. Et tire gloire de ce service, Seigneur. Et maintenant nous Te prions de bénir Ta Parole, pendant que nous La lirons, et puissions-nous communier autour de la Parole. Car nous le demandons au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

2          Ce soir je suis arrivé un peu tôt, et j’étais assis là derrière sur l’un des – des bancs, pendant que j’écoutais ce bon cantique à l’ancienne mode, avec la chorale, et la – la musique. Oh ! la la ! je pensais que le millénium était peut-être sur le point de commencer. C’était très bien. S’il y a une chose que j’aime, ce sont les bons cantiques. Et j’aurais souhaité… Je me suis toujours dit que j’aurais aimé que le Seigneur me donne une voix pour chanter. C’est à peine si je – je puis pousser des cris de joie. Ainsi, cependant…

            Si vous désirez avoir un rendez-vous avec moi, dès que cette vie sera terminée et que tout sera fini, il y aura un… Là où le fleuve de Vie sort du Trône, et descend comme ceci, et contourne la montagne du – du salut, et là… à l’endroit où les arbres sont de part et d’autre de la montagne ; là de ce côté-là, là un chœur chantera. Toutes les magnifiques voix chanteront là-bas. Sankey ainsi que tous les autres chanteront là de l’autre côté.

            Et là, de ce côté-ci, il y aura ce petit arbre ; je serai assis sous cet arbre à écouter. Ainsi maintenant… C’est là que je désire être pour écouter ce magnifique chœur angélique se joindre aux mortels. Mais, vous savez, je me disais que les Anges, quand Jésus viendra… Et s’il y a un cantique auquel je désire assister, le magnifique cantique, c’est entendre le moment où nous nous tiendrons sur cette terre et où nous chanterons les cantiques de la rédemption.

            Les Anges se tiendront simplement hors… à distance de la terre, la tête inclinée, sans comprendre ce que nous serons en train de chanter. Eux n’ont jamais eu besoin de rédemption. C’est nous qui nous réjouirons. C’est nous qui étions perdus, et qui maintenant sommes retrouvés. Et nous chanterons les histoires de la rédemption, tandis qu’eux ne comprendront même pas cela. Ils se tiendront tout simplement là, la tête inclinée, et vont nous écouter chanter. Ne sera-ce pas un moment merveilleux ? Oh ! je soupire de voir cela.

3          J’aime de bons cantiques, cependant il y a une chose que je n’aime pas, c’est une voix surexercée, surexercée, quelqu’un qui retient son souffle si longtemps qu’il en a le visage cyanosé. Vous savez, ils ne chantent pas pour le Seigneur, ils cherchent tout simplement pour voir combien longtemps ils peuvent retenir leur souffle.

            Il n’y a rien de plus beau que les cantiques pentecôtistes à l’ancienne mode, accompagnés de la gloire de Dieu dans une réunion. Cela réjouit beaucoup mon cœur, et j’étais si heureux de me rafraîchir dans l’ambiance de ces magnifiques cantiques ce soir. Que le Seigneur vous bénisse, et gardez cela.

4          Hier soir, je me suis dit que je vous ai en quelque sorte ennuyés un petit peu, en étant un peu long, et nous sommes… Notre programme est tomb… s’est allongé. J’ai rencontré maintenant même le président, un frère, et il a dit : « Non, Frère Branham, c’était en ordre ; nous ne terminons pas notre culte avant 22 heures. » Il n’aurait peut-être pas dû me dire cela. Mais pendant cette soirée je vais tâcher de me dépêcher, étant donné que c’est une soirée… une soirée d’évangélisation, et demain, oh… Et demain soir, nous allons entrer directement dans la prédication et la prière pour les malades une fois de plus.

Maintenant, ce soir, je désire parler sur base d’un texte tiré des Ecritures. Et j’aime vraiment lire la Parole. N’aimez-vous pas la Parole ? Combien de lecteurs de la Bible y a-t-il ici ? Levez simplement la main, bien haut. Oh ! c’est bien.

5          Et pour descendre quand il… D’habitude, avant que nous venions pour que cette onction… pour la ligne de prière, je dois rester enfermé, à jeun et dans la prière. Mais quand vous n’êtes pas tenu de faire cela, quand vous venez juste pour parler, vous vous sentez différemment. Vous savez, c’est le même Esprit, mais une opération différente.

            Et maintenant, j’aime lire la Parole, parce que la Parole c’est la Parole de Dieu, et Dieu vaut tout simplement ce que vaut Sa Parole. Et maintenant, je souhaite lire dans le Livre des Psaumes, le Psaume 63. Et je désire lire les trois premiers versets :

Ô Dieu ! Tu es mon Dieu, je Te cherche ; mon âme a soif de Toi, mon corps soupire après Toi, dans une terre aride, desséchée, sans eau.

Ainsi je Te contemple dans le sanctuaire, pour voir Ta puissance et Ta gloire.

Car Ta bonté vaut mieux pour moi que la vie : mes lèvres célèbrent Tes louanges.

            J’aime vraiment bien ce verset 2.

Ainsi je Te contemple dans le sanctuaire, pour voir Ta puissance et Ta gloire.

            Mais ce soir le sujet sera tiré du verset 3 :

Car Ta bonté vaut mieux que la vie : mes lèvres célèbrent Tes louanges.

6          Et pendant environ vingt ou trente minutes, je désire parler sur ce sujet : La Vie. C’est la vie qui nous contrôle. On nous connaît par la vie que nous menons. Et il est dit que votre vie parle si fort que l’on ne peut pas entendre votre témoignage. Ainsi donc, vivre un sermon vaut beaucoup mieux qu’en prêcher un. La vie que vous menez révèle votre personnalité ; en effet, votre vie bâtit toujours votre personnalité.

            Et Jésus a dit : « C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. » Ainsi, peu importe ce que nous déclarons, ou combien nous témoignons, si notre vie ne concorde pas avec ce témoignage, nous discréditons le Royaume de Dieu en donnant ce témoignage-là. En effet, les gens savent ce que nous sommes.

7          Et cela m’a toujours fait réfléchir d’entendre lors d’un service funèbre, un homme prêcher les funérailles de quelqu’un qui avait mené une vie impie, et qui n’avait jamais rien fait de bien, et l’homme prêche pourtant comme si le défunt était une merveilleuse personne qui est allée tout droit au ciel.

            Eh bien, peu importe ce que vous pourriez dire, les gens se sont déjà fait une idée à partir de la vie que ce personnage a laissée derrière lui.

            Et juste sur ce point, j’aime penser à Longfellow quand il a dit : « En partant, nous laissons derrière nous des empreintes de pas sur le sable du temps. » C’est le Psaume de la Vie. Oh ! je pense qu’il est merveilleux.

8          Eh bien, l’Eglise chrétienne devrait donc avoir un véritable caractère. Et si la Vie de Christ est dans l’Eglise de Christ, alors elle doit avoir le caractère de Christ. Elle produira la Vie de Christ. Ce n’est rien de plus que ce qu’on appelle dans le sud le bon sens. Si la Vie de l’Esprit de Christ est dans l’église, elle doit produire cette Vie-là, parce que la vie qui est en vous constitue votre personnalité.

            Et quel genre de personnage devrions-nous être, nous qui avons solennellement promis que nous servirons le Seigneur Jésus aussi longtemps que nous vivrons, nous qui avons été baptisés dans Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection, et qui avons inscrit nos noms dans le registre de l’église, qui avons pris place à l’école du dimanche et qui, ensuite, sortons et vivons contrairement à cela.

            Oh ! c’est… C’est un discrédit sur la cause de Christ plus que tous les débits de boissons alcooliques qu’on a en Amérique. Que Dieu nous accorde de voir le jour où les hommes vivront exactement selon ce qu’ils sont. Et on le reconnaît toujours par leur nature, par leur constitution.

9          Eh bien, vous ne pouvez pas mettre d’accord une – une colombe et un corbeau, même si les deux sont des oiseaux et qu’ils étaient perchés sur le même perchoir dans l’arche. Les deux sont des oiseaux, ils ont tous des ailes, mais quand on a lâché le corbeau, il était satisfait en mangeant des cadavres qui flottaient d’un endroit à un autre, et il n’est plus jamais retourné à l’arche.

            Mais quand la colombe est sortie, elle n’a pas pu trouver d’endroit où poser ses pattes, elle a donc dû rentrer. Voyez-vous ? La colombe ne peut manger avec le corbeau.

Et le corbeau c’est un hypocrite ; il peut manger sa propre nourriture et aller manger aussi avec la colombe. Mais la colombe, elle, ne peut pas manger de la nourriture de colombe et ensuite aller manger la nourriture du corbeau. Il en est donc de même des hypocrites. Ils peuvent entrer dans l’église et se réjouir comme les autres, puis aller droit dans le monde et manger encore. Mais un chrétien authentique ne peut manger que la nourriture de Dieu.

10        Pourquoi la colombe ne peut-elle pas manger de la charogne et des histoires venant de cette vieille terre, ainsi que les vieux cadavres ? C’est parce qu’elle a la constitution d’une colombe. La colombe est un oiseau qui n’a pas de bile. Si jamais elle mangeait un vieux cadavre, cette colombe mourrait immédiatement, parce qu’elle n’a pas de bile. Elle ne peut tout simplement pas digérer ces histoires.

Et un homme ou une femme qui est né de l’Esprit de Dieu ne peut tout simplement pas manger les choses du monde et tolérer le péché, parce qu’il n’a plus de bile. Il a une constitution différente. Et nous sommes toujours reconnus par la vie que nous menons.

11        Il y a quelque temps dans le Sud, pendant qu’on pratiquait l’esclavage, on prenait des êtres humains et on les vendait exactement comme on vendrait une auto… Et là on… Ils en avaient beaucoup, comme on a des parkings de voitures d’occasion aujourd’hui. Des négociants passaient et achetaient des esclaves. Peut-être que cent esclaves se trouvaient dans cette plantation, et un négociant passait et disait : « Ce gaillard-là, je le prends. » Et si ici, il avait une – une femme corpulente, qui n’était peut-être pas sa femme, on les croisait, pour obtenir des esclaves plus robustes. Et ils allaient çà et là pour les acheter, exactement comme on achèterait un animal.

Et un jour, un certain négociant est passé par une plantation, il a dit : « Combien d’esclaves avez-vous ? »

            Et on lui a dit : « Un bon nombre. »

            – Y en a-t-il à vendre ?

            Il a dit : « Examinez-les et évaluez-les. » Et il a regardé…

12        Et bien sûr, les esclaves avaient été amenés ici d’Afrique par les Boers, et ils étaient vendus aux gens du Sud comme esclaves, et ils étaient tristes. Ils n’allaient plus jamais rentrer chez eux. Ils devraient mourir loin de leur pays. Ils ne verraient plus jamais leur père, ni leur mère. Des fois, c’était leurs enfants ou leurs épouses, leurs frères ou leurs sœurs qu’ils ne reverraient plus jamais. Ils étaient donc très tristes.

            Ils étaient dans un pays étranger, parmi un peuple étranger. Et les Blancs, les propriétaires d’esclaves, les fouettaient parfois pour les faire travailler, exactement comme on fouette un cheval. Et on devait les pousser à travailler.

13        Mais dans cette certaine plantation où se trouvait ce négociant, il a remarqué là un jeune homme qu’on ne devait pas pousser à travailler ; il avait le torse bombé, le menton relevé ; à tout moment il était prompt. On n’avait pas besoin de le réprimander ni de lui dire quoi que ce soit. Alors ce négociant a dit au propriétaire des esclaves, le propriétaire de la plantation, il a dit : « Je veux acheter cet esclave-là. »

            – Oh ! a-t-il dit, il n’est pas à vendre.

            Il a dit : « Est-ce que vous… Est-il le chef des autres ? Il est si différent. »

            Il a dit : « Non. C’est juste un esclave. »

            « Eh bien, a-t-il dit, peut-être que vous le nourrissez mieux que les autres. »

            Il a dit : « Non, il mange à la cantine avec les autres esclaves. »

            Il a dit : « Eh bien, qu’est-ce qui le rend si différent des autres ? »

            Le propriétaire a dit : « Je me le demandais moi-même jusqu’à ce que j’ai découvert la vérité. » Il a dit : « Ce jeune homme est le fils du roi de toute la tribu. Son père est leur roi à tous, et bien qu’il soit un étranger, loin de chez lui, il sait toujours qu’il est un fils de roi, et il se comporte comme tel. »

14        Oh ! que devrions-nous être en tant que des fils et des filles de Dieu ? Comment devrons-nous nous comporter dans ce monde actuel de péché et d’esclavage ? Notre caractère et notre conduite devraient être les plus élevés pour soutenir le moral des autres, car nous ne sommes pas d’ici, nous sommes des étrangers et des pèlerins, mais notre Père est le Roi. Oh ! Il est riche en maisons et en terres. Il tient dans Sa main les richesses du monde. Oh ! je suis si heureux d’être fils de ce Roi.

15        Eh bien, quand j’ai lu pour la première fois cette Ecriture-ci, je me suis dit : « De quoi le prophète parle-t-il réellement ? » Il a dit : « Ta bonté vaut mieux que la vie. »

            Eh bien, je ne me représente pas quelque chose qui soit meilleur que la vie. Et il n’y a qu’un type de Vie Eternelle, et cela vient de Dieu. Et Dieu n’a pas eu de commencement, Il n’a donc pas de fin. Du mieux que je puisse illustrer cela, ce Grand Esprit, nous appellerions cela les – les couleurs de l’arc-en-ciel. L’une représentait l’Esprit d’amour ; l’autre, l’Esprit de justice ; et ainsi de suite, les sept Esprits de Dieu qui constituent Dieu. Et tout… Nous allons prendre par exemple le mot amour, il y a deux mots différents. Nous appelons l’amour par exemple ce que nous avons pour notre femme, c’est ce qu’on appelle en terme grec phileo. Et l’amour que vous avez pour Dieu, c’est agapao.

16        Eh bien, l’amour phileo, comme celui que vous avez pour votre femme, c’est un amour perverti. Et puis, à partir de ce genre d’amour, cela se pervertit encore jusqu’à la convoitise, et cela continue à descendre. Et tous ces genres de choses doivent avoir une fin, pour qu’on retourne à ce qui n’avait ni commencement ni fin.

            Ainsi donc, l’Agapao est descendu du point le plus élevé au point le plus bas pour racheter Sa création et la ramener jusqu’à Lui. Oh ! il n’est pas étonnant que les gens n’arrivent même pas à exprimer cela. Quelqu’un a dit :

Si on remplissait d’encre l’océan,

Et que les cieux étaient faits de parchemin ;

Et chaque tige sur terre était une plume,

Et tout homme un écrivain de métier ;

Décrire l’amour du Dieu céleste

Assécherait l’océan ;

Le rouleau ne pourrait non plus en contenir le tout,

Même étendu d’un bout à l’autre du ciel.

            Et personne ne saura jamais ce que l’amour agapao a représenté, en s’abaissant et en descendant jusqu’à la fosse la plus basse du plus bas enfer, pour ramener la créature déchue, la faire passer d’une créature du temps à une créature de l’éternité. Nous ne pourrions pas l’exprimer.

            Mais je me disais, alors qu’Il a dit : « Ta bonté vaut mieux que la vie », qu’y a-t-il de mieux que la vie ? Tout le reste a une fin. Mais la vie n’a pas de fin, quoi donc pourrait être plus précieux que la vie ? J’ai donc tiré ce genre de conception de ce que disait David. Et il parlait certainement d’un autre genre de vie.

17        Eh bien, la vie est interprétée de plusieurs façons, et parfois on constate que la vie est interprétée de cette façon-ci : « Oh ! nous menons vraiment la grande vie ! » Ça, ce n’est pas la vie. Quelqu’un a dit : « C’est avoir beaucoup de réjouissances », pour dire que c’est ça la vie.

            Il y a quelques mois, je me trouvais dans une grande ville. Et je tenais une série de réunions. Et ce soir-là… C’était dans un autre pays, au Canada. Et ce soir-là, une certaine organisation américaine tenait sa convention là-bas. Et j’ai remarqué, en quittant ce gigantesque hôtel, que beaucoup de gens venaient ; les américains affluaient, et ils buvaient, des femmes et des hommes, tous confondus.

            Ce soir-là, après que j’eus fini la réunion, je suis entré dans l’ascenseur… ?... et je montais. Et il y avait des bouteilles de whisky partout. Et j’ai dit au liftier, j’ai dit : « On dirait que quelqu’un se soûlait vraiment. »

Il a dit : « Et comment donc ! » Et il s’est arrêté, juste au huitième ou au dixième étage, pour me déposer, et quand je suis sorti… J’étais dans l’ascenseur, seul avec le garçon ; quand je suis sorti, j’ai entendu quelque chose dans le hall. Et comme je sortais d’un petit – un petit coin par où l’on sort en descendant de l’ascenseur, j’ai regardé dans le hall, et jamais je n’avais entendu pareil bruit, de tous les mots orduriers que j’aie déjà entendus. Et je me suis arrêté juste un instant.

18        Oh ! c’est choquant. Deux jeunes dames d’environ, oh ! à la fin de la vingtaine ou au début de la trentaine, n’ayant sur elles que des sous-vêtements, toutes deux des femmes mariées portant des alliances, et elles avaient une grosse bouteille de whisky. Et elles se la passaient l’une à l’autre, et puis elles relevaient leurs petits sous-vêtements et poussaient des cris. Et vous savez quoi ? Peut-être le mari à la maison s’occupait du bébé, pendant qu’elle se livrait à un petit amusement innocent. C’est le péché ! Et vice versa, une femme à la maison s’occupant du bébé pendant que son mari était là avec celle-ci, se livrant à un petit amusement innocent. C’est le péché ignoble, impie et répugnant. Et le salaire de cela, c’est la mort, la séparation éternelle d’avec Dieu.

Et voilà qu’elles descendaient le hall, et un homme les attrapait, les attirait de ce côté-ci et un autre de ce côté-là, des hommes sortis de leurs chambres.

            J’ai tout simplement reculé et j’ai observé un moment, avec ma Bible. Et finalement, quand elles se sont libérées du dernier homme, et ce dernier était étendu sur le plancher, et il a dû ramper à l’aide de ses mains et de ses genoux pour regagner la chambre… Et quelqu’un versait du whisky sur lui, en le faisant rentrer.

19        Oh ! quel spectacle impie ! Et j’ai regardé cela, et je me suis dit : « Ô Dieu ! » J’ai vu ces deux belles jeunes femmes, n’ayant sur elles que leurs sous-vêtements, et elles se sont arrêtées juste un peu devant moi, et elles ont essayé de se passer l’une à l’autre la bouteille, et l’une d’elle a tendu la bras et a soulevé sa petite jupe, elle a lancé ses pieds en l’air, en disant : « Youpi, c’est ça la vie ! »

            Je ne pouvais pas supporter cela plus longtemps. Je me suis avancé ; j’ai dit : « Sœur, vous vous trompez ; ça, c’est la mort. » Ainsi la mort – la vie a plus d’une interprétation.

            La Bible dit : « La femme qui vit dans les plaisirs est morte quoique vivante. » C’est ce que Dieu a dit.

20        Et elle a regardé, puis elle a pris la bouteille ; j’ai dit : « Un instant ! » J’avais cette même Bible en main. Elle m’a fixé avec méchanceté. J’ai dit : « Je suis un prédicateur de l’Evangile. Et je suis aussi Américain. J’ai presque honte de mon pays, que vous soyez venus ici le représenter de la manière que vous le faites. » J’ai dit : « Honte à vous ! »

            Elles ont laissé tomber la bouteille, elles ont descendu le hall aussi vite que possible. Elles pensaient qu’elles vivaient, mais elles étaient mortes dans le péché et les offenses. Oh ! quelle condition !

21        Récemment à Hamilton dans l’Ohio, je tenais une série de réunions, et ils avaient eu jusqu’à sept, huit, dix mille personnes, et je devais rester hors de la ville. Nous mangions dans un petit restaurant Dunkard [membre de l’Eglise des Frères qui fut fondée en Allemagne en 1708 – N.D.T.]. Les dames étaient propres et jolies, quand elles venaient et servaient, et tout avait l’air si décent. Eh bien, nous avons apprécié cela. Le dimanche est venu, et le dimanche après-midi, j’allais prêcher. Le docteur Baxter m’a laissé – laissé prêcher, c’était lui l’organisateur de la campagne, et j’ai prêché le dimanche après-midi, puis j’ai attendu jusqu’à dimanche soir le service de guérison. J’ai eu faim ; je me suis dit : « Je crois que je vais aller chercher quelque chose à manger, juste un sandwich, pour me soutenir un peu. »

            Quand je suis sorti, le petit restaurant Dunkard avait fermé, et ils étaient allés à l’église. Et j’ai vu, juste de l’autre côté, un petit endroit typique sur le bord de la route, où il y avait des sandwichs et tout. J’y suis entré. Et alors, il y avait là un policier qui entourait de ses bras une femme, et il jouait à une machine à sous. Et c’est illégal de jouer à l’argent dans l’Ohio. Et c’était un homme de mon âge, peut-être marié, avec une ribambelle d’enfants âgés. J’ai regardé à l’autre bout, il y avait une adolescente assise en compagnie d’une bande de garçons portant des blousons de motocycliste, avec, vous savez, avec leurs vêtements pendant à moitié.

22        Et que Dieu bénisse cet homme dans ce collège-là qui, l’autre semaine, a corrigé cette bande de voyous. Il a dit : « Soit vous changez d’habillement, soit vous quittez cette école. » Si davantage d’hommes avaient plus d’esprit américain et de colonne vertébrale comme cela, nous aurions de meilleures écoles avec moins de délinquance juvénile, et moins d’agressions à coups de couteaux dans la rue et tout.

            Et voilà qu’ils étaient assis là derrière, la petite adolescente avec sa jupe qui pendait, et ces garçons avec leurs bras autour de ses hanches et tout. Je me suis dit : « Oh ! miséricorde, je dois sortir d’ici. »

            Et comme je me tournais pour regarder, il y avait une vieille grand-mère qui avait facilement soixante-cinq ans si pas plus ; sa peau était toute ridée. Et elle avait cette manucure sur les lèvres (ou je… peu importe comment vous appelez cette histoire, bleuâtre) ; et la petite dame avait les cheveux coupés et complètement frisés, elle portait une paire de ces sales petits vêtements indécents, et elle était assise en compagnie de deux hommes âgés. C’était l’été, et l’un d’eux portait un très long pardessus du gouvernement. Ils se sont excusés et sont sortis. Je me suis dit : « Ô Dieu ! comment peux-Tu supporter de voir le péché ? Si cela me donne de tels sentiments, à moi, un pécheur sauvé par grâce, qu’est-ce que cela fait à un Dieu saint ? Tu détruirais simplement la chose à ce qu’il paraît. »

23        Et pendant que je regardais cela, je suis allé derrière la porte, puis je me suis mis à sortir, et une vision est apparue devant moi. J’ai vu le monde, et il y avait autour du monde une traînée. Et elle était rouge. Et puis, tout à coup, j’ai vu un… dans la vision, le Seigneur Jésus, et les péchés Le heurtaient, et c’étaient mes péchés. Et ça heurtait cela d’un côté à l’autre, comme le pare-chocs d’une voiture. Et chaque fois que je faisais quelque chose, cela Le frappait. Et Il m’a regardé d’un regard fatigué ; j’ai dit : « Mon Dieu ! est-ce moi qui ai causé cela ? » J’ai regardé. Il y avait là mon livre ouvert, mon nom écrit dessus, et il y avait toutes sortes de traits noirs dedans. Et j’ai dit : « Seigneur Jésus, pardonne-moi. »

            Et de Son doigt Il a touché Son côté, et Il a écrit dessus : « Pardonné », et Il a jeté cela derrière Lui. 

Et j’ai dit : « Oh ! Seigneur Dieu, je ne sais vraiment pas quoi dire. Je T’aime vraiment pour cela. »

            Il a dit : « Eh bien, Je te pardonne tes péchés, mais toi tu veux la détruire. »

            Et j’ai vu la femme. Je suis sorti de la vision ; je me suis avancé vers elle, et j’ai dit : « Bonsoir. »

            Elle a dit : « Bonsoir. » Elle buvait, elle était presque ivre.

            Et j’ai dit : « Puis-je m’asseoir ? »

            Elle a dit : « Merci, mais j’ai de la compagnie. »

            J’ai dit : « Ce n’est pas dans ce sens-là. » J’ai dit : « Puis-je vous parler une minute ? »

Elle a dit : « Allez-y. »

            J’ai dit : « Je me tenais là à cette porte, me demandant pourquoi Dieu ne vous a pas frappée de mort. » Et je me demandais si ma petite Sara et ma petite Rebecca, quand elles deviendront des femmes, si elles seront élevées dans une telle histoire. Et je lui ai parlé de la vision.

24        Elle a dit : « Je vois que vous êtes un ministre. »

            J’ai dit : « Oui. » J’ai dit : « Je m’appelle Branham. »

            Elle a dit : « Oh ! vous êtes M. Branham qui est là au dépôt d’armes. »

            J’ai dit : « Oui, madame. » J’ai dit : « Je suis désolé d’avoir dit cela, ou plutôt d’avoir pensé cela dans mon cœur. »

            Et elle s’est mise à pleurer, et ensuite elle m’a pris par la main ; elle a dit : « Prédicateur, je vais vous dire quelque chose. J’ai été élevée dans un foyer chrétien, et mon père était un pasteur baptiste. » Et elle m’a parlé de son mariage avec un – un garçon qui buvait, et alors elle a eu deux filles, qui étaient mariées et qui avaient des enfants. Elles étaient toutes des chrétiennes, mais elle, elle avait pris le mauvais chemin, et elle a dit : « Je pense que ç’en est fini de moi. »

            J’ai dit : « Non. Aussi longtemps que vous vivez, il y a de l’espoir pour vous, car le Sang du Seigneur Jésus encercle cette terre, et Dieu ne peut pas voir vos péchés. Mais un jour, quand votre vie va au-delà de ce cercle de Sang, alors vous vous êtes déjà jugée vous-même. »

            Et là sur le plancher, dans ce petit endroit, j’ai eu le privilège de conduire cette précieuse âme au Seigneur Jésus ; et je l’ai renvoyée chez elle heureuse.

Oh ! la profondeur de l’amour de la Vie Eternelle que Dieu désire donner à Son peuple. C’était une vie changée ; elle pensait qu’elle vivait là-bas, mais elle se mourait. Maintenant, elle vit, et elle vivra à jamais, parce qu’elle a la Vie Eternelle, elle est passée de la mort à la Vie.

25        Eh bien, certaines personnes pensent que boire, fumer, jouer au jeu d’argent et (oh !) essayer de faire les choses qu’ils font dans les fêtes, ils pensent que c’est cela la vie, c’est par contre la mort. Et de toute façon qu’est-ce qui les amène à faire cela ? Voici la raison pour laquelle ils font cela. C’est parce que Dieu a fait l’être humain pour qu’il ait soif.

            Vous avez été fait dans ce but-là. Chaque organe de votre corps a été fait dans un but. Tout a un but. Et Dieu a fait l’homme pour qu’il ait soif, parce qu’Il voulait qu’il ait soif de Lui. Mais le diable a perverti cela, et il essaie de vous amener à penser à quelque chose d’autre et vous essayez d’étancher cette sainte soif bénie en la satisfaisant avec le péché. Il vous donne la mort au lieu de la vie. C’est une vie pervertie. Ça ne peut pas être la vraie vie. Et le diable fait cela, parce que Dieu vous a fait pour que vous ayez soif, mais pour que vous ayez soif de Lui. Cette petite flamme en vous, qui fait – qui désire se réjouir, monter sur la piste de danse, et se conduire mal, elle est pervertie. Cette chose qui vous donne le désir de boire, et de vous comporter comme le reste du monde, qui… Le diable essaie de prendre le péché pour étancher cette soif que Dieu vous a donnée, alors que Dieu vous a fait pour que vous ayez soif de Lui. Et vous ne pourrez jamais être satisfait jusqu’à ce que Dieu entre et étanche cette soif.

            Oh ! comment osez-vous essayer d’étancher cette sainte soif bénie avec les choses du monde, alors que Dieu vous l’a donnée pour que vous ayez soif de Lui.

26        Eh bien, j’espère que je ne blesse les sentiments de personne, à moins qu’on ne le mérite, mais je désire juste vous rappeler certaines choses. Qu’est-il arrivé récemment à l’église ? L’église était un peuple séparé. Je ne savais pas à quel groupe je m’adressais jusqu’à ce que cet homme me le dise ici, que je m’adressais aux pentecôtistes.

            Maintenant, retournons un petit peu en arrière. Vous savez, il y a quelques années, c’était mal pour les femmes pentecôtistes de se couper les cheveux. Que s’est-il passé ? Si c’était mal à l’époque, c’est mal aujourd’hui. Eh bien, vous dites : « Eh bien, mon pasteur… » Eh bien, il vous faut un autre pasteur.

            Les Ecritures disent : « Si une femme se coupe les cheveux, elle déshonore son mari. Et si elle a une conduite déshonorante, on devrait divorcer d’avec elle. »

            Vous ne m’aimerez pas après ceci, mais je vais être honnête. Et au jour du jugement, je ne voudrais pas me tenir là avec ce groupe mou, qui avait honte de vous le dire. Prêcher ce n’est pas un gagne-pain, c’est une responsabilité vis-à-vis de Dieu, pour dire la vérité.

27        Et c’était mal pour les femmes pentecôtistes de porter ce maqui-… maquillage, cette manucure sur le visage. C’était mal. J’en sais quelque chose, je m’en souviens. Et vous les méthodistes libres, et vous les baptistes missionnaires, et vous les pèlerins de la sainteté ainsi que les nazaréens, c’était mal. Que s’est-il passé ?

            C’est comme le vieux frère, le prédicateur méthodiste, mon ami, du nom de Kelley, avait l’habitude de chanter un petit cantique :

Nous avons laissé tomber les barrières,

Nous avons laissé tomber les barrières.

Nous avons fait des compromis avec le péché.

Nous avons laissé tomber les barrières,

Et les brebis sont sorties.

Mais comment les boucs sont-ils entrés ? 

C’est parce que nous avons laissé tomber les barrières.

Vous êtes censés être un peuple différent, un peuple particulier, un peuple appelé à sortir, un peuple séparé, un peuple qui marche selon les choses de l’Esprit et non selon celles de la chair.

            Oh ! nous nous tenions au coin avec la guitare, et les gens étaient sauvés. Mais aujourd’hui, on est dans une énorme cathédrale chic d’un demi-million, de deux millions de dollars, avec tout un tas de crédos comme les vieux formalistes froids dont nous avions l’habitude de parler. La poêle ne peut pas se moquer du chaudron. C’est juste.

28        Et vous femmes pentecôtistes, vous ne permettiez pas à vos filles de porter ces sales petits vêtements vulgaires et de sortir dans la rue. Et puis vous parlez de la délinquance juvénile. Non seulement elles font cela, mais vous la maman aussi. « Oh ! dites-vous, je ne porte pas ces shorts (Je crois que c’est comme ça qu’on appelle ça) et ces dos nus, je – je – je ne les porte pas ; moi, je porte des pantalons. » La Bible dit qu’une femme qui porte un vêtement d’homme est une abomination aux yeux de Dieu. C’est ce que déclare la Bible.

            Et aujourd’hui, considérez ces femmes qui descendent la rue avec ces sales petites jupes qui sont si serrées, elles sont habillées de façon si sexy, et elles se disent chrétiennes. Vous ne vous comportez pas, comme la – la fille du Roi du ciel, vous ne vous conduisez pas ainsi. Et, regardez, laissez-moi vous dire quelque chose, sœur ; et je ne dis ceci que pour votre bien. Quand le jugement viendra, vous rendrez compte pour avoir commis adultère.

29        Vous pourriez être aussi pure que le lys vis-à-vis de votre mari ou de votre petit ami, mais quand vous mettez de tels vêtements et que vous sortez dans la rue, si un pécheur vous regarde et vous convoite, la Bible dit qu’il a commis un adultère avec vous dans son cœur. Et à la barre du jugement, vous allez répondre pour avoir commis adultère, parce que vous vous êtes présentée devant lui de cette façon-là. C’est Jésus qui l’a dit. Qui est coupable, le pécheur ou vous ? C’est vous. Il est un porc et un cochon de nature. Il ne s’est jamais converti. Mais quand il rendra compte pour avoir commis adultère, avec qui aura-t-il commis cela ? Quiconque (pécheur ou saint) regarde une femme pour la convoiter a déjà commis un adultère avec elle dans son cœur.

            Pensez-y. « Oh ! dites-vous, Frère Branham, c’est le seul genre de vêtements qu’on confectionne. » Il y a encore des machines à coudre. Il n’y a pas d’excuse là-dessus. Vous savez que c’est juste. Est-ce là le comportement d’une fille du Roi ? « Eh bien, dites-vous, les autres font cela. » Mais vous, vous êtes différente. Vous êtes une étrangère. Vous devriez vous comporter comme la fille du Roi. 

30        Et ces femmes ici pourraient dire : « Frère Branham, nous avons appris que vous étiez un misogyne, ainsi maintenant nous sommes convaincues que vous en êtes un. » Ce n’est pas le cas. Je suis un amoureux du Seigneur Jésus et je suis responsable de Sa Parole. « Pourquoi donc nous harcelez-vous, nous les femmes ? »

Très bien, et vous les hommes, ceci vous concerne. Tout homme qui laisse sa femme fumer la cigarette et porter des shorts, montre de quoi il est fait. Ce n’est pas un homme. Il n’a pas en lui une once d’un fils de Dieu, du chef de la maison. C’est juste. Eh bien, vous savez que c’est la vérité. Cela montre de quoi vous êtes fait. La valeur d’un homme ne se mesure pas par les muscles ; ça, c’est une bête, une brute. La valeur d’un homme se mesure par le caractère. Et si vous êtes un fils de Dieu, votre valeur se mesure par votre caractère. Et vous êtes censé être le chef de la maison, et Dieu vous tiendra responsable de ce qu’elle fait. Pourtant elle est une déesse en Amérique.

31        Et, rappelez-vous, j’ai déjà prédit en 1933 qu’une femme dirigerait cette nation avant le chaos par l’annihilation. Voyez son visage sur la monnaie ; elle est tout ; elle est une déesse ; elle est… C’est Hollywood qui a fait cela. La raison pour laquelle cela arrive, c’est parce que vous êtes resté à la maison le mercredi soir, pour suivre une sale pièce de théâtre Nous aimons Sucy ou quelque chose comme ça, au lieu d’aller à la réunion de prière. Cela montre ce qui était en vous dès le départ.

            Et vous femmes, au lieu d’avoir vos réunions de prière le matin, la réunion de prière de 10 heures, vous restez à la maison pour suivre une histoire vulgaire, des plaisanteries grossières, comme cet Arthur Godfrey ou Elvis Presley, un charognard se nourrissant du cadavre de son propre peuple.

            Il n’y a qu’une seule différence entre Elvis Presley et Judas Iscariot. Judas Iscariot a eu trente pièces d’argent, et Elvis a eu un million de dollars et un parc de Cadillacs. Il a trahi Christ. Et pourtant il devient pratiquement un dieu pour les adolescents, il crée de l'excitation au point que des jeunes demoiselles arrivent là et ôtent brusquement leurs sous-vêtements, et les lancent sur l’estrade pour qu’il y appose un autographe. Vous parlez de la puissance du diable !

32        Allez en Afrique, et voyez si ce vieux boogie-woogie ou quoi qu’on appelle cela, rock-and-roll, ne tire pas ses origines de chez les Hottentots, en Afrique. Et vous essayez de satisfaire cette ardente et sainte soif bénie en fourrant ces ordures dans cet endroit où Dieu désire vivre pour vous donner la liberté, la sainteté et le bonheur.

            Quelle disgrâce ! Quel relâchement pour le peuple américain ! Et à vous pentecôtistes, pèlerins de la sainteté, nazaréens, qui confessez un appel plus élevé que cela, honte à vous ! Vous êtes en train de mourir et de pourrir dans votre propre corruption.

            Il n’est pas étonnant que nous ne puissions pas avoir un réveil en Amérique. Il n’est pas étonnant que Dieu ne puisse pas placer Ses dons dans l’église. Qu’est-ce qu’Il a pour les y placer ? Pensez-vous qu’Il pourrait placer des dons dans une telle histoire ? Il ne le pourrait simplement pas.

            J’espère que vous comprenez ce que je veux dire. Le moment est venu pour un nettoyage de la maison de Dieu, depuis la chaire jusqu’au concierge, un réveil à l’ancienne mode à la Saint Paul, envoyée de Dieu, et le retour du Saint-Esprit de la Bible dans l’Eglise, revenant pour faire des hommes et des femmes des fils et des filles de Dieu. Ne pouvez-vous pas comprendre que c’est le vieil et sale esprit du diable qui entre en vous et vous amène à vous comporter comme cela ?

33        Il y a quelque temps, je voyageais à travers l’Amérique, et je devais amener un tas de livres en camion. J’ai loué les services d’un pécheur pour conduire celui-ci, car je ne pouvais trouver personne d’autre. Quand je suis arrivé à destination, il y avait un groupe important de dénominationnels pentecôtistes, et ce pécheur est descendu du camion et était en train de décharger les camions. Tout en tenant les livres et ainsi de suite, il fumait une cigarette. Et l’un des grands responsables s’est approché de moi et il a dit : « Frère Branham, vous me surprenez ! »

            J’ai dit : « Qu’y a-t-il ? »

            Il a dit : « Cet homme qui décharge votre camion fume la cigarette. Nous les gens de la Sainteté nous ne croyons pas dans le fait de fumer la cigarette. »

            J’ai dit : « Moi non plus. »

            Il a dit : « Mais pour nos fidèles, ce sera une pierre d’achoppement sur leur chemin. »

            J’ai dit : « Je n’ai pu avoir aucun… Je n’ai trouvé personne pour conduire ce véhicule. J’avais deux camions ; je devais en conduire un moi-même, et l’utiliser pour conduire l’autre. Je vais le renvoyer dans quelques minutes. Il le sait. »

            Il a dit : « Eh bien, ne faites plus jamais cela. » Il a dit : « En effet, nos fidèles sont des gens de la sainteté. »

            J’ai dit : « Je suis désolé d’avoir fait cela, monsieur. Si j’avais eu quelqu’un d’autre, je n’aurais pas fait cela. »

34        Nous nous sommes retournés et nous nous sommes dirigés vers l’endroit où il y avait plusieurs milliers de gens rassemblés. Et il… Il a dit : « Voici mon épouse. Je voudrais que vous fassiez sa connaissance, Frère Branham. » Et j’ai regardé, elle a dit… « Elle sera votre pianiste cet après-midi. »

            Et ce n’est pas pour plaisanter, ceci n’est pas un endroit pour faire des plaisanteries. Voilà le problème aujourd’hui, nous avons eu trop d’évangélisation à la Hollywood et pas assez de conviction de l’Evangile à l’ancienne mode.

            Et cette femme se tenait là avec une robe si serrée, c’était comme si sa peau était dehors. Elle portait d’énormes boucles d’oreilles, et tout un tas d’histoires sur la bouche et ses… des endroits bleus sur les yeux et des cheveux très courts, et ils étaient tout frisés comme un ver pelucheux.

            Et elle a dit… regarde… Elle a dit : « Bonjour, Docteur Branham. »

            J’ai dit : « Bonjour. » J’ai dit : « J’aimerais vous poser une question, monsieur. »

            Il a dit : « Oui, Frère Branham. »

            J’ai dit : « Votre épouse est-elle une sainte ? »

            Il a dit : « Certainement. »

            J’ai dit : « Je n’ai pas l’intention de blesser vos sentiments, mais pour moi elle a l’air d’un fantôme, tel qu’elle se tient là comme cela. »

            [Espace non enregistré sur la bande – N.D.E.] …?... et elles ont de la manucure sur… « Ecoutez madame, laissez-moi vous dire quelque chose en tant que votre frère : aucune femme dans la Bible ne s’est fardé le visage… » [Espace non enregistré sur la bande – N.D.E.] Vous pouvez donc voir ce que Dieu pense des femmes au visage fardé : de la viande pour chien. Pour Dieu c’est la viande pour chien. Pourquoi font-elles cela ? Ce n’est pas pour aller à la rencontre de Dieu. Ce n’est pas une plaisanterie ; faites sortir cela de votre esprit.

35        Pourquoi une femme fait-elle cela ? Pourquoi ? Pour paraître devant les hommes ; c’est la même chose que Jézabel fait. Elle aime entendre les garçons faire : « Fiou ! fiou ! » [Frère Branham imite un sifflement admiratif – N.D.E.] Ce cri des chiens de meute ou plutôt d’un coureur de jupons. C’est juste. C’est parce que le pasteur a relâché. Et vous n’avez pas un ministre envoyé de Dieu, à l’ancienne mode ; vous avez un petit gars du genre Hollywood qui aime battre un tambour et sautiller, et crier : « Alléluia ! » Le diable peut faire la même chose.

            La sainteté convient à l’Eternel. Et si vous aimez le monde et les choses du monde, l’amour de Dieu n’est même pas en vous. C’est ce que déclarent les Ecritures.

36        Maintenant, voyez-vous ce que vous faites ? Le mauvais esprit s’est introduit au milieu de vous et il vous amène à chercher à étancher cette sainte soif bénie que Dieu vous a donnée pour L’adorer ; vous essayez de l’étancher avec la télévision, la radio, toutes les fantaisies du monde, les maquillages et des histoires. Je crois que vous devez paraître propre. Ne pensez pas que je dois… ?... vous devriez avoir des vêtements sales. Je pense que vous devez avoir la meilleure apparence, mais soyez décentes, propres, honorables.

            Vous vous exposez dans la cour de derrière avec une vieille petite tondeuse, quand un homme arrive le… vêtue de ces sales petits vêtements dans lesquels vous ne devriez même pas vous tenir en présence de votre mari. Et les hommes viennent et ils permettent de telles choses. Et puis ce sont des diacres dans l’église, honte à vous. Il n’est pas étonnant que nous soyons fichus.

37        Ecoutez, ne vous en faites pas… ?... Ce n’est pas le rouge gorge qui picore la pomme qui la détruit ; c’est le ver qui est dans le trognon. C’est notre propre pourriture qui nous tue. Nous avons besoin… ?... du Seigneur Dieu. Si vous voulez vous comporter comme des enfants de Dieu, Il protégera les Siens. Vous savez que c’est la vérité.

            Maintenant, qu’est-ce qui a engendré cette soif bénie ? Dieu vous a-t-Il fait ainsi ? Et le diable rode tout autour et dit : « C’est ça la vie. C’est ça la vie. » Mais vous recevez constamment la mort. Vous ne savez pas ce qu’est le plaisir jusqu’à ce que vous ôtiez réellement de votre cœur ces racines charnelles et que vous y fassiez entrer Dieu, au point que vous pouvez communier, adorer Dieu, vous réjouir, chanter en Esprit, laver Ses pieds comme une vraie dame ou un vrai gentleman, ayant le contrôle de votre foyer, et tenant tous vos enfants dans l’obéissance.

38        Il y a quelques jours, là dans l’Ohio, un tribunal a déclaré que tous les enfants devaient être envoyés au Collège. Ils ne veulent pas qu’il y ait d’illettrés dans l’Ohio. Et les Amish n’envoient pas leurs enfants dans ces écoles secondaires modernes. Et parmi tous les Amish, on n’a jamais enregistré dans…?... l’histoire, un seul cas de délinquance juvénile. Ils s’habillent différemment, ils se comportent différemment, et sont particuliers, ils se comportent… Mais la délinquance juvénile ne – n’existe pas chez eux. Pas un seul cas n’a été enregistré chez eux en Amérique. Ils n’envoient pas leurs enfants dans ce genre d’endroits. Et on avait voté une loi selon laquelle leurs enfants devaient fréquenter leurs propres écoles secondaires et collèges.

            Et la mère et le père, eux étaient…?... parce qu’ils n’avaient pas envoyé leur fils.

            Et le juge a dit : « Soit vous l’envoyez, soit vous purgez deux ans en prison. » J’étais à Middletown, dans l’Ohio, au moment où c’est arrivé.

            Et le père a dit : « Je refuse de faire cela, monsieur. Ce n’est pas pour être singulier, mais c’est parce que je suis venu en Amérique pensant que c’était la liberté de religion (Nous n’avons plus de démocratie) – la liberté de religion. »

            Il a dit : « Soit vous vous conformez à nos lois, soit vous subissez – vous subissez la peine comme les autres. »

            Il a dit : « Je refuse de l’envoyer. »

            Il a dit : « Je vous condamne vous et la mère à deux ans de prison. »

39        La dernière fleur de la démocratie s’est fanée dans cette salle d’audience. Le père s’est levé, il a dit : « Très bien, je vais les purger pour épargner mon fils. Je ne veux pas de tous vos rock-and-roll et de tous vos non-sens. » Et quand il sortait, le juge inique a essayé de se justifier en disant : « Souvenez-vous que l’Ecriture déclare : ‘Rendez à César, ce qui est à César.’ »

            S’étant retourné, le père a répliqué : « Et à Dieu… ? » Mais la fleur s’est épanouie de nouveau juste quelques minutes. Toute sa cour a abandonné le poste et a démissionné après cela. Que Dieu soit béni pour quelques Américains vraiment exceptionnels qui sont encore là. Que devrait faire l’église ? Prendre position et se tenir là, sans bouger.

40        Pourquoi y a-t-il cette soif en vous ? C’est pour adorer Dieu. Oh ! David a écrit les Psaumes, la prophétie. C’était un homme de la nature ; il aimait la nature. Oh ! comme c’est merveilleux d’aimer la nature. Oh ! je me souviens des ruisseaux des montagnes où je vais faire la chasse, pas pour tuer les gibiers, juste pour être seul avec Dieu, Le voir se mouvoir dans les buissons, L’entendre dans l’appel de l’élan et du loup, et tout dans les ours qui crient pour le… Oh ! tout dans la nature, les oiseaux et tout, Dieu est tout simplement partout.

            Un jour, je me tenais dans les montagnes rocheuses, j’étais tout en haut. Je chassais là haut en compagnie d’un exploitant de ranch et je… A part nous, il n’y avait, oh, je pense, personne dans un rayon de cinquante [environ 80 km – N.D.T.], quarante miles [environ 64 km] ; la ville la plus proche se situait très loin derrière Corral Peaks, sur le…?... au-delà de plusieurs kilomètres. Et j’ai travaillé là-bas dans un ranch, plusieurs, plusieurs fois, conduisant le bétail et ainsi de suite, faisant même le rassemblement. Nous connaissions donc toute la contrée. Je vais là-bas pour faire la chasse. C’était donc tôt, et les élans n’étaient pas encore descendus, pendant que nous chassions ; en effet, ils étaient très haut. La neige n’était pas tombée.

41        Et je… ?... Il a dit : « Eh bien, Billy, je vais prendre le – le versant nord de la montagne, et toi, prends le versant sud… oriental, et nous allons nous rencontrer dans environ trois jours, et s’il arrive que tu attrapes un gros mâle, suspends-le, et nous allons le transporter sur les chevaux de bât au retour. »

            J’ai dit : « Ok, Jeff. »

            Nous sommes partis pour nous rencontrer un certain jour. J’étais au deuxième jour, je me trouvais tout en haut, à cause de traces réelles des élans, et ils étaient encore en haut. Et à la fin de l’automne, les tempêtes et la pluie viennent, ensuite il neige, et …?... Le soleil vient et sèche cela, puis le temps devient orageux.

Et un grand vent déferla soudain, venant avec la tempête et la pluie, et je me suis mis derrière un arbre. Et je me suis tenu derrière l’arbre juste une minute. Et la tempête est passée, et, oh ! cela avait vraiment soufflé. Et il y avait là un endroit où les arbres avaient été renversés anciennement par le vent. Et après que la tempête fut passée, il faisait frais pendant qu’il pleuvait, et des glaçons pendaient partout sur les – les arbres à feuilles persistantes. Vous savez comment ça devient, et – et juste alors le grand soleil a commencé à filtrer à l’ouest à travers les fentes, et comme un grand œil de Dieu a commencé à regarder furtivement, et un arc-en-ciel s’est formé au-dessus de la vallée. J’ai dit : « Ô Dieu ! il est bon d’être ici. »

            Juste alors, j’ai entendu le vieil élan mâle beugler, et le troupeau lui a répondu, le troupeau s’était dispersé pendant la tempête. Ma mère est une mi-indienne qui est venue des réserves.

42        Et il a donc commencé à appeler : « La profondeur, a dit David, appelle la profondeur. » Le vieux loup gris a hurlé, et la compagne lui a répondu au fond de la vallée. Oh ! la la ! Quelque chose a frappé mon esprit et j’ai crié. Je devins si heureux, j’ai dit : « Ô Dieu ! il est si bon d’être ici. J’ai posé mon fusil, et j’ai tournoyé autour de l’arbre en courant, criant de toutes mes forces, en agitant mes mains. Si quelqu’un était venu dans les bois, il aurait pensé qu’il y avait là un fou. Cela importait peu pour moi ; j’adorais le Seigneur ; je passais tout simplement un moment glorieux.

            Peu après, j’ai remarqué un petit écureuil des pins, un petit gars long à peu près comme ça, la créature la plus agitée des bois. Il a sauté sur une souche et a commencé à faire : « Chatt, chatt, chatt, chatt », comme s’il allait vous mettre en pièces.

            J’ai dit : « Ne sois pas si excité, petit ami, je ne te ferais pas de mal. T’ai-je effrayé ? J’adore le Dieu qui t’a créé. » Suivez ceci. Et je me suis remis à tournoyer sans cesse autour de l’arbre. J’ai dit : « C’est ce que tu devrais faire. »

            Et j’ai remarqué que les yeux du petit ami étaient pratiquement ressortis sur ses joues. Il ne me regardait pas, mais il dressait sa petite tête, regardant tout autour comme cela. Et la tempête avait obligé un grand aigle à descendre là. C’est ce qui l’effrayait.

43        Ce grand aigle a sauté sur une branche, et je me suis dit : « Eh bien, mon Dieu, pourquoi m’as-Tu arrêté pendant que je criais ? Eh bien, pourquoi as-Tu placé cet aigle-là devant moi ? Pourquoi ? Je suis ici à T’adorer. Je sais que Tu es partout, mais serais-Tu dans cet aigle ? » Et j’ai pu prêter attention à cet aigle. Il n’avait pas peur de moi. Et j’ai dit : « As-tu peur de moi ? » Et ces énormes yeux… ?... m’ont regardé ; il n’avait pas peur de moi.

J’ai dit : « Oh ! je vois Dieu dans cet aigle. » J’ai dit : « En effet, il n’a pas peur. Dieu n’a pas peur. »

Vous, vous avez peur : « Si j’accepte ma guérison, je ne pourrai pas tenir bon. Je crains que quelqu’un se moque de moi, Si je reçois Christ dans mon cœur. » Eh bien, vous n’êtes pas encore prêt. Vous n’êtes pas encore suffisamment mort.

44        Ainsi cet aigle n’avait pas peur. J’ai pensé : « Pourquoi n’as-tu pas peur ? » J’ai remarqué qu’il essayait ses ailes, vous savez comment ils remuent leurs plumes. Je me suis dit : « Oh ! c’est ça. Je vois ; Dieu t’a donné deux ailes. » Et si Dieu a donné à cet aigle deux ailes et que ce dernier était sûr qu’il pouvait être dans cet arbre avant que je ne puisse tenir le fusil dans mes mains, s’il pouvait faire confiance à ses ailes comme cela, que devrait faire l’église qui est remplie du Saint-Esprit ? Aussi longtemps que vous Le sentez autour de vous, que vous êtes sûr qu’Il est là, de quoi avez-vous peur ? Vous avez peur que votre patron dise : « Comment t’es-tu rétabli ? »

            « Oh ! … » N’ayez pas peur, dites : « Le Seigneur Dieu m’a guéri. » N’ayez pas peur. Et j’ai remarqué qu’il a…

45        J’ai dit : « Sais-tu que je peux t’abattre ? » Et j’ai saisi mon fusil. Il m’a observé, il m’a encore regardé. J’ai constaté qu’il n’avait pas peur de moi, mais il était fatigué de ce petit tamia, qui se tenait là, faisant : « Tchat, tchat, tchat, tchat, tchat, tchat », faisant simplement tout un tapage. Il en eut donc marre et fut fatigué de lui, il fit tout simplement un grand bond. Il fit environ deux battements d’ailes, et il était hors de l’arbre, et alors j’ai pleuré. Et il a simplement déployé ses grandes ailes comme ceci. Il n’a plus battu des ailes. Il savait tout simplement comment disposer ses ailes. Et chaque fois que le vent venait, il était porté par celui-ci, porté par celui-ci, jusqu’à ce qu’il est devenu juste un petit point.

            Je me suis tenu là et j’ai regardé, et les larmes coulaient sur mes joues. J’ai dit : « Ô Dieu, c’est cela. C’est la raison pour laquelle Tu voulais que je m’arrête ici et c’est pour cela que Tu as envoyé la tempête. C’est ça l’idée. Savoir disposer ses ailes dans la puissance de Dieu, ses ailes de la foi, et quand le Saint-Esprit déferle, Il vous porte. Continuez tout simplement à avancer ; éloignez-vous des tchat, tchat de cette petite marmotte, qui dit que les jours des miracles sont passés, et que la guérison divine n’existe pas. Volez au-dessus de cela. Dieu désire remplir ce cœur.

46        David a dit : « Comme une biche a soif de courants d’eau, mon âme a soif de Toi, ô Dieu. » Ecoutez attentivement, je termine. David se trouvait dans les montagnes, et étant un homme des bois ou un chasseur, il connaissait le cerf. J’en ai vu plusieurs fois ; en Louisiane, on – on le chasse à l’aide des chiens. Là en Afrique, il y a un chien sauvage. Et c’est très étrange, et tout chasseur de cerf ici le sait, que quand vous blessez le cerf, vous l’atteignez, s’il arrive à trouver l’eau, vous l’avez perdu. Du moment qu’il peut trouver l’eau, il peut survivre. Mais, oh ! si les chiens blessent le petit ami… Vous voyez – vous voyez ces cerfs se tenir là, et les chiens ont aussi l’astuce du loup. Et il se glisse très furtivement. Eh bien, techniquement parlant, il a deux crocs de sang juste ici dans sa gueule. Et il attrape le cerf juste derrière l’oreille où passe la veine jugulaire, il y enfonce ses dents, le coyote, le loup, le chien sauvage. Et, il se jette alors en le faisant. Quand il le fait, j’ai vu les coyotes déchirer la gorge du bouvillon. Et il – il se faufile ; vous ne savez pas où il se trouve. Et il attrape le cerf, et il suspend son poids et tranche la veine jugulaire, et le petit cerf trébuche quelques fois, et ç’en est fini de lui. Puis il est couvert de chiens, et de coyotes qui le dévorent, arrachent de ses os la peau et la chair sur-le-champ.

47        Combien cela est vrai ce soir, pour bon nombre de jeunes chrétiens innocents. Vous jeunes filles, avec ce petit Elvis Presley, le rock-and-roll, Pat Boone, les affaires d’Arthur Godfrey, le diable pour accrocher cela – a mis cette histoire de rouge à joues sur votre visage pour amener les garçons à faire ce – ce (des coureurs de jupons, c’est ce qu’ils sont. C’est vrai), à faire ce sifflement. Tu portes de petits vêtements comme cela, et tu dis que c’est pour montrer ton petit corps. Oh ! bien-aimée chérie, j’ai aussi deux fillettes chez moi. Que Dieu soit miséricordieux, mon enfant. Tu ne t’en rends pas compte, chérie, que c’est un piège du diable. Ne t’habille jamais pour qu’un homme puisse te regarder comme cela. Garde-toi pour ton bien-aimé petit mari qui viendra un jour. Dieu te le donnera.

            Et là, les loups de l’enfer sont immédiatement à tes trousses, et tu les cajoles. Mais un jour la veine jugulaire sera coupée. Ç’en sera fini de toi. Alors tu trébucheras quelques fois, ç’en sera fini de toi. C'est innocent : « Oh ! juste un peu de rock-and-roll ne ferait aucun mal ». Et j’ai remarqué que notre YMCA [Association des jeunes gens chrétiens – N.D.T.] enseigne cela. Qu’est-ce que cette semence qui est là à l’intérieur réclame, est-ce Christ ou la malédiction ? C’est une disgrâce. Ç’en est fini d’elle, la nation toute entière est souillée, elle est pourrie jusqu’à l’os, parce que l’église s’est relâchée. Elle devrait être une référence.

48        Le cerf… Le chien a une autre technique pour attraper le cerf. S’il le rate à l’oreille, il l’attrapera au flanc. Le train arrière du cerf est plus lourd que le train avant, et s’il arrive à l’attraper juste au flanc avec ces dents, et à arracher une grande bouchée du cerf, si ce n’est pas un cerf rapide, il va… le chien va… en plein milieu ou bien le loup va terrasser le cerf. S’il rate cette partie-là, il va l’attraper par le flanc. Mais si le cerf est très rapide, il fait un saut rapide. Il ne doit pas sauter lentement, il doit sauter vite. Et si le petit cerf se tourne rapidement de côté, le – le chien va arracher toute une bouchée. Et si donc le cerf est prompt et rapide, il se sauvera.

            Ecoute, chère sœur, si tu es juste au bord de cela, et que le diable t’a attirée, saute rapidement. N’attends pas le prochain réveil. Saute maintenant. Si tu as eu ton premier rendez-vous de rock-and-roll, n’y va plus jamais, saute aussi vite que possible loin de là. Si tu t’habillais tel que tu ne le devrais pas, habille-toi décemment, comporte-toi en dame, en chrétienne. La meute de l’enfer galope après toi.

49        Alors quand elle est attrapée… Le petit animal va courir aussi vite que possible, le sang coulant à flot, observez ici. Il lui faut trouver l’eau. Ils sont juste derrière lui. Il doit trouver l’eau. S’il ne trouve pas l’eau, ç’en est fini de lui. Qu’il trouve l’eau, et il vivra. Mais il doit trouver l’eau très vite. Et s’il peut traverser un ruisseau… Vous les chasseurs, vous savez ce que je veux dire. Il va boire, il va monter la colline, cela va le revigorer. Il va descendre et boire de nouveau, il va laisser les chiens d’un côté ou de l’autre, le chasseur, l’un ou l’autre. En faisant des va-et-vient et en traversant cette rivière, il peut vivre.

50        Mais pensez à David, quand il a dit : « Comme une biche soupire après des courants d’eau, ainsi mon âme a soif de Toi, ô Dieu. » Si ce cerf ne trouve pas l’eau, il est mort. Et si vous ne pouvez pas parvenir à Christ, pas à l’église… Le diable essaie de placer quelque chose de faux là en vous, il essaie de vous satisfaire, cette grande soif qui est en vous, en disant : « Oui, j’ai adhéré à l’église. » C’est pratiquement aussi faux que faire tout autre chose. Il essaie de… « Oh ! je suis presbytérien, je suis pentecôtiste, je suis catholique, je suis baptiste. » Ça ne veut rien dire pour Dieu. Vous pouvez être membre de n’importe quelle église et aller en enfer comme une hirondelle à son nid.

            Jésus a dit : « Si un homme ne naît de nouveau, il n’entrera pas. »

            « Eh bien, je paie mes dîmes, je fais ceci. » C’est très bien, cher frère.

            « Eh bien, je vous assure, c’est notre église qui reçoit les plus grosses offrandes missionnaires dans le pays. » C’est très bien. « Nous avons la plus belle église de la ville, elle a plus de membres. » C’est bien, mais cela n’a rien à voir avec le salut, pas du tout. Dieu ne reconnaît même pas cela. « Si un homme ne naît d’Esprit et d’eau, il n’entrera pas du tout. »

51        L’intellect n’aide pas ; ça doit aboutir à une naissance ici. Adhérez à autant d’églises que vous voulez, à de bonnes églises saintes, cela n’a toujours rien à voir avec la chose. Qu’on vous baptise la face en avant, en arrière, qu’on verse de l’eau sur vous, qu’on vous asperge, cela ne… Vous descendez tout simplement un pêcheur sec et vous remontez un pêcheur mouillé. Cela ne vous fait rien que vous souiller. Vous êtes deux fois plus un enfant de l’enfer que vous ne l’étiez au départ. La personne la plus malheureuse au monde, c’est celle qui essaie d’imiter le christianisme ; c’est malheureux. Vivre pour Christ, c’est une joie. Ce sont des ailes par lesquelles vous volez au-dessus de la chose, et votre âme commence à avoir soif comme le cerf. « Oh ! si je n’arrive pas à trouver cela, je vais mourir. » Vous trouverez cela. Si vous avez soif de Dieu comme cela, vous Le trouverez. « Oh ! mon âme soupire après Toi, dans une terre aride, desséchée, sans eau. Je soupire de contempler Ta puissance comme je l’ai vue dans Ton sanctuaire. » Votre âme a-t-elle soif comme cela ce soir ?

            « Seigneur Jésus, viens auprès de nous. Bénis-nous. Fais pour nous ce que Tu fis pour ceux de la première heure. Ôte de moi le monde, et laisse-moi T’adorer. » Votre âme a-t-elle soif comme cela ? Aussitôt, une source jaillira au-dedans de vous. Vous vivrez.

52        « Frère Branham, dites-vous, je suis aussi bon que tous les autres. Je ne suis pas tenu de faire ces choses. »

            Vous êtes en train de mourir et vous ne le savez pas. « Comme une biche soupire après les courants d’eau, mon âme a soif de Toi, ô Dieu. » Vous devez trouver l’eau, sinon vous allez mourir. Vous devez trouver Dieu, sinon vous allez mourir. « Je dois voir, Seigneur, sinon je périrai. »

            Oh ! combien nous avons besoin de Lui ce soir, dans un réveil à l’ancienne mode envoyé de Dieu, où les hommes et les femmes se mettent réellement en ordre avec Dieu. Prions.

53        Dieu bien-aimé, ce petit message entrecoupé du salut ici ce soir, j’espère cependant qu’il ne retournera pas à vide, c’est ce que Tu as promis. Tu as dit : « Cela accomplira ce à quoi cela était destiné. » Et Tu connais toutes choses, Père, Tu sais donc que c’était destiné à essayer de sauver l’église, les gens, pas pour être singulier ni quoi que ce soit, mais pour être… pour ramener l’église à la communion avec Toi.

            Nous Te prions d’accorder cela ce soir, Seigneur. Que ces âmes assoiffées commencent à regarder et à se poser des questions maintenant. Fais qu’ils cherchent en disant : « Ô Dieu ! », jusqu’à ce qu’il retourne. Que le prédicateur abandonne ses petites doctrines insignifiantes, qu’il revienne et ramène l’Eglise à Christ, peu importe qu’il soit baptiste, presbytérien, pentecôtiste, quoi qu’il soit. Que les membres commencent à avoir soif de Toi, Seigneur, et parviennent à Te trouver.

Il y a donc une Fontaine remplie de Sang,

Tiré des veines d’Emmanuel,

Quand les pécheurs plongent dans ce flot,

Ils perdent toutes les taches de leur culpabilité.

Le voleur mourant s’est réjoui de voir

Cette Fontaine en son jour ;

Que là, je puisse aussi, bien que vil comme lui,

Laver tous mes péchés.

54        Puisse cela être la soif de ces jeunes filles, des femmes âgées, des jeunes gens et des hommes âgés. Accorde-le, Seigneur. Crée en eux une soif ce soir, une soif de Toi. Révèle-leur que même ces mondanités avec lesquelles ils – ils essayent de se satisfaire… « Oh ! Je suis membre de l’église. Il n’y a pas de mal à faire ceci ou cela. » Ô Dieu, réveille-les pour qu’ils comprennent que c’est Satan qui fait cela, et que cette soif qu’ils ont pour de beaux moments et ainsi de suite a été placée en eux pour qu’ils T’adorent, et pour recevoir Tes bénédictions, et pour se réjouir de Ta communion, pas de la communion du monde, mais la communion de Christ. Accorde-le, Seigneur. Nous le demandons en Son Nom. Amen.

55        Pendant que vous restez juste un instant… Eh bien, demain on va distribuer les cartes de prière pour la guérison, demain soir. Ce soir, c’était un… Je désire faire l’appel à l’autel juste une minute. Ainsi, combien sont ici pour la première fois, ceux qui ont déjà entendu parler des réunions, et comment le Seigneur donne des visions, mais qui n’ont jamais assisté à une seule réunion ? Faites voir vos mains. Y’a-t-il quelqu’un ici ? Oh ! Il y en a plein ici dans toute la partie de devant. Très bien. Les nouveaux venus…

            Vous avez appris que notre Seigneur Jésus a dit qu’Il ne faisait rien avant que le Père lui ait montré en vision ce qu’Il devait faire. Vous souvenez-vous de cela ? Avez-vous lu cela dans la Bible ? Cependant, si Jésus apparaissait aujourd’hui, ferait-Il la même chose qu’Il a faite jadis ? Cela amènerait-il votre âme à avoir soif de Lui, si vous Le voyiez se tenir ici dans cette salle au milieu de nous tous, et accomplir et faire les mêmes choses qu’Il faisait quand Il était ici sur terre, seriez-vous reconnaissants pour cela ? Levez la main, dites : « Oh ! Cela créerait une autre soif. » Que les bénédictions soient sur vous.

56        Maintenant, je ne… j’aimerais prier et demander au Seigneur, à partir d’ici même, pas pour vous faire monter ici. Je me sens vraiment conduit en regardant ici en bas, et en voyant cette photo-ci avec cette… la Colonne de Feu dessus, qui conduisit les enfants d’Israël dans le désert, et sachant… J’ai regardé par ici, et je La vois suspendue juste au-dessus de l’assistance. Ainsi je… Que nous ayons des cartes de prière ou pas, je crois que Dieu veut faire quelque chose ici après lequel vos âmes assoiffées vont soupirer.

            Maintenant, vous là-bas, qui êtes malades et affligés, la Bible dit que Jésus-Christ est maintenant même le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Que tous ceux qui connaissent cette Ecriture disent Amen. [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Quand Il était… La Bible dit dans Hébreux 13.8 : « Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. » Est-ce juste ? Quand donc Il était ici sur terre, une fois une femme souffrait d’une perte de sang. Ainsi les hommes se pressaient tout autour, Lui tapotant l’épaule et Le bénissaient et tout, et disaient : « Bonjour, révérend. Enchanté de faire Ta connaissance. Nous sommes reconnaissants que Tu sois ici à cette campagne », et vous savez, comme cela, et ainsi de suite comme le font les hommes et tout le monde.

57        Mais il y avait une petite femme ; elle souffrait d’une perte de sang, et les médecins n’avaient pu rien faire pour elle. Elle s’est donc faufilée à travers la foule et elle a dit : « Oh ! Il est le Fils de Dieu. Si je peux toucher Son vêtement, je serai guérie. » Et elle a touché Son vêtement, puis elle s’est retirée.

            Jésus s’est arrêté et a dit : « Qui m’a touché ? » Ça, c’était Jésus hier, n’est-ce pas ? Pour les sentiments d’infirmité.

            Et Pierre a dit : « Oh ! Seigneur… » Il a repris le Seigneur et il a dit : « Eh bien, eux tous Te touchent. Pourquoi dis-Tu : ‘Qui m’a touché ?’ »

            Il a dit : « Mais Je suis devenu faible. La vertu est sortie de Moi, la force. »

            Et il a probablement parcouru du regard l’assistance, peut-être de la taille de celle-ci ce soir, peut-être plus grande, peut-être plus petite. Il a regardé tout autour, et Il a découvert cette personne qui L’avait touché. Et Il lui a dit ce qu’était son infirmité, et que sa foi l’avait guérie. Combien savent que c’est vrai ?

58        Eh bien, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il a dit : « Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus. Mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde. Je suis le Cep ; vous êtes les sarments. » Les sarments portent les fruits du cep.

            Eh bien, Il est à l’œuvre dans Son Eglise. Je me demande si – s’il y a ce genre de foi ce soir dans cet auditoire, une foi qui peut toucher Ses vêtements, pendant que je me soumets à Lui, avec vous, afin qu’Il revienne sous la forme du Saint-Esprit et fasse la même chose ici sur cette estrade ce soir. Vous là-bas qui n’avez pas de cartes de prière, ce nouveau groupe ici, s’Il… Vous Le voyez par la carte. Mais maintenant, s’Il descend ce soir, et – et fait cela depuis l’estrade ici, et fait la même chose qu’Il faisait quand Il était ici dans la chair, croirez-vous qu’Il était alors à l’œuvre dans Son Eglise ? Croirez-vous cela, le même hier… ?

            Prions encore. Maintenant, pécheurs, soyez très respectueux.

59        Seigneur Dieu, j’ai confiance que Tu le feras. Je ne sais pas. Je Te prie de le faire, à cause de la petite vision de tout à l’heure. Accorde, Seigneur, qu’il en soit ainsi, au Nom de Christ ; je me soumets à Toi, et je demande que le Saint-Esprit entre dans les cœurs des gens. Que les Anges prennent leur position à côté de ces malades, et à côté des incroyants et des pécheurs, et qu’ils sachent que Tu es ici. Et cette soif par laquelle ils ont soupiré de voir, accorde-le, Seigneur, que Tu te tiennes juste à côté d’eux.

            Certains ici ont soif de la guérison. Tu es l’eau de la Vie. Et je Te prie, ô Dieu, d’agir de la même façon, à travers Ton corps mystique qui est ici, l’Eglise de la même manière que Tu la fis lorsque Tu étais ici sous la forme de Ton corps physique, appelé Jésus. Accorde-le, Père, au Nom de Jésus. Amen.

60        Je demande du respect. Et maintenant, soyez très respectueux. Chaque personne ici, autant que je sache, m’est inconnue, à l’exception de mon fils, de M. Vayle et de M. Goad qui est juste ici. Les autres, je ne connais pas.

            On dirait que je dois connaître cet homme qui est assis jute ici. Je… Est-ce que je vous connais, monsieur ? Je… Votre visage me dit quelque chose, mais je – je ne me souviens pas de votre nom, mais c’est la seule personne que je connaisse.

61        Maintenant, soyons très respectueux, et regardons simplement au Seigneur Jésus et disons : « Maintenant, Seigneur… » Vous là-bas, vous qui êtes malades, dites : « Seigneur Jésus, cet homme m’a dit que si nous avons soif, eh bien, que c’est Toi qui peux nous donner… étancher cette soif que nous éprouvons. Il nous a dit que Tu es ressuscité des morts et que Tu es tout le temps le même. Eh bien, j’ai lu dans la Bible là où une femme a touché Ton vêtement, et Tu as connu son problème, exactement comme Tu pouvais le dire à Philippe, là où il était, et à Pierre, le nom de son père, et toutes ces choses dans la Bible. Et les – les pharisiens T’ont traité de démon, ils ont dit que Tu étais un liseur des pensées ou un – un Béelzébul, c’est-à-dire un démon. Mais ces gens sur qui était accompli ce miracle savaient que Tu étais le Fils de Dieu. Tu as dit à la femme au puits où se situait son péché, et elle est entrée dans la ville en courant et a dit : ‘Venez voir l’Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce pas le Christ ?’ Maintenant, Seigneur, si Tu demeures le même, il fait sombre aujourd’hui. Certains disent : ‘Les méthodistes ont raison, les baptistes ont raison, les luthériens ont raison, les pentecôtistes ont raison.’ Ô Dieu, qui a raison ? C’est Jésus qui a raison.

62        Et je crois qu’Il est dans chacune de vos églises. Certainement. Méthodistes, baptistes, presbytériens, pentecôtistes, et Il vous aime. Cela ne change rien, l’église dont vous êtes membre ; regardez simplement à Lui maintenant et dites : « Seigneur, je crois en Toi. » Puisse-t-Il accorder…

            Maintenant, pendant que nous sommes en prière, que tout le monde soit respectueux. Cependant si pendant que vous priez vous m’entendez appeler, levez les yeux. Voyez-vous ? En effet, il me faut parler vite. Voici la photo. On vous en a parlé. George J. Lacy, le chef du département des empreintes digitales et des documents du FBI a pris la photo de l’Ange de Dieu, la Colonne de Feu qui conduisait les enfants d’Israël. Et tout le monde sait que cette Colonne de Feu, c’était Jésus-Christ. Croyez-vous cela ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Oh ! Il a dit : « Je viens de Dieu et Je retourne à Dieu. » Et après qu’Il fut retourné, Paul L’a rencontré sur le chemin de Damas, une Lumière, Il était de nouveau une Colonne de Feu, qui a aveuglé ses yeux. Lorsque Pierre était en prison, la Colonne de Feu est venue et l’en a fait sortir. La voici de nouveau qui apparaît à la fin de l’âge des Nations, le même Jésus. Dans cet âge scientifique dans lequel nous vivons, Il est apparu au monde scientifique. Les gens ne peuvent pas dire le contraire. Examinez cela.

63        Maintenant, soyez très respectueux. Maintenant, prions. Que tous ceux qui sont malades, prient maintenant. A présent, c’est vous qui devez Le toucher. Moi je… Il va… Je ne peux plus… ne vous connaissant pas, je ne peux pas savoir quoi que ce soit à votre sujet, pas plus que cette chose-ci ne peut parler sans qu’il y ait quelque chose derrière cela pour parler ; c’est muet. Priez tout simplement. Maintenant, je n’ai aucune idée. Mais vous avez promis de croire en Lui.

            Maintenant, Seigneur, je Te prie d’accorder cela pour Ta gloire.

            Juste dans un esprit d’adoration, dites : « Seigneur Dieu, je – je suis vraiment dans le besoin. Laisse-moi Te toucher. » Ne soyez pas nerveux. C’est lorsque vous devenez hystérique que vous vous éloignez de Lui. Il est juste avec vous.

64        Maintenant, maintenant vous pouvez relever la tête juste un instant. La Lumière du Saint-Esprit, qui est (pour vous hommes de science) dans cette dimension, pour vous chrétiens, dans cette atmosphère du Saint-Esprit qui s’empare maintenant de moi… vous ne pourriez pas cacher votre vie, si vous deviez le faire. Je ne peux pas guérir ; Dieu l’a déjà fait. Mais cette Lumière est suspendue au-dessus d’une femme de couleur, assise juste ici, avec une petite boule sur son chapeau.

            Vous priez pour quelque chose, n’est-ce pas, Tantine, la femme de couleur ? Oui, oui. Vous êtes affligée, ou quelque chose ne marche pas. Vous ne… Avez-vous une carte de prière ? Vous n’avez pas de carte de prière ? Non ? Vous n’en avez pas besoin. Si le Seigneur Dieu me révèle ici, Tantine, votre problème, croirez-vous que je suis Son serviteur, qui vous dit la vérité de la Bible ? Allez-vous croire ? Vous croyez. Que le Seigneur vous bénisse, sœur. C’est la raison pour laquelle Elle est suspendue au-dessus de vous.

65        Maintenant, un instant. Elle descend ; La voilà. Très bien. La femme souffre de l’arthrite. Cette arthrite se situe dans la colonne vertébrale, et elle a aussi… qui est due à une nervosité vraiment extrême. C’est tout à fait vrai, la dame de couleur assise là, avec la petite boule sur son chapeau. Si c’est juste, madame, oui… Levez la main si c’est juste. Je parle à la dame de couleur, là derrière, madame. Très bien. Ça y est. Vous n’avez plus cela maintenant. Cela vous a quittée.

            Je ne sais pas pourquoi la grâce de Dieu, vous tous les Blancs… Je parlais des gens de couleur et je racontais comment ils étaient sauvés. Dieu les aime. Cette pauvre petite femme-là, il se peut qu’elle ait moins d’instruction que tout le monde qui est assis ici, mais elle connaît Dieu.

66        Il se fait qu’étant donné que le Seigneur l’a bénie… Une dame de couleur est assise juste là à côté d’elle. C’est comme s’il y… Cela se forme autour d’elle. Elle a crié il y a quelques instants. Je ne vous connais pas, n’est-ce pas, madame ? Si le Seigneur Dieu me révèle votre problème, ce dont vous souffrez, allez-vous – vous saurez si c’est la vérité ou pas, n’est-ce pas ? Vous souffrez de la sinusite. C’est juste. Si c’est juste, levez la main. Cela est parti maintenant. Que Dieu vous bénisse.

67        Vous qui avez la main levée là, l’autre dame de couleur assise là qui agite la main, croyez-vous que je suis serviteur de Dieu ? La jeune femme, me croyez-vous ? Je ne vous connais pas, n’est-ce pas, sœur ? Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Croyez-vous que je suis le serviteur de Christ ? Et qu’il ne s’agit pas de moi ? Voici un cas semblable à celui de Jésus parlant à la femme au puits. Elle était une Samaritaine. Lui était un Juif. Vous êtes une Ethiopienne, et moi je suis un Anglo-saxon. Cela fait deux différentes… C’est le même Esprit. Maintenant, si Christ… Cette femme m’a cru. Eh bien, Jésus ne connaissait pas son problème, mais quand Il a découvert son problème, Il le lui a dit ; elle est allée dans la ville et a dit : « C’est le Fils de Dieu. C’est le Messie. »

            S’Il vous disait la même chose, en œuvrant à travers vous et moi maintenant, comme deux races totalement différentes, et c’est la première fois que nous nous rencontrons... Mais vous êtes consciente que quelque chose se passe, n’est-ce pas, madame ? Une sensation très douce et très humble vous environne. Si c’est juste, levez la main, la petite dame de couleur au châle rose. Vous souffrez des troubles cardiaques et d’une tumeur. Si c’est juste, levez la main. Jésus-Christ vous a guérie. Si tu peux croire.

68        Certains d’entre vous les Blancs, croyez, vous les nouveaux venus qui êtes ici. Et… Oh, n’est-ce pas… Vous devriez être dans un vrai esprit d’adoration. Nous sommes dans la Présence de Jésus. S’il vous plaît, les amis, si jamais vous croyez, en tant que votre frère, laissez-moi placer ma Bible sur mon cœur, croyez maintenant même. Mettez de côté votre théologie. Dites simplement : « Seigneur Jésus, je réalise qu’il y a Quelque chose ici. Forcément. »

            La voici – voici juste au-dessus d’un petit homme qui se tient juste ici, juste au bout de la rangée. Il souffre d’une maladie de la peau, un petit homme, là. Croyez-vous en Dieu ? C’est juste, n’est-ce pas, monsieur ? Si c’est juste, levez la main. Je ne vous connais pas, n’est-ce pas ? Très bien. Vous allez guérir de cela maintenant. Ne vous inquiétez pas. Les bénédictions de Dieu sont sur vous. Là où c’était sombre, c’est devenu clair. Ayez foi en Dieu. Croyez-vous ? Croyez-vous tous ?

            Voici… Maintenant, ici, mon ami, prenez ces gens, ces nouveaux venus, si possible, juste ici, alors qu’ils gardent tous leurs mains… Où que ce soit, je dois tout simplement… Où qu’Il appelle, c’est là que je dois répondre.

69        Il y a une petite dame assise juste ici, qui me regarde tout droit, à la deuxième rangée. Oui. Croyez-vous que le Seigneur Jésus va vous guérir ? Vous souffriez, n’est-ce pas ? Vous souffrez. Et vous étiez assise là en train de prier dans votre cœur : « Ô Dieu, fais qu’il me parle ce soir. Je crois en Toi, Seigneur. » Eh bien, si c’est vrai, levez la main. La dame …?... Merci. Si le Seigneur me révèle votre problème, allez-vous croire en Lui, qu’Il veut vous rétablir ?

            Je vous vois sortir plutôt lentement de votre lit le matin. Vous souffrez du rhumatisme. C’est juste. Maintenant, je désire vous demander quelque chose : sincèrement, vous ne – vous ne sentez plus cela maintenant, n’est-ce pas ? Non, le Seigneur vous a guérie. C’est juste.

70        L’autre dame qui est assise là à côté de vous, elle est aussi souffrante. La petite dame qui a la tête baissée, en train de prier. Vous priez, disant : « Ô Seigneur, que ce soit moi la suivante. » Est-ce juste ? Croyez-vous que je suis Son serviteur ? Vous qui êtes assise juste à côté de la petite dame là, qui venait d’être appelée. Aimeriez-vous aller prendre votre souper et apprécier de nouveau un bon repas ? Vous souffrez de l’estomac, n’est-ce pas ? C’est juste. C’est une maladie de l’estomac qui a été causée par le fait de – de trop réfléchir. Vous vous occupez des problèmes pas en temps voulu, et des choses comme cela. C’est une…plus comme une nervosité mentale. Vous n’êtes pas un nerveux chancelant, mais vous êtes simplement – vous êtes simplement… vous réfléchissez trop. Vous ne devriez pas faire cela, soyez heureuse. Maintenant, vos troubles de l’estomac sont partis…?... chez vous maintenant.

71        Que pensez-vous ? La dame âgée assise à côté d’elle, qui regarde tout autour là et qui est en train de prier ? La Lumière est allée directement au-dessus de vous, la dame qui a la petite rose sur la veste. Croyez-vous que je suis  serviteur de Dieu ? S’il vous plaît, s’il vous plaît, ne laissez pas…?... C’est ce qui fait cela, mon ami. Voyez, vous privez les gens de leur guérison. Je vous en prie, je vous en prie, soyez respectueux juste un instant.

            Voyez-vous, vous avez une âme, et quand vous vous déplacez, cela fait partir l’Esprit. Vous dites : « Frère Branham, c’est de la psychologie. » Que diriez-vous alors de Jésus, quand Il a fait sortir tout le monde de la maison, de la maison de Jaïrus, lorsqu’Il y est entré pour ressusciter la fille ? Soyez respectueux. Ayez au moins du respect pour les malades, du respect pour Jésus.

72        Eh bien, soyez de nouveau très respectueux, maintenant, voyons ! Qu’était-ce ? C’était une vision qui apparaissait. Mais je ne sais pas ce que c’était. Continuez simplement à prier. C’est comme si j’étais juste par ici devant, quelque part. Dieu va certainement faire cela de nouveau dans Sa miséricorde. Où était-Elle ? Elle était… La voici de nouveau.

            C’est la dame qui a une rose sur sa veste. C’est d’elle qu’il s’agissait. Elle souffre de la hernie. C’est juste, n’est-ce pas, sœur ? Si c’est juste, levez la main. Croyez-vous en Dieu pour votre guérison ? Voulez-vous m’accorder une faveur ? Imposez la main à cette dame qui est à côté de vous ; elle souffre de l’arthrite. Elle veut aussi se rétablir. N’est-ce pas juste, madame ? Très bien. C’est bien, maintenant, vous l’avez.

            Il y a une dame assise à côté de vous ; voyez-vous cet esprit de ténèbres là de l’autre côté, qui vient là ? C’est cet esprit-là qui demande du secours à celui-ci qui est par ici. Imposez la main à la femme qui est à côté de vous ; elle souffre aussi de l’arthrite. Et il s’agit de cette dame-là. Vous souffrez aussi de l’arthrite, n’est-ce pas ? Vous êtes toutes les deux guéries, vous pouvez donc rentrer chez vous, être bien portantes. Dieu vous a rétablies. Ayez la foi.

73        Là derrière, de ce côté, il y a quelqu’un. Ayez la foi, mes amis, croyez en Dieu. Ne doutez pas de Lui. Croyez tout simplement en Lui.

La voici. Regardez de vos yeux, les amis. Ne… Vous voulez dire que vous ne voyez pas cette Lumière ici, juste au-dessus de la femme assise au bout. Oui. Vous étiez en train de prier, n’est-ce pas ? Sincèrement. Je ne vous connais pas. Est-ce juste ? Vous ne me connaissez pas. C’est notre première fois que nous nous rencontrons. Si le Saint-Esprit me révèle l’objet de votre prière, croirez-vous alors que je suis Son serviteur ? Vous croirez ? Vous êtes consciente maintenant que vous êtes en contact avec Quelque Chose. Vous êtes une chrétienne, une croyante. Vous avez un problème au dos. C’est un mal de dos. N’est-ce pas juste ? C’est pour cela que vous étiez en prière. Vous n’êtes pas de cette ville. Vous n’êtes même pas de cet Etat. Vous êtes de Rhode Island. C’est juste. Mme Leighton … ?... L-e-i-g-h-t-o-n, Mme Leighton. Est-ce juste ? Levez la main. Maintenant, vous rentrez chez vous bien portante. Votre mal de dos vous a quittée. Jésus-Christ vous a guérie. Croyez-vous ? Tout l’auditoire croit-il ? Inclinons alors la tête juste une minute.

74        Père, nous sommes conscients d’être ici dans Ta Présence. Peut-être qu’il y a…?... des gens qui sont ici ne reviendront peut-être plus jamais. Ceci peut être leur dernière soirée. Alors que Tu es présent, Seigneur, je Te prie, au Nom de Christ, d’être miséricordieux.

            Et avec vos têtes inclinées juste un instant, pendant que l’orgue joue lentement, doucement… Combien ici maintenant, dans la Présence de Christ, sachant qu’Il est ici, combien aimeraient lever la main et dire : « Frère Branham, priez pour moi, je désire avoir la véritable expérience avec le Dieu dont vous parlez. Je suis las de mener une vie à moitié, et je – je suis… » ? Peut-être que vous êtes un pécheur et que vous désirez être sauvé. Levez bien – bien haut la main, je vous prie, vers Dieu. C’est juste. Que Dieu vous bénisse. Oh ! la la ! Quarante, cinquante, cent mains ou plus sont levées. Que Dieu vous bénisse. Je vais vous demander quelque chose, si elle veut bien jouer… pendant qu’elle joue l’orgue. Si vous croyez que Dieu écoute ma prière pour les malades… Bien sûr, Il m’a écouté pour cet appel à l’autel. J’aimerais que vous veniez ici vous tenir juste ici, ici tout autour, pour me permettre de descendre prier pour vous. Je vous en prie ?

75        Juste… levez-vous lentement maintenant, nous allons chanter Presque persuadé. Maintenant, je voudrais que chacun de vous qui désire que Dieu change sa vie maintenant même… S’Il peut changer votre corps, Il peut changer votre vie. Et tout cet endroit qu’Il a préparé en vous pour que vous ayez soif de Lui et que vous désiriez L’adorer, et pour qu’Il y entre et ôte de vous tous les désirs du monde… Voudriez-vous descendre carrément ici pour prier ? Voulez-vous le faire pendant que nous chantons Presque persuadé ? Très bien, la sœur à l’orgue, si vous voulez bien nous donner un accord. Très bien.

76                    Presque persuadé

            Que tout le monde soit respectueux… ?... siège maintenant…

            Approchez carrément maintenant, juste ici, juste le long…?... Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. C’est juste. Venez carrément, et descendez carrément. Le Saint-Esprit vous appelle. Quelqu’un va se lever et vous faire passer pour que vous veniez. C’est juste. Oh ! Il y a une grande assistance qui adore ici. Descendez carrément, s’il vous plaît.

                        Presque… (Soyez sincère maintenant) c’est échouer !

                        Triste, triste, ce gémissement amer :

                        « Presque », mais perdu !

                        Presque…

            Oh ! beaucoup parmi vous devraient venir, approcher carrément. Avancez. C’est juste, des gens de couleur…?... Peu importe ce que vous êtes, protestant, catholique, Juif…?... quoi que ce soit, venez. Si vous ne connaissez pas Dieu …?... Venez carrément maintenant, je vous prie…?...

                        … détourne pas

                        Oh ! c’est comme si maintenant une âme dit

                        « Va t’en, Esprit, va Ton chemin,

                        Un autre jour plus opportun,

                        Je T’invoquerai. »

            [Frère Branham se met à fredonner cela. – N.D.E.] Hum…

77        Soyez sincère maintenant, il y en a d’autres ici. Voulez-vous dire que cette âme qui est en vous sait réellement que selon le message de ce soir, vous êtes condamné, vous ne vivez pas tel que vous le devriez ? Alors voyez cette même Lumière, que vous voyez ici dans la Bible, descendre et produire les mêmes choses qu’Elle faisait quand Elle habitait dans un corps appelé Jésus. Il a promis d’être dans Son Eglise. Il descend droit dans Son Eglise et fait la même chose, pour montrer qu’Il est ici, et votre âme en vous vous condamne, les Anges de Dieu se tiennent là tout près et disent : « Tu devrais aller. » Ceci pourrait être votre dernière occasion. Il se pourrait que vous n’arriviez pas chez vous ce soir. Il se pourrait que le matin vous soyez étendu mort sur le lit. Dans un an, vous pourriez être en train de vous décomposer dans la tombe. Et maintenant, il se pourrait que ce ne soit pas le cas, je ne sais pas, mais je dis tout simplement que cela pourrait vous arriver. Un jour cela vous arrivera. Pourquoi pas maintenant ?

78        Connaissez-vous ce vieil appel à l’autel qui se faisait dans le Sud : Oh ! pourquoi pas ce soir ? Est-ce que les gens connaissent cela ? Donnez-nous-en l’accord. Et je vais vous demander quelque chose. Venez, vous membres d’églises tièdes, vous qui savez que vous avez mal agi. Vous femmes, vous hommes, garçons et filles, secouez-vous juste… Je me sens conduit à faire ceci, les amis. Certainement, Dieu… Ne savez-vous pas que je vous dis la vérité ? Dieu l’a prouvé. Eh bien, je vous dis la vérité. Il y en a beaucoup qui devraient être debout ici. Ne voulez-vous pas venir maintenant ? Ne voulez-vous pas venir ?

                        Oh ! ne laisse pas la Parole passer,

                        Et ne ferme pas les yeux à la Lumière,

                        Voici le moment, oh ! sois donc sage,

                        Oh ! pourquoi pas ce soir ?

            Tous ensemble…

                        Oh ! pourquoi pas ce soir ? (Pas ce soir ?)

                        Oh ! pourquoi…

            C’est juste, venez, sortez carrément et venez. Descendez carrément l’allée. Amenez-vous ici. Dieu est prêt à vous donner cela, si vous vous levez et dites : « J’ai besoin de cela. » Il ne peut vous bénir que si vous êtes… sentez que vous êtes dans le besoin. Si vous vous sentez suffisant, ok.

                        … pas ce soir ?

                        Demain il se peut que le soleil ne brille jamais,

                        Pour bénir ta longue vision illusoire ;

                        Voici le moment, oh ! sois donc sage,

                        Il sauve tout le monde ce soir (Je vous donne Jésus.)

                        Oh ! pourquoi (Dites-moi pourquoi) pas ce soir ?

            (Quelle raison pouvez-vous avancer pour ne pas venir ?)

                        … pas ce soir ?

                        Sois tout simplement sauvé, et pourquoi

            (C’est juste, descendez carrément)… ce soir ? [Frère Branham se met à fredonner cela. – N.D.E.] Hum…

79        Quelles excuses pouvez-vous présenter maintenant ? Eh bien, permettez-moi de vous dire ceci à vous qui êtes là derrière, alors que je sais dans mon cœur, par l’Esprit de Dieu, que vous L’attristez en faisant ce que vous faites. Permettez-moi de dire, avec la Bible sur mon cœur, l’Ange de Dieu étant avec moi : « Le sang n’est pas sur mes mains, j’ai dit la vérité. Il vous faut marcher avec Dieu ; vous sortez de la communion. Descendez. Voici l’heure pour vous. » Venez maintenant pendant que nous chantons encore une fois. C’est la dernière ? Pourquoi ? Donnez-moi la raison. Pourquoi ? Pourquoi ne le devriez-vous pas ?

            Vous dites : « Mon emploi. » Quittez-le.

            « Ma mère va me chasser de la maison. » Beaucoup ont marché seuls avec Christ.

            « Mon père n’appréciera pas cela. » Votre Père céleste vous acceptera. « Je vous donnerai des pères, des mères et… » Moi aussi j’ai dû quitter ma maison à cause de cela. Mais Dieu m’a donné des dizaines des milliers de pères et de mères à travers le monde. C’est la plus grande chose qu’un homme puisse jamais faire, quand il… ou une femme, quand ils quittent leurs sièges pour aller à l’autel de prière. C’est juste.

80        Je ne vous demande pas de venir adhérer à une église. Je vous demande de venir, de recevoir Christ pendant que Sa Présence est ici. Quoi d’autre pourrait-Il faire ? Même s’Il a guéri les malades, malgré tout, cela n’est pas aussi glorieux que ceci. Il guérit effectivement les malades. Il ne pourrait pas apparaître dans un corps visible, car en le faisant, il n’y aura alors plus de temps. Mais Il est ici dans Son Eglise, vous montrant qu’Il est ressuscité des morts, cherchant à vous amener à venir, à L’accepter comme votre Seigneur ressuscité. Encore une fois maintenant, pendant que nous chantons Oh ! pourquoi pas ce soir ? Très bien.

                        Oh ! pourquoi pas ce soir ?

            Membres d’églises, pécheurs, pourquoi ne venez-vous pas ? Souvenez-vous au Nom du Seigneur Jésus, je vous offre Christ, si je ne vous revoie plus jamais jusqu’au jugement, voici votre heure.

                        Et pourquoi pas…

            Quand les arcs-en-ciel traverseront les cieux, et que les feux tomberont, que les spoutniks auront déjà largué leurs bombes, et que l’Ecriture sera sur la muraille, il n’y aura plus de temps. En une fraction de seconde, les gens ne seront pas… Des millions et des millions dans les Etats de la Nouvelle- Angleterre qui ne sont pas ici seront précipités dans l’éternité sans aucune chance. Souvenez-vous, Celui qui parle ce soir, l’Esprit, sait ce qu’est la vérité. Venez.

81        Très bien. Pendant que les ouvriers viennent maintenant et se tiennent autour de ces gens maintenant, prenez position tout autour, ceux qui sont exercés ici à œuvrer indépendamment, qu’ils prennent place. Vous autres qui désirez venir avec eux, venez donc en ce moment-ci. Ceux qui… Avez-vous une – une salle là quelque part où vous les amenez, une salle d’instruction ? Très bien. Alors juste un instant, ils viennent tout autour maintenant. D’autres viennent pour être sauvés. Inclinons la tête partout pendant que… Je désire prier, comme j’ai demandé de prier.

82        Dieu bien-aimé, sois miséricordieux envers ces gens. Ceci pourrait être notre dernier moment de rencontre, ô Dieu bien-aimé, avant que nous Te voyions Te tenir là. Oh ! si Tu viens visiter Ton Eglise avant la destruction, avant qu’une seule goutte de pluie ne puisse tomber, Noé et son groupe étaient dans l’arche. Et le Message de l’Ange du Seigneur qui est descendu à Sodome était urgent ; il s’agissait de la délivrance et de la miséricorde.

            Le même Ange qui avait le dos tourné à la tente et qui a dit : « Pourquoi Sara a-t-elle ri ? » Ô Dieu, puisse les gens se rendre compte que ce même Ange qui connaît les secrets du cœur est ici ce soir, de même qu’Il avait su que Sara avait ri derrière dans la tente.

            Elle a dit : « Je n’ai pas ri. »

            Mais Il a dit : « Oh ! si, tu as ri. » Ce qui était le message de l’Ange juste avant que le feu ne tombe. Te voici de nouveau, Seigneur.

83        Je prie maintenant ; je ne peux rien faire d’autre. Ils sont les fruits du message, Ton message. Ils T’appartiennent. Ils sont venus. « Nul ne peut venir à Moi, as-Tu dit, si Mon Père ne l’attire. »

            Ô Dieu, Tu étais donc certainement ici pour les attirer ici. Et il y a beaucoup, beaucoup de gens, l’autel est comble, et tout le long des allées. Et je Te prie, ô Dieu, comme Tu les as amenés ici, de les donner à Ton Fils bien-aimé comme des dons d’amour. Et puis, nous savons que nul ne peut les arracher de Sa main. Tu as dit : « Celui qui entend Mes Paroles et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie. »

84        Ô Dieu, que ce groupe de gens affamés entre dans cette petite salle ici maintenant, et soit rempli du Saint-Esprit, et que lorsque les mains leur seront imposées là à l’intérieur, conformément aux ordonnances des apôtres, qu’ils soient remplis du Saint-Esprit, et que cette fontaine de leur cœur qui a été touchée ce soir, toutes les vieilles boîtes en fer blanc et toutes les immondices du monde ayant été ôtées, fais-en un nouveau cœur pour qu’ils adorent Dieu. Accorde-le, Seigneur. Cette soif vient maintenant pour Toi.

            Sanctifie-les à l’autel afin que lorsqu’ils entreront là, ils soient remplis de la bonté de Dieu, et que Son Esprit les fasse entrer. Accorde-le, Seigneur. Je Te les présente au Nom de Jésus-Christ.

85        Maintenant, pendant que vous êtes ici, des ouvriers sont ici, il y a de la place pour que vous veniez directement ici, afin que nous puissions entrer et prier avec vous pour que vous soyez remplis de l’Esprit de Dieu. Entrez directement en file maintenant, au fur et à mesure que vous venez, pendant que nous poursuivons, continuons à chanter Oh ! pourquoi pas ce soir ? Encore une fois, l’auditoire…

Oh ! pourquoi pas ce soir ?

            Venez directement ici, chacun de vous, tenez-vous maintenant ici tout autour. Vous qui voulez venir avec eux pour recevoir le Saint-Esprit, entrez directement. Entrez directement. Voici votre heure, votre moment. Nous allons entrer directement pour prier avec eux, nous entrons directement pour leur imposer les mains. Si Dieu l’accorde. J’ai déjà prié pour eux. Si Dieu accorde ceci ici dehors, que va-t-Il accorder là à l’intérieur ?

                        … ce soir ? (Venez ici, révérend)

                        Oh ! pourquoi (Voulez-vous bien conduire le service ?) ce soir ?

            (Entrez directement maintenant, comme ils vont pour la prière).

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